par la Miséricorde. - angouleme.catholique.fr · en « conversation » avec lui, à réorienter...

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Sommaire Dossier : St Jean Marie Vianney, apôtre de la miséricorde et de la conversion. p 2 - 3 Dossier : Le Curé d’Ars, témoin de la miséricorde de Dieu. p 4 - 5 Méditations ; pépites pour une vraie conversion ! p 11 Livres Coup de cœur p 10 Agenda Librairie « Le Monde de Théo » p 12 Eveil à la foi : La Farandole du Peuple de Dieu p 8 - 9 Nous laisser convertir par la Miséricorde. A peine avons-nous plongé dans l’amour de Dieu Père et dans sa miséricorde (ECHO n° 43), que nous entendons l’appel à convertir notre cœur pour l’ajuster à son amour ! Nous entendons alors Jésus nous dire qu’il ne suffit pas de dire «Seigneur, Seigneur » (Mt 7,21) ou « Je t’aime, je t’aime », mais qu’il nous faut agir concrètement : « Celui qui entend mes paroles sans les mettre en pratique est comparable à un homme insensé qui a construit sa maison sur le sable. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, les vents ont soufflé, ils sont venus abattre cette maison ; la maison s’est écroulée, et son écroulement a été complet. »Mt 7, 26 27. Jésus nous appelle à une réelle conversion, c’est-à-dire après être entrés en « conversation » avec lui, à réorienter notre marche pour avancer sur le chemin de l’amour, pour nous ajuster à son Père et à ce qu’il veut pour nous. C’est un chemin que nous ne pouvons emprunter, pas après pas, qu’avec la patience de notre humanité ! Les Saints sont des hommes et des femmes qui ont plongé dans l’amour de Dieu et ont accueilli sa miséricorde. Ils n’ont pas cessé de chercher à ajuster leur vie, leur cœur à cet amour pour en rayonner et en être témoin par leurs gestes, leurs choix, leurs paroles. Saint Jean-Marie Vianney, APÔTRE DE LA MISERICORDE, était persuadé que l’accueil du pardon de Dieu dans le sacrement de réconciliation -véritable sacrement de la miséricorde de Dieu- apportait la puissance de transformation nécessaire à la conversion de nos vies. Il passait des heures à accueillir les pèlerins dans son confessionnal ! Les saints sont pour nous des guides, des lampes sur notre chemin ! Ils nous accompagnent dans nos vies (comme dans le jeu de l’oie de la conversion p 6 7 qui fait suite à celui de l’ECHO n°43), car nous sommes tous appelés à la sainteté, à devenir saint, c’est-à-dire à nous convertir pour être ajusté à l’amour de Dieu dans la confiance en sa miséricorde infinie. Laissons-nous interpeller par les paroles et les appels du saint Curé d’Ars qui nous invite à redécouvrir la joie du sacrement de réconciliation et sa puissance de transformation. « La miséricorde de Dieu est comme un torrent débordé. Elle entraine les cœurs sur son passage » ( St Jean-Marie Vianney). Laissons-nous emporter par ce torrent et par sa puissance de conversion. Osons le vivre pour nous-mêmes, pour pouvoir ensuite en témoigner auprès des enfants et des familles que nous accompagnons ! Colette Decool Responsable du SDPC Service Diocésain de Pastorale Catéchétique Grand jeu de la CONVERSION : Jeu de l’oie à vivre à tout âge. p 6 - 7

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Sommaire Dossier :

St Jean Marie Vianney, apôtre de la miséricorde et

de la conversion. p 2 - 3

Dossier : Le Curé d’Ars, témoin de la miséricorde de Dieu. p 4 - 5

Méditations ; pépites pour

une vraie conversion ! p 11

Livres Coup de cœur p 10

Agenda Librairie « Le Monde de

Théo » p 12

Eveil à la foi : La Farandole du Peuple de Dieu

p 8 - 9

Nous laisser convertir

par la Miséricorde.

A peine avons-nous plongé dans l’amour de Dieu Père et dans sa miséricorde

(ECHO n° 43), que nous entendons l’appel à convertir notre cœur pour l’ajuster à

son amour !

Nous entendons alors Jésus nous dire qu’il ne suffit pas de dire «Seigneur, Seigneur » (Mt 7,21) ou « Je t’aime, je t’aime », mais qu’il nous faut agir concrètement : « Celui qui entend mes paroles sans les mettre en pratique est comparable à un homme insensé qui a construit sa maison sur le sable. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, les vents ont soufflé, ils sont venus abattre cette maison ; la maison s’est écroulée, et son écroulement a été complet. »Mt 7,

26 – 27.

Jésus nous appelle à une réelle conversion, c’est-à-dire après être entrés en « conversation » avec lui, à réorienter notre marche pour avancer sur le chemin de l’amour, pour nous ajuster à son Père et à ce qu’il veut pour nous. C’est un chemin que nous ne pouvons emprunter, pas après pas, qu’avec la patience de notre humanité !

Les Saints sont des hommes et des femmes qui ont plongé dans l’amour de Dieu

et ont accueilli sa miséricorde. Ils n’ont pas cessé de chercher à ajuster leur vie,

leur cœur à cet amour pour en rayonner et en être témoin par leurs gestes, leurs

choix, leurs paroles.

Saint Jean-Marie Vianney, APÔTRE DE LA MISERICORDE, était persuadé

que l’accueil du pardon de Dieu dans le sacrement de réconciliation

-véritable sacrement de la miséricorde de Dieu- apportait la puissance de

transformation nécessaire à la conversion de nos vies. Il passait des heures

à accueillir les pèlerins dans son confessionnal !

Les saints sont pour nous des guides, des lampes sur notre chemin ! Ils nous

accompagnent dans nos vies (comme dans le jeu de l’oie de la conversion p 6 –

7 qui fait suite à celui de l’ECHO n°43), car nous sommes tous appelés à la

sainteté, à devenir saint, c’est-à-dire à nous convertir pour être ajusté à l’amour

de Dieu dans la confiance en sa miséricorde infinie.

Laissons-nous interpeller par les paroles et les appels du saint Curé d’Ars qui

nous invite à redécouvrir la joie du sacrement de réconciliation et sa puissance

de transformation.

« La miséricorde de Dieu est comme un torrent débordé. Elle entraine les

cœurs sur son passage » ( St Jean-Marie Vianney).

Laissons-nous emporter par ce torrent et par sa puissance de conversion. Osons

le vivre pour nous-mêmes, pour pouvoir ensuite en témoigner auprès des enfants

et des familles que nous accompagnons !

Colette Decool Responsable du SDPC

Service Diocésain de Pastorale Catéchétique

Grand jeu de la CONVERSION :

Jeu de l’oie à vivre à tout âge. p 6 - 7

C'est presque banal de dire que saint Jean-Marie Vianney est un témoin lumineux de la Miséricorde, de l'amour sans condition de Dieu pour tout homme, et pour tout homme pécheur. Il l'a manifesté en se laissant consumer dans ce ministère de Réconciliation qui le

cloua jusqu'à la fin de sa vie au confessionnal. Cette mission particulière, il ne l'a pas choisie. Elle s'est imposée par l'afflux des milliers et milliers de pénitents qui déferlèrent dans ce petit village de la Dombes jusque là inconnu, pressentant qu'à travers ce pauvre prêtre si dépouillé de lui-même, toute la puissance du pardon de Dieu pouvait les rejoindre, les guérir, leur rendre un avenir, une espérance ! Peut-être devinaient-ils aussi que le Curé d'Ars était, lui le premier, un rescapé de la Miséricorde ! On le sait par ses biographes et les témoins de son temps : saint Jean-Marie Vianney fut tenté par le désespoir. Son sentiment d'incapacité face à la sublime mission de sauver les âmes, de les "gagner au Bon Dieu", faillit plus d'une fois lui faire quitter son poste et s'enfuir dans la solitude et la prière. Qu'est-ce qui le ramena et le décida définitivement de rester à Ars ? La compassion pour les âmes en détresse, assoiffées du pardon de Dieu ! "Le prêtre n'est pas pour lui... il est pour vous !" La Miséricorde a transformé sa manière d'être prêtre. On l'a vu s'assouplir, et abandonner peu à peu un rigorisme hérité du jansénisme encore tout proche. Il est devenu ce que le pape François appelle "un homme miséricordieux qui dit la vérité". Cet "amour d'entrailles", selon l'origine hébraïque du mot "miséricorde" se manifestait auprès de tous ceux qu'il rencontrait. Amour viscéral du Bon Pasteur qui donne sa vie pour ses brebis. En saint Jean-Marie Vianney, nous trouvons un témoin stimulant et toujours actuel de cette "force victorieuse de tout, qui remplit le cœur d'amour, et qui console en pardonnant" (Misericordiae vultus* n°9). Avec lui, nous sommes au cœur de l'Evangile!

*Bulle pour l’année de la Miséricorde.

CONTEMPLER ET IMITER LE CHRIST La manière d'être du Curé d'Ars montre le Christ. On est frappé par son amour de compassion pour les pécheurs, les pauvres, les malades, les plus petits. Chacun se sentait accueilli et "honoré" dans toutes les dimensions de son être. On dit qu'il accompagnait toujours ses "œuvres de miséricorde corporelles" (donner à manger aux affamés, donner à boire à ceux qui ont soif, vêtir ceux qui sont nus, accueillir les étrangers, assister les malades, visiter les prisonniers, ensevelir les morts (cf MV* n°15) d'une "œuvre de miséricorde spirituelle" (conseiller ceux qui sont dans le doute, enseigner les ignorants, avertir les pécheurs, consoler les affligés, pardonner les offenses, supporter patiemment les personnes ennuyeuses, prier Dieu pour les vivants et pour les morts id.). Il rappelle ainsi que la personne humaine est à honorer tant dans les besoins de son corps que de ceux de son âme, que l'homme a une âme qui ne peut être comblée que par Dieu.

Sa compassion envers les pécheurs s'exprime tout spécialement dans sa souffrance de pasteur face au manque de "repentir" qui freine ou empêche la conversion profonde. "Je pleure de ce que vous ne pleurez pas !... Il y en a beaucoup qui se confessent mais peu qui se convertissent !... C'est qu'il leur manque le repentir". Pour ressentir cette douleur d'avoir blessé l'Amour de Dieu et rendre ainsi notre cœur perméable à la grâce du sacrement, il invitait à contempler la Passion de Jésus dans une chapelle qu'il avait fait spécialement aménager pour cela. Belle pédagogie qui part de la révélation de l'amour de Dieu pour éclairer le péché et disposer à la "contrition" du cœur ! Combien de personnes, hier et aujourd'hui encore, ont ainsi retrouvé "la

« La miséricorde de Dieu est comme un torrent débordé ; elle entraîne les

cœurs sur son passage. » St Jean Marie Vianney. .

joyeuse annonce du pardon" ? (MV 10) Combien, grâce à lui, ont pu faire l'expérience que "le pardon est une force qui ressuscite en vie nouvelle et donne le courage pour regarder l’avenir avec espérance" ? (MV 10) "Oubliez le passé : vivez !" disait-il avec une audace qui semble si actuelle ! "Il est temps de revenir à l’essentiel pour se charger des faiblesses et des difficultés de nos frères." (MV 10) On sait comment il prenait sur lui d'accomplir les lourdes pénitences dont il ne voulait pas affliger certains pécheurs convertis !

SOYEZ MISERICORDIEUX COMME LE PERE

EST MISERICORDIEUX "Nous sommes invités à vivre de miséricorde parce qu’il nous a d’abord été fait miséricorde" (MV 9) Saint Jean-Marie Vianney se sait redevable de l'Amour de Dieu. Il se considère comme un rescapé de la Miséricorde et c'est peut-être pour cela qu'il y a consacré la plupart de son temps jusqu'à y épuiser ses forces. "Les pécheurs tueront le pécheur !" Mais le prêtre n'est-il pas "corps livré, sang versé" pour que tout homme se sache aimé de Dieu et croie que rien en lui n'est impardonnable ? "Voilà un homme qui fait tout ce qu'il dit". Ce témoignage sur le curé d'Ars résume bien le pourquoi de son étonnante notoriété ! Il y a une telle cohérence, un tel ajustement entre l'Amour qu'il reçoit de Dieu et l'amour qu'il donne par son cœur de pasteur livré aux âmes !

Qui, plus que lui, a conscience que "là où l’Eglise est présente, la miséricorde du Père doit être manifeste" (MV 12) et que "la crédibilité de l’Eglise passe par le chemin de l’amour miséricordieux et de la compassion" ? (MV 10)

AU COEUR DE L'EVANGILE

Les saints nous sont donnés comme compagnons de route. Leur chemin de sainteté offre à chacun des balises pour la vie humaine et spirituelle. Le saint Curé d'Ars nous redit que Dieu nous aime d'un amour sans condition : il n'a pas besoin de notre péché pour se pencher sur nous ! Il nous aime gratuitement ! C'est sa manière d'être Dieu !

Et c'est dans la lumière de cet Amour que nous pouvons entrevoir notre péché qui est toujours une blessure infligée à l'amour, en même temps que le pardon qui suscite le meilleur qui peut sortir de nous ! Ainsi, "touchés jour après jour par sa compassion, nous pouvons nous aussi devenir compatissants envers tous".

Oui, en accueillant et en pratiquant nous-mêmes cette Miséricorde, nous sommes au cœur de l'Evangile et de la révélation de Jésus-Christ ! Avec Marie, Mère de Miséricorde, avec l'Eglise professant et vivant la miséricorde comme l'essentiel de la révélation de Jésus-Christ à notre monde, dans le sillage lumineux de saint Jean-Marie Vianney, missionnaire de la Miséricorde, ne nous lassons jamais de l'offrir, soyons toujours patients pour encourager et pardonner. (cf MV 25)

Et que les paroles de l’Apôtre nous accompagnent : « Celui qui pratique la miséricorde, qu’il ait le sourire » (Rm 12, 8). Le curé d'Ars ne s'en est jamais départi !

Père Frédéric VOLLAUD, chapelain à Ars.

St Jean-Marie Vianney est né dans

une famille modeste le 8 mai 1789,

à Dardilly, à côté de Lyon. Dès son

plus jeune âge, il mène paître les

brebis et les ânes, participe aux

travaux des champs. Il a été berger

avant d’être pasteur ! Avec sa sœur

ils construisent une petite chapelle

à Marie dans le creux d’un saule et

prient. Ce qui étonne chez lui, c’est

la force de sa conviction et, la

certitude avec laquelle il suit sa

voie, avec sérénité, dès l’enfance.

Jean-Marie Vianney est né à la fin

de la Révolution Française. C’est le

temps de la Terreur et de l’exil

pour l’Eglise de France. Les prêtres

qui ne veulent pas de la nouvelle

constitution civile doivent partir.

St Jean-Marie Vianney va recevoir

sa première communion en secret,

avec d’autres enfants du village,

dans une chapelle improvisée dans

une maison, volets clos, des mains

d’un prêtre de l’Eglise clandestine.

A 14 ans, Jean-Marie Vianney

décide de devenir prêtre. Son père

n’est pas favorable car les études

coûtent cher. Jean-Marie

n’apprend à lire et à écrire qu’à

l’âge de 17ans.

Les études au séminaire ( en latin)

sont très compliquées pour lui et il

sera renvoyé. C’est l’abbé Balley

qui l’encourage, le soutient de son

amitié, l’aide dans ses études et

convainc de la nécessité de

l’ordonner car il est très pieux. Il

devient prêtre en 1815.

Après avoir assisté son maître,

l’abbé Balley, jusqu’à sa mort,

Jean-Marie Vianney est nommé

comme curé à Ars avec pour

consigne : « Il n’y a pas beaucoup

d’amour de Dieu à Ars, vous en

mettrez ! »

Perdu dans le brouillard, il dit à un

jeune berger qui lui indique son

chemin : « Tu m’as montré le

chemin d’Ars, je te montrerai le

chemin du ciel ». Il a le

pressentiment qu’un jour, ce tout

petit village ne sera pas assez

grand pour contenir la foule des

pèlerins.

Jean-Marie Vianney est un vrai

missionnaire. Il sillonne la

campagne à pied et va rendre visite

à tous les paroissiens, dans toutes

les fermes. Il leur parle de l’amour

de Dieu mais n’hésite pas à rendre

service et à participer aux gros

travaux dans les fermes.

Il se bat pour imposer le repos du

dimanche aux ouvriers agricoles et

laisser à chacun la possibilité

d’aller à la messe. Jean-Marie

Vianney est plein de bonté pour

chacun et rappelle sans cesse les

exigences de la foi et de l’amour.

Jean-Marie Vianney découvre très

vite que les filles sont encore plus

défavorisées que les garçons,

tenues écartées de l’école et

gardées dans l’ignorance. Pour lui,

enseigner le catéchisme

quotidiennement n’est pas

suffisant. Il fonde une école pour

former les futures mères de famille.

Deux jeunes filles acceptent d’en

devenir les institutrices bénévoles.

La maison de « La Providence »

est née. Elle accueillera filles et

orphelines en grand nombre.

Jean-Marie Vianney surprend tout le monde par le temps qu’il passe dans son église à prier. « Il semblait avoir choisi l’église comme domicile » ! La prière, la célébration de la messe sont les piliers de sa vie. Il passait des heures devant le tabernacle ne pouvant dire autre chose que « Il est là ! » Tous ceux qui étaient présents à la messe étaient bouleversés de ce lien si fort qui l’unissait au Christ et dans lequel il puisait ses forces.

Le Curé d’Ars est pauvre, il vit dans le dénuement le plus total. Toutes ses ressources vont à l’embellissement de son église, aux pauvres et aux enfants. Il s’abaisse toujours au niveau des plus pauvres pour mieux relever leur dignité. Il donne tout. Il échange le pain dur des mendiants contre son pain blanc. Il vend tout ce qu’il a jusqu’à son panier percé pour donner. Il manifeste par sa vie l’accueil inconditionnel et l’amour de Dieu pour chacun.

Deux miracles ont lieu à la Providence : il n’y avait plus de pain et de nombreuses bouches à nourrir. A la prière du Curé d’Ars, le grenier se remplit de blé la première fois ; la deuxième fois, le peu de pâte à pain qui restait dans le pétrain grossit jusqu’à faire une grande fournée de pain. Jean-Marie Vianney mettait toute sa confiance en Dieu. Mais il ne se sent pas à la hauteur de sa charge et ne reste curé d’Ars que par obéissance à Dieu.

Pour le Curé d’Ars, l’amour et la miséricorde de Dieu sont sans limite « L’amour est comme un torrent qui déborde » dit-il ! Il appelle chacun à plonger dans cet amour, à accueillir le pardon de Dieu et à se convertir pour vivre de cet amour. Son confessionnal ne désemplit pas et il accueille les pèlerins jusqu’à 17 heures par jour. Les chrétiens venus en foule redécouvrent grâce à lui le pardon de Dieu, la force du sacrement de réconciliation et l’importance de la conversion.

Le Curé d’Ars reste fidèle à sa mission jusqu’au bout de sa vie. Epuisé par sa vie totalement donnée, mais toujours rayonnant de l’amour de Dieu, il n’abandonne son confessionnal que 5 jours avant son décès. Sa mort fut simple et humble comme sa vie. « L’œil du monde ne voit pas plus loin que la vie, l’œil du chrétien voit jusqu’au fond de l’éternité. Les bons chrétiens ne meurent point, ils avancent chaque jour d’un pas vers le Paradis. »

Dès le lendemain de sa mort, en aout 1859 les pèlerins et les prêtres affluent à Ars. En 1925 l’Eglise déclare Jean-Marie Vianney ‘’saint’’. Parce qu’il se donnait totalement aux autres, qu’il passait son temps à prier et à rendre service et que toute sa personne respirait l’amour de Dieu, l’Eglise choisit St JM Vianney comme « saint patron des curés de l’univers ». Des pèlerins viennent à Ars du monde entier, particulièrement le 4 aout, jour de sa fête.

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Germaine 5

En camp de concentration : «Nous n’avons plus rien mais nous restons solidaires. C’est beau. »

Le Père Prod

Saint 5

« Loué sois-tu,

mon Seigneur, pour notre mère la Terre, qui nous porte et nous nourrit!»

Bse Mère 5 5

Si tu partages son pain et que tu sais y un morceau de ton coeu ALORS LA

Arrivée En me

convertissant à la

miséricorde, je

fais grandir la vie

et l’amour.

Pape François 14

« Le sacrement de réconciliation est la rencontre avec Jésus au cours de laquelle on touche du doigt sa tendresse »

Nelson Mandela 15

« Etre libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaines, c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.»

Jésus nous appelle 16 à la conversion « Ne vous faites pas de trésors sur la terre mais faites-vous des trésors dans le ciel. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. » Mt 6,20

17

Dans la cour je vais

chercher les enfants qui

sont tout seuls.

On est tous différents

c’est ce qui donne de la

couleur à la vie.

31

Devant un coucher de

soleil, une belle fleur, un

oiseau qui chante… je loue Dieu pour la beauté

de sa création.

Baden Powell 32

« La seule chose qui vaille la peine d’être vécue, est d’apporter un peu de bonheur dans la vie des autres. »

Jésus nous appelle 2 à la conversion

« Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. » Lc 6,36

Jésus nous appelle 12 à la conversion « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. » Jn 13,34.

13

Si chacun fait ce qu’il veut alors on ne peut pas vivre ensemble.

1 Se convertir c’est

accueillir l’amour

de Dieu et le

transmettre aux autres.

Jésus nous appelle 4 à la conversion

« Le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Evangile. » Mc 1,15.

18

Le problème ce n’est pas

d’être riche, c’est de ne

penser qu’à soi.

3

Choisir ce qui

est bon nous

rend libre.

Ladji Diallo 19 « Dans la chapelle,

quelque chose en moi

murmure :’’Laisse-toi aimer ! Moi, je veux te faire découvrir qui tu es, ta richesse, ta beauté.’’ Une paix extraordinaire m’enveloppe alors. ». Caïd de l’amour

Jésus nous 5 5

à la « Que votre Oui si c’est ’, non si c’est ‘’non’’.» Mat 5, 27

« La vérité rendra libre. »

Judas Tillion 5 « « Pour que les hommes vivent mieux ensemble, il faut commencer par aller voir son voisin. »

« Juda

Prodigue Départ

Plongé dans la miséricorde du Père, prenons le chemin de la conversion pour devenir miséricordieux avec tous ceux que

nous rencontrons.

Térésa 11

11

Si tu partag ton pain et que joindre tu s joindre ais joindr de ton cœur, ALORS LA PAIX VIENDRA. Teresa Les actions Je te traita

Jésus nous appelle 29 à la conversion

« Aimez vos ennemis, priez pour ceux qui vous font du mal. » Mt 5, 44

28

Porter des jugements et ne pas accueillir l’autre parce qu’il est différent c’est construire des murs entre nous

St Jean Marie Vianney 27

« La miséricorde de

Dieu est comme

un torrent

débordé ;

elle entraîne les cœurs sur

son passage. »

Abraham François 30

L «Loué sois-tu,

mon Seigneur, pour ceux qui pardonnent par amour pour toi ! »

10 Quand je joue au ballon

je fais attention aux

fleurs et aux plantes.

Je ne laisse pas couler

les robinets et je trie ce

que je mets dans la poubelle.

Jésus nous appelle 9 à la conversion

« Confiance, c’est moi ! N’ayez pas peur » Mt 14,27

Abbé Pierre 26 « La terre est à tous, solidairement. Nous sommes ensemble dépositaires et responsables de la paix et du bonheur. »

Jésus nous appelle 24 à la conversion « Chercher avant tout le Royaume de justice de Dieu. Alors Dieu vous donnera ce qu’il vous faut pour vivre. » Mt 6,33.

Soeur Emmanuelle 8

«L’existence devient passionnante quand on pense à aimer »

25

Ne pas partager c’est rester tout seul avec soi-même.

7

S’aimer les uns les

autres rend la vie

plus belle autour de

nous

Jésus nous appelle 6 à la conversion « Jésus le regarda et l’aima » Mc 10,21 Un regard d’amour peut redonner le goût de vivre et peut tout changer.

23

Quand une loi ne permet pas de protéger la vie, elle n’est pas bonne.

21

Pardonner c’est

essayer d’enlever

les barrières qui me

séparent de celui

qui m’a fait du mal.

appelle 20 conversion « Que votr parole soit Oui si c’es ’’oui’’, Non si c’est ‘’non’ Mt 5, 27

« La vérit vous rendra

libre. » Jn 8,32.

Maggy BARANKITSE 22

« Il nous faut essayer de

tourner la page qui nous

fait mal et élever tous ces

enfants pour qu’ils deviennent des

petites bougies de lumière, une

nouvelle génération pour une vraie

réconciliation. »

27 : St Jean-Marie Vianney. (1786 – 1859) Curé d’Ars, il fait de sa vie un témoignage de l’amour et de la miséricorde de Dieu. Il s’engage auprès des plus pauvres et transmet le pardon de Dieu à des milliers de personnes par le sacrement de réconciliation.

30 : St François d’Assise(1182-1226),

Religieux, diacre, il fait le choix de la pauvreté, chante la

joie et l'amour de la Création : Dame pauvreté et notre Sœur la Lune…

32 : Baden Powell. Il fonde le scoutisme pour apprendre aux jeunes à faire la paix. Il y teste ses idées

d'éducation par le jeu, basées sur l’indépendance, la confiance et le respect de la nature.

Règle du jeu de l’oie : « Se convertir pour devenir miséricordieux » ».

Matériel : le plateau de jeu ( p 6-7), un dé, un pion par joueur ( enfant ou adulte) But du jeu : Après avoir découvert la miséricorde de Dieu et avoir été accueilli dans les bras du Père ( jeu de la miséricorde Echo n°43), se convertir pour devenir miséricordieux et témoigner ainsi de la miséricorde de Dieu.. Règle du jeu : Chaque joueur lance à son tour le dé et avance son pion du nombre de cases correspondantes.

Cases blanches : Témoignages : ce que disent

les Saints ou de grands témoins d’aujourd’hui de la

miséricorde.

Cases bleues : cases Evangile : Jésus nous

conduit vers l’amour de son Père. Relancer le dé et

avancer d’autant son pion.

Cases marron : cases « péchés » : le péché

nous empêche d’avancer vers les autres et vers

Dieu : le joueur passe le prochain tour.

Cases vertes : Maximes de sagesse. Le joueur

peut montrer de la miséricorde à un autre joueur

qui est sur une case orange, en le « délivrant » de

son gage et en lui permettant de ne pas passer

son tour

Cases roses : je me suis converti : le joueur

peut choisir de faire avancer un autre joueur d’une

case.

Les gra Les témoins de notre jeu.

3 : Germaine Tillion. Elle est ethnologue. Toute sa vie elle va à la rencontre des autres. Pendant la seconde guerre mondiale elle fut une héroïne de la résistance. Elle se bat pour garder sa dignité au cœur de la barbarie subie. Elle est enterrée au Panthéon depuis mai 2015.

8 : Sœur Emmanuelle. Elle est religieuse. Elle enseigne le français en Turquie et en Tunisie. A l'âge de la retraite, elle s'installe avec les chiffonniers du Caire. Révoltée par la misère, elle se mobilise avec eux pour améliorer leurs conditions de vie.

11 : Bienheureuse Mère Térésa. Religieuse, pendant plus de 40 ans, elle consacre sa vie aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants, particulièrement auprès de personnes atteintes de maladies comme la lèpre, le sida ou la tuberculose, d'abord en Inde puis dans d'autres pays,

14 : le Pape François. Elu Pape en 2013, il témoigne sans cesse de la miséricorde de Dieu et appelle inlassablement l’Eglise et les chrétiens à l’attention aux pauvres et à la conversion.

15 : Nelson Mandela. Il a été l'un des dirigeants historiques de la lutte contre la ségrégation raciale (apartheid) avant de devenir président de la République d'Afrique du Sud.Après vingt-sept années d'emprisonnement dans des conditions souvent très dures, et après avoir refusé d'être libéré pour rester en cohérence avec ses convictions, il appelle à la non-violence et se bat pour la réconciliation.

19 : Ladj Diallo. Caïd des banlieues, sa rencontre de Dieu, sa conversion, le fait passer de la violence à la douceur et à l’amour. Devenu chanteur, acteur, il témoigne dans ses chansons, dans son livre de sa foi « Fils de Lumière » « Caïd de l’amour ».

22 : Maggy Barankitse. Burundaise, elle vit l’horreur de la guerre civile qui décime sa famille. Elle vient en aide aux orphelins de son pays qu’elle accueille et soigne… Elle se bat pour la paix.

26 : Abbé Pierre (1912 – 2007). Prêtre il se bat contre l‘exclusion et fonde « les

compagnons d’Emmaüs.

Rencontre d’Eveil à la Foi, pour la TOUSSAINT 1. Accueil.

Chant. Dialogue avec les enfants :

- Avez-vous déjà souhaité la fête de quelqu’un ?

- Comment sait-on que c’est sa fête ?

- Où pouvons-nous trouver la date des fêtes de tout le monde ?

L’animateur montre un calendrier, on cherche ce que veulent dire

les signes St ou Ste. L’animateur explique que ce sont les prénoms des Saints, ces hommes et ces femmes qui ont

accueilli l’amour de Jésus et en ont rayonné pendant toute leur vie. Aujourd’hui, ils sont morts mais vivants auprès de

Dieu. Il explique aussi qu’il y a tellement de chrétiens qui ont été témoins de l’amour de Jésus dans nos familles,

dans nos quartiers, dans notre histoire et qui aujourd’hui sont dans la lumière de Dieu … qu’ils ne peuvent pas tous

avoir leur place dans le calendrier, alors l’Eglise a choisi un jour pour tous les fêter en même temps : la Toussaint.

2. Activité en famille. A partir du calendrier. Chaque famille reçoit un petit calendrier et cherche s’il trouve

le prénom de l’enfant, des frères et sœurs, des parents. (L’animateur a un livre sur les

prénoms pour aider à chercher et trouver le jour de la fête pour ceux dont le prénom

n’est pas écrit sur le calendrier ou internet sur le site nomimis.cef.fr )

A partir des silhouettes.Chacun reçoit, découpe, dessine, colorie ( au choix !) une

silhouette sur laquelle il écrit son prénom : enfants et parents !

3. Célébration. Se déplacer vers l’espace célébration ( église, coin prière, oratoire…)

Temps du rassemblement : Chant. Venir apporter sa silhouette, la coller pour former une « farandole ».

L’animateur peut y ajouter quelques silhouettes représentant quelques saints connus (paroisse…). Regarder

ensemble la grande farandole : c’est la farandole des amis de Jésus, la farandole du peuple de Dieu !

Temps de la Parole : +Animateur : « Un ami de Jésus qui s’appelait Jean disait : vous êtes la grande famille

de Jésus, la grande famille de Dieu. N’ayez pas peur ! » Ecoutons-le !

+Lecteur, qui proclame le texte dans une Bible : « Je vois une foule immense, tellement grande que

personne ne peut la compter ! Il y a des saints de tous les pays de toutes les races, de toutes les

couleurs ! Il chantent : Gloire à Dieu ! Alléluia ! » ( d’après Apocalypse 7, 9-12). + Chant : Alléluia !

+Animateur : Mais il manque quelqu’un dans cette grande farandole ? Qui connait son nom ?

+Apporter une grande et belle silhouette représentant Jésus et l’ajouter dans la farandole.

+Animateur : avec Jésus nous sommes la famille de Dieu ! +

Chant : Alléulia !

Temps de la prière. Prendre un petit temps de silence en

regardant la farandole puis répéter quelques phrases : « Merci

Jésus de nous aimer.» «Merci Jésus de nous accueillir dans ta

famille.» « Merci Jésus pour tous tes amis qui nous apprennent à

t’aimer »…

Temps de l’envoi. Donner une petite carte à chacun avec son

prénom ou le prénom de son saint ( préparer les cartes à l’avance

et ajouter les prénoms pendant le temps de l’activité). Chant.

4. Goûter.

A la naissance et à son baptême, chaque enfant reçoit un pénom. Ce prénom le rend unique

aux yeux de ses parents et aux yeux de Dieu. Ce prénom le rattache aussi à tous ceux qui l’ont

précédé et qui ont porté ce même prénom.

L’Eglise se souvient particulièrement de certains chrétiens qui ont vraiment ajusté leur vie à l’amour

de Dieu qu’ils ont accueilli et dont ils ont voulu témoigner : ce sont les saints.

De nombreux chrétiens ont vécu dans cet amour et l’ont manifesté par leurs gestes et leurs paroles.

Aujourd’hui, ils sont morts mais vivants auprès de Dieu dans sa Lumière. L’Eglise se souvient d’eux et

les fête le jour de la TOUSSAINT.

THEO Seigneur, Tu nous

appelles à être saints, en enfants

de Dieu, qui reçoivent

tout de toi. Alléluia !

PLONGER DANS L’EVANGILE

AVEC MARC.

D de Eric Julien

Bien plus qu’une découverte du texte de Marc

« Plonger dans l’Evangile avec Marc »

facilite le 1er contact avec l’intégralité d’un Evangile. Toute sa richesse et ses subtilités se découvrent au fil de la lecture à travers différentes étapes, avec des pistes de réflexions, des prières : un cheminement à proposer à toute personne en recherche de sens et de foi. Editions CRER. Prix : 14€

Pour vos achats et vos commandes : Librairie catéchétique « Le Monde de Théo » :

A Angoulême : 226 rue de Bordeaux: 05 45 91 86 87. [email protected]

A Cognac : L’Escale, 91 rue A. Briand. 05 45 82 06 05. [email protected]

HISTOIRES DE JESUS

Cet Evangile pour enfants ( 5 – 9 ans), superbement illustré reprend une trentaine d’histoires sur Jésus ou racontées par Jésus. Les illustrations à chaque page sont belles et simples. Les histoires sont racontées dans une langue adaptée aux enfants, restent très fidèles aux textes évangéliques. A conseiller pour les enfants de catéchèse ou les grands d’Eveil à la Foi ainsi qu’à leurs parents. Les catéchistes et animateurs y trouveront un bon support pour raconter. Editions Lumen Vitaé et Averbode. 12€50.

Ces textes sont extraits du livre

« Oser la chair » Méditations sur l’incarnation. Cerf. Prix du livre de spiritualité Panorama/La Procure 2015. En vente dans notre librairie. 9€.

« Dieu partage tout, même sa sainteté. Etre miséricordieux, c’est ressembler à Dieu, c’est être parfait. La perfection n’est pas dans la morale, mais dans la miséricorde ; c’est vouloir la vie des autres, même de nos ennemis comme Dieu la veut. « Par ma vie, oracle du Seigneur Yahvé, je ne prends pas plaisir à la mort du méchant, mais à la conversion du méchant pour qu’il change de conduite pour avoir la vie. Convertissez-vous, revenez de votre voie mauvaise. Pourquoi mourir, maison d’Israël ? » Ez 33, 11. »

« La conversion n’est pas d’abord un changement de conduite ou une réforme morale, elle commence par la foi dans la Parole de Jésus. Je crois à la vie proposée par Dieu, j’accueille son salut. »

« La conversion n’est pas l‘effort démesuré pour se modifier et correspondre à un modèle idéal extérieur, pour enfin pouvoir oser approcher Dieu. Le seul changement possible est celui de la foi, et d’enfin croire la Parole : considérer que l’Evangile est une bonne nouvelle pour moi et y adhérer de tout mon être, reconnaitre que je suis aimé inconditionnellement par Dieu et l’agréer, croire assurément pour moi au salut par le Christ et accepter de me laisser sauver. Si je demeure dans cette assurance de l’amour, de la miséricorde, du salut, alors en effet, tout change et se renverse. »

« Le pécheur ‘’converti ‘’ – comme Madeleine, comme Zachée, comme le larron -, est celui qui peut confesser en vérité que son cœur a toujours été du côté de Dieu, même si son histoire peut paraître tortueuse. Une telle conversion est difficile et seul Dieu peut l’accomplir dans une âme perdue qui pourtant le poursuit éperdument. »

« La conversion n’exige pas une révolution de conduite mais bien un retournement profond qui touche l’âme et le cœur. »

« Le changement ardu consiste à ne plus me regarder comme un coupable définitif qui doit à toute force s’amender, mais d’abord croire à l’amour pour moi et accueillir la miséricorde qui m’installe debout devant Dieu au milieu de la création. Le reste suivra, c’est-à-dire la morale, mais aussi les vrais changements, la charité, le

service des autres…. »

Mardi 6, octobre 2015

RENCONTRE DES CATECHISTES RELAIS

9h30 – 16h00

Maison diocésaine

Samedi 10 octobre 2015 Rencontre EVEIL à la FOI 10h00 – 12h00 Maison diocésaine

Jeudi 26 novembre 2015 FORMATION DIOCESAINE DES CATECHISTES

« La miséricorde de Dieu, source de la conversion. »

9h30 – 16h30 Maison diocésaine

Jeudi 26 novembre 2015 Assemblée Générale de l’ADERA.

Soirée Contes bibliques

16h30 – 19h00 Maison diocésaine

Mardi 26 janvier 2016

RENCONTRE DES CATECHISTES RELAIS

9h30 – 16h00

Maison diocésaine

Mardi 8 mars 2016 FORMATION DIOCESAINE DES CATECHISTES

« La miséricorde de Dieu, source de son pardon »

9h30 – 16h30 Maison diocésaine

Mardi 3 mai 2016

RENCONTRE DES CATECHISTES RELAIS

9h30 – 16h00

Maison diocésaine

Mardi 7 juin 2016

RENCONTRE DES CATECHISTES RELAIS

9h30 – 16h00

Maison diocésaine

Mardi 21 juin 2016 RECOLLECTION DIOCESAINE DES

CATECHISTES

9h30 – 16h30

Formation d’approfondissement

Une formation d’approfondissement biblique et

théologique vous est proposée par le SDPC et le

diocèse dans les doyennés.

N’hésitez pas à prendre du temps pour vous : un

temps précieux pour nourrir votre foi et

dynamiser vos engagements !

Des dépliants avec le programme et le

calendrier sont à votre disposition dans les

paroisses ou sur le site : http://angouleme.catholique.fr/Approfondissement-

biblique-et-theologique-2015-2016

AGENDA 2015 - 2016

INFORMATIONS

Service Diocésain de la Pastorale Catéchétique, 226 rue de Bordeaux –

16021 Angoulême cedex tel : 05 45 91 96 03 Courriel : [email protected]

Nouveaux services.

Vous avez oublié les lumignons pour votre

prochaine rencontre de caté ? Pas de panique ! La libraire Le Monde de Théo en met à votre disposition maintenant ! La libraire Le Monde de Théo met depuis ce

printemps des aubes en location pour les

professions de foi ! Merci de faire passer l’info aux parents concernés !

Le SDPC est à votre disposition pour venir rencontrer les catéchistes pour la préparation de temps forts ou de projets de doyenné, pour des temps de relecture, pour l’élaboration de Dimanche Autrement en lien avec les communautés … N’hésitez pas à nous contacter !