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Eau, terre, vent, feu.Lorsque la nature parle l'homme se tait.

La terre a parlé fort. Fin mai 2010, c'est au tour du Guatemala d'écouter sa voix.

Un peuple qui a une longue histoire constante de tremblements de terre, de tempêtes tropicales, ouragans et éruptions volcaniques.

Il est temps que l'homme prenne conscience et agisse avec des actions, des mots, des pensées, toujours orientés vers la paix et l'harmonie,

pour rétablir l'ordre sur la planète, à partir de l'individu et le quotidien, dans la mesure des possibilités de chacun.

Le volcan Pacaya a parlé en duo avec la tempête tropicale Agatha. En voici les images.

Les ruisseaux de lave du Volcan Pacaya, près de la ville de Guatemala le 28 mai 2010. Pacaya est entré en éruption le jeudi 27 mai, tuant le journaliste Anibal Archila, qui présentait sur place les informations locales Noti7. (REUTERS/Daniel LeClair)

Une femme essaie de marcher dans la boue, provenant d’un éboulement causé par la tempête Agatha dans le quartier el Pedregal de Amatitlán, le 31 mai 2010. Les victimes de Agatha pleurent leurs maisons détruites et les équipes de secours ont sorti des corps de la boue dans la ville de Guatemala le lundi, suite aux pluies torrentielles qui causèrent au moins 179 morts dans plusieurs pays d’Amérique centrale. (REUTERS/Daniel LeClair)

Le cameraman Byron Secaida raconte son histoire après avoir été secouru près du volcan Pacaya, à proximité de la ville de Guatemala le 27 mai 2010. Byron travaillait avec le journaliste Anibal Archila qui est décédé durant l’éruption, alors même qu’il transmettait son reportage pour les nouvelles locales du Noti7. (REUTERS/Daniel LeClair)

Un homme montre les cendres volcaniques, qu’il a récupéré sur sa voiture ce 27 mai 2010 à Villa Nueva, provenant de l’éruption du Pacaya, à 50 km au sud de la ville de Guatemala. (JOHAN ORDONEZ/AFP/Getty Images)

Un avion de l’American Airlines, couvert de cendres, sur la piste de l’aéroport International de la ville de Guatemala. le 28 mai 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Tandis que les enfants sont évacués sur un autobus scolaire de la ville de Calderas, Guatemala, le vendredi 28 mai 2010, ils regardent par la fenêtre couverte de cendres après l'éruption du volcan Pacaya un jour avant. (AP Photo/Moises Castillo)

Un homme montre les points de suture qui lui ont été fait, suite à une blessure causée par une pierre volcanique au pied du volcan le 28 mai 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Des cendres volcaniques couvrent l’église et les maisons de Calderas, Guatemala, le vendredi 28 mai, 2010.(AP Photo/Moises Castillo)

Les habitants du village restent hors leurs maisons, par peur de nouvelles éruptions du volcan, à Calderas, San Vincente Pacaya, Guatemala. (JOHAN ORDONEZ/AFP/Getty Images)

Deux hommes observent la forte houle le 29 mai 2010, dans le port de San José, Escuintla, à 110 km au sud de la ville de Guatemala, lors de la première tempête tropicale de la saison, Agatha, qui s’est approchée provocant inondations et éboulements. (JOHAN ORDONEZ/AFP/Getty Images)

Des travailleurs nettoient les cendres du volcan Pacaya, pendant la tempête tropicale Agatha dans la ville de Guatemala.29 mai, 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Une jeune fille tente de faire drainer l'eau de pluie dans une rue à Amatitlán, au sud de la ville de Guatemala.Samedi 29 mai 2010. (AP Photo/Moises Castillo)

Les gens regardent la rivière Madre Vieja en crue, en raison des fortes pluies causées par la tempête tropicale Agatha à Patulul, Guatemala, le samedi 29 mai 2010. (AP Photo/Moises Castillo)

Les gens grimpent par une échelle improvisée sur un pont, dont une partie a été détruite par les crues, suite à la tempête tropicale Agatha, à Barberena, Guatemala le 30 mai 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Un habitant évacue la boue de sa maison après le débordement de la rivière Mico, après les fortes pluies de la tempête tropicale Agatha, à Amatitlán, Guatemala, le mardi 1er juin 2010. (AP Photo/Moises Castillo)

Des habitants parlent à l’entrée de leur maison, à moitié recouverte de boue après le débordement de la rivière Mico, causé par la tempête tropicale Agatha à Amatitán, Guatemala, le mardi 1er Juin 2010. (AP Photo/Moises Castillo)

Un homme est assis avec ses deux chiens, à l’endroit même où se trouvait sa maison à Amatitilán, Guatemala, le 30 mai 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Une femme pleure dans sa maison remplie de boue, après un glissement de terrain causé par la tempête tropicale Agatha, dans le quartier El Pedregal, à Amatitlán, le 31 mai 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Un soldat monte la garde auprès des denrées destinées aux victimes de la tempête tropicale Agatha le 1er Juin 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Des soldats déchargent les denrées destinées aux victimes d’Agatha à Retalhuleu, Guatemala le 1er juin 2010. Les routes et les ponts détruits ont compliqué les efforts des secours, après le passage d’Agatha sur l’Amérique Centrale, qui a enseveli bon nombre de maisons, et quittant la vie d’au moins 179 personnes. (REUTERS/Daniel LeClair)

Les inondations provoquées par la tempête tropicale Agatha à Retalhuleu, Guatemala le 30 mai 2010. (REUTERS/Casa Presidencial)

Les sauveteurs recherchent des victimes des glissements de terrain dans une localité appelée "19 de Mayo" à la ville de Guatemala le 30 mai 2010. (REUTERS/Doriam Morales)

Traces de mains faites avec de la boue, couvrant le mur d'une maison dans le quartier El Pedregal, à Amatitlán, Guatemala.31 mai 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Une femme nettoie la boue de sa maison, à Amititlán, Guatemala, le 30 mai 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Un garde de sécurité veille au bord d'un effondrement massif à la ville de Guatemala le 30 mai 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Vue d'un grand effondrement causé par la tempête tropicale Agatha, dans la ville de Guatemala le 31 mai 2010.(JOHAN ORDONEZ/AFP/Getty Images)

Vue sur le trou géant qui s'est ouvert dans la ville de Guatemala, avalant ainsi toute une intersection et un bâtiment de trois étages, le 1er Juin 2010. (REUTERS/Daniel LeClair)

Vue général de l’effondrement causé par les pluies de la tempête tropicale Agatha dans la ville de Guatemala. On estime que le trou mesure environ 30 mètres de diamètre et 60 mètres de profondeur. L'effondrement a eu lieu le samedi 29 mai avalant toute une fabrique de vêtements, à environ 5 km de l'endroit où avait eu lieu un effondrement similaire 3 ans auparavant. La fabrique de vêtements avait terminé ses horaires seulement 1 heure avant de sombrer dans la terre. (REUTERS/Casa Presidencial)

Photos et textes tirés deThe Boston Globe - The Big Picture - News Stories in Photographs

http://www.boston.com/bigpicture/2010/06/a_rough_week_for_guatemala.htmlCréation originale, conception graphique et remarques d'introduction, courtoisie de Carlos Rangel

avec la reconnaissance des photographeset de tous ceux qui ont rendu possible la publication de ces magnifiques photos sur le net

Traduction au français avec al collaboration de P.S.D. et de C.F.M.W.+Musique: Bye-bye Colonel

Merci de conserver ce dossier intactSantiago de Querétaro, Mex. Jun 2th, 2010

carlitosrangel@hotmail.comhttp://www.slideshare.net/carlitosrangel/