Objectif zéro gaspillage alimentaire Mobilisons un...

World Café 2019 Objectif Zéro Gaspillage Alimentaire

5 février 2015

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Objectif Zéro Gaspillage Alimentaire Mobilisons un potentiel méconnu

Compte-rendu

WORLD CAFÉ

Objectif zéro gaspillage alimentaire

Mobilisons un potentiel méconnu

29 Mars 2019 La Fruitière Numérique - Lourmarin

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfKE-Sh196IezTwebF6GZjw-h_DVtbqOeUWkev7S8nZVtr09w/viewform?usp=sf_link

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfKE-Sh196IezTwebF6GZjw-h_DVtbqOeUWkev7S8nZVtr09w/viewform?usp=sf_link


5 février 2015

2 Objectif Zéro Gaspillage Alimentaire Mobilisons un potentiel méconnu

Contexte du World Café Coop de France Alpes-Méditerranée, soutenu par l’ADEME, la DRAAF PACA et le Conseil Régional, a eu le plaisir d’organiser un World Café à Lourmarin le 29 mars 2019. L’ambition de la journée était de déterminer ensemble la structuration du réseau de lutte contre les pertes & gaspillages alimentaires : la gouvernance du Réseau, son fonctionnement & les premières actions à lancer immédiatement en région Sud – Provence – Alpes - Côte d’Azur.

Qui était là ? Près de 60 acteurs de la Production, de la Transformation, de la Distribution et de la Consommation ont échangé, partagé et coopéré lors de cette journée.

De quoi a-t-on parlé ? Cette demi-journée réunira l'ensemble des acteurs présents au Forum Ouvert et permettra de travailler concrètement sur les thèmes suivants :

1. Quelle structuration de travail pour démarrer le réseau et mettre en place des actions rapidement ?

2. Quelle organisation du pilotage du réseau (prises de décision, financements, …) ? 3. Comment un acteur s’engage et trouve sa place dans le réseau ? 4. Quels sont les bénéfices du réseau pour les acteurs ? 5. Action à mettre en place pour le Grand Public pour la journée du 16 octobre ?

Qui a organisé et facilité l’événement ? Hôte : Cécile CHERY, Chargée de missions de l’ADEME PACA Comité d’organisation : Jacques ANSQUER, Valérie BARRE, Patrick BREMOND, Cécile CHERY, Cathy BLANCHARD, Frederika LHUISSIER, Stéphanie PONS et Clémence MAZARD. Facilitation : Yaël GRONNER et Marie VIALARD

Quelles suites au World Café ? Pour maintenir cette dynamique très positive, Coop de France Alpes-Méditerranée, ainsi que le Comité d’organisation, ont prévu de poursuivre ces riches échanges dans le cadre du réseau régional de lutte contre les pertes et gaspillages alimentaires.


5 février 2015


Table des matières

Liste des participants au Forum ............................................................... 4

Question 1 ............................................................................................. 9

Quelle structuration de travail pour démarrer le réseau et mettre en place des actions rapidement ? ...................................................................................................................... 9

Question 2 ........................................................................................... 12

Quelle organisation du pilotage du réseau (prise de décisions, financements, …) ? .......... 12

Question 3 ........................................................................................... 16

Question 4 ........................................................................................... 18

Quels sont les bénéfices du réseau pour les acteurs ? ....................................................... 18

Question 5 ........................................................................................... 22

Quelles sont les actions prioritaires pour le grand public pour la journée du 16 octobre ? .22


5 février 2015


Liste des participants au Forum

Organisation Prénom Nom Adresse mail

Conseil Départemental des Alpes de Haute-Provence Albert Alameldine [email protected]

Consultante Patricia André [email protected]

Fondalim Jacques Ansquer [email protected]

Facilitation

NOM Prénom Structure Mail

VIALARD Marie Espace & Solutions [email protected]

GRONNER Yaël Yaël Gronner Facilitations [email protected]

Comité d’organisation NOM Prénom Structure Fonction Mail

ANSQUER Jacques FONDALIM Président [email protected]

BARRE Valérie ARPE PACA Chargée de projet [email protected]

BREMOND Patrick UFC Que Choisir Commission Energie - Environnement

[email protected]

CHERY Cécile ADEME Chargée de mission [email protected]

BLANCHARD Cathy Région Economie circulaire - Ecowaste4food

[email protected]

FATTIER Raphaël Coop de France Alpes-Méditerranée

Chargé de mission [email protected]

LHUISSIER Frederika DRAAF PACA Chef du Pôle Alimentation et Offre alimentaire

[email protected]

PONS Stéphanie Coop de France Alpes-Méditerranée

Secrétaire générale [email protected]

MAZARD Clémence France Nature Environnement PACA

Chargée de mission [email protected]

Participants

mailto:[email protected]





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Association Coll'Vert Maryse Arnoux [email protected]

ARPE ARB Valérie Barre [email protected]

Conseil Régional Sud Provence – Alpes – Côte d’Azur Cathy Blanchard

[email protected]

UFC Que Choisir Patrick Bremond [email protected]

Coop de France Alpes-Méditerranée Lucie Bruis [email protected]

DRAAF PACA Pierre-Noël Canitrot [email protected]

Fédération du Commerce de Distribution FCD Yves Chachuat [email protected]

Ademe Cécile Chery [email protected]

Mairie de Velaux Muriel Conti [email protected]

Mairie de L'Isle sur la Sorgue Ghislaine Cortinovis [email protected]

EQOSPHERE Xavier Corval [email protected]

Coop de France Alpes-Méditerranée Stéphanie Costa

[email protected]

SOCIETE COMERSO Etienne De Lauzieres [email protected]

Conseil Régional Sud Provence – Alpes – Côte d’Azur Christelle Deblais [email protected]

Mairie de Velaux Philippe Degroote [email protected]

Association Le Village Anne Deransart [email protected]

COMERSO Yvan Desrues [email protected]

Primum non nocere Luce Devigne [email protected]

FNE PACA Eva Di Salvo [email protected]

Mairie de Valbonne Mylène Djeghrie-Martin [email protected]

Coop de France Alpes-Méditerranée Sandrine Escoffier

[email protected]

Mairie de Velaux Isabelle Fargette [email protected]


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METROPOLE AIX MARSEILLE PROVENCE Laure Gaillard [email protected]

Réseau PROVENCE DAUPHINE / VIVALYA Lydie Garcia

[email protected]

CRIPT PACA Fanny Garric [email protected]

PEPINO Enzo Giusti [email protected]

Espace et Solutions Yaël Gronner

GERES Alexia Hebraud [email protected]

Phenix Guillaume Henri [email protected]

Mairie de LAURIS Amélie Jean [email protected]

EQOSPHERE Mélanie Kessler [email protected]

Ademe Emilie Le Fur [email protected]

Ecoscience Provence Clara Léonard [email protected]

Leuchter Samuel Samuel Leuchter [email protected]

Association Le Village Anne Leymat [email protected]

DRAAF Paca Frederika Lhuissier [email protected]

CPIE DU PAYS D'AIX Julie Maccagno [email protected]

MAIRIE DE ROQUEBRUNE SUR ARGENS Annick Manitch

[email protected]

RESTAU'CO Chritophe Mari [email protected]

VILLE DE GIGNAC LA NERTHE Franck Maurin [email protected]

FNE PACA Clemence Mazard

Mairie de Velaux Valéry Michel-Bonnier [email protected]

Réseau PROVENCE DAUPHINE / VIVALYA Christophe Mittelette

[email protected]

Au Maquis Adrien Montizon [email protected]


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Mairie de Velaux Coralie Morvan [email protected]

BBK_Bio... Jacques Moussalli [email protected]

Restaurant scolaire lauris Gilles Muel [email protected]

Chambre d'agriculture des Alpes Maritimes Nadine Niel

[email protected]

Coop de France Alpes-Méditerranée Stéphanie Pons

[email protected]

Carrefour Christophe Pons [email protected]

SOCIETE COMERSO Nicolas Prange [email protected]

ADEME Gaëlle Rebec

Mairie Fuveau et Gréasque Lydia Répossi [email protected]

TRANSITIONS Renaud Reynes [email protected]

Mairie de Venelles Elise Reynier [email protected]

Mairie de Miramas M. Ricard [email protected]

CoVe Carine Rocheron [email protected]

FNE PACA Eva Salvo [email protected]

Mairie de L'Isle sur la Sorgue Patricia Sanquer [email protected]

Aix Marseille Provence Métropole Élodie Saunier

[email protected]

Carrefour Patrick Sommesous [email protected]

Métropole Aix-Marseille-Provence territoire Pays d'aix Sandy Soulaine

[email protected]

CPIE du Pays d'Aix Fanny Sperry [email protected]

Mairie de Valbonne Lydia Taoutaou [email protected]

Mairie de Miramas Mme Théréné [email protected]

Mairie de Bédarrides Evelyne Vedrines [email protected]


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Organisation Prénom Nom Adresse mail Solidarité Alimentaire France - ANDES Thibaud Villaret

[email protected]

GRAND AVIGNON Laetitia Vinuesa [email protected]

MAIRIE DE ROQUEBRUNE SUR ARGENS Claudine Vittori

[email protected]


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Question 1

Quelle structuration de travail pour démarrer le réseau et mettre en

place des actions rapidement ?

Enjeu ACTIONS correspondantes Structuration nécessaire pour y répondre

Remarques/questions diverses évoquées

Connaître ce qui existe : actions réalisées ou en cours, projets, outils existants, contacts et personnes ressources

> Faire un VADEMECUM (document ou via carte interactive sur un site internet avec critères de recherche par mots clés) recensant l’ensemble de ces projets et contacts. Classement par thème et public cible

> Organiser des rencontres pour connaître les initiatives existantes (échange de bonnes pratiques)

> Avoir une personne dédiée en charge de la réalisation de ce recensement : animateur du réseau (ou prestation à un bureau d’études)


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Enjeu ACTIONS correspondantes Structuration nécessaire pour y répondre

Remarques/questions diverses évoquées

Identifier les problématiques non résolues, les prioriser

> Organisation d’une journée pour identifier les différentes problématiques (journée de lancement du réseau par exemple) + outil collaboratif en ligne pour contribuer

> Constitution de groupes de travail susceptibles de répondre collectivement aux problématiques identifiées

> Définir 1 personne animatrice de chaque groupe de travail

Idées de problématiques évoquées lors de l’atelier :

- La lutte anti-gaspi en RHD

- Le don alimentaire : comment atteindre les objectifs imposés par la réglementation ?

- La sensibilisation du grand public

- Avoir un diagnostic chiffré du gaspillage alimentaire en PACA

- La gestion des biodéchets

- …

Trouver des solutions collectivement aux problématiques identifiées

> Réunir les groupes de travail pour travailler collectivement sur les problématiques= « laboratoires d’idées »

> Le groupe de travail est ouvert à tous (pas de classement à priori par famille production / transfo / distribution / consommation Mais nécessité qu’il soit constitué d’un « noyau dur » (mêmes personnes ou organismes) - nécessité de s’inscrire via une fiche au groupe de travail en expliquant pourquoi on souhaite y participer etc. > Pas de taille critique « à priori » > Ne pas faire les rencontres toujours au même endroit > Chaque animateur de groupe est l’interlocuteur privilégié de l’animateur du réseau qui coordonne l’ensemble (ou des copilotes)

> Les animateurs de groupe ne pourront pas disposer de temps si ce dernier n’est pas financé : se pose la question du modèle économique du réseau Quelle autonomie financière ? souhaite-on qu’il dépende en totalité de subventions ? > Pour les collectivités : nécessité d’avoir un accord politique pour participer au réseau et aux groupes de travail > Accepte t-on un réseau dans le réseau (par ex. Un plus bio) ?


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Autres points évoqués sur la table 1 (animée par Fanny) : Enjeu ACTIONS correspondantes Structuration nécessaire

pour y répondre Remarques/questions diverses évoquées

Pouvoir échanger ensemble

> possibilité d’accueillir ou faire intervenir quelqu’un du réseau dans sa propre structure > Être en mesure de contacter les membres du réseau facilement

> Mettre en place un dispositif type « forum » internet

> Être dans une approche type « réseau d’entraide »

Autre objectif du réseau évoqué : organiser des événements ensemble

Personnes mobilisables pour un groupe de travail sur le sujet - Quelle structuration de travail pour démarrer le réseau et mettre en place des actions rapidement ?

→ Jacques Ansquer (Fondalim) : mise à disposition gratuite du site, plateforme d'échange en ligne

→ Mylène Maurel

→ Albert Alamelmine (Régal)

→ Christophe Mari

→ Fanny Garric

→ Jacques Moussalli (expert organisation/pilotage)

→ Luce Devigne (Primum Non Nocere)


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Question 2

Quelle organisation du pilotage du réseau (prise de décisions,

financements, …) ?

I : Gouvernance

Le mode de gouvernance a fait l’objet d’un grand nombre de propositions parmi lesquelles il a été

évoqué :

→ Un Collège à 5 têtes sur le principe du SPPPI-PACA garantissant démocratie et transparence

- Etat (Ademe, DRAAF)

- Collectivités : Région, EPCI, communes

- Privés : entreprises de la grande distribution ou entreprises de services en lien avec la

réduction du gaspillage alimentaire

- Associations

- Salariés/syndicats


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=> Chaque collège a un ou plusieurs représentants qui siègent au Conseil d’Administration (pas de

statut juridique).

=> Le réseau quant à lui constitue une association loi 1901 et les membres adhèrent via une cotisation

ou en étant partenaire financier.

=> Le réseau est coordonné par un animateur, salarié du réseau.

→ La constitution d’un Collège (ou comité de pilotage)

avec la représentation des 4 familles (production, transformation, distribution, consommation) et 2

familles supplémentaires (collectivités et associations). Les membres du collège seraient élus par leur

famille (2 ou 3 représentants par famille).

Ce qui ferait au maximum un collège constitué de 18 personnes.

Rôle du collège et de ses élus : mise en réseau, diffusion d’informations sur les actions des adhérents

au réseau, facilitateur des relations entre familles sur tout le territoire régional.

Relation du réseau entier (adhérents) avec le Collège (ou comité de pilotage)

le collège et ses membres doivent être des interlocuteurs accessibles et attentifs aux démarches de

chacun (constitution d’une sorte d’annuaire ou de plateforme répertoriant l’identité, actions et

souhaits des adhérents).

Pour coordonner tout cela, un animateur territorial serait choisi, un ETP type chargé de mission qui

serait rattaché soit à une institution (ADEME, Région PACA…) soit à une association par exemple.

Il a été dit que l’animateur ne devait pas être totalement extérieur à la démarche déjà engagée du

réseau pour éviter l’aspect bulle déconnectée (avis formulé à la suite d’un retour d’expérience de la

Cheffe du Service économie agricole d’Aix-Marseille Métropole, Laure Gaillard).

Le rôle de l’animateur territorial : coordonner les actions et la tenue de réunion du collège. Mobile sur

la région, il devra se construire une connaissance fine des acteurs du territoire mais aussi des

problématiques liées aux pertes et au gaspillage alimentaire dans les process des 4 familles.

Le collège pourrait prendre le statut d’une association professionnelle/loi 1901. Dans l’ensemble la

structure doit être souple et éviter l’écueil du tout descendant. Le mot d’ordre « le problème de l’un

peut être la solution d’un autre ».


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D’autres formes de pilotage ont été abordées :

→ Délégation de Service Public - Groupement d’intérêt public – Partenariat Public Privé

→ Comité Directeur

→ Public Arbitre/mise en œuvre par du Privé

→ 1 pilote + 1 animateur ou 1 animateur + un COMEX

→ Collégialité / Coopération / Transversalité / Comptabilité

II : Prise de décision

→ Le collège fixe les grands objectifs à partir des actions/souhaits du réseau d’adhérents.

Les adhérents du réseau ont la responsabilité d’informer les membres du collège et de

nourrir sa réflexion par des propositions concrètes et des possibilités de mise en œuvre

(délais, modalités). Le collège prend acte des propositions et vote les délais de mise en

œuvre.

→ A noter : une stricte égalité dans le poids des positions de tous les acteurs du réseau est

jugée nécessaire.

Le collège peut également solliciter le réseau d’adhérents sur un sujet. Le dynamisme

et l’efficacité du réseau dépendra de ce dialogue continu entre le collège et les

adhérents.

Pilotage par objectifs : la double entrée « réduire le gaspillage alimentaire » - « amélioration de la

qualité de l’alimentation »

III : Financement

Plusieurs modes de financement du réseau et de ses actions ont été évoqués, possibilité et envie de

faire coexister plusieurs sources de financements pour garantir la pérennité des actions et

l’indépendance du réseau.

1 : Financement public (réponse à appel à projet de l’Etat, ADEME, Conseil régional… ou constitution

d’un marché public spécifique)

2 : Privé : contribution financière / partenariat / mécénat

3 : Adhésion au réseau : au prorata ?

4 : Financements innovants : micro dons en caisse pour la lutte contre le gaspillage alimentaire


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Personnes mobilisables pour un groupe de travail sur le sujet - quelle organisation du pilotage du réseau ?

→ Clémence Mazard (FNE PACA)

→ Enzo Giusti (Pepino)

→ Sandy Soulaire (Territoire Pays d'Aix)

→ Luce Devigne (Primum non nocere)


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Question 3

Comment un acteur s'engage et trouve sa place dans le réseau ?

1. Engagement par une Adhésion

→ Cette adhésion aurait un coût (lequel ?), ce qui permettrait de matérialiser l’engagement, de donner une valeur à l’appartenance au Réseau, d’avoir un « pot commun » pour financer des actions ou de l’animation. Le coût devrait être modique pour ne pas être dissuasif (pas de sélection par l’argent !)

→ Les acteurs qui souhaitent entrer dans le Réseau s’identifieraient grâce à une fiche signalétique, qui permettrait un classement par familles (production, transformation, distribution, consommation) / métiers … Cette inscription pourrait être enregistrée sur une plateforme en ligne permettant d’identifier les acteurs mais sans pour autant cloisonner les actions qui resteraient transversales entre famille. Il pourrait être demandé de mentionner un contact référent, ses besoins, ses retours d’expériences, et le temps qu’il pourra y consacrer.


5 février 2015


→ Les acteurs engagés et adhérents pourraient en contrepartie bénéficier des actions du Réseau et faire en sorte que la lutte contre le gaspillage alimentaire devienne un gain. Ils pourraient aussi utiliser un logo identifiant leur adhésion au Réseau régional.

2. Engagement par une Charte

→ Cette charte présenterait des valeurs communes pour lesquelles les acteurs s’engagent.

→ Dans cette charte, chaque acteur s’engage sur un ou plusieurs objectifs (annuels ?), chiffrés et suivis, qu’il pourrait réaliser seul ou avec d’autres acteurs. Objectif personnel.

→ Chaque acteur s’engage également à fournir ses données chiffrées chaque année afin de contribuer à enrichir la collecte des données pour le réseau régional et à créer un panorama.

→ Il pourrait y avoir différents niveaux d’engagement en fonction des moyens de chacun (temps, moyens humains et financiers) – Définition d’un cœur de Réseau ?

→ En réciproque, le Réseau pourrait apporter différents niveaux d’accompagnement et de soutien, mettre à disposition des ressources et des contacts sur des thématiques ciblées, et organiser des forums ou ateliers sur des sujets précis.

Question : Ouverture du Réseau Régional au Grand public ? Personnes mobilisables pour un groupe de travail sur le sujet – comment un acteur s'engage et trouve sa place dans le réseau ?

→ Jacques Moussalli (BioConsomm'Acteurs), 04.47.57.81.13

→ Laure Gaillard (AMP Métropole), 06.32.87.51.56, [email protected]


Forum Ouvert 2019 Objectif Zéro Gaspillage Alimentaire

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Question 4

Quels sont les bénéfices du réseau pour les acteurs ?

Quelles seraient vos attentes ? Qu’est ce qui compensera votre investissement (temps)/ Qu’est ce qui fera que vous continuerez à participer/être présent au sein du réseau sur le long terme

Attentes Bénéfices Créer du lien entre les acteurs / se connaitre / identifier les acteurs du territoire > Être mis facilement en relation avec les autres acteurs : Mise en place d’une hot line au sein du réseau avec un référent capable de donner les contacts locaux (liste de contacts) pour une mise en relation immédiate.

>Souplesse et réactivité de l’animateur

>1 référent/facilitateur du réseau identifié

>Mieux se connaitre : Networking entre acteurs (se présenter / présenter son activité aux autres)

>Créer de la transversalité (lien entre les acteurs de la chaîne, décloisonner entre producteurs, transformateurs, distributeurs ,…)

Ex : proposer des animations transversales : que faire de vos invendus ou produits non commercialisés ?

> Développer son activité « faire du business » générer de l’activité économique

> mettre en place des solutions (ex pour la GD : mise en relation avec associations : augmenter le nombre de fournisseurs de produits alimentaire potentiels)

> Gagner du temps

> Se rendre des services (connecter « offre et demande »)

> Connaître la bonne personne pour chaque action

> Identifier les postes/missions manquants et les créer.

> Avoir finalement un langage commun malgré les différences de culture et d’objectifs (euros, éthique, service public…)


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Attentes Bénéfices Accompagner les projets > Aller au-delà de la simple mise en contact. > Aide à la mise en œuvre technique et opérationnelle (ex cité : problèmes logistiques pour la revalorisation des denrées alimentaires entre acteurs). > Être connus des accompagnants

Gain de temps > Accélérer le développement de l’innovation > Faire émerger les projets > Être soutenus pour pouvoir mettre en œuvre > Convergences et complémentarités des projets

Diffuser et partager l’information > Connaître les actions exemplaires : partage de bonnes pratiques entre acteurs

> Attentes : mission de suivi des expériences locales par le réseau avec diffusion du suivi aux acteurs (outils méthodologiques) > Se former

> Faciliter la compréhension / intégration de la réglementation pour chaque acteurs (Ex : normes don en restauration collective)

> Connaître les ressources locales et les besoins du territoire (Flux alimentaires : denrées consommables, transformables, valorisables / acteurs / techniques, etc.).

=> plateforme informatique ? développement de bases de données ?

Favoriser l’innovation / accélérer l’innovation > Connaître les opportunités

> Une éducation, une culture, de la lutte contre le gaspillage et à la lutte contre tous les gaspillages,

> Connaître les nouvelles idées.

Coordonner les actions locales > Développer les synergies entre acteurs et projets Avoir une vue d’ensemble sur la dynamique du territoire (actions / projet / acteurs) > Regrouper les initiatives locales


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Attentes Bénéfices Mettre en place des actions concrètes > Établir rapidement un programme de travail concret et diffuser le programme de travail aux acteurs

> Un outil informatique pour mettre en lien offre et demande (FONDALIM est proposé gratuitement à tous, Commerso a également un outil)

> Mettre en place des cas pratiques / actions thématiques pour impliquer les acteurs en fonction de leurs problématiques

> Visites de sites pour le partage d’expériences

> Partager les objectifs et priorité entre acteurs > Pas de déchets

Un réseau reconnu > Peser : faire du lobby (loi / réglementation). Faire remonter les contraintes des acteurs / faire évoluer la réglementation

> Sensibiliser les pouvoirs publics > Se lier aux réseaux voisins pour avoir encore plus de poids, de puissance

> Avoir un réseau dynamique

> Développer une image de marque grâce au réseau/label ?

> Un sentiment d’appartenance et de qualité : je fais partie du réseau = j’agis, je suis engagé réellement’

> Être force de proposition pour faire évoluer la règlementation : ne pas subir > Être novateur (projets / actions) > Bénéfices indirects liés au rayonnement du réseau pour le territoire Sud et donc pour chacun de ses acteurs (attractivité économique / touristique) > Savoir d’où on vient et où on va collectivement


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Autres éléments évoqués - mener des actions qui ont du sens. Cohérentes ! travailler surtout à la source : prévention / sensibilisation des pertes et du gaspillage alimentaire - les acteurs pourront rester actifs (dégager du temps) au sein du réseau si et seulement s’il y a une « certaine priorité » sur le gaspillage alimentaire dans leurs propres missions ! - nécessité de « mettre en place un langage commun » entre les acteurs ! Culture commune Question soulevée par les participants : qui sont les acteurs actuels intégrés au sein du réseau ? => la présence et l’implication de chaque acteur au sein du réseau sera directement liée à la présence des autres acteurs (diversité, pluralité). Tous les maillons de la chaîne doivent être présents et impliqués au sein du réseau. Personnes mobilisables pour un groupe de travail sur le sujet – quels sont les bénéfices du réseau pour les acteurs ?

→ Etienne de Lauzières, Comerso

→ Christophe Mittelette

→ Evelyne Vedrine (Bedarides)

→ Enzo Giusti (Pepino)


5 février 2015


Question 5

Quelles sont les actions prioritaires pour le grand public pour la

journée du 16 octobre ?

Education – Sensibilisation, Actions prioritaires pour le grand public le 16 octobre 2019 (Journée nationale anti-gaspillage alimentaire)

→ Cibles : surtout adressées aux enfants : impact sur les parents, toute la famille.

Lieux : Pour un évènement médiatisé « coup de poing » le 16 octobre : à Marseille (lieu marquant) + actions secondaires dans différentes communes engagées (là où les acteurs du réseau peuvent agir) Pour des actions sur la durée : dans les différentes structures/communes volontaires

→ Message principal / messages secondaires :

1. Changement de perception de l’alimentation : c’est un besoin vital, « sacré » ; 2. L’abondance de nourriture nous fait oublier sa valeur. On peut consommer des produits

de récupération ; 3. En Europe, on produit plus que ce dont a besoin, alors que d’autres meurent de faim

produisons et consommons mieux !; 4. Cette lutte anti-gaspi alimentaire doit s’accompagner d’une lutte contre les

emballages.


5 février 2015


→ Vecteurs / supports d’information : supports attractifs, ludiques, « qui brillent », non culpabilisants. Ne pas reprendre des évènements déjà existants.

✓ Des jeux/animations/ateliers qui permettent à toute la famille de participer.

✓ Affiches avec des images, chiffres marquants dans différents lieux publics.

✓ Troupes de théâtre / humoristes connus pourraient réaliser un sketch sur la thématique

✓ Création d’une appli sur les portables pour connaître le réseau (ex : les restaurants scolaires qui réutilisent des aliments, …)

Les enfants/les écoles pourraient être impliqués dans la conception de certains supports.

→ Budgétisation : les DR, DRAAF, ADEME, les collectivités, les adhésions, les sponsors privés

→ Faire un cahier des charges

Actions proposées pour le 16 octobre (et après), avec résultats des votes

→ Actions dans les communes : (12 voix) ✓ Opération glanage auprès des marchés, commerces : « Soupe Banquet »

✓ Animations sous forme de jeux visuels (Pomme de Terre …) ; Rallyes et chasses aux trésors

✓ Chef cuisinier qui montre comment cuisiner les restes.

→ Actions de Communication transversale : (9 voix en tout) ✓ « Festiv’anti-gaspi / Olympiades de la lutte contre le Gaspi alimentaire » : animations avec

des humoristes ou troupe de théâtre ; jeux, quiz pour les familles

✓ Une appli téléphonique pour connaître et développer le réseau (ex. trouver une structure anti-gaspi)

✓ Affiches marquantes sur les effets du Gaspillage Alimentaire dans différents lieux publics

→ Ouverture des MIN (marché d’intérêt national) au grand public : découverte du site et de leurs actions anti-gaspi (9 voix)

→ Action dans la restauration : la Journée où les restaurateurs ne cuisinent qu’avec des produits de récupération. (6 voix)

→ Dans les grandes surfaces : inciter à faire sa liste de courses, flyers et affichages à l’entrée du magasin (5 voix)


5 février 2015


→ Dans les écoles : (1 voix) ✓ Concours de l’école qui produit le moins de déchets alim

✓ Concours de dessins dans centres aérés

→ Consultation en ligne : « Je m’engage à … » (0 voix) Personnes mobilisables pour un groupe de travail sur le sujet – quelles actions prioritaires pour le grand public pour la journée du 16 octobre

→ Fanny Sperry (CPIE Pays d'Aix)

→ Yves Chachuet (FCD)

→ Clara Leonard (Ecoscience Provence)

→ Luce Devigne (Primum non Nocere)


5 février 2015


Merci à tous pour cette journée d’intelligence collective!

L’hôte : Cécile CHERY, Directrice de l’ADEME PACA Comité d’organisation : Jacques ANSQUER, Valérie BARRE, Patrick BREMOND, Cécile CHERY, Cathy BLANCHARD, Frederika LHUISSIER, Stéphanie PONS et Clémence MAZARD. Les facilitateurs : Yaël Gronner et Marie Vialard

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