Nord et sud dans nos histoires
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NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES
à l’écoute de l’oeuvre « Le premier homme »
d’Albert Camus
ALZHAR Compagnie de Théâtre depuis 1993
Metteurs en scène:
Jeanne Poitevin et Maxime Carasso
Compagnie ALZHAR La Friche de la Belle de Mai - 41, rue Jobin - 13003 Marseille
Contacts artistiques: Jeanne POITEVIN - tel: 06.28.80.48.65. email: [email protected]
Maxime CARASSO - tel: 06.21.58.79.97. Contact administration:
Julia RISS - tel 06.64.42.14.09. email: [email protected] Licence N°2/122094 N°SIRET 393 568 795 000 32 Code APE: 9001Z
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
Une Coproduction méditerranéenne
et européenne.
Une écriture scénographique collec-
tive orchestrée par Jeanne Poitevin.
Photographie: Maxime CARASSO
Son: Aline SOLER
Marionnettes: Olivier DELIENS
Vidéo: Stéphane SAO NELET
Clown: Gabrielle SPEGGIORIN
Il est question de réinterroger notre héritage culturel et historique de
la colonisation, de la décolonisation, de l’immigration, des différents exils, de
ces déchirures intimes qui nous éloignent de l’autre, et l’autre de nous, tandis
que c’est bien de toutes ces confrontations que se bâtit notre contemporanéi-
té.
Notre monde est dans cette
guerre, cet affrontement sans
fin. Nos identités sont multiples,
complexes, irréductibles à l’ap-
partenance à un seul monde et
nos histoires sont tissées d’au-
tant d’aller-retours avec la rive
d’en face (d’où que l’on se si-
tue), histoires de nos parents,
de nos grands parents, d’amis,
de rencontres.
ALBERT CAMUS/ALZHAR :
LA RENCONTRE
Nous sommes assurés que seule la connaissance permet l’échange, l’accepta-
tion, la construction.
Le théâtre fait « court-circuit » entre savoirs et non savoirs, intui-
tions, court-circuit qui met en éveil les esprits, permet les prises de cons-
cience. Il est cet endroit où nous voulons œuvrer entre Albert Camus, enfants,
adolescents, adultes de toute origine, cet endroit où nous allons croiser les
langages de ces différentes personnalités, différents lieux, différents temps…
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
« Il se compose de 144 pages
au fil de la plume, parfois
sans point ni virgule, d’une
écriture rapide, difficile à dé-
chiffrer, jamais retravaillée. »
(Catherine Camus)
Création pluridisciplinaire (théâtre, vidéo, poésie, photo) à partir d’ate-
liers d’écriture, et d’improvisations théâtrales sur le fil du « Premier Homme »
d’Albert Camus.
Recherche et création à travers l’œuvre à laquelle travaillait Albert
Camus au moment de sa mort. Le manuscrit a été trouvé dans sa sacoche le 4
janvier 1960.
Selon l’exemple de ce travail, nous allons en proposer une mise en scène.
Il s’agit d’inventer un rendez-vous avec son œuvre et ce qu’elle révé-
lera aujourd’hui chez des enfants, des adolescents, des adultes, d’histoires,
d’origines, de cultures différentes. Nord et Sud sont comme une dichotomie
emblématique de tout ce qui oppose l’un à l’autre, l’interroge dans son inti-
mité. Quartiers nord versus quartiers sud, Marseille-Paris, Alger-Marseille.
Nous restons persuadés que le théâtre et toutes ses possibles per-
mettent une prise de parole, de conscience et permettent à chacun de trou-
ver sa place au monde.
Dans notre cheminement, les textes jalons que la Compagnie a tra-
vaillés, traversés (Britannicus, de Jean Racine, Le Misanthrope, de Molière,
Dans la solitude des champs de coton de Bernard-Marie Koltes) ont offert
une multiplicité de personnages à réfléchir dans leurs différences profondes.
« Dans la solitude des champs de coton » s’est révélé emblématique de
toutes ces rencontres improbables, humaines et littéraires, où l’un et l’autre,
quel qu’il soit, ignore ce qu’il attend véritablement de l’autre et risquerait de
se camper sur l’illusion d’une identité étroite, inébranlable. Et c’est bien dans
la rencontre, l’affrontement que l’un et l’autre vont parvenir à trouver non
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
LE PROJET… LE SPECTACLE...
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
« Chemin tendu à
l’infini, comme si marcher
était le but à atteindre…. »
(A. Gatti)
pas une vérité figée dans le marbre, dans les certitudes restrictives et forcé-
ment excluantes, mais une vérité en ouverture : des façons de se dire, d’exis-
ter ensemble à l’infini.
« Le Premier Homme » est le dernier roman d’Albert Camus, retrou-
vé dans sa sacoche dans l’accident de voiture qui lui prit la vie, et se présente
comme un retour à l’origine de l’écriture, un chemin à suivre où se croiseront
les relectures des uns et des autres, des uns face aux autres, chemin au terme
duquel une aventure de création réécrit une autre histoire.
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
« Ensuite c’était la classe. Avec M.
Bernard, cette classe était constam-
ment intéressante pour la simple rai-
son qu’il aimait passionnément son
métier. Au dehors, le soleil pouvait
hurler sur les murs fauves pendant
que la chaleur crépitait dans la salle
elle-même pourtant plongée dans
l’ombre des stores à grosses rayures
jaunes et blanches. La pluie pouvait
aussi bien tomber comme elle le fait
en Algérie, en caractères intermi-
nables, faisant de la rue un puit
sombre et humide, la classe était à
peine distraite. Seules les mouches
par temps d’orage détournées par-
fois l’attention des enfants. »
Extrait 161 du « Premier Homme » d’Albert Ca-
mus
Quand Albert Camus écrit ce texte, il se met en état de fragilité, au
delà de tout ce qu’il sait, de sa pratique d’écrivain, de son statut-même, il est
dans l’expression de son intime, de ses sentiments les plus enfouis.
Il nous offre une œuvre solaire avec tout ce que cela représente, il
nous parle de lumière, celle qui donne la vie, celle qui nous écrase. Nous rejoi-
gnons ici l’âme-même du travail de notre Compagnie, nos pratiques de-
puis 17 ans. Travailler l’œuvre de Camus dans la rencontre avec notre expé-
rience et nos désirs de théâtre, c’est l’occasion pour nous d’aller jusqu’au
bout d’une création, d’une démarche de mise en scène qui s’établit en relais
avec des personnes d’âge différent et d’expériences différentes, des hommes,
des enfants, des adultes qui n’ont généralement pas accès à ces œuvres, et
qui vont l’interroger avec leur désir, leur histoire avec autant d’intérêt que le
travail, le questionnement d’un universitaire.
Travailler sur cette œuvre c’est aussi pour nous l’occasion d’invoquer
nos ancêtres, nos prédécesseurs, l’œuvre de Camus, de partir sur ses traces,
sur ce qu’il nous a légué, et de confronter ce langage à ceux d’improbables
récitants, écrivant à leur tour.
Il s’agira de créer une immense polyphonie qui devra bouleverser les
acteurs autant que les publics, puisque tout le sens du Théâtre selon nous,
Alzhar, est de déplacer l’individu vers l’autre, d’offrir une autre façon de voir.
L’ULTIME VOYAGE DE CAMUS COMME LE
COMMENCEMENT D’UNE HISTOIRE
JAMAIS ACHEVEE:
LE COMMENCEMENT D’UNE HISTOIRE A ECRIRE TOUJOURS
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
« Personne en vérité n’avait jamais
appris à l’enfant ce qui était bien et
ce qui était mal. Certaines choses
étaient interdites et les infractions
rudement sanctionnées. D’autres
pas. Seuls ses instituteurs, lorsque le
programme leur en laissait le temps,
leur parlaient parfois de morale,
mais là encore les interdictions
étaient plus précises que les explica-
tions. »
Extrait p 101 du « Premier Homme » d’Albert Ca-
mus
« Avez-vous remarqué que nos âmes voyagent plus lentement que nos
corps ? » Extrait du film « Nous sommes tous encore ici… » Anne-Marie Mie-
ville
L’occasion d’un voyage.
L’occasion de parler de nos révoltes fondamentales, celle de ne pas avoir à
choisir le lien qui nous unira aux autres, l’histoire que l’on a le droit d’avoir,
de raconter.
L’occasion peut-être enfin d’écrire cette histoire autrement et de la faire
différente par la force des mots, du verbe. Le récit des déplacements des
corps dans l’espace ne peuvent pas être les mêmes que ceux de nos âmes. Et
nous voulons fabriquer cet endroit où tous les récits ont droit d’être, de se
frotter, se contredire, partir, retourner, revenir, construire ensemble.
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
« Nous voulons retourner à l’ori-
gine de ces blessures non cica-
trisées et leur donner l’occasion
de se faire langage, de se dire et
non d’oublier. »
Jeanne Poitevin
Nous voulons retourner à l’origine de ces blessures non cicatrisées et
leur donner l’occasion de se faire langage, de se dire et non d’oublier.
C’est un travail que nous menons depuis des années, notre création part tou-
jours de l’intime jusqu’à la distanciation de la mise en jeu.
L’expérience de la mise en scène de « Dans la solitude des champs
de coton » de B.M Koltès, d’abord auprès de GARDENS en France et du
théâtre El Hamra en Tunisie qui donna lieu à un spectacle et un tissage de
questions multiculturelles, puis à la prison des Baumettes (en coproduction
avec Lieux Fictifs qui en réalise le travail vidéo), a ainsi permis une aventure
singulière où chaque participant (détenu) s’est approprié le texte en y proje-
tant de lui-même, et faisant de son interlocuteur-acteur d’en face, un homme
ou une femme auquel il s’adresse du plus intime de sa propre vie.
Là se fabrique du sens, se crée le théâtre, et se pose la nécessité de faire, de
dire.
Par ailleurs les ateliers auprès d’enfants, d’adolescents, menés en
milieu scolaire, en institution ou maison de quartier l’an dernier, en temps
scolaire ou en dehors, ont eux aussi « accouché » d’une expression forte
quant aux origines de chacun, au récit de son exil ou de celui de ses parents,
et nous donnent autant de matériau, de grain à moudre quant à l’écriture de
« Nord et Sud dans nos Histoires » et à la création d’une œuvre collective où
plusieurs metteurs en scène travailleront de concert pour réaliser ce projet.
Nous souhaitons continuer sur ce chemin, et développer de nou-
velles rencontres, de nouveaux échanges avec des publics encore plus variés,
et à partir d’une trame plus ténue, plus dirigée pour commencer, gardant en
esprit et en pratique l’émergence des récits de chacun.
TRANSMETTRE ET ECHANGER
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
Première étape
Cette première étape, cruciale pour le bon dérou-
lement du projet, consiste à interroger nos mé-
moires ainsi que l’œuvre d’Albert Camus à travers
des ateliers d’écritures, d’improvisations et de
mise en jeu. Les stagiaires/participants auront
alors l’occasion d’exprimer leur parcours de vie,
l’histoire de leurs origines sur des thématiques
communes : l’origine, le voyage et l’exil, la langue
intime, culturelle et sociale.
«Le premier Homme» d’Albert Camus représente
donc pour nous une base de travail et de réflexion
pour notre projet. Les stagiaires improviseront à
partir de ce texte, mais également à partir d’autres
extraits des œuvres d’Albert Camus (parution
presse, « L’Homme révolté », « L’Etranger », « Des
justes », « Caligula », … cours extraits pour un par-
tage du profond goût de la liberté et de l’écriture
avec les différents stagiaires.)
Nous mettons en place depuis cette année
des ateliers dans lesquels nous avançons sur cette
idée et ce projet ambitieux.
ALZHAR: LES ETAPES DE TRAVAIL
Deuxième étape
Après avoir interrogés les mémoires des participants aux ateliers, Jeanne Poi-
tevin et Maxime Carasso vont monter une création polyphonique à partir de
ces rencontres et croisements multiples.
Troisième étape
Il s’agit de l’ultime étape ; celle de la concrétisation du projet. Le moment
où l’œuvre naît à partir de la mémoire de tous, pour diffuser cette œuvre tis-
sée de toutes celles qui auront traversé le temps de notre aventure.
Tout au long de l’année, ALZHAR participera également à plusieurs rési-
dences de travail : à la Distillerie à Aubagne en novembre 2010, au Vent se
Lève à Paris en janvier 2011 et au théâtre El Hamra de Tunis en mai 2011. Et
nous sommes actuellement en cours de négociation pour d’autres rési-
dences en Europe et en région PACA .
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
ALZHAR: LES ETAPES DE TRAVAIL
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
1-Education Nationale
Dès la rentrée, nous prolongeons des
ateliers dans des écoles, collèges et lycées, à Aix en
Provence (Ecoles Mistral, Giono, Arène, Château
Double, la Mareschale, Centre social Albert Ca-
mus), Marseille (Lycées Colbert et Rempart, école
La Roseraie, Maison des Lices), Vitrolles (Collèges
Camille Claudel, Simone de Beauvoir, bibliothèque
Georges Brassens), La Ciotat (Collège Virebelle,
Collège Jean Jaurès, lycée Louis Lumière), ainsi que
dans des lieux plus sensibles comme l’Institut Cor-
sy et le Centre de la Sarriette à Aix-en-Provence.
2-Ateliers ouverts
Les objectifs sont les mêmes que précédemment
mais s’adressent à des publics volontaires, des
écoles, lycées, collèges, en dehors du temps sco-
laires, des Maisons de Quartier (La Mareschale à
Aix-en-Provence, Les Lices à Marseille), centres
sociaux, et autres relais de terrain socio-
culturel comme l’association Le Grand Portique à
La Ciotat. Ces ateliers sont hebdomadaires et se
tiennent généralement en fin de journée. Le désir
est ici de croiser des publics plus inattendus, plus
âgés, aussi.
ALZHAR: SUR LE TERRAIN
3-Atelier autre rive et Europe
A partir des liens existants ou à développer en Algérie, Tunisie, Ma-
roc, Espagne, Italie, Suisse, nous repérons puis identifions des artistes et
metteurs en scène « jumeaux » qui vont travailler l’année durant ,à la même
œuvre collective, à venir dans la trame de ce projet « Nord et Sud dans nos
Histoires ». Ce travail et celui dans notre région se feront écho, résonneront
au moment d’une rencontre-stage deux à trois fois par an où les ateliers sont
tous réunis.
4-Grand Atelier
Il réunit les participants/acteurs, a priori par tranche d’âge, mais aus-
si par réunion géographique, et donc en transversalité des publics concernés
sur une même zone. Il se déroule une fois par mois afin de confronter les tra-
vaux réalisés : présentation, intervention critique, improvisation en rebond.
A partir de ce « Grand atelier » le texte à plusieurs voix et la drama-
turgie polyphonique et multiforme pourra être écrite par Jeanne Poitevin et
Maxime Carasso.
Ce « Grand Atelier » se tiendra deux à trois fois par an lors d’un temps de
stage invitant les participants, acteurs et artistes d’Afrique du Nord et d’Eu-
rope à nous rejoindre pour développer notre voyage dans le temps, l’espace
et les langages. Il s’agit en fait de temps de résidences de création.
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
ALZHAR: SUR LE TERRAIN
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
Alzhar conduira lors de ces trois années d’écriture collective et de
mise en jeu partagée un projet de création de spectacle, et d’un ouvrage dont
le public est parti prenante dès l’origine, et où le texte ultime d’Albert Camus
« Le Premier Homme », nous donnera la chance de la sincérité, de la préci-
sion, et encore une fois du partage.
Pour ancrer et diffuser le plus largement possible le spectacle et pro-
jet « Nord et Sud dans nos histoires », notre processus de création s’inscrit
dès son démarrage dans plusieurs villes, plusieurs territoires puis plusieurs
théâtres. Les ateliers de recherche et de création, puis les résidences de cons-
truction, vont chaque fois re-questionner les créativités de chacun, artistes et
stagiaires, et l’héritage précieux d’Albert Camus, d’un point de vue autant
géopolitique que littéraire : le droit au choix pour chacun, de l’enfance à l’âge
adulte, de la vérité, de la justice et de la liberté. C’est le programme qu’Albert
Camus nous rappelle à chaque page du « Premier homme » et de l’ensemble
de son œuvre.
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
ALZHAR: SUR LE TERRAIN
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
Les soutiens institutionnels :
la Conseil Régional PACA, Conseil Général 13,
Ville d’Aix-en-Provence, la Ville de Marseille,
le Ministère de la Jeunesse et des Sports,
Marseille Provence 2013, La Fondation de
France, la Fondation BNP Paribas.
Pour ses actions en milieu carcéral, Alzhar est
soutenue par Grundtvig, partenaire d’un pro-
jet éducatif européen .
Les partenaires :
La Distillerie à Aubagne, Le Vent se Lève à la
Villette, GARDENS, Théâtre El Hamra à Tunis.
Recherche de partenaires de production en
cours .
SOUTIENS ET PARTENAIRES
SOUTIENS ET PARTENAIRES
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
ARTICLES DE PRESSE
Revue « Le Mouvement »
ARTICLES DE PRESSE
ARTICLES DE PRESSE
ARTICLES DE PRESSE
ARTICLES DE PRESSE
Revue « Cassandre »
AVEC LA PARTICIPATION DE: Bureau, artistes, intervenants
Jeanne Poitevin
Maxime Carasso
Julia Riss
Aline Soler
Elodie Deveaux
Corine Pencenat
Claire Marenco
Christophe Audeghis
Stéphane Sao Nelet
Olivier Deliens
Emmanuelle Le Panse
Pierrick Bonjean
Leîla Cauty
Gabrielle Speggiorin
Sébastien Bretagne
Julie Moreau
Christine Richier
La Friche de la Belle de Mai - 41, rue Jobin - 13003 Marseille
Contacts artistiques: Jeanne POITEVIN - tel: 06.28.80.48.65. email: [email protected]
Maxime CARASSO - tel: 06.21.58.79.97.
Contact administration: Julia RISS - tel 06.64.42.14.09. email: [email protected]
Licence N°2/122094 N°SIRET 393 568 795 000 32 Code APE: 9001Z
NORD ET SUD DANS NOS HISTOIRES ET DANS L’OEUVRE D’ALBERT CAMUS
Cie ALZHAR
Conception Graphique: Orphée MARCY - M A R C Y D E S I G N
www.marcydesign.fr