Newsletter n°205

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Chabbat Parachat Tsav - Chabbat HaGadol - Spécial 11 Nissan 5773 - Hebdomadaire édité par le Beit Machia’h de Arnona-Talpiot 058-4770055 - [email protected] Bonnes Nouvelles Photo de la semaine Travaux d’impression numérique logos, graphisme Demandez John pour service en français 072-2424245 [email protected] Jérusalem Beit Machia’h Centre Ville 6, rue Yavets Rav Doron Oren - Vente de ‘Hametz - Seder public 052-3618770 Beit Machia’h Arnona Cours de Tanya et Dvar Mal’hout et Ala’hot le mardi soir à 20h15 - 19/5 rue Chalom Yehuda - Vente de ‘Hametz 058-4770055 Beit Machia’h Har ‘Homa 34, rue Rav Its’hak Nissim Rav Shlomo Yossef Tsion Vente de ‘Hametz 050-4147725 Minyane ‘Habad à Baka le Chabbat à 10h30 suivi d’un Farbrengen 1, rue Dan à Baka synagogue «Tefila LeDavid» 058-4770055 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv Vente de ‘Hametz 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad franco- phone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv - Vente de ‘Hametz 054-4833764 Sortie du recueil des Dvar Mal’hout en français Pour nous aider à la publication télephoner au 08-6717466 ou 054-9204594 - POB 246 Kyriat Mala’hie Rav Mena’hem Volica 205 Mazal Tov Pour la Brit Mila de Eytan Ben Yaël Pour ‘Hanna Sarah Tordjman et Noam Wolf qui sont ‘Hatan-Kalla Le Beit Machia’h de Arnona Talpiot organise un Seder pour célibataires Inscription au 058-4770055 Editorial 11 Nissan 5773 : La délivrance finale... Il est écrit dans le psaume 2 au verset 7 : «L’Eternel m’a dit : Tu es mon fils, c’est aujourd’hui que Je t’ai enfanté». Ceci, selon le Ari Zal est relié au jour du dévoilement du Roi Machia’h… la seconde fois : « En ce jour, au moment de la rédemption, son âme viendra et sera transmise à cet homme juste, il méritera d’être le libéra- teur… Alors s’accomplira le verset : « C’est aujourd’hui que Je t’ai enfanté », qui porte sur cette partie de l’âme (la Nechama) qui sortira du Gan Eden ce jour-là (Arba Meot Chekel Kessef 68) ». Or dans les mots : « Je t’ai enfanté aujourd’hui », le mot « Ani, Je » porte en lui les initiales de : « Youd Alef Nissan, le 11 Nissan »… Dans le discours de bénédiction du 11 Nissan 5751-1991, le Rabbi Roi Machia’h Chlita nous montre le niveau vers lequel il veut nous faire monter. Il nous dit que cha- que Juif est un Chalia’h, un émissaire du Saint béni soit-Il, et lorsqu’il utilise pleine- ment les dix forces qui lui sont attribuées pour accomplir son travail dans ce monde, il devient alors lui-même le Machia’h ! Il veut faire de nous non pas de simples ‘has- sidim, il veut faire de nous « le Rabbi lui- même » au niveau où il se trouve actuelle- ment, c’est à dire « le Machia’h »! Le potentiel de ce jour n’est plus à démon- trer. Dans des dizaines de discours, le Rabbi Roi Machia’h Chlita l’a pointé du doigt et nous a donné la clé de la Guéoula en nous disant clairement comment se comporter pour dévoiler ce potentiel. Chacun, jusqu’à présent a agit au mieux de ses forces pour faire ce que nous pouvons pour dévoiler la Guéoula concrètement. Mais ce que nous demande le Mele’h, le Roi en vue de son anniversaire n’a rien à voir avec ce qui était déjà auparavant. Chacun en ce jour, doit prendre une décision qui va transformer sa vie et celle de tout son entourage, tout en restant dans le domaine du réalisable « Lumière de Tohou dans des réceptacles de Tikoun », afin de pousser sur le bouton rouge du grand dévoilement. Chaque Juif, chaque Juive en a la force, c’est cela deve- nir soi-même « le Machia’h ». Il est hors de question que nous passions le Seder de Pessa’h 5773 ailleurs que dans le Troisième Temple, à la Table du Rabbi, le Roi Machia’h qui nous a délivré à tous et qui n’attend que notre propre dévoilement. Puisque nous sommes une parcelle de D.ieu, nous en avons la force, nous avons la force de décider de sortir une bonne fois pour toutes, la clé de la porte de sortie, c’est « la bonne décision », celle par exemple de parler dans nos cours de la Pureté familiale, d’inviter des jeunes un peu perdus à notre table de Chabbat, celle de donner un cours en vidéo sur internet, celle d’organiser une soirée pour le Siyoum HaRambam et de parler d’étudier le Rambam, etc. Toute initiative est bonne et pèse de tout son poids sur la balance de la Guéoula… Le niveau du 11 est le niveau de Keter, la couronne, or la femme représente la « cou- ronne de son mari », l’importance du tra- vail des femmes dans notre génération n’est plus à prouver. Alors malgré le ménage de Pessa’h, cette année, que chacune prenne sur elle d’aider une mère de famille, une femme, une jeune fille Juive à progresser dans la Torah et dans l’accomplissement des Mitsvot, au moins d’une Mitsva, un Précepte de notre Torah, allumer les bou- gies du Chabbat, des jours de fête. Il n’est pas pensable que nous soyons à Pessa’h cette année attablés bien confortablement dans nos maisons. Nous devons lutter un peu plus cette fois-ci pour sortir définitive- ment de toute forme d’Egypte. Nous devons décider !!! Cette année à Jérusalem, cette année dans le Troisième Temple, cette année avec tout le Peuple Juif dans son ensemble, cette année Pessa’h sera célébré à la Table du Saint béni soit-Il !!! « Vive le Roi Machia’h, immé- diatement, Mamach ! ».

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Spécial Anniversaire du Rabbi Roi Machia'h Chlita

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Chabbat Parachat Tsav - Chabbat HaGadol - Spécial 11 Nissan 5773 - Hebdomadaire édité parle Beit Machia’h de Arnona-Talpiot 058-4770055 - [email protected]

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Travaux d’impression numériquelogos, graphisme

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JérusalemBeit Machia’h Centre Ville6, rue Yavets Rav DoronOren - Vente de ‘Hametz -Sederpublic 052-3618770

Beit Machia’h ArnonaCours de Tanya et DvarMal’hout et Ala’hot le mardisoir à 20h15 - 19/5 rueChalom Yehuda - Vente de‘Hametz 058-4770055

Beit Machia’h Har ‘Homa34, rue Rav Its’hak NissimRav Shlomo Yossef TsionVente de ‘Hametz050-4147725

Minyane ‘Habad à Bakale Chabbat à 10h30 suivi d’un Farbrengen 1, rue Danà Baka synagogue «TefilaLeDavid» 058-4770055

Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘HavivVente de ‘Hametz 054-4866072

Guilo : Beit ‘Habad franco-phone de Guilo Rav Its’hak‘Haviv - Vente de ‘Hametz 054-4833764

Sortie du recueil des DvarMal’hout en français Pournous aider à la publicationtélephoner au08-6717466 ou054-9204594 - POB 246Kyriat Mala’hieRav Mena’hem Volica

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Mazal TovPour la Brit Mila de

Eytan Ben YaëlPour ‘Hanna Sarah Tordjman

et Noam Wolf qui sont ‘Hatan-Kalla

Le Beit Machia’h de Arnona Talpiot

organise un Sederpour célibataires

Inscription au 058-4770055

Editorial

11 Nissan 5773: La délivrance finale...Il est écrit dans le psaume 2 au verset 7: «L’Eternel m’a dit : Tu es mon fils, c’est aujourd’hui que Je t’aienfanté». Ceci, selon le Ari Zal est relié au jour du dévoilement du Roi Machia’h… la seconde fois: « En ce jour,au moment de la rédemption, son âme viendra et sera transmise à cet homme juste, il méritera d’être le libéra-teur… Alors s’accomplira le verset : « C’est aujourd’hui que Je t’ai enfanté », qui porte surcette partie de l’âme(la Nechama) qui sortira du Gan Eden ce jour-là (Arba Meot Chekel Kessef 68)». Or dans les mots: « Je t’aienfanté aujourd’hui », le mot « Ani, Je » porte en lui les initiales de: « Youd Alef Nissan, le 11 Nissan »…

Dans le discours de bénédiction du 11Nissan 5751-1991, le Rabbi Roi Machia’hChlita nous montre le niveau vers lequel ilveut nous faire monter. Il nous dit que cha-que Juif est un Chalia’h, un émissaire duSaint béni soit-Il, et lorsqu’il utilise pleine-ment les dix forces qui lui sont attribuéespour accomplir son travail dans ce monde,il devient alors lui-même le Machia’h! Ilveut faire de nous non pas de simples ‘has-sidim, il veut faire de nous «le Rabbi lui-même» au niveau où il se trouve actuelle-ment, c’est à dire «le Machia’h » !Le potentiel de ce jour n’est plus à démon-trer. Dans des dizaines de discours, le RabbiRoi Machia’h Chlita l’a pointé du doigt etnous a donné la clé de la Guéoula en nousdisant clairement comment se comporterpour dévoiler ce potentiel. Chacun, jusqu’àprésent a agit au mieux de ses forces pourfaire ce que nous pouvons pour dévoiler laGuéoula concrètement. Mais ce que nousdemande le Mele’h, le Roi en vue de sonanniversaire n’a rien à voir avec ce qui étaitdéjà auparavant. Chacun en ce jour, doitprendre une décision qui va transformer sa

vie et celle de tout son entourage, tout enrestant dans le domaine du réalisable «Lumière de Tohou dans des réceptacles deTikoun », afin de pousser sur le boutonrouge du grand dévoilement. Chaque Juif,chaque Juive en a la force, c’est cela deve-nir soi-même «le Machia’h ». Il est hors de question que nous passions leSeder de Pessa’h 5773 ailleurs que dans leTroisième Temple, à la Table du Rabbi, leRoi Machia’h qui nous a délivré à tous etqui n’attend que notre propre dévoilement.Puisque nous sommes une parcelle deD.ieu, nous en avons la force, nous avonsla force de décider de sortir une bonne foispour toutes, la clé de la porte de sortie,c’est « la bonne décision», celle parexemple de parler dans nos cours de laPureté familiale, d’inviter des jeunes unpeu perdus à notre table de Chabbat, cellede donner un cours en vidéo sur internet,celle d’organiser une soirée pour le SiyoumHaRambam et de parler d’étudier leRambam, etc. Toute initiative est bonne etpèse de tout son poids sur la balance de laGuéoula…

Le niveau du 11 est le niveau de Keter, lacouronne, or la femme représente la «cou-ronne de son mari», l’importance du tra-vail des femmes dans notre génération n’estplus à prouver. Alors malgré le ménage dePessa’h, cette année, que chacune prennesur elle d’aider une mère de famille, unefemme, une jeune fille Juive à progresserdans la Torah et dans l’accomplissementdes Mitsvot, au moins d’une Mitsva, unPrécepte de notre Torah, allumer les bou-gies du Chabbat, des jours de fête. Il n’estpas pensable que nous soyons à Pessa’hcette année attablés bien confortablementdans nos maisons. Nous devons lutter unpeu plus cette fois-ci pour sortir définitive-ment de toute forme d’Egypte. Nousdevons décider!!!Cette année à Jérusalem, cette année dans leTroisième Temple, cette année avec tout lePeuple Juif dans son ensemble, cette annéePessa’h sera célébré à la Table du Saint bénisoit-Il !!! « Vive le Roi Machia’h, immé-diatement, Mamach! ».

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Le nom « Nissan » vient du mot«Ness, le miracle» et plus encore,«Nissan» (qui comporte deux «Noun»)fait allusion aux «Nissei Nissim, lesmiracles des miracles (4)», les mira-cles et les merveilles que le Saint bénisoit-Il a fait aux enfants d’Israël pen-dant ce mois lorsqu’Il les fit sortird’Egypte. Ce qui stigmatise le compor-tement miraculeux de ce mois-ci.Les « Nissei Nissim», sont encoreplus présents pendant le Chabbat quiprécède et bénit la fête de Pessa’h. CeChabbat se nomme Chabbat HaGadol,le « grand Chabbat» car en ceChabbat a été effectué un grand miracle(7) : « Et Il frappa l’Egypte par sespremiers-nés (8)» (comme l’expliquel’Admour Hazaken dans sonChoul’hane Aroukh), « Et l’on a fixéle souvenir de ce miracle pendant ceChabbat et on le nomma: ChabbatHaGadol ». Et de plus, «C’est pen-dant Chabbat HaGadol qu’intervintl’amorce de la délivrance et des mira-cles (10)», et c’est pour cette raisonque nous lisons pendant ce Chabbat «Avadim Haïnou, la majeure partie de laHaggada (11) ».

Le premier et le dernierUn autre point important de la déli-vrance d’Egypte dans la Torah, est quecette délivrance eut lieu par l’intermé-diaire de Moché Rabbeinou, le sauveurd’Israël. Et la Torah relate longuementla manière dont le Saint béni soit-Il achoisi Moché précisément pour être lesauveur d’Israël. Jusqu’au moment oùMoché a demandé à D.ieu: « Envoiecelui qui est dans Ta main (12)», orD.ieu n’accéda point à la prière deMoché car Il voulait que Moché soitl’envoyé de D.ieu pour sauver lesenfants d’Israël et non pas un autre.De cela on comprend la profondeappartenance de Moché avec la déli-vrance, car lui seul possède la puis-sance de sauver les enfants d’Israël.Et comme le disent nos Sages: « Il estle premier sauveur et le dernier sauveur(13) ». Moché est appelé: le derniersauveur, même en ce qui concerne ladélivrance véritable et complète de ce

dernier exil, comme il a été dit à sonpropos : « Comme aux jours de ta sor-tie d’Egypte, Je te montrerai des mer-veilles », et toute délivrance intervientpar la force de Moché.

L’homme-D.ieuEt l’on peut comprendre pourquoiMoché est le premier et dernier sauveurd’Israël. Puisqu’il est du niveau de«Tefila LeMoché Ich HaElokim, prièrede Moché, l’homme-D.ieu(14)», ilpossède le pouvoir d’entraîner la déli-vrance par le dévoilement de la forcedu « Sans-limite» dans le monde etainsi, de délivrer les enfants d’Israël detoutes les limites et frontières, mêmecelles de l’écorce d’impureté et d’ido-lâtrie de l’Egypte. Et par cette puis-sance, d’accomplir, non des miraclesqui se revêtent dans la nature, mais sur-tout, des miracles qui transcendenttotalement les voies de la naturejusqu’à en arriver à des Niflaot, desmerveilles. Et ce sera une délivrance qui ne pré-cède plus aucun exil, du niveau où lemonde entier sera une habitation pourLui, qu’Il soit béni, une demeure fixe etéternelle.

Des prophéties et des miraclesIl y a, en conclusion de tout ce qui a étédit, un enseignement pour chaque Juifqui l’aidera dans son travail personnel.Alors que nous sommes dans l’annéeoù « Areinou Niflaoth, Tu nous mon-treras des merveilles», et plus particu-lièrement dans le mois de Nissan, dansla semaine de la fête de Pessa’h, tempsde notre liberté, et à la lumière des évè-nements et des derniers miracles quenous avons vécu, dévoilés aux yeux dechair et aux yeux de tous les peuples (laguerre du Golfe qui prit fin quelquessemaines auparavant – Ndt).Ceci doit éveiller encore plus chez cha-que Juif, la volonté et la force de faireson travail de manière miraculeuse,jusqu’à en arriver aux «miracles desmiracles », cela ne suffit pas qu’ils’élève de sa situation qui, jusqu’à pré-sent était d’étudier la Torah et d’accom-plir les Mitsvot à la perfection, mais ildoit s’élever dans ces domaines deniveau en niveau, jusqu’à ce qu’il enarrive au «Grand Miracle», véritablerelié à « Grand est l’Eternel et digne denombreuses louanges (15)».Et il y a, dans tout cela, un extraordinaireencouragement que l’on peut trouver

dans le Psaume Tsaddik, 90, «Prière deMoché, l’homme-D.ieu», car Mochédonne de la force à chaque Juif par lecanal du niveau de «Moché » qu’ilpossède en lui et qui dévoilera en lui-même, le Tsaddik qui est en lui «Et toutton peuple est constitué de Tsaddikim,justes (16)» relié à «L’Eternel est justeen toutes Ses voies(17) ».

Un cadeau pourle 11 NissanEt on peut exploiter un autre événe-ment pour renforcer tout ceci: Par Providence divine, est sortie ladécision n°104 dont la valeur numéri-que est «Tsadé (orthographe diffé-rente de la lettre Tsaddik, Ndt)» de lamaison des députés de ce pays (fondésde pouvoir du pays tout entier) fixé àl’occasion du onzième jour de ce moisde Nissan de cette année, comme le «Jour de l’Education» en ce quiconcerne ce pays et tous les pays etcitoyens du monde.

La Tseddaka dans la largesseEt en ce qui concerne notre période(18) : Il s’agit de fournir tous lesbesoins de la fête à tous ceux qui en ontbesoin, les ingrédients du Séder (lesMatsot, les quatre coupes de vin etc.) etles besoins de Yom Tov (des habits defête et les aliments de la fête), et tout cequi s’en suit. Et ceux qui organisent unSeder public, et qui ne veulent pas orga-niser le deuxième Seder par manque demoyens, doivent séparer les dépensesen deux parties et recevront la bénédic-tion d’Hachem afin que finalement, lesdeux Seder se passent dans la largesse.Et que soit Sa Volonté, que s’accom-plisse déjà la prière de Moché en cha-cun à la perfection, de la manière laplus immédiate Mamach, et le princi-pal, dans le troisième Temple.

Notes1/ Chemot Rabba Ch.15-11 - 2/ Prière et Kiddouchde la fête de Pessa’h, voir Likoutei Si’hot vol.11 p.71- 3/ Midrach Leka’h Tov sur Bo 12.2 : Nissan danslequel ont eu lieu des miracles pour Israël - 4/Bra’hot 57a, Rachi, ‘Hidouchei Haggadot duMaarcha - 5/ Zohar II 63b, 88a - 6/ Voir Si’hat Bo etItvaadout qui suit 5744 - 7/ Chabbat 87b, Tossefot –Tour et Choul’han Arou’h Admour Hazaken, lois dePessa’h - 8/ Tehilim 136.10, Midrach Tehilim, Rachiet Metsoudat David au même endroit - 9/ Au mêmeendroit, Tossefot, et le Tour expliquent ce miracle.Voir Likoutei Si’hot vol 12 p.33 et notes - 10/Choul’han Arou’h Admour Hazaken par.2 - 11/Idem du Ramo au par.1 - 12/ Chemot 13 - 13/ ZoharI 253a, Chaar Hapsoukim Vaye’hi, Torah Or, débutMichpatim, Likoutei Si’hot vol.11 p.8 etc. - 14/Ps.90.1 - 15/ Ps.48.2 - 16/ Isaïe 60.21 - 17/ Ps.145.17- 18/ Guittin 10b

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Le Carnet : Pour la réussite de ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Mena’hemMendel Israël Ben Gabriel, Noa Bat Menou’ha Ra’hel et Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel pour la famille Liraz Touval, pour Gary ChlomoBen Tserouya et David Ben Tserouya Pour la bonne santé de Mercedès Sarah Bat Fifine Réfoua immédiate Leilouï Nichmat de ‘HaïmYeochoua Ben Choulamite, Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et RachelPessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham, Yossef Abitbol Ben Clara, ‘Hanna Bat Ra’hel, Ruth Sarah Isska Bat Gabi et Sarah Bat ‘Haya Dona

L’Edit Royal - Dvar Mal’houtRésumé du discours de

Chabbat Parachat Tsav - Chabbat HaGadol 5751-1991du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita

La prièr e de Moché, l’homme-D.ieu Le mois de Nissan s’appelle le «Mois de la Guéoula(1)» en raison de son point central, la fête de Pessa’h, le«Temps de notre liberté (2)» et ceci est souligné plus précisément pendant le Chabbat qui précède Pessa’h.

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Le Rabbi s’exprime ainsi : « … il faut publier auprèsde toutes les personnes de la génération que nousavons le privilège que D.ieu ait nommé un êtrehumain, qui par lui-même est incomparablement plusélevé que tout homme de la génération, pour qu’il soit« ton juge », « ton conseiller », et le prophète de lagénération, pour qu’il donne des directives et desconseils au sujet du service de tous les enfantsd’Israël…Jusqu’à (émettre) la prophétie principale, celle disant«la Délivrance est pour tout de suite », et immédiate-ment « le voici (Machia’h) qui vient ».Dans son allocution du Chabbath Vayéra 5752 (1991),le Rabbi dit encore : « …à notre époque, tous les obs-tacles et empêchements ont disparu… Et par consé-quent, il y a (non seulement la réalité existentielle duMachia’h, le Roi Messie, mais) également la révéla-tion du Machia’h. Actuellement, il ne faut plus qu’ac-cueillir Machia’h Tsidekénou sur un plan concret ».

Dans son allocution du Chabbat Michpatim 5752(1992), le Rabbi déclare « …de même (y a-t-il) le ver-dict rabbinique émanant de décisionnaires dans le peu-ple d’Israël (disant) que le temps de la délivrance estarrivé, que « (s’il) se lève un roi de la dynastie deDavid etc., il y a présomption qu’il est Machia’h » (etle Rabbi ajouta à ce verdict rabbinique les mots sui-vant) : …jusqu’à la situation où « celui-ci est leMachia’h avec certitude ». Dans cette allocution, leRabbi sous-entendu de manière on ne peut plus clairele fait qu’il est le Roi Messie.C’est pourquoi nous fixons ici en décision rabbiniquelégale, selon la loi de notre sainte Torah. Basé sur la loipratique se trouvant dans le Rambam (Michné-Torah)au chapitre 7 des Lois sur les fondements de la Torah« loi 1, au chapitre 9 loi 2, et au chapitre 10 loi 1 – quele Rabbi, Roi Messie possède le statut de prophète, etil est clair qu’il fait allusion à lui-même, dans ses sain-tes allocutions, en tant que prophète (de même est-il

évident, à partir de ces allocutions, qu’il est le RoiMessie, tout comme il encouragea le chant, entonné ensa présence, sur les paroles de « Yehi AdonénouMorénou Vérabenou Méle’h HaMachia’h LéolamVaèd, Que vive à jamais notre maître, guide et Rabbi,le Roi Machia’h »). Il avait auparavant prédit devanttout Israël et devant le monde entier des événementsfuturs, qui se réalisèrent ensuite complètement,comme : la « Guerre des Six Jours », la « Guerre duGolfe », etc.C’est pourquoi nous sommes tenus (de par la loi)d’obéir à tout ce qu’il nous dit, en tant qu’obligationd’obéir aux paroles d’un prophète, y compris cellesdisant qu’il est le Roi Messie, et qu’il se révélera ànous immédiatement, Mamach.Yehi Adonénou Morénou Vérabenou Méle’hHaMachia’h Léolam Vaèd !

Psak Din

La Décision rabbinique qui changea la face du monde

Le Rabbi de Loubavitch, dans son allocution du shabbat choftim 5751 (1991) a fixé en tant que loi pratique, qu’il se trouve dansnotre génération un prophète et que l’on est tenu de lui obéir, comme le Rambam en décide, dans les « lois surles fondements dela Torah » au chapitre 7.

Dans un pays, vivait un grand roi, et lors d’une fêtenationale, avait lieu un fastueux défilé en son honneur.Tout l’itinéraire du carrosse royal avait été soigneuse-ment dessiné sur la carte de la ville en évitant, bienentendu, les quartiers défavorisés afin de ne pas heur-ter la sensibilité du monarque. Or, l’on ne pouvait pré-voir qu’un homme, réduit à un niveau de pauvreté à lalimite de la décence, vivait dans l’un des beaux quar-tiers de la ville dans un dépotoir car il en fallait bien,même dans les rues les plus riches. Cette hommen’était vu ni connu de personne, et habitait cette pou-belle géante et se nourrissait de tous les déchets qui yétaient quotidiennement déversés. Il était à peine vêtuet son apparence extérieure était effrayante par le man-que d’hygiène…Et donc, voici notre défilé qui démarre en cette bellejournée avec force trompettes et fanfares, une paraderoyale multicolore et magnifique. Le roi apparaissait àla fenêtre de son carrosse pour faire des signes de lamain à toute la population venue l’accueillir en cegrand jour. Mais soudain, un fait totalement imprévuadvint. Alors que le carrosse royal roulait bon train,notre pauvre hère se hisse au dessus des immondicespour apercevoir l’événement et… rencontre les yeuxdu roi dans son luxueux véhicule. Et c’est le choc!Le roi fait stopper d’un geste toute les festivités.Silence absolu… Et il descend du carrosse. Toute la ville est tenue enhaleine à ce spectacle. Il se dirige alors d’un pas fermevers le honteux logis du malheureux qui observe lesyeux écarquillés. Le roi offre la main à l’homme quisuit le mouvement et sort de sa cachette. «Oh ! »s’écrit le peuple. Et contre toute attente, le roi entraînele pauvre homme vers le carrosse royal, le fait entrerdans le véhicule qui démarre fissa en direction dupalais. Arrivé sur place, le roi lui-même, amène l’hommedans ses appartements royaux, dans sa chambre per-sonnelle, puis dans sa salle de bain et se met à retirer

tous les habits, toutes les loques immondes du pauvre.Il le fait entrer dans la baignoire, le lave, le savonne, lefrotte, le rince et le sèche. Puis il le parfume et l’aide às’habiller avec des vêtements de noble de la cour duroi. Mais ce n’est pas tout, il lui parle aussi comme àun ami, sans demander aucun compte, aucun rensei-gnement sur lui, il le met en confiance avec une grandedouceur. Aucun homme ne pourrait tenir une telleexpérience sans que son cœur ne se brise et qu’il nedevienne fou d’amour et de reconnaissance pour leroi… Par la suite, le roi installa notre homme dans unlogement confortable et lui offrit un poste parmi lesgens de la cour. Et la vie de l’ancien démuni prit unetoute autre allure…Un jour, le roi convoqua notre homme dans la salle dutrône et lui tint ce langage: « Mon ami, mon frère, jet’ai fait venir ici aujourd’hui pour te faire une proposi-tion unique en son genre, tends l’oreille s’il te plaît».L’homme avait bien changé à ce moment-là, il portaitles habits à la dernière mode, était coiffé par les plusgrands coiffeurs, parfumé et manucuré, il avait mêmeprit un peu d’embonpoint. Celui-ci se demandaitquelle pouvait bien être la proposition du roi à sonégard. Puis le roi reprit: « Mon ami, mon frère, cen’est autre que ma fille que je te donne aujourd’hui enmariage afin que notre alliance soit éternelle… Qu’endis-tu ? ».Et c’est ici que l’histoire se divise en trois possibilitésqui s’offrent à notre homme et c’est vous, cher lecteur,qui allez choisir quelle est la meilleure, quel est laréponse que notre homme doit choisir…Tout d’abord, il regarde le roi apeuré et lui dit: «Mon roi, mon cher roi m’a placé dans une positionaujourd’hui que je ne puis risquer de perdre et c’estdonc à cause de cette crainte que j’accepte la proposi-tion royale… ».Ou alors, il dit : « Mon roi, mon cher roi, suite à ceque vous avez fait pour moi, je n’étais rien du tout etmême moins que cela, et vous m’avez sorti de la

tombe pour me redonner la vie, et afin de vous remer-cier de tout cela, j’accepte avec amour et sans condi-tions la main de votre fille».Ou encore, il dit… En fait il ne dit rien du tout, il mar-que un temps, et soudain, comme pris par un vent defolie, il se met à pousser un cri, un long cri et se met àdanser, à se rouler par terre de joie, danse de nouveauet prend le roi par les mains et l’entraîne dans uneronde sans fin…Alors quelle possibilité choisissez-vous?… Mais ilest temps d’expliquer cette parabole et d’en tirer lesconclusions en ce qui nous concerne. Le roi, bien évi-demment, c’est le Saint béni soit-Il et le pauvre, c’estnous, les Juifs. Il est descendu d’un univers élevé audessus de toute imagination pour s’abaisser à notremonde, Il nous a sorti d’Egypte et de tous les exils etnous a donné la main de Sa fille, la Torah. Commentréagir ? Va t-on accepter par crainte de tout perdre?ou alors par amour et reconnaissance de tout ce qu’Il afait pour nous? Ou encore par la joie la plus grande,la plus folle, par les danses et les cabrioles?Aujourd’hui, ce n’est pas seulement la Torah qu’Hachemnous offre, c’est la délivrance finale, la liberté totale, carce n’est plus de l’Egypte que nous allons sortir, mais c’estde toute souffrance, de toute peur, de toutes les maladies,c’est de toutes les nations que nous allons être libérés!Alors… Comment réagir ? Il est clair que c’est par la folie, la danse et lescabrioles qui expriment une joie illimitée que nousallons réagir, par un grand cri de joie en accueillantle Rabbi Roi Machia’h Chlita aujourd’hui-même encriant tous ensemble: «Vive le Roi Machia’hNow ! Mamach !»…

Guéoula11 Nissan 5773: Le cri de joie…

Dans le livre du Tanya, au chapitre 46, nous pouvons trouver une image concernantle mérite dont nous, Juifs, bénéficions. Il s’agit d’une parabole qu’expliquel’Admour Hazaken au sujet du roi d’une nation, et nous prendrons donc cette méta-phore pour base de cet article.

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Allumage desBougies

Chabbat Parachat TsavChabbat HaGadol

Jérusalem Entrée : 17h16Sortie : 18h28

Récit

Le Rabbi Roi Machia’h Chlita : Au delà de la Prophétie…

Cette année, quelques semaines avant Pourim, j’ai fait un petit séjouren Erets Israël avec mafamille. Un matin, j’ai eu l’occasion de faire la prière dans la Synagogue et maison d’étude des‘hassidim d’Alexander, à Bné Brak. A l’issue de la Téfila, un homme âgé m’aborde, se présen-tant sous le nom de M. Zussman, et son apparence générale fait penserà un Juif de la tendance« lituanienne ». Il a vu, surma pochette de Talith et Téfiline l’esquisse brodée du « 770 », et ilme demande si je fais partie des ‘hassidei ‘Habad. A ma réponse affirmative, son visages’éclaire et c’est avec une satisfaction visible qu’il déclare vouloir me raconter « une extraor-dinair e histoire d’un miracle, en rapport avec le Rabbi de Loubavitch ».

« Cela est arrivé pendant l’hiver5752 (1992) », commença t-il, «lors-que je reçus un appel téléphoniqued’une parente, affiliée avec son marià l’école ‘hassidique de Gour. Elleme fait savoir qu’elle est pour lemoment hospitalisée à « Tel-Hachomer » et me demande demanière urgente de venir la visiter.Je prends cet appel en priorité et merends aussitôt à son chevet. Moncœur se serre en la découvrant ainsi,allongée sans forces sur ce lit d’hô-pital, et ma douleur est encoreaccrue du fait que je la sais dans lesderniers mois de grossesse.Lorsqu’elle prend conscience de maprésence, elle ne perd pas un instantet entreprend de me relater sa situa-tion. Elle me dit qu’elle ne se sentaitpas bien ces derniers temps, et ques’étant rendue à l’hôpital pour fairele point sur son état de santé, elleapprit par les médecins qu’elle avaitune tumeur au foie. « Le seul traite-ment que nous puissions tenter », luidit l’un des médecins, « est une chi-miothérapie, ce qui entraînera d’of-fice la mort, D.ieu préserve, dufœtus ».C’est avec des larmes qu’elle pour-suit son récit, me racontant commentelle et son mari rendirent visite àquantités de Rabbanim, Kabbalisteset Rabbis réputés, mais que celan’avait pas donné de résultatsconcrets. Tous avaient certes promisde prier pour elle, mais aucun nes’était engagé au-delà du souhait.Un instant avant de sombrer dans ledésespoir, elle entendit parler duRabbi de Loubavitch et des miraclesstupéfiants qu’il avait réalisés. C’està cet effet qu’elle m’avait demandéde venir auprès d’elle, car elle savaitque je me rendais fréquemment àNew York pour mes affaires, et elleme demandait d’essayer lors de mon

prochain voyage, d’entrer en contactavec le Rabbi et de solliciter sa béné-diction.« Je vous dis en vérité, que j’étaisquelque peu étonné de sa demande.Elle faisait partie des ‘Hassidim deGour, aussi pourquoi avait-ellebesoin de consulter le Rabbi deLoubavitch ? Mais, devant sa souf-france et sa demande pathétique, jelui promis que j’accéderais à savolonté.Très peu de temps après cette visite,je devais m’envoler pour New York.Je n’oubliai pas sa requête, et, avantmême de m’occuper de mes affaires,je me rendis à « Crown Heights », lequartier général du Rabbi. Ce jour-làétait le 26 Adar Richone 5752(1992), dont je sus plus tard qu’ilavait été le dernier dimanche où leRabbi distribuait des dollars. Desmilliers de personnes attendaient, enune file qui s’étirait tout au long dela rue. J’attendis, quant à moi, plusde quatre heures et demie, dans cettefile qui avançait avec lenteur.Lorsque je fus en vue du Rabbi, jem’aperçus que chaque personne neparvenait qu’avec difficulté à échan-ger quelques mots avec lui, avant

d’être poussée vers la sortie. J’eus lacrainte de ne pouvoir formuler mademande, aussi, lorsque je parvinsdevant le Rabbi, j’attrapai avec forcela table derrière laquelle il se tenait,et je débitai toute mon histoire, sansprêter attention à l’entourage.Le Rabbi écouta tout ce que je racon-tais, me tendis deux dollars, « pourmoi et pour ma parente » et il ajouta:« Elle n’a pas la maladie en question,et ne doit donc pas procéder à unavortement, ‘Hass Véchalom. Ellesouffre d’un autre problème de santé,que les médecins doivent trouver ».Je sortis de devant le Rabbi, complè-tement stupéfait. Je ne m’étais pasattendu une seconde à un tel verdictde la part du Rabbi. Cela n’était niune bénédiction ni une promesse deprier pour elle, mais un fait absolu,énoncé sans artifice.Je ne perdis pas une minute, et j’ap-pelai tout de suite la jeune femme,lui racontant avec émotion laréponse du Rabbi.Les choses ne traînèrent pas, et cemême jour elle quittait l’hôpital «TelHachomer», pour aller consulterdans un autre établissement. Là, lesmédecins reçurent le dossier de leurscollègues de Tel Hachomer, et entre-prirent d’examiner la patiente. Ilsétaient sceptiques quant à un chan-gement de diagnostic, mais grandefut leur stupéfaction de découvrir,après une série fort longue d’exa-mens, qu’elle souffrait d’une autreaffection, et non d’une tumeur...«Aujourd’hui», conclut M.Zussman,«elle se porte parfaitement bien, etelle est l’heureuse mère d’un garçonde douze ans, qui était né sans pro-blèmes quelques mois après cettehistoire».

Extrait de l’hebdomadaire «Le Courrier de la Guéoula»

du Rav Pin’has Pachter

Guéoula

Tous ensemble

Et il faudra donner à ceci unegrande publicité en tout endroit:Afin de provoquer le dévoilementet l’arrivée du Machia’h de manièreimmédiate, chaque Juif (hommes,étudiants en Torah (Issa’har), ainsique les hommes d’affaires(Zevouloun), ainsi que les femmeset les enfants, chacun selon sespossibilités) devra rajouter del’étude de Torah et plus particuliè-rement que son étude portera surles sujets du Machia’h et de laGuéoula, la délivrance.Il serait bon que cette étude soitpublique, avec un minimum de dixpersonnes car il y a une grandequalité dans cela et surtout dans lefait d’étudier avec émerveillement,joie, émotion, car grâce à tout cela,sa soif de délivrance et l’attente duMachia’h augmentera.Il faudra aussi augmenter la qualitéde l’accomplissement des Mitsvotet principalement celle de laTseddaka qui rapproche la Guéoula(Baba Batra 10a).Et en plus de tout cela, et c’est leprincipal, que tout ceci s’accom-plisse de la manière la plusconcrète... Ainsi nous pourronsremercier D.ieu et Le bénir pour lanaissance et le dévoilement duMachia’h : « Che’heyanou,Vekiyémanou, Véhiguiyanou,Lizman Hazé (Qui nous a faitvivre, exister, et nous a amené encet instant)».Dvar Mal’hout Tazria 5751-1991

Un être d’exemple

Nous devons faire savoir à tous lesmembres de notre génération, quenous avons obtenu le mérite que leSaint béni soit-Il a choisi et élu unhomme doué de libre-arbitre qui,de par lui-même est élevé au-des-sus de tous les membres de cettegénération sans aucune communemesure afin qu’il soit «ton juge »et « ton conseiller» et le prophètede la génération. Afin qu’il donnedes directives et des conseils en cequi concerne le travail de tous lesenfants d’Israël et de tous les mem-bres de cette génération, dans tousles sujets de la Torah et desMitsvot, mais aussi en ce quiconcerne la vie pratique au quotidien… (extrait du discours de Chabbat Paracha Choftim 5751-1991).