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Notes du mont Royal Cette œuvre est hébergée sur « No- tes du mont Royal » dans le cadre d’un exposé gratuit sur la littérature. SOURCE DES IMAGES Bibliothèque nationale de France www.notesdumontroyal.com

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Notes du mont Royal

Cette œuvre est hébergée sur « No­tes du mont Royal » dans le cadre d’un

exposé gratuit sur la littérature.SOURCE DES IMAGES

Bibliothèque nationale de France

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gr; h Spaçlfl Enduit sa figidas [initialisât ; ’sur filomnie de qui. ami: qsmxerflm ”’Daùpùi 44m des 611633 égornelles.pçiqâiçla vie Grison propre magma, ,, ï l

gamma si; réeDàmânl qui limés ignames.

floâçeèùidliâé; loin dab vivamççzfççp mons; ..

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l * r 0*» Mâle m’intèèmse. ne, je me réifias seul

l I

r ’ amenuisas même:î o Loin des globes flouait dans l’Ëlourlue imam i - V ë

. A ou le torrent nous fin des soleils furieux V ” ’ ..Roule ses tourbillons de flamme ordo démence. . i .- Â "

L. liminal emporlœmoi jusqu’au Chumior écumeux, ’

0h! Loin. loin de la Vie aveugle ou l’esprit sombra-Ë

Avec Pumas des jours smilles e: des nuits. n ’Ouvronmoi la Cité du silence et de l’ombro. n ÎLe sépulcre muet des Dieux évanouie. v ’ » l ;

Dormant-ils à jamais. ces Moines de la Terre, V . *’ iV Qui parloient dans la foudre au monde épouvauté ’ fi;

Et siégeaient pleins d’oignon. de gloire al de myome?Se sont-ile engloutis dans leurôlernité?” ’ a g

. 1K)

Où sont humainement, Princes de lilial-mofle,Chat-e à la sainte Halles. toujours riants et bagou; "l

-- Dont les yeurnoue venaient la lumière bénie , r ’

; Qui semble encor sur leur: sacrée tombeaux;

0 Demoul Mène-i’mifl’abimea croulâmesa ’

Vers ces Proscrits en proie en: siècle; oublieux y ’ Qui se saunas.» scellant sur leurs lèvres* Le Mot m jaillir rumen dans lee quai; e

VoisçdlàMVonÂâme estieliilnlâbleïà guignée-nie

» i Emn’mu’de’suâs cause bien: ferme ou je fil;

"ïiï’îü’WiâmPéumej. camé. A ’ « &an Aij

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551:9: à. ’ (Î 7- ” - menu: annulent. ’ » « 874 a

i5 Alain-le Compagnon vigilant de ses rêves!Ï ,I 5. gâtai dit : -- Reste. insensé! Tu plongerais en vain V

g Aucèleete océan qui nia ni fond ni grèves; à V .4 ri il ’G’eeâ dans ton propre cœur qu’est le Chardon divin.

off, lignifient tous les Dieux morts. anciens songes de 1’110me e

v Qu’il a «nous, orées. adorée et maudits. k AE1; »;77r,;k;Éivegnés tonton leur pontevoix qui les nomme, V

ï’ngjèévecolenre vieux enfers et leurs vieux grenadin.

1’ u. "o ’ ’ , i [Î.,- Ôongempleles au fond de ce cœnrgni s’ignore."V’Gheud "de mille dénies, glané par mille hivers.

nous l’ombre éternelle et l’ëlernelle «mon n

.ermenle. éclate et meurt l’illueoimuuivers.

i "Regarde-les pauliennes spectràlea Images)V lçÏ’eepoig, de haine et, mystique amour, V ’

m3.«n’imPorlent plus foi nil les hommages; *

morgue hanteront ou dernier joue. -- .

[fadée intérieur qui parlait de li , Louvert de l’âme ne des gouape révolue.

mêlenternent. leur majesté Inoçleg f1, Vminâmes Dieuxeüleèeompluée ï

[finie ’eonvinÇ-des joui-sicle sa: mange, .7en entes de’eejoieetïdeætoui’nients’mïeflsk T I

”Vç)kîflforrenr,*treniblent que le

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: Br ’ 1 f D838!!!" nonnesGomme un blême cortège. à novera le mais nain». ’ ’ l I A?

Les Spectres immortels. en un déroulement ’ ’’ Multiplie, du fond de sa vieille’niémoire.

Passeront devant loi silencieusement;

0:. n vit mon. ceint des funèbres Item ” g: ,- ,

V V . Amie ses longs yeuxelos de l’éternel Sommeil." 1; ’* t f;

g l’or le souille site! et le vertu du l’en. V »

lieds lainerdelaitjsillîrlehogisblen; g

. Î mamelonnions fraisdfl’enmmùwâ’ s n r- : malsain ou: et pesse» et le 86W" du "mm!

eEtVSDïleFiiKheronhimlêsinistre lainé: i

Telles gite si: Pm’mleà (iniques; d

«Les reins roides, assis annales quatre singes.’ . .-.- n - -A Traîne page; ahanois sur le neflln Soleil: - ’l’ ’ .

Puis tous ces: qu’engendre repais limon du :1.Thoth le Lunaire. filions. Anubis l’Ahoyeni’" , jQui pourchassoit hannetonna: hontes de l’Épienïe.- , ,. s

Isisgilethor. Apis; et me le Nain dans: ’ a u . i , 1° si

V Puis Ceux qui. fécondent Ëuniversells " . Î

Firent pleuvoir du Ciel les eaux saintes du a r;

a n Èt tous les;Beelim des intensifia

p. stipes ensachois. les bélierssnhellicines;

* i me mangue nasse mirois «ses. z:

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e fusion: une ennui. l V 7»Ï khis Moineâ-Mondn. le Lumière vivante. A

Ü f D’où les lzedsjoyeuu sortaient par milliean.. L - ’ Et lemmbre Alirimân. le Roi do’l’ôpouvente.

. . "Couronné de l’orgueil «le-ses, rébellionsz’ .

f: ’ i Puis Asselioue et Nergel. Borderie en lourde briques:Et son): des monts. lies bois chenues et de le mer à ,r "Ruses-Bron et; Gwidlloûn et les Esprits mimiques:

Elles Dieux que l’Astèkeengreieseit de en choie:

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fi r," 5E! les floes. couchée sur les neiges sans bornes :Ï Î. ont; Tino: et Fraye. une: le Dense 2 r11è h; "Quidevaic s’éveille: aux hurlements des Normes

Ï; Quand la fille jalouse. linier. aussi: pleure;

r me les divins Amis de la Race choisieg’

Ï liges immortels subtils en qui couloit liIlkhôr. 1 vÂ; flemme, Beauté. Sagesse et Poésie. m Nq: limiteur du grand Kmnide assises Pavëd’or; o "

n deus lebrouilfllsrd qui monte oille aubinassePâle. iriens. roidi. du crâne ses: pieds fraies,

Le mafia: mammalien. le tressa. le Vierge. -pendait. tout sanglent. cloué un sur croix.

gi-IV-g’làieuxïdéchus dans . "Q Spectres; 6 Sfilengemréteiulaslfb Bourreau: I VBelledèmpteu’rs, wons-tous. lesemeillenirs et les pires,

nnfioe in! Pmnm’dessièclœngküsesexa

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V Ï ,. Et tout. disparaîtra, Îe monde otte pensée,

’ - I unilingue nonnes"à? w" «A. W. a «Lège

A Vers qui s’exhaleront les useuse: les cantiques; È, - ïDons les temples: déserts ou sur l’aile (les ventail? en 1

A qui demander compte. ô Rois (les jours antiques, il if?De l’angoisse infligée aux morts comme (illuviums ’

Yonne]: qui j’avais mis l’espérance féconde, V

Contre je luttois, fier’de me liberw; Il .7A k Silvous êtœvtqvgflnorts, qu’ei-je à faire ou ce mouflet, - Moi. le premieî”oroyant etqu vieux révoltai-æ i " l *

" Et l’Honluielerut entendre alors dans tout son être ’" ’ q

une Voix qui disoit. triste comme un sanglot :u a.-. Bien de tel. jamais plus; ne deitirevivro on naître:-Les Temps filmeront tout cela flot sur flot.

Bien ne te rendrnrplus la foi ni le blasphème. l, Le haine, ni l’amour. et’tu sais désormais,

Éveillé brusquement en face de toi-même.

-- Que ces spectres d’un jour c’est toiqui les créais.»

Mais val ’Consoleytoi de ton œuvre insensée. , ï j

Bientôttee vieux" mirage 3mm fui de tes yeux. " h :-

’ - . venimeuse page; les sont une: les Dieuxi

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.. 1 7* Vénérable Romarin du monde. ou l’Aiglo d’or.

’ Le Soleil. du minaudes Roses éternelles.il: "Dans l’espace ébloui qui sommeilloit encor; h, l ’ï’I’Ouvrit sur l’Univers le splendeurde ses-hiles! A "

«.7 Fleuves sucrés. forets; mors oui ilote radieux.Amour-dentelles fleurs, neiges des vierges cimes.

: , f 0 très suint Orienthui conçus tous les Dieux, H

«Puissent évocateur des visions sublimas! ( "

l firmament. à l’étroit dons ton immensité. ; lFlàgellésdu désir de l’Occidont mythique. ï l q . j

des siècles lointains nos t’ont quitte; q 4, V 1

iekhvivent souvenir de le Peu-in ontique rlioit toujours; dans notre. ombre et nos, sans ugagman tu lumières l’horizon divin, ° *

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Le Joie de Sivn

il Mill 15W

Les siècles. ou les Dieux, des longtemps oublies.Pur millions. jadis. se sont multipliés;Les innombrables jours des aurores futures

Qui luiront sur la vie et ses vieilles tortures, ..Et qui verront surgir. comme des spectres velus. q ïDes millions encor d’Ephémèresfdivins: "

’ Et l’âge immesurê des asti-ossu démence - w Î " à;

Dont le poussière d’oro’tomnoie ou Vide immense.

Pour s’engloutir dans l’ombre infinie ou tout se:

il a Tout cela n’est pas même un moment de Slvu. «Et qnundzl’lllusion ’ conçoit et qui crée,

Sterne. surs tari sexe-ra sacrée ’ . k Â4 D’où sont ne l’heriêg’neantiqee granivore -:«

qunndleterreetluflemme, etln merctlovnnt, 2

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- Î: ’la haha et humilia et la défié sans trêve.

j L438 larmes a: le sang, le mohmngo et la Mm,T’Et lîôblcstnîasnmenl chandails radieux.

,. - Dans la Nuit immobîln auront suivi les Dieux: » -V Sa faisant un collier dg lnûanlaa mlchuîws

Qui s’outmæhoquemnt sa"? au!!! épaulas mima,

Il Sima. «lnnannçxdo juin, ivre) du www.g ’ -- O Mort. le chantera daim (au l’imam!

---,--v’-.v 7-.

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aV Hymh?s..’ÔPPhïÏW°8. ’

- -*PARFUM une Humus -

(-10

Lès Aromates » w o.

Nynipbèsrl Race du Fleuve étangs] qui déroule -

. Athur de l’Univers son murmura et saboule]. a Vierges aux corps subtils fluant sans les rosâaux. . k

Vous’qu’éveille le chant’hurorçl des oiseux. V

z Et qui vous reposez au fond des sources fraîches ï: L» Où Midinyonnant trempe l’or (la sa?) flèches! ’

Et yens. Reines des bah. Amas des chênes vous; k’ Etvvoua Qui. sur les méats hantés par les hivcm.’.° k ’

De vos gélules pieds plusrrétîliçglkants quÎellgs’ i

Frôlez sans y toucher les neiges immortellèàf A " à f .Bruits furtifs; domiciles, soupintparfumshüvants,

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’ Ï . runkna’nkàfiiqàââ a 7. "’- - 313 5 Î

k ï ’--Qui. versant de vas yeux. en W168 MM. ’

» 553112 fauîllogaa bermudas les limpides méca.

; * Faites, du somme Pur du yçs riras légats.ï ’ Ï.Snnnerln double flûta ami lèvres des baïæa:

.. 7.7 Jgîa a! charma des eaux. des prês’ei des gouines. . ",Savlatljelvuus enlumlô Viainna divines! 7 ’

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.514: ’V ’ annulanewaiuae ’ ’I

empan nn-nx’snxds-ipouon ’

v L’Hélietrope’

’ Radieuse Splendeur qui naquis la première! L ..

hêyilable Archer. Titan, Porte-lumière. iTueur du vieux Python dans le nierais impur.

’ Entends. exauce-nous. (Banlieue; de Tenir,- A Roi des riches nanisme, des siècles et dames! L -- . i

Qui. joyeux es eheveuxiépars’. etjaynuis les.

ne l’Orient bit; are surmonte de la Belles. l

k . Éternel Voyeâur aux flamboyentee limes; -

Loin (in rase 113158011 où souriait l’exutoire. " üa. ’ maman: les cites, les bonifia mer sbn01’0a 7’ M

Pousses tes étflom,hepnîseants ’et cabrée ’ f ’ il *

a Et fiençbis bondsipar’bqnds l’orbe des cieux fiacres: Ï - * K

i Puis qui. (lobent, 13:61an à leur plus hautevcimflef " Ï

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a fç Çuenn’ibfünvniqune ., , V il?

A le plus [me des Dieux enquit couleïl’lkhoe; -* j Ë; Entendsnnone. Kithetîete emmi du pleutre d’or! i

’ Harmonîeux amant des neuf Muses divines."j. a Embtaeennone du fan dont tu les illumines.a .. h :Mîù’ que nous. lnfiîlfilfl, gui ne vivons qu’un jour.

ï N None chaulions. consumée de lexie unique enfielle!

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k5). : il

nitrura un Métreur: v ;n a

le Myrte,il v

- - ’° g ,4 î, 1 mu mm.. Ô Divine, salut! mais à nous qui («limoner .4 . .l A Damas d’unxpied légerg’pai filtrante des mente; Ë; -

Au fond des bois aniline, pleins de seuyirs lumitype: .. ° 3. Sur le source’qui dorcvpenche ton front charment l ï i« Et baigne son cristal du deux rayannemenc -

a . * 4 bèauxg-yeuîmélenceliqueàc " r. ,1 î

vToi’k’qui, silencieûee et pilée à demi. ( * 7’ ç

I, Suivis Eidyiînionsutld-Wüâmùdbmîr f

Etèeflieuras ses naupiefeî i’omnnceeissnnsanenqnewr .

des engendrai uniment*’ à V ,;;5,,’,5veillË même: V W à

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x ariment: ’ennûle-Ï- Ï! aî igname l’estime nuageux, la murin; A,f- » . menus une le bandées nefs-aubcn inimitiés

Enleùd me hélium uirgiïender l’année; ’ .V’Igieieileerit du, vent et de l’immanence. j » iQuand-lu laitues me en: l’écumeuee mer»’Ï Î . Tes blendes tressesrdênouées. à V L; -

virèiàâïflèlle.’ entendeanenel Sunna inondeugiw; ., , ,7ËLVËjznnîèhe’ flagornent-m tranquille clarté! i ’ ’ L ’

L l’aie (le Penne, inélitïée bleue (une; " y ’ p w ’ I

353109 me; d’argent enclume-les giflant ’ ’ » fi133i guérisàneus. pour un iminnteedélieieux,’ . 5 F

iDeemnux dentue!» vie est fuite.

il! et, . li. ,9V ,6ne n e ; ï7.7, a. î ’

sa; - .2

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.æxv. ÏY’E’VARËÜVIS; ,n’A’flTÉÙ-Îs?’ in

I La Vebeoièâg *- la il a

: ’ A: Déesses à l’arc thèse!!! tendu d’un naïf 89.110??-

JQui, de flèchestÎâinnin hérissentklenïcèrquoiîà;j.

Î Par les monts et laepleine et l»?âpniesmr(’des labié. ’;

.. n éclair dans les yeux. déchaînes des l’amie A à

j, ajuts chiens Jêeeuplés"IQBfiîïer abDÊBL ,4 ï H»

r ’1’an à; desnliens enneigé. V ï c -.k K Yiergolà plait la adorante du sans;que naos en juge fière etjgrende wigwamsÏ Près in Dîëû 58W dÔËŒËS 353’883. 5 f

engage Nuitîeginilàre’nu Jongreblfouiseane

1- i remuai; le,îreluptëvnÎn-fleuri sur fâbgucfie.ï,;;,.’jEfô’g;n’uÏiqinffiley’6 18615301 iinfiéfienx; ’

î dînas-ë attendri beauf Ï230m0 un [bonëIier’d’ôrËL-e laïçfiâsçegté même

4o; nage; te gercée deeheimneàïet ânes mon”

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’ je; quand zen: enfles divin, emmena Châsserëese, . . . ,7:Aèlîlmum que seleilr.’bfl)lenfdnrde-sés gram. ’ . i ;:’’PËlËÊKWYBl’MQ-à?F6909 le chame’dnsbnîna frais; λ ” ’

"Lexigqùetn nudité que leur Kaiser enferme I i " kvèàplendi’t doucement danelienmlirudes me.

;* . "Iquî.viuttif..par-leà31elliexfsprepîees, . - ’ ”’12er l’indisùretfenmm.’ un mutinaient; ’ . - .7

myome-ce cœur enivxededélieee: - Î: H 4.Ëajuçflrrtêmiéj Injeiilneenneutt coinçant! in z"

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dûment li chaïflnmenmppgâ «gnangnan-,1i Fîëïîërèümï’mméîpous toueurs «me.

nimbât«Omàüîèhsiîggâggmeæi iÎème-1’limai?in:reîîüiig’; eneusgaïïeâîeagmng;

- flinguiez!» Mis »r, De’leurneigenmcuie’usggèèç 5m à;

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,ïlîëivToï leënebseùeîreee’cmmnl "t à?» . ï r s

gagnage une, 61.;ng sereine imines génies; ;’

Sâètîréàflienl’efilmufi’èiiîlùcààtdfirônlantâœï «milliaëmîèü - 1: *ï ï 7 .rï V

fit edenérl’Éràhe en senties drome! neinlîxnki,

en me ”

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ne [V sunuxsne’nqeusa

k. PARFUM ne un"’ la » V

Le Pavot. j

" o vengea: oubli des longs jours annones àImmortelle au front bleu, ceinte de sombres voiles.qui mènes lentement, dans le calme des cieux.

q Tes nadirs chevaux liés en cher silencieux,vPer la route d’or des étoiles! Ï

Source des voluptés et des rêves charmantes r.cep. mère d’Hypnos’ aux languissantes ailes, ç * ,

Toi qui berces le monde entre tes bras cléments, - ’ i"Tandis guenille éclaire; de moments; en moments; Il; a

Allumenttesmilleprnnelles, ’" ., 7 ’ V ’

Et pour jamais. avec nos stériles emmêla; ; .’ Etwl’antique Kesmos, hélas! pi tout est ’ K

, Enve10pper des plis de lonrpêplos divin. c Ç 77 a;Vivants et châsse éphémères! I , c ; . En à;

s

V Entendænôus, Bienheureuse! Et sans r

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l neumes ennuageant: . ’ fil

sensuel des unanimes

V L’Enoene

5’ ’Sous les nappes dîneur de la mer d’lenie A

Le Qui soupire au mutin au chanson infinie»;( - Quand le premier rayon du ciel orienteli Hsans en glissant sur l’oudulenx cristal. ,-; . Pensions-nous contempler. ô chères Néréides, 71HgÏèsÎlonge yeux dfèmernudë et vos beaux corps’iluidesl

illatives grottes de nacre eux changeantes couleurs .». g, Un? le corail] épanbuit ses fleurs, - 7’ n V ; ge jr’Îeùgpesbe’rceeux’ daigne verte aimés des Dieux Tribunes, fi

"le; (Î Diesîznebiles vallons pimentes siluriennes, Ï v . d .1;N ’ ’ .gDes’prqfôndeurseu luit enfile sable vermeil V

L ursuline clarté d’un magique soleil; V V

Leis’sei flotter dans lesrbrise’s charmées ,ses d’un sans âpre et deuxembanmées. .t 7.ï La. Egvfiînieux que le dauphin joyeux et diligenté ’

- ’meIe-flnt-nethld’uneilhged’areenfls

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L ad l . ,. - nervureras nanans

r 0 Filles de Tltdtie. surmenons des nuits noires. .Desr’eeuella embusques le leus des promontoires.

Du Notes. tunnuenteur de le divine Mer. yPur qui nefs et marins plongent en gouffre me.Et. propices toujeurs, que vos fraiches haleinesJusqu’au par: désire gonflent une voiles pleines.

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neumes eunuques , .» au ’Î,-a-,

ressuer embouts,

"L’Andmone et la" Rose

ü,

r k, ;Sur le couche d’ivoire où nous to contemplons Là! » dors. cher Adônis. Éplrèlse aux» cheveux blondel

. lotionne Dieu, pleuré des Vierges de Syrie. l* 7. Quand le noir sanglier: blesse tu chair fleurie.

,.. Et’sÏenl’uît, te laissent. immobile et sans Voir. .4 x v’ , De ton sang-rose et frais baigner. l’herbe des bois.

" . , V sur lolmentogne strions les profondes vrillées . Vféal entendit-gémir les Nymphes désolées. i I j, »"

V îEtl’échoprelon’gea leurs pieuses douleurs: h "ej Ï. . Et Kypris. les cheveuxepars; les yeuï en pleurs,. * Lr-ËT’onveloppnnt encor d’une suprême étreinte, 1 I V --

Mülâh Paix des dans de se divine plainte à L ’ k

ÊAdânis. Adonis [Tu mûrs. et e, teillât? -àfiroîiîï’i’fiôm’* o; Î’âaiîaîëta

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ab nantirons suantsTu faisais me beauté. mon orgueil et me joie. 1

Et je ne suis plus belle. et mon corps neigeux. ploieConnue un grand lys brise par les vents de l’hiver! ,

et Je suis Déesse. hâlas! Toi qui m’étais si cher.

Je ne le variai plus! Mes lèvres embauméesPlus jamais ne joindront les lèvres biennoinieeslMois. si du sombre» Étoile en ne peut revenir. v. , V

Je puis faire du moins. triste et doux sonwnir, vGraine et s’épanouir, au se! on tu reposes, L ’ ëSous mes pionne renouions et dans ton sang les roses! --

Telle perla Kyprîs. et, grâce à son amour,

Tu rouois et tu meurs et rouois leur à tour.Et tu rends choque année, à la terre ravie.

4 L’oeur du ciel. les fleure. le lumière et le vie.

Surin couche d’ivoire en nous le contemplons ùÉveille-tei toujours. Ephèbo aux cheveu: blondel

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HYBNHÇ flRPIllQUBH

manu: nssk’nnmmrss

L’A aphodàla

f .Meute du noir Érèbe’. L vieillas Érînnyea.

7 Ï ’ Aux yeux cava où sont des éclaîœ aveuglants.

w o Qui d’un blâmonhqillon serrez vos maigres flancs.

ï Et. l’oreille tendue au cri des agonies, * 1.7. FAboyez sans relâchovçux meurtriers sanglants! .

a » . Filleç de lÎInvîsible. Hôtesses dagfiaürnes

x a Où" jamais n’est entrée une lueur dû jour. A .. - .I LDont éiernollement’VStyx fait neuf fois le tout; V - à».. ’ Tandis que, sur la fangë et le long des Egux tannas. Ü Ï

Foule vaine, les Mortaflfourmîllent sans retour;

, ” Voilà courez. volez! Ltapides à: subtiles. Â . .. V1 » Empliasaintde terram- l’aixtîque Chacun-M, v a . ; ;I) qSçconqntÏ dans là naïf. sous un ciel Velnpeflqé, ïv Nos sinistres cheveux hérissés de talâmes »

:EggÊerqurieux, le cœur épouvanté,

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L38 V ù a (’ 513 8!711; (!8[!& abêtifié;

’ Ne houa. fascinez: pîùs da vos faufilâmes!

Nous avons axnîê; quia tout son accompli!Fuyaz l’Hadès dans l’Omlwe hmrible humai.Venez! Ennuenaœous. 6 honnaà Enmôùîdqg,

"* En rondin-nons la paix, le pardon et l’ogpbii!

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’ , unau: anüuùum

" unau un plus.

W35; ArumatÎàË: ’

" n

àL’àîr lumineux, l’Étèhe «la mât îufécondar

I .î 3* Et l’abîme éthéré plain d’une!) éqlainnta. I.

u. Et l’antique Gain conçut le? Titans. L Vî h Erle vents «inhumés du; l’aile vagabonda

’I’prèhasàe la nuitleàïkôupeuux haletants,.;:Désziunges striés É’éclaîrs au ciel; qui "gradue. - r ’ a;

ËQup boni-ils. Sinon Toi; dumoudè! a u ;ENJdiyinChèvre-piè , fréuéüquè efjoy’gpg, . ’ u

’Îontoufle firman V emplâçla SIrinx éternelle! r, àûüosnpires Poutçhamewou mammemgna;Elle «au: fluiyerë quiflçgluâitdunà 33705:; î ï - j

"chafiite? ou adieux; gr i. ï *’ . ’* j --

C * f ’-î: :-I Ëmëmmpïiënîîaîlïîtdo ta-Pîùëellal’ ’ r- uH 4-:

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Ïüflâïüaàfiivalüuuai’7’

«Inépuîahbla PanÏ vina); et. zèbjüutâ. flouvèau, 1 ,

Tui «luirais luire un 16m; Pour douanes meilleures. 7cumule un pâle toile: de quçrlqua.v13înkflthenugïj . g

V . UEapàranoà nèfle. hélas! doguin mais 19mm. k .- ’ Î;’ , Et finîmuloà. marqués d’un implacabla (menu, V . . rl Les aièelès de ton rêva aussi prompts qué tas’hâuçàs 5

1 n Saht..ô Dieu (gâble. (Mains a! Tombuaul; ,. 5.; . ,

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. muguète finit blaùê «à lamai) était gaité. »Ï "’Durlimpidé hprhon, du: l’ai; tant www.1-k1L’Aùflnflèfircflmœnécamlùmgédm.î Ï Î" ..

smbléîu’fl’fëâmÉ-l’Méndèîmnëêr . . a k-

m rËhbîsïiérëèà. am ângâm’xg. f :37, u; ïflânai: égànfigmçlgmbmioléùlqndgaæ

au

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* -. 397 r j 1f,initiai:mm fiçàfiîç f r ï jà j Voioiâïfévîgl’ênd ravæànpàmuebâsâæaaæ;

Grave et mujcstueuï. ayant de lumen fiança; A rUnaëétoileïnnflqmméa entra Bob comas humes ï

w ’ . E8303 éclats de pourpra épurasug ses poils fila-nus; Î ’ *

2 A Le àoufllo ambroisien de scannmauîvsplmdid’as: Ï gL’aniçldppnît purfoîsld’uu vu’uag’o Rémi] - r L

5: 1 Taque la vapeur d’orhplonlr’lèsÉpou’i gratifiés F

L y flûtaient leur. amôuf sa; leu: dîyilibsqmugçil. ’ 1.1 I

, En vinifie?! dona-lemme; ou Radin uu * ’*Sc;’çoucha. galuaut «fui; 1fi bau-:gPhupe immôlèiluèt 1

ï . pieds autan ’ï a :ïbrllle ,Vçyaùtïlagiggiïprosternéu. étude; si. àçgnont lÎâaîl.»éçiuèeIèât magnifié mi ;h1eq. V" *’ I ;

î 13:21” Plus jêune.» 8:13; pitié finis à belles;

: :.:«’.s’àasiuùr gui; u

.Luîts’quçlainksà muguf (bien; .4 ï Et, "1’30?°ÈP5flànFWÎËËaÔÎWJËËÏËE . 35’;

à Î En. www; îçngùèùx fluidifias; mè .,

1 *, r) k Bâtir-aient; pékan; les bras étant;qu 365333,; p,

ç; Surplia’îènmûrâ

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. *61562vàyautïfuîrîledouxsolïd’Hcllônîo, ” k V ,

filâmeniuît.fixemfilantez-èaOûIvaaàçumhor Tamau? ’- r ï

.- Pisurquoî mubmpbxtesèl’u sur la houle infinis. ’ " u -

r . milan toi qui sommaire: doum et si beau?

Véààyéèg ilIé’ziëï est 8:26:36; et a; ds prairies, »æ É’herëasïuàrësiaàântsvîfië 9m? honnira * r

mawænzmag gsxùirme3cdmïàgmofiériæ"; ï y’u’ovjenqlù Nenmiafiè jubé pâlir mourir? ---» * 1 , z

9

MaiÊ’lüimeâîtfiôvüom bômes; *x .fiefoulaut du flânai] lupome flqsîgfandcsïîfianx ’

" sur .resæîendîssaît’lu. pointà’dg ses œméç . - s k

erglëlmuillüd qu’oùalaienë se; naseaux. a Ï . A:

.. funin;àgjigïobîlençièhigsgaoe Ouranî’ençf 1 *nm "mËNËÊ m laïslaiiqlieîaœidna; î" a ’ ’v

mm? dîë’ï-Oïwearëe. ’n. u . n,1.4À’ (2’; au À;- «ï * f 77T;

çdel’îæmçnfia En? r u I v.Réioâîætoi PÎBiÎÔÇAIÏlennÇ’HeIIangàn et: f

êüë-’îmm°ît91ï5àu? mafia Ifimlnèmlïfipousr t

V. ËàîYoiàil’Ilç me :flûteras mî’hîluenîglofimfz 5 - ; v 5- çà;,èdegtni sortiront dœmmhetpzqm a

z .

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à), Y

fpRÀQnBIt au ’h’Ëina .È,. W:5

0 j k a a Krnfibâëonns,væm son 5mm: lingams. v. ç .,I

’ Ah! mîsémbléîmasdfl tu langue. En? dîiü! r -.

. Tain-tatïantque jç vis, telle qué-me uoici. *u v " .Et’si basque je tômberencdnje, vil sniffsache. .7 rü ’ Qu’il me suffit (Hammam et’d’un magana Qu’oühaèhêg

3 . EndixÎnlêrceauxm chair eues os. Noms rimé” f - I

; J ’ Et vœt’aMhçôMæil est 1mn; An chenil, chiala! 3,: 9 l

’ .Au’ hampe,’flattè et lèche. bètejtumândle! ”’ w7: ces: ta part. Mais crois-moi,:prenids garde à’Ëtédégoflâèïî

I Note tangua jlusjnmïâîà-surrsçn’chemin, I h ; j» * V- : jEtmmjle qu’elle songe QËCOIÇ à toi «maint " . . -. n

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Mémé » * v

* « ,hggç’s’ëièinàflép au nono d’un magnanier ’ f ’ "

;.â; 5 V; j’ai les Imam tordus; (blêmis www»Le;Moine étàîtqlebôuti me et pgeMTéËîoux i , ’ Ç

Grands am entaügâjîbofiîudàfiilencieux." v n ’

flamande hawaïen (illumina; jam. Î,En hgmçüÇÏ’HGBâêchË! daifatiguebt de jeûna;

s ÀIIèrêéeitâme,’ tanguai: de faum* unifioit D Ï . i 2- (En): 111’3th pourchassé et traque un fqnd’dea’hçis. I. 3’

g à °Bftous 19 œgarduient aimant, ami: naine Û; A 1 ufi hadal]; îles de l’homonfefianm l "a; 2 »jets de «(infirma et par éclusa mangé. ’ k ïà; . monts don: munit fiaclœ’aiisîège lès gît-adirai:

* Ë; k "tête duÎlilqlnqtlmmoliilê, hantée - ’

V Vr j

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- j burinions mussas » -

; Or. le que! des Parfaits lit un pas, et tendit . ia ’ Le brassois le captif. et voici ce qu’il du: N I ’

’ --.- Frères. voyez ce moine! Il a la tous humaine. L g ;l , V Mais son cœur est d’un loup, chaud dorages: de hoin’eg fi

i; Il est jaune. «plus viande orimos qu’un démon. V. Celui qui l’u pépias son plus noir limon u .- z ’ V

Pour être dans. la mailing la hostilités

" [habeas de proie au meumkhabizuéa, V l ,Et pour que, de l’aurore à la nuit. cueillit ’ i , l Î "a;Toujours soûle de sang otatoujours-à l’affût. - ”Fit du, râve bidouxlqui hantait superflue Â

u Un blâsphème vivant dola Bourré Nouvelle; a ki k - Frèml’Nolro Provençal ainsi qu’aux rincions temps; f la;

Souriau: au soleil «les étéséclatants: ,L s 7: Vi Sur les cousu. le long des marouflons les plumes;

* Les moissons mûrissoient, les granges étaient pleines, -a Et losriches cités,- orguoil de nos aïeux; r , u ”

k Florfysaîent dans la paix sous lu bouffi dosaient: Î?Et nous’coulions, heureux, nos jours et nos années,[Et nos amusais. Dieu .montaisnt illuminéss.’ki Ï

Viersœi du. soumqïîmpuëfle la aussi? Babèl’» l r -.

A. Par sinistre Jésus comme autrefois Abel; Ë r ’ 3Et sa fureurlimbéciloot féroce! V f

avec 1’ étole, assommumvœ kinase. j a A?j Ou, fièrement: César"dèssiècles.inhnn1gîns, 5’ . V

* Ï’De Menu-inodeohairrvive filaire abominas! s î I :f; Mais nos ténuités, hélas! souillon moins hâves . ’ Ï

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’ sa nounou noise: ’ ï ’ A ’37

72h43. Les mans que nous goûtions sa sont évanouis.

î Quand llAnlécliiisl l’upal. hors du sombre repaire! rÏ Enredéohalue ce loup sur nuira sol prospère;

I 1il est venunllurlant du soif. les yeux ardents, »

a» Laflalétiiction avec la bave au; dents, r kESVPOussuut, comme chiens aboyeurs anales pistes. -naissains: ruenclients et (les voleurs papistes ïA; diluions les forfaizssont gestes familiers :Princashûtards,’ barons: sans terre dot chevaliers

chassés du Nordpour actionsperverses.Elrroutyîersvagabonds. d’origines diverses. e

filous suant rués en allumés sur nous! Vr magmas: tondu, le sang jusqu’aux genoux,Pourvoxeurdo la tombale: monstrueuxïapôtre.

Logo-api] (nous main et la torche de l’autre.sensiblard ni ramollo," en son furieux m1,; l

promenamassacre,’ insendie et viol! T4«maganai: Nos villes enflamnnéesvomisâéuî au àelbleu cendras et fripées;’nosvieillàrtl’s, nos femmss,*lnos enfants,San consultés dans les murs étonnants,

Ègnçlus; en quartiers, enfOuis vifssqus’ terre,

E333 du pays natal un minimise solitaire i Çassaisonnas: repuss’envolent, et dortsa supplice et l’humeur (le limon-1.. "Maggizfgémizsers’ Dieu filins un gnole « .Ûrfïvoici l’çgorgeur’et le tortionnaire. ’ j I ’

gâlëufitîczîesëïvasùJPQÀMiuaLama- ., -

V En dans’l’ellroi des jours; l’épouvante des nuits. ’-

o

W » irisasnc;fi6îna.ïâu’mîrdeiônîéçëiéhiiaxf Ï ’

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annulons noueras - ’ j g,L’heure est moelle. Réponds; Repousslü du les crimes,

Et, quo Jésus l’absolue au nom du les victimes! au

W (Il W l W .1119

Et le Moine écoulai! l’homme irupoaslblemeul. bTête houle. au milieu d’un sourd immunisai ’ ’

V De vengeance comme a: de plaisir farouche. aPuis. un autor mépris lui contractant la Bouche , "

’ Et gonflant sa narine. il parla d’une voix

Grave et dura : - ’ l v

mn- A au

,qlwHUM

au remouds un insensé! Je voieDe galeuses brebis. loin du Berger qui pleure, vDans la vivante mort s’enfoncer d’heure en heure.

a. Et je leur dia cool par ultime pitié :Gémisseal Déchiœz votre-corps châtié.

Lavez de votre sang lessouillures’de l’âme:

Et peut-être. échappés-h l’éternelle Flamme,

Dans quelques millions de fléoles; mais un jour, --Serez-vous rachetés par le divin Amour l

En vertu de la, lenkue épreuve expiatoireEt des heureux tourmente du sacré Purgatoire. A 7-7 .. ’Ïïî

Faites cela. J’ai dil.*8inon. chiens obstinés. « n qChair promlaeaà l’Enfer pour qui vous Mas nés, j q V

Maudits septante fois. rebut du monde, écumeD’infectionÇ-qui sorl de l’abîme et qui fume A

De la gorge du Diable; alloue! Ne lardez plus; . « Î.Frappeaî couronnez-moi du nimbe (les mon k ï L ËI Faites votre oeuvre aveuglegômisérahlenreste VDe répionvés; hideuseanguillule2 opprobre et page";

P :"D’es âmes’i ’ÏÎÊteË-vîusll’ouî homme de k. v-

HIIÎ NM MW www M

"J

W

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au nous” nouons - " ’ au a Ïw..." mye; v7 (www-u..."

L’Église ni Jésus ne manquent de témoins. l

I v Mille autres surgiront du sang de moulandavm.Î I Mille autres brandiront lu glaive qui vousnavro;

L; - ’ ’Et je vols. au delà de eesièelo. approcher

. Le jour ou. dans le feu du Suprême bûcher.ÏÎ’ . Ledorniar d’autre vous, qu’un autre feu réclame.

Aux venta du Cie! vengé rendra au cendre infâme.ï? Tuez! Je vous défie «vous liais!

n .. ’ w --- Qu’il soit faitV a Ainsi que tu le veux. Moine! dit loPurfuit. q

» a Au nom des Justes morts. grève. hôte enragée!Vu cuver tout le sang dont taisoit s’est gorgée.

. fl 0 monstrueux bâtard. fruit imposai charnel .éÎ

’ De Rome la Bihaude arde Satuunël,Sana qu’il puisse jamais la revomir au meugle.

h l l 1’ Rendsului. plus inoculée encor, ton urne immonde :1 k

,1 Et du fond de l’abîme ou les dents grinceront-. Sous leqr’ieptlle en feu quivrong’eru ton front;ü Entends îcrier vers toi, de la tari-donnons sommes.ï Les exéorations des siècles et «les hommes!

q ’ Va! Meurs! -"-» -

La

à I. l V Et le couteau tenielufrigirle-et lent,:ïa’ïmeîilïstremnyflronëlb oeuf-sèùalmhnî a ’

’* Et lui; pleinLg’uu-fâæonxl’inexprimahle autans,æ’llenversav’douçemexusa’tête Hémostase; , ,7 ÎÏÉÏL’ï Ï un soutireclejoie elfde ravissement r ’ " ’V . ’ -’ l

sur ses lèvres malvoluptu’eusement: a 7 1 - V

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Un» ’ g flamme: rami-us

Et. dans un long mugir de semînëagonîe; ’

Il dit :I’ » - " .a; lamifié! Mimi»! Paix l» Chants dôîiàîopk) ; »- * 4;

Salut! Emportez-moi. saints Anges. dam kg Ciel!!! ,,

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V1; Les ,Baîsdnsk Saint-Père Iz-

La naît enveloppai; mufti 19443119993 Il: Enfin; ’ 7’ V

Daim rotatoire chaule pape-14men: trois, - ’"Mainsjoînt’çsmédimiuvem dehlgnchelaiqe y.Ôùkaeflêtâchh’ifl’or gagna? de la v . ’ M « V . ’

ârëëeéüspëhduëau gazonna-aman æ r

Églaîrâîtçàîet là le’reffàit ascétique

3.;De’àplevdidésllueæirè’et de myrrëë embaulàëas-

Emplirçnit i’oràtoînëg; supin. mémé pâment;

DimslônièsùrhâîsMQÀSflgléâp mina, ï : t

î": ses V V

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ne o v- menaient! pneumo ’ M: t un

v Laissant pendue pîis droits sa rebeoofièntele. ’

Un spectre douloureux; blême. aux longs çbevoux roux h 5

En face du grondMoineeimmobile en en stalle-V . L " r8e dressa. mains expiais nue et. perces douons. * ’ ’

Gemme un bandeaumyal. repais réseaug’epînee; * ’ j "’ -

L .Dfoû les gouttes d’un sans noîr miaulaient emmi. :Se tordait tout autour de ses tempes divines ’ ’ " "Sous les refletsepure de l’aureole d’9 . . Ü

Et ce spectre debout danse majesté grave.» Hôte surnaturel. toujours silencieux.

Sur l’Èlu des Romains et «a eaeré Concleve

Èpnnchaîü 2a tristesse auguste de ses yeux. ’°o’ ’I

H Mais le Page. devant ce fermâmes sublime e V ,. .magne d’un air subtil fait «l’aurore dîneur. H i

J Sans terreur nikreepeet de lemme Yictime. e smon, la contemplant d’unrjegard froid et dur :, r 7- * ’

’s.

ï .1 nm toi." Rédempteui de la; «me: momifier àV Que nous "veux-tu? Poutquoâi’edeseendte icîabee.

in Bore de tau Paradis âezpaix-et «Muffin. 1 H çÎ 4 troublé que tu ue connais pas? H r

wwmammemm’nmm Ï î a MQue pougplâmr qpmœuvre’ et Embruns chemins." "

Et. Ponïfjiëgs mon; Ï r peutr Le page? de le houai? étieflélëîvehdeé main? îk ’

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V V 1.:èeïunlfmenu’eùàeàpâmï v 416.3, r

Ne noue «du pus-dit, Martyejexpietelei :- ’1 ’ Allez. dieppæeznvenepurmi lampions: * V -

: Î Ï ena déliez. et for-nèfles de omise.» ’ V

1 I . Et minimale imageant de: générations)

guéâmes. de embéguine? haut et trop lein’d’elles. - . "

f Meus lamente,- un; guide et son"! valu. a Ï - --ù L Ia-fauien’euesc’pae à nous, les feule lubies. à .

if Ce qui dut arrivée. Mettre. [ignorais-tu : * *

’ o l La Barque du Meneur. annela fouet de: tamtams;Ç Et tores-ile n’engîouclv. n’espéreni planerai: . *

Be mange Mésange» au milliérdûtèeei. e à V linhumois l’Unité nqlmutedvla Foi; 5* j n ,5?

Etcsâpece’sqefpendenc plus «me gante nous. k -ë Leçouentfieberdbgdesfieaplee furieux o r ù! ’l .. Sè-fiuçnfls’ém’oulant par mufle": forcenées. . Ï v ,

o à: n°5? Sep’eilmân d’flîhlfihûiïnîenueure’ Dieux?"

, arum-i1dénhèèoiinillîmïrrdmëè-ÉWoï ’’ ? Bien remuefiiqmpfialatogjeum hammpll; a H e l ” :5, Î

Tendre larde! in joug et le des aux lehiêiee,.’.r a k V L;

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TU: mamans-pogne . 7*. laguis I’Eeiirit veùgeur fouipt’îes vieilles chaînes;4 ’ Le [Auteur îmmortel, ùaîûemen: fond mye. V V ’ ’

v Quignon lelouùl’ fardeau des douleurs «des haines," Ï

"File de l’homme î «me mm; et poissait; m’eimæ’

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ï çefueaîsèinfdens. tonteièueihuetvèi’egj

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Ï ïEmîcîqnèvvchuôfibùelèpielvide durcir, M,

Trahi, sang 1*: germa; eupplî’ce,» A,Ton dernier SWPÎFÏIIÈmÎ-civîâedésesfioifl’n V o

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V ÏÎÎpêà huât)!!! engiuiwi-xjùnë » ne , i î

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in efilèîtrfl’enfi’râefiumenae;;Ï Màlütïdansjvqæempmïqnæg, V - asa comparu; ensimeras mima tapagea;thvnonë battiez alisme 1:ch anomaux,- » l? " ïï"; * les mmgmgæeronaemampuqœ îrongeagerlle’nmmnésomgpsgçhqus; A.;. opium lamine gagman Paradis. mimions Pourïéüséëâëimë minaudas

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.7 g .H’VVDQIAR’IBRBV’BÇIEIKII.

1 , wÎ r V LfeussiezHVene «flemme: Gagne des) hue: (le nouaiI’ V 5 Quand à termite les ilote de la plèbe à genoux, ’

Au cliquetis joyeux des mules espagnoles, ’r V’Youqen tête."Stxint«Père, etneui me vierges folle; . î

En croupe.,Gordinaux, Évêque; gallicans’ r Q!) romaine. 35:sz d’oedre et Demeure magnums, 4 .Î; 1- ’Èohémîene et Hongrois, de Saxe et de Sicile; » - 7 e

e Làmîèfis de l’Église au!" encrefiencile; , .g, 1 jruloîueïfl’nonüerdegprîuces anomalies

K z Chien ganga. magnum. loup hurleur.

4 Pope de’l’Afitàehrist,vulpigsomggmflpiahhrï;V. ’ Engage. le Ëfitefiîlrê’çnimfigi; gai; t, ; f vï 1381.1.8 0915m6! dès l’a V. A k. un minimal-n;, à on vovelutl’annehàmçeusmham mom,.» -

. a» Vous n’étîexpebfimoü bogomiles lyrée; des.r l Etvônn fûtes ioulait? dégelaiedeanlsinçipm ’1’ n r ’

- Mai enflammons IîEspüzfisainue put; g,r ’" 98513 lâ-îêtMBË-mîësî 16min; les nuages;

"’ïÏDéÎbqut; cènch’é, mngem’ v a " "êflâhuiùM aa

" La chose n’était guglfolâtfeg’fripleobieuïwa.4 l p; ; »

SimoninqflQsSJÏBËüfiucherdon,cigüe, ouïs;

. V V" Chaos la vieille Constance émarge Pan muuem- m

- " ,Eusaiez-üoürorua com gamma amigprgçhaînçij V.

Dû vous «enflamme «au au chaîne, g Ace l’onwoue’nemnierail interminablement? 1 ’ I - 3’

Adultère» m1613: amie;Reptile’varienteame’eeua confiante-.1. l H ’- Î

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t rïj-cçiï’çsm’admit: Â "w Ï’ï L [6l î

L; Eh un ne)! dans la murÏrampant peltes, , * ail Mouche; synodal. mon file. vène décampâtes ’

I à." auguraux-fient engrena. ont;f la ces échéent; V

ï - mon for: possible. et mamelonnent. e. -. . Vî: Tant un païen qu’on brûle exhale lui dotai arome.

à. f Quevous luisiez au daronne une et Jeton). . A ”Î; Mirengnilleeaszglîeenm’e et le mulet teins; V ’ ,k en n’arràswwmmlérwtm’vn wflïflmï r»f De qu’en vous; en l’îebt’ôt, plu; blanc que neigé, 1 .

à Réexamen GârâigauxdéneleJSnceééGollège, » V I ” ’

ébaud.llzment frais. go. sèà’oé.’saii.aoan;’filât-goûtengle repos qui volisétaîl bien dû; a . "

fg; ,.àmi4dea1mçeemx maesmdshypmzm,j’ai 1’Certes."j9 313115931165 peinâraamifldre vos limites; ’

Ï ramenait maniérisme’lloinmeplueooniplet; èL ÎPlue’â’os jfluago’â la moelle. çluawaleï I

; un rompue durveu-jîeiblesinselentètiëroce k; . aÎ figuesâueeous brindigeieezou le engagea-lemme f

a V’Ïpluàülelêrainpantîqueudwous’âtiezmque.*» , ’ V

ficelniàquiàeuiafeilueyèeùea pas manqué. If 5;;argentanvagiteqarçlianaenqï K o "’

tâillè’ebd’épàîàtflhqui fera page; fella- ’ : ,, ï

ÎPthi’ùienrèloquememiïvqïre a e ,733mm. étantfdomiêlebîècle, âmeyaùçjjxtienxj

encüqmîrtïâ-ètatiqùat’mî intentîôes’apîès; f e .

efioïigaelfheeïnçfionecfimîent eQÏnmer,vaçïspies; :1; V. ga-

” ï Ame; nous napperai; rage; leur? ne 3425351; ï; gr

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vanneau» rununaj æ V r JESemer; serait me mon. JgPerÏmeraîâ Plus k VA rien; Mes aboutis brasiereldevieudmîeut superflus: V«E916 me. d’Auguslîu. [fuyant plus son vieux Diable; L’Fiuîtjaîzï comme moi de façon pitoyable. l 1 k ’ l: ’ 9

Non; non! Pousser à haut ainsi les bonnes gond. r ’ ’C’est risquerrde les rendue un jour intelligents; Ë e

fLa force. est bonne ou soifxuuîs il eut authentique V"Qu’on; enlise me: ajoutant puelyliijuei ’" * " ’*

ï Qu’en pense Borgia. V V

Anuxxunmâ "vit".

r K "Seigneur, assurélilent,V Voileperlefll’er.,voilào quel- eàtjmou»sentignqent. - Î-

ÎÂgînde violence est au moins inutile; 4- w .E: si je remis hommage ne figurai" fluant-le.» eCommequ Tvertfæ delmonl encré PeédêÉceseeuË r

J’ineline nunolestantduxmolyensde (loupeur; Ï kfi Pour ses enfants rétifsJ’ÉgliseQen berthe mère; - ’

V Dieeimulaujjlegout dehliqueur-amèæ; o 1; 1.. ’

Enduilîde ridelles de Nounou]! lui uDe Étendre, comme on 5m. les’vmoucheslîduïla’îl:

7.011 ne peut guetteujoug. tarit. le grâce estonrie, v î j l"Faire hameau en: reflueriez- 1 1 " o - ’

. Volet ai Ï in; Iuïfsk’poulflès vendreïau’bmr, I ’

me; enfui filon, Balihuzla’f,si j’ose unrpenufarbuclje acidifies ° i5on ennoya soldongautdeswrsionâ .Î , .

V s.’Jâin’dnlïïêfiïimf ÎÏÏ .. VrëlëÎfàëiëèŒ 3’355

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V juan B’ÊAVËORGIVA. ’ oflag»

. pilule annela conjonctum ou nous Sommes. Salut-J’en.1-2; Il m’est avis qu’uliidue et vous fuîtes lai peut, j - ï

a? r El ΰ mais hâlons mm. Saint!!! bénneurl . v. 1 r »

Î * n - : ’,’ K . r: V » V rouin. une; r

. 4 .Ëîmlïaàqml que iléusçveeî 9°. vicilvempniàonnmê . * ’ï 1;;

f w- , ’Quej’eîe eulpmuee de me et de infliger a il k V 1’ï r, Quejegoip liage cour: âj’uulieuuecaeæe; * 1’ I Bi jeulaîsrse hâtier cet onagre épargne! V l" * qui lirai: euse douneut :deïâîfê rielroesîgùell

Allenel vil trafiqnautileücuperà écarlates. Ç’l u’héî’îçbtas Ras du .DiulçleÏïque tu filmes; V

u ne grammage son lieue!!! 0E, bandit. ou k , ’lGèuïteur-lle marasme gueusee;»c’éet dît v ,

l Perle mieuxî ou, sinon, d’unoreuçre sur!!! face. Vw guigne Colonnemmfiletu Bonifuçe; .1 . 1- f . V,

allié-crase tâiuâchoîr’e 1 . , * fifiEtdfuu pointu je le pique" V r 3 r

mnïùïvîéhncâe’tmoins deÈFPmiîfitïude,à 1 -

U iâbjgpmç ËfiwfiânêùfiËQG-Ïg 1 1 Î Ï;,5us»ev95Ë-Êas:.îecopgdtéémi:môùîùjfig a

aÀQéËlïîâblalèJeïmëPœËdsâçtçmômJam(la i

env’fi’afièqiditùjnede lekbdngpômâ cïfi’âîlïenfsgdmlê provenait des. plùsheàardeng; v ’ o

,.ce; siIYosSaintotesèèfivemn’ ** mimi de

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Ï » V magnas musé;A Voué émulatrice: lu me auxxiullclelesz" » , v ’1’?

,u Que chouan; potable mieux." doit user de les doline; î f

a

l ’ Pareeutume et par goût, lamassent? et l

ç j-Eu somme. songez’ëy. laineux Alexandre; ’ . ; i

El jouxtoistpluele (et, hourdent les puisette a i ; 4- ». -’ ’ ’ subtils interrompront le coure de, vos minage. j .Î V;

Î Oplutsiiîerjiquîluî’siezugur lexitablesrdïvoitul Ç, ’

a Magela.”8yïracusè. .Alime «Muscat: ", 10 soupers bienfiemeuifle munirontifièat; a i i "

018aulè°°rrsenhcéëssbr1es tapie;daæ°°o.ia.iîæ

Ï unifiai? 368 mufles gag;’ Puëæâi qùfêîsbiloue deèeuusila ga 3 douché ImpbuËæ Rama:ambleraient, Ï Ç ide lâàçtièc-hummnaà’ii Î * l

:Dararzàgàmvmoeag après a . AV T6" (1m mais m’od’orfingl’. gcàdmt,;rq,i.fig ,.

engueuler. 39mm mais:

Es qu’il s’agit. en" fui; de gauler annulation; 5» r

Borgiagu’ayuz point amuïr penaud et blâme. V n . . V. ;Jeux; üugtwlroie, je l’avoue, au! un peu’lvil’; il aime. ’ " l

V a gréent.” allais; Pour un fieu? pirate; ilestrîutellîgeutî

vos âmes m "8 vous "ni white vaine et ,

3°":qu» monulynxagnnaïyxë *’ L

l ZÎÔ. (lêlîcgagaïgsloimï ;

Conpflsiîflâmhenux, éWâgjei O je. ,

",îutefl ’ miPÎÎÎIÏIÎHDüîïîi

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’ 1° "ramènes; mm; V Ï: ’ * z-fiakdl”,r

* llaleterifil’auleille stupide univers! ’ l AQuel faire li 0 merveilleux enchaînemeut’tlee chosai,-

U; l s Qui mame, garum des rarement et des mm; V- 7-;. El du me. souel’âelul dulcifies allument ’ i ilï. ,57 lieslenlurea de pourpre et "d’air. au, grondement ’ .. 3

Dm fouaminpmasanza. au client au voûmuug; ’ r

Vol

.. , un; lemfimdes multitudes viles; 1’ 2 o u .’ .Nuiteetjeure. rameuoutlleà grands auriges encloue; ’- ; r l Me” rendais le.ej1lendour dentelai): (léserions!

” minable lamifié) Relief: id A 5;: a IV g ÏÊçletauee du saga quinouebtûlâ ânons ne. à ’

1 i- Eu moulent d’iveesse fichue au glui» moulu VÎî àjPour parfume: ma’ceuchebi le l’eau ciel Latin! J 1, °

Ï optai qui rouverain” du regela agiles une; x ; V. flat des voluptés et dàaiüngümîPouf qui-fion file ces», le pâle (matinal,Cocltle-Gauqlia lgfiuitadu Gmaûelt si. g maqua; magnai-Mu aspic granite, i’ - L ,i lignifiée; bâiiér3*dbut-il Quirinal)! , ’ î

W’wmîflêï ’ Iil . K purifiante"? »

Mioëïêalkvoiiâïèïieifinsîi’âe’il se v

mVOSïâêbnrâêmentégMadaifie Mamie? *

ï.devïëntjtièsurôse.ïplus «iman .ç; .0 , IQuêPaulze fignolaient: agonir alangui; «u

. x ..e Ï? limions; Très’ seau-nm; "en semainier: gênée; o 4 le

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5.; se r »- ageléeuéi’volîe langue et’u’en dites pas plus? - v je :3:

ï ces devenirs ohurmnîlls soucioieu’peiffiua. 4 I - ’ r» ’-

41. - Aussi hier").louez-le-pouxî’œrlàîu«notoire; r - ax L C’est maniable-qu’il aied’de nom» Votre menine; Ç;

’Î, ; Du: le jeune liguoit (lui Veuël’leâ am clef; A

il, ,fâç-Gmlien.pouudeuaüuille (loue (lâiârîvîoléuhL a a

g thuifntrplue’mêehaut quëîeoue; mute il aïeujiîçju

,v Sécher deëjalousîeàcerécil épique; 7;. u ’ 13.;Dut10l1eeeilhumaîu,imbécileeqioluun; h .

: Fenton: le lieutenanlq’læfidee: r 5.;-Î Ï «gemmage: elfe-voir de quelle houe iminônéë .

il ’ VLePotepontifieal eçlelaouesal-le monde. .

ï 3m qu°hsîP°ulflœviht satinés C15!

x, EnjiùrifiautlîeirïquelbughomempüieÏBifûleïle âègefloù leïscélerufdoîiefigjirej à e

ï; au dingetfuiqtqiièeïàfmegeceeufL:ÆEfiouêîëëràmmîëëùâiiâîîïùômau ** 2::

Mais encâtomàùîillàons’fant tonifie,MMËÎPMG» me r ’

5 nénéslaefaiëïsliîeimtflfiisdsêlëdïèëü’âeïèfag owEfuziege’âçlçe’pâàlà peènèifni-dèl’Enfeel- ’ ’g

b 9» Oh. cuve

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a

samurai-seaëgmpm’ à; :kèuiïeeitésebiimeg;

germâtémasqung’èçblëigçîwàiul11mg ,,çpaiicliez surnompquîmidfgles Harmonium? » ’:.

.7 . . Vr- w

- ,a :i . .7 màbësîüdæw" Ï 7;

5:56; «in,in; ’ ’.- ..ï°.’*ï1î’*îîîîî V

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il, r Parlînveugle et fougueux toueutrdes’DesliuéeÀe, ’7’:

’ -.» .Pourquoi’jaillieseævous’du-Vide origifielPÏH-ë.;« - T

; Désirs. ,eplelgdeuml fil tout es éphémère et -

i ’ K velum Ï mamies. 5,0329 fève bel «filin. * . I"

7v. à?

V oA, V k’ V Quelsohlgâesmilliardç milliei-(lell’ànuées,f Ï fd à VVQinllld flonfl’heueeou tout tenue au remaillera? il.

ïL l V Dans une gœursieuési*bien;quieu vos profonde

ou’ , Mouillé;FVîïüfiteieieilea-Ëlfllguézfienoyos lie-limât;

’ agame; ËujDIàu"del’lceeugie;"gïyeluptê;

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,.pçialèîl flâ’sèfiaîtè mriëisïnfiemçn

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. 7 fixezïnnrayamæimfan-mugi Â: ÎîÇiij-gé

oui un peuple hideux! noir,°elupido,ror6pu.e V .1k fourmilloit. hurlant et nous jetant deelpiorree; :- 7 ., »’- Mule quillaient de tels chieueontrenoe alains gratifieroit? L î f

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fiole fut belge cumuloieefenillee sèches ï 7 77 rionisai. entremangeant: maintiennes: - A n» je.1Egflgpounuepas-mourirfleeiguerrieretutoués ’ R " ’ - .;:MËu-gèreutoes chienenoirsoliéris’eésvdelnos flèches; ’ ü v A

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È i .ÇJusqu’eu jour ou, grondent ce même rivage; » 4onrtre fatal ionùenéfijBlanee. nous foudroya; à. 4 ’

ïfigçousleëmieàp euntfiôrlstEtmôimbeêh’e funelireï; .g:7:.7.-7D;nn;Chef.evaflgant’isSudfencèn-ce glorieux; iv uniment: mendient-ma vie,etflanspmekslyeui 1’

en grand semâmes et lesrmténèbre.’ , -. :1- »

Puisque lesnations:deïlïunivexe’enoien :1 a f il L Ï

diapraient Bleues, devant wateringue: o ” *ÏPuÂSqâe’vgtre pied lourd les broie et lee.efi’âce.; a * Ç »

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.7 , j7 7 se lait qui l’imam eongeeg ; ïkhanoun temps à jaunis aboli, * i 7 r7;: mévemeïl’enhliaæê jedit; ranimez point-7 entendu de-meneôngese-a l

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1 kil-le rieunllluugeur J’lier’nmeluloiùrgiiuenL La; None mordit d’unregârd de imine et de famine. »’ ; En brusqueaedreaseni lesj’arrets et l’échine. r 7 j V . 7’ 7L

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ï l mouille de leur bave efflesjets’ de leur sauge V

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demi groupes-e777 l4’ - du smille-ire Bill-Christophe

L Le; nourri-kls L L’épée en main, le piedÏsnrÏla’roue immortelle» l î

; . Donnez) l’hommeliîutur, terribleàu dieu dompté;

1L Elle volevaLngesyeuxÎdardés droit devantelle. - ’ .

7- agnus sa grâce, en forces! pensèrenitél ’ L

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° Il. panerez]; soigniez;«a

7’ Holà: possédant le LChiniëre’éLternelle,

L , L au Monstre divin cœurL-ensânglaiite," 77 Je4’ Et Savourez’pour mieune’anéanlîren elle; J "i L7! l

L’orgawdednmorfet de leùvolujrtér l 7 rDm l’éclair d’un baiser-quina: rem-mita! l i . A

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a 4: Rose de Loureciénnèk

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bouleau; termine filent d’ornemenoiennes’, 71tri-fléchissaient; druses du pelaudé; jours une au: A

L7 L7777eeàirent, rajeunis, ton sterne divin, « . "Î L’L 7 ’

L.0«Fleur, vivante Fleur. Rose de hawaïennes!

Sourieur 70m5»; un l’oâte iinmorLgel a chenu L7 °*

7; Don; ile gardent encor la mémoire pieuse; 7 » 7 L7 7 L-

pas errer cette finie hammam; a L L7L: (Dun ballonne â’aLile entour detaneautÔPLL o

Mil-3’51 polirait à le. clarté bénie, L ;Mieuquxe lesfinoms cheminots bilèrent ri me;il! ferait resplendir dans’l’or pur «le ses rare -7 7 °

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,, .TOi phi: (in; agi-km, paumes humain? hâves. 9.Harjênngn’e renaîtfâ air-mon maigreflçurîç, K7 î Bois Benièïàïangaiswaim, jepuig mourir; : r ;

V ’ Titi véda 1d filas. «imam! 1’

I Et vous ma hautin Je majouis. . Î ï Î TQgiflunçliarinasî «1011i; m’envelopizez’cnçérç.? h; if . ’

«:Yous ppm: m’çùblier,fiô :yeugsqnej’lnldorè, , 1

Î Mais imines au; jà vous 9911km. u Ï

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ùÇOoLÇ

° " PRÉM’IÈRÈÆDABÆJE ’

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de jinîntur’aaè A dioîîé. JIqbflî!’ dohùrîera ètda ’Iàyfles.’ sans

fâchez; creusas îniaselle. mimi de andain; Marco uKualalin’. 0513- çimpç En sugyno des taches. A31 (and; nie Q I:sériois mpntag’îx’e l’ouvganthnnr limousin! jour se lèpr- r- àfïlbndêlugle ètgzçgtcnxig de, (hm; ayant aux: mains îêsî 15’39ii’hnâgtût les bandâmes notées. gr; sur Mygale. un au et H

if Ï; ignés, dénanti mrohœjuîomple, suivîdçs ;* Ïrlhsapüfiçatmra Pythîqiges 5m: longues raïas, copinas. de hmm; f

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ï. rii’nbiaëuxbkfïf , V

0.;

" ,ï-rMME-Æ :51 la r 1 IOùÏ..sea;;:’ .. .

V o Lamier, in! dans]? Jardin? Œ’W-Ï" Ï’fQùel’Anbs-ambtoisîemmœbïde a?» 101ml;

i Lamier; désir. filmai-oubliéeàionrsâinqâæâ» ï

magannsçi-geîmmphasaïosïàrmefiiosâôïüwm .ïPêïmëtâàiïe’ijË!!!’ mssmëînâ-Pimsrwww-

. .çMmiïueîülaiæçhèuieèéééiahxedharmaë: 51’? ; n

a: * f ’ " a. f. yùuiziwïæi à: ;r . 41’015 R: J v 1? k ’ r ’ ’ JUIN

. V h J l .7; mutinerai;J 30:;âônréas, ne épuiàèes,Qui fluuî’âfcheniêz’harmonieùâement ’- : *

’ and les parfilailïa’lvtirdêfieioiéâp. ;z A Ingénie, dg’riionfsblitâîre çf - " E (

, "nm vivéàl sur. le sénile; legmtîrçheà PythîQxièë"

le 65’705 urnes d’agur, ’ ,1 ’ fg?n .gEt puissdaussi Id flot de me; 506:5 fatidiques :., »

’ - .- .GQunlgrïcoæmggïânS. un;V Î. gag amen sur tu à 10123215.; j L’ ’ I ’ 1

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.3 j L’MQîqsfne atvzni’ëclainàbi1 démâtas hémine; s-

i ,7 figement des picsïneigeuxre’t sprtpnkdes ramures. ’L: A) mrpmbntraugial’claîv sur quçniPIelet”lea»bois,, » :

MW! matinal desoîseauche’Iles’Ïvois!’ Ç;

, I ; unimkranggmmgmwgém;«www la!’ f l’imam; if? L. ï» - r

La’SN

V , humidifia amkfaùm’fifiïüuüï .Auguralrmeàëasè’r-des * N -- a ’ ’

V z fqhdrçëzétéùiellesifî - . a. ôÎ’GSSÂEÊGÏÏ’dËSm ’ ’ k’ ° :;. ÇDOPfl’wôïè æmurlîrfleï ailait Î »

. :ëktw9u5;-°9lninhesfémmîèrà’ vÎÏ ’

mmqsfmniegsïet-fraîcheâlï a - J» ;, b w; yatagans - 1 ïi . I,Maiâ;’doçî16 àu -Diesiqù°.i°.5°"r" ’ ’ ï

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à; 4540W mosane. a; En;jMfiÏù-llà; sans à: montât au-»Temple.-’IÏÊV5«

vibre en, «www des FemmeLÇO-ÎKflomùgïlônsœt’1 . .èîdèbguf..’apfiw3 grafigna-ho.

31

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L ,-,-e 99.-»...îflle 77 k m [ËËÎÏV ." *-T:.’senu.omna

-, Ë.l .7 ï.

’ a SCÈNE Il!

lON.’ un (lumen une Femme.

ruemûnn saune.

Que ce bois de lauriers a! de nèfles épais’ (Respire. ô ébènes sœurs. l’innocence-0l. la paix; x J

Et que son ombre est douce où de fines lumièresGlissant par gouttes d’or dee’feuilles pinaillâtes!

ÈBUIIÈIIB Bauge.

, x.Et cette eau qui jaillît du rocher miss. x

Qu’elle est pure! AIl

.. moxas-âne saune. L L I’1’: V V V13 z réseau de èuîflande:

a sur le seuil. Ëal in tombe daltonien blanc. , .. LMalaga vénérable! ô pieuses elîrendesl

’ "swing PBÉÈB. f

ranima. eaflËÉwfigleeçt beau semence: il, n ne

3x

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J. al

n h ’ v’ vannant: A trauma.’ fillettes! ll a tout aune tacha de la neigea:

rROIBIÈuB vanna. ’

La divin léonins l’habîta et le protège: l

.. Il le laminai-môme et, de ses mains l’orne.

’ PnBulùnn uranium. montrant la: analysant: a: le: pantoum

V » I Voisin grand flammée fauchaut l’llydsjo aux cant tûtes!

"a DEBIIÈIÆB vagua.Et l’antique Héros. sur le Cheval ailé.

Aussi prompt que l’éclair dans les nairas tempêtas.l Forum): d’un glaive d’or la monstre échevelé!

Il anormaux; zénana.

Ici la jeune Aurore et les fleuras légères. ç.

Lçcjàmmeg Emma: pour 9mm les natrum: de Temple,

.H168 .

T en fileuse. 6 femmes étrangères,Et demeurez. Bientôt le Temple va alentir;V. I Mais nul n’y peut entrer mainteth sans mourir;

.I thiamine Ian-sunna. .a, 0 jeune boume, deboutxgur le deuil solitaire, "

Koarro’ûs-nous contempler lokdirvin sanctuaire?

’ "ramène marris Il I

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î:

796 I » L’dt’ütstïüflllfii W

.163. ’ V

Qu’un sang Vermeil. d’abord. miasme mufle Dieu! . . ;Puis. ou Trépied d’airain. dans lus parfums en fan.Vous entendrez Parler la pâle Pruphôtassa. .

annalistes vanna.v Nous prévenons loi le Maître et la Maîtresse.-

V 16’s.

Quels sont-ils? Da quelle llo. ou de que] continent? j IEt quels nome lamentant; nous la eiol rayonnant?

hominien Donna.0 jaune homme. ils sont liois de l’Attique sacret).Dons la villa où Pallas. la Vierge. est honorée.

u, I. l n ION oViennent-ils pour lin-songe, ell’roi des longues nuits?

PREMIÈRE Fatma”.

Nanisme savons. Les Rois ont leurs secrets ennuie. ’Pour nous, queutée cœur 108.8110110 ou les ignora,Entendre et Vôîr nous sont interdits; il faut cloreNos lèvres. Mais voici notre Reine, Étranger, -

El; a? te plaît ainsi, tu poux l’interroger.

r*.*

a

fis!

:3:à a

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PRBHIËQI nourri: ’ 95 1 î

sonna 1V

ION. KRÊOUSA. m ÇnCÜlJn une Fausse.

Iôn. à part.

. e uSij’an orois on beauté que nulle antre n’égale.

Cotte femme sans doute estldo rnearoyulo.Mais d’où viennent les pleurs qui tombant de ses yeux?

o

(a turion sa. ." 0 regrats! 6 douleurs! Noirs attentats des Dieux!

rôti. de infime. uPourquoi ce morne ennui sur son visage engoulail

v r .. I de; -h anxieuse.stipulai! qu’unPieu mente et Dieu soit injuste! ,7 ’I ’

à o un; . V r-Deuant la majesté du. Îemple et de liÂutel. c

;; l Femmeuo parla pas ainsi (fun immortalÏ *33’!

(v.2-7

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96 r * L’Anomnmnà

o Redoute qu’il ramenda et que la PythonièmoD’un croula terrible et unuduinto pruneau. ’

Puiaumtnoliu plutôt. propiou a tes douleurs».Prometttuà ton beau front l’éclat des jouira meilleursEt répandre la paix dans ton lime irritée! ’ - " *’ I

Ton notai i ’n mitonna.n Musa. Reine. otdu sans d’ÊréklitMo.

’iôn. ’ . ’ ’ff

moufla» a b V i ,.BBÈQÜBL.

Athèna. la cite de Pollen.

«à. 16:1.

0 Ville illustre! Enfant d’un noble père!

.2,

nnfiouu.

I. ï "Hélas! V .Que me sert, Étranger. le sang dont je suis née? i4 En tri-je moins subi la sombre destinée? iï Ni la pourpre. ni l’or,’ainei que tu le crois.

Des maux communs a tous ne préservent les Rois. v "l ’Et de plusrudes mers battent les hautsdrivages.

v Il! A

Q ,Qas. VV - Je le sais. non’per moi, gais par le vos: v , î

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summums PÀQTIN

1 i matonne et: qu’un In

pour Malaria. d’un seul . p de son trident d’airain. À

81min terra titanite ait o lauti ton père? V .

. ’ mû! un. 1. galère! No parla pas de cet impur miliaire!

. r - (gang.si adent un lienyénérablo et d’Apollôn aime. V

i lnûofiflA.

Ï Dans cet antre fatal que tu bouche a nommé. n’ Un crime, une action lâche. odieuse. impie.. Do cènes que jamais le coupablo n’expio.

Jol’ntlcste, Étranger, par ce jour qui nous luit.

Fut commise autrefois durent la noire nuit.

. î 16mu Et ce forfait ancien n’a pouilleuse de trace?

, ramona.7., Nonl,

l . du. «mon ailante. kh ,, Dis-moi ton époux. Est-il de bonner’acâî:

il. ° ’ à h ’REÉOÙSÀ’. a

il même:l, IY

. maure daguois sans frein; ’

1 Nu un a.

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i Nous n’avons point d’enfentsl

i Mois toi, cher Étranger. que! paysest le tien?

I Mon pays. nies parents. k I

98 ’ . »vniavntnbrtipu;’ . Et sur in mainte Attiqun il règne mainteniiint. - Â

Ayant «unguis pour nouevl’glle aunent i olivet Ï ’Qu’unorngonr détroit sépare de une ri ; i

r il gravit ln montagne, rit-nous venons t . s deuxConsulter de Pylhô l’uracile hominiens.

. I ’un. à iPour vos entente sans doute. honneur re l’hymén

.r- V---g-..

ou?

.nntouse. ,

L ion. . ,. .a i0 forumçiinfortuntel AQuoi! Tun’as point d’enfants? . A I f7

remontra. ..... ’à Apollon le sait bien!

Quo in mettoient heureuse..l1elael n . I il,

l 1613:1" " a à7’ Reine,*j’ignore. . A;

il K. A . A U . j ;-L.«Il e do mafia ËÎjfiüiioencôre,.. Tu n’as jamais cogna in mû, r . I... . Z. J

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ranmànù 6&nt L ’I

’ n .1 "En; ., h

I . . v Non. jnmnié.1 Î * mais les langes de liait). diton. in damnais,Cu temple 111.1135011 commuant: aima" sans fileur yf .j. Et le Dieu m’a nouai de» ses mains immortalisa. .

,3]

L p V i gagnai)» , - ,( Je anis me mm (me, qui 916m nm!

V L’enfant «1169110 g perdu jadîs. Je vient) ici;

* » " . - Dans Parmi), damander pâtir une... 3’090 à peine.

,iî’ar pudeur. révéler... " » I . Î ’

i611. a Paris! J’énçule. a Min:

: . humiliez... --53-: Geltçvfem,ïoulrêgeant Pallas a! 1a vertu

- À Des-yiexjges, ont un filad’Apollôn. k

a v ÏQuediiMuiî . ’v.’ ,-13 :I’kllopïemqflollolpflrbîgül’l’rW , - K *

. V théatin» k V I 7- V -r . -r razziaiâpàïlônluî-mâmôl * r1. .L 4 gag pouvons-nom !1h61aatçcontrîggDieuquinmm3in39

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"-wuwn r , . . a 7GIl " k. - a . V’lur’Auounuumà.

i .I l’aàuul’uulgu «Malien ce! enfant vit lexique-

El des bras maternels le: ravi sans tuteur.

a Ion. 4Plus ulule? ,

. ’ menu. . ’ n" ’ ’ " ’Jelne’suîeslll vît. 0 chère ÎIÎIGSBÎ

.Ilte ressemblerait.il aurait lehmee âge. - °" - m -l

v 1&1: ’

Apollôn fut .îucjuste. et je die hautement l IQu’il est mal, homme ou Dieu. «Menhir son devinent.Mais nebeproclpns tien aux Ï (limonés sublimes 5

E. [la notamment point qu’og révèle leurs crimes,Et les biens qu’au peureuîîfeoutre leur volonté *

l Mêlant plus d’amertume luette adversité.

. A, k n nuâooupm-æ, , v L k " «a:Si me bouche en taie. "(lui tnrîru mes lunules?

x

Maïs, Étrangeu, Îentende le bruit étrilleutx des’armes: fi V

..On’upptoehe. Voici Xeuthos,’,mou noble époux. Ï

Ne dis; rien de ceci; car les Reis sont-jaloux ’ j ° hEt confo’udent neuveut, dans nageâmes blesâées; K U

j Lesïçeoupubles secrets et, les bonnes pensées. fi î

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on 77

’ u ,, visuulëuu’ l’AlYIÎH ï e I"! "le ’ r

n l » V Ij. , ,ESCÈNEÙV V DE; la

ION; KRËOllSA. in sans une maman. aÎXOUTHOS. m Gauguin une Gunuumue. l

il

zoupnoe.Salut. Rocher bolaire. Aulne mystérieux.

- Oracle Pythiên. cirier aux” hommes pieux! le 5 i" 7 Salut, e Lexios, dans in haute demeure! "

Bibi, femme, salut! Voici le jour et l’heure *Où nous retournèrent: heureux et triomphante.

* ’ Ou privés à’jeniâie gl’espérance et d’enfâme.

440m v o . Himmun. glène-noue à une bien redoutable; ’ " "ï(à,

3.«î:,jQue Lofiaefexmce;Étfauger 2 ’’,»;Œ..;J Jeunîlguisrobéir.n nanas: peut, permis à ’ .

D’abamlonneivlc seuil doux, le soin m’esfæommis. ’l

l L Feutres sbntlà, veillant nuptialeseaiùtes modifies.2*: Î Égiï’

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17m5- ’ Ï * .. Ï Ë ’ lekeeiitoxîiuâîj

, H amomes. I ,V * IÏ. ces: bien; Fraude un rameau de laurier eœdoyeuç. 1 - . gw; , Reine. et demande au Dieu qu’il nous soitbieuveîllençî ’- V

A. Poue’mibîgj’eulremiiseul. Puissent les Destinées ; à;

V raccorder des enfantin nos fifilles aunées! ï "1 ’ s’ Vous. me: chers compagnoue;”g’uerfierefiole Halles, J6; ’

agates. etouppl’iezlltrtctiïileegil’ullee;la, a» à r r **

V ’ V ’ fichai? deal le Tohûàle.’

l sa

à c g Vr V AV e.. i A.q) à , , Q v ’ ’ ° ., a V

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.VÏrluuuuïùneieaâegà. î» 39:3«nanans...

sansg IONVÈ, KBÈOUBA. me Quinoa une Femme.... micmac:wigwamm; , Î - ,

a

- n lexicon; a ’".. ’- ’ . eruounn’.o° v VApollon! Apollon! ne [es-tu pas aînée. r "ÏGetteivierge. lèeiïiblautueflentré 353mo cliviùe, «

.. Qui,.mèr.e ânes enfants et d’ennuis consumée. 1

2* -. V , genet. roupie-oie aux noire ralingue); i ”

.V f aua et; calmeronseï’egmms. D7’,.Goutexufiîieïdu milieuçâerla iguggnflgmâièe; 4 . k Î ,7 1;,

liceuf’ïîeïsüimmblemeenue les me aima; v

K1:

V (850084; jà è’lrigâuounuèï .L Allwipbllônmnnmîârémrmïl Ben, mg-CÜnËuii’dausr’ufigkâm enchanté; à; "Ï :bonites célé’SlGÊ-lyeilx’dàreîentlavbldfidflegg; nv

. (il:

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105 h »-”L’Auul.x.oiuuîlnf Î .7

V V h l et; quinoa une ennuies;-k :Ecoumrô bellheher’l Roi de l’azur, me: r

’ , V Rends-lui ce file’eoueu dans un rêve enchante.

manu;aï z V ’ jeûna. ’ i G

1 Ou du moine. si hmm dans le pâle Prairie, ’ V.Ï I A couche ce: enfant sur les funèbree fleure, " v. à "1 i ; t "p; ’ "Paris; afin que au mère. à cette 0mm; chérie. ’ V 5. * , Élève une humlgle tombe. et le beigne de pleurs

sur le en; sol de la patrie!

bucolique une unaus.ï pichet enfant; peuh des leberceau fleuri, Aï en muions. et reconnais leisein qui t’a nourri!

.7 V newton m antireflet.I k, V, ’ aphone. ’ï il l rArgentieydont-le’ùventi’dusoir baise les tramai *

Omeueede cerfs etdeliousîgron’deurvs, . :z V , Reînedeefiàgee Ëheseeressesl, V a

Et toi;Yierge Pelles, "gloire des profondqu i .j» : sape siègent: les Dïçuë’pmpiaeg: V hh -- Vous; moitie Îiïiihilpi [sauveur (les Érélîhthideel

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rusâmes musse .1 V’ :165

susmen- Ï r ’ siN?)

° 1310N, KRÉOUSAÏLS’ Casson une Bennes;je Gnœun une Gueunxsss,VXOU,-.THOS.

a- tournes. ,37 i

’ .7 I, o mél: maman cher en! hoiries anurie! ,

â Viens deus mes bras, lioient si longtemps annelé..Quejebnisetes main; «’Çonjeunê visngel l

isba.X

r; Ë Étranger, que dis-tu? tu pesois «ipse sage. . o’ W (La majesté du Temple a. trouble les esprits,

° ï" Ë: ton premier regard sansdoute s’est hem..-Prends gamelle tonnelles me tôle consumée. w

3°- h P d’un "flèche W I

o

zonasses. w .7

v

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«mm marasme. . - v .’ x V ’l- il! l V

* .. v infiouss.lepan. .1, 7’ ’ V y Quoil(le jeune homme est son me? Quo mon» ’

l IôNo* A . r rd ’ Tonîilsllüoiil’.

sousËos.:Çl cage-u message *a Du Dieu tu nourri dans cette auguste enceinte. 725

*Ellu m’a râponÆluÆ -- Sorel Celui que les yeux ’

A combien de douleurs mures-vous” condamnée?0 mes larmes; pleurezïle jour où je suis née!

l 0’ » XeAutant vu le prennes sera ton fils. g- u us l

l renfloues. ,âparl. .2, il A, Qfi a Grands Dieueçl I

16s . Al

L Et me quelleesç mais? "i l I

L’Orecle’de ne m’elpes dit 9m nom.

JlGoArnus-ensl’ignoses-luî-Î’ .7 il I Ï

rhumes. * xNon.

"MS. V Va

,9 .

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l’llBRÎBllü PARTIR r L la? L :

V k acumen.« .1 . K L V L . Je ne suis. mais faufileà Lîmveelnnble Voix du l’Orsele céleste. ’

. Li»; Je saiettai père. Enfant.

les.l u Apullôn t’a déçu.

in ne soumis peu selle qui m’a 60ni31l.’1 . l; L:4; i584? me me 9 39m. Mille d’Êrêkhthëaî i’

L N ’ v fleuves. ANon l’De summums (ne je déshéritée aà i5 r Nous n’avons jamais ou d’enfnuls.’Tu ne m’es sien. ,

. . L tournos. HÇA fPurvApollôn. Pelles et Zeus (lamoient, L

Z , * Guerriers. voici pontils, l’héritier douma gloiml

L Ë son.lioit-au suis-je. e Laïcs. a; que maman crains a

’ u se béeriez; confiasses.

r r L L ’etaoîmBQX L LAlbmbrecle ces boise: de ces muèagcm! L ,à; * W .Toîiiui fleuriœeisâanemïfififiœçîx r , 7

* v Reconnaistonipàseüetïereeel

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’ ses. I. * nïsvollmnmu’ilwL V via, w La V

tournes. ,

Sur leu lient que le vie en fleur purftmru onces ,Remis cette couronne au triple curule d’or. 5

me.Il est cloue vrai? Josuie ton filai Mai. sans patrie i -’El sans nom? O mon père!

mafieuse.- r Et moi. je suis trahie!

Xouthos. mais un fils et j’ai men le mien.Triomphe, 6 Dieu cruel! Il ne me reste rien.Femmes. emmenezomoi de ce lieu que j’ubhorre.Et que ce jour fatal soit me flernière aurore!

in sa: son. suivie de Ginger du Femmes.

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( puntiràneiwwss ’ "un,

same en: ’ .

il L. ION; XOU’I’IIOS. ne (lumen une (logements

saumon.D’où viennent ce silence et cuiront soucieux; "lit cette amine, o mon file. qui pusse dans les yeux? e

’ Regrettesntn ceTomple on fleurit tu jeunesse?V l Songe à ton père. ou thrôue. au munie qui s’empresse * ’

e Auadevent de ton cher dans le grande Athènn.r-PJumeis un plus beau jour aux cieux ne rayonna! v’ 13:8in (loue malheureux de me joie. 6 chère (une?

nôs.

0 mon pesade crainslqu’on m’envie et)!» blâme n

s D’euvuhir brusquement Je demeure et tes biens:Le Reine Kréouse. fille d’anus» anciens.

S’etonne. non sans droit. de me prompte fortune.Voir. mon inspecta. déjà la trouble et l’importune. ’-

* - Elle n’a point de file. et, dans son cœur jaloux.cette; ell’e’ haïrait l’enfant de son époux.

7’ I 7T1: suis que de douleurs, d’actions inhumaines.

:1 -- De forfaits inprévuesont sortis de ces haines;

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n. J30 chironomes» - .. -Tune les yflvlentlruis qu’enine sacrifient:Un. enflamme.-inquiut. furtif et délient. ’

Plein de l’union regret de rouleuse sereine.Peuvent: qu’à mon toue julienne le Reine;

Ali! laissemoi plutôt jouir obscurément r ,V Doshnmbleebienegouleseenstroublomamelonneront. Ï

nourries.mon en. ne cloute paellas bonnes matinées. -. . vLoin de (latrie lu fleurée les jeunes années. ,, *Le ne...» à qui les Biens n’ont [teint donne (l’entente.

To servira de mon). En vain tu t’en défende :r Tu céderas. mon me. à me une sistre envie a

. , me . tu .une: Le noir essaim des soucis rueêoâtents ËVole. dit-on. autour des titrâmes éclatante. 4 ”

i L» En siègent! sur mon tinette. un ternie de me vie;

Et l’fgrpreeetion de l’opprimô qui pleure I

Épouvante les Rois dans leur riche demeure;Mais ici choeur: m’aime et me sourit: l’autelY- inèle ses parfums à le fraîcheur du ciel: ’ v

On n’y dédaigne point mon. obscure nuisance;

Je vis dans la lumière et dore dansl’innoeence.I ; Père. ces liois encrés me pleureraient lainerons. L ’ tv

N’emmèneïgoint ton file. permets-lui d’être bourses. v - i

nourries.- il te faut in Dieu que tu sévères![mestre inettenduluit sur: ton liaison.

a. a

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.I’. ’ h * ’ V V &s Ç; ï. Après 13336112. man fils, viennent les temps 86mm.j ’ E1. la fruit d’or mûrît après la floraison.

((6? ’ J , .il: «aman uns 60811111888.

H I usinons. ï

Primo. lq scapin: si: palug. los tamias «araméen.Tu’jugams les tôles imlînâus, ’ V

Un: debout anthume aux lourds mayas: d’sîmîn,L fÏ Marrant la ÇOMNIIQII de h foula guerriôm.

’ r Tu pousseras humera la Pouasîèm ’ A

La belliqueux quadrige impatient du frein.

".- ma;

Je n’hî jamais versé, fidèle aux saintes réglés, Ç;

. A Quo le sang-des ciment): voraces a: des nîgfos,r Et l’épée et la lance et les coups furieux, s

- Ofl’onsemienç sesmains que je tendais-aux Dieux.

sonnas. AViens! Îu sans un joint. Enfant, se que nous sommes. I "

v. * " Sous le enligne et l’armure et le lçurdhsuclier. ’ "

, " Tujsrseras aussi le noble sang des hommes. .. sEt au: ton jeune front croîtrais vert laurier. s

A. I. Ps- . Trôn.v»" s v» Il germq’i’ci plus beau, Vérjioyâilt (une l’amie!

r L Aussi dans Infime lysait chante au vent sonars.in , V LE: givina,.âveasœ ballas mains, sI Ne les pose jamais suidés fronts inhsmailis.

Vâ’nnàunà’nu massa ’ - v fui H ’

aH1.

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ç: tu: l, l siuammssnü l

’ a; camps sur"; humiliants.

h Anælnrnomn. rLa mafia nus ailes d’as. nôtre Pallas armée.

- Comma la cendra et assuma la fumée.Chemin: «lavant toi las Barbares summums: ’

Et tu verras passas. dans la mole humage, . a *’ ,Gorgô. le Monstre immquel. dont la me’ Fait se tordra «giflez-das mytilss sanglants!

. 16mOh! la nimbe et l’encens vers les alaises nuées, n Il H "

n Les rosas parfumant les tresses dénouées. V VLos 8011343941101): allumeurs de mon léger sommeil.

Et 16 chant ides oiseaux dans le malin vannai" ’

n mon: é. ’- a iflûtons-noua, compagnonsz iléus du luisaînlo Attique

Parlons dans Athèna la Parole Pytbiqua: :Qu’elle emplisse la Ville et le ciel radieux! sToi. reste. chai. Enfant que me gardaient les Dieux-lEn ce jouals meilleur de me wiséphémèro.Appelle lotît sa peuple dm festih solennel.

:3611. L

n Losîss Apoll la et; Temple pommela l r u .Soyezgmoib williams a: rendez-moi mystère! .. ”

». V ï .s- V ». V u 4 .. , l . V ï! [La q

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DEUXIÈME sans A.

nus. «nanan (la sans. )

* VscËnx-anMtËR’IË

,xKnËolvsn, . un VIEitLARD. ’ If

mâcon; V

0 intaillas-d, soultourüdo l’antique Maison .

Il une uses pères. les Dieux ont troublé mu raison.n Et (l’un âpre chagrin mon âme est tourmentée. l I . v-. » filons, approche, omertas-moi, sage ami d’Érâkbtlxée; ’ ’l ’ ;

g. ° flonfloille ma douleur et sache me vongorP " « ’ V

,, l i in "musais." Î’Do’qnel ontiagemnfgnt? Do a "

4;; l ï v r g "A (in litt-angor;-ï . DaïXouthos. d*Apgllônl Tous flamme: Écoutç,Ï vava-«anisa V, V

v ’ xnëoligs.

wifis , t A V, ;,V.T.Ï...,æ,.r.vnmiçemw-VV ntu! A ’ V ’ 3 .54);

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un- * .7 . A nommant» xv Viêîllnrcl. lilas longs outrais, tu losoounàla sans clouta;

’ 129mm nous enfouis. Reîuosamilsôrîtlor. ïJo craignais quo la mon ne tuât tout butins f

l L9 dans dol-mus unau: dansvnx’usïstérilos voiries; r 1’ : V a ri

Mais les mon. devant; qui mon larmes étoient vaincs.’ Mo sondoient vénérablo à mus pouplcs. et tous "Ï-

lll’hguomiont à l’égal du mon ,royal Êpoux. V I

Mâlntnuunt, nolisais! un: honte est assonas;, "Routines en-alravu lai promossoïsooréo: V r l

Jo n’ai plus (inopérants. ut les Dieux ont rendu »

situ père clandestin un fils longtemps perdu. ’ A

un matraqua), Â " f finCeltes. dans Atlxènn lammourêst venue r rQu’un beau jenno liominotuo d’un!) mon) inconnîo. :

flint muniront le Dieu de Pantin Python. à i I W N VQu’il enfila deXontlnos. a ,

a

t Vieillàfd. màîs’non le miam .. (a

o. . " i - un wssïnnsnn. à- ’ .. x v n Un. L .Cotte joie, 6 mafillaÂiêlasl le fut ravie, -

De vois ainsi renaîtront refleurir tu via. ,. . vNous savons’tes douleurs-i: tu infus posent d’enfant."

u a I (a w . i â .1. il;

. L *--. a

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s (isolation-inclue! d’une ivressoépllémèral , .

infinitum»; ’ à v. 7- in fille d’Ërôltltlltâfl. o nome. que mm»

Ë; Ç: Ï Non! soutenu garde Ëînfoilllble vertu; v

’ ’ Eulemowinenefiëmmtemhëefletebvuohm

nàfiouàa.

:7 Je un dît que «à? vrai. par le Hadès retouche; il

se r, Et par mes pleure. hâles! J’en atteste Pluche:-Î il Céleste; a: toi, cher fila, qulil me vint «sachet.Î le i 1Quendjo dormais auprès date grâce fleurie! ’

I h Penne-être, ô. mon enfant. seul, sans nom. sens patrie, ax(Munie-tu!’vogello’ndu par le pluie elle vent. .fifi r. 1’ Burin terre Barbare ou sur le flot mouvent: » - i

J I a ou. pour toujours. le long- des liois flaflas funèbres; VI î Chère (une, habites-tu leslmuet’tes ténèbres,

Ç: I me le seime d’un Dieu du longtemps je ouin mère! s

a;

l) 7 .ï-i’l’andis qu’un pinailleur-eus; qui demande mon sans; Lï * I. pua un sceptre eËjoult du jour éblouissent!-

m5; t W 1.» , V V o il Vù’n42; a. j t r » A ’ un aveignan-

Melhenîrselôil filent-îlien la luthière? .. n l. .Ï

nana enfeîôïîeâine. pour . ne deux.-canna à monomanes secret doulo Î a

,;Qnol es I e Dieu et sourd il;

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41W 2 î". ïïm’ï’ëâm’è j a 7 --

V menues, ll V V illa’fllûPBB. A. 7 I Ç; s , Doses ceintures longanime clouas» - ù V

L’aime faisait Éleuvoirssssoses ’

"I V Au ciel étincelant mirais;. A V Levant amalgame colline: ’-

.’*Ï ’ , mîtes lyïe.que,le restiezinçline a .- ;’ ’Purfuniaient d’une odeur alvine V ’ ’

L’air léger que jowuqsifllina a ’ k

. International a J’allais. foulant leslierhes douces; ’

Éveillant l’oiseau dans les mousses., . ; ’I’ Aveoàïlè’s rires’ingénus; 3’ h

H. J’entrelaqais en Banîleletle l zL’hyti’binthe elÎayioletto; ’ a N ç ° j

Dans l’eau vivequi lèsyrellàte ’ , ’Johaigneîsnpespiedsblancsetnus.° L. ’

N , - ï nanans; JJ ’ tu; surfins alors. 6 Raides" Piérîd’es. ’

V. "(mutin fatidiquolaurierl. n»’ affilia et beau, pagel! au chassais; in s

f vïâîgeflllizpbllll’fiuit les bichestim’igl f

Apollônlfipollôul ô fuissent inlp "Ilr .7 ïu m’emiàortas mourante "en fond 6.1?me cillentnagE

leudideslf a ’î la .. f’ . ne glglllfmjï ° N k l s

x ., l f.5 . LE) U .I L il l a» l j: n

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7-’ r 7’32: " ". v Manège menu. »; il?

V V V V x mon; . 4:,. ,;. - s [f fEto’est lardons ce fouaille lieu.- , a r, j le Que j’enfantei ce fils ne de l’amène îl’uu peut ’ d11j? (Je Vileequ’on m’auravi..quaud abaissoit-e peine.) V ’

j. - -. :133: Véjâ revende beautézeushumeinel ’ ’

’ ., animait; confiant? etjoyenx; V » r .. t, l splendeur paternelle-éclatoit dans ses yang.-Et j’oubliais me honte en baisant son. visage!a v Mais; une souhaitait; dans lagune sauvage»: )I * Il me fut enlevé perles betee’ZdÇes me, a ,J; ,. gens nous! Et je l’ai vu pour la dernière-fois! k

.. "a!’ æçu

h V ) ixkçnfîsn gemmation-Ç. in . V. Vï-ËEÏÏ ".Omellseureuee enfontll’ÉEôlrlstlsêg; 6Mallie8se. Δ!!! l

’ »Qne:"n’azgnn;gàieayeieer capteronde’âétreesel "A ’ v

.J,Müsiltefaut-subîrnnmalimmflîçe: Ï V Ê170e que veulent les Dieux ne panaméen. r Î Se;

a * initieras; ’v

g, ,1 Quoi, vieillard Î je verrais, d’une me Inclus civile; » iA; (le: Étranger, siégeant, écolâtre en mon, me Ville;

ruai! fils quinîapôîntdeîognlaeau I Î a pl; V a. ï- ».x,;,;EVtr..mê 9115 même tahitienne! Sangæemâal î: il.

 * Non! Gîest à ’ioî;Ïplut6t, ’deëooudèr me haine. r r 7’ 0’ -

v . i Î Non! Que meure, on je "plus me a,

ï a a Jerej0ins mes aïeusret mon filochez bâillions! r I ï

(3 fait H ’ * *

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*:- aisy! 1 .’ ’ 3j m’ennuie-ton; .- V A

r ’ ne YlEIÈFAnnf’ ’ ;V Par [Immortel ell’llomzùe à la foieoutregée; .

’Reîae.’teësur’erteircommunisée! ’" , ., ’L’age aleegebe.meitâteet-roulpuma vigneau); j V V ,

g- Moisle neige des mon point glacé mon me? ’ (îî; reniflent: WMWOMËWËRPPÜMÏ, i ’a a Ego.» d’âne main sûre, et. géminent me me. 1 Ï

Parus! les coulissier. les dansaient les allante! ï- ë. j rebattrai au: son front la hache aux anagramment;

usuel-eues. I ’ "Ta "a!" mirait trembler. me; 190M de violence!

flicaille!!! Usons’plnteg «a, sans»; .. v .

6 H.

aV - engagea»;minaudoit cognement-l! 7’ ’ a

"Ver *’*’6

anion»; aà - - 1 « . . ne «puiser; nioij

donc.k’l’u P812168 réoits’âncîenst A fie:

que le 9411111108; amie tempsdeymeslpeifes, *Ï; 00336, le cheveux de vinâtes? "--

’ ç, me

. fila .Ï j I [Ï

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logement! «me; ire-f1;il.” "Anion-illuuee’ mon: ennà-omnoisonne a j :ï . Boltzmann est contenu dans coter: Qu’il’e’eu mêle

7*lluo-gouttenuvin par dont la coupe étincelle, ’g Qu’elle amoure en lèvre, et régalait, dans les cieux,ne! mine me?! que lame qui fermera rie-rem; °Î 4

. ’ ’;. Ï"7:13*’?*Êï!’emni-, vmoumoute ramena commence fierai ’ ’ A

3! Donne! Tavolgnte. me fille; sera faite. i ’

k . k "à. i . kanoun. ç .Il? 1 a Je remetsi’maïveogeauoementre les moine. viellera. "

ï a. ’ N’hesitepeemgis sans pour et enne’retegdl

.- . Une gonnelle sang dans: une coupe pleinel;Ç Souviens-tell Mais que aulne te empenne!

Ç; 4» .- ’* La"! "muser- ’ j; .2 v 1 " : ’ , V Reine;qû’jlpn appellevaul’éleva;Quitusernasyienglée,rouj’anraâ r

I ("v H kanoun; Il I .-â l . 1 V»Vel7 .ù

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1 un! à à - "wallonnes e

. Oui! [le sang de Gorge, nommoient: ardente flanelle. faim

- V ’S’ÛBNE n

; - l ’(kdeeoeeBAVsçang; Ï

l 7 Va dessécher sa "veine et lui (lovera rame. " ..à. 57:1! herbera. magnum son’fragîle orgueil.” v ï :

Aussibien en fortune insultait à; nîôndeuil: ’» e z Et de l’antique sol de mes amuï. leur «race. sa. A» Moi mofle; en: dispetfu; sans laisser-plus de tance

î rQu’unpen de cendre’hu vent qui la dispense. aux eienx.-

ïDîÉne de un son; doute. innocente «grena est: il , :3 :j

Et :qu’nn inel’œdroie s’il luilpllaltlr; 4

y ,if; ÏËÏEst’bîen mort! La vengeance est. der!es.’légîMe. .

f,v ,1;à!” .

g: 4fi

Qu’il’meupe donc! L;

k Û J Mouille. guideseeidaît-iles Biens r

O y

"Ormon enfant; moisioette’jeune victime, i .5: .

o

Ïj honteusement? estlâo’he, et monmeunmrmuxe;F pagus sermon nom une longue souillure. * -*

a

’nxwill. n ’ l ile

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segments mais n’y-r-7 ’GetÉÎphehe. si, beau dansez: jeunesse ou fleur.

ffÏï’Aet-«il ganse mahonte et me mutinement? - IQ "Et-616,8 que je l’ai vu. en: les marelles innovées , . ’

Du Temple;eouwonné de boneleedofeeegç L’arc en main. souriant nous la-lumiernlettol  .. s

Que m’eppamtjagiis râtelaient Immortel. 1 VDuiuvinoibleattreit ne m’aètnilpas charmait. ’ V fi ’ ’

’ une me. j’ai au revoir tu me bien-airnee! vn’eàtâl ce file clou: et cher ’â nies yenxl.

f; 1..LQu’ei.-je ’t’aitl’EetnilÎÎvraii’ Le sang prodigieux’ V

f 5: :135 Monstre va glaces sa jeune âme trahie! ... l” feueste vieillard m’a ter vite obéie. n a

j l Puisse un Dieu ralentir les rapidesiuetanteÏ. S’Etni’épergner ennoie forfait. s’il en est temps! .

ApollônlgApollô’nl Je ne veux pas qu’il meure! Ï

p, tu -z

fi i l, il,v V n Væ

s

gy P "

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r les: I 7’ panneauteroit

senne m

V ’ . 4 ï KRÉQÙSÀ. en (lumen une Fauteuil - ’ l

p I ouin-tenu venue. vl Maîtresse. Mer-ombre natales haute. Elleetllenra » "

La; nominale qu’un dernier rayon d’or éblouit. un

annulant natrum.Les astres vont briller dans le divine nuit. ,l à l pEt des souilles glacés tombeau!!! lourd feuillage.

Viens! " ’ k. n v a JLa spectre éclatent enflamma dans lofant! de tantine Je;

. et disputait aussitôt; ’"4 6 ,

- panions. » ,4 ’-i o ïApellent c’esëtoitc’gaimçaegggignée-g 5. ’

» . emmène avenues; a» V ; au. , si

Il Où figeront tes 36x? Vera quittança-tu 1

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onusiens eauruïr’ l "F ,. ont! A I

KttIitIttttA t

ï-Î filleul: Apellôu, [boulonnai l! ne périra peut

Je coure. je briserai ln-eoupe. Sur ta tâte.Vieillard. ’nîaceoruplis’pae ne eriureimpiàl Arrête. ”g» ’ Ralenti; de mucher a l’horrible liqueur.,g- Il à Venet; courette! Mes yeux n’obseuroieeeut. mon cœur

il .S’eteiut. Je saluofô compagnes nueras.1.42mrelecher’eliâggmou filedaneleechenrped’Aspllodelest

Elle luministe» tu bras de «tiennes. qui fleuronne Lea fieu! de la seine n’ouvre et la tante (la fil!!!) apparaît. Piliers

mimi de couleur: variiez mafia: tapît de mamie emmuriez AH une punit «leur tante. Tous en hémicycle allergie de mm. de

’ hmm". de gaupe: d’oral (l’agent. . ’v

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and - empenneras V

Senne Il; l J

les. Businessman. Juana l Parurolaeegïg:Niuvhuu ananas; à courtes tuniques merles. Ï ’couronnées defleure saurages: lionnes. Feutres

V . causeuse Fume un Prrnô. e

annulant: ouilles.

v l orneras. iLe fleur de l’aubepiue entrants. I

.Cher jeune homme. nous secourons l ., Du sommet des monts solitaires, a ï.i on fond, des bois pleins de mystères

Où bondissent n’es pieds errants.

Du bort! des’locslwet des tenantes , Vou boiront les gesses cerfs maternes l. ,, v A

a il Qui brament-aux’ en; taciturnes. r ’

gazonnerais gneiss, O:. h 1 . " V. «sesseîraortis. l. ’l ” ’ ÏÎ Ï L maintenus ï: J6 l7

"soule feuillage’des ragea ° n

"MI et ’«524971455, L l l. w

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Quifrépfit, que I6 matin dom. s ’No anivrçnt 11h18 dans lÎuiwunnom ; I ’-

77 Le vol des; sauvagag ramifia: IEtjumùîa Plus. dans les halliers ’

° Qua parfuînn ratinât des sèves, bNous ne elmnùnmiisltca dont-1 rôvcâî

miniums magna, à4. ’1’ v ’ ’ * :98anPnjs’qno tu vas quittât la saint’l’nmphet les bois;

V 15:13 Sagan qui fluo aux Roches Pylhiades.’ï Salut! orgie la 61mm dansant des Oèèndes’ Rèjouisse Wh îemc une (laitière fois! v

,. Dam". "

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127 «wifi;ü

Mr T -;’ ’ .

SCÈNE V v-

LBS manies; LE VŒËLLAË’D. Il 9mm

F08 6011118 à la mafia.

maman naumamaw. nm, un, wwwI 1 Je!» lima a un. - H U

Nourri par initias dans la Maison gdîvîno

Où toi-même ignorais tu célesta origine.Il sièd qu’ontrelnçnnt ce Hêtre à les cheveux. v .

Ta; mêles à nos voix tu louange en tosvvœnx, V - afive ton front pensif et parle; ô cher jeune hom’me l °

l Ca Dieu; t’aime; il convient que in boucha lb némale. » "

» 1610;Tout mon cœur est empli d’un noir pressentiment. .nJe ne sais, mais gnolqufun me°haîè assurément! . fi " àDaîmôn, qui projégeas ma viqet mon enfance. 1 . ’Pardonne, ô Loxîàs, le trouble quit’ofiense! ’

Æ E5 vous, 4mn. mêlez. pour lexis et pour Phoîhos,

Le miel Auiqué au vin parfumé de Nues, .’n Et mais ÈRËIEÊˌŒMÆPŒFPËËÈ

V ° a!, 4L...-

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Ï amomes smnssxn g l .1 un .«mon:

V .Â, l ’ 1m maman».0 cher Primo; miel la coupe peflpnrée.- ïcîloçoîenln de me mon: nouoit: de les aïeux.

e 41qu chambre est blanche. Enfant. je suie bien viens; v oJ Mois jo manuel coulent, si (in daignes pommant) r

51 Qnoje me le me dent»; Xonthos. mon malarts.

Ë I ’ - .. -son,L ” Donne. Il m’est dans,Homard,(lïhonoËeNeelongejonrs.

” ; Quo Pallas bienveillante en prolonge le ceursk

’ ’ n 7 . 141m4 le coupa.

ITÉOPÎIB. n

«7 Païen! Gloire à toi qui fécondes , 7» Leskfleurs et les moissons. les bols. les mers profondes ’ *"I Il , ’ D’où jaillît ton char immortel!

fi nomment du vieux Pylhôn dans son aulique abîme." Viens! Descends sur l’oùguele cime à "H Où l’encens parfume [autel .

Et maintenant, salut, Pylbô; rochers et (artel vv- 0 Îei’nple. mon berceaùl Noirs feuillages desvboîss ’ ”

en Vous don; Knslelîn rafraîchit l’ombre austère. v ’ 4;

ï Recevez une par; de la coupe où je bois. H 1 î D ï àIkrlpejnd Quelque goulus de sin. Les colombes du Temple I

- valent 99 et la sur (a mamelu posent auteur de lei. n ’

ÀflïlflïnûPISu

»I ., "Donxvoiseanx.coïtimbw’âdèless Q .staminée. 987bëëlèm°nëdïîl°âà;a

a

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-128, Ç ,s’ouonnoumü Il ’*a.

V Ellleumnuxon front endormi, n. Salut! Numéros pas qu’inflemps ai citer fontaine.

0 nouipngnesile ma jeunesse.v Vous noveriez plus voire outil V .Il!» du colombes bull le vin «pondu a: lamie nions. Î

Dieux! Voyez colle-Ici. l’aile ouverlelfiQu’o-t-ellei!

N Répondez! Elle a bu cette liqueur même; ’ ,. r "ï

Et ne respimpluel » n r w Ç ï l ,Il (film tomber la me. Tous sa lèvent en tumulte. 1.

’ maman sioninxcsruun. k, 1;l h O teneur li Trahison " l

nommé: La e opens! pleine de poison!

’ 16:1.à Il Quille vous a voulu me vouer à le tombe!lh Qui nife versé ce vin dont meurt cette colombe? «5 L ’ à Il

N’est-ce point toi. vieillard in L ’- V

nautiàu’n ssnenxnxennun’è , x.

V Malheureuxnépondsil. g ; ’V

malmène esquimau-non.V . V ç ° . .. .u ouïriez

,4 iOnil-Nousîl’aivonstons vu. Saîaîsmale, c’est lui! "

K. tu VlBllJ-ABD. V

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r unanime marie,- » (V ses:

’ V5 V Seveie’wtunla coupe empoisonnée? i V lL Était-ce bien à moi qufello était destinée? v W l »

4 1* en Violente». * I’ *’ . Jeune bouline, mm dit-e ü à" Ï «

il l 1’08; , * * h.- v PouiquoiPQuet’ei-jofeiti, V g » Mois quelque oulr9;,:8nns gente. a, pour ce vil ferloit,k I in; in Armé les vieilles moine lâchement homicîtlee’il a

r . ne l . I. . ne viexnunn. -v Non! J’ai voulu venger les vaillants Ërëkhthiiiee LV iflSur le fils du tyran Xoutlme. Aucun n’a en

Ma haine et mon desseins-Moi seul’ni tout conçu.a Un Dieu t’a préservé je in mort; Soit! Je livre v

Au fer le peu de joute. qui; me restaient à vivre.a", , Prenez-les,ifreppez-1noi de vos lutas résolus. T k1j Bâtes-voue. J’ei tout dit et ne répondrai plusr k ü -

i menin ocieumosoiciwympqum, LŒ’ilgseit clone fait selon les Con-(31’993; 1

"même a °» v V Veji- -L miam ton aveu dicte ton châtiment-g - ’ . w H7’17 filée? Pieds, leSPOÎHBUiéS- temouiggàlençemaùt :7

me à. ,A- h .-

- g n "pneuma sans. a Ï

l ’ r I’ï i L 4 . :7 VIK ANA" K

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7.x; ,e’ïo’ççeouioî * Ïfi "- I " 4’

7.. Sermons mon ottleeeigleslientée . - a V .17 »la Quiheehesont du lice in clinitjonânüglanièo. a a; V;

rouleur du sont. letton! des nuits, le soif; lem. ’n f. i ’« pineau; on héàiâglbîlgifiüïltâ. prolongeijont (son: , "-

Pois l’éternel Hadès eugleiitimlonflme. k’Et les Dieux 15W! «lugeant «undwinfam’e! 7- à

l 417.1477); gemmant; 7

O’Lexîaslmdsémeile puîîeîaîuniai H

.. meedœeonnaummmm 31- Rilmïëw’ëivîüfieüos’n niebtmm au

L ’Seushainootsggemdggguggigœmg. lKiwi."

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l ingambe: une; : l n

.4: V0J? * - ’l

k ’ exîornsnnkpùuôp h5 i il utoËtl’IQue noie soit! L’arrêt ut mérité. l ’

’ ,, ’Wnsvulniiëun arroseusevzîïw’â " i”

::2,.All°nsl.MalÈeure maquassent «En me - - ; hDommage fogfeiçqu’il eueit’mé’di16tVV , » . -* 5

. o

’ . n in; oiseau; entes-s emmenaient;

r subintrants sirotera: n

..’nnâuinnlî mon . - v

* : ggLaplueeugnsteî iodes-Déesse.st r0. .7VONéniéeislt’eneeilkdmn” ’» .- -" V

fi Plongekdênsilesarrmesktieitressesj Ï 17- ’

fiâtes atteintes même. V riî v»i5 ï

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, V 7.0.: : » r V Atuglj’nnlu; 1’ on. a.; * ’ -* . ’ ’- w.;u*i:’œ’; - É

le! 1° Son cœur 61mm! ’tèl’entenÂtfi-F

k r haletant ’amination 1’ : . ; . - I 7 - a";AEnlre’tesmÎ insu, et; l

, V V -- . V I; 1 i -- ’ * V v V ’ I A ài r ’ g simulie»;meneau "esse-weeæxâ’mcra ,.

Jeeeuîsnproïd’ai il ,LQÉIËÈ’ÎmPË’mhmap v

1 - 4 T. ; 34 Vennuient mon. z z ’-,’;,-î

L l a l VH »Ï. .ëïïân’èü’uüfléïël

l

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-:r unùxiàuu..èenonn à: L Lat-53-

g .

u.Jî’ ’

L sans la; r V. ’ .’ fin;une;magane

" me Fantine.p

2;;ïfihàëeïqeyhükmdeuenmm

Et. à fi i a Ï):vPRBuùtngsunâ.L3 j

elfe? fumets en: Dieux. r t L "(mm 3ms aimâmëéïdëùn’aiàaëa .Î

[A54 mæufëœtleparole sans?! L L

.ASd’Mï’dbncïïümeoüëîræaflàæoisonr. ï 9 ...-

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534 V L A L’ABÛQQQELIIRLL, A

LL L ’ Ïvnuumn mon. L V. VL Comfilrespire’enoore; r V ’

L [mies l’a gaulé de son vil essneain, n »’ Etl’horrible liqueur n’e point brûlé son sein: r 1

MnieL Némésis communes et veut une victime.

[ilote «flegme. e

l suçon,e!t;f - ’

ODieujjpll m épeignesunorime!’ L’L Leiesez’là «vieillard.- h’a fait qu’obéir. 7

. ’ Et. si je n’étais’neine. il ’în’en fientait punir. ; , L

c’est moi. moi seule". hâles! qui. dans me noire" envie,. LÀ.1 «ne l’ljÎphèlie innocent voulais troubliev’le viol j! ’L

- ’MnislpuisqueLoxiae nous a souvenons lieux; . LA b: L* Moi de ce crime et lui d’un destin mmheumux. L . L, "V .,

u l’item respireencbw’estbien: . n

r" s .Ü. : t L r,

L L LL ’Femme!nouese’mnies’ Kin; les Dieux sur l’isole et les hommes,-L 5’1Vienel L’Erinnys suit lesfmeumiers’ annamite

k .-Se’"rit’deë seeptres (rejetées NinaolentSQj ï -à Et; les déreçinant de leur orgueil EthéLl’bLLâ, W .7e Elloalee fouleiaux pieds çoxnmelà fange .etîlïherbe. - ”-. L1 ne

’58

Le pennage serae’freppéejet; tenonnons” L .

Mess w L o1°; r? Momie! Ëttievoszniemsilvonsne mon ï »* 57’

Legeuple d’Atlièûa,fiarl’alance’etJ-’epée; v v’

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2.3L! ï j.

monument)! îï, L " .135 e j!en.emmi-m Pylhô d’un sans royal L L .

L L Et sienne survivrait du LÏeÏnfilfl ni de v9, . : * " Lr L 1 V -. loueuses! [Leieeoflà ont immine. ’

ensuiànL.’suou-;LL

:LjSuieougus au Sanctuaire ou alèse la Justice. ’

hi

L’ mulettes. g L ’

,. . , l«5’ .. " G: ’

gnangnan mine: r

L L L LvnnutBn-sno:,LL t. LL L L « ,L’Qu’onlsgàisîsse! L

r yl IËQQUBLAL. ’

9 hies A130 meneau r lmaman sans, --

gnangepgae. Loiîarplfononcera me; * f L Îmon: obéirons. qu’il fardeau oit-lehms. z .

’ j nennazdel’aegüpe mon; s. o

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L. TROISIÈME mm : e «

’L renflai.» du Temple de a...- uaucg. tourailles en mangue;An tout. le Seritïluniro o lamies. A. le droite de le statuette LL A?

V j mon, sur nullileooulgàpgdomràïohlsuogle Mpîedtl’elrein .

LL à L’as L. » ’ ’ p .. L 6’63;L L * ” AL - ’ 1 ’L "Le

SCÈNE en muons"o ..«.L

L - L KRÉOQSAt .CLueaunLLLnus Rennes. ’

r H . ’ * nuiteux:- . V.H Père! qu’unDi’en terrible engloutitoutœfoîà, 1 L ’L L

L Dans le terre heaume neige, tu le vois. L LTa fille misére’ble est vouée mangeota! L k v7 ,4

0 Père. sapent-il Qu’un’tel sortfgcoomplisse? . L LLL

t -, mon Jamie detonsœsillnstre, etvoiâ mentit: ., *-piner d’un même osera me nanti. o j , ’ -’’ sans que l’Ëpo’ux; rayage: loyale ÂttiqLuLe. 2 V »

L V Me puissent préserver (le leÎlieinp :Z V; .v: ’"Ç’Jodorseans «me etLrânojEst-il’rbienvràïî! mayen;

Femmes. sont-ils ouvetg-Làrle clarté des cieüxPLrnc » .

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* moutonnions!!! - LL L L*’-,.Lt37

if L7? ,LTendresmeshelleasuniun, potiné! Si jeegçgugeille;g LL’ Voeohèros voix seront douces à mon oreille? LL LLL L LÏL ÎL Évaluez-moi! L’horreur du songe où je gémie L

Î L L.Fuiro si je repose enlie vos bionomie;;°L Mois nom non l ce me: pointue voie songe: mahonia

Est certaine. Le îlet inévitable meute: I " ’’ L Rien nouent m’arracher à ont emlîrâiisoment A L

. * v illortellLJo vaieLmoueir! O Damien hammam, LÇ E’Qni m vois,*mellienreuse. à les pieds nautile. v L r ’

1;, Toi qui’m’oiinnejndîe, (S’est la nioit: qui me tuol L

11;? Landes Apollon. Dieu vomir]. Roi du Jeux». L L LL

Jfoivéeu’ de te lubine et meurs (bien emonrleL

L. emmené uhlan. LL

. LÇLennutànu sonneur.»aljernière’lîleunhes Érèkhthidés.

L f5 OLlleine.LenfonÎ des Rois anciens, - n . L’ "que n’ai-je lesLàiles repides . * ’ a 5 A* * Des grondoitîglesLOoranienel ’ - L1-

Jett’empott’ereis parles nilles L *

L L Jusquee se; fivesinconnues L; L,L L, L L :1an l’homme et lesL,Dieux"sontheil.lLeum, LL

Païen l L Où le temops charme les peines: . .r L jTe verserait à geignes-pleines L; si? ’ L? -

LL-. ËÔËÊLÉËËHLÏQ mÂÎQËÏm’ÉtÉ L L L

en, zh il

., L L, agnelines: L L ; L 4L; . Â LLÏiénârai 1 mon mon; novâtem f * .:v se :jL’ «à

"Lésion «brillait point sesæhoùcles L Li L L "

20:74» .w - m 9L

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aux! A a -C’HuI-urvrlgnL L Saitailtnen repentir plus pronipt que in; fument -L L

Ah! sans doute. il rie-songe àmoiqu’tlveohorroorl

GÎÎLL L LL noumène! anus.

aneurine enttoraowflr’file amer des Destinées L;

p , pares à l’horizon blutoit!

r Noajours heureux. feuilles l’enclos . .LL. LQuîrn’entverdiqu’nn seulorntin. v- il ’ g

outluit. h . foremjéuecsset L î .île-Li

L o " * o a LL’ mon qui ne reste. ou en! renaisse! ,Et, pareils (mollets écumeur

" Honrtés contre le dur rivageh L L LLes tristes mortels. d’âge en âge. .

’ Gémissent et passent comme eux! t

,9

Je,

" ’nnLâousn”.Ï--

v . , a ; ’u, K. q ,. . L L .A salut,x ,’. in: ç r ,Lii x; à à; ï, :1! a. 4.9VA à. m ; v. A: ÂÆMJÏsud

. Oui!j’ai voulu le mél; j’aiméçlitéflle crime.

Et. s’ils rongent. frapper. 19,60!!!) est légitime: s L l . ’Mohqifiinipprte ruades rempli d’ombre et il’elli-bii’ L «

L’opptobL plus eutectique le mort «tamtam ’ L

LtttonLÎÈlIB, perm-L

»’L’expîLLation ,.te.qn’niieronile vive, V ’

in r-P: orateschêieexneinégï LLL L, L L,

Quenepennetposquel’ I f’ Mutine; d’antimoine; 1

a ,v W77”? gram

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L a L tflûtàtûttfi sunna e. L A 139;

L .- Ne désespère point. hausse-le tête et l’aine, v -

et L e Souviensniei du 55mg des oient: . gL ; ’Et. a’il te l’eut mourir. meurs-noblement. ô lemme. r

1» h En feue de l’homme et des Dieux!

L IRÛOUIA.

L oreillard retienne. ’ AODMrdo me vie ambre. r , L v LL L

L Longtemps pleure, si (et iléal; L rTu n’auras peint nenni: tu même;

ses venir ne murent peint soufi! ’

L Dons la Prairie aux fleurs funèbres. ,Où log Morts hantent les tenonnas, LL »Si je t’appornissnis demoin. »- La LL

Tu fuirais mon Ombre (limogera.a Pareil Me vaponr légère- L LQue ne peut retenir la nain! g L s

v meeting: surtitrerions."Salut, Menu engramme, .-Ocollines de le Halles! .. L L » .

j à Et toi qu’ebrite là premièreLL-

L fie Bouclier d’orîLçlePallâs,’

YL L Qui resplendis permi les nommes -LL ,sDn’eîomeoI-âilont’tuje nième; e.- LAthène,LeelutlJLeLt’oiinaiLs,’L*

à: " LLV Rwandesüeu,vmegeinœlLLL L. Quo les vents te partout me plointol ,, --

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g «au n.” géniaux»); I a

-. finaudrànrn imans; væ 4m.

gaina. il n’est plus pour toi qu’un (N’use suprême :

Entouîo de tes bras l’inviolnblo Autel-æ

- Quo un Ding qui tu hait to amincie mnème v

r a Et le mm (1910089. NM! »

” KM;u me; m (la FA8mm (113:0! la Sacrificalaafa. ,,

a; g;m’a:

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m.- " à! ..

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7,3 TIlQIBIBMB mana». 1 r un! 1

smala il

mammmfl; L125 sAcnmchTEuns-L

à .1911. mlpâanuàdlamaùa.’ ’"

j. Femmes. intimez-yang du Summum; minute -- 71X 1E9: venue. Allez! Toi. malhonrèüsa, démonta: "Ï

a ’ niant mouflé. Les Dieux-,3 damoit iùhùniaîn!

r Ordopnem que tonifias soit marné de ma main. » Sonnets-toi, ont l’arrêt terrible est juge.

* théorisa. "(a .’: il . ’ ’ k V - ’51 "1 Là: La’snîfletâdü Templgenyîronnq martètài ü ’

si; . Lutins me défefid’cqhtmv toi, mail-trier! ’ ’ ,: I’ Et l’Auiel, que j’embragsé..èàt inon- sûr bouclier. "’

- , N’appiochopaeraLfirflm «mimoit? *

’ " manant *,AblSQîËààeÂDÎçnquiteèçndgmnaâheins," Ï; î W

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142:; ï - ’ ï g’nwüræoniufi, r. ” î

à; fl’cst’ Ôçî.- toifiàùùl’ lîagdacerîïnvâàlïnâ-îèî’vsén maki, V. v i6:

Enmédîçnnt nia mutiquîl’âs offensé; ’

.7 M ’ ’xnâotiùo k, un »

Ü ’ r - V * Natif ; ,A , Tu n’élgiapluaàlni. mais’âVXoutbOS. Ion 99m.; ’° î

(a. .0 . A n à rôti. ’

--v-«-:ÊLoxîas m’a nourîi 33net sa Maison piquàro: l V :, » à v?

laminoit minutai» , ’ a; V »- ,,à; théatin?

. . , ’ «.Qu’imjrortél-TuÇÆI’âla f 1 Ï Ç

Ta bâîsîradupaysfiu’sceptre.damnais v ’k pas nîeùî..atulm6prîs acharnant; cintrage v ’

Alsnr’sanaw r üa ’ la; 175163.; ’ V M V ’r Toits clin-vbîenà’èônt’mbn juste héritagegj’? 4 à

xonûmà [signifia conquis. Résffioi; , "f-Rëmènapul’épéeeflïallasâ *

Mn I A vkq V ..’: J. . , I VA u

., V fi *mwmrmn*Léntkqngfankèrîme Enfin. k V

si W».

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l; anniëiâgàèmtxâfll. ;Â

influa;’ wigwam m’len.hr.xraçr:har.’rîïrngiîal î

v * Trams; la nanisai Wæihhdoncn liât»,

Je mi qüîgficl*aîpoîntlèmlfôfianqtfiairm V7 ’

il Jïambmssb wigwam. 6 Lôxîag! Il * j Ï ’

r.

, fiÏ: - je 11’689 l’apprâchegvfiuisqn’lun Dîëg-îln ’çlêïond.

Les sufiplîants sont chers aux Daimô’nes. ’

’ a panama uunxéica’iguü; W

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JègoSdo’Ëèthô kront ànqmîg çàiaëèéa5, .7 V" fammé qgfconjàblàemoît êtrevr’frlamsçofi

L gèruàiùggi; filbnrbxopkfii. ’

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V «lifs-Îïikq’üïâîifiùïënwîu:’lIiïëæhéïiàié.iaggsæ;,1 ’ «Etchgrçhef «saumoneau; quirfçt,mmèrgj ; Ellexît, pueplem’fdet tacheté-mi ses Bras; ’ Ï ’

W. Vit-mis. ètîsôîsrrhanrèux; tulnglœtrouvmsla f

r, J: 7’ L; r wÎ a ïénéràbléèV Î, DÎÏËaSfiCG.Ëhîqüïmflql’àsyritd’m mm; g ï

Salas! Je tégglijge’ènuayaEI ’- g 2

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"5’ Ï chinent. lul’aè gardé punit-flraiï2Je renaudait. tremblèdçoonnaltra ’ f Î,fa: . Leçherçeèrètàuétücôxjfienæ -î N u,

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’ . 15.5 à érotisionnaiuoâ; :5 .’

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V v V ’ IOhiÏPaàmesplemsdËvraÀag,”Par les méfiât. par l’Aîthèo’vast’o urœplenflimnt, ’ ’ 1st r

Apxgès :an de loggia joui»: j’ai retrouvé mon gong! *’ -ëfiTn vois ça me». ologtiqmèrov-quig’embpamlr n ’ . ’ . 34,5

’ hhqxtasjll’o cmèmjeu.-salauiéiaiwasgm; L H

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I Lq;ï:Race’a’reflenri délia Tm’ ; V o ’ uï Été fier. Parmi MËôî’êidïsmjmfi’hérîfieàz:.

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L- l V V A 7’ j ’ ’snüoùsif " ,

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W: ’ 4 Emma et vivant me: démon auho première;Ô Qui’rasplendia dam; 1’011:er où je ma «usurpais; ü

ÎÏÏ’Bîen;tiennepourrapknmuaaêpaçèrjamnisl .

Viîh’mùàfimàvëaajgf ’45", -, Lflfrâélpimmmmt.) Âv .7 à. (A o fifw v

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«ï- Le Roi Xouthos miam; si bouquinons perfiueaf k

"Malheuràïnousmêlaal o . » à ;

a " foaâouol.j. °h fi I * æ .-;Glorkîfiezlersl?îkenx’f ü «Î’ lgùoiùbtqnomfisïrôici lesjouùjoyonx :p, ’ ù

J’aimmvèmqyffilgl .- 5;, 7- r ï -’ .

5° * a ».:153Ïokxànîi’x inguéffi k .7

’ chère Reine? I V» g :7;

I QBÉOQSA.; a, L 7 V Vï; quem: Époui 1o sàohoetrchù’Àgbèna.I’nizpmïnoglï . :

7’ d Annoncez les Norma mon omît triomphant. V "à; Je tomate :°Apèllôà mÎqÏrendn mon’mfahtz- k 45

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- wwnolalanalmn’uo’ o 1 man»

1 .7 . 11 1 ’Iwgoxsnàuàîasuaog .k 7- .*1 .11Luîlpat’quimdovoîa àourîrP’O-Doâflnéol 1. V1 V

.. irrigngoqaz... "’ o

. Nos yang émîénwouvofls1d’unoôpàîsào nuée: .

* on mon l’a dissîpûo..à1lloz.:fommcs, coures!

f; Quo Pythô rogantîxsa’ mi loin: de chants sacrés. - .lofënugdoà"!aut’aatïx rtüssollomtque lû-flammo ’ï r

il . ** S’ollumoNo le dia à tous et le proclama: 1 1 r1 ’ 7645510th homme a?! mon fils pleuré Longtènips envaîn o

.1?» r 1 En: 7191180111 héritier aïeul divin. - f ’ ’

Angy ’ . J t ..o

ÏEËU il xouthosausâîaehûteotîv’îenne! -v

Ileuollo félicit6.pè:a,sora lotionoolf 7’ 1

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. . jsnfièùèa’à 7 7’, .. . o K. V1 .

» Xoùfiios foot rien gong toi, tu iræ-pas né do lot 1o

Œ ,1 1 11 à 1 Rohan;v1 ,7 A ’. Iæflopbeàù oupfiplp’aim11ul1”.

. ’Snrl’unîon Ïàtfllçïquîfltndois hèvie. j 11 11Toi dont l’ânejnoîssatito,hélantÎinofiltravie,.. 1. . ’

’1 sache onfinconsecroïtorribleaoî glogiemn 11 1 » 1 oGaston plus m1310 sang, adir- o’est’lopang f’

, 010111641113ta.v9ine.ôm;on’onfahtquojfgimelÊîMWWÊWWÀPQÏMnM-mômel’ ;

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’ :ègàmàuâfnnymj 11

.11 ,1 , 1 ’LmnfioKÈuV." F 1 1 1s 11 Réjouièitoî57ëâuv1noùqfouira union: ’

” 1 1 c rima; à 1 1. 1’ r .-QËQ’nbâ8Ëin iras éonfiortt Quo-Ça longé; oméga! f1 » 1 1 ’ 1

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Q o.0 1 1 3mm.- 1 1 1jlfiirxîgejèoosoloéù afigoissçsïiassées; a; o39mn fila. «silanigaaeoqgivmambigu; 1

1-A rayé tonnés mon): s1’il me 11mm! un; ainour.11 ’

’ H ne: . il: V. un" Il r1 a 1e- ; rrl’îornooamî ° o ” A;

. ( ï D’un étymgo’myonnomenggn 1 "Iflafla une margea 1mm àfëpapchfiîl’aogoxo; r

:1’ ’IævTempleÎf’MgaiÇ v

311! 112.1 ïj’ÏÀuËnnjoàâj.” I in 119., L’àixgbroîàiennè ôâenraes lysètdeîahmy’rrlg’e .

:. - Momja’nmmwçh. A: , .7 v7avança: sulgtîl et’zfrgîgxîùîa "a f

il o W451 mû? ûpfiaraîmâ nubien? j A h ,1

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x66; - * . Q’Abëntonxnw -- . 1 *

irons.»"’ 1 1 1Qu’eçesrvoùagâformoa sublîmgsë. 1A 1 -’-:

SpectrasounDéeases’.’parlozî . 1L: 11 ’ V ’ "

. Maintenant; des 899111138 abîmes? 1j 1 Venez-volumes cieux flafla? f 1 1

Ï Le fen’dîyin’ de vosprunellew 11 1

. ’ r Pépèuoinon-omur nomspotîéa.’ ,-

l Que vous êtes agamies et belles!Salut.,pleîn1es domajestél ’

’ ’1 insultai: mais. Ï.

’ "lingam aucun.’ 1 NoiIosommos les Viergas norias,"V Délice; du vaste unifiais 1- a 1 1. -

1 mitres d’or. auxhuriemverts; v1’ Juflàvres’tonjoumînîpi’réés. .. r 11 1ïù’L’hommo éphémàl’é.ei1àoncieux - ., ,

LEtl’Ouianide au fond dosoient " Â fi v a"

Boni-31mm: de mûmes. 1 i’ .. Eiepsrfgîs, nonàréjouîmns r " *

’ De nos*ixoùioitolles chahàbnâ v 11

laquoit: Hadès où souples

ï 1.*:6s.11

Je hâblerie à??? . a

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flamingant 111117113. n o ’ A .1110? o

»1nnoxlàn3 abat. 7- ’ ’ r 1 w.»

usinâme- A’nflaraoml. 4 * 1 1Auavefàlanuoiofioîe X -*. ’ Erin faire: sànàfindos temps. v Û A

Le chianti des nageâ-éàldtantsi

r a En soumet) nous burinonîo. 1’ ’ ;.’11:Toue n’est qu’un’âehodenosyoîxs

’ W L’oièaau qùi chante amnios bois; ,4’ î ’ "La mer qniïgé’mifqt qui gronde. 1 1 1.

1 long murmura des vivants "’ Ethlgfoudre immanent les mita;»Ger1ious..aommes-l’âme°du mondai. 1 11 1111

1. Lq11lamîbæ incarna»? de la "tous"; V1 11-44mm. 49114111118 Km. A111 mm!» gazai:f1. 1’1111-11-1ùæ4thênaiulgg qu’elle un: dans l’avant? :*Aciopole.lParl&15non o

4-11: g 1,150: géante (clama. on maïa. fihplæïPofl. a 1;:

a k 111 a .1 15x; 1Q Managgêma mm. 6 prodigeLLeÎmuri ’1 1 1 1il)"; Todploilispai-aîd... l’aurore 1o: 152on «1 "11-511 Eppliésant l’horizon de m’Ksplândeor soudaine; 11 .4 * V . 11

Monte aùxciétix élût-351i la QÂQâ1surhu1iiaiào.’ » 1 5’5" Etla gratidspallaqgla fiontëèintd’un éclair; v 11 ,1 11Î, V11 pas» sa d’or sur lés mouton? mot! 11 1 1 f 13.;

moufla: un; . Ü inumùfi innovant. ’

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1 mi S’éàsàiiuâèàïëhri1lgfibàqçïçààtpgàtà.Ï

La Temple Mafia 1- 1-1è 1 L1 V - hnàgxâü!Âgéfiigaoèaàlëg

*1Ts.**aqanem5t5gaçxa;mssseèanaayçngçgsg 1.1flans-unciranrdîviwûnîdoinüüflâfiîï- .

ËS’ÂWHOÉÎË ÎÔFÎËP’SÎIÔVÆÈËËÂWŒÊBIIÆ? 1 . "

JWË’Ë à Ï 5,.z V V "Î ËÊËÉËÏsalait; jaàiafnmigisàx’ihque; 11 aAmi! de; BçîsÏfqmggjïÉfiîêÈè*QMG’flpieuxl.ffiz

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1:111tgpîahîàsaiçlè-ïèmplezjuswâu (afin; ;orais-4m léètpinèni aga Iguflëlioiélîçophège, -- 1 1 4 ç v

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1 ides binés âe shogouiîaïtem’jilenyoiontjï .I 5.Gôrïiüemjomdispmaâespmdiséà hume;-

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rifla LKNKËAQSIô-liOù ra’egiteiçmt due 1 moite les magma gifleuse-1 1 V

Et nomme. sans mourir. n’aurait point éponte 11 11Co cri de désespoir dans l’espaceompeflo? k (Car c’étaient: sanglot de l’angoisse îpfinîe’g 1

’ C’était Dieu qui allaitez: moiti (l’agonie! .1

.. voue’l’entendîtea Seule, Anges des cieux «mue! - -1 A1 - ’ 1

Vosyeuxmrûlems de pieum’jusqu’aloifs inçonnue;g Pour confiois: au moins ee’détœese 811131151111 b ,

hm: L’ Vergnient leur pitié sainte à la grande Vie

a Ettoi, Geihsémani,1qui dois fleurir un jou 1Aux soupirede ton Dieu tu tressaillais (1’ 11 bort;

1" «filmologie (in! peu de sa une salésien; » k 1 1Il s’agiteet frémit, le front dans la pessière. A" ; i; ’

L Ses110ng’eoheveux égare, où palpitent encor» Î 1

Quelquefë morne; ieQeti’de lieuréola d’or.,1 i

Traîneni «mon; pleinedefenge et de eeliie, .1. sent gémîfflîn Ilii lat-117808 Pérîssamfi’: r ’ * - i

Teeslesæiècleaeœinté m1? 7"51m, crient à grevois ie silençe cieux, A ; 11 11 .1.

"Lesiflqtsdueeng-vefeé. me qu’une-mer d’éèumw; v1

Moment jusqu’à son cœur flammé gramme, *0 Cédrppklieù sinistre cisaer61,.î- 1 -« 1

,l Î 0 où David aplatie. 1 f 111 "à 1. av’Tu viole Jumlànproie à 1’, 1 1 merguez - , le"Racheter l’amour liée-souillures e111: menin; k r i et

’ L Élever fieroit ses suppliante? : r. Ï 1

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v1 1MQËÏ’BËÊÈAKÀÏ’ à 1.639126

- .1 «- Écurie loin de moi 10e calice tonifie, * ,. 7’ 1 " 1 ;

.11 Toi qui donnas le vie en même insensible. V7E: qui peut, annelaiessegl’immuable équité,

’ Faire rentrer ton œùvre en ton éternité! ,

1" A? . Mais (pas in volontè soit faim, et non la mienne. 1

1. C 1E: une. les psalliote-Réa famille humaine. r af Et voue que Dieù résewe aux joues de l’avenir. ’ 15mm.o-mspourquijmimourM-* » r

il exlieleit ses piaintes shamane. :7. Les saints Anges, muleta, ce voûtain; de loure ailes; *1’Aqtrâveredeanmeauëlxîfi-SWWBM? V

1. . Le massifie: peut www-an www eEtl’onvit, déjùloîndeamnrlùûîn flemme. amermperdansl’ombœ,aupiedde monufiülcà» i L

Comme un meneau bolide Jim». 1 ; ougarce? 91611111113559 ËËËË-i’mfl 7* i

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7:66 ne unesroR:1 r ’ .

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”’””” ’ ËÎXÉMVIËBE STATIO’Uv l

r ses. enLa terre a salué 11e Jour expiatoire. , - 1 :1;E: le peuple en rumeur grondehautour du prétoire. - V

Et le Juge contemple avec un sombre ennui k aLe Rédempteur debout et muet devant lui.Gomme un bandeau royal, le noîrreaeau d’épines

S’enionce amèrement dans ses taupes divines;

V Les finaudes liens, le fouet aux nœuds de fer, 11De leur empreinte affreuse on! sillonne sa chair; ’°La, pourpre le revêt, et de sa face pâle wQuelques gourmade sang tombent intervallesson regard est calme: il entend sans teneur 1Rugir et s’enivrer de en propre fureur i * 1 si Ï 1 1

. Ce’jieuplequ’il aima d’une amour infinie, l V: 5*Et qui lui rend la mort avec l’ignominiel 1

Oh! quand hier encore, innombrable et joyeux;Tu le suivais au bord des lacs mystérieux, M ’ ’

Et que, te nourrissant du’miel des paraboles, 1 Jfra diane. en esquires dirimantes)»; r 1

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i Ë

Immune revienne - 31657SengeaîMulque gueusai. dans-la haine emmi. i

’ "Siôloigueraîmi tôt de ton céleste ami?

’ V 0 foule ingrate et vile, 6 race sans mémoige.A v Les-démouelde l’Eufer à peine l’ont pu croire, IU Quand, le voyant couvert (l’opprobre et châtie; V .7; , Fufieuae. tu dia :, --« Qu’il suie eruoiüél, r

,75’

. a

. VMDer au linnéen? Que pur delà lu tombe V".6; Sur nous et une enfants son sang maudit nimbe! --’ Ç»,’, 3,12: ton souhait farouche. emporté par le vent,

i S’élançu pour jaunie aux pieds du Dieu vivent!

Comme un jaillissement df L. fîEommeîm râle arraché pai le fer meurtrie?g

* i; Des boutade l’uhiversju ramenât-na criai; J

peso] e’iudignera de conserver tu traœ, hl’homme avec horreur’détournere au face! V V ,

i P Devant ce Dieu. par qui ton arrêt se décide.Ta parole futçvruie. 6 peuple déicide! L

I ’ A * Marque comme Caïn (fun stigmate éternel. . -

l Gomme le Sable en proie agi tonifiâtes du ciel.1 * Dune l’espace et le temps, ile rivage en rivage, f

» à; i Tu fuiras, entamé par un torrent ajutage: "j Et sur tous tes chemins; dans tes nuits et tas jours. * Vana mg que tu maudis t’iubnçlera teujours! ”a Ï Tale verrue pleuvôir sans trêve et sans mesure,

une large blessure:

’ÏÇÈEt tQî;iquî. to lavant les mainates à jaunie

une purifié du sang que tu livrais;Va! tute plongerais, ivre de tu démence, , V r;’ la infernale en deus imm-

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AV , lôd’ ’ : ’ 335735310317 Il Ï -

V Que défier-muiez, Hamel"! les dîèëlfis qui naîtront

r Se souviendront d’un lâche et te gceeuùnureutl Vr En quand. cherchant l’oubli’comma un dernier range . ’

Tu venus resplendir harem de 1cm, Juge; i . , g NQuand tôt! iniquité. le pônôtmm d’eflmi. J I

’ «Se dressera. "vivante et môme, devant toi:j Puisque. un îupplîee infâme «blindaient le Juste,

ruminas me mugi-ds laminoient: englua; - - I fï Rien, rien neuve lavé. ui’l’ende a! le feu; V i L

Tes mieçgâblee du sans d’un Blotti 1 ’

l A1 r a l wHI NM Wh 55H H

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V boulonnez-maki ’ .1 . r16?" ".777

l l? .. .. ’ ’ V vanneur: Vannes] V

À: a ï Manuel 05;?ng dosa Croix, * -V

Aux joureûlibêuxtenre où Phage. ceint glaive.œ- eFËnpipai: l’Assyrîen dans llorguéil de son rêve

’ ï ’Efpr’odiguqig la chair daguerfiers aux: noueurs,

"Jérusalem-montait un sommet de eeà tours:i; Î Et voyant, milliere. cette armée inhumaine.v "’ semblable mm; nuire, joncher au loin la plaine,

ï Et Jans un tourbillon les chevaux eûmes,a llènniseauts; entraîner lee chamdésemperêa, v.

f Le ohé de David, joyeuse et hourdes tentes, a k kÎ Teiomphaît et poussait don cinname &Iutunœsl

; LÎAnge.extermi1iateur”’aet-il, comme autrefois. ai Dîurryertige de mon saisi le cosignées rôie; Î: ’ ’

- s Etgpouriglorifierluyreoe bien-aimée,k . Éteîni dans une nuit la rumeur d’une armée?

Han! si Jérusalem exhâIeuncri i i *Z; de C’est que le Filade-l’hemme ’egenise à ses yeux: -

r Elleîjieu’tllésormuiàleilïuliperVollenmenie, .C’est. quermulëpliëm.l’entréèeretlïmêhème °

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* :68 ’7 Ï en Parisien; eEt. lientrniuuntuiuei de douleurs en douleurs; V

«Le clouerai: gibet annules deux: voleuse! e ’

,0 Ghfistl tu ses enfin épuiser ton eulicelI Et pluyélolluneelnnt soue [enivre dusupplice,

V ’ ’èPnr l’urdeuxf dusoleil et les sentiers pierreux, .

’ V’Tu ne; suivre. piedsnue, ton chemingdouloureuxl i V.

., s son: long. Seignene, etrign’il me terrible 7’ ïv (le chemin conduit en mon impossibluel; i il;

O Redonnpteur, pour qui les siècles sont un joui. i " à Î;Go joui ne contenir des sièeles à son tonus * ’ 3;: çQue d’angoisses entier t’attendeuzfnüsfassa’gel 0.. 7’ ’

ce (il?! que de pleurs ainere’veut brûlenton visage! ; l

Minndonne du monde et du ciel, ôîSeigneur. Ï i -î LCombien!!! vue-saignerons in obéir etvtonboœur;Combien; «enjeu: perce il’unenatteînte plus sûre. - yi k Chaque pue-Ve soumit et gueuserie blessure! î Î:

e V Mais, a Verbeîufihî’. ce me; immérité; r

Tu l’as voülusubiraâe tonte éternité-l7 Ï la , ’ L

; En déroulent des cieuxles tentures sublimes,y. En versent l’peeeu tiennes,- larges abîmes;. mufle; absolu,.ü’éelairsensironné, ’

k "En. ruchetnis dèslors le monde nouveau-n61 H iL’homme- à peine échajipait à la main créatrice, ï"

Ï 1 LhQue tellement pour lui s’ofl’rit en sacrifice : v n v g; A L

ï . ÉlÎuLpardonneie’déjà quand in Pouvais punir: ’ 7’

Et, lavant de ton mugies .ïoi’fnitsj bleui»; a s, ,.1; ’4 Pour le guider les ombres dola terre, M, ’

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uBthtuusmmeu-j J5; 139ps l

sr vers la gloire amené un ses demain.

n ’ Suis doue, ou Rédempteur; mulsulilimohohemînl V

r . Et, d’instantsneufinsuînts; sans implacable,’ » Si ton corps abattu cède au, poids qui l’aimable, e

:- - Divin Murt’yr. en qui pleure l’humanité, r ,.

I Tu salle pâtîmes régule tu bonté; -

;Et’utârrenm’aniaurqujaimzdmnem 2Ifll’femportere viveut sur le collineiizfamel, " d

’ z

(à? ær » il , i a A;s .1; a. a k.

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.126. A * W russien -rï

lumen «une: ’ iNeusillulïhe 1° de la

I’ ï vous voyageant d’un vol mystérieux

,7 1 De.l’homme;uu«0réeteur et de la; terre aux élans, V

5’ . Allumez lesLsoleils et chantez dans l’espace. .,

’ -* Esprits d’amour, Esprits de Sagesse et He grâce;I: ’ Du coeur de ’àlehovah rayons puissents et doux, .N ’

71111131113sacrédevoifivousuppelleici:hes."v. V

vos sphères- de emmuras, inclinez-venelle:V l Désormais,”sans troubler l’impossible harmonie. 1 ’ Î

il n Chaqueuniveisjberce sur se courbe infinie. vDe l’attireprîmitif ue-s’écarleraupae’: V ’ *

’ « Frédissee’deçitié, de respect, d’épouvantelï A. °

Lui, que vous adoriez! la Parole vivante,,v Le Sauveur annoncé par d’infàilliblesvoix,’ . ou

:1 -Succouïhe,vhaletant, la première foisl g ii ’i ,ACourOnnè de mépris, résigné, sous l’injure.

v’ a» comme landais, desceller; i î "5’

.11 SÏPVVënçain’jm-tant lagmi; Humain. et il ’ il

Î Lefer de l’holocauste et lobois du bûcher: r

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Ï i V a * il " tuoieluunÎ’nequu’ ’ Ï ’ 37’)

a Et voici que le sang durasses-veines se fige: - I, V v. ’ ,,Sn’ tête murlzilloime et s’emplit de vertiges; g. e ’

D’une sueur de inerties cheveu-3 inondée! r. Ï ’.

«à 71’ Il défaille et chancelle! Girl-venez. descendez, - ’

z une» consument: des milàmmoetelles. V’ ï Abrites votre Dieu d’ell’uliïlbmüe «1163s

g 4- :3 soulevez soufrent pèle. et sennes pieds c r *Fleurus.- divinsemië. et les entraidâmes! .7, » * r

Ï- Mais peut gestes euxLeieuil De endentons féconde; 77

mireuses. tomassent. un le caletas-monel t l *Etnul de vous me; ne’pourreit épuiser ... "., ï fie: sang. dont l’univers se verrâibaptîs’eri I

λ l Bientôt, l’Église aussikselon le rite antique, u

Î J Gommeune veuve enfiler: demestique; ,à; Gémisspmt; et; pleurant PÉpoux mort dans ses bras,; Ï Défaillire’, tremblante; à s’eeremiers’ combats. - r

in ses enfants éplorés. «page; autour d’elle, k f"Ï "il? i Permanent les maux dolent mère immortelle,. - Qui tournoie, le Cœuujîlein d’ulisenl souvenir;

ses regards incertains vers le-eombre avenir; aÎv . » Et; sur le seuil désert croyant toujours entendre lsa DurBien4Mmé.,la’voix consolâtficeiat tendrè, , . 4.

Lffoujours désabusée, et le’front la malin," ’ - °

«Un : venus? encor-o! n reviendra . ï r 3 ;

V Espérance enseigneraiende doute! «il Il se penche tous toi de renflamme, g ’ï ’ be ; 1’

îflrteiveîtïilte’guidegiet;:eemmeillest-fifre:"Enfin.Ç A. V Te donne sans retour enfume et son esprit! v» ne V,

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il ne? i r’ Ï. gin nième Ü ï A . V * ï

7 i 770mm le cendre au ventes disperse et s’envcle. ’n

z les siècles passeront, mais uen point sa parole:Et coutre en Maison divine dégueulais. i . , -Les portes de l’Enfes ne prévaudront jamais; v a; ,Relève-toi! reprends ton terrien, noble veuvel ; 1 ’

’ j Buis prête à triompher dluneîglus rude épreuve; ’ - 7V, Marcha; Église de Dieu! Le monde;èsl-orphelm. V

r; Ç Prendsële comme un enfant dans intube de En, e " I,» Et. par-les durs sentiers entoussng fini ruisselle, - K’ même me à P139911: saisissable î V

AH JM (Hi

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cuis dansl

’Qâeîanolràatâilsvanuu , reg?» il; i

I °’ ï n 17°. .07!

eemmae’m’ùm ’

i V V .:. V VIMW’ŒWV V r

amour purifiant son coeur. ’ l. if Répandit le parfum sur les pieds du Sauveur l. p

j 1;Et qui les essuya de tresses pieuses; "FEt Marthe: saunasses et soucieuses, v Ù r, 4 v’kPolurvretrou’verle maître absentetregrettê - , i

Accompagnaient Maries traversin cité; ’ r

Et la Vierge, livrée aile vagues V kI Çherchait soniFils divin en comprimant ses larmes; A

» rÇldËoudaîiIÏParuli lesiilols furieux; A, ’jsÎ’ Tille voit,» même du faix-Ninjurie’ux;.k Ï Pâlalrletineurtrî, menant. ses propres pfunéraillœë; l, i Ü .

33:80:: ce fruit sacré qu’ont porté ses entrailles; r f a à°’ ’î Le. Rédempteurdu’niondel Elle hâte ses pas v a; n

l; Une larme d’adieu,jdechirante et mortelle, *

:Et tombe demi-morte en lui tendant les bras.” "V

r sa . www:

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- Ç” (insinuas suprême ou sauvegardâmes ’ V p2 Mit teut’ie’desespciride’ tant’d’ampur efiui; j :

s assommantes cmiijavecbsen deuil immense. ,7 "asperme chemin de douleur en; silence; g l . l

«Etsahlerapissit,froidenlancliellîeail des;aV;testiheveaxfdéneuêsfètipouesantidsspsanglots;

«rïï-Pressâîemôàëswâîâ ingïîersëïtîmculés-r

,Alil’deàâ. tigell’orztpmn’d l. 2’d, romain paressasse tamanduas. r -Que me p. se étaient ding hennésàÊiTsvîàweeawæesmamamhï:fî’ïÉTGÈPÎGÏPI’îâïÈÇô fluasoéfiandîgnïaesmdasr

sans. rj ; , ,ç.sisals .1 ’:: ï ’ ,, l’annqmj’. ’ Ç :

.Desænfantâ sislîexilïsdoucitïlssrîsœsse; je Î: v

..ïDir’ontatoafiQmIM

:éeïerrslænbeeénanreneüeedewr

1Ellepvuleyïauxclartés-de i H r

a; tu achiadaitanîçdélugela ’ j

arc-e? "’n ’el’enfeu’

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::*Le;à1ysçiquè Rosier va parfilaient pa Lîfitüle’-mntmde,illunîinelzles mers! ,4 j

f sans bénissez; créatures sans-nombre, irgalle que le ires-liant deitcouvria de assumas, il siEssuieevrgprmviage. anges en.» sans; V :

A. 5°mtfièéèèémîsèëafesîâuasz

reggae une? surhaussements sans; . -

émet; à: ï. ’ k, j ’375”"ï

«Eçmaiutenautlôciéumehæurassw ulves-flamines! il

sentir dans set-iodent la points des ses: gueux

(HL

aassassinerasrennes: a " ” ï" VàlôïilsdeI’Bühim’elâlinieflvmrwmi’; fi in "

y

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. X] l l , w V u:76 l G sa PASSION

CINQUIÈME suries -

lSimoiile mon aide Jésus a pas sa une. " i A; A

’ . a Vers’lÎaride montagne misoit heure redondai ï

divin Rédempteur s’avançait haletant. ’L’arbre lourd de la croiü rudement équarrie

1 Opprimait et blessait soufiêpâulenieurtrie; , ’ Î a ril Ï Ses pieds nus’htls’itaieut entre les durs cailloux-- r f V 5 a ;

Dont souvent l’angle aigu déchirait’sesgenoug, p il i l

Sans pitié, pour hâter sa démarche inégale, V V g . a .. Les soldats, le frappant de leur lance brutale, n. i ’ î

Le heurtaient du poitrail du chevaux écumeux; i v *.L Et le peuple, plus lâcheet plus féroce qu’eux, " V’ Insultant sa détresse et souillant son visage, r V ’

limitait contre Dieuxleur colère sauvage!

Or, le voyantâsau’s, force et loin encor du but, a ’

’ (les insensés craignaient que le Sauveur mourût

V Et quilleur enlevât une part de leur joielrComme des chiens lancés et hurlant sur la voie,

Les V , As .Üv.."«.-.v.. V V 7.2, trafiqu-

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oruouràunlsrauon ’ r 177 7’ k a

j . Jaloux de prolonger le supplias trop prompta; Ou de multiplier la tortura et l’affront. .fi:- nsvvoulaient que (lancine, avant l’heure suprême; ’ ’p V V

i Jésus endurât plus que la mort alicaments!

f A cette heure, Simqn’revenâit de Sou champ” r g.»r Et (lu-mont escarpe descendait le penchant, p J V li

y, à Du côté de Dames, secouant sa poussière,Ï- ’-ll a franchi la porte aux deux piliers de pierre,Il , en entrez’et les clameurs et les hennissements ’ à ’

. l’iL’environnent. Il voit, accable de tourments,

happe. poussé, raille, tout assiège de haine, ’ x VJésus qui, sous le faix mortel, ploie et se traîne, iï Et; sont naître en son cœur, tout surpris d’être 6mn;

j -. Une vague pitié pour actiniums inconnu; ’ n à ï Malentendis qu’il hésite. au milieudu tumulte à L

Ï Un Înavalîer’l’appelle avec des" cris d’insulte :, sa;

Un ilegcontraint d’aider le condamne: l ljEtÎ le Cïrénéen obéit, étonné, p r " r ’ V ç

a a saisissant. la Croixd’e se maingtnde et fixingJ enÏprend une part; la soulève eiâ’emporte. .i7,

ïÊIéSÏimvon! qui pretejston épaule et tes bras, . l ’ L gun: lieds: pleur du mande, et qui ne savais pas f h ’ v i Vannuelle tâche auguste, iguelleœuvre sublime " *mêler ta ions-inculte et magnanirne, l ’Heureux; 88411, Simon, d’avoir jadis porte jCe céleste fardeau. sera compté;Î: L’ennui ne peut toucher à la Groixréternelle .que Grâce ou Vertu s’éveille et sorte d’elle! il

en. a swimwgunwusùw

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ne A VIRVDABBIOR’ Et menuiseront portes! Hamamheureux son! VMais si, venant entaille au sauveur abattu, ï . j” Tourneur, commutas bras. devançant la contrainte," in ’

But secouru ton Dieu librement et sans crainte, ’"O Simon de Cyrano. d pauvre laboureur, 4 Î p

: Plus heureux [nille foison face du Seigneur.. Car il ont mesuré tu’gloire à sa puissance i ’ ’

Et tu béatitudes sa reconnaissance! f V ’ a ,

u

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surinas punch! » r V "179 i7 ’

-f ;-s,!m.w www" u .’magrjmf’" 1m h maman. deum.

nm; ’lgîri de l’angle. obscur qû gémissait Imam

Devant-19 mauvais riche et 59:; festin avaro, n ’ Debëuî au seuilütrbit de du; humble magana »

à» (n :86 tannitïhéîrénîça au long voile, ou (fouine!!! : v .41

ds’Ignqraùt qu’entraînà ourla mutevmorballo;

Le Sâuveur. pommerait, «mi page: devant elleE; têtueillir dans ce Vauptême jour, à L .P911: rampaient): chût. rabote a; l’amour» V

* ï 1’ Mais; quand allé Jo vit. chargé daïflflrispms,

Enginsmtsoxg obérait: dolas-millè blessurâs, k ,hèantau ciel dag yeti: toujours talma; et doum)" « *flamant Kan-hm fatal nous l’injure et les cpups.qu’une muid allègent 8911 suppliée» ’

Taureau emm- SQBÏÎSÈI 3-» Tu coumaÎBérénîœL

Ægâïaîblea bras, raidis par! ton dévouam’ent,

32mm: la; flots de «peuple écumant: les cavaliobp’qu’irrita toi) audace, . * a .Argenteïù’réaîsüble, enfintuœfüs plus! s 4 * v

T 7 V : V 3 "2’ 7 7 "7 j a" V . L . V L Q

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l k A cèv°eile pieux attacha satinage gel

’ Et de dies yeux de génégetises lei-mes

1 me V k LA pensum’ ’ Commouue mère auprès d’un file qui va mourir. ’

En (pli pleure. et l’embrasse et venue secourir,i Aux pieds du Rédempteur tu tombes, heurs (l’haleine: V

Et. le baignant des pleure dent ta poitrine est pleine. V ” .Ne pouvant le ravir à son trépas givîn, V

Tu sèches son visage à ton voile delînln

0 femme, qüî. parmi ce peuploient: ek traître. " a jî j:

Ostie seule magret-lofant du divin Maître. e , . , . .Et qui, mieuxique ibidem seivêt le gonfler, l kTabrileis de ton emmenant» d’un bouclier; ’ J 1; 1Bérénice autrefois; mais aux cieux Véronique! V ’u «. 3’

Béni soit le transportoient: âme héroïquea- V V il il

k Quand. montrait ce que peut la céleste pitié; A. lv fies douleurs de ton Dieu tu’ prenais la moitié l. V" Ë

’ De ton voile aux longs plis, aüecvta main tremblante; 4 Ï 2.- ’ Tu venais «retoucher sa’figure sanglante, A V i 1 æ 5ï , ’ Et des bras tout meurtries: me pieds (loulouçeùx, ..

En répandant (implants de tendresse sur aux; ’ a ’ -" aDès 1:6:ng Rédempee’ur, bénissent ton courage; e 05 l ï

Car in faisîzîe une pour ton Maître égiuiee

r ce que nul, enfle toge, n’irait encore osé;

tu l’élan fiefionoœnr fit alarmes v l

" I; En; précipita gens. En piedà’âes chevaux, i "-

LSogîeouci (l’irfiter un page tlehoufreànx! K :5" V à k

v7 En; rigolé; au ne, cette mm Ïi .Il Qui menteries vive à Celui «tu i. *

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Ï; "mimes ennem- j l Î I8;

. » Tu. eâduis, Véronique,’à ce divini transport jiritis deux que la bonté, plus poissai que le mon. V 1’

u Et; gui. dû joureû Dieu pétrit l’humaine fange, Iï i ’ Dans le sein de la femme a mie le cœur de l’exige!Ï ;,L’u’mour. l’amour sauveur, l’amiante charité r

f" Te couronne aujourd’hui dans lîimmortolile,

. (louangeuse femme. et finaude dgggloirï, e . 4 V.* E; l’homme de tonçnomparfunie se mémoire; r (ï . r ’ :

v V «texv’

P1 A LV e z v; » aî r 7- ., a o a vn no VÂ na o uo

v, eâ e V Q. o oo

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W n ,* o fr A »» Î . » V F g ,) 1 v

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’ - i De ce qu’il faut subir pour remonterà Dieu: ’

V V Déconne dole ou rimeuse s’enivre. v

V v :82 I * g "ne annal v

r i summum surina- Jésus «me [milita mame;

Seîéneurl quatre le sol arrosé de ton nous r etk ’Faiblis etjombe encor onusien fardeau pesanti g.7 L’humanité déchues: là le contemple:

Série pour 511e l’image et l’éternel «chipie

Et dis-lui quel bandeau ajut lee tempes en feu V r a?Beaux qui; se lavant’de l’antique souillure,"

’ Aspirant à ce ciel oui-l’âme, libre et pureg»

, Dune l’adoration, la lumière et noix, 7’ . .’ Pa; ton nonne: anaglenfee repose à’jamaîsl ’ i

Ah! eupjilic’e augusœvetîvuolontâîmey,’ 7’

V » Expiateur âne agîmes de la terrer . ’Heureux qui pigne baa- partde ton muflier motif

Ï Et dé’l’épine auaài peut couronner son front"! 1

’ Heureux qui, nous le poids de’sjomïlu’il nous faut

Son coeur; d’une eau plus vive et plusJ pure altéra ’

v n°9931? W1?! son: a?! randonnai: « q,1

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ÎgçiÏ ’enngièunnsïÀîxonÏ p ’ 7". :831

: 7- . "Vu in J V V .:; i 1* Qui seul. parmi tous ceux en qui tonnent n’allons, xfulleise avec des sanglante!) adoreble’tfacei

I Heureux qui de t’uimer fait; son uniqueâloi, n

Qui sait le chair faillibleiet n’est fort que une toi;il Et sont germeroit, lui, cangue une fleur bénie. fa Au’âoleil de l’amour l’espâf’anee infinie!

VÎ * Î mais plus banaux. Seigneur. quignfe jamais doutéil; Qu’en «nuent l’univers tu l’avais ranimé! Ë ’ 1 A

"O Christ! quand tu anagramme am tu gloire, V J,De l’homme meugle encor-connin lenlômoitel ’ V 7L 755ème! prends en pitié; toi ïqui comme les pleine,Seedéeim insensée, lion moine que eeerdouleurs; .’ Q ’Bedempteu’r incurie à la fente preniiènfe.

Tonie gente-jumbo et le gente-lumière, . ’ V -N’abaudonne point l’hommeà-I’Eeprit tentaQeurl V. ’ ..

L fus délaissé, divin cumulaient, V V * 1 » r:7 V» Pardonne [En Soulevent le fafdeeu qui noue blesse; "mesurerons chute à le toute-faiblesse! ; ;. A, -r * *

Elles. nuages, gauchie à lacune des demi; 4 V 1 ,- J. Inunobiles, versaientkdes. pleurs silencieux: 7 l " LV ’flLn Volonté avait ployé leurshâîles V V.* Qui voilaient leurs fronts purs et. palpitaient entre elles. r 1 ’.» a ph! .si Dieu l’eût youln [Que d’un anion; ciao: l i -

relis eussent dansiles airs mimi" leur Billoncl’or;Eiidn;iren’tï enflamme de ce: ruiles rapides

Balaye d’un seul coupons bourreaux déicidesl Ifen , . fi,,....mg,.-

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183 n Numerus ’*Consolezvvous, Esprits du Très-Haut. oyez foi] A VVous reverrez aux Cieux remonter votre Roi, °Rayonnant comme aux jours ou, guident vosçplialanges; v2 .è r- V

Il refoula l’essuîm impur des mouvois unges; ’ FPuiesunp, mois demi, semblable; ou sortir du tombeau,

r A l’éclat d’un jour par sur un monde nouveau...’ I l ï

r Et menant.;oux reflete’tloal’uuréele enflammes;V Vera l’Éden reconquis la famille des anisai L; ’

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I joufflue-arnica k 185: ’

muffin sterrouuc’ V

izÎ Ç p; 1 i . Jésus Whheflllædelerueekngg.» a

’ «mais qu’il Gram” î: une et au colline. -. ’ .

HUI

l - a lm M17 A.

Quelque famines en pleurais frèppqiont la: poitrine; 7 1’ g. rlinopar’foie, en eaux-et, beisaieni ses vêtements,

ilà:Pleurer: sur vos engoule; du lamines floué); Ï 1 -’r r

’Et’tepnndeient leur-eoeur monarde gémiësernente, . -f EÊÎMÎ.’P18ÎB dé’pitiêpourlhurelarmes I 4

i mais : --:Pl.9rrez ur son. surviesprépœaminregf 1;

i . Noîoî nenir’les’ gouape Î a ù" 4Ï k Ï Eylau temps de paiera; teintiefleVenÎgeànee, si:2 Pour l’inipie est (nous aux; engrammes- ï 4 v(Et s’enipresse ondoyant V’préditel’: i v Pleure; plutôt yens. fouages; 5932011316 ,

f Que «en j’aivoulu, inhume,- r » à0 ollé de mon peuple, nbriter. tes enfants!) ’

.»T91191.’a9 par; finnlDieetevoeeHum, Ç .’Et’fige’me’aails’ie’àïl’a gorgeeçfnapgieej ’ 1: ’

g

- (Tl-enfile, son La mienne. Îreeellout ont me! 4 ; xGourmeeusonniâl’ôisennre’seerulilese(guinée, i -; V

fig-ne,

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grau-fi j ,iknnl-uuafimn’; a;72 Gamine le houe traînedefl’étebleel’eulel; l - ’

Ï Qui se global aman nous le couteau mortel i »-. Et qui,eoigne son gong lei qui hâte son heure! ’* Ï 5 in(Donc. couvre’iteeclîeveux de cendre; erieetïpleure,» r * V V

Car tu verras le Temple ou priaient tes aïeux, - Jmoyendéraoineeoemine un choue’tropivioux, ’ 5 n’ ’ Dans lorflemme me; bruit: s’écrouler dur se bene:

ï-Et’tee murs bites touages -« l;. Céder en mugisèentloux mp5 des’lourtls béliers, :1

x Et tee auxine etÇvençlue par r; *

4j . maque’vîoieàrdmdMàssii»-)LY9u!eet; www en; dîtes mamelue. F

Leurs omnium mimine uneg Dagues me: immergeons loure embuerace? mûrîmem une pudiflüheàuëesê ;«:5 même au me ne ïomuuegxenohuneçs :1 ï

 Ton critfineru’retentiÏdeua runfËombgeooneertg ’f

a? Des rives de une» fleurie angennes du «légion; V v j

Ï comme assume eleiron:ile’l’Arohnnge,l :

î El qualiah filleVBnÉBÊË afinfi’fl * .Quand le goums nobliau. de. le mon ennemi.Aura me même mon tourbillons... ’ï Ç e-

: Telle qu’un’îil Betaih le race vagabonde V» K. 3 ’,-fS’en4ira retourçier’rente par le inondé! , il V

o mon Sion-l v ÏDans jour il’epouventeetd’expi’ation .v a LËïÛn cri s’élèvera "des, hameaux "et deâ ..

1er,; ,1,

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:5151??? l

r f ile Et bienheureux leeîeeîneguiu’eut’jeùieis-ubüïïïi Ï- 7 a

’ le seime aeorngdmlleisiuonnuul i i I * ’ V v . *T ne .. Plantez. géminerons; emmenas, ôjçmmes’ï r: V

à": non sur 0533313an A: ;, 2V L95 mon (in (une ne mensuronïjmm, V. ’Par?! Ëllrl’dôîn de: ceukuque’j’aimaigi ’

élfltllenqlïf-l-fl , * j à g :es:

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i188" . in Mission i -

l NEUVIÈME sarrau ° ï: 5

- 1 lesmomfioerueoieeenramï r

Ï ’ilne;derniêre fois, sur la peule L .DÏune sueur de 111ml; trempée, .11 . a : ,11851118 touille, immobile,-anéunti, sans iroit, r 1] Il;

Ethr’as éelrnpper la .Groiâï. 1’1Î Ce n’est-plus la charnelle le ,5 . -’1’Ni le sang rependuïqui dans’sonioœnrfls’épuise; î 1’;

1 Ni qu’une-main barbare; en aggravent oes mm, 7- ÏAit à l’enfer des outrages nouveaux; - ’

* Non! Maîs,1de!l’uvenirilluminont-les ombres; ,. V -i ’*.. Le Rédempteur regarde à travers les tempsïsomhres,

Et voyant que le Mal, jusques au dernier-jour, 1 V .flétrira pour, Beaucoup les fruits de son maux; V . 1’ , ’ l

Saisi d’une souffrance amère, ineiorable, ’ 1 - ’Il se meurt de pitié pour la race coupable! v ’ 1”

. Mère et fille de l’homiue, aveugle "hùinanité, 1 V

1 Ton Dieu même gémît daron k ï I V k w: x çV contemple en frémirent auguste; j1 cette prostration du son] Pur; du Seul Juste, 1

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171 noueur-enfloit 1 * c - y 1131911

l1 1,1 f ,1,’1I’elqu’un cadavre enrhumes du Golgotha couche! si

1 Lui-1l qui pour te laver1deÇlÏeutique pèche; Ï 1 1’

1. Pour rouvrirdevont toi; repentante ’etlohermée,” ï . 1 La porte d’or d’Éilen que l’Ange avait formée, e

î Comme pour mentent rebellent toujours chou: V -1 e ’ 1’111’A-1beissel’lnfini glaneur: corps fait a; chair! - 1

Foulontdans en me parquetasse justice, 1 1 ’ï Par un mystérieux et suprême supplice. 11

mesurer le prix de tu rédemption, 5-e ramenai Dîoupar son oblation,n.-iv e * - 1 .1

«15.13193136th sur convers la paix éternelle"- ’ 1 1ï..Ta1femill1e1 innombrable, et passée etnouyellel"’ 1 1 1 1

1e: tu IE1 1 11.: 1un, mais que coer’emteentrauvæme mais; : Li

,5 c’est roquai, ensimons!!! Eurasie! rude"r1ï;Devant-l’abt1me ouvert (le toningratitude ’ * °: * i ï g

1 . lisent plus que son engazonnerez; 1Pourïceux-de tes enfentsjqn’il n’a pu. racheter.., - - 11 1 1

1 ï Qui,’1snus pitié pour lui, sens pitié pour ieù-mëmœ;1. 5111:1

,4? 1, :S’enivrent du concert de leurs blasphémai . w ’11 ’1-1 1 Et d’autres vinons; en lacérantgeon ’1 111 V .1 7 -

1. ,s ÀLuipresenten l’Esprit mauvais partout vainqueur 1 1Ilvoit lesseints martyrs,-danslesroug1es1arènes1, 11:451 Eipirer sous la dent des lions et même; 4 1 i 11-1 î:empannes flambeeux pourqla fête allumés,” A Ï .-

1 1 Illuminer César de leurs corps enflammés l1

13214:8 figaro muni-mime dermite. en r1-1 1 Tomber comme des fleurerons nommera: 1 11 17.: Et tels que Zacharie, àl’angle del’autel; . 1 Î 11 1

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age 1 1 je essorera"* Ses prêtres murerais soue le couteau mortel:e .7 Et le ciel. noir du vol (intimées immoler.

llagir comme le mer aux crie (les saturnales. ,,Et. malgré tout de mon divinement flauiÎeflB.Son suint nom blasphemo perle vieil noircie!

Mme. e Christ, o lumière et courue de le vie.-11RQIÔV640Ï5’0’633 l’heure. et le morue convie!

:91ne

"à.

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il

"nuions arcures - 1 l9!

www 1M y m1du MM Un MM MM

mireur. surnom

16mn est (minium de ces vêtements.

v Pur les yeux de l’Esprit. dans les heures futures.1 Lorsque le fils «Mmes contempla tes tortures.v Seigneur! il se poncho sur ton calice amer.

H Et. comme pour mourir, il frémitdeus se choir;.1 Et, logeoit: haletant du transport prophétique. il. Il montre, (loueur: triste et sublime cantique.-- a Au sommet du Calvaire ou tu t’es arrêté; "

. Les bourrons dépouillant ton corps ensanglante,1 Élargissnntle plaie en feu qui t’enveloppe ’ 1* Et t’ofl’rant par mépris le fiel avec l’hyeopel

1 Et ceux qui résultaient raconter l’avenir v, ,3" manient : -- Soutl’riraft-il, Celui qui doit venir? 1 1’

’ï Non! il "ceindra son en: â’uue robe de gloire; - i

1 Le lion (le Jude rugira se victoire, . 1 ’1D; Et.11courbâ nous le joug à son cou destine. 11 ..(L’univers apprendra qu’un Vengeur nous est ne! ---1 V Ç

1111Gar la’foule. ignorent le sens des Prophéties. 1’11. Sous le force et la pourpre chutoit ses Motrice. 1 e 1 i

.æs grip-72:1" r mâ- o" v’"- V

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rgn 1 un ressuoitv- V

lichent prix de ln Croix. polo et silencieux.’ 0 Christ! le Golgothn se drosse nous les yeux.Ainsi qu’il apparut dans en forme première,

Lorsque tu ilsjeillir le monde à ln lumière.Portant déjà. flétri. sinistre. à peine ne.

’ Une empreinte fatale à son front décharne.

C’est luit Les on des morte tinsses sans sépulturo

Le, couvrent du linceul de leurpoussiuro impure.Forage ophiure, une un soleil des ôtés.

v Et qui vole ou honorai dans les vents empestés;C’est l’horrible colline ou tout de cris suprêmes

Sont montes de le croix avec de corde blasphomes;Où le sol a tout hn de misérable sans;Et que l’homme parfois se montre en frémissent.Quand. aux pilles éclairs d’une orageuse une.Elle douche un ciel sa tâte morne et miel

’ Martyr qui t’es oll’ert. ô Christ, vois,..c’est le lieu 1

11Que tu purifieras sur’terre et devant Dieul 4 1

Et les siècles. saisisd’un respect unanime.Se tourneront bientôt vers cette auguste cime,

Infime encore hier, vil ossuaire humain.Et. comme unqsaint autel, vénérable demain;

Phare que saluera l’homme dans ses naufrages,Et que déteindront plus les terrestres orages;

1 flues quatre mille une. flots sur flots révolus,v voici l’instant fatal tel que tu le voulus Ê-

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u . 7’ maxima survies

» n , , A4 :Avmt la prmnîcrjanr.’l’oagmtm 01 la durât)! .

" Seigneur. tu alm’înlivinu est blâmant décbîrâa;

En dur la un: surfila; aman do munis pans.’ Où au malus on profil) aux inflalcllls»l"u1;arflfi.

Tandis que au: ton front où l’épînaa’onlncd

Chaquu 305mo da sang sa durcit a!» au glana,* Ainsi qu’un viÎ-hulin Qu’on disputa afflemnwnt f. Un; Rnnmîna vont jouer (on ancré filament, V ,Ï’ Afin gène. PmWfB et ms, au? leur 33112:1 flamands. ’

Tu retournes aux cieux quinine tu vins qu nuança!

F)

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196 m manas

excursus STATION

un: «t tank! A la croît.

La foula. avec des Cris d’anathômo si de joie. yParmi les tous mussifs comme un rament caddie.En. hurlante; couvrais! la stérile sommet.Domamle (liron l’atléche à Flamme gibet,

v Ainsi. Jérusalem que le vertige assiège

A vomitie ses murs sa race sacrilège. Et saule, sans lapis]. implacàbls témoinr Ï.

Entond gronder son peuplé et l’applaudit de loin:r [anormale qu’un 56m. pour d’autres funérailles.

’ Go peuple sans merci, hérissant ses murailles,

Lui criera : Sois maudite! et. filsflénamrê.Senne-dévêtons sur son sein déchiré!

Sans qu’un soupir J’angdîssa échappas sa bouche. .

Sur l’arbre de la Croix levRédempteur es couche; v V

Il me aux clous aigus. suif marteaux inhumains, j 1Sespieds déjà meurtris et ses divines mains. -- AEs. regaan Essieux sourds à Van agqnis. V: f

’ s’ Charité son Pèrà’aù rond de la voûte. infinis. ” V

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ouatât!!! nounou ":95 iMois. diamants ou instruits. pareil aux sombras nom

L’ospuèo a’obsourcit a: roula des sanglotai ’

Sous lu vol des Démons fait minima tressaille:*’ Kilo Sauvcurïromil. dam! son 0mn et duraille: .

Et. comme dama la nuit des Oliviers. son cœurS’oruplit d’une inviuoiblo et mprâruo immun

0 Jésus! c’est assa: d’ouÇruBout de sonflïuuooi. V

Si tu ne veux punir. songe à (ou iuuoèouco!Soigncur. il ou est temps mucor! Môriçuuænous

Tes douleurs et tu moussu cieux. ébrouioznvousl xFuudro du l’Ëtcrnol. quota colère éclate!

Fois écrouler ce moût sur cella foule ingrate;Épargne. ô Fils de l’hommo. à ce poulie inscusôÎ. n .

Un forfait qui jamais no sera surpassé;, No laissé pas crier dans in mémoire humaine

Go hideux souvenir de folio, et (le haine!- tu race de Jacob au cœur avaro ce dur,

î: V . N’a-Folle donc versé des torrenîs de sang pur

4 V - Quo pour rougir mon fatales aux prophètes,fies mains. coutre Dieu même. ou meurtre toujours prêtes?

En faveur d’Abraiiom, d’huile. d’Israël,i0 Christæîdétournotia de ce crime éternel! f1

. . c L I . U .r07.

» 4 Tu [eusses fait sous goum, ô Sœrcei’âo la grâce.

V l .0 seul Ami de Thorium on ce monde où roui passe!Mois. dans soin équité. même un prix de tu mort. "ïrèsæfiaus dota W - au: grammage; *’ ’ ï?

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I r96 » * Ç En!" chauma

Et la Sauveur chuinte un son arrachas immunisa.Les hammam ont ou leur œuvra du doubleau» :Les clous amusions, boums par les mormon: du for.Vanadium au suppiiuo on lrnusllorçnut en chair...(Ton est fait! Viaion lnuloumblo ct sublime.On rivasse mon lenteur la croix on la victime,Et lu Inuit Golgotha. déjà purifié. ’Présente à l’univers la grand Suppliciôi

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DÜÜEIBHÈ nounou ’

bourrus": STATION , L à. ru

Jésus mon: sur la Était.

v. -... Tourné vous rouirions ce la Ville érornullc.

Jésus semble appeler l’humanité nouvelle k

. Et. par, delà les minus que Dieu guide en leur cours,sa..." on mourant l’auroro des gronde jours. ’° a " Où toute nation. de son sang baptisée. ’

LReflcurirn. baignée au cœur par sa rosée.Et, d’un même transport d’espérance! de foi,

Verrupor sa lumière et gurdèro sa loi. V Ia Doua un cmbrussemont symbolique et suprême. H7- , V Il ouvre lés deux brus au mondocnlier’qu’il aime. i

11m mouds qui le. nie et le tus à la fois, . VI . Car toutes les °douleurs sont augural de sa croix!

, v "Du calice épuisé goûtant lolie amère. si"Il écoute gémir ses amis erra Mère; *I seul. cloué, sanguine et délaissé du ciel. V V kL L 1, Les yeux brûlés de pleurs. lc cœur noyé de fiel. kÎ » Î’La chair vire et cuisante et n’étant qu’unc’plsic;

suppîîccïènfiiiîu glorîî’eüæu’ ’ ;’ * ; ’

a

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":93 V . ou ruseroit ’Il «usurière. ut poussa il truvora l’infini

Un cri terrible z EH. lamina sabàalhanil

O désuslmir du Christ! ô diyiuc épouvoulë l-

. Quoi l lu rutila Vertu, la Vérité vivante. aJésus! l’Aguouu sinus icelui et la Vcrliu incréé. g L, iGomme) un fils de là fourme); dans accospârô? . "Ï a:Oh! qui peut concevoir. quéllo humours parole

’ Dira ton nous sublima. adorable symbole]. v ’

La choir soufl’rautou Dieu. sans for-eu o: sans "appui VE: Dieu cogitation: l’homme et gémissant sur lui! X NMois nul ne soutiendra ces "torrents de lumière, î zSeigneur! Nouoi’adorons. courir dans la poussière! il.L’heure approche. et l’angoisso tu! place à l’amour.

on s’utieudrit. pardonne et une tour à tour. à »a Le hou larron. touché de rougirais soutiennes. Il ’ J

Bourre son cœuhlougçsmpsuride. à l’espérance.

El se tennis en priant vars les cieux reconquis...-.,- Voici tu mère. Jean! Mère, voici Ion fils!Pleurer, mes bien-aimés, louis larme salauds! V -

i"Mais espérez toujours: gai racheté le mofle! a» n

sa maintsulint la mais gamin un: daim? cEn vernis-nsuvièume heure. aussi au long soupir;Le Récemment baissa. Mœurs: rougit rime! à 7.;

* Et le ciels’empourpia grime seinglëlrte’wflsmns: . r r’ a i

On! entendit des. crise! plus pilums souchong, ’ " r

and. r19? Pâris!!! V à;à Et. scmblaîlcs au: maugré régirais magnums.

Ï courba 1mois lointains carmine doubla muer;au

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nourrirais similor: :7 .199; . QV ï, El. la voile du Tomploou delix’pnrtsëgliifâ:

r A Et la iorrmeutr’ourrie son soin on induits; " ’v

11.154. surgissant du molli suicidoit ossuairgu. . ’i Lus mus. à pas muclsàcur’ehaiout dans mais soma;Et. emmura cambrure uoir sur la touage jetë.’ - A à

j La nuit cnieloppu le humide épouvanté! * Vjà ’Lsïuaupls. amoncelé sur lû’flfllfifâlfilæ. v « . . ï

" ” mini: ses cria d’horreur aux bruits sourds-(les roiolesfçi

. Eric Romain. fuyant de ce sinistre lieu. ,. -I Cric: murmura une : ce: homme étoit un Dieu! "

’Ï’. a ru

a k on ..a ."tu A uu

. u.(K "Q.n , o ..: c s "ah Ta:K

ra (si ;s Il" o .Î- à à. . Ïa « » A. nr u î , I i v° Qsi ’I in ° a X: i’ ’w. V ° r ’ . . V a?”.«fl - s i ,v * A (!o w . . . ’ ’ i r V oW; V ’ l7 u ’ a .. . I - - s -

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erg-sérum,

a

fausmsæresrïoàétâs ’L liait germer leBuugraiu’imrmi l’iirraie impurs fEt prépuré le sol pouri’ladmoisson future; g . ï

L’ablation divins est enfin consommés! L * il: 5

5 Allonge sur la croix stroiçlit sus insolons. * .L Mois le bourreau qui son, "de, amurasse pesante, il . Li VOulrnger jusqu’au bout la choir agonisante, ’ - w

L Des bleuies condamnés briserloscssemsnts. f9 s

au picuxrc’s’pect. du bois grue j ê I LL w Détachonilcntoment-louruDieu supplicié. i

à unguéaux bras étendes mais 1 " oL LÂGc enduire immortel, relique fois’chèro. ’

La plais ouverts sullouc. la têts inanimée, 1L - LLe Rédempteur n’est. plus. cl; lepoids de son corps

Et, pour finir plus tu: leur vis si leurs infirmerais. ’ f» à:

ArespectéJéaus. saouls (amplifiiez .. L . iEt Nicodème.-uvcc Josiijiirld’Arimstbicg: -’ I

ou lumgxsstrtari fuyois. pâlirais gagas; î 3"

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ramifiais ,.srs’riou 1 r L au: tÏî la connu un luit plus d’avoir trop palpitai ’

’ D’amour. pour l’univers et pour la Vérité! L .

; r --, claquois yeux chargôsd’uu- désespoir sans boras ç jI’"”Sa Mât-La le contemple. mua. pale. morne. L i ’Le mur’dï’uuseul désir désormais consuma:

18an pouvoir détouruor (le cc Fils bisaèaimô.à: Sa joie cucu orgueil, sa divins amertume,.jqu rogardlixo ranime culière se résumoi- ’. :fl’out, est u. sur liois rougi d’un qui; sacré. il * - Là; ’Sufléo front ceint d’épiusot cc Lrestçvadore -L :4 ’ - a, . a -

îLÎÎ ’ Quo l’impossible-mort agha devautLolLlog L ’

L L i L .ÏIÎOutrlLsLestorreStrcs jours se. "sa vie immortelle!

En!) baisé, muette. et presào entre, ses bras r iÏ: iGettolîmmobilité terrible troépasr 3 , .: . 2;L.-.Eileitouclie:cespieds, ou lechlouLs déicides r 5 s ’

F j’FLoutïcucors ’gncr leurs empreintes livides. g i ..

-* Et". lcsmain . t le flau’cque le fer-arpsrccil

à; lit cumulus sortir de sep rireiuseuisèv L L L’ Ç; f5 LPour’dissipsr plus tôt cotie cil’rayante imago. .é L. L Là i É’ElleLa’pprocho plus près du célestowîsaga, L ’-. -° f ï f):-

îà; puas épièLuu scupir. uu’vogdcymouycment, - I"Le voit triomretfrémit marmoriseront. r L -’ 0

.LEtLoïestpourani. Mafia au :QÎËÏ. 2M" V313 IPM’ Â î" f

il le SauveurLauraLcouronué roumains, a i 1’ a’ Quandsun. jcuiie’tombeau: féra couler leurs pleurs,

àîîërisîifiææwæth- uses audacieux;L iGslles’qui, gémissant dansoit mêmeïsupplice; - Ï ["7 à

t fieu materaiia tariront le caliccl A ’ u i ’

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9mn,» .» 1.3. 3.831014 ï? - 1 7-5?”

Et deum: tentante] mystérieux afflouai, » T ’ ’

. Lès hm tantine vannai, pales. à deuxgqnonx. .n -Elles t’invoqueronl, aux feux tremblants descîergas; Ç04101130111601: 1188316318! et desæîefga’sl ’ , * V k à:

. Gomines’ qua un «sur, aux pieds du Fils divin, H a î; Pagé daim coups. m’aaîsùaw eut-vain: î . -.

Què. sans cessoxrempli d’une égale muâmes: - ’ v vy. Jusqù’à’ Diauï’qùfïêcogto il parfilât? dans»,

V E5 que; dans la foi suintée)! tu to ranimais. . K * .Se convçnàhçltqn’jonw. on «pas ùjamül’ * . *

. à: p

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1’ . V gaussasses-sûmes, - âbB-rX .

Ï ’merosz’mün aunés

:àsiiàmmts dimsls tgmb’ssù. ’ r

Ï ’ Î Et sur la pierrflus et désormais amibe.;, ï s Pions denl’onofioh des-îècleggvénérés. V

Pour rendreu Mn dépouille gduéraira hongenr. r Lès disciples pieux tÏétenk’ÎLAt, Seigneur! u ’* - ’ ,

- : - Uns eau vive, fixant les traces ds l’ëutrngo. V

V j 13an membresîroids a; ton’pâle Visage; c ’il Ç r Et l’encéns’qùi brins sur ton hersant: divin; .Ail La myrrhe et l’alinéa parfùmèrçnt ces - vu î s n. rÇ Et réianndsptsur toi les sanglois ds lapis âmes.

,5 flambai "suaire’neùf afflue les fermas11.": » Twist couché, Jësus,sabaissèrent tuyaux , ï If - (mues n’espçraien: plus mit sa romàir qu’aux cieux! ,

imita Viagæpuîsans daman mon lûi-iliôma . A g» .

Laiforçsda hmm haptène, . : ; "î 1 56 sagum 80114813 poids assaini milanais. a" s"i ssstlùî 15858331? dises-"tremblantes, w ’ s ,.« ;

-:le*ma vif, fion loin, noussllement’ fa 1a Une grigne s’buvrsit, un Levsnt’expçsés:

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".335 v ’ fissurons 4* " ’u

Et là jamais nul 1mm. chair promis: un râvçîl.

s N’avuit aunas demi l’immobilç assumai]. ’ V

C’est vers sablant: aôplllel’û. aride et admira. * , 1 V4 Qu’ils portuî’eùt (a démaille. a Sauvuùr de Islam)! 7Soutenuspar l’mncïùi’.L l’eapômucn otlafuî, à V

«r;Mais las yawl lourds (la filants. alpins pûlçsqué lui! . *l En m mm suivait. et les Ëmmçig manas; ’ ’z E: la disciple situé qui. maraîlnit [dinguais grenas. j

Celui qui. dans la Gèué, un momont’andomfi. ù" Sa punchs sain le sain de l’immortelïAmvî’,

ASambre.ÂlsissnnÜIOtmr sa blésas chevelure. - ’ d 1;S’illumî’unit déjà de tasflammo futurs, ’ w , A 3E

à O Pnthmssl ô’rschervprophélîque. où ses yéti: V

Vermnïls Christ assis dama gloire des cîsùx! . . c’est ainsi qu’au’scin de la cryptp profonds A *

Ils allaient" enfermer la lumière du mondé) s z w

w w m M? fin

Le Sépuûlcrs a néon ls 88mm: trâfiasëé. ° . » 1’ ..

Les pieds à quisnt, ilfïrkanüseg glacé, I " *

I Immobile, mirs: et rigide. st semblablg’ 1 .A longe créature humage si périssable; t n k 5 2

Et («aussi le; æsüçaisht,,l’sjünt « ’ ï» Le cœur de sa 1 Vins finage snëotsgnypli,

sParllnntlâësflçiliÇ lalpuîgdàm image hâlée, ’ . à.

V Fer-méteils la tômbssg âÎügs-’i)isrrerâçellëe; 4.

Puis; mzqèmnleiàçfispioægsgçhancagnîn.

f memâirear

g L " 5P???wigwàëéèsissrèïrèsiâs vêtîmes

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ï;

0..

f à quÀmnznàua arums soi?’ tL’avos in du vas ysux a: l’avait éusulè. V

Et qui pâmasses son ’immnflalîtâr! s

V ,îirkAlloz. vous dans les mains ont lavé 80.3 MGSSHEÔB:

En. qui Jésus a unis sua graciés les plus sûres. ’ ’ ’ h

L; ; Fabula. qui jysqusau’bum l’aveu accompagné.

Et qui le [marrais yixnnt’lenkçzàumnnèf , A’ déjà."ds la mofl’faîsnnt reculerl’ombra,’ x3, y.’

î :1143 Rédamptou; massifia on son aâpulam sombre! ’ s X

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me] l s un assenas

M RÉBURRBGTION

Jésus mente au

Il est masuscîtôl Dans un flot de lumière.r Du sûpulero en éclats il fait voles la pierre,’ il elélèvo. il slôlnnce. il est ressuscité!

V ,Hoimuua dans l’eslmce et dans Féminité!

’ Un jour éblouissant succède à la nuit noire:’ll monte. eûveloppé d’un leurbilldix de gloire;

. Et sa face revêt, au sortir du sommeil,O neige. tu blancheur, et tu flamme; ô soleil!

.. Il est ressuscité! Dans sen divin suairek LeSeint des Saints retourne au triple Sanctuaire; L

Mais il lègue le pain et l’eau vive, son sangEt sa..clmir. et en Croix à l’hommerenaissant.Gent miracles sacrés. son amour, en justice.Et le dernier pardon du lient de son supplice!Et toutes! accompli : le monde est racheté!misaine dans l’espace et dans l’éternité!

:0 Justes, qui damiez. atteixââut sa venue., Le jour libérateur éclets à votre vue!

m l

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ll

u universalisme: ’ n07ne vos maharani: glanés. palrinwlwn natrium,Lerorvmisl Le Sulgueur a brisé vos lieusl

u a Accflltl’illll Saine: discutables cantiques ,

" Celui dont on parlait aux smalas prophétiques.’ Le Dieu par lento aux peuples annoncé z

Un rejeton "olim de tu tige. à une:11mm crèche rustiqua. humble et nu dans ses langesAdam! des trois liois. (les Bergers et des Anges.

, Gomme il ôtoit (tarit, Io Verbe s’est fait chairl’ Il est né (1’:qu Vierge. il a vécu, souffert,

I Il est mort sur la croix. dessouda dans l’ablms. n

Et voici que, trois jours purgés. d’un vol sublime. ilIl surgit de le touille, il est ressuscité!Hermine dans l’espace et dans l’éternité! u

p u

V Par delià’les’eeptoioux ou palpitent vos ailes.

Exlmlez tillassiiuu des fêtes éternelles;

0 nominations, ô Vertus, à Splendeurs.’ Troncs. Princes. Gardiens etmystiques-Arclours.

Et vous. ô Sèruphîus. et vous, pures Essences.Vous, brûlants Châtelaine. Louenges et Puissances.Échelle de Jacob. vivants degrés de feu ,, ’Qui. de interro au, ciel et de l’homme à son Dieu,

i Dans le beauté. l’amour et la force sereine." Formez de l’univers l’harmonisset le [chaînai

i ÎEt ions. fils aînés (le Celui quint tout. MLQtti. plus près de en face, éclatants et debout.

a. à; Écoutez les premiers ses paroles l’égout-les, 4 ,

Archanges immortels qui veillez sur les mondes. r «

Allumez le Calvaire aux foudres du Sina l

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anti v M pestosminutez le Saint (les Saints. Arolinngéml illumina! V

I .1 Gloire au Verbe incréé! Pur un divin mystère i - iIl u rechute l’humus, il a smillé la terre, i .

Il n veineux la mort. il est ressuscités!

lingams dans l’examen et dans l’éternité!

Il: " w f

a L;Q a fr: Â; ra z l à

» M ne h - .. ’ h Ra o ,

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v h lA z;î n .1 , L. [:1., . a ;

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Liv inti." v, Q n l r pPl’éfeoe des Patience Antiques Il

. "mm

A. "(e’ * "(le livreras! un recueil études. un retour réfléchi

r à (icariennes négligées ou pour connues. Les émotions

il "personnelles n’y ont laissé que peu de traces: les pas;v "riions et le? faitsîcontemporaine n’y apparaissent point. »pliiez) que l’art puisse donner. dans une certaine me-

me; au caractère de généralité a tout ce qu’ilîtouche; ü

f ïilïy a dans l’aveu public des angoisses du cœur etde ”me: voluptés non moins arrières. une vanité et une pro- rgjxîlgfanationgratuites. D’autrepart, quelque vivantes igue V vNgoiautlespnasionsïpolitîques’dece temps. 9116 appaira V Ï"

wtiennent au monde. de radient-le travail m culalif ’îlien-est Manger; Ceci egpllque A; ’ "sériaÎ ’Ëîë ’ assise rasta un tfonllskcpmf, ,j arborisaient au ,pcâte, une sommeatlsvôrités

Le

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au: ratissas nua sunnas (urinonsmorales et d’idées dent mil ne peut s’abstrairorl’ex» I V.

pression seule en est multiple et diverse. Il s’agit de Vl’apprécier on olleamôma.’0’r. ces paonnes seront pont»:

être acenses «Parchemins et d’allures ourdîtes peu - ipropres a naprirnor la spontanéité des impressions et , vdes sentiments: mais si" leur donnée-particulière est a Ïadmise. l’objection est annihilée. Exposer rapporta-5’pite et la raison des idées qui ont prédite a leur con": -- ’

[44’ coption. sera dans prouver lalégitiuiite des formes W

V qu’ils ont revêtues. l ’ l - k V Z p . 1.En ce temps de malaise et, de recherches inquiètes. ’

les esprits les plus avertis et lesl’plus fennec s’arrêtent ,* et secousultenl. Le reste ne sait ni d’où il vient, ni ou ’ "

il va: il cède aux agitations fébriles qui foutrement. ppeu soucieux d’attendre et de délibérer. Seuls, les. Î ’

premiers se rendent compte de leur époque transitoire ..et des exigences fatales qui les contraignent. nous ,-somnies une génération savante: la vie inetinctiveÏ’ ,spontanée. aveuglément féconde de la’jennesse’. c’est ,

imitée douons: tel est le fait irréparable. La Poésie, r ï- réalisée dans l’art, n’enfnntera*ï’plus (Factions lié--;

iniques; elle n’inspirera plus de vertus sociales; parce ’îque la langue sacrée. même dans la prévision d’un î,

germe latent «l’héroïsme on de réduitercomrne g I- à toutes les époques de décadence littéraire. à naphte *

” exprirner que de mesquines impressions-personnelles.;envahie-par les néologismes arbitraires,’1norcelée’st

v . profanée, esclaveÎ des caprices et des goûts indivîa-Ïg»

fi duels, n’est plus apte! l’infinie; Èa’PoËsÎËËËne consacrera même plus lamentons des événements.

:îw,-...

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, î chaman au; vcnfiuus,.æu’gtquaç " 213 ,

M.xzqufi’ollo n’aura au prévus ni amenés; [mon que in H

caractère à laIdÎfl spéculatif et pratique du un temps,, est du uhecurdor qu’une attoniiou l’ovule et une estimamaximum à ou qui no vient pas, immédiatoriflpt un V F.. aida à son duublo effara. et qu’il ne. se «munirai tréma u

ni topas, Dos commuutüires auv l’Évuugilopauveut Ëïtriturai: transformer au pamphletopuiîüques; oies: ’ ’

’ une marguudu trouble dus caprins a; du la ruine :1160; VV Josiane: iljjïa ici agression, et [une sans figuro d’un. H

Ï manquoit; mais de tels compromisuont interdits àin Poésio. Moule souple et moins momifie que les

h formes du polémique usuelle. son action. aurait nunc .et sa déchéance plus octuplois). I °l:540 Pumas. éducateutsdes âmes, étrangers aux pre- I

V micro rudiments de la yie réelle. non moins que de la Ivia idéale; captois aux dédains instiüqlifu de la foulé

n comme l’iudîfiièrencoidesnplus intelliguuts; mora-. , limes soufi principes communiai Philosophes sans duo-"4" trine. rêveurs diimilntionnel déjanttiprig, écrivains dehasargl’qui vous complaisoz dans une radiqule iguowmime de l’bÎommé et du nigaude, et (tous un mépris ’

ü ("naturel de tout travail sérieux; race inconsistante et V * à .Ï ifanfaronne, épris de vonêfiæ; dont lu susceptibi.

lité "toujours aillée ne fit-rite qu’au sujet d’une

on; ânons perso alité et jamais au profif’ïle principes a,’ étamois; ô Poêles; que diÊiçzovuus, qufenseiignefiez-

H V m’a? Qui vousla conféré le «molète et le langage au

l’autorité? Quel dogme sanièüonneyôtro uposçolutj’r Iïi’vofiir’v’àim. êjïu’ïsëziâaus Îèïïiâéf et Golio’lïeurè:

i: est vaguai. vous uÎeleS’plus écoutés; purge qué vous ne

FflW*’ Glu

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l and -- mémos une Poilue: renflouas

mpmduieeznqu’uneneomum d’idées désormais..imnfii-f: Î

ennuie; l’époque ne vous entend plus. perce que vous;rem ùnportunéa de vosipluîutee stériles. impuissante - i

1 que vous élimai exprimer autre clmselque voîre pfbprè; .lunaire. Instituteurs du genre huiuoiu. voici que votre »dignifie en unit ingtiuctivonient plus que vous." Il je:soumet d’un" travail intérieur dont vous ne le guérirez « ;.

pas. d’un dénie religieux que vous forlancerez flâneraivous ne le guidez dans la recherche de ses truditîons’fl.idéales. Aussi. écornons destines. nous peine d’efi’neee-[É

ment définitif, à vous isoler d’heure en me- mendgde l’action. pour vous réfugier dans le vie. V, à

e contemplative et savante. comme en un sanctuaire’ile Vrepos et de purification. Vous rentrerezeineî; Marie Î,

. vous en écarter. hparelo fait même. de votre inolenient" «riperontpdene la voie intelligente ide l’époque. H 1:.

Depuis Homère; Eschyle-et 8011110013. repréèv sentent l 4mm dans sa vitalité, dans en plénitude et;

dans sans une harmonique. muéeadenee et le berline"k rie ontÏguvahill’esprit humain; En fait d’un originelçï

" le monde romain est au niveau des Dunes et Je;. mates; le teylelel chrétien tout entier est barbotera; l

Dante, Shakepeero et Milton n’ont prouvé que laet minuteur de leur génie individuel; leur longue

leurer..cenceptions leur): lier-hures; La "minium-ego; fmanège Pluche dt à Lyeippez’ ’Michel-Ange’n’u

- fécondé; soutienne, admirablemellœmème, (rouvert,

- une saie,4 écoulés depuie la Grèce? quelques individualités. pâlie-C

honnies. quelques grandes nous V lien et .ennàÎÊ

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: V ànfiwnunnnn pour]; melon-ne 1. 10:6 ;.

inuite; Et maintenant la science etl’art se retournanti vous les originée communes. Co mouvement me biensa ’ tôt unanime. Les idées et les faits, le vie intime et lac ï’l livieextérleure. «toutou qui constituoit: raison d’une. r

iriio-Vcruire. ale-penser; d’agir, des Inoculanoionnes. .’appelle l’attentiongônâmlorlro gonio 0th tâche de ce ,7 ;r i v3 piaule sont fichtrement une réunir les luronne famille 1 L3; 11;; "de l’intelligence humaine. Pour condamner nous 613391

i en intourdes esprits. cette tendance à-lavrenonetrue; fiv tien des époquenïpaeseee et des l’urine: multifilair-« qu’elles ont réalisées. il faudroit [logiquemantu’tout’

-’rejoter. jusîlu’anxtravnnx de géologie a; d’ethnogra- 77

I ’onprices- inréllechie. Cependant qu’on se remanie l l.;* ’- l’dt’ude doyenne n’a rien d exclusif ni d’absolu: savoir i

plllemndernos: maie le lioit des intelligences ne ne » ï;.,;eriaïa peut!!! gré des sympathies individuellee et des .3

3’ . Qu’est pas remuer; donner la vie idéale à n’a-plus in:Î Ï la vie réelle n’est ne finipluire stérilement dans le ’

imam Leopensée humaine aetellirmative nana doute;Ïfëf-Î.Âmnînelle’ nous bonard-arrêt etlde réflexion. Auriol; aj.» mais bâillement. il n’est rien-.916 plumeté?”

et deoplua..tfisœ’ étpllûüofl vaine à , 1 V.-ful:’orisinalît6,1’r°ëm un mauvaises.éroques-de l’art; 4’

"- me le» jeçegion fluent vigoureutdldaîl inspiration à.

gantons en nommes; ne point»; qnideno aveignaieparmi’» V; 1 - *

Winch-1°; ramures- n’n àti’ræs’ïùelémenr

g troublée-et pouillée, allient tarie: justifiai: fond. il»?

r la V infinie moderne; de: rougeaude 33min, (un religioütààfaofiu a and ï .

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.2162" 1:15er unsllinofiuneîïurtunnel a]

Quelle-Ide Chateaubriand, de là «rêverie ’myetique’f

, V ’d’outræRhin et du réalisme denLakistéB. Sevtroiililo:

V et se dissipe. Bien de moins vivant et de indus origieunion soi. nous l’appareil le plus spécieux. Un mon ï;,-’-’ï’

’ seconde main: hybride et incohérent, ecchagsme de la: il; :fiveîlle; "bien de patienonînubliuuoe’est ’

de dette comédie bruyante jouée au profit d’une auto-.5

’ latrie d’emprunt. Les mettrai sereont tus ou vontëîse

taira. fatiguée ânonnâmes, oublies déjà. solitaires, au milieu dateurs œuvres infructueuses. laudanum-3o , adeptes tentent”. une sorte de néo-romantisme dédoua-opéré. et putrescent ou: lignites amnios le côté négat

"4&9 leurs devanciers. Jamais pensée, iÏ outre mesure. n’en était vannet; un tel pertinente,". ’ divagation. La" langue poétique-n’a pine mon; Aa 13qu me le latin barbare idee’vereifiogtenis 734119,.

A du V eièole; Endehors de cette Ronde k. cence finaleîle lapeésieÎ intime et lyrique, .

récente s’est enflée, peu dûÎ sans publicjlmaie. qui n’est’pas "née viable, haï

1 mnème. n gâtifier! entendu que’la’rièlléîllj,-dè?;i

jugement n’atteint pas ’ quelques a hommes- d’un ftaleÏ

réelfquî. dune un sentiment-11è large dola nature7 a ont au revêtir leur-Mia femme et 51:5,

’ ment estimées. eatt’e’éliieexceptionnellegn’:

. V finanàsïuxêflâs zinfirméssspréçàeé d’une enthéti-queînféçonlle, que

f. V sentirla nécessite de retremper aux isoureesléternelle-V

ment pures et mollifie des sans”

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z 5:. pneumone- enflammerions ; mene.

,V I même généraux. Le thèmolpereOnnel et ses variations .p répétées out’épuiee l’attention; l’indill’éreuee n’en

- est: ’snivie le juste titre; mais :e’il est. indiSpeusablgî’ ’

d’abandonner au plus vite cette voieetroito et banale; V ’

encore notant-il s’engager en un chemin plus difiieilo, «VQ: 56;: il nacrâugquararufiâ par l’étude etc]

’ , épreuve’seapiatoims une fois subies. la langue4 4 ’ poétique une fois assainie; les spéculations de l’esprit,

E .. lesiémotioue’ aunaie, les pussions du cireur, par: In:2 dtontielles de leur fienté et de leur énergie, quand ’ *

(a

’54,

Initiation; - ’

l * alleu-disposeront de formes plus nettes et plus pré-nN .ficieesil une, certesyn’a’ura été délaissevnî oublié; le p

l-ç1,;l’ouds pensant. et l’art auront recouvré la sève et la;et «vigueur, l’harmonie et l’unité perdues. raquas me; 7 ;Ç

quand les intelligences profondément agitées usineront Vi agenças; quand la méditation des pribnêipes négligée ’ ’

filao régénération deejformes auront purifie l’espritpgt i

f lettre, dans un siècle on demi”, ai toutefois Pilulie-

-Ç tienrplufsvlente, peut-être la poésie redeviendraétjelle j.7 floueriez) inspire et immédiat de l’âme" humaine. En ’" à

.* L’art et1a*eeienoe,l longtemps séparés par suited

a:

se; recueillir et à e’ëtndier deus son passe gloxinia.) ni

Ïfrâtion des tempe.nonveaux n’implique pue une geste; n

Ï volettendant’l’heure de "la renaissance, il ne lui reste qu’à Â

divergentalVJlëdàl’intelligenoe, doivent doncjonché are’unirrétroitemenî, si ceÎ’n’eïetrà se (infondre; ° l

’ i fêtât-1a rêvé-IGËQPÆPÎQËËYQQQ.l’isléëlèçqmenagÂ

Çà; la nature exteüeuie; l’entre (suffète l’étude Vraie Ï;

nonnes et l’exposition lumineuâue. Mais l’art, aperdup -- r.p spontanéite- intuitive. on plutôt l’a lepuiséetr

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V 551.1593613 uàùïuèmîîn Auxxçuçg-ï

r «au la aaîéunêiialui mpgnumjld sans du mythifia ’ Ï g

tiens oubliëasgu Qu’il fora influa 315113133 fumes quîn 7* *

la! sont prflpl’êa. Amnîlieu du tumulté’dîdêea hauban I ’

fonte! qui age proêuitparmiàxùaun, un. toutaiigu’ 5;:flemme et. de travail résuma n’est carias pas à blâmer; .1 7’

. s’il subsîàte quelque parcella du réflaxièn dans [un VVesprîts. Quant à la vakmë apéuialqd’ars d’unà mm .» ’ L

conçut: analogue glanée, engrena soumise à qui ide. ,droiti’ahmncfinn faite de toute théuria 931116:3qu -’ il:

particulière uranium. xx v u ’ ’ ” ’ ï, Les fêlâmes gui suivent ont été gansés bègïâdrhsîaouëfl. f; ’,J

k l’influeuèe de ces idées. inuonscîenleè d’âbufdg-rëfléy’îîfw

. Îohiosrenauîte. Erronées. ils saron; non avçnÎïs mur la Ç,, ’ mérite oul’insuflîsance de la langué a du 3!qu :115me l ’ Œ’ ”

expressément dé là conbepzion premièrè: jugstqs ètÎ’ ’

opportunës. ils minciront nécessairemeilt inimitié k.chose. Les essais divers qui se [induisent (Rififi: la, - -menu dans autour-de nous ne doivent rîéhvantrdver: il; Ë ..nenglz’âflpraront infirma pâti. pour les-esprits mieuxçeig ï 1?;

fatigués. ul’éludo vmîé’du monda’anüqueï L’îgâoràmàfï

dès traditions ,çnyfbiqucs ofl’ouhliuep caractèrgg tapé--

tian: prçpges’ au: "époques wccàààîves ont (influé il;

à dès mépriéea radiums. Les théogoüies. grecquesuetglatines mntkreëtéçs cpnfonduea: le trèvestiesùinani miq Ï;

’sémblo infligé par ou.:-IvBitaub6 lux deuxgrands Paumé ioniçnsr a rété’lraproduit a mal

, mule à l’aideidîun pua grip de himplicité’vgrbasiêre:

aussi fanage que l’étaîtîla jmmpàpleinsde inanité

14 agitants officiels. Des mégi et des aèutiméntàau génie homérique, :éuipruutég au

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’ amasse; came. 13mm;rang

1 fleuve. Il Euripidn.’mrlemt. newton de dégekle’uonl Ç. ;epéeulaut déjà enl’expressionoutféejeladéeléiueteîm e Ë

des pussions. ont été insérés dans uneztfaduetîuu filmléguée du dénouemeutîdo l’Odyasée; fluidifie mal-e

k * o humanise. ou l’abondeuoo. la Î0r60.-Yé16VR!îon.l’écht

’ a- d’une langue merveilleuse on: Mayen nous des formes Tk 4 yéuiblee. traînantes et communes; et douta faut fuiter. .

, justice dans un sentiment de respect pour Homère. l g, Trois polîmes; jliélène; Niché, et KNflm, agnelai7* spécialement consacrés à l’antiquîték’grcoque-«et in: »-

h (liguent trois époques distinctes. Quelcjuesétudesd’tluô’;’ ;

Ëïéteuduo moindre. odes. hymnes et paysages. nubien: Î:

» K ou précèdent. ’ " il . u V’- i h Hélène cet le développement dramatique et lyrique »L; bdc de légende bleu counuo qui explique l’expédition

° des tribus guerrières deil’HeIlade confie la ville suinte 5d’un. Niché symbolise une loue fore ancienne entre ales ’vtradîtions’ doriques et une théogonie venue du ,

Phrygie. Khiron! est l’éducateur des chefs Mynieus.Depuis le déluge d’03ygés jusqu’au périple d’Argo, il n

filiale au déroulemeùt deerfaîts héroïques. Un der--uieupoëine, Bhàgavat, indiqueune voie pouveue.’0ulima 94men reproduire," au sein de la "nature ekceèsive. Ï et myelérieuee deËl’VInde, le caractère métajzhysique» et

gîünystîqiie des Angeles viçuuîlcs. en insistent sur le lieu” a

quika rattache cuido’gmes buddhistesg - ’ Î ï ’.7 fiés Poémes, il faut bîyîrésigner, seront peu-goûtés

oppréciés. Ils prieront, deus un grand nombre-k. .ne? d’eepfiieuplfévenuls ou blessée; le peine des jugementsî’: Ï;

à: qui les précèdent; Des sympahiesdéàîw 1

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Flan enflammes venues gangues ’ ænables leu? feront défaut. colles des âmes lmpmaîouw ,. .nublus qui ne dumuudont’à PAN quo la souvenir au la Ïmassuutîment des émulions rogrottéoe ou rêvées. Un ’

tol’ronuummom a bien ses amertumes secrètes: maisla destinée de l’îulullîgouco duit l’empo’rlor. et si lu

Poésie est souvent une expiation. le supplice est tout.

joute encré. ’

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: d Préfeoemdes-Îlï’oën’nes et Poésies

à I l une»)? I

H FAce, -- 7mil

Les plages qui précédent les Puantes Antiques m’ont l

. «une de sévères edrndneslotions, tempérées d’ail-

leurs,ije le" reconnais volontiers. par rheeucoup dev V bienveillance pour mes, vers, ce qui m’a surpris et, "" nLI » touché. Les objections qui m’ont été faites peuvent se Ï

I l ’ le résumer en peu de mols. on m’averlissait qu’en haine

’ de, mon lemps je me plaisois à rencogner de fantômes

- les nécropoles du passé, et que dans mon amourI enclosiqu le poésie grecque, j’en étaisqurivéu à nier; k

Z leur! l’art postérieur. Qu’il me soit permis de répondre » r

A - brièvement à ces graves reproches. , ,

Doumer essueires’est un ne s’était: Ï ’ ïI gym: refirésenté depuis Ézéchiel. Je ne musois jameis "

4*mmîm’3né MLYEËËEÊQÆÈEEIEÇŒKEËQËËŒŒÏËË

am, o J”? :5: ” d

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ses nounou une nouures ils-veinasvwæk’rr ï »’ii nepoint du leur attribuer cette. indemnes. aussi ne me. jmimât qrr’i’t rememiér ceux Qui la leur ont accordee. .

Plut aux dieux. en cillât. que je me fusse retiré un fond i a Vdes entres de Samothrace ou (les sanctuaires de l’inde. vcomme en l’a prétendu. en affirment queue! ne une 11

4 suivrait dans mon temple au dans me pagode. J’ai peu l ï "le goût du prosélytisme; et la solitude ne m’efl’raio pas;

mais je suis trop vieux de trois mille une un moins;et’je vie. ben gré. mol gré, ou dix-neuvième alliais :7 ’ï F

de Père chrétienne. J’ai heautourner les yeux vers lepassé. je ne reperçois qu’à travers le fumée de lut "fhouille. condenséeen nuées épaisses dans le ciel; j’ai

beau tendre l’oreille aux premiers choute de le poésiehumaine. les seuls qui méritent d’être écoutés. je les

entends à peine. grâce aux clameurs barbares du l’uu- I

démonium industriel. Que les esprits amoureux du °présent et: cueillîmes des magnificences de l’avenir se 1réjouissent dans leur foi. je ne les envie ni ne les félin

V cite. car nous n’avons’ni les mêmes sympathisai les

mômes espérances. Les hymnes et les odes inspirées lperle vapeur et la télégraphie électrique mornement I -médiocrement,et toutes ces paginions didactiques. , in’ayant rien de commun avecfl’ert, me démontre "raient plutôt que les poëles deviennent d’heure enheure plus inutiles aux sociétés; modernes. De tout S Î f.

temps. ils ont beaucoup soulier: sans "doute; maie àdans leurslplus mauvais jours; au milieu des angoisses, ë; ide l’exil. de la folie strie la faire. la légitime, influence sde leur génie était du moins incontestée et incontes- V-Q:

trigle. Voici que le moment est proche ou ils devront ’ -

ml

Mi »

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UIIIAGB DE! Eüflfififi ’I’L’ Yüfilîyfl nua H

..on:am- (la mazurka. 8min [mina «la mari inhallechmllu.a El: .9031 1mm» que jfl anis imimâhlonmnl ammnîmm

qua lpllc nom Moulin, sans umnpümu pansilolù. la flush(hum inévitable «(la tous «mais qui ïafuauruut d’alllilhl"

,. lev 1eme miam au profil, de je. ne mais qualla alliance*"Jnmaalnlmlaô da la pullula et (la l’indnulrîoln’est par ”

" milan du la rôpuluiun naturelle qua mais épmuvuua11mm qui nous luts. que ja mais mon 10mm. [laina

inolllnœlvo mnlhwmmmmm a; qui acathisie (nm rV ..m0l. "S’il dol!!! que nana ne clavions plus rien

( prqçlulw qui naît M à nos pflvpmn puma. snobonsfinale» la nouvonir des œuvras vénérables qui nous ontînîlîôs à la palais, a: pulaoùs dans la «filmât: nahua

” (le leur inpncoaasiblel’beuuté la consolation de los cumu- h

pmudm et de lus minium. La mpmcho qui m’a été ” ’

.admssâ du préférer lus merlu aux vivants est on nepeut plus motivé, et j’y réponds. par l’aveu la plus

implicite. Quant à la amande objection. èlle n’as: pasliréçisèment aussi fondée. u .

En général, tout ou qui œnslitùe un,» moufla etln mienne était mgr: avec le Pub lbéisimoÇ Tout a’revécu â- ao’ranaîssanee. C’est al lsaëeulemaut quel’idée (le la beauté reparaît dans l’intelligence et l’idée .

duldroisîdans l’ordre politiqua. En mame temps que

æ WWO

«I gl’ApvÏhvmdite Aixadyomàne du Corrèze son pour la A!

L scanda fois, de lçmer. le sentiment da la dignitè’ - ,- humain, véritable base de la morale gluti’que. 6111m en

lutté; contra le. principe hiératiqua’et féodal. Il tante.Îy:aprês mais seuls ana d’amas, dejéaliàer l’idéal plate» ’ il

’ ulcieq,"’ol l’eçolavago va disparaître enfin dolanlem. l

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and A endurcir une rufians a? rimeras «(-

w F...Un n’ont pas que. je veuille insister lei sur la Valeur "mnmlu du Pnlytltéisme dans Forum aueial et reli«Sioux. L’étude du (tenu tltéugouie. l’exunwn (les fulls

historiques et des institutinna. l’analyse aériomu desmœurs. animent à lu démonstration d’une vérité

admise par tout esprit libre d’idées raguas sans comtrôla et du prdvontiuuu «rurales. L’art ontique; luinuul. en est une révélation permanente. Je me borum ’ ’ "

rai dona un monde de l’art à .,La poésie est trais l’oie gônôrôn: par liiutulligonqe.

par lu puesi( , parla rêverie. L’intelligence et ln pas»sien créent

plètes; la rêverie répond un désir légitime qui entranteen typos qui expriment des idées calmé;

«vous le mystérieux et l’inconnu. Aussi l’Antiquité. .

libre de penser et de se passionner. «Lulle réalisé etpossédé l’idéal que le monde chrétien. soumis à une

loi religieuse qui le réduisait à la rêverie. n’a fait que

pressentir vaguement. Chat donc dans ses créations i. intellectuelles et morales qujil faut constater la puis»

sauce de la poésie grecque. Or. les Jeux éiàopées v. ioniennes. le n Prométhée; - l’OEdipe; "l’Antigone; la

Phèdre; contiennent, à mon sans. ce qui sera éternel»leurrant doué à Permit humain de sentir et de rendre: ’

et il en serait de même des Itilmças hindoues, talla» , V* cirées si étroitement à l’œuvre benzénique par le lien

des traditions communes. si elles réunissâient une

W W11

u’ m. MW W

UN

même degré..l’ordre, la clarté etl’lrnrmonie, ce; truie: l

qualités incomparables du génie hellénique.

Les ligures idéales-.:typiquée, que celui-ci a conçuesh i Ç Î;-

uç seront jamais ni surpassées ni oubliées. ne: f: ’""

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k’PnÊËAttB une mitans nr ’t’DËuth :125

" parurent qu être muraillâtes. nièce des atténuations né! guraniums. Depuis, il n’y a rien d’égtil. Le monde fun»

’ ,7 interne, il est vrai. a créé lu Vierge, aymbule de pureté.

de grâce et Hurlant du bonté. qui est le plus excellentedes voltent; niais natte pruluslulinn du sentiraient l’émi«

A Ï nia un tient plus; de la terre. et fait maintenant partita* du dogme. Je l’appelle nnn protestation; car. en

’ 7 V eau. l’lî’lerlurlflminin (tout Gratins a parlé. chassé du

vinil Olympu avec tous les types artistiques qu’il cu-trnlneit il au suite. Pénélopa. Antigonc et tant d’autres. A

yuretruuvn en elle au plucg et s’y assied définitive-w:” ,Ï’ tinrent, grâce au merveilleux instinct des races gréco»

lutines. ’ *’ -- Quant aux créations des petites postérieure. elles ne

I ’ présentent pas ce caractère un ct général qui renfermedans uncflindividualité vivante l’expression eumpléte ’

’ " d’une vertu ou d’une parisien idéalisée. .Et l’on pour-

h; v- rait dire. du reste. gnole monde moderne ne réufisit àccnccvcir des types féminins. qu’à la condition d’ul- ’

1 "g térer leur essencecmémeyeoit en leur attribuant nuacaractère viril; comme à lady Muclactli ou à Julie, soit

’ en les reléguent dans une sphère nébuleuuc et fautas: e

une; comqu pour Béatrice. - ’" ’ "V ,uGclle-ci n’est qu’une idée très-vague. même de

r fermes insaisissables; Qu’elle soit une personnifica-tiun de la théologie on l’o ra de celle qu’a aimée

7’ hante. nous ne l’arène jamn vue. et c’est à peine si

riens ramendons. Elle n’est Il) symbole epécial d’au-”: cunefdes’t’orces féminines; et, certes. il n’en estime ’ in;

dilaterai in fois si YÎVŒIÎG et si ’

0,7321?! A i . I, ’ la

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MG palmai nèfËoüüm in mâtinmèhm L

Îm; A [m

idéalo. En 8000m1 "ou. la satire politiquém la cama. . ’ I

versa théologiqna. cambiums ou delà de au monda. ne ’ rconstituant pas une étude du l’homme. Aussi pauma

* animer que l’hommo est absent da la Dinîun (Jçmédia.à laquelle devaient nûtïaaanieomtml manquâm- les formas si;plûmes et ordonnôœ. (mima dépendantes à; la con-’- ’

’ «puna maman et de khâgne. Or. en cauchemar, V ï F;sublimnpo’rla partout remmailla chum grande confit-L ç ’

Sion (ridées. du sontimunts otfi’împrasaions. et toute V ïpleine qu’elle est. d’énergie. du varve a: du coulçur. 1g fi

langue du Dante est à Faim faîte. r; n ;Shakepdà’m a produit une série trù-vuîéo de une» . l ’

têtes féminins ou virils: mais-Ophèlia, Desdcmoun, -Juliette. Miranda. sont-alleu des typas dans la sansantique" c’esbàndîra dans la sans uniquement vrnî’âg W in.

larme? Non. à coup am. Go sont «la riches fantaisies ,,. qui dûment et qui touchent. mais rien (la plu; à * ’ g;v l’cxonption d’Hamlet. qui échappe à tous définition

par son extrême complexilâ, les caractères viril-8111510;4 semblqnt de bnnuooupsupèfinun au; figurai fém’îe. ï .7

aines; Qtîmllo. Madbnth. Illiclialfl 1H. sont conçu; m ’

m w

avec grandi: puissance; » (1jP193 lard, si Milton eût emprunté à l’humanité-Io I

magnifique symbole de l’orgueil winch mais non-if" humilié. il eût produit un type nouveau 13119103113131: il ’ ’ "

Prométhém Si Bynn, avec ses incontestables qùaliçég

dofllyrisma a: de passion, eût flammé comma ÈME

apeure quelque fonce objective, le Giaour.ManfifejI-’üîGàîâ www-,35 ææésà’ ’ a? Î

sa personnalité. Seuls, unau? siècle, Alceste, Tige?

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galliums la»: 968m5 m même! in] c

V qui) et Baryum: l0 rattachant plus maman la i.grande famille du; anémions morale; de l’antiqultô r

’ :; grecque. un: ils en paumant la généralltû et la prêtai;

sîan. Enfin. pour le comme dôll’ôpaque contempnaçaîuegj’alllwc qu’il y a auaaîlcfin de Pramôtlnâe à

. thlqrcndut. que de la lutte 09mm les mon): aux déhala

. filflala’poliûa aurnùùtîunmllo. 0c. il! y a MadameL dabs l’ordre des annooptions typiques; que airais-jeh des grandes compusîtipns’ollesamamœ? "’7 a" - Déjà transfomtûo dans la Divine Commit et dans le

Parade? Perdu. l’épopée a cessé d’aire possible. Fana

V, en est la denim et la plus°énlatnuto punira, Artiste lt admirablement floué. possédant une immense comme

l , ’isntollguluolla. Gœtho a moins créé qu’il n’a pansé; et

k . ills’est trouvé que cet esprit si Clair et aï maître du soi, .

saqhgut tout et (limonant à son fard de en force ent)!» lV olopédlquo. in conçu, déflçitivemont, qu’un Mme

’ plein lgabatxactîons et d’obscurité:«samariums à t’ kami lesquelles iles! finançant Mafia de sciai! en " °2 ’ pensée. qu’il la boumait Iùîamâme le livra en; sept

jacamar. * ’ l .Ï’ a° ll- faut bien tâtonnant-o. en face de tek exemples.; quia les glus lama; nomes de la poésie sa sçnt nabi;21-,"’*.hlias graduellemth on taries, al ce n’estupaæ queva

f; le imine en conclum’è ruminement du figeait: intailla?

la lampa madame: deembauma épique n’existait plain Cèiixohles récifs

a? hangar! fig peuplç; 1 ,,;«sa génie. bé in VV ï’idlégl fangeux. n’ont plus en: «la raison l’ami dnàjôur

A,

A

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V àaS r o V. flânez pas" ennuyai ognons. j

ou les races ont peut!!! toute Existence: proprèfifontî’:commère spécial. Que sérance cloné si allés on hiatal; "

. à no plus former qu’une ,nlâmetl’asnillo, saumoné":

. . l’imagiuo pantiollemont la démocratiço’ contoinpofuino

;næînnàgënlggslgæôrûfioù Parlant une Motta-rial t

tique, ayanr dos . p àv (laines, et ne se pnéoccupant que de lèsrïuuuuognnlonMois il est peu probable que glotte ospêiunco’ào :Êéu

lise. malheureusement Ëp’onr la pali. la meublé."

"ï ï Bien-étiola des peuplai Lament les hlmorulas lot les conceptions’wde lÎintolligenco.onl

- F mon donc’ pas qu’il**»,soit. absolumentg l’épopée renaisse nnrjour de la reconstitulionîutflt p 1th héroïquo monum- Oppressives’ïtopprî

Ï lmésm * .. Ï : * , 9 ,. (Â’ÏÎ. I. J9 n’ai fiaæùeunekdësiépoqùes «la L ’ enfilage.

» je nuptial; le; grands poètes siéent;v a , u puis HOmèro; mais jouaillât: mu dissimulenquo là

l :1 finaux se sont produifæà Idesg’oonditionu on no pV 1 plùsdéfavoçubles. Je croîs que les Ioniçiislçokleu:

I jtins,tpossëtlaient*deux"°îdiomes. filon supérieur; a:

ï- langues niellâmes on richessorenèclaüâ et on?o pion. hâtois, enfin, qu’à génie égal. los mafia

’ ’ nous retracent les origines hismfiquos.qnîlÏs’in8piién

ï. traditions undennes. qui nous feportçnt, «lumpn , hi où lÎhommè et la terre étaient jeunes et Pallas

. "de leurforcél et de leur beauté, exciterontà :ï’îfitéiâf’plus*ptôf6nü- pas ï ,

l r âagnerréotypé des nouure et des faitsvcongomporuins’ , Jelsonhaite, en finisèunt, que l’avion sincère do

’ w

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mande. ’ u" 2’

* un houle animés de mon premier

tptlrtœïuchovàr, dans cet; intervalle, même" plusmuantplua sérieuxgroù je’ tentèrai dorenIormeç,

; awwtëéïëmws

a

V," «Mr .," g fi «nm -4 7-.-. ..-..,.-:4...,çw--,,-uV-e-ïm.pfifi

ne; ont, iljséra. le dernier d’îciïà ânonnes années. J’es- »

annotations «de apiquésgrnismirçï Alîzètïouudarùtaloïot’héroïqtié d’une déçues

contient; . de o quelques pièces manques .ot 1d’un, k -couffin nombre d’étudosz d’un. ilrirî’ustéoot’to fois que " p

[pp gamma. ’Çunacëpalm’a été inspîré pur un épî- ÎÏ-Ï , q l

sa". Î) RainayanŒot la Ratafia, par: o * -ânonnâtes ligneul-d’unalégendo finnoîso. qui sym- - ,. ;

élise tl’introduotion violenta du Christianismoon " a

:kQùullào que-soit d’amours .la’tlestiné-o dans livre.--

finâuk’cnpnu tonnas-jar goaggas’iiatg f: î

’lprëglîlêotions à: nomaàtsn’arrêto paololecteur un 4.

guilde mon livre. A l’exception des deux poliment E ; ’ a

nonnes teillai? l’antique pénplgr V, , r

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r -»- ’ 7781m1 u -Àil: Ï * VICTO R un Go":prononçé à Malienne fiançait: le si unira :887;

5, .Ï L. 1;; ’ ., ’ ’ Messieurs.

’iÈnlgtl’appblani à moufler parmi vous au Poèteï ïÏ-î’mriiortel dont le génie doit illustroit àjarnnîs la France, j

ont la dix-nonvième sièèle.;vous m’avait fait un hon- kV in!!! aussi grand qu’îlétnit inattenduJCepeudnnt. au îil gomment dowivogratîtudo que j’éprouve ne mêle nus. ,7:i’îëPgrélËnSÂQB légitimozan fuçe de laîtâche-rodontnblëlîfl

g guêpes Ésnveillnnts suifragoîîn’ôntimposée, llîrîm u a

pillé: d’unhdmmegunîque- antratousâ ’ (.Jpenllânt.,soixante années. a. ébloui; irrité, ambon

à; Êæélgfig-ËËËÊÔ:

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2347 "V marronnier): riemannieni a

mense, de jour en juin plus abouchait: et pluuléelaâ A.mnte..n’u d’égale. (mm) qui la caractérise. dans aucune i . ,,

littérature’ancieuue ou mfltlut’llerfii qui a rendu à lu’ V

puisiez française. avec plusde richesse, de vigueur et » Fde certitude. les vortuu lyriques dont elle ôtait (hâtif ’ ’

tuée depuis deux alunies. Mu profonde admiration ’x» suppléera. je l’espère. Il in faiblesse de mes paroles;r " Messieurs. l’avènement d’un homme de gôu’mhd’un,’

grand poète surtout. n’ont jumela un fuit sponfnuéÏ 5 L

’ sans rapport avec le travail intellectuel antérieur; et H fgs’il arrive parfois que la Poésie, cette révolutionbdu l;Beau dans la nature et filins les conceptions humaines. ; ’ ase manifeste plus Banduine. plus lunule et plus inn- kgnifiquo allez quelques hommes très rares et d’autant nvénérables, «une communion latente n’en relie pas... .

moine. e tri-morelles ages. les esprits on apparence les; vplus divere. tout en respectant le surnature original de jchnoun d’eux. Si lu nature obéit aux, lois inviolables ”qui la régissent. l’intelligence n aussi les siennes qui ’ - .

l’ordonnent et la dirigent. L’histoire de la Poésie * 3grépondu celle de: phaaeauocieles. des événements-g:politiques et des idéer religieuses; elle en exprimois à’

fondaantérieurietlevirentrenui.«aussi. un?dire. l’histoire sacrée de la pouilla bannir-Eddie.épanouissamontdelnmiàro et dîhtmuonio. W ’

Aux époquuklointaiueunoû les rêves, les immuns: 7les passions vigoureuse des race! jeunes et pâme »jaillissant comt en légendes pleines d’amour;

- ou (infinitif), (l’exaltation mystique ou runique; un ,.

réâhjoyeuieommelîér

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mmguhaîatm martin rama i 935

’V k tira l’enfance au alambics comme une» 08:16:13 de bar; .

v hava. ct flamant. sans formas [neiges annota, dg si;I Ç V immixtion au généraüan. d’âme en âme a; de homme; au

haushofdam on: temps de Quidam niovwillmiao. deslmmmeuymboliqnas sont méfia fiai? l’imagination da

v mm unpnupla; mais «priè. on) les goums épata duA çgônie’uommup-ia réunissant on la condiment on allée», U

vaguai-an et. on GpOPG-fl. L’humanité les tient [mm la: - ’

’ Emmaüs antiques du mais et immanalise mm i,dÏHomèro et de Valmiki. Et l’humanM a miam on. - L

. tous les (déméritait) la Poésie universella sont commua

ï V.(ïhnacaxpoémeaunifiâmesquinaaomntjamuisonbliéa.

L Les grands hommes de mon homérique. Eschyle. HSophocle. Euripide; inaugurant bientôt. à rétamaihouneur’ldu la flânas. la règne des génies individuels:Aristophane écria ses comédien où la antife politique. i *

graciais et" littéraire. l’esprit la [plus aigu, le plus ah impie. le plus original a: souvent le plut; byniqna. "’ * (s’illuminent de chœurs flanchait; les purs lyriques

abondéiic. a: l’inspiration hellénique devient rédima» ”

» triez du monda intellemèl latin. Puis les muas vivent, Çmanumïvieilliasent: les langues sa modifient. nacar- i’ h i rompant; se désagrégerai: d’autres idiomes niaisant h

’ d’ellea.informe: encan; et Magali: par sa constituer

ï’(;ientement. (u . . M *’ K .( Après 19a noires année? (lu-noyau âge. année: did- k

V V homüable- barbarie; . qui avaient imams ’rl’nnèianüàse!

’ fluent pagnotas! clarifiasses intèllecmelles mais;’ .- de l’antiquité, .aviliiàanj les æpfiœ par la «macs. "

phlg igçgtos superstitions, parfmœjté des

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l :131?" V maniions mm vrordnuiauo

u » l ’ anume a! la tyrannies sanglante du finmtiamo rut:gigota. notre Pléiade françaisn, ou Seizièmosièolo du , ’

l’ëm inodarno. toma avec éclot un rououvcllmmnt des

formoit poétiques. Elle s’inquiète. des olmlà»dlmuvroaurions. les étudie ot los imite; allo, iuyonto’ des. k ’rhylhtnos charmants: mais en langue: n’ont pua faim.la lumps d’accomplir au tâche lui manqua. ot il miroque les dentus. avides d’une discipline communiaisaîimposontbiontôt d’étroitcnrèèlcs. souventnrbitmiros. 4. 1

qu”ils lionnont à honneur do no plus enfreindre. L’d«

poque organique de notro littéruturo s’ouvrit alors.très remurqunblc assurément par l’ordre et ln clarté,mais réfractaire en beaucoup de points à l’influenc-

udnrïco légitime de Pintclligoncc comme aux" formesnouvelles qui sont l’expression nécessaire des concep- ’

» lions originales. mariable que tout a été pensé ct dit.net qu’il ne reste aux poètes futurs qu’à répéter incas; » * k

somment la même ensemble d’idées et de sentiments,

dans une langue de plus en plus affaiblie. banale etdécolorée. Enfin, messieurs. dans léthargie lyrique

"de deux siècles succède un retour irrésistible vers les .sources de toute vraie poésie, vers le sentiment défila "1 inature oubliée, dédaignée ou incomprise, vers la par- ’ ” ’

faite concordance de l’expression et’de la pensée qui t .n’est elle-nième qu’une parole intérieure, et la renais.ï: ;

tsance intellectuelle éclate et rond" la viet à. Parts «je «,.h-prême; C’estp’ourquoi lârénoviatîon enthousiaste, dont g . .

Victor Hugo a été; sinon le seul-initiateur, du moins L, rn

le plus et lopins fécond, mitrinévilobhèènfi»:5

due à bien des c7usçs diverses. e k A r

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riissoonssnn Huron nunc» d 237 .

" l En culot. les grands écrivains du dixolwitîéme sièeln

V avalant déjà répondu ou Eurapo notre langui: ut leurs ià l. idées énumeiputrieus: ils nous avoient révélé la génito-1

c’ ï des peuples voisins. bien qu’ils n’en eussent compris

’ enliérmnout ni toute la beauté. ni tonte la profnndeur: ails avoient surtout préparé et amené ce soulevement.

; V mugnifiquo des dunes, ce combat lnérnlqub et terribledu l’esprit dojustioo et de liberté contre le vieux des»" polisson et le sioux fanatisme: ile avaient précipité

îlienne do le Révolution française. dont un célèbre

philosophe étranger a dit. dans un noble sentimentde ksolidarité immoloit: a Ce. fut une glorieuse au-

( 5 rare! Tous les êtres pensants prirent port à la fête.. L Une émotion sublime s’empnrude toutes les con-» L sciences, et l’enthousiasme lit vibrer le monde, comme

- . si l’on ont vu pour la première fois la réconciliation

a du ciel et de la terre! n a o -Victor Hugo unissoit. messieurs, ou moment ou

. notre puys, qui venoit de proclamer l’affranchisse-V ment du monde. s’abandonnait. dans se lassitude, à

5 lihomme extraordinaire et néfaste couché aujourd’hui

sans le dôme des "Invalides. et allait répandre àson tout, qu’il le voulût ou nanties idées révolution- ,,

"moires à travers ,l’Europe doublement conquise. Leu ’:Eoëte, dot qui l’âme conteunit virtuellement tant de

Ôs’ymphonies multiples etloujours superbes,!Îgrandit V, surinoit ratentissant des bataillesvl’épiques et des vie.

* t loin-es” dont lefÂso’uvenir l’a hanté-toute sa vie, a en lui

ggggiëëpirentd’udmirnhles vers», tandis que le’ idécs religieuses, souslavformed’une réesmentiondépitL

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3’188 ’ aunons pub vairon arme

. Masque du enthoiîoîame. arum: putt. et, d’autre) pan, , Qd’un poésie plumât sontimnntalu qua dngmnüqun. une? x ’-

 sima on lui l’admimlion des merveilles Hammam-,5 ’

mlea du mayen 639 a: la goût inconscient: dola nm;

amollie restaurèa. A A a .x " A filigrana, Visa): fluais se ont «sa» Maîtrise: catholique: mais la aucun) même du non génie ne 0 V

damait pain: larder à dissiper ces illusions de au jeu;m3889. L’ardont défenseur des MËÎÇ’MÎOBS moderncswr-

l’évocatour. de la Républiqno univer’aelle couvait; déjà "

dans l’enfant qui anathématisait à la fois. en 18m.:la kRévolution a; I’Emàho. et chantait la mækroyalista;mmna dqrrière Imam victorieux. Danüné qüÎilétait â incarner en qqelqug sarté la contusionné àgitéè 5..

de son siècle. à être comme le symbole vivantgïabmi’m; ;,;»

le clairon d’Or des Idées ,ondoyantas. des espérances, I °des pagaiôns. des transformation successües du rené. Ï:prît confiiupomîn. il’dovaît. avec la mêmuincçrîgé v

et la même ardéur. déveleppeüzs merveillan datas?"lyriques; de ses [maniéras odes à m-damigmpo’èmegj-s ’

par une ascension toujours plus-lignite et plus «styla-j "V-v tante. Il demi: mqins changer. ’06er on la lui à *

lrtàpnrmaxîrzètu!!!(lofoit).(Milneclavaitgrandirunmicàaènsæiç-L 1.;

’ 516 sa minime imâgimione: .mâtudkerd’un artisans «(www r à * » .,

Quallçskqufiîlsoiom. faillent «la; cannas, 188*131":

sans. fait influenôes. quina: modifié sa phnséà, bien

qui: ekrpvmdicafions suédés; Victor Hugomt’mt. me et surtout un grain! a: sublima poèta,’c’ætrâ»dhb

5*»er

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"byumæîwa enaæaggm , 339 .

. :7 irrâmoùhnbh uniate. mm la; dans. termes sont ne" n * "r p’ccaaaimmaut identiques. Il a un transmuter la au!» ,

d immun de «un on substance paâtiqua. «qui est la cati-v Î rdilitm expresse: ce première» de l’art; runique muphti;.’ ’ j flamme? au didactisme rimé, «ne négation 013901616, v

3 de tenta poésie: il a forgé. soixante années durant.N ’ "des vars d’or sur usa 9&0!qu d’airain: au vie entière

m v à; été ni: chant multiple et sonore çà puma les pas»

signez. (causales Mes, «males «mations. tomesa? les colère; ÉÔEÔŒW W5 0m 3m65 6mm kaîeœè ’ 7rama limans dans la doura de ce siècle, but trouvépas expraasionîlaouveraiue. Il est de la une! désor-J 3m55 éteinte sans doute. des génies univcraaîa.v5le ceux ’ V ,2

î. gui dont point dc-«mesure. parmgqu’ils voient tout 1phis grand que nature: de aux qui. sa dégagqant du

Ëanvoléê de leur imçfinâcion les sigmmjusqn’à. l’in-

4 cbùndîssablo. et qu’ils sontpaafidéa par-.ellefiplus»Ï g qu’ils pi la" possèdent et ne laflîrigont; mm qua lem:

rame confiait! une par: :19me me: âmes; parce .un ,7

k imine lutté et par bonds des entraves communes. W5; pussent de jour en: ion: une plus large Ëphère par)?" A1 déerdoment de km3 quinés natives et (la leur: îà; A: défauts hou mâtins extraordinairas; de ceux qui cessent;fig, Ïpagfôiæ (mixe àisêment compréhensibles, pâma que, °.. c

zélés choses. .enfin; n’existèuîpt ahanai «ventis? (

ma" (Ni la www! par les muni, lama; t.l, I 1911299:th

hl ses..ptamieæ mais. datés de 182.3. Vient)» H931fg; 7. u transmuas .

yl,

mplètemezit au langue, apr; ".319 et

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rafla k . limonons son huron» nociol’ Ï

facturo’do son mm dans sas annonciosodosotsurtout Ï Ldans les Orientales. Sana doute. c’était la’l’Orient tel Î o

qu’il Pouvait’ôtro conçu à ootto époque; et moins’llOriontluigmèmo que l’Espagne ou la Grenaluimm Ç!héroïquement pour son indépendance;- mais ces sans; g ’

vous, si nouveaux et si oolatants. fusent pour’ltouto :une génération prochaine une révélation de la vraie i.. à

Poésie. Je ne puis me rappeler, pour mu pattus-ans *un profond sentiment de reconnaissance. l’impression ’soudaine que je ressentis; tout jeune encore. (manda. a ï

1 ce livre me fut donné autrefois sur les montagnes tir."mon Aile natale. quand’j’aus cette vision d’un mondé: 1’ ’

plain de lumière. quand j’admirai ëette richesse CITE-

1mages si neuves et si hardies. ce mouvement mugie"iirésistîble. cette langue précise et sonore. Ce faitcomme une immense et brusque clarté illuminant la;

. mon, les montagnes. les bois, la: nature de mon paye, adont jusqu’alorsuje’ n’avais entrevu la beauté au; .

holisme étrange que dans les sensations confuses): a ’

inconscientes de l’enfance. * l- Ï - ,Cependant, messieurs, l’impression produite’ânrÂ

l’imagination naseaux: jeune sauvage vivant’aulieu splendeurs de la poésie naturolle ne pouvait

1 être unanimement ressentie à une époque in dans nul:pays ou les vieilles traditions dfuneïrhétorique. tipule:ses» dominaient encore. La préface. de Cromwellffèe a k

tisonnoient dans (1° l’école remuâmes rivait moitira;i défi déficientes hostilités que les Orientales ne assa-V

mènent pas; car nul poète n’a été plus attaqué; «plus Ï”;

insulté, plus nié que Victorj Hugo. Il est vrai. que

a

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- V nierions» musserois nous H f; Suit; "ï ’

étocs négàtion’s ne tout jamais fait dévias ni si ’ A:a mon; d’un pas. C’était un esprit entier et résolu. do

sans. très rares. qui se foutons ’dostinén conformera1’: iloirrivolonté, et» que les objections étonnent ou laissent ’ Ï V

:Ë indill’érénls. impuissantes qu’elles sont à rien annela il

guéret a rionÎmodifior.’ Aussi’ l’applauüsæmong qui

salua l’apparition des Feuilles rhéotome s’explique-

t-il moinsjrar Intensité de l’œuvre que par le carac-un intime. familial. élégiaque. dione poésie aisément

richissime aupulallc et à la critique. Da leur côté. les ,f traitants du Crépuscule. les Vous intérieuremles Rayons

cil-lessiOmbros furent accueillis tous à, tous avec un . .Âgï-Èmélangè d-élpggsîchalenreuxrdécsmés, comme d’ha-’ *

Étude; ou: parties sentimentales de ces beaux livres, V, l

àellerl’emportait sur l’impræSion cordiale: Rien de

inévitable; car, si nous admeltons volontiers enrance pour articles de foi. et nous trop nous inquié- ù

tafias sa qu’ils signifient, certains apophtegmes, Héci- H

V signonsraison mémorisions banalité, tels que : laest aussi au coeur; Ingénie réside tout sans:mais cœur, transmuions pluslvolontiers encore’ que fustige professionnel et fiîînodéré des larmes il

ïëüeila poilant des sentîmes: V les plus sacrés; Mais ,

sa; ilighîté de l’art a” la smîblarie du vulgaire. L’âme;

ÎÎfËË-"nîïinîèînk nuas en convaincre. les Châtiments, les

à; Gantemplations, la Légende desLSîècles nous. vinrent du . ”

I O

v ’ y se

j assassinasses adressés icelles normanismes. *

nommage est un génie mais qui’n’a jamais sacrifié g s:

un quîlwiibpsslslpmapénètrol’im que 12mm

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WÏÏ ÉïSÎWVRËNËËàÀIÉQ-èîa ébat;

üûëîôîâîïnultipîiéê et aupoemeaîr ’

et au: joieshumalûos, car». si yiotor Hugbfssîkfàfifga

On

A dropas agripaume scapin pagure: W aLes œntimçnœ tendres; les délicatesses,îm8me

, ma des poètes’virns catin seule Nid;

V l’indignation, l’élégîé’flet l’épopée se défoülgàùçgzgvéq

une éloquenœ innomé: où l’accumulatîqd

giquggzdîAgj-ippq d’AynbignêQnî les l’arabe: 516 ’V

à: de luthier mini atteint une tallaénatgio; RififiV des Contemplatiàna. ’;d’autra yin,’philosophîque," rêveur, d’une inspiration ï. côàjilé;

* wifi flamand».- ce «à plus quia:

-°.Ê.3.° lumièresïonk oreillererèoîtl

immun confisant «magma zigs saga. dans le chœur général. (les perce” ami diver’Îses

Châtinxahfi. més’sîeursg” soàEf etïèèstemùtïhpè

œuvre extranrdiuaîre où la colère, l’attenqiissçhmh

ment manicles finages. la luxe des fofmuleà,

on put-Imam, un souffle terrible; N! les? V.

mêmes voix afin! 1101113316th nature m? -

vibrer touées les cordes de une, il sait. fa; -*

Aussi là anneau enisiHl me, œildétail et l’ensemble des forums, des 3mn: . a ù * a

affluent incessammensz lui, la f ïèt’ len images ’vivames,vtoujoufs’précim dans

chance sonore; et qui comment

files; acquièrenbuen passant Pa, une annelions;

messieurs, de rappèler les prouves sans übnihiïèïècie

Victor Hugo nouü a données de cette

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ée mi génie? Lovers plein de foène! d’éèltitdùï.7 ;æ?!jiâïîgrgnd dosi’Lyrîquoars’exnpraith. Quand il lovent. ’

7* 13:19 grâce et d’un’oharmeïhréaiatiblea. fion soule.-

dnùavlîamo étyagpé dans Jo imam. L’herbe,

’q’vïhfo’,rlra le Van; 1a mer chantent. pin-look

amont,?pleuront et rêvent: la sans mystérieux duÏ’tiniveiaéls imités: révélé.”

ÏI’èn.»Êfl’et;”d’admirables vers, d’une! solidité et

vouloir; amine j] le dit. a oxprimù l’humahitâ

flat si; figulâênéæem apaisa.

v , fiais; races a: desïcivilisatioùs disparueç; qu’il

ogèooüàsîèqnvvioæônfluaoÎ V L 7843

ilîivîfiQ ou ceignit, ce qu’il mais, ce qu’il ’ 4 ç

momon mofle à rondior’sninîminfoo qui a». . r,

Ï; Légende 85:24:16: parut a: «mania pour ton»- Z.

ours;fl’applaudissement ungpîinà et enthousiaste. «-

lo’qgloîrekiùdonteatéd du grand Poète. Go k

dÎœuv’ra cyclique, la peizidre succes- V

un i H

,.a 13138M139 8m égales, d’un langue à la toit . higsqgç’eotüonocte,coigmotoflt oe’qu’aocrit’Vic; 3

. litigoiquî est aussi un grammairien infailliblo; Il" - v",qu’à luîod’entroprendra une talle œuvre.- n

v, ofâ’bîsa religioù, monde; W818 sa 1 V .

" ânt on et mouvement Smala "lère D; - flattes, c’était-là misa aigu de

quelque oolossalo liftant; fût qu’on r v’îhommo.’toutafoîp, pût réalisor’oomplètomonz un. *

a on mi formidable; il mais il"?! ’ëâîûmâmilé -

t’a folîgio’nàïlzijihiïosophio de" j * ’

f3 1m"! mon par Hun minois doiiituition, une: A.,jdgôonteniporain dermique époque a! qù’il y A;

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4 7’246 j minoenne son VIGTOR une";

’ revécût’exelueivement. en lien d’y obtiennes tirâmes:

’ V empires un développement des idées et des aspirationsdutemps en il vit on réalité. 1 ’ ’ K1 ’ Î 4

Bien qu’aucun siècle n’ait été à l’égal du nôtrej ï

celui de le science universelle: bien que l’histoire; leu 7langues, les moeurs. les théogonies des, peuples en.dans nous soient révélées d’année en année plie tout ; i

V i (le avants illntres: que les faite et les idées. la vie;intime et la vie extérieure, que tout ce qui domaine

V la raison d’être; (le croire. de penser des hommes dis:upnrus appelle l’attention des intelligences élevées,grands’poëtes ont rarement tente de rendre intense?-

’ "mollement le vie au passe. Ainsi, quand un mandaleesprit, un profond penseur, un précurseur, deRenaissance littéraire. Alfred de. Vigny, conçut etécrivit le beau poème de Moïse. il ne fit pointretour d’lsraël le vrai. personnage légendaire qui meapparaît aujourd’hui, le obel: théocratique 5de sixcent mille nommas-idolâtres et féroces errent mais Lnautile désert, le Prophète inexorable qui faitfgqrg ’ ’

en un jour Vingt-quatre millehommee parle tribu (leLevi. Le poème de Moïse n’est qu’une étude de l’âme

dans une situation-- donnée. n’appartient .àépoque nettement définiefit ne’met en lumière aucun

caractère individuel origiiIÇIQMais, si laSiècles. bien supérieure certaine conception et commeexécution, est plutôt, çà et là, ’l’échoiuperhe (lof i

flinents modernes attribués aux hommes des ,epoquw passées qu’une résurrection historique ou légendeine°

il faut reconnaitre que la foi déiste et spiritualiste-N Il

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’I

I incongrue nieroit noue A 345 ljVVietor Hugo. son attachementox’elueif à certaines me,; dingue, lui interdisaiônt d’accorder uneÎpnrt égale aux. 1

r a diverses conceptions religieuses dont l’humanité nin etjqui. tontes. ont éternues à leur heure; puisequ’elle’sffetoient les formes idéales doses rêvas et de ..

èefetgpèrances. n L’honipieia dit un illustre... écrivain. ,

v faille sainteté (lace qu’il garoit comme la man de ce,. qu’il oigne)” Quoi-quine seime Léyende des Siècles;

série dermegziig’ques communeepiques. res:en Impreuvie Militante d’une puissance verbale inouïe , I5;. moineau-serviced’imo imagination incomparable.

** (les Chansons devines ne; niellée terrible,Ïlesïdeux dernières Légendes, PAN-dîne- grand-père,île’Pepè, la Pitié suprême. Rèligion’et’rqligions, l’Ane,

.sz’prQuemada, les Quatre Vente de l’Esprit sersuocé-

,poâeîlple, mosaïsme, d’analyser et de louer ici’icomme

nenni-inhumeras aunes multipliées ou l’intarissable -

une se déploie avec la même force déme-1 Torquemada, cependant. moins un drame ace»qu’un :Îpoèmefï dialogué, offre une moneeption

logieîiui’en asti-que plus originale.ïGertes, en brûlantmilliers sesimisérables victimes, le vrai. Torque-.7 .1grand inquisiteiir du quinzième siècle, mepensait Fl’incurielaiton les mener à la béatitude ce:jleete. v’Il-îtenaitfunîquement à les exterminer, en leur

donnantsniflla avantgoûtfdes flamines éten- 1N nielles; Maisj-Victorp a développé] son étrangeuil érîreon’eeption avec tantde «ne; d’éloignenee et de cous f

,fl-.--w-.,.-... v..- . .4?

k î firent à de courte intervalles. filent assurément ign- » ” .

Pïxüulièrve quî’ Po" nmml’as-"Jil’tllm exacte théd-

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un, V DlBflûtlnô SUR Ylü’ïûl’f unau :7

leur. qu’il fout le remercier. au nom de le Ïiofieio..77d’avoir prâtô’eetto charité terrible à ont insehsô formé; V a

qui puisoit le imine de l’humanité dans l’imbécilliîo (Ë;

d’une foi monstrueuse. V i ’ g: - ï VDes les purifiantes aunées de sa jeunesse, et conçue ï

nomment avec ses poèmes et ses romane qui sont roumi; -iles poèmes. doue qu’il omit déjà d’une nativité iule-r .. f

lanthane que le temps devoit accroîtra encore, Victoi;llagoeveit revolé dans aux dromes une notion et lilial:longue théâtrales nouvelles; Quand ces velu d’on equ Ï Î’

notent pour la première faiseur la scène. quand uneexplosions (l’héroïsme, de tendresse. de passiou,-éoluïî Ï

turent soudainement, enthousiasmant les une. Miami Zla critique peu accoutumée à de telles audaces. ensuit? r»

levant même des haines personnelles, les esprits les;plus aveulis parmi les contradicteurs du" jeune Maîtresaluèrent: cependant, malgré beaucoup de réserves. f Îcetüovêrnement indiscutable de le haute poésie lyrique n:

dans lemme, bien que de longues années dussents’écouler encore avant leïtriomphe définitif. . a *

En efl’et. messieurs. Hernani. Marion de Larme. le ,J *

Roi jalouse; Huy Bide, les Burgraoes. ont. sulfiteK 4 longtemps de singulières objections. L’éclat au eter

et l’éloquence lyrique des personnages semblaient oui

adversaires du Poète l’unique mérite et au foie)!»âéfaut’fondamental. de ces œuvres si pleinesde situations dramatiques. Le. reproche deveacËHi’éà’:

l’étude des caractères et la vérité historique aux fan I’taisies de l’imagination esth dans juste? N’a-tâtât; .

été toujours permis aux poètes tragique; ’d’euiprîlntâ p

a àme

V v - - .. »:«---x , c V, on*v.-U--

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V mafieuse saurissoit nunc M Mgr1 . l’histoire de larges cailles ou leur inspiration par»annuelleputso déployer librement? La foule audion-v rsieste qui se prame aujourd’hui aux représentations . t

plie-cos beaux drames n’estaallo ulémue ni alunirois?

quant à leur substance même. ne consistowtmllo ïp pas. selon la remarque’d’uu’éminont critique. dans la " ’

’ développement actinique de tous les nobles motifs qui1;Ïrrïdétormineut l’action a l’honneur. mercières. iodés

’.ifllllelllfllll. laloyautô chevaleresque-il En antre. siÏ ËÏÏïVietor Hugo, cyan: toujours voulu que son théâtresi; v litt une tribune. une sans de ollaire d’un l’enseigne-

ment moral pût être donne au plus grand nombrer: ù"semblait méconnaître ainsi la nature essentielle de

l’art. qui est son propre but à luinmdmelldu moinsu fumet-il jamais oublié que si le juste et le vrai ont droit(haïtien poésie, ils ne doivent y être pareuse: sentis pï ï qu’à travers le beau,

- ” l. Les Bagnoles, dont l’insuccès lit prendre au grandk Poète la résolution de. renoncer, pour toujours au .

Ï: ,jïïthé’âtre. (sont. d’un tout autre ordre. et d’un ordre su-v

k * tiédeur. Nous sommes ici en face d’une trilogie-Eschy-lienne. d’une tragédie épique dont les principaux pery .i ennuages sont plus grands que nature et se meuvent

k, dans un monde titanique. Jamais Victor Hugo n’avaitJfrzïl’aitentendre sur la scène de plus majestueuses et de

à: plus hautes paroles. .Ge sont des vers spacieux et mar-p moussus, d’une facture sauveraiue, dignes d’exprimer k’ï f les passions farouches (laces vieux chevaliers géants A

4331s Rhin. La grandeur et la beauté de cette légende’ - tragique ne furent pas comprises. Une réaction passa-

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258 "poinçonnerions ïiufoutmuu V. Ï ’

V n Wgère. insignifiante on allocution et quant à ses toutlots prochains. sévissait à cette opaque etpervertissoiti ,1le goût public. Toutes" les pièces du Mettre avaientlité, v

discutées. applaudies. combattues. mais elles’ilevaieglæïï Î

finir par triompher de taules les résistances. Seuls.Ics’Burgraoes sont encore écartés de la scèuo.,hicnf5;que l’auteur n’ait jamais fait preuve au théâtre de g

; plus puissantes facultés créatrices. D’autres raisons. 4I d’une nature étrangère à l’art, peuvent. il est vrais: ï .

s’opposer légitimement il la reprise de cette tragédie.légendaire dans laquelle le sublime poète de’l’Ûre’slic 2-. .

b,

eût reconnu un génie de sa famille. a On ne surplis-f Ç;sera pas Eschyle. a dit Victor [laminais on la lrégaler. a) Et ill’a prouvé. LI

s J’ai dit. messieurs. que ses romans étaient aussi kÇ piles poèmes: et. en ell’et.*si la magie du vers lénifiéj’i’manque. l’ampleur’de la composition; la;richesseÎ u

lion des types plutôt que l’analyse des-caractères indig-: " d’une 1011808 originale. énergique et brillante. la créné? a ï

vicinale. leur donnent droit à cortine. Il était, dureste, impossible que Victor Hugo cessât un moment

’d’être poète. l’eût.il voulu. Ne sont-ce pas deux épo- ,

7j pées que Notre-Dame de Paris et les Misérables, l’une Ï j" plus régulièrement composée, plusi’condens-èe :5 l’autre

tontine. complexe, excessive, entrecoupée d’admiâï”..7 tables épisodes? NotreÀDame’ de Paris, injustement

critiquée par Goethe. restera. une invente reconstruises *" tien archéologique et historique, telle que Victor "Î ï g’ l’a conçue et voulue. et quelles! que soient les

r’œotes’favomr’ deoouosveiret de reproduire. ainsi ;

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invention romanesque. les immuns caractères. la ’

’ , s ’ Dragonne son vissoit nono ’ sag-’k».

vie des hommes du quinzième siècle, ou moment desleur histoire choisi par l’entour. Bonbon oublier de

i I surmois tout dopages semoules. tout de scènes tara. riblas ou touchantes. tout de figures à jamais vivantes. r

Rolande Frollo. Quasimodo, la Sachons. Esmorelde; ÉLouis X1. la fourmillnute Cour des Miracles. rosoient . ç

n’a

dépique de le vieille cathédrale par les truands? Cottelangue si neuve. si riclitïet si préçise. cos ligures. ces

V péripéties dramatiques. ces noms ne sortiront plus(la notre mémoire: la" vision du Poète est «inventionJ" ,7 nôtre;

Rentre épopée. les Misérables. fut écrite l une

opaque plus avancée de se vie. durant les années de,j...jl’exil. années immortelles qui ont produit tout de’ Vdrcllefs-d’œuvrèkoù sa pensée se dirigea plus spécialis-

:. finies de le oivilieaitioni; où, du haut du rocher de *’-;λGuornesey, illustre désormais; il répondit leur le il.

monde, en piroles enflammées, ses protestations in-

rmont vers la destinée faite aux déshérités et aux vic-

"1 clignées, ses appels multipliés amdroit. H3 justice! à

’-

I" le liberté; où il stigmetiss, dans le présent et dans Iï î ;l*avenir, tonales attentats; toutes les tyrannies. toutes

i» les iniquités. Un immense succès occueillit, colline ’

puissent, sorte. d’encyclopédie ou les questions so- A’* Î-cioles, la psychologieà l’histoire, le politique, com. ’

Î’courcnt ou développement de la fable romsneSque eto-Ës’ir mêlent en l’interrompant par de fréquentes diètes»

de formidables évocations La bataille de un:x sont dansson horreur sublime. Nous assis- j

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il une - j”aIs-oôuusï’iinn «nous: avec

tous à est enroulement sinistre d’une multitude qui se .rue. tourbillonne et se heurta avec une clameur désuni!perso contre les carrés de la Vieille Garde immobile: il A .eau milieu de la flamme et de Forum des bulles et des;boulots. ilion de plus foudroyant de beauté épique;Et que do scènes encore d’une réalité saisissante :4 une 15 E

tempête sous un crâne. le souvent de Picpuel Quo de 5?- -Ï types originaux et vivants :l’ôvôqne hiyriol, Valjean, e à.

Juron. Gillenormond. Champmetliieu etl’imtnoriel , i f.

Gavroche! ’ . ’ -’ 4’ Traduit dans toutes les langues, répandu dans le.monde entier, si plein. si complexe. tantôt haletant;

" tantôt calme et grave. œuvre de revendication sociale. ’ -.de polémique ardente et de lyrisme. le livre des Misé-Î; f?

v môles est assurément une des plus larges conceptions 7’ ï Î 5

d’un gtsniosprit, si ce n’estune des plus pondérées; Ï

r Main-quine le soit? le génie. de Victorjlugo brise. invinciblement tonales moules. et ce serait en véritér une prétention quelque peu insensée que de «uner endiguer cette love et proportionner cette tempête. - il .

Les Travailleurs de le Mer, I’Homme qui rit, Quatre? a à;

mugi-treize parurent successivement. Les mémés" - fbeautés d’imagination. d’originalité et de style s’y je:

; retrouvent à chaque ligne. Quinze se souvient de juif 51’:n r caverne sous-marine ou Gilliot rencontre lapienrreæ’"

de cette merveilleuse vision du grand Poète? L’infirmier r Ç;

richesse de la langue, le charme exquis. la [délicatesse u. I " "r féeriqneldes nuances «des sensations perçues-font de

Ç: ces pognent: enchantement mystérieux et:dans I’Homme qui rit,"que de tableaux étranger;

’ il

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’ intensions son vernation a, Ç surfai;

, oilinyante,mognifiques : les convulsionsdu;-pendu.., 77.-7 Îseeau6.’tourineate par lovent de le nuit. lugubre," I

àssgilli par les corbeaux affamés qu’il épouvante de ’ v

j emboutis furieux; la comploteriez neige: Gwynplnino 1" ,Her’rentdons lapidois déserte! la scène admirable et r V

monstrueuse du supplice dans la prison! Quatre-1siagbireizet- enfin. n’estvil paf un poème dont les’i Ibères- sont des types du devoir accompli. du sacrifice

sublime .* des figures symboliques plutôt que. deshommes. tout elles sont grandes? a. a

Ï - "ne telles œuvres. messieurs, tondeurs lues et tou-Î admirées. quelque permises que soient certaines.7 réserves respeetueuses, consolent, s’il est possible. de

Ï l’épidémie qui sévitde nos’ïjours Sur une portion de"

f notre littérature et.contamine les dernières annéesr kniïd’un siècle qui s’ouvrait avec tout d’éclat et prude;

mais sil-ardemment son amour du beau. alors que d’il- .-.ïzlustges poètes, d’éloquents et profonds romanciez ,. 7’

’ de puissants auteure dramatiques: auxquels je ne Mill »î rais oublier de rendre l’hommage qui leur «l’ion,f secondaient l’activité glorieuse de Victor Hugo. ais »

-ïÎ1-Çsi”le dédainæde l’imagination et de l’idéal s’installe

a; impudemment dans beaucoupid’esprits obstrues de figg zibelines grossières et malsaines. le me intellectuelle "I, : n’est pas épuisée sansrdoute :1 bien des œuurescontem- :-

.Vporaines’; hautes et t’attends prouvent. Le publicist-r.”1 i ne ne tardera pas à rejeter avec mépris ce qu’il acclame r-

( g enjourd’hui dans son. aveugle engouement, Les V. îmâsiïâeêet’tç’naturepessent; et le génie demeure; V V. V

Xiçtorliugo ne nous e pas seulement laissé le tre-

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, un. t u r nirsu’QWB rat-’FWGTQËF’IÛ-Gü’ïf t ï

w D v«mil prodigieux (ilion de son son: Ait-311mm admirer-V 7fion. Le. déroulementldos chefsnd’œuvro posthunioâ’g ’

transilirmo cette admiration en une sorte d’ofiioisnoré. ï Â

son face d’une tells puissance de création. On diroit"qu’il veut nous donner la preuve de l’immortalité ton;jours féconde de son génie ou son du ce monde; V

’ comme il nîmnitù l’ami-moi: d’âpres la conviction phi: Y;

losophiqùe qu’il s’était faito. Car toute vraie et. haute; -

n poésie contient en efl’et une philosophie; quelle qu’elle

soit. aspiration. espérance. foi, ceitituldeëou renoncé-imon: réfléchi et définitif au sentiment de notreaidené g:

tité survivant à Ll’existence terrestre. Mois ce renonce: f;

ment ne pouvait être admis par Victor Hugo. qui; lui. Î

ïaussi. comme il a 0&6 dit du grand orateur delà";Constituante, était si fortement en possession 8e la vie; L?’ Sa philosoPhie. celle qui se’Eetrouveunu fond de: ,

’ tous ses’poèmes, tient à Le fois du panthéisme étau ï?’ déisme. Dieu, pour lui, est tantôt l’Être infiniglindéë :4

terminale inonde intellectuel et le monde mornifles pV nature tout entière, la vie universelle avec sessmeux et 3 gj ses biens; tantôt Dieu se distingue des âtres et des

choses, affirme sa personnalité, veutfogit, détermineles penséesg les actes. amène. les cotËstropheS’phyè

r siques, relève les faibles et punit lesoppresseurs en les àincarnant de nouveau dans les formes les plus abjecte; °

l de -l’animalité ou dans celles dé la potière inerte? fit;

Dieu, I selon le - Poète, tétant toute justice et toutebonté, et les âmes crée n’étant’déchueset cor-

rompnes (me par l’ignorancË”de la vérité;v ou êlles se complaisent ou qui leur est infligée, a tous w

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Voiseouns’aunrvregron aeaja’; a 253--

que toutes fussent appelées; si elles le désirent. a leJ ; .I réhabilitation définitive; mais leur immunisine est r* n (conditionnelle, et beeueoup d’entre elles sont condoms V .nées à l’anéantissement toteL . . . ’ , 1Telle est le foi de Yictor Hugo. Il a été toute sa rio »’ f remonteur du rave surnaturel et des vieiens epocelyps -,*’tiqries.fill est enivré du mystère éternel; l1 dédaignois V v

virulence qui prétend expliquer les origines de le vie; ilne lui accorde même pas le droitde le tenter; et il se5 rattache en ceci, plus qu’il ne se l’avoue à inhumas,f leuifççlegmes arbitraires des religions regelées. Il croit«’pui’serdeus se foi profOnde en une puissance infinie. Ï .-

7 rémunératrice inclémente, la généreuse compassion

" l’anime pour les faibles. les déshérités, les misé?trailles, les. prescrits, truquois il otite si noblement un ë ,

l ile: il lui doit. pense-Hi.» (lochanter en paroles rsu-Minier: malienne, la grandeur et Plier-ruade du monde l ;

àlblfl,’ cumule les splendeurspaciiiquesfle l’humae 5’".

«pas future. etil ne veut pas reconnaître qu’il ne doit ’ ’

feârnngnîfique conception du beau que son-propre ,me couinasse 61ans. de bonté et de vaste’indul-

(pinson propre Mais qu’importe? Cette e li d’éblouiisements, rouvert au grand Poète

L l’liorizonkillimitèvoù son imagination plonge sans En; ja été la génératrice et la raison de chefs: ’;.r*Î-î*’-d(œîlu65 j V v  . V, N â , a o, J if V , p.

’ Que pourrais-je ajouter; messieurs? Dàns le **k 331995.16 vie, traversée pourtant d’àrdentes luttes j

grisais et muntjacs et âë’gfnùdèà douleurs;a; .;L tenterions sa vieillesse vénérable, apaisée et soufisme! o

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554:: a I il traversassesassassina? °I i vîçmm’g” q Will la kermesse de au suies;

A tentEênie lyrique qu’il ait asepsie transmuasse-"d’applaudir. Le monde civilise tonnelier lui grima y. E

V unalieminageunnnime. La profonde A Ë

k duit triomphalement au Panthéon. par un ’millîle

’ ses d’Alfredjçle Vigne-hala vie est un seoir! fsombre entre (leur sommeils infinis. a si "vraialiîu’el i

’ puisse eue. n’a palet troublé ses dernisrs’monreute.a K .

es: mon plein de jours. plein de gloire. entons? ru ,7maronnerai, auréolé de l’illusionsuprâmé, ce .

*" «amome; alléguant aux egos tous une mon?

---uuuorlîimmoflels. V ’ V. »,

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Fantine’oeoreée

rament*d’Européîa.E-’. . . ’. . . .7”;Légendeg : . . . a .’ ..... r. 31.:

[dessoudant 1., ; . . . . .du sampan ..... r. ..; . au!:j’GemVetBurgial ...... 1 . . , tafsalèilgjxrausièrgæor..;,in; . . . -. .’ -. . - 57»

É;mruîœüæflaoum.-. .. J . . . .1? . 759.-

4 En

tomait:- .1. ; .il’Ïaigu’biuissement . .l ......... . . .k .

a. aie av. a v n’u’ Il a a a i

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.55; gît-trima. :7:

V.Lonusi’airlégegfig. .’ . . *. ; si,

, 7?,V’Sur oui- groupesëu statufiais. Christophe. a.,Vwïliulleeeclelbuv’eeimues? 1 , 7.: .n" ’ ’ *

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rossusl. Le Temple de la Rose. 1a. P. «ne RONSARD. .j .5amariner l’ennemie: ’ r

4. 1.. Recrue; 7.. hs. A. paumai». a; ;-6. glapies *’ ligueurs .. r7, ses La. Frangins.-8. .LaMnlms dû Sonnet.-9- PMNÇGIÆCOHÈ

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