Le NgondoFête du Ngondo à Savio

Soirée Foot, Soirée PeopleCérémonie à l’hôtel La Falaise

Le Forumdes métiers

Les CE1 au Golf

1er festival de BDà Douala

DOSSIERFooTNos CM2

en Afrique du Sud

Numéro 3Janvier 2011

SommAIrE4 AutOuR DE NOuS4-5 ¡El día de los muertos en méxico!6-7 Le Ngondo à la maternelle8-9 Le Ngondo au lycée

10 EvENEMENt10-11 Soirée Foot, soirée People12-13 Le Forum des métiers14 11 Novembre15 APE/Administration

16 DOSSIERLE MONDIAL FOOt

16-17 Vainqueur de la coupe du Fairplay

18 SPORt18 match d’ouverture Foot18 Le rugby19 Les CE1 au golf

20 ARt & CuLtuRE1ER FEStIvAL DE BD à DOuALA

20 Formation journalisme20-21 Interview des auteurs22-23 Compte rendu de la conférence

24 C tOut ChAuD24 Liste des clubs 25 mathématiques sans frontières25 Théâtre

26 FREE tALk27 A la trappe27 une élève désespérée par certaines

situations28 Parce qu’il faudra bien que quelqu’un

le dise !28 Des nouvelles des anciens

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EditorialSAVIo mAG reprend du service !!!L'occasion m'est ici donnée de réaffirmer mavolonté de m'inscrire dans la continuité del'œuvre entreprise par mes prédécesseurs quiconsiste à poursuivre le développement del'image d'excellence que véhicule notre lycéeau regard de la qualité de son enseignement àla française toujours amélioré par l'engagementd'équipes pédagogiques toujours plus performantes.L'élaboration d'un nouveau projet d'établisse-ment au service des objectifs affichés del'Agence dans son nouveau projet d'orientationstratégique 2010-2013 nous attend.Véritable instrument de pilotage, il devra nousconduire vers encore plus de cohérence dansnos actions pour :• Accueillir nos élèves et les faire

davantage réussir,• Permettre le travail en commun autour

d'objectifs partagés entre les différentsacteurs dans le respect de leur identité respective et de leurs valeurs.

• S'ouvrir davantage à notre pays d'accueilpar des échanges accrus tant du point devue culturel que sportif.

En attendant la réalisation de ce chantier, jevous souhaite à tous de poursuivre une excellenteannée scolaire 2011.

Alain Casanova

Siège social : Lycée Dominique Savio, rue des embouteillages - BP 1007E-mail : dawansurca@yahoo.frTel : Nicolas Hiret 96 53 91 20

Geneviève Trèjaut 94 12 90 24

Rédacteur en chef : m. Bonne VolontéDirecteur exécutif : mme JéducourageDirecteur financier : m. JèmléfruyDirecteur technique : m. Jefétou et mme GessétouDirecteur technique adjoint : mme ZerofôteDirecteur de publication : m. SistèmdéResponsable du développement : m. GicrwoadurcomefaireGraphiste : mlle Kopiedkolait

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Cetteannée, lesclasses de3eB, 4eA et4eB ontcélébré “Eldía deMuertos”,une fêtepopulaire

mexicaine. Avec nos professeurs d'espagnolM.Dieumen, Me Montané et M.Rousselot,nous avons installé un autel au CDI commecelui que les Mexicains font à la maison. Nousavons réalisé des dessins, des squelettes enpapier, des “calaveras de azúcar” (têtes demort en sucre), des petits napperons enpapier…pour le décorer.

Nous avons présenté notre travail à m. leProviseur et me la Proviseure Adjointe. La pré-sentation a été suivie d'un goûter.

Contrairement à Halloween, « El día demuertos » est une fête joyeuse qui rassemble lafamille autour du souvenir des défunts : onmange, on chante, on joue de la musique…

Nous allons vous expliquer maintenant d'oùvient cette fête et comment on la célèbre aumexique.

La fête des morts a lieu le 2 novembre. C'estune tradition aztèque. Les familles croient queles morts (leur esprit) reviennent une fois dansl'année leur rendre visite.

Ce jour-là, les mexicains décorent :

Les maisons…on y construit des autels sur lesquels sont dis-posé des bougies, des squelettes en papier,des têtes de mort en sucre….et un portrait desdéfunts de la famille. Ils y font des offrandes denourritures et de boissons aux défunts, qui lesmangeront car ce jour-là ils viendront rendrevisite à leurs familles.

Les rues …Dans les rues, il y a des marchés. on y vend lesfameuses têtes de mort en sucre, des sque-lettes en sucre et aussi le pan de muertos(pain des morts) qui sera mangé en famillependant la fête. Les rues quant à elles, separent avec des guirlandes de fleurs jauneorangé : le cempasùchtil.

Les Cimetières…Les familles vont au cimetière et apportent dela nourriture et de fleurs sur les tombes de leursdéfunts. Les fanfares de musique jouent dessérénades et tous profitent de cette journéeen mangeant, chantant, riant « avec » lesdéfunts, la famille et les amis.

La mort est symbolisée par « La catrina » ; c'estun squelette habillé en femme. Elle n'a riend'effrayant mais est plutôt burlesque car cejour-là personne ne la craint.

Texte : SAGOMBAYE Myriam et KADJI Jasmine 3eB. Photos : CASANOVA Kilian et NGAHANE Francesca. 3eB

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¡El día de los muertos en México!

tionnelle : six lutteurs de jeune,moyenne et grande catégories'affrontèrent amicalementencouragés par le public aurythme des chanteurs tradi-tionnels, l'impresario rappela larègle de lutte traditionnelle « celui qui met le genou sur lesol ou qui sera renversé par sonadversaire est éliminé » et aprèsune vingtaine de minutes, unepetite montée d'adrénaline, levainqueur fut très vite connuet très acclamé par le publicravi de ce spectacle traditionnel.Il était 11h45 lorsque la céré-monie tirait à sa fin le regardde l'assistance fut dirigé vers lacour pour une démonstrationdu lancer du filet de pêchececi exposait la méthode « épervier » et toute la tech-

nique de préparation du lan-cement de filet par lespêcheurs sur le fleuve et lescôtes ; franchement pas sifacile !

À 12h pour marquer la clôturede la cérémonie la « ma Ngon» se leva sur un pas de danseet invita ses convives à la sui-vre sur la piste afin de symboli-ser la communion des cultures,c'est ainsi que la scène setransforma en une grandepiste de danse au rythme dechants et danses traditionnelles.Sur cette très belle ambiancerendez vous fut pris pour lacélébration du Ngondo 2011l'année prochaine.

Les petits Journalistes de SavioSylvie Ndoko

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Cette année encorecomme toutes les pré-cédentes, la célébra-

tion du NGoNDo avec laparticipation des élèves del'école élémentaire DominiqueSavio a connu un succès !Pour l'occasion nous noussommes glissés dans la peaude « petits Journalistes de Savio »afin de vous relater les momentsforts qui captivèrent notreattention et qui rehaussèrentl'éclat de cette cérémonie.

En effet il était 10h30 lesamedi 27 Novembre 2010 àl'école maternelle FrançaiseSavio lorsque parents enfantsinvités s'installaient sous lepréau face à la scène pré-vue pour la cérémonie. Dansle décor on pouvait aperce-voir une jolie pirogue tradi-tionnelle ornée de pagaies etde raphias présentée aupublic pour la circonstance ;des chanteurs traditionnelsdevant leurs instruments(balafon, cloches, tam-tam)

des danseuses traditionnellesqui créaient par le rythme deleur mélodie une ambiancede fête des peuples côtiersappelés en langue douala «les Sawa ».C'est par quelques motsqu'un imprésario introduisitl'évènement, suivra l'entréemajestueuse de la « ma Ngon» en français entendons la « jeune mère » celle qui ouvreet qui clôture la cérémoniedans la tradition Douala. Elleavait pour responsabilitéd'installer les personnalitésimportantes mr Casanovaproviseur du lycée Savio etmr Zyla directeur de l'écoleélémentaire et de déclarerpar son coup de cloche lacérémonie ouverte. Alorsl'ont vit apparaître autour dela scène les cracheurs de feu,deux robustes adultes dégui-sés en vêtements tradition-nels qui absorbaient unliquide inflammable de lamain gauche et qui le recra-chait brouillement sur une

torche tenue à la main droitec'était très impressionnant ettrès spectaculaire tout aulong de la cérémonie.Entrainé par un rythmecadencé et une mélodie tra-ditionnelle chantée par desvoix féminines en languedouala, le public vit entrer surscène des jeunes filles quireprésentaient les femmesSawa vêtues d'un CabasNgondo une robe tradition-nelle très connue. Elles pré-sentèrent un magnifiquespectacle de danse retra-çant la vie quotidienne de lafemme sawa selon les tradi-tions douala. Directementaprès suivra l'entrée desjeunes hommes agitant leurpagaies au rythme du son dela voix du dirigeant. Ils repré-sentaient à leur tour la vie deshommes « Sawa » donc l'acti-vité principale quotidienneétait la pêche et l'artisanat. un autre moment très appré-cié par le public fut la belledémonstration de lutte tradi-

NGONDO 2010 à la maternelle

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Fête du Ngondo 2010 àDominique Savio

Cette année, à l'occasion de la fête duNgondo, fondement de la culture Douala, unprogramme d'initiation à la culture Douala a eulieu au lycée et à l'école élémentaireDominique Savio. En effet, le Ngondo a deux facettes : La pre-mière est le NGoNDo qui est une organisationque le peuple sawa utilise pour la vie de lasociété. La deuxième facette, est une fête quise célèbre chaque année à Douala, le premierdimanche du mois de décembre, sur les bergesdu fleuve Wouri. C'est pourquoi on l'appelle ' LaFête de l'Eau'.

Á l'école élémentaire, le 27 novembre s'est tenuun « festival du NGoNDo ». Des élèves enca-drés par des groupes d'animation, ont inter-prété des danses, des chants et des jeux tradi-tionnels Sawa. Ils étaient vêtus de tenues tradi-tionnelles sawa (pagnes et chemises pour lesgarçons), longues robes ou kabas (pour lesfilles). Les intervenants du groupe folkloriqueNgosso se sont chargés à cette occasion d'ap-prendre les danses traditionnelles Sawas auxélèves de Cm1 et Cm2.

Au lycée, deux conférenciers, m.Valère Epée etm.Albert Dikoume, sont venus le mardi 23novembre Le premier a entretenu élèves de5ème,4ème sur cette culture ancestrale et lesorigines de l'histoire du Ngondo.Le second a exposé aux élèves de 1er et de ter-minale accompagnés de leurs professeursd'Histoire le rôle historique de cette traditiondans l'Histoire du Cameroun à travers la coloni-sation et la décolonisation. Nous remercions les organisatrices, mmes Dikaet moukouri.

Les élèves du lycée

un serviteur de la tradi-tion Sawa est venu aulycée lors de la fête du

Ngondo dans le but d'éveillerles élèves à la culture Sawa.Cette conférence était orga-nisée par madame Dika pro-fesseur d'anglais à l'école etqui est une princesse Sawade la famille descendante duroi King Akwa. Tous les deux ans la prési-dence du Ngondo estconfiée à une nouvellefamille. Cette année, la prési-dence revient aux Akwa etau roi Din Dika Akwa III.

Pour voir et évaluer nosconnaissances, le conféren-cier a demandé aux deuxclasses de 5è présentes cequ'elles savaient du Ngondo.

Des élèves ont parlé de rituelsayant rapport avec l'eau. Lepatriarche semblait contentde ce qu'il entendait et nousa expliqué qu'effectivementles Sawa faisaient partie d'unpeuple « aquatique » croyanten des dieux marins. Il pré-senta le Ngondo comme unefête durant laquelle deuxgrandes familles Sawadevaient plonger afin derécupérer un message.« Ce message, a-t-il expliqué,

est transmis aux sirènes, lesmamiwatas, par les dieuxmarins. Les mamiwatas lesdéposent au fond de l'eauafin que les deux famillesplongent et les récupèrentpour ensuite l'amener à desoracles qui les traduiront ».Donc, tous les 23 novembre,une personne entre dans lefleuve Wouri et en ressortentièrement sec ! Sont orga-nisées aussi des courses depirogues surprenantes, ryth-mées par des tam tam etautres instruments.

Le patriarche Sawa nousexpliqua alors les coutumesselon lesquelles les filles semarient entre l'âge de 14 anset de 18 ans. Les jeunesdemoiselles doivent aussisavoir tenir un foyer et faire lacuisine à l'âge de sept anspendant que les garçons

apprennent la chasse et lapêche auprès de leur père. La cérémonie du Ngondo estorganisée avec un défilé tra-ditionnel où les femmes ontles mêmes droits et impor-tance que les hommes, ellesportent un pagne appelé lekaba.Après avoir parlé avec les 5èdes coutumes notre repré-sentant Sawa nous montrades mots aux significationsspéciales comme « moTo »dont le dessin signifie «homme ».

un grand merci à madameDika pour ce moment fort etintéressant nous ayant permisde mieux comprendre cetteculture Sawa.

Maéva GERARD 5è AJohanna VIEILLE 5è A

Aminata BONNIN 5è AMarie ZIMA 5è A

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La révélation du Ngondo :

NGONDO 2010 au lycée

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Dans le genre soiréeFootball, c'était difficilede mieux faire.

Entre un Hôtel plus que char-mant, un accueil très chaleu-reux, des horaires étonnam-ment respectés, un bar et unbuffet bien garnis, l'organisa-tion était, pour l'occasion,parfaite (Grâce notammentaux très dynamiques, madameTréjaut, monsieur Tiani etmonsieur Hiret).Suite à une série de discourstrès recherchés de la part desdifférentes personnalités pré-sentes ce soir-là, on pensebien sûr à monsieur leProviseur du Lycée Dominique

Savio, mais aussi à monsieurle Directeur de l'Hôtel « LaFalaise » et au très volontaireCoach du Savio FootballClub, monsieur Hiret(sans quile SFC n'existerait pas), la pré-sentation des maillots du cluba pu se faire aux yeux dupublic, accompagnée de laparole du Capitaine du SFC :Ce très cher William Bala.Ce n'est qu'ensuite que lamusique a pu être lancée etl'ambiance avec. Et là !!! madame Zadi Ekoka!!! En véritable animatrice desoirée, a invité les élèves,timides, hésitants, ils n'osaientpas dévoiler aux yeux du

public qui n'attendait quecela leurs grands talents dedanseurs et danseuses !Après avoir bien mangé(tchopegh pour les intimes)et bien dansé, la soirée estallée sur sa fin. Les invités sont donc retour-nés à leurs domiciles respec-tifs, pendant que l'horlogeaffichait une heure du mat'.un retour dans la joie maissurtout avec le sentimentd'avoir passé une bonne soi-rée en compagnie de jeunes,mais aussi de moins jeunes.

Ugo Arnopoulos

Soirée FootSoirée People

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Remise officielle des m

aillots de

l'équipe U17 de Savio par M.

Casanova

Remise officielle des maillots au

capitaine de l'équipe de « Saviola »,

M.Zyla

Représentants de l'équipe des U17,Mohamed Kleit et William Balla remercient leur coach M. Nicolas

Le coach, M. Nicolas Hiret

Soirée Foot, Soirée people, à l'hôtel résidence La Falaise

Remise des maillots à l’Association Sportive Foot

L'équipe avec ses nouveaux maillotsle lendemain à 8h!!!!!

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Opération Carrières 2010

Depuis plus de 4 ans, un évènementincontournable dans le cadre éducatifdu Lycée Dominique Savio, en partena-

riat avec le rotary Club de Douala, nous inviteà découvrir plusieurs métiers. Cette année,avec la participation des élèves de différentesécoles Camerounaises telles que le CollègeLibermann, le Lycée Saker, le Lycée Joss, lecollège Sonara, l'image de ce forum éducatifrestera très positive.

Comme l'a souligné notre Proviseur, monsieurAlain Casanova, c'est grâce à l'implication dela section STG (Sciences et Technologies de laGestion) que cet événement a pu être organiséde longue date et se dérouler dans les meilleuresconditions : 253 élèves (toutes écoles confondues)ont ainsi eu l'opportunité de rencontrer 48intervenants, représentant 23 catégories pro-fessionnelles allant de l'aéronautique à lalogistique, en passant par la médecine, l'ingé-nierie ou les carrières juridiques.

Le rotary est une organisation internationalede clubs service. Ses membres sont issus dumonde professionnel et mettent leurs compé-tences au service de leur collectivité. Ce sontdes membres des 5 clubs du rotary de Doualaqui (après être intervenus au Collège duLevant de Bonaberi le 23 octobre) ont consa-cré leur matinée du samedi 13 novembre àprésenter leur cursus et leurs métiers aux élèvesprésents au Lycée Savio, en particulier dans lesdomaines de la finance, de la santé, des car-rières juridiques, des assurances, de l'hôtellerie…

Il faut également souligner la présence d'au-tres intervenants (certains d'entre eux parentsd'élèves) qui ont répondu à notre appel pournous parler des métiers de l'enseignement, destransports et de la logistique, du commerce,du marketing…

Nous tenons à les remerciertous ici de leur implication quia permis la réussite de cetteopération Carrières.

Au Lycée Dominique Savio,l'enseignement des STG(Sciences et Technologies dela Gestion) est basé, commeson nom l'indique, sur la ges-tion, mais aussi sur l'écono-mie, le droit, le managementdes entreprises, mais aussi lemarketing (en terminale). Ilest destiné à ceux qui s'inté-ressent aux nouvelles tech-niques de communication etde gestion, à la comptabilitéet à la finance ou encore aucommerce. maturité, ordreet méthode, sens de la com-munication, esprit d'initiativesont des qualités utiles pourréussir dans cette section.L'expression écrite et orale,en français comme enlangues vivantes étrangères,ne doit pas être négligée.L'obtention de ce bac tech-nologique permet d'accéderà différentes formations supé-rieures : BTS (Brevets deTechniciens Supérieurs), D.u.T.ou même à des CPGEC(Classes Préparatoires auGrandes Ecoles deCommerce).

Le samedi 13 novembre 2010,les élèves de 1ére et de

Terminale STG ainsi que leursprofesseurs, mme Ciravégnaet mr Tiani, étaient présentsdès 8 h afin de mettre la mainaux derniers préparatifs etpour accueillir comme il sedoit les intervenants et lesélèves dès 8 h 30.

En attendant le discours demr Jean-Claude DIKA,Président du rotary et de mrAlain CASANoVA, Proviseur,chaque élève a pu se restau-rer avec une viennoiserie etune boisson offertes par leLycée Dominique Savio.

Dés 9 h 30, tous les interve-nants étaient à leurs postesrespectifs et les élèves ont puaccéder aux trois ateliers deleur choix… au rythme des «

pouet-pouet » marquant ledébut des séances. A la findu 3éme atelier, les interve-nants et les organisateurs ontrejoint la salle polyvalente oùune collation les attendait.

L'oPCAr, comme l'ont sur-nommée la section STG, aété une réussite au niveau del'organisation d'après lesintervenants et de nombreuxélèves, et nous espérons quecette manifestation resteradans les annales des évène-ments scolaires ici à Douala.

Victor Metouk

Le succès d'un forum éducatif

Quelques sites à visiter :www.letudiant.frhttp://post-bac.onisep.fr/admpostbac/www.orientation-formation.frwww.curiosphere.tv/apres-le-bac/

www.education.gouv.frwww.e-orientations.com/etudes/que-faire-apres-bachttp://www.studyrama.com/formations/bac/que-faire-avec-le-bac.html

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Comme tous les ans, la céré-monie du 11 novembre a eulieu place du GénéralLeclerc, à Douala.

Pour cette occasion, m.Casanova, Proviseur dulycée Dominique Savio,

m. Zyla, directeur de l'écoleprimaire, le personnel admi-nistratif du lycée français, m.le Consul de France, m. leGouverneur du littoral et lesélèves des classes de 3èmehabillés pour l'occasion enbleu et blanc, accompagnésde leur professeur d'histoire/géographie ont assisté àcette cérémonie sous unsoleil de plomb. Les élèvesont rendu hommage aux sol-dats morts lors de la premièreguerre mondiale en lisant,non sans émotion, deux let-tres de « poilus » , un extrait duroman d'oyono, Le vieux

nègre et la médaille et unextrait des Souvenirs d'un mili-taire français aux colonies,puis ils se sont recueillis au sondes hymnes nationauxcamerounais et français.Les troisièmes

Le 11 novembre

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Le troisième numéro de SAVIo mAG journal del'école est sorti. C'est l'occasion pourl'Association des Parents d'Elèves de vous pré-senter le Bureau élu lors de l'AssembléeGénérale ordinaire du 8 Novembre 2010.L'équipe en place composée de neuf mem-bres élus et de quatre membres de droit est lasuivante :

Les Membres élus :• Président : Christophe Pujalte • Vice Président : Tatyana Eldin • Secrétaire Général : Laure Langue• Secrétaire Général Adjoint : Pierre Cazorla • Trésorier : Julien Garin• Trésorier Adjoint : mathias Pigla Pigla• membres : Charles Koloko, François

Centlivre, Pascal Doye

Les Membres de droit :• Le Consul Général de France à Douala• Le Conseiller de Coopération et d'Action

Culturelle de l'Ambassade de France auCameroun

• Le Chef d'Etablissement, monsieur AlainCasanova

• Le Chef des services Administratifs etFinanciers, monsieur Christophe monier

Nous avons eu le plaisir d'accueillir, à la ren-trée, le nouveau Proviseur monsieur AlainCasanova qui s'inscrit dans la continuité desexcellentes relations nouées entrel'Association des Parents d'Elèves etl'Administration de l'Etablissement.

Les résultats aux examens de l'année dernièrecontinuent à démontrer l'excellent del'enseignement dispensé au sein de l'école.

L'APE place au premier plan de son actionl'amélioration des conditions de travail desenseignants, élèves et personnel administratiftout en tenant compte des contraintes éco-nomiques et financières de l'Etablissement. Denombreuses actions ont d'ores et déjà été réa-lisées grâce au concours de tous. Nous savonspouvoir compter sur la mobilisation de touspour mener à bien les projets à venir.

Nous adressons également nos félicitations àtout le personnel qui bénéficiera des médaillesdu travail en Janvier 2011. Dix, quinze, vingtannées de fidélité à l'école seront ainsi récom-pensées lors d'une cérémonie officielle.

A tous, nous vous souhaitons de passer d'ex-cellentes fêtes de fin d'années. meilleurs vœuxpour 2011.

Le Président du Bureau de l'APE

InformationAPE/Administration

Monsieur le Consul de France etMonsieur Le Gouverneur du Littoral

(photo de gauche)

16 17

Al'occasion de la coupe du monde defootball qui a eu lieu en Afrique du sud,le lycée français Jules Verne de

Johannesburg et l'AEFE (Agence pourl'Enseignement du Français à l'Etranger) ontorganisé la première coupe du monde de foot-ball des écoles françaises à l'étranger.

Le réseau des écoles de l'AEFE représente 130pays, 460 établissements, quelques 250 000élèves.Seuls 26 établissements ont passé les barragesde qualification, dont la classe de Cm2 del'école Dominique Savio, et sont allés àJohannesburg du 19 au 29 juin. Les Cm2 de l'école D. Savio ont représenté lesLions Indomptables du Cameroun. Ce projet aimmédiatement été adopté par les élèves dela classe : pensez-vous… coupe du monde defoot, Afrique du sud, professionnels… Etoo, …..Le rêve rejoint la réalité…

Les parents de « ces élèves chanceux » ontpartagé et ont participé complètement à lafinalisation de ce projet… facilité certainesdémarches, recherché des sponsors, aidematérielle. L'implication de chacun a ététotale. Participer à la Coupe du monde desécoles françaises du réseau AEFE a dépassé lasimple pratique d'un sport. Elle s'est inscrite

dans un véritable projet pédagogique… lesobjectifs du programme ont été atteints en find'année comme pour les autres classes…impliquant également le partage des valeursuniverselles du sport, expérience exception-nelle de la diversité linguistique et culturelle enfrançais. L'enseignant de la classe a su créer une dyna-mique de classe, fédérer les élèves en don-nant du sens aux apprentissages tout en res-pectant le contenu des programmes...

Les 20 élèves de la classe de Cm2 de monsieurHoffschir sont rentrés le mardi 29 juin deJohannesburg, en rapportant le plus beau etsymbolique des trophées : la coupe du FairPlay Au-delà des compétitions, le groupe a visité lemusée de l'Apartheid, le village des ethniesLécédi, le parc animalier de Pilanesberg,noué des relations avec les autres délégationsdont celles du Nigéria, madagascar… pour neciter quelles.Les souvenirs et les émotions resteront gravés…

Encore merci à nos généreux sponsors qui ontpermis l'aboutissement de ce projet… mTN,Lycée Savio, Coopérative scolaire Savio,ToTAL, ALLIANZ assurances, sociétés Arno,EGESCo, Canard Duchêne, Canal+Horizon

Des CM2 de l’école Dominique Savio en Afrique du Sud

Coupe du monde

en Afrique du Sud

Arrivée à l'aéroport de Douala. « Fiers de brandir de le trophée du fair play.

Nos supportricessous les feuxdes cameras

Match d'inaugurationsu stade Soweto

L'équipe type devantle stand de l'AEFE

Convivialité… Joyeuxanniversaire stepha…

Partage du pique-nique avec un

phacochère à laréserve animalière du

Pilanesberg….Justeun peu de frayeur

… pression d'avantmatch, comme desprofessionnels…

Des travaux, expositionsavec notre hôtesse Lory

Danseur Zoulou.Clôture descompétitions auLycéeJules Verne

Enfin arrivés à Johannesburg !

Remise de présents,, ainsi que lePagne de l'école Savio à MmeAnne Marie Descôtes, Directricede l'Agence

Visite du muséede l'Apartheid à

Johannesburg

mardi 30 novembre, c'étaitnotre premier cours de golf.Nous sommes partis en busau practice* de Douala. Lepractice est au bord de l'eauet c'est très beau.En arrivant nous avons rencontrénotre professeur de golf. Il s'ap-pelle Nazaire, il est très gentil.Pour commencer, il nous a

montré des clubs de golf. Audébut de la leçon nousavons lancé des balles leplus loin possible avec notremain. Ensuite, il nous a expli-qué comment tenir un club*et nous avons tapé nos pre-mières balles !Ce n'était pas très facile...Notre moment préféré a été

quand nous sommes partis encourant ramasser les balles.Vivement le prochain cours !!

Practice : endroit où onapprend à jouer au golf.Club : sorte de crosse aveclaquelle on joue au golf.

Les élèves de CE 1A

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A.S Rugby

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match d'ouverture Foot, à labase navale et contre desadversaires redoutables, lesélèves du Collège Dumont.Pour ce match les deux provi-seurs du Lycée DominiqueSavio et du Collège Dumontont tenu à donner le coupd'envoi.

Les deux équipesDumont /savio

Les deux proviseurs

Nos supporters

A.S Foot

Comment parler deDominique Savio sansécrire quelques lignes

sur son association sportiveruGBY !!Le rugby est présent depuisde nombreuses années aulycée Dominique Saviocomme cette année pour lasaison 2010-2011.L'équipe de Dominique Saviose compose de deux sections,une collège et une lycéedont cette dernière regroupeune quinzaine de joueurs quis'entraînent deux fois parsemaines, le mercredi de16h-30 à 18h00 et le samedide 8h00 à 10h00 au lycéeJoSS. La section collèges'entraîne elle le mercredi de15h00 à 16h30Cette année encore, le pro-gramme de l'équipe est trèschargé, en plus de quelques

matchs prévus avec le lycéeFustel de Yaoundé et l'équipeFranco-Gabonaise du 6emeBImA de Libreville, les rugby-mans de Savio vont prochai-nement adhérer au cham-pionnat des moins de 17 ansde la FECAruGBY (FédérationCamerounaise de rugby)pour faire de multiples ren-contres durant cette saison2010-2011 !!

Vous voulez vous aussi fairedu sport, du vrai sport pourvous dépasser physiquementet jouer dans l'amitié, la joieetc... ?? Alors n'hésitez pas à nousrejoindre, vous pouvez nouscontacter au lycée durant larécréation en allant parleraux joueurs (le capitaine estmalo GrIGNArD et le vice-capitaine Loïc FANKAm) oùalors venez aux entraine-ments.Si vous êtes détermi-nez, alors, allez vous inscrire àl'A.S (cotisation de 50.000Fcfa pour deux entraine-ments et 25.000Fcfa pour un).Nous vous accueillerons avecplaisir même si vous êtes foot-balleur…

SALuTATIoNS ruGBALYSTIQuESThomas MASBOU

Paolo RODRIGUES et toute l'équipede rugby de Dominique Savio

Les CE 1 A au golf

2120

Le 18 novembre 2010, unejournaliste camerounaise,marion oBAm, a eu

l'amabilité d'apprendre à nosjeunes collégiens commentfaire une bonne interview. Eneffet, elle est journaliste dansun quotidien camerounais :mutationCette formation s'est faite de17h à 18h au CDI. Ces jeunesayant la soif d'apprendreétaient au nombre de six.Faisaient partie de cette for-mation Andréa VErHoEF(5e), Gillian TSANGA (5e),Lauren KAmENI (5e), manonGoDArT (6e), Paul JulienYAo SurGErS (6e) et enfinLoïc KAmENI (6e).

En effet, ce ne sont que desjeunes élèves mais déjà trèscourageux et ambitieux. Ilsont interviewé le 19 nov. 2010Christophe CASSIAu-HAurIE,Directeur des services aupublic de la BibliothèqueNationale et universitaire deStrasbourg ainsi que SimonPierre mBumBo, illustrateur,scénariste et dessinateur deBD, à propos de leur exposi-tion sur la BD africaine. Nousne pouvons qu'encouragerces jeunes à poursuivre danscette voie afin d'apprendreplus de jours en jours et ainside donner l'exemple auxgénérations futures.

Rose Kamto

Inititation au journalisme

Formation accélérée des élèves pour faire une interview

Interview de plusieurs auteursChristophe CASSIAU-HAURIE

nous a dit :

« J'aime l'alliance entrel'image et le texte »

Documentaliste devenu auteuret écrivain de livres sur la BD,Christophe CASSIAu-HAurIEest actuellement Directeur desservices au public de laBibliothèque Nationale etuniversitaire de Strasbourg ; ilest né le 31 mai 1968 à Vitry surSeine (France.

Savio : Qu'est ce qui vous apoussé à devenir auteur ?

Christophe : Si je fais de la BD,c'est par plaisir, par passion etpar envie. Je fais aussi desalbums pour enfants.

Savio : Combien de tempsmet- on environ pour écrire unlivre sur la BD ?Christophe : Pour un album, 29mois et pour une BD, celadépend du style d'images.

Savio : Comment avez-vousappris l'art de l'écriture ?Christophe : J'ai toujours aiméécrire ; avant j'étais un cancrequi a toujours aimé l'écriture.

maintenant c'est un besoinpour moi.

Savio : D'où vient votre inspiration ? Christophe : mon inspiration…Je crois qu'elle vient de tout etn'importe quoi. Cela fait naîtreen moi une envie d'écrire etquand je vois de nouveauxpersonnages, ça m'inspire. Çapeut être les personnes demon entourage ou bien unesimple connaissance, qui m'afasciné. Avant je collection-nais les BD donc je pense queça vient aussi de là.

Savio : Pourquoi cet intérêtpour un livre sur la BD ?Christophe : J'ai appris à lireavec la BD et surtout j'aimel'alliance entre l'image et letexte.

Savio : Pourquoi avoir choisiparticulièrement la BD africaine ?Christophe : Je travaille sur laBD africaine par respect demon enfance, étant donnéque j'ai été élevé ici.

Savio : C'est hors sujet, maisquel est votre plat favori ?Christophe : Vous allez rire ;c'est le « ndolè ».

Propos recueillis par Andréa VERHOEF

et Gillian TSANGA de la 5C.

Simon Pierre MBUMBO nous a dit :

« Le dessin c'est mon opium »

Simon-Pierre mBumBo est illus-trateur, scénariste et dessina-teur de BD, qui s'illustre dans laBD camerounaise. Il est né le11 mars 1976 au Cameroun.

Savio : Quels sont les interve-nants dans la réalisation d'unebande dessinée ?Simon Pierre : moi, particulière-ment je travaille avec un colla-borateur qui s'appelle ChristopheGalle. C'est lui qui fait les scé-narios et moi les dessins. Sontravail se fait en amont dumien, car je m'inspire de sesécrits pour créer des person-nages que je mets en situation.

Savio : Comment êtes-vousarrivé au dessin ?Simon Pierre : Quand j'étaisplus jeune, donc élève, j'étaisanimé par le désir de repro-duire tout ce qui m'entourait.mes parents se plaignaientd'ailleurs parce que la plupart

du temps je faisais mes dessinsdans mes cahiers de cours, cequi réduisait considérable-ment les pages réservées auxenseignements et exercices.Au début, je dessinais beau-coup des télévisions, car cemédia venait d'arriver auCameroun et c'était presquede la magie de voir des gensdans le petit écran. J'ai conti-nué par reproduire les bandesdessinées notamment Bleck leroc et tous les personnagesqui gravitaient autour de lui,puis je suis passé au magazineavant d'intégrer la rédactiondu journal satirique camerou-nais Le Popoli. mon expé-rience de dessinateur s'estenrichie grâce à ma participa-tion à plusieurs festivals inter-nationaux sur la bande dessi-

née et la caricature. Pour par-faire ma formation, des amism'ont recommandé de faireune école de Beaux arts enFrance, c'est ce que j'ai fais.C'est une passion, le dessin. Enterminale avant l'université, jesavais déjà ce que je voulaisfaire. Le dessin c'est monopium.

Savio : Comment créez-vousdes personnages ?Simon Pierre : Quand Christopherédige le scénario de la bandedessinée à réaliser, il fait la des-cription des personnages ainsique leur caractère. Par exem-ple, il peut mettre : Julien,gamin de 11 ans, grand, fort,intelligent et gentil. Quand jevais dessiner Julien ces carac-tères doivent transparaîtredans son image, je vais grossirses biceps, rallonger sasilhouette par rapport auxautres gamins et je vaisaccompagner chacune deses interventions d'un sourire,contrairement à un rictus si lepersonnage avait été méchant.

Propos recueillis par Julien Surgers,Lauren Kameni, Loïc Kameni, et

Manon Godart de la 6ème D.

P.S : Niveau lycée* : la lecturedes BD « niveau lycée » n'estautorisée qu'aux lycéens.

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La « BD en fête » s'est posée au CDI…Du 15 au 19 novembre 2010

Festival MBOA BD

Au CCF (Centre CulturelFrançais de Douala),on a crée une exposi-

tion sur la BD qui s'appelle « la BD en fête» qui a eu lieudu 2 au 20 nov. dernier.Cette exposition retraçaitl'évolution de la BD en Afriquedepuis les Indépendances.Nous avons pu voir cetteexposition du CCF toute lajournée du lundi 15 novem-bre au CDI. Nous remercionsle CCF qui a été gentil denous prêter ses planchespendant une journée. Simon Pierre et Christophe,les invités du CCF dans lecadre de la « BD en fête » ontaccepté la « rencontre àdeux voix » organisée par le

CDI qui a aussi préparé uneexposition sur la BD. Les invités ont été accueillisle vendredi 19 novembredans la salle polyvalente pardes élèves de 6ème D, 5èmeB, 5ème C, 4ème B ainsi queles élèves de 2nde B de l'ac-tivité artistique « Arts du spec-tacle » de madameGeneviève Tréjaut.La documentaliste, madameJosiane mouasso-Priso a pro-fité de cette occasion pourcommencer à réorganiserles BD du CDI par genre etpar ordre alphabétique,comme elle nous l'avait expli-qué pendant notre séancepédagogique de présentationdu CDI au mois d'octobre.Avant, les BD étaient placéesdans des bacs par niveau ducollège ou du lycée*. Désormais, grâce à cetteréorganisation, lire les BD auCDI sera plus facile, parce queavant toutes les BD étaientmélangées. Les élèves pour-ront néanmoins retrouver leursBD préférées par niveau :collège ou lycée*.Cette exposition sur la BDavait pour but de rendre plusvisible nos titres de BD et demettre en valeur tout cequ'on peut trouver commeBD au CDI. Les élèves ou lesprofesseurs auront au moins

une petite idée de ce qui aété fait à partir de la visite deSimon-Pierre et Christophequi nous on parlé de leursmétiers, et de tout ce qui sefait autour de la BD.

Suivez les entretiens qu'ils ontaccordé à l'équipe de l'inter-view composée de Loic(6ème D), Julien (6ème D),manon (6ème D), et moi-même moi (Lauren, 6ème D),ainsi qu'à Andréa et Gilliande la 5ème C.

Lauren Kameni, 6ème D. Coordination CDI SAVIO.

Participation Marion Obam,Journaliste, animatrice de l'atelier de

préparation à l'interview (18 nov. et 2 déc. 2010)

Le lundi 15 novembre 2010, lelycée Savio a eu l'honneurd'accueillir dans son CDI

une exposition sur la BD afri-caine, à l'occasion de la fêtede la BD lors du festival dumBoA BD (premier festival auCameroun de la BD Africaine.un exposé sur la bande des-sinée en Afrique, de sesdébuts à nos jours, ainsi queses thèmes et ses person-nages. mais aussi, une pré-sentation de ses auteur pion-niers, et les obstacles qu'elledû franchir comme les dicta-tures après l'indépendance. un beau point de culture qui

montre que les planchesautre fois publiées sur tractss'exportent aujourd'hui etfont passer des messages.Cette exposition remarqua-ble, surtout par l'originalitéde son thème, a été écritepar Christophe Cassiau-Haurieancien élève de Savio.Ce bibliothécaire de forma-tion qui cumule les activitésd'écrivain, directeur d'éditionde journaliste a été accueillidans notre cher lycée. Ainsique l'illustrateur Simon Pierrembumbo. Il a réalisé les « K-Libres » du magasine PlanèteJeune. Sa toute dernièreœuvre est intitulée « malamine,un africain a Paris ». Ce livrese vend en Europe au prix de15 euros (aux environs de10000FCFA), mais étant donnéles circonstances économiquesau Cameroun, il a été réduità 3000 FCFA La BD occupe une placemineure en Afrique. Elle souf-fre d'une certaine condes-cendance, d'un certain

mépris. En effet, on lui donnetoujours l'image d'un art pourenfant. Cependant lesbandes dessinées africainesne sont pas populaires enEurope, hormis « Aya deYopougon » de margueriteAbouet et « La Vie de Pahé »de Pahé, les albums africainssont peu connus. Certainsbédéistes sont des écrivainsengagés. Ainsi, ils écriventdes œuvres représentativesde leur époque : la chasseaux homosexuels en Afriqueou l'émancipation de lafemme Africaine sont desthèmes très dénoncés dansla BD africaineLa BD est l'art qui se développele plus au 21ème siècle, tantpar son coté cinématogra-phique que littéraire. D'autresillustrateurs avaient accompa-gné nos invités, dont Bibi Bunzo,ex président de l'association «trait noir » des bédéistes afri-cains et notre ancien anima-teur du club BD du lycée qui,hélas !n'existe plus. Il a fait d'ail-leurs une très belle caricaturede… Devinez qui ?

Armande Coffi 1èreL

Les dessinateurs et organisateurs de festival

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Le festival théâtre à Douala

Liste des clubs du F.S.E. deDominique Savio 2010-2011

Cette année à DominiqueSavio, nous faisons duthéâtre. Pourquoi ?

Parce que nous organisons unFestival Théâtre la deuxièmesemaine de mai et sur 3 jours !!!15 spectacles seront présentés.Ce festival va réunir plus de100 élèves : 2 classes deCm2, 4 troupes du collège, 1troupe lycée et les troupes dedifférents lycées camerounaiscomme New bell, Liberman,Collège Bénédicte… 9 professeurs sont concernéspar ce grand challenge.Libérez-vous dès maintenantpour assister à ce grand évè-nement.

Nom du club responsable Date de réunion Lieu de réunion remarques

Activités du cirque David TagneLe mercredi de 17h à 18h

Salle polyvalente ouvert le 13 octobre

Comme au CinémaStéphane PuntusElodie Jung

Le mercredi de 18h15 à 19h45semaine B1ere séance: lundi 18 octobre

Sous le préau ouvert le 12 octobre

Danse: Hip-Hop Bart Le mercredi de 13h à 14h

Salle polyvalente ouvert le 13 octobre

Danse: moderne Christian EssombaLe mercredi de 14h à 15h

Salle polyvalente ouvert le 13 octobre

Danse: Salsa Henri EyameyongLe mercredi de 15h à 16h

Salle polyvalente ouvert le 13 octobre

Danses africaines JamLamLe mercredi de 16h à 17h

Salle polyvalente ouvert le 13 octobre

Dessin Edwige NgoNdjeng ouvert le 10 novembre

EcoSavioFrançois SamsonJean-François emmeter

Le jeudi de 12h15 à 13h15

Salle 9 ouvert le 10 novembre

Informatique Steve FoyetLe mercredi de 14h à 15h

Salle 101 (Grande salle Info)

ouvert le 5 octobre

Jeux d'échecs François Xavier DursoLe mercredi de 13h30 à 15

Salle 9 ouvert le 15 octobre

Jeux VidéosSteve FoyetHugues Takou

Le mercredi de 15h à 16h

En salle 101 (Grandesalle Info)

ouvert le 12 octobre

modelage Christian mbolloLe mercredi de 14h à 15h

Salle 4 (Arts Plastiques)

ouvert le 5 octobre

musiqueQuentin DoyeVincent Leroy

Le mercredi de 13h à 15h

Salle « foyer lycéen » ouvert le 15 octobre

musique et chant Jean-Claude EssiLe mercredi de 13h à 15h

Salle 303 (musique) ouvert le 5 octobre

Peinture Christian mbolloLe mercredi de 14h à 15h

Salle 4 (ArtsPlastiques)

ouvert le 5 octobre

Percussion (Djembé) JamLamLe mercredi de 15 à 16h

Salle « foyer lycéen » ouvert le 15 octobre

Savrille Gérard Lamartinière Variable Variable ouvert le 30 septembre

Singasong Noura Zadi-EkokaLe mercredi de 13h30 à 15h30

Salle 12 ouvert le 5 octobre

Ados en scène

Yoga Jean-michel ouvert le 15 octobre

Les élèves de secondede l'enseignementd'exploration « arts du

spectacle » participeronten avril à un Concoursthéâtral qui réunit leslycées français de notrezone : Les lycées duGabon, du Congo, duTchad et du Cameroun.Cette année nous sommesinvités par le Gabon etnous espérons défendre

fièrement les couleurs denotre lycée. Nous nouspréparons également àrecevoir, l'année prochaineou dans deux ans , lesPanafricaines, puisque cefestival devra se déroulertous les ans dans les diffé-rents pays.Nous comptons sur votresoutien.

Les élèves de seconde « Arts du spectacle »

Les Panafricaines de théâtre

C'est reparti pour cette année. Le concoursdes grands reprend avec nos trois classes deseconde et nos trois classes de troisième ;mais ils ne seront pas les seuls de Douala !Les lycées Joss et mongo-Joseph, le collègeLa Conquête engagent deux classes chacun :une troisième et une seconde. Nos élèvesvont aussi se mesurer à leurs homologuesd'autres établissements camerounais.Souhaitons-leur la bienvenue et bonne réussite.L'épreuve de découverte vient d'avoir lieuet l'épreuve définitive se déroulera le 23mars 2011. Quant aux juniors (Cm2 etsixième), on démarre en février. A vos crayons !

http://maths-msf.site2.ac-strasbourg.fr

Du nouveau pour cette année MathématiquesSans Frontières

2010-2011

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Je retiens, tu retiens, il retient, jesuis retenu, nous sommes rete-nus, vous êtes retenus.Allez, Vlan ! À peine rentréedéjà « retenu », Paf « à latrappe ! »mais qu'est-ce qu'ils ont tous oupresque à nous retenir ? Contrenotre gré, bien sûr, et pourtantnous nous y rendons à ces rete-nues et de notre plein gré ! onest vraiment sympa , il faudraiten tenir compte !!!!!Á quoi ça sert ? Je vous ledemande.D'abord, il faudrait qu'on s'en-tende avec les profs. Je veuxbien être retenu si j'ai fautémais faut-il encore s'entendresur la faute.J'ai oublié mon cahier, monlivre .Paf « à la trappe ! » (Pourles illettrés que nous sommes,on nous le rappelle de tempsen temps, c'est une expressiond'ubu, personnage de théâtre).C'est pas si grave que ça d'ou-

blier ses affaires, ça arrive àtout le monde, même auxprofs, alors ? Je discute en cours, en fait j'aià peine dit deux mots. Paf, « àla trappe ! » Bon, oui ça arrive,mais il faut comprendre, lescours c'est parfois ennuyeux,alors on cède au bavardage(je reste sympa, je dis «parfois »pas « toujours »).Je n'ai pas fait mes exercices.Paf « à la trappe ! ». Bon là jepeux comprendre.Trop de retard. Paf « à la trappe ! »Etc. Paf « à la trappe » !Je suis sûr qu'ils pourraientrégler ces petits problèmes dif-féremment parce que je le disla retenue, la trappe, ça nesert à rien. Bon nous revenonsau lycée pour exécuter un tra-vail, quand il y en a, dans lemeilleur des cas on s'avancepour son travail de la semaine,souvent on tente de discuterentre nous. Et puis revenir au

lycée cela ne nous dérangepas, on y est tout le temps aulycée, il n'y a pas grand-chosed'autre à faire à Douala. Et,preuve que cela n'est pas effi-cace c'est toujours les mêmesque je retrouve « à la trappe ».Alors messieurs, mesdames lesprofesseurs trouvez des chosesplus efficaces, tiens un truc quim'embêterait vraiment : undevoir maison signé par mesparents ! Noté, le devoir, bien sûr !Ce serait tout bénef pour vous :1) je serai obligé de travailler. 2) mes parents ne seraient pascontents (mais ça j'ai l'habitude).3) vous économiseriez des sur-

veillances.

Et si je faisais une très grossebêtise j'aurai droit à quoi ????

A. Latrappe. Elève au lycéeDominique Savio

Á la trappe ! Dans l'univers il y a une grosse boule bleue. Danscette boule bleue, il ya de l'eau et de la terre. Surcette terre il ya des continents. Sur un de cescontinents il y a le Cameroun. Au Cameroun, il yadouala. Á Douala, il y a NouS ! Nous sommes des adolescents, entre 13 et 15 ans.Nous sommes dans une classe à examen.La plupart du temps, nous ne sentons pas du toutappréciés. Nous sommes pour certains, tout letemps collés… mais bon, que pouvons nous yfaire ? Ce n'est pas que nous sommes associa-bles, insolents, et « casse-pieds ». Non ce n'est pascela du tout, c'est juste qu' en tant qu'adoles-

cents nous voulons nous AFFIrmEr !! Hé oui ! Comme disent les ivoiriens : « nous on se

cherche. »En plus on est terrorisé par le brevet. Donc on apeur. Peur de la sortie du collège et de quitternotre bon vieux collège. Peur d'entrer au lycée.Peur des nouveaux professeurs. Peur des nou-velles matières. En gros, même si on ne veut pasl'avouer, on a peur de GrANDIr et de devenirmÂTurE. Parce qu'il faudra bien que quelqu'un le dise…

MIGGIE.

Parce qu'il faudra bien que quelqu'un le dise…

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Lorsque quelqu'un vous dit « Jesuis à Savio », vous vous imagi-nez tout de suite que c'est, excu-sez mon expression, « un enfantde Boss » et ben non…enfin simais laissons cela de côté. onne va pas jacasser sur qui est ouqui n'est pas. Donc, l'année(2009-2010), le lycée D.Savio futfrappé par une vague de crimi-nalité (j'exagère peut-être dansmes propos).Pour une fois queles dirigeants de ce lycée fontvenir de nouveaux matérielsinformatiques, il faut que lesélèves de ce bon vieux lycée

fassent des leurs. Non contentd'avoir des I pod, mP3 et le touttralala, il a fallu qu'ils volent lesappareils qui se trouvaient dansla pièce à côté de la salle demusique et dans les salles infos.Au fur et à mesure que la fin del'année se rapprochait, la sallese vidait peu à peu. Ne medemandez pas comment ils ontfait pour faire disparaître desécrans d'ordinateurs, ainsi quedes casques et desclaviers…Cette année, (2010-2011) les dirigeants ont trouvé Latactique pour déjouer les plans

des ninjas de Savio…Non ils n'ontpas installé des caméras, ils ontfait mieux. Si vous entrez danschacune des salles de ce lycée,vous verrez quelque chose depas commun. Avez-vous déjà vuun lecteur CD enchaîné à unetable ? Non ?!? Et ben voilà lasolution miracle contre lesvoleurs ! Bon maintenant aumoins certains comprendrontpourquoi on trouve des appa-reils enchaînés aux tables dansles salles du lycée D.Savio.

Yede Lissovskaya 2ndB

Billet d'humeur d'une élève désespérée par certaines situations

Saviolais, bonjour et bonne année !Suite à une demande de notre très chère mmeTréjaut, me revoilà encore en train de noircir (avecl'encre, évidemment) les pages du journal de Savio.Je dois avouer que cette demande m'a beaucoupfait plaisir ; ça réchauffe le cœur (et ça croyez-moi,on en a besoin !) de savoir qu'on pense toujours ànous, comme nous à vous. Car, et je pense pouvoirme permettre de m'exprimer au nom de la plupartdes anciens - si pas tous - notre vie au Camerounnous manque énormément. Comme le pluriel du titre l'indique, je suis censéedonner des nouvelles des anciens et pas que demoi (oui rassurez-vous, je ne souffre pas encore d'untrouble de la personnalité multiple), mais je saisqu'une horde d'anciens est revenu mettre le feupour Noël, alors j'éviterai les cas particuliers et meconcentrerai sur les généralités. La première chose qu'il y a à constater (attention,ça va devenir cucul) c'est que, malgré le fait quetout le monde s'est éparpillé, non seulement à l'inté-rieur de la France, puisque certains ont migré vers leCanada et je me suis exilée en Suisse, les amitiésfaites au Cameroun durent. Certains ont la chance(ou pas ?) d'être dans la même ville, et des discus-sions avec eux ou leur posts Facebook sont bien lapreuve qu'ils ne s'oublient pas ; d'ailleurs grâce àcette merveilleuse chose qui est le train, la distancen'est pas du tout un problème. Je ne suis pas la seulequi, malgré les partiels/examens/surcharge de tra-vail/cours manqués/etc fait ses valises pour passerun week-end, voire plus, avec « les gens du pays »(quand les grèves le permettent, bien entendu. Evidemment, la vie en Europe ou Amérique du Norda ses avantages. La neige, la mode d'hiver, le shop-

ping, le cinéma, l'indépendance, pouvoir se leveren plein milieu du cours et partir sans qu'on nous diserien, faire des nouvelles rencontres, sortir à volonté,aller au mcDo ou alors à Starbucks, voyager si faci-lement, ne pas avoir à justifier de retard ou trouverune raison pour sécher la piscine… mais c'est aussine plus avoir de recrée, ne plus avoir ce sentimentde joie intense quand tu entends enfin la sonnerieaprès une heure fastidieuse de mathématiques ouespagnol, ne plus avoir cette complicité que Savionous permet avec les professeurs, ne plus faire degoûter, ne plus négocier avec Hugues pour restersur la table de ping pong et ne pas se faire envoyerau foyer, ne plus boire du Tampico à la sortie, ne plusnégocier avec le policier parce que tu as oublié tacarte de séjour, ne plus décider à la dernière minutesi on va au Kiss me ou a Follow me ( oups, GeorgesV, excusez alors…), ou à l'om, ne plus vivre presque« en famille » avec notre cercle d'amis certes petit,mais pourtant si soudée… Finalement, je me rends compte que je n'ai pasdonné autant de nouvelles que ça, et que je n'aidonné qu'un aperçu de notre vie d'étudiant etavant tout une expression de la nostalgie que je saisne pas être la seule à ressentir. mais cet article se faitlong, donc je m'arrête là. Excusez-moi de finir surune note aussi clichée et guimauve, mais… profitez.Parce même si vous passez la moitié de votre tempsà râler, le Cameroun va vous manquer. Alors saisissezchaque seconde (Carpe Diem, les Terminales ! Jesais que vous avez vu le désir et forcement épicure)parce qu’en un clin d'œil, vous prendrez l'avionpour votre nouvelle vie.

Ana Barciela

Des nouvelles des anciens