Paroles des Amériques 5

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Magazine culturel Paroles des Amériques

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---Numéro 5 - juillet-août 2009 - édition gratuite et bilingue

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Responsable de la Communication: Assoc. Liens et Cultures LatinesEquipe de rédaction: S. Cabrejos S., Carlos Murayari, Juan C. Castañeda, Hadrien Partouche,Rubén Romero, Jérémie Wach Chastel, Julia Estevez Rédacteurs à l’étranger: José Ramirez et Carmen Ponce (Allemagne),Gia Mateo (Etats-Unis ), Juan Ponce (Pérou)Conception graphique: AGC CREATIONSDistribution: Via Internet www.parolesdesameriques.com

Avec des études en Communication et en PAO, S. Cabrejos S. acollaboré comme animateur pour une radio associative et écritdes articles pour un magazine des spectacles à Paris, ancien cor-respondant de presse pour une chaine de télévision au Pérou, estle président de l'association Liens et Cultures Latines qui mène leprojet de ce magazine.

Page 3: Carnet de voyage:Cérémonie de l’ayahuasca,première expérience...Page 5: Immigration: Migración,modernidad y perspectivas(español)Page 8: Vivir mejor: No dejesque el estrés controle tu vida:Dominalo TU (español)Page 10: Histoire, MatthieuSalade, un francés en LimaPérou (espagnol)Page 11: Survival FrancePage 12: Narrations: JulioCortazar en el Tambo (español)Page 13: Narrations: Carta deAh Dios! (español)Page 14: Informatique:Actualizaciones de Microsoft(español)

Sommaire Editorial

Les textes publiés dans cette édition n’engagent que leurs auteurs et non l’ensemble de la rédaction.

Nous faisons appel à de nouveaux membresrédacteurs bénévoles pour rejoindre l’équipe de“Paroles des Amériques”, afin de renforcer etapporter des idées et suggestions qui puissentnous aider à accroître le nombre de nos lecteurs.Nous vous invitons à prendre contact avec larédaction par mail.

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Grippe A/H1N1: mesures à prendre

Tandis que la chaleur a mis du temps à arriver dansl’hexagone et la canicule presque oubliée des français, la grip-pe A/H1N1 continue d’avancer à pas de géant. Les sociétés,soucieuses de l’arrivée de la pandémie se mettent en garde, leplan grippe A a été presque déclenché dans les entreprises,voir jusqu’à prévoir le travail 24/24 et 7/7 de certains collabo-rateurs pour éviter la contagion, le budget explose mais la vie continue.Le retour de vacances nous annoncera vraiment si le pland’alerte maximal sera mis en place, la rentrée de classes’annonce totalement incertaine car c’est là où la diffusion duvirus sera au plus haut niveau. La France est-elle vraiment préparée à combattre ce fléau ?Malgré la montée en puissance de l’épidémie (1211 cas confirmés ou probables ; 7 cas graves ; 1 décès)l’état va dépenser 700 millions d’euros pour l’achat de 100 millions de doses, mais la grand question reste à venir,le vaccin sera-t-il efficace, lorsqu’on sait que la mutation est à chaque fois plus importante ? Alors là, les millions dépensés ne serviront plus à rien.Une seule chose est très claire, les quatres laboratoires pharmaceutiques où l’on achètera les produits, auront bien remplis leurs poches.

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endredi 12 juin 2009, Pucallpa,20h20: je marche en direction dechez Jheff, pour la cérémonie del’Ayahuasca. Il m’a dit qu’il habitait alcostado del Shimbillo, c’est à dire à côtéde la discothèque le Shimbillo.Je devais l’appeler au moment de partirpour qu’il sorte m’attendre. Problème,je n’ai plus de forfait et pas de monnaie.Je rentre dans tous les restaurants du che-min, mais aucun ne veut changer monbillet de 50 soles.Depuis la place centrale du village, oùnous avons fait la vigilance, on me dit quele Shimbillo est en bas de la rue, près duport. Je descends et y arrive.Il y a une énorme place vide et la disco-thèque, Jheff m’a dit de me positionnerdevant la porte d’entrée mais là encoreles possibilités sont nombreuses…Quefaire ?

20h50: mon téléphone sonne, c’estJheff qui me demande si je viens tou-jours. Évidemment, je suis mêmedehors, mais je ne sais pas où frapper. Etlà, la porte de la maison voisine du Shim-billo s’ouvre. Effectivement, il m’avaitbien expliqué.Je rencontre quatre autres artistes del’association ainsi qu’un Français qui faitun documentaire sur le chamanisme.Il y a des matelas au sol, ainsi que depetites couvertures. Jheff me proposed’aller me laver le corps avec un mélan-ge à base de plantes qu’ils ont préparé.Étrange mélange de différentes aux ver-tus relaxantes. J’apprendrai plus tard quece mélange contient notamment de l’ail.Je me rince donc tout le corps, puis sorspour rejoindre les autres.Je ne suis pas inquiet, j’ai confiance enJheff, mais je ne suis pas l’homme le plusrassuré du monde tout de même.On discute un peu, il nous explique quel’on va s’asseoir chacun sur un mate-las puis que nous allons boire

l’ayahuasca. Après la prise, il est conseilléde rester assis, parfois certains ressententle besoin de bouger, dans ce cas, le faireen respect avec ceux qui nous entourent,c’est-à-dire sans les gêner. De plus, il y ade petits seaux. En effet, l’ayahuasca peutprovoquer quelques vomissements, et ilfaut les laisser venir.Pour mieux vous expliquer l’ayahuasca,je vais user de mon côté scientifique. Ceque l’on nomme ayahuasca est en faitune potion à base de racine d’ayahuascaet de feuilles de chakruna auxquelles onpeut ajouter la plante de l’art. On obtientun mélange de couleur marron, forte-ment amer, qui contient de nombreuxalcaloïdes psychotropes, provenant de lachakruna. Normalement, leur effet estannulé par la bile. C’est là que la racined’ayahuasca entre en jeu car elle luttecontre les effets de la bile et permet auxalcaloïdes d’agir. En France, on a ten-dance à utiliser le terme hallucinogène,mais ici on parle plutôt d’accès à une réa-lité plus complète, d’état modifié deconscience (EMC) ou autres terminolo-gies proches.La cérémonie se passe en plusieursétapes. Il y a d’abord la purification ducorps, que j’ai déjà effectuée, ensuite, onabsorbe le breuvage. Il faut une demi-

heure environ pour ressentir les effets.Le chaman aidera chacun des partici-pants à trouver la bonne voie, le cheminvers des visions salutaires et agréables, enparlant ou en chantant en shipivo. Plustard dans la soirée, de la musique nousaccompagnera. Enfin, nous remercie-rons la Terre mère et la cérémonie seterminera. Là, nous pourrons parler unpeu, puis nous dormirons.Nous nous asseyons. Jheff remercie laTerre mère et commence à donnerl’ayahuasca aux gens. Ils nous apprendque plus on maîtrise ce breuvage, pluson prend de petites doses. Chaque per-sonne doit trouver la quantité dont il abesoin. Comme c’est ma première fois, ilme donne une dose un peu plus forte.L’équivalent de deux ou trois gorgées.Je ne saurai dire quand les effets ontcommencé. Mais oui, ils sont venus. Jene saurai bien décrire ce que j’ai ressen-ti, mais ce qui est sûr c’est que le voyageétait plus intérieur et sombre, que coloréet léger. Les vomissements, aussi, sontvenus. Cela à pris du temps, mais en uneou deux fois, j’ai dû faire sortir monrepas de midi et le petit truc que j’avaismangé vers 16h, ainsi que toute l’eaubue.Après coup, Jheff me dira qu’il a passébeaucoup de temps avec moi pour mecalmer, me répétant souvent El amor esmas fuerte Jérémie, el amor es mas fuer-te, pensas a las colores,soit l’amour estplus fort, Jérémie, l’amour est plus fort,pense aux couleurs. Facile à dire… àfaire, c’est autre chose.Lorsque cela se finit, nous discutons unpeu puis dormons.Au matin, nous rediscutons de monexpérience qui, comme beaucoup depremière fois, était étrange. Jheff me ditqu’il serait bien que je prenne certainesplantes pour me nettoyer l’intérieurdu corps. En effet, selon la nourritureliens et cultures latines 3

Evasion Carnet de voyageCérémonie de l’Ayahuasca,

première expérience…Jérémie Wach-Chastel, Parallèlement à ses études en master de cinéma à la faculté de la Sorbonne Nouvelle, il est comédienau sein de troupes de théâtre amateurs et professionnelles depuis 1999. Engagé auprès du RESF (Réseau Éducation SansFrontière) et de l’UNEF (Union Nationale des Étudiants de France).Il pratique la photographie en amateur depuis cinq ans. Avec des stages en photo-reportage en argentique et à la photogra-phie numérique. Il a notamment approfondi ses connaissances dans le domaine du développement et du tirage en noir etblanc ainsi que dans celui de la technique et de la correction photographique numérique.Son projet Hombres sera l’occasion de mettre en pratique sa formation de photographe à travers la découverte d’autres uni-vers visuels. http://univers.jwc-photos.com http://www.flickr.com/photos/jeremiewachchastel/

Peinture de Juan Carlos Taminchi Berreras, asso-ciation Amazonian Onanyati, Pucallpa, Pérou

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EvasionCarnet de voyageavalée, la bile est plus ou moins acide etagressive, et donc l’effet peut être altéré.Le problème est que je repars bientôt, etlà je suis un peu déçu car je n’ai rien res-senti ou presque des peintures quem’avait montré Pablo Amaringo, repré-sentations de ses visions.Après discussion, je décide de décalermon départ d’un jour et demande si l’onpeut faire une cérémonie mardi soir etdans ce cas, je pars mercredi matin pourLima afin d’y arriver le lendemain.C’est une bonne idée. Il passera donc àmon hospedaje, lundi matin, avec unbreuvage et un seau. Et oui, nettoyer veutdire faire sortir les impuretés…Nous sommes donc Samedi 13 juin,

7h. Je rentre dormir à mon hospedaje.14h30: je retourne chez Jheff pour dis-cuter et parler avec les artistes del’association Amazonian Onanyati. Leplus jeune a 17 ans et il faut savoir que denombreux artistes de l’association sontautodidactes, ce qui est assez impres-

sionnant lorsque l’on voit le coup demain qu’ils ont. Deux sont à l’école d’artde Pucallpa et préparent leur projet defin d’étude. La peinture d’après-visionn’y est pas vraiment bien vue, alors ilsfont un travail plus académique danslequel ils ont réussi à insérer le thèmechamanique.En France, l’association est soutenuepar l’association Luzin’art en Essonnequi présente le travail ainsi :Des artistes Amazoniens : sculpteurs etpeintres indigènes ont choisi de réinves-tir leur culture dans un travail de créationen liaison avec les enseignements tradi-tionnels issus des plantes sacrées.Ils ont sculpté les légendes, peint lesvisions et donné à voirl’invisible au profane.Leur projet artistique encours vise à financer unsoutien aux peuplesd’Amazonie afin qu’ilspuissent protéger leurhabitat naturel tout en entirant profit.Les artistes cherchent desmusées, des sallesd’expositions à Paris oudans une grande ville,capable de présenter leurtravail et leurs intentions.Un documentaire est en cours de réali-sation ainsi qu’un site internet. Le documentaire est maintenant ter-miné, je l’ai vu, il est très intéressant. Sivous avez la possibilité de les appuyer jevous y invite, car en plus d’être de grandsartistes, ce sont des personnes excep-tionnelles.

20h: après avoir travaillé, je sors prendrel’air. Je croise un des cousins de Shirley.Nous passons un moment ensemble etlorsque je lui dis que je pars visiter lacommunauté le lendemain, il merépond quelle bonne idée, je peux venir.Oui, pas de problème.Dimanche 14 juin, 9h30 : on se retrouveet partons en direction du port. Mince, lepremier bateau à partir est dans 1h30..Bon, allons-y en voiture, et on rentrerapar le fleuve.Nous allons attendre un colectivo, taxiscollectifs. Shirley me regarde, achète moiune boisson, j’ai soif. Je bloque un ins-tant, la fixe dans les yeux, hésite, poursavoir si c’est une blague ou si elle meconsidère comme une machine à sous,puis lui répond que j’ai de l’eau et luitends ma bouteille.Le colectivo arrive, on monte. Le chauf-feur, le cousin et une de ses amies sont àl’avant. Iris, Shirley, une autre personneet moi à l’arrière. On est un peu serré,mais ça va.Ça me turlupine ce qu’elle m’a dit. Pen-sent-ils que je vais tout payer ? Moi plusquatre autres ?Il y a vingt minutes de voiture jusqu’à lacommunauté, ce ne sont pas lesmeilleures que je passe.11h20 : nous arrivons. Les portes de lavoiture s’ouvrent, ils descendent. Per-sonne ne sort d’argent et n’en fait mêmepas le geste… Oui, c’est bien à moi depayer. Je l’ai mauvaise, très mauvaise…

A suivre...

Chez Jehf, séance d’Ayahuasca

Peinture de Juan Carlos Taminchi Berreras, association Amazonian Onanyati, Pucallpa, Pérou

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1.1.-MIGRACIÓN. CAUSAS YCONSECUENCIAS

La migración, entendida como movi-miento de lugar, cambio de morada oresidencia, es un fenómeno consustan-cial al ser humano. En unos casos pornecesidad y en otros casos por voluntad(frecuentemente por la combinación deambas), el hombre, desde su apariciónsobre la Tierra, se mueve, se desarrolla,se transforma y, en este transformarse,transforma también la historia o socie-dad y, en menor medida, el entorno geo-gráfico en el cual vive.El errantismo y el nomadismo fueronlas expresiones más conocidas, en losprimeros tiempos de la civilización, dela hoy denominada migración. Estasacciones estuvieron relacionadas con esaactividad económica denominada reco-lección, por un lado, y, por otro lado,con la curiosidad por conocer y descu-brir qué hay más allá de la simple vistaque normalmente anima a los sereshumanos de todas las culturas y civiliza-ciones hasta hoy conocidas.El descubrimiento posterior de otrasactividades económicas, principalmentela ganadería y la agricultura, determina-ron una disminución momentánea en elmovimiento de las poblaciones primiti-vas. Acción que se acentúa con la apari-ción de la propiedad privada sobre losmedios de producción, la misma que vade la mano con la aparición de la familiay todas sus consecuencias y característi-cas. Lo último determina, principalmen-te, el sedentarismo o la residencia fija,característica que se mantiene, en granmedida, hasta hoy.Con la aparición de los grandes impe-

rios y las religiones sistematizadas y luegooficializadas, esta acción de desplaza-miento de la población se acentuó.Además de los desplazamientos indivi-duales y familiares que tienen un carácterespontáneo, se dieron los desplazamien-tos masivos y organizados que corrierona cargo de esos dos entes históricos: ElEstado y la religión, convertida paraentonces en Iglesia.Estos desplazamientos poblacionales,en comparación con los movimientos delos tiempos modernos, fueron muy len-tos, por un lado, y muy rápidos, por otro.Lentos, por los medios utilizados y rápi-dos, por los fines perseguidos. Mientrasque los movimientos actuales, normal-mente, son todo lo contrario. Esta com-binación de medios y fines ha sido unaconstante en los movimientos poblacio-nales desde la aparición del hombre enla escena de la historia hasta nuestrosdías.Algunos estudiosos, limitándose básica-mente a lo sensorial del fenómeno,incluso llegan a afirmar que la migraciónes la causa determinante del desarrollohistórico. El sociólogo norteamericanoSamuel Huntington (1940- ) es uno deellos cuando sostiene: “Si la demografíaes el destino, los movimientos de lapoblación son el motor de la historia. Enlos siglos pasados, las diferentes tasas decrecimiento, las condiciones económi-cas y las políticas gubernamentales pro-dujeron migraciones masivas de griegos,judíos, tribus germánicas, escandinavos,turcos, rusos, chinos y otros pueblos. Enalgunos casos, estos movimientos fueronliens et cultures latines 5

ImmigrationSociétésJosé Ramírez Agurto, nació en Huancayo-Perú, y es sociólogo por la Universidad Nacional del Centro del Perú.Persiste en seguir investigando sobre este controvertido y tan actual fenómeno de la migración para poder arribar aconclusiones y sugerencias que asuman concretamente la posibilidad de buscar que el migrante pueda ser integra-do en una sociedad por ser un derecho del ser humano y no el privilegio de unos pocos.Vive desde 1990 en Alemania, y a la par, gracias a su talento musical ha recorrido por diferentes países difundiendoel folklore latinoamericano con su agrupación ILARECK (Amanecer). Actualmente tiene discos compactos plas-mados y es autor de varios temas de profundo contenido social.

La importancia de este trabajo científico pone su cimiento concreto en la migración en gene-ral, que es consecuencia de muchos factores; es palpable que en los últimos treinta años se ha incrementado acelerada-mente y se viene convirtiendo en un problema para la mayor parte de Estados y gobiernos del planeta. Esto tiene que vercon la migración interna en el denominado Tercer Mundo y la externa, de esta parte, hacia el llamado Primer Mundo.

Además su importancia estriba en que el migrante, en el primer Mundo se encuentra en una doble situación. Por unlado, con su actividad económica en el país receptor contribuye al movimiento del mercado. Y por otro lado en nivel

socio-cultural vive marginado y hasta en niveles de desintegración.

LAS RATAS EMIGRANTES

“Existen dos especies de ratas:Las famélicas y las hartas.Las hartas se quedan, contentas, encasay las famélicas emigran.Recorren muchos miles de millas,anda sin tregua ni pausa,sin cejar en su marcha obstinada,ni el viento ni la lluvia las detienen.Trepan incluso a las cumbres másaltas,cruzan a nado los lagos;algunas se desnucan y se ahogan;las vivas dejan atrás a las muertas.(…)Las ratas emigrantes ¡ay!Están ya cerca de nosotrosavanzan, oigo sus silbidosy su número es legión.¡ay de nosotros! Estamos perdidos.Ya las tenemos a las puertas.El alcalde y el senado muevenLa cabeza, desconcertados.Los ciudadanos toman las armas,Los curas tocan las campanas.Peligra el santuario del estadomoral: la propiedad.”Henri Heine,Poemas (1855)

Migración, Modernidad y Perspectivas

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relativamente pacíficos, en otros, bastan-te violentos. Sin embargo, los europeosdecimonónicos fueron la raza maestraen lo relativo a invasiones demográficas.”(Huntington 1997; 235 y 236). El sedentarismo o residencia fija es labase para la aparición de los villorrios,los mismos que dan paso a las aldeas yluego éstas a los pueblos que son elpadre y la madre de las ciudades, que ter-minan, algunas de ellas, trasformadashoy en las grandes urbes donde se agluti-nan millones de seres humanos. Esteúltimo fenómeno es la expresión mayorde este gran movimiento humano deno-minado migración que tiende, en unaprimera etapa, de manera espontánea, ala centralización y organización pobla-cional.Por lo tanto es la ciudad, en especial lamoderna, hoy las grandes urbes, laconsecuencia mayor de la migración enprimer nivel. El intercambio de expe-riencias culturales espontáneas y deconocimientos científicos planificados esotra expresión que se da al interior de laciudad. Por último, el mestizaje étnico yla complejidad psico-emocional tienen,de igual modo, como escenario princi-pal la ciudad.A ello agréguese el desarrollo de la cien-cia y la técnica (teniendo como base larazón), la arquitectura y el urbanismo,una determinada estructuración y rela-ción familiar, el desarrollo de la psico-logía y la psiquiatría, algunos de losdeportes y formas de recreación y así ten-dremos un cuadro más o menos com-pleto de la gran urbe moderna que vienea ser el punto culminante de los movi-mientos poblacionales o migratorios enla actualidad.1.2.-MIGRACIÓN MODERNA Y

CIUDADPara designar los tiempos modernos,con algunas ligeras diferencias, hayconsenso al interior de los especialistasen el tema. Las migraciones modernashabrían comenzado a fines del siglo XVy comienzos del siglo XVI. Los hechosque lo evidenciarían serían el Renaci-miento, el descubrimiento de las IndiasOrientales y Occidentales y la Reformaprotestante en la zona norte de Europa.Pero en el fondo de los hechos, cuandohablamos de modernidad, la entende-mos como sinónimo de capitalismocomo sistema histórico. Este sistema, encualquiera de sus diferentes etapas, secaracteriza por descansar, en el planoeconómico, en la producción de mer-

cancías, el desarrollo del mercado, elnuevo rol asignado al dinero, la acumu-lación de capital, el consumismo, etc.Por un lado, condicionado por este pro-ceso económico, la centralización de losgrupos o sectores sociales dispersos esuna condición para su mejor desarrollo yfuncionamiento, de ahí que aparecen lasciudades libres con sus características yaconocidas, destacando en ellas la organi-zación político-social denominada Esta-do-nación. Y en el plano filosófico, elpapel de la razón, que luego dará paso alracionalismo y todas sus consecuenciasexpresadas en la ciencia, la tecnología ylos denominados inventos.Por otro lado, en directa relación con loanterior y condicionado por la fantasía,ocurrieron los grandes descubrimientos,como el de las Indias Orientales y lasIndias Occidentales, ya mencionado,con esta acción se conoció por primeravez el planeta Tierra. Ello implicó el tras-lado masivo de millones de personas yano sólo del campo a la ciudad o de unaciudad a otra, sino también de unoscontinentes a otros. A partir de esa etapacomenzó el principio del fin de los puris-mos culturales. Las etnias aisladascomenzaron un proceso de mestizaje.Las religiones se influenciaron unas aotras y con esa acción dieron origen alsincretismo religioso, etc.Pero así como la ciudad, con su actorcentral el ciudadano, se convirtió en elcorazón de la civilización capitalista, deigual modo la ciudad devino el punto deencuentro de las dos grandes clasessociales que aparecían en la sociedadmoderna como consecuencia del siste-ma que emergía: la burguesía y el prole-tariado y todas sus implicancias yrelaciones ya conocidas. Como pruebade lo último, sólo habría que recordarlos duros tiempos de la acumulación ori-ginaria de capital en Europa y su rol en laconfiguración de las grandes ciudades.Es por ello que a mediados del sigloXVIII, evidenciando una de las carasoscuras de las grandes urbes, en su pro-ceso de migración-centralización en estecontinente, Jean-Jacques Rousseau(1712-1778), con la sensibilidad huma-na que lo caracterizó, escribió: “Por esotodo fluye a Roma, a París, a Londres.Siempre es en las capitales donde lasangre humana se vende a mejor pre-cio.” (Rousseau 1995: 618)Lo que el ginebrino sólo avizoró muylúcidamente en su tiempo fue entendi-do cabalmente dos siglos después, entreotros, por el ensayista mexicano Octavio

Paz (1914-1996). Él, relacionando granurbe y burguesía, dice: "La ciudad esnuestro mundo y nuestro trasmundo: ellugar donde los hombres, por sus actos,o se salvan o se pierden. Estas palabrastenían antes una dimensión ultra terre-na; la modernidad las desacraliza y lasinserta en la urbe. Son la vegetación a untiempo monstruoso y geométrico de losnuevos poderes: la razón, la duda, el aná-lisis. La burguesía es la primera clase queasume el poder no en nombre de unprincipio intemporal o inamovible sinoen nombre del cambio mismo: la razóncrítica. Por eso es también la primeraclase que no puede fundar su legitimi-dad: la crítica es su razón de ser, su armade combate y su llaga incurable." (Paz1990: 302).Además de la masiva centralización dela población en las grandes metrópolis,es la etapa en que se inician a nivel exter-no los fenómenos del colonialismo, elimperialismo y la mundialización. Fenó-meno, este último, que en las últimas dosdécadas se ha dado en llamar globaliza-ción. En directa relación con lo anterior,otra de las consecuencias de la migraciónmoderna (tanto interna como externa)en el plano socio-cultural, nivel en el cualdesarrollamos nuestra investigación, esla de haberse concentrado en cinco oseis puntos del planeta al 80 % de lapoblación. Destacando la zona donde seubica China, India y Japón, seguida porEuropa y América del Norte o Nor-teamérica. Como consecuencia de ello,la formación de algunas grandes metró-polis (Shangai, Nueva Delhi, Tokio,Londres, París, Ciudad de México,Nueva York) confirmaría lo que Rous-seau en el siglo XVIII y Paz en el sigloXX anotaron.La gran metrópoli como alma máter delcapitalismo, tiene sus bemoles, una deellas es que concentra y une a la granmasa migrante. Hay que aclarar que losune en la forma, pero en realidad en elfondo los divide. Y esto tiene que ver conlas leyes que la rigen para su mejor fun-cionamiento como sistema económico,político, social y cultural. El sistemanecesita potencializar, hasta nivelessobrehumanos, el papel del individuo,el individualismo, el racionalismo y elconsumismo, etc. Acción que tiene sucontraparte en el aislamiento, la soledady la depresión, característica común delos pobladores de las grandes urbesindustrializadas.Además de lo descrito párrafos arriba, elsociólogo Julio Roldán (1952- ) en su

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Immigrationlibro América Latina. Democracia ytransición a comienzos del tercer mile-nio, ve otros problemas en las grandesconglomeraciones urbanas. Leamos loque escribe: “El crecimiento acelerado ydesmesurado de la población urbana notiene su correlato, en velocidad y en pro-porción, en el crecimiento de la indus-trialización. En consecuencia el aumentodel número de obreros o proletarios esevidente; pero es casi insignificante encomparación al de los excluidos, losinformales, los marginados, los achora-dos, los ilegales, que vendrían a ser, deuna manera bastante peculiar, el ejércitoindustrial de reserva que el capitalismoperiférico, atrasado, burocrático, tercer-mundista, necesita.” (Roldán 2005: 171 y172)Lo dicho respecto a los denominadosinformales, marginales, achorados,excluidos, no sólo se da en las grandesciudades del atrasado Tercer Mundo,que son analizadas por el estudioso arri-ba citado, sino también en las ciudadesdel Primer Mundo, como Hamburgopor mencionar un caso. En Alemaniavienen a ser los llamados ilegales, los sinpapeles; la expresión popular más cono-cida y con un tinte racista es “los queviven a lo negro”. Según datos no ofi-ciales, este sector bordearía los diez mil-lones de personas a comienzos del año2007 en este país.El sociólogo Roldán, en su libro ya cita-do, dice que estas grandes ciudades queengullen al resto del país y, a la vez, elresto del país toma posesión de ellas, con

su dinámica económico-social, su urba-nismo y su interés cultural, genera unconjunto de cambios en la mentalidad yel alma del hombre común. La gran ciu-dad es hechura del capitalismo, es hijade la burguesía y el espacio fecundo parael desarrollo de la modernidad. La ciu-dad es tiempo del Ser enfrentado almundo, diría Hegel, o el Ser arrojado enel mundo, diría Heidegger.A pesar de vivir rodeado de muchosvecinos, el hombre vive en soledad. Apesar de la comunicación permanente,el hombre se ensimisma y se aísla. Apesar de las diversiones y el esparci-miento, el hombre sólo sonríe (no haylugar para la risa y menos para la carcaja-da). La gran urbe es sinónimo del Seranónimo. La ciudad es la hija, pero almismo tiempo la madre de la razón. Esla razón objetivizada. El Ser enfrentadoo tirado en el mundo hace o encuentraen la gran metrópoli su paraíso y a la vezsu purgatorio.La gran urbe moderna, sin abandonartotalmente a las antiguas, genera su nuevareligión: el consumismo. Genera susnuevos iconos y mitos: los actores decine, los cantantes, los deportistas, losescritores. Genera su nueva simbología:las marcas de ropa, de zapatos, de autos,etc. Con la única diferencia de que estossímbolos y mitos no están muy lejanos,son posibles de tocar con las manos;pero a la vez son circunstanciales y pasa-jeros.Además, en las grandes ciudades dondereina y gobierna la compra y venta de

mercancía, todo tiene su precio. La ideo-logía-cultura dominante ha mercantiliza-do todas las necesidades y en todos losniveles el consumo es lo que orienta lavida de la población. Esta mercantiliza-ción-consumo comienza en lo sagrado ytermina en lo sexual. Este círculo viciosoexacerba, en función del consumo-ganancia, todos los instintos y a la parerotiza todos los productos.En estas grandes ciudades, las almas ylos espíritus se han entregado a lasmanos de los psicólogos y de los psi-quiatras, en la medida que el ser en sí ypara sí ha ganado la guerra al ser paratodos, por un lado. Por otro, la fantasíay la imaginación trabajan verdades psi-cológicas y mentiras reales. Es el tiempode la novela moderna y los nuevosdioses, los deicidas, a decir de G.Luckács y M. Bajtin.Luego de haber descrito someramentealgunas de las principales característicasde las grandes urbes modernas, nosadentramos en un tema actual, que noviene a ser sino la consecuencia naturaldel desarrollo y profundización del capi-talismo, nos estamos refiriendo al neoli-beralismo. Los mentores del gran capitalmundial (teniendo como punta de lanzaa EE. UU) utilizando este método, pre-tenden llevar las pautas y leyes del siste-ma hasta los rincones más alejados delmundo y así dar algún sentido práctico ala metáfora de la Aldea global. En otraspalabras, la mundialización para unos ola globalización para otros.Continuará...

www.agc-creations.fr

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Vivre mieuxSanté

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No dejes que el estrés controle tu vida:Domínalo TU

odo empieza en la década de1930, cuando el Doctor enMedicina y Química de origenaustro-húngaro Hans Selye descubre através de estudios e investigaciones quetodos los enfermos a quienes estudiabaindistintamente de la enfermedad pro-pia, presentaban síntomas comunes.Este conjunto de trastornos psicofisioló-gicos fueron denominados por Seylecomo “Estrés”.Pero… ¿qué cosa es realmente elestrés? ¿Cuáles son estos trastornos queSelye se refiere? ¿Qué siento cuandotengo estrés? ¿Es normal o anormalsentirlo? ¿A todos nos pasa? ¿Cuántostipos de estrés existen? El tenerlo o notenerlo ¿afecta mi vida? ¿Qué puedohacer para erradicarlo? Selye fue el responsable de acuñar elvocablo estrés. La palabra deriva delinglés “stress” = “fatiga” y es básicamen-te una reacción fisiológica del organis-mo en el que diversos mecanismos dedefensa juegan un rol para enfrentar una

situación que se percibe como amena-zante o de mucha demanda. En reali-dad, es una respuesta natural ante unaamenaza, necesaria para la superviven-cia. Es perfectamente normal sentirestrés. La diferencia en cuanto a síntomas yconsecuencias en nuestras vidas radicasi el estrés es mantenido por corto tiem-po, mediano o largo plazo. Los mecanismos usados por el cuerpohumano frente a una amenaza a cortoplazo son varios, predominandosiempre el sistema nervioso, comotaquicardia, liberación de adrenalina ycortisol y vasocontricción entre otros.Estos trastornos retornan a su normali-dad cuando la situación amenazantedesaparece, pero desafortunadamenteesto no siempre suele suceder.Mantenido el estrés por un medianoplazo, el daño es mucho mayor, no solodesgastamos las reservas del organismosino que puede producir variadas pato-logías que tienen repercusión en el bie-nestar del ser humano como ansiedad,depresión, insomnio, inmunodefi-ciencia, trastornos de ansiedad,dolores musculares, dolores decabeza y trombosis entre otros.

El estrés crónico o de largo plazotiene consecuencias aun mayorescomo provocar hipertensión arte-rial e incrementar colesterol en lasangre.Pero no hay que alarmarse puesno todo el estrés es malo. Lapeculiaridad del estrés, es quealgunas formas son buenas, mien-tras que otras son malas. Mencio-namos antes el estrés en cuanto asu duración. Ahora hablaremosdel positivo y negativo o bueno ymalo y de su volumen.

Existen básicamente cuatro tipos deestrés. “Eustrés” es el estrés positivo ysu duración casi siempre es corta. Estetipo incrementa nuestra actividad física,entusiasmo y creatividad. Este tipo posi-tivo de estrés se ve aumentado cuandonuestra motivación e inspiración estánconectadas.El “Distrés” o estrés negativo se pre-senta cuando hay constantes reajustes oalteraciones en cualquier actividad. Eldistrés crea sentimientos de incomodi-dad, molestia o inquietud además detodos los trastornos psicofisiológicosantes mencionados. El “Hiperestrés” se refiere a la cantidadde estrés que un individuo soporta.Muchas preocupaciones al mismo tiem-po. En pocas palabras: estrés negativoen alto volumen. Lo contrario a este sería el “Hipoes-trés” cuando la cantidad de estrés buenoo malo casi no existe. No hay muchaspreocupaciones, pero tampoco haymotivaciones y conlleva a la depresión.Mayormente gente que realiza tareasrepetitivas rutinarias sufren de “hipoes-trés”.Debemos mencionar y enfocar comoun tema aparte el estrés del trabajo oestrés laboral pues es un problema cre-ciente que conduce a un sin número dereacciones nocivas fisiológicas y emo-cionales que amenazan la salud de lostrabajadores y la salud de la propia orga-nización. Principalmente se da cuandolas exigencias laborales superan las capa-cidades del trabajador o cuando estasexigencias implican demandas fuertespara el individuo agotando sus recursosde afrontamiento. El estrés laboralnegativo se desarrolla de diferentesmaneras como sobrecarga de trabajo,turnos de noche, exposición a riesgos,inseguridad en el trabajo, demandas,relaciones interpersonales con lossuperiores o compañeros, reduccionesde personal, una sola fuente de ingreso.Hay que saber diferenciar el desafío oreto o trabajar bajo presión. En estecaso se produce el estrés positivo.Aquellos que tienen la habilidad desobresalir cuando trabajan bajo crisis ocontra el reloj, lo hacen por el efecto

T

Gia Mateo, Comunicadora de profesión y de convicción. Licenciada enCiencias de la Comunicación de la Universidad San Martin de Porres. Estu-dios posteriores en ESAN y en la Universidad de Cypress en California,EE.UU. Colaboró en la redacción de la Revista Medio de Marketing. Pro-ductora y Editora de diversos programas de TV del Canal 4TV y Canal 7TV.Relacionista Pública del Centro Camaldoli en Napoli, Italia..Actualmenteradica en el sur de California donde desempeña la labor de Administrado-ra de Contratos para Aerofit Inc. en Fullerton, California. Creadora y cola-boradora del Programa Virtual de Transformación Personal "Oracles ofTruth" (Oráculos de Verdad), un Centro Comunitario de aprendizaje virtualsin fines de lucro. Partidaria de Campañas Ecológicas y Orgánicas.

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SantéVivre mieuxpositivo del estrés. El desafío nos vigo-riza psicológica y físicamente, tambiénnos motiva a aprender habilidades nue-vas y nos permite llegar a dominar nues-tros trabajos. Algo que podemosconstatar, es que: Cuando nos encon-tramos con un desafío, nos sentimosrelajados y satisfechos. Un trabajo sinestrés puede parecer estupendo, perono es tan bueno al final. Si no hay unmínimo de estrés y nos referimos al“Eustrés” o de activación, el trabajo sepuede tornar aburrido y poco estimu-lante, y acabar siendo, paradójicamenteestresante: “distrés”. En conclusión, losexpertos afirman que el desafío es uningrediente importante del trabajo sanoy productivo.Es indiscutible que para vencer elestrés, hay que tener fuerza de voluntady ánimo optimista "porque los quelogran son los que deciden lograr". Esevidente que "renovarse es vivir" y escierto que cuando hay un fuerte hálitoganador, nuestra opción mejora ostensi-blemente. El notable Dr. Maxwel Maltzpuntualiza: "Hay mucho en la vida quees producto de la determinación". Yoestoy totalmente convencida de esto.Recordemos que las cometas siemprese elevan contra el viento, y es así quedebemos imprimir vida a la vida, espe-cializándonos en saltar los obstáculos ysortear el viento en contra que ésta nospresenta, ya que lo contrario sería sabo-tearnos a nosotros mismos.Sacúdete del estrés y decídete a contro-larlo de una vez. Despójate de aquellavida insegura y tambaleante. Hay reac-ciones normales a las que instintiva-mente respondemos cuando nosenfrentamos a una situación amenazan-te. Eso es lo normal eso es natural.Pero depende de nosotros si después deesta fase inicial, continuamos a vivir amedias y nos generamos más preocupa-ciones en vez de generar soluciones. Elestrés está producido en la mente ypuede ser vencido. No permitas que seapodere de ti; que te venza. Productodel estrés, se origina que el cerebro seponga en guardia, la reacción del cere-bro es preparar el cuerpo para la accióndefensiva, el sistema nervioso se des-pierta y las hormonas se liberan paraactivar los sentidos, acelerar el pulso,profundizar la respiración y tensar losmúsculos. La respuesta se proclamabiológicamente. La filosofía pragmática de " vida positi-va" debe estar basada en el mejoramien-to continuo y éste, supone un aprender

diario a manejar los fracasos y adminis-trar los éxitos. Dejar de hacer lo que nodebes hacer y hacer lo que debes, ese esel punto. ¡Así se reafirma tu seguridad!Las personas que optan por ser positi-vas usualmente destierran más fácil-mente el estrés negativo de sus vidas quelas personas pesimistas, negativas o conun bajo autoestima. Individuos positi-vos poseen fuerza cinética arrolladora yenvuelven su quehacer diario en unasuerte de "ansiedad positiva" que sobre-pone las inevitables dificultades. Estaspersonas con positivismo son luchado-ras, incansables y concentran sus fuerzasy energías positivas en conseguir susobjetivos en vez de concentrar susenergías en esa especie de diáspora acti-tudinal que produce solo inestabilidademocional y negativismo. Como todadeterminación necesita un manteni-miento, la idea es no dejar de nutrirconstantemente nuestros pensamientosvictoriosos que tanto tiene que ver connuestra imagen y realizaciones. ¡Deséa-te vehementemente éxitos diarios! pien-sa que todo alcance se inició con unintento. Tu inteligente estrategia y elacerbo matiz de tu esfuerzo y decisión,tendrán su recompensa.Una vez que reconozcas que estásestresado, hay diversas terapias o técni-cas que puedes poner en práctica comocambiar tus hábitos generales y mante-ner tu cuerpo hidratado, el agua ayuda abajar los estados de ansiedad y estrés.Duerme lo suficiente para reponer laenergía necesaria para el normal fun-cionamiento del organismo. Pero haydos terapias que son las más impor-tantes para vencer el estrés. Uno la acti-vidad física y dos la relajación omeditación. Cuando realizamos cual-quier tipo de deporte o actividad física lahipófisis, una pequeña glándula es esti-mulada, produciéndose endorfinas enel organismo estas producen un efectosedante similar a los que genera la mor-fina. Es por esto que las endorfinas sonconsideradas nuestros opiodes endoge-nos, es decir producidos por nuestroorganismo. Las endorfinas son capacesde disminuir la ansiedad y estrés. Otra terapia son los ejercicios de relaja-ción. El más fácil de todos consiste eninhalar (inspirar) lenta y profundamentepor la nariz y luego exhalar (expirar) len-tamente por la boca. Hazlo dos veces ocuatro veces. Otro ejercicio que puedeayudarte si tienes problemas para conci-liar el sueño es el siguiente: Tensa y rela-

ja los músculos empezando por losdedos de los pies, los tobillos y las pan-torrillas, esto te ayudará. La práctica regular de la meditación espara otros la técnica más eficaz. Hacealgunas décadas Herbert Benson de laUniversidad de Harvard a través devarias investigaciones llegó a la conclu-sión que la meditación disminuye losmecanismos cerebrales vinculados conel estrés. La meditación es una fuentede emociones positivas incrementandola función del lóbulo frontal izquierdo ala vez que reduce el hemisferio opues-to: derecho. Estudios neurocientíficoshan comprobado que los individuosque usan más el lado cerebral izquierdoeliminan más rápidamente las emo-ciones negativas, como las preocupa-ciones, el miedo y la ira.Pero lo más importante para vencer elestrés es la motivación personal, GabrielGarcía Márquez tiene un pronuncia-miento que me emociona: " Los sereshumanos no solo nacen cuando susmadres los alumbran, sino que necesi-tan parirse a si mismos una y otra vez".De esta extraordinaria expresión pode-mos deducir una clara invitación a nues-tro relanzamiento, a ejercer ese procesode reingeniería humana que tanto nece-sitamos, es decir, ese reinventarnos y eneste caso el tener la valentía de hacerparir tu cambio. Esta vida hay que vivirla a plenitud, dalea ella lo mejor que tengas y vive mejor.Quiérete a ti mismo y date oportuni-dades y si te equivocas recomienza, si teequivocas de nuevo recomienza denuevo, no te preocupes o estreses si teequivocaras por tercera vez, motívate ycree en ti y vencerás las preocupaciones,el negativismo, el pesimismo y frustra-ción que son aliados del estrés. Son envano los consejos para erradicar el estréssi no hay motivación, si no hay empuje,sino tienes fe en ti mismo. Termino con un extracto de un poemade Pablo Neruda "El triunfo del verda-dero hombre surge de las cenizas delerror. Nunca te quejes del ambiente ode los que te rodean hay quienes en tumismo ambiente supieron vencer. Lascircunstancias son buenas o malas segúnla voluntad o fortaleza de tu corazón.”

Gia Mateo

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Culture

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HistoireMatthieu Salade,un francés en Lima-Perú (1570)

ateo Salado es uno de los restos arqueológi-cos limeños más importantes que nos que-dan. Forman una preciosa muestraarquitectónica. Fue un bello e imponentepalacio lo formaban, el conjunto, cinco huacas con lahabitual y familiar apariencia de montículos de murallones yparámetros de lo que fuera en tiempo del incario la residenciadel jerarca imperial que administraba todo el valle de Lima,desde la rivera marina a las estribaciones andinas.Son cinco recintos, hoy tienen una maltrecha apariencia, dosde ellos grandes y aún hoy tienen una imponente aparienciaseguramente la residencia misma, y el administrativo o tem-plario; y los tres, de tamaño menor, que probablemente eranlos de servicios, depósitos, etc. "Es uno de los conjunto másimportantes de la zona urbana y que más se prestaría para serreconstruidos y usados como Museo de Sitio de gran atracciónturística en plena zona urbana”.

¿De donde le viene al prehispánico conjunto el nombre deMateo Salado?

Se trata de la españolización del nombre de un insólitofrancés: Matthieu Salade, especie de ermitaño que sentó susreales en esas ruinas como solitario ocupante, allá por los años1570. No se sabe cómo ni por qué, ni desde cómo ni por qué,ni desde cuando se encontraba ahí. Parece que era un personaje inquietante para la coloniaespañola. Solía vestir un tosco sayal de capuchino mendican-te, sin pertenecer a la Orden, y recolectaba hierbas medici-nales, que entregaba a su intrigada clientela a cambio delimosnas.

Es probable que fuera algo nigromante; pero de cierto es queera buscador de "tapados", pasión que encandiló y encandilatodavía tantas imaginaciones criollas, pues lo más visible de suactividad diaria era perforar las ruinas con forados y excava-ciones. Lo cierto es que terminó atrayendo sobre sí la atencióndel Santo Oficio que encontró en su conducta “casuales” deproceso y lo acusó del delito de herejía, lo cual en esos tiempossignificaba la muerte en la hoguera.El domingo 15 de noviembre de 1573 la inquisición inició enLima su tresicular serie de "Autos de Fé". Al infeliz Salade, lecupo la triste suerte de formar parte del primer grupo de seisreos que fueron quemados vivos y en "cuerpo presente" en laplaza Mayor, presidido por el inquisidor Gutiérrez de Ulloa ysu colega Cerezuela.Si bien el recuerdo de Matthieu Salade ha desaparecido de laconseja popular con su secuela de búsqueda, hierbajos, magia,conjuros y quemazón final, su nombre españolizado en MateoSalado, ha sobrevivido al borrón del tiempo y nomina todavíaese lugar, testigo de sus afanes de buscador visionario.

Carmen Ponce de Mirbach, nacida en Los Organos (Piura) -Perú en Julio de 1959hizo sus estudios secundarios en el Colegio Miguel Grau en Lima. Licenciada en

Turismo y Hotelería por la Universidad de San Martin de Porres de Lima.Viajo a Alemania país donde reside desde 1990.

Colaboro con la Agencia Latinoamericana de Servicios Especiales de Información( ALASEI-Bonn). Actualmente da clases de español en la Universidad del Pueblo en

la ciudad de Tréveris. M

Vista frontal de las ruinas de Mateo Salado

Las llamadas huacas de Mateo Salado

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Culture Survival France

e gouvernement péruvien a annoncé qu’un poste decontrôle destiné à protéger les Indiens isolés sera renduopérationnel dès le mois prochain.Le poste avait été construit sur le rio Las Piedras, dans unerégion reculée du sud-est du Pérou où vingt et un Indiens isolésy avaient été photographiés en septembre 2007.Ce poste de contrôle est destiné à empêcher les bûcherons etautres étrangers d’accéder à la réserve Madre de Dios spécia-lement créée en 2002 pour protéger les Indiens isolés. Le rioLas Piedras est l’une des principales voies d'accès à la réserve.Le poste sera tenu par les Indiens locaux et sera équipé deradios pour communiquer avec la police de Puerto Maldona-do, la plus grande agglomération de cette région d'Amazoniepéruvienne. Ce poste est le résultat de la collaboration entre ledépartement péruvien des affaires indigènes, INDEPA, et laFrankfurt Zoological Society.

Les Indiens de la région ont été entraînés à détecter la pré-sence dans la réserve de bûcherons ou autres exploitants illé-gaux’, a déclaré le président de l'INDEPA, Mayta CápacAlatrista. ‘L'objectif est d'établir quatre postes dans la régioncomprise entre les rios Acre, Las Piedras et Tahuamanu, quisont les principales voies d’accès à la réserve’.La réserve s'étend sur 850 000 hectares et est habitée par aumoins deux groupes d'Indiens isolés, dont l'un est connu sousle nom de Mashco-Piro.

L

e président de la FUNAI, ledépartement des affairesindigènes du gouvernement bré-silien, a déclaré que la reconnaissancedes droits territoriaux des Guarani dansl'Etat du Mato Grosso do Sul était ‘unequestion d'honneur’ et l'un des princi-

paux défis que son département devaitrelever.Marcio Meira, président de la FUNAI,a ajouté que la communauté internatio-nale observait avec attention l’attitude duBrésil vis-à-vis des Guarani et qu'il était

inadmissible qu'ils viventdans une telle ‘précarité’.Depuis des décennies, les Guarani ontété expulsés de leurs terres et confinésdans des réserves surpeuplées où domi-nent la violence et la malnutrition. Ilsdétiennent le triste record de l’un desplus hauts taux de suicides au monde.Selon le CIMI, une organisation catho-lique brésilienne de défense des droitsdes peuples indigènes, le tauxd'homicide chez les Guarani-Kaiowáétait, l'an dernier, vingt fois plus élevé quecelui de l'Etat de São Paulo et 32 Guara-ni-Kaiowá au moins se sont suicidés. LesGuarani disent que les suicides et la vio-lence sont le résultat d'un manque deterre et d'une perte d'espoir en l’avenir.Selon Anastacio Peralta, porte-paroleguarani-kaiowá, ‘[pour la société brési-lienne] une vache est plus importantequ'un enfant indien et le soja plus qu'untronc d’ipé’.L'an dernier, le bureau du procureurgénéral responsable de la garantie desdroits des peuples indigènes a ordonné àla FUNAI de mettre en place un pro-gramme de reconnaissance des droitsterritoriaux des Guarani. Six groupes de

travail ont ainsi été formés dans le but dedélimiter et de reconnaître officiellementles terres guarani.Les groupes de travail ont commencéleurs activités en août 2008, mais unecoalition de propriétaires terriens, decolons et de politiciens locaux a lancéune campagne anti-indienne et plusieurspropriétaires terriens ont refusé decoopérer. Confrontés à des manœuvrescroissantes d’intimidation, les groupes detravail ont dû abandonner leurs activités.Il y a quelques jours, le président Lula aenvoyé dans la région le Général JorgeArmando Félix, ministre chargé de lasécurité institutionnelle, pour rencontrerles politiciens locaux, les propriétairesterriens et les Indiens afin d’établir unrapport sur la situation. Les groupes detravail devraient reprendre leurs activitéscette semaine.

Les droits territoriauxdes Guarani “unequestion d'honneur”

LIndiens isolés photographiés le long du rio Las Piedras, 2007.© © Heinz Plenge Pardo / Frankfurt Zoological Society

Un homme guarani© João Ripper/SurvivalSurvival

45 Rue du Faubourg du Temple75010 ParisFrance

T +33 (0)1 4241 4762F +33 (0)1 4245 [email protected]

Un poste de contrôle pour protéger les Indiensisolés

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LittératureRécit“No hay nada más necesario que una ventana abierta”

Rayuela. Cap. 56- Julio, no estabas muerto?- Estoy- Y?- Y ando metido en esta Chusma, la única que encontré de mi talla. Ya sabes, los nativos no son tan grandes…- Julio, qué alegría! Yo te buscaba ayer en un sueño medio infame, andabas con una gata fumando y riendo por una calle de Montparnasse…

-Es que por ahí vivo- Mejor dicho, por ahí mueres- Eso- Y lo de los cigarrillos, como lo llevas por aquí?- Aquí no los necesito, hay de todo!- Julio, quién lo diría- Nadie, con certeza. Ya conoces el río?- El Tambo? Claro, me encanta!- Ven a conocer a los chicos. Camina con cuidado, en eselado suelen dormir las culebras…- Si, las huelo…

- Este es Moisés: carpintero y cazador, el otro es Philips, pescador y hierbero- Hola!- Como verás, los chicos son desconfiados, pero la culpa es de los colonos, y su viveza- Ya, la criollada limeña…- Un virus de mierda que corroe las buenas costumbres de los nativos- Ya, o sea que son perfectos…- Cómo?- Nada, deja. Julio, qué gusto encontrarte! No extrañas París y los amigos?- La Maga, recuerdo a la Maga y su torpeza…- Y París, no te hace falta París?- Me hace falta la idea de París! Pero aquí estoy mejor, las gallinas tienen mejor humor que los franceses. La Cushma no se ensucia y el Piarentsi es refrescante. Ven prueba un poco, este está recién escupido…- No gracias Julio, no quisiera despertarme- Venga, si no te despertaron los mosquitos…- Es verdad, refresca bastante- Conoces al Tunche?- El nuestro o el de ellos?- Es el mismo- Julio, parece que va a llover- Siempre, pero siempre parece nomás…- Y sigues escribiendo?- Escribo en las rocas, como ellos- Julio, ya caen las gotas- Cierto, ven, te voy a presentar a la gata, debe estar pescando en el Tambo…

Rubén D. Romero PrietoRío Tambo Febrero 2009

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Julio Cortázar en el Tambo

Ruben Romero, Radicado en Europa hace 20 años.Comunicador Social, especializado en producción y realización cinematográfica. Oriundo de la regiónamazónica del Perú, inicia sus estudios superiores con un bachillerato en Hanover Alemania. Posterior-

mente estudia Filosofía, Literatura, Zootecnia e Idiomas en Argentina, Suiza y Perú.Es creador, realizador y productor ejecutivo de Europa Latina TV

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RécitLittératureCarta de ¡Ah! DiosQuisiera que fuese así, todo color sepia. Todo en pausa y servirme de tus besos,

después de mucho tiempo volví a sentir los pésames a una imaginación dubitativa, que oscila entre la realidad y la fantasía.

La realidad que te veo y me sonríes, la fantasía de que algún día seamos una sonrisa. Es todo muy contradictorio, porque nunca pensé representar y estar en su lugar, tú me entiendes, ¿cierto?.

Quizá dirán que irónico, ¿está molesto?, me molesta como repito estar en su lugar, vivir ese abanico de sentimientos presos, pero ya con la maleta de objetivos escalando de la mano que por fin me la diste, por fin pero muy tarde.

Nunca es tarde, eso dicen, quizá esos tipos que piensan mucho o que escriben con diccionario, esos de los que no pienso tomar de ejemplo.

Ahora si es tarde, pero a la vez no, porque nunca habrá fin, no tengo papeles firmados, no tengo algo pendiente, más que mi palabra.

Mi palabra vale más, más que todo, que curioso pero aquí, exactamente aquí, solo existe mi palabra. Ella sabe que la amo, ella también, o quizá duda y lo poco que existe se suicida para pintarse de blanco y negro,

para convertirse en un sentimiento pusilánime, en una viuda,me gustaría retroceder el tiempo y seguir viviendo así, se que mi apariencia no lo demostraba y hoy recién

revisando los exámenes psicológicos me di cuenta que estuve deprimido. Mi villana astucia hizo que ni yo me diese cuenta, pero las cosas se tornaban como tales que conspiraban para ese maltrato.

Ignoraba todo, mi apariencia era trastornada, mi sonrisa actuaba con un recelo que exigía la verdadera felicidad, esa felicidad que se desnudaba poco a poco, pero a la vez se vestía dejando una huella que hacia de mi ocio

una soledad pronunciada. Ese balcón que me acompañaba a contar las estrellas, esas personas que trascurrían y me decían

– Hola, ¿estas bien?-, las personas menos pensadas, ni mis padres podrían darse cuenta, porque siempre fui así,

muy sigiloso conmigo mismo, me azotaba interiormente, ¿Quién que?, era yo.

Yo, pero aunque no lo crean acepto que era feliz, ¿así?, si.Juan Diego Ponce Tuesta, estudiante, cursa el 5to año de secundaria. Próximo estudiante de Ing.Electronica, como amuchos, les parece extraño balancear estos dos gusto que son dos polos opuestos como el de ciencias y literatura. Pero lalectura siempre sobrevive en el libro de problemas y la imaginación los resuelve. Mas que todo para él, el arte de escribir esun hobbie, desde muy pequeño solía invetar historias hasta que un día decidió de crear un blog y poder publicar con masfrecuencia.

www.europalatina.fr

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Informatique

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ConseilsActualizaciones de Microsoft

Que tan importantes son las actualizaciones que ofrece Microsoft a través de

su pagina oficial?egún como tenga configurado su PC, en lo que respec-ta al "Centro de Seguridad", su maquina puede mostrarconstantemente un símbolo de esta forma : en la parteinferior derecha de la barra de herramientas, en la zona lla-mada "Icon bar". Para empezar, si este símbolo aparece, esporque la PC esta configurada para buscar las actualizacionesde Microsoft en forma automática.

En su mayoría, los productos de Microsoft, tienen fallas oerrores de programación o los también llamados "huecos". Esnormal, considerando que los productos de esta empresaestán desarrollados por seres humanos como nosotros, sujetosa equivocaciones. Sin embargo hay que destacar también que,en la mayoría de los casos, los productos de Microsoft hantenido que ser reparados o reconstruidos a causa de lasacciones malévolas de otros seres humanos, de cuyas accionesno se había previsto nada inicialmente.Por otro lado, no todas las actualizaciones que nos ofreceMicrosoft, son correcciones. Muchos paquetes que nos ofrecevienen cargado de mejoras sustanciales. Tales son los casosde los "Service pack 1 y 2".La importancia de ejecutar las actualizaciones provenientesde Microsoft, se basa en que nuestra PC, cada vez que reci-be unas de estas, quedara un poco más protegida o repara-da o mejorada.

Es importante saber que, cuando una persona adquiere unaPC, esta viene con un sistema operativo al día de acuerdo a esafecha. A partir de allí, tendrá que ponerla al día por cuenta pro-pia ejecutando el programa de actualizaciones del sistema ope-rativo.Cada cierto tiempo Microsoft pone a disposición de sus usua-rios, paquetes de actualizaciones de todos sus productos, entrelos cuales están el Windows 98/Me/2000/NT/XP/Vista, Offi-ce/Excel/Word/PowerPoint/Access/Frontpage/Outlook/Publisher, Windows Media Player, etc, etc.Es decir, una lista de productos delos cuales es responsable.Estos paquetes,a veces songrandes segúnsu naturaleza, esdecir... Según lacantidad de mejo-ras y reparaciones,Microsoft genera ungran paquete y lollama un paquete deservicios "ServicePack".

S

Informático Analista de SistemasJC Castañeda

Service Pack 2

Para saber si estamos al día o no, solobasta ejecutar el programa "WindowsUpdate" el cual los lleva a la página ofi-cial de Microsoft y comienza a realizarla verificación respectiva. Para ejecu-tarlo es preciso ir a:

En español: Inicio/Todos losProgramas/Windows Update En ingles: Start/All Pro-grams/Windows Update En frances : Démarrer/Tous lesProgrammes/Windows Update

Como saber si tengo el Service Pack 2en mi Windows XP?

Para saber si tienen o no instalados elService Pack 2 en las versiones de XP,es preciso ir a:

En español: Inicio y darle Clickderecho en Mi PC y luego a Propie-dadesEn ingles: Start y darle Clickderecho en My PC y luego a Proper-tiesEn francés: Démarrer y darleclick derecho en Poste de Travail yluego a Propriétés

Ahí saldrá una ventana donde infor-ma acerca de la versión del Windowsinstalado y otros datos acerca de laconfiguración de la PC.

Para todos los casos, siempre esbueno estar al día con las actualiza-ciones de los productos de Microsoftporque constituye o una mejora o unacorrección que le permitirá trabajarmejor o mas seguro que antes.