NQTE SUR LES SOLS ET LES NAPPES DE LA CUVETTE

!Xi NDELLE-NDIAYE cVsll4be du Lampsar 1

CAtbglon du tlsuve Sdmbgal)

OFFICE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE OUTRE-MER

CENTRE DE DAKAR - HANN

J.Y. LOVER, P4dologuo ORSTOM

M. A. DIALLO, Pidologur SAED

NQVEMBRE 1979

OFFICE DE LA RECHERCHE SCZENTIPIQUE ET TEXHMqUE

OUTRE&*R Centre de DAKAXZ

NOTE SUR LES SOLS El! LES NAPPES DF. LA CWETPE DE NDEUE NDUYE

(Région du Fleuve Sénégal)

(Mars 1980)

La cuvette de NDIAYE numQrot6e IV dans la vallée du Lampsar (nonen- clature GAUCHER 1966), doit etre m&na&e et mfse en culture en 1980, A leapproche de cette mise en eau, il nous a paru intCrescant de consigner dans une note b r h e les differentes donn6es recueillies ces dernières andes sur Xes caractéristiques des sols ct des nappes de cette cuvette.

f. BREVES "NEES GENERALES

Situge dans le delta du fleuve S&ni'.rgzl B une trentaine de kilostres de In m r s la cuvette est fimitde au Sud par le D i h i et Ir. route nationale II, au Mord par le Lanpsar, defluent du Eleuvc j clle sitetend sur 430 hectares entre les villages de NDIAYE eu NE et NDIOL au SU (cr. plan de situation).

Le climat est de type tropical sec à deux saisons très contrastkes. La pluvtodtrie annuelle est faible (300 i m ) et aléatoire.

La v6g6tation arbor& est absente dans le lit majeur. bes principales

espdces herbacées relevees sont : Sporobolus spicatus et robustwo Nymphaea, et: Dipledme fusca.

Lc$ morphologie habituelle de cette partie de la vall& comprend

des parties basses dites cuvettes de dkmtation qui dominent en superficie les lev6es alluviales. La diff6rcru.x de cote topographique entre ces deux princi- Fales unités est faible (1 à 2 m), eP: lvenserhle est très plat, inondable autrefois

par les débordements du fleuve dont la cuvette. est prot6gêe psr une digue depuis 197GO Pour les donnkes sur le milieu naturel, on se reportera utilement au travail de A, NDIAYE (1978).

II. PRINCIPALES DONNEES RECUEILLIES*

= une s6quence latCrale de sols dimt du Di6ri au Lampsar a ét6 observde en 1978, - trois pikzom&tres install&à en 1974 sur ce &me alignment ont &té relevês - une prospection d"m?mble a perds de dresser une carte de le6paisseur de en 1978-1979,

ltargile de surgace (annexée). III. DESCUPTION DE LA SEQUENCE DE SOLS

Sept profils ont ét& obsem6s our une sequence de 1,s kn orient& S-N % Ztaplornb de la borne kflom6trique 33 Ce SA"I ILOUIS. Trois profils seulement

ont fait l'objet deanalyses d6talllkes, les autres &tant sit:u&s dans des zones hors~a~~nagement prGSentaient moins d'inezrbt ou bien &talent classiques et avaient

dgj2 Et6 reconnus et d&crits p2r ailleurs (cuvette de Pont4endame).

* : Trsvail r6alis6 dans le cadre du protocole dwétudes ORSW-SAEI) (1974).

P L A N D E SITUATION D E L A C U V E T T E D E NDELLE-NDIAYE Echelle 1/200 O00

Profil IID-ND 1 : sol hydromorphe A gley de profondeur sal&, EacXBs acidifie sup: alluvions fines reposml: sur sables,

ProEil observk en juin 1978, situ& B !XI Gtres au Nord du DiGri, prks du pii?zo- d e r e Pir Cette parcelle, cultivée en riziculture de décrue pendant environ 10 ans, est abandonnée depuis deu;: ans. Sol nu, scns u6g+tationr

oœ30 c;n: Pellicule de desqumation 5u5 i a, d6sogx&ée par lo pikkinment

surface motteuse, anciennement Lnbour6c horizon brun faiblement h-nifbre, nettement tach6 ocre, hydromorphe - texture argileuse - strucwre polyédrique moyennc A sur-structure prismatique bien définie e compact i ltintkrieur de la structure - bonne prosit8 - bien exploit6 par les racines linite nette.

Horizon brun pics clair, hydmlorphe, bario16 ocre et 2&$5rernent gris - texture argileuse - 5 m c t u r e plus massive ?i eendance pris- ïnatique - petits cristaux de gypcc aciculaires - bonne porositk - limite brutale.

Horizon très bariolh, très liydrmorphe, fortement t2&6 ocre sur fond gris, plus intensbment à partir de 00 cm = texture l%tnono-très sableuse stmcdrure plus fondue 5 d6blt en klats a nombreux cristaux de gypse aciculaires, plus gros (2 cm), plus nombreux et mecl& B la base de l*horizon œ frais 21 partir de 80 an J limite notte,

100=*16Q czn : Horizon gris moyennement gleyfi6, taché ocre avec des ironœpipcs indurés ocre rauille remplis ct gain& de cristaux de gypse a mouí116 structure fonhe 1 tc?;:ture Limono-très sableuse - vers 140 an, quelques taches jaune pzi31c de jarosite l i b aux iron-pipes.

160-220 cm 4 Gley, gris plus foncé dispsrition des taches ocres dCbris v4gt5taux décamposbs - à 220 un, quelques fins dgbris de coquilles calcaires nappe ii 220,

220a.240 mi : Horizon b a n foncé tourbeu;: dans un matériau sableux gleyfiê.

5 .-

a En dessaus, nmte5riau de texture grossibm nettxxnene: sffecté par la aalura et l*hydror;wrphie de nappe.

La discontinuit& grmulaii4.trfqw entre ces deux mat6siaux ~Lip?khe Bes reniont6es capilleires et sz._lines (cf. profil snlin).

Llintcnsit6 de la 5al.ure cst probablerncnt trbs variûblc dans le inútQriau grossier nr3 prgscntant qu'tan caract&rc fugace j cveest purquoi nous ne ltsvonr; fait inter-

v c n k qu*2 un niveau inikieur dans 1; classification & ce sol ; les caractères lea plus marquants ktme une hydromorphic intewc de profondeur, B gley li& 21 la n q p e et une hydromorphie dpkhibdtlon plus L'aible B pseudogiey affectant l.*zrCile cuperClcielle,

1 ~ e sot_ prikente cn outre un caractkrc necteacnt acide surtout dans le mati;urlau grossier (PB +# 4.), ceci I;E,lgrQ la pr6scitcc d~ions-c~lciurn sous form da gypse mais qui sont probablmaent cn quantith insuffisante pour neutraliser t a s les sulgates ccides redistribu& par la nappe. Le ,ypse et la jarosite prkipitent dans la zone oxydêe au-dessus du gley (30 ,?: 120 at),,

A notcr 12 pr6sencc en profondeur d'un petZt horizon tourbeux discontinu, li& ?t

des restes de mangroves dont Ir! matizre orgaique est faiblement min6ralis8e (C/U 27). Ces horizons touxbew. ont ét6 reconnus ailleurs dans le delta mais toujours trbs localement, en profondeur vers 2 mètres ct ntatteipant jarilnis de GranclCs 6paisseurs (20-30 ma).

La pr4scnce de So an de sol argileux peu srrP6 en surfacc confbre B ce sol une bonne aptitude B la riziculture. D'après lec prmihres cinétiques d8infiltration que m u s wons effectudcs, il s*av&rerz,Pt que ces mat6riaux de faible épaisseur sont nhxnoins pratiquenent impemêableo. I1 importerr, au c"à de ia mise en vzlcur (.jtassainir la nappe des sables. pr;r pomprgc dans le collecteur principal B l*a.~al du phmètre h dQfaut de drcinago, ci: de contrt3lcr sa remontée 6ventuelle. CeEtc op6ratíon ne cPe.vznPt pas poser de praSlGms etant: don& la pcm6abilit6

du rnzt6rlau de profondeur. Le pH un pcu faible en surface mkrite d%re carrig6 pax In diaux. La x4servc en eau utile cles 50 premiers centimètres est de l'ordre 2c

?,5 % 3. La fertili& rhimicpe est moyenne bien que le taux de phosphore total paraisse faible pour ce type de mat6rim.

S.W.

Route Km33 Lampsar

ND ND 2bra

I Pieromit res

Asencemunt achaimatique de la sequence ehaervds

ND. NQ. 2bia Profil de salinid et da p H

7 ." M D 4 D 2 bis : Sol hydrornorphe B ?le;. de profondeur facits parasulfatd

acide SUP alluvions Zines.

ProEil obSem8 en juin 1978, situ6 dans la cuvettc de d6cantation dana une zone de bas-fond li& zu pss2ga dtun marigot C. togogrzphilo tres plane, surface finment; bossalke recouverte de nombreux débris de paille r'omnt un feutrage sur 2 m.

0-215 cia : Horizon brun foncGo ar&ilo-lIoneux 5 structure aplatie en plaquettes, avec intercalation de d6bris org-?Jiquec non dêcompos8o.

2/5-20/25 an II Horizon bariole, hydromorphe, otxe rouge sur fond gris foncé N argileux - structure prismatique grossi&se très bien d6f injhe tr'Qs compct å ltintérieur de la structure - microporosité I descente de dEbris ore;aniquerj dans les C~SSU~CS.

20/25-75 : Horizon brun fonc6, sec,trê.s tach6 de jaune paille (jarosite) verticdunent le long dwancicns trajets racinaires, et ocre rouille .I structure polyédrique B prisrx.'iio,ue grossiare ncttcment définie - très argileux fraie B pcrtir de M m.

75440 cf2 : Horizon gleyfPQ, humide - gris m y e n 21 grle bleutb, nettement tach6 jaune paille verticalement L. trajets racinaires indurés ocres, l*ext&rieur 6 t m t jaune vif - très argileux - structure fondue - porositd tubulaire verticale importante, avec dos racines fonction- nelles.

140 a" : Gley moins tach6 jaune - consistance du beurre - nappe h 160 an - apparition dQirompipes en profondeur.

9 .- Remarques sur le profil NDaD 2 bis

11 s'ogit drun ancien sol de niangrove caroct6risthque du delta en ce sens qu'il a subi rtnc 6tolution accentuk 2 la suite de non exondation et de son r c " m r ultsrieur par Irarpile de d6cantation dfpos6e par les eaux de crue :

12 snlure y est faible, de l'ordre de 516 r;.rmhos/crn ES ; sur l'ensemble du profil 3

O 13 jarosite encore clbondonte dans la pnrtie moyenne du sol est partiellarant

hydrolysik, apparaissant en taches ocre-rouilles et rouges B la partie supdrreure ;

U le pH 1/2,5 mesur6 sur col sikh& 2 1Rd.r ricest pas aussi bas que dano les sols de mangrove actuels, ûtteignant 4,3 au aini" ; - en profondeur, apparaft ici l'horizon Pc :.;feux consem6 ct le plus typique de la mansrovc par sa consistance trgs particulière.

I1 s*a&it d'un sol parasulfntê acide ou sulfie tropaquept de la classification miiricaine.

Du point de vue de 1'2 misc en valeur, la salure faible en surface avec un gradient de profondeur n'est p a &nante. Le tau:: de sodium échangcablc corrìg6 des sels solubles est faible dnns leargile superficielle ; il atteint 25 '/o dans Pchorizon de profondeur 3 structure dggradhe.

La reserve en eau utile est intéressante, dc l'ordre de 10 %,

pour la rieiculrure Les principaux facteurs d6favorables / sont une acidit6 un peu trop forte, avec gros

risques de sulfatonr6duction dans ce milieu peu pem6able et sulfat6. Cel2 exigera une correctjion de l(scidit5 et une ïnise en clau appropri& et prudente. La €ertilid diiniquc est correcter

Profil. HD4D 5 : Sol peu sA.k a clcalins h stmcturc d&grad&o, faciès vertiqw

sur alluvions fines reposant sur sables hydromrphes.

Profil observk en juin 1978, situ6 3 508 r&tres du Campsax dans une zone basse pr&wc dcns l*í-ii&nizgawxte futur et antGrPeurement culti&e en cultures de d&crue.

DdsagrGgatfon de Za structure en peties poIy&dres.

Horizon eris fonc6 taché ocre - structure polyddrique fine B moyenne, e r b comgcct B Ifintérieur do IL: structure texture tr&s argileuse - porosirk dsagrQgats, micrgorosit6 nulla quelques d6bris v6gétaux.

Horizon brun foncg, finement ti?dii gris clüir et rouille - structure prisuatique très grossière 2 sous-s truc-muse po1yc"drique moy~nne - très compact c h la base de I*harizon quelques faces obliques gauchies très argilcux

grises plus accentu6cs B 'La base - fissur6 jusqugà 50 distincte.

microporosit6 très f a i b k a marbrures ocres et limite

Horizon intem&didrc, brun plut; clair influencg pax 1.2 nappe - taches ocres, grises ct brunes foncdes lides A de5 rccines d6composZks structure moins large, polyédrique grossière B faces obliques plissées - texture argileuse L lisilitc brutale. 'Horizon gris &clairci, avec petites taches bruncc et beiges - texture 6quitibr6e SA.

Horizon très bario16 ocre jaune vertlealement avec .iron-pipes

ocreLj~un@/ocre-rouille et des taches erices plus ou noins claires = quelques petites taches rou;;es li&s aux manchons racinairus - iron-pipes moins indurés cn prohdeur - frais .. structure en &lat5 polyddriques sablo-ar,nileux quelques poches sableuses lav6es - lunide B 120.

Observations swc IC profil ND-ND 5 :

U profil. est diff6rencf6 sar deux matirfaux alluviaux supcrpos6s : argile de decantation jusque8 70 ail passant 2 UIA rutltkiau sablo-argileux. en profonbur. Le rnattkiau de profondeur est soumis 21 l.*inf%uencc de L=J nappe phrhtique qui lui ccinfGre dcs c a r a c t è r e s d c h y ~ r r ~ ~ i ~ à pscradogley et son influence rcmontc jusqust la basc de ltargile lbydrornonhfa dus B Itlmpemi6abilit8 de 3.*argilo restc dlccrècer

de décantation (SO ai). Dans la partie sup6rieure du profil,

La sduro est faible sur Irensemblc! du profil (. ’ 4 d o s / c m ES), avec une 16gkre concentration sur lec 10 premiers m.

Le pH wgsnente en profondeur pour devenir frül;acJiement zlcülin en relation avec une alcdisation lige GU sodiurn et au mqy&sitm 6changeables : lo structure y est inassive, très compacte ct la nicroporositG tr5s faible.

Dans le rmt4rim trQs argileux, des caractèrcs vartiques so dif f6rencient sous €onw drune forte corzlpncit4 et de faces obliques assez bicn definles,

Le soufre total atteint 1,5 % 5 la base de L@xgile OG il se concentre sous llreffet dc la nappe qui contient probablatent des sulfures solubles 3 les taux de gypse dt de jarosite sont Eaiblcs.

Le sol est apte 2æ la riziculture, pr6scntant nbznmoins certzins risques da sulfato- &duc tion.

12 .-

L rapports caractkristiques :

Ello est de nature sulfato-chl.onrr&e, favorisant la précipitation du gypse dans le profil j bien que la risque d*alcalisation par cette eau soit: relativement: faible en raison de la présence de sulfate de calcium dar; IC sol et dam Ireau, sa sali- nité est mafgr4 tout excessive pour la culture (qualité ~5~4).

nappo P2 3 p r é l d e dans le pi6zomkre P2 situé au milieu de la séquence dans une zone de lev&e, en juin 1978 et octobre 1979. - résultats analytiques :

m o r t s caractiwistiques :

ZPke est de nature chIoruro-culPateie (&lorurGa-sodique et sulfatGeœ calcique ct magn6sicnne) nettamnt s a k et n6faste pour los s o h (qualit6 ~5s) a h dgfaut dtun drainage de la parcelle, il. faudra Itacsainir etmftriser sa hautmsr: de battement par ponyacc dano le callecteur principal A l*r;oal du p&kGtrer

La qualité de cette eau est nettenant chlorur6e-sodiquo et excessi- va.mt scP& (saliniti superieure 5 lfecu da mer). &e si la zone des levik en Izomlure du Lapcar nrest pas prGvue clans Ltm&nagmcmt, il kmporte dtassninir cette nappe en raison deo risques de contmínction qu'clic grikente pour les temains voisíns,

LatQralcmont par rapport í?u lit r~ánour, $u Sud au Mord, c*st.&-dire aU Dikt au Lampsar, on note quantitativericnt un2 très nette et progressive aug"- melon de la salare de In nappe et qualitativement une augmentation du taux de

15.œ

chlorures par rapport aux sulfates qui pourrait indiquer le sens du transfert des sels. Remarquons &galexnent l*augmentztion de la conductivit& de l’eau du pic5zo- nètre Pi entre hes deux relevk de juif i970 et d*octobze 1979, avant et après l%ivesnage,

*I +,sctuations de la nappe phrSatP~~+e : ,,a --

- ConductivitQ flect-ique des eaux de la nap= : w--e ----^

I 22 bis O110 cx i 1 23 bis 1 I I 24 bis

25 bis 51 om10 cm

40,95 51,45 13,91 7,35

7,67 Q,C2 3,94 4,4b

10 $5

12 ,O7 52 7161

53 , 492 54 1 1,84

12,6 ' 20,5

13,65 1 10,s 12,6 1 7,5 22,05 I 22,5 33;6 1 36,O 33,6 36,O 35,7 mpo

!

I

8

23,4 39@9 44,lO 43 ,os 29,4

89,O 36,5 42 ,o 46 ,o 3590

11,55 10,5

I

41G 1 X, I I l

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60

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1,77 1s78

VI "CUISION I

On peut dire en dêfinitivc que l k m retrouva dans la cuvette I'J les n&es caractéristiques 'Fia celles dej; cl6crites h propos des sols de la cuvette de Pon*L;LGendame avec pr&daninance 3es car~czèrcx eilaciditt5, de salinit&, drhydro- motph2e puis de vertisolisa~ion et d*alcd.ls.-.tion. L'originnlit6 de la cuvette Ge l??XAYE stant fournie par Pa prgsence : - d'une parc de sols h morphoIoCie nettement parasulfatde acide. @es sols ont

tltailleurs e.!t6 antkieurment reCOfinus SIT 1.2 cuvette voichnc de Savoieno ~$1 ~ m r inlse ?n valeur pose cerezina problèms, - dgmtrQ part en profondcur et dc façon discontiwc d'un petit horizon tourbersz,,

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