Occultisme-Papus - Les Arts Divinatoires

8/2/2019 Occultisme-Papus - Les Arts Divinatoires

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PARIS

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L E S A R T S D IV IN A TO IR E S


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Arcis-sur-Aube. - Typ. Leon FREMONT.


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PAPUS

Les Arts

Divina toiresGraphologie. - Chiromancie.

Physiognomonie. - Influences astr al es

PARIS

CHAMUEL, EDITEUR79, Rue du Faubourg Poissoniliere

:Pt-es h rue La.r;~yett- '"


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INTRODUCTION

Une personne serieuse peut-elle etudierles Arts divinatoires ?

On etudie soigneusem ent les form es et les couleursdes vegetaux et desanimaux les plus divers, que cesoient des .m ollusques ou des haleines, des zoophytesou des elephants, mais des qu'on parle de chercherpour les hommes une classification naturelle deriveede la constitu tion actuelle del'e sp ec e e tnon des ori-gines proposees par MM. le s E thnographes, tous lespretendus savants de s'ecrier : Charlatanisme -Folie - Erreur !Eh quoi ! l'on a classe les vegetaux presque exclu-

sivement d 'a pre s laconstitu tion de l'em hryon ou desorganes genitaux, l'on aclasse les an im au x d 'ap resI'e xis te nc e, lan on -e xiste nc e o u le s mo dific atio nsdu

, squelette et parce qu 'un observatenr viendra pro-po ser n ne classificatio n d es hommesd 'ap res laformed e le urs tra its, d 'apres le s n ua nc esdu tein t dans larace blanche, d 'apres Ie geste revele par I'ecriture,on dira, sans vouloir s'en refererit l 'experience, impossible D, oubliant que ce mot n'est pas fran-cais.

Mais it cote de ces pretendus hommes de science,detracteurs par tem peram ent des idees nouvelles, serencontrent encore bien d'autres adversaires des


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Arts d iv ina to iress , Parlons tout d'abord desspe-cuilistes,Un individu a passe la m oitie de son existenceit

etu dier laform e d es orteils c hez ses co ntemp orain s.Pour lui toute classification deshommes non haseesur la form e desorteils e st, f an ta is is te,O r, d 'autres individus ontconsacre la plupart de

l eu rs f acu lte s in te lle c tue lle sa l'e tude du gestefixepar l 'ecriture au graphologie. Si v ou s pro po sez a cessubtils observateurs d 'aller un peu plus loin et d'e tu-dier la forme de cette main qui tracel 'ecriture,its repondent avec uno touchante unanim ite : . Vou s s orte z- la , monsie ur, d es b orn es sc ie ntifiq ue s,la graphologie est uneSCIENCE, tout le reste n'estque pueri li te , Or, l'etude des orteils est une science aussi, pour

le speeialiste, toutcomme l'e tude de labouche etaitune science pour le createur de laBuccomancie.

La Verite est que tonto recherche cantonnee dans

I'analyse d'une des m anifestations de I'homme con-duit it des resu ltat sj ustes et que fa m aniere de porters on chape au , ,c orre spondrait la m aniere de m archerdans la rue, commeit la maniere d 'e crlre , c ommeitla form e de la mainOll it la form e d es tra its.L 'h omme manife sta nta l'e xte rie ur d e m ille fa co ns

l' Unite de sa Conscience,il est sur que l'etude dec ha cuu e de ces m ille m anifestatio ns co nd uirait cetteUnite p ar une voie diff ere nte .Or, loin de voir dans ces recherches des details.

plus scientifiques les uns que les autres, nouspretendons que, pour un philosophe, ils se valent to u s


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et qu 'il .Iaut laisser les sectaires et les m yopes intel-lectuels se disputer les coins d 'analyse pour s'eleverfranchement[usqn'a l a s yn th e seet co ntro le r lesdon- .nees de la graphologie par les enseignements de laphysioguomouie et les deductions de la Bucco-m ancie par les traditions de la Chirom ancie.

II faut avoir leco urag e d 'ap peler les cho ses p ar leu rnom et de se souvenir que (la Science O ccuu eJenseignee jadis dans les sanctuaires d 'Egypte et deG rece abordait avec soin l'etude de la D ivination soustous ses aspects. Tem oin I'aventure de Socrate et duphysioguomoniste (voy. Classiques}.

Et c'est maintenant qu'il nous tautrepondre 11ceux qui, debutant dans l'etude de ces sciencesoccultes, dent on s'occupe fort aujourd 'hui, pre-tendent anssi div iser ces etudes en partie serieuseet p artie Io la tre J. Lire dans la main , pour cesig no ra nts , c 'e st rabaisser c es augu st es r echer che s;mais prononcer devant des bourgeoise ba his lemot Kether , ou evoquer les influences de la six iemesephire Tiphereth , c'est rendre 11ces reche rchesla. lustre. dont ellessont dignes.N 'e n d ep la is eit res m essieurs, je pense quel 'etude

des ligues de la main est aussi scientiflque s quecelle des Sephiroth et, apres avoir determ ine unec la ss if ic atio n r atio nn elle d e la Kabba le d an s l'e ns emb lede la tradition hebraique (1), apres avoir retrouvela clef mathem atique de la construction de ce Tarotch ef au x ab stracteu rs de qu in tessen ce(2), je ne pense

(1) La Kahhale, 1 vol. in 8n (2) Le Tarot des B ohem ians,t vol. ill-So


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-R -

pas rahaisser le moins du monde la Scienceocculte en m 'occupant de Iafo rm edes traits del 'homme all des rapports duteiat avec l es impu ls ion spsychiques.

La Verite est qu 'onblamesou vent ce qn 'on ignoreet les m od ern es p ro fe ss eu rs d 'e nvou tement quipreunent des petits airs p inces quand ils volentliredans la m ain , avoueuta leu r in su l'in su fflsa nc e c om -p le te d e le urs e on na tssa ne esenoecultisme.

La Scienceoeculte est (S YN TH ETJQ UE ))et le seratonjours, m algre les efforts deceux que celn parattgener.

M ais pour ev iter les fausses a pp re cia tio ns , p ou rreduire a leu r ju ste v aleu r les p reteu tio ns d es p ed an tse t d es v an ite ux ,il est uecessaire que chacun puisseetre a meme deconnaltre les elem ents de ces etudesp ra tiq ue s q u'ils s emb le nt d ed aig ne r.

Puis, l 'ou m e perm ettra de parler par experience,un hommea qui YOIlS dites, su r l'in sp ee tio n r ap id ede sa main, le s ten dances les pluscachees deso ncaractere, ainsi que les evenements les plus mar-quants de son passe avec la date exarte, est p lus presde s 'in te res se ra ces etudes que Pindividu devant quiv ou s ten ez les raiso nn em en ts les p lu s su btils.

Ce n 'est pas sans raison que les ereateurs du livrede Toth-Hertnes-Trism eglste, ont place le batelenren tete de toute revelation . En mode relig ieux, Iemiracle n 'est-il pas Ie plus peremptoire des argu-ments?

A ussi lo rsq ue leFigaro m 'a prie de fairs pour seslectrices un resume des Arts divlnatoires . ai-je


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accepte la proposition avec empressem ent. J'etais per-suade d'amener parla anos etudes plus d'adeptesque pal' tout au tre propagande. Lefait est venu co n-firme r r na p re vis io n.Et m aintenant, cheres lectrices,j 'ai reuui, sur la

demande de beaucoup d'entre vous, ces quelquesnotes en une brochure, preluded'UD volum e plusIm portant et je vous couvie toutesit l'apostolat de laScience sac ree.

PAPUS.

1.


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GRAPHOLOGIE

La conduite dans Ie monde ou Ia Iettre M.

Dans !'influence qu'exerce un Individu sur Ie milieuexterieur apparait sans deguisement Ie caractere intirne,Or, Ia lettre M, soit qu'on l'eerive avec deux jambages,soit (ce qui e~t le plus frequent) qu'on lui donne, troisjamhages, nous revele facilement le secret desire. ,Le premier jambage represente celui qui' ecrit, Je second

jambage represents les autres hommes (quand .il n'yaque deux jambages it. la lettre). Mais les enseignementssont plus detailles quand I'M a trois [ambagcs. Dans cecas, Ie premier represente la personne qui ecrit, le secondson ami intime et Ie troisieme les personnes indiflerentes.Regardez maintenant Ia hauteur respective des [ambages~~. .

Vorgueilleux pur, celui qui veut tou-jours .avoir la premiere place dans un .

/ salon, fera un premier jambage e nO l : -me, un second plus court (l'ami in-time). et un troisieme encore plus

court (mepris des Indiflerents).Le politique, celui qui sait toujours se tirer d'affaire,

fera un premier jambage assez grand,UR second tres court et, un troisiems ~' .s-:un peu plus long que le second, matspas si long que Ie premier. C'est-a-dire qu'il eerasera son ami intimeentre Ie milieu exterieur et sa propre personnallte, quandles circonstan ees l'exigeront,


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La naif, done d'un exeellent-creur, mais qui, toute sa. vie, se Iaisse mener par Je pre-

.. mier amI.' venu,.se,fe~atout petit... devant cet am i m trm e autant

. que devant le milieu exterieur,. . e'est dire que les jambages de '

l'Miront en augmentant de grandeur it partir du premierqui sera Ie plus court.

On peut ainsi avec eette simple division: la personne qui.parle {lor jambage),Iapersonne Aqui ron parle (2. jam-bage) et Ia personne de qui ron parle (3


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1'8Ve;aussl son t sera-toil toujours barre au-dessous dumilieu, c'est-a-dire en pleine realite,Grace it cette theorie tres simple, on peut voir tres

rapidement les tendances gales ou tristes du caractere.

La volonte ou laolettre T.

Si le l indique Ie earactere general, Il donne aussi deprecieux enseignements sur le plus on le moins de volonteque possede un individu.II suffita cet effet de considerer la barre horizontale all

point de vue, non plus de sa position, mais bien de sagrosseur. La partie appuyee indique Ie moment oil lavolonteest au maximum; la partie deliee indique, aucontraire, le moment Oil l'imagination l'emporte sur lavolonte,Ainsi, une personne qui barre son t par un trait appuye

au debut et flnissant enpointe a de la volont audebut d'une action et n'en aplus ensuite.Au contraira , l'individu

qui termine sa barre du tpar un gros trait ne mani-

feste de la volonte qu'a la fin de ses entreprises.Celui qui enveloppe la ligna verticale du t dans une

boucle terminee parune barre ascendante n'admet pas Ill.Fatalite, il veut tout emporter dans les clans. de savolonte ; aussi est-ce tres sou vent un incorrigible entMe.Enfin,la barre du t uniformernent appuyee indique une

voloute constante et soutenue, L'ahsence de barre mani-feste l'absencs de volonte et la hal'l'e est d'autant pluslongue que I'tmagtnatton l'emports sur Ie sens pratique.

L'Entetement ,


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La discrbtion ou la lettre O.

Les lettres 0 ou a se rapportsnt, dans la symbolique gra-phologique, ala houohe.Un individu parlera plus ou woins, suivant qu'il

ouvrira ou fermera plus ou moins ses0

ou sesa.

Ainsi, l'expansif, celui qui a hesoin malgre tout d'unconfident, d'un ami intime a qui livrer ses .secrets, nepourra [amais fermer un seul de ses a ou de ses o. Un telindividu preferera.de beaucoup la vie du dehors et lesvoyages au pot-au-feu et a la vie de famille.Pal' contre, eelui quiferme tous ses 0 et tous ses a est

discret et ami de son interieur au dela de toute expres-sion; il l'est meme souvent trop.(;eneralement, il s'etablit une sorte de moyenne entre

les lettres fermees et les lettres onvertes; mais, chez unexpansif Ies lettres ouvertes domineront toujours, et, chezun mMitatif, un defiant, ce sera Ie contraire.

Comment on s'habille .ou Ia lettre D.

La IeUre d se compose de deux parties principales : labase et la barre verticals. La base ronde ou elliptique,ouverte ou fermee, ales memes significations que 1 '0 oul'a (discretion ou indiscretion) et represente l'individului-meme. La barre verticale represente, au contraire, Jeport exterieur, la tenue mondaine et, par mite, l'habille-ment.

Voici Ia serie generale indiquee par les diffe-rentes formes de la boucle du d.L'homme offlelel, toujours correctement re-

dingote, se manifeste par une barre entierernentverticals et sans boucle; c'est le d. c1assique.


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L'employe de commerce, orne d'une era-vate supposee irresistible, eontourne sa bou-cle en eolimaeon ; eela est d'aussi mauvaisgout que sa tenue.L'artiste qui ne s'inquiete 7

uUement de sa tenue fait un paraphe tres.simple, sans aucune pretention.

jEnfin, l'homme aux cos-

tumes excentriques , auxetoffes vovantes et aux vestons de coupebizarre, r~.nverse simplement sa barre dud, Il le trace comma il s'habille : eari-

, caturalement.

De l'ordre ou la lettre I.

Voulez-vous savoir comment la personne qui vous ecritentend I'ordre ? etudiez sa faeon de faire la lettre i;Le corps de la lettre represente le meuble, Ie point

place sur Ia lettre represents l'objetqui doit normalement

se trouver sur ce meuble et, enfin, Ie mot dans lequel estcontenue la lettre 'i represente la chambre tout entiere,nest maintenant facile de juger notre ecriture. Celui

qui oublie ses points sur l'i n'a pas d'ordre, Celui qui faitde gros points bien places directement sur le corps de l'iest un meticuleux chez qui tous les objets sont bien pla-ces sur Ie meuhle qui doit les supporter,Par contre, celui qui met le point de l'i sur Ia lettre sui-

vante a de I'ordre dans ses tiroirs, mais n'a aucun ordresur sa table de travail.Enfin, celui qui met Ie point de son i non plus SUI' la

lettre suivante, mais bien sur le mot suivant celui ou estcontenue la lettre i, n'a d'ordre que par acces et, entredeux de ces grandes tranformations, les objets sont tou-

joms .. dans In chambre a cot.


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Dsrnieres considerations sur la Graphologie.

Le systeme de graphologie que nous avons presente esttres general et, par suite, ne donne aucun des nombreuxdetails qu'on trouve dans les ouvrages speeiaux. Ajou-tons, eependant, quelques considerations u cet egard,La franchise se voit aux mots grossissant et le men-

songe aux mots diminuant et s'amincissant du commen-cement it la fin.tes egols tes font des paraphes it concavite inferieure,

ramen ant ainsi vel'S Ie commencement du mot 10 traitqu'ils traeent it la fin. . .Les avares economisent le papier autant que leurs SOlIS.

Une lettre d'avare se reconnallra au premier coup d'ceil,Iln'y a pas de marge, la lettre commence tout en hautde la page pour finir tout en bas et I'ecriture est aussirapetissec que possible. Au contrairc, les prodiguesgaehent leur papier et arrivent it ne mettre que quatre ousix lignes par page, avec des hlanes et des marges enor-mesoLes gens meticuleux et aim ant la clarte terminent tou-

tes Ies phrases par un petit trait et font heaucoup deparagraphes.

Lei poetes separent toutes leurs lettres ou, au moins,toutes leurs syllabes, les savants et les raisonneurs rim-nissent en un tout non seuJement leurs syllabes, maisencore leurs mots. Cette division de la graphologie enintuitifs et deductifs est le fondement meme de Ia methodede l'abhe Michon et rappelle exactement Ia division desdoigts en lisses et noueux, don nee par le capitaine d'Ar-pentigny dans Ie rneme sens,


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CHIROMANCIE

Qu'est-ce que Ia chiromancie?

Les petites bohemiennes 11 qui VOliS demander, sur lesgrandes routes d'Espagne, de vous dire I'avenir, on les professionnellcs it qui vous demandez Ie merne servicea Paris, prennent votre main gauche et dechiffrent, plusou moins habilement, les hieroglyphes traces en ligneshizarres sur la paume de cette main gauche.La chiromanoie est, en eifel, l'art de lire le caraetere

des gen~ en etudiant Ies lignes de In main. Dans oe der-nier siecle, Ie capitaine d'Arpentigny a eree un art nou-veau qu i consiste it etudier, non plus les lignes, mais La[orme de la main; de la, le nom de chirognomonie donneit cette branche nouvelle de la divination deductive.Alexandre Dumas fils a illustr la chiromancie, dont il

est aujourd'hui un des mallres les plus eminents, Desba-rolles a restaure cet art en en appliquant les lois et encherchant it verifier pal ' l 'experience les enseignements dela tradition.Les donnees que nous fournirons a nos lccteurs seront

tres generales, mais permettront de voir les tendancesqu'on peut avoir vel'S l'art ou Vet's la science, II's chancesqu'on a d'elre riche on de faire un mariage d'arnour ; I tquel age arri veront les grands changements dans la vie,etc., etc. Pour les questions de details, nons renverronsnux auteurs (I classiques , De nornbreuses gravures aide-rout, du rests, i1 comprendre le~ divers points de notre

exposition. \. ~


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Division gedrale de la main.

Considerez votre main gauche et voyez bien le medius,ce grand doigt qui depasse tous les autres, Il representela Fatali te, et it sa continue dans In main par une ligneverticale qui se nomme Ia Saturnienne ou ligne de Fala-lite. Voila l'Image de la route que l'homme doit parcourirdurant son existence.

M.ais, remarquez qu'a droitedu medius il y a deux doigts :I'annulaire et l'auriculaire. Lepremier, Apollon , representel'art et in fortune; le second,Mercure, la science et Ie calculdans toutes ses applications(commerce,jeu et aussi. et1mall-vaise part, vo l) , - Art at science,ce sont les deux tendances

ahstraites de l'etrehumaln.A gauche du medius existentaussi deus doigts : I'indicateuret le ponce. L'indicateur (Jupi-tel') , c'est l'ambition materielle

dans toutes ses modalites, et Ie pouce(L'homme lui-mame), e'est la volonte+tenace, In froide logique et Iecourage caraeteristique de l'homme. Aussi, les Romainscoupaient-Ils le pouce aux ]ilches i de la , le nom de pol-lice trunco (poltron).

Pour tout resumer, au milieu de Ia main, DOllS trou-vons la Fatalite. A droite de cette Fatalite.Tes tendancesabstraites (art ou science); it gauche, les tendanees posi-tives (ambition pratique at logique),


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Pour porter un premier juge-ment sur un individu, voyezquel est le doigt Ie plus longpar rapport it son medium priscom me poiot de repere. Sil'indicateur depasse I'annulaire ,I'individu considere prefere lepositif a l 'ideal, l 'argent it lagloire.Si, au eontraire, l'annulaire

depasse I'indicateur. l'individuprefere la theorie a la pratique,les fumees de la gloire aux soli-des realisations de l'argent.Telle est la fac,on de porter

un premier jugement syntheti-que sur le earacterede l' individu,

Les lignes de la main.

La personne qui regarde pourla premiere fois les nombreuseslignes qui pareourent la paumede la main se deruandc com-ment on pent se reconnaitreen un tel fouillis. Il n'y a cepen-dant rien de plus facile. Laissons-]a les precedes indiques dans leslivres, I 'Mplusou moins marqueet tous ces details ennemis de laclarte .. Bappelez- vous simple-ment que vous avez cinq doigts,et qu'une ligne, plus ou moinsbien indiquee, part de chaeun deoes doigts, et vous voila deja

chiromanelenneemerlte,


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Ouvrez votre main :gl\uohe, posez-lasnr une table,panme en haut, et suivez sUI' Iedessin ei-joint.Du medius part une grande ligna qui traverse verticale-

ment toute In main: e'est Ia ligna de fatalite, 1 1.1Saiur-uienn (1), celle qui vous indiquera les changementssurvenus dans le eours de votre existence. De I'annu-'laire part (chez les personnes douees pour l'arnuneautre Iigne vertioale, souvent reduite a un petit trait ,(2);De l'aurieulaire part laligne d'Hermes ou de l'Intui'-t ion (3) .ohez les pElrsannes Impressionnables. Toutes ceslignes sont verticale". . .Mais revenons a I 'index et remarquons 11 .1belleIlg ns,

horizontals presque, qui aboutit a ce doigt. Cest Ill. lignedu cmul'(4), SUI' Iaquelle nous verrons vos chagrins d'a-InOUl' ,mesdames, et vos infldelites, messieurs ..Au-dessous de cette ligne de cceur et, horizontale aussi,

nous verrons 11.1l igne de 11.1v olo nte, 11.1lig 'Y fe d e lVde (5).C'est eUe qui nous montrera comment les sentimentsissus du coeur sont detruits par-Ies froids raisonnements ,Entin, tout auteur du pouce, Ja fameuse ligue de Vie(6)

qui donne quelques indications sur 11.1sante, mais jamaissur 11.1duree de l'existence, ce qui serait trop commodepour les compagnics d'assurances.

En resume, trois lignes vertioales : Saturnienne(l),d'Apollon(2) et d'Hei'rnes(3), c'est-A-dire de fatalite, d'art,et de science. Trois lignes horlzontales :de,Gmur (4), deTete (5) et de Vie (6) 011 mieux de sante.voila toute la science des bohemians. Apprenons main-

tenant a lireces hieroglyphes,

Fatalite et Volante.

Vons souvient-il de ce que neus avons dit concernantle t? La barre verticals indiquait hi Fatalite et la barrehorizontale indiquait, au eontraire, I'influence plus oumoins grande de I 'homme sur 11.1Fatalite, Il en est de ,merne dans 11.1main.


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__ . 2t

Hegm'dez la belle croix que forment la ligne de Fatalitcpartant du medius et la ligne de tete qui prend naissanceit c6te de la Iigne de vie tout presdu pouee .

.... . . :::::::. :. .

Le grand symbole du catholicisme est, en effet, la tra-

duction la plus elevee de toutes les verites : la lutte con-


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dans une main, Ill. volonte est plus profonde~eIltque Ia ,fablits, vousavez affaire a un individufortement.ses t et qui, 'pal'suite,subord.onti~la

tout entiere a l'action ..'Si, ,a~l contraire,laligIle de fatalile esfprofondeIlleIlt

cl'eqseeetque Ia ligne g eIMe soitfc!'fiJle,Yolls voustrou-yez en presence .d'un ~tl'e quis'jnclinera toujoul'sdevantle d estin e tqui acceptera sa.us,prote~ter, tous lies, decr et s ' .Aux personnesqui vous dirontqllc les lig,nestle ' la,main

d~llendeut des, occupations couran~es, faites remarquerque,' les nouveau-nee possedent integralement toptesleurs Iignes. lis n'ont 'cependant pas encore choisi' de,profession.

Les Ages et les Evenements.

(Satumienne.)

Vous pouvez parfaitement voir dans les 1ignes'dciamain les llrincipauxevenell,lents qUi sent surven,us"ouqui s.urviendrontaansIe oours de l 'existenceat dil'e pres .. 'que siu;emerit l'age de,lapersonlle au lllomentdeJ' arl ' iVe~,de ces 'svsnements., L'experience (faiteplll'sonnelleIllent .,

. surplus de .3.000maiJ,ls)montre qJ}elesfaits oonCOrPentavec la tMorie huit fois sur.dix (800/0).Pour arriver vite a, ce, fait, souvenea-vousque laligoe

de Fatallte, verticale, coupe" dans SO]1 tra.Jet,deux lignel;horizontales, lali'l'ne de-tete d on t n ou s v eno usde parleret la ligna cceur, plus haut, "Cette ligne de Fataliteindiqu.e Ie coursdePeiisteIic~~t .

l'existence humaine est echelonueeSlll' nne serie d'anneesqui determinent l'agedela personne. " ','" ,', ' Or, les deux points de croisement de laSaturnienne)

avec Iss autres 1iglles correspondejit it des ages blen~determines. . "


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La.rencontre de la satumtenne et de la ligne de teteindique vingt ans, la rencontre de Ia Saturnienne et de laligne de ccsur indique quarante ans. En divisant en deuxmoities I'espace qui separe la ligne de tete de la ligne deeoeur, on obtient trenteans.

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C'es: d'apres la direction :des petites lignes qui croise-

ront la Saturnienne it ces diverses hauteurs que nous


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allons pouvoir determiner le caraotere des changementssurvenus pendant I'existence,

Caractere des evenements.

Souvenons-nous que les deux doigts places . a droite .d umedius et toute la portion de la 'main sous-jacente indi-quent les tendances abstraites et que les doigts et Ia por-tion de la main places a gauche de la ligne de Fatalite etdu medius (index et pouee) indiquent les realisationsmaterielles, les acoroissements de fortune ou de bien-etrephysique.Si done nous voyons une ligne traverser la Fatalite,

rendons-nous bien compte de Ia direction de cette. ligne.Ainsi, considerez la figure ci-jointe,Une ligne coupe la Fatalile un pen au-dessus de la

ligne de tete et se dirige vel'Sl 'annulaire (Apollon). Qu'est-ccque cela veut dire?Un peu au-dessus de Ia lignc

de tete, cela veut dire un peuau-dessus de 20 ans - vel'S 25ans dans Ie cas actuel.La direction vel'SApollon indi-

que une tendance artistique.La Fatalite coupee indique un

changement de position vousresumez done tout cela en -di-sant:,,125 ans, ncus auez change de

position et vo us vo usetes adonnea l'art.

C'est un combinant: 1 0 l'age de I'evenement ; 2' la direc-tion de l'evenement ; 3 0 le earactere de l'evenement qu'onarrive it dire des chases surprenantes. C'!lst on ne peutplus facile et, avec deux jours d'exercice, on parvientrapidement it de tres curieux resultats.


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. . . . .

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Les coups de chance.

Quand une ligne est accompagnes d'une ou plusieursautres lignes annexes, cela Indique un accroissement desindications donnees par cette ligne.Ains! 'beaueoup de personnes s efigdrent que pour

avoir une vie heureuse, il faut que In ligne de Fatalite

soit toute droite et tres marquee. Vous ne trouverez unetelle ligne que dans la main des personnes qui, depuisrage de raison [usqu'a Ia mort, ont une vie toujourspareille et sans le moindre evenement. C'est III Ie bon-heur du mollusque,Generalement, au .ontraire, la Iigne de Falalite 'est

coupee et chacun des sauts de cette ligne indique unevenement important. De plus, chaque fois que de petitesligncs accompagnent Ia Iigne de Fatalite, cela indique unaccroissement de chance, en glolre si les petites lignessont it droitc, en fortune si les petites lignes sont II g au-che, 'Ainsi, prenons comme exemple la figure ci-jointe, A

20 ans, clumqemeni de positionavec succesde qlotre, (La Satur-nienne saute a la rencontre dela ligna de Mte - 20 ans - etde petites lignes appcraissent a .droite.) A 80 ans, nouveau chan-gement de position. - Periodedif{icile de 30 a 40.

(La Saturnienne saute au mi-lieu de l' espace compris entreI~ ligne de tete et les lignes de~reur - 30 ans. - Les petiteslignes 'dis paraiss en t.)

A. 40 ailS , cou p de chalice el[ortune (les lignes reparaissentit gauche).


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Mariage d'amour.

L'amour, quoi qu'on en dise, exerce toujours uneinfluence preponderante sur I'esprit femillin. Voyonsdone Iss traditions de la science secrete au sujet desslgna-tures d'amour au point de vue de Ia ehlromanoie,Commeneons par Ie mariage d'amour.Voyez sous Ie doigt indloateur (Jupiter) cctte belle


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erolx qui vous frappera certainement (4). C'est lit I 'indiced'un mariage d'incllnatlon assure, Mais prenez garde, carsi la croix n'est pas bien netic a la base, si elle est coupeepar de petites lignes qui Ia traversent, le manage ne Hefera qu'apres bien des obstacles.Si la croix n'est pas cornpletement formee, le mariage

projete n'aura pas lieu; enfin, s'il y a deux croix: placecsit cote l'une de l'autre, il y aura deux manages d'incli-

nation dans la vie. Notre experience personnelle nouspermet d'afflrmer la realite de cette tradition huit fois surdix ,

Une passion.

Parfois la volonte, quelque ferme soit-elle, doit cederle pas aux emballements du cceur. L'etre tout entier estdornine par la passion et de pro fonds changements pour-ront en resulter, qui se repercuteront sur I'existeuceentiere. Cela dolt etre indique pour le chiromancien etc'est, en effet, ce qui II lieu.Entre Ie pouce et la ligne de vie, sur Ia masse chat-

nue qu'on appelle Ie mont de Venus, sont marquees les

grandes amours par des traits verticaux et profonds(voyez nO2, fig. ci- jointe), et les arnourettes par des traitsplus fins (3).Une passion unique qui a modifie l'existence a un

moment donne est indiquee par une profondc Iigne ver-ticale qui coupe la Iigne de vie, coupe ensuite Ia ligne defatalite a une hauteur qui indique l'age de oe ehangement. et vient se terminer it la ligna de coeur.

C'est le signe du coup de tete cause pal' une affairede coeur.Nons ne parlerons pas d'une ligne qui double quelque-

fois la ligne de cceur entre cette ligne de cceur et la racinedes doigts index et annulaire. C'est l'mllleall de YI;IIII,~qui predispose celui ou celle qui le possede it des embal-lements exoessifs.


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La :fortune. - La gloire.

Apres I'amour et bien souvent avant la gloire la fOI"tune n'interesse-t-elle pas par-dessus toutbeaueoup denos leetrices ?


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Quel est done le signe mysterieux qui nous permettrad'esperer en In richesse '?Le veau d'or est quelque peu parent de Satan, sl nous

en croyons le recit de l'indignation de MoIse au sujet dusymbols du radleux metal. Or, Ie signe de In fortune seraune fourche, arme diabolique par excellence, plaeee sousApollon (B fig. ci-jolnte). Plus la fourche est bien formee,plug I'aveugle dispensatrice des biens de eette terre sera

genereuse it votre egard. 11 est done tres utile de bienverifier ce signe quand on etudie rapidement Ies lignesde Ia main.La longueur de la ligne d'Apollon indique les tendan-

ces artistiques et les petites !ignes rayant le mont d'Apol-Ion (A) indiquent la reussite sure dans les realisationsintellectuelles et, partant, la gloire.Bienheureux. ApoUon qui dispense Ie laurier au poete

et 1'01' au financier!

La science et I'intuition.

Hermes preside aux mysteres sac res et donne In scienceaux. hommes, les pres sentiments et les r~ves propheti-ques nux nerveuses natures feminines. Or. le petit doigt,co bavard qui raconte tant de ehoses nux. nourrices, estle representant d'Hermes en chiromancie.Si done vous possedez une longue ligne bien ereuseo et

aboutissant it ce doigt, vous avez tous les dons requispour l'etude et Ill. pratique des sciences oceultes, votreintuition est bien developpee et vous sentez I) les influen-ces, bonnes ou mauvaises, qu'exerceront sur vous lesgens en presence de qui vous vous tronvez.Si sur le mont d'Hermes, it la racine du petit doigt,

vous voyez une t'oule de petites lignes verticales paralle-les, e'est lA la signature de l'amateur des sciences natu-relies et dumedecin,

~.


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La sante.

l.aligne de vie qui entoure le pOlice est bien mal nom-mee, puisque de nombreuses eonstatations experimenta-les DOUS ont montre q'll~ cetle ligne n'indique pas du tout

la longt eur de Ia vie, mais bien les accidents qu i auet-


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go corps physique, On devrait done l'a::,peler plutotIlgne de sante, .Voici .Ies principales indications qu'on peut tirer de

cette ligne. Les dangers de mortsuhite sont indiques par dessolutions de eontinuite (I). Lesmaladies chroniques par desIles (3) et les maladies de Ian-

gueur par un affaiblissementprogressif de Ia ligne (2).En se reportant it Ia Satur-

nienne, on peut donner quelquesindications sur Ies Ages aux-quels arrivent ees affections,mais ces indications sont tou-jours vagues. n semble qu'unepuissance superieure ait voulusoustraire de telles certitudes itl'analyse du chercheur curieux.

Dsrnieres considerations sur la chiromancie.

Avant de terminer, donnons quelques details complu-mentaires et techniques sur la chlromancie,Quand Ia ligne de vie et la ligna de Mte se rencontrent

a leur origine et se confondent, c'est un signe de grandedefiance d'elle-meme de la part de la personae qu'onconsulte. Dans ce.oas, tou tes Ies entreprises doivent etreeommencees par Iettres ou par intermediaire sous peined'echee,

AU eontraire, quand la ligne de vie est. des Ie debut,bien separee de la ligne de t~te, c'est le signe d'unegrande confiance en sol-memo et Ie gage presque certain(rune rsussite rap ide pourvu qu'on u'abandonne jaroaisIe debut d'une entreprise a un tiers,Quand Ja separation entre la ligne de vie et In ligne de

tete n'est pas complete e' que de petites Iignes en X


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,relient Ies deux grandes llgnes,en son etoile at de defiance de :OVl'WjUJ'",On trouve au niveau du poignet des lignes horizontales

.f(U'mant ehacune un demi-braoelet, D'apres Ja tradition,ohaeune de oes Iignes indique vingt ans d'existence. L'en-semble de ces lignes constitue la rascette.

La phalange ungueale du pouce indique lavolonte etI'autre phalange indique la logique. En regardant III lon-gueur oompaeative des deux phalanges o npeut determi-ner I'influenee preponderante soit de la logique, soit de lavolonte dans l'etre humain.Toute ligne qui en double une autre augments les indi-

eatiensnormales. Ainsi la ligna de viedouhlee est signed'exeellente sante, In: ligne, de tete doublee, de grandeforce de caraotere, eto., ste.


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les (j(j'ilrn,p-.~tle!; hIsurtou] lenteur It don] .,,' " ,', ,astle

nousaurons ensuite les pa~$'iortnes,les actifs dontest l'inconstance et surtout la colers, et qui sont

par le lion. Puis nouspourrons eonsiderer4~.Wll .n,ert'eux,les intellectuels dont Ie defaut (si e'en estum

hauteurs ellierees et par suite I'absencepratique et qui ont comllle hie:'ogln)he l'aig!e.

~"'~''_'--iiol6ritaires,Ies ambitieux earaetel;jses par I'etrea fo rD lehumaine et qu i , materiaHses, peuvent etre desegotstes .ou des envieux,Parmi les prQcedes qui permettent une claseifieatlon

raptde, it en. est deux prlnoipaux : l'etude du profll etI'etude du teint. Nous nous oecuperons, pour l 'instant, duprall) et-surtout du nez.Le nez, de profil, se presente seus deux: aspects princi-

pauf, eoneave (nez relsva, ,nez en h-ompette),o\.l.convexe(aquilin), Les nez droits sent Ie p lu s- souvarndes nezaquiline mal etudies,Or, les indivldus ayant le nez concave de profll sont ou

.des ealmes au des passionnes,Ceux qui ant le nez aquilin sent, au eontealre, ou des

nerveux ou des volontaires.

Classi1loation des nes,

Nous avons divise les etres humains en deux cctego-ries, eeux qui, vus de profll, avaient le nez en trompette(nez concave), .et ceux qui avaient, au eentraire le nezconvexe (nez aquilin), >On ne pourrait porter auoun jugement SUI' des donnees

aussi generales. Voyons done un moyen des plus simplesde parfaire ces divisions ..En regard ant le bout du nez (toujours de. profil) et en

eherohant s'll est rond ou pointu, votre classificationsera dejA tres complete. En effe] :Le neeconcave it terminalson rondo rappelle vague ..


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pl'ofil du boouf et est caracteristlque du ealsne,si Ies liWl'6S sont molles et epaisses.

nez concave it terminaison pointue rappelle vague-

{

,fi.";---"

." '"

,Nerveux. Actif. Voloataire, Calme.

ment le profil du chien, et est earacteristique de Yacii],du passionne, surtout avec des levres charnues at c010-rees.

Voila pour le nez en trompette.Le nez convexe a terminaison ronde caracterise le oum-

taire.Les levres sont minces et la bouche droite (a trait de

couteau), ProfH d'aigle.Le nez convexe a terminaison pointue caracterise le

nerveux.

Les levees sont minces mais tombantes. Profil de per-roquet (I).

Du taint.

L'homme possede generalemsnt deux natures tres dis-tinetes et souvent fort differentes. L'une est l'etre inte-rieur dont il cache soigneusement les impulsions ou Iespassions] l'autre est l'exterieur, celui que le monde con-nait, fruit de I'education et du travail de tous les instants.C'est Iii. l a fan sse nature, le rideau derriere lequel .sederohe la nature veritable. Nous venous de voir comment

(1) Les dessins ci-joints sonl de M. Gary de Lacrose, le ctll~brehermetiete, qui jious.a graeieueement autorisll iI les reproduire.


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l'examen du prom permettalt de decouvrir J'etre reelcache SOUS .l'etre d'emprunt; occupons-'nous d'un autreprecede de diagnostic: l'examen du teint .. On cIa sse les races hurnaines en quatre types prinoi-paux d'apres leurs couleurs ; les blancs, les rouges, lesjaunes et Ies noirs. 01', il est curieux de constater que Ieteint des individus repond a ces divisions memes dans Inrace blanche et que les calmes auront Ie teint manifests-ment blanc par rapport aux

actifsdont Ie tei~t sera rouge,

aux nerveux dont Ie teint sera jaune et aux olontairesdont Ie teint sera sombre, allant quelquefois a atteiridreune teinte voisine du noir, deduction faite des neeessitesde couleur imprimees par Ia race, Nous allons voir corn-.ment on peut tres facilement classer les teintes des per-sonnes anxquelles on a affaire.

Determination du teint.

On ne peut se rendre un ctmfte exact de Ia valeur d'untOD que par comparaison avec un autre tOD) pris com mepoint de repere. .Pl' ,enezdone une feuille de papier bien blanche (papier it

lettres ou papier ecolier). Vous possedez ainsi le point derepere indispensable. .Priez plusieurs personnes d'appliquer leur poing ferme,

les doigts en dessous, sur cette feuille de papier, et vousconstaterez facilement que 111peau, en apparence blan-che, est, au contra ire, jaune, rouge ou noire par rapportIt la blancbeur du papier. Ce n'est qu'en presence d'unenature calme que vous trouverez une concordance, tresfaible, du reste, entre la couleur du papier et cellede Iapeau,Vous obtiendrez ainsi la nature raie des individus en

vous souvenant que les calmes ont la pean relativementblanche, les actifs ont Ie teint ronge,les nerveux jaune etles volontaires noir ,


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" Voila donc une maniere rap ide et facile#le dassel' lesindividus, surtout si vous appllquez en meme temps lesdonnees deja eounues concernant le prom.

Les deux narares,

Nous avons vu que l'homme avait generalement deux

natures : celle qu'il cache et celle qu'il montre j l'une POUI'Ie monde, l'autre POUI' I'intimite, Si bien que, lorsquevous avez epouse un homme tres gai dans le monde, ilse trouveque cet homme est maniaque et toujourslriste dans l'intimite et reciproquement. Voycz doneI'utilite de In physionomie pour le honheur futur desmenages.Vous savez decouvrir pal' i'examen du teint la nature

cachee, comment determiner exactement l'autre? Cal',pour dire vrai, ce n'est pas en sachant rune des sourcesde nos impulsions qu'on nous connaltra parfaitemenl.Pour arriver a .quelque chose de serieux, il faul au moinsdeux determinations bien caracterisees,Pour obtenir ce resultat, il suffit de remarquer que le

visage presente presque toujours deux teintes caracteristi- -ques, Superflciellement une teinte qui indique la natureexterieure et, formant le fond, une aulre teinte indiquantla nature intime, et c'est cette seconde teinte seulementque vous retrouverez sur la main. En prenant, pour l'exa-men d'un homme, Iecol de la chemise blanc comme pointde repere; on voit qu'il y a des visages rouges sur foudblanc (pommettes rouges, front blanc), rouges sur foudsombre ou 1'9uges SUI' fond jaune, etc., etc. De meme, iln'y a pas dans In nature des hommes purement calmes,ou purement nerveux; il y a des hornmes calmes volon-taires au calmes nerveux, de meme que des nel'VCUX"volontaires, des nerveux actifs, etc.Le teint dela main, comrne Ie prolil du nez, indique iL L

nature dominante, la nature vraie, celle qu'on cache avec

3


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!~ ply_s de$f;li!l - e t. c l; lUe qu'on dolt pl!!.c~n'la pl'emieredans l 'enutberation,L a tein te superficielle et accesso ire des [cues et du

v isage ind ique de p lu s lanature ad jo in te , celle qu 'onmontre volontiers et qui doit etL'cplacee la seconde dansI'enumeration, .Ajp ,s i, un .nerveuxactif es t un homme dent IeleiAt de

Ii). m~i!l e st [a un e (n erv eu x) I'll d on t le s JOW ls so nt c olo -~'~es~~(>itosees on rouges(actif).

La tranq\liUe.

Ava -p I d e q uitte rIi;!, .PhysioiDOnow.ie, IlO~ lectrices n e. IfU I,DqUe fo ut p asde DQuSdem ander denouvea.ux detailssu r c e~qoo tr e d iv is ion squ'eUe.ssav!mt ma inWllan tappll-q:UIPf. ell n'est pas tont de faire le diAgno!ltic,it fautaU~l'plY! ' loin.NQDS a ll on s d one ;; at is fa ir ea c e le gitim e d es h',Donnons d'ahord quelques details SUl' In tranquille oilcalme, ..

J?hy~ iq .uement ) I I! .Tranqu iUe s er econua tt raaux p etits

pas len tj; d esamarohe, l I. !19n teipJbla.llC,il.I!escbeveu~Ql 'drnajr~ment})wnd",il. son nez conc a. ve it W!'p,}iDaislJuftlnde. a .!les ItlVres e p a ~ _ $ . e i l ,blancbes et JJU~Uelil,$on~!'i"

. tw 'e est r9ude e.tunifofme et se rapproche beaueoupdela ca)l.igraphi.e.La T ra Jlq uille a im e1 a .l '~ va ss er ie e te st peue,p~n.!!ive.

So n.VOOMmig n o} l e liitla .g(JIn'Plandi.!!8et on Is (lroHpare!!"~l'llJH L e p JajsiJ', p our elle,drive tou jou r~ dela. p~si-viti d4 sOill lu . ' e;u u ss l . es t..eU e e~c ell en tem usiem nne ;.ma is p rMe. reentendre qu 'execu ler. .

Le sentim.enttiellt Une grande place dans Ia viede laTranquille, et toutes a.ffoot.ionsdoivent~tre sentimentalesau d.~but. Cependant ItJ.reussite d'une atIection


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lla ' J : '! 'I !. .nquiUe abeauceup d'ordre et s'sntead fgr tbien it eenduire un lnterieur, POUl'Vll qu'elle aU le nom-bre vouiu de serviteurs ; sans cola, tout est toujsurs enretard,Dans une telle nature III.memoire est excellsnte (me-

moi re des noms et d es ' d ate s); l'intelligence lente, maisassez o uv er te , s ur to utaux d on ne es c on cr ete s, 111 .volontefaihle et toujours prete it abdiquer, se manifestant dans la

Iutte pal' III.force dinertie. L'imagination travaille un peu,mais seulem ent dan sle repos. La sensibilite est en gene-ral peu developpee.e

Pbysiq!l().menhl'a;Jtivg.S e r ~ c o JJ n a ,i tr f1 .a~~f~ndpirapides de sa marche, it son teint rouge, it ses eh~v~!J~I}Qjl'fJ (l 'IU'eJ!Hlntblonds,souvent fQlU), A son n{)~ ~n-C A-V ~ ~te;rmj,llaj!ion P9intue , a ses I~V~'ils !;1p j),j~"e!S,'9!ljf.iict feJ'I.JHls.~onecritul 'e elltMsitantee t e nz j~~ag , av ecbe~il . . \ l9\lP(l(! lettl 'es mal forQ:l~es.I / ! lCJ t j vW l J . ime, comm~SoJl n o m l ' indique,l'Mti9n, lj!tI}t

tr~!le:pansiye.Sonp~M mignon e~t le Jl)~JlsOnBe,~t9n111,dit tr~ P ' ! )' 1 !S ionIl ee . Leptl!,isir PQU! 'elle d iw i vll tQY '"j9Ul'IIde l 'a l;ltiv it6 d e s ou litl '.e , a us sla im ~ .t- e l le le I?Y9Ya.,.ges et, quand elle est 'artiste, prefere-t-elle le chant OIJ, letM& t t'c . .L'~ptbQPsiil,~me tien] une ~Tande p}i;l,cedan!!l'e~jkg~tl

et t~)llWI~!ll).tff,lc~jDns dojYentMrBP~!ll!j91lf.leHe~ < ! . udtlt!!t.La reussite d'une affectiQll depend u ll iquementd tI l.i .9U-ptesf;e et de JapldieJ1 ce Q\l'OPPQ ser 1 , l .II I fQtur il!.l~ ooijresa t . IUJ ' J .t r aQA . s l il f ,w i e sd_()otil ser a l 'ob j~ t.L'aetive a de l'ordre dans ses arm oires a tI.!.UGQll 9rdre

da ns 11,1.b3mb re ouron se contents de tout remettl 'e enp J ! l .C ePill'a( ) j f i l~ ,IOt;lsles mois, Q UmoillsSoUvent e l . } . l ; lQJ ' e .L'in~tivec9P.dgjt


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Dans une telle.nature, la memoire est rapide, mais t\lgI-tive (memoire des lieux et des couleurs) ; l'intelligenceo.uverte et les facultes d'assimilation tres developpees, Lavolonte est faible; mais son absence est dsguisee par descntetements et des eoleres: l 'imagination. travaille beau-coup, surtout devant un tiers et en parlant.La sensibilite est, en general, tres dsveloppee.

Lanerveuse.

Classiquement, la nerveuse se reconnaitra it ses .petitspas rapides, rappelant le sautiUement de l'oiseau, it sonteint a dominante jaune, it son gez aquilin a terminaisonpointue, a ses levres fines, serrees et dirigees en bas. SunecritUl'e est pointue et tres penchee avec de nombreuxparaphes.La nerve use vit intelleetuellement bien plus que physi-

quement, Ses defauts et ses qualites sont .donc surtoutd'origine psychique. La jalousie et l'envie sont ses grospeches, et il faudra eviter avec soin ses coleres blanchessuivies de longues rancunes. Leplaisir, pour la nerveuse,

derive toujours de l'idee ; auasiIalecture etles c()IIibi~naisons sans fin tiennent-elles une grande place dans lavie. L'art-sous toutes les formes ooeupele rests de ses Ij)i~,sirs.Ses affections sont toujours platoniques avant tout, et :

quelques-unes seulement sont l'objet d'une realisation.La .reussite d'une affection depend du tact exlrEline et dela reserve que le futur saura mettre en jeu,La nerveuse a tres peu d'ordrevcst timide, se perd tou- '

jours dans les details et ne parvient que dilfleilement itdiriger sa maison.Dans une telle nature, la melpoire, asseadeveloppee,

se .porte principalement sur les details. L' intelligence estvive, mais I'assimllalion trop rapide; de Ill, de grandesohscuritesdans la realisation. La volonte existe it peine


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et se manifeste surtout pal' la bouderle. L'imaginationregne partouten souveraine maitresse. La sensibilite estdeveloppee jusqu'au paroxysme, .mais avec point dedepart intellectuel.

La volontaire.

Physiquement, la volontaire se reconnaltra a ses grandspas lents, rappelant le pas de procession, iI. son teint som-bre, a son nez aquilln a termlnaison ronde, it ses levresfermees , serrees et droiles, ainsi qu'a son menton avan-cant. L'eeriture est droite, ferme ct egalc, leslettree sontgeneralernent rondes.

La volontaire vit entierernent en elle-meme, Elle parleet n'agit jamais qued'apres ses propl'es idees, sans s'in-quieter de l'effet de cette action sur Ie milieu exterieur ,Son defaut capital est l'orgueil, et ses proches soutfrentbeaucoup de son despotisme incessant. Le plaisir , pourla volontaire, derive uniquement de la satisfaction de sesambitions et de l'ecrasement de ses rivales, le tout tem-pere par une certaine generos ite, s'exereant de faliQncapricieuse. Ses arts preferes sont ceux qui s'exercent surIa forme: sculpture, architecture, etc.Les affections sont toujours despotiques, et la reus site

d'une affection depend surtout de I'obeissance du fulut'a tous les caprices et a toutes les fantaisies.La volontaire a peu d'ordre dans sa ehambre, mais

beaucoup dans ses tiroirs ..Elle s'entend admirablementIi diriger sa maison et se fait obeir sans replique ,. Dans une telle nature la memoire est pl'odigieuse, maisl'assimilation est lente. L'inlelligence est large, mais tropportee aux idees preeoneues. La volonte tient la plusgrande place et opprime les autres facultes, SUI'tOUt l'ima-gination. La senslhllite est peu developpee.


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Petit essai de pdlHiqtie teDlinin.e.

Revenons encore a la physiognonomie et voyonscomment onpeut aglr surement sur chacune des quatregrandes classes entre lesquelles nous avons repartl In

nature feminine.Pour prendre em Jlire sur 11 1.ra nq ullle , v eille z~ lasatis-factionde sa g ou rm anaise,. d e sapal'esse, ill it la t l 'a i iqti l l,-IH~ du milieu dans lequel elle agit. Vans ereerez ainsintitour d'elle tine Il .hll()sphereIfh ab itu c1 e s don tit lu i sPi' li .p re sq ue im po ssib le d e se d efa if 'e.Pourdominer l'active, veillez a l' emploi de so n activile

mAwejirigeniezvollS it irouver S a n sceSSB de nouveaux.vOlag es Af! l l r e ,de nouveaux obstac le sIi .valncre ; !;d~~eiII I iaite m ettre encolere de terii{lSeli tem ps etn'oillilieipa s 1 at laUerie.P~h il ' 13 .nerveuse, usez, attcontl'lliJ'e,. d;admiriition. el

I'emplacez pal' v os e ltoNspe rs on fie ls l'activite physiquequi lu i f aU d e/a ut.SaUsfaitesse s pe ti te sm a n ie s q u e 'v oU sc6iti1aHl~ezv illi, e tn'6til:;liez pall qu e l it JalOusieou PM"

v ie , exc iteMit tem p s c he z I tt f i e rv eU e , e n[ei'6tH, qU a n t iVI;IUS voudrez , un e e s c la v e. Q u e({'erretit's ti 1esH'l lle pasp rMeh .Mmn 1 e t t t epill' deplt! .Quant Ala fai;6uchevolontalre, celle q u i s sm b le s i { I 'o id e

a u p rem ie r abard, devirtez vlte so n ambitioncacMe; et(rappez-llidirectement dans l 'exageralion de so n colossalorgUei! . /ACtleptez.SOIl despotisme. e t d ii l ge z. s aVafilt~.VallS serez I emaitre cil6M deceUe Indcmptable nfittire.

Pour que deux: ~lres s'aceordent pendant de longuesannees. il faut, autant que possible , que leurnature se


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l 'esperance de run vienne detruire Ies cri-oil' de l 'a utre , e tque l 'a ct iv lte d upremier

s olt t6 u.l 6U l'Sa meme de compenser les effe ts de lap are sse d u s ec on d.Dans l'antiquite, en Egypte et en Grece, it y avait des

col!llgesde prf'Jtres et de prstresses charges d'enseignerles mysteres de la famille, et cela evitait bien des catas-trophes que 111science contem poraine, Ilgee dansso n

pCdanlisme, n'a jamais pu prevenir.Or, deux e lre s, d en tlinn a UUe eerlture longue et pen-chee, etl 'autre une eci'ilme ronde pt d ro ite , so nt c om p te -m entaires.to tein trou ge etle teint jaune, Ie teint blanc et le teint

sombre, s ont eg al emen t oomp lemen ta lr es .Les personnes aux doigts lisses et longs sont cornple-

mentaires .de c el le s a uxdoigts noueux etcourts,Les nez eoncaves sont complementaires des nez aqui-

Ilns.N'assemblez done jamais deux nerveux ensemble, deux

lletifs ou deux volontaires, vous produiriez des querellesplus ou moins violentes qui desolent certaines families,OlI, parents et enfants etant de meme nature, l'harmoniene peut s'etablir que rarement et pour peu d'instants.Donnez-vous la peine de regarder auteur de vous, et vousverrez que ces donnees, en appal'ence frivoles, cachentdes enseignements qui peuvent {)Irede grande portee.

Des natures complementairee,

Avant d'abandonner celte etude des complementaires,capitals entre toutes par ses applications, deflnissons,avec quelques details Ie caractere des compleruentairesqui doit (lire choisi par cbaque classe de femmes.La regle generals it suivre, une fois qu'on a determine

les deux natures qui dominent dans un eire (Voir eeque nous avons dit au sujet du teint), est de cherchercomme complementaires les natures nettement opposees.


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Ainsi, la tranquille animique aUl'.a 'faire Ie volontaire-nerveux ; la contemplativepessimiste aura eomme eomplementaire l'entreprenant(volontaire aotif], etc. .Pour ne pas nOU3 perdre dans les details, disons que,

dans nos grandes divisions, la calme a pour complemsn-taire Ie volontaire ; l'active se complete par le nerveux etreciproquement,En etudiant les ecritures, la forme des traits, la marche

at la forme de la main, on verra que chaque detail repondsll' ictement au oomplementarisme de l'ensemble. Un peude pratique sufflra, du reste, pour arriver vite a .'des resul-tats surprenants, et nous souhaitons vivement a .nos lee-trices d'eviter ainsi les hrouilles et les mille ennuis quecause un mariage mal assorti.. au point de VIe des com-plementaires.

r


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DIVERS

Theorie de l'horoscope.

'VallS savez , n'est-ce pas, que les anciens astrologuespretendaient annoncer l'avenir d'un individu en se rap-portant iI .la position des astres lars de la naissanee deeet individu. Sur quelle theorie s'appuyait done une telleaffirmation?SUI'cette idee que, de m em e que le tapis des Gobelins

est Iabriqua par des ouvriers invisibles pour nous quandnous regardons Ie tapis de face, de meme le corps humainn'est que le resultat exterieur, materiel, du travail d'unautre principe que nous ne voyons pas a l'etat normal etappele corps astral.Ce nom de eorps astral venait de ee que c'etait les

influences des astres qui agissaient d'une faeon prepon-derante sur ce principe.On pouvait done, en etudiant attentivemenl les formes

du corps physique, determiner le earactere du corps as-tral, dont ce corps physique n'est qu'une traduction maoterielle pour nos sens et, en poursuivaut l'analyse, onpouvait decouvrir quels etaient les astres qui avaientdavantage in flue lors de la naissance. De Iii.l'etude desformes physiques eonsiderees comme des siqnaturesastrales et toutes les sciences de divination deductive. (Chi-romancie, physiognonomie, metoposopie , etc., etc.) Voila.pourquoi les doigts et les lignes de la main out, en chi-romanoie, les noms des sept planetes de l'ancienne astro-lpgie,


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L'astrologie et Ie caractere.

Les astrologues divisent la vie humaine en sept peeio-des embrassant les differentes phases de I'existenee.La lune domine la gestation, Mercure regne pendant

I'enfance de t Ii . i~ ans, Venus domine l'adolescenee de.i 4 it 28 ans, Apollon preside a Ia [eunesse de 28 it 4 2ans,Mars commande la pericde ou l'homrJltl est au summumde sa force physiqueet intellectuelle de 42 a.56 ans, Lesage .Jopiter dirige In vie humaine de 116 t 10 ans, t; t\gemur j at en fln Ie so m .b i'c S atl1 l'Iletient sous sa coupe Ill,vieillesse de 70 1 \84 ans,II resulte de I I Ique Iss gens qui naieaent eotis l'intlUefiNl

de Mercure sont toujours enfants et etourdls ,m~me&.'19~anS i ClU ll l es h eur euxnes SOU8 I'l nf lu en ce d l!Venus lJoiittoujours aimants etque Ies artistes sur qui dOlUine~p61....Io n restent [eunes toute leur Vie, Par contre, les Mtall~leul'S sont soumis it Marsr las gens ~ra"esde!l ltiutenfanee dependent de Jupiter, et 168 tristes. MUlt qui, q .t le lClue soit leur Age, semblent toujours Ilv(;)il' '10 ans, son t

lesesclavesde I'intluence de Satt1rne.CleUs division asti'oiogiqtlt i, rapPol 'tatl t in Mie dQDlf.'

nante du caraclere a l'influence planeLaire, aVa lt b ea u- CQUPfrappe Grethe. '

Quelques traditions conoernant 1&l\1n6.

L'aslrologienous enselgneque notresatellite,veritablegangliofi sym pathique deIn Ter re , r ~g li l lit tl l'O is a fiM d etout ce qui pousse icl-b as, 8idone \fOil!!vQuietque ve scftevetlx ci 'Oissent,he les eoupes jfllfillti! que pendant Ill.period!! e r o i K~ l l n t ede la Lune(N. L. It P. L;)

Si, par centre, v ous v oulezrestreindre 1a poussee tt'OP


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Conclusion,

Nous pourrions develop per encore beaucoup ces don-nees, forcement elementaires. Mais nous avons assezabuse de la gracieuse attention de nos Iectrices et nousavons fait nos efforts pour eviler les details qu'on trouvedans tous les livres et pour donner, au contraire, nn tra-vail original et synthetique. Nons nous sommes, autantque possible, cantonne sur Ie terrain pratique, et si quel-qu'une de nos leetrlces veut maintenantvoir Ie caracteredes arnis et des amies qui l'entourent, nous semmes per-suade -que ces donnees lui sufftrcn] pour obtenir desresultats cuneus et que Ia pratique rendra de plus en-plus remarquables. Si nous avons pu rendre quelque ser-vice, nous serous amplement recompense de nos efforts.

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Occultisme-Papus - Les Arts Divinatoires

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