Paul Desmarais

Power Corporation

5 milliards de $

Paul 1er Desmarais

Gelco Gesca Financière Power

Power Corporation

Total

Great West LifeInvestors

GDF Suez GNL

Financière IGM

London Life

Parjointco

CITICCanada Life

Le pouvoir est la capacité d’imposer aux autres sa vision de la réalité

Le pouvoir canadien-anglais est sa capacité d’imposer à la minorité francophone sa vision de la réalité.

Diane Francis journaliste économique« Paul Desmarais n’a pas réussi parce qu’il le méritait, mais parce qu’il était un canadien-français minoritaire qui a bénéficié de largesses inaccessibles à d’autres »

Peter C. Newman« Pour les capitalistes canadiens, Paul Desmarais a valeur de symbole……ils lui ont ouvert des portes dansle but de protéger leurs intérêts. »

Son grand talent : héritier

« Mon grand-père a amassé une grosse fortuneà Sudbury où il possédait, avec des associés, un hôtel, des biens immobiliers et toutes sortes d’autres affaires, dont une ligne de chemin de fer. »

« Même en y réfléchissant bien, je netrouve rien que j’ai commencé.Commencer à zéro, c’est trop longpour moi. »

« Je suis québécois parce que je vis ici et que je parle français etje suis ontarien en même temps parce que je parle anglais. »

Jean Bouthillette« L’affirmation individuelle se fait contre la collectivité et,parfois, par son rejet. »

Éducation de ses fils:

Paul : Lakefield Private School

André : Wesmount Selwyn House

70 % de la presse écriteau Québec

La PresseLe Soleil

Le Quotidien du Saguenay

Le Nouvelliste

La Tribune

La Voix de l’Est

Des Hebdos

Pour obtenir la permission d’acheter La Presse,Il promet que le journal restera à jamais indépendant des partis politiques.

Promesse non tenue

« Notre position est connue:nous sommes fédéralistes…Le point de vue des séparatistespeut apparaître,mais la ligneéditoriale est fédéraliste. »

Les hommes de Desmarais

Daniel Johnson,père Robert Bourassa

Jean ChrétienPaul MartinNicolas Sarkozy

Daniel Johnson, fils

André Pratte

Albert Frère

John Rae

Brian Mulroney

P.E. Trudeau

ÉGALITÉ OU INDÉPENDANCE

Septembre 1966 : Johnson,malade,se rend à HawaiiPaul Desmarais l’y rejoint

Fausse fuite des capitaux

Octobre 1966 : Suite aux informations faussesde Paul Desmarais, Daniel Johnson recule.

J e n’érigerai pas un mur de Chine autour du Québec.

Jean Chrétien

Sa fille, France, est mariéeà André Desmarais

Jean Chrétien a invité le premier ministrechinois, Li Peng, à visiter Montréal.Il lui a organisé une visite privée: pas avec leprésident de la Banque nNationale, d’Hydro-Québecou de Cascades; pas avec le maire de Montréal,mais avec la famille Desmarais

En janvier 1968, Claude Frenette,employé de Power Corporation,est président de l’aile québécoisedu Parti Libéral du Canada

Dans les bureaux de Power Corporation,C. Frenette et P. E. Trudeau établissentle plan qui mènera P.E.T. à la directiondu PLC et au poste de premier ministredu Canada.

Robert Bourassa s’entretenait régulièrement avecPaul Desmarais, parfois, jusqu’à deux fois parsemaine.

Rejet de l’entente du lac Meech

Bourassa déclare que le Québec est librede déterminer son avenir et met sur piedla commission Bélanger-Campeau.

Desmarais refusera d’y témoigner.

Bourassa, fatigué et malade, se réfugie dans lepalais floridien de Desmarais.Il y rencontre Desmarais, John Rae et Bob Rae.Bourassa recule !!!! Comme Johnson avant lui.

Paul Martin , d’abord employé dePaul Desmarais.

Paul Desmarais lui cède Canada Steamship Lines

Sagard : domaine de 75 kilomètres carrés.

Canada Steamship Lines cède ce territoire à Power Corporation pour un (1) $ en 1976

Power Corporation le cède à Paul Desmaraispour un (1) $ en 1988

Paul Desmarais offre un « pont d’or »à Jean Charest pour faire le saut enpolitique provinciale.

Selon le regretté Michel Vastel, Charest aurait reçu2 400 000$ pour faire le saut.

Selon Michel David du Soleil, ceserait plutôt 4 000 000$

Mulroney et Johnson faisaient partiedes négociateurs.

Charest est venu au PLQ par convictionmonétaire

LE SEUL EMPLOI QU’IL AITJAMAIS EU :

Daniel Johnson

Conseiller de Paul Desmarais

« C’est mon avocat préféréen relations de travail. »

Albert Frère, associé de Paul DesmaraisEn Europe

Frère a fait fortune lors de lanationalisation de la sidérurgiepar la Belgique.

Associés dans l’affaire Paribas

Associés dans la privatisationDe GDF Suez (cadeau de Sarkozy)

André Pratte

Fils d’Yves Pratte, employé dePower Corporation

Éditorialiste de La Presse

En 1994 il commet une chronique : Tout est pourri

Il cite un lecteur :’’Tout est dirigé par PowerCorporation; tout le monde sait cela. Chrétien,Johnson, c’est Power Corporation.’’

Et André Pratte d’ajouter : ‘’Il y a un fond de vérité dans tout cela.’’

Desmarais ne le prend pas !

Suite à cette chronique, A. Pratteest démis de ses fonctions parClaude Masson, v-p de La Presse

Il se rachète en 1995

Il attache le grelot des votes ethniquesau cou de Parizeau.

Promu, depuis, il se garde bien defroisser les Desmarais

‘Bob Rae premier ministre de l’Ontario

John Rae, frère de Bob Rae

Employé de Power Corporation

‘Bénévole’ à temps plein duCamp du NON en 1995

Roger-D. Landry

Éditorialiste de La Presse

En 1992, il reconnaît que Paul Desmarais abel et bien abandonné le Québec, et ce,sous un gouvernement libéral àQuébec et un gouvernementconservateur à Ottawa.

On a tôt fait de le remettre à sa place.

Nicolas Sarkozy

« Si je suis aujourd’hui président de la République,je le dois aux conseils, à l’amitié et à la fidélité dePaul Desmarais.!995 n’était pas une année faste pour moi.Un homme m’a invité au Québec dans sa famille.Nous marchions de longues heuresen forêt et il me disait :’Il faut quetu t’accroches, tu vas y arriver.Il faut que nous bâtissions une stratégie pour toi.’ Nous avonspassé dix jours ensemble aucours desquels tu m’as redonnéconfiance. »

Sarkozy paie ses comptesà Desmarais

Desmarais était déjà officier de la Légion d’Honneur

René Lévesque avait été fait commandeur

Sarkozy remet la Grand’Croix àDesmarais

Grand’Croix : seulement 75 octroyés le plus grand honneur possible

Sarkozy paie ses comptes àDesmarais

2008Privatisation de Gaz de Franceau profit de Desmarais et Frère

Fusion de Gaz de France etla Société Suez

GDFSUEZ

Sarkozy paie ses comptes àDesmarais

Dorénavant le Canada prime sur le Québec

Il y a des gens intègres, fidèles à eux-mêmes et

aux personnes qui leur ont fait confiance.

Permettez-moi de vous en présenter deux

Après l’amère défaite de 1973, Roger Lemelin, éditeurde La Presse, offre à René Lévesque un salaire (mirobolant pour l’époque) de100 000$ pour qu’il devienne reporter international.

En voilà un que Desmarais n’a pas pu acheter.

« Mais aujourd’hui, avec Jean Chrétien et Daniel Johnson, le NON, c’est l’état Desmarais. Desmarais, qui n’a pas investi un seul million au Québec depuis 10 ans. Desmarais, qui fait fortune ici, mais qui a utilisé ses profits réalisés au Québec, pour investir massivement à l’étranger. »Jacques Parizeau Septembre 1995

SOURCES

Diane Francis

Jean Bouthillette

Peter C. Newman

Patrick Bourgeois

Jacques Parizeau

Pierre Godin

Michel Vastel

Michel David

Et Alii