New «Faire bouger les lignes.» · 2018. 7. 18. · l'Éducation nationale, de l'Enseignement...

Date : 25/11/2016Heure : 05:45:41

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«Faire bouger les lignes.»Pour Jean-François Jacopin, proviseur au collège Laennec à Pont-l'Abbé, le constat est simple : "les fillessont beaucoup plus performantes à l'école, obtiennent de meilleurs résultats au baccalauréat. Mais en post-bac, la plupart disparaissent notamment des rangs des filières d'élite telles que les prépas aux grandesécoles ou à l'université." Les chiffres vont dans ce sens : seuls 21 % des ingénieurs en France sont desfemmes, selon un film produit par l'Union des Professeurs de Sciences et Techniques Industrielles ( UPSTI).Voilà quatre ans qu'au niveau national, cette organisation s'unit à l'association Elles bougent le temps d'unejournée d'information à destination des collégiennes et lycéennes de France autour du thème : les sciencesde l'ingénieur au féminin. Le but ? " Démontrer par l'exemple que des femmes peuvent exercer des métiersque l'on croit habituellement réservés aux hommes", indique le proviseur de l'établissement.

Trois exemples de parcours professionnels au féminin

Ainsi, une soixantaine de jeunes filles des classes de 4eme ont bénéficié d'une conférence de sensibilisation,ce jeudi 24 novembre (photo ci-contre). Pendant que leurs homologues masculins ont assisté aux courshabituels. Trois femmes de terrain sont venues parler de leurs parcours professionnels. Muriel Guilloux,responsable marketing chez Bolloré depuis 2002 est passée par une prépa HEC puis une école de commerceaprès un bac scientifique. Ce jour-là, elle a non seulement voulu "ouvrir le champ des possibles" chez sonauditoire mais aussi simplement faire découvrir son métier. Son exemple est d'autant plus marquant qu'elleest originaire du Finistère. " L'opération vise également à pousser les élèves vers la mobilité physique etintellectuelle. On doit parfois quitter le Finistère le temps des études pour y revenir par la suite", commentele proviseur. Autre exemple : celui de Christelle Refloch, directrice adjointe des routes et infrastructures pourle Conseil départemental. 40 ans, maman d'un petit garçon, cette ancienne Parisienne a démontré que l'onpeut exercer le métier d'ingénieure en urbanisme tout en restant féminine et en conjugant vies professionnelleet de famille. Enfin, sa collègue, Laëticia Largenton est responsable d'antenne technique au Département.Elle a accédé à ce poste après avoir passé 10 années dans un laboratoire de recherche au ministère del'environnement, avec un simple BTS en poche. De part son parcours atypique, la jeune femme a tenu àdémontrer combien il est important de se bouger pour atteindre ce que l'on veut.

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Faire bouger les lignes

Cette journée nationale a très certainement contribué à briser les stéréotypes dont souffrent les jeunes filles.Pour Najat Vallaud-Belkacem, Ministre del'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, la journée nationale « Les Sciencesde l'Ingénieur au Féminin » doit créer des vocations et faire bouger les lignes. Un communiqué rappelle queseulement 12 % environ des bachelières de la filière S poursuivent des études d'ingénieurs, alors qu'ellessont à parité avec leurs homologues masculins en Terminale S, et qu'ils sont 4 fois plus nombreux à rejoindreces mêmes filières.


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Date : 26 NOV 16

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GOURIN

Collège. Une journéedes sciences au fémininL'une a fait l'écolenationale desPonts-et-Chaussées, l'autrea étudié à l'Institutsupérieur des matériaux.Karine Burban et FlorenceThavanaud sont venuesau collège Chateaubriandtémoigner de leurparcours pour mener descarrières scientifiques. Unmonde pas forcémentréserve aux hommes.

Ambroise Besnard, professeur detechnologie, a présente Karine Burbanet Florence Thavanaud aux filles de y.

Dans le cadre de la Journée dessciences au féminin et d'un par-tenariat avec l'association« Elles Bougent », les deux mar-raines du collège Chateaubriandsur ce projet sont intervenues,jeudi après-midi, auprès desfilles des classes de y.

Sensibiliser les fillesaux carrières scientifiques« L'objectif est de sensibiliser lescollégiennes aux carrières scien-tifiques et technologiques, à tra-vers [es témoignages de KarineBurban et Florence Thavanaud.Cette action, proposée parAmbroise Bernard, professeur detechnologie dans notre établisse-ment, s'inscrit dans le cadre duparcours Avenir du collège, dontun des axes est la lutte contreles préjugés et les stéréotypesdans l'orientation et le choix desfilières et des métiers », résu-

mait Véronique Doaré, la princi-pale du collège. « je constateque les filles sont capables demener de beaux projets qui fonc-tionnent. Les métiers de l'ingé-nierie doivent aussi se conju-guer au féminin », ajoutaitAmbroise Besnard.Dans un premier temps, deuxpetits films ont été présentésaux collégiennes, le premierétant un message de Najat Val-laud-Belkacem, ministre del'Éducation nationale, qui inviteles filles à « venir participer auxgrandes transformations techno-logiques et sociétales, à venirécrire le futur ». Le deuxièmefilm présentait les métiers del'ingénierie.Karine Burban, ingénieure chezLinpac à Noyal-Pontivy, où elleest responsable qualité et res-ponsable du labo, et FlorenceThavanaud, responsable du

Satese (service d'appui tech-nique à l'épuration et au suivides eaux) au conseil départe-mental du Morbihan, ontensuite évoqué leur parcours àtour de rôle.

« Ne pas avoir peur »Lors de ses études à l'Ismans(Institut supérieur des maté-riaux du Mans), Karine Burban aexpliqué qu'elle était la seulefille de la classe et qu'elle avaitterminé major de sa promotion.Lin message en guise d'encoura-gement pour les filles. « ll fautêtre curieuse, avoir la volontéd'avancer et ne pas avoir peur.Ingénieur, c'est avoir uneméthode, une capacité d'ana-lyse », a-t-elle expliqué jeudi.Un message relayé un peu plustard par Florence Thavanaud,qui a fait l'école nationale desPonts-et-Chaussées.

Date : 26 NOV 16Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 124580

Journaliste : I.R.A.

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Salon-de-Provence

Conjuguer la science au fémininDes ingénieures sont venues présenter leur métier à 120 lycéennes de TEmpéri

C onferences et tables rendes ont ete organisées cejeudi pour 120 lycéennes

dcs sections scientifiques alEmpcn Uncicnconticspccifique autoui dcs sciences dcI ingénieur au feminin, afin dcpermettre d cnvisagci réellement le metiei etchangei les te-piesentations Cest un metierd homme, ce n ett pas pour motje ne suis pas assez forte, etcUne piemiete poui le Kcee quiaccueille son nomeau profes-seur de sciences de l'ingénieurWilliam Fam} a l'initiative deI evenement avec Delphine Lu-na/zi, du buieau des classes pie-paiatoires aux glandes ecoles'Le but fie cette rencontre est deprésenter ant. lycéennes des te-moignages déjeunes ingénieuresdynamiques et proposer deséchanges par le moyen des tablesrondes Nous souhaitons faireune continuité entre le lycee et lesclasses prepa faire changer les représentations et susciter des vocanans I outes les lycéennes presentetu pour ce moment viennent deleur plein gl e soutenues et encou/agees pai kms professeurs' explique Djamila Mimoum pioviseule adjointe au Hcee

Cinq femmes ingénieures ontpresente chacune lcui mctici ctpaicouis icspcctifs avec dynanmsmc ct authenticité Dcs pi ofils dittcicnts qui viennent touenel les élevés dans leuis leali-tes afin de lepondre a leurs inter-rogations face a l'avenu NajmiRkia mgemeure chez Total aplutôt sedmt pour I aspect mter-na t iona l de son me t i e r ,

Les cinq ingénieures, ici aux côtes du professeur de Sciences de l'ingénieur.

conseillant les filles a prendrec o n f i a n c e en e l le et aoser Séverine Feiret mgenieure d essais chez Safran, a transmis sa volonté d avancer et sondynamisme Foui elle, vouloire est pouvoir' Un encouiagement poursuivit par Bertille Somon doctorante en 2' annee aucentre de recherche aérospatiala Salon Anais Uerupt, cadretechnique au centre nucleairedu Tncastin encourage les lyceennes a "vivre cette chanced accéder a cette aventure technologique" et i n s i s t e surl'importance des stages EnfinChristine Poulain, mere de trois

enfants, est mgemeure en geniedes piocedes sur le site de La\era bile met I accent sur la possibihte de concilier vie de familleet vie professionnelle 'Ce meHer permet de gerer ces deux viesmaîs nécessite de faire deschoix ' Pour elle, la mixite est unatout car anna pas la même visian des choses face a un probleme technique"

Les différentes interventionsse sont conclues par un appel gencral aux lycéennes A vous devous lancer, cest vous le futur ''pour ensuite entamei I échangea u t o u i d e t a b l e s i o ndes Echange notamment ani

me pai Audrey Weisseldmgerele\e en classe préparatoire deI Lmpen poui laquelle ces icncontres sont une chance Jesuis heureuse d intervenir carj aurais aime qu on me le propose quand ] étais au lycee Uneapies-midi réussie pour les orga-msateuis, en partenariat a\ecles deux associations Elles bougent ' et UPTSI qui ont cree cettejournee nationale Les sciencesde I ingénieur au feminin sous lehaut patronage du ministere deI Educat ion nationale, deI enseignement supeiieui et dela recherche

I.R.A.

Date : 26 NOV 16Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 124580

Journaliste : I.R.A.

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Saton-de-ProvenceFOCUS SUR LESASSOCIATIONS

Depuis 10 ans, l'Association"Elles bougent" fait décou-vrir aux collégiennes et ly-céennes les métiers pas-sionnants d'ingénieures etde techniciennes dans tousles secteurs industriels outechnologiques en manquede talents féminins:l'automobile, l'aérospatial,l'énergie, le ferroviaire, lemaritime, le numérique etle bâtiment notamment.•» www.ellesbougent.comL'UPSTI est l'Union des pro-fesseurs de sciences et tech-niques industrielles. Crééeen 1982, elle fédère et créeun réseau de plus de 700professeurs de Sciences del'ingénieur, ainsi qu'un ré-seau de nombreux partenai-res industriels. L'UPSTI en-tretien! un dialogue privilé-gié avec les Grandes Écoleset l'ensemble des acteursinstitutionnels de la forma-tion d'ingénieur. Elle parti-cipe à tous les débatsconcernant la formationscientifique et technologi-que, et est un laboratoired'idées permettant de re-garder l'avenir de la forma-tion scolaire pour l'adapteraux défis industriels de de-main.•» www.upsti.fr

I.R.A.

Date : 26 NOV 16

Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 203298

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Orientation. Gros plansur les ingénieur(e)s au féminin

Des marrâmes motivées pour convaincre les lycéennes de se diriger vers des filieres scientifiques

Au lycée Lesage, laJournée nationale « Lessciences de l'Ingénieur auféminin » a rassemblé250 lycéennes de laSeconde à la Terminalescientifique. Une dizainede marraines ont parlé deleurs expériences.

Pour la Journee nationale « Lessciences de l'Ingénieur au femimn » a rassemble 250 lycéennes dela seconde a la terminale scientifigue Pilotée par l'Upsti* et les

marraines de l'association « Ellesbougent », la manifestation a pourbut de favoriser l'accès des jeunesfilles aux metiers d'ingénieur

« Je peux exprimerma créativité »Qu'elles soient en classe préparafoire ou déjà mgenieures en postedans le secteur prive (Saur, Michelm, secteur naval) ou public (colléetivites territoriales), une dizaine demarraines ont ainsi pris la parolepour détailler leur parcours, temoigner de l'intérêt de leur professionet inciter les filles a rejoindre lesfilieres scientifiquesA l'exemple de Clothilde, mgemeure territoriale a la Region Eretagne « J'accompagne les collect!vîtes dans la gestion strategique de

leurs dechets Outre, mon intérêtpour le service public, j 'anime unreseau d'acteurs et je pilote desprojets ou je peux exprimer macreativite » Toutes ces femmes, al'aise dans leurs baskets scientifiques, ont fait passer le même message aux lycéennes avoirconfiance en soi , savoir s'accrocher même si c'est difficile , fairedes stages , ne pas avoir peur de setromper de voieAujourd'hui, seulement 12 % desbachelières poursuivent des etudesd'ingénieur, alors qu'en Terminale S, elles sont a parite avec lesgarçons qui, eux, sont quatre foisplus nombreux a rejoindre lesfilieres scientifiques post bac* Union des professeurs de sciences ettechniques industrielles

Date : 26 NOV 16


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PlouagatFemmes ingénieures. Halte aux idées reçues

Les intervenantes ont tente défaire comprendre aux adolescentes que les metiers d ingénieurs sont accessibles quel que soit lesexe

Sous l'œil de Mme Rimbault, professeure de physique chimie et referente a l'égalité au sem du collegeAubrac, trois femmes ingénieuressont venues parler avec passion deleur metier et essayer de susciterdes vocations auprès des 62 collegiennes de troisieme, jeudi matinApres la diffusion du film « Comment les sciences de l'ingénieurrepondent aux enjeux de demain »,Mme Menguy, mgenieure au service educatif, Mme Morvan Le Gall,mgenieure dans les transports etMme De La Fouchardiere, mgemeure informatique, ont tour a

tour échange a propos de leur parcours de formation et de leurs experiences professionnelles

Leur ouvrir l'espritComme le rappelle, Mme Rimbault« a niveau égal, il y a un manqued ambition de la part des filles parrapport aux garçons L'un des objectifs de cette intervention estqu'elles reprennent confiance enelles » C'est aussi l'occasion deleur ouvrir l'esprit sur les metierstechniques qui, malgre les mentalites, ne sont pas reserves qu'aux garcons

Doucement, les choses s'eclaircissent pour ces adolescentes maîsil faut encore les aider a évoluerdans leurs idees car de faconsimple, elles ont une représentalion arrêtée des metiers Le stagede troisieme leur permettra justement de s'apercevoir que l'imagequ'elles mettent derrière un metierpeut etre toute autre que la réalitéMme Menguy a souligne, pourconclure, que « l'homme et lafemme sont différents maîs sontcomplementaires avec des sensibilites propres ce qui ne peut rendreque plus riche un projet »

Date : 26 NOV 16


Journaliste : Laurent Gentilhomme

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24h régionFORMATION

« On vous voit comme uningénieur, pas une femme »

Dans le cadre de la journée nationale sciences de l'ingénieur au féminin, des ingénieures et élèves ingénieures ontrencontre des étudiantes du lycée Louis-Armand à Mulhouse.

Laurent Gentilhomme

« En temps que femme, on vous res-pecte On vous regarde comme un in-génieur, pas comme une femme Onvous juge sur vos competences » Laparole d'Hanane Lazreg est doucemaîs ses mots portent bien, devantune quinzaine de jeunes filles scolari-sées en lre S, STI et en premiere anneede BTS ATI (Assistance technique d'mgenieur) D'autantqu'Hanane, apresdes etudes et des emplois comme m-genieure, enseigne actuellement lessciences « pour des raisons familialeset personnelles » dans le lycee mul-housien qui accueille l'association El-les bougent, a l'initiative de l'ensei-gnant Yves Riviere

Elle est accompagnée par Hajar Adlne, unejeunefemme mgenieurechezGeneral Electric, a Belfort, maîs qui acommence par des etudes en aero-nautique a Dubai « Avec la crise, j'aivu que ca ne menait nulle part jemesuis réorientée vers des etudes d'ingé-nieur qui permettent défaire plein demetiers différents » La |eune femmevient du Maroc et fait partie de l'asso-ciation Elles bougentqui organise cet-te rencontre Elle aussi a un parcoursqui« parle »auxjeunesfillesmulhou-siennes « je viens d'une famille ou lepapa c'est le che} ll voulait que iefasse une classe prepa, moi je souhaitais être pilote i »

Face a Hanane, Anastasia et Hajar, deux ingénieures et une future ingenieure,des lycéennes du Louis Armand a Mulhouse qui cherchent leur voie.

Photo LAIsace/Laurent Gentilhomme

« llfaut travaillersurvous »

Depuis, Hajar est une ambassadriced'Elles bougent et, justement, son dis-cours fa it bouger les lignes de la repre-sentation des femmes dans lessciences et l'industrie « Nesoyezpasindividualiste, soyez des team player[NDLR joueurd'equipe] C'estimpor-tant car vous travaillerez presque tau/ours en equipe ll faudra vousadapter »

A ses côtes, devant un auditoire tressage, on trouve Anastasia Fidrie, elu

diante ingenieure en deuxieme an-nee a l'Ecole nationale superieured'ingénieurs Sud Alsace (Ensisa), spé-cialité textile et fibre, qui confirmel'importance de s'exprimer « Voussavez, moi aussi je suis quelqu'un detimide Pour les plus timides, il fauttravailler sur vous Personnellement,l'aifaitdutheâtre »

Elle aussi rassure les jeunes filles,montre surtout qu'il n'y a pas de voieroyale, de parcours linéaire pourdeve-nir ingenieure «Apres ma prepa et lesconcours, ie n'ai eu que des ecolesd'ingénieur en informatique Or je

n'aime pas trop ca ' Mors j'ai décidede redoubler Pour quelqu'un commemoi, ce n'était pas évident de refaireune troisieme annee de prepa Maisjene me voyais pas faire de l'informati-que toute ma vie Finalement, cechoix m'a permis d'intégrer l'Ensi-sa »

L'anglaismais pas seulement

Les trois femmes ont des parcours dif-férents maîs se retrouvent sur unpoint pour envisager des etudes ensciencesde l'ingénieur, ilfaut êtretresbon en anglais « Au/ourd'hui, bienparler I anglais c'est obligatoire Et ilfaut souvent une deuxieme langue vi-vante », constate l'mgenieure en sys-teme industriel de General Electric, aBelfort « Et puis ca permet de décro-cher des stages a l'étranger pendantvos etudes d'mgenieure », prolongeAnastasia

Un rapide sondage auprès de la quin-zaine de jeunes filles rassemblées acette ta blé-ronde montre qu'un petitquart, seulement, se destine a desetudes en sciences de ['ingénieurapres leur bac ou leur BTS L'associa-tion Elles bougent a encore du pamsur la planche

SURFER Sur le site internetww ellesbougent com

Date : 26 NOV 16


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Moëlan-sur-MerCollège. Une ingénieure témoigne

tes élevés ont suivi avec attention [es explications à Anne Lecsniczek

Dans le cadre de la Journee nationale des Sciences de l'ingénieur auféminin, le college Parc Ar C'HoatYves Cotty avait invite, hier, la Mcelanaise Anne Lecsniczek, 35 ans,ingénieure, a venir parler de sonparcours scolaire et de son metier

Le parcours d'une battanteApres un bac S et une hésitationentre une carriere de vétérinaire oud'ingénieur, Anne Lecsniczek s'estorientée vers la maintenance aeronautique a Bordeaux Ses différentsstages l'ont amenée chez AirbusHélicoptères, ou elle a trouve degrosses possibilités d'évolutionOptant pour le support techniqueaux hélicoptères, tout en anglais,elle a effectue de nombreuses missions dans le mondeInstallée en Bretagne, elle trouve

rapidement du travail sur lesbateaux de course, puis elle entrechez DONS Lorient Elle travailleactuellement a la planification(ecoute, recueil des informations,synchronisation et partage entreles sites de production) consécutivede la vente de bateaux a l'EgypteEn juin 2017, elle s'envolera pour laMalaisie pour suivre son conjoint,ou elle est certaine de poursuivreune carriere professionnelle « Ontrouve toujours du travail »Les élevés des classes de y et de 4e

volontaires ont suivi attentivementle parcours de la jeune femmeposant des questions notammentsur ses nombreuses missionsAu college, d'autres rendezvoussont planifies pour les élevés de 4e

et de 3e dans le cadre du nouveauparcours Avenir

Date : 26 NOV 16


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Laennec. Une réunionpour les collégiennes

Seules les filles de quatrieme ont pu participer a la rencontre avec trois femmes ingénieurs Pendant ce temps, les garçons,eux, étaient en cours

Les filles de quatrième ducollège Laennec se sontretrouvées jeudiaprès-midi pour assister àune rencontre-discussionavec trois femmesingénieurs.

Le constat est édifiant enFrance, les femmes ne representent que 20 % des effectifsd'ingénieurs Pourtant, comme leconstate le principal Jean Francoisjacopm, « les filles sont, statisti

quement, plus performantes enclasse que les garçons » Ensuite,elles « disparaissent des formations de ces metiers quirecrutent », explique t il

« Se réinventer sans cesse »C'est pour lutter contre cet etatde fait que l'Education nationaleorganise la |ournee nationale« Les Sciences de l'Ingénieur aufeminin » en collaboration avecl'Union des Professeurs deSciences et Techniques Industrielles et l'association « Ellesbougent » qui souhaite « aiderles |eunes filles dans leurs choixd'orientation maîs également sensibiliser les parents et les enseïgnants aux possibilités de car

rieres dans ces secteurs » Unemaniere de combattre le fameux« plafond de verre » mis enavant, il y a peu, par Hillary ClintonMunelle Guilloux, responsablemarketing chez Bollore Technologie, Christelle Refloc'h, directriceadjointe « routes et mfrastructures des déplacements » auconseil departemental et LaetitiaLargenton, technicienne de ce service, ont donc presente leurs parcours de formation et professionnels Elles ont aussi raconte, nonsans humour, les préjuges et lesidees reçues auxquelles elles ontdû faire face, les invitant « as'écouter et a oser se reinventersans cesse »

Date : 26/11/2016Heure : 05:28:49Journaliste : Camille Billemont

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Oloron : trois ingénieures pour montrer aux lycéennes que tout estpossible

Marion Pierre, Véronique Labrucherie et Claire Demartini sont venues à la rencontre des élèves du lycéeJules Supervielle pour partager leur parcours et leur expérience de femme et d'ingénieur au sein du groupeSafran, dans le but de susciter des vocations.© Camille BillemontDans le cadre de la 4e journée nationale des Sciences de l'ingénieur au féminin, trois représentantes deSafran sont venues raconter leur parcours à des lycéennes.Article avec accès abonné : http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2016/11/25/oloron-trois-ingenieures-pour-montrer-aux-lyceennes-que-tout-est-possible,2074030.php


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Date : 26/11/2016Heure : 05:15:50Journaliste : Laurent Gentilhomme

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« On vous voit comme un ingénieur, pas une femme »Dans le cadre de la Journée nationale sciences de l'ingénieur au féminin, des ingénieures et élèvesingénieures ont rencontré des étudiantes du lycée Louis-Armand à Mulhouse.

« On vous voit comme un ingénieur, pas une femme »

Article avec accès abonné : http://www.lalsace.fr/actualite/2016/11/26/on-vous-voit-comme-un-ingenieur-pas-une-femme


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Date : 26/27 NOV 16


Page de l'article : p.18Journaliste : Camille Billemont

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Trois ingénieures pour montreraux lycéennes que tout est possibleDans le cadre de la 4e

journée nationale desSciences de l'ingénieur auféminin, troisreprésentantes de Safransont venues raconter leurparcours à des lycéennes.

Les dix élevés de premierescientifique, rejointes par sixélevés de terminale, écoutentavec beaucoup de sérieux lestrois femmes qui s exprimentdevant elles Petit a petit faceau dynamisme et aux nombreuses anecdotes de VeroniqueMarion et Claire, les jeunes fillesse détendent, posent des ques-tions, sourient La premiereedition des Sciences de l'inge-nieur au feminin au lyceeSupervielle d Oloron est objecti-vement un succes

Témoignages sans langue de boisLes ingénieures racontent

leurs parcours sans langue debois Marion Petit est honnête< Je ne voulais pas etre ingé-nieur Maîs apres la prepa, jesuis partie en ecole d'ingénieurj ai fait des stages dans I aero-nautique car j'aimais les avions,et je me suis retrouvée chezMessier ' » Même son de clochepour Veronique Labruchene,qui raconte comment elle achoisi l'Institut National desSciences Appliquees (INSA)« J y suis allee car ll y avait unesection musique et que c'étaitma passion II ne faut jamaislâcher ses passions, c'est important pour I equilibre ' » ClaireDemartim conclut « On fait desetudes maîs ll peut se passerplein de choses après, c'est aussiune question de rencontres »

Apres avoir parle des différen-tes formations possibles pourdevenir ingénieur, les trois mar-râmes ont explique leur metierau quotidien, en rappelant qu ilfaut être capable de relever des

Marion Pierre, Veronique Labruchene et Claire Demartim sont venues a la rencontre des élevés du lycee Jules-Supervielle pour partagerleur parcours et leur experience de femme et d ingénieur au sem du groupe Safran, dans le but de susciter des vocations, omnium LLIMUN i

«IL NE FAUT JAMAIS OUBLIERQUE VOUS ÊTES ÉGALES AUXHOMMES!»MARION PIERRE, INGÉNIEURE

defis au quotidien Claire a rappelé avec modestie « Quandj ai commence il ny a\ait pasd'ordinateur a Turbomeca Celafait 28 ans que j apprends tousles jours grâce a mon metier »

Ingénieur, un métier fémininLorsqu'une des élevés pose

une question sur l'égalité sala-riale, et après avoir rappelé quele groupe Safran a signe unaccord en ce sens, l'une desmarraines rappelle avec lucidite « II y a aussi un accord surI egalité face a la promotion,maîs dans les faits ll n'y a quedes hommes au comite direc-teur » Une autre hoche la tete« Les préjuges ont encore la viedure » Selon Veronique, lemetier d'ingénieur demande

des qualites qu on accolle sou-vent aux femmes « La rigueurest la pugnacité ainsi que lacreativite e est tres feminin, et ily a besoin de ces qualites dansce métier »

Et Manon de renchérir « Lestechniciennes ont tres bonneréputation, et de toute façon llne faut jamais oublier que vousêtes égales aux hommes ' Vousavez deux mains et un cerveau,si vous ne savez pas comment

faire réfléchissez, et vous trou-verez »

Un message féministe tout endélicatesse, avec des ambassadrices qui ont su prouverqu'ingénieur est un metier quise conjugue facilement au femi-nin, avec 25 % des élevés enecole d ingénieur qui sont desfemmes, ainsi que par exemple16 % des effectifs dans le groupeSafranCAMILLE BILLEMONT duran pp@pyrenees com

ZOOM« Elles bougent » grâce à des marraines motivéesC est Claire Demartim qui fait partie des marraines de I association « EllesBougent » qui est allee démarcher ses deux collègues pour intervenir avecelle au lycee Jules-Supervielle « Même si cela fait quatre ans que I asso-ciation existe e est la premiere fois qu on intervient a Oloron C est impor-tant d intervenir sur ce territoire qui est riche au niveau industriel » expli-que-t-elle Toutes les trois ont réfléchi a leur intervention afin de transmet-tre au mieux le metier qui est devenu leur passion « On s est organiséespour essayer de proposer des parcours et des secteurs différents et celanous a aussi permis de nous rencontrer et d apprendre a nous connaître ausein de I usine » Claire espère que d autres lycees participeront a I initia-tive I an prochain avec de nouvelles rencontres entre élevés et marraines

Date : 26/27 NOV 16


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Cesson-Sévigné - LiffréCesson-Sévigné

Les lycéennes découvrent les métiers scientifiquesLa journée nationale Les sciences de l'ingénieur au féminin se déroulait jeudi. 89 élèves du lycéeSévigné y participaient. Elles ont ainsi découvert les différentes filières scientifiques.

L'initiative

L'association Elles bougent et I Uniondes professeurs de sciences et techniques industrielles (UPSTI) organi-saient jeudi, une rencontre nationalepour les collégiennes et lycéennesAu lycee Sevigne, les jeunes filles enpremiere scientifique étaient nombreuses a assister a cette journée.

« C'est la troisieme fois que nousadhérons à cette initiative, expliquela proviseure adjointe, Caroline Lave-nant-Rohon Cette année, commel'an passé, les jeunes filles ont ré-pondu présent à 90 %. Cela montreleur intérêt pour ces filières scien-tifiques souvent méconnues, avecdes préjuges qui n'incitent pas tou-jours à poursuivre dans cette voie. »

20 % des ingénieurssont des femmes

ll faut savoir que seulement 20 % desngemeurs sont des femmes Lob-

jectif était donc de sensibiliser cesjeunes filles en recherche de leur fu-ture orientation. Sous forme de tableronde, dix intervenantes, des ingemeures, des étudiantes ou profes-seures scientifiques, étaient la pourtémoigner, echanger et susciter desvocations

Marine avait jusque-la quèlquesréticences « J'ai envie de deveniringénieur, d'autant que ces métiersrecherchent des femmes, c'est plu-tôt porteur. Maîs c'est un mondequ'on ne connaît pas. Cette journéeme permet de voir des femmes quiarrivent à concilier travail et famille,c'est plutôt rassurant. Elles nousinforment de leurs parcours, desecoles qui forment, suivant les sec-teurs scientifiques choisis. »

Se rassurer, avoir des conseils,

Les lycéennes en premiere scientifique du lycee Sevigne ont participe a la journee nationale Les sciences cle l'ingénieurau feminin

toutes ont pu prendre connaissancedes différentes professions et orienta-tions proposées Et comme Alexaneaffiner leur choix « Je veux être vé-térinaire, mais je m'intéresse aussi

• PiscineSamedi • bassin ludique de 11 h a 19 h

bassin sportif : 2 lignes de 13 h a 17h, 4 lignes de 17 h a 19 h Dimanche :bassins ludique et sportif de 9 ha 19 h.

à d'autres métiers. Aujourd'hui, j'aipu découvrir que travailler en labo-ratoire vétérinaire serait aussi inté-ressant. Cela pourrait être complé-mentaire. Avec les connaissances

Samedi 26, dimanche 27 novembre,2, esplanade de l'Hôtel-de-VilleContact 02998352 10.

des médicaments, afin de mieuxsoigner les animaux, c'est un plus.Je vois ainsi plus concrètementmon projet et cela me rassure. »

• PiscineBassin ludique.Vendredi 25 novembre, 12 h a18 h 45, 2 esplanade de l'Hôtel-de-Ville Contact • 02 99 83 52 10

Date : 26/27 NOV 16


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Les sciences de l'ingénieur au féminin, à Dupuy

J.H

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Les jeunes lycéennes sont venues s'intéresser au métier d'ingénieur À doite,Isabelle Hanoire, chef de projet

Dans le cadre des 4es journées natio-nales « Les sciences de l'ingénieurau féminin », cinq mgénieures sontvenues parler de leurs métiers, jeudi,aux élevés de premières du lycée Du-puy-de-Lôme.

« Cette réunion a pour but derendre plus visible le domaine del'industrie aux filles, encore sous-re-présentées, explique François Collinenseignant. Ces personnes ont pré-sente leurs parcours d'ingénieuressous forme d'ateliers de discus-sion. Il faut mettre ces métiers trèstechniques, mais aussi très pas-sionnants, dans le champ de visionde nos lycéennes. »

Isabelle Hanoire, mgenieure chefde projet dans une entreprise deGuidel, a notamment présente son

parcours aux jeunes filles présentes.« Ces métiers manquent de repré-sentation féminine, témoigne-t-elle.Les filles sont sûrement moinsproches de la technique que lesgarçons, mais c'est surtout une mé-connaissance de ces métiers. Jedois avouer que ce n'est pas tou-jours facile d'être reconnue à l'égalde l'homme et de s'imposer dansun milieu essentiellement mascu-lin. Mes décisions ne sont pas tou-jours acceptées d'emblée. Je suisobligée d'argumenter davantage ».Dans les écoles d'ingénieur, lesfemmes représentent à peine 28 %des étudiants en 2015. Et moins d'unquart des ingénieurs en France sontdes femmes...

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Languidic

Ingénieur ou technicien, c'est aussi pour les filles !Pendant la semaine Ecole-Entreprise, dont l'objectif est de valoriser les échanges entre lesentreprises et le milieu scolaire, les métiers d'ingenieure ou technicienne ont été présentés.

Ce jeudi était organisée la rencontreannuelle de 15 000 collégiennes etlycéennes et de 1 DOO technicienneset mgenieures dans 175 etablisse-ments de France métropolitaine etd'Outre-Mer, sous le Haut patronagedu ministere de l'Education natio-nale de l'Enseignement supérieur etde la recherche

Cette 4e edition a eu lieu pendantla semaine Ecole-Entreprise et étaitorganisée par Elles bougent et sonreseau de marraines et par I Uniondes professeurs de sciences et tech-niques industrielles, et son reseaud'enseignants dans les collèges etles lycées.

Lin enjeu détaille

Le metier d'ingénieur est porteurd'emplois et de tres belles carrièresmaîs seulement 1 ingénieur sur 5est une femme Les industriels, pourmieux innover, souhaitent varierles profils dans leurs equipes et lesfemmes sont les bienvenues.

Seulement 12 % environ des ba-chelières de la filiere S poursuiventdes etudes d ingénieurs, alorsquelles sont, a parite avec leurs ho-mologues masculins, en terminale Set qu ils sont 4 fois plus nombreux arejoindre ces mêmes filieres.

Témoigner, échangeret susciter des vocations

C'était l'objectif de cette journee Au

Sylvie Malherbe et Sandrine Rivoallan ont presente leur parcours aux e/eves de 3e qui doivent reflechir a leur orientationcette annee

college Saint-Aubin, filles de 3e ontassiste a la projection d'un film docu-mentaire montrant les metiers possibles et le regard des autres sur cesfemmes pratiquant ces metiers. EnFrance, il y a 21 % de femmes ingemeurs

Les élevés ont ensuite échangeavec les deux intervenantes qui ontpresente leur cursus et leur metier.

Deux parcours,deux exemples

Sylvie Malherbe est aujourd'hui res-ponsable sécurité et sante au travel

au Departement 56. Elle a suivi unefiliere scientifique : « Maths et phy-sique. J'ai poursuivi par un DUTbiologie et biochimie, qui était trèsintéressant. Je n'avais pas envie derester exclue dè la filière technique,j'ai poursuivi par un master innova-tion industrielle, pour ouvrir monhorizon. Il ne faut pas se fermer lesportes. Il est possible de changerde secteur d'activités. Il y a beau-coup de metiers de techniciens, il ya plein de femmes dans l'industrieà différents postes »

Autre parcours pour Sandrine Ri-

voallan ancienne eleve du collegeElle est ingénieur depuis 2010, aOGMS Lorient, chargée d'étudestechnologique et électronique.« Après la 3e, j'ai passé le concoursà l'arsenal pour suivre une forma-tion d'électricienne. J'ai ensuitepasse mon bac en candidat libre,obtenu un DUT en genie indus-triel et maintenance et j'ai suivi desetudes d'ingénieur par alternance,à Brest. Il y a toujours des moyensd'obtenir des diplômes ».

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Page de l'article : p.15Journaliste : Camille Billemont

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Trois ingénieures pour montreraux lycéennes que tout est possibleDans le cadre de la 4e

journée nationale desSciences de l'ingénieur auféminin, troisreprésentantes de Safransont venues raconter leurparcours à des lycéennes.

Les dix élèves de premièrescientifique, rejointes par sixélèves de terminale, écoutentavec beaucoup de sérieux lestrois femmes qui s'exprimentdevant elles. Petit à petit, faceau dynamisme et aux nombreu-ses anecdotes de Véronique,Marion et Claire, les jeunes fillesse détendent, posent des ques-tions, sourient... La premièreédition des Sciences de l'ingé-nieur au féminin au lycéeSupervielle d'Oloron est objecti-vement un succès.

Témoignages sans langue de boisLes ingénieures racontent

leurs parcours sans langue debois. Marion Petit est honnête :« Je ne voulais pas être ingé-nieur. Mais après la prépa, jesuis partie en école d'ingénieur,j'ai fait des stages dans l'aéro-nautique car j'aimais les avions,et je me suis retrouvée chezMessier ! ». Même son de clochepour Véronique Labrucherie,qui raconte comment elle achoisi l'Institut National desSciences Appliquées (INSA) :« J'y suis allée car il y avait unesection musique et que c'étaitma passion. Il ne faut jamaislâcher ses passions, c'est impor-tant pour l'équilibre ! ». ClaireDemartmi conclut : « On fait desétudes, mais il peut se passerplein de choses après, c'est aussiune question de rencontres...».

Après avoir parlé des différen-tes formations possibles pourdevenir ingénieur, les trois mar-raines ont expliqué leur métierau quotidien, en rappelant qu'ilfaut être capable de relever des

Marion Pierre, Véronique Labrucherie et Claire Demartini sont venues à la rencontre des élèves du lycée Jules-Supervielle pour partagerleur parcours et leur expérience de femme et d'ingénieur au sein du groupe Safran, dans le but de susciter des vocations. OOMLLEBIHEMONT

«IL NE FAUT JAMAIS OUBLIERQUE VOUS ÊTES ÉGALES AUXHOMMES!»MARION PIERRE, INGÉNIEURE

défis au quotidien. Claire a rap-pelé avec modestie : « Quandj'ai commencé il n'y avait pasd'ordinateur à Turbomeca. Celafait 28 ans que j'apprends tousles jours grâce à mon métier ».

Ingénieur, un métier fémininLorsqu'une des élèves pose

une question sur l'égalité sala-riale, et après avoir rappelé quele groupe Safran a signé unaccord en ce sens, l'une desmarraines rappelle avec luci-dité : « II y a aussi un accord surl'égalité face à la promotion,mais dans les faits, il n'y a quedes hommes au comité direc-teur ». Une autre hoche la tête :« Les préjugés ont encore la viedure ». Selon Véronique, lemétier d'ingénieur demande

des qualités qu'on accolle sou-vent aux femmes : « La rigueurest la pugnacité, ainsi que lacréativité, c'est très féminin, et ily a besoin de ces qualités dansce métier».

Et Marion de renchérir : « Lestechniciennes ont très bonneréputation, et de toute façon ilne faut jamais oublier que vousêtes égales aux hommes ! Vousavez deux mains et un cerveau,si vous ne savez pas comment

faire, réfléchissez, et vous trou-verez ».

Un message féministe tout endélicatesse, avec des ambassa-drices qui ont su prouverqu'ingénieur est un métier quise conjugue facilement au fémi-nin, avec 25 % des élèves enécole d'ingénieur qui sont desfemmes, ainsi que, par exemple,16 % des effectifs dans le groupeSafran.CAMILLE BILLEMONT duran pp@pyrenees com

ZOOMii Elles bougent » grâce à des marraines motivéesC'est Claire Demartini, qui fait partie des marraines de l'association « EllesBougent », qui est allée démarcher ses deux collègues pour intervenir avecelle au lycée Jules-Supervielle « Même si cela fait quatre ans que l'asso-ciation existe c'est la première fois qu'on intervient à Oloron. C'est impor-tant d'intervenir sur ce territoire qui est riche au niveau industriel », expli-que-t-elle. Toutes les trois ont réfléchi à leur intervention, afin de transmet-tre au mieux le métier qui est devenu leur passion . « On s'est organiséespour essayer de proposer des parcours et des secteurs différents, et celanous a aussi permis de nous rencontrer et d'apprendre à nous connaître ausein de l'usine » Claire espère que d autres lycées participeront à l'initia-tive I an prochain avec de nouvelles rencontres entre élèves et marraines.

Date : 26/27 NOV 16


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Saint-Quay-Portrieux

Pascale Fer parle de l'ingénieure

Trois questions à...

Pascale Fer, ingénieur chez Orange.

Vous êtes intervenuepour la Journée des sciencesde l'ingénieur au féminin.Comment les collégiennesont accueilli vos propos ?

Jeudi, j'ai rencontre les élevés au col-lège Camille-Claudel. En 3e, leursréactions sont très diverses, pourne pas dire spécifiques. Les ques-tions posées sont d'une extrême va-riété, oscillant entre la difficulté desétudes, le travail au quotidien, monvécu professionnel... Elles touchentaussi à la riche diversite des metiersd'ingénieur et aux parcours pour y ar-river. Ces jeunes filles ont besoin deprendre confiance en elles et dansleur potentiel. L'échange chasse lapeur de l'inconnu. Elles découvrentavec intérêt que les parcours ne sontpas forcément linéaires, que l'onpeut profiter d'un échec pour rebon-dir. Les élèves ne doivent pas « se bri-der », maîs se disposer à saisir toutesles opportunités et faire leurs choixen toute conscience.

Quels sont les motifsqui vous ont poussé à participerà cette action ?

Lin constat : un ingénieur sur cinq

est une femme. Quand j'étais jeune,je voulais être capitaine de navire. Onm'a convaincu : ce n'était pas uneprofession pour les femmes... J'y airenonce. D'autres envies ont éte re-frénées par cette même objection.Je trouvais injuste de ne pas pou-voir prendre la voie de mon choix.Même le métier d'ingénieur était dé-crit comme un milieu très masculin.On me suggérait plutôt des métiersde professeur pour « concilier un bonniveau d'étude et vie familiale ». Lanature de mon caractère m'a déter-minée à poursuivre.

Participez-vous à d'autresactions de même nature ?

Mes collègues participent à l'organi-sation du challenge Ada Lovelace,organisé par le lycée Le Dantec, deLannion. Ce concours de program-mation est destiné aux lycéennes.

Date : 26/27 NOV 16


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Femmes ingénieurs : comment vaincre les hésitationsLe lycée Washmgton-Touchard aparticipé à la journée des Sciencesde l'Ingénieur au féminin, vendredi.Objectif ? Vaincre les hésitationsdes lycéennes à suivre des étudesd'ingénieur. « Je suis ingénieure,je consacre certes beaucoup detemps à mon travail, mais je suisaussi agricultrice, je fais de la moto,c'est dire qu'on peut être une jeunefemme et exercer des métiersqu'on veut », témoigne Maryse Phil-lips, à quelque 70 lycéennes venuesl'ecouter.

Six autres femmes ingénieurs etquatre étudiantes sont venues expli-quer aux lycéennes leur métier autourde tables rondes. « Les jeunes fillesne suivent pas de filière d'ingénieurpar méconnaissance », explique Flo-rence Foubert, enseignante d'anglaiset chargée de la mixite au lycée Tou-chard. Pour autant, il est constaté

Une ingénieure qui explique sonmetier à des filles en terminale aulycée Touchard

une timide progression de jeunesfilles qui suivent des études d'mgé-nieure. « ll y a quèlques années,elles n'étaient que deux ou troiset cette année, ce sont huit filles »,précise la chargée de la mixité.

Date : 26/27 NOV 16


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Au ray

Peu de femmes veulent devenir ingénieuresPeu de femmes s'investissent dans les filières scientifiques.Seule une sur dix travaille dans l'informatique.

De gauche a droite Sandra Bevilacqua, assistante technique ingénieur ; MaelleLapous, étudiante cycle ingénieur en alternance , Anne-Laure Le Fol, mgénieure ,Claire Ventouroux, mgénieure et Violaine Le Bas, proviseure adjointe.

L'idée

Le lycee Benjamin-Franklin a parti-cipé jeudi à l'opération Sciences del'ingénieur au féminin en accueillantquatre jeunes femmes. Des femmesingénieures venus rencontrer cin-quante élèves de seconde sur leurfu-tur métier avec pour objectif de fairebouger les lignes.

En choisissant la filière scientifique,Claire Vantouroux, Anne-Laure LeFol, ingénieures ; Maelle Lapous, étu-diante cycle ingénieur en alternanceet Sandra Bevilacqua, étudiante as-sistant technique ingénieur sont enquelque sorte l'exception.

Le pourcentage de filles dans lesecoles d'mgénieures est de 27 %.« C'est la 4e édition d'une opérationqui se déroule dans les collèges etlycées s'adressant aux jeunes fillespour faire la promotion du métier

d'ingénieur et plus largement desmétiers scientifiques », explique laproviseure adjointe Violaine Le Bas.

La proviseure adjointe a mis l'ac-cent sur la faible proportion dejeunes filles faisant le choix des mé-tiers scientifiques pour devenir ingé-nieures, chercheuse, technicienne.

« Cela se vérifie en particulierdans l'informatique. En grandepartie cela tient à des stéréotypesancrés depuis l'enfance, tels lescodes couleur, la littérature jeu-nesse... Sept filles sur dix consi-dèrent qu'elles n'ont pas la capa-cité. » Apres le visionnage d'une vi-déo de présentation de l'opération,cinq groupes d'une dizaine d'élèvesréunis sous formes de tables rondesont échangé avec Claire, Anne-Laure, Maelle et Sandra qui ont sur-monté les a priori et ont franchi le paspour devenir mgénieure au féminin.

Date : 27 NOV 16


Page de l'article : p.14Journaliste : Corine Dantard

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Susciter des vocations chez les jeunes filles

Enseignement Le lycée Buisson participait à la journée "Les sciences de l'ingénieur au féminin"

Corine DANTARDCoublevie

Susciter des vocations lors de la journée" SI au féminin" aulycée Ferdinand Buisson

La 4e édition de la journée nationale "Les sciences del'ingénieur au féminin", portée par les associations UPSTIet Elles bougent, a eu lieu vendredi dans de nombreuxcollèges et lycées en France.

L'objectif de cette journée exceptionnelle était desensibiliser les jeunes collégiennes et lycéennes auxcarrières scientifiques et technologiques au travers destémoignages d'ingénieures, de techniciennes et d'élèvesingénieures.

Dans le cadre de cette journée, le lycée Ferdinand-Buissona organisé une conférence de 14 à 17 heures au sein del'établissement. En présence d'un groupe d'enseignants, 39jeunes filles de seconde, huit de terminales et 32 élèvesdu lycée Pierre-Beghin étaient présentes pour écoutersept intervenantes venues de différentes entreprisesde la région (General Electric, CEA Grenoble, Orange,Schneider...).

Ces dernières leur ont parlé de leur travail, de leur parcoursprofessionnel et de la place de la femme dans les métiersde l'industrie.

Tables rondes en comité restreint

Après un message vidéo de la ministre de l'Educationnationale, Najat Vallaud-Belkacem, les marraines se sontprésentées, puis neuf tables rondes se sont formées, encomité restreint, pour que chaque élève puisse s'exprimer

et poser des questions. Les élèves retiendront, entre autres,du discours des marraines que dans une vie on accomplitplusieurs missions au sein de différentes entreprises etqu'il faut être flexible et mobile.

Enfin, des statistiques d'orientation ont été présentéesavant un débriefing et un goûter pour remercier les élèveset les intervenants du temps accordé lors de l'échange.

Cette 4e édition de la journée nationale "Les sciencesde l'ingénieur au féminin" aura peut-être suscité desvocations d'ingénieurs parmi les élèves présentes.

COURRIER PICARDDate : 27 NOV 16Pays : France


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a savoir

C'est la quatrième édition de la Journée nationale des sciences de l'ingénieur au féminin. Le lycéeMireille-Grenet y participait pour la troisième fois. L'événement est organisé par les associations EllesBougent et par l'Union des professeurs de sciences et techniques industrielles (UPSTI). Dans l'académied'Amiens, deux établissements étaient inscrits pour cette édition 2016 : le lycée Mireile-Grenet, à Compiègne,et le lycée Marie-Curie de Nogent-sur-Oise.

Date : 27/11/2016Heure : 04:45:48Journaliste : Charles DROUILLY

www.ouest-france.frPays : FranceDynamisme : 0

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Ingénieur se conjugue aussi au féminin

Moins d'un tiers des ingénieurs sont des femmes. | Archives Ouest-France

Dans le cadre de la Journée nationale des « Sciences de l'Ingénieur au Féminin », au lycée Jean-Guéhenno,120 lycéennes ont été sensibilisées aux formations d'ingénieur, hier.

Pourquoi ? Comment ?

Qu'est-ce que la journée nationale des « Sciences de l'Ingénieur au Féminin » ?

Selon une enquête d'IESF (Ingénieurs et scientifiques de France) menée en mars 2014, la proportion defilles diplômées par les écoles d'ingénieurs en France était de 28 % en 2013. Un chiffre en progression maistoujours insuffisant pour les associations « Elles bougent » et UPSTI (Union des professeurs de sciences ettechniques industrielles), qui, depuis 2013, ont mis en place la Journée nationale « Les Sciences de l'Ingénieurau Féminin ». Objectif : « Sensibiliser les jeunes aux carrières scientifiques et technologiques ; informer sur lavariété des métiers ; susciter des vocations pour des métiers d'avenir dans l'industrie et donner de l'ambition àces parcours professionnels. » Avec 46 établissements scolaires qui participaient à cette journée, la Bretagneest particulièrement impliquée dans ce dispositif.

À Fougères, comment cela s'est-il déroulé ?

Hier, de 10 h à 12 hn au lycée Jean-Guéhenno, 120 élèves des classes de seconde ont rencontré cinqintervenants. « Cela fait deux ans que nous participons à cette journée. C'est une bonne initiative etnous recommencerons l'an prochain », souligne Philippe Cantin, proviseur adjoint de l'établissement. Troisingénieures des entreprises Orange, Zeiss et Atos étaient présentes ainsi que deux élèves qui suivent uneformation « réseaux télécoms » en apprentissage. « À travers les échanges, l'idée était de conforter leslycéennes dans leur choix de s'orienter vers une carrière scientifique », confie le proviseur adjoint.

Quelles sont les appréhensions des lycéennes vis-à-vis du parcours d'ingénieur ?


http://www.ouest-france.fr

http://www.ouest-france.fr/bretagne/fougeres-35300/ingenieur-se-conjugue-aussi-au-feminin-4639182

Date : 27/11/2016Heure : 04:45:48Journaliste : Charles DROUILLY


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Si la différence de salaire entre les hommes et les femmes est pointée du doigt par l'association françaisedes femmes ingénieures, les lycéennes fougeraises avaient d'autres questions en tête. « Est-ce difficile d'êtreune femme dans une entreprise où il y a majoritairement des hommes ? » « Est-ce compliqué, quand on estingénieur de commander des hommes ? » « Quelles sont les formations pour parvenir au statut d'ingénieur ?» Globalement, à Fougères, cette demi-journée aura permis de mettre à mal des préjugés et de montrer «qu'un ingénieur, ce n'est pas un homme en blouse blanche avec des lunettes. C'est une formation qui ouvrede nombreuses portes et où les femmes sont les bienvenues », résume Philippe Cantin.

Au lycée Jean-Guéhenno, quel impact ?

Avec 11 élèves sur 32 inscrites en première SSI (scientifique avec sciences de l'ingénieur) l'établissementest légèrement au-dessus de la moyenne nationale. Avec ce type d'initiative, il compte bien influencer sur lespossibilités d'orientation et grossir les rangs féminins vers les filières de l'ingénierie dans les années à venir. «C'est toujours bien de rappeler, même aujourd'hui, que l'on peut être ingénieurE », conclut le proviseur adjoint.



http://www.ouest-france.fr/bretagne/fougeres-35300/ingenieur-se-conjugue-aussi-au-feminin-4639182

Date : 27/11/2016Heure : 04:48:53Journaliste : Nadine PARIS


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Pour que les filles s'adonnent aux sciences

Les collégiennes et lycéennes face à des femmes qui ont choisi des études scientifiques. |

Hier, Les Rimains organisaient la 2e édition des Sciences de l'ingénieur au féminin, pour que les jeunes filless'y intéressent.

L'initiative

Elles s'appellent Anna, Élisabeth... Certaines sont étudiantes, d'autres travaillent depuis plusieurs années.Mais toutes ont choisi des études scientifiques. Hier, face à une soixantaine de collégiennes et lycéennesde la région, elles ont expliqué leur choix, raconté leur parcours. Pour que d'autres jeunes filles suivent cesvoies, encore très masculines.

« Sur une promotion de 108 élèves, il n'y a que dix filles, souligne Élisabeth, en IUT Génie mécanique etproductique (GMP), à Rennes. C ela se passe bien. Ils ont les mêmes angoisses, les mêmes ambitions quenous... Mais ils restent des garçons », sourit-elle.

Au bout de leur rêve

Anna, qui a créé l'Atelier digital, à Saint-Malo, a raconté son parcours, qui l'a mené d'une terminale S à lacréation de son entreprise de cours d'informatique à domicile, en passant par une classe prépa, une écoled'ingénieurs. « J'ai appris à apprendre, à être structuré et méthodique. Cela permet de s'adapter à n'importequel public. »



http://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400/pour-que-les-filles-s-adonnent-aux-sciences-4639290

Date : 27/11/2016Heure : 04:48:53Journaliste : Nadine PARIS


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Cette 2 e édition a rassemblé, hier, au lycée des Rimains, une soixantaine de collégiennes et lycéennes deseconde, de la région. « Ces témoignages ont pour objectif de leur donner l'envie d'aller jusqu'au bout de leurrêve », explique Catherine Hardy, enseignante en mathématiques.

« Les jeunes filles portent de plus en plus d'intérêt aux sciences. Cet événement national était l'occasion pournous, qui proposons des formations scientifiques et technologiques (filières STI2D et S-SI), d'accompagnercet élan. »



http://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400/pour-que-les-filles-s-adonnent-aux-sciences-4639290

Date : 27/11/2016Heure : 21:36:26


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Josselin. Les ingénieures rassurent les collégiennes sur leur avenir

Cette journée est organisée par Elles Bougent et des techniciennes et ingénieures et par l'UPSTI et sonréseau de professeurs (es) dans les collèges et les lycées.

Deux Rennaises ont témoigné dans le cadre de la journée internationale « Les sciences de l’ingénieur auféminin », auprès des jeunes filles de 4e et 3e du collège Max-Jacob.

« Pour se projeter dans un métier ou une carrière, les rencontres avec des femmes en poste sontdéterminantes » , disent les Rennaises qui étaient à Josselin, jeudi dernier.

Les collégiennes s’interrogent sur leur orientation et connaissent mal les métiers. Les ingénieures ont présentéleur parcours, leurs études, comment faire coïncider vie professionnelle et familiale.

« Nous avons mis en place des ateliers pour qu’elles écrivent leurs questions et pour leur donner envie depoursuivre des études le plus longtemps possible. »

Elles ont rappelé que tous les métiers sont ouverts aux garçons comme aux filles. « Les femmes sont tout à faitcapables d’assurer les métiers scientifiques au même titre que les hommes », encourage Floriane Blusseau.



http://www.ouest-france.fr/bretagne/ploermel-56800/josselin-les-ingenieures-rassurent-les-collegiennes-sur-leur-avenir-4640732

Date : 28 NOV 16


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JosselinIngénieures, elles encouragent les collégiennes

Deux Rennaises ont témoigné dans le cadre de la journée internationale « Les sciencesde l'ingénieur au féminin », auprès des jeunes filles de 4e et 3e du collège Max-Jacob.

« Pour se projeter dans un métierou une carrière, les rencontres avecdes femmes en poste sont détermi-nantes », disent les Rennaises quétaient à Josselin, jeudi demier.

Les collégiennes s'interrogent sureur orientation et connaissent malles metiers Les mgenieures ont presente leur parcours, leurs etudes,comment faire coïncider vie profes-sionnelle et familiale « Nous avonsmis en place des ateliers pourqu'elles écrivent leurs questionset pour leur donner envie de pour-suivre des etudes le plus longtempspossible. »

Elles ont rappelé que tous lesmetiers sont ouverts aux garçonscomme aux filles « Les femmessont tout à fait capables d'assurerles métiers scientifiques au mêmetitre que les hommes », encourageFloriane Blusseau

Cette journee était organisée par Elles Bougent et son reseau de marraineset par l'UPSTI et son reseau de professeurs (es) des collèges et lycees.

Date : 28 NOV 16


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Q la cité scolaire dè bri ey

Sciences de Tingénieur(e):foncez les filles!

Elles sont venues casser lesclichés et faire évoluer les men-talités Jeudi, à la cité scolairede Briey, cinq femmes mgé-nieures ont rencontre des jeu-nes filles de l'établissement,de la 3e à la terminale, pourleur parler de leur carrière.

« Leur montrerque c'est possible »

« Dans ma discipline, j'aitrès peu de filles, regretteJérôme Bondoni, professeur ensciences de l'ingénierie. // fautleur montrer que c'est possi-ble »

En France, si la filière scienti-fique compte en moyenne50 % de filles, elles ne sontplus que 12 % à entrer enécoles d'ingénieurs. Et au final,seul un ingénieur sur cinq estune femme

C'est pour remédier à celaque l'association Elles bougentet l'Upsti (Union des profes-seurs de sciences et techni-ques industrielles) ont orga-nisé, partout dans le pays, cegenre d'interventions. Appeléela journée des Sciences del'ingénieur au féminin, c'est la4e fois que cette initiative estorganisée

Les intervenantes sont reve-nues sur leur parcours maîsaussi sur le rôle de la femme

Les ingén/eures ont pu donner des conseils aux jeunes fillesqui voudraient suivre la même voie qu'elles. Photo Fred LECOCQ

dans l'entreprise Elles ont éga-lement évoqué la pression etles remarques qu'elles devai-ent subir dans ce monde

d'hommes « Les choses se sontaméliorées ll y a eu de grosprogrès, note Caroline Coupi-not, mgénieure chez Arcelor-

Mittal En tant que salariée,nous avons un vrai rôle a jouerpour faire évoluer la situa-tion »

Date : 28 NOV 16


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GrâcesCollège Albert-Camus.Le métier d'ingénieur présente

Hannah Issermann, concepteur développeur Céline Nicolas, expert informatiqueet reseau et Emmanuelle Delfour développeur informatique sont intervenuesauprès des élevés de y pouf parler de leur formation de leur metier et inciter lesfilles a ne pas hésiter a suivre ces filieres et metiers qui ne sont pas destines qu auxhommes

laudi, trois jeunes femmes mgemeurs dans le milieu informatiquetravaillant chez Orange a Lanmonsont intervenues auprès des élevésde y pour leur parler de leurmetierCette rencontre avait lieu dans lecadre de la journee nationale « LesSciences de l'ingénieur au femimn » coorgamsees par Ellesbougent et l'UPSTI, sous le patronage du ministere de l'Educationnationale, de l'enseignement et dela recherche

Susciter des vocationsLe metier d'ingénieur est porteurd'emplois et offre de tres belles carrieres Maîs seulement un mgemeur sur cinq est une femme etseulement 12 % environ des bâchelieres de la filiere S poursuivent des

etudes d'ingénieurs, alors qu'a pante avec leurs homologues masculms en Terminale S, ils sont quatrefois plus nombreux a rejoindre cesmêmes filieres D'une manieregenerale, les jeunes filles boudentles filieres scientifiques et techniques de l'enseignement superieur, par méconnaissance clesmetiers auxquelles ces filieresmènent les stéréotypes ont la viedure et les jeunes filles s'autocensurent encore souvent mconsciemment L'objectif de cette journeeétait de témoigner, echanger et susciter des vocationsLes collégiens ont tout d'abordvisionne le film « Comment lesSciences de l'Ingénieur repondentaux grands enjeux de demain ? »Les trois ingénieurs ont ensuite presente leurs parcours et leur metier

Date : 28 NOV 16


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GuilersSciences. Des collégiennes sensibilisées

Pour la seconde annee consécutive, le college Crocs ar Pennoc participait a la journee « Sciences de I ingénieur au feminin

Jeudi, le college Croas ar Pennoc asouhaite, a l'instar de 150 autresetablissements scolaires, participera la quatrieme edition de« Sciences de l'ingénieur au femimn », initiée par le ministere del'Education nationaleJeudi dernier, huit intervenantes,mgenieures, chercheuses et etudiantes, ont ete accueillies par MFroum, professeur de physique chimie du college et les 40 colle

giennes en classe de troisieme

TémoignagesDes tables rondes ont permis auxleunes filles de poser leurs queslions a chacune des « marraines »de cette |ournee Ob|ectif sensibiliser les collégiennes aux carrièresscientifiques et technologiques autravers de leurs temoignages, enapportant des informations sur lavariete des metiers et des parcours

de formation menant aux emploisd'ingénieur et susciter des vocalions pour des metiers d'avenirdans l'industrieCe dispositif participe également audeveloppement des competencespropres a la construction du proietd'orientation de chaque eleve et al'enrichissement de son parcours« avenir »L'apresmidi, les échanges se sontpoursuivis autour d'un goûter

Date : 28 NOV 16


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tours

la chambrerie

L'association Elles bougent à VaucansonJ l y a trop peu de femmes

dans l'ingénierie et dans lesformations scientifiques !L'association Elles Bougentcompte bien tout mettre enœuvre pour faire changer lesmentalités. A l'occasion de laquatrième édition de la Jour-née nationale des sciences del'ingénieur au féminin, unequinzaine de marraines de l'as-sociation, étudiantes, techni-ciennes ou ingénieures, sontvenues témoigner auprès deslycéennes de Vaucanson.Marielle Pécot, enseignantedes sciences de l'ingénieur, ré-férente mixité, et DominiqueCoiffeteau, réfèrent travauxtechnologiques, ont mis enplace cette action de sensibili-sation, regrettant qu'il y aittrop peu de filles dans les fi-lières techniques et scienti-fiques. Marianne Pautrot-Da-vid, conseillère d'orientation, aencouragé les jeunes filles à nepas s'autocensurer. « Les filles

Elles bougent, et elles souhaitent faire naître des vocations.

qui choisissent des filières ma- aux femmes, sont un atout pourjoritairement masculines réus-sissent mieux. Dans ces filièressélectives, les évolutions de car-rière sont plus fréquentes.L'écoute, la minutie, l'efficacité,la rigueur, qualités reconnues

les entreprises. Venez écrire lefutur ! »Les témoignages des interve-nantes, aux parcours très diffé-rents, sont convergents :« Nous ne sommes pas nom-

breuses, alors, nous sommesconsidérées comme des perlesrares, on a notre place, c'estchouette, les sciences. » « N'hé-sitez pas, les écoles d'ingénieurvous sont largement ouvertes. »Les cursus multiples de cesjeunes femmes ingénieures dé-montrent que les voies profes-sionnelles sont parfois mou-vantes. « On a le droit dechoisir. Changer d'avis, ce n'estpas un échec. » Aux lycéennesqui semblent avoir une imagetrès floue de l'ingénieur, il aété rappelé qu'ingénieur c'estun titre, mais que la panopliede métiers est très diversifiée.En conclusion, Stéphane Blar-dat, proviseur, a espéré que« ces présentations serontsource de questionnement, deréflexion sur l'orientation et surla place des femmes dans la so-ciété. »

Site Internet : ellesbougent.com

Date : 28 NOV 16


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Au collège, les nouvelles filières ouvertes aux f illesMatignon — À l'occasion de la journée sur « les sciences de l'ingénieur au féminin », les fillesde la classe de 3e du collège Paul-Sébillot ont rencontre des étudiantes de l'IUT de Saint-Malo.

A l'occasion de la Journée natio-nale programmée jeudi dernier, surle thème « les sciences de l'inge-nieur au feminin », Marion Fohcheret Marie Samson, étudiantes en reseau et télécommunication a l'IUTde Saint Malo, ont répondu a I invitation de Mohamed Mouquere, princi-pal, et d'Annaick Grouazel, referenteegalite filles-garçons au sem du col-lège, pour une rencontre auprès desjeunes filles des classes de 3e

L'ambition de cette initiative étaitune sensibilisation aux metiers de'ingénierie « Les filles réussissentmieux dans les études que les gar-çons, puisque 74,4 % des filles pour63,9 % des garçons passent en se-conde générale et l'on constateque, par la suite, les filles se dé-tournent trop souvent des carrièresscientifiques et techniques », fait remarquer, à cette occasion, AnnaickGrouazel

Des carrières scientifiquesouvertes

Cette rencontre avait donc pour am-bition de prouver que ces metierss'adressaient tout aussi bien aux

Les filles des classes de 3e découvrent de nouvelles opportunités de carriere

filles qu'aux garçons Apres avoirévoque les préjugés qui existent,les deux étudiantes de l'IUT ont sutransmettre leur enthousiasme pourla filiere qu'elles ont choisie. « Noussommes tres heureuses dans uneclasse composee de vingt-six gar-çons pour huit filles dans la filièrealternance et de quatre filles pourquarante garçons dans la formation

initiale », font elles remarquerAprès un échange sur la théma-

tique des metiers, le debat s'estélargi sur le quotidien et l'avenir desunes et des autres.

« C'est bien que ce debat existeet il faut que les filles l'entendent »,note pour sa part, Orlane Chair,eleve de 3e B, alors que d'autres re-grettent que cette intervention arrive

trop tard pour modifier leur lieu destage d observation.

Toutes se sont dites intéresséespar la decouverte de nouveaux metiers. Cette journee était organiséepar l'intermédiaire de lassociationElles bougent, ainsi que par I UPSTI(association dédiée a l'informationsur les sciences de l'ingénieur et del'informatique)

NICE MATINDate : 28 NOV 16Pays : France


Journaliste : A. L.

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Nice

Linternat remis à neufau lycée des EucalyptusLe bâtiment, restauré par le conseil régional, vient d'être inauguré et profite à 148 élèves

U n cocon neuf pour seconcentrer sur les étu-des L'internat du

lycée des Eucalyptus, flam-bant neuf apres sa restaura-tion a été inauguré jeudi Mon-tant des travaux 4,25 millionsd'euros, financés par le con-seil régional, dans le cadred'une plus large opération deréhabilitation-extension dulycée, dont le coût totals'élève à 47 millions d'eurosLe président de la régionPaca, Christian Estrosi, s'estdit -convaincu dc l'influenceque peut avoir le logement surla réussite scolaire »Hervé Beauvais, proviseur del'établissement s'est égale-ment réjoui des «conditionsexceptionnelles en termes deconfort et de qualité dontvont profiter les 148 élèvesinternes, répartis en 40 cham-bres Au-delà du coup de fraî-cheur donne aux murs, leslieux ont également été re- Caëtan dispose enfin d'un lit adapté à sa (grande) taille. (Photo Cyril Dodergny)

pensés pour améliorer lesconditions de travail bureauxindividuels, salles d'étudespour petits groupes

Autrefois peupléd'insectesTout sourire, Gaetan Dumon-teil voit défiler les officielsdans sa nouvelle chambreL'élevé en terminale bac proSystèmes électroniques nu-mériques se souvient d'un bâ-timent "insalubre", peuplé«d'insectes», où les lits étaient-trop petits" sourit ce grandgaillard haut de plus de 2 mè-tres iChristian Estrosi a insisté surl'importance accordée aulycée des Eucalyptus et a ex-horté les élèves, dont la quasi-totalité des 1800 jeunes sonttournés vers les sciences del'ingénieur à opter «pour les fi-lières industrielles plutôt quepour les illusions de la finance"

Le secteur industriel est aussi féminin« // est possible d'être unefemme est de travailler dans l'mdusine » Herve Beauvais, proviseurdu lycee les Eucalyptus,résume le message a transmettreau fil des 3es « Sciences de l'ingemeur (Sl) au feminin », operationqui s'est déroulée jeudi, enmarge de l'inauguration de TmternatLes chiffres le disent, le domainereste un territoire masculin15 % de filles sur l'ensemble des1800 lycéens des Eucalyptus oula quasi totalité des filieres - ge

nerales, professionnelles outechnologiques - sont tournéesvers les Sl «La même proportionque la moyenne nationale », seIon le proviseurDix professionnelles du secteur,baptisées « marraines » pour Toccasion, étaient invitées a venirtémoigner sur leur parcours etleur experience avec les jeunesadultes qui s'interrogent sur lapossibilité de suivre leurs traces« Pourquoi une femme ne pourrail elle pas reussir dans le bâtiment?», interroge Veronique

Fremy, sortie de l'école d'ingemeur en 1987 Pour elle, qui nes'est «jamais posée la queslion », « les barrières sont dansla tête »

« Une erreur de casting »Caria et Yousra, ont décide des'orienter vers les concours de lafiliere Physique technologie parpur pragmatisme « c'est plus accessible » et comptent interrogerles marraines sur le travail plutôtque sur leur condition defemme Elles constatent nean

moins qu'elles ne sont qu'unepoignee parmi les garçons « Notre filiere est tournee vers hndusine Les filles préfèrentplutôt la biologie, en general »Un professeur de mecanique,Gerard Remond regrette que« l'imaginaire domine encore »le monde de l'ingénierie Pourlui, quand il n'y a qu'une polgnee de filles dans une classe demecs, « il faut qu'elles aient ducaractère» Même s'il assure queces derniers sont « bienveillants»

L'ingemeure Veronique Fremy reconnaît qu'il faut être « ouverted'esprit» face aux «remarques»« On m'a déjà dit en reunion quej'étais une erreur de casting », sesouvient elle Quand elle voit lenombre de filles aux Eucalyptus,elle se dit néanmoins que leschoses « évoluent tres vite » etque «plus it y aura de femmes,mieux ça se passera » dans lemonde professionnel « On estpeu, maîs on peut vaincre lespréjuges», sourit Caria

A. L.

Date : 28/11/2016Heure : 05:21:59

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Cette journée est organisée par Elles Bougent et des techniciennes et ingénieures et par l'UPSTI et sonréseau de professeurs (es) dans les collèges et les lycées.© DR

Deux Rennaises ont témoigné dans le cadre de la journée internationale « Les sciences de l'ingénieur auféminin », auprès des jeunes filles de 4e et 3e du collège Max-Jacob.« Pour se projeter dans un métier ou une carrière, les rencontres avec des femmes en poste sontdéterminantes », disent les Rennaises qui étaient à Josselin, jeudi dernier.

Les collégiennes s'interrogent sur leur orientation et connaissent mal les métiers. Les ingénieures ont présentéleur parcours, leurs études, comment faire coïncider vie professionnelle et familiale.

« Nous avons mis en place des ateliers pour qu'elles écrivent leurs questions et pour leur donnerenvie de poursuivre des études le plus longtemps possible. »

Elles ont rappelé que tous les métiers sont ouverts aux garçons comme aux filles. « Les femmes sont tout àfait capables d'assurer les métiers scientifiques au même titre que les hommes », encourage FlorianeBlusseau.

Ouest-France


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Date : 28/11/2016Heure : 05:18:59


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Peu de femmes veulent devenir ingénieures

De gauche à droite : Sandra Bevilacqua, assistante technique ingénieur ; Maëlle Lapous, étudiante cycleingénieur en alternance ; Anne-Laure Le Fol, ingénieure ; Claire Ventouroux, ingénieure et Violaine Le Bas,proviseure adjointe. |

Peu de femmes s'investissent dans les filières scientifiques. Seule une sur dix travaille dans l'informatique.

L'idée

Le lycée Benjamin-Franklin a participé jeudi à l'opération Sciences de l'ingénieur au féminin en accueillantquatre jeunes femmes. Des femmes ingénieures venus rencontrer cinquante élèves de seconde sur leur futurmétier avec pour objectif de faire bouger les lignes.

En choisissant la filière scientifique, Claire Vantouroux, Anne-Laure Le Fol, ingénieures ; Maëlle Lapous,étudiante cycle ingénieur en alternance et Sandra Bevilacqua, étudiante assistant technique ingénieur sonten quelque sorte l'exception.

Le pourcentage de filles dans les écoles d'ingénieures est de 27 %. « C'est la 4 e édition d'une opérationqui se déroule dans les collèges et lycées s'adressant aux jeunes filles pour faire la promotion dumétier d'ingénieur et plus largement des métiers scientifiques », explique la proviseure adjointe ViolaineLe Bas.



http://www.ouest-france.fr/bretagne/auray-56400/peu-de-femmes-veulent-devenir-ingenieures-4642004

Date : 28/11/2016Heure : 05:18:59


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La proviseure adjointe a mis l'accent sur la faible proportion de jeunes filles faisant le choix des métiersscientifiques pour devenir ingénieures, chercheuse, technicienne.

« Cela se vérifie en particulier dans l'informatique. En grande partie cela tient à des stéréotypes ancrésdepuis l'enfance, tels les codes couleur, la littérature jeunesse... Sept filles sur dix considèrent qu'ellesn'ont pas la capacité. » Après le visionnage d'une vidéo de présentation de l'opération, cinq groupes d'unedizaine d'élèves réunis sous formes de tables rondes ont échangé avec Claire, Anne-Laure, Maëlle et Sandraqui ont surmonté les a priori et ont franchi le pas pour devenir ingénieure au féminin.



http://www.ouest-france.fr/bretagne/auray-56400/peu-de-femmes-veulent-devenir-ingenieures-4642004

Date : 28/11/2016Heure : 04:25:34


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Des modèles de réussite au féminin au lycée

Jeudi matin, dans le cadre de la journée nationale des sciences de l'ingénieur au féminin, Françoise Garlet,professeur de maths au lycée Le Dantec, et membre du bureau de l'association Elles bougent, a convié lesfilles d'une classe de seconde de la filière sciences de l'ingénieur, à venir écouter les interventions de MarianneMillour, étudiante en DUT réseaux et télécoms à Brest.

« Trop juste en maths pour faire une classe prépa, j'ai opté pour la filière réseaux et télécoms. Je pense avoirtrouvé ma voie , et les possibilités en sortie vont me permettre d'intégrer une école d'ingénieur » , rapportel'étudiante.

Sandrine Mordellès devient quant à elle, responsable d'agence et chef du service routier au département,après des études au lycée Le Dantec, d'où elle sort avec le bac en poche, en 1995.

« Après trois ans à Nantes , et neuf ans à Rennes, j'ai eu la chance de rejoindre, il y a deux ans, ce postedans les Côtes-d'Armor. Vous avez la chance de pouvoir disposer, à Lannion, d'établissements réputés pourpoursuivre vos études, via l'IUT ou l'Enssat. Ne vous mettez pas de barrières et osez les filles. »



http://www.ouest-france.fr/bretagne/lannion-22300/des-modeles-de-reussite-au-feminin-au-lycee-4641062

Date : 28/11/2016Heure : 12:40:40

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L'association Elles bougent à Vaucanson

Elles bougent, et elles souhaitent faire naître des vocations.Il y a trop peu de femmes dans l'ingénierie et dans les formations scientifiques !

L'association Elles Bougent compte bien tout mettre en œuvre pour faire changer les mentalités. A l'occasionde la quatrième édition de la Journée nationale des sciences de l'ingénieur au féminin, une quinzaine demarraines de l'association, étudiantes, techniciennes ou ingénieures, sont venues témoigner auprès deslycéennes de Vaucanson.Marielle Pécot, enseignante des sciences de l'ingénieur, référente mixité, et Dominique Coiffeteau, référenttravaux technologiques, ont mis en place cette action de sensibilisation, regrettant qu'il y ait trop peu de fillesdans les filières techniques et scientifiques. Marianne Pautrot-David, conseillère d'orientation, a encouragéles jeunes filles à ne pas s'autocensurer. « Les filles qui choisissent des filières majoritairement masculinesréussissent mieux. Dans ces filières sélectives, les évolutions de carrière sont plus fréquentes. L'écoute, laminutie, l'efficacité, la rigueur, qualités reconnues aux femmes, sont un atout pour les entreprises. Venezécrire le futur ! »Les témoignages des intervenantes, aux parcours très différents, sont convergents : « Nous ne sommes pasnombreuses, alors, nous sommes considérées comme des perles rares, on a notre place, c'est chouette, lessciences. » « N'hésitez pas, les écoles d'ingénieur vous sont largement ouvertes. »Les cursus multiples de ces jeunes femmes ingénieures démontrent que les voies professionnelles sontparfois mouvantes. « On a le droit de choisir. Changer d'avis, ce n'est pas un échec. » Aux lycéennes qui


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semblent avoir une image très floue de l'ingénieur, il a été rappelé qu'ingénieur c'est un titre, mais que lapanoplie de métiers est très diversifiée.En conclusion, Stéphane Blardat, proviseur, a espéré que « ces présentations seront source dequestionnement, de réflexion sur l'orientation et sur la place des femmes dans la société. »

Site Internet : ellesbougent.com


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Date : 28/11/2016Heure : 05:16:44

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Sciences. Des collégiennes sensibiliséesPour la seconde année consécutive, le collège Croas ar Pennoc participait à la journée « Sciences de l'ingénieur au féminin ».

Jeudi, le collège Croas ar Pennoc a souhaité, à l'instar de 150 autres établissements scolaires, participer à laquatrième édition de « Sciences de l' ingénieur au féminin », initiée par le ministère de l'Éducation nationaleJeudi dernier, huit intervenantes, ingénieures, chercheuses et étudiantes, ont été accueillies par M. Frouin,professeur de physique-chimie du collège et les 40 collégiennes en classe de troisième.

TémoignagesDes tables rondes ont permis aux jeunes filles de poser leurs questions à chacune des « marraines » de cettejournée. Objectif : sensibiliser les collégiennes aux carrières scientifiques et technologiques au travers de leurstémoignages, en apportant des informations sur la variété des métiers et des parcours de formation menantaux emplois d'ingénieur et susciter des vocations pour des métiers d'avenir dans l'industrie... Ce dispositifparticipe également au développement des compétences propres à la construction du projet d'orientation dechaque élève et à l'enrichissement de son parcours « avenir ». L'après-midi, les échanges se sont poursuivisautour d'un goûter.


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Date : 28/11/2016Heure : 05:02:59

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Deux Rennaises ont témoigné dans le cadre de la journée internationale « Les sciences de l'ingénieur auféminin », auprès des jeunes filles de 4e et 3e du collège Max-Jacob.

« Pour se projeter dans un métier ou une carrière, les rencontres avec des femmes en poste sontdéterminantes », disent les Rennaises qui étaient à Josselin, jeudi dernier.




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Ouest-France


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Date : 28/11/2016Heure : 05:31:10


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Les sciences de l'ingénieur au féminin, à Dupuy

Les jeunes lycéennes sont venues s'intéresser au métier d'ingénieur. À doite, Isabelle Hanoire, chef de projet. |

Dans le cadre des 4 es journées nationales « Les sciences de l'ingénieur au féminin » , cinq ingénieuressont venues parler de leurs métiers, jeudi, aux élèves de premières du lycée Dupuy-de-Lôme.

« Cette réunion a pour but de rendre plus visible le domaine de l'industrie aux filles, encoresous-représentées, explique François Collin enseignant. Ces personnes ont présenté leurs parcoursd'ingénieures sous forme d'ateliers de discussion. Il faut mettre ces métiers très techniqu es , maisaussi très passionnants, dans le champ de vision de nos lycéennes. »

Isabelle Hanoire, ingénieure chef de projet dans une entreprise de Guidel, a notamment présenté sonparcours aux jeunes filles présentes. « Ces métiers manquent de représentation féminine, témoigne-t-elle. Les filles sont sûrement moins proches de la technique que les garçons, mais c'est surtout uneméconnaissance de ces métiers. Je dois avouer que ce n'est pas toujours fa cile d'être reconnue àl'égal de l'homme et de s'imposer dans un milieu essentiellement masculin. Mes décisions ne sont pastoujours acceptées d'emblée. Je suis obligée d'argumenter davantage » . Dans les écoles d'ingénieur,les femmes représentent à peine 28 % des étudiants en 2015. Et moins d'un quart des ingénieurs en Francesont des femmes...



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Date : 28/11/2016Heure : 05:22:41

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Deux Rennaises ont témoigné dans le cadre de la journée internationale « Les sciences de l'ingénieur auféminin », auprès des jeunes filles de 4e et 3e du collège Max-Jacob.

« Pour se projeter dans un métier ou une carrière, les rencontres avec des femmes en poste sontdéterminantes », disent les Rennaises qui étaient à Josselin, jeudi dernier.




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Ouest-France


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formation à la cité scolaire de briey Sciences de l'ingénieur(e) :foncez les filles !

Les ingénieures ont pu donner des conseils aux jeunes filles qui voudraient suivre la même voie qu'elles.Photo Fred LECOCQ

Elles sont venues casser les clichés et faire évoluer les mentalités. Jeudi, à la cité scolaire de Briey, cinqfemmes ingénieures ont rencontré des jeunes filles de l'établissement, de la 3e à la terminale, pour leur parlerde leur carrière.

« Leur montrer que c'est possible »« Dans ma discipline, j'ai très peu de filles , regrette Jérôme Bondoni, professeur en sciences de l'ingénierie.Il faut leur montrer que c'est possible. »


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http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-briey/2016/11/28/sciences-de-l-ingenieur(e)-foncez-les-filles

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Date : 28/11/2016Heure : 17:42:38

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En France, si la filière scientifique compte en moyenne 50 % de filles, elles ne sont plus que 12 % à entreren écoles d'ingénieurs. Et au final, seul un ingénieur sur cinq est une femme.

C'est pour remédier à cela que l'association Elles bougent et l'Upsti (Union des professeurs de scienceset techniques industrielles) ont organisé, partout dans le pays, ce genre d'interventions. Appelée la journéedes Sciences de l'ingénieur au féminin, c'est la 4e fois que cette initiative est organisée.

Les intervenantes sont revenues sur leur parcours mais aussi sur le rôle de la femme dans l'entreprise. Ellesont également évoqué la pression et les remarques qu'elles devaient subir dans ce monde d'hommes. « Leschoses se sont améliorées. Il y a eu de gros progrès , note Caroline Coupinot, ingénieure chez ArcelorMittal.En tant que salariée, nous avons un vrai rôle à jouer pour faire évoluer la situation.


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Date : 29 NOV 16


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Lanester en bref

Ingénieur... un métier pour les filles aussiLa journée des sciences de l'ingé-nieur au feminin s'est déroulée lasemaine dernière dans plus de 175lycées et collèges.

Organisée par l'Union des profes-seurs de sciences et techniques in-dustrielles (Upsti) et Elles bougent,cette journée permet aux jeunes fil lesde mieux connaître ces filières.

Le métier d'ingénieur est porteurd'emplois maîs peu de femmes s'en-gagent dans cette voie. En France,seulement 21 % des ingénieurs sontdes femmes.

Au college Henri-Wallon, ClaireKeryvm, ingénieur d'affaires chezOrange, est venue à la rencontre dequatorze jeunes filles de 3e pour lesinformer. En leur parlant de son par-cours d'après bac avec maths sup,maths spé et une école d'ingénieuren mécanique à Marseille. « ll fautfaire tomber les barrières, expliqueClaire. Alors que sur une classe determinale S il y a 50 % de filles, ellessont seulement 27 % à continuer

C'esf déjà en troisieme que les élevésdoivent réfléchira leur orientation

dans une filière purement tech-nique et 12 % en école d'ingénieur.C'est trop peu. »

Les femmes sont les bienvenuescar les industriels souhaitent deplus en plus varier les profils. « Ellestournent le dos aux carrières, alorsque justement il faut être curieuse,ouvrir les yeux et voir que les étudesscientifiques peuvent apporter denombreux débouchés pour elles »,précise Claire Keryvm.

Date : 29 NOV 16


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MatignonMétiers de l'ingénierie. Pour les filles aussi

Dans le cadre de quatrieme journee nationale « Les sciences de I ingénieur au feminin » le college Paul Sebillot a reçu jeudiapres midi, deux étudiantes en reseaux et télécommunications de I IUT de Saint Malo L ob/ectif était de sensibiliser les filles detroisieme aux metiers scientifiques et techniques comme ceux de I ingenierie Manon Folicher et Marie Samson ont ainsi parlede leur parcours Tres a I aise dans une classe composee ma/ontairement de garçons (huit filles pour 34 élevés dans la filierealternance et quatre filles pour 40 garçons dans la formation initiale), elles ont su aborder leur quotidien la thématique desmetiers et leur avenir « Cette filiere recrute particulièrement des filles » ont elles tenu a préciser

Date : 29/11/2016Heure : 18:39:20

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Sciences de l'ingénieur au féminin à Champagnole

L’opération Sciences de l’ingénieur au féminin est une opération nationale soutenue par le ministère del’Éducation nationale. Elle a pour objectif de sensibiliser les jeunes filles aux carrières technologiques etscientifiques, et de leur donner de la motivation et de l’ambition dans leur parcours étudiant et professionnel.

Le lycée Paul-Émile Victor a participé pour la seconde année consécutive à cette opération, qui est le fruitd’un travail collectif entre Alice Lamy, référente égalité filles-garçon de l’établissement, Laurent Voisin, chefdes travaux et l’ensemble de l’équipe des enseignants de sciences industrielles de l’ingénieur ; en partenariatavec les associations Elles bougent et Elles Jura.

Il nous a semblé nécessaire d’ouvrir pour les jeunes filles de seconde un espace de réflexion sur l’orientationet sur les stéréotypes qui faussent parfois ces choix d’orientation. En effet, si les élèves reçoivent tous desinformations sur les différentes filières, les conditions de cette réception ne seront pas les mêmes chez lesfilles et les garçons en raison des idées reçues qui sont encore très présentes.

Visuel indisponible

Les filières sont encore souvent perçues comme masculines ou féminines, ce qui fait que les jeunes ontparfois du mal à se projeter dans certaines études et dans certaines carrières. Cela engendre une très faiblemixité dans certaines filières, particulièrement les filières SSI (scientifique option sciences de l’ingénieur) etSTI2D (sciences et technologies de l’industrie et du développement durable), mais également les filièresL (littéraire), ASSP (accompagnement, soin et service à la personne) ou encore technicien d’usinage etmaintenance des équipements industriels également présentes dans l’établissement. Des marraines sontainsi venues échanger avec des élèves de seconde qui suivent actuellement des enseignements d’explorationscientifiques : Véronique Bouvret, ancienne responsable des ressources humaines et directrice juridique dans les secteurs

de la lunetterie et des remontées mécaniques Françoise Buchaillat (responsable qualité chez Guyotdecoup) Isabelle Dereu, professeure de sciences industrielles de l’ingénieur, option informations et numérique Sandrine Grange, directrice des ressources humaines chez Diager industrie et à l’Union de l’industrie et

des métiers de la métallurgie) Valérie Orsat, directrice de l’entreprise Jura électromécanique Véronique Perrenoud, technicienne dans le décolletage de précision, entreprise Perrenoud.

Nous espérons pouvoir étendre cette réflexion en organisant également des opérations à destination desjeunes garçons qui ont souvent tendance à se censurer au regard des filières littéraires et dans le domainede la santé et du social.

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Date : 29/11/2016Heure : 18:39:20

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ContactsAlice Lamy, enseignante de philosophieTél. : 03 84 53 10 00

39Lycée polyvalentLycée des métiers du sanitaire et du socialPaul Émile Victor - Champagnole


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Date : 30 NOV 16


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LP2I : elles mettent les sciences au fémininA u LP2I, la semaine der-

nière, une interventioncoordonnée par Mmes Ponizyet Souet, professeures desciences de l'ingénieur auLP2I, a été présentée dans lecadre de la quatrième éditionde la journée nationale, « Lessciences de l'ingénieur au fé-minin », par l'association Ellesbougent. Cette associationcomposée de professionnellesdes métiers de l'ingénieur pro-pose aux établissements se-condaires de transmettre àleurs élèves la passion et desusciter des vocations aux mé-tiers d'ingénieures et de tech-niciennes. Cette action contri-bue à permettre aux lycéennesde rencontrer des femmes in-

Une quinzaine de lycéennes du LP2I ont rencontre sept femmesprofessionnelles des sciences de l'ingénieur.

génieures, techniciennes ouétudiantes pour qu'elles puis-sent poser leurs questions. Autravers de témoignages, tousles sujets sont abordés : forma-tions, métiers, débouchés, qua-lité de vie...

Devant une quinzaine de ly-céennes de la seconde à la ter-minale, six ingénieures ensei-g n a n t e s c h e r c h e u s e sétudiantes sont venues avecMartine Rayet, ingénieure qua-lité production au Centre d'ex-cellence industriel optronique

Safran Electronics & Défense(St-Denoît), toutes avec unfoulard rose autour du cou(clin d'oeil au stéréotype etmarquant leur adhésion à Ellesbougent), ont restitué leur par-cours professionnel et vouluprouver que les sciences del'ingénieur peuvent s'accorderau féminin. Des parcours tousdifférents, témoignant pourtoutes d'un choix, d'une pas-sion pour les sciences et d'unesacrée volonté. Des parcoursféminins très encourageantsdans des entreprises et dansdes écoles d'ingénieurs où lesfemmes sont de plus en plusprésentes, sans toutefois être àégalité en nombre avec leshommes.

Date : 30 NOV 16


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Les sciences de l'ingénieur se féminisent au collège

Pour la Seannée consécutive, le collège Roger-Vercel a participé à la journée nationale « Les sciences de l'ingénieur au féminin »Neuf personnes étaient invitées des techniciennes, des chercheurs, venues parler de leur métier aux élèves de Sefilles

« C'est encore tres compliqué d'orienter les jeunes filles vers ce type de métier,deplore Laurence Jean-Marie, professeuredocumentaliste II y a des tabous, des peurs et des idees fausses sur le fait qu'une femme n'est pas capable d'aller aussi dansl'ingénierie »

Elle relate des étudiantes qui ont davantage tendance à arrêter leurs études que les hommes «Par exemple, il y a encore l'idéereçue qu'il revient à la femme de s'occuper des enfants en priorité, tandis que le man va plus lom qu'elle dans les études »

Une restitution est prévue en cours pour faire aussi participer les garçons et les alerter Laurence Jean-Marie conclut « En sciencede l'ingénieur, on ne chôme pas, maîs une femme peut parfaitement remplir ce rôle1 »

Date : 30 NOV 16


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La Roche-Bernard

Les collégiennes sensibilisées aux métiers scientifiques

Par petits groupes, les élevés ont découvert fes sciences de l'ingénieurau féminin grâce à trois intervenantes.

Lundi, trois intervenantes sont ve-nues sensibiliser soixante jeunesfilles du college Saint-Joseph auxsciences de l'ingénieur au féminin,dans le cadre d'une operation na-tionale organisée par deux associa-tions : l'Union des professeurs desciences et techniques industrielles,et Elles bougent, association qui aideles filles à intégrer des métiers sou-vent réserves aux hommes ou despostes à responsabilité...

Les trois professionnelles pré-sentes étaient Soizig Lemaire, res-ponsable Animation progrès per-formance chez DONS, à Lorient

(fabrique de navires pour l'armée) ;Hélène Chabaut, responsable dulaboratoire de contrôle chez YvesRocher ; et Julie Guillaumm, respon-sable maintenance également chezYves Rocher.

Selon elles, « l'enjeu est de taillecar ces métiers sont porteurs d'em-plois, offrent de très belles car-rières dans des domaines d'activitétrès variés. Mais, pour l'instant, lesfemmes y sont sous-représentées.En France, il faut savoir que seule-ment un ingénieur sur cinq est unefemme ».

Date : 30/11/2016Heure : 09:35:00Journaliste : JAUNAY CLAN

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LP2I: elles mettent les sciences au féminin

Une quinzaine de lycéennes du LP2I ont rencontré sept femmes professionnelles des sciences de l'ingénieur.VINCENT FRANCOISE

Au LP2I, la semaine dernière, une intervention coordonnée par Mmes Ponizy et Souet, professeures desciences de l'ingénieur au LP2I, a été présentée dans le cadre de la quatrième édition de la journée nationale,« Les sciences de l'ingénieur au féminin », par l'association Elles bougent. Cette association composée deprofessionnelles des métiers de l'ingénieur propose aux établissements secondaires de transmettre à leursélèves la passion et de susciter des vocations aux métiers d'ingénieures et de techniciennes. Cette actioncontribue à permettre aux lycéennes de rencontrer des femmes ingénieures, techniciennes ou étudiantes pourqu'elles puissent poser leurs questions. Au travers de témoignages, tous les sujets sont abordés: formations,métiers, débouchés, qualité de vie...Devant une quinzaine de lycéennes de la seconde à la terminale, six ingénieures enseignantes chercheusesétudiantes sont venues avec Martine Rayet, ingénieure qualité production au Centre d'excellence industrieloptronique Safran Electronics & Défense (St-Benoît), toutes avec un foulard rose autour du cou (clin d'oeilau stéréotype et marquant leur adhésion à Elles bougent), ont restitué leur parcours professionnel et vouluprouver que les sciences de l'ingénieur peuvent s'accorder au féminin. Des parcours tous différents,témoignant pour toutes d'un choix, d'une passion pour les sciences et d'une sacrée volonté. Des parcoursféminins très encourageants dans des entreprises et dans des écoles d'ingénieurs où les femmes sont deplus en plus présentes, sans toutefois être à égalité en nombre avec les hommes.


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Date : 30/11/2016Heure : 10:19:13Journaliste : Laurent GUILLAUMÉ

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Le métier d'ingénieur au féminin… La sensibilisation portée àChalon sur Saône par le lycée NiépceChalon sur Saône

Le jeudi 24 novembre dernier, le lycée Niepce a organisé un temps d'échange sur le métier d'ingénieur auféminin. Des ingénieures d'AREVA et des étudiantes, futures ingénieures des Arts et Métiers de Cluny ontparticipé à des échanges avec les filles des lycées Mathias, Hilaire et Niepce inscrites en filière scientifique.

C'était la 4ème édition de cette manifestation. Son objectif est de mettre les échanges entre les entrepriseset le monde éducatif en valeur et de les promouvoir. Elle est organisée par Elles Bougent et son réseau demarraines techniciennes et ingénieures et par l'UPSTI et son réseau de professeur-e-s dans les collèges etles lycées.


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Date : 30/11/2016Heure : 10:19:13Journaliste : Laurent GUILLAUMÉ

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L'enjeu est de taille : Le métier d'ingénieur est porteur d'emplois et de très belles carrières. Mais seulement1 ingénieur sur 5 est une femme. Les industriels, pour mieux innover, souhaitent varier les profils dans leurséquipes : les femmes sont les bienvenues !

Un chiffre emblématique : Seulement 12 % environ des bachelières de la filière S poursuivent des étudesd'ingénieurs, alors qu'elles sont à parité avec leurs homologues masculins en Terminale S, et qu'ils sont 4 foisplus nombreux à rejoindre ces mêmes filières.

D'une manière générale, les jeunes filles boudent les filières scientifiques et techniques de l'enseignementsupérieur, par méconnaissance des métiers auxquelles ces filières mènent : les stéréotypes ont la vie dureet les jeunes filles s'autocensurent encore souvent inconsciemment.

Ce jeudi 24 novembre 2016, comme 175 établissements au niveau national, le lycée Niepce a organisé unerencontre entre des ingénieures, des futures ingénieures "ARTS ET METIERS" et des élèves de première etterminale scientifique et/ou technique. Trois marraines ingénieures de chez AREVA (Mmes Cécile BERCOT,Magali VABRE et Nadège RENOU) et trois élèves ingénieures des Arts et Métiers (Mmes Paule FERRET,Méline PARFAIT et Claire FRANCK) ont présenté leur parcours et leurs activités au sein de leur entreprise oude leur école. Près de 50 jeunes filles étaient présentes à cette manifestation, des élèves des lycées Mathias,Hilaire et Niepce.

Après une conférence d'environ 45 minutes, 3 tables rondes ont été organisées, chacune pilotée par unemarraine. L'objectif était de démystifier les métiers habituellement dits "masculins" et de montrer que lesfemmes ont toutes les compétences pour réussir.

L'après midi s'est terminée autour d'un goûter tout en poursuivant les débats.


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Date : 30/11/2016Heure : 04:17:52


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Au collège, les nouvelles filières ouvertes aux filles

Les filles des classes de 3e découvrent de nouvelles opportunités de carrière. |

À l'occasion de la journée sur « les sciences de l'ingénieur au féminin », les filles de la classe de 3e du collègePaul-Sébillot ont rencontré des étudiantes de l'IUT de Saint-Malo.

À l'occasion de la Journée nationale programmée jeudi dernier, sur le thème « les sciences de l'ingénieurau féminin », Marion Folicher et Marie Samson, étudiantes en réseau et télécommunication à l'IUT de Saint-Malo, ont répondu à l'invitation de Mohamed Mouquere, principal, et d'Annaïck Grouazel, référente égalitéfilles-garçons au sein du collège, pour une rencontre auprès des jeunes filles des classes de 3 e .

L'ambition de cette initiative était une sensibilisation aux métiers de l'ingénierie. « Les filles réussissentmieux dans les études que les garçons, puisque 74,4 % des filles pour 63,9 % des garçons passent enseconde générale et l'on constate que, par la suite, les filles se détournent trop souvent des carrièresscientifiques et techniques », fait remarquer, à cette occasion, Annaïck Grouazel.

Des carrières scientifiques ouvertes

Cette rencontre avait donc pour ambition de prouver que ces métiers s'adressaient tout aussi bien aux fillesqu'aux garçons. Après avoir évoqué les préjugés qui éxistent, les deux étudiantes de l'IUT ont su transmettreleur enthousiasme pour la filière qu'elles ont choisie. « Nous sommes très heureuses dans une classecomposée de vingt-six garçons pour huit filles dans la filière alternance et de quatre filles pourquarante garçons dans la formation initiale », font-elles remarquer.



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Date : 30/11/2016Heure : 04:17:52


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Après un échange sur la thématique des métiers, le débat s'est élargi sur le quotidien et l'avenir des uneset des autres.

« C'est bien que ce débat existe et il faut que les filles l'entendent », note, pour sa part, Orlane Chaïr,élève de 3 e B, alors que d'autres regrettent que cette intervention arrive trop tard pour modifier leur lieu destage d'observation.

Toutes se sont dites intéressées par la découverte de nouveaux métiers. Cette journée était organisée parl'intermédiaire de l'association Elles bougent, ainsi que par l'UPSTI (association dédiée à l'information sur lessciences de l'ingénieur et de l'informatique).



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New «Faire bouger les lignes.» · 2018. 7. 18. · l'Éducation nationale, de l'Enseignement...

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