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Urbains et scolairesransportsb i l

T

Gestion et réduction L’A li

Zénith

des déchets

Agenda 21Espaces naturels

Gestion et réduction

économiqueechnopole

Assainissement

oirie

L’Aquapolis

ESTER TéconomiqueDéveloppement

V

A

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de vousà nous

Gérard VANDENBROUCKE, président de Limoges Métropole.

ANS un contexte écono-mique incertain, le débatd’orientations budgétairesde Limoges Métropole apermis de fixer le cap del’Agglo pour l’année à venir.

Celui-ci tient en deux mots : détermina-tion et réalisme. Détermination car nous sommes décidésà poursuivre des efforts d’investissementsoutenus pour l’équipement de nos 19communes (et donc, pour la vitalité dutissu économique local), avec une volontéréaffirmée d’assurer un haut niveau d’en-tretien des voiries, des réseaux et de sou-tien aux entreprises… Nous devrons pour cela continuer à fairepreuve de réalisme, notamment pourfaire face à la baisse significative des do-tations qui va toucher l’ensemble des col-lectivités locales et des EPCI. Uneattention accrue sera accordée à la maî-trise des dépenses de fonctionnementcourant. Cette vigilance de chaque ins-tant permettra à l’Agglo de ne pas aug-menter la pression fiscale sur les ménageset les entreprises… L’Agglo s’affirme chaque jour d’avantagecomme l’échelon idéal pour mettre enœuvre de grandes actions en matière dedéveloppement durable. Lauréate, il y aquelques jours, de l’appel à projets natio-nal ‘’Territoire à énergie positive pour lacroissance verte’’, Limoges Métropole esten pointe sur des thématiques telles que

la collecte et la valorisation des dé-chets (le dossier consacré au réemploidans ce numéro du Métropol en est uneexcellente illustration) et des projets in-novants tels que la création d’une cein-ture maraîchère sont en bonne voie… Il y a quelques semaines, ESTER a eul’honneur de recevoir deux visites minis-térielles. Il s’agit d’une belle reconnais-sance de la renommée de notretechnopole, de la qualité du travail effec-tué par les entreprises qui y sont implan-tées, accompagnées au quotidien par lesélus et les équipes de Limoges Métropole. Et si l’Agglo « mouille la chemise » pour ledéveloppement et l’aménagement deszones d’activités, pour attirer des entre-prises sur ses 19 communes, elle n’oubliepas de soigner son attractivité au plan in-ternational.Concrétisation du projet de ‘’soft landing’’initié par Limoges Métropole et le parctechnologique de Chicago, un déplace-ment sera organisé outre-atlantique auprintemps avec plusieurs de nos PME etPMI locales. Elles bénéficieront ainsi d’uneformidable opportunité de se faireconnaître et de s’implanter dans ledeuxième centre industriel des Etats-Unis… Un territoire respectueux de son environ-nement et des hommes qui y vivent, ou-vert sur le monde et désireux de partagerses compétences et ses valeurs, c’estaussi ça l’Agglo !

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DÉTERMINATIONET RÉALISME

SOMMAIRE4-7 : ÇA C’EST L’AGGLODécryptage du futur contrat de cohérenceterritoriale 2015-20178-12 : LE DOSSIERLe réemploi, mode d’emploi13-20 : AU COEUR DES COMMUNESL’actualité dans les 19 communes de l’agglo.21-26 : INITIATIVESUne agglo qui bouge.28 : GÉNÉRATION AGGLOUne page à destination des jeunes29-30 : LA RENCONTRE et L’AGENDA

contrat d’agglo« La preuve qu’on esttoujours plus fortsà plusieurs »

les ‘’flécher’’ vers d’autres types d’aides comme le plan de re-lance régional IRCELIM.Quel est le calendrier pour ce contrat ?Un premier document de synthèse a été réalisé, en quatre axesprincipaux (lire ci-dessous). La Région va délibérer en mars, l’Ag-glo avant fin mai. Les premiers projets seront donc lancés avantl’été.Quelques exemples ?Il y a le projet d’entrée de ville des Casseaux à Limoges, la créa-tion de pistes cyclables à Feytiat, une maison de santé à Peyril-hac… Ce sont des projets structurants qui vont améliorerconcrètement la vie quotidienne des habitants de l’agglo.

Stéphane MARMAIN.

Olivier Barlogis, directeur général des servicesde Limoges Métropole.

QUEL est exactement l’objectif de ce contrat de cohé-rence territoriale 2015-2017 ?

C’est un moyen pour l’Agglo et ses 19 communes d’avancer en-semble, de donner de la cohérence à l’action commune et ren-dre, de fait, les projets plus solides. Être plusieurs, ça permetde donner plus de chances aux projets d’aboutir. Chacun joueson rôle, à sa place. On est toujours plus forts à plusieurs.Comment les projets ont-ils été sélectionnés ?La Région a fait connaître ses orientations et indiqué quelstypes de projets elle était en mesure d’accompagner. L’Aggloa ensuite sollicité les communes : si vous avez des idées etdes projets qui peuvent s’inscrire dans ces critères, on prenddate et on contractualise. Il y a eu beaucoup de proposi-tions intéressantes dont certaines étaient déjà assez co-hérentes entre elles. Par exemple, une dizaine decommunes nous ont indiqué qu’elles souhaitaient travail-ler sur la problématique du développement du vélo, desvoies cyclables, de la mobilité. Il y avait là de quoi prépa-rer une action globale, cohérente, où les ambitions dechacun apportent une plus-value au projet global. Il y aensuite eu un ‘’tri’’ : certains projets ne correspondaientpas aux critères du contrat d’agglo mais nous avons pu

Avant l’été, le contrat de cohésion territoriale qui liel’Agglo à la Région sera bouclé et plusieurs actionspourront être lancées. L’idée : permettre aux com-munes de faire valoir des projets grâce au doublesoutien de Limoges Métropole, du Conseil régional etdu Département. Au programme, pas d’équipementsphares comme L‘Aquapolis mais un ensemble de pro-jets structurants au service des citoyens. Explicationsavec le directeur général des services de l’Agglo Oli-vier Barlogis.

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Le contrat s’organise en quatreaxes stratégiques : ‘’Pour uneAgglo actrice de la mobilité dura-ble’’ ; ‘’Pour une Agglo en mou-vement, innovante et créatricede richesses’’ ; ‘’Pour une Aggloresponsable, créative et auservice de la population’’ ;‘’Pour une Agglo ouverte et in-

clusive’’. Parmi les projets concrets, on peutciter la mise en œuvre d’un ‘’Plan vélo’’ surtoute l’agglo avec notamment un centre ré-gional à Bonnac-la-Côte, la création d’un‘’smart grid’’ pour une desserte énergétiqueintelligente de la ZA de la Grande Pièce, unepasserelle transport public-modes doux entreLa Bastide et le secteur Ester, la réhabilitationet le développement d’une base nature à La

Sablière au Palais, un schéma de développe-ment touristique, l’implantation de maisons desanté, le soutien au déploiement d’un réseaufibre très haut-débit, la constitution d’un pôleterritorial de coopération économiquedes entreprises d’insertion ou la créa-tion de logement sociaux adaptésau vieillissement et la réno-vation du parc social.

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Le Grand Périgueux a acquis les terrains mis à disposition des agri-culteurs, installé des infrastructures légères puis réalisé un réseaud’irrigation. L’association Agrobio coordonne le dispositif d'accom-pagnement. Le lycée agricole apporte un appui technique et mé-thodologique, et développe une activité de formation et d’insertion.La couveuse d’entreprises permet aux apprentis maraichers de dé-marrer leur activité, et la Chambre d’agriculture assure une partiedes débouchés. Elle gère également la maintenance et le renouvel-lement du matériel.Alain Delhoume, vice-président de Limoges Métropole en chargedes productions maraichères et horticoles, et Marie-Anne Robert-Kerbrat, secrétaire en charge de l’Agenda 21, étaient du voyage. Ilsont pu ainsi mettre en perspective la réflexion menée ici avec la réa-lisation du Grand Périgueux. Le point de départ du projet de l’Aggloest clair : « Faciliter l’installation de maraîchers confrontés à des dif-ficultés (accès au foncier, achat du matériel, formation, etc.) par undispositif global d’accueil incitant une consommation en circuitcourt et impliquant la restauration collective », rappellent les deuxélus. En 2012, la modification des statuts de Limoges Métropole apermis de déclarer d’intérêt communautaire les actions d’achat dufoncier agricole. Depuis, des études ont été menées sur l’activitémaraîchère et les modalités d’intervention de l’Agglo. Une cartogra-phie des zones maraîchères a été réalisée avec la Chambre d’agri-culture et la prospection est en cours pour l’acquisition de terres.La démarche est collective et implique tous les acteurs suscep-tibles d’apporter leurs savoir-faire agricoles et/ou leur maitrisedes enjeux économiques.

Céline JALLAIS.

LE projet de ceinture maraîchère était inscrit au pro-gramme du Grand Périgueux du précédent mandat,mais la personne en charge du dossier l’avoue modes-

tement, « nous étions plus habitués à semer des zonesd’activités que des légumes bio. Alors pour construire cebeau projet de façon cohérente, nous avons d’emblée tra-vaillé avec tous les acteurs concernés ». Outre la com-munauté d’agglomération, la démarche a ainsi mobilisél’association Agrobio, le lycée agricole, une couveused’entreprises et la Chambre d’agriculture.Les motivations du Grand Périgueux pour ce projetétaient multiples : maintenir une activité économiquede proximité et créer les emplois en lien, assurer unapprovisionnement en produits locaux en dévelop-pant des circuits courts, soutenir l’agriculture biolo-gique, encourager la formation et l’insertion dans lesmétiers de l’agriculture. Après recherche, c’est leDomaine du Chambon, à Marsac, qui a été retenu.Le site compte quatre espaces test de trois hec-tares chacun, réservés à des maraîchers à l’essai.

Une délégation de Limoges Métropole s’est rendueen Dordogne pour découvrir comment s’est forma-lisé le projet de maraîchage orchestré par la com-munauté d’agglomération du Grand Périgueux. Deson côté, l’Agglo avance dans sa réflexion deceinture maraîchère en glanant ici et là lesbonnes pratiques.

projet de ceinture maraîchère :l’exemple de l’agglo de périgueux

Alain Delhoume et Marie-Anne Robert-Kerbrat ont découvertle projet de maraîchage péri-urbain mis en œuvre à Périgueux.

Transports et ressources : David Buchet,deux pôles pour un seul homme

un laboratoire de développement donnant la possibilité de mettreen place de nouvelles actions en lien avec les valeurs de solidaritéet de cohésion.Quelques grands projets lui tiennent alors à cœur : le haut et le trèshaut débit, dont les enjeux territoriaux sont majeurs, les grands pro-grammes européens et les transports, sujet pour lequel il s’est prisde passion en ayant la responsabilité de la gestion des TER.Les transports, David Buchet les retrouve aujourd’hui à l’Agglo, etpour lui la question de service est la même sur route ou sur rail qu’aucœur de l’administration. Service aux usagers. Service aux élus.« Etre agent de la fonction publique territoriale, c’est être à l’inter-face ». En prenant également la direction du pôle ‘’ressources’’, ilrend plus explicite encore cette dimension : « Je me sens garant dubon fonctionnement de l’établissement et de sa pérennité. Noussommes des courroies de transmission ».Trois grands principes sous-tendent sa mission, pour mettre enmouvement, avec les autres pôles, l’action communautaire définiepar les élus. La question de l’accès au service rendu et de l’équitéde traitement est en première ligne : « les transports en communn’ont de pertinence que s’ils sont accessibles à tous, par exemple ».Vient ensuite la capacité à se projeter, avec pour cela un travailde programmation et de contractualisation. Enfin, la profes-sionnalisation de certains métiers, comme ceux des res-sources humaines, est essentielle.

Céline JALLAIS.

DAVID BUCHET a 46 ans et une poignée de main plutôtfranche. Ces arguments sont cependant totalementétrangers au choix des élus de l’Agglo, qui voient plutôt

en lui un homme détenant une connaissance accrue du dé-veloppement local, des collectivités et du droit.C’est là son ferment. David Buchet est juriste. Enseignant-chercheur en droit à Tours puis à Poitiers, il a ressenti, par-venu à la trentaine, le besoin de passer de l’autre côté dumiroir pour toucher du doigt le prolongement concret deses recherches et « mettre les mains dans le cambouis ».Direction la Région Bourgogne puis la Région Centre, oùles finances locales et l’Europe sont au cœur de ses mis-sions avec, en fil rouge, les notions de cohésion territo-riale, de coopération et de redistribution des richessespar la puissance publique.Il y a 11 ans, David Buchet intègre la Région Limousinpour prendre en charge la délégation coopération. Ildevient ensuite directeur général adjoint à l’aména-gement du territoire. Sa venue en terres limousinesest un vrai choix. À l’époque, il a vu dans ce territoire

La structuration de l’Agglo nouvelle génération setermine. Le nouveau directeur général adjoint encharge des pôles ‘’transports’’ et ‘’ressources’’, ap-porte sa maîtrise des enjeux territoriaux au fonc-tionnement de l’EPCI.

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sonia, dessinateur projeteurau bureau d’étudespôle infrastructures et ressources techniques

la vie et le travailen dimension ‘’plaisir’’

D’ UN écran à l’autre, d’unevue à l’autre, d’une ca-méra à l’autre, la souris

de Sonia n’en finit jamais dedanser. Avec fougue et passion.Et quand la souris, enfin, finit devirevolter, c’est presque unnouveau monde qui apparaît...C’est ça, le boulot de Sonia :donner à voir ce qui n’existe pasencore. Des rues, des quartiersà réaménager, des bâtiments,comme la nouvelle média-thèque de Rilhac-Rancon il y aquelques mois, tous ces projetsqui, une fois ‘’construits’’ sousses doigts en trois dimensions,le seront en quatre par leséquipes techniques, sur le ter-rain. « Pour la médiathèque, jen’étais jamais allée aussi loindans le réalisme de la projec-tion, explique la jeune femme.Cela m’a obligé à ‘’gratter’’ en-core plus, à faire tourner monintellect encore plus vite, pourmettre en scène les matériaux,les transparences des verrières,les lumières... ».

« Aujourd’hui tout passepar l’image »

Du gadget tout ça ? « Pas dutout ! Aujourd’hui, tout passepar l’image, tant pour les élus,les décideurs, les techniciens,que pour la population. Avec detels plans, qui sont en fait qua-siment de vraies photos, on voittout immédiatement, y comprispour le choix des matériaux ».Pour ses petits tours de magie

virtuels, Sonia travaille avec lemême logiciel que celui utilisédans le cinéma pour créer effetsspéciaux et images de synthèse,« mais eux vont tellement plusloin ! Moi je n’utilise qu’à peine40% des possibilités qui exis-tent, je pense ». Qu’importe.Pour elle, chaque projet est unnouveau jeu, un nouveau chal-lenge, une nouvelle petite expé-rience, « et c’est avec tout celaqu’on finit par acquérir descompétences. C’est tellementagréable de maîtriser un savoir-faire ».

Ce savoir-faire, Sonia me-sure chaque jour son impor-

tance etla chancequ’elle ade pou-voir ledévelop-per. « Lap l u p a r t

des collectivités font appel àdes bureaux d’études extérieurspour de tels travaux. LimogesMétropole dispose donc d’unoutil rare, et je suis fière d’enêtre l’artisan au quotidien ».

Quand, il y a presque 20 ans,elle a quitté la fédération com-pagnonnique, où elle a suivitoute sa formation, le dessin as-sisté par ordinateur n’en étaitqu’à ses balbutiements. Et cellequi, au départ, ne ‘’faisait’’ quedans le bâtiment, a accepté lechallenge de rejoindre la mairiede Limoges, puis Limoges Mé-

tropole depuis sa création en2003, pour développer juste-ment ces outils en 3D. « Avec unpeu d’appréhension, mais cetravail est vite devenu passion-nant », reconnaît-elle, sourirevissé sur les lèvres.

Une passionnéeUne passion qui depuis ne l’a

jamais quittée et qui ne cessemême de grandir. « J’en viens,quand je me promène en ville, àexaminer les bordures de trot-toirs, voir s’ils sont aux normes,etc. Ce qui, avant, était quandmême le cadet de mes soucis !Mais on n’imagine pas, quand onne sait pas, les contraintes etcalculs que demande un chan-tier... ».

Cette petite déformationprofessionnelle ne lui fait évi-demment pas perdre son éner-gie et sa bonne humeur. Etcomme Sonia a toujours besoinde voir les choses sous plusieursangles, et de naviguer dans plu-

sieurs dimensions, elle s’auto-rise, en plus de sa passion dudessin 3D, d’autres petits plai-sirs, comme la lecture (« je dé-vore plus de 40 livres par an ! »),l’architecture d’intérieur « pourles amis » et les percussionsbrésiliennes, qu’elle pratiquedepuis 10 ans...

Vanessa MONTEIL.

« UN OUTILRAREDANS UNECOLLECTIVITÉ »

bureaud’études

Une dizaine de technicienstravaille au bureau d’étudesdu Pôle infrastructures etressources techniques de Li-moges Métropole. Ils sontchargés de concevoir lesplans des différents travauxprogrammés (voirie, aména-gement de l’espace et dubâti), selon les besoins, lesnormes, et de définir ainsi lesmatériaux et méthodes àutiliser.

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LES meilleurs déchets sont en-core ceux qui ne sont pascréés, et faire du neuf avec duvieux pour détourner astu-cieusement leur profusion, onn’a rien trouvé de mieux. C’est

cette philosophie qui régit le réemploi etplus largement l’économie circulaire.L'économie circulaire fait partie de cesconcepts en lien avec une nouvelleconsommation basée sur le recyclage, laréutilisation des objets, et les servicesentre personnes. Elle s’oppose à l'écono-mie du gaspillage et comprend les cir-cuits qui donnent une deuxième vie auxobjets en les réemployant entre particu-liers, par le biais des achats d'occasion,du don ou de la location.

Les actions de l’AggloLe Programme local de réduction des dé-chets de Limoges Métropole est enmarche depuis 2010 et il y a encore fortà faire pour détourner du rebut des ob-jets qui peuvent aspirer à une deuxièmeexistence. En déchèterie, on se débar-rasse souvent de vaisselle, d’électromé-nager, ou de petits meubles en bon étatqui finissent alors prématurément leurvie.Plusieurs actions ont été mises en placepar l’Agglo pour favoriser un nouvelusage de ceux-ci. Désormais, vous avezle choix entre les journées réemploi et lesbennes installées en déchèterie.Pour la quatrième année consécutive, lespremiers samedis de chaque trimestre,

RÉEMPLOI :une vie après l’usage

Dossier : Céline JALLAIS. Photos : Vanessa MONTEIL.

VOTREdossier

Il fut un temps où le réemploi était l’apanage de ceux qui n’avaient pasles moyens de faire autrement. On appelait cela le système D et il était rarede s’en vanter… Aujourd’hui, voilà le réemploi promu au rang d’actionécocitoyenne de premier plan allégeant le volume des déchets traités.À l’Agglo, c’est l’un des éléments de l’ambitieux Programme localde réduction des déchets et les actions se multiplient avec efficacité.

Limoges Métropole orga-nise des journées réemploien déchèterie, en partena-riat avec trois associationsdu territoire. En 2015, cesont les associations ALEAS,Maximum 87 et la Croix-Rouge qui se font le relais del’action et prennent en chargeles objets récoltés pour les re-mettre sur le marché via leursmagasins solidaires.Rendez-vous les premiers sa-medis de chaque trimestre dansles déchèteries Samie et duCavou à Limoges, et dans celle dePanazol (lire en page 12).

Les bennes réemploiNouvelles venues dans le paysagede l’Agglo, des bennes réemploi ontélu domicile dans quelques déchète-ries pour faciliter un peu plus l’apportdes objets voués à être réutilisés. Lespremières ont été installées en 2014dans les déchèteries de Couzeix etLebon à Limoges. Elles ont à elles deuxpermis de récolter pas moins de30 tonnes d’objets. Devant de tels résultats, Limoges Métro-pole a décidé cette année d’étendre lapratique à d’autres communes, avec lapose de deux nouvelles bennes, l’une àEyjeaux, l’autre à Saint-Gence. Aléas(pour Eyjeaux) et Maximum 87 (pourSaint-Gence) sont les deux associationspartenaires de cette démarche.

Ellesréparent ou restau-

rent ensuite les objets récoltés pourensuite les mettre en vente dans leursmagasins solidaires.

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des chiffresen 2014

Journées réemploi : Trois tonnes d’objets récupéréspar ALEAS, la Croix-Rouge et Emmaüsdans les trois déchèteries de Limoges.

Bennes réemploi :30 tonnes d’objets récupérés à Couzeixpar Maximum et à Lebon par ALEAS.

Traitement des encombrants :118 euros/tonne, comprenant la locationet la rotation des bennes à Alvéol, soit3.894 euros d’économies, et 1.100 eurosde location des bennes de réemploi. Soitau total 2.764 euros d’économies pourLimoges Métropole.

VOTREDOSSIER

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ÀLa Ressource-rit, on récu-père, on trie, on teste, onnettoie, on retape, et on

met en boutique. On stocke lemoins possible et on fait tournerau maximum les objets pour leurdonner toutes les chancesd’être ré-adoptés. Ce qui esthors d’usage repart dans les fi-lières spécifiques de retraite-ment des déchets, organiséesselon leur nature : mobilier, ap-pareils électriques, plastiques,cartons, etc.

ALEAS, qui gère La Res-source-rit depuis son ouvertureen juin 2014, a 33 ans. L’asso-ciation, créée à l’origine dansune optique de lutte contre lechômage, a pour objet premierl’insertion par l’emploi ou la for-mation qualifiante. Transportsocial et débarras, friperie,dépôt-vente, auto-école soli-daire, dispositif de réparationpénale et chantiers d’insertionmulti-activités font partie deses activités. Partenaire fidèlede l’Agglo pour les Journées duréemploi, l’association s’investitpleinement sur ce nouveau cré-neau et adhère en décembre2013 au réseau des ressource-ries.

Une suite logiqueL’idée est assez simple : dé-

tourner davantage encore d’ob-jets réutilisables provenant

des déchèteries, incinéra-teurs ou centres de

stockage des déchetspar différents moyens

: débarras chez lesparticuliers contre

dons en nature,dépôts ou dons

volontaires à laressourcerie,

revalorisa-tion d'ob-

jets de seconde vie vendus àprix modiques et partenariatavec la communauté d’agglodans le cadre des actions réem-ploi. Pour Robert Besse, prési-dent d’ALEAS, c’est une suitelogique dans l’histoire de l’asso-ciation, qui travaille depuislongtemps sur la question dedeuxième vie des objets.

« On n’invente rien »Cela faisait quelques temps

déjà que le projet murissait dansla tête de Jean-Paul Queyroi,salarié du SYDED. Fin 2013, il re-joint l’équipe d’ALEAS pourmener à bien le projet de res-sourcerie. Initialement, celui-cidevait être formalisé dansl’ouest limousin, mais ce serapour plus tard (en avril 2015 àSaint-Junien). C’est d’abord àLimoges qu’il voit le jour avecl’ouverture, en juin dernier, deLa Ressource-Rit, grâce, engrande partie, aux actionsréemploi de Limoges Métropole.L’an passé l’association a ainsipu remettre dans le circuit 27tonnes d’objets qui, sinon, au-raient été jetés.

« On parle d’économie circu-laire mais on n’invente rien !Jusqu’alors nous ne gérions quela ‘’crème’’ du récupérable avecnos dépôts-vente et nos fripe-ries. Avec La Ressource-rit, onboucle la boucle. Bien sûr, leréemploi n’est pas une fin en soi.Ce n’est pas non plus le remèdeà tout. C’est un maillon de lachaîne, qui était auparavantsous-utilisé faute de structura-tion. La convention signée avecl’Agglo nous permet d’aller plusvite aujourd’hui ».Pour faire fonctionner la petite‘’entreprise’’ située dans le pro-longement de la rue François-Perrin, à Limoges, neuf emplois

LA RESSO un centre de remise en fo

Depuis la mise en place de ses actions en faveur du réemploi, l’Agglo travaille main dans la mainavec diverses associations impliquées depuis des années dans une démarche d’économie circulaire.C’est le cas notamment d’ALEAS, qui a ajouté une nouvelle corde à son arc en 2014 en ouvrantà Limoges La Ressource-rit, conséquence directe des nouvelles collectes générées par Limoges Métropole.

ont été créés : cinq postes en in-sertion, deux postes perma-nents et deux postesd’encadrants. Les missions vontde la collecte à la vente en pas-sant par la remise en état ou lacustomisation. Là aussi il estquestion de deuxième vie ou deseconde chance, mais pour lespersonnes. « Une constanterégit notre vision de l’insertion,insiste Jean-Paul Queyroi. C’est

l’épanouissement des gens quiretrouvent chez nous une place,un rôle social ».

Cet épanouissement, on leretrouve aussi dans le parcoursd’insertion de jeunes femmesqui, en contrat à La Ressource-rit sur des postes divers, partici-pent à un atelier couture auGRETA et se prennent de pas-sion pour la transformation destextiles. L’atelier est l’initiative

La Ressource-rit, ouverte en juin 2014, a permisde créer neuf emplois, dont cinq en insertion.

VOTREDOSSIER

« Le réemploi n’estpas une fin en soi.

C’est un maillonde la chaîne

qui était auparavantsous-utilisé »

Jean-Paul Queyroi, responsablede La Ressource-rit.

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URCE-RIT : rme pour les vieux objets

de Véronique Patris, en chargede l’insertion chez ALEAS, qui àses heures perdues customisaitles habits et chutes de tissus ré-coltés.

Côté clients ? Le réemploi n’arien à voir avec une économiede la pauvreté. Certes, La Res-source-rit, comme tous les ma-gasins solidaires, compte parmises clients des familles en diffi-culté mais aussi des personnes àla fibre éco-citoyenne ou d’au-tres qui viennent pour le plaisirde chiner.

+ d’infos :La Ressource-rit :345, avenue François-Perrin,à Limoges.La Troc : 176, avenue De-Lat-tre-de-Tassigny, à Limoges.

Monique a 53 ans et cela fait désormais 10 ansqu’elle prend un malin plaisir à transfigurer lepetit mobilier invendu dans son atelier situé àLa Troc, le dépôt-vente limougeaud d’ALEAS.Redonner du cachet à un meuble, c’est parfoistrois fois rien, parfois un peu plus.« Passez un coup de pinceau et il ne sera déjàplus le même », dit celle qui se réjouit de pou-voir offrir une nouvelle histoire à des objets quien ont déjà vécu une. En 2005, quand elletoque à La Troc, elle a en poche un CAP de me-nuiserie-ébénisterie et propose ses services.Elle est d’abord embauchée à mi-temps puis àtemps plein, et aujourd’hui, victime du succèsde son activité, elle encadre deux postes en in-sertion destinés à lui prêter main forte.Pour être ‘’customiseuse’’ chez ALEAS, il faut

user d’ingéniosité, trouver des combines pourn’utiliser que des matériaux récupérés dans lamesure du possible.Par exemple, Monique habille une vieille malled’un sac de café réformé en toile de jute venude chez un torréfacteur limougeaud, et voici lavieille malle devenue furieusement tendance.« Un peu de colle et de tissus et l’affaire estfaite ». D’un bahut tout bête elle fait unbuffet rigolo ayant pour poignées desfourchettes, des cuillères et des cou-teaux.Le travail de Monique à La Troc estun vrai défi ludique, débrouillard etcréatif, dont le rendu est à la hau-teur d’un travail artisanal degrande qualité.

Monique Barrière‘’Customiseuse’’ professionnelle

VOTREDOSSIER

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Quelle est la raison d’être duréemploi dans les actions deLimoges Métropole ?En 2010, nous avons signé avecl’ADEME, l’Agence de l’environ-nement et de la maîtrise del’énergie, un Programme localde réduction des déchets(PLRD), qui nous engage à ré-duire de 7 % au minimum leurproduction. Le réemploi est unefaçon parmi d’autres de détour-ner de la condition de déchetspotentiels des objets qui peu-vent resservir. C’est un maillonqui vient s’ajouter aux autresactions que la Communautéd’Agglo mène en complémen-tarité : compostage, broyagedes végétaux, lutte anti-gaspi).

Quelles sont les autres ac-tions à développer pour allerplus loin ?Sur le plan du réemploi, nousavançons étape par étape. Avecles Journées réemploi, d’abord,avec les installations de bennes

+ d’infos :

Direction de la propretéLimoges Métropole : n° vert0 800 86 11 11 (appel gratuitdepuis un poste fixe)www.agglo-limoges.frALEAS :www.association-aleas.frMaximum 87 : www.associa-tionmaximum.comRéseau des ressourceries :www.ressourcerie.frCroix-Rouge : www.limoges.croix-rouge.fr

Maximum 87,une autre voieALEAS n’est pas la seule as-sociation partenaire de l’Ag-glo sur le front du réemploi.La Croix-Rouge est impli-quée depuis l’origine et plusrécemment, la Communautéd’agglomération a passé uneconvention avec Maximum87, association basée àMailhac-sur-Benaize dontl’activité s’étend sur 63 com-munes, du sud de l’Indre aunord de la l’agglo.Créée en 1991, Maximum 87avait pour objectif de net-toyer la campagne des en-combrants qui la polluait.Quatre piliers structurentdésormais son activité deréemploi : la collecte, la va-lorisation, la revente et lasensibilisation. « Participer àla notion d’économie soli-daire fait partie de nosgênes », souligne Yann Bar-raud, directeur de l’associa-tion. Maximum 87 compte 10postes d’insertion et 12 per-manents. Aucun emploi sup-plémentaire n’est prévu dansl’immédiat, mais la situationévolue en fonction de l’acti-vité croissante des nouveauxpoints de collecte.

« une des actions de notre plande réduction des déchets »

Jean-Noël JoubertAdjoint au maire de Veyrac,secrétaire de Limoges Métro-pole en charge du traitementet de la valorisation des dé-chets.

en secteur urbain puis en milieurural ensuite. Il faut être enphase avec la capacité des dé-chèteries à accueillir des bennesde réemploi, et celle des asso-ciations à valoriser ensuite lesobjets collectés. En fonction del’écoulement enregistré et desventes effectuées, nous nousattèlerons peut-être à d’autresgisements, comme ceux desquartiers, par exemple.

Et sur les autres champs d’in-tervention du PLRD? Il nous faut vraiment insister sur

toutes les actions relatives auxdéchets organiques. Le ‘’Pique-nique zéro gaspi’’, à l’automne,a été une belle réussite mais ilne faut jamais baisser la gardeet sans cesse informer, sensibi-liser et/ou remobiliser. C’estdans cet esprit que nous éditonsune nouvelle plaquette sur lamise à disposition de compos-teurs par les services de Li-moges Métropole et sur laprestation de broyage des vé-gétaux, qui a connu une baissede tarifs drastique dans le butde la développer davantage.

VOTREDOSSIER

Calendrier des journées du réemploi 2015

Des actions de sensibilisation au réemploi sontmenées dans les communes de l’Agglo auprèsdes enfants, comme ici à Eyjeaux et Saint-Gence.

ARRÊT À...Panazol, commune partenairedes 70 ans du Secours Populaire

A L’AFFICHESolignac et Feytiat : des travaux d’envergurepour mettre en valeur le patrimoine

Saint-Just : plus de 600 dessinsdu monde entier pour ‘’Charlie’’

Limoges Métropole, on ne le répétera jamais assez, ce sont 19 communes quitravaillent ensemble à un projet commun. Un slogan qui a du sens : toutes lesdécisions sont prises après consultation des élus représentant les communes ettoutes les décisions sont faites pour que tous les habitants des communes ytrouvent leur compte. L’exemple d’un équipement communautaire commeL’Aquapolis est à ce titre parlant : il est installé à Limoges mais toutes les écolesdes 19 communes de l’agglo qui le souhaitaient ont pu obtenir des créneaux pourque les enfants apprennent à nager.

C’est aussi parce que l’Agglo et ses communes sont indissociables que ‘’LeMétropol’’ s’attache, à chaque numéro, à évoquer les projets menés, avec ou

sans l’Agglo, au sein des communes. Ainsi, vous lirez ci-après comment Pa-nazol s’engage aux côtés du Secours Populaire qui fête ses 70 ans,

comment le salon de l’humour de St-Just tente de réapprendre àvivre après le drame de Charlie Hebdo, comment Feytiat, Le

Palais ou Solignac travaillent à une revitalisation per-manente, vous en saurez davantage sur ‘’Lire à Li-

moges’’ ou les ‘’Veyracomusies’’...Je tiens à remercier chaleureuse-

ment les maires et leurs équipespour leur contribution et je

vous souhaite à tousune bonne lec-

ture.

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Pascal Robert,maire de Verneuil,

vice-président déléguéà la communication

solignacle centre-bourgrevalorisé et sécuriséLe chantier est d’envergure : plus de huit mois de travaux prévus (ilsont débuté en novembre 2014), un budget de 830.000 euros, finan-cés par la Communauté d’Agglo, la commune de Solignac, et leConseil général (à hauteur de 60.000 euros) dans le cadre ducontrat d’aglgomération. Le but ? Réduire la vitesse des véhiculesdans le centre-bourg, rue du 11-Novembre, sécuriser la traverséepiétonne entre les places du 8-mai et Georges-Lemaigre-Dubreuil,et enfin valoriser ces deux places, qui surplombent l’abbatiale.

Outre les nécessaires travaux d’assainissement et de réfection deschaussées et trottoirs, un plateau piétonnier sera réalisé, entraînantune modification du stationnement, de l’organisation des événe-ments (comme le marché) dans cet espace, et de l’arrêt de bus.Enfin, une partie du mur situé place Lemaigre-Dubreuil sera égale-ment démolie pour améliorer la visibilité et l’accessibilité à l’Officede Tourisme et au jardin public, remplacé par un nouvel espace pay-sager, offrant une nouvelle perspective sur l’abbatiale.

L’ancien village des vanniers, classé en Zone de protectiondu patrimoine, sera totalement réaménagé.

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Feytiatle mas-gauthierfait peau neuve

le palais-sur-vienneenfin du nouveauavenue de limoges

Les travaux, commencés début février, devraient prendre fin dansl’été. Un mal nécessaire pour que le village du Mas-Gauthier, à Fey-tiat, se refasse entièrement une beauté. Chaussées, caniveaux,pavés, trottoirs,... la deuxième phase de cette restructuration d’en-vergure, commencée l’année dernière avec le reprise de l’assainis-sement et l’effacement des réseaux aériens, est réalisée sous l’égidede Limoges Métropole, avec l’aide de la mairie de Feytiat.le village du Mas-Gauthier étant situé dans une Zone de protectiondu patrimoine, ce réaménagement tient compte des caractéris-tiques patrimoniales des lieux. Des matériaux adaptés seront doncutilisés (revêtement souple, coloré et compacté à base de sable etde gravilons, et granit pour la chaussée et les trottoirs). Enfin, dansle cadre des mesures prises par l’Agglo pour la promotion de l’emploides personnes en difficulté d’insertion, 315 heures de travaux serontréservés pendant ce chantier, à des personnes en insertion.

Depuis trop longtemps, l’accès au Palais depuis les Casseaux offrele triste visage d’un paysage de friches industrielles, faites de rouille,de béton usé, de gravats abandonnés et de maigres arbustes quitentent de maintenir ici un semblant de vie.Mais une bonne nouvelle arrive enfin en ce début d’année 2015 : lestravaux de réhabilitation de la friche pétrolière, située sur le côtégauche de l’avenue de Limoges (dans le sens Limoges-Le Palais),prévus depuis l’année dernière, ont débuté fin février. Un retard dûà la finalisation par le propriétaire de longues études environne-mentales, nécessaires dans le cadre de la réhabilitation de tels ter-rains, au passé industriel marqué. Les travaux ont commencé par ladémolition des bâtiments et l’évacuation des gravats, puis se pour-suivront par les travaux de terrassement nécessaires à la construc-tion du futur Super U, qui devrait ouvrir ses portes à cetemplacement au printemps 2016, en créant une trentaine d’emplois.

La place est interdite au stationnement depuis la mi-janvier.

En lieu et place de l’ancienne friche pétrolière, à l’entréedu Palais, le futur Super U devrait ouvrir au printemps 2016.

veyracles veyracos,c’est du 13 au 16 mai !

C’est maintenant une traditiondepuis trois décennies : leweek-end de l’Ascension, àVeyrac, rime avec musiques,toutes les musiques. Avec ren-contres aussi, avec partage.L’édition 2015 du festival desVeyracomusies, la 29e, devraitvenir confirmer le succès de cerendez-vous, surnommé de-puis longtemps ‘’Le plus granddes petits festivals’’, fréquentéchaque année par plus de4.000 festivaliers, et porté àbout de bras par une cinquan-taine de bénévoles infatiga-bles et dévoués.Concerts, spectacles, exposi-tions et rencontres, ambiancechaleureuse et familiale : la re-cette demeure inchangée et lesite du Mas-Martin devraitcette année encore vibrerl’espace de quatre nuits unpeu magiques...

En attendant le jour J, une soi-rée de soutien aux Veyracosaura lieu le 28 mars, au Mas-Martin. L’occasion de présen-ter le programme du festivalautour d’un repas.Pour les plus impatients, ren-dez-vous sur le site internetwww.veyracomusies.com.pour découvrir en exclusivitéla liste des réjouissances decette 29e édition. Quelquesnoms ? Raul Paz, La CafeteraRoja ou Les Franglaises...Inscriptions au repas du28 mars au 05.55.03.53.11

limogeseric-emmanuel schmittinvité d’honneurde ‘’lire à limoges’’La prochaine édition de ‘’Lire à Limoges’’ se tiendra les 10, 11 et12 avril, au champ de Juillet. Pendant ces trois jours, près de 300 au-teurs de littérature générale, jeunesse, et bande dessinée, viendrontà la rencontre du public grâce aux séances de dédicaces, rendez-vous littéraires, animations et conférences.Pour cette nouvelle édition, ‘’Lire à Limoges’’ a choisi de mettre àl’honneur l’écrivain, homme de théâtre et philosophe Eric-Emma-nuel Schmitt, devenu en deux décennies l’un des auteurs franco-phones les plus lus et les plus représentés dans le monde, plébiscitéà la fois par le public et la critique (‘’Oscar et la dame rose’’, ‘’OdetteToulemonde’’, ‘’Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran’’,...) et cou-ronné de nombreux prix, dont plusieurs Molière et le Grand prix duthéâtre de l’Académie française.Parmi les nouveautés du salon cette année, la tenue, le vendrediaprès-midi, d’une master class philo, animée par Eric-EmmanuelSchmitt, destinée en priorité aux élèves de terminale, mais aussi unereprésentation de ‘’Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran’’, au Cen-tre culturel Jean-Gagnant, le samedi soir.

Autre nouveauté : une après-midi polar le samedi à l’Espace Cité. De nombreuses maisons d’édition locales seront présentes cetteannée, et la part belle sera également faite aux librairies sous lechapiteau du champ de Juillet.Parmi les invités (sous réserve) de cette édition : Marek Halter, Ja-nine Boissard, Vladimir Fedorovski, Marc Lavoine, Daniel Picouly,Jean Teulé, Madeleine Chapsal, Maud Tabachnik, Audrey Pulvar,...

couzeix‘’elles... 4’’ : artisteset femmeslibres

L’Association culturelle deCouzeix fête cette année ses 20ans. Un anniversaire qu’elle achoisi de célébrer en mettantévidemment à l’honneur les arts,mais plus particulièrement lesfemmes dans l’art.

Pour la traditionnelle expo-sition de printemps, le mois demars étant également celui dela Journée de la femme, elles se-ront quatre, justement. Quatreartistes réputées qui unissentleurs talents pour offrir, du 14 au29 mars, une expo exception-nelle au Centre culturel. Quatrefemmes libres, aussi, qui s’expri-ment au travers d’oeuvres trèscontemporaines, figuratives ouabstraites. ‘’Elles... 4’’, ce sontHélène Belin, peintre et graveur,

Maya Boisgallays, égalementpeintre et graveur, Adeline Bre-ton, sculpteur et graphiste, etMarie-Thérès Delannoy, peintre.Des artistes qui, après de nom-breuses expositions person-nelles ou collectives, ont choiside venir faire partager leur pas-sion à Couzeix.

A voir tous les jours, du 14 au29 mars, au centre culturel,de 14h30 à 18h30. Entrée libre.Vernissage le vendredi 13 marsà 18h30.

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Photo archives Laurent Lagarde/ Ville de Limoges.

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70 ans du secours populaire :une chasse aux oeufs et une expo ‘’Légendaires’’

EN avril, la ville de Panazolsera l’un des points de miredu 70e anniversaire du Se-

cours Populaire, autour du parcde La Beausserie et de la média-thèque.

La grande chasse aux œufsde Pâques, c’est toujours l’undes moments privilégiés desanimations proposées chaqueannée par la Fédération haut-viennoise du Secours PopulaireFrançais (SPF), mais cetteannée, elle aura une saveur par-ticulière. Pour la première fois,en effet, ce ne sera pas le parclimougeaud du Moulin-Pinardmais le parc de La Beausserie àPanazol qui accueillera lesquelque 2.000 enfants partici-pant à cette journée festive. Laville de Panazol et la section lo-cale, très active, du Secours Po-pulaire, ont, en effet, voulus’associer au 70e anniversairedu SPF en accueillant plusieursmanifestations.

Cette chasse aux œufs, c’estbien sûr un moment ludiquepour les enfants des bénéfi-ciaires qui partiront à la re-cherche de 3.000 œufsdissimulés dans les moindres re-coins de verdure, mais c’estaussi une grande fête de la soli-darité permettant de collecterdes fonds pour une grandecause. Cette année, ce sera enfaveur de l’école Molière-Chandler à Jacmel, en Haïti, unétablissement soutenu par leSecours Populaire (lire ci-contre).

Et il y aura de nombreusesanimations pour occuper lesadultes et les enfants (jeux de

Arrêt à...

société, maquillage, barbe-à-papa, buvette, château gonfla-ble, initiation à la pêche,baptêmes en moto, prome-nades en poneys, stand d’arti-sanat d’Haïti, braderie, foire auxlivres, découvert du skateboard,animations musicales, échas-siers, ateliers nature et jardi-nage, stand pédagogique sur le

tri sélectif avec la direction de lapropreté de Limoges Métro-pole…), sans oublier le tradi-tionnel lâcher de ballons.

Sobral :planche et dédicaces

Avant cette grande journéedu lundi de Pâques, Panazol

aura déjà accueilli les équipesdu Secours Populaire juste auxabords du parc de La Beausserie: la magnifique médiathèqueaura en effet accroché, du 30mars au 5 avril, l’expositionconsacrée aux fameux ‘’Légen-daires ‘’de Patrick Sobral. Uneexpo présentée au salon de laBD d’Angoulême avec desplanches originales et des per-sonnages grandeur nature.

Comme toujours, avec lagentillesse et la disponibilitéqu’on lui connaît, le dessinateurse prêtera au jeu de la dédicace,le samedi 4 avril, de 14 h à 17 h.

Et dans le même temps, onpourra acheter des boîtes degalettes ‘’Légendaires’’ propo-sées depuis Noël par le SecoursPopulaire (dans une boutiqueéphémère qui était installéeplace Denis-Dussoubs à Li-moges mais aussi sur le site in-ternet spf87.org), des boîtes‘’collector’’ à un prix très léger(9 euros) qui sont en fait les pre-miers produits dérivés de la BDet qui se sont déjà vendues àplus de 3.000 exemplaires !

De Limoges à Haïti

PANAZOL

C’est avec l’association limougeaude ACEM (Association contre l’enfance maltraitée) créée par d’an-ciens élèves du Centre Albiciade Pommayrac de Jacmel en Haïti, que le Secours Populaire a conduitune opération exemplaire dans cette ville côtière du sud-est du pays. Il s’agit de la constructiond’une école située à la sortie de la ville dans la localité rurale des Orangers, une école gratuite pourun accès à tous. Plusieurs missions ont suivi pour accompagner le fonctionnement de cette écoleet un volontaire français est resté sur place un an pour collaborer avec l’équipe enseignante. D’au-tres projets ont été menés dans ce secteur par le Secours Populaire de Haute-Vienne, en partenariatavec l’Etat, la Région Limousin mais aussi plusieurs ville de l’agglo (Limoges, Panazol, Feytiat et Isle),notamment le soutien à une école de musique ou à un groupement paysan qui possède aujourd’huiun moulin à maïs et un poulailler communautaire… approvisionnant la cantine de l’école.

La chasse aux oeufs de Pâques est devenue une manifestationincontournable pour le Secours Populaire de Haute-Vienne.

(Photo archives SPF87-Michel Corneloup)

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saint-justdu sang, des larmes...et demainPlus de 600 dessins. Il y en a dehors, dans le hall, sur les écrans desordinateurs, dans des cartons… Les dessinateurs du monde entieront tenu à rendre hommage à leurs collègues assassinés. Et au-jourd’hui, dans chaque mètre carré de l’espace Loup, les visages deCabu, Tignous, Wolinski, Honoré et Charb vous renvoient leurs sou-rires cabots et potaches. « Ça va tellement nous manquer de ne plusles avoir au téléphone chaque semaine, de ne plus rigoler avec eux,avoue Marie-Christine, pilier du salon, les yeux rougis, qui se sou-vient du jour tragique : « Quand on a appris, on n’avait pas beaucoupd’infos, donc on a essayé de les joindre sur leur portable… ils n’ontjamais répondu. On a encore du mal à y croire ». Alors pour tenter d’exorciser, au sein de l’équipe, on raconte desanecdotes improbables, des tranches de vie magnifiques, on égrèneles souvenirs comme un chapelet de bonheurs perdus. Oui, bien sûr,il y aura un hommage aux amis disparus pour le 34e Salon en sep-tembre mais sous quelle forme ? Pour l’instant mystère. « Loup nous

a appelés pour nous dire qu’il fallait rebaptiser l’Espace Loup en ‘’Es-pace Cabu’’, on lui dit que non, bien sûr, que Cabu n’aurait pasvoulu… En tout cas, il n’y aura sans doute pas de prix spécial commeà Angoulême. Ils ont quasiment tous eu individuellement le Prix del’Humour vache, même plusieurs fois pour certains… Et leurs dessinssont là, partout, et seront évidemment présents dans les expos. Çasera un salon très particulier, avec beaucoup de tristesse, beaucoupd’émotion… ».En attendant, l’exposition hommage est bien sûr toujours visibledans le grand hall du centre permanent. Des dessins du monde en-tier, beaucoup de petits chefs d’œuvre. Car c’est hélas souvent lesdrames les plus terribles qui inspirent le talent des dessinateurs. Il ya des perles d’humour noir évidemment, mais aussi et surtout desmessages d’espoir. Pour la liberté. Pour la fraternité. Pour que de-main, comme dirait l’autre, tout soit vraiment pardonné.

S.M.

boisseuilLo marende :du régal en barquette

Les frères Pradeau ont plusd’un tour dans leur sac ! Re-connus pour la qualité de leuractivité de traiteur événemen-tiel (Les Pradines), ils dévelop-pent désormais en parallèle unnouveau concept de livraisonde plats à domicile baptisé « LoMarende » (le repas, en occi-tan). Rien à voir ici avec unservice classique de portagede repas, souvent associé aumaintien à domicile des per-sonnes âgées. Particuliers ouprofessionnels, tout le mondepeut commander. Le plaisirgustatif est le maître-mot del’entreprise, qui puise son sa-voir-faire de ses 30 annéesd’expérience en cuisine et enpâtisserie. Les plats sont livrésune fois par semaine et c’estvous qui choisissez vos platsen fonction de vos envies.Autre originalité : un condi-tionnement spécifique qui as-

sure une conservation de16 jours tout en préservant lafraîcheur et le goût. Un sointout particulier est apporté à laqualité des produits mais aussià leur provenance, la plus lo-cale possible. Le résultat est àla fois simple et gourmand.« Lo Marende » rayonne surplusieurs communes.+ d’infos :www.lo-marende.com05.55.31.08.43contact@lo-marende.com

condatle bar-tabac-presse‘’L'Imprévu’’ est fin prêt

Il y a du nouveau dans lebourg de Condat. Le bar-tabac-presse qui fait face àConfluences a changé de tête etc’est un bon bol d’air frais quigagne la cité. L’établissement arouvert le 16 février sous le nomde ‘’L’Imprévu’’, et c’est Emma-nuel Bernardo qui occupe dés-ormais l’arrière du comptoir.

Son parcours est un peu aty-pique. Ado, il passe un CAP depeintre automobile puis multi-plie les expériences profession-nelles dans la vente de voitures,le bâtiment, ou dernièrement,dans le secteur hospitaliercomme ambulancier. Pour au-tant, depuis plus de 15 ans, il«zieutait » ce lieu, se disant qu’ily avait matière à développerune belle activité. Madame Fer-ron, tenancière légendaire,ayant rendu son tablier aprèsplus de 30 ans, Emmanuel Ber-

nardo a pu monter son projet àforce de volonté et de forma-tions. Un mois de travaux et pasmal d’huile de coude plus tard, ilaccueille ses premiers clients,anciens habitués ou nouveauxcurieux. A mesure des mois quipassent et des premiers résul-tats, il étoffera son offre en pro-posant des apéritifs dinatoiresou des soirées à thème, en pro-longement de la vie associative.

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rilhac-ranconzebda en concert : « on nelâchera pas l’affaire »Motivés, ils le sont et ils le resteront ! Le 30 avril à l’Espace Mazellevous pouvez compter sur Zebda. L’occasion de tendre le micro àMouss Amokrane, porte-parole prolixe du groupe.On connaît vos engagements. Quels sentiments vous animentdepuis les attentats de janvier et notamment celui contre Char-lie Hebdo ?On a vécu, comme beaucoup, le choc, la tristesse mais aussi une in-quiétude par rapport aux raisons de tels actes. Ensuite, très vite, ona ressenti le besoin d’échanger avec des gens qui d’ordinaire nes’expriment pas, ou peu, et qui se questionnaient sur notre sociétéà deux vitesses, sur notre France qui n’est pas si « une et indivisible ».On a beaucoup réfléchi à tout ça et notamment au fait que la ques-tion de la discrimination demeure centrale et transversale.Etes-vous confiants quant à la défense de la liberté d’expres-sion ?On n’est malheureusement pas tous égaux vis à vis de cette libertélà. Elle ne peut donc pas être totale.Que faudrait-il pour qu’elle le soit ?Cela relève beaucoup de la connaissance de soi, de la conscienced’être un composant de la société française avec ses différences. Ilfaut ensuite ajouter la maîtrise du langage, des mots mais aussi lacapacité à écouter l’autre et à prendre en compte son avis même sion est en désaccord. La laïcité, c’est ça ! Un espace de liberté basésur le respect et le dialogue.Quel est votre rôle dans cette volonté de dialogue ?La musique crée une empathie d’écoute. On n’est pas dans le dogmemais dans l’art, dans la poésie. C’est notre conception de l’éducation

populaire. Nous avons été bouleversés dans nos convictions. Maisce qui est positif, c’est le questionnement des gens, leur envie decomprendre, de retourner aux fondamentaux. Et puis le caractèrepacifiste des marches était beau !Et maintenant, on fait quoi ?On n’a pas de solution toute faite mais il faut plus que jamais créeret entretenir le dialogue, que tu sois Charlie ou pas. On ne peut pasjuger des gamins qui ne savent pas de quoi ils parlent. Il faut d’abordéduquer, instruire. De par notre histoire, on est ‘’infectés’’ par lesnotions de liberté, d’égalité et de fraternité. Et on a toujours enviede transmettre le virus. Nous sommes la deuxième génération, desenfants de travailleurs immigrés qui voulaient à tout prix participerà la société. Des fils de bergers qui se sont retrouvés chair à patrons.Aujourd’hui, nous en sommes à la quatrième ou cinquième généra-tion et on ne renvoie toujours pas à ces jeunes-là l’image de ci-toyens français à part entière. Vous avez eu des envies de chansons depuis les attentats ?Non. On n’a pas éprouvé le besoin de chanter mais de parler,d’échanger, encore. On va continuer à faire ce qu’on a toujours fait.On se bat contre les causes de cette fracture, de ces haines. Depuisdes années, on a énormément appelé à voter. C’était notre décla-ration d’amour à la République. Aujourd’hui on dit : « présentez-vous aux élections ». C’est l’alternative. Il faut réveiller une idée dela citoyenneté. Il y a un modèle à réinventer dans la pluralité et lasolidarité. On doit refaire de la politique, de la vraie, pour créer lesconditions de la liberté. On ne lâchera pas l’affaire !

C.J.Zebda, le 30 avril à l’Espace Mazelle, à Rilhac-Rancon.Infos et réservations : 05.55.31.78.04; www.rilhac-rancon.fr

le vigengestion pastorale pourle bassin de leycurasUn projet global et concerté se met en place autour du bassin de ré-tention des eaux pluviales de Leycuras. Écologie, économie, amé-nagement de l’espace et vie en société sont au cœur de ce quin’aurait pu être qu’une question d’entretien de site. Un comité devillage a été constitué, avec en son sein deux groupes de travail thé-matiques. L’un autour de la gestion pastorale du site (la tonte parun troupeau de moutons), l’autre autour d’une valorisation des lieuxrépondant à la volonté de recréer un espace de convivialité respec-tueux de la nature et fédérateur pour la population. Un lieu de vieque chacun pourrait s’approprier. La dimension collégiale est aucœur de ce projet et les participants ne manquent pas d’allant. L’Ag-glo est également partie prenante grâce à l’expertise du service as-sainissement (en charge de l’exploitation du bassin de rétention) età celle des espaces naturels notamment.www.facebook.com/pages/Le-Vigen-commune

Zebda en concert le jeudi 30 avril à l’espace Mazelle.

ejeauxle 10 mai,c’est la fête au jardinAvec le printemps, la Fête du jardin arrive à Eyjeaux le 10 mai. Poursa première édition, la commune propose trois variations autourd’un même thème : jardin-culture, jardin-espace à vivre, jardin-plaisir. Dans le jardin-espace à vivre, des paysagistes vous délivre-ront leurs conseils et vous aideront à transformer ce lieu en unendroit où il fait bon vivre. Le jardin-culture accueillera, quant à lui,des pépiniéristes et des horticulteurs. Que vous soyez amateur ouaverti, ils vous guideront pour planter, semer, cultiver. Et comme unbeau jardin ne se fait pas sans bons outils, vous trouverez le maté-riel nécessaire pour faciliter vos travaux. Côté jardin-plaisir, vousaurez tout le loisir de vous sustenter et pour le déjeuner, vous choi-sirez entre la restauration rapide originale du ‘’Truck à manger’’ etun repas traditionnel au bar-restaurant du bourg. Enfin, pour quele fête soit complète, des exposants de produits du terroir et d’ob-jets artisanaux seront également présents.

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peyrilhacles cloches sonnentde nouveau

Plus aucun son ne sortait du clocher de Peyrilhac. Une panne électriquevouait au silence les trois cloches. Réparées, elles ont enfin résonné le12 décembre, rythmant à nouveau la vie des Peyrilhacois. Ces clochesont une histoire et il est assez révélateur de lire les inscriptions gravéessur chacune : « Baptisée à Peyrilhac en août 1878, j'ai eu pour parrainJoseph-Charles-Emile Martin de Fontjaudran de la Mothe, conseiller àla Cour d'appel, et pour marraine Marie-Alexandrine-Alice de Bruchardde Chavaignac », « J'ai été baptisée du nom de Bernard Bardon de Brun.Etant curé, Louis Tharaud ; maire : François Nicolas ; parrain : Pierre-Bardon-Gustave de Bruchard ; Marraine : Louise-Caroline de Bruchard- 17 décembre 1891 », « J'ai été baptisée du nom de Marie-Martial. Etantprésident de la fabrique Martin de Fontjaudran ; parrain : Louis-Marie-Mathieu-Albert, baron de Moras ; marraine : Julie-Marie Gavarni, 17 dé-cembre 1891 ». Personnages à part entière de la commune, les troisdemoiselles ont réendossé leur rôle pour de longues années.

bonnac-la-côtefutur vélodrome :un point d’étapeEn septembre 2014, à Bonnac-la-Côte, ont débuté les travaux deterrassement du futur vélodrome, un projet porté par Limoges Mé-tropole et, parallèlement, du gymnase, qui est un projet communal.La météo capricieuse de cet hiver a légèrement décalé le planningde réalisation et, pour le vélodrome, cette phase de terrassements’est achevée fin février. Place désormais, et jusqu’en mai, à laconsultation pour les travaux de génie civil, voirie, éclairage publicet réseaux divers, métallerie et équipements, clôture, espaces vertset construction d’un local sanitaire. Les travaux de génie civil serontlancés en juillet 2015 pour se terminer en toute fin d’année.Les travaux de couverture du vélodrome débuteront quant à eux au

printemps 2017 pour un achèvement prévu à la fin de l’année 2017.Ils seront sans conséquence sur l’utilisation du vélodrome, quipourra être mis en fonction dès le mois de janvier 2016. En parallèle,des travaux de voirie seront menés ce printemps pour assurer ladesserte du gymnase dès la rentrée de septembre 2015.

aureilles panneauxde randonnée rénovés

Jusqu’à cet hiver, en arrivant à Aureil, les randonneurs, nombreux àvenir découvrir la commune et ses alentours, ne pouvaient se fierqu’à un seul panneau d’information, situé près de la mairie. Avec l’aide du service d’information géographique de Limoges Mé-tropole, une nouvelle carte a été établie, illustrée de vues des sen-tiers proposés autour du village. Deux supports en châtaignier ontensuite été installés, dans le centre-bourg et à l’intersection entrele chemin du Cluzeau et celui de La Prairie, pour les présenter auxpromeneurs, qui disposent aujourd’hui de panneaux d’informationclairs et agréables pour préparer leur randonnée.Par ailleurs, une plaquette détaillée, regroupant l’ensemble des qua-tre sentiers de randonnée de la commune, est désormais disponibleau secrétariat de la mairie. Pour plus d’informations, consulter le site internet :www.mairie-aureil.fr.

Les travaux de terrassement sur le site du futur vélodromese sont achevés le mois dernier.

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isleau mas-des-landes,la Z.A.I. se développeIsle inscrit sa dynamique dans sa proximité avec Limoges, notam-ment pour ce qui concerne son rayonnement économique et com-mercial, en favorisant en priorité le développement de nouveauxsites permettant d'assurer l'implantation de nouvelles entrepriseset le rééquilibrage du commerce en centre-ville.C’est le cas notamment au Mas-des-Landes, avec l’accueil de nou-velles entreprises dans la zone artisanale, ainsi qu'une écoute per-manente des préoccupations des entreprises locales.La nouvelle zone d’activités industrielles, le long de la D79, qui relieLimoges et Aixe, est accessible rapidement et très bien desservie.

La mairie a donné le coup d’envoi de cette nouvelle zone en y ins-tallant son centre technique . Elle continue en la dotant du label‘’Zone d'activités très haut débit’’, permettant un accès aux réseauxde la fibre.La commune continue par ailleurs à aménager la partie sud de cettezone artisanale, qui accueille déjà deux sociétés (Euromaster et lesambulances Argentins). Une nouvelle société, spécialisée dans laconstruction d'entreprises, est en cours d'installation. La partie nordde cette zone offre de belles perspectives avec une surface de50 hectares pour les futures activités économiques.

Le marché se tient le mercredi matin place Yves-Lenfant.

saint-gencerendez-vous au marchéhebdomadaire

VErneuilun chèque-jeune pourles loisirs et la culture

Un marché, c’est souvent, pour un village, un petit supplémentd’âme, un lieu où l’on se retrouve pour échanger des nouvelles, pourpartager un petit moment de vie. Depuis plus de deux ans, un petitmarché anime le bourg de Saint-Gence, sur la place Yves -Lenfant,tous les mercredis matins.En fonction des saisons, vous y trouverez fruits et légumes, charcu-terie, crêpes, galetous, grillades, glaces et boissons, mais aussi pou-lets rôtis et sandwichs à emporter. Les commerçants présents vousproposent des produits frais et de qualité, et viennent compléterl’offre des commerces sédentaires du village.Vous souhaitez réserver un emplacement pour le marché heb-domadaire du mercredi matin ou en savoir un peu plus ? N’hé-sitez pas à prendre contact avec la mairie de Saint-Gence au05.55.75.86.05 ou par mail mairie.saintgence@wanadoo.fr

C’était une volonté forte du programme du maire de Verneuil : don-ner accès à tous les enfants de la commune à la culture, au sport etaux loisirs. En novembre dernier, chaque élève de l’école élémen-taire s’est vu remettre un chèque-cadeau de 50 euros, valable dansde nombreuses enseignes et associations, et utilisable selon ses as-pirations. Certains auront craqué pour quelques albums BD, d’autrespour des séances de cinéma, d’autres encore pour une inscription àl’activité de leur rêve, avec la satisfaction d’être pour la premièrefois maîtres de leur budget. L’éducation et la culture sont des prio-rités de l’équipe municipale, qui voit là le socle essentiel du « bien-grandir », de l’ouverture d’esprit et de la construction de futurscitoyens, armés pour vivre ensemble dans le respect. « Donner àchacun les meilleures chances de bien démarrer dans la vie, c’est unpeu notre crédo. C’est en tout cas notre responsabilité d’élu ».

Cinquante hectares sont encore disponibles pour de futuresinstallations d’entreprises dans la ZAI du Mas-des-Landes.

Les enfants de l’école élementaire ont reçu un chèque-cadeaud’une valeur de 50 euros.

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la secrétaire d’état au numérique axelle lemaire en visite à ester A l’heure où la problématique du haut débit cède logiquement laplace à celle du très haut débit, le Limousin tente de maintenir ladynamique dont il fait preuve depuis des années en la matière,sous la houlette des collectivités et de DORSAL. Des efforts sou-lignés par la secrétaire d’Etat au numérique Axelle Lemaire, lorsde son étape à ESTER Technopole le vendredi 30 janvier, à l’oc-casion de sa visite en Limousin, comprenant une rencontre avecdes représentants d’entreprises innovantes à Limoges, et la par-ticipation à la Commission consultative régionale pour l’aména-gement numérique du Limousin. De son côté, l’Agglo accentueégalement ses actions en faveur du très haut débit puisqu’elle vasigner une convention de programmation et de suivi des réseauxavec l’Etat, la Région, le Département et l’opérateur, pour le rem-placement des réseaux actuels sur son territoire.

Berlin : limoges métropole pariesur L’électronique imprimée LES 28 et 29 avril se tiendra

le salon annuel de Berlinconsacré à l’électronique

imprimée, ‘’Printed electronics’’.Limoges Métropole, qui s’ap-prête à accueillir le géant Isorgsur la Technopole Ester, aurason stand. Outre le stand entre-prises avec Ceradrop et troisautres exposants, les visiteurspourront s’arrêter sur le standcollectif de 18 m2 placé sous ladouble bannière ESTER Techno-pole/Limoges Métropole. Plu-sieurs exposants serontreprésentés : ESTER Techno-pole, le Pôle Européen de la Cé-ramique, le Pôle Elopsys,Limousin Expansion et la CCI dela Haute-Vienne ainsi que desentreprises régionales.

Structurer une filière Cette présence exception-

nelle est en réalité parfaitementlogique : l’arrivée prochaine del’entreprise Isorg, qui a décidéd’implanter sa ligne de produc-tion industrielle en grande sériesur le parc d’ESTER (3.000 m2)se veut la première pierre d’unédifice plus important. Les ac-teurs locaux, et notamment laRégion et Limoges Métropole,travaillent à structurer une fi-

Isorg et l’électronique impriméeCe secteur économique connaît l’une des croissances des plus ra-pides au monde avec des domaines d’applications pour diverses in-dustries : biens de consommations, santé, aérospatial, électronique,éclairage, médias, transport. La société Isorg, basée à Grenoble, estl’une des entreprises françaises les plus dynamiques dans ce do-maine. Séduite par l’accueil d’ESTER et les garanties offertes par lesacteurs économiques régionaux (Région, Agglo, Limousin expansion,Dynalim, PEC, Caisse des dépôts), elle a décidé d’y implanter uneunité de production et de créer ainsi une cinquantaine d’emplois.

lière régionale de l’électroniqueimprimée en s’appuyant sur lepotentiel d’accueil qu’offreESTER. Un environnement tech-nologique et économique quiregroupe de nombreux atouts :le Pôle Européen de la céra-mique, le pôle Elopsys, des labo-ratoires, des centres de

transfert, des entreprises maisaussi des écoles d’ingénieurs detrès haut niveau.

Ce déplacement va ainsipermettre de conforter l’imaged’ESTER et de Limoges Métro-pole à l’international. Il est re-présentatif d’une volonté deplus en plus grande de faire de

l’espace communautaire un lieuprivilégié pour l’accueil des en-treprises de haute technologie.Prochaine étape : un déplace-ment en juin à Chicago pourfaire avancer le projet RYME ini-tié il y a quelques semaines àMadrid et qui veut favoriser l’ex-pansion des PME innovantesfrançaises, espagnoles et portu-gaises et précisément, pour cequi concerne notre région, créerdes passerelles entre l’Illinois etla Haute-Vienne en permettantà des entreprises étrangères des’implanter plus facilement àESTER (lire Le Métropol de janvier).

Le salon de Berlin, c’est unévènement majeur dédié à lacommercialisation de l’électro-nique imprimée, de l’impression3D, des technologies biolo-giques, organiques, inorga-niques, des couches minces etdes nanotechnologies flexibles.150 exposants sont attendusdans des domaines variés : élec-tronique imprimée, substrats etélectronique étirable, impres-sion numérique, chimie, éclai-rage et OLED, photovoltaïque,capteurs et actionneurs, E-lec-teurs, batteries flexibles, tech-nologies d’écran tactile. Lesalon devrait accueillir plus de1.800 visiteurs de 35 pays.

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Premiers instants,

VE N D R E D I 16 janvier,17h30 : L’Aqua-polis fait offi-ciellement sonentrée dans la

vie de l’agglo et de ses habi-tants. Une arrivée célébréeavec un son et lumière dignedes plus grands événements(1), et en présence de grandschampions de la natationfrançaise, Alain Bernard etClaude Mandonnaud (2). Cou-per de ruban (3) et discoursofficiels (7), ont lancé la soi-rée, avant que les petits na-geurs des 19 communes del’agglo ne se jettent à l’eau(5 et 6), suivis par leurs aînéesde l’équipe de France de nata-tion synchronisée.Les premiers instants de vie deL’Aquapolis ont aussi été par-tagés par 10.000 personnes, lesamedi et le dimanche, lorsdes portes ouvertes (8), avantl’ouverture, le lundi matin...

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premiers émois...Photos : Vanessa MONTEIL, Jean-Christophe DUPUY.

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HabitatDes logements sociauxà destination des gens du voyage

DE plus en plus, la commu-nauté des Gens du Voyageexprime la volonté de se

sédentariser. Pour faciliter l’in-tégration de cette populationatypique, Limoges Métropole vaexpérimenter de nouveauxtypes de logement au Palais-sur-Vienne.

L‘idée a été mise en pratiqueà Lyon ou Strasbourg mais ellereste très expérimentale. Bien-tôt, au Palais-sur-Vienne, enbordure de l’aire d’accueil, troisappartements sortiront de terre.Des logements sociaux adap-tés… aux Gens du Voyage. Ditcomme ça, cela peut paraîtrecontradictoire mais en réalité,contrairement aux idées reçues,les Gens du Voyage sont au-jourd’hui nombreux à préférer lasédentarisation à une vie no-made. Une enquête menée àl’initiative de Limoges Métropolea ainsi montré que sur 23 fa-milles interrogées, 23 étaient in-téressées par un logementsocial adapté.

Appartementmais aussi caravane

A la genèse du projet, en2010, il a été décidé d’associerdeux partenaires majeurs : unorganisme HLM (Limoges Habi-tat) et une association pourfaire le lien avec les Gens duVoyage et les associer entière-ment au projet (Ma Camping).Plusieurs risques devaient, eneffet, être écartés, notammentcelui, déjà vu ailleurs, d’une sé-dentarisation mal acceptée parle voisinage. Par ailleurs, il sem-blait indispensable de demanderaux intéressés quel type de lo-gement pouvait correspondre

au mieux à leurs besoins et àleurs attentes. Verdict : un loge-ment ‘’en dur’’ avec une piècecommune comprenant des sa-nitaires et une salle à mangerainsi que deux chambres ‘’desecours’’ et bien sûr un empla-cement sous auvent pour la ca-ravane, ‘’habitat’’ traditionnelauquel les Gens du Voyage, his-toriquement comme culturelle-ment, sont très attachés.

Pour la localisation, le choixa été fait d’une commune de lapremière couronne de l’agglo

avec une municipalité soute-nant totalement le projet etd’une aire d’accueil existante,proche des services de proxi-mité et de toutes commodités.Les logements seront doncconstruits au Palais. Il s’agira deT3 de 55 m2 maximum consti-tués d’un séjour/cuisine de 25m2, d’une ou deux chambres de10 m2, d’une salle de bains avecdouche, d’un WC accessible del’extérieur, d’un poêle à bois‘’rustique’’ avec un chauffageélectrique en appoint, d’une ter-

rasse couverte de 15 m2, d’unabri équivalent à deux véhiculeset pouvant accueillir une cara-vane et d’un parcelle clôturéed’environ 400 m2.

Les études s’achèveront enmai prochain, les appels d’offresseront lancés dans la foulée.Début des travaux en septem-bre 2015 et livraison prévue enjuin 2016.

Un projet de cet type estégalement à l’étude à Couzeix.

S.M.

Limoges Habitat assure la conception, la réalisa-tion et la gestion locative des logements et desespaces extérieurs. Limoges Métropole assure lacoordination générale du projet, son cofinance-ment et l’accompagnement social des familles.Le projet a été adopté en conseil communautairele 5 février 2015. L’aménagement des espacespublics du projet sera réalisé sous la maitrised’ouvrage de Limoges Métropole qui en assurera

également l’entretien. Une instance de pilotageconstituée dès l’origine pour la phase de concep-tion/réalisation sera préservée pour faire des bi-lans annuels de l’opération.Le programme répond aux exigences de la règle-mentation thermique 2012 qui est la plus récenteen vigueur avec un choix d’équipements et dematériaux réalisés dans une approche globalecoût-performance-environnement.

En chiffresCoût total du projet :330.500 euros.L’opération s’inscritdans le cadre de l’appelà projet de l’Etat sur deslogements adaptés auxpersonnes cumulant desdifficultés socialeset financières.L’Etat a participéà hauteur de43.500 euros,le Département6.000 euros et LimogesMétropole finance107.000 euros ainsi que174.000 euros sousforme de prêt auprès dela Caisse des dépôts.

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TransportsDes bus hybridespour aller voir les champions

Al’occasion des champion-nats de France de nata-tion, l’Agglo va

expérimenter de nouveaux bussous forme de navettes. Unessai qui préfigure une rénova-tion en profondeur du parc.

Les championnats de Francede natation, qui se déroulerontdu 31 mars au 5 avril à L’Aqua-polis, centre aquatique de Li-moges Métropole, vont attirer lafoule. Pour faciliter la circulationde ce flux de visiteurs excep-tionnel, le vice-président GillesBégout et la direction des trans-ports de l’Agglo ont imaginé demettre en place un service detransport spécial sous forme denavettes. Mais puisqu’il étaitnécessaire de faire circuler desvéhicules supplémentaires (pasquestion évidemment de ‘’dés-habiller’’ les lignes régulières),l’idée a été lancée de tester desbus d’un nouveau genre : leshybrides. Apparus en France

pour la première fois en 2009,ces bus disposent de deuxsources d'énergie : carburantdiesel et électricité. Le moteurthermique est couplé à un gé-nérateur qui alimente un moteurélectrique. Il y a récupération del'énergie au freinage etstockage de celle-ci puis resti-tution lors de l'accélération. Leprincipal avantage de cettetechnologie est la réduction dela consommation de carburant.

26 tonnes de CO2en moins par an

Ainsi, le bus hybride envi-sagé par l’Agglo consommejusqu'à 30 % de carburant enmoins, permettant ainsi d'éco-nomiser jusqu'à 10.000 litres degazole par an. Un véhicule éga-lement beaucoup plus propre :jusqu'à 26 tonnes de CO2 enmoins par an par rapport à unbus doté d'une motorisationclassique. La propulsion hybride

moderne respecte donc nonseulement l'environnement et leporte-monnaie, mais amélioreégalement la qualité de vie dansles villes grâce à une diminutiondes émissions de gaz d'échap-pement et des nuisances so-nores aux arrêts de bus.

Intéressé par cette expéri-mentation, un constructeur aproposé le prêt à titre gracieuxd'un bus hybride pour la périodedu 27 mars au 5 avril. Ce prêtpermettra la mise en place d’unservice spécial championnatsde France de natation, entre lagare de Limoges Bénédictins etL'Aquapolis, qui sera égalementêtre étendu aux usagers de Li-moges Métropole afin de des-servir les places Churchill etJourdan. Dernière bonne nou-velle : le transport sera gratuitsur simple présentation d’un bil-let d'entrée aux championnatsde France.

S.M.

questionsà...

Gilles Bégout,vice-présidentde l’Agglo déléguéau transport et à la voirie

L’intégration de bus hy-brides au sein du parc TCL,c’est pour demain ?Les bus hybrides sont des vé-hicules ne nécessitant pasl’aménagement d’une infra-structure spécifique. Dès de-main ils peuvent être intégrésdans notre flotte. Cependant,compte tenu du surcoût àl’achat, il est intéressant d’at-tendre les analyses de la flottelyonnaise au premier semestre2015 sur le différentiel écono-mie d’énergie /coût d’achat.Vous avez la volonté de re-nouveler le parc pour desbus plus modernes. Quellessont les options étudiées ?Au-delà du bus hybride, ilexiste de nouveaux bus toutélectrique se rechargeant surdes stations au moment de ladescente des voyageurs tousles 5 km environ. Ils permet-tent d’éviter des installationspour l’alimentation lourdes etdégradantes d’un point de vueurbanistique. Enfin nous nepourrons pas éviter de conti-nuer à investir sur des bus die-sel nouvelle technologie moinsgourmands en énergie etmoins polluants.Quels sont les avantages deces véhicules ?Ils vont permettre d’améliorerla préservation de notre envi-ronnement et un confort despassagers, un haut niveau deservice (connexion internet,recharge portables…), desconceptions intérieures pluslumineuses et accueillantes etl’amélioration de la prise encompte du handicap.Rassurez-nous : on conti-nuera à voir les fameux trol-leys limougeauds, qui fontpartie du patrimoine histo-rique ?Les trolleys ne sont pas prêtsde disparaître bien sûr, ils uti-lisent des infrastructures bienentretenues et sont non pol-luants. De nouveaux achatsseront à prévoir, certains denos trolleys étant vieillissants.

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Economie

territoires à énergie positive :la candidature de limoges métropole retenueLundi 9 février, Ségolène Royal, ministre du Développement Du-rable, a  annoncé les résultats  de  l’appel à projets ‘’Territoires àénergie positive pour la croissance verte’’, lancé en septembre2014. Au final, 212 collectivités locales ont été retenues sur les500 candidatures déposées. Les lauréats recevront une aide fi-nancière de 500.000 euros, renforcée jusqu’à 2  millions d’eurosen fonction de la qualité des projets et de leur contribution aux ob-jectifs inscrits dans la loi de transition énergétique. Limoges Mé-tropole fait partie des lauréats. Ces subventions doivent permettrede financer rapidement des projets qui contribuent efficacementà la baisse de la consommation d’énergie sur le territoire, à la pro-duction d’énergie renouvelable et à la mobilisation citoyenne.

Marie-Anne Robert-Kerbrat, secrétaire en chargedu développement durable, avec Ségolène Royal.

un nouvel espace dédié à la restaurationbientôt à ESTER technopole

ESTER technopole et sonenvironnement procheconnaissent un essor

constant et conséquent. Pour-tant l’endroit, prisé pour l’instal-lation de nouvelles activités(dont dernièrement le centreaquatique), manquait cruelle-ment jusqu’alors de lieux pour serestaurer. Un problème qui de-vrait être résolu d’ici la fin del’année avec la sortie de terred’un espace dédié à la restaura-tion.

La volonté des élus de Li-moges Métropole était claire :construire un pôle restaurationdans cet espace stratégiqueétait une réelle nécessité mais ilétait tout aussi important quecelui-ci ne défigure pas l’envi-ronnement. C’est au promoteurCFA Atlantique qu’a été confiéela mission de mener à bien leprojet avec comme enjeu l’obli-gation de répondre aux diffé-rents usages de la zone. Lenouveau pôle restauration seraainsi conçu pour accueillir le

midi les salariés et les repasd’affaire liés à l’activité tertiairede la Technopole, puis le soir etle week-end les particuliers ve-nant pratiquer leurs loisirs.

Pratique et accessibleSitué entre L’Aquapolis, le

cinéma et ESTER, cet espacecomprendra deux bâtiments quiabriteront quatre restaurants.Sa particularité ? Une unité ar-chitecturale pour l’ensembledes enseignes permettant de

garantir une meilleure insertiondans le site en échappant à lacacophonie esthétique d’autresentrées de ville. Dans un mêmesouci d’homogénéité, les zonesde stationnement seront mu-tualisées pour tous les restau-rants afin d’éviter unmorcellement de l’espace. Enfin,le pôle restauration bénéficierades dessertes en transports encommun et de la proximité im-médiate des grands axes struc-turants de la ville et, en premier

lieu, d’un accès direct sur l’A20. La commercialisation des es-paces est en cours, mais il estdéjà prévu l’installation d’unrestaurant asiatique et d’undiner américain. On parle aussid’un snack boulanger.

La dimension humaine seraégalement de mise grâce à unprojet original à l'étude : un res-taurant répondant à une dé-marche sociale forte facilitantl’embauche de personnesconfrontées au handicap. Cetteorientation répond en creux à lapolitique de l’Agglo qui a fait lechoix de réunir dans un mêmepôle l’économie et le social.Les travaux de terrassementont démarré début février et lalivraison des bâtiments est pré-vue pour l’été. Les enseignes quiacquerront ou loueront les lieuxprocèderont ensuite aux tra-vaux d’aménagement. Les pre-mières ouvertures pourraientintervenir à l’automne.

C.J.

Projection du futur pôle restauration d’ESTER.

Peyrilhac

Veyrac

Verneuil-sur-Vienne

Couzeix

Saint-Gence

Bonnac-la-Côte

Rilhac-Rancon

Panazol

Saint-Just-le-Martel

Limoges

Isle

Solignac

Boisseuil

Le Vigen

Eyjeaux

Condat-sur-

Vienne

FeytiatAureil

Le Palais-sur-Vienne

LLiLimmo

IIsslele

le Martel

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La réhabilitation de la rue his-torique du pont Saint-Etienne,débutée en novembre 2014, sepoursuit jusqu’à l’automne. Unchantier d’envergure pour luiredonner son charme d’autre-fois et surtout son pavé en‘’gazettes’’ et pavés sciés, unpatrimoine rare. La première

phase de ces travaux, toujoursen cours, consiste en la réfec-tion des réseaux des conduitesd’eaux potables et usées danstout le secteur de la rue (mon-tant total : 326.000 euros,dont 258.000 pour l’Agglo),avant la réfection de la chau-sée. Dans le cadre de ce chan-

saint-just-le-martelRues de Lauterbourget du 19-Mars-62 Pour terminer le réaménage-ment du lotissement ‘’LesChaumettes’’, des travauxsont toujours en cours dans lesrues de Lauterbourg et du19-Mars : réfection de lachaussée et des trottoirs, posede bordures et de caniveaux.Cette dernière phase du chan-tier, commencée en janvier, sepoursuit jusqu’en avril.Montant : 193.000 euros.

limogesQuartier du RoussillonDepuis janvier, Limoges Me-tropole a entrepris des travauxde réfection de l’éclairage pu-blic, des trottoirs et de lachaussée dans les rues Espé-ranto, Coutheillas, Lacorre,Delestraint, Manhes et Authier,dans le quartier du Roussillon.Fin prévue du chantier : avril.Montant : 267.000 euros.

tier, des sépultures moyen-âgeuses ont été mises au jour,provenant vraisemblablementde l’ancien cimetière disparude la paroisse Saint-André.

limogesrue du pont saint-etienne

le palais-sur-vienneRue du Chatenet Les travaux de restructurationcomplète de la chaussée etdes trottoirs, débutés en octo-bre 2014, se poursuiventjusqu’en avril, entre la rued’Anguernaud et la rueGeorges-Clemenceau.Montant : 420.000 euros.

isleRues d’Aguesseau, Fou-rest, Chadourne, Corot, Al-luaud, Guibert et Cazaurets Débuté en octobre 2015, lechantier de restructurationcomplète des chaussées ettrottoirs, avec création d’ungiratoire au niveau de la rueCazaurets, se poursuitjusqu’en août. Il fait suite auxtravaux d’effacement des ré-seaux souples réalisés par leSyndicat énergie Haute-Vienne l’année dernière.Les déviations de lignes debus restent en place le tempsdes travaux dans les ruesd’Aguesseau, Fourest etChadourne.Montant : 700.000 euros.

Le Métropol, magazine mensuel de la com-munauté d’agglomération Limoges Métro-pole. Directeur de la publication  : PascalRobert; rédacteur en chef  : Stéphane Mar-main; rédaction : Céline Jallais, VanessaMonteil. Conception et iconographie : ser-vice Edition de Limoges Métropole saufmention contraire. Secrétariat et espacespublicitaires : Béatrice Bénard,05.55.45.79.17, beatrice_benard@agglo-li-moges.fr Tirage : 115.000 exemplaires. Distribution :Mediapost. Le Metropol est imprimé sur papier PEFC fa-vorisant la gestion durable des forêts parRivet Presse Editions imprimeur agréé Im-prim’Vert.

64, avenue Georges-Dumas87031 Limoges Cedex 1

Tél. 05 55 45 79 00www.agglo-limoges.fr

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des collégiens d’isleà la découverte du zénithTOUS sont déjà venus, un

soir, voir un spectacle. Maisaujourd’hui, ils ont eu le

privilège d’entrer par les cou-lisses...

Pour ces 18 élèves du collègeJean-Rebier d’Isle, la visite duZénith de ce jeudi après-midin’est cependant pas qu’un loi-sirs. Dans le cadre des trois

heures hebdomadaires de l’op-tion ‘’Découverte profession-nelle’’, ils ont travaillé sur lesmétiers du spectacle. Pas forcé-ment ce vers quoi, du haut deleurs 15 ans hésitants, ils comp-tent se diriger, mais la décou-verte a toujours du bon à cetâge.

Coulisseset éducation civique...

Entourés d’une équipe d’en-seignants, de Pascale Delga, as-sistante administrative duZénith, et du vice-président deLimoges Métropole Pascal Ro-bert, les collégiens ont pu, pen-dant une heure et demie,plonger au cœur de cette struc-ture particulière, qui ne prendvraiment vie que les soirs despectacles, mais où cinq per-sonnes travaillent pourtant en

permanence, pour faire que cessoirs-là, le public soit satisfait.Coulisses, ‘’catering’’, scène, sé-curité, technique,... aucun dessecrets de l’envers du décor neleur a cette fois été caché.

Pascal Robert a égalementprofité de cette visite pour évo-quer avec eux le fonctionne-ment et les missions de LimogesMétropole, propriétaire du Zé-nith . Une petite leçon d’éduca-tion civique sur le terrain, maissurtout un moment d’échangesque les collégiens ont apprécié.L’occasion pour ces jeunes defaire le point sur leurs connais-sances et de se rendre comptepeut-être aussi qu’un élu estavant tout citoyen, au cœur dela vie de son territoire, exerçantun métier, allant même parfoisau Zénith lui-aussi...

Vanessa MONTEIL.

‘’Génération Agglo’’, ce sontles citoyens de demain, lesécoliers, collégiens et ly-céens, ceux pour qui, aussi,Limoges Métropole, ses éluset ses agents, œuvrentchaque jour, afin de leur of-frir un cadre de vie et unavenir sur un territoire ou-vert et préservé.

Vite fait vite dit...L’Aquapolis

Une entrée à L’Aquapolispour les -14 ans résidant à Li-moges ou dans les 19 communesde l’Agglo, c’est 3,30 euros. Pourles - 3 ans, c’est gratuit ! Il existeaussi des cartes d’adhésion pourles familles...

le saviez-vous ?Limoges Métropole

La communauté d’agglomé-ration de Limoges Métropole re-groupe actuellement 19 communes : Aureil, Boisseuil,Bonnac-la-Côte, Condat-sur-Vienne, Couzeix, Eyjeaux, Fey-tiat, Isle, Le Palais-sur-Vienne,Le Vigen, Limoges, Panazol,Peyrilhac, Rilhac-Rancon,Saint-Gence, Saint-Just-le-Martel, Solignac, Verneuil-sur-Vienne et Veyrac. Ses54 conseillers sont élus depuismars 2014 et jusqu’en 2020.

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LE QUESTIONNAIRE DE PROUST DE

PASCAL ROBERT

Votre principal trait de carac-tère ? L’altruisme je crois.La qualité que vous préférezchez quelqu’un ? L’honnêteté.Votre principal défaut ? Je crois l’humain plus vertueuxqu’il n’est.Votre occupation préférée ? La lecture, le cinéma, la mu-sique.Votre rêve de bonheur ? Un monde plus juste, plus soli-daire, où les Hommes se respec-tent et s’entraident.Quel serait votre plus grandmalheur ? Sans hésiter : la perte d’un demes enfants ou petits-enfants.

QUI SUIS-JE ?Pascal Robert, 49 ans, père de deux enfants.Economiste de formation, professeur des écoles.Proviseur de la cité scolaire du Dorat.Maire socialiste de Verneuil-sur-Vienne depuis 2013.Douzième vice-président de Limoges Métropole en chargede la communication et des publications.

Que voudriez-vous être ? J’essaie de vivre en accordavec les idées que je dé-fends.Le pays dans lequel vousdésireriez vivre ? La France et plus particuliè-rement à Verneuil…Vos auteurs favoris ? Il m’est impossible de leshiérarchiser : ça va des clas-siques comme Hugo, Zola àdes auteurs contemporainscomme D. Foenkinos ou C.R.Zafôn.

Votre chanteur / groupe oucompositeur préféré ? Je suis fan de chansons fran-çaises, ma vie est ponctuée deschansons de Brassens, Brel, Re-naud, Téléphone, Cabrel, Calo-géro ou Thiéfaine… Que j’essaiede reprendre à la guitare…Vos peintres favoris ? J’aime beaucoup les impres-sionnistes : Manet, Monet, VanGogh.Vos héros de fiction ? Hercule Poirot pour la rigueurde son raisonnement.Vos héros dans l'Histoire ? Ceux qui incarnent des progrèsde civilisation comme SimoneVeil, Robert Badinter ou, à uneautre échelle, Gandhi.

Ce que vous détestez par-dessus tout ? L’intolérance.Le personnage historique quevous méprisez le plus ? Le résistant de dernière minute.Je préfère ceux qui assument cequ’ils sont et font à celui qui suitle vent…Le don de la nature que vousvoudriez avoir ? J’aime tellement la vie, j’ai telle-ment de projets, que l’ubiquitém’aiderait fortement…Comment aimeriez-vousmourir ? Dans mon sommeil, sans souffrirni voir venir, en rêvant aux pro-jets que nous mettons en placepour tenter d’améliorer le quo-tidien.Votre état d'esprit actuel ? Toujours passionné, pressé deréaliser les différents projetsque j’essaie de mettre en œuvredans mes différentes fonctions.Les fautes qui vous inspirentle plus d'indulgence ? Celles réalisées par ceux qui es-saient de faire, qui sont impli-qués, même si parfois ils setrompent.Votre devise ? Carpe diem.

Céline JALLAIS.

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ChansonMardi 14 avril, à 21 h, Espacedu Crouzy, à Boisseuil.Cali la ‘’bête de scène’’ huma-niste et engagée, est de retouravec un nouvel album (‘’L’âged’or’’). Ses chansons, commedes coups de poing, brûlantes,témoignent de la difficulté et dubonheur d’aimer...Rens. 05.55.06.16.82.

théâtreVendredi 20 mars, à 20 h 30,Centre Robert-Margerit, à Isle,‘’La réunification des deux Co-rées’’, par le Théâtre de l’Attrac-tion à Vent. Ce spectacle explorela complexité des liens amou-reux, au travers de personnagesà la fois graves, bouleversantset irrésistiblement drôles.Rens. 05.55.50.35.28.

poésieLa médiathèque de Panazol dé-cline, jusqu’au 22 mars,la 17e édition du ‘’Printemps despoètes’’. Au programme de cetévénement, des rencontres, deslectures et des ateliers de poé-sie, de slam ou d’écriture, pourdécouvrir et jouer avec les mots.Renseignements sur le sitewww.mediatheque-panazol.fr

world musicSamedi 28 mars, à 21 heures,à La Fourmi, à Limoges.Venez découvrir le premieralbum solo de Mangane, ‘’LannLa’’, mélange de soleil africain,de blues et de folk, le tout portépar la voix envoûtante de l’ar-tiste. En bonus, Bobby Dirningeret Mado.Rens. 05.55.34.54.13.

chansonMercredi 15 avril, à 20 heures,au Zénith de Limoges. En 2012,son passage au Zénith de Li-moges, symphonique, avait étéun triomphe. Julien Clerc l’in-temporel revient cette année,dans le cadre de la tournée deson nouvel album, enregistré àLondres après deux années descène. Rens. 05.55.33.28.16.

expositionEn marge du Festival du pastel,du 10 au 26 avril, salle du pastel,à l’Espace Georges-Brassens deFeytiat, exposition ‘’off’’ d’unecinquantaine d’œuvres de Ca-therine Hutter-Pichereau,consacrées en grande partie autravail sur l’eau (pastel sec).Expo visible tous les jours, de14 h à 18 h, entrée libre.

improVendredi 20 mars, à 21 h, à l’Es-pace Confluence de Condat,‘’Les naufragés de l’imaginaire’’sont de retour, avec le Théâtrede La Balise. Les spécialistes del’impro théâtrale vous propo-sent de les suivre dans leurdouce folie, pour un spectacleforcément surprenant...Rens. 05.55.30.88.60.

music-hallSamedi 11 avril, à 20 h, au Centreculturel de Couzeix.La troupe ‘’Folie’s féérie’’, qui faitpartager sa passion depuis10 ans tout juste, propose unenouvelle soirée cabaret music-hall, avec danseurs, chanteurs,magiciens, musique, paillettes etglamour !Rens. www.foliesfeerie.com

RAPSamedi 4 avril, à 20 h, au Zénithde Limoges. Après avoir fait sesgammes avec Sexion d’Assaut,Black M a connu le succès l’andernier avec son premier album.Armé de son flow rapide et deses mélodies entêtantes, il re-part à l’assaut du public, accom-pagné du Wati B...Rens. 05.55.33.28.16.

danseVendredi 10 avril, à 20 h 30,à l’Espace Georges-Brassens,à Feytiat. La compagnie Ara-besque présente ‘’Hope... c’estqui déjà ?’’, sa dernière création.Pour ce spectacle, la compagniea organisé des ateliers choré-graphiques en direction desaveugles et mal-voyants.Rens. 05.55.48.43.18.

Aménager

demain...

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• Un guide gratuit de conseils sur le com-postage.• Trois modèles de composteurs de 18 € à 31 €.

• Des formations gratuites d’une demi-journée.• Une prestation de broyage de branches à domicile à 15 € à compter du 1er mars 2015.

• Mise à disposition d’un petit broyeur pour 10 € la journée .Inscriptions au 0 800 86 11 11(Numéro vert gratuit depuis un poste fixe)

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