Mon Amant, Le Mari de Mon Amie

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1 Mon Amant, le Mari de mon Amie Je m’appelle Latifa, j’ai 25 ans, je suis brune, moyenne et bien potelée, d’origine algérienne. J’attire souvent les regards des hommes avec mon 90C et mes fesses bien formées, montées sur de longues jambes, et j’avoue que cela me plaît. Je suis mariée avec Olivier depuis maintenant trois ans et je suis consciente que si tout se passait bien au début, la routine a vite gagné notre vie de couple, au point que j’ai eu envie de le quitter. Mais laissez-moi plutôt vous raconter pourquoi je suis restée... Il y a donc deux ans de cela, la routine commençait à gagner notre couple. L’homme sportif et drôle – un grand brun aux yeux verts – que j’avais connu se transformait peu à peu – disons-le clairement – en BEAUF ! Avant, nous passions des week-ends romantiques à nous balader, à discuter, à partager nos activités... Maintenant, c’est son club de foot qui passe avant tout le reste, moi y compris. Entre les entraînements de la semaine, les compétitions du dimanche, la télé entre potes les soirs de match... Bref, j’avais ma dose, jusqu’à ce que je trouve mon propre intérêt dans les « membres » de son club. C’était au mois de mai. Olivier avait organisé un barbecue, le samedi soir, à la maison, pour galvaniser ses troupes en vue d’un match important le lendemain. J’oubliais de vous dire: Olivier est évidemment le capitaine de son équipe de dernière division départementale, catégorie pieds tordus. Comme d’habitude dans ce genre de soirées, les hommes étaient autour du barbecue, une bière à la main, en train de refaire les matchs précédents ou de stratégiser sur le prochain, en rêvant des éventuelles répercussions sur leur classement, tandis que leurs épouses ou compagnes du moment se prélassaient dans les chaises longues du jardin en déblatérant sur les célébrités en vue et leurs aventures, plus ou moins cachées ou réelles. Moi, comme toujours, en bonne maîtresse de maison, j’allais d’un groupe à l’autre avec les plats, entre les bouteilles pleines à vider et les verres vides à remplir. Je ne sais pas pourquoi, cette soirée en particulier me devenait pénible. Peut-être parce que c’était la je-ne-sais-plus-combien-tième depuis le début de la saison, ou peut-être tout simplement me rendais-je compte que je n’avais ma place ni dans l’un, ni dans l’autre groupe. En tout cas, je songeais sérieusement à aller me coucher avant même la fin de l’apéritif, lorsqu’une conversation accrocha mon oreille et mon intérêt par la même occasion. Les filles, sans doute grisées par la haute teneur en alcool du petit vin d’oranges maison, avaient dévié des sempiternelles coucheries de stars vers un thème bien plus intéressant : le sexe. Lorsque je m’approchai d’une oreille attentive, je compris qu’elles en étaient aux performances et mensurations de leurs hommes respectifs qui, à quelques mètres de là, ne se doutaient pas que leurs attributs étaient décrits publiquement avec force détails et à grand renfort de gestes ou de comparaisons avec des fruits et légumes, tels que la banane ou la carotte. Un peu à l’écart de la discussion, je riais doucement en sirotant ma piña colada à la paille. J’observais chacune de ces bimbos vanter les mérites de leurs apollons. Je les soupçonnais d’en rajouter un peu, voir beaucoup, sur les détails techniques. Pour ma part, je me disais qu’il valait mieux pour Olivier que je n’entre pas dans la conversation, car son équipement était loin de la moyenne de ceux que j’avais connus auparavant, encore moins de ceux que ces filles décrivaient. C’est à ce moment-là que je me rendis compte que dans son coin, la timide Nancy rougissait, mais ne pipait pas un mot. Je fis donc le tour du groupe pour me poser sur le transat laissé libre à ses côtés. Je lui murmurai :

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Une épouse fidèle décide de tromper son mari avec celui de son amie.

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    Mon Amant, le Mari de mon Amie

    Je mappelle Latifa, jai 25 ans, je suis brune, moyenne et bien potele, dorigine algrienne. Jattire souvent les regards des hommes avec mon 90C et mes fesses bien formes, montes sur de longues jambes, et javoue que cela me plat. Je suis marie avec Olivier depuis maintenant trois ans et je suis consciente que si tout se passait bien au dbut, la routine a vite gagn notre vie de couple, au point que jai eu envie de le quitter. Mais laissez-moi plutt vous raconter pourquoi je suis reste...

    Il y a donc deux ans de cela, la routine commenait gagner notre couple. Lhomme sportif et drle un grand brun aux yeux verts que javais connu se transformait peu peu disons-le clairement en BEAUF !

    Avant, nous passions des week-ends romantiques nous balader, discuter, partager nos activits... Maintenant, cest son club de foot qui passe avant tout le reste, moi y compris. Entre les entranements de la semaine, les comptitions du dimanche, la tl entre potes les soirs de match... Bref, javais ma dose, jusqu ce que je trouve mon propre intrt dans les membres de son club.

    Ctait au mois de mai. Olivier avait organis un barbecue, le samedi soir, la maison, pour galvaniser ses troupes en vue dun match important le lendemain. Joubliais de vous dire: Olivier est videmment le capitaine de son quipe de dernire division dpartementale, catgorie pieds tordus.

    Comme dhabitude dans ce genre de soires, les hommes taient autour du barbecue, une bire la main, en train de refaire les matchs prcdents ou de stratgiser sur le prochain, en rvant des ventuelles rpercussions sur leur classement, tandis que leurs pouses ou compagnes du moment se prlassaient dans les chaises longues du jardin en dblatrant sur les clbrits en vue et leurs aventures, plus ou moins caches ou relles.

    Moi, comme toujours, en bonne matresse de maison, jallais dun groupe lautre avec les plats, entre les bouteilles pleines vider et les verres vides remplir.

    Je ne sais pas pourquoi, cette soire en particulier me devenait pnible. Peut-tre parce que ctait la je-ne-sais-plus-combien-time depuis le dbut de la saison, ou peut-tre tout simplement me rendais-je compte que je navais ma place ni dans lun, ni dans lautre groupe.

    En tout cas, je songeais srieusement aller me coucher avant mme la fin de lapritif, lorsquune conversation accrocha mon oreille et mon intrt par la mme occasion.

    Les filles, sans doute grises par la haute teneur en alcool du petit vin doranges maison, avaient dvi des sempiternelles coucheries de stars vers un thme bien plus intressant : le sexe.

    Lorsque je mapprochai dune oreille attentive, je compris quelles en taient aux performances et mensurations de leurs hommes respectifs qui, quelques mtres de l, ne se doutaient pas que leurs attributs taient dcrits publiquement avec force dtails et grand renfort de gestes ou de comparaisons avec des fruits et lgumes, tels que la banane ou la carotte.

    Un peu lcart de la discussion, je riais doucement en sirotant ma pia colada la paille. Jobservais chacune de ces bimbos vanter les mrites de leurs apollons. Je les souponnais den rajouter un peu, voir beaucoup, sur les dtails techniques.

    Pour ma part, je me disais quil valait mieux pour Olivier que je nentre pas dans la conversation, car son quipement tait loin de la moyenne de ceux que javais connus auparavant, encore moins de ceux que ces filles dcrivaient.

    Cest ce moment-l que je me rendis compte que dans son coin, la timide Nancy rougissait, mais ne pipait pas un mot. Je fis donc le tour du groupe pour me poser sur le transat laiss libre ses cts. Je lui murmurai :

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    Ca va, tu arrives suivre ?

    En effet, Nancy, comme son nom ne lindique pas, est Allemande, frachement dbarque de sa Bavire natale avec son mari Franais dorigine Algrienne (comme moi). Si lui tait grand, costaud, brun la peau trs bronze, elle tait petite, brune teinte en blonde (les filles savent reconnatre ces dtails), avec des formes trs avantageuses, car un peu rondes.

    Je comprends toujours plus que lon croit, me rpondit-elle avec son accent si charmant.

    Il faut dire quavec tous leurs gestes, y a pas vraiment besoin de comprendre la langue ! lui dis-je, avec un clin dil.

    Elle me sourit gentiment dun air entendu.

    Et toi, ton Algrien, il est comment ? lui demandai-je.

    Elle se remit rougir et nosa pas rpondre.

    Allez ! Tu vas pas faire ta timide ! Toutes les filles ont dj dcrit leur mec. ton tour, lanai-je, en me gardant bien dviter de faire remarquer que moi aussi, javais saut mon tour. Il est plutt du genre petit cure-dent ou grosse saucisse ?

    Elle rougit encore et je la vis qui voulait bien en parler, mais pas tout le monde.

    Fais-moi voir avec tes mains, au moins. Sinon je leur fais remarquer que tas encore rien rvl !

    L, jy allais un peu fort, mais elle avait trop attis ma curiosit pour que je la laisse viter le sujet. Toujours timidement, elle jeta un coup dil circulaire pour voir si personne ne la regardait et, rapidement, mindiqua avec ses deux mains un engin d peu prs vingt centimtres et plus encore ?. Pas loin du double de mon Olivier.

    Nan, je lui dis, je ny crois pas. Elle doit tre fine, pour tre si longue !

    Mme rituel de vrification de lentourage, et elle mindiqua, avec ses deux mains, un diamtre hors norme, nettement trop large pour une seule main ! L, je ne pus mempcher de penser quOlivier tait battu plate couture.

    Tant que a ? Mais comment fais-tu pour toccuper dun tel monstre ? lui demandai-je.

    Elle rougit encore et me dit dans un filet de voix:

    Jai un peu de mal avec la bouche, mais a mexcite tellement, que le bas passe trs bien.

    Je nen croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Je ne pouvais dtacher mes yeux de ses mains, qui avaient dcrit un engin pareil. Soudain, dans un flash, je me tournai vers le groupe des garons et je vis Mourad (puisque cest son prnom), debout au milieu des autres, les dpassant dune tte avec sa toison noire. Je limaginai surtout nu, poilu, velu, avec sa touffe surplombant une queue qui lui descendait jusquau milieu de la cuisse. Nancy surprit mon regard et, loin de soffusquer, me sourit dun air complice.

    Tu me le prterais ? lui demandai-je en riant.

    Elle se mit rire elle aussi, mais ne rpondit pas.

    En moi-mme, je pensai :

    Ma petite Nancy, daccord ou pas, je vais me le faire, ton endurant de mari !

    Mon sexe en palpitait dj denvie.

    Javais hte que la soire se finisse. Toutes les cinq minutes, je jetais un il en direction du viril Algrien, et je ne pouvais lever mon regard de son short, qui avait lair bien rempli.

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    Plus tard, lorsque tous les invits furent partis, non sans que je fasse une bise appuye dun clin dil Nancy, pour son tuyau , et que je me frotte un peu Mourad, je ne pouvais toujours pas chasser limage de cet engin de mon esprit.

    Une fois au lit, Olivier commena me caresser et fut fort tonn de me trouver dj toute mouille.

    Cest pour moi que tu mouilles comme a ? me demanda-t-il.

    Jai rv de sexe toute la soire ! lui rpondis-je, sans mentir.

    Il me tripota le clitoris maladroitement, son habitude. Je me plaai donc rapidement en levrette pour quil me prenne sans que je le vois et, surtout, pour que je puisse me tripoter moi-mme. Je cambrai les reins au maximum et lencourageai :

    Vas-y, prends-moi fond...

    Je lentendais souffler comme un buf pendant quil me pilonnait. Jimaginai la grosse queue de Mourad dchirant mon antre alors que jagitais frntiquement mes doigts sur mon petit bouton damour. Je ne tardai pas jouir, ce rythme-l, alors quOlivier menvoyait la pure, avant de scrouler, puis.

    Aussi sec, il se retourna et me lana :

    Bonne nuit, mon amour. Demain, je me lve tt pour le match.

    Le salaud me laissait en plan, sur ma faim, pour son stupide match de foot.

    Toi, mon ami, tu ne perds rien pour attendre. Tu seras cocu bientt.

    Le lendemain matin, je me lve tard. Olivier est dj parti. Mon sexe est dj en feu, car jai rv toute la nuit de la queue gante de Mourad. Un plan a dailleurs germ dans ma tte pour parvenir mes fins. Pour une fois que le foot va me servir quelque chose !

    Il fait dj chaud et je me prpare rapidement. Un petit tour sous la douche pour me faire belle. Au passage, il faut que jteigne le feu qui brle mon bas-ventre. Je dirige le jet sur mon clitoris. Lcoulement de leau sur mon bouton damour mexcite au plus haut point. Je ne tarde dailleurs pas jouir en gmissant trs fort.

    Ce Mourad fortement membr va devoir teindre lui-mme ce quil a contribu initier bien involontairement, je dois le reconnatre -.

    Dj 11 heures. Jenfile une robe dt ample et lgre. Elle laisse deviner ma poitrine ferme dont les ttons pointent agressivement. Jenfile un string blanc minimaliste et je me ravise. Aprs tout, autant ne pas en mettre, a aidera peut-tre calmer mes ardeurs.

    Je saute dans ma voiture, direction le stade. Cest bien la premire fois que je suis excite daller voir mon homme jouer au ballon. Le contact du cuir du sige sur mes lvres lisses mlectrise encore plus. Heureusement que le chemin nest pas long, sinon jaurais tout tremp.

    Une fois arrive, je me glisse au premier rang des gradins, avec le lot des supportrices, dont la plupart tait chez moi hier soir. Nancy nest pas l, tant mieux pour moi. Mon mari est sur le terrain et court partout et en tous sens. Je cherche dsesprment des yeux mon cher Mourad, mais je ne le vois pas.

    En fait, on se trouve juste au-dessus du banc des remplaants de notre quipe et cest lorsquil se lve que je le vois enfin.

    Il attrape une bouteille deau et, tout en buvant, se tourne vers nous. Il maperoit et me sourit, quand je le vois qui bloque et manque de stouffer. Je ne comprends pas tout de suite, mais je suis son regard et maperois que, de l o il est, comme je suis en hauteur, il peut tout voir de mon abricot minutieusement taill et entirement dvoil.

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    Lorsque je me rends compte de la vision quil peut avoir, au lieu de fermer les cuisses, comme laurait fait nimporte quelle femme sage, je les carte ngligemment, en le fixant droit dans les yeux.

    Il rougit aussitt et ne sait plus quoi faire. Il finit par se rasseoir, tout confus. Je me dis :

    Un point pour toi, ma Latifa !

    Le match se termine sur une victoire difficilement conquise par nos joueurs. Les hommes filent aux douches. Javoue que jaimerais bien aller y jeter un il pour massurer de lquipement des joueurs.

    Lors du traditionnel pot de lamiti, jembrasse rapidement et distraitement mon mari et vais me servir un verre de sangria. Au passage, je me frotte Mourad qui, lorsquil se rend compte qui appartiennent ces seins arrogants, ne sait encore plus o se mettre.

    Je me faufile de groupe en groupe et jentends au passage lopportunit quil me manquait : Nancy, qui tait arrive entre-temps, est en effet en train dexpliquer Olivier, le capitaine, quelle ne pourra pas laver les maillots de lquipe comme dhabitude, car leur machine est en panne. Olivier semble trs embt. Je saute dans la conversation et leur dis :

    Si vous voulez, je peux le faire en attendant que votre machine soit rpare !

    Olivier est tout surpris, car jai toujours refus de prendre en charge leurs maillots puants de sueur. Me taper les matchs, passe encore ; faire la bonniche, non merci !

    Mais l, jai une autre motivation, dau moins vingt-quatre centimtres.

    Mourad naura qu me les amener demain soir, Olivier rentre tard. On boira un verre pendant que a tournera et il pourra les remmener pour que tu les fasses scher au sche-linge, car nous nen avons pas. En une heure, cest boucl !

    Olivier est ravi de cette solution et Nancy se sent rassure que le problme soit rgl sans quelle perde le contrle de cette tche qui la rend utile.

    Le lendemain soir, je suis excite comme une puce. Jai pass la journe prparer la soire. Je me suis apprte au mieux : une robe noire lgre, fendue sur le ct et, bien entendu, rien en dessous. Des escarpins trs hauts qui me font la jambe un peu plus longue et bien galbe. Quelques traits de maquillage, lumires tamises.

    Je mouille dj comme une fontaine lide de ce quil va (enfin) se passer.

    19 heures pile, ponctualit berbre, Mourad sonne la porte. Il porte une chemise blanche sur un pantalon en jean crme et, surtout, un norme sac de linge. Je me rappelle maintenant pourquoi je nai jamais voulu men occuper. Il me dit timidement :

    Cest pour les maillots, Latifa.

    Ah oui, viens, cest par-l, lui rponds-je, en montrant le chemin du sous-sol o se trouvait notre machine.

    Une fois arrivs, je lui dis :

    Pose le sac. Tu vas me passer les maillots et je les mettrai dans la machine.

    Il saccroupit donc pour me passer un premier maillot. Je me penche volontairement lextrme, jambes tendues et lgrement cartes, pour enfourner le tissu dans le tambour frontal de la machine. Au deuxime maillot, je me retourne et le vois rougir dun seul coup. Je fais mine de ne rien voir et continue mon mange.

    Aprs que nous ayons vid le sac, je mets la machine en route, je me retourne vers lui et le provoque :

    Mais quest-ce que tu regardes comme a, espce de cochon ? Tes encore en train de mater sous ma robe, comme au match hier ?

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    Il est confus et bredouille des excuses.

    Quest-ce que tu cherches ? Tu veux voir ma culotte ?

    Je lve le bas de ma robe et lui montre mon minou pil, avec juste un petit triangle sur le haut du pubis.

    Ce nest pas la peine, je lui dis. Tu vois, je nen ai pas. Va falloir te faire pardonner tes sales manires !

    Sans quil ait le temps de ragir, je mapproche de lui, qui est toujours accroupi, le visage hauteur de mon abricot, et lui dis :

    Fais-lui un bisou pour te faire pardonner.

    Il bredouille encore quelques mots confus et ne sait que faire.

    Tu veux que je dise ta femme que tu me mates sans arrt ? Allez ! Embrasse mon sexe et a restera entre nous, lui lanc-je, en posant ma main sur sa tte et en lapprochant de mon sexe brlant pour lui indiquer le chemin.

    Hypnotis par la vision, il sapproche timidement et pose un lger baiser sur mon pubis.

    Encore ! Et mieux que a ! Nhsite pas y mettre ta langue, cochon ! lexhort-je.

    Je sens dj le jus de mon sexe commencer couler le long de mes jambes tellement je suis excite. Il avance de nouveau sa tte et pose plusieurs baisers la suite. Enhardi par ma raction, il pointe sa langue sur mes lvres lisses. Ce contact mlectrise. Il continue jouer de sa langue sur mon sexe, glisse entre les lvres et remonte vers mon clitoris, dress comme un petit sexe, quil dcapuchonne. Cette langue chaude et humide sur mon sexe trop excit me provoque une dcharge de plaisir inattendue.

    Cest trop bon, continue...

    Mourad, mes pieds, ne fait plus du tout le timide et, voyant que je lche le contrle, suite aux sensations quil me provoque, prend de lassurance et empoigne mes hanches pour leur imprimer un mouvement davant en arrire.

    Je me frotte littralement sur sa langue qui fouille les moindres recoins de mon sexe.

    Pendant ce temps, jai lch sa chevelure abondante pour prendre en main ma poitrine dure aux ttons dards par lexcitation. Je les libre de la robe et commence les ptrir sans mnagement.

    Mourad me fait allonger pour avoir plus de latitude et continue ses jeux de langue, pendant quil use de ses doigts pour pntrer mon vagin dgoulinant de cyprine.

    Je soulve mon bassin en cadence pour venir la rencontre de ses doigts investigateurs. ce rythme-l, je ne tarde pas sentir la jouissance monter jusqu exploser littralement, alors que je plaque la tte de Mourad sur mon sexe pour quil continue, pendant que mon corps est secou des spasmes du plaisir.

    puise, je me laisse tomber sur le carrelage.

    On ne mavait jamais fait jouir aussi fort avec la langue. moi de te remercier, Mourad ! dis-je, en me jetant littralement genoux devant son bassin.

    Le tissu du jean est plein craquer. La situation a lair de lui plaire. Je pose ma main sur sa poitrine et le fais sallonger, pour me laisser reprendre le contrle des vnements. Je dboutonne sa chemise et dpose des baisers sur tout son torse bomb et poilu. Je lche ses ttons et les mordille avec gourmandise.

    Je descends lentement vers mon objectif. Je dfais sa ceinture et les boutons de son jean.

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    Lobjet de ma gourmandise, moul dans un boxer, nest plus spar de ma bouche que par une infime barrire de tissu. Je passe ma main le long de ce colosse chaud et puissant et le branle travers le tissu. Je sors ma langue au maximum et je la passe sur son gland.

    Mourad a ferm les yeux et gmit de plaisir. Je passe une main de chaque ct du boxer et le fais glisser vers le bas pour librer le monstre. Lorsque le diable sort de sa tanire, je comprends que Nancy na pas exagr : son engin est vraiment norme. Il me faudrait une troisime main pour le couvrir entirement sur la longueur, et encore ! Je narrive pas lentourer entirement de mes doigts.

    Mes lvres palpitent dj lide de sentir cette colonne de chair lintrieur. Je prends lobjet en main et commence lcher la hampe sur toute sa longueur. Dune main, je soupse ses bourses, normes et lisses. Il doit se les raser.

    Ma main court le long de lengin, et je prends le gland en bouche.

    Mourad gmit la sensation de ma langue chaude sur son gland. Jessaie de gober toute sa tige, mais elle est tellement grosse que je narrive mme pas la moiti, alors que je la dvore pleine gorge, la limite du trop-plein. Je suce et lche ce gourdin comme une vorace, alternant les passages dans ma bouche avec les caresses de ma langue, branlant lanimal nergiquement sous les gmissements de ma proie.

    Je sens qu ce rythme, Mourad ne va pas tarder venir et cest justement ce que je cherche. Je veux sentir sa semence chaude mexploser dessus.

    Je branle maintenant ma victime deux mains, lchant le bout avec gourmandise, quand je sens lengin grossir encore jusqu mexploser au visage.

    Je prends quelques jets longs et pais dans la bouche mais, surprise par la puissance, je dois laisser les autres senvoler vers mon visage et mes seins. Moi qui ai toujours refus ce final mon mari...

    Je me rgale ensuite lcher avidement les moindres traces de jus damour. Puis je remonte le long du corps de mon amant puis et lembrasse pleine bouche, lui faisant goter ses propres scrtions. Je reconnais dailleurs sur sa langue le got de ma cyprine.

    Mourad est littralement vid, mais je nen ai pas fini avec lui. Ma petite chatte rclame son gros bton, dont elle rve depuis plusieurs jours maintenant.

    Je commence donc me frotter le clitoris sur la longue tige moiti ramollie. Je quitte ma robe macule de traces suspectes, pour donner ma poitrine tter lobjet de mes dsirs. Il joue de sa langue si habile sur mes ttons dresss dexcitation et les gobe avec bonheur. Sa queue reprend doucement sa taille hors norme, au fur et mesure de mes mouvements de bassin.

    Mourad le berbre recommence gmir de plaisir et mattrape les fesses pour imposer son rythme. Lorsque je le sens dur ma convenance, je prends sa longue hampe et la prsente lentre de ma grotte aux plaisirs.

    Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catgories que jai pues connatre auparavant et japprhende un peu, mais mon sexe est tellement lubrifi par lexcitation que lentre se fait en douceur.

    Je nen reviens pas de pouvoir faire entrer un tel engin en moi. Je me sens incroyablement remplie par cette colonne de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice.

    Je laisse passer quelques secondes, pour mhabituer ces dimensions exceptionnelles, et je me mets doucement aller et venir sur cette barre de chair. Je joue me pntrer uniquement du bout de la hampe, pour quelques allers-retours, avant de mempaler dessus.

    Cest vraiment trop bon ! Mourad semble beaucoup apprcier mes initiatives et je sens monter de nouveau la pression, mais il est encore trop tt, jen veux plus.

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    Je me lve et je prends appui sur la machine laver, qui tourne maintenant fond pour lessorage. Je me tourne et lui dis :

    Prends-moi par derrire, mon salaud, je veux te sentir me dfoncer le plus loin possible.

    Il ne se fait pas prier et vient vers moi, la pine la main. Il me lenfonce petit petit, centimtre par centimtre, savourant sa supriorit qui lui donne accs des plaisirs interdits. Je crois que la vision de mes fesses rebondies offertes ses caprices lexcite encore plus.

    Cest grands coups de boutoir quil me prend sans mnagement. Me tenant par les hanches, il me dfonce en jurant en Kabyle. Il prend mes fesses dans ses mains et se dchane dessus.

    Surprise, je sens son pouce simmiscer dans sur ma petite rondelle. Je ne suis pas habitue ce genre de caresses et cela me dclenche un nouvel orgasme. La pression monte de plus en plus, les vibrations et les mouvements de la machine laver, accords au piston gant qui me perfore tout va, dclenchent de nouvelles sensations.

    Mourad ne tarde dailleurs pas, lui non plus, jouir sous ce traitement, et nous poussons ensemble un long rle de plaisir.

    Dfinitivement puis, Mourad est maintenant penaud, le pantalon sur les genoux, le drapeau en bannire. Je le remercie avec une bise sur la joue et lui remets les maillots dsormais propres en lui disant :

    Merci, Mourad, pour cette sance exceptionnelle, mais dpche-toi de rentrer, Nancy va tattendre.

    Il part prcipitamment sans demander son reste. Nous nous sommes vus de nombreuses fois par la suite, mais a, ce sera le sujet de nouvelles confessions.

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