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Le Bulletin d’informations et d’analyses au service de l’immigration au Canada 56ème parution
Le prix des choses
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Marché du travail
P. 8location de maisons au QuébecVous avez ci-dessous des propositions de prix de
quelques maisons à louer au Québec
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université de Montréal / découverte :
Un canadien d’origine austro-hon-groise découvre le concept du stressrécente étude du conference board
Au Québec, les nouveaux arrivants choisissentdésormais de s’installer à Québec
iMMobilier
L’accessibilité à l’habitation atteint un niveauélevé au Québec
Troisième hausse consécutive dans le secteurde l’immobilier résidentiel à QuébecMarché du travail
Des milliers d’entreprises confrontées à un vaste déficit de main-d’œuvre
tourisMe
Un salon, 180 professionnels pour favoriser une intégration au marché du travail
activité portuaire
Québec compte accueillir 400 000 passagers de croisière d’ici 2025
Marché du travail
Le meilleur canal pour réussir son immigration
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economIe
Plusieurs entreprises québécoises parmi les mieux
gérées au Canada
Au cours de la période 2015-2024, le secteur
de la construction résidentielle québécoise
devrait avoir besoin de 18 700 travailleurs.
ConstruForce Canada, une entreprise qui
effectue des analyses de marché a été bien
formelle dans ce sens lorsqu’elle annonçait
les nombreux départs prochains à la
retraite dans la province québécoise.
Une nouvelle étude de l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques
(OCDE), classe le Canada parmi les pays ayant un système éducatif performant dans le monde.
Education
L’OCDE classe le système éducatif canadienparmi les meilleurs du monde
IndIce du bonheur dans le monde
Une étude de l’ONU classe le Canada au 5ème rang des pays
les plus heureux du mondeP. 8
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Besoin de 18 700 travailleurs qualifiés dans la construction résidentielle québécoise
Voici les travailleurs les plus recherchés en ingénierie ce printemps au Québec
Acces cANADA News
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Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
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Education
Une nouvelle étude de l'Organisation
de Coopération et de Développement
Economiques (OCDE), classe le Canada
parmi les pays ayant un système éduca-
tif performant dans le monde.
Sur les 76 pays pris en considération,
le Canada est arrivé à la dixième position
selon les résultats de l’étude intitulée :
« Les connaissances de base universelle :
les pays qui ont le plus à gagner ».
La première place a été occupée par les
systèmes d’éducation asiatique tandis
que des pays africains et certains pays
pourtant très riches comme l’Arabie
saoudite ont été enregistrés au bas du
tableau.
L'OCDE s'est notamment basée sur les
résultats aux tests internationaux PISA
(Program for International Student
Assessment) et TIMMS (Trends in
International Mathematics and Science
Study) pour réaliser son enquête.
L’objectif visé par l'OCDE est de donner
à tous les pays, riches ou pauvres, un
outil pour se comparer entre eux et de
voir les gains qu'ils peuvent tirer à long
terme d'un meilleur système d'éducation.
Les auteurs sont donc partis d'un
modèle mathématique qui les amène,
par exemple, à écrire que si le Ghana, qui
se trouve en queue de peloton, arrivait à
transmettre des connaissances de base
à ses enfants, son produit national brut
pourrait être multiplié par 38.
On retient d’après les auteurs de l'étude,
Eric Hanushek et Ludger Woessmann,
qu’il y a certes une différence entre les
pays qui consacrent au moins 50 000 US$
à l'éducation de chaque élève de 6 à 15
ans, « mais l'argent ne peut pas tout ».
En fait, certains pays qui consacrent au
moins cette somme à l'éducation natio-
nale se retrouvent parmi les pays les plus
performants, tandis que d'autres demeu-
rent toujours à la traîne. Au-delà de ces
50 000$ investis dans chaque élève, « laquestion n'est pas tant de savoir com-bien chaque pays consacre à l'éduca-tion, mais de quelle façon il le fait », note
l’étude qui indique surtout que la
richesse absolue d'un pays ne fait pas foi
de tout. Le cas des Etats-Unis en est un
exemple. Dans ce pays « 24% des jeunesAméricains ne réussissent même pas lepremier niveau des tests PISA ».
L’OCDE classe le système éducatif canadien parmi les meilleurs
du monde
L’OCDE classe le système éducatif canadien
parmi les meilleurs du monde
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56ème parution 3
Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
Comme le Canada, la performance de la
Pologne a été également saluée par les
auteurs de l’étude qui ont estimé qu’en
dépit de ses difficultés économiques, ce
pays a enregistré de beaux progrès en
matière d'éducation. En une décennie,
souligne-t-on, sa part d'élèves jugés « sous-performants » est passée de 22% à 14%.
Le Canada figure parmi les payspayant le mieux ses enseignants
L’étude de l’OCDE classe également le
Canada parmi les pays payant le mieux
ses enseignants avec une plus rapide
progression salariale :
« 11 ans pour arriver en haut de la grille,et 34 ans en France. Un enseignantcanadien avec 15 années d'expériencegagnait en 2011 environ USD 56.000,un Français entre USD 33.152 et36.000, et la moyenne OCDE entre USD36.000 et USD 41.000 ».
L’OCDE explique ce confort salarial au
Canada par l'importance d'une bonne
allocation des ressources. Ainsi, pour
chaque dollar canadien investi dans
l'éducation, 62,5% sont alloués aux
salaires des professeurs, légèrement au-
dessus de la moyenne de 62% dans
l'OCDE.
773.000 professeurs et éducateurs
enseignent en moyenne 740 heures par
an en secondaire, et 799 heures tous
niveaux confondus, ce qui correspond à
60% de leur temps total de travail, face à
une moyenne de 782 heures dans
l'OCDE.
Au Canada, les accords interprovinciaux
donnent la possibilité à un professeur
d’enseigner dans tout le pays, et de pos-
tuler aux postes qui l'intéressent.
L’étude de l’OCDE permet de compren-
dre qu’il est formé tout au long de sa car-
rière, et gère sa formation continue de
manière personnelle.
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Pays Palmarès
Singapour
Hong Kong
Corée du Sud
Japon
Taipei chinois (Taiwan)
Finlande
Estonie
Suisse
Pays-Bas
Canada
Découvre ci-dessous, les 10pays où les élèves réussissent
le mieux au monde, selonl’étude de l’OCDE :
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L’économie canadienne
En brèves…Journées Québec, prIntemps 2015
Les employeurs québécois à la rencontre des travailleurs européens
affaIres
Fortes intentions d’entreprendre chez les Québécois
Au cours du printemps 2015, plusieurs
chefs d’entreprises du Québec iront à la
rencontre des travailleurs européens.
Cela s’inscrit dans le cadre des ‘’Journées
Québec’’. Un évènement initié par la pro-
vince depuis 2008 et qui demeure une
occasion pour les candidats qualifiés de
rencontrer des employeurs du Québec et
pour les employeurs québécois de trouver
des travailleurs qualifiés dans des sec-
teurs ciblés du marché du travail.
Les journées Québec de cette année
ouvrent le bal en printemps à Paris le 30
et le 31 mai 2015.
Les travailleurs ciblés au cours de cette
édition doivent avoir quelques années
d'expérience dans des domaines précis
comme l'ingénierie, les jeux vidéo, la res-tauration, la finance, l'ébénisterie, l'élec-tromécanique, l'usinage, la tôlerie, legénie mécanique, les technologies de l'in-formation et des communications, la
santé et l'aérospatiale.
Il faut noter que depuis le lancement de
l’activité de recrutement en 2008, près de
1 500 personnes ont été embauchées.
Les Journées Québec demeurent ainsi
une véritable activité de recrutement
international. Elles se tiennent annuelle-
ment dans plusieurs pays d’Europe. Elles
donnent à une vingtaine d’entreprises du
Québec la possibilité de pourvoir à plusieurs
centaines de postes dans des secteurs
ciblés.
Le deuxième rapport annuel sur la situa-
tion de l'activité entrepreneuriale de
l'Université du Québec à Trois-Rivières
(UQTR) indique une hausse des intentions
dans la province.
En effet, selon le rapport établi grâce à un
sondage effectué par téléphone auprès
de 2749 personnes au Canada d'avril à
juin dernier, 79% des personnes interro-
gées voient l'entrepreneuriat comme un
bon choix de carrière, contre un sur deux
ailleurs au pays.
Les employeurs québécois à la rencontre des travailleurs européens
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56ème parution 5
Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
Chez les jeunes, l'intention de bâtir une
entreprise bondit à 28,5% au Québec et à
13,8% dans les autres provinces.
« Nous sommes dans le peloton de tête,affirme Étienne St-Jean, professeur ensciences de la gestion à l'Université du
Québec à Trois-Rivières (UQTR) et co-auteur du rapport. C'est la première foisdepuis au moins une quinzaine d'annéesque nous assistons à un changement(d'attitude) par rapport au reste duCanada. »
Les acteurs du monde électronique qué-bécois s’apprêtent à lancer dans
quelques jours, un site web qui devraitleur permettre de faire croître leur secteur.Il s’agit en effet de la plateforme vaen-ligne.com prévue pour être lancé exacte-ment en automne 2015.
Il faut noter qu’au Québec, il a été enregis-tré ces dernières années un véritableengouement en ce qui concerne l’achaten ligne au Québec.
Ce site internet devrait donc permettreaux acteurs du monde électronique de
créer une véritable identité québécoisedans le domaine.
Au cours de la période 2015-2024, le sec-teur de la construction résidentielle qué-
bécoise devrait avoir besoin de 18 700 tra-vailleurs.ConstruForce Canada, une entreprise quieffectue des analyses de marché a été bienformelle dans ce sens lorsqu’elle annonçaitles nombreux départs prochains à la retraitedans la province québécoise.Dans l'ensemble du Canada, 129 000 tra-vailleurs qualifiés seront requis et devrontconcerner la rénovation et l'entretien denombreux investissements par année. « Notre rapport fait état des besoins particu-
liers des employeurs du secteur de laconstruction résidentielle et des difficultésauxquelles ils font face », indique RosemarySparks, Directrice Générale de ConstruForceCanada.« En effectuant le suivi des cycles de laconstruction de nouvelles habitations, dit-elle, des tendances en matière de rénova-tion et des départs à la retraite imminentsde travailleurs de ce secteur clé, nousaidons les employeurs à prendre des déci-sions éclairées relativement à leurs besoinsen main-d'œuvre. »
Un site web pour faire croître le commerce électronique au Québec
marché du travaIl
Un site web pour faire croître le commerce électronique au Québec
marché du travaIl
Besoin de 18 700 travailleurs qualifiés dans la constructionrésidentielle québécoise
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56ème parution 6
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Une analyse minutieuse des diffé-
rentes Enquête sur la Population
Active (EPA) fait remarquer l’importante
croissance de l’emploi constatée ses 12
derniers mois dans la province du Québec.
Le Québec aurait enregistré plus d’em-
plois à temps plein que l’Ontario et
l’Alberta mis ensemble au cours de ces
12 derniers mois.
Le Québec a obtenu 11 500 emplois de
plus en avril tandis que le mois dernier,
38 600 nouveaux emplois à temps plein ;
d’où 81 % des emplois à temps plein au
cours de cette période en faveur du pays.
Depuis les 12 derniers mois, l’économie
du Québec a ajouté 68 700 emplois,
dont 57 800 à temps plein.
La croissance des emplois au Québec
s’est observée surtout dans le secteur
privé avec un gain de 55 900, contre 9 100
emplois supplémentaires dans le secteur
public. En fait, 74,2 % des emplois ajou-
tés dans le secteur privé canadien
depuis un an, l’ont été au Québec.
Selon le récent communiqué de
l’Enquête sur la Population Active
paru le 08 mai dernier, le marché du tra-
vail canadien a connu une augmentation
significative dans les provinces de
l’Alberta et de Terre-Neuve-et-Labrador.
La première province a enregistré 13 000
nouveaux emplois au cours du mois
d’avril 2015 contre 2 200 nouveaux
emplois dans la seconde province au
cours de la même période.
Le marché de l’emploi, selon la récente
Enquête sur la Population Active (EPA)
publiée par Statistique Canada, a enregis-
tré des croissances dans les secteurs des
services aux entreprises, des services
relatifs aux bâtiments et aux services de
soutien et de la fabrication.
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Le Québec enregistre plus d’emplois à temps plein que l’Ontario et l’Alberta
marché du travaIl au cours des 12 dernIers moIs
Le Québec enregistre plus d’emplois à temps plein quel’Ontario et l’Alberta
canada
Croissance de l’emploi en Alberta et à Terre-Neuve-etLabrador en avril
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56ème parution 7
Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
Sur le plan national, l’emploi a progressé
de 139 000 au cours des 12 derniers
mois à cause de la vigueur du travail à
temps plein.
Pour un troisième mois consécutif, le taux
de chômage s’est maintenu à 6,8% au
cours du mois d’avril 2015.
Découvrez ci-dessous, les taux de chô-mage des différentes provinces duCanada. Ils sont issus du récent communi-qué de l’Enquête sur la Population Active(EPA) pour la période de mars à avril2015.
Vous avez ci-dessous, les taux de chômage dans les grandes villes du Canada au coursde la période de mars à avril 2015.
— Saint-Jean (Terre-Neuve-Et-Labrador) ....... 6,2 % de mars 2015 à 6,4 % en avril 2015
— Halifax (Nouvelle-Ecosse)........................... 6,4 % de mars 2015 à 6,8 % en avril 2015
— Québec (Québec)......................................... de 5,3% à 5,3%
— Trois-Rivières (Québec)............................... de 6,4% à 5,0%
— Sherbrooke (Québec).................................. de 7,4% à 6,9%
— Montréal (Québec)...................................... de 7,5% à 7,7%
— Gatineau (Québec)...................................... de 7,2% à 6,9%
— Toronto (Ontario)..........................................de 7,3% à 7,3%
— Winnipeg (Manitoba)................................... de 6,3% à 6,1%
— Regina (Saskatchewan).............................. de 4,9% à 4,7%
— Saskatoon (Saskatchewan)........................ de 5,2% à 5,1%
— Calgary (Alberta).......................................... de 5,2% à 5,3%
— Edmonton (Alberta)..................................... de 5,3% à 5,8%
— Vancouver (Colombie-Britannique)............ de 6,0% à 6,1%
— Victoria (Colombie-Britannique)................. de 5,0% à 6,1%
Alberta…………..........................................................…de 5,5 % à 5,5 %
Saskatchewan…….............................................…....….. de 4,4 % à 4,3 %
Manitoba …………......................................................... de 5,4 % à 5,5 %
Colombie- Britannique.................................................... de 5,8 % à 6,3 %
Ontario………....…....................................................…. de 6,9 % à 6,8 %
Québec…......................................................................... de 7,5 % à 7,4 %
Nouvelle-Ecosse….......................................................... de 9,1% à 9,3 %
Nouveau-Brunswick….................................................... de 10,1 % à 10,1 %
île-du-Prince-Edouard…................................................. de 11,0 % à 09,9 %
Terre-Neuve-et-Labrador ................................................ de 13,3 % à 12,6 %
Taux de chômage / mois de mars à avril 2015
Provinces canadiennes
marché de l’emploI
Taux de chômage en avril 2015 dans les grandes villes du Canada
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56ème parution 8
Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
Le Canada fait partie des pays les plusheureux du monde. Cette annonce a
été mentionnée dans le tout récent rap-port produit par le Réseau des solutionspour le développement durable del'ONU.
Selon cette étude, le Canada est le 5e
pays au monde où les habitants sont lesplus heureux.C’est la Suisse qui tient la tête duclassement suivie de l'Islande, duDanemark et de la Norvège.
Plusieurs indicateurs ont permisd’aboutir à ce classement à savoir leproduit intérieur brut par habitant, l'es-pérance de vie, le soutien social, laconfiance, la perception d'avoir la libertéde prendre des décisions concernant savie et la générosité.
Pour fermer le top 10, la Finlande, lesPays-Bas, la Suède, la Nouvelle-Zélandeet l'Australie viennent s’ajouter à cetteliste publiée par le Réseau des solutionspour le développement durable del'ONU.
Le Palais des Congrès de Montréal aréuni au cours du mois de juin un
marché de l’emploi dénommé Salon del’Immigration et de l’Intégration auQuébec (SIIQ).
Il s’agira pour les 180 professionnels quiseront présents d’offrir et de présenterdifférentes ressources concernant la
recherche d’emploi, la formation, l’entre-preneuriat, le réseautage, l’installation,le logement, l’immigration, la vie quoti-dienne, etc.Jobboom, une entreprise de communi-cation spécialisée dans le monde du tra-vail et la recherche d'emploi au Canadasera également présente à ce salonsous plusieurs formes :
Une étude de l’ONU classe le Canada au 5ème rang des pays les plus heureux du monde
IndIce du bonheur dans le monde
Une étude de l’ONU classe le Canada au 5ème rang des pays les plus heureux du monde
tourIsme
Un salon, 180 professionnels pour favoriser une intégration au marché du travail
société…
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56ème parution 9
Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
La première forme réside dans l’activité« Recrutement express » destinée à per-mettre aux participants de rencontrerdes entreprises de leur secteur d’acti-vité qui cherchent à recruter de nou-veaux employés.
La seconde forme est une conférencesur l’emploi en Technologies del’Information (TI). Soutenus par desrecruteurs du secteur des technologiesde l’information, les conférenciersdevraient aborder plusieurs enjeux tou-chant le marché de l’emploi dans ce
secteur en pleine croissance : besoinsde main-d’œuvre, profils recherchés,reconnaissance de la formation, compé-tences requises, et bien plus encore.
La troisième et dernière forme de parti-cipation de jobboom à ce salon résidedans l’activité : kiosque d’informationqui devrait permettre aux participantsd’apprendre davantage sur les servicesde Jobboom et de découvrir commentcette structure peut les aider à dénicherun emploi dans leur domaine d’activité.
Les travailleurs québécois accorde-
raient beaucoup plus d’importance à
leur réussite professionnelle dans le
sens de la contribution apportée à l’en-
treprise qu’à leur rémunération.
Cette conclusion provient de l’Ordre des
conseillers en ressources humaines
agréés après une petite enquête auprès
du public.
On retient que la réussite a été le profil
de motivation le plus populaire (43%),
alors que le plaisir lié aux tâches et à
l'environnement de travail a été bon
deuxième (33%). L'équilibre entre la vie
personnelle et le travail a été retenu par
15% des répondants. Le niveau de vie,
lié à la rémunération, est arrivé en der-
nière position avec 9% des réponses.
« Cela déconstruit donc la croyanceselon laquelle la rémunération est lasource de motivation la plus recher-chée, affirme Florent Francoeur, PDG del'Ordre. C'est plutôt un facteur qui peutdémotiver si jugé inadéquat par le tra-vailleur. »
société…
Les Québécois tiennent plus à leur réussite professionnelle qu’à la paie
economIe
Les Québécois tiennent plus à leur réussite professionnellequ’à la paie
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56ème parution 10
Plusieurs entreprises québécoises se
retrouvent parmi les mieux gérées
au Canada suite au concours initié par
la firme Deloitte.
En effet, douze entreprises québécoises
viennent ainsi se tailler une place
parmi les mieux gérées au Canada et
permettent ainsi au Québec de battre
le record de neuf lauréates établies en 2012.
La gestion des ressources humaines
par les entreprises a été l’un des fac-
teurs qui aurait milité en faveur de la
province du Québec dans cette perfor-
mance.
L’amélioration de la situation écono-
mique québécoise, selon certains spé-
cialistes explique davantage ce résultat
qui classe les sociétés québécoises
parmi les mieux gérées au Canada.
« Les dernières années, c'était plus diffi-cile au Québec, alors que ça allait mieuxdans d'autres provinces comme dansl'Ouest canadien, explique BrigitteVachon, associée et leader chezDeloitte Société privée. On avait de ladifficulté à aller chercher les entreprisesqui pourraient remplir tous les critèresdu concours. Certaines ont fait preuvede prudence dans les dernières années,et c’a fini par payer.»
Mme Vachon insiste surtout sur la ges-
tion des ressources humaines des
entreprises qui selon elle, « accordentbeaucoup d'importance à la gestion des
talents, pour attirer les meilleurespersonnes et les garder ». Elle cite
aussi en exemple des entreprises qui
n'hésitent pas à envoyer leurs hauts diri-
geants pendant plusieurs semaines
dans de grandes universités, comme
Harvard, afin d'améliorer leur direction
et leur gestion.
Cette initiative de la firme Deloitte a per-
mis de recenser 12 nouvelles lauréates
au Québec, ce qui place la province en
deuxième place au pays ; 19 nouvelles
lauréates en Ontario, ce qui la place au
premier rang au Canada ; 16 entreprises
québécoises membres du Club platine,
soit parmi les sociétés les mieux gérées
depuis sept ans et plus ; 375 entre-
prises canadiennes font partie des
sociétés les mieux gérées ; 50 entre-
prises québécoises font partie des
sociétés les mieux gérées ; 3 autres pro-
grammes semblables sont organisés
par Deloitte, soit en Irlande, aux Pays-
Bas et au Mexique...
Découvrez ci-dessous quelques nouvelles entreprises lauréates
québécoises à ce concours :> Boire et frères
> Croesus Finansoft
> Distech Controls
> F. Ménard
> Fenplast portes et fenêtres
> Le Groupe Maurice
> Locweld
> Pelican International
> South Shore
economIe
Plusieurs entreprises québécoises parmi les mieux gérées au Canada
Les nouvelles duLes nouvelles du QuébecQuébec
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56ème parution 11
L'administration portuaire souhaite
accueillir annuellement 400 000
passagers d'ici 2025. Cela s’inscrit dans
le cadre d’un projet d’infrastructure de
croisière dénommé : « Québec, destina-tion phare sur le Saint-Laurent ».
L’objectif visé à travers cette initiative
est d'améliorer par exemple la capacité
d'accueil des navires de grande taille,
d'accroître l'expérience client avec un
deuxième terminal répondant aux
normes d'accueil internationales et de
répondre aux besoins logistiques des
navires pour les opérations d'embarque-
ment et de débarquement.
Cela devrait également générer de
nombreux emplois, selon les acteurs du
secteur.
Les maisons sont devenues plus abor-dables dans la province du Québec.
L’Indice d'abordabilité Desjardins, publiéil y a quelques semaines indique quel'accessibilité a connu une hausse de138,2 points au Québec : un plus hautniveau depuis le premier trimestre de2011 contrairement à l'ensemble duCanada où cet indice est en baisse de116,9 point.
Au Québec, les régions de Montréal,Québec, Saguenay et Gatineau onteffectué des progrès avec la stabilitédes prix. Trois-Rivières et Sherbrookesont devenus un peu moins abordables.« La faiblesse persistante des taux hypo-thécaires et l’amélioration du marchédu travail québécois devraient redonnerun peu de vigueur aux transactions »,
confie l'économiste Chantal Routhier.Selon elle l’on a bien de raison à resteroptimiste dans ce secteur : « Commel’offre de résidences demeure supé-rieure à la demande, l’évolution du prixde vente restera contenue au cours desprochains trimestres.», conclut-elle.
Les nouvelles duLes nouvelles du QuébecQuébec
L’accessibilité à l’habitation atteint un niveau élevé au Québec
Québec compte accueillir 400 000 passagers de croisière d’ici 2025
ImmobIlIer
L’accessibilité à l’habitation atteint un niveau élevé au Québec
actIvIté portuaIre
Québec compte accueillir 400 000 passagers de croisière d’ici 2025
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56ème parution 12
Les nouvelles duLes nouvelles du QuébecQuébechabItatIon
Troisième hausse consécutive dans le secteur de l’immobilier résidentiel à Québec
Le marché immobilier de la région de
Québec a affiché pour un troisième
mois consécutif, une hausse des ventes
de propriétés résidentielles au cours du
mois d'avril.
C’est ce qui ressort des récentes don-
nées compilées par la chambre immobi-
lières de Québec (CIQ).
Il en ressort que les arrondissements
de la Haute-Saint-Charles et de
Charlesbourg se sont particulièrement
démarqués en avril.
Le territoire de la Haute-Saint-Charles a
connu une croissance de ventes de pro-
priétés unifamiliales de 28% de plus
qu’en 2014 avec un prix de vente
médian, en hausse de 8%, ayant atteint
250 000$. Cette croissance est de 34%
à Charlesbourg avec un prix médian resté
stable à 241 500$.
A Lévis, selon les données compilées
par la chambre immobilières de Québec
(CIQ), le mois d’avril s’est conclut avec
une hausse de 25% des ventes de pro-
priétés unifamiliales pour un prix de
vente médian établi 261 250$.
De façon générale dans la ville de
Québec, l’on pourrait retenir qu’au
cours du mois d’avril, 531 propriétésunifamiliales ont été vendues par l’en-tremise d’un courtier immobilier, soitune augmentation des ventes de 19%par rapport à la même période l’an
dernier. Le prix de vente médian a pro-gressé de 3% pour s’établir à 256 000$.Les copropriétés ont également été
convoitées en avril alors que 182 unités
ont trouvé preneur, une hausse de 12%
par rapport à l’an dernier. Le prix de
vente médian est de 186 500$, une
diminution de 7%.
Classifications : type de construction
résidentielle au Canada
La variable relative au type de construction
résidentielle permet de classer les logements
privés dans les neuf catégories mutuellement
exclusives suivantes : maison individuelle non
attenante, maison jumelée, maison en ran-
gée, appartement ou plain-pied dans un
duplex, appartement dans un immeuble de
cinq étages ou plus, appartement dans un
immeuble de moins de cinq étages, autre mai-
son individuelle attenante, habitation mobile et
autre logement mobile.
Le Dictionnaire du Recensement de 2011, no
98-301-X au catalogue, donne la définition de
chaque type de construction résidentielle.
1. Maison individuelle non attenante : Un loge-
ment individuel non joint à aucun autre loge-
ment ou construction (sauf à son propre
garage ou hangar). Une maison individuelle
non attenante est entourée d'espaces libres
et n'a aucun logement au-dessus ou en dessous.
Une habitation mobile installée en perma-
nence sur des fondations doit être considérée
comme une maison individuelle non atte-
nante.
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Suite à la page 13
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56ème parution 13
Les nouvelles duLes nouvelles du QuébecQuébec
2. Maison jumelée – Un de deux logements
réunis côte à côte, par un mur commun,
mais non joint à aucun autre logement ou
construction (sauf à son propre garage ou
hangar). Un logement jumelé n'a aucun
logement au-dessus ou en dessous et les
deux unités réunies sont entourées d'es-
paces libres.
3. Maison en rangée – Un logement dans
une rangée d'au moins trois logements réu-
nis côte à côte (ou parfois réunis par un
des côtés d'un logement et l'arrière de l'au-
tre logement), comme une maison en
bande ou une maison-jardin, mais sans
aucun autre logement au-dessus ou en
dessous (...).
4. Appartement ou plain-pied dans un
duplex – Un de deux logements superposés.
5. Appartement dans un immeuble de cinq
étages ou plus – Un logement dans une
tour d'habitation qui a cinq étages ou plus.
Sont également inclus les appartements
dans un immeuble qui compte cinq étages
ou plus et dont le premier et/ou le
deuxième étage sont occupés par des éta-
blissements commerciaux.
6. Appartement dans un immeuble de
moins de cinq étages – Un logement joint à
d'autres logements ou à d'autres locaux
commerciaux ou non résidentiels, dans un
immeuble de moins de cinq étages.
7. Autre maison individuelle attenante –
Un logement individuel joint à un autre
immeuble et qui ne se classe dans aucune
des autres catégories, comme un logement
individuel réuni à une construction non
résidentielle (p. ex. un magasin ou une
église) ou occasionnellement à une autre
construction résidentielle (p. ex. un immeuble
d'appartements).
8. Habitation mobile – Un logement indivi-
duel conçu et construit pour être trans-
porté sur son propre châssis et que l'on
peut déplacer sans grand délai. Il peut
reposer temporairement sur des fonda-
tions comme des blocs, ou un support pré-
paré à cet effet, qui peuvent être recou-
vertes d'une jupe.
Une habitation mobile doit respecter les
deux conditions suivantes :
• Elle est conçue et construite pour être
transportée sur son propre châssis en une
seule pièce.
• Elle peut être déplacée sans grand délai.
Compte tendu de la façon dont elle est
construite, il est facile de l'installer à un
nouvel emplacement : il suffit de débrancher
les services publics, de l'attacher à un train
de roues standard et de la déplacer, le tout sans
que des travaux considérables de rénova-
tion et de construction soient nécessaires.
9. Autre logement mobile – Un logement
individuel, autre qu'une habitation mobile,
utilisé en tant que résidence, mais que l'on
peut déplacer sans grand délai tel qu'une
tente, un véhicule de plaisance, une rou-
lotte de voyage, un bateau-maison ou une
maison flottante.
Source : Statistique Canada (Extrait du Guide de référencepour type de construction résidentielle et logements collec-tifs, Recensement de 2011)
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56ème parution 14
Les nouvelles dans les
Autres Provinces Canadiennes
marché du travaIl
Des milliers d’entreprises confrontées à un vaste déficit de main-d’œuvre
Plusieurs travailleurs étrangers tem-
poraires devraient finir légalement
leur séjour au Canada d’ici juillet 2016.
Cela répond aux dispositions du nou-
veau programme « Les Canadiensd'abord » du gouvernement fédéral en
vigueur depuis juillet de l’année dernière
et opérationnel au Québec, à partir du
mois de mai 2016.
Conséquence : le nombre de travailleurs
étrangers temporaires au Canada est
sur le point d’être réduit de moitié au
détriment de nombreuses entreprises
déjà aux prises à une pénurie de main-
d’œuvre.
En effet, selon les dispositions du nou-
veau programme, le séjour d'un travail-
leur étranger au Canada est limité à
deux ans, au lieu de quatre; les entre-
prises de plus de 10 employés ne peu-
vent embaucher plus de 10 % de travail-
leurs étrangers peu rémunérés; dans
les régions où le taux de chômage
dépasse les 6 %, les entreprises des
secteurs de la restauration, de l'hôtellerie
et du commerce au détail ne peuvent
plus recruter des travailleurs étrangers.
La compagnie Veg Pro, une usine d'em-
ballage de Sherrington, en Montérégie
devrait se séparer malgré elle d’une
centaine de travailleurs étrangers dans
son usine d'emballage de Sherrington,
en Montérégie.
Les travailleurs étrangers temporaires
effectuaient différents travaux sur la
chaîne de montage, ils lavent, trient,
emballent une variété de laitues. Leur
permis de travail arrivera à échéance
d'ici quelques mois et, selon la nouvelle
politique sur les travailleurs étrangers
d'Ottawa, il ne sera tout simplement pas
renouvelé.
« L'opportunité de travailler que j'ai ici,je ne l'ai pas dans mon pays. C'est pourça que je suis ici, pour travailler durpour mes enfants, pour pouvoir leurpayer des études, pour ma femme, pourconstruire une maison, pour aider mamère aussi. Avec l'argent que je gagneici, c'est possible.», explique Sergio, l'un
des travailleurs de la compagnie Veg Pro.
En 2013, le programme de travailleurs
étrangers temporaires a permis l'em-
bauche de 31 000 travailleurs étran-
gers. Quelque 2500 entreprises cana-
diennes ont recours à des travailleurs
étrangers, qui représentent 30 % de
leur main-d'œuvre.
Des milliers d’entreprises confrontées à un vaste déficit de main-d’œuvre
(Les travailleurs étrangers temporaires en fin de séjour)
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56ème parution 15
Le 1er mai dernier, la province du
Québec a augmenté le salaire mini-
mum des travailleurs. En effet, la
rémunération horaire minimale a aug-
menté de 20 ¢, pour s’établir à 10,55 $.
Pour le ministre du Travail, de l’Emploi
et de la Solidarité sociale, Sam Hamad,
cette hausse devrait profiter à 271 500
personnes, dont 163 400 femmes.
Il faut noter que pour les employés avec
pourboire, le salaire sera majoré de
8,90 $ à 9,05 $ l’heure.
Jobboom, après analyse des offresd’emploi publiées au cours de ces
derniers mois, a rendu public lesgroupes de travailleurs les plus recher-chés ce printemps au Québec.
Plusieurs de ces professions figurent,selon la même source dans les classe-ments des carrières gagnantes auniveau collégial et au niveau universitaire.
Selon Jobboom, ce classement a étébasé sur le nombre total d’offres d’em-ploi publiées chez Jobboom dans lesecteur « Génie, biopharmaceutique,sciences et techniques scientifiques »,du 1er janvier 2015 au 31 mars 2015.
Découvrez ci-contre les dix groupes de
travailleurs les plus recherchés ce prin-temps chez Jobboom :
marché du travaIl
Hausse du salaire minimum à 10,55 dollars/heure
marché du travaIl
Voici les travailleurs les plus recherchés en ingénierie ce printemps au Québec
Hausse du salaire minimum à 10,55 dollars/heure
Les nouvelles dans les
Autres Provinces Canadiennes
1.2.3.4.5.
6.7.8.9.
10.
Ingénieur mécaniqueTechnicien en génie mécaniqueIngénieur électriqueTechnicien en génie électriqueTechnicien en production automatiséeIngénieur industrielIngénieur en électromécaniqueTechnicien en électroniqueIngénieur en production automatiséeTechnicien en contrôle-qualité
Source : Jobboom
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56ème parution 16
Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration
unIversIté de montréal / découverte :
Un canadien d’origine austro-hongroise découvre le concept du stressLe Dr Hans Selye, canadien d’origine
austro-hongroise fait aujourd’hui lafierté du Canada en général et duQuébec en particulier, précisément dela ville de Montréal.
Immigrant au début, devenu canadienpar la suite, il a développé à l’Universitéde Montréal le concept du stress admisdésormais en médecine.
Docteur en médecine, titulaire d’undoctorat de l’Université Charles dePrague et diplômé du doctorat del’Université McGill, Hans Selye s’estjoint au corps professoral de l’Universitéde Montréal en 1945, après quelquesannées à l’Université McGill.
Ces nombreuses années de recherchessont dorénavant couronnées de succèset reconnues par ses collègues duCanada, de son pays d’origine, de toutel’Europe et des scientifiques du monde.
En Hongrie par exemple, l’on retrouvedes timbres à son effigie et une univer-sité porte même son nom à Komarno,en Slovaquie.
Il a été déclaré « personnage d’impor-tance historique nationale » par laCommission des lieux et monumentshistoriques du Canada à l’occasion du25ème anniversaire de sa mort.
Surnommé le « Einstein de la médecine »le Dr Hans Selye serait selon les témoi-gnages un bourreau de travail.
« Le Dr Hans Selye possédait un savoir
encyclopédique. Il parlait huit langueset était doté d’une culture exceptionnelle.Ses cours étaient des spectacles, car ilavait de réelles qualités théâtrales. Ilest assurément l’une des grandesfigures de l’histoire des sciences »,confie Yvette Taché, une scientifiquequi a reçu en 2014 la plus haute distinc-tion du Biomedical Laboratry Researchand Developpement des Etats-Unispour ses travaux sur la compréhensiondu système nerveux central et soninfluence sur la fonction digestive enpériode de stress.
Dans sa recherche sur le concept dustress, le Dr Hans Selye visait commeobjet d’étude « le syndrome d’adapta-tion », qui indique que le corps réagit entrois temps à un traumatisme.
La première phase est l’alarme. Laseconde, la résistance et la troisièmephase, l’épuisement. Pour le chercheursi le stress domine, la résistance diminueet « les patients qui souffrent de stressdepuis longtemps peuvent succomberà des crises cardiaques ou à de gravesinfections en raison d’une plus grandevulnérabilité aux maladies ».
Dr Hans Selye, canadien d’origine austro-hongroise
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56ème parution 17
Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration
récente étude du conference board
Au Québec, les nouveaux arrivants choisissent désormais de s’installer à Québec
La ville de Québec a réussi à ravir la
vedette à celle de Montréal en ce
qui concerne concerne la destination
de choix des nouveaux arrivants.
C’est cette conclusion qui ressort de
l’étude réalisée par le Conference
Board à ce sujet. Québec se place au
16e rang des 50 villes canadiennes
évaluées. Montréal se retrouve très loin
derrière au 30e rang.
«Québec surpasse Montréal danspresque toutes les catégories exami-nées, sauf dans celle de la société, oùMontréal décroche son seul et uniqueA », explique Alan Arcand, codirecteur
du Centre des études municipales.
43 indicateurs regroupés dans sept
catégories auraient permis aux spécia-
listes de mesurer le pouvoir d'attrac-
tion des villes : société, santé, écono-
mie, environnement, éducation, inno-
vation et logement.
Selon le rapport du Conference Board
qui s’est appuyé sur les données de
Recensement du Canada et l'Enquête
nationale auprès des ménages de
2011, Montréal avec sa note globale
de C au classement général, avait un
avantage sur les autres villes dans la
catégorie Société pour les indicateurs
du multilinguisme et de l'égalité entre
les sexes.
Au Québec, les nouveaux arrivants choisissent désormais de s’installer à Québec
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56ème parution 18
location de maisons au Québecvous avez ci-dessous des propositions de prix de quelques
maisons à louer au Québec
Le prix des choses
………..…484, 35 F CFA
………..... 0,74 Euro
…………. 7,97 Dirhams (Maroc)
………..... 1,59 Dinar (Tunisie)
….........… 0,81 Dollar américain (USA)
…............ 3,59 Ron (Roumanie)
Ce tableau permet d’effectuer la conversion du dollar canadien en certaines devises internationales
en fonction du taux de change sur le marché. Ainsi, à la date du 23 mai 2015
1 dollar canadien valait :
Conversion du dollar canadien
Il est à mentionner que ces taux ne sont pas applicables au versement des frais gouvernementaux par nos
clients qui doivent tenir compte de potentielles variations mais aussi de frais de rapatriement incluant
des commissions de change et des retenues à la source du pays d’origine. Ces éléments expliquent la
différence.
Chaque client peut, s’il le désire, fournir sa propre traite bancaire pour acquiter ses frais gouvernementaux .
*
700 dollarscanadiens/mois,soit 518 euros
725 dollarscanadiens/mois, soit 536 euros.
918 dollarscanadiens/mois,soit 679 euros.
930 dollarscanadiens/mois,soit 688 euros.
Produits Prix
chambre à coucher, 105 Milton street, région de MontréalChambre à louer, située sur une rue bordée d’arbres de Mont-Royal près decommerces, restaurants…A trouver sur le site : http://www.louer.ca/timbercreek.html
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emile-petite-maison-20x24-un-etage-et-demi/1063504590?enableSearch
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