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E R R A T A P.LARIVAILLK

-p.46: au lieu de 4ème cas, écrire 2eme cas et insérer l'ensemble du § à la suite du Premier cas. Cette modification entraîne les corrections suivantes: a/ § 2 ème cas : au lieu de £m_e__£a_s , l ire _ème cas . A la fin du §, au lieu de "variante du premier cas..", l i re "variante du deuxième cas ..tt b/ 5 ème cas: au lieu de 3ème cas, l ire 4ème cas. c/ § eme ___cas, dernière ligne: au lieu de "variante des 2eme et j ème cas..", l ire "variante des 3ème et 4èmecas.." d/ § 6ème c as, ligne 5: lieu de "schémas des 2ème et 3ème cas..", l ire "schémas des 3ème et 4ème cas 1 ë7~p' .47» suite du § 6ème c as ; dernière ligne: au lieu de "celui du 4ème castl, l ire "celui du 2ème cas". f/ P-47, § -7eme c as, dernière ligne: au lieu de "variante

2ème cas ou du 3ème cas", l ire "variante du 3ème cas ou du 4 e me cas" . g/ P-47 > tableau XVII: au lieu de 2 ème c as, l i re 3ème cas;

" " " 3 à m e_ c a s_ s, " 4ème cas; " " " 4ème _cas, " 2ème cas.

-p.62, § 3.6, lignes 2 et 3, au lieu de"sauraient / . . . / caractéris- tiques", l ire "saurait / . . . / caractéristique".

- p.80, note 17, p.81, note 23, p.85, note 43, au lieu de METETINSKI, lire MELETINSKI.

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Table des matières

Introduction ., .. n * .1. 1 -RECONSTITUTION DE L'ARCHETYPE

1.1 - Constitution du cornus p.3 1.2 - Critères de comparaison é..p.4 1.3 - Tableau comparatif des fonctions dans les

neuf contes du corpus: voir Annexe, p. 68-75. 1.4 - Transformations subies par les contes et

disparités qui en résul tent . . . p.6 T.5 - Glissements de fonctions p.7 1.6 Le travestissement du héros o.9 1.7 - Antériorité du conte recueil l i par

Afanassiev ? p.12 I.B - Un classement chronologique des contes du

corpus es t - i l possible ? n.T3 1.9 - Evaluation de la f idél i té des contes à la

"forme internationale" p. 15 1.10- Détermination du schéma complet minimal..p.19

1.10.1- L'obtention de l ' aux i l i a i r e magique .. .p.19

1.10.2- L'action so l i ta i re de l ' aux i l i a i r e , ou la transfiguration "in absentia" du h éros o . 21

1.10.3- Action conjointe de l ' aux i l i a i re et du h éros p . ? 3

I ♦ II --- Construction de l 'archétype intermédiaire n . 2-6 '

2 -PROBLEMES nE"M0PpH0L0GIE" p. 30 2.1 - Sur le schéma fonctinnnel du conte n°99

d'Afanassiev .............................o.30 2.2 - Pour une redéfinition du schéma cannnique 35 . p . 2.3 - Les combinaisons de séquences . . .p.41 2.4 - Les quatre schémas fondamentaux du conte.p.444

3 -LE CONTE DE CONSTANTIN FORTUNE p.49 3.1 - L'expérience du théâtre . . . . .p»49 3.2 - Réduction du merveilleux, renforcemert

du réalisme ......p. 5 3 3.3 - La chatte instrument de la Fnrtune p.55 3.4 - La programmation du réc i t . p.57 3.5 - Le triomohe d'un arrivisme sans scrupule.p.61 3.6 - Un idéal d ' inte l lectuel courtisan ? p. 62 3.7 - Les contradictions d'un qroupe sans statut

soci al p . 63 3.8 - L'auteur et son h^'ros p.64

CONCLUSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p.66

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TABL EAUX ET SCHÉMAS

I - E CORPUS p.4 1 T - 1 A BLE A U COMPARATIF DES FONCTIONS D A N S LES

NEUF CONTES DU CORPUS p. (en annexe) III - TRAVESTISSEMENT ET RECONNAISSANCE DE LA

RICHESSE DU HEROS p . Il IV - POINTS DE CONVERGENCE ET D L. DlVtRGENCE

ENTRE LEb NEUF CONTES DU CORPUS p.16 V - RECENSE ME JT DES CON VERGENCES p. H VI - TABLEAU COMPARATIF DES FONCTIONS seo N lJ U l SAiJT À

L'OBTENTILN DE L'AUXILIAIRE MAGIQUE . p . 20 VII - TABLEAU COMPARATIF DES FONCTIONS CONDUISANT À

LA TRANSFI GU RAT ION" "IN ABSENTIA" DU H [J 5 p.22 VIII - TABLEAU COMPARATIF DES DERNIÈRES FONCTIONS

D t S N L U F CU.N TES DU CORPUS p . 24 IX - L'ARCHETYPE INTERMEDIAIRE p.26 X - SCHEMA FONCTIONNEL DU CONTE N°99 D'AFANASSIEV.p.JI XI - DISTRIBUTION DES FONCTIONS DE PROPP SUIVANT

LE SCHEMA PROPOSE PAR GREIMAb p. 35 XII - DISTRIBUTION DES FONCTIONS iJ t PROPP SOIVANT UN

SCHÉMA INSPIRE DE G R EIM A S l T DE L E VI-oT R A U S S..p.3 6 XI II - NOUVEAU SCHEMA CANONIQUE PROPOSE . . . . p . 4 0 XIV - oCHÉMA [J,1l,îJ CONTE FORME D'uNE MACRO SEQUENCE

PRIVILEGIANT UNE FONCTION PAR SEQUENCE p.42 XV - APPLICATION DU SCHEMA DE LA SÉQUENCE ÉLÉMENTAIRE

AUX FONCTIONS PRÉPARATOIRES DE PROPP p.44 XVI - bCHÉMA DE CONTE COMPORTANT PARTIE PREPARATOIRE

ET NOYAU . p 4 6 XVII - LES Q U .:\ T . ( t SCHEMAS DE BA SE . p. 4 7 XVIII - RÉPARTITION DES MASSES DU R'ECIT DANS LE CONTE

DE STRAPAROLA >•••> p • 50 XIX - TABLEAU COMPARATIF DES RESOMLS 0U ICATE DE

STRAPAROLA p . 56 XX - SCHÉMA jL L':: BAL DE LA TRANSFORMATI ON DU HÉROS

DANS LE CONTE DE STRAPAROLA........ p. 59

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P E R S P E C T I V E S ET L I M I T E S D' UNE ANALYSE MORPHOLOGIQUE

DU CONTE

Pour une révision du schéma de Propp

"On ne sait rien de précis sur la vie de Gianfrancesco btraparola, dont on ignore les dates de naissance et de mort. On sait seulement qu' i l est né à Laravage dans les vingt dernières années du XVème siècle et qu ' i l é tai t encore en vie en 1557". Ainsi commence l ' introduction à une des dernières éditions des Facétieuses nuits, un recueil de 74 nouvelles et contes publié à Venise en 1550 et 1553 (I). Une te l le carence de données biographiques ne pourrait que faire la joie des tenants de la l i t t é ra tu re pour la l i t t é ra ture , partisans du contact immédiat et exclusif entre le lecteur et le texte. Mais pour ceux qui sont convaincus que tout texte n'est jamais simplement un texte, mais aussi un contexte -entendant par là toute cette partie intégrante et vitale du texte qui, quelque traitement que lui ai t fa i t subir l ' é c r i tu re , reste une projection des circonstances socio-historiques, économiques, culturelles ou autres qui ont contribué autant, et parfois plus, que l 'auteur à la composition du texte,#pôur ceux-là, dont nous sommes, l'absence quasi totale d'informations sur l 'existence de Straparola, sa formation, le ou les milieux où i l a vécu apparaîtra comme un obstacle d i f f ic i le à surmonter, un vide à combler dans toute la mesure du possible.

C'est la nécessité de combler au moins partiellement ce vide qui jus t i f i e à nos yeux la voie-que certains trouveront bien tortueuse- par laquelle sera abordé, dans les pages qui suivent, ce précurseur du Chat Botté qu'est le réci t de la réussite sociale de Constantin Fortuné grâce aux astucieuses manigances d'une chatte(2). Faute de connaître avec suffisamment de précision la réa l i té contemporaine, l'environnement immédiat du conte, nous nous tournerons d'abord vers la tradition dont i l est l ' h é r i t i e r . Et pour cela nous nous efforcerons, en le comparant à d'autres du même type, de reconstituer l 'archétype d'où i l est issu, forgeant ainsi un contexte, si imparfait s o i t - i l , qui pourra servir ensuite de point de référence pour une étude plus approfondie.

Il va sans dire qu'une te l le recherche préalable du contexte n'implique nullement que nous donnions au contexte une quelconque priori té sur le texte, ce qui contredirait ce que nous

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avons affirmé plus haut. Une partie du contexte préexiste indé- niablement au texte: celle que l'on désigne communément sous le nom de Tradition, dont la tradition du conte, sur laquelle nous concentrerons, dans un premier temps, notre attention, n 'est elle même qu'une partie. Mais i l est évident qu'au moment de la compo- sition de l'oeuvre toute la tradition se trouve, pour ainsi dire, ramenée au présent. Sans doute ex is te - t - i l une dimension diachro- nique de l'oeuvre, plus perceptible dans les oeuvres de longue haleine dont la composition s/échelonne sur des mois ou des années, mais postulable sinon toujours évidente à première vue jusque dans les oeuvres les plus brèves, en raison même du caractère progressif de la pensée et de l ' éc r i tu re qui fa i t qu'une conclu- sion représente toujours un stade ultérieur à celui de l ' i n t ro - duction . Il existe aussi,naturellement, une dimension diachronique du genre dans laquelle l'oeuvre singulière s ' i n sc r i t comme étape ou phase parmi d'autres d'un processus évolutif. Mais i l c lair qu'au moment précis où i l écr i t , l 'auteur n'a ni passé ni avenir. Toute la culture passée qu ' i l a pu conscimment ou non, directe- ment ou indirectement, emmagasiner, et tous ses projets ou rêves d'avenir se trouvent ramenés à un stade rigouresement synchro- nique, au présent de l ' é c r i tu re . En d'autres termes, le contexte , quelles que soient la nature et la diversité des éléments qui le composent, est rigouresement synchronique au texte en voie de création: plus encore, i l est ce texte même par tout ce qui de lui passe et s'organise ou se réorganise dans le texte.

Les réflexions qui précèdent mènent tout droit à ce truisme trop souvent perdu de vue: étudier la tradition dans laquelle s 'insère-an^texte donné, étudier ce que l'on appelle communément ses sources ou étudier sa descendance, c test égale- ment, sinon avant tout, étudier ce texte lui-même. A plus forte raison, l 'étude comparée d'un ensemble de contes incluant celui sur lequel nous entendons porter ensuite plus particulièrement notre attention, es t -e l le une étude de ce conte lui-même, qui ne saurait donc en soi impliquer nulle priorité du contexte par rapport au texte. Nous avons choisi, pour les raisons que nous avons indiquées plus haut et que les pages qui suivent, nous l 'espérons, rendront plus évidentes, d'aborder le texte de Straparola par le biais du contexte: c 'est en cela, et en cela seulement, que nous accordons au contexte une priorité toute provisoire qui ne doit pas prêter à confusion.

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I-RECONSTITUTION DE L'ARCHETYPE

1.1 -Constitution du corpus "Les racines historiques des contes merveilleux"

remontant, comme l ' a établi Propp, à l'aube des sociétés humai- nes(3), la matière pour des études comparatives ne saurait man- quer, car les récits originels ont eu plusieurs millénaires pour se répandre dans le monde, au gré des migrations de populations, des invasions, des voyages et des contacts commerciaux. Pour ne parler que du sujet qui nous intéresse i c i , le type de conte auquel appartiennent tant le Chat botté que l ' h i s t o i r e de Constantin Fortuné "est répandu dans toute l'Europe jusqu'en Sibérie, en Inde d'où i l à essaimé en Indonésie et aux Philip- pines; i l a été porté aussi chez certains Indiens d'Amérique, et en Afrique"(4). Pas moins d'une quinzaine de versions ont été recensées dans les seuls pays de langue française(5) et l ' I t a l i e , pour sa part, en compte plus d'une vingtaine répérées et transcrites à ce jour(6).

Une te l le abondance de matériaux imposait, en vue de l ' ob jec t i f limité qui est le nôtre, une sélection préalable, d i f f ic i le et fatalement un peu arbi t ra i re , que nous avons effectuée sur la base des exigences suivantes: a) Nécessité de tenir compte, à la fois de la tradition écrite (contes composés par des écrivains), et de l ' indiscutable pré- pondérance dj2j^tradition orale (pour nous, les contes simplement recuei l l is et t r ansc r i t s par des chercheurs). B) Nécessité de faire une place équitable dans notre corpus aux deux animaux secourables qui alternent dans les versions euro- péennes du type de conte pris en considération: le chat et le renard (7). c) S'agissant de concentrer en dernière instance notre analyse sur un conte i ta l ien , nécessité de donner la préférence à des contes recuei l l is dans différentes régions de l ' I t a l i e au dé- triment des contes de provenance "étrangère".

Tout bien pesé, et en nous assurant que les textes exclus de notre corpus ne contenaient pas d'éléments suscepti- bles de remettre en question les conclusions que nous pourrions t i r e r de l 'étude des textes sélectionnés, nous avons fixé notre choix sur les neuf contes suivants - parmi lesquels, t rois proviennent de la tradition écrite et six de la tradition orale, sept sont i ta l iens et deux "étrangers", six mettent en scène un chat et trois un renard.

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Tableau I : '- i CORPUS

I.2 -Critères de comparaison . , est e à déterminer sur quelles bases effectuer

l'étude comparative de ces neuf contes. Le fait qu'ils appar- tiennent tous au même type, c'est-à-dire traitent tous d'un sujet identique, inciterait a oriori à confronter les éléments constitutifs concrets, les motifs dont ils se composent. Mais les variations plus ou moins importantes de ces motifs d'un conte à l 'autre, aussi bien que les places différentes (et par là les fonctions différentes) qui sont parfois assignées à un même motif dans ceux ou plusieurs contes, nous invitent au contraire à ne pas séparer les motifs de leur contexte, à ne jamais négliger le type de relation qui les unit à l'ensemble du récit. Aussi effectuions-nous une analyse préalable de type Tor;Jh':loJique, visant à l ' identification et à la confrontation des fonctions des personnages qui constituent sinon les éléments constants et permanents(15), au moins les parties les moins friables du conte.

Pour atteindre ce premier objectif, nous dresserons

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un tableau comparatif du déroulement fonctionnel de nos neuf contes, en respectant dans toute la mesure du possible le principe adopté par Propp de définir les fonctions d'après leur situation et leur signification dans le déroulement de l ' intriQue(16). Au demeurant, le tableau entier suivra, faute de mieux, le schéma-type établi par le savant soviêtiqueret ce, pour deux raisons essentielles: premièrement parce que, malgré toutes les tentatives faites pour l 'améliorer ou le simplif ier ( 17 ) , le schéma proposé dès 1 928 par Propp reste à ce jour le plus aisément et le plus efficacement applicable à une approche concrète des contes; en sscond lieu parce que, ayant été établi à par t i r d'un corpus relativement important et diversif ié, ce schéma constitue un rempart indispensable contre les erreurs auxquelles conduirait fatalement l 'étude d'un seul type de conte coupé de tous les autres(I8).

Cette décision, à la fois prudente et commode, que nous prenons d'en revenir à Propp, ne signifie toutefois, ni que nous méprisions si peu que ce soit ses successeurs, ni que nous renoncions à toute réflexion théorique, logique ou métho- dologique. Simplement nous jugeons plus fructueux de commencer par une application concrète qui nous permette de juger sur pièces, au f i l des diff icul tés rencontrées, des qualités et des faiblesses du schéma de Propp. Ce n 'es t qu'au terme de cette expérimentation sur le vif que nous nous sentirons fondés à porter un jugement et à esquisser, le cas échéant, une réf lexe. . théorique susceptible d'améliorer le schéma de Propp en même temps que d'affiner notre approche du conte de Straparola.

I.3 -Tableau comparatif des fonctions dans les neuf contes du corpus.

TABLEAU II. (voir en annexe)

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Le Centre de Recherches de Langue et Littérature Italiennes de l'Université de Paris X - Nanterre (pré)publiera périodiquement (au rythme de 3 à 4 fascicules par an) les résultats de certaines des recherches individuelles ou collectives menées par ses membres.

Ces fascicules sont hors-commerce et seront expédiés en priorité, à titre d'échange, aux Centres ou groupes de recherche intéressés par les questions traitées.

Toute correspondance doit être adressée à

Institut d'Etudes Italiennes (Centre de Recherches)

U.E.R. de Langues Romanes 200, ave de la République 92000 - NANTERRE

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