Petit guide de l’alimentation durable à Gembloux

« Saveurs d’ici...

... et d’ailleurs »

La commission consultative de la ville de Gembloux est composée de :De l’échevine des Relations Nord/Sud, Claire Parmentier

Du fonctionnaire en charge des Relations Nord-Sud, Ophélie Chaltin

De citoyens, Mohamed Bellouti, Gérard Bouffioux, Michel Gaillard, Marie Homblette, Nathalie Lowies, Dominique Notte

De représentants politiques, Arnaud Alloin, Geneviève Jassogne, Annick Lambert, Ketlyn Nassar, Johan Noël, Christian Roger

De représentants des associations gembloutoises :- Afrique au coeur avenue Joseph Marvel 45 - 5032 Corroy le Château | 081 63 45 11 | bernadette.lhoir@hotmail.com

- Aide au Développement Gembloux – ADG passage des Déportés 2 - 5030 Gembloux | 081 62 25 75 | info@ong-adg.be | www.ong-adg.be

- Amnesty International rue Emile Pirson 12 - 5032 Mazy | maria.rodopoulou@skynet.be

- Centre Culturel au Cinéma Royal rue du moulin 55 bis - 5030 Gembloux | 081 61 38 38 | centreculturel.gembloux@skynet.be |

http://centreculturel.gembloux.com

- DISOP rue de Spa 32 | 1000 Bruxelles | 02 230 29 25 | disop@disop.be | www.disop.be

- Faculté universitaire des Sciences agronomiques de Gembloux - FuSaGx passage des Déportés 2 - 5030 Gembloux | 081 62 22 66 | fsagx@fsagx.ac.be | www.fsagx.ac.be/

- Groupe Alpha rue chapelle Marion 13 - 5030 Gembloux | 081 60 06 09 | alphagembloux@hotmail.com |

www.alpha-gembloux.be

- Maison Internationale de Gembloux Rue Monseigneur Heylen, 8 à 5030 Gembloux | 081 61 15 25 | maison.inter.asbl@fsagx.ac.be

- Oxfam Magasin du Monde rue Léopold 17-19 - 5030 Gembloux | 081 60 15 54 | amelie.descampe@skynet.be |

http://www.madeindignity.be/

- Planète Femmes avenue Maréchal Juin 20 - 5030 Gembloux | 081 60 12 70 | activitesocioculturelles@fsagx.ac.be

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La Commission communale de Solidarité internationale de la Ville de Gembloux (CCSI), créée en 2003 et présidée par l’échevine des relations Nord-Sud, rassemble des représentants du monde associatif et politique actifs dans le développement et porteurs de projets au Sud.

La mission principale de la CCSI est de créer des synergies entre les acteurs locaux et de susciter chez la population, jeunes et adultes, des réflexions en matière de coopération au développement. Elle promeut, élabore et coordonne des actions de sensibilisation et de solidarité.

L’événement « Saveurs d’ici et d’ailleurs » des 27 et 28 mars 2009 a été mis en place par la CCSI pour informer la population et pour l’inciter à une réflexion sur les modes de consommation et les conséquences sur la santé du monde dans sa globalité.

Le consommateur n’est en effet pas assez conscient de l’impact de ses achats à la fois sur la situation économique des agriculteurs du Nord et du Sud, sur l’état de l’environnement de la planète et donc de leur influence sur son propre bien être et sur celui de la génération future, nos enfants et petits enfants.

Ce carnet d’astuces permet de faire la synthèse de ce qui est présenté lors de la journée « Saveurs d’ici et d’ailleurs ».

Gardez le précieusement et relisez le régulièrement !

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Sur fond de crise financière, économique, climatique, la crise alimentaire mondiale qui a débuté en 2007 a des retombées multiples : flambée des prix des matières premières, remise en cause des agrocarburants, émeutes de la faim dans de nombreux pays du Sud...

Du Nord au Sud, les méthodes agricoles posent question et différents types d’agricultures se développent et parfois s’affrontent. Une large part de la société civile se retrouve afin de revendiquer le droit à la souveraineté alimentaire, au Nord, comme au Sud.

La souveraineté alimentaire : qu’est-ce que c’est ?

La souveraineté alimentaire, c’est le droit des populations et des pays de définir leurs propres politiques agricoles et alimentaires, sans porter atteinte à celles d’autres pays.

Autrement dit, ces politiques doivent être adaptées à chaque contexte spécifique et tenir compte des aspects économiques, sociaux, environnementaux et culturels inhérents à chaque pays.

La souveraineté alimentaire n’est pas la sécurité alimentaire…

Cette précision a son importance. En effet, la sécurité alimentaire ne s’intéresse qu’aux quantités d’aliments disponibles. Par conséquent, la sécurité alimentaire pourrait être atteinte en important la totalité des aliments. La souveraineté alimentaire défend bien d’autres droits.

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La souveraineté alimentaire

La souveraineté alimentaire donne la priorité aux marchés locaux. Elle défend notamment le droit de favoriser et de soutenir l’agriculture familiale durable, de préserver les ressources naturelles (eau, forêts, sols, etc.), la santé des consommateurs, la biodiversité, l’emploi agricole en nombre suffisant et dignement rémunéré, etc.

La souveraineté alimentaire inclut :

le droit à une alimentation de qualité, correspondant à la culture des populations;

le droit à des revenus décents grâce à des prix agricoles qui couvrent les coûts de production et permettent au producteur de vivre dignement de son activité agricole;

le droit d’accès aux moyens de production (terre, eau, outils…), ce qui implique une répartition équitable des moyens de production entre les producteurs;

le droit de protéger et de réglementer la production et le commerce agricole afin qu’ils répondent aux attentes de la société et respectent l’environnement.

Pour en savoir plus : www.pfsa.be

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Dans les pays du Nord, le modèle agricole qui a été développé après guerre pour répondre à une situation de pénurie est devenu de plus en plus intensif avec pour principales conséquences :

une modernisation et une mécanisation de l’agriculture utilisant de moins en moins de main d’œuvre mais de plus en plus d’énergie fossile;

une augmentation de la taille des exploitations au détriment du nombre d’agriculteurs;

le recours massif à des intrants chimiques améliorant le rendement des cultures mais conduisant progressivement à la pollution des sols et des nappes phréatiques et à une perte de la biodiversité;

l’apport extérieur important d’engrais de synthèse très coûteux en énergie;

une contribution financière publique importante pour sauvegarder la biodiversité et lutter contre les crises sanitaires générées par ce modèle d’agriculture intensive;

une contribution financière publique importante pour compenser les pertes des agriculteurs, aide qui induit des conditions de concurrence déloyale vis-à-vis des produits du Sud.

Au Nord, le modèle d’agriculture en question

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Conséquence des Plans d’Ajustement Structurel et du poids de leur dette extérieure, beaucoup de pays du Sud produisent pour exporter, et non pour nourrir les populations locales. Ce genre de politique conduit à des situations dramatiques : des pays ont une production agricole élevée alors que leur population est sous-alimentée…

Concrètement, on constate que :

plus de 80 % des victimes de la faim se trouvent parmi celles et ceux qui produisent la nourriture;

la production de semences et d’engrais est contrôlée par un nombre de plus en plus restreint de sociétés, souvent multinationales, qui imposent leurs conditions aux agriculteurs;

l’importation, à bas prix, de produits issus de l’agriculture du Nord concurrence les produits locaux, aggravant encore la situation des paysans du Sud;

acculés à vendre leur production à un prix toujours plus bas pour faire face à la concurrence, les paysans ne gagnent pas leur vie décemment et sont de plus en plus nombreux à quitter l’agriculture.

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Au Sud, des situationsparadoxales

Au Nord comme au Sud, des solutions existent

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Le consommateur, vous, moi, nous... a le pouvoir d’acheter, ou... de ne pas acheter. S’il existe différents critères pour une alimentation durable qui respecte les principes de la souveraineté alimentaire, classer ses priorités d’achat n’est pas chose aisée.

Avoir une alimentation durable c’est respecter quelques critères d’ordre :

environnemental, afin de limiter l’impact de notre consommation sur l’environnement;

éthique, à savoir permettre aux producteurs de vivre décemment de leur production;

de santé afin de ne pas être mis en danger par notre alimentation.

Concrètement il s’agit, de privilégier :

les produits de saison;

les produits locaux;

les produits issus de l’agriculture biologique ou durable;

les produits issus du commerce équitable.

Tous, le moins transformés possible, et de préférence achetés à la ferme, au marché, avec un Groupement d’Achat Collectif ou Solidaire ou via des « paniers bio ».Mais avoir une alimentation durable, c’est aussi :

manger moins de viande, dont la production est particulièrement énergivore, d’autant plus lorsque l’alimentation de notre bétail est produit par les pays du Sud, ajoutant des questions éthiques aux questions énergétiques;

faire attention à la provenance du poisson, car les ressources des mers et rivières sont trop souvent surexploitées et l’élevage rarement issus d’une pisciculture durable;

faire attention à l’emballage et donc préférer les produits en vrac, en grand conditionnement ou emballés avec des emballages recyclables et/ou réutilisables.

ne pas gaspiller la nourriture et penser à accommoder les restes.

Les fruits de saison (juillet-décembre)

Juillet Août Septembre Octobre Novembre DécembreAbricot

Cassis

Cerise

Châtaigne

Coing

Fraise

Framboise

Griotte

Groseille à maquereau

Groseille rouge

KiwiMandarine

Melon

Mirabelle

Mûre

Myrtille

Nectarine

Noisette

Noix

Orange

Pamplemousse

Pêche

Poire

Pomme

Prune

Pruneaux

Raisin

Rhubarbe

Janvier Février Mars Avril Mai JuinAsperge

Aubergine

Bette

Betterave

BrocoliCarotte

Céleri branche

Céleri rave

Chicon

Chou

Choux-fleur

Choux de Bruxelles

Concombre

Courgette

Cresson de jardin

Epinard

Haricot vert

Laitue

Navet

Oignon

Poireau

Petits pois

PoivronPomme de terre

Radis

Salsifis

Tomate

Topinambour

Les légumes de saison (janvier-juin)

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Les légumes de saison (juillet-décembre)

Juillet Août Septembre Octobre Novembre DécembreAsperge

Aubergine

Bette

Betterave

Brocoli

Carotte

Céleri branche

Céleri rave

Chicon

Chou

Choux-fleur

Choux de Bruxelles

Concombre

Courgette

Cresson de jardin

Epinard

Haricot vert

Laitue

Navet

Oignon

Poireau

Petits pois

Poivron

Pomme de terre

Radis

Salsifis

Tomate

Topinambour

Janvier Février Mars Avril Mai JuinAbricotCassis

Cerise

Châtaigne

CoingFraise

Framboise

Griotte

Groseille à maquereau

Groseille rouge

Kiwi

Mandarine

Melon

Mirabelle

Mûre

MyrtilleNectarineNoisette

Noix

Orange

PamplemoussePêchePoire

Pomme

PrunePruneauxRaisinRhubarbe

Les fruits de saison (janvier-juin)

Produits de saison : pourquoi ?

Doit-on absolument manger des fraises en hiver ? N’avons-nous pas l’impression que les fruits et les légumes manquent parfois de saveur ? Et s’il suffisait tout simplement de s’en remettre à la nature, de suivre le cours des saisons ?

D’autant que la production de fruits et légumes a un impact sur l’environnement : les différents moyens de transport et leurs émissions de CO2, l’énergie consommée lors de cultures en serre...

A titre d’exemple, 1 kg de tomates produites sous serre chauffée consomme 6 fois plus d’énergie qu’1 kg de tomates produites sous serre non chauffée et il faut dépenser 50 fois plus d’énergie pour produire une salade sous serre chauffée qu’en plein champ.

Pour vous guider dans vos choix, ce calendrier détachable vous permettra de vous rappeler la saisonnalité des fruits et légumes.

La saisonnalité

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Le secteur du transport est une source de pollution importante. Le transport des marchandises en fait partie : transport par avion de produits frais tels que les fruits exotiques, transport par routes... La consommation de produits locaux permet de réduire considérablement le transport des marchandises et par conséquent la pollution qui aurait été engendrée.

Les émissions de CO2, varient selon les moyens de transport. Par exemple, transporter une tonne de fruits ou légumes sur un kilomètre émet :

en bateau : 15 à 30 g/T/km

en train : 30 g/T/km

en voiture : 168 à 186 g/T/km

en camion : 210 à 1 430 g/T/km

en avion : 570 à 1 580 g/T/km

Ainsi faire venir un kilo de pommes de Nouvelle Zélande en avion (18 700 km) va donc consommer entre 10,5 et 29,5 kg de CO2, contre 0,01 à 0,07 kg de CO2 pour acheminer, en camion, un même kilo de pommes mais produit en Belgique (50 km).

De plus, favoriser la consommation de produits locaux, c’est aussi soutenir les petits producteurs locaux et éviter (voire réduire) le développement d’exploitations de grandes tailles, mono- produits (renforçant la dépendance du producteur vis-à-vis de problèmes économiques, climatiques...) aux techniques de production intensives et polluantes, qui feront transporter leur production à travers tout le pays voire au-delà. C’est donc également redonner de l’autonomie à un territoire.

Consommer local ? Mais quelle bonne idée !

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Qu’est-ce qu’un produit bio ?

« Le principe fondamental de l’agriculture biologique est de prendre soin du sol et de l’ensemble des êtres vivants qui l’habitent ».

Pour mériter la mention « biologique » les produits végétaux et animaux sont soumis à un cahier des charges strict qui privilégie, à tous les stades, le respect du producteur, de la nature, des animaux, de notre environnement et de notre santé.

Les produits chimiques de synthèse (engrais, pesticides) sont prohibés, les animaux disposent d’un espace vital suffisant, l’adjonction d’antibiotiques à l’alimentation des animaux est interdite, etc.

Mais pour que la consommation de produits bio soit vraiment écologique, il faut privilégier les produits locaux et de saison. C’est ce que s’emploie à faire l’agriculture biologique : rapprocher le producteur du consommateur et stimuler des circuits courts de distribution.

Repérez les produits biologiques grâce à leur label. En Belgique, le plus courant est celui frappé du sigle « biogarantie ».

Dans de nombreux pays du Sud, les producteurs ne peuvent pas forcément payer un organisme certificateur externe pour obtenir un label « bio ». Des initiatives de certification participative existent, notamment en Amérique latine. De telles initiatives voient également le jour en Europe.

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Le bio

Le commerce équitable, c’est quoi ?

Le commerce équitable ou « fair trade » vise à mettre en place un partenariat avec les producteurs, principalement mais pas exclusivement du Sud, dans une perspective de développement durable. Son but premier : garantir une juste rémunération des producteurs tout en respectant les principes sociaux et environnementaux lors de la production ; limiter le nombre d’intermédiaires ainsi que leurs marges.

Marque et label : petite précision

Les organisations de commerce équitable sont regroupées dans des fédérations nationales et internationales, qui ont des fonctions de coordination et de promotion du mouvement.

Au niveau international existent différentes fédérations regroupées depuis 1998 dans un réseau informel nommé FINE, pour :

Fairtrade Labelling Organizations - FLO : Certification équitable de produits, par exemple le label Max Havelaar,

International Federation for Alternative Trade - IFAT : Certification d’organisations,

Network of European Worldshops – NEWS : réseau de magasins spécialisés

European Fair Trade Association - EFTA : rassemblement d’importateurs du Commerce équitable européens)

Si en Belgique la majorité des produits vendus sous l’appellation commerce équitable (Oxfam Magasins du Monde, Maya...) ne sont pas forcément « labellisés », les organisations qui les promeuvent donnent généralement l’assurance qu’elles recourent à des pratiques conformes aux principes du commerce équitable.

Si le commerce équitable se soucie aussi de l’environnement, il ne certifie pas la culture biologique même si les deux sont souvent associés pour le bonheur des consommateurs.

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Le commerce équitable

Quelques sites utiles à propos de :

Souveraineté alimentaire

www.pfsa.bewww.cncd.bewww.viacampesina.orgwww.ong-adg.be

Alimentation durable / saisonnalité

www.oivo-crioc.org www.wwf.bewww.crioc.bewww.observ.bewww.econso.bewww.greenbazaar.bewww.coprosain.bewww.fugea.be

Agriculture biologique

www.natpro.bewww.observ.bewww.ibgebim.bewww.bioforum.be

Commerce équitable

www.befair.bewww.fairtrade.netwww.wfto.comwww.worldshops.orgwww.efta.intwww.maxhavelaar.comwww.oxfam.be www.madeindignity.bewww.maya.be www.ethicable.be

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Infos complémentaires

Où acheter à Gembloux ?

La clé des champsrue Léopold 4-6 - 5030 Gembloux | Tél. : 081/61 37 98

Le magasin Oxfam

Le GAC de GemblouxTél. : 0473 / 60 35 95 | gacgembloux@gmail.com

À GemblouxLa Ferme du CoqueronVANDECANDELAERE Stephanerue Try d’Alaude 1a5032 BossièreTél. : 081/63 34 43

Fraises chicons, courges, pommes de terreL’Escargot de l’OurchetGALLE Godeliverue Vieux Chemin de Namur 2205030 BeuzetTél. : 0477/63 51 08

Escargots, préparationsPoint de vente à la fermeSur rendez-vous

DELPLACE Andrérue du Mautienne 155032 BossièreTél. : 081/63 32 63

Beurre

SCHERPEREEL Philippechaussée de Nivelles 2035032 MazyTél. : 081/63 43 17

Beurre, lait,œufs, poulets

CAP Guidochaussée de Wavre 1505030 ErnageTél. : 081/61 40 12

Pommes de terre, fraises

VANDEPUTTE Louisrue de Linoy 175030 GemblouxTél. : 081/61 12 95

Pommes de terre

GEERTS Davidrue du Rivage 25030 Grand-ManilTél. : 081/61 27 54

Lait

DEBLED Anne rue de Lonzée 1405030 LonzéeTél. : 0473/63 01 11

Pommes de terre, œufs

QUINTIN Andrérue de Baudecet 75030 GemblouxTél. : 081/61 14 56

Poulets

La PommeraieTHEUNIS Paul chaussée de Namur 735030 GemblouxTél. : 081/61 08 71info@lapommeraie.be - www.lapommeraie.be

Fruits et produits artisanaux

Centre Technique HorticoleGRICOURT Olivierrue Verlaine 55030 Grand-Manil

Fruits et légumesDu mercredi au vendredi de 12h30 à 13h30, uniquement durant les périodes scolaires

Producteurs locaux ou bio

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Autour de GemblouxLa feuille de chêneCANTAERT Vincent et GenevieveRue Bourgmestre Gilisquet 31/11457 WalhainTél. : 010/65 21 41 ou 0473/75 21 87vincent.cantaert@skynet.be

Fruits, légumes bio, jus de fruits et de légumes, farines, pain, produits laitiers, épicerie

ToubioTOURNEL Nicolerue de Boignée 76224 Wanfercée-BauletTél. : 071/81 59 10info@toubio.bewww.toubio.be

Fruits et légumes de culture biologiqueVendredi de 9h à 19h et samedi de 9h à 12h

Ferme Jacquemart JACQUEMART David rue de Montigny 185640 Saint-GérardTél. : 071/71 11 12nhanoul@gmail.com

Pommes de terre, poulets, légumes, farines, pain, lait, produits laitiers, viande, œufs

La ferme de la SartheMr et Mme JACQUEMARTrue de la Sarthe 35640 Gonoy Tél. : 071 77 08 12lafermedelasarthe@gmail.com

Légumes, farines, pain,produits laitiers, œufs, épicerie bioVendredi de 15h à 19h et samedi de 9h à 13h

A coup de poussesGASPARD Amanda et BenoîtRy Del Vau 55340 GesvesTél. : 0496/290 199acoupdepousses@gmail.com

Paniers bio sur Gembloux aux Magasins du Monde Oxfam

Domaine viticole du Ry d’argentBAELE HubertRue de la Distillerie 515081 La Bruyère081/56 65 45

VinsEn semaine : lundi, mardi et mercredi de 10 h à 17 h Le week-end et jours fériés : sur rendez-vous

Ferme BareBARE Pierrerue de la Place 1315190 BalâtreTél. : 081/63 32 10

Farines, pain, lait, produits laitiers (bio)

Ferme du PonceauMr et Mme FLABATrue du Ponceau 471360 Thorembais-Saint-trondTél. : 081/65 52 80

Beurre, crèmes glacées, fromages, pommes de terre

Domaine viticole du ChenoyGRAFÉ Philippe Rue du Chenoy 1 B5080 Emines (La Bruyère)Tél. : 081/746 742grafe.p@skynet.be

Vins bio

Producteurs locaux ou bio

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La réalisation de cette brochure a été coordonnée par Espace environnement ASBL à la demande de la Commune de de Gembloux, à l’occasion de la Semaine de la Solidarité Internationale « Saveurs d’ici et d’ailleurs » de mars 2009.

Ce petit guide a pu être réalisé grâce au soutien de :

- La ville de gembloux▪ le service des Relations Nord-Sud▪ le service Environnement

- l’Agence de Développement Local de Gembloux – ADL- La Commission Consultative de la Ville de Gembloux – CCSI- Le Conseil Wallonie Bruxelles de Solidarité Internationale – CWBCI- Le Ministère de la Communauté française

La CCSI souhaite également remercier le comité organisateur de « Saveurs d’ici et d’ailleurs » : Mohamed, Gérard, Marie, Nathalie, Annick, Christian, Arnaud, Ketlyn, Bernadette, Maria, Lily, Renaud, Marie, Michelle, Caroline, Ana-Maria, Robert, Marie-Jo, Amélie, Guy, Xavier, Sarah, Pascaline, Eric, Paul, Ophélie, Juliette... et tous ceux qui ont contribué à la mise en œuvre de ce projet.

Ce guide a été imprimé par Doneux & fils sur papier recyclé et avec encre végétale.