Objectif Emploi du 23 octobre 2012

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Focus sur une carrière IT BAROMÈTRE STEPSTONE-OBJECTIF EMPLOI MÉTIER : LA MAGIE DE L’IMAGE SUPPLÉMENT À LA DERNIÈRE HEURE/LES SPORTS - LA LIBRE BELGIQUE - LA TRIBUNE DE BRUXELLES DU MARDI 23 OCTOBRE 2012. NE PEUT ÊTRE VENDU SÉPARÉMÉNT

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Focus sur une carrière IT

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Focus sur une

carrière IT•BAROMÈTRESTEPSTONE-OBJECTIF EMPLOI

•MÉTIER :LA MAGIE DE L’IMAGE

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l Emploi | Tendances

Les TICen statistiques

Le site Internet ictjob.be met en relationles candidats et les employeurs du sec­teur des TIC. Chaque mois, quelque25000 visiteurs consultent les bases dedonnées du site Internet qui regroupentles offres d’emploi de plus de 200 entre­prises. Afin de faciliter le décryptage dumarché de l’emploi dans le secteur desTIC, ictjob.be a décidé de se pencher sur

h Les grandes tendancesdu marché de l’emploi ITen Belgiqueont été analysées parictjob.be, un site spécialisédans le recrutement.

les grandes tendances et les évolutionsde ces dernières années.

Premier constat, les offres d’emploi –892 par mois en moyenne – ne dimi­nuent pas malgré la crise. Au contraire,elles restent stables, voire en légèrecroissance. Dans le même temps, lenombre de candidatures visibles évoluede façon quasi similaire (4468 candida­tures par mois en moyenne).

“Malheureusement, cette évolution n’estpas suffisante pour rattraper le retard ac­cumulé ces dernières années”, développePierre Sury, Managing Partner chez ic­tjob.be. “La pénurie de main­d’œuvre ITperdure.”

L’étude s’est également intéressée à lapopularité des différents emplois du

secteur, auprès des candidats et des en­treprises. “Nous constatons notammentun grand décalage de popularité concer­nant les profils orientés programma­tion”, continue Pierre Sury. Par exem­ple, “les compétences en réseaux restenttrès recherchées par les entreprises. En re­vanche, peu de profils peuvent répondre àla demande.”

Des concordances existent toutefois“Au niveau des langages de programma­tion Java et N ET sont les plus recherchéspar les entreprises et les plus populairesauprès des candidats visibles.”

Pour ce qui est des qualifications re­quises, “environ 80% des postes exigentune expérience de 2 à plus de 10 ans.”

Cependant, la répartition des offresd’emploi par niveau d’étude révèle que“beaucoup d’employeurs ne précisent pas

leur exigence en matière de diplôme ou decompétences techniques.”

Ainsi, 45,7% des offres ne reprennentaucune exigence, 37,6% requièrent unniveau de bachelier et seulement11,2% , un master.

Selon le type de contrat proposé, sala­rié ou indépendant, on retrouve unemajorité d’employé, 71,6% . “Toutefois,de nombreuses offres proposent aux can­didats de choisir le type de contrat qui leurconvient le plus”, ajoute Pierre Sury.

Enfin, au niveau de la répartition desoffres d’emploi sur le territoire, la Ré­gion bruxelloise confirme son rôle decapitale des TIC en cumulant plus de60% des offres. Par ailleurs, un axe An­vers – Bruxelles se dessine peu à peu.

N.R.

REPO

RTER

S

Premier constat, les offres d’emploi – 892 par mois en moyenne – ne diminuent pas malgré la crise.

Objectif Emploi. Editeur resonsable : François le Hodey, Vice­président du conseil : Patrice le Hodey, Directeur général : Denis Pierrard, Réalisation : Sodimco,Publicité : IPM Advertising ­ Béatrice Schoefs ­ Corine Loockx (0032 2 211 30 44 ­ [email protected])

3Emploi

SUPPLÉMENT DU MARDI 23 OCTOBRE 2012

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l Emploi | Tendances

Les TICen statistiques

Le site Internet ictjob.be met en relationles candidats et les employeurs du sec­teur des TIC. Chaque mois, quelque25000 visiteurs consultent les bases dedonnées du site Internet qui regroupentles offres d’emploi de plus de 200 entre­prises. Afin de faciliter le décryptage dumarché de l’emploi dans le secteur desTIC, ictjob.be a décidé de se pencher sur

h Les grandes tendancesdu marché de l’emploi ITen Belgiqueont été analysées parictjob.be, un site spécialisédans le recrutement.

les grandes tendances et les évolutionsde ces dernières années.

Premier constat, les offres d’emploi –892 par mois en moyenne – ne dimi­nuent pas malgré la crise. Au contraire,elles restent stables, voire en légèrecroissance. Dans le même temps, lenombre de candidatures visibles évoluede façon quasi similaire (4468 candida­tures par mois en moyenne).

“Malheureusement, cette évolution n’estpas suffisante pour rattraper le retard ac­cumulé ces dernières années”, développePierre Sury, Managing Partner chez ic­tjob.be. “La pénurie de main­d’œuvre ITperdure.”

L’étude s’est également intéressée à lapopularité des différents emplois du

secteur, auprès des candidats et des en­treprises. “Nous constatons notammentun grand décalage de popularité concer­nant les profils orientés programma­tion”, continue Pierre Sury. Par exem­ple, “les compétences en réseaux restenttrès recherchées par les entreprises. En re­vanche, peu de profils peuvent répondre àla demande.”

Des concordances existent toutefois“Au niveau des langages de programma­tion Java et N ET sont les plus recherchéspar les entreprises et les plus populairesauprès des candidats visibles.”

Pour ce qui est des qualifications re­quises, “environ 80% des postes exigentune expérience de 2 à plus de 10 ans.”

Cependant, la répartition des offresd’emploi par niveau d’étude révèle que“beaucoup d’employeurs ne précisent pas

leur exigence en matière de diplôme ou decompétences techniques.”

Ainsi, 45,7% des offres ne reprennentaucune exigence, 37,6% requièrent unniveau de bachelier et seulement11,2% , un master.

Selon le type de contrat proposé, sala­rié ou indépendant, on retrouve unemajorité d’employé, 71,6% . “Toutefois,de nombreuses offres proposent aux can­didats de choisir le type de contrat qui leurconvient le plus”, ajoute Pierre Sury.

Enfin, au niveau de la répartition desoffres d’emploi sur le territoire, la Ré­gion bruxelloise confirme son rôle decapitale des TIC en cumulant plus de60% des offres. Par ailleurs, un axe An­vers – Bruxelles se dessine peu à peu.

N.R.

REPO

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Premier constat, les offres d’emploi – 892 par mois en moyenne – ne diminuent pas malgré la crise.

Objectif Emploi. Editeur resonsable : François le Hodey, Vice­président du conseil : Patrice le Hodey, Directeur général : Denis Pierrard, Réalisation : Sodimco,Publicité : IPM Advertising ­ Béatrice Schoefs ­ Corine Loockx (0032 2 211 30 44 ­ [email protected])

3Emploi

SUPPLÉMENT DU MARDI 23 OCTOBRE 2012

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SUPPLÉMENT DU MARDI 23 OCTOBRE 2012 SUPPLÉMENT DU MARDI 23 OCTOBRE 2012

l Emploi| Les secteurs porteurs

L’avenir est au x TIC !

h Les profils hautementqualifiés sont les plusrecherchés.

h En cas d’inactivité, la veilletechnologique estindispensable.

Les métiers du secteur des technologiesde l’information et de la communica­tion (TIC) nécessitent de maîtriser tou­jours plus de compétences. “La plupartdes profils recherchés sont des profils qua­lifiés ou hautement qualifiés”, analyseMarc Pelsser, Managing Partner chezAfinIT, une jeune société spécialiséedans le recrutement. Et d’ajouter : “Parailleurs, le fait d’être trilingue ouvre le plus

de portes.” Anne Mailliet, directrice dudépartement de développement inter­national chez ALTEN, le confirme :“Aujourd’hui, ce sont les métiers opéra­tionnels de type couteau suisse qui sontles plus prisés. Une entreprise s’offre un dé­veloppeur avec des capacités en langues etdes capacités d’analyse réunies. Il fautégalement avoir une certaine aisance re­lationnelle, ce qui était bien moins le caspar le passé.”

Cependant, confrontés aux réalités dumarché de l’emploi, les employeurs re­voient parfois certaines de leurs exigen­ces à la baisse par. Ainsi, “les compétencestechniques sont un point important, maispas essentiel”, complète Anne Mailliet.“Les entreprises doivent aussi tenir comptede ce que l’on arrive à proposer”, souligneMarc Pelsser. “Je constate une certaineflexibilité pour ce qui est du diplôme, dumoins, à partir du moment où le candidat

a une tête bien faite et qu’il possède un fortpotentiel d’évolution. Un gradué peut donctout à fait convenir à de nombreux postes,il n’est pas toujours indispensable de dis­poser d’un degré universitaire.”

Toutefois, “l’anglais est incontourna­ble”, insiste le Managing Partner, qui dé­plore le manque de connaissance lin­guistique de nombreux jeunes toutjuste sortis des études.

Evolution et adaptation

Parmi les métiers porteurs, “les déve­loppeurs seniors ainsi que les chefs de pro­jet leader et techniques sont les profils quiont le plus la cote en ce moment”, avanceAnne Mailliet. “Certains métiers sontégalement très porteurs : ceux à mi­che­min entre la technique dans le secteur desTIC et l’analyse métier vertical, du typeBusiness Analyst, dans le secteur ban­caire.”

Par contre, la tendance s’inverse pourles postes moins qualifiés, égalementmoins sujets à la pénurie. “Dans ce cas, cesont plutôt les profils qui sont deman­deurs, et non les employeurs”, expliqueMarc Pelsser.

Le secteur des TIC évolue en perma­nence et requiert donc de la part du tra­vailleur une grande capacité d’adapta­tion.

“Le monde actuel impose cette capacitéd’adaptation. Certaines fonctions étaientencore inexistantes il y a seulement cinqans”, met en évidence Marc Pelsser. “Ledéveloppement d’applications pour lessmartphones et autres est un bon exem­ple.” En conséquence, “pour ce qui est despersonnes ayant connu une longue pé­riode d’inactivité, il est clair qu’il leur estplus difficile d’avoir à nouveau accès àl’emploi, surtout dans le milieu des nouvel­les technologies qui changent très vite et

beaucoup”, constate Anne Mailliet.“Ceux qui se retrouvent vite sur le marchédu travail sont les personnes qui sont res­tées personnellement en veille technologi­que.”

Selon Marc Pelsser : “Il faut continuer àse tenir informé, suivre des formations…Récemment, une dame a été engagée alorsqu’elle avait passé sept années à la mai­son. Mais elle a continué à suivre une for­mation une fois par an pour se maintenirà jour.”

Formations

Etre à jour, une condition sine quanon. Dans ce contexte, il est primordialque les formations proposées en Belgi­que soient de qualité. “Il existe de trèsbonnes formations dans le secteur, notam­ment celles organisées par Technofutur etle Cefora”, commence Marc Pelsser. Ce­

pendant, “il faut rendre les formations eninformatique encore plus attractives. Deplus, il est important de rappeler qu’iln’est pas nécessaire d’être un spécialistedes TIC pour travailler dans le secteur.Moi­même,j e suis juriste de formation”,ajoute­t­il.

elon Anne Mailliet, “les formationsproposées sont insuffisantes et souventtrop éloignées de la réalité du monde del’entreprise. Et cela se vérifie malheureu­sement tant pour les organismes de for­mation que pour les grandes écoles.” Ladirectrice du département de dévelop­pement international d’ALTEN est par­ticulièrement préoccupée par le man­que de nouveaux ingénieurs. “En 12ans, le taux de jeunes ingénieurs diplômésa baissé de 40% selon les statistiques, cequi est affolant. Il nous faut réhabiliter lesformations sur les métiers de l’ingénieur,que ce soit dans le domaine industriel ou

celui des nouvelles technologies de l’infor­mation”, insiste Anne Mailliet.

Le décalage entre les attentes du sec­teur et le degré de qualification des jeu­nes diplômés n’est pas sans consé­quence, “les jeunes diplômés ont moins lacote que des professionnels aguerris du sec­teur des TIC qui cumulent expérience etconnaissance des codes de l’entreprise”,constate Anne Mailliet, avant d’ajouter“Dès qu’un jeune diplômé franchit le capdes 18 mois d’expérience, il faut vraimentse battre pour le garder, car c’est à ce mo­ment­là que le marché commence à s’inté­resser à lui.”

n Belgique, chaque Région tente de ti­rer parti de la manne d’emplois que re­présente le secteur des TIC. Toutefois,des différences subsistent “La Belgiqueavance à deux vitesses, d’un côté la Flan­dre et Bruxelles, de l’autre la Wallonie. La

Wallonie a beaucoup progressé, par exem­ple au niveau du Forem, mais pas à lamême vitesse que les deux autres Ré­gions”, constate Marc Pelsser. “Bruxelleset la Flandre offrent des expériences pro­fessionnelles plus valorisantes que la Wal­lonie, ceci étant dû notamment à la pré­sence d’entreprises industrielles de pre­mier plan”, observe Anne Mailliet.

Les opportunités sont légion dans lesecteur des TIC. Ces dernières années, ils’est considérablement développé et re­groupe à présent un panel de métiersaussi variés que passionnants. De plus,les reconversions après une premièreexpérience professionnelle sont trèsappréciées.

ne seule question reste donc en sus­pens quel est le métier TIC qui vousconvient le mieux.

N.R.

REPO

RTER

S

Le marché de l’emploi n’est pas toujours évident. Pourtant, certains secteurs, comme celui des technologies de l’information et de la communication (TIC), s’en sortent particulièrement bien.

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4 Emploi 5Emploi

SUPPLÉMENT DU MARDI 23 OCTOBRE 2012 SUPPLÉMENT DU MARDI 23 OCTOBRE 2012

l Emploi| Les secteurs porteurs

L’avenir est au x TIC !

h Les profils hautementqualifiés sont les plusrecherchés.

h En cas d’inactivité, la veilletechnologique estindispensable.

Les métiers du secteur des technologiesde l’information et de la communica­tion (TIC) nécessitent de maîtriser tou­jours plus de compétences. “La plupartdes profils recherchés sont des profils qua­lifiés ou hautement qualifiés”, analyseMarc Pelsser, Managing Partner chezAfinIT, une jeune société spécialiséedans le recrutement. Et d’ajouter : “Parailleurs, le fait d’être trilingue ouvre le plus

de portes.” Anne Mailliet, directrice dudépartement de développement inter­national chez ALTEN, le confirme :“Aujourd’hui, ce sont les métiers opéra­tionnels de type couteau suisse qui sontles plus prisés. Une entreprise s’offre un dé­veloppeur avec des capacités en langues etdes capacités d’analyse réunies. Il fautégalement avoir une certaine aisance re­lationnelle, ce qui était bien moins le caspar le passé.”

Cependant, confrontés aux réalités dumarché de l’emploi, les employeurs re­voient parfois certaines de leurs exigen­ces à la baisse par. Ainsi, “les compétencestechniques sont un point important, maispas essentiel”, complète Anne Mailliet.“Les entreprises doivent aussi tenir comptede ce que l’on arrive à proposer”, souligneMarc Pelsser. “Je constate une certaineflexibilité pour ce qui est du diplôme, dumoins, à partir du moment où le candidat

a une tête bien faite et qu’il possède un fortpotentiel d’évolution. Un gradué peut donctout à fait convenir à de nombreux postes,il n’est pas toujours indispensable de dis­poser d’un degré universitaire.”

Toutefois, “l’anglais est incontourna­ble”, insiste le Managing Partner, qui dé­plore le manque de connaissance lin­guistique de nombreux jeunes toutjuste sortis des études.

Evolution et adaptation

Parmi les métiers porteurs, “les déve­loppeurs seniors ainsi que les chefs de pro­jet leader et techniques sont les profils quiont le plus la cote en ce moment”, avanceAnne Mailliet. “Certains métiers sontégalement très porteurs : ceux à mi­che­min entre la technique dans le secteur desTIC et l’analyse métier vertical, du typeBusiness Analyst, dans le secteur ban­caire.”

Par contre, la tendance s’inverse pourles postes moins qualifiés, égalementmoins sujets à la pénurie. “Dans ce cas, cesont plutôt les profils qui sont deman­deurs, et non les employeurs”, expliqueMarc Pelsser.

Le secteur des TIC évolue en perma­nence et requiert donc de la part du tra­vailleur une grande capacité d’adapta­tion.

“Le monde actuel impose cette capacitéd’adaptation. Certaines fonctions étaientencore inexistantes il y a seulement cinqans”, met en évidence Marc Pelsser. “Ledéveloppement d’applications pour lessmartphones et autres est un bon exem­ple.” En conséquence, “pour ce qui est despersonnes ayant connu une longue pé­riode d’inactivité, il est clair qu’il leur estplus difficile d’avoir à nouveau accès àl’emploi, surtout dans le milieu des nouvel­les technologies qui changent très vite et

beaucoup”, constate Anne Mailliet.“Ceux qui se retrouvent vite sur le marchédu travail sont les personnes qui sont res­tées personnellement en veille technologi­que.”

Selon Marc Pelsser : “Il faut continuer àse tenir informé, suivre des formations…Récemment, une dame a été engagée alorsqu’elle avait passé sept années à la mai­son. Mais elle a continué à suivre une for­mation une fois par an pour se maintenirà jour.”

Formations

Etre à jour, une condition sine quanon. Dans ce contexte, il est primordialque les formations proposées en Belgi­que soient de qualité. “Il existe de trèsbonnes formations dans le secteur, notam­ment celles organisées par Technofutur etle Cefora”, commence Marc Pelsser. Ce­

pendant, “il faut rendre les formations eninformatique encore plus attractives. Deplus, il est important de rappeler qu’iln’est pas nécessaire d’être un spécialistedes TIC pour travailler dans le secteur.Moi­même,j e suis juriste de formation”,ajoute­t­il.

elon Anne Mailliet, “les formationsproposées sont insuffisantes et souventtrop éloignées de la réalité du monde del’entreprise. Et cela se vérifie malheureu­sement tant pour les organismes de for­mation que pour les grandes écoles.” Ladirectrice du département de dévelop­pement international d’ALTEN est par­ticulièrement préoccupée par le man­que de nouveaux ingénieurs. “En 12ans, le taux de jeunes ingénieurs diplômésa baissé de 40% selon les statistiques, cequi est affolant. Il nous faut réhabiliter lesformations sur les métiers de l’ingénieur,que ce soit dans le domaine industriel ou

celui des nouvelles technologies de l’infor­mation”, insiste Anne Mailliet.

Le décalage entre les attentes du sec­teur et le degré de qualification des jeu­nes diplômés n’est pas sans consé­quence, “les jeunes diplômés ont moins lacote que des professionnels aguerris du sec­teur des TIC qui cumulent expérience etconnaissance des codes de l’entreprise”,constate Anne Mailliet, avant d’ajouter“Dès qu’un jeune diplômé franchit le capdes 18 mois d’expérience, il faut vraimentse battre pour le garder, car c’est à ce mo­ment­là que le marché commence à s’inté­resser à lui.”

n Belgique, chaque Région tente de ti­rer parti de la manne d’emplois que re­présente le secteur des TIC. Toutefois,des différences subsistent “La Belgiqueavance à deux vitesses, d’un côté la Flan­dre et Bruxelles, de l’autre la Wallonie. La

Wallonie a beaucoup progressé, par exem­ple au niveau du Forem, mais pas à lamême vitesse que les deux autres Ré­gions”, constate Marc Pelsser. “Bruxelleset la Flandre offrent des expériences pro­fessionnelles plus valorisantes que la Wal­lonie, ceci étant dû notamment à la pré­sence d’entreprises industrielles de pre­mier plan”, observe Anne Mailliet.

Les opportunités sont légion dans lesecteur des TIC. Ces dernières années, ils’est considérablement développé et re­groupe à présent un panel de métiersaussi variés que passionnants. De plus,les reconversions après une premièreexpérience professionnelle sont trèsappréciées.

ne seule question reste donc en sus­pens quel est le métier TIC qui vousconvient le mieux.

N.R.

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Le marché de l’emploi n’est pas toujours évident. Pourtant, certains secteurs, comme celui des technologies de l’information et de la communication (TIC), s’en sortent particulièrement bien.

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6 Emploi 7Emploi

SUPPLÉMENT DU MARDI 23 OCTOBRE 2012 SUPPLÉMENT DU MARDI 23 OCTOBRE 2012

l Métiers

La magie de l’image

De gros projecteurs, des réflecteurs, desordinateurs, une table de maquillage,des appareils photo,… le “bureau” deMichel de Bray ne laisse aucun doutesur sa profession. Il est photographe. Depublicité, plus précisément. Situé àSchaerbeek, son studio est son lieu detravail principal, même s’il apprécieaussi les prises de vue à l’extérieur.

S’il aime la photo depuis longtemps,c’est à une autre profession qu’il se des­tinait pourtant.

“J’ai toujours été passionné par les ani­maux. Je voulais d’ailleurs m’orienter versun métier lié à la nature. Mais j’ai très vitedécouvert qu’il y avait beaucoup trop desciences dans cette filière. Ce qui me ten­tait moins. J’ai opté alors pour des étudesd’ingénieur commercial, comme tout lemonde chez moi en fait. Mais je ne mevoyais pas dans ce milieu­là, et après deuxans, j’ai arrêté. Je crois que si j’avais conti­nué dans cette voie, je n’aurais pas été heu­reux”, raconte Michel de Bray, qui sepose alors la question : “Qu’ai­je envie defaire de ma vie. J’aimais bien la photo.J’avais d’ailleurs des reptiles chez moi quej’avais pris en photo. Je trouvais que celadonnait bien”.

Le jeune homme se lance dans un gra­duat en photographie à l’Inraci à Forest.Des études similaires sont proposées àBruxelles aux beaux­arts, à Saint­Luc età la Cambre notamment.

h Michel de Bray estphotographe de pub. Ce qu’ilaime ? Bricoler et créer.

En 3e année, Michel de Bray a l’occa­sion de faire un stage chez un photogra­phe publicitaire. “Cela m’a beaucoup plu.Je me suis dit alors que je m’orienteraisbien dans ce domaine”.

Ce qui lui plaît notamment ? “Le brico­lage. Depuis que je suis tout petit je suis trèsbricoleur. Et dans la pub, il y en a beau­coup”, note Michel de Bray qui raconte :“Un jour je devais faire une photo avec unarrosoir d’une certaine couleur. Je n’en aipas trouvé sur le marché. J’ai donc dû enpeindre un dans la couleur demandée parle client. Pour une autre publicité, il fallaitarroser un “bébé chêne”. Je suis allé en fo­rêt et ai essayé de trouver un chêne quiconvenait. Pour finir, j’en ai pris plusieursque j’ai assemblés”.

Après ses études, en 1993, Michel deBray travaille pour un photographe.“J’ai été son assistant pendant deux ans,puis je me suis lancé à mon proprecompte”. Au début, il accepte un peu detout pour très vite se spécialiser dans lapublicité et la communication. Il faitaussi un peu de mode. “Mais c’est ausside la communication en fait. Tout commeles portraits d’entreprises que je réalisepour un site web. J’aime cette variété : pho­tographier des personnes, des objets, enstudio, en extérieur,…”

Ce qu’il apprécie aussi dans son mé­tier c’est l’esthétique. “En pub, on essayede faire de très belles images. C’est un chal­lenge à chaque fois. Certains clients vien­nent avec des idées farfelues et il faut trou­ver comment les réaliser. Ce n’est pas tou­jours évident de savoir ce qu’on va faire.Parfois les idées viennent en cours deroute. C’est à ce moment­là aussi qu’onpeut se rendre compte que la technique

qu’on avait choisie ne convient pas”.La recherche des accessoires l’amuse.

“Je ne trouve pas toujours l’accessoireauquel je pense”, raconte le photographequi précise que c’est un des points quifont qu’il est souvent difficile de remet­tre un prix pour un travail. “Si je dénicheun accessoire avant d’avoir l’offre d’unclient, je ne l’achète pas au cas où je ne se­rais pas pris. Et puis, si j’ai le contrat, alorsparfois j’ai du mal à trouver ce que je cher­che…”, explique le photographe qui ap­précie beaucoup tout ce travail à faireavant un shooting, comme la recherched’accessoires, la préparation des décors,la recherche de modèles éventuelle­ment,…

“J’adore aussi le shooting proprementdit. C’est de la création pure. Je préfère celaaux reportages qui sont plus de la captured’images. J’aime bien partir de rien et toutcréer. Jouer sur les nuances. Déplacer unspot de quelques centimètres peut toutchanger”.

Le métier est plus complexe qu’on nele pense, estime Michel de Bray. “Aprèsle shooting, il faut faire des retouches. Par­fois simples. D’autres fois, plus compli­quées. On peut aussi être amené à devoirfaire des assemblages de photos. Il en fautparfois 15 pour arriver à une seule image.Un jour de prise de vue peut se terminerpar deux jours de retouches pour une seulephoto. Les retouches prennent souvent plusde temps que les gens ne le pensent. Parexemple, rajouter des cheveux à un chauveprend énormément de temps. Changer dedécor ne se fait pas comme cela non plus.Contrairement à ce qu’on imagine, il n’estpas possible de tout faire avec des retou­ches. Ou alors ce n’est pas naturel”.

C’est pour cette raison, que Michel deBray aime bien soigner ses prises de vue.“Si je dois faire une publicité pour un res­taurant où l’on voit les assiettes, j’aimeautant passer 15 minutes de plus au shoo­ting pour que les assiettes soient impecca­bles plutôt qu’une heure après en retou­ches. C’est d’ailleurs comme cela que j’aiappris mon métier. J’ai commencé à uneépoque où l’on n’avait pas encore le numé­rique”.

Ce dernier a facilité le travail du pho­tographe, en élargissant le champ despossibilités. Pour le shooting aussi. “Si jedois photographier une bouteille de vin –ce qui est plus complexe qu’on ne l’imaginesi on veut une belle photo – et que celle­cidoit être parfaitement au centre, aupara­vant j’avais soit besoin d’un assistant quidéplaçait la bouteille jusqu’à la positionparfaite pendant que je regardais dans leviseur de mon appareil photo, soit je de­vais moi­même déplacer la bouteille etfaire des allers­retours entre la bouteille etmon viseur. Avec le numérique, je peux di­rectement voir sur l’écran de l’ordinateursi la bouteille est bien placée et la bougermoi­même en regardant le résultat au loinsur l’écran”.

Le métier exige de la patience. “Il fautaussi être méticuleux, créatif et ingé­nieux”, estime le photographe.

“Il faut parfois trouver des techniquesbien particulières pour arriver au résultatfinal. A l’époque de l’argentique encore,j’avais dû photographier une pomme delaquelle devait sortir de la fumée. J’avaisimaginé tout un système avec un troudans la pomme à l’arrière et un tuyaupour envoyer la fumée. Pendant que jephotographiais, je soufflais de la fumée àtravers le tuyau”.

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Michel de Bray, entouré de deux de ses créations photographiques. Il aime la variété et ainsi travailler tant avec des personnes que des objets.

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Le BaromètreStepStone – Objectif Emploirendez­vous mensuel qui vous éclairesur les principales tendances du marché de l’emploi en Belgique.

En effet, lorsque l’on compare le nom­bre d’offres d’emploi publiées en Belgi­que en septembre 2012 avec le nombred’offres d’emploi publiées en septem­bre 2011, on constate une diminutionde 33,4% pour toutes les régions con­fondues.

Cette tendance à la baisse entre sep­tembre 2012 et septembre 2011 se con­firme également pour l’ensemble desrégions de Belgique.

C’est la Région de Bruxelles­Capitalequi enregistre la plus forte diminutionavec ­44,6%.

La Région flamande et la Région wal­lonne sont également en assez fortebaisse avec respectivement moins 31%en Flandre et moins 26,2% en Wallonie.

Près de ¾ des offres d’emploi concer­naient des postes basés en Région fla­mande.

h En septembre 2012,le marché de l’emploien Belgique a enregistré uneassez forte baisse par rapportau mois de septembre 2011.

En effet, pas moins de 76,1% des offresd’emploi parues en septembre 2012concernaient des postes à pouvoir enRégion flamande.

La Région de Bruxelles­Capitale con­centre quant à elle 13,4% du total despostes à pourvoir tandis que la Régionwallonne en centralise légèrementmoins avec 12,7%.

Pour cette édition du Baromètre

StepStone – Objectif Emploi, nous avonsfait le point sur les métiers du secteur IT& Telecom.

Une annonce sur 18 concernaitles professionnels de l’IT & des Te­lecom en septembre 2012

En effet, parmi l’ensemble de toutesles annonces publiées durant le mois de

septembre 2012, près de 5,5% concer­naient les métiers de l’IT & des Telecom.

Ces emplois dans l’IT & les Telecométaient majoritairement basés en Flan­dre (57,9%); on observe d’ailleurs queles métiers de l’IT & des Telecom sontgéographiquement surreprésentés enrégion Bruxelloise puisque 32,5% despostes à pourvoir dans l’IT & les Tele­com y étaient basés contre 13,4% pourl’ensemble des annonces publiées aumois de septembre 2012 et ce, tous sec­teurs confondus.

Les Telecom: un secteur enpanne de recrutement?

Sur une période d’observation de 13mois consécutifs de septembre 2011 àseptembre 2012 inclus, on constate quele nombre d’offres d’emploi à pourvoirpour les métiers de l’IT & des Telecom adiminué de 21%.

Les entreprises du secteur de l’IT &des Telecom ont publié un nombremoins important d’offres d’emploi surcette même période de 13 mois consé­cutifs. En effet, le nombre d’offres pu­bliées par les entreprises de ce secteur abaissé de 49% sur cette période.

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l Métiers

La magie de l’image

De gros projecteurs, des réflecteurs, desordinateurs, une table de maquillage,des appareils photo,… le “bureau” deMichel de Bray ne laisse aucun doutesur sa profession. Il est photographe. Depublicité, plus précisément. Situé àSchaerbeek, son studio est son lieu detravail principal, même s’il apprécieaussi les prises de vue à l’extérieur.

S’il aime la photo depuis longtemps,c’est à une autre profession qu’il se des­tinait pourtant.

“J’ai toujours été passionné par les ani­maux. Je voulais d’ailleurs m’orienter versun métier lié à la nature. Mais j’ai très vitedécouvert qu’il y avait beaucoup trop desciences dans cette filière. Ce qui me ten­tait moins. J’ai opté alors pour des étudesd’ingénieur commercial, comme tout lemonde chez moi en fait. Mais je ne mevoyais pas dans ce milieu­là, et après deuxans, j’ai arrêté. Je crois que si j’avais conti­nué dans cette voie, je n’aurais pas été heu­reux”, raconte Michel de Bray, qui sepose alors la question : “Qu’ai­je envie defaire de ma vie. J’aimais bien la photo.J’avais d’ailleurs des reptiles chez moi quej’avais pris en photo. Je trouvais que celadonnait bien”.

Le jeune homme se lance dans un gra­duat en photographie à l’Inraci à Forest.Des études similaires sont proposées àBruxelles aux beaux­arts, à Saint­Luc età la Cambre notamment.

h Michel de Bray estphotographe de pub. Ce qu’ilaime ? Bricoler et créer.

En 3e année, Michel de Bray a l’occa­sion de faire un stage chez un photogra­phe publicitaire. “Cela m’a beaucoup plu.Je me suis dit alors que je m’orienteraisbien dans ce domaine”.

Ce qui lui plaît notamment ? “Le brico­lage. Depuis que je suis tout petit je suis trèsbricoleur. Et dans la pub, il y en a beau­coup”, note Michel de Bray qui raconte :“Un jour je devais faire une photo avec unarrosoir d’une certaine couleur. Je n’en aipas trouvé sur le marché. J’ai donc dû enpeindre un dans la couleur demandée parle client. Pour une autre publicité, il fallaitarroser un “bébé chêne”. Je suis allé en fo­rêt et ai essayé de trouver un chêne quiconvenait. Pour finir, j’en ai pris plusieursque j’ai assemblés”.

Après ses études, en 1993, Michel deBray travaille pour un photographe.“J’ai été son assistant pendant deux ans,puis je me suis lancé à mon proprecompte”. Au début, il accepte un peu detout pour très vite se spécialiser dans lapublicité et la communication. Il faitaussi un peu de mode. “Mais c’est ausside la communication en fait. Tout commeles portraits d’entreprises que je réalisepour un site web. J’aime cette variété : pho­tographier des personnes, des objets, enstudio, en extérieur,…”

Ce qu’il apprécie aussi dans son mé­tier c’est l’esthétique. “En pub, on essayede faire de très belles images. C’est un chal­lenge à chaque fois. Certains clients vien­nent avec des idées farfelues et il faut trou­ver comment les réaliser. Ce n’est pas tou­jours évident de savoir ce qu’on va faire.Parfois les idées viennent en cours deroute. C’est à ce moment­là aussi qu’onpeut se rendre compte que la technique

qu’on avait choisie ne convient pas”.La recherche des accessoires l’amuse.

“Je ne trouve pas toujours l’accessoireauquel je pense”, raconte le photographequi précise que c’est un des points quifont qu’il est souvent difficile de remet­tre un prix pour un travail. “Si je dénicheun accessoire avant d’avoir l’offre d’unclient, je ne l’achète pas au cas où je ne se­rais pas pris. Et puis, si j’ai le contrat, alorsparfois j’ai du mal à trouver ce que je cher­che…”, explique le photographe qui ap­précie beaucoup tout ce travail à faireavant un shooting, comme la recherched’accessoires, la préparation des décors,la recherche de modèles éventuelle­ment,…

“J’adore aussi le shooting proprementdit. C’est de la création pure. Je préfère celaaux reportages qui sont plus de la captured’images. J’aime bien partir de rien et toutcréer. Jouer sur les nuances. Déplacer unspot de quelques centimètres peut toutchanger”.

Le métier est plus complexe qu’on nele pense, estime Michel de Bray. “Aprèsle shooting, il faut faire des retouches. Par­fois simples. D’autres fois, plus compli­quées. On peut aussi être amené à devoirfaire des assemblages de photos. Il en fautparfois 15 pour arriver à une seule image.Un jour de prise de vue peut se terminerpar deux jours de retouches pour une seulephoto. Les retouches prennent souvent plusde temps que les gens ne le pensent. Parexemple, rajouter des cheveux à un chauveprend énormément de temps. Changer dedécor ne se fait pas comme cela non plus.Contrairement à ce qu’on imagine, il n’estpas possible de tout faire avec des retou­ches. Ou alors ce n’est pas naturel”.

C’est pour cette raison, que Michel deBray aime bien soigner ses prises de vue.“Si je dois faire une publicité pour un res­taurant où l’on voit les assiettes, j’aimeautant passer 15 minutes de plus au shoo­ting pour que les assiettes soient impecca­bles plutôt qu’une heure après en retou­ches. C’est d’ailleurs comme cela que j’aiappris mon métier. J’ai commencé à uneépoque où l’on n’avait pas encore le numé­rique”.

Ce dernier a facilité le travail du pho­tographe, en élargissant le champ despossibilités. Pour le shooting aussi. “Si jedois photographier une bouteille de vin –ce qui est plus complexe qu’on ne l’imaginesi on veut une belle photo – et que celle­cidoit être parfaitement au centre, aupara­vant j’avais soit besoin d’un assistant quidéplaçait la bouteille jusqu’à la positionparfaite pendant que je regardais dans leviseur de mon appareil photo, soit je de­vais moi­même déplacer la bouteille etfaire des allers­retours entre la bouteille etmon viseur. Avec le numérique, je peux di­rectement voir sur l’écran de l’ordinateursi la bouteille est bien placée et la bougermoi­même en regardant le résultat au loinsur l’écran”.

Le métier exige de la patience. “Il fautaussi être méticuleux, créatif et ingé­nieux”, estime le photographe.

“Il faut parfois trouver des techniquesbien particulières pour arriver au résultatfinal. A l’époque de l’argentique encore,j’avais dû photographier une pomme delaquelle devait sortir de la fumée. J’avaisimaginé tout un système avec un troudans la pomme à l’arrière et un tuyaupour envoyer la fumée. Pendant que jephotographiais, je soufflais de la fumée àtravers le tuyau”.

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Michel de Bray, entouré de deux de ses créations photographiques. Il aime la variété et ainsi travailler tant avec des personnes que des objets.

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Le BaromètreStepStone – Objectif Emploirendez­vous mensuel qui vous éclairesur les principales tendances du marché de l’emploi en Belgique.

En effet, lorsque l’on compare le nom­bre d’offres d’emploi publiées en Belgi­que en septembre 2012 avec le nombred’offres d’emploi publiées en septem­bre 2011, on constate une diminutionde 33,4% pour toutes les régions con­fondues.

Cette tendance à la baisse entre sep­tembre 2012 et septembre 2011 se con­firme également pour l’ensemble desrégions de Belgique.

C’est la Région de Bruxelles­Capitalequi enregistre la plus forte diminutionavec ­44,6%.

La Région flamande et la Région wal­lonne sont également en assez fortebaisse avec respectivement moins 31%en Flandre et moins 26,2% en Wallonie.

Près de ¾ des offres d’emploi concer­naient des postes basés en Région fla­mande.

h En septembre 2012,le marché de l’emploien Belgique a enregistré uneassez forte baisse par rapportau mois de septembre 2011.

En effet, pas moins de 76,1% des offresd’emploi parues en septembre 2012concernaient des postes à pouvoir enRégion flamande.

La Région de Bruxelles­Capitale con­centre quant à elle 13,4% du total despostes à pourvoir tandis que la Régionwallonne en centralise légèrementmoins avec 12,7%.

Pour cette édition du Baromètre

StepStone – Objectif Emploi, nous avonsfait le point sur les métiers du secteur IT& Telecom.

Une annonce sur 18 concernaitles professionnels de l’IT & des Te­lecom en septembre 2012

En effet, parmi l’ensemble de toutesles annonces publiées durant le mois de

septembre 2012, près de 5,5% concer­naient les métiers de l’IT & des Telecom.

Ces emplois dans l’IT & les Telecométaient majoritairement basés en Flan­dre (57,9%); on observe d’ailleurs queles métiers de l’IT & des Telecom sontgéographiquement surreprésentés enrégion Bruxelloise puisque 32,5% despostes à pourvoir dans l’IT & les Tele­com y étaient basés contre 13,4% pourl’ensemble des annonces publiées aumois de septembre 2012 et ce, tous sec­teurs confondus.

Les Telecom: un secteur enpanne de recrutement?

Sur une période d’observation de 13mois consécutifs de septembre 2011 àseptembre 2012 inclus, on constate quele nombre d’offres d’emploi à pourvoirpour les métiers de l’IT & des Telecom adiminué de 21%.

Les entreprises du secteur de l’IT &des Telecom ont publié un nombremoins important d’offres d’emploi surcette même période de 13 mois consé­cutifs. En effet, le nombre d’offres pu­bliées par les entreprises de ce secteur abaissé de 49% sur cette période.

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8 Emploi 9Emploi

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