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LA LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE Les pays arabes sont forcés de tirer les leçons de l'expérience irakienne ; les Américains leur recommandant, entre autres, de faire de leur diplomatie l’instrument de leur mise à l’abri d’une telle menace, donc de leur soumission aux Etats- Unis. C’est bien dans les domaines de la défense, de la sé- curité intérieure, de la politique extérieure que peuvent s’échanger des mesures de confiance, ou plutôt des atti- tudes immuables de soumission, car les rapports de force ne permettent pas les équilibres. Depuis ce qui est appelé le printemps arabe, la Ligue arabe a quitté sa position d’an- nexe du ministère égyptien des Affaires étrangères pour de- venir l’instrument qatari de l’exécution des politiques amé- ricaines. Les pays arabes sont désormais soumis à plusieurs types de menace qui n'ont pas disparu avec la fin de la Guerre froide et qui se retrouvent plutôt exacerbées. Même la démocratie importée est une menace. De plus en plus, les populations dans les pays dits du monde arabe (certains appellent ça la nation arabe) ne croient plus que la démo- cratie descendra du ciel comme s‘il s’agissait d’une révéla- tion. Il y a une classe «dirigeante» dans des pays arabes qui parlent de démocratie comme s’ils en sont les canons. Les observateurs en doutent. Quel chemin de la démocratisa- tion pour asseoir au moins un modèle basé sur une certaine légitimité, quand la menace intérieure provient du risque de conjonction entre une opposition bâillonnée et placée dans une situation d'impasse, des intérêts étrangers qui sont à l’affût de la moindre vulnérabilité et un terrorisme également à l’affût pour semer les graines d'un endoctrine- ment susceptible de l'élargissement de sa base de recrute- ment. S. I. Le désintérêt des populations ©La NR L’EDITO DE SOFIANE IDJISSA WWW.lnr-dz.com Quotidien d’information indépendant - n° 4405 - Mardi 14 août 2012 - Prix : 10 DA NR Le président du COA à La NR : «Il fallait plus de sérieux» Ligue Après Android Market sur Google et iPhone, La NR lance l’application iPad p. 24 Rentrée scolaire Benbouzid : « millions de livres scolaires disponibles» p. 2

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LA

LLAA NNOOUUVVEELLLLEE RRÉÉPPUUBBLLIIQQUUEE

Les pays arabes sont forcés de tirer les leçons de l'expérienceirakienne ; les Américains leur recommandant, entre autres,de faire de leur diplomatie l’instrument de leur mise à l’abrid’une telle menace, donc de leur soumission aux Etats-Unis. C’est bien dans les domaines de la défense, de la sé-curité intérieure, de la politique extérieure que peuvents’échanger des mesures de confiance, ou plutôt des atti-tudes immuables de soumission, car les rapports de force nepermettent pas les équilibres. Depuis ce qui est appelé leprintemps arabe, la Ligue arabe a quitté sa position d’an-

nexe du ministère égyptien des Affaires étrangères pour de-venir l’instrument qatari de l’exécution des politiques amé-ricaines. Les pays arabes sont désormais soumis à plusieurstypes de menace qui n'ont pas disparu avec la fin de laGuerre froide et qui se retrouvent plutôt exacerbées. Mêmela démocratie importée est une menace. De plus en plus, lespopulations dans les pays dits du monde arabe (certainsappellent ça la nation arabe) ne croient plus que la démo-cratie descendra du ciel comme s‘il s’agissait d’une révéla-tion. Il y a une classe «dirigeante» dans des pays arabes qui

parlent de démocratie comme s’ils en sont les canons. Lesobservateurs en doutent. Quel chemin de la démocratisa-tion pour asseoir au moins un modèle basé sur une certainelégitimité, quand la menace intérieure provient du risquede conjonction entre une opposition bâillonnée et placéedans une situation d'impasse, des intérêts étrangers quisont à l’affût de la moindre vulnérabilité et un terrorismeégalement à l’affût pour semer les graines d'un endoctrine-ment susceptible de l'élargissement de sa base de recrute-ment. SS.. II..

Le désintérêt des populations

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L’EDITO DE

SOFIANE IDJISSA

WWW.lnr-dz.com Quotidien d’information indépendant - n° 4405 - Mardi 14 août 2012 - Prix : 10 DA

NR

Le présidentdu COA à La NR :«Il fallait plusde sérieux»

Ligue

Après Android Market surGoogle et iPhone,La NR lancel’application

iPad

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Rentrée scolaire

Benbouzid : «millions de livresscolaires disponibles»

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Il a précisé à ce propos, que l'Of-fice national des publications sco-laires (ONPS) a mobilisé pour laprise en charge de la distributiondu livre scolaire, près de 9 000 ca-mions pour sillonner les diffé-rentes wilayas du pays. L'opéra-tion de distribution, a-t-il dit,concernera 600 librairies privéeset points de vente relevant del'ONPS pour en assurer la dispo-nibilité dans les délais prévus soità la prochaine rentrée scolaire.M. Benbouzid a souligné d'autrepart, que quatre nouveaux livresont été conçus pour la prochainerentrée scolaire, rappelant qu'ils'agissait des manuels d'éduca-tion artistique pour les 1e et 2e

années moyennes, de tamazight

pour la 4e année primaire, de fran-çais pour la 3e année moyenne etenfin de comptabilité et gestionpour la troisième année secon-daire. Ces livres seront disponibles au ni-veau des établissements scolairesle 20 août prochain, a-t-il pour-suivi faisant remarquer que lesmanuels scolaires seront égale-ment envoyés aux ambassadesalgériennes en Europe (Espagne,Grande-Bretagne et au Canada)au profit des enfants de la com-munauté algérienne à l'étrangeret ce, à sa demande. Concernantl'acquisition gratuite du livre sco-laire au profit des familles néces-siteuses, le ministre de l'Educa-tion nationale a souligné que plusde 6 milliards de DA sont allouésannuellement à cet effet, ajoutantque le montant global depuis 2007s'élevait à 24 milliards de DA auprofit de 17 millions d'élèves. Tousles élèves scolarisés en cours pré-paratoire et primaire et près de95% des élèves des régions duSud bénéficiaient du manuel sco-laire à titre gracieux, a-t-il encorerenchéri. Il a annoncé dans ce contexte,que 4 026 000 élèves bénéficie-ront gratuitement du livre sco-laire soit 51,64% du nombre desélèves scolarisés qui a dépassécette année les 8 millions. Le mi-nistre de l'Education a encore dé-claré que son département œu-vrera en coordination avec le mi-nistère de la Solidarité nationale,à appuyer l'ONPS en le dotant des

équipements indispensables pourl'impression en Braille du livrescolaire pour les non-voyants.S'agissant du guide de l'ensei-gnant, il a affirmé que 260 000exemplaires ont été produits etdistribués à l'ensemble des éta-blissements éducatifs pour les en-seignants des trois cycles pourgarantir le suivi des programmesscolaires.

MMoonncceeff RRééddhhaa

Voir sur Internetwww.lnr-dz.com

Fête de l'indépendanceLe président Bouteflika félicite le président pakistanais.

Infrastructures Cinq nouveaux hôtels, bientôt à Annaba.

DiplomatieOuld Khelifa reçoit l'ambassadeurd'Egypte à Alger.

Une soirée enl’honneur de TaoufikMakhloufi à Djenan El-Mithak.

tourisme aujourd’hui

actuelLa NR 4405 – Mardi 14 août 2012

2Le chiffre du jour

Plus de 1 500 ha de couvert végétal partis en fumée en une semainedans la wilaya de Tizi Ouzou.

algérie-pakistan

n Le ministre a annoncé que 4 026 000 élèves bénéficieront gratuitement du livre scolaire. (Photo > New Press)

algérie-egypte

L’Education recrute pour la prochaine entrée,Le ministre de l'Educa-tion nationale, BoubekeurBenbouzid, a affirmé lundià Alger, que plus de 60millions de manuels sco-laires, soit un taux dépas-sant les 100% seront dis-ponibles à la prochainerentrée scolaire 2012-2013.M. Benbouzid a indiquélors d'une rencontre avecles cadres du secteur, que25 000 établissementséducatifs à travers le terri-toire national bénéficie-ront des trousseaux sco-laires qui concernenttoutes les matières touspaliers confondus (pri-maire, moyen et secon-daire).

Rentrée scolaire Benbouzid : «Plus de 60 millions de livres,toutes matières confondues, disponibles»

RR EE PP ÈÈ RR EE

PPlluuss ddee 227700 000000 ccaannddiiddaattss aauuxx ppoosstteess dd’’eennsseeiiggnnaannttss à travers le territoirenational se sont présentés dimanche à l’entretien de recrutement de 16 521enseignants pour les trois cycles d’enseignement (primaire, moyen et secondaire)pour l’année scolaire 2012-2013. Pour se présenter aux postes de professeurd’enseignement secondaire, dont le nombre est de 7 848 postes repartis sur 18spécialités, les candidats doivent être titulaires d’un master ou d’un ingénioratd’Etat dans la spécialité. Selon des informations recueillies, le ministère del’Education aurait approuvé, exceptionnellement, la participation de titulaires delicenciés de l’ancien système ou de diplômés d’études supérieures dans laspécialité exigée pour le poste d’enseignant du cycle secondaire, tout enbénéficiant d’une formation pédagogique et psychologique d’une année. UUnnee ffooiiss llaa ffoorrmmaattiioonn tteerrmmiinnééee,, leur situation sera régularisée. Quant au posted’enseignant du cycle moyen, le nombre global des postes s’élève cette année à 2976 postes qui concerneront les titulaires de licences de l’ancien système ou dediplômes d’études supérieures dans la spécialité. Le nombre des postesbudgétaires ouverts cette année pour le cycle primaire est de 5 697 postes repartissur les spécialités de la langue arabe, de la langue française et de la langueamazighe. Mohamed Boukhetta, directeur du personnel au ministère, a indiqué«qu’à l’issue des entretiens avec les candidats, les 50 directions de l’éducationprocéderont au classement des dossiers avant l’annonce des résultats». Il aaffirmé que la direction de la Fonction publique s’est contentée cette année de lapost vérification des résultats, ouverte pendant une année entière, ajoutantqu’au cas où la direction de la Fonction publique prouverait que l’un descandidats a obtenu le poste «sans mérite, il en sera démis et sanctionné». Il arappelé à cet effet que l’étude des dossiers des candidats avec la direction de laFonction publique requerrait beaucoup de temps, ce qui ne permettait pas auxnouveaux enseignants de rejoindre leurs postes à temps. CCoonncceerrnnaanntt lleess ccrriittèèrreess dd’’aaddmmiissssiioonn,, le même responsable a indiqué que cesderniers étaient prévus dans la circulaire du 27 avril 2011 relative aux critères desélection lors des concours sur titre. Les candidats ayant exercé dans le cadre dupré-emploi «jouissent du plein droit de se porter candidats aux postes enfonction de leur qualification scientifique», a affirmé le même responsable.Rappelons qu’à cet effet, le ministre de l’Education, Benbouzid, a récemmentdéclaré, en marge de la réunion consacrée à la rentrée scolaire 2012-2013, que ledossier des enseignants contractuels était définitivement clos depuis l’annéedernière et il n’y a pas lieu de le rouvrir, indiquant que «tous les concernés ontété régularisés l’année dernière»

M. R.

Propriété industrielle :deux projets de l’Ansejbrevetés par l’Institutnational algérien

Deux «trouvailles» industriellesréalisées par des entreprises créées àConstantine dans le cadre dudispositif de l’Agence nationale desoutien à l’emploi des jeunes (Ansej)viennent d‘être brevetées parl’Institut national algérien de lapropriété industrielle (Inapi), aindiqué le directeur de l’Agence.Les inventions brevetées ont trait àdes spécialités liées à la mécaniquede précision, a souligné TarekBelmili pour qui, ces brevetsattestent de l’évolution palpabledes petites et moyennes entreprises(PME) algériennes. Le brevetd’innovation accordé par l’Inapidevra permettre aux gérants desPME concernées de conduire leursprojets d’investissementconformément aux standardsuniversels et loin de tout procédé debricolage, a ajouté le mêmeresponsable, rappelant la stratégiede développement économiquelocale visant à faire de la wilaya deConstantine un pôle de l’industriemécanique. Les innovationsbrevetées répondent à troisconditions essentielles, enl’occurrence la nouveauté,l’applicabilité industrielle etl’originalité (la non évidence), arappelé M. Belmili. Dressant unbilan détaillé des activités de l’Ansejen 2012, le même responsable aindiqué que 612 projets initiés parde jeunes promoteurs ont étéfinancés durant le premier semestre2012 contre 821 projets au cours del’année 2011. Durant l’exercice 2010,le nombre de projets financés nedépassait pas les 675, a ajouté M.Belmili mettant l’accent surl’évolution «notable» des PME,créatrices d’emplois et de richesses.Plus de 7 180 PME financées àhauteur de 18 milliards de dinarsont été créées à la faveur dudispositif de l’Ansej depuis 1998, aajouté le même responsable,précisant que près de 2.5 milliardsde dinars ont été investis pour lefinancement des projets d’activitéscréés au titre du premier semestre2012. Le nombre d’emplois généréspar ce dispositif d’aide à l’emploiavoisine les 20 000 postes, a encoresouligné le responsable de l’Ansej.

TT.. HH..

a c t u e lLa NR 4405 - Mardi 14 août 2012

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«Jusqu’à présent on ne sait pas s’ily a ou pas de criquets au norddu Mali, en raison de la situationsécuritaire qui prévaut dans cepays, qui rend la prospection dif-ficile, «une zone d’ombre», a indi-qué le directeur général de l’INPV,Khaled Moumen, en marge de la3e réunion du Comité interminis-tériel de lutte antiacridienne(Cila), présidée par le ministre del’Agriculture et du Développe-ment rural, Rachid Benbaïssa.Cette situation coïncide avec desconditions écologiques favorablesà l’apparition du criquet au Nigercomme en Algérie. «La vigilancedoit être de mise», a noté le mi-nistre qui a demandé auxmembres du Comité d’informersur la situation acridienne. «La si-tuation au niveau de ces pays estcalme et les conditions de pro-jection sont favorables, mais parmanque d’informations fiables onne sait pas comment la situationva évoluer», a estimé pour sa partle chargé de l’information acri-dienne à l’INPV, Hamid Bensaad.Selon ce responsable, des pros-pections seront engagées durantla fin du mois en cours et débutseptembre pour clarifier définiti-vement la situation au niveau decette zone d’ombre en vue d’ac-tionner le dispositif de lutte.«Toutes les informations émanant

de la FAO, collectées auprès desnomades, n’ont pas été encoreconfirmées. On attendra d’ici 20jours, la situation sera plus claireet on décidera du plan d’action àmettre en place», a indiquéM. Bensaâd. S’appuyant sur desdonnées historiques des inva-sions acridiennes, l’INPV a établitrois scénarios de traitement enfonction de la situation écologiqueet acridienne au niveau des paysdu Sahel. Le premier scénariotable sur 50 000 ha à traiter encas d’activité classique à laquelleles équipes de l’INPV pourrontfaire face sans recourir à d’autresmoyens. La deuxième hypothèseprévoit 200 000 ha et ce, en cas oùdes infestatione seraient enregis-trées au niveau du nord du Mali etdu Niger. Le dernier exempleporte sur 800 000 ha en cas de si-tuation catastrophique. L’INPV

dispose de 10 équipes de sur-veillance et de lutte qui intervien-nent en permanence pour inter-cepter toutes les populations acri-diennes, car tout criquet isoléaujourd’hui peut se multiplier etconstituer un danger demain.Après l’invasion de 2004-2005 quia touché le nord du pays, l’INPVa été doté de moyens «impor-tants» pour faire face à des situa-tions pareilles. L’Institut disposeactuellement de 250 camionscontre 25 en 2005, de plus de 600appareils de traitement et unstock en pesticide équivalent à45% du stock national. D’aprèsM. Moumène, le dispositif de lutteanti-acridienne, mis en place enjuillet, a été doté d'une enveloppede 3 milliards de DA. L’activité ducriquet pèlerin en Algérie restecantonnée au niveau des wilayassahariennes de l’extrême sud à

Illizi et Tamanrasset. Le dispositifmobilisé depuis janvier 2012 apermis de traiter une superficiede près de 48 000 ha dans le cadrede la lutte préventive.

SSaalliimmaa SS..

La lutte antiacridienne

, Le manque d’informa-tion sur la présence de cri-quets au nord du Mali de-vrait augmenter la vigi-lance dans les pays de larégion, notamment l’Algé-rie et la Mauritanie, ontindiqué dimanche des res-ponsables de l’Institut na-tional de la protection desvégétaux (INPV).

, La carte actuelle d’agriculteursera bientôt remplacée par unecarte magnétique, a annoncé di-manche à Guelma le président dela Chambre nationale de l’agri-culture, Mohamed Bouhedjar. Ceresponsable qui effectuait une vi-site à des unités de transforma-tion de tomates de la wilaya deGuelma, a reproché à certainsproducteurs de ne pas disposerde la carte d’agriculteur, leur an-nonçant par la même occasionqu’un nouveau système de cartesmagnétiques sera bientôt mis envigueur. Cette carte, actuellementen cours d’élaboration, sera éta-blie selon un modèle semblable àcelui de la carte Chifa des assuréssociaux et des autres secteursayant déjà adopté la carte ma-gnétique, a précisé le même res-ponsable, ajoutant qu’elle consti-

tuera un document de reconnais-sance pour les agriculteurs exer-çant effectivement cette activité.La carte, actuellement en vigueur,est dépassée notamment depuisla promulgation des nouvelleslois réglementant le transfert dudroit de jouissance publique descollectivités agricoles possédantplus de 2,5 millions d’hectares audroit de concession individuel,loi qui ne manquera pas de faireapparaître un grand nombre depersonnes ouvrant droit à la carted’agriculteur. Selon de présidentde la Chambre nationale de l’agri-culture, les fellahs possédant ac-tuellement des cartes d’agricul-teurs dépassent les 90 000 adhé-rents, chiffre qui sera, a-t-il dit,revu à la baisse grâce à l’assai-nissement des listes exigées pourl’établissement de la carte ma-

gnétique qui ne sera accordéequ’aux personnes activant effec-tivement dans le domaine. Le pré-sident de la Chambre nationale a,par ailleurs, exprimé son opti-misme quant à la réussite de lasaison en cours pour la filière dela tomate industrielle, estimantque la récolte pourrait même dé-passer les prévisions des partiesresponsables. Cet optimisme sejustifie, a-t-il dit, par ce qu’il aconstaté au cours de ses visitesde terrain dans des exploitationsdes wilayas de Annaba, de Skikda,de Guelma et d’El-Tarf où sontréalisés 90 % de la production na-tionale. A Guelma, les prévisionsdes responsables portent, cetteannée, sur plus de 2 millions dequintaux de tomates industrielles,cultivées sur 3 000 hectares.

AA.. KK..

ADS

Opération d'entretienet d'embellissementdes cimetières d'AlgerUne opération d'entretien etd'embellissement descimetières avait été lancéedimanche à Alger par l'agencede développement social (ADS)et ce, à l'occasion del'avènement de l'Aïd el-fitr, a-t-on appris auprès del'agence. L'opération quitouchera les cimetières descommunes bénéficiaires duprogramme «Blanche Algérie»et leur environnementimmédiat se déroulera sur unesemaine pour prendre fin laveille de l'Aïd. «L'ADS a voulurendre quiétude et propreté àces endroits de repos éternel etapporter aux familles leréconfort moral à travers laprise en charge de cescimetières à cette occasion», aprécisé le conseiller chargé dela communication de l'ADS,Mohamed Ouanezar. A ceteffet, des jeunes incorporésdans ce dispositif sontmobilisés pour effectuer lestravaux d'entretien desespaces des tombes, dedésherbage des superficiesavoisinantes, d’enlèvement etde ramassage des détritus, aexpliqué la même source. Plusde 2500 chantiers ont étélancés dans le cadre de cetteopération d’envergure quinécessitera, notamment, laparticipation active desAssemblées communales etautres responsables locaux.

CC OO NN SS TT AA NN TT II NN EE

Enseignementuniversitaire

16 000 placespédagogiques ouvertesdès la rentrée 2012-2013

Seize mille places pédago-giques sur les 44 000 prévuesdans le cadre du projet de lanouvelle ville universitaire deConstantine seront ouvertes«dès la prochaine rentréeuniversitaire 2012-2013», a-t-on indiqué lundi à la wilaya.Quatre instituts de 4 000places chacun seront opéra-tionnels dans ce cadre, a pré-cisé la même source, ajoutantque le reste des instituts, soitsix structures, sera livré«avant la fin de l’année2012». Pour l’heure, a-t-onassuré au rectorat de l’univer-sité Mentouri, les besoins del’université de Constantinesont couverts par le nombrede places pédagogiques li-vrées ou devant l’être pro-chainement. Les instituts de-vant ouvrir leurs portes à laprochaine rentrée universi-taire abriteront la facultéd’architecture, de gestion ur-baine, de sciences politiqueset de biotechnique. Les facul-tés de génie pharmaceutiqueet des beaux-arts seront ré-ceptionnées «avant la fin dumois d’octobre 2012», tandisque les quatre autres facultés,dont celles de médecine et depolytechnique, seront livrées«entre les mois de novembreet de décembre prochains»,a-t-on affirmé à la directiondu logement et des équipe-ments publics (DLEP). En ma-tière d’hébergement, 8 000sur les 38 000 lits inscrits dansle cadre de ce projet de nou-velle ville universitaire serontréceptionnés à l’occasion dela prochaine rentrée universi-taire, a-t-on encore affirmé àla DLEP, faisant égalementpart de la réception prochained’un restaurant central.S’étendant sur une superficiede 170 ha, la nouvelle villeuniversitaire de Constantine,présentée comme la plusgrande à l’échelle nationaleet africaine abritera égale-ment un complexe sportif,une bibliothèque de 3 000places, unparc scientifique etquatre salles de conférence,entre autres, a-t-on noté à laDlep. Lancés à la fin de l’an-née 2007, les travaux de réali-sation de cette infrastructured’enseignement supérieur ontaccusé un «certain retard» enrapport avec les modalités definancement, a souligné leDlep, Tayeb Leulmi, rappelantque le coût de cette nouvelleville universitaire a atteint les40 milliards de dinars. La fu-ture ville universitaire, dontles travaux ont été confiés àune entreprise chinoise seraautonome de la faculté deMentouri sur les plans de lagestion et du fonctionnement,a-t-on encore affirmé au rec-torat.

M. L.

Agriculture

Le manque d’informations sur les criquetsau nord du Mali devrait augmenter la vigilance

«Bientôt des cartes magnétiquespour les cultivateurs»

Brève

a c t u e lLa NR 4405 - Mardi 14 août 2012

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En effet, concernant lecontrôle de qualité et derépression des fraudes, ila été relevé dans ledit do-cument officiel l’enregis-trement de 49 324 inter-ventions résultant 10 258délits, 9 995 PV et la ferme-

ture administrative de 522locaux. Ces interventionsont permis également lasaisie de marchandisesnon conformes ou incon-sommables estimées à86,72 tonnes, soit20 874 447,59 DA. La na-

ture de ces délits commisrelève principalement dumanque d’assainissementet d’hygiène avec 4 704 dé-lits soit 45,86%, 956 délitspour des produits incon-sommables (9,32%), 728délits pour le manqued’auto contrôle (7,10%),602 délits pour manqued’étiquetage (5,87%), 511délits pour des produitsnon conformes (4,98%),317 délits pour oppositionau contrôle (3,09%) et 511délits pour des produitsnon conformes (4,98%). En ce qui concerne lecontrôle des activités

commerciales, il a été re-levé 52 123 interventionsrésultant en 13 460 délits,12 861 PV et la fermetureadministrative de 961 lo-caux commerciaux. Ces interventions, quantà elles ont permis la dé-couverte d’une sommeglobale de non facturationestimée à 965 173 065 DAet la saisie de marchan-dises d’une valeur de1 869 750 DA. La nature de ces délits en-registrés représente es-sentiellement le non-affi-chage des tarifs et des prixavec 8 495 délits, soit

63,11%. Ce délit est pour-suivi par la non-factura-tion avec1 302 cas (9,67%), 855 dé-lits pour l’exercice d’acti-vité commerciale sans re-gistre de commerce(6,35%), 847 délits pouropposition au contrôle(6,29%), 207 délits pourexercice de prix illégaux(1,54%) et enfin 176 délitspour exercice d’une acti-vité commerciale non en-registrée dans le registrede commerce, soit 1,31%de la totalité des délits en-registrés.

HHaassssiibbaa AAbbddaallllaahh

Ministère du Commerce

, Les services de contrôle du ministère duCommerce ont enregistré durant les 20 pre-miers jours du mois de Ramadhan, soit du 20juillet au 8 août 2012, 101 447 interventionsdont 23 718 délits avec 22 856 PV dressés, ettrouvé une somme globale de non-factura-tion s’élevant à 965 173 065 DA ainsi qu’unesomme globale des produits saisis de 22 744197, 59 DA et la fermeture de 1 483 locaux.

, Le groupe public Confection etHabillement «CH» compte recon-quérir le marché national. Ses res-ponsables lancent même un défi.Composé de 15 filiales, représentépar 15 entreprises de productionavec un chiffre d’affaires annuelde 4 milliards de DA, HC veut serepositionner sa part de marché.Pourtant la concurrence devientde plus en plus féroce avec lesproduits importés, notammentsur le plan qualité.Avec la forte demande expriméedurant les fêtes de l’Aïd et unel’argumentation, ce groupe à am-bitionne de consentir davantaged’efforts d’efforts afin de se re-lancer et se replacer. Il ne compteguère se lésiner sur les moyens fi-nanciers et matériels. La subvention de plus de 10 mil-liards de DA dont a bénéficié HCà la relance de cette activité estune véritable bouffée d’oxygène.C’ne aide financière qui vient àpoint nommée. Ainsi, sans perdrede temps le groupe ambitionnede porter ses parts de marché de2 % à 10% pour le grand public

d’ici à 2015. Toutefois, le PDG deCH, Ahmed Benayad, a exprimédes appréhendions. Il a confiéque la forte concurrence du mar-ché informel et le manque de ma-tière première (tissus) de qualité,sont toujours des contraintes.Des obstacles pénalisant le déve-loppement de cette industrie àforte valeur ajoutée. Il estime que la dépendance dugroupe d’un secteur textile quin’arrive pas à satisfaire la de-mande du marché en terme dequalité, de variété et d’adapta-tion aux tendances vestimentaireest l’une des difficultés sur les-quels bute la filière du prêt à por-ter. L’absence d’une industrienationale de fibres synthétiquesou naturelles est également unhandicap pour l’essor de la filièredu testiez en Algérie, révèle notreinterlocuteur. L’importation ausside la matière première exiged’énormes dépenses financières.Autant de contraintes que legroupe HC compte dépasser.Le problème de manque de la ma-tière grise est aussi soulevé. M.

Benayad a regretté que dans lesannées 1970, des ingénieurs etdes techniciens ont été formésen prévision de la réalisationd’une usine spécialisée dans laproduction de fibres synthétiquesou chimiques à Skikda n’a jamaisvu le jour. Il a fait rappeler que durant despremières années de l’indépen-dance, l’Algérie produisait et trai-tait un coton de qualité, notam-ment à Seybouse (Annaba) et àChlef. Relevant que le secteur pu-blic est également contraint dejustifier tous ses achats par desdocuments attestant de la prove-nance des tissus, alors que cer-tains grossistes imposent la factu-ration de ces achats à des coûtsinférieurs aux coûts réels destransactions. Le responsable dé-plore le fait que ces grossistesdemandent d’encaisser la diffé-rence des prix en espèces. M.Benayad insiste sur la nécessitéde lutter contre le marché infor-mel.Le gestionnaire du seul groupepublic d’habillement en Algérie

a appelé également à renforcerles moyens de contrôle des mar-chandises importées notammentcelles provenant de pays asia-tiques, dont la Chine. «Nous nepouvons pas placer nos produitsdans un marché inondé de pro-duits à bas prix et de qualité dou-teuse, parfois source de maladiesmultiples», tient-il à préciser.Pour M. Benayad, l’importationde produits de qualité permet-trait de faire face à la concurrencedéloyale et de valoriser la pro-duction nationale. La volonté dugroupe d’augmenter ses parts demarché pour le grand public, ex-pliquant que la production an-nuelle de CH devrait passer de25 millions d’articles à 70 millionsd’articles dans les cinq années àvenir, permettra de créer d’autrespostes d’emplois avec l’augmen-tation de l’activité du groupe.Dans l’immédiat, l’objectif prin-cipal pour les responsables estde maintenir les 3 000 postesd’emplois et d’en créer plus de 1 500 nouveaux à l’horizon 2015.

NNaawweell HHaammii

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Le délestage,seul choix dela Sonelgaz

Les raisons d’un couac

Face à l’augmentation de laconsommation, la détériorationdu matériel et le manqued’investissements et d’assiettesfoncières pour la distribution del’électricité, le groupe Sonelgazs’est vu obligé d’opter pour ledélestage. Ce choix contreversé,appuyé précédemment par des«arguments» du PDG dugroupe, se retrouve aujourd’huisous la colère grandissante de lapopulation. Le délestage enAlgérie, est-il un choix de laraison ?D’après quelques indiscrétionsrecueillies auprès des sourcesproches de la société et depuisl’entrée en vigueur de la loi de2002 portant ouverture desactivités de production del’électricité et de distribution del’électricité et du gaz auxinvestisseurs étrangers, «nousavons enregistré uneaugmentation de 14% de laconsommation», indique notreinterlocuteur ayant voulu gardél’anonymat, en poursuivant«parallèlement seulement 0,5%d’investissement ont étéréalisés». Une législation a étéproposée par l’ancien ministredes Energies et des Mines,Chakib Khalil, et adoptée le 5février 2002, et considéréecomme étant un véritable échecet un frein au développementdu secteur. Un échec ayant trouvé tout sonsens, par les nombreuses etincessantes coupuresd’électricité, constatées auniveau des wilayas du pays.Ainsi le manque de moyensfinanciers pour la rénovation etla mise à jour du systèmeélectrique, desservantl’ensemble du territoirenational, constitue la raisonprincipale de ces coupures.Dans le même sillage, ledélestage «argumenté» del’énergie électrique, résulteaussi, selon la même source, dela politique de facturation de laconsommation de l’électricité,laquelle est restée la mêmedurant des années. «Lespouvoirs publics ne veulent pasentendre d’un changement dela tarification», selon notreinterlocuteur qui nous confie«Nous avons des facturesimpayées de plusieurs millionsqui n’ont toujours pas étéréglées par nos clients. Cet étatde fait porte préjudice à notresociété».Surconsommation, surcharge ouéquipements défaillants, lesraisons se multiplient alorsqu’aucune solution efficace n’aété trouvée pour mettre unterme à ce chaos. En attendant,la solution miracle, le calvairedes Algériens se poursuit durantce mois de Ramadhan.

KKaarriimmaa HHaassnnaaoouuii

Confection

Résultats des interventions des services ducontrôle

CH lance un défi aux produits importés

� Lutter sans répit contre la fraude. (Photo > New Press)

II NN FF OO SSEE XX PP RR EE SS SS

La NR 4405 - Mardi 14 août 2012

5é c h o s BLIDALa gendarmerie présente surles routes de jour comme denuitEn ces jours de Ramadhan, lesbrigades de gendarmerie relevantdu groupement de la wilaya deBlida sillonnent non seulementles routes mais également lesdifférentes citées dans le butd’assurer la sécurité par leurprésence. «Le dispositif mis enplace vise à renforcer lescontrôles, notamment sur lesroutes aussi bien avant qu’aprèsle f’tour», nous dira lelieutenant-colonel KeroudAbdelmadjid, chef de la cellule decommunication de laGendarmerie nationale. Dans cemême contexte, le commandantBoumediene Abdelwahab, chefdu groupement de wilaya parintérim, précise que plus de 250éléments ont été affectés à traversles différentes brigades en termesde renfort afin d’assurer uneprésence quasi permanente. Enanalysant l’action préconiséedepuis le début du ramadhan, lelieutenant-colonel AbdelmadjidKeroud, responsable de la cellulede communication de laGendarmerie nationale, semblaitconfiant par le dispositif qui, a-t-il dit, a permis d’occuper leterrain. Lors de la rencontre ausiège du commandement, onnous fera remarquer que, durantles sept premiers mois de l’annéeen cours, le nombre d’affaires dela petite criminalité a atteint 2.352pour lesquels 517 personnes ontété placées en détentionpréventive. A propos des crimesorganisés, les différentes brigadesde gendarmerie relevant dugroupement de wilaya de Blidaont enregistré au cours des 7premiers mois de l’année 104affaires pour lesquelles 72personnes ont été écrouées. Cesaffaires concernes surtoutl’émigration clandestine, le traficde stupéfiants, la falsification debillets de banque et le vol devoitures. Au terme de cetterencontre, les journalistes ont étéinvités à accompagner lesdifférentes patrouilles motoriséesaffectées sur les routes de lawilaya.

AA..--BB.. MM..ACCIDENTS DE LA ROUTE15 morts durantla journée de samediQuinze personnes sont mortes et89 autres ont été blessées dans 39accidents de la circulation routièresurvenus samedi à travers leterritoire national, indiquedimanche un bilan établi par lecommandement de laGendarmerie nationale. Durant la journée du 11 août, 39accidents de la circulation routière(11 mortels et 28 corporels) ont étéconstatés par les unités de laGendarmerie nationale à travers27 wilayas du pays, précise lamême source. Ces accidents ontengendré le décès de 15personnes, des blessures à 89autres et des dégâts matérielsimportants à 52 moyens delocomotion impliqués. Les deux accidents les plus gravesont été enregistrés à Birtouta(Alger) avec 3 décès et 8 blessés età El Harrouch (Skikda) avec 3 décèset 5 blessés, selon le bilan de laGendarmerie nationale.

Une opération d’entretien et d’embellissement des cimetièresa été lancée, dimanche à Alger, par l’Agence dedéveloppement social (ADS), et ce à l’occasion de l’avènementde l’Aid el fitr, a-t-on appris auprès de l’agence. (Photo > D. R.)

200 kg de kif traité saisis

et 8 personnes arrêtées

Les unités de lutte contre le trafic de stupéfiants de la police judiciairede la Gendarmerie nationale ont réalisé une nouvelle grosse prise à lafrontière ouest, a indiqué la cellule de communication ducommandement de la Gendarmerie nationale. En une seule journée, il aété procédé à la récupération de 200 kilogrammes de kif traité et àl’arrestation de 8 personnes. (Photo > D. R.)

Tissemsilt : 250 projets financés

par la CNAC

Le dispositif de la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC) afinancé durant le premier semestre de l’année en cours à Tissemsilt253 projets générant 759 postes d’emploi, a-t-on appris auprès de laDirection de wilaya de l’emploi. (Photo > D. R.)

Oran : les plages attirent

beaucoup de baigneurs le soir

Les plages de la wilaya d’Oran, notamment celles situées sur lacorniche dans la daïra d’Ain El Turck, connaissent une ambianceparticulière le soir durant ce mois de ramadhan avec l’affluence denombreuses familles après la rupture du jeûne. (Photo > D. R.)

Opération d’embellissement des cimetières d’Alger

Opération solidaritéLG visite l’orphelinat des Eucalyptus

En visite surprise à ces enfants, une équipede LG s’est rendue à ce centre qui compte pasmoins de 300 orphelins en bas âge chargéed’un don composé de climatiseur, téléviseurcinéma 3D, d’un réfrigérateur haut de gammeainsi que d’un four micro ondes Solar dom dedernière génération. Ce matériel de confort avec lequel l’orpheli-nat a été équipé gracieusement, contribueraà l’épanouissement de ces enfants défavori-sés. L’orphelinat qui était totalement dé-pourvu de tout accessoire d’aisance et dedistraction s’est ainsi vu totalement trans-formé à la faveur du précieux concours de LG.Ce dernier a été lancé au début du mois de

Ramadhan à travers une campagne média-tique sous le thème «Offrez un sourire aux or-phelins». LG Algérie s’est employée à réser-ver une enveloppe financière découlant deventes de produits dans ce sens où il a été dé-cidé de prélever 100DA sur chaque produitLG vendu au profit de cette couche nécessi-teuse de la société. Tous les showrooms ontété mis à contribution dans cette noble opé-ration qui a fait le bonheur de ces enfants.L’opération a été étendue également à la pagefacebook de LG où pour chaque click «j’aime»,10 DA ont été reversés aux enfants orphelins.En plus des produits LG, le don s’élargi pourcontenir plus de cadeaux dont des lots impor-tants de vêtements.A l’orphelinat des Eucalyptus, ces cadeaux

ont été directement remis aux enfants créantainsi une grande joie sur leurs visages. Uneinitiative que le directeur général de LG Algé-rie, Woo Sang Ahn, tient à sa réussite ainsiqu’à son renouvèlement conformément à lapolitique de LG.

HH.. AAbbddaallllaahh

, LG Electronics Algérie a marquéencore une fois sa présence et sa fortecontribution dans les actions sociales etde solidarité en faveur de notre société.En ce mois sacré de ramadhan, le leadermondial de l’électronique a fait unedonation considérable au profit del’orphelinat des Eucalyptus.

Cela étant, il semble que l'issue fatalede l'affaire syrienne est programméed'avance. Pendant ce temps, on

procède au réglage de la machine, desarrangements de «l’après-Assad», bienentendu. Cette opération est effectuéesous la houlette d’un certain StevenHeydemann, «expert» sioniste desquestions syriennes, comme rapporté parle site Foreign Policy dans un article datédu 20 juillet dernier et intitulé «Inside thequiet effort to plan for a post-Assad». Cespécimen, auteur de plusieurs ouvragessur la question juive, dirige le «projet»sioniste USIP (US Institute for Peace)financé par le State Department d’HillaryClinton. Il s’érige donc en conseiller des«Amis de la Syrie», de la Ligue arabe, duCNS et de Kofi Annan et prépareactivement le «jour d'après», sur lemodèle, bien sûr, de ce qui s'est passé àBagdad, Kaboul, Tripoli et autres lieux oùla «détériocratie» sioniste s'est imposée.Ayant donc échoué à Damas, lesOccidentaux ont tenté de rallier les Kurdessyriens en leur envoyant desreprésentants du clan Barzani (Kurdesd'Irak vendus aux Etats-Unis et au régimesioniste), mais l'opération n'a pas marchécar la population kurde de Syrie estloyale, elle n'a pas de contentieux avecDamas. Devant ce nouvel échec, on alancé une deuxième vague demercenaires, contre Alep cette fois et enprovenance de Turquie. Quoi qu'il en soit,Erdogan a déclaré qu'il ripostera à touteattaque transfrontalière kurde menéedepuis la Syrie, comme si une telle

attaque menaçait vraiment, et comme sice qui est permis aux terroristes de l'ALSétait interdit à d'éventuels combattantskurdes. On a là sans doute un nouveauprétexte d'intervention directe de laTurquie, donc de l'OTAN. Le Premierministre turc, sûr de lui, a déjà annoncéque «Bachar Al-Assad et ses proches sontsur le départ». Dans cette série desprétextes, le ministre turc des Affairesétrangères Ahmet Davutoglu a récemmentaccusé le gouvernement syrien desoutenir le Parti des travailleurs duKurdistan, une organisation considéréecomme terroriste par Ankara, rapporteReuters. «Bachar al-Assad leur fournitdes armes. Ce ne sont pas desspéculations, c’est un fait. Nous avonsdéjà pris des mesures nécessaires pourneutraliser cette menace», a déclaré leministre sans entrer dans les détails. Lesautorités turques ont déclaré à plusieursreprises qu’ils ne permettront pas auxrebelles kurdes de s'installertranquillement dans le pays voisin. Parailleurs, Ankara a menacé d'introduire sestroupes sur des territoires où l’activitéexcessive des rebelles sera remarquée.Peu importe donc ce cirque diplomatiqueoù l’on spécule à vau-l’eau, on va versune évolution de style libyen, même siAssad a su résister plus que Kadhafi,même si la Russie a jusqu'à présentretardé le processus. On peutévidemment se tromper... ou croire auxmiracles...

((SSuuiittee eett ffiinn))CC.. AA..

LL AA CC HH RR OO NN II QQ UU EE DD EE

Chérif Abdedaïm

Guerre sans relâche (IV)

m o n d eLa NR 4405 – Mardi 14 août 2012

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Pour l’instant, cet état defait demeure énigmatiquemême si certaines informa-tions indiquent que le Pré-sident égyptien a agi sur re-commandation. Si c’est lecas, qui se cache derrièreles décisions de MohamedMorsi ? D’habitude, un coupd’Etat est commis par desmilitaires... Et c’est lecontraire qui s’est produiten Egypte. Un Président ré-cemment élu qui ose limo-ger les hauts cadres mili-taires qui servent le paysdepuis des décennies. Cequi n’est pas du tout normaldans cette affaire, c’est quela décision du PrésidentMorsi intervient seulement40 jours après son investi-ture à la présidence de laRépublique. Elle intervientégalement dans desconjonctures particulières,le pays ne s’est pas toujoursremis après la révolutionpopulaire qui a engendréune situation sécuritairedes plus catastrophiques.Alors qu’une opération mi-litaire de grande envergurea été lancée dans la pénin-sule du Sinaï, l’armée se voitamputée de ses dirigeants.Nul ne pouvait croire quel’homme fort de l’armée, re-conduit il y a une semainedans ses fonctions de mi-nistre de la Défense dans lenouveau gouvernement, al-lait se faire écarter de cettefaçon. Il est de même pourle chef des renseignements

et autres hauts officiers del’armée qui se voient pous-sés hors du siège de l’insti-tution militaire et par la pe-tite porte. Pour les politiciens aguer-ris, n’importe quel autrechef d’Etat au monde nepourrait prendre de telsrisques surtout dans lesconjonctures que traverseactuellement l’Egypte. Cer-tains politologues spéciali-sés dans le monde arabetrouvent que le PrésidentMorsi n’a fait qu’appliquerdes directives venant del’extérieur. Ces derniers ontajouté que le président Mo-hamed Morsi a pris ces dé-

cisions quelques joursaprès la visite d’Hilary Clin-ton et 48 heures après la vi-site de l’émir du Qatar auCaire. «Le limogeage deshauts cadres de l’arméeégyptienne n’est qu’unesuite de la stratégie éma-nant des lobbys sionistes,dans le cadre de la déstabi-lisation des pays arabes»,disent-ils. Par le biais dudit «prin-temps arabe», c’est le nou-veau découpage initié etplanifié par les mêmes lob-bys, qui se met en place,ont-ils ajouté. Certainsautres spécialistes ne sontpas tout à fait d’accord aveccette analyse et écartenttoute intervention étran-gère. «Ce chamboulement dansle corps de l’institution mi-litaire est considéré comme

le début de l’islamisationde l’Egypte et le Présidentégyptien a mis en applica-tion les instructions duMorchid de la confrérie»,telle est la seconde syn-thèse des spécialistes ausujet de la sortie surprisedu président égyptien et lelimogeage des hauts cadresde l’institution militaire. Le Président égyptien a,quant à lui, indiqué que parces décisions, il ne voulaitque du bien pour les hautsofficiers de l’armée en guisede remerciements pour lesefforts réalisés tout au longde leur carrière. Les Etats-Unis d’Amérique,le Qatar, la confrérie ousimple décision de Moha-med Morsi en sa qualité deprésident de la République? L’avenir nous le dira.

MMoonncceeff RRééddhhaa

«Qui se cache derrière lesdécisions de Mohamed Morsi ?»

Après le «séisme» qui a frappé l’institution militaire égyptienne

Sommet de l’OCI à la Mecque

, La crise en Syrie domi-nera les travaux du sommetextraordinaire des dirigeantsdes 57 pays de l'Organisationde coopération islamique(OCI), prévu mardi à LaMecque, en Arabie saoudite.«Le dossier syrien sera en têtedes priorités» du sommetconvoqué par le souverainsaoudien Abdallah Ben Ab-delaziz à La Mecque dans unenouvelle tentative diploma-tique de régler le conflit sy-rien, a déclaré dimanche lesecrétaire général de l'OCI,Ekmeleddin Ihsanoglu. LaSyrie, membre de l'organisa-tion islamique, «ne sera pasreprésentée à ce sommet», aajouté le chef de l'OCI. Lesommet de la Mecque seraprécédé par une réunion pré-paratoire des ministres desAffaires étrangères des paysmembres de l'OCI, prévue celundi. Cette réunion devrait,selon M. Ihsanoglu, «se pro-noncer sur une suspensionde la Syrie, recommandée parles représentants de paysmembres». Pour sa part, l'op-position syrienne n'a pas été,pour le moment, invitée ausommet, a indiqué le prési-dent du Conseil national sy-rien (CNS) Abdel BassetSayda. D'après l'OCI, le som-met de la Mecque est appelénotamment à prendre une«position claire qui tiennecompte de la complexité dudossier syrien et de ses ré-percussions sur l'équilibre etla stabilité régionale». Le som-met islamique devra aussi ap-peler le monde à «assumerses responsabilités etprendre des décisions fermespour l'arrêt de l'effusion desang et des actes de destruc-tion en Syrie», selon la mêmesource. Le sommet de l'OCI setient alors que la commu-nauté internationale peine às'accorder sur un règlementen Syrie où les violences ontfait plus de 21 000 morts, de-puis le déclenchement de lacrise en mars 2011, selon uneONG. Par ailleurs, les diri-geants de certains paysmembres de l'OCI sont déjàarrivés en Arabie saouditepour participer au sommetde La Mecque. Le présidentiranien Mahmoud Ahmadine-jad a quitté lundi Téhéranpour l'Arabie Saoudite pour

participer au sommet extra-ordinaire de l'OCI. «Je merends d'abord en pèlerinage àLa Mecque et ensuite je vaisparticiper au sommet extra-ordinaire de l'OCI», a déclaréM. Ahmadinejad. «J'espèreque le sommet va se focalisersur le renforcement de l'unitéet l'affaiblissement deshaines» parmi les pays mu-sulmans, avait affirmé le pré-sident iranien avant son dé-part. Lors des travaux des ré-unions préparatoires dusommet de l'OCI, tenus sa-medi à Djeddah, le secrétairegénéral de l'organisation pan-islamique avait souligné l'im-portance de ce sommet dansla défense des intérêts su-prêmes de la Oumma isla-mique et le renforcement deses rangs. Dans ce sens, ilavait mis l'accent sur lecontexte «particulièrementdélicat et exceptionnel» surles plans régional et interna-tional dans lequel se tient lesommet de la Mecque. M. Ih-sanoglu avait fait savoir quece rendez-vous «s'inscrit dansle cadre des initiativeslouables visant à corriger lesdysfonctionnement, redou-bler d'efforts pour contrer lessources de la discorde et dela division et ressouder l'unitéde la Oumma en renforçant lasolidarité islamique». Outrela crise syrienne, la questionpalestinienne sera à l'ordredu jour du sommet de l'OCI,l'objectif étant d'aboutir à«une position et une visioncommunes à même de soute-nir le peuple palestinien danssa lutte pour mettre fin à l'oc-cupation de ses terres etcréer son Etat indépendantavec El-Qods pour capitale,et exercer davantage de pres-sions sur Israël pour renon-cer à sa politique de judaïsa-tion de la ville sainte d'El-Qods». Les violencescommises contre la minoritémusulmane des Rohingyasdans l'ouest de la Birmanieet qui ont fait des dizaines devictimes seront également aucentre des travaux de ce som-met qui devra mettre en placeune «commission d'enquête»et un «groupe de contact isla-mique" pour trouver une so-lution définitive à cette ques-tion.

MM.. RR..

Le conflit syrien «en tête

des priorités»

�� LLee ppééssiiddeenntt ééggyyppttiieenn MMoohhaammeedd MMoorrssii aa lliimmooggéé lleeministre de la Défense et modifié les prérogatives del'armée, dimanche. Ce limogeage de responsablesmilitaires égyptiens suscitait hier l’inquiétude en Israël,responsables politiques et éditorialistes craignant lesconséquences militaires et politiques de ce «séisme».A lire aussi : le récit paru dans Libération ce lundi, «AuCaire, l'armée en prend pour son grade» «Il estprématuré de faire des évaluations car tout est endevenir en Egypte, mais nous suivons de très près et avecquelque inquiétude ce qui s’y passe», a affirmé unresponsable gouvernemental sous le couvert del’anonymat. «La coopération militaire est plus nécessaireque jamais pour rétablir l’ordre à la frontière et dans leSinaï. La nouvelle hiérarchie militaire égyptienne le saitmais la question est de savoir ce que veulent lesdirigeants égyptiens», a-t-il souligné. Selon lui, «cettequestion est sans réponse, car le nouveau gouvernement

égyptien refuse tout contact avec Israël. C’est inquiétantcar l’absence de canaux de discussions pourrait avoir unimpact très négatif dans le volet palestinien, où l’Egyptea toujours joué un rôle primordial». Pour Alex Fishman, expert des questions de défense duquotidien Yédiot Aharonot à gros tirage, la nouvelledonne en Egypte est «un séisme, dangereux pour Israël»,tandis que le quotidien populaire Maariv y voit «unepurge qui n’est pas de bon augure pour Israël».L’islamiste Morsi a créé la surprise en annulant desdispositions accordant de vastes pouvoirs à l’armée et enécartant le maréchal Tantaoui, ministre de la Défense quifut chef d’Etat de fait après la chute de Hosni Moubarak.Ce coup de théâtre intervient alors que l’Egypte fait face àune grave crise dans le Sinaï, où 16 de ses gardes-frontières ont été tués le 5 août près de la frontière avecIsraël et Gaza.

RR.. II..

� «Tu seras mis à la retraite» semble dire Mohamed Morsi au maréchal Hussein Tantaoui. (Photo > D. R.)

� Que va-t-il sortir de la réunion ? (Photo > D. R.)

, En procédant au limogeage des hautscadres de l’armée, le présidentMohamed Morsi a provoqué unvéritable «séisme» au niveau del’institution militaire.

La «purge» menée en Egypteinquiète Israël

Les chiffres publiés lundi ont misen évidence un ralentissement del'économie mondiale, nourrissantles espoirs d'une action desbanques centrales pour soutenir lacroissance.Les économistes s'attendaient àce que la croissance du Japon at-teigne 0,6 % au deuxième trimestre,après une vive progression de 1,6%sur les trois premiers mois de l'an-née qui avait été portée par la plusforte hausse de la consommationprivée en trois ans. Mais la consommation privée a de-puis ralenti plus que prévu et lesexportations, un élément essentielde la croissance nippone, ont coûtéun point de pourcentage au produitintérieur brut (PIB) du deuxièmetrimestre. «Alors que la demandeintérieure s'affaiblit et que les ex-portations vont probablement ra-lentir en raison des problèmes dela dette en Europe, il existe unepossibilité pour que l'économie ja-ponaise revienne à une périoded'accalmie entre juillet et sep-tembre», a estimé Yuichi Kodama,économiste en chef chez Meiji Ya-suda Life Insurance. Les respon-sables politiques s'attendent à ce

que les dépenses de reconstruc-tion après le tremblement de terreet le tsunami de mars 2011 sou-tiennent l'activité économique jus-qu'au début de 2013. Mais le ralen-tissement de l'économie mondialeet le renchérissement du yen sus-citent des inquiétudes croissantesdans les milieux d'affaires et poli-tiques sur les perspectives des ex-portations, qui montrent déjà dessignes de faiblesse. La semaine dernière, le gouver-neur de la Banque du Japon (BoJ)Masaaki Shirakawa a ainsi prévenuque les retombées de la crise de ladette en Europe se faisaient sentirde plus en plus nettement avec lerisque que cela retarde la reprisede la demande pour les produits ja-ponais dans des marchés cruciaux

comme la Chine et les Etats-Unis.Les analystes ont nettement réduitleurs prévisions pour la produc-tion industrielle du Japon, qui estétroitement liée aux exportations,en raison du ralentissement del'économie mondiale. «La crise des dettes souverainesen Europe demeure un risque im-portant pour le Japon et l'économiemondiale», a commenté TatsushiShikano, économiste chez Mitsubi-shi UFJ Stanley Securities. «La

Banque du Japon va probablementadopter une position attentistemais pourrait agir de nouveau lemois prochain si les turbulences fi-nancières et de nouvelles mesuresd'assouplissement monétaire dela Réserve fédérale américaine en-traînent une hausse du yen, me-naçant les résultats des sociétésexportatrices et les perspectives dereprise économique», a ajouté l'éco-nomiste.

AAggeennccee

é c o n o m i eAsie

La NR 4405 – Mardi 14 août 2012

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Motorola Mobilitysupprimerait 20% de ses effectifs

Motorola Mobility, filiale deGoogle, a prévenu ses salariésqu'il entendait supprimer 20 %de ses effectifs et fermer prèsd'un tiers de ses bureaux dansle monde, a rapporté hier leNew York Times. Un tiers des 4.000 emploisconcernés sont basés aux Etats-Unis.Le groupe cherche à quitter lesmarchés où il peine à atteindrele seuil de rentabilité, tout encessant de produire descombinés mobiles bas degamme et concentrer sonactivité sur quelques modèles,au lieu de plusieurs dizaines, adit son directeur général,Dennis Woodside au quotidien.La maison mère de MotorolaMobility a ébauché les contoursd'un projet visant à ramener safiliale à la rentabilité, selontoujours le New York Times.

Turbulences chezEasyJet pour le 15 août

Chaud devant dans lesaéroports… Les pilotes françaisd’EasyJet, numéro 2 de l’aériensur le sol français, ont décidé derester sur le tarmac les 15, 17 et 19août. La compagnie britannique,qui emploie près de 800personnes en France sous contratde droit français, est présente àRoissy, Orly, Lyon, Toulouse etNice. De quoi donner des sueursfroides aux cadres dutransporteur aérien quiredoutent une belle pagaille. Lami-août correspond aussi à unpic d’activité pour lescompagnies aériennes et surtoutles low-cost qui font le plus grosde leur chiffre d’affaires à lapériode estivale. Alléchés par lacroissance impressionnante deleur entreprise — le nombre depassagers a augmenté de 8 %cette année, les pilotesdemandent d’en partager un peumieux les fruits et font monterles enchères salariales àl’occasion des négociationsannuelles obligatoires toujoursen cours.

� L’économie peut repartir en septembre. (Photo > D. R.)

Bourse

, Début d'hémorragie à la direc-tion de Facebook. Quatre cadresdirigeants ont remis leur démis-sion seulement quelques moisaprès l'introduction en Boursedu site.Facebook n'est pas dans unebonne passe. La valeur de l'ac-tion a approché la moitié ducours d'introduction début août,on a appris que le réseau socialcomptait près de 10% de faux pro-fils, son efficacité publicitaire aété remise en cause et, mainte-nant, l'entreprise fait face à desdéparts en série dans son équipedirigeante, ce qui n'est jamais bonsigne. Quatre cadres ont démis-sionné : Ethan Beard, directeurdes partenariats, Kate Mitic, di-rectrice marketing, JonathanMatus, directeur marketing de laplateforme mobile, et Ben Blu-menfeld, responsable du design.Au moins deux d'entre eux repar-tent vers le monde des start-up,

côté entrepreneur ou investis-seur. Un syndrôme post-IPO ?Hasard du calendrier, Facebookest sorti du classement Glass-door des 25 entreprises améri-caines qui offrent le meilleur équi-libre vie privée - vie profession-nelle.

Facebook perd ses têtes

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, L'économie japonaisea crû de 0,3 % entreavril et juin, moitiémoins que prévu,soulevant des doutessur la solidité de lareprise économiquealors que les dépensesdes consommateursralentissent et que lacrise de la dette enEurope pèse sur lademande mondiale.

L'économie japonaise trébuche au deuxième trimestre

Energie

Total est l'une des sociétéspétrolières étrangères quiont jusqu'à présent ignoréles mises en garde de Bag-dad contre tout accordconclu directement avec lesautorités autonomes kurdes.Le groupe français, qui ex-ploite le site d'Halfaya, dansle sud-est du pays, a annoncédébut août avoir signé un ac-cord qui porte sur une prisede participation de 35 %dans les blocs de Harir etSafen au Kurdistan irakien,en conflit avec le gouverne-ment central de Bagdad surles questions pétrolières.

«L'Irak a officiellement de-mandé à Total de geler oud'annuler son contrat avecla région kurde et de respec-ter la loi irakienne ou devendre sa part dans lechamp pétrolier de Halfaya»,au sud du pays, a déclaréFaiçal Abdallah, porte-paroledu vice-Premier ministre encharge de l'Energie, Husseinal-Chahristani. «Nous avonsdit clairement à Total qu'iln'a que deux options, il n'y apas d'autre alternative», a-t-il ajouté.

VoirsurInternetwww.lnr-dz.com

,Les autorités irakiennesont prévenu Total que lasociété française doitrenoncer à un accord avecla région autonome duKurdistan irakien ouvendre sa part dans legisement pétrolier deHalfaya, a indiqué hier unporte-parole du ministèrede l'Energie.

Total doit choisir le Kurdistanou le gisement d'Halfaya

Réunie au siège, le 10 août der-nier, la composante a décidé deretirer sa confiance lors de laréunion en toute légalité. Ellereproche une panoplie de griefs,dont son unilatéralisme et samauvaise gestion des dossiersdéposés par les travailleurs del’éducation. Les membres réunisaccusent le président d’avoirpris des décisions tout seul sansconsulter les membres élus, lit-on sur le communiqué rendupublic. Les signataires du do-cument dénoncent les décisionsarbitraires du président, qui apréféré assister au congrès tenuà Mostaganem en compagnie detrois membres proches étran-gers du secteur et la remise desordres de mission à des genshors du secteur pour effectuerles déplacements a travers les42 communes, ajoutent les si-gnataires que lors des ren-contres tenues en tête à têteavec le directeur du secteur etson chargé de communication.Les décisions ne seront pas

prises en considération et se-ront annulées purement et sim-plement. Les membres de lacommission des œuvres so-ciales interpellent les pouvoirspublics afin d’intervenir pourannuler la décision portant lenuméro 1037 signée le 25 juillet

2012, et de préparer une as-semblée générale élective avantla rentrée sociale.Rappelons que le matelas du fi-nancier a été géré par une poi-gnée de syndicalistes de

l’UGTA avant de perdre le fau-teuil de la présidence lors desélections du mois de février quin’a obtenu aucun siège raflé parl’Unpef et la Cnapast.

HHaammzzaaoouuii BBeenncchhoohhrraa

Tiaret

Le carême tirant à sa fin etmême si la date du premierjour de l'Aïd n'est pas encoreofficiellement annoncée, lesménagères ne veulent pas êtreprises au dépourvu. Elles s'em-pressent d'acheter les produitsde première nécessité en quan-tité «suffisante», disent-elles,«notamment les légumes et lesfruits frais, en prévision d'unweek-end de fête prolongé,sans regarder à la dépense».Aussi, ces derniers jours, ellesont ajouté à leur liste les di-vers matériels et ingrédientsservant à la fabrication des gâ-teaux traditionnels, faisant lebonheur des vendeurs debeurre, de smen, de marga-

rine, de caissettes en papier,d'eau de rose et de fleurd'oranger qui font de bonnesaffaires. Ainsi, hier, les mar-chés de la ville étaient archi-combles. Au centre-ville, la cir-culation des personnes et desvéhicules était très dense et àmesure que l'on approchait del'entrée du marché, elle deve-nait plus difficile encore. A l'in-térieur, dans la cohue et le

bruit provoqué par les cris desmarchands vantant leurs mar-chandises, on se frayait diffi-cilement un chemin vers lesétals. Ces derniers sont en-tourés par des grappes declients qui achètent sans dis-cuter. Pourtant, ces derniersjours, et après une accalmie,les prix ont connu une haussegénérale.

NN..--MMaalliikk

TissemsiltLa friperie au secoursdes personnes dému-nies

La rentrée sociale de cette annéesurvient dans une conjoncture trèsparticulière, avec notamment lesdernières augmentations des produitsde première nécessité, ajoutées à larentrée scolaire et aux dépenses liées aumois de Ramadhan. Ces trois facteursqui se sont conjugués pour augmenterles charges pesant déjà lourdement surles nombreux citoyens, en majorité desimples retraités et autres chômeurs sansperspectives. Cette situation les oblige àuser de tous les expédients pour se tirerd’affaire et se procurer de quoi nourrir etvêtir leurs enfants scolarisés. Et au vudes prix affichés, ce ne sont pas leursmaigres pensions ou leurs salaires demisère qui leur permettront de lessatisfaire en vêtements neufs.Heureusement qu’il existe la solutiond’«El-Balla», ce gros ballot de friperieimporté d’outre-mer. Une aubaine pources pauvres qui affluentquotidiennement vers les nombreuxmagasins du «cheyfoune» bien connudans la capitale de l'Ouarsenis. C’est là,accompagnés de leurs chérubins, qu’ilspeuvent les habiller de pied en cap,pour un prix qui reste à leur portée.Satisfaits de cette bouée de sauvetage,les intéressés songent déjà à l’utiliserpour la prochaine fête de l’Aïd El-Fitr,marquant la fin du Ramadhan. Enattendant, la plupart d’entre euxremercient l’Etat d’avoir bien vouluprendre en charge la gratuité des livresscolaires, qui normalement coûtent lesyeux de la tête, sans oublier l’apport dela prime de scolarité. Cela leur permettrade consacrer le reste de leur maigrebudget aux dépenses culinaires duRamadhan.

AAbbeedd MMeegghhiitt

II NN FF OO SSEE XX PP RR EE SS SS

, Les nouveauxmembres au nombre dedix sur les onze quecompte la commissiondes œuvres sociales dusecteur de l’éducationà Tiaret ont retiré leurconfiance à l’actuelprésident.

Relizane

, C'est remarquablecomme les derniersjours du Ramadhanressemblent auxpremiers : mêmeaffluence dans lesmarchés, mêmefrénésie des achats et…mêmes prix.

DJELIDA (AÏN DEFLA)Un berger froidement assas-sinéAlors qu’il gardait ses moutons,un berger âgé de 70 ans a été tuépar un groupe de malfaiteurs qui

ont réussi à prendre la fuite enemportant l’ensemble du trou-peau. Le berger qui a reçu plusieurs coupsà la tête a été évacué vers l’hôpi-tal de Aïn-Defla. La gendarmerie s’est rendue sur leslieux pour effectuer une enquête.Les malfaiteurs en fuite sont acti-vement recherchés.

HHaaddjj MMoohhaammeedd

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régionsLLaa NNRR 44440055 —— MMaarrddii 1144 aaooûûtt 22001122

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� Les œuvres scolaires font courir du monde. (Photo > D. R.)

Silence, on gèle les œuvressociales

A quelques jours de l'Aïd, lesmarchés dans tous leurs états

Les orphelins ne sont pas oubliés

Djelfa

,Cent orphelins issus de 22 com-munes que compte la wilaya de Tis-semsilt ont bénéficié de vêtements del’Aïd, a indiqué dimanche dernier àTissemsilt le commissaire de wilayades Scouts musulmans algériens(SMA), M. Abdelkader Guerroudj. Lesenfants bénéficiaires de cette opéra-tion de solidarité sont âgés entre 6 et14 ans. Cette opération de solidarité acoûté 8 millions de dinars pour 3 150orphelins issus de 30 wilayas, sommecollectée par les SMA grâce à la cam-pagne de solidarité «Dinar de la Rah-ma» (dinar de la miséricorde), orga-nisée avec la filiale de la compagnie in-ternationale «Afia» en Algérie, a-t-ilsouligné. La liste des bénéficiaires aété définie suite au travail de proximitéaccompli par les équipes des SMA àtravers les différents quartiers et les

communes, ainsi que les douars. Acette occasion, le commissaire de wi-laya des Scouts Musulmans Algériensde la wilaya de Tissemsilt a saluétoutes les parties ayant contribué à laconcrétisation de cette initiative quivise à «introduire la joie dans lescœurs des orphelins en ce mois sacréde Ramadhan». Cette initiative «reflètela coopération existant entre la so-ciété civile et le partenaire écono-mique, qu’il soit public ou privé», a-t-il affirmé, exprimant le souhait quecette initiative devienne «un modèlepour encourager la société civile et lesacteurs économiques à accomplir detelles actions».

AAbbeedd MMeegghhiitt

VoirsurInternetwww.lnr-dz.com

r é g i o n sLa NR 4405 — Mardi 14 août 2012

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Les prévisions de récolte de liège pour la campagne de l’exercice encours dans la wilaya d’El-Tarf tablent sur une production de 13 000quintaux, a indiqué hier le conservateur des forêts, M. MohamedTeyar. Ce volume est réparti entre 9 000 quintaux de liège mâle oude mise en valeur (exploité pour la première fois) et 4 000 quintauxde liège de reproduction. (Photo > D. R. )

Oran : trente personnes devant le

pôle pénal pour escroquerie au port

Trente personnes ont été présentées dimanche devant la premièrechambre du pôle pénal d’Oran dans une affaire liée à une escroqueriedans le port sur laquelle une brigade d’investigations du groupement dewilaya des Douanes algériennes a enquêté. (Photo > D. R. )

Mila : Tamedda, un havre de fraîcheuret de détente pour les jeûneurs

Tamedda, un petit hameau de la commune d’Ahmed-Rachedi (Mila),accroché au flanc d’un rocher abrupt d’où coule en cascade une eaufraîche et limpide, devient pendant le Ramadhan havre de repos etde détente très prisé par les jeûneurs. (Photo > D. R. )

Mostaganem : concours pour

le recrutement de 170 enseignants

Un concours pour le recrutement de 170 enseignants des troiscycles scolaires a été organisé dimanche à travers sept centresd’examen de la wilaya de Mostaganem, a-t-on indiqué à la directionde l’Education. (Photo > D. R. )

El-Tarf : une production de 13 000quintaux de liège attendue

Tissemsilt

Veillées ramadhanesques dansl'ambiance conviviale de jadis

Ainsi, après une telle réti-cence et un calme profondqui aura duré quelques mi-nutes, rupture du jeûneoblige, les artères de la ville,investies par les incondition-nels noctambules, retrou-vent l’effervescence de lajournée. Les rues, avenues,places et lieux publics reçoi-vent tout ce beau monde,notamment après la prièredes tarawih où l’on re-marque l’amplification deces nuées humaines qui sepermettent une boufféed’oxygène au grand bonheurdes commerçants qui nechôment pas du tout durantcette période. Finalement, on admet faci-lement que la paix n’a pas deprix quand on se réfère auxannées passées où l’on res-tait cloîtrés chez soi, dans laléthargie et le stress, duranttout le mois de Ramadhan,car l’environnement était af-fecté par une série de cala-mités allant du terrorismeau banditisme en passantpar une crise sociale qui per-

dure encore. «Aujourd’hui,on peut quand même souf-fler un peu, aller rendre vi-site aux amis et permettre ànos familles de changer unpeu d’air en échangeant desvisites comme jadis», nousaffirme cet homme d’un âgeavancé qui n’a pas caché sajoie de voir cette ville qui l’atoujours porté dans songiron revivre les bons mo-ments de jadis. Cependant, pour bonnombre de promeneurs, lesalentours du boulevard du1er-Novembre, de la placetteen face la mosquée Abou-Bakr-Essedik ou la route me-nant à la cité Wiam, 119 lo-gements et 320 logementssont les plus prisés et consti-tuent les parages parfaitspour «tuer le temps» aurythme des conversationset du bruit lancinant des vé-hicules. Au passage, autantsignaler que le boulevard320 logements et 119 loge-ments affiche quotidienne-ment des encombrements,durant la soirée comme du-

rant l’après-midi, qui ren-dent parfois la vie infernaleaux automobilistes qui sontperpétuellement contraintsà une gymnastique pour sefrayer un passage. Outreles cafés et les magasins,bien des familles, accompa-gnées de leur progéniture,se permettent des haltes àla cité Wiam, En effet, le décor est lemême dans la mesure où lescitoyens peuvent, cetteannée, se permettre des sor-ties nocturnes et des petitesbalades pour partager unpetit thé agrémenté d’unechamia entre copains, s’of-frir une partie de dominos,de belote et de rami ou ten-ter sa chance au loto, un jeuqui a bien évidemment lacote durant le mois de Ra-madhan, notamment àOuled Bessem. Certains préfèrent resterchez eux pour suivre les pro-grammes de «l’unique», trèsappréciés en de telles cir-constances compte tenu deson affiche locale. D'autres,

par contre, ignorent la «zéro»et passent leur temps à zap-per les grilles des chaînessatellitaires, très nom-breuses d’ailleurs. Par ailleurs, ce qui est da-vantage édifiant et particu-lier cette année, c’est queTissemsilt et ses environsmettent aux oubliettes lesmoments palpitants et terri-fiants des années passéesdans la panique et la frayeur.Dans ce contexte, il y a lieude mettre en relief la pré-sence en force et remarquéedes services de sécurité,Gendarmerie et Sûreté na-tionales, qui veillent, à tra-vers une feuille de route ac-commodée pour la circons-tance, sur la sécurité desbiens et des citoyens. Nulne peut nier les effets decette présence dans la me-sure où l’on n’entend querarement parler d’agres-sions ou de vols, contraire-ment aux années précé-dentes où l’on avaitconstamment la peur auventre. Dans ce sens, une dame quenous avons abordée nous afait part de toute sa satis-faction de pouvoir sortir li-brement et sans crainte, dejour comme de nuit. «Dieumerci, on peut quand même,grâce aux efforts conjuguésdes autorités locales, desservices de sécurité et debien d’autres intervenantscomme certains comités dequartier ainsi que le civismede certains citoyens, respi-rer un peu d’air frais ou s’ap-provisionner sans qu’onsoient agressé ni délesté denotre argent ou de nos bi-joux», fait-elle remarquer enpriant Dieu de sauvegardercet environnement et defaire durer cette accalmie.

AAbbeedd MMeegghhiitt

, Contrairement auxannées précédentes,la population de Tis-semsilt déguste lesveillées ramadha-nesques au rythmed’une atmosphèretrès agréable. Eneffet, après des jour-nées harassantesd’abstinence, caracté-risées par un tempé-rament de feu de lapart d’un grandnombre de jeûneurs,les familles n’hésitentpas à sortir le soirpour savourer desveillées conviviales. � Finalement, la paix n’a pas de prix. (Photo > D. R.)

Fin de la campagne moissons-battages à Aïn Témouchent

Des chiffres et des insuffisances, La campagne moissons-battagesde la saison 2011/2012 s’est ache-bée en apothéose en enregistrantun pic de production de 1.800.000quintaux de céréales comprenantles blés tendre et dur, l’orge etl’avoine. La superficie emblavée estestimée à 103.000 hecatres.Les raisons de cette très bonne pro-duction sont la bonne pluviomé-trie, l’apport de la vulgarisation etle suivi technique, l’absence detoute maladie céréalière dont le verblanc et les prix de vente encoura-geants : 4 500 DA pour le blé et 2 500DA pour l'orge.Cela dit, l’on ne peut en aucun cascacher les insufisances et les pro-blèmes rencontrés par les exploi-tants agricoles et les fellahs.En tête du registre, les profession-

nels de la céréaliculture ontconstaté l’insuffisance des dockssilos de la Coopérative de céréaleset légumes secs (CCLS ) pour rece-voir toute la production céréalièrequi a frôlé la barre des 1,8 millionde quintaux. Il existe uniquementdeux unités de la CCLS à Aïn Té-mouchent et Hammam Bouhajar.Le blé a été exposé à même le sol,en pleine nature. Heureusement que les conditionsmétéorologiques étaient clé-mentes. Si par malheur une pluietorrentielle était tombée sur cetteimportante quantité, les CCLS au-raient essuyé des pertes astrono-miques. Pis encore, ces clients de laCCLS ont loué des camions et destracteurs avec remorques pourtransporter leur production mais,

devant l’insuffisance des capacitésde reception des CCLS, ils ontété contraints d’attendre desheures pour décharger alors queles frais de location des véhiculessont excessivement chers. L’on a puainsi constater que les moisson-neuses fonctionnant au vrac res-taient pleines en attendant le re-tour du moyen de transport.Un autre problème qui se repro-duit à chaque saison : les proprié-taires des moissonneuses, privéset publics, privilégient les céréali-culteurs ayant des superficies im-portantes. Les petits fellahs et ex-ploitants agricoles restent, eux, tou-jours en retard, et leur productiondemeure exposée à toutes sortesde risques naturels et humains.

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d é b a tLa NR 4405 – Mardi 14 août 2012

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Nul ne peut oublier cette grande période oùle temps passait, les entreprises se créaientet grandissaient, la croissance augmentait,l’offre augmentait, les prix diminueraient,et on parlait moins de détournements defonds, de corruption, de fuite des cadres etdes cerveaux, de capitaux, de liquidationd’entreprises, de compressions d’effectifs,de salaires impayés, de conflits sociaux...Il apparaît au rythme de cette premièrephase de l’Algérie indépendante la nais-sance d’une industrie nationale à la faveurde la nationalisation des hydrocarburesintervenue en 1971, un outil indispensablepour la souveraineté nationale et pour lut-ter contre le sous-développement. On peuten rappeler ici, essentiellement, entreautres, la réalisation de grands ensemblesindustriels et technologiques dans toutesles branches d’activités : énergie et pétro-

chimie, industrie agroalimentaire et pêches,mines, hydraulique, biens d’équipement,chimie et pharmacie, électronique, télé-communications et informatique, voies fer-rées et moyens de transport ferroviaires etmaritimes, presse écrite et audiovisuelle(nationale et régionale), textiles, cuirs etchaussures, ameublement, construction,industries diverses, une agriculture réno-vée et organisée en grandes exploitationsagricoles (domaines autogérés), zones tou-ristiques, à l’instar d’autres réalisationssocioculturelles, d’éducation et scienti-fiques... Ces réalisations ont fait place àune stratégie industrielle et à une politiquerégionale de leadership qui a conquis les es-paces géopolitiques dont notamment lemonde arabe, l’Afrique et le tiers monde.Ainsi, plusieurs événements très impor-tants dans l’histoire du monde donnentl’exemple aux pays en voie de développe-ment. Nous notons un effort réel de déve-loppement économique au regard de toutesces réalisations historiques, et quoi qu’ondise, l’Algérie peut s’enorgueillir de pos-séder aujourd’hui une agriculture et unparc industriel qui demeurent encore d’ac-tualité et parmi les plus importantsd’Afrique notamment, le fleuron de l’éco-nomie nationale et son rôle dans le déve-loppement du pays est prépondérant sa-chant qu’il possède encore une capacité

d’ajustement pour restructurer l’écono-mie nationale et pouvoir susciter un apporttechnologique de valorisation notammentest composé des industries lourdes, lé-gères et des terres les plus fertiles im-plantées à travers les quarante-huit wi-layas du pays qui revêt aujourd’hui uneimportance stratégique dans le cadre del’équilibre régional et du développementlocal. C’était l’alternative qui devait êtreassumée et partagée par les différents gou-vernements passés pour mettre en placeles conditions de mise en valeur de cet im-portant potentiel industriel et agricole et,par conséquent, de promouvoir des com-pétences, notamment de grands hommesde profil de valeur H, c'est-à-dire des cer-veaux et des bras dans tous les rouages del’économie nationale visant notamment àconstruire une économie nationale forte quienvisage d’atteindre le niveau de dévelop-pement de l’Espagne pour l’horizon 1990.Effectivement, la part consacrée à l’inves-tissement industriel était autour de 45 % duPIB et plus de 50 % du total investissementau moment où le pétrole valait sur les mar-chés mondiaux moins de 10 dollars le baril,la part de la production industrielle an-nuelle était autour de 18 à 20 % du PIB, lapart générée en croissance annuelle étaitde plus de 10%, une agriculture rénovée oùl’Algérie arriverait à produire la totalité de

ses besoins en céréales, en légumes etfruits, l’épargne nationale publique/privéeétait en moyenne de 40 % du PIB, la stabi-lité du taux de change dinar-dollar avecun cours de change fluctuant entre 4 DA et5 DA pour 1 dollar. Ces performancesétaient parmi les plus fortes dans le tiersmonde, un acquis porteur de grandes pers-pectives socioéconomiques et de grandeportée pour intégrer le monde industrielAu milieu des années 1980, sous le cou-vert de la restructuration organique dusecteur public économique et la suppres-sion du ministère du Plan, alors que la pla-nification est considérée comme une né-cessité stratégique pour la politique éco-nomique du pays à moyen et long terme etde l’évolution du niveau de développe-ment de l’économie nationale se trouvait ra-dicalement inversée qui trouve son expli-cation dans une économie de marché, maisplus ouverte sur l’importation et la rentepétrolière. Pour rappel, cela a commencéau milieu des années 1980 par le fameuxprogramme anti-pénurie (PAP) et ce, afin deconcrétiser pleinement le slogan pour unevie meilleure et puis vient l’avènement demilliers d’importateurs sur la base d’unsimple registre du commerce. (Suite et fin)

M’hamed Abaci, directeur financier

et auteur de deux ouvrages

, Il est difficile de demeurerindifférent face à un demi-siècled’indépendance et de gouvernance,une étape qui revêt une importanceexceptionnelle et une responsabilitéhistorique notamment, tant ellemarque une grande période del’histoire politique et économiqueavec le passé, le présent et le futurde l’Algérie.

Cinquantenaire de l’Indépendance

Qu’en est-il du développement économique algérien ?

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Prenant acte de ce constat,nous avons effectué une petitevirée à travers différents maga-sins spécialisés dans le prêt-à-porter, au niveau de l’Algérois.Résultat des courses : faire sesachats pour l’Aïd semble être,en fait, un vrai casse-tête. End’autres termes, même si lamarchandise est disponible àprofusion, le choix fait défaut. Autre fait à relever, les prix af-fichés ne reflètent nullementla qualité proposée.Premiers commerces à visiter,les magasins d’habillementpour enfants. Ici, une simplepetite robe destinée à unefillette d’à peine 3 ans estcédée à 5 000 dinars. Cettesomme n’inclut pas, faut-il le si-gnaler, les frais des indispen-sables petites sandales neuveset les différents accessoiresdonnant à nos petites l’allurequi s’impose en cette occa-sion.Côté ensembles, une jupe etun pull assortis proposés pourdes jeunes filles de 10 ans sontaffichés à 6 000 DA ! Cette en-volée des prix a égalementconcerné l’habillement gar-çons. «Pour l’achat d’un simplepull-over, un pantacourt entoile et une paire de chaus-sures pour mon gosse de 3ans, j’ai dû débourser quelque8 000 DA», raconte Mohamed,un père de famille. Pour les femmes, le choix estlargement varié. Le prix de la li-quette oscille entre 1 500 et 6000 dinars, selon le choix, aumoment où la jupe est propo-sée à 3 000 dinars en moyenne.Les robes dites de tous lesjours se vendent entre 3 000 et

10 000 dinars, les pantacourts2 500 dinars et les pantalonsentre 1 800 et 4 000 dinars. Leprix des sandales et autreschaussures se situe entre 1 200et 5 000 dinars. Les sacs sontécoulés à partir de 800 dinars,a-t-on constaté au niveau descommerces visités.Les espaces spécialisés dans lavente des hidjab et abaya pro-posent leurs marchandises àplus de 4 000 dinars.Côté hommes, le choix est plusvarié. Mais à quel prix ! Lespantalons classiques se ven-dent entre 2 000 et 8 000 di-nars, les chemises entre 1 500et 5 000 dinars et les chaus-sures de 2 000 à 15 000 DA.Cependant, il est un paradoxeà relever : même si les clientsse plaignent des prix jugés tropélevés, l’engouement devantles caisses ne faiblit pas.Il faut dire aussi que ces der-niers sont prêts à tous les sa-crifices pour leurs enfants etque les commerçants sont trèsau fait de ce «point faible».Contacté pour de plus amples

informations sur cette ten-dance haussière des prix desvêtements, le porte-parole del’Union générale des commer-çants et artisans algériens(UGCAA) a déclaré que «lesprix des vêtements ont aug-menté de 30%, de 2011 à 2012,soit en l’espace d’une annéeseulement».Selon El-Hadj Tahar Boule-nouar, cette situation est en-gendrée par plusieurs facteurs,notamment l’insuffisance de laproduction nationale en ma-tière de textiles et la dispari-tion du marché de la friperie,suite à la promulgation, l’andernier, d’une nouvelle loi in-terdisant toute importation deproduits de friperie». Poursuivant ses propos, il ap-pellera à «l’abrogation de cetteloi et à l’encouragement de l’in-vestissement dans la produc-tion nationale du textile et dupartenariat algéro-étrangerdans ce secteur».Interrogé sur la qualité des vê-tements proposés aux famillesalgériennes au niveau des dif-

férents espaces de vente etautres magasins, le porte-pa-role de l’UGCAA citera troisprincipales provenances.«D’abord, les produits chinoiset turcs se situent en pole po-sition et accaparent la part dulion sur le marché, soit 60% à70%. Viennent, ensuite, à hauteurde 15% les vêtements fabri-qués dans différents pays ducontinent européen et enfin,en petites quantités, les habits«made in Algeria», qui sont sou-vent fabriqués traditionnelle-ment dans de petits ateliers»,a-t-il indiqué. Selon M. Boule-nouar, «plus d’un tiers de cesvêtements passe par l’infor-mel, soit à travers des bou-tiques de circonstance, desmarchés hebdomadaires oualors des revendeurs non dé-clarés». Le porte-parole de l’UGCAArappelle dans ce cadre l’exis-tence de près de2 500 points de vente infor-mels au niveau national.

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Achats de l’Aïd

, De l’avis d’un grandnombre de ménages, lesvêtements de l’Aïd El-Fitrsont chers cette année. Ilssont mêmeexcessivement chers,alors même qu’ils neprésentent pas toujoursles garanties de qualiténécessaires.

sociétéLLaa NNRR 44440055 —— MMaarrddii 1144 aaooûûtt 22001122

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«Les prix des vêtements ont augmenté de 30%», selon l’UGCAA

II NN SS OO LL II TT EE

� Faire plaisir aux enfants, quel que soit le prix ! (Photo D. R.)

ETAT-UNIS

Il retrouve son appareilphoto trois ans plus tardgrâce à un inconnu

Grâce à la perspicacité et àl'honnêteté d'un homme, unNewyorkais a retrouvé son appareilphoto perdu trois ans auparavant, etce grâce à une enquête digne d'unesérie policière. Une prouesse réaliséepar John Noerr, un professeur d'artqui a trouvé l'objet dans une criquedu lac Pharaon dans la villed'Horicon. L'appareil en mauvaisétat, couvert de terre contenait enfait une carte mémoire de 2Gb où setrouvaient stockées 581 photosdatant de juin 2009. Une manneconstituant assez d'indices pourremonter jusqu'à son propriétaire.Au milieu de photographiesreprésentant des paysages urbainsde ce qui ressemblait à New York,quelques photos de proches etautres banalités, John Noerr a réaliséque la plupart des clichés avaient étépris dans un même endroit, unebanlieue proche de la Big Apple.C'est surtout l'image d'un bagelshop, une porte violette et le portraitd'une inconnue qui a attiré sonattention. La jeune femme était eneffet assise sur le seuil d'une maisonnumérotée 327, tandis que la photosuivante affichait un panneauindiquant 3rd street.�

RUSSIE

Des chars d'assautdébarquent sur une plageremplie de touristes

Avec leurs chars et leurs gros tanks, ceshommes pensaient-ils produire leremake du débarquement de Normandie? C’est en tout cas la question que cesplagistes ont dû dernièrement se poser envoyant cette armada débarquer entrombe sur leur lieu de vacances. EnRussie, lorsque l'on décide de s'accorderune journée à la plage, voilà sur quelgenre d'évènements on peut tomber : ledébarquement d'une véritable armada dechars filant en trombe sur le sable afin deprocéder très certainement à un exercicemilitaire. Alors que ces plagistesprenaient tranquillement le soleil au bordde la mer Baltique, une armée de charsd'assaut a ainsi défilé au bord de l'eau.En n'omettant pas au passage de souleverune véritable tempête de sable qui a dûfaire grincer des dents plus d'un plagiste.Mais alors, à quoi donc était due cettesubite démonstration de force de la partdes autorités russes ? Était-ce un exercicehabituel pour cette fraction de l'armée ouune petite démonstration de force ? �

Le recueil aborde les différents aspects de la viepolitique, militaire et intellectuelle de ce hérosde la résistance nationale, depuis le début del’occupation française en Algérie, a-t-il indi-qué. Cette nouvelle publication éditée par El-Djahidia d’Alger, renferme 520 poèmes dédiésà la vie et aux œuvres de l’Emir Abdelkader

dans ses efforts de lutte politique et militairecontre l’occupant français et à l’édificationd’un Etat algérien fort et prospère, a précisél’écrivain et poète Mohamed Bouziane, natif deBechar. Ce diwane de 70 pages, en plus d’en-richir la Bibliothèque nationale dans le do-maine de la littérature populaire nationale estle sixième ouvrage de l’auteur aux côtésd’autres œuvres, dont L’Iliade d’Oran, un mo-nologue intitulé Visite de l’Emir Abdelkaderprésenté en 2004 au théâtre régional d’Oran, etle scénario du téléfilm Akhdam Ya Chaki Lel-baki, diffusé en 2005 par la Télévision nationale.

Ce nouvel ouvrage de Mohamed Bouziane,glorifie les faits d’armes de l’Emir Abdelkader,ses activités politiques pour la mise en placede l’Etat algérien, sa pensée soufie marquée parune grande tolérance envers les différentesreligions et courants de pensée de l’époque,ainsi que l’amour de la patrie et de la religionmusulmane. Mohamed Bouziane a reçu plu-sieurs récompenses pour ses œuvres, notam-ment le prix international de l’amitié de la poé-sie francophone en 2002 en France et un prixau concours de poésie du journal El-Djoumhou-ria d’Oran en 1981. �

Béchar

, Un diwane (recueil) de melhoun,composé de 12 qaçidas, intitulé Visitepieuse à l’Emir Abdelkader, vientd’être publié, a-t-on appris de sonauteur Mohamed Bouziane.

Un «diwane de melhoun» sur la vie de l’Emir Adelkader

11.00 Les 12 Coups de Midi !12.40 Petits plats en équilibre

été15.30 American wives16.20 Grey's Anatomy 17.05 Secret Story19.00 Journal19.35 Petits plats en équilibre

été19.50 UUnnee ppeettiittee zzoonnee

ddee ttuurrbbuulleenncceess21.50 New York, unité spéciale

: Shéhérazade23.50 New York, unité spéciale00.20 Enquêtes et révélations 01.45 Reportages

12.55 Toute une histoire14.00 Comment ça va bien !15.00 Le jour où tout a basculé16.00 Un cas pour deux :

Faux indices17.00 On n'demande qu'à

en rire17.55 Mot de passe19.00 Journal19.35 Secrets d'histoire

: Henri IV 21.15 La très très grande

entreprise22.55 Dans quelle éta-gère 23.00 Journal de la nuit23.15 Douce France

10.25 Malcolm 12.00 Scènes de ménages12.30 100 % montagne12.45 La vie secrète d'une

milliardaire16.50 Le bus17.45 100 % mag 18.45 Le journal19.05 En famille19.50 LLaarraa CCrroofftt :: TToommbb RRaaiiddeerr21.35 Point Break23.35 The Defenders :

La classe à Vegas00.25 The Defenders : 4000$

au soleil

05.45 Ludo07.30 Ludo vacances10.35 Consomag10.40 Edition de l'outre-mer11.00 Journal11.55 30 millions d'amis12.40 En course sur France 313.00 Inspecteur Derrick :

Pas d'Eden13.50 En course sur France 314.10 Maigret : Maigret

et les sept petites croix15.40 Des chiffres et des lettres16.20 Un livre toujours16.30 Slam17.10 Questions pour un

champion

18.00 Journal

19.00 Tout le sport

19.08 Et si on changeait le

monde

19.10 Plus belle la vie

19.35 Le grand concert

interceltique

21.50 Soir 3

22.15 Les 40 ans de Tri Yann

00.00 Strip-tease

01.20 Plus belle la vie

01.45 Discographie

: Michel Berger,

évidemment

14.30 Psych, enquêteurmalgré lui

17.55 Psych, enquêteurmalgré lui

18.45 Que du bonheur !19.45 LLaa bbeeuuzzee 21.25 Incontrôlable 22.55 Dinocrocodile :

la créature du lac

16.55 Pour l'amour du risque18.45 Les constructeurs

de l'extrême19.50 AAllii GG 21.25 Les Aventuriers

du grand large 23.50 Delphine 1, Yvan 0

13.25 Ma famille d'abord 14.15 Talent tout neuf16.50 Un gars, une fille18.40 Ma famille d'abord :

Le bébé19.50 SSccoouutt ttoouujjoouurrss 21.25 L'île aux trésors23.10 Swamp People 00.00 Swamp People :

chasseurs de croco

12.55 La grande soirée de l'humour belge

14.35 C koi ta tribu ?16.20 Mon rêve18.00 Les Bleus19.50 CChhiillii ccoonn ccaarrnnee21.35 Narco 23.25 Demons :

L'âge des ténèbres

14.30 United States of Tara15.40 Blitz17.20 Les Simpson 18.05 Happy Hour19.15 L'effet papillon19.55 WWaarrrriioorr22.10 Fighter00.00 Le naufrage du Laconia01.25 Le naufrage du Laconia02.50 Ni à vendre, ni à louer

14.20 No Mercy16.30 Les mauvais joueurs17.55 Flag19.50 LLaa cceelllluullee ddee FFeerrmmaatt21.10 La boîte noire22.40 La haine

16.50 Nuit d'été en ville 18.15 Les deux crocodiles19.40 CCoouuppss ddee ffeeuu ssuurr

BBrrooaaddwwaayy21.20 Agatha 22.55 Travelling avant

14.45 Je ne devrais pas être en vie

15.40 Nus & culottés16.45 C dans l'air17.55 Silence, ça pousse !

18.45 Arte Journal19.05 Un billet de train pour19.50 La biodiversité menacée 21.20 Le dessous des cartes22.25 Israël et le tabou

de la bombe23.20 Control

12.45 Miss Marple14.30 Arabesque : Diables

et magie noire17.15 Alerte Cobra :

Claustrophobie19.45 9900'' eennqquuêêtteess ::

SSeeccttiioonn ddee rreecchheerrcchhee22.20 90' enquêtes :

Gendarmerie22.50 90' enquêtes00.30 New York, police

12.15 Championnat de Francede Ligue 2

16.15 Tournoi WTAde Cincinnati

22.00 Porsche Supercup23.45 Championnat du monde

Programme

t é l é v i s i o n

Sélection

CCHHEEQQUUEE CCOONNTTRREEPPRROODDUUIITTSS AAVVAARRIIEESS

Selon de nombreux citoyens, lecouffin du ramadhancontiendrait des produits dontla date de péremption seraitarrivée à terme. Cela serait dûà la durée de stockage de cesproduits et leur dated’acquisition. Pourtant, il étaitquestion de se débarrasser desproblèmes engendrés par cesfameux couffins et d’adopterun autre moyen d’aide.En plus de la convoitise, cescouffins contiennent desproduits qui nécessitent desaires de stockage relativementimportants et qui réunissentsurtout toutes les conditionsde stockage, ce qui n’est pasvraiment le cas, car, trèssouvent, ces couffins sontdéposés dans des bureaux oudes garages, lorsque ce n’estpas dans une cour à l’air libre.L’idée du chèque avaitpourtant été soulevée etadoptée à l’époque d’OuldAbbès qui a vu sur le terraintoutes les difficultésrencontrées par les équipeschargées de la distribution deces fameux couffins duramadhan, surnommés «couffins de la honte» à causedes bagarres qu’ilsprovoquaient lors de leurdistribution.Beaucoup de démunis nepouvaient pas accéder à cetteaide car le circuit était parasité,le couffin atterrissant souventailleurs que chez lesnécessiteux, comme cela a étéle cas après l’arrestation par leséléments de la Gendarmerienationale d’un véhicule d’uneAPC transportant des denréesalimentaires détournées.Il faut aussi ajouter quenombreux sont les démunisqui, par pudeur, n’osent pas se présenter pour l’aidealimentaire et faire la queuedevant les bureaux de l’APCdevant yeux de tout lemonde… Aussi, il serait peut-être plus intéressant et plushumain de laisser tomber lecouffin du ramadhan et de leremplacer par une autre aideplus concrète et moinscontraignante pourl’administration qui, au lieude stocker des produits aurisque qu’ils deviennentimpropres à la consommationet de dégager toute unelogistique, pourrait adopterle chèque ou un autre moyenplus «humain» et moins «outrageant» ou dévalorisant.Du coup, on supprimera leproblème de stockage, onn’aura plus de produitspérimés à distribuer et plusaucune bagarre devant les APC.Le ministre de la Solidaritépourrait y réfléchir…Allez, à demain si je ne suispas viré !

C H R O N I Kp a r H e r b é

La NR 4405 — Mardi 14 août 2012

12

Ciné Frisson - 19.50La cellule de Fermat Thriller avec Lluis Homar

,Fermat, un mystérieux personnage, invitequatre mathématiciens à le rejoindre dans unevieille demeure. Réunis dans une pièce close,ils reçoivent par SMS des énigmes à résoudreen un temps limité. Les quatre prisonniersréalisent bientôt que les murs de la pièce serapprochent dangereusement. Leurs brillantscerveaux vont devoir non seulement répondreau plus vite sous peine d'être aplatis, maisaussi résoudre une énigme de plus : qui peutbien leur en vouloir à ce point et pourquoi ?

,Pour venir en aide aux enfants de son quartier,un jeune homme passionné de rap intervient au-près des autorités et se retrouve propulsé au rangde député… Suite de sketches sottement provo-cateurs et volontiers scato.

,A New York, dans les années 1920, David Shayne,jeune auteur sans succès, accepte la proposition deson ami producteur Julian Marx. Sa nouvelle piècesera financée par Nick Valenti, un gangsterrenommé, qui exige en échange l'engagement de sa«fiancée» Olive, danseuse sans talent qui rêve dedevenir comédienne.

Ciné Star - 19.40Coups de feu surBroadwayComédie avec John Cusack

Direct 8 - 19.50Ali GComédie avec Sacha Baron Cohen

cultureLa NR 4405 — Mardi 15 août 2012

13

Cinéma

, La projection du film Zabana! enavant-première mondiale estprévue à Alger le 30 août, aannoncé dimanche le réalisateurdu film, Said Ould Khelifa, sanspréciser le lieu devant abriter cettepremière projection. Lors d’une rencontre animée à la Li-brairie de l’Emir Abdelkader nouvel-lement inaugurée à Alger, le réalisa-teur, accompagné de Azzeddine Mi-houbi, qui a écrit le scénario du film,et les principaux acteurs, a présentéau public la bande annonce ainsique des extraits du film. Il a égale-ment annoncé que la diffusion pourle grand public débutera «à partirde la mi-octobre» et que «le calen-drier prévoit aussi des projectionsdans les casernes militaires et les

centres de détention». La bande an-nonce et les extraits projetés ontsuscité la curiosité des spectateursqui attendaient la projection du filmdepuis près de 4 mois, par rapportà l’écriture et au travail de recherchequi ont conduit à la production dufilm. Le scénariste Azzedine Mihoubia précisé que le scénario a été écritsur la base des témoignages de la fa-mille, des amis et des compagnonsde cellule, dont Said Stambouli, dupremier martyr guillotiné «afin d’enassurer la précision historique touten axant cette fiction sur l’individuqui est l’un des héros les moinsconnus de la Révolution si ce n’est lefait d’être le premier martyr de laguillotine». Pour sa part, Said OuldKhelifa a insisté sur le fait de n’avoir

fait l'objet d'«aucune pression et quel’équipe assumait toutes «les éven-tuelles faiblesses du film». Après la projection de quelques ex-traits du film reproduisant le procèsdu martyr ou des scènes de son sé-jour carcéral, le réalisateur a expliquéque cette œuvre «est une fiction faitepour faire rêver le public sur lesbases d’une recherche historique etnon un film documentaire fait pardes historiens». Selon les extraits et les propos del’équipe du film, le procès d’AhmedZabana, un civil présenté devant untribunal militaire et jugé sommaire-ment pour satisfaire la volonté poli-tique coloniale de l’époque, est om-niprésent dans cette œuvre qui veutmettre en avant la décision d’exé-

cution des révolutionnaires algérienspar la guillotine. Celle-ci sévirad'ailleurs 221 fois après l'exécutiond'Ahmed Zabana le 19 juin 1956 à laprison de Barberousse à Alger. Lesprincipaux acteurs, majoritairementissus du théâtre, dont Imad Ben-chenni, ont exprimé leur «frustra-tion» de devoir attendre aussi long-temps pour pouvoir regarder leurœuvre en intégralité et sonder la ré-action du public. Après la projection de la bande an-nonce lors du festival de Cannes aumois de mai dernier, Said Ould Khe-lifa représentera l’Algérie avec sonfilm «Zabana!» lors du 37e festival dufilm international de Toronto du 6 au 16 septembre prochain.

RR.. CC..

L'avant-première du film Zabana! le 30 août à Alger

On ne peut pas parler d’Ibn ElArabi en quelques pages tant sonœuvre est immense. Il est l’auteurde près de 400 titres d’ouvragesqu’on n’a pas dû décortiquer, fautede volonté à l’avantage d’un publicen mal de connaissances dans desdomaines sensibles que sont l’Is-lam et la philosophie. De l’avisdes analystes méthodiques, IbnEl Arabi a été l’un des plus proli-fiques tout en étant clair et concisdans ses écrits.

Pour lui, l’idée préexiste à lamatière dans la science divineIl appelle idée, la lettre qui peut sematérialiser et s’unir à une autre,à d’autres lettres. «Le monde vi-sible est le produit de cette agré-gation d’idées». Il compare l’uni-vers à un livre fait d’un assem-blage de lettres liées et enchaînéesselon des règles. N’est-il donc paspossible de voyager dans le passéet de prédire l’avenir moyennantun enchaînement des lettres enparfaite concordance avec lesidées ininterrompues. Cependant,est limité dans ses investigationscelui qui peut atteindre les lettresen ne percevant que les phéno-mènes. La divinité lui reste ca-chée. Cette dernière se manifestesous différentes formes dans unenature changeante. Pour le mys-tique, c’est là une manifestation dela divinité. Au cours de l’histoire, les cher-cheurs arabes qui se sont éver-tués à reconstituer sa vie et sonœuvre se sont limités à n’en don-ner qu’un aperçu, comme ce fut lecas de Mohamed Ali Aïni. Ce der-

nier a découvert chez le philo-sophe mystique que la divinitépasse de la détermination à l’indé-termination selon un cycle, celuide l’éternité, au cours d’une viesans fin. «Le mouvement en ques-tion, dit le philosophe dans leFosûs, c’est la vie; il n’y a point derepos, il n’y a point de mort, il n’ya point non plus de néant». Peut-on dire, autrement, que c’est l’éter-nel recommencement. Et là où Ibn El Arabi rejoint lesscientifiques du monde moderne,c’est lorsqu’il dit que rien ne seperd, tout se transforme ici bas.«La nature n’augmente ni ne di-minue, elle est naturante et natu-rée. Tout ce qui existe dans l’uni-vers se transforme et se renou-velle sans cesse et il n’y a pas lieude distinguer les êtres des choses,puisque les uns et les autres sontformés des mêmes atomes, desmêmes lettres».

Il y a des attributs divins dans lanature humaine«Adam, dit Ibn El Arabi, dansl’ordre de la création possède lasagesse divine, la pensée qui luivaut tous ses succès sur la na-ture. Ce qui veut signifier quel’homme est détenteur des attri-buts divins. Spirituellement,

l’homme a été créé dans un pro-cessus de prééternité, le monde icibas est le monde par l’existencede l’homme par opposition à l’au-delà qui est sa demeure éternelle». Dans les points de vue successifsétalés sur des siècles de vie hu-maine, il y a du vrai et du faux. Levrai est perçu comme l’essentiel;quant au faux, c’est un accident.Mais il faut du faux, peut-être, pourmieux mettre en évidence le vrai,sur tout ce qui concerne parexemple la relation avec Dieu, la li-berté humaine, le libre arbitre. Ibn El Arabi considère comme uneinsoumission à Dieu, le libre ar-bitre. «La volonté n’est que l’aban-don de la volonté», précise-t-il. Lanotion du devoir renvoie à l’exis-tence de Dieu et la morale estconstituée des enseignements deDieu ainsi que de la sagesse deses envoyés et des saints du pré-sent et du passé. Définissant cettemorale comme un ensemble devertus parmi lesquelles prédo-mine la charité, il dit, et ceci est im-portant pour nos contemporainsqui n’ont rien compris aux phéno-mènes religieux de type extré-miste : «Au lieu de partir en guerrepar zèle divin, pour massacrer sessemblables, il est préférable deles traiter avec charité». Autre-ment dit, au lieu du meurtre autitre du talion, il est préférabled’user du pardon car de la sorteon ne tuera pas un homme deplus.

Il existe deux catégoriesd’hommesIl y a les hommes animaux et leshommes réels. Seuls ces derniersont la possibilité de se perfection-ner. Si Ibn El Arabi admet l’escla-vage, il est cependant impératifde traiter les esclaves avec bonté.Ce sont des hommes, nos frères,chacun d’eux étant un esclave de

Dieu. «Ne fais jamais à autrui ceque tu ne voudrais pas qu’on tefasse». Ce proverbe ancien et tra-duit dans toutes les langues se ré-sume par ces paroles d’Ibn ElArabi : «Nous devons traiter nosesclaves comme nous voudrionsêtre traités. Cette charité, cettepitié ne doit pas être refusée auxanimaux, car ce sont aussi descréatures. Les deux grandes ver-tus sont l’amour et la charité».Pour lui, le bonheur réside dans laliberté d’action, le respect d’au-trui, l’honnêteté, l’examen deconscience en toute liberté d’es-prit. Parlant de l’existence deDieu, le philosophe dit qu’on nepourrait parvenir à sa conscienceque par un examen de conscienceet des créatures, au contraire duraisonnement dialectique si cherà Ibn Sina et El Ghazali. Dieu estresté dans le même état qu’il étaitavant la création de l’univers, etpour les polythéistes, il est vain dechercher des associés de Dieu.Rien ne ressemble à Dieu et l’Ab-solu est toujours inaccessible etinconnaissable dans son essence. On ne peut pas terminer sans ajou-ter qu’ Ibn El Arabi mérite pleine-ment le titre de sultan des saints,par ses qualités d’homme de reli-gion et d’humanisme universa-liste. Sa philosophie mystique quia éclairé les musulmans de tousles temps venus à lui et à ses ou-vrages immenses en faisantcontrairement l’effort de mieux leconnaître, est un atout importantà l’Islam, tant notre religion a be-soin de discours philosophiquepour devenir épanouissante etune source de bonheur dans lamesure où ce discours apporteles clés aux énigmes du texte co-ranique aux hadiths authentiques.Ce qui a toujours été préconisépar Arkoun.

BBoouummeeddiieennee AAbbeedd

Cheikh akbar et disciple de Sidi Boumediene

, Après Sidi Boumediene etAbdelkader El-Djilani, Ibn El-Arabi a été l’une des figures deproue du soufisme et de laphilosophie mystique del’Islam.

Ibn El-Arabi, métaphysicien et grandsaint de l’islam

AA VV II SS

AKLI YAHIATÈNE ENCONCERT À TIZI OUZOU

L’artiste épate ses fans

Le public de Tizi Ouzou a vécu une soiréeartistique mémorable, animée à lamaison de la Culture au titre duprogramme «Spécial Ramadhan», parl’inusable chanteur Akli Yahiatène (82ans) qui a épaté ses admirateurs par saseconde jeunesse. C’est vert 23 heures qu’il apparut surscène sous un tonnerred’applaudissements et de youyousstridents. Resplendissant de santé à vued’œil et jouissant d’une vitalité que luienvieraient bien des jeunes, «Da Akli»,comme aiment à le nommer ses intimes,nargue bien les aléas de la vieillesse :droit comme un "I", mine pimpante,regard de lynx, chevelure noire sontautant de signes attestant d’uneseconde jeunesse de l’artiste. Pourtant, Yahiatène n’a pas été toujoursgâté par la vie, pour avoir vécu unorphelinat précoce dans les montagnesdu Djurdjura, avant de goûter àl’amertume de l’exil, avec «en prime»un séjour dans les geôles coloniales,pour son engagement pour la causenationale. Mais par son talent d’artiste, l’enfantd’Ath Mendes a su transformer sespeines et privations en un précieuxcapital, consistant en une discographiede plus d’une centaine de chansons,dont des succès immuables qui ont étéinterprétés par l’artiste durant cettesoirée de samedi, tel le tube «Ya ElMenfi» (O exilé), une mélodieémouvante composée durant la guerrede libération nationale. La salle pleine àcraquer a repris en chœur ce crid’indignation poussé par les damnés dela terre pour apprivoiser la prison etdénoncer leurs bourreaux. En entonnant «A yaxxam» (O Maison),l’artiste a suscité, en cette soirée desamedi, une ambiance émouvantecommuniant avec le public. Composéejuste après l’indépendance, cettechanson est un appel pathétique audevoir de mémoire, pour ne pas sombrerdans les méandres de l’ingratitude et del’individualisme minant les piliers de lamaison, et fragilisant ses fondements desolidarité et de cohésion. L'auteur s’insurge, dans cette chanson,contre ceux qui ont brisé le bonheurcollectif, incarné par l’esprit de partage etde solidarité entre les membres d’unemême communauté, en lui substituantune culture outrancière de l’intérêtpersonnel, exposant la maison à la ruineet à l’abandon. Une grande partie des chansonsdéclinées durant cette soirée a étéconsacrée à la femme algérienne et àl’exil (deux thèmes inséparables), pourrendre hommage à sa beauté et à sacapacité de résistance aux aléas de laséparation, contraignant les hommes àaller loin pour gagner leur vie, enconfiant la garde de la famille à lafemme restée au foyer. Lors de cette soirée, qui a duré plus dedeux heures dans une salle archicomble,le public a su admirablementaccompagner l’artiste , en reprenant enchœur les refrains des chansons, sousl’instigation de l’artiste octogénaire, quin’a pas hésité à esquisser, sur scène, desgestes de déhanchement, en signed’invitation des spectateurs à la danse. A la fin du spectacle, beaucoup dejeunes se sont déclarés «épatés par lesecond souffle de Da Akli».

RR.. CC..

KAÂK GLACÉ

IINNGGRRÉÉDDIIEENNTTSSPPoouurr llaa ppââttee ::3 mesures de farine, 1 mesurede beurre fondu, 2 c à soupe desucre glace, une pincée de sel,une c à café de vanille enpoudre, du lait mélangé avec del'eau de fleur d'orangerPPoouurr llaa ffaarrccee :: 2 mesures d'amandes finementmoulues, 1 mesure de sucreglace, 2 c à soupe de beurrefondu, une c à café de vanille,eau de fleur d'orangerPPoouurr llee ggllaaççaaggee ::Vanille, 2 cuillères à soupe d'eaude fleur d'oranger, sucre glaceselon le besoin, un verre d'eau,un verre de sucre cristallisé, unblanc d'oeuf, 2 cuillères à soupede jus de citron.

PPRRÉÉPPAARRAATTIIOONNDans un saladier, mettez le beurrefondu etrajoutez tous les ingrédients

secs, bien sabler entre les mainsjusqu'à ce que la farine absorbe tousle gras, arrosez avec le mélange laitet eau de fleur d'oranger par petitequantité pour ramasser la pâte, faitesdes petites boulettes d'une grosseurd'une noixet réservez. Pour la farce,dans un saladier, mélanger tous lesingrédients secs ensuite mouiller avecl'eau de fleur d'oranger, faire des

boulettes et réservez. Faites un troudans vos boulettes de pâte etmettredans chaque trou une boulette defarce et bien fermer les extrémités,allongez vos boulettes pour obtenirdes boudins, joindre les deux boutsde boudin pour obtenir un cercle,transférer sur une plaque allant aufour et faites cuire au four à 180 degréspendant 20 minutes. Préparer leglaçage, faites cuire le sirop avec lesucre etl'eau jusqu'à épaississement,retirer du feu etlaisser refroidir. Dansun saladier mettre le sirop, ajouter leblanc d'oeuf, le jus de citron, la vanilleet l'eau de fleur d'oranger, ensuiterajouter le sucre glace au fur et àmesure pour obtenir un mélangeépais. Faites glacer vos kaaks etdécorez avec une fleur ou selon votregoût.

vie pratiqueLa NR 4405 — Mardi 14 août 2012

14

Horaires des prières

SANTÉ

Samu :021.67.16.16/67.00.88

CHU Mustapha :

021.23.55.55

CHU Ben Aknoun :

021.91.21.63

CHU Beni Messous :

021.93.11.90

CHU Baïnem :

021.81.61.13

CHU Kouba :

021.58.90.14

Ambulances :

021.60.66.66

Dépannage Gaz :

021.68.44.00

DépannageElectricité :

021.68.55.00

Service des eaux :

021.58.32.32/58.37.37

SÉCURITÉ

Protection civile :

021.61.00.17

Sûreté de wilaya :

021.63.80.62

Gendarmerie :

021.62.11.99/62.12.99

ADRESSES UTILES

Aéroport Houari-Boumediene

021.54.15.15

Air Algérie

(Réservation)021.28.11.12

Air France :

021.73.27.20/73.16.10

ENMTV :

021.42.33.11/12

SNTF :

021.76.83.65/73.83.67

SNTR :

021.54.60.00/54.05.04

Hôtel El-Djazaïr :

021.23.09.33/37

Hôtel El-Aurassi :

021.74.82.52

Hôtel Hilton :

021.21.96.96

Hôtel Sofitel :

021.68.52.10/17

Hôtel Sheraton :

021.37.77.77

Hôtel Mercure :

021.24.59.70/85

n u m é r o su t i l e s

D é l i c e s d u j o u r

MétéoMMaarrddii 1144 aaooûûtt :: 2299°°CC // 3333°°CC

,DDaannss llaa jjoouurrnnééee ::Ensoleillémin 23°C ressentie 24°Cmax 29°C ressentie 31°CVent modéré d'ouest

,DDaannss llaa nnuuiitt ::Ciel clairmin 26°C ressentie 28°Cmax 28°C ressentie 29°CVent faible de sud-est

AAllggeerr :: LLeevveerr dduu ssoolleeiill :: 66::0033CCoouucchheerr dduu ssoolleeiill :: 1199::3399

Santé

,Le stress augmente le risque de crise car-diaque et d'autres problèmes cardiovasculairesen incitant les gens à adopter de mauvaises ha-bitudes, indique une nouvelle recherche britan-nique. L'étude laisse entendre que les partici-pants qui souffraient de stress psychologiquependant l'étude couraient 50 pour cent plus derisques d'être victimes d'une maladie cardiovas-culaire au cours de la période de suivi. Cette aug-mentation du risque s'explique largement par lahausse du taux de tabagisme et la diminution duniveau d'exercice des personnes stressées.Les chercheurs ont recueilli différentes donnéesphysiques, comme de l'information de base surle poids, la taille, l'activité physique, la consom-mation d'alcool et de tabac et les niveaux sanguinsde cholestérol et de protéine C réactive, un mar-queur de l'inflammation artérielle.Pendant la période de suivi de sept ans, l'incidence

d'événements cardiovasculaires a augmenté de50 pour cent chez les personnes affichant unhaut niveau de dépression et d'anxiété, en com-paraison avec celles qui étaient plus heureuses.Le tabagisme et le manque d'activité physique ex-pliquaient environ 63 pour cent de l'augmentation.A lui seul, le tabagisme était responsable de 41pour cent de celle-ci.La consommation d'alcool expliquait moins de 2pour cent de l'augmentation, tandis que 13 pourcent du blâme revenait à l'hypertension arté-rielle.Dans le cadre d'un tel programme, les interven-tions les plus efficaces combineraient l'approchephysiologique avec des changements impor-tants au mode de vie, afin de réduire les facteursde risque modifiables.

SSuuiivvrraa

Le stress augmente le risque de problèmes cardiovasculaires

S A H A R A M D A N K O U M

Mardi 26 ramadhan 1433 :14 août 2012

Dhor .....................12h53Asser .....................16h47Maghreb ................19h43Icha .......................21h44

Mercredi 27 ramadhan 1433 :15 août 2012

Imsak .....................04h20Fedjr ......................04h25

MCHEWEK

IINNGGRRÉÉDDIIEENNTTSS

- 1 mesure de sucre fin- 3 mesures d'amandes mondées séchées et moulues- zeste d'un citron- 3 à 4 œufs- un sachet de sucre vanille- 1 blanc d'œuf- amandes effilées ou concassées pour l'enrobage - des cerises confites ou autre

PPRRÉÉPPAARRAATTIIOONNVerser dans un récipient les amandes moulues, ajouter le

sucre et la vanille et mélanger. Casser les œufs un à un en

mélangeant bien entre chaque ajout il faut obtenir une pâte

ferme (non collante). Former des petites boules de la

grosseur d'une noix, les tremper dans le blanc d'œuf

ensuite les rouler dans les amandes effilées ou concassées,

piquer chaque boule d'un fruit confi, disposer sur une

plaque allant au four recouverte de papier sulfurisé. Cuire

10 à 12 min dans un four moyen 180 C.

BOULES DE NEIGE À LA NOIX DE COCO

IINNGGRRÉÉDDIIEENNTTSS- 1 œuf

- 120 g de sucre

- 80 ml d'huile

- 80 ml de jus d'orange

- 250 g de farine

- 250 g de noix de coco

- un sachet de levure

PPoouurr llaa ddééccoorraattiioonn ::

- environ 50 g de noix de coco râpée

- un verre de jus d'orange

- confiture d'abricot

PPRRÉÉPPAARRAATTIIOONN

A l'aide d'un fouet manuel, mélanger l'œuf avec le sucre,

ajouter l'huile puis les 80 ml de jus d'orange, incorporer la

farine, la levure et la noix de coco, former des boulettes,

puis les placer sur une plaque recouverte de papier de

cuisson, cuire dans un four préchauffé à 180°C pendant 12

minutes environ. A la sortie du four imbiber des boulettes

de jus d'orange avantde les passer dans la confiture etdans

la noix de coco. Mettre les boulettes dans des caissettes et

laisser refroidir.

d é t e n t e

Solutions du numéro 2012

La NR 4405 — Mardi 14 août 2012

15

Page animée par Abderrachid — n° 2013

Mots fléchés 1

I

II

III

IV

V

VI

VII

VIII

IX

X

2 3 4 5 6 7 8 9 10

HORIZONTALEMENT

I. Parc connu. II. Plante aquatique - Dépôt de fond. III. Réfé-rence - Ville de Belgique. IV. Vin italien - Points sur les i (ded. à g.). V. Eclose - Difficile à avaler. VI. Préfixe - Avance - Entout. VII. Sorties - Ego. VIII. Gaines - Mal d’enfant. IX. Brames- Pièce d’accueil. X. Vitaux.

VERTICALEMENT

1. Travaille le cuivre. 2. Lignes de séisme. 3. Aille dehors -Transpires. 4. Anémie sans début ni fin - Tire. 5. Forme d’être- Lopins. 6. En foyer - Habitants - En site. 7. Oublie - Couleurde robe. 8. Partir - Partie de port. 9. Réfuter - En tombola. 10. Canines, molaires et incisives.

Mots croisés muets

Mots croisés

1

I

II

III

IV

V

VI

VII

VIII

IX

X

2 3 4 5 6 7 8 9 10

HORIZONTALEMENT

I. Stupéfier. II. Nymphe des montagnes - Habitant. III. Envie (de d. à g.) - Fin de parties. IV. Eclate - Crocs.V. Page de journal - Régit. VI. En lot - Au lit - Avant midi.VII. Roi de Cilitie - Petite société. VIII. Des tas - Compul-ser (de d. à g.). IX. Superlatif - Invitée. X. Vitaux.

VERTICALEMENT

1. De forte taille. 2. Dirigeants 3. Rivière de France - Chevillesde golf. 4. En salière - Hausse la note. 5. Pollueur de cultures(de b. en h.) - Obèse. 6. Fin de soiré - James - Parti de Hanoune.7. Avance (de b. en h.) - Vieille colère (de b. en h.). 8. Nabote -Invité. 9. Diffuse - Philosophe suisse. 10. Refais les chaussures.

A partir de la première lettre, descendez l’escalier enajoutant à chaque fois une lettre pour trouver le motcorrespondant à la définition donnée horizontale-ment.N. B. : D’un mot à l’autre, l’ordre des lettres peut êtredifférent.

L’escamot Le premier mot

En partant de la lettredonnée, complétez lagrille avec les lettres

remises en ordre pourobtenir quatre (4) mots

pouvant se lirehorizontalement et

verticalement

Mots en carré

Petit cours d’eau

Vieux bison

Certaine

Frangine

Malentendante

Tramées

I

II

III

IV

V

VI

VII

VIII

U

E T O U R D I S

C N A R �

M E R A

R E M A

F E R N

Complétez la grille en répondant aux définitions horizontales.Les initiales lues verticalement donnent «LE PREMIER MOT»correspondant à la définition.

Dans la citation suivante, un mot a été supprimé :«On voit qu’un.....................................est sûr

lorsque notre situation ne l’est pas.»

Est-ce le mot : A : Endroit ? B : Docteur ? Ami ?

Le mot manquant

Dansla gêneDe façon parfaite

EvénementsNiveaux

CoupantInventés

SidéréLopin

Les miensMesure chinoise

ObstrueraisPots

de sel

Crétinerie Terres sur mer

GlisséeLisières

Ceinturedu Japon

Note

Combat à deux

Grand père

7e aucinéma

Bien installée

SeuilEn somme

PrononcesArticle

Lombrics Combles

Fin de soirée Obtenu

Mots croisés muetsHorizontalement : PASSETEMPS - AREOLE - OLE -TONNA - TFIR - IMAO - SALEV -EAU - OUIE - I - NT - EPEE - RT - TIN-TER - EUE - ASEAN - OSSU - NEON- OBIER - TENTATIVES.

Verticalement : PATIENTANT - AROMATISEE -SENAU - NEON - SONO - ETANT -ELA - OPEN - A - TE - SUER - OT - E- TAIE - OBI - MOFLE - ESIV - PLIE -RUSEE - SERVITEURS.

Mots fléchésHorizontalement : I - D - A - E - T - INVESTISSE -CAFARDS - T - PORE - E - ORE -RIRA - ARES - GRELINS - E - ERE- ISOLE - ECARTEES - S - TIARES- SS - MESSES - RUE.

Verticalement : I - P - G - E - M - INCORRECTE -VARIERAIS - DEFERLERAS - SA -AI - TRE - ATRE - NIEES - ID -ASSES - ESSOR - OS - R - S -REEL - SU - TETES - ESSE.

Mots croisésHorizontalement : INSTANTANE - NEURAL - LUN -SUBER - NIET - TRIS - POSER -ROT - REVE - E - UT - RATE - EL -MONOME - OTA - EMISE - EMAC- NIEE - ECALE - TESSITURES.

Verticalement : INSTRUMENT - NEUROTOMIE -SUBIT - NIES - TRES - ROSES -AAR - RAME - I - NL - PETE - ET -T - NOVE - ECU - ALISE - OMAR -NUEE - ETALE - ENTRELACES.

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L’escamot Le premier mot Mots en carré

Le mot manquant

«On n’est heureux que dans laproportion de ce que l’on donne.»

(Louis Bromfield)

Ornée

Offense, insulte

Alésage

Voyage organisé

Débarrassée de son eau

Derniers

Songeuse

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R

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Définition : Gentillesse, tendresse

B L E S S E R

A C T U E L S

N O I R A U D

D E N T I E R

A S S A I N I

G O U R D I N

E S S A Y E R

Les délégations ont quitté Londres. Ellessont rentrées dans leurs pays respectifsavec un goût d'inachevée pour certainesnotamment, les Africains. Le résultat auraitpu être meilleur : trente-quatre médailles,dont onze en or pour ce continent. Mais ilreste légèrement élevé par rapport à celuide 2000 à Sydney et à celui d’Athènes en2004. La note est mauvaise pour les JO-2008de Pékin. Cependant les pays d’Afrique del’Ouest décollent de Londres avec zéromédaille ou presque. Trois pays n’ont pasdéçu : l’Afrique du Sud, l’Ethiopie et leKenya. Et l’Algérien Taoufik Makhloufi quiéclaire le pays avec la seule médaille d’orarrachée avec une extraordinaire démons-tration d’intelligence et de force. Dans cettecourse planétaire, on retiendra quel’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centralen’ont pas aussi brillé. Deux médailles ga-gnées : l’argent pour le Gabonais AnthonyObame en taekwondo (une première pourle Gabon) et l’or pour l’Ougandais StephenKiprotich en marathon. «C’est le pire bilandes deux sous-régions depuis vingt ansmême s’il s’agit d’une tendance lourde.Depuis 1992, l’Afrique de l’Est (1) a gagné44% des médailles africaines, l’Afrique duNord (2) 21% et l’Afrique australe (3) 20%»,réagit un journaliste africain. Le Nigeria n’a pas fait mieux que lors desjeux de Barcelone et de Pékin où il avait dé-croché 9 médailles. Le Cameroun, quant àlui, rentre une fois de plus sans sa mé-

daille d’or et ce depuis les années 2000(football masculin), 2004 et 2008 (Fran-çoise Mbango en triple saut). Le Sénégal etla Côte d’Ivoire pouvaient également croireen la deuxième médaille de leur histoire.Mais les footballeurs sénégalais, éliminésen quarts de finale par le Mexique, et lasprinteuse ivoirienne Murielle Ahouré surles (100 et 200 mètres).

Les regretsMurielle Ahouré s’est faite éliminée. Elle quireprésentait un réel espoir pour son payset le continent tout comme la GabonaiseRuddy Zang-Milama sur 100 m, la Botswa-naise Amantle Montsho, championne dumonde du 400 m mais 4e de la finale et laNigériane multi-talents, Blessing Okagbare.La Zimbabwéenne, la nageuse Kirsty Co-ventry rentre aussi à la maison sans lamoindre médaille contrairement aux Jeux

de Pékin et d’Athènes où elle avait offertquatre médailles à son pays. Mais atten-tion, ce n’est pas le sombre tableau pourl’Afrique. Il y a eu des résultats qui remon-tent le moral. L’exemple nous vient deChad le Clos, ce sud-africain de 20 ans quifreine Michal Phelps, le meilleur nageurde tous les temps et ce, lors de la finale du200 m papillon et s’est même adjugé l’ar-gent sur 100 m papillon. Il n’est pas le seulpuisque le Gabonais de 23 ans, AnthonyObame inconnu du grand public, arracheà la grande surprise, la toute première bre-loque de l’histoire pour son pays : l’argenten taekwondo et rate de peu l’or. D’autresrévélations sont à signaler notamment latoute première médaille africaine en es-crime, décrochée par l’Egyptien AlaaeldinAbouelkassem en fleuret, et le beau par-cours des handballeurs tunisiens, élimi-nés de justesse par la Croatie en quarts de

finale. En natation sur les 1500 m OussamaMellouli, le Tunisien, médaillé d’or en 2008quitte Londres non seulement avec dubronze mais s’est imposé sur le 10 km de-venant ainsi pour son pays et le Maghreble premier nageur champion olympiqueen bassin et en eau libre. Vient ensuite leKenya David Rudisha sur 800 m en athlé-tisme qui en finale, améliore son propre re-cord du monde.Enfin, l’Afrique du Sud qui remonte au clas-sement de la nation africaine reste la mieuxclassée pour la première fois depuis At-lanta 1996. Avec six médailles dont trois enor elle termine à la 24e place. Ce qui mérited’être mis en exergue, c’est surtout cettebelle image marquée par l’athlète Caster Se-menya porte-drapeau et en emmenant lesprinteur Oscar Pistorius, amputé des deuxjambes, à Londres.

HH.. HHiicchheemm

JO-2012

s p o r tLa NR 4405 – Mardi 14 août 2012

22

� L’Algérien Taoufik Makhloufi. (Photo > D. R )

, La flamme olympique s’estéteinte à minuit, heurealgérienne, au terme de lacérémonie de clôturetransformée en immenseconcert hommage à la popbritannique. Le maire deLondres a transmis le drapeauà son homologue de Rio. LeBrésil a pu inviter le mondeavec une séquence de sambaet la présence de Pelé.Auparavant, les Jeuxparalympiques se déroulerontà partir du 29 août.

Participation africaine : des résultatsà méditer

TT UU RR FF Hippodrome de TiaretPrix «Kartoufa» Dotation : 350 000 DA - 15h30 - 1 300 m Pronostic : 12.8.9.10.2.3.7

Quinté

11 -- QQuuoottbbee :: IIll aa ttrrèèss mmaauuvvaaiiss ccaarraaccttèèrree22 -- QQuuaassssaattiinnaa :: CCeettttee ffiillllee ddee HHoouullmm eett ddee FFaayyrroouuzz aa ddeess qquuaa--lliittééss cceerrttaaiinneess33 -- AAmmiirr EEll KKhheeiill :: IIll eesstt bbiieenn mmoonnttéé.. IIll nnee sseerraa ppaass rriiddiiccuullee44 -- LLeezzoouumm :: IIll eesstt mmééccoonnnnaaiissssaabbllee

55 -- FFooddhhiill :: IIll nn’’aa rriieenn àà vvooiirr

66 -- MMaarrssaa EEll KKeebbiirr :: EEllllee nn’’aa rriieenn àà vvooiirr

77 -- RRooyyaaaa :: SSoonn ppooiiddss eesstt bboonn.. CC’’eesstt uunnee ssuurrpprriissee ppoossssiibbllee

88 -- QQuussssaayy :: CC’’eesstt uunn ccoouupp ssûûrr ppllaaccéé

99 -- QQuuaattrraatt NNaaddaa :: MMééffiiaannccee !! EEllllee eesstt bbiieenn mmoonnttééee

1100 -- QQuueevvaacc :: CC’’eesstt uunn ppoouullaaiinn ddee qquuaalliittéé

1111 -- QQuuaannttaarraa :: LLaa ddiissttaannccee eesstt ttrroopp lloonngguuee,, ppoouurr sseess aappttiittuuddeess

1122 -- QQuuoottbbiiaa :: CC’’eesstt llaa ffaavvoorriittee ppoouurr llaa vviiccttooiirree

1133 -- BBeenntt eell AAnnddaalloouuss :: CC’’eesstt uunnee ppoouulliicchhee ddee qquuaalliittéé mmoo--

ddeerrnnee..

PPRROOPPRRIIEETTAAIIRREE

HH.. BBoouummeeddiieennee

NN.. MMeettiiddjjii

FFeegghhoouullii

AAssllii

NN.. MMeettiiddjjii

BBoouugguueettaayyaa

BBoouubbeekkeeuurr

TTiiaarreett

BBeennaacceeuurr

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HH.. FFeegghhoouullii

CCHHEEVVAAUUXX

11 -- QQuuoottbbee ((00))

22 -- QQuuaassssaattiinnaa

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77 -- RRooyyaaaa

88 -- QQuussssaayy

99 -- QQuuaattrraatt NNaaddaa

1100-- QQuueevvaacc

1111 -- QQuuaannttaarraa ((00))

1122 -- QQuuoottbbiiaa

1133 -- BBeenntt eell AAnnddaalloouuss

JJOOCCKKEEYYSS

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JJJJ AAZZ AAtthhmmaanniiaa

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EENNTTRRAAIINNEEUURR

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KK.. FFeegghhoouullii

KK.. AAssllii

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KK.. AAssllii

KK.. AAssllii

AAEEKK BBoouubbeekkeeuurr

AAEEKK BBoouubbeekkeeuurr

KK.. AAssllii

KK.. FFeegghhoouullii

La direction a réalisé un recru-tement de qualité qui nous serabénéfique en vue de la saisonprochaine. Seulement, nous de-vons rester réalistes et gérernotre parcours intelligemment»,a indiqué à l’APS le jeune défen-seur des Rouge et Noir, qui vientd’être convoqué par le sélec-tionneur national, Vahid Halil-hodzic, pour le stage des joueurslocaux prévu à partir du 22 août.Après avoir nourri des espoirs lasaison dernière, l’USMA tenteraencore une fois de renouer avecle titre de champion qui fuit sonpalmarès depuis 2005. «Nouspouvons nous considérercomme l’une des équipes favo-rites pour le sacre final, mais ily a d’autres formations qui ontles mêmes objectifs que nous»,a-t-il ajouté, précisant quel’USMA, cuvée 2012-2013, «a desatouts à faire valoir». Appelé à seprononcer sur les relations desjoueurs avec le nouvel entraî-

neur, l’Argentin Angel Miguel Ga-mondi, Chafai parle de «bonsrapports». «Le travail avec lui sefait dans les meilleures condi-tions. En tant que joueurs pro-fessionnels, nous devons nous

adapter à la méthode de n’im-porte quel entraîneur». Concer-nant le volet préparation, l’an-cien joueur du MC Alger, estimeque la première étape qui s’estdéroulée en Turquie, «était unetotale réussite». «Là-bas, nousavons bien travaillé, notammentsur le plan physique. Ici à Alger,nous jouons chaque deux joursdes matchs amicaux, histoire derégler les automatismes, jepense que nous sommes en trainde bien nous préparer pour lasaison prochaine». L’USM Alger devra s’envolerpour le Maroc pour un stage pré-compétitif prévu du 24 août au

2 septembre à Casablanca, aucours duquel des matchs ami-caux face à des clubs locauxsont au programme. Enfin, etconcernant sa récente convo-cation chez les Verts, Chafais’est dit honoré par la confianceplacée en lui par le coach natio-nal. «C’est un honneur pour moid’être appelé pour ce stage eten même temps une pressionsupplémentaire sur mes épaules.C’est un encouragement pourmoi, et je ferai tout pour quemon aventure avec les Verts nes’arrête pas là», a-t-il conclu.

AAggeennccee

Farouk Chafai (USM Alger)

s p o r tLa NR 4405 – Mardi 14 août 2012

23

Ligue 1 : Carl Medjanidans l’équipe-type dela 1re journée Le défenseur internationalalgérien de l’AC Ajaccio, CarlMedjani, figure dansl’équipe type de la 1re

journée du championnat deFrance de football de Ligue 1,établie par le quotidiensportif l’Equipe. Auteurd’une remarquableprestation au Stade du Raycontre l’OGC Nice avec sonclub de l’AC Ajaccio (0-1), ledéfenseur algérien a reçu lanote de 7 sur 10 par lequotidien l’Equipe. En plus des balles récupéréesou interceptées en nombredurant les 90 minutes,Medjani s’était aussi faitremarquer à la 76e minutelorsque, sur un corner, ilreprend de la tête un ballonqui passe juste à côté desfilets de Joris Delle, legardien niçois. L’autreinternational algériend’Ajaccio, Mehdi Mostefa, aété expulsé lors de cetterencontre.

L’équipe-type de la 1re journée : GGaarrddiieenn ddee bbuutt :: Penneteau(Valenciennes) DDééffeennsseeuurrss :: Réveillére(Lyon), Medjani (Ajaccio),Chedjou (Lille), Haidara(Nancy) MMiilliieeuuxx :: Obbadi (Troyes), B.Cheyrou (Marseille), Palmieri(Bastia), Obraniak (Bordeaux) AAttttaaqquuaannttss :: Ibrahimovic(Paris SG), Aliadière (Lorient).

AAggeennccee

Quotidien national d’information.Edité par la Sarl SEDICOM aucapital social de 100 000 DA.Rédaction - Direction -Administration : Maison de laPresse. 1, rue Bachir Attar, Place du 1er-Mai - Alger.Tél. : 021 67.10.44/67.10.46 Fax : 021 67.10.75.Compte bancaire : CPA 103 40008971.1 . 114, rue Hassiba-BenBouali, agence Les Halles.Membres fondateurs :Gérant, directeur de la publication:AAbbddeellwwaahhaabb DDjjaakkoouunnee.Editorialiste : NNoouurreeddddiinneeBBeennffeerrhhaatt. Secrétaire général derédaction : MMeehheennnnaaHHaammaaddoouucchhee. Directeur techniqueet de la coordination : SSaammiirr SSaabbeekk.Directeur commercial : OOuuaahhiiddKKoouubbaa. Composition PPAAOO LLaaNNoouuvveellllee RRééppuubblliiqquuee ImpressionAlger : SSIIMMPPRRAALL.Oran : SSIIOO. Constantine : SSIIEE.Diffusion centre : SSEEDDIICCOOMM.Ouest : SSPPDDOO. Est : EEll KKhhaabbaarr. Sud :TTrraagg ddiiffffuussiioonn Publicité : LaNouvelle République, Maison dela Presse. Tél. : 021 67.10.72. Fax : 02167.10.75. E-mail :[email protected]/E-mail pub :[email protected] - ANEPSpa : 1, avenue Pasteur, Alger. Tél. :021 73.76.78 - 021 73.71.28. Fax : 02173.95.59 - 021 73.99.19.Conception : SSttuuddiioo BBaayyllaauuccqq,Paris, France. Tél. : +331 44.90.80.40Les manuscrits, photographies outout autre document adressés à larédaction ne peuvent faire l’objetd’une quelconque réclamation.

EE NNDD EE UU XX MM OO TT SS

, L’USM Alger, 3e auclassement du dernierexercice, aspire à réaliserune meilleure saison «au vudu recrutement réalisé parla direction», a affirmé hierson défenseur FaroukChafai. «Je pense que noussommes plus armés que lasaison dernière.»

Hassi Messaoud

Réception prochaine de lapelouse du stade communal , La pelouse synthétique dustade communal de Hassi Mes-saoud (wilaya d’Ouargla) va êtreréceptionnée dans les «tout pro-chains jours», a-t-on appris hierauprès des services de la com-mune. L’opération de pose d’unepelouse artificielle de cinquièmegénération dans ce stade com-munal, situé dans la zone indus-trielle en allant vers la zone diteBir Messaoud, a été achevée,pour un montant de 3 millions deDA, a indiqué le coordinateur duservice technique, NouredineChaher. Ce dernier a égalementsouligné que cette opération depose de gazon synthétique s’ins-crit dans le cadre d’un grand pro-jet de réfection de ce stade com-munal auquel une enveloppe

financière de 145 millions de DAa été réservée. Outre la pose dela nouvelle pelouse, le projetcomportera la réalisation d’unepiste d’athlétisme et de gradins,a ajouté le même responsable enprécisant que les travaux vontdébuter après le mois de Ramad-han. Le stade communal de HassiMessaoud était dans un état dedélabrement avancé, ne permet-tant pas aux équipes locales defootball de s’y entraîner et d’yorganiser des rencontres de foot-ball, a-t-il relevé. Le même responsable a fait état,par ailleurs, du lancement pro-chain des travaux de réalisationd’une piscine semi-olympique àHassi Messaoud.

MCA

Kaci Saïd quitte le stafftechnique

� Les Usmistes veulent un titre cette saison. (Photo > LA NR )

«Nous sommes mieux armés cette saison»

, L’entraîneur-adjoint du MCAlger, Kamel Kaci Saïd, a quit-té la barre technique du clubpensionnaire de la Ligue«une» algérienne de footballà moins d’un mois du coupd’envoi du championnat, a-t-on appris, hier, auprès d’unesource responsable au seinde la direction du Mouloudia.Kaci Saïd n’a d’ailleurs paspris part à la séance d’entraî-nement de dimanche soir,préférant jeter l’éponge enraison de ses «rapports ten-dus» avec l’entraîneur enchef, le Français Patrick Lei-wing, apprend-on de mêmesource. L’ancien attaquantinternational avait rejoint le«Doyen», où il avait fait par lepassé un passage d’une sai-son en tant que joueur, audébut de juillet dernier. Ilavait dirigé la première semai-ne du stage de son équipe enPologne, avant l’arrivée deLeiwing. La direction du MCA envisagede faire appel à un autre tech-nicien pour assister sonentraîneur en chef dans sa

mission, avant le départ del’équipe pour la Tunisie oùelle effectuera un deuxièmestage d’intersaison à Ham-mam Bourguiba, à partir du25 août en cours. Les proté-gés de Leiwing en découdrontlundi soir en match amicalavec le WA Rouiba (Div. ama-teur) sur le terrain de ce der-nier. Il s’agit du deuxième testdes coéquipiers du capitaineRéda Babouche depuis leurretour de leur regroupementde Pologne, après avoir rem-porté le premier sur le terraindu Paradou AC (Div. ama-

LLaa NNoouuvveellllee RRééppuubblliiqquuee :: pprrééssii--ddeenntt,, lleess ddééllééggaattiioonnss rreennttrreenntt oouussoonntt ddééjjàà rreennttrrééeess àà llaa mmaaiissoonnaapprrèèss uunnee ppaarrttiicciippaattiioonn aauuxx JJOO--22001122 ddee LLoonnddrreess ooùù nnoouuss vveennoonnssddee rrééccoolltteerr llee ffrruuiitt dduu ggrraannddddééssoorrddrree…… UUnnee sseeuullee eett hhoonnoo--rraabbllee mmééddaaiillllee qquuii ssaauuvvee ll’’iimmaaggeeddee ll’’AAllggéérriiee.. CCoommmmeenntt ppeeuutt--oonneexxpplliiqquueerr cceettttee ccaattaassttrroopphhee ??

RRaacchhiidd HHaanniiffii :: Les résultats obte-nus par notre délégation sportivese résument à une médaille d’orpour l’athlète Toufik Makhloufi, la-quelle a permis au drapeau algé-rien et à l’hymne national d’êtrehonorés lors de cet événementsportif planétaire. Après la joie etl’émotion suscitées par cettegrande victoire de l’athlétisme al-gérien, la raison doit cependantnous faire prendre conscience d’unéchec relatif pour un certainnombre de disciplines sportives,dont on attendait de meilleuresperformances, compte tenu desprédispositions de leurs athlètesrespectifs et des traditions de pres-tations honorables au niveau in-ternational. Ce semi échec vient confirmer lesrésultats acquis aux Jeux africainsde Maputo et Jeux arabes de Doha,témoignant d’une santé plutôt fra-gile de notre sport, et de la néces-sité urgente de revoir notre poli-tique de sport, en impliquanttoutes les compétences du sec-teur, sans exclusive aucune.

Les JO ont certainementmarqué les esprits des boxeursqui avaient piaffé d’impatiencepour réussir à Londres, ce qu’ilsont raté ailleurs. Tout commeles judokas, le nageur ou encoreles escrimeurs dont on avaitlimité le nombre. Les jeuneshaltérophiles qui ont été choisisavaient affûté leurs armes pour«remorquer» une médaille cequi n’a pas été le cas. Ces Jeuxse seraient perçus par lesjoueuses, comme une belleopportunité pour le volley-ballqui fait du surplace depuis deslustres. Les résultats,permettez-moi d’y revenir ontété tout simplementl’humiliation par excellence. Vosimpressions ?

Sur les disciplines citées, un cer-tain nombre d’entre elles n’ont pasbeaucoup d’expérience au niveauinternational, à l’image de l’équipede volley-ball, laquelle s’est com-portée de façon très honorable,malgré les défaites face à deséquipes plus expérimentées. La dé-ception vient plus des disciplinessur lesquelles reposaient de grandsespoirs de médailles. Il appartientaux responsables concernés d’enanalyser les raisons, afin d’envisa-ger les mesures correctives néces-saires.

Président, vous parlez d’uncomportement honorable maisles scores ne l’ont pas été. Vousétiez sur place et vous avezsuivi toutes les rencontres.Notre équipe de volley n’a pasréussi une seule fois à mettredans des situations difficilesleurs adversaires, les scoresréalisés exprimaient, selon desprofessionnels rencontrés, letrès bas niveau de nosreprésentantes… Ne serait-il pasles conséquences d’unemauvaise sélection ?

Pour ce qui est précisément del’équipe féminine de volley-ball, jene partage pas l’avis sur l’apprécia-tion des résultats. J’ai assisté àl’ensemble des rencontres et j’airemarqué une équipe combative,qui a sérieusement mis en diffi-culté l’équipe d’Angleterre à la-quelle elle a pu arracher 2 sets,pour céder le dernier, visiblementpour des raisons de différence auplan de la condition physique. Ilne faut pas oublier également queplusieurs joueuses titulaires n’ontpas été du voyage, ce qui peut ex-pliquer en partie, le manque d’ex-périence de cette équipe. Je pensequ’en lui accordant plus d’atten-tion, cette équipe peut progresser.Pour ce qui est des autres disci-plines engagées, il y a visiblementune grande différence de niveau, cequi ne permet pas d’espérer des ré-sultats performants, mais vu lesconditions de qualification de plusen plus difficiles, la participationaux JO pour certains sports est enelle même une relative bonne per-formance.

En somme, les professionnels

ont vu juste puisque commevous le dites si bien «plusieursjoueuses titulaires n’ont pas étédu voyage» ceci explique cela.Dites-nous, s’il vous plaît quel aété la réaction du COA face àcette série de défaite auprèsdes fédérations ? Pourtant audépart d’Alger, chaquediscipline avait une place dansces cabas pour une médaille pasforcement en «or» mais... le piredans certain cas, il n’y avait paseu de résistance sur le terrain dela part de nos athlètes à l’imagedu volleyeur éliminé comme unélève du primaire. Ce ne sontpas les moyens qui leurmanquent pour réussir mais unequestion revient dans toutes lesdiscussions, étaient-elles prêteset avaient-elles, selon vous, leniveau pour affronter leursadversaires ?

Le COA avait pour mission de pré-parer la logistique de la participa-tion algérienne aux JO de Londres.Les félicitations formulées par leComité d’organisation britannique(LOCOG) au Comité olympique al-gérien, pour la qualité des rela-

tions et l’efficacité du travail ac-compli par l’équipe en charge sousla direction du chef de mission (Az-zoug), et l’absence de problèmesmajeurs relatifs au séjour de la dé-légation, montrent bien que le COAa accompli sa mission avec sérieuxet professionnalisme malgré toutesles tentatives de déstabilisationdont il a été l’objet à quelques se-maines de l’événement. Pour cequi est du domaine technique, jerappelle que c’est de la responsa-bilité des fédérations concernées,sous le contrôle d’une commissionde suivi de la préparation placéesous la présidence du directeurgénéral des sports du MJS.

Enfin, on aurait aimé saluerl’excellent niveau des scoresréalisés à défaut de médailles.Ceux qui avaient pris part à cesjeux (athlètes), se sont bienengagés à être les dignesreprésentants d’un sport qui agrand besoin de rappeler le bonvieux temps fait de joliesmédailles et quelquesappréciables exploits. Et ce quidevrait donner plus deconsistance à cet optimisme,c’est bien l’entente entre lesdifférentes institutionssportives… Que faudrait-ilconclure ?La médaille d’or remportée avecbrio par Toufik Makhloufi, doitnous faire prendre conscience del’obligation de respecter ce seuilminimum pour les prochains Jeuxolympiques de RIO 2016. Leséchecs rencontrés dans les disci-plines habituellement perfor-mantes, doivent inciter les respon-sables du secteur, à tous les ni-veaux, à faire une évaluationobjective et prendre les mesuresnécessaires pour permettre à cesdisciplines de mieux honorer lescouleurs nationales aux prochaineséditions. La mobilisation de toutesles compétences est plus que né-cessaire, toutes les institutionssportives nationales doivent unirleurs efforts pour mettre nos ath-lètes dans les meilleures condi-tions de préparation possibles. Laparticipation à un événement spor-tif de haut niveau demande plusde sérieux, plus de rigueur et plusde complémentarité dans les ac-tions à mener. Il ne devrait plus yavoir de place aux divergences fu-tiles et aux intérêts personnels.

PPrrooppooss rreeccuueeiilllliiss ppaarr HH.. HHiicchheemm

A voir� Eurosport : Allemagne –Argentine à 20h� Al Jazeera sport +3 : Swindon Town– Brighton & Hove Albionà 20h

,Après la clôture des 30es

Jeux olympiques qui sesont tenus à Londres, leprésident du Comitéolympique algérien,Rachid Hanifi, s’exprime enexclusivité à La NouvelleRépublique. Il fait le toursans aucune retenue…

� Rachid Hanifi, le président du Comité olympique algérien (Photo > La NR)

Rachid Hanifi (président du COA)

«La participation à un événement sportif de haut niveau demande plus de sérieux»

MCAKaci Saïd quitte le stafftechnique

Farouk Chafai (USM Alger)«Nous sommes mieuxarmés cette saison»

en direct le match à suivre

s p o r tLa NR 4405 – Mardi 14 août 2012

Ligue 1 Carl Medjani dansl’équipe-type de la1re journée

football

LA

LLAA NNOOUUVVEELLLLEE RRÉÉPPUUBBLLIIQQUUEENR