Paris 8/16eme - le bonbon 11/2011
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ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?! Novembre 2011 - n° 8 - lebonbon.fr PARIS 8 e / 16 e
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Découvrez le magazine Le Bonbon Paris 8eme et 16eme arrondissements du mois de novembre 2011.
Transcript of Paris 8/16eme - le bonbon 11/2011
ELLE EST PAS BELLE
LA VIE ?!
Novembre 2011 - n° 8 - lebonbon.fr
PARIS8e / 16e
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édito ‘Bon’jour !
Bon. Hier soir, ma boîte mail affichait 342 messages. - Léa : « Je voudrais faire une surprise à mon mec, tu sais où je pourrais l’emmener, dans un endroit sympa ? »- Nicolas : « C’est l’anniversaire de ma sœur, tu sais où je peux lui trouver un cadeau original ? » - Ma mère : « Coucou, ton père rentre demain, j’aimerais un lieu un peu confidentiel pour nos retrouvailles… »Voilà un exemple du genre de mails que je reçois sans cesse. Les gens pensent que Le Bonbon, et par extension moi, sommes des guides de Paris ouverts et disponibles, tremplins des meilleures adresses. Moi, pas toujours, ça dépend de mon humeur. Alors que Le Bonbon, oui, et ça à n’importe quelle heure ! De plus, maintenant il y a le site du Bonbon, à visiter pour choper le meilleur de tout ce qui s’est fait dernièrement. Mail 341 : « Léa, pour te répondre, emmène d’abord ton mec adoré faire un saut dans les années 30 au Purple Bar et ensuite enivre lui les papilles à la découverte de la Brasserie Baroche. Pour la suite, tu es assez grande ! »Mail 340 : « Nicolas, tu veux un peu de fantaisie… Fais-lui faire un tour de Women Cab, ta sœur se prendra pour une princesse des temps modernes. Elle en veut plus ? Propose-lui un cours de claquettes à l’As-sociation Artistique Brésil, elle foulera le floor comme personne ! Après ça elle sera sur les rotules, et toi soulagé. » Mail 339 : « Maman, pour des retrouvailles pimentées, allez chalouper du côté de la rue Paul Valéry… Ça enclenchera les souvenirs fripons ! Installez-vous confortablement pour une séance psy des plus éton-nantes au Studio des Champs-Elysées et découvrez notre Bonne étoile dans Même si tu m’aimes. Et après votre nuit d’espiègles chamailleries, offrez-vous les croustillants croissants de la Boulangerie Pâtisserie Bonneau. » Bon, plus que 338 mails…
Mademoiselle PaulineRédactrice en chef
Régie [email protected]
06 45 60 28 71Régie grands [email protected]
Matthieu / 06 50 71 92 71Jean / 06 48 26 88 53
Président
Jacques de la Chaise
Rédactrice en chef
Mademoiselle Pauline
Graphiste
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Secrétaire de Rédaction
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Rédacteurs
Stéphane Aubry, Déborah Bannwarth
Mélanie Duault, Lorène Duquesne
Caroline Jolivet, Pascaline Lechène
Catherine Lhote, Lætitia
Alavedra-juncosas
Photographes
Adrien Bosom, Déborah Bannwarth
Mélanie Duault, Elodie Daguin
Wanda Szerauc
Remerciements
A tous les rédacteurs et photographes
du Bonbon, vous assurez !
Partenariats et culture
Macha Binot / [email protected]
Petites annonces
Le Bonbon
31 bis, rue Victor Massé
75009 Paris
SIRET 510 580 301 00016
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L’EXPOSITION 19.10.2011 - 29.01.2012
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PLUS D’ INFOS SUR WWW.LEBONBON.FR OU SUR WWW.FACEBOOK .COM/LEBONBON
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sommaire
34. Malika Montagna
10. Morgan Perez6. Brasserie Baroche
38. Boulangerie Pâtisserie Bonneau
14. Galerie Tatiana Tournemine
44. AA Brésil
5. Le Bon Timing6. Le Bon Commerçant
10. La Bonne Étoile12. Les Bons Plans
14. Le Bon Art16. Le Bon en Arrière
18. Le Bon Look
21. Le Casse Bonbon22. La Bonne Recette25. La Bonne Séance
26. Le Bon Astro 28. Les Bons Tuyaux
31. Les Bons P'tits Diables33. Le Bon Potin
34. La Bonne Femme36. Les Bons Shops38. Le Bon Artisan
40. La Bonne Parisienne42. Les Bons Snapshots
44. La Bonne Idée46. Le Bon Agenda
Novembre 2011
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19 NOVEMBRE 4 DECEMBREPARIS-BASTILLE / ENTREE GRATUITE
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le bon timing Les événements à ne pas manquer !
FotofeverA quelques pas du Grand Palais, Fotofever s’installe à l’Espace Pierre Cardin, pour partager sa passion de la photographie contemporaine, de l’art numérique et de la vidéo. Un seul mot d’ordre : la découverte. Pour sa 1ère édition, fotofever présente une trentaine de galeries internationales, dans un lieu prestigieux.Du 11 au 13 novembre. www.fotofeveraertfair.comEspace Pierre Cardin, 3 avenue Gabriel 75008.
Mitro - "Vibrations"Comme chaque année, Mitro expose à la Galerie Tatiana Tournemine ses paysages urbains, à mi-che-min entre impressionnisme et hyperréalisme. New-York, Paris, Londres, Venise : une promenade eni-vrante au travers d'une trentaine d'œuvres, sur les pas de cette étoile montante de l'art contemporain. Du 19 novembre au 10 décembre 2011.104, rue du Fbg St Honoré 75008
Metropolis PartyLe Bonbon organise LA soirée SF électro. Sortez déguisements futuristes, accessoires de Science Fiction et folies en tout genre ! Le Bonbon investira pour la première fois le mythique Bataclan avec pour thème "Métropolis" et en donnera sa vision, dégui-sée, animée et décomplexée.Jeudi 10 novembre à partir de Minuit.Renseignements sur www.lebonbon.fr
Chants de la destinéePremière visite à Chaillot de Legend Lin Dance Thea-tre, une compagnie de Taiwan dirigée par la choré-graphe Lee-Chen Lin. Chants de la destinée (Song of Pensive Beholding) est un hymne à la nature. Une découverte qui devrait vous emmener très loin. Envoûtant.Les 17 et 18 novembre à 20h30.1, place du Trocadéro et du 11 Novembre 75016
danse
photographie
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le bon commerçant
C’est officiel. Il existe une nouvelle place conviviale pour passer de bons moments, bien manger entre amis, dans lequel le client peut choisir le prochain titre de musique pour toute l’assemblée.David Baroche l’a inventée.
Rencontre avec l’homme de la maison. Revenons sur les débuts du passionné. David Baroche suit une passion presque consanguine transmise de père en fils, la boucherie, et décide d’étudier la charcute-rie. Le boucher goûte plus tard à la restauration et a l’occasion de travailler aux fourneaux de Matignon. L’expert du jambon rencontre de grands chefs étoi-lés et petit à petit s’éprend définitivement pour la restauration. Le cuisinier ouvre son premier restau-rant place Saint-Honoré nommé « Au petit Théâtre ». Aujourd’hui le 8e arrondissement est fier d’accueillir, depuis la rentrée, un comptoir flambant neuf au nom de son créateur, la Brasserie Baroche.
L’enseigne foncée en fer forgé contraste avec la bâtisse crème. Le moment tant attendu est enfin venu. Entrons à tâtons dans le restaurant où des cageots de pommes attirent l’attention et vous invi-tent à passer l’entrée un fruit à la main. Un rapide coup d’œil à droite indique un « rue de la Boétie ». Dans une vitrine, le sucré a fait ses quartiers : crème à la lavande et framboise fraiche, macarons, tarte-
lettes et nougat glacé. La vitrine alléchante aux mille desserts passée, veuillez vous attabler et savourer de délicieux mets avec un bon verre de rosé. L’idée de la Brasserie Baroche est que chacun puisse s’ins-taller à n’importe quelle heure de la journée et se sentir dans un univers familier. La décoration appa-raît comme un point d’honneur et, visuellement, une impression domine et se confirme en apercevant un magnifique canapé en cuir brun signé Malboro, les cerfs accrochés au mur et les livres anciens aux côtés du grand miroir aux finitions dorées. La beauté et l’agréable sensation de chaleur s’imposent d’em-blée grâce à un mobilier savamment sélectionné.
L’ensemble ressemble à une belle terrasse… Sauf que celle-ci est décorée et a l’avantage d’être à l’abri des intempéries. La Brasserie, par sa grande baie vitrée du rez-de-chaussée, s’ouvre complètement sur le coin de la rue. Les premiers rayons inondent la salle le matin et accompagnent volontiers votre verre de vin en soirée.
Baroche propose dans sa formule brunch, le samedi, café ou thé à volonté. L’abondance de boissons, chaudes ou froides, offre au client le luxe de s’abreu-ver selon ses envies, et ainsi déguster un croissant pur beurre cuit traditionnellement en cuisine. Le cuisinier ne lésine point et travaille uniquement
La BrasserieBaroche
THE PLACE TO BE POUR LES AFTER WORK À PARIS
Texte et photo Mélanie Duault
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le bon commerçant
avec des produits frais en fonction de la saison. Sa carte s’adapte aussi chaque mois pour un plus grand respect des produits. Sur la carte cet automne la Saint-Jacques rôtie au lard fumé accompagnée d’un risotto aux champignons frais est la star de la carte. Le parmentier fondant d’épaule de sanglier et la traditionnelle purée de pomme de terre avec son jus corsé apparaissent aussi dans le top du moment. Les caprices frigorifiques de la capitale poussent les femmes à se pencher sur le rosé tandis que les hommes se réchauffent autour de vins du sud-ouest beaucoup plus charpentés. Baroche travaille avec des vignerons indépendants et assure ainsi une sélection plus personnelle.
L’immense comptoir occupe un place primordiale et s’étend sur plusieurs mètres jusqu’au fameux coin des tapas. En soirée, place à la charcuterie espa-gnole et aux délicieux tapas à partir de 18h. Le ton est donné pour les after-work où l’on déguste des pâtes Alégria et du chorizo.
Profitez de l’ouverture de ce haut lieu chaleureux, David Baroche offre son livre Les petites Cochon-nailles à ses clients. Vous ne chercherez plus où aller boire un verre après une longue journée. Baroche a la solution pour finir la journée avec une pointe de gaieté.
Brasserie Baroche101 rue de la Boétie, 75008
Tél. 01 43 59 69 57 —
Ouvert du Lundi au jeudi de 7h15 à 1het jusqu'à 2h le vendredi et le samedi.
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la bonne étoile
Morgan Perez n’est pas du genre à attendre que le téléphone sonne. Il trace sa route, prend des risques, avance aux coups de cœur et est animé par ses coups de gueule. Comédien, scénariste, producteur, et bientôt metteur en scène ; l’artiste, exalté par ses envies, avance… Et nous on le suit !
Tu joues en ce moment une pièce au Studio des Champs-Elysées, tu peux nous en parler ?Même si tu m’aimes, est l’histoire d’un couple dans une impasse amoureuse qui décide d’aller voir un psy pour une thérapie de couple, avec quelques exer-cices assez loufoques. C’est une sorte de comédie absurde, avec de l’émotion et du sentiment. Première mise en scène de Julien Boisselier et deuxième pièce écrite ensemble pour les auteurs Vincent Juillet et Mélissa Drigeard.
Comment vous êtes-vous rencontrés ?On s’est tous rencontrés par le biais de Mélanie Lau-rent. Sur le film que j’ai coécrit avec Mélanie (Les Adoptés sortie le 23 novembre) j’avais aussi un rôle, et Mélissa, qui jouait ma femme, a eu à ce moment-là l’idée de me proposer de jouer dans sa pièce.
Même si tu m’aimes est une thérapie de couple… Quel conseil me donnes-tu pour garder mon mec ?(Rires) Comme thérapie étrange : l’exercice du bouton rouge. On se met une lampe frontale rouge qui sym-bolise toutes tes peurs et toutes tes angoisses, tous
les trucs sur lesquels on vient appuyer en perma-nence dans un couple. L’avoir symbolisé comme ça, nous rappelle de ne pas appuyer dessus !
Tu es comédien, scénariste et producteur. As-tu des envies de mise en scène ?J’ai déjà eu une première expérience de mise en scène, en sortant des cours Florent sur un spec-tacle qui s’appelait Les Putes et j’ai pris beaucoup de plaisir à faire ça. Après j’avais envie de développer le travail d’acteur, puis j’ai découvert l’écriture avec le groupe des Quiches dont j’ai fait partie et mainte-nant, je suis en train d’écrire un film. Oui, j’aimerais passer à la mise en scène quand quelqu’un m’en don-nera la chance.
Tu as fait partie du collectif des Quiches, que gardes-tu comme souvenir ?Déjà, j’en garde mes meilleurs amis, on est une famille. On a grandit, appris et travaillé tous ensemble. On a fait 30 courts métrages, une série, un long… J’adore ce groupe là, et j’espère qu’on aura l’occasion de faire de nouvelles choses ensemble. Ça a été une expérience formidable, on avait un vrai sen-timent de liberté. Tout était possible !
Quel est le rôle qu’on ne t’a pas encore proposé mais qui ne devrait pas tarder ?J’adorerais jouer une femme. Je trouve que c’est un joli pari, avec un solide travail de composition
MorganPerez
UNE ÉTOILE À SUIVRE…
Texte Mademoiselle PaulinePhoto Elodie Daguin
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C’était quand ton dernier moment Bonbon ?C’était il y a deux heures… (Rires)
pour ne pas tomber dans la caricature. C’est un beau challenge.
Quel est ton rituel avant de monter sur scène ?J’embrasse le plateau. Je me mets à genoux, je pose une main sur la scène, je dis trois phrases et j’em-brasse le plateau.
Qu’est-ce qu’on peut te souhaiter pour l’avenir ?Que je fasse mon film.
Que t’évoque le mot BONBON ?Une de mes passions, les bonbons j’adore ça !! Mes préférés, les longs fils verts acidulés.
Même si tu m’aimes15, avenue Montaigne 75008
Tél. 01 53 23 99 19—
tous les lundis jusqu’au 19 Décembre à 2Oh
Les Adoptésde Mélanie Laurent
Sortie le 23 Novembre
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les bons plans
Le Purple BarEmbarquez dans les vibrantes années 30.
En pénétrant dans le Purple Bar, je me prends immé-diatement pour Audrey Hepburn. La déco années 30, made in Jacques Garcia donne vite le ton : vintage chic et branché, mais pas faussement précieux. Vous y croiserez, certes, businessmen et étrangers, mais son esprit résolument jeune et ouvert favo-rise l’accès à tous et l’échange culturel. Ouvert tous les jours de 10h à 2h, on s’y rend surtout pour les soirées after-work cocktails. Aux commandes du bar, le mixologiste Louis Brisset propose une carte mêlant classiques et créations maison, comme le « fresh pepper one », pièce de collection à base de vodka Ketel One, infusée au basilic à -18°C, jus de concombre et poivre moulin. Les mercredis et jeudis soirs de 19h à 1h30, vous pourrez vous agiter sur les mix du « disquaire » (!) Fred Viktor, qui sort les stan-dards du grenier et les accommode à la sauce Purple. En guise de before, ne manquez pas tous les derniers jeudis du mois les soirées Wine & Cheese - coup de cœur - qui proposent de 18h à 21h30 une formule à 25!. Les plus avertis viendront le samedi pour le Talent’s Day, écouter des standards pop proposés par un nouveau talent. Bref, ne pensez pas pénétrer dans un morne bar d’hôtel classique, ici, ça bouge !
57, rue de Courcelles, 75008Tél. 01 58 36 67 90
www.hiltonarcdetriomphe.fr
Delphine QuirinChapeaux tout chauds !
Suivant la tendance du selfmade et anticipant la fierté de voir quelque chose créé de vos propres mains, vous avez acheté un kit de tricot et com-mencé à faire cliqueter les aiguilles aux premiers vents frais. Après avoir mal compté les mailles qui ont une fâcheuse tendance à s’échapper, vous consi-dérez le commencement d’écharpe trouée aux bords irréguliers, piètre résultat de longues heures de mise à l’épreuve de votre dextérité… Et vous empressez de l’abandonner, avant de vous tourner avec recon-naissance vers ceux qui ont décidé de réchauffer l’hiver pour vous ; Delphine Quirin en fait partie. Laine mohair, laine bouillie, angora, mérinos sont à l’ori-gine d’accessoires qu’elle aime imaginer de bout en bout. Tantôt chinées au fil des brocantes ou soigneu-sement choisies en Italie ou Espagne, les matières travaillées par la créatrice et l’équipe de tricoteuses, brodeuses et couturières qui anime son petit atelier à Liège sont particulièrement tendres, destinées à envelopper de leur volume moelleux, têtes, cous et épaules. De quoi égayer l’hiver d’accessoires délicats et féminins, et retrouver avec les premières cou-leurs d’automne le plaisir de se couvrir de matières chaudes et douces.
Franck et Fils- 80, rue Passy, 75016Tél.01 44 14 38 00
www.delphinequirin.be
Texte Lorène DuquesneCommuniqué Pascaline Lechène
© D
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DR
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les bons plans
Au !l des LettresIdées cadeaux autour de la Lettre…
Situé au fond d'une cour, l'atelier Au fil des Lettres est un havre de paix en plein cœur de l'agitation de la rue de l'Annonciation, à l'ambiance village. Quand on passe les portes de l'atelier on se sent tout de suite à l'aise et en confiance. Il faut dire que Marie-Brune et Béatrice H. ont le sens de l'accueil, on se sent un peu comme à la maison dans le salon de l'atelier. "Ici, on écoute avec attention les demandes des clients. On aime beaucoup ce qu'on fait et on a envie qu'ils soient satisfaits, on fait donc exactement ce qu'ils veulent", me raconte Marie-Brune en souriant. Elle répond à toutes les demandes de marquage, gra-vure, broderie, peinture, avec un savoir-faire arti-sanal. Toutes les deux s'emploient à réaliser avec précision et rapidité toutes vos idées cadeaux : le prénom de vos hôtes sur des serviettes pour un dîner ou un week-end, un faire-part gravé sur un plateau ou encore des initiales à imprimer sur des cartes à jouer... Tout est possible. On peut aussi faire graver des messages sur du verre ou du cristal, ou bien même peindre sur de la porcelaine. On peut apporter son support ou le choisir sur place.
Les clients sont nombreux et viennent des quatre coins du monde pour avoir LE cadeau unique. « Notre force c'est notre rapidité et surtout le contact avec les clients. On est vraiment à l'écoute et le client peut être sûr d'avoir exactement le cadeau qu'il veut. S’il est en manque d'idées on le conseille et on
détermine ensemble ce qui pourrait lui plaire. L'ac-cueil est très personnalisé. On fait tout ce que l'in-dustrie ne fait pas », précise Marie-Brune. Cela fait donc 15 ans que Marie-Brune et Béatrice H. tra-vaillent ensemble avec une complicité évidente.« On passe plus de temps ensemble qu’avec nos maris », s’amusent-elles à dire.
On s'aperçoit vite que l'adresse est un peu confiden-tielle et que le bouche-à-oreille est leur meilleur plan de communication. Mais elles travaillent aussi pour plusieurs sociétés comme des banques, des boîtes de communication, des commissaire-priseurs... Et réalisent certains de leurs supports. 50 à 15000 pièces peuvent être réalisées. Mais elles se refusent à avoir un catalogue ou un site de vente en ligne. Au fil des Lettres veut rester une structure artisanale et conviviale et garder un rapport privilégié avec ses clients.
21, rue de l’Annonciation, 75016Tél. 01 42 24 44 49
www.aufildeslettres.com
Texte Catherine Lhote
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le bon art
Parmi le dédale de galeries (d'art) qui habillent le quartier Matignon / Fbg Saint-Honoré, il y en a une qui a particulièrement retenu notre attention : la Galerie Tatiana Tournemine. Celle-ci se détache des autres par la diversité des styles des artistes expo-sés, et par l'étonnante atmosphère qui y règne : un délicat mélange de zen, de poésie et de modernité.
Ce qui nous a touché, c'est la personnalité d'une femme passionnée et persévérante : Tatiana Tourne-mine. Cette pétillante working-girl s'est lancée dans l'aventure il y a 25 ans, un peu par hasard, beaucoup par rencontres, ouvrant sa toute première galerie à Carnac dans le Morbihan. Depuis, elle a ouvert d'autres sites à Paris, La Baule, et travaille en rela-tion avec New-York, la Belgique, et bientôt Londres. C’est aussi une histoire familiale puisque sur le site parisien, vous serez accueillis par Thomas Tourne-mine, le fils de Tatiana, qui vous parlera avec généro-sité et enthousiasme de la vingtaine d’artistes euro-péens qu'ils défendent.
Que pourrez-vous y voir ? De l'art contemporain figuratif, privilégiant une veine colorée, optimiste et joyeuse, face à la trop fréquente morosité de l’art conceptuel. Sculptures et peintures se côtoient dans une chorégraphie étudiée, chaque œuvre mettant en valeur sa voisine pour mieux se faire admirer elle-même. D'impressionnantes toiles
de Mitro, artiste cher à la galeriste, représentant des paysages urbains et saisissantes de complexité, de sensations et de précision. Sur une étagère trônent d'appétissants fruits et légumes sculptés par Jean-Pierre Lévy, autour desquels dansent les silhouettes longilignes de Miramontes. Alexandra Gestin, jeune artiste française, est actuellement mise à l'honneur dans une exposition toute particulière : cette pas-sionnée d'Asie qui sculptait à l'origine des enfants se focalise aujourd'hui sur les sumos, portant un regard tendre et amusé sur ces colosses aux rondeurs pouponnes qui vous feront sourire malgré leurs airs sérieux. Bien d'autres artistes y sont encore à découvrir, mais gardons quelques surprises pour vos prochaines visites !
A noter : l'exposition Mitro qui se tiendra au mois de novembre, détails : voir le Bon Timing en page 5.
Galerie Tatiana Tournemine104, rue du Fbg St Honoré, 75008 Paris
Tél. 01 42 66 19 [email protected]
www.tournemine.com —
Ouvert toute l'année du lundi au samedi11h/14h et 15h/19h.
GalerieTatiana
Tournemine
Communiqué Déborah BannwarthPhoto Melanie Duault
QUAND UNE PASSIONNEE RÉALISE SES RÊVES D'ART CONTEMPORAIN
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le bon en arrière
Elles ont fermé en France il y a 65 ans, mais les mai-sons closes continuent à intriguer le chaland et à inspirer les artistes. On pense à Zola et Maupassant, « Belle de jour » de Bunuel et plus récemment « L'ap-pollonide » de Bonello ou la série « Maison close » diffusée sur Canal Plus.
Si les dames de petite vertu déambulent dans les rues depuis que le monde est monde, c'est au Moyen-Age que Louis XI encourage l'ouverture d'établissements spé-cialisés. Au nombre de 195 dans le Paris de la Libération, même si ces maisons sont bien souvent glauques et infâmes, quelques luxueuses exceptions sont consi-dérées comme de véritables palaces. Parmi elles le One Two Two, où de grands noms se croi-sent, tels que Colette, Marlène Dietrich, Jean Gabin, Sacha Guitry ; Le Sphinx protégé par le ministre de l'intérieur de l'époque Albert Sarraut où l'on peut y rencontrer Mistinguett ; Et l'Etoile de Kleber rue Paul Valery dans le 16ème, qui sert à alimenter en informations la police ou les ser-vices secrets, lorsque des chefs d'Etat y sont reçus. A noter pour l'anecdote que la brigade mondaine avait accès à toutes les maisons. Son symbole était
un œil que ses membres accrochaient au revers de leur veste, qu'ils retournaient et montraient à l'en-trée des maisons. D'où l'expression "rentrer à l'œil" ! Chambres des premières initiations comme salons qu'il convenait de fréquenter, les clients les plus blasés venaient en quête de ce qui pourrait encore les surprendre. Théâtre de tous les fantasmes, ces palais accueillaient leurs visiteurs dans un univers
où tout semblait n'être que luxe, calme et volupté. Cabaret-bordel favori de la Ges-
tapo et des officiers de la Wehrmacht pendant l'Occupation, l'Etoile de
Kleber fut aussi, à partir de 1943, l'un des lieux de prédilection d'Edith Piaf, qui occupa même quelques temps le dernier étage. Quand en 1946, Marthe Richard fait voter la fermeture de toutes
les maisons closes, elle nous rap-pelle toutefois que la maison close
est par définition le lieu de la domi-nation de l’homme. La femme n’y est là
que pour le plaisir de l’homme, qui, par le pouvoir de l’argent, s’autorise tous les excès.
Des hommes, elles espèrent seulement qu’ils rachè-teront leurs dettes pour leur permettre de quitter le bordel et se mettre sous un nouveau joug. Sous des dehors fastueux, la fête est triste...
Et la tendresse Bordel !
LA RÉOUVERTURE DES MAISON CLOSES, L’ÉTERNELLE TENTATION
Texte Stéphane AubryPhoto Toulouse Lautrec
- Les derniers spots où sortir - L’actu de votre quartier - Les événements culturels
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le bon astro Texte Gaya et son équipe
BELIER 22 mars / 21 avril
Vous serez à fleur de peau et aurez la larme à l’œil. Certes, l’influence de Vénus amplifiera vos émotions, mais elle vous apportera également un pouvoir de séduction à toute épreuve. Donc laissez vous aller c’est le mois de l’amour. Profitez comme il se doit de ce mois fort en sensations et utilisez votre séduction pour atteindre vos objectifs professionnels !
TAUREAU 22 avril / 21 mai
Vous poussez parfois le bouchon un peu trop loin. Ne faites pas payer à votre entourage vos déboires pas-sés. Vous avez des facilités et vous en jouez ! Mars entrera dans votre signe ce mois-ci et pourrait bien faire voler bon nombre de vos certitudes ! Une invita-tion inattendue apportera des réponses insolites qui vous serviront pour votre avenir professionnel.
GEMEAUX 22 mai / 22 juin
Mettre de l'eau dans votre vin n'est pas votre fort, mais vous n'aurez pas le choix ce mois-ci. N’ayez crainte, votre diplomatie légendaire viendra à bout de vos doutes. Vous aurez un peps à faire pâlir les plus vigoureux ! De plus, vos conseils vaudront de l'or, alors, ne les gardez pas pour vous.
CANCER 23 juin / 21 juillet
Ne criez pas trop fort, les murs de votre bureau ont des oreilles ! Vos nouvelles idées risquent de provo-quer des réactions vives parmi vos collègues. Jalou-sie ? Mars fait souffler sur vous un vent de rébellion, mais prenez garde, surtout si vous attendez que votre direction vous suive sur votre projet qui vous tient particulièrement à cœur !
LION 22 juillet / 23 août
C'est le mois de l'amour pour les natifs du lion. Vous redécouvrez certaines odeurs, certaines caresses qui vous ont ému, vous qui aviez mis l’amour en der-nière position sur vos priorités. Une voie inattendue vers de nouveaux horizons pourrait bien vous désta-biliser. Beaucoup de joies et de plaisirs s'offrent à vous, en particulier en fin de mois. Ouvrez les bras et accueillez-les !
VIERGE 24 août / 23 sept.
Des sourires, des regards, tout sera réuni pour égayer votre mois de Novembre. C’est un mois placé sous le signe de la communication. Votre entourage sera aux petits soins et vous n’aurez qu’à vous laisser chou-chouter et profiter de l’instant présent. Prenez garde, cependant, à ne pas oublier d’atteindre les objectifs que vous vous étiez fixés pour cette nouvelle rentrée !
18 — 19 —
le bon astro Novembre 2011
Vous avez des questions, nous avons les réponses. Appelez Gaya et son équipe.Audiotel 7/7j et 24/24h au 08 92 68 29 29 (0,34 cts la minute).
En RDV Privé au 01 75 43 08 55
BALANCE 24 sept. / 23 oct.
Vous devrez balayer devant votre porte ce mois-ci. Il serait temps de prendre les bonnes décisions ! Evi-tez de vous poser trop de questions, en particulier sur des sujets qui ne vous concernent pas directe-ment. L’expérience que vous avez acquise dans le passé vous permettra de vous engager sur de nou-velles voies. Alors foncez !
SCORPION 24 oct. / 22 nov.
Les commérages iront bon train et vous risquez de douter de vos capacités. Restez vigilant car votre ca-ractère impulsif vous jouera de vilains tours, comme d’habitude vous parviendrez à composer avec cet aspect de votre personnalité pour mieux rebondir ! Côté cœur sachez prendre des risques, jetez-vous à l’eau, vous ne serez pas déçu…
SAGITTAIRE 23 nov. / 22 déc.
Vous qui vouliez recevoir des démonstrations d'af-fection vous serez servi ! Vous passerez le mois sous la couette à vous réchauffer contre votre partenaire ou en famille. Si vous êtes célibataire l’amour arrive enfin… Vous pourriez bien croiser l’être qui cham-boulera votre vie si vous ouvrez bien les yeux !
CAPRICORNE 23 déc. / 20 jan.
Vous devrez d’abord conclure ce qui a été entrepris pour avancer. Évitez de multiplier les chantiers. Vous allez tirer un trait sur le passé… Quel bonheur ! Vous allez enfin pouvoir créer une nouvelle vie et de nou-velles activités. L’influence de ce mois vous protè-gera, soyez-en sûrs ! Surprenez-vous et surprenez-les !!!!
VERSEAU 21 jan. / 19 février
À force de jouer les glaçons ambulants, vous allez faire fuir tous ceux qui oseront s’approcher de vous. Et cela pourrait avoir des répercutions sur le plan professionnel… Attention, vous pourriez bien faire échouer vos projets ! Un petit effort : affichez votre plus beau sourire et réchauffez tout ça !
POISSON 20 fév. / 21 mars
Il est grand temps de mettre à profit tout ce que vous avez appris. Vous êtes en train de préparer votre hi-ver, un petit relooking d’intérieur serait le bien venu ! Bref prenez-vous par la main ; exercice, gymnastique ou massage afin de vous permettre d’atteindre vos objectifs. Vous avez rencontré l'amour de votre vie, chouchoutez-le bien !
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la bonne destination Communiqué Macha BinotPhoto DR
La rentrée nous a tous fait nous ré-inscrire dans des clubs, des loisirs, des échappatoires à nos vies stressantes.
Quoi de plus agréable que de passer l’hiver en jeu d’équipe ou en individuel à vouloir se surpasser dans une compétition en dehors de celle du bureau ? Esprit d’équipe, esprit corporate ou esprit de compé-titeur, on brûle tous d’envie de se faire connaître par autre chose que notre fonction au sein du bureau. Une belle passe, un revers dont on parle encore devant la machine à café. Non pas celui du revire-ment de situation dû aux détournements des objec-tifs de la boîte mais bien celui sur terre battue qui a permis à Jean de battre Paul, nos deux fidèles aco-lytes de l’édito du Bonbon EST du mois de Juin 2011. Nous même avons notre équipe… de football au sein du Bonbon avec joueurs, entraineurs et Pompom girls ! Une fois tout ce petit monde recompté, nous avons trouvé un bon plan pour se déplacer dans les compétitions.
Les Hôtels Ibis ont créé une offre dédiée aux sportifs. Dans 312 hôtels en France et 500 en Europe, IbiSport s’adresse aux sports individuels, collectifs ou intel-lectuels - entraineurs, arbitres, médecins ou diri-geants - dans le cadre de compétitions ou de mani-festations sportives. Du coup, nous voilà partis dans de grandes envolées et de belles perspectives sur l’équipe du Bonbon ! Plus de raison de se freiner dans
l’ascension sportive de l’équipe ! Pour 17 ! par per-sonne en chambre double, l’offre IbiSport s’adapte même aux calendriers des compétitions avec ce tarif disponible le week-end (vendredi, samedi et dimanche), les jours fériés et les veilles de jours fériés ! Ils ont même prévu des salles de réunion pour le dernier briefing tactique avant la rencontre et la victoire sur l’adversaire ! Les check-out se font jusqu’à 17h pour se reposer de cette victoire bien méritée ce matin-là ! Des tables de massage sont même mises à disposition pour éviter la courbature du lendemain et sur-lendemain. Ils ont réuni tous les services qui nous permettent, à nous, grands com-pétiteurs, de mettre toutes les chances de notre côté pour remporter la coupe.
Et quoi de plus agréable que de passer la ligne d’arri-vée du Marathon que l’on avait prévu de faire en 4h30 avec un timing parfait, quoi de plus jouissif que de marquer le but décisif ! Au moment où ce texte est écrit, la France s'incline héroïquement devant les All Blacks, Tony Parker est revenu passer la saison avec son équipe de Villeurbanne, on vient de gagner deux matchs au Bonbon… La fameuse expression « Anima Sana In Corpore Sano » ne peut donc que s’appliquer d’autant qua ça fait du bien au corps et aussi à l’es-prit.
Bonne compét ! Au plaisir de se croiser dans les cou-loirs des hôtels Ibis.
Le sport, ça te gagne!!
PLUS AUCUNE EXCUSE POUR NE PAS GAGNER !
la bonne destination
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HOTEL IBIS SPECIAL SPORTIFSwww.ibishotel.com
VirginieAcadémique : Repetto / Veste : Uniqlo
Bracelets : Marion Godart / Mitaines : Maison FabreSac à dos : Paul Smith
Casque audio : IN 2—
Virginie est DA, conceptrice pub free-lance
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le bon look Photo Amélie Chassary www.ameliechassary.com
Styliste Anthony Lee Watson
AntoineFuseau détourné en manches longues : Repetto
Gilet Teddy : Paul SmithBracelet porté en collier : Marion Godart
Casque audio : IN 2—
Antoine est co-créateur de Terebenth
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le bon look
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le bon moment
Elles étaient douces, les militantes de ma jeunesse. On allait les épier à la sortie des réunions de section, on les quêtait tractant devant l’entrée des facs, on observait leurs petites fesses de meetings en hap-penings. On les regardait faire et on aimait l’avenir que leurs programmes politiques nous vendaient : un monde où le pouvoir serait enfin livré aux mains fines de ces troublantes prosélytes.
Certains de mes amis ne juraient que par la gauche, convaincus que c’était là qu’on trouvait les plus fraîches, les plus généreuses, les plus ouvertes aussi. Ils rôdaient à Tolbiac ou à Solférino. D’autres aimaient la rigueur de ce qui s’appe-lait alors le RPR. Ils croyaient aux collants noirs, à l’aisance des brushings et à certaines manières de rire sans se livrer. Ils fréquentaient Assas et rêvaient à Sciences-Po.
Et puis la vie a fait son œuvre, on a peu à peu oublié la chaleur anxieuse des discussions échevelées où l’on se prenait par le bras pour appuyer nos argu-ments. Les jeunes filles ont grandi, sont devenues des femmes. Et il faut aujourd’hui l’admettre : ce ne sont pas leurs voix fluettes que nous venons écouter dans les salles chauffées des meetings, mais tou-jours celles de vieux messieurs ou de vieilles dames austères.
Et pourtant, à y regarder de plus près, ces réunions bruyantes ne sont pas tout à fait désertes. Qu’y voyons-nous ? Des nuées de jolies jeunes femmes, certaines même très jolies, qui s’agitent et pépient dans l’indifférence générale. Militantes ? Même pas : journalistes !
Car le développement des nouveaux média a multi-plié les canaux en abaissant les coûts, entraînant de
manière mécanique une sur-représentation des jeunes et des femmes, toujours
les plus nombreux dans les métiers mal payés. Et le machisme des
patrons de presse a fait le reste : un recrutement très orienté autour des qualités physiques, l’idée aussi que pour recueillir les confidences des politiques,
une paire de jolies jambes montées sur des talons était un
excellent viatique.
Celles-là prendront-elles le pouvoir dont les militantes d’autrefois n’ont pas encore su se saisir ? Leur éclosion permettra-t-elle une méta-morphose équivalente de la classe politique ? Il faut de tout cœur l’espérer, et rêver à un monde où les estrades des meetings seraient occupées par des femmes en robes courtes, auxquelles de vieux journalistes bedonnants, envoyés par leur patronne trentenaire et sexy, mendieraient en bafouillant quelques mots d’interview.
Les bons meetings
Texte Pierre-Louis ColinPhoto Arnaud Chaillou
2012 : LE POUVOIR AUX FEMMES ?
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Restaurant Italien17, boulevard Exelmans - 75016 Tél : 01 46 47 80 08 www.iannello.fr* Uniquement le soir
Concept store et événementiels pour enfants67, avenue Mozart - 75016 Tél : 09 51 25 10 81Site : www.diabolo-grenadine.frOffre non cumulable
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Comptoirs Richard
Epicerie fine 143, rue de la Pompe - 75016 Tél: 01 47 55 01 41Ouvert du mardi au samedi de 10h00 à 19h30www.comptoirsrichard.fr
Cafe Brasserie101, rue de la Boétie - 75008 Tél: 01 43 59 69 57Ouvert du lundi au samedi de 7h15 a 2h du matin * Entre 17h30 et 20h30
Bistro Italien produits frais7, rue Gros - 75016 Tél : 01 42 88 97 46www.bistrodabastiano.com
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Le Galion Carré de…
Chocolatier12, rue Vignon – 75009Métro : MadeleineTél: 01 42 68 01 [email protected]
Restaurant10, allée du Bord de l’Eau – 75016Tél: 01 44 14 20 00 www.restaurantlegalion.com*Offre valable uniquement en semaine
Restaurant de quartier15, rue Mesnil – 75016 Tél.: 01 47 55 96 44Ouvert de 12h à 14h30 et de 19h30 à 22h30Fermé lundi soir, samedi midi et le dimanche
Trousseaux pour enfants - Puériculture Linge de maison170, avenue Victor Hugo - 75116 Tél : 01 47 27 44 07Valable jusqu'au 31/12/2011
La CoïncidenceLa Châtelaine
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Espace Createur147, rue de la Pompe - 75016Tél. : 09 50 14 81 63 Ouvert du lundi au samedi de 11h à 20h
Création d'accessoires35, rue de l'Annonciation - 75016Tél. 01 45 20 19 84Ouvert du mercredi au samedi de 14h à 19h
Institut de beauté14, rue Rennequin - 75017 Tél: 01 46 22 88 26De 9h30 à 22h30 sauf le vendredi de 9h30 à 19h30 et le dimanche de 12h à 22h30.
Broderie – Cadeau Personnalisé21, rue de l’Annonciation – 75016 Tél: 01 42 24 44 49 www.aufildeslettres.com* D’une valeur de 11!
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le casse bonbon
Le vendredi 14 octobre 2011, le G20 réunissait ses ministres des finances à Paris, Arnaud Montebourg se prononçait en faveur de François Hollande pour le deuxième tour de la primaire socialiste, les Indignés se mobilisaient dans les grandes villes du monde entier et France-Soir annonçait sa disparition en format papier. Mais la véritable info n’était pas là. Sur les coups de minuit, Marie remportait la grande finale de Secret Story 5 devant 3,2 millions de télés-pectateurs !
Voilà, ça c’est important ! Non parce que franchement, les maussades, les pas contents, les fâchés de la planète, on s’en cogne un peu. Ce qu’on veut savoir, c’est si Marie va gagner, si elle va plaquer Geoffrey, pécho Zelko, régler ses comptes avec Juliette ou si elle va enfin poser nue, la bougresse. Quelques heures plus tôt, c’est Koh Lanta qui livrait son lot hebdomadaire de boue et de vers de terre à déguster devant plus de 7 millions de téléspectateurs. Bon appétit.10 ans après les grands débuts de Loft Story, sous la houlette du déjà tordant Benjamin Castaldi, la télé-réalité a imposé ses codes sur la télévision fran-çaise. Pas une chaîne sans son programme estam-pillé « réalité », de l’hertzien à la TNT. La liste de ces méfaits cathodiques est effarante : L’amour est dans le pré, L’étoffe des champions, Danse avec les stars, Les anges gardiens, Les anges de la télé-réa-lité, Moundir cherche l’amour, Moundir cherche son
français etc… Pendant ce temps, la culture disparait silencieusement de nos petits écrans, reléguée en antépénultième partie de soirée. Il y a pourtant erreur sur la marchandise. De réalité, il n’est point question dans cette télévision. On en est même de plus en plus loin. Désormais rodés à l’exer-cice, les candidats sont devenus des acteurs, rému-nérés pour offrir leur intimité. Ils jouent les rôles que la production veut bien leur offrir, monnayant une image qu’ils tenteront de faire vivre à la sortie, en
écrivant un bouquin, un single ou en deve-nant coach sportif. La Marie de Secret
Story l’a bien compris : pas de rêve de star chez la princesse silico-
née, elle veut juste ouvrir une sandwicherie. Preuve qu’elle est pas si débile qu’elle veut bien le laisser croire la Marie.
La réalité, elle est dans les JT, les reportages, les documen-
taires et elle fait bien flipper. Regarder des gamins faire étalage
de leur bêtise, c’est reposant et ça donne l’impression de pas être trop con.
Ce que sanctifie la télé-réalité, c’est l’ère de la confession. L’intime étalé en prime-time, à longueur de journaux people et jusque chez nos politiques. Les fonds de tiroirs, les fonds de poubelles. C’est tout l’art du story-telling. On vous raconte une histoire. Pendant ce temps, la vérité est bien loin. Allez, je vous laisse, je vais me prendre un sandwich chez Marie. Parait qu’elle fait un jambon-beurre suc-culent. J’espère qu’elle a largué Geoffrey… Il a faim le Marius !
Télé RéalitéPOUBELLE STORY
Texte Marius Lacatus
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la bonne expo
Le chef d’œuvre de Fritz Lang fait l’objet d’une expo-sition à la Cinémathèque française du 19 octobre 2011 au 29 janvier 2012. Celle-ci nous fait pénétrer au cœur des rouages du long métrage allemand de 1927, pendant que le Bonbon prépare la soirée électro de cette fin d’année sur le même thème au Bataclan.
Un chef d’œuvre de science-fiction…Film muet en noir et blanc, il nous transporte dans un futur imaginé dès le début du 20e siècle, au centre d’une mégapole de 2026 scindée en deux mondes. Les ouvriers œuvrant sous les sols pour assurer le bien-être des bien loties classes dirigeantes sur-plombant la terre depuis leurs jardins suspendus. Les premiers se rebellent, mais une explosion va donner naissance à un monstre-machine……Retranscrit à la Cinémathèque.L’exposition s’articule selon un parcours dont chaque pièce est consacrée à une séquence du film, six au total (La Cité des Fils, La Ville Ouvrière, La Ville Haute, Le Laboratoire Rotwang, Les Catacombes, et La Cathédrale). Elle présente son univers entre projec-tions et exposition de pièces uniques. Des appareils aux costumes, en passant par des photos plateau (plus de 800) et des dessins originaux jusqu’alors inédits en France, sans oublier la fameuse femme-robot reconstituée par Walter Schulze-Mittendorff. Une collection unique, complétée par des confé-rences et activités pédagogiques.
Metropolis, le futur omniprésent.Simultanément, une version restaurée intégrale du film sort en salle le 19 octobre, et deux rétrospec-tives sont également à découvrir du 18 octobre au 4 décembre. L’une sur Fritz Lang, l’autre intitulée « Cités Futuristes », qui retransmettra les films de science-fiction sur le même thème. Metropolis Bonbon Party.Le Bonbon a choisi ce thème pour sa prochaine grande soirée événement, la Metropolis Bonbon Party, qui se tiendra le jeudi 10 novembre 2011 au Bataclan avec le soutien de la Cinémathèque. L’at-mosphère futuriste grinçante issue de l’univers de Lang incarne à merveille l’essence de l’électro, et donnera vie à un thème à la fois dans la mouvance et complètement décalé, dans l’esprit bonbon. Une version décomplexée sur fond de concerts, DJ sets, performeurs, effeuilleuses et animations pour la soi-rée fantasmagorique de l’année. Plus d’informations sur www.lebonbon.fr.
Soirée METROPOLIS BONBON PARTY au Bataclan le 10 novembre 2011
Préventes disponibles sur Digitick et Fnac Billetterie—
Exposition à la Cinémathèque française51, rue de Bercy, 75012 Paris
Tél. 01 71 19 33 33 - www.cinematheque.fr
Metropolis
Texte Pascaline Lechene
S’EXPOSE À LA CINÉMATHÈQUE ET SE VIT AU BATACLAN
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les bons p'tits diables Texte Sabine CasselPhoto Michel Sedan
Les petites jalousies entre frères et sœurs
Sept enfants entre 6 et 10 ans sont réunis pour un anniversaire : Lili, Deva, Rose, Txomin, Gaspard, Maxime, Manon ont tous un frère ou une sœur.
Avez-vous été jaloux de votre frère ou de votre sœur ? Lili 8 ans : Ben oui ! Parce que je suis à la grande école depuis 3 ans, et depuis tout ce temps, j’ai été la chouchoute de la maîtresse, et maintenant qu’il est dans la grande école, c’est mon petit frère le chou-chou, ce n’est pas juste !Deva, 7 ans : Moi, j’étais un peu jalouse parce que ma petite sœur, on la trouvait un peu plus mignonne que moi, ça me rendait triste. Quand on lui offre un jouet, je lui pique et je lui donne un vieux jouet. Comme elle est petite, la plupart du temps, elle dit rien, mais parfois elle ne se laisse pas faire, elle me tire les cheveux et ça fait mal. Maintenant elle a presque 19 mois, j’aimerais bien dormir dans la même chambre qu’elle, mais mes parents me disent que ça n’est pas possible parce qu’elle pleure trop la nuit. Maxime : Moi je suis jaloux parce qu’elle est plus
petite que moi, on lui donne souvent raison et je dois céder sur tout, pour me venger je la fais pleurer.Manon : Je ne suis pas jalouse de mon frère Maxime !Rose : Oui, j’étais jalouse parce Txomin mon frère était plus grand que moi, il faisait plein de choses qui m’étaient interdites, cela me rendait envieuse et jalouse.Gaspar, petit frère de Lili : À l’école, elle ne veut pas jouer avec moi dans la cour et à la cantine, elle se met avec ses copines et jamais avec moi. Je suis jaloux de ses copines qui m’enlèvent ma sœur. Je me chamaille avec ma sœur quand elle a des cadeaux, je suis jaloux si son cadeau est plus grand ou mieux que le mien.Txomin : J’ai fait une vraie crise de jalousie quand mon père est parti 3 jours au Maroc avec ma petite sœur, et je suis resté à Paris avec Maman. Quand ils sont ren-trés, je les ai boudé. Quelques mois plus tard, c’était mon tour de partir seul un long week-end avec Papa. Finalement, ils sont tous d’accord : on est jaloux, mais c’est quand même super d’avoir un frère ou une sœur.
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le bon jeu Mots fléchés Gérard Sima
Célèbre hô-tel suisse
En a plein la tête
Sigle de voitures
Son artificiel
Précision pour Belleville
A sesSerres (d'—)
Agence de liaison
Peu nom-breuses à Paris
Premier mot au téléphone
Cabaret de la capitale depuis 1946
Rue proche du métro Péreire(Guillaume- —)
Stationde métro(ligne 13)
Au début de la rue de Rivoli
Souvent source de tourments
Permetle choix
Courba
Square du 15e
(Léon-—)
Métal au labo
Atome
SymboliseParis
Mammifère rongeur
Terrestre ou volant
Toutefois
Rue dans le quartier Mai-son-Blanche(13e)
Paul ou Louis ou les autres
Saints d'une rue du 6e et du 7e
Suit le Bus à la boîte
Personnage de la guerre de Troie
Dans la forme pro-nominale
Rue du 16e
(—- Villarceau)
Boulevard du 17e
(de l'—)
Sur la balle à Roland- Garros
15
10 8
Rue du 15e
(Jean-—)
Pratiquée à l'Opéra
Rue du 2e
(de la—)
Pronom
Après avoir reporté une à une les lettres des cases numérotées à l'intérieur de celles contenues dans la frise située ci-dessous, vous parviendrez à la découverte de notre message mystère :
Pont de Paris (d'—)
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B O N B O N
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le bon potin Texte Déborah Bannwarth
Langue de vipère, commère, persifleuse... Nombreux sont les qualificatifs typiquement féminins qui dési-gnent une activité hautement décriée mais ô com-bien jouissive (toi-même tu sais) : cri-ti-quer.Ce n'est pas l'envie de balayer devant ma porte qui me pousse à soulever cette question si pertinente (j'avoue sans complexes ne pas en être à mon coup d'essai en matière de petites putasseries badines) mais plutôt un questionnement réel et sincère faisant suite à un événement récent et véridique. J'ai des preuves. Je pourrais même citer des noms... Lisez plutôt : Séquence 1/Salle de cinéma/Intérieur nuit.Une jeune femme, cool, jolie et modeste (ha-hem, moi, donc) attend le début de la séance. Assis derrière elle, un trio de nanas (une brune, une blonde, une rousse) papote en picorant des trucs au chocolat. Leur conversation réveille, mine de rien, mon radar à potins interne et me fait dresser l'oreille...Nana 1 : Z'avez vu la nouvelle meuf de Nico ?Nana 2 : Ouais ! Elle est sympa !Nana 3 : C'est clair ! Trop sympa. Mais alors qu'est-ce qu'elle est cheum !!! Nana 1 : Grave !
Nana 2 : Moi je la trouve pas si moche...Nana 3 : Oh arrête ! Elle est ho-rrible, un vrai piège à loups !Que feriez-vous à ma place ? Évidement, je me retourne et éclate franchement de rire, (surtout que j'ai eu cette même conversation des milliers de fois
avec mes propres copines). Ce qui fait rire les nanas prises en flag' à leur tour. Les
méchantes se reconnaissent entre elles. D'instinct. Et sont, d'ins-
tinct, complices. Soudées. De la même famille, quoi. S'en suit une discussion animée ("Et toi alors, t'en penses quoi?") ponctuée de petits ricane-
ments stridents et de partages de lipides saturés ("Tu veux un
Oréo ? Grompf-slurp-miam"). J'en pense que mieux vaut une moche
sympa qu'une belle conne. Qui est moche pour l'un n'est pas forcément moche pour
l'autre. Et j'en pense surtout que Nana 3 est secrè-tement en kiffe sur Nico et qu'elle est vénère de se l'être fait siffler sous le nez sans pouvoir rien faire. Mais bon, ça je le pense à petite voix intérieure.Parce que, je veux bien être méchante, mais quand même, on ne sait jamais. Une méchante contre une autre méchante pourrait bien en arriver aux griffes. En toute espièglerie, évidemment.
Toutes les filles sont-elles
méchantes ?FLAGRANT DÉLIT DE LANGUES DÉLIÉES !
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la bonne femme
Un mode de transport urbain pouvant accueillir jusqu’à 5 personnes, où la tranquillité, le confort et la sécurité sont les maitres-mots ? Malika Montagna vous invite à monter à bord de ses Women Cab.
Nul doute que vivre à l’étranger éveille l’imagina-tion. Ainsi, en s’installant, pendant plusieurs années à Londres, Malika Montagna a découvert le pou-voir de séduction des Pink Ladies Cab auprès de la gente féminine britannique. L’idée lui saute alors aux yeux : importer ce concept de transport urbain dans la capitale française. Après plus d’un an et demi d’étude de marché, les Women Cab ont enfin vu le jour et envahi l’île de France depuis le 15 juin dernier.
Et le succès semble déjà être au rendez-vous ! Il en va sans dire que ces « véhicules de tourisme avec chauffeur », comme le précise sa créatrice, dispo-sent de nombreux atouts pour charmer les femmes de 7 à 77 ans. « On apporte un véritable service avec Women Cab grâce à un certain confort. Vous pouvez ainsi monter à 5, où une banquette centrale et deux strapontins vous attendent. Il y a une vitre de sépara-tion entre le chauffeur et les passagers, ce qui assure une certaine confidentialité. Puis, vous pouvez
régler vous-même la climatisation, le chauffage, la radio… Bref, la cliente est reine ».
Si ce nouveau confort a d’ores et déjà séduit la femme active, sans cesse en rendez-vous profes-sionnel, la femme accro au shopping ou encore les jeunes filles qui sortent en discothèques, le service des Women Cab a également convaincu de nouveaux clients comme les hommes. Et contrairement à ses voisins londoniens, Malika les accepte mais qu’on se le dise « les femmes restent prioritaires » sur leur homologues masculins.
Des hommes que l’on retrouve également à l’avant du véhicule. Ainsi, si outre manche, les cab sont destinés aux femmes et conduits par des femmes, il en est autrement dans la capitale française. « Il y a beaucoup de difficultés à prendre des chauffeurs femmes », nous explique Malika. « Cette activité de transport urbain est très réglementée en France et on ne peut pas faire n’importe quoi. Les conducteurs de Women Cab ne sont pas des chauffeurs de taxis mais des anciens chauffeurs de maître. Ils ont une véritable capacité professionnelle. Et malheureu-sement, très peu de femmes ont ce diplôme. Mais
MalikaMontagna
LE TRANSPORT AU FÉMININ SELON WOMEN CAB
Texte Caroline JolivetPhoto Adrien Bosom
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au final, les femmes sont tout de même contentes d’être servies par un homme et se sentent véritable-ment en confiance ».
Une confiance partagée puisque Malika développe ses formules pour assurer le meilleur confort pos-sible auprès de ses clientes. Outre la course urbaine puis le forfait gare ou aéroport ou encore le pack trendy ou clubbing, une autre formule vient de voir le jour. Baptisé le forfait kids, il prend en charge les enfants, avec un référent adulte sur place, afin de les amener à leurs activités sportives les mercredis ou lors des vacances scolaires.
Si tout se passe bien, « le but, à moyen terme, c’est de s’installer dans 4 à 5 villes importantes de France »,
Women CabRéservations par téléphone ou sur le site
Tél. 01 42 27 80 13www.womencab.com
— Résa express de 9h à 20h
nous explique Malika, qui ne manque pas d’idées pour ses Women Cab et prévoit notamment des opé-rations auprès d’une discothèque réputée de la capi-tale. D’ici là, le Bonbon lui souhaite bonne route !
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les bons shops
La Coïncidence Tout est histoire de… Coïncidences.
Il était une fois un homme qui se préparait, sans le savoir, à un destin inattendu. En fait tout est parti d’une Coïncidence. Au cœur du 16e la simplicité incarnée a trouvé un foyer.
Issu de la terre de Champagne, Jean-Baptiste passe par une école de commerce et s’essaie ensuite sur les planches de théâtre. Le jeune homme suit les cours Florent à Paris puis décide soudain de conci-lier sa passion pour le golf avec une profession. Jean-Baptiste devient joueur de golf professionnel. Pourtant, une malheureuse blessure met fin à sa carrière. De fil en aiguille il rencontre Grégoire Jar-din, le propriétaire de « Deux Cigales » et « Un petit vélo » dans le 11ème. Monsieur Jardin lui enseigne le métier de restaurateur et saisit l’opportunité d’ap-prendre quelques techniques. La reconversion est radicale et prouve qu’une seule et unique décision peut bouleverser à jamais le cours d’une existence en un coup de club. Trêve de philosophie, tout ça pour dire que le projet de Jean-Baptiste a porté ses fruits. Le jeune poulain de la restauration vient d’ouvrir sa première affaire : La Coïncidence.Implanté autour de voisins chics, élégants et raffi-nés, la Coïncidence marque la rupture par sa simpli-cité et se démarque, avant tout, par son unicité dans le quartier. La question que nombre de modestes gourmets se posaient, soit « Comment éviter de trouer son porte-monnaie pour déjeuner ou
dîner dans le 16e ? » est bel et bien résolue. La carte de la maison comprend coquillettes et jambon mai-son, ratatouille maison, frites maison et cheese-cake aussi… maison. Tout est maison. Pour accompagner les plats, Jean-Baptiste propose sa sélection de vins : Les fiefs de Lagrange pour l’aspect charpenté et distingué ou le Saint-Julien.Le lieu est modeste et accueille 42 couverts. Cette proximité transforme les deux salles à manger en immense place conviviale dans laquelle le client peut vite se sentir dans son salon. Les bonnes recettes de Maman et les traditionnelles recettes de Grand-mère sont la clé d’une confiance retrouvée entre cuisine et simplicité. Abordable à souhait, on commande et recommande le restaurant. Le bouche-à-oreille et la presse n’ont plus qu’à faire leur effet. Cette heureuse coïncidence devrait plaire aux Parisiens. Finalement nul besoin d’en envoyer plein la vue pour satisfaire simplement un palais et donner à l’estomac la sensation d’être repu. Jean-Baptiste songe déjà à ouvrir un restaurant dans un golf… A quand la prochaine Coïncidence ?
15, rue Mesnil - 75016 Tél. 01 47 55 96 44
Tous les midis en semaine.Midis et soirs du mardi au vendredi. Samedi soir.
Texte et photo Mélanie Duault
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les bons shops
Optic CharronLe luxe rien que pour vos yeux.
Les Champs Elysées ne sont pas seulement syno-nymes de vêtements de luxe et de restaurants haut de gamme : il suffit d'emprunter la rue Pierre Char-ron pour trouver de quoi habiller vos mirettes, pour voir, et être vu.
Et oui, il est bel et bien révolu le temps (traumatisant pour certains) de l'enfance où les lunettes étaient un sujet de moqueries, le signe distinctif et honteux des loseurs et des geeks ! Car l'œil aiguisé de l'âge adulte sait reconnaître leur potentiel ultra fashion, et en faire un atout séduction indétrônable... Dans la boutique Optic Charron, vous trouverez de nombreux modèles de montures et de solaires de marques prestigieuses (Marc Jacobs, Yves-Saint Laurent, Gucci, Ray Ban ou Carrera pour ne citer qu'elles...), aux formes et aux couleurs variées, des plus simples aux plus originales. David et Jessica se chargeront de vous accueillir et de vous conseiller avec franchise et honnêteté sur le choix de votre monture. Il faut dire que ce sont des spécialistes (ils sont opticiens visagistes) et leur volonté est de satisfaire la clien-tèle, garantissant un choix réellement adapté à la personnalité et au physique de chacun. Et pour avoir rencontré Jessica, je peux vous dire qu'elle n'a pas sa langue dans sa poche, et que vous pourrez avoir entièrement confiance en son jugement mais aussi à sa capacité à être à l'écoute de vos attentes, car sa priorité est bel et bien de cibler vos envies et vos
Texte et photo Déborah Bannwarth
besoins, avant toute chose. Vous pourrez également bénéficier de nombreux services et avantages non négligeables : tiers payant (vous n'avancez pas d'ar-gent, les mutuelles se chargent du règlement), d'une garantie monture d'un an minimum, d'une garantie verres (sur les traitements) et d'une qualité incom-parable sur ceux-ci (ils sont spécialistes des verres progressifs et lentilles de contact) , de l'entretien et de la réparation gratuite, de la possibilité de payer en trois fois sans frais, et surtout d'un suivi gratuit : les opticiens Optic Charron sont habilités à effectuer des contrôles de la vue, afin d'adapter vos verres au fil du temps.
Et attention, pour finir en beauté, le scoop du Bon-bon : comme la boutique est toute nouvelle, toute belle, une offre très spéciale de 20% de réduction vous sera accordée sur toutes les montures et les verres, et vous recevrez une 2ème paire en cadeau !Alors ? Elle est pas belle la vue ?
57, rue Pierre Charron - 75008Tél. 01 53 76 33 84
[email protected] du lundi au vendredi 10h/19h30
le samedi de 12h à 22h.
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le bon artisan
Dans la vie, il y a ceux qui restent sur leurs acquis et ceux qui décident d’avancer, de se lancer de nou-veaux défis et d’innover. La boulangerie Pâtisse-rie Bonneau fait, sans aucun doute, partie de cette seconde catégorie, faisant d’elle l’une des plus séduisantes du 16e.
Gourmandise : nom féminin, caractère de celui qui est gourmand, c'est-à-dire qui aime manger. Et autant vous dire, qu’une fois entré dans la boulan-gerie de Mr et Mme Bonneau, la gourmandise vous guette. Elle vous fait les yeux doux avec ses nom-breuses pâtisseries mais aussi sa montagne de petits pains imaginés et créés par la boulangerie.
Et ici, qu’on se le dise, tous les goûts sont com-blés. Si vous êtes plutôt traditionnalistes, alors vous succomberez, à coup sûr, aux incontournables religieuses au chocolat, babas au rhum, ou encore meringues au chocolat. Si vous jouez la carte de la modernité alors, optez pour une religieuse au spécu-loos ou encore un éclair à la réglisse.
Chez les Bonneau, l’innovation est importante, car il faut sans cesse se remettre en cause et trouver de
nouvelles idées pour surprendre le client et se dis-tinguer des autres boulangeries. Mais il faut égale-ment respecter la tradition, comme nous l’explique Sylvie. « Les gâteaux les plus classiques, comme le Paris Brest, sont des souvenirs d’enfance et il ne faut surtout pas les mettre de côté. »
Et pour la conception du pain, la diversité est de mise. Entre le pain aux céréales pour le petit déjeu-ner ou encore le pain de seigle, la boulangerie Bonneau compte près de 54 variétés différentes. « Aujourd’hui, on développe même des idées sur le plan nutritionnel avec le pain complet par exemple » ajoute Sylvie. Il faut donc sans cesse dénicher de nouvelles idées pour combler les envies des plus gourmands.
Mais heureusement pour les Bonneau, la boulan-gerie reste une entreprise familiale. Ainsi, chacun peut donner ses idées et même mettre la main à la pâte. Car ici, la passion est de mise. Une passion déterminante pour devenir artisan. « De nos jours, il est difficile d’être artisan. Le petit commerce doit se battre car les parisiens ont, aujourd’hui, la pos-sibilité d’acheter leur pain en allant chercher du lait
Boulangerie Pâtisserie Bonneau
LE PAIN SOUS TOUS SES CHARMES
Texte Caroline JolivetPhoto Wanda Szerauc
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et du beurre au supermarché ». Une passion qui se vérifie sur la porte de la boulangerie qui affiche fiè-rement cette phrase de Winston Churchill « Certains considèrent le chef d’entreprise comme un loup qu’on devrait abattre, d’autres pensent que c’est une vache que l’on peut traire sans arrêt. Peu voient en lui le cheval qui tire le char ».
Alors que certains boulangers ont choisi la simplicité en faisant appel à l’industriel, la famille Bonneau affiche clairement ses positions. Ici, tout est fait main. « L’industriel ? On est allergique. Mon mari est compagnon du devoir et assez traditionnaliste fina-lement ».
Résultat ? Les habitants du quartier se rendent en masse chez les Bonneau pour savourer leurs petits péchés mignons. Même les célébrités s’y sont mises à l’instar d’Anne Roumanoff, de Charles Aznavour ou encore de Cyril Lignac.
Boulangerie Pâtisserie Bonneau75, rue d’Auteuil, 75016http://www.bonneau.fr
— Ouvert de 6h30 à 20h30,sauf le lundi et le mardi
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la bonne parisienne Texte Sandra SerperoIllustration Agathe The Melon
Ne vous prenez plus la tête!!1 — TAKE AWAY HAIR !
Un mariage ? Un rendez-vous galant ? Filez au Comptoir à cheveux longs et confiez votre tête en toute sérénité à ses pros de la torsade et du tour-nicoté qui en 30 minutes orchestrent vos cheveux autour d’un chignon ou d’une tresse directement inspirée des défilées (35 !). Le Comptoir à cheveux longs de Didakt : 2, rue du Jour, 1er – Réservation : 01 82 28 30 10
2 — LE COIFFEUR DE LA PLEINE LUNE
Maachi Djelani donne raison à la croyance populaire qui veut que les cheveux coupés à la pleine lune soient plus beaux et repoussent plus vite. Il fait donc nocturne dans son salon chaque fois que la lune est ronde et ça se bouscule devant sa porte ! (forfait shampooing-coupe-brushing 45 !). Maachi Djelani, 40, rue Coquillère, 1er – Tél. 01 42 33 57 47
3 — THE SÉRUM
Le coiffeur parisien 5 étoiles David Mallett s’invite dans notre salle de bain avec son sérum gorgé d’huile de noix de macadamia à appliquer sur les longueurs des cheveux pour réhydrater et retrouver de la brillance. Deux gouttes plus tard, nos cheveux sont nourris, faciles à coiffer, beaux tout simplement. Hair Sérum de David Mallett : shop.david-mallett.com
4 — TOP COULEUR
Dans son salon-labo saturé de blanc, Frédéric Mennetrier nous en fait voir de toutes les couleurs. Cet expert, habitué des studios, pose son diagnostic sur notre chevelure et prépare sa potion magique sur mesure qui fait vibrer les pigments. Résultat ? C’est subtil, harmonieux, et natu-rel. L’Atelier blanc, 6, rue Mayran, 9e – Tél. 01 42 39 62 70
5 — INSOLITE
Pour Lionel Pariente, se faire couper les cheveux est un acte important. Fervent connaisseur de la psychanalyse, ce coiffeur vous révèle votre problématique et vous invite à prendre conscience de votre état inté-rieur en analysant votre cheveu. Bluffant. Salon de coiffure Hair The-rapy, 15, passage Gustave-Leupeu, 11e – Tél. : 01 46 59 25 67.
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Il vous suf"t de prononcer le mot magique le Bonbon au moment de payer et vous béné"cierez de l’offre annoncée !
Retrouvez encore plus de bons plans surwww.leBonbon.fr
© Wanda Szerauc
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la bonne idée
« Faire monter des danseurs amateurs sur scène »
Au diable les préjugés, qu’on en finisse ! Si vous êtes souples comme un verre de lampe et que vous faites partie de celles et ceux qui pensent ne pas pouvoir se dandiner sur des rythmes endiablés, alors arrêtez immédiatement votre pensée unique et courez voir Dora de Paula, professeur, chorégraphe et directrice artistique depuis 31 ans, à l’origine de l’Association Artistique Brésil.
« J’étais le vilain petit canard », dixit Dora de Paula, en France depuis 22 ans. D’origine brésilienne, c’est sur ses terres natales que sa passion prend forme grâce à une mère professeur de danse classique. Mais voilà, contrairement à ses 5 sœurs, Dora de Paula n’est pas dotée de tous les atouts nécessaires pour faire carrière dans le classique. Mais si elle n’a pas le corps pour, elle a en revanche le rythme dans la peau. Résultat ? Elle choisit très vite de se lancer vers l’univers des claquettes.
Quinze ans plus tard, Dora de Paula est à la tête d’une incroyable association de danse, implan-tée dans le 16e. « Un véritable petit village », nous
assure Dora de Paula, qui n’hésite pas à rajouter que cet arrondissement de l’Ouest parisien a « énormé-ment changé en 20 ans. Le quartier bouge beaucoup aujourd’hui, même si il n’est pas toujours évident de cohabiter et de faire accepter l’association car on perturbe beaucoup à cause des nuisances sonores. Il est primordial de dénicher une salle solide avec un sous-sol ».
Pas toujours facile donc, mais Dora de Paula dis-pose aujourd’hui de cinq lieux différents pour assu-rer les répétitions et les cours. Les salles Eugene Manuel, Paul Doumer, Métaforme, Lauriston et enfin le Théâtre du Ranelagh accueillent ainsi, chaque semaine, de nombreux amateurs et passionnés de danse, prêts à s’enrichir des secrets de la danse moderne.
Pilates, claquettes, éveil à la danse, street jazz, new style, modern jazz, hip hop et depuis peu la Zumba, très en vogue, sont autant de styles de danse que Dora de Paula, et les autres professeurs de l’asso-ciation, enseignent avec passion et engouement aux enfants, adolescents et enfin aux adultes. Car Dora de Paula ne fait pas les choses à moitié et propose
AABrésil
EH BIEN, DANSEZ MAINTENANT !
Texte Caroline JolivetPhoto Christine Mangin
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ainsi plusieurs formules pour satisfaire un maximum de monde. Si les adultes ont droit à des horaires adaptés dans la semaine, les enfants ont l’immense opportunité de participer au projet « Danse et Scène ».
« L’objectif est de faire monter des danseurs ama-teurs sur scène car je crois profondément en l’espoir et je pense que c’est une bonne façon de gérer son trac. La scène est une école pour la vie ». Sans sur-prise, ce projet, aussi ambitieux qu’il soit, est un véri-table succès depuis plusieurs années déjà. Après le Trianon, AA Brésil est finalement revenue au théâtre du Ranelagh, devenu une scène incontournable de quartier. Plusieurs représentations sont ainsi déjà programmées pour le mois de juin 2012.
Association Artistique BrésilDora de Paula
Tél. 06 60 92 88 07www.aabresil.com
La danse a donc bel et bien envahi le 16e. Si Dora de Paula a d’ores et déjà un agenda bien rempli grâce à ses cours et à ses répétitions, elle a encore des projets plein la tête comme l’enseignement de la capoeira. Un retour vers ses racines ?
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le bon agenda Agenda des manifestations culturelles
EXPOSITION
Diane ArbusDiane Arbus (New York, 1923-1971) a révolutionné l’art de la photographie. Par son talent à rendre étrange ce que nous considérons comme extrêmement familier, mais aussi à dévoiler le familier à l’intérieur de l’exotique, la photographe ouvre de nouvelles perspectives à la compréhension que nous avons de nous-mêmes.Jusqu’au 5 février. Jeu de Paume,1 place de la Concorde, 75008.www.jeudepaume.org
Baselitz SculpteurLe Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise une exposition consacrée aux sculptures de Georg Baselitz (né en 1938). Cette manifestation propose une lecture rétrospective d’un des aspects de l’œuvre de cet artiste allemand, d’abord peintre et graveur, en présentant, la quasi-totalité d’une production peu montrée en France qui s’étend sur plus de trente ans. Jusqu’au 29 janvier 2012.
Musée d’Art moderne de la Ville de Paris11 avenue du Président Wilson 75016.Tél : 01 53 67 40 00
ENFANTS
Chic, une grande maison ! Cette exposition-atelier propose aux enfants un voyage dans le temps à la rencontre d’une archi-tecture étonnante et de ses habitants. Ils revêtent les habits d’un architecte qui reçoit une commande surprenante : un hôtel particulier répondant aux besoins les plus farfelus d’un propriétaire extravagant.Pour les 7-12 ans. Jusqu’au 19 février 2012. Les mercredis et samedis à 15h30 et les lundis, mercredis, jeudis, vendredis et samedis pendant les vacances scolaires.Cité de l’architecture, 1 place du Trocadéro 75016. Tél : 01 58 51 52 00.
DANSE
William Forsythe/ Ballet Royal de Flandre Artifact
Entre virtuosité et lenteur parfois revendiquée, le chorégraphe américain écrit une histoire de la danse à sa façon. Enfin il se joue des mécanismes
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le bon agenda Agenda des manifestations culturelles
du théâtre avec ce lever de rideau de scène intempestif ou ces bribes de dialogue lâchées avec une insolence non feinte. Autant le dire, ou le répéter, Artifact est l’une de ses chorégraphies à voir au moins une fois dans sa vie de spectateur. Du 24 au 30 novembre à 20h30. Théâtre national de Chaillot 1, place du Trocadéro et du 11 Novembre. Tél. : 01 53 65 30 00
CINÉ
La source des femmesLe 2 novembre , réal. Radu Mihaileanu avec Leïla Bekhti, Hafsia Herzi, Biyouna. 5 nominations au Festival de Cannes. Cela se passe de nos jours dans un petit village, quelque part entre l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Les femmes vont chercher l'eau à la source, en haut de la montagne, sous un soleil de plomb, et ce depuis la nuit des temps.
Les AdoptésLe 23 novembre, réal. Mélanie Laurent. Co-écrit par notre Bonne étoile du mois Morgan Perez, avec Mélanie Laurent, Denis Ménochet, Marie Denardaud. Une famille de femmes que la vie a souvent bousculée mais qui est parvenue avec le temps à apprivoiser les tumultes. Les hommes ont peu de place dans cette vie et naturellement quand l'une d'entre elles tombe amoureuse, tout vacille.
SOIRÉE
By MarieOn aime les événements organisés par la jolie parisienne Marie Garreau, talent confirmé de soirées réussies (Chérie Chéri,festival de Cannes, etc.), et qui nous a déjà bien occupé cet été. Heureusement, on la retrouve cet hiver, et empreintes digitales se fait son partenaire particulier. Un bar cosy et ses salons privés, 250 à 350 fidèles
pour une ambiance à la fois branchée et conviviale. On s’enivre dans l’atmosphère feutrée de ce lieu chic et décontracté qui n’a plus à faire ses preuves…
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les bonnes adresses Régie [email protected]
06 45 60 28 71
1 — IANNELLO
17, Boulevard Exelmans - 75016 Tél : 01 46 47 80 08
2 — LE GARAGE
68 avenue de Versailles - 75016Tél : 01 45 27 38 89
3 — OPTIC CHARRON
57, rue Pierre Charron - 75008Tél : 01 53 76 33 84
4 — DIABOLO GRENADINE
67, avenue Mozart - 75016 Tél : 09 51 25 10 81
5 — LE BISTRO DA BASTIANO
7, rue Gros - 75016 Tél : 01 42 88 97 46
6 — BRASSERIE BAROCHE
101, rue de la Boétie - 75008 Tél: 01 43 59 69 57
7 — PURPLE BAR
57, rue de Courcelles - 75008Tél: 01 58 36 67 90
8 — COMPTOIRS RICHARD
143, rue de la Pompe - 75016 Tél: 01 47 55 01 41
9 — LA CHÂTELAINE
170, avenue Victor Hugo - 75116 Tél : 01 47 27 44 07
10 — LA COÏNCIDENCE
15, rue Mesnil – 75016 Tél.: 01 47 55 96 44
11 — LE GALION
10, allée du Bord de l’Eau - 75016Tél: 01 44 14 20 00
12 — CARRÉ DE…
12, rue Vignon – 75009Tél: 01 42 68 01 06
13 — AU FIL DES LETTRES
21, rue de l’Annonciation – 75016 Tél: 01 42 24 44 49
14 — MA BEAUTÉ INSTITUT
14, rue Rennequin - 75017 Tél: 01 46 22 88 26
15 — KOBERABA
35, rue de l'Annonciation - 75016Tél. 01 45 20 19 84
16 — SHOWROOM 147
147, rue de la Pompe - 75016Tél. : 09 50 14 81 63
