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LIKELe magazine qu’on aime découvir

Escale à Londres

Le Bouddhisme à Paris

Créateurs d’effets spéciaux

Offre spéciale

N° 1OFFERT !

Voyage

Un métier

Phénomène

4 Magazine du lundi 13 Mai 2013

Rédactrice en chef Cyrielle Balaine : [email protected]

Secrétaire de rédactionCyrielle Balaine

MaquettisteCyrielle Balaine

Enquête et rédactions : Cyrielle Balaine : pages 8 à 19 ,23 à 26Alexia Félix : pages 6,7,20,21,22

OURS

Toute la rédaction de Like est heureuse de vous présenter sonnouveau magazine.Ici pas politique, pas de récession, pas de chômage et pas debagarre non plus. Accueillez chaque lundi un magazine d’unnouveau genre. Vous n’y trouverez que de la culture et de ladécouverte, des voyages à petits prix, des métiers surpre-nants, des phénomènes culturels déroutants à deux pas dechez vous. De quoi vous remonter le moral quand la météofait des siennes et vous faire profiter du soleil lorsqu’il est aurendez-vous. Le monde est riche de petites découvertes quiméritent d’être connues. Toute la rédaction vous souhaite unebonne lecture et espère que vous prendrez autant de plaisir àle lire que nous en avons pris pour le réaliser.

À très bientôt...

LIKELe magazine qu’on aime découvir

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Sommaire

Découvrir Des maquilleurs très spéciaux 6

VoyagePartez prendre le thé à Londres 8

Goûts de starsCe qu’elles préfèrent 12

Rêve d’ailleursBronzez à l’île Rodrigues 14Admirez le Grand Canyon 16

Flânez à Strasbourg 18

Phénomène culturelLe Street Art 20Une culture à Paris 22

GastronomieLe tour du monde en 5 repas 23

Cultivez-vousLes coups de coeur de la semaine 24

AgendaLes sorties de la semaine 26

La découverte des plus beaux monuments de Londres p8

Créer des monstres pour le cinéma p6

Magazine du lundi 13 Mai 2013

Le bouddhisme s’empare de Paris p20

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Découvrir Le métier de maquilleur effets spéciaux

La magie du cinéma

Lorsque l’on évoque lesmerveilles des effetsspéciaux, le public

pense généralement auxeffets générés par ordina-teur. Pourtant, derrière tousles vieillissements de peauou les effets de sang dansles films d’horreur et lesfaux cadavres, il y a le ma-quilleur d’effets spéciaux. Ilintervient sur les tournagespour simuler des brûlures,des plaies, enlaidir des vi-sages ou encore pour créerdes maquillages avec desprothèses ou des masquesen latex et même des créa-tures fantastiques. Pourexercer ce métier, il fautavant tout savoir être pa-tient. Toutes les étapes demoulages et de fabrications

d’accessoires sont longues,et il faut compter un mois,par exemple, pour faire uneempreinte de vieillissementd’un acteur: « En général,pour créer une paire d’yeuxil faut compter deux ou troisjours. Parfois on va passerdes mois à réaliser unecréature et elle va apparai-tre une minute dans le film,voire pas du tout si la scèneest coupée. Ça fait partie dujeu mais ce qui est vraimentgénial, ce sont toutes lesétapes qui permettent d’ar-river au résultat final », ex-plique Frédéric Laine,fondateur de l’atelier d’ef-fets spéciaux 69 situé àMontreuil.

Plus qu’un métier, une vocation

Pour devenir maquilleureffets spéciaux, il faut sur-tout être très motivé. Iln’existe pas d’écoles spé-cialisées dans la pratiquedes effets spéciaux. Laplupart du temps, les ma-quilleurs qui travaillentdans le cinéma ont faitune école d’art appliquéou encore un cursus auxbeaux-arts. « Dans cemétier, le talent ne suffitpas, il faut être très mo-tivé, être persévérant etsurtout faire preuve d’uninvestissement personnelimportant. Vivre avec cemétier c’est assez difficileau final. On n’est pas sûr

de travailler tout le tempset la concurrence est tou-jours difficile», expliqueOlivier Afonso, maquilleureffets spéciaux à l’atelier69.Le maquillage à effetsspéciaux demande un trèsgrand travail en amont.Pour créer un person-nage, il faut d’abord leconceptualiser en le des-sinant puis viennent en-suite la maquette et lesprothèses. En plus d’êtremanuel, le maquilleur doitégalement se montrercréatif et innovant et avoirune imagination débor-dante.

Dans le monde du 7ème art, les métiers sont nombreux etsurtout variés. Parmi eux, celui de maquilleur effets spéciaux.Très technique, ce métier est avant tout une passion, et unevolonté de créer l’imaginaire. Reportage et illustrations par Alexia Félix


L’atelier 69 est un des ateliers les plus sollicités de Paris

Les travaux de l’ateliers sont nombreux et très variés

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Pour ce métier, il ne faut pas avoirpeur de faire des heures supplémen-taires. Lorsqu’une commande estpassée auprès d’un atelier d’effetsspéciaux, ou auprès d’un maquilleurprofessionnel, un certain temps estdonné pour créer tous les effets. Enfin de tournage, les salariés peuventtravailler sept jours sur sept jusqu’à16 heures par jour.« Les gens pen-sent que dans ce métier, on fait juste

joujou avec nos créatures alors quec’est vraiment un métier sérieux quidemande de nombreuses compé-tences. Beaucoup de gens sont atti-rés par ce milieu, mais ils finissentpar se retrouver là un peu par défautalors qu’il est impératif de s’investirpour réussir », explique AlexandraMoulié, maquilleuse d’effets spé-ciaux. Aujourd’hui le maquilleur effets spé-

ciaux est polyvalent. Il doit savoirs’adapter, être capable de démarcherdes futurs clients, de réaliser toutesformes de maquillage et d’effets. Ilest donc important de s’entrainer leplus possible. Si vous souhaitez don-ner vie à des personnages ou créerdes accessoires complétement fictifs,le métier de maquilleur effets spé-ciaux semble alors fait pour vous.

« Les gens pensent qu’on fait joujou »

Bon à savoir L’institut Technique du Maquillage (ITM) situé à Paris pro-pose à des maquilleurs professionnels et aux étudiantsun atelier de maquillage effets spéciaux de niveau 2,

ainsi qu’un atelier sur les matières transparentes. Lesparticipants peuvent s’initier aux techniques des effetsspéciaux avec prothèses.Plus d’informations sur le site www.itmparis.com.

L’atelier 69

Cet atelier créé il y a 11ans par Guillaume Cas-tagne et Frédéric Lainefait partie des 6 ateliersd’effets spéciaux à Paris.Il a participé à de nom-breux films français et in-ternationaux. L’atelier 69 anotamment fait les effetsspéciaux du film LaHorde, les maquillages deLa vérité si je mens 3 et ila, plus récemment, réaliséun vieillissement de JeanDujardin pour l’émissionLe débarquement diffusésur Canal + le 18 janvierdernier.


Frédéric Laine réalise l’empreinte de viellissement de Guillaume Canet pour son prochain film

Voyage Un week-end à Londres

Vivez à l’heurede LondresDu Big Ben à la Tour deLondres, il n’est pas unmonument dans la capitaleanglaise qui ne mérite d’êtrevisité. Nul besoin d’aller bienloin pour découvrir quelquesmerveilles.

Reportage et Illustrations par Cyrielle Balaine

Il n’est bon pour personne de se priver de va-cances. Le soleil lui-même semble avoir prisquelques jours de congés supplémentaires,

alors, pourquoi pas vous ?Il suffit parfois de 2 ou 3 jours seulement pourrevenir émerveillé d’un voyage. Partez vivre àl’heure anglaise le temps d’un week-end pourvisiter la belle capitale.

Après avoir passé lajournée à marcherdans les rues de Lon-

dres, rien de tel qu’une pe-tite pause dans l’un desnombreux parcs de la ville.Fleuris et bordés de lacs,vous y verrez de nombreux

oiseaux et écureuils, flânerau bord de l’eau et à l’ombredes arbres. Des bancs sontdisposés un peu partoutparmi de grands espacesverts. Vous pouvez y louerdes chaises longues, dé-guster des glaces à l’ombre

des Saules-Pleureurs etprofiter ainsid’un momentde détentebien mérité.

Les parcs de Londres

8 Magazine du lundi 13 Mai 2013

Impossible de visiter la ca-pitale anglaise sans s’ar-rêter quelques instants

devant le majestueux châ-teau de la reine. Rendez-vous à 11h30 devant lesportes du château et obser-vez le rituel de la relève dela garde royale, ou attendez15h et voyez les portes deBuckingham Palace s’ouvrirdevant vous avant que vousn’entriez le visiter. À 15 mi-

nutes de marche, la garderoyale exécute, à 11h, unautre rituel où l’on peut ad-mirer les chevaux et leurscavaliers échanger leurplace. Chaque événement,aussi minime soit-il, ne seproduit qu’une fois dans lajournée et à une heure pré-cise. Ne les laissez pasvous échapper et établissezun planning avant chaquevisite.

Buckingham Palace

Qui dit Londres,dit aussi Lon-don Eye, la «

grande roue » de la ca-pitale est aussi la plusgrande de toute l’Eu-rope. Pour y monter, ilest essentiel de réser-ver son ticket enavance sinon soyezprêt à affronter une filed’attente de plusieurs

heures avant depasser 40 mi-nutes à surplom-ber la ville. Àquelques mètresdu Big Ben, vouspourrez observerLondres avec unpoint de vueunique, vous yverrez tous lesmonuments sedresser devantvous. La vue

sera toujours magiquedepuis le sommet,mais si vous attendezla tombée de la nuit,vous verrez Londress’illuminer sous vospieds et vous vivrezalors, une expérienceunique.

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The Original Tour

Visiter Londres, ça ne se fait pas comme ça.Pour être sûr de ne rien oublier sur la route,rien de tel que de se laisser guider par les my-

thiques bus Londoniens. Réservez vos places dansune des nombreuses compagnies de bus et faitesle tour des monuments les plus importants de la ca-pitale. Les tickets sont valables 24h, vous pouvezdescendre à chaque arrêt, faire votre propre visitedes lieux puis remonter jusqu’au prochain arrêt. Cer-taines compagnies vous offrent aussi la possibilitéd’aller vous balader sur la Tamise. Et oui le ticket dubus vous offre une place sur un des nombreux ba-teaux qui voguent sur le fleuve. Un moyen agréableet original de découvrir les secrets de la capitale.Bien-sûr si le cœur vous en dit, visiter Londres à piedest aussi agréable que ludique, surtout quand le so-leil est au rendez-vous.

Allez-vous tenter d’aperce-voir l’ombre de Peter Panescalader l’horloge la plus

connue du monde ? Impossibleen tout cas de visiter Londressans s’arrêterquelques mi-nutes pourobserver BigBen. Plus im-pressionnantencore que lereste, voyezses tourss’élever de-vant vous etdégustez uneglace à l’om-bre du monu-ment. À 10

minutes de Buckingham Palace,5 du London Eye, vous ne pou-vez qu’admirer le travail impres-sionnant de ceux qui l’on bâtit,se refléter sur la Tamise.

London Eye

Big Ben


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Voyage Un week-end à Londres

Sur les traces de ...

Qui, après avoir suivit pen-dant de longues annéesles aventures du jeune sor-

cier à travers les films et les livresde J.K Rowling, ne s’est jamais

imaginé, ne serait-ce qu’une seconde, vivre dans le dé-cors surprenant du monde de Harry Potter ?

Prendre des coursde potions avec leprofesseur Rogue,

traverser la grande salle,flâner sur le chemin detraverse et se rafraichiravec de la bierreaubeurren’est pas impossible, bienau contraire. Il suffit simplement, auxamateurs d’aller visiter

les studios Warner Bros.Les lieux mythiques oùont été tournés les filmssont en effet aménagéspour le public qui vientdes quatre coins dumonde marcher dans lespas de Daniel Radcliffe.Un voyage de courtedurée, certes, mais ma-gique.

Pour un dépaysementtotal, n’oubliez pas de

passer par Poudlard. Pour y aller, rien de plussimple. Il vous suffit devous rendre sur le sitewww.wbstudiotour.co.uk/fr

et de réserver vos ticketsplusieurs jours à l’avanceafin d’être sûr d’avoir desplaces disponibles. Avantde valider l’achat, il est im-portant de vérifier que letrajet en bus est fourni avec

The Golden Tour

le billet. Il vous suffira ensuite de vous rendre au point derendez-vous indiqué sur le ticket, puis de vous laisser gui-der dans le monde merveilleux de la magie.

Harry Potter

Retrouvez la magie de Harry Potter à 35 Km de Londres

Venez goûter à la bierreaubeurre pour 1£ seulement

Un bus est à votre disposition pour vous conduire aux studios

De Londres à Leavesden, seule-ment quelques minutes suffisentpour passer de la réalité aumythe.

Reportage et illustrations par Cyrielle Balaine


Visitez la Grande Salle aux cotés des professeurs de Poudlard

11Magazine du lundi 13 Mai 2013

Partir, ouimais au bon moment !

Quand on part en voyage, mieux vaut sepréparer un minimum, surtout lorsqu’il n’estpas plus long qu’un week-end. Voici Londresen 4 dates clés pour une visite unique.

Reportage et illustrations par Cyrielle Balaine

Février : Le Nouvel an chinois

À Londres, de nombreux évènements célèbrent lenouvel an chinois. Les plus grandes réjouissancesse déroulent cependant au Trafalgar Square et à Lei-cester Square, mais tout Chinatown est égalementen fête, et ce n’est pas tout. Quelques musées,comme le British Museum et le Victoria and AlbertMuseum participent également aux festivités.

La fashion Week

Qui dit février dit aussifashion week. Les fans de lamode seront ravis de partirvisiter la capitale anglaise du-rant cette période. Cepen-dant, il est indispensable deplanifier sa visite en avancepour en profiter un maximum.

Mars: Fête de la SaintPatrick

Fêter la St Patrick à Lon-dres est un passage obliga-toire pour ceux qui serontdans la capitale à ce mo-ment de l’année. Du défilésur Trafalgar Square auxtraditionnelles fêtes danstous les pubs et bars de laville, le 17 mars promet auxanglais et aux touristes unesoirée mémorable.

Mai: Vaisakhi

Chaque année, Londrescélèbre aussi Vaisakhi, lenouvel an sikh. Celui-ci sedéroule, en réalité, le 13Avril, mais les london-niens attendent le moisde Mai pour les festivités.Et comme toujours, c’estsur Trafalgar Square quetout se passe.

Juin : Trooping the Colour

Trooping the colour n’est rien d’autre que la célébration del’anniversaire officiel de la reine. Un évènement très impor-tant pour les anglais. Au programme, un incroyable défilémilitaire, qui se déroule chaque année depuis près de 200ans. La reine est bien évidement présente lors de ce défiléet se rend elle aussi à Buckingham Palace, sous les ap-plaudissements de la foule.

En pratiqueTrajet : Voyager en ferrie avec unevoiture revient environ à45€.Le trajet en eurostar coûteen moyenne entre 150€ et200€ par personne.

Hôtel :Le prix des hôtels variebeaucoup. Il est préférablede faire une réservation encomparant les prix sur dessites spécialisés. Privilégiezles hôtels proches du centreville.

Se déplacer À Londres, le prix des busest plus cher qu’en France,mais les tickets sont vala-bles toute la journée sur lamême ligne de bus. Lemétro est facile d’accès etles prix varient entre 3£ et5£.

La monnaieEn Angleterre, la monnaieofficielle est la livre.1£ équivaut à 1€20.

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Goûts de stars Ce qu’elles préfèrent


"J'adore la cuisine. Je fais les marchés de produc-teurs ou vais au supermarché près de chez moi. Ilest ouvert jusqu'à minuit, ce qui est mon momentpréféré pour y aller parce qu'il n'y a pas beaucoupde gens et je peux me promener librement dans lesallées. Ensuite je passe toute ma journée dans lacuisine le lendemain. Je suis meilleure dans la préparation de platsrusses; étant petite, je regardais ma mère cuisinerces plats. "

Mila Kunis

Source : Mellty.fr

Jude Law

"Il est fan des Goonies "Sinok aime Choco", cavous dit quelque chose ? Si vous aviez 10 ans en1985, vous aurez sans doute reconnu une répliquedes Goonies, film culte de Jude Law qui lui avait 13ans à l'époque."

Source : yahoo.com

“ J'adore Paris qui est une ville très belle, pleine decharme avec toutes ses petites ruelles, et tous sesarrondissements si différents. Et puis il y a pleinsde boutiques ! J'aime me balader comme tout lemonde, et Paris est une ville très riche pour ça ! ”

Shy’m

Source : Teva.fr


"Il y a cette scène dans 'Une Fiancée Pas CommeLes Autres', dans laquelle je me trouve dans unepièce remplie de femmes âgées qui tricotent. Cettescène a duré toute la journée. Elles m'ont appris àtricoter. C'était l'une des journées la plus relaxantede ma vie. Je ne peux pas concevoir une journéeparfaite sans tricoter. Au moins on fabrique quelquechose. Ca fait un beau cadeau pour ceux qui ai-ment les écharpes aux formes bizarres trèsmoches !"

Ryan Gosling

Source :divertissements.ch.msn.com

"J’’aime bien le foie gras poilé. Je trouve çatrès très bon, j’adore en manger. Je peux enmanger des quantités immenses. J’adorequand je voyage, bien manger, manger local.D’ailleurs je voyage aussi parce que je veuxmanger.”

Omar Sy

Source :Youtube.com Let’s cook

"La nuit est pour moi romantique. C’est le momentoù l’on peut allumer des bougies et où la lumièreparaît si chaude, si douce. C’est comme si la nuit,tout était plus joli.J’adore aussi le maquillage, je suis toujours fasci-née de voir à quel point il peut nous transformermême si en fait, je n’en porte pas beaucoup.Je fais également beaucoup de sport. Je pratiquela natation,le hockey et le tennis. J’adore aussidanser"

Emma Watson

Source : Mellty.fr


Rêve d’ailleurs Rodrigues


Bronzez à Rodrigues


Rêve d’ailleurs Grand Canyon

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Admirez le Grand Canyon

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Rêve d’ailleurs Strasbourg


Pho

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Flanez à Strasbourg

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Phénomène culturel Le Street Art

Des murs entiers re-couverts de graffitis,Paris en est rem-

plie. Sous l’influence desEtats-Unis et de l’Angle-terre, le street art a connuun boum en France dansles années 1980. Si lestreet art regroupe entreautres le graffiti, les séri-graphies et les affichespeintes, les deux grandeslignes de l’art urbain au-jourd’hui sont les collageset les pochoirs. À Paris,environ 200 artistes de col-lage et de pochoir se cô-toient. « Les artistes dustreet art veulent avanttout s’exprimer, et pourcela, il n’y a rien de mieuxque la rue. L’art urbain estdevenu une mode. Cen’est pas de la dégradation

publique contrairement àce que certains peuventcroire, les artistes veulentvéhiculer une histoire »,explique Nicolas, fonda-teur du site street art Paris(www.streetart-Paris.fr ). Sicertains artistes ont réussià se faire connaitre avecleur signature visuelle,d’autres profitent de leurnotoriété en les copiant ouen ajoutant leurs propresœuvres à côté de cellesdes grands artistes. « Sefaire connaitre reste diffi-cile. Tout est une questionde marketing pour eux. Lestreet art touche même lespoliticiens, qui ont comprisqu’ils peuvent atteindre lapopulation avec cette ten-dance ».

Les grandes marques ontégalement décidé dejouer avec l’image dustreet art, en demandant,par exemple, à des ar-tistes de redécorer leursmagasins. Certaines bou-tiques de luxe ont mêmelancé des tee-shirts à l’ef-figie de l’art urbain. L’ar-tiste français Kidult adécidé de s’attaquer àdes vitrines de marquesde luxe en y lançant desjets de peintures avec unextincteur pour exprimerson mécontentement. Selon lui, le street art doitrester la propriété des ar-tistes de rue. `D’autres artistes comme

C215 préfèrent jouer avecdes pochoirs, en réalisantdes visages d’enfants, devieillards ou encore demarginaux dans sa villede Vitry sur Seine.«Quand on expose, ons’expose à des risques, àdes coups. La frénésieactuelle ne durera sûre-ment pas, alors j’en pro-fite maintenant. Quand j’aicommencé à faire dugraffiti de manière sé-rieuse en 2006, il n’y avaitquasiment personne quien vivait autour de moi. Jen’arrive pas encore à merendre compte que je suiscélèbre », raconte Chris-tian Guemy, alias C215.`

Les artistes s’emparent des rues

Présent en France dès les années 1970, le street art s’est de-puis bien installé dans toute l’Hexagone. Que ce soit dans lenord, à Lyon ou dans la capitale, l’art urbain touche tout lemonde par ses styles différents. Le street art est un phéno-mène qui ne semble pas prêt de s’essouffler.Reportage et illustrations Alexia Félix

« Quand on expose, ons’expose »


Le street art a été très influencé par le mouvement hip hop venus des Etats-Unis.

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Le statut juridique du streetart est complexe et peut va-rier selon les pays. EnFrance, faire un collage, ungraffiti ou un pochoir sur unlieu public constitue une in-fraction. Sans autorisationpréalable du propriétaire dubâtiment ou de la mairie,les artistes risquent jusqu’à30 000 euros d’amende etune peine de travail d’intérêtgénéral.En Angleterre, les artistesrisquent même une peine

de prison d’un an s’ils sontpris en flagrant délit.Graffer reste donc encoreun délit en France, mais lefait d’inscrire leur art dans larue permet aux artistes des’exprimer et de faire pas-ser un message. La visiond’une œuvre dépend sur-tout de la façon dont on leréalise. Le street art estsans doute la forme d’art laplus populaire et la plus ac-cessible.

L’art urbain en chiffre

Aujourd’hui le street Art s’est fait une belle place dans lemarché de l’art, au point que les œuvres des artistes sevendent très bien dans les salles de ventes. Les créationsdu français C215 oscillent généralement entre 5 000 et 11000 euros, les logos dégoulinants de Zevs peuvent attein-dre les 16 000 euros et les tirages de JR peuvent quant àeux se vendre près de 30 000 euros. La toile la mieux ven-due dans le monde est Untitled de l’américain Jean-MichelBasquiat qui a atteint les 15 millions d’euros.

Une réglementationcompliquée

Bon à savoir


Fermé depuis le 5 juin 2010 , la célèbre discothèque du3ème arrondissement Les bains-douches accueille désormais les artistes du street art pour une expostionéphémère. Le public peut voir ces œuvres sur le site

w w w. l e s b a i n s -paris.com.

À l’initiative de lagalerie Openspaceà Paris, 21 artistesinternationaux sontinvités à présenterdurant un mois unesélection de leursplus belles œuvres« graffuturistes »,jusqu’au 06/07/13.Galerie Opens-pace, 56 rueAlexandre DumasParis 11, du mardiau samedi de 14h à20h.

L’art urbain est devenu un véritable atout touristique du 20° arrondissement de la capitale

Le street Art regroupe de nombreux styles différents

C’est une religiondont on parle peu,mais le bouddhisme

est pourtant bien encrédans le paysage francais.Le plus grand temple boud-dhiste d’Europe se trouved’ailleurs à deux pas deParis, en Seine-et Marne.La reglion est égalementcélébrée chaque année enFrance, au mois de mai, lepays regorge égalementd’écoles tibétaines. Pas dedoutes le bouddhisme s’estfait une place parmi les re-ligions les plus suivies deFrance. Diffusée dans les années1980, sous l’influence d’oc-cidentaux convertis, la reli-gion tibétaine a su séduireun grand nombre de fran-çais grâce à sa démarchephilosophique et sa pra-tique spirituelle. « Je pra-tique le bouddhisme depuis2 ans et me suis convertiel'an dernier. Le boud-dhisme est vraiment unereligion saine, comparée àd’autres. On est prochesdes autres et on fait atten-tion à ce qui nous entoure.

Je recommande vraimentcette religion », expliqueSarah jeune adepte de 32ans.

Le bouddhisme possèdeaujourd’hui une très bonneimage en France en partieà cause de la médiatisa-tion de la religion depuis1993.Il s’est depuis, largementinstallé dans la capitale. Lequartier chinois, voit eneffet, s’installer deux tem-ples bouddhistes, pour leplus grand bonheur de sespratiquants. « On croit àtort que le bouddhisme estfacile à pratiquer, mais ildemande une grande disci-pline personnelle et defortes exigences éthiques.Du coup savoir qu’il y a deslieux pour pratiquer notrereligion c’est vraiment unebonne chose à mon avis »,explique Nicolas, unadepte. Afin de toucher en-core plus de français, lafête du bouddhisme est or-

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Phénomène culturel le bouddhisme à Paris


Une philosophie attiranteDepuis les années 1980, le bouddhisme apris une place de plus en plus importanteen France. Avec un million de pratiquants,c’est aujourd’hui la quatrième religion laplus exercée dans le pays. Malgré tout,ses adeptes souhaitent davantage étendrele mouvement.

ganisée chaque année unpeu partout dans le monde.Cette année, les festivitésse dérouleront le week-enddu 25 Mai. Ceci dans le butde célébrer le Wesak. Unetradition qui commémorel’anniversaire de la nais-sance et de la mort deBouddha, père de la reli-

gion. En plus de ses nom-breux adeptes pratiquants,la France compte aussiquelques cinq millions desympathisants qui se di-sent « proches » de cettereligion, un chiffre qui necesse d’augmenter depuisun demi-siècle.

L’Union Bouddhiste de France (UBF)

Cette fédération fondée en 1986 a pour but ded’assurer les liens entre les associations boud-dhistes et l’ensemble des pouvoirs publics. L’UBFprésente le bouddhisme comme l’un des plusgrands courants spirituels qui existe dans lemonde.

Une imagede modernité

Reportage et illustrations par Alexia Felix

Lieu de prière où chacun peut entrer se recueillir

le temple bouddhiste situé dans le 13° arrondissement

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Gastronomie les gourmandises de Paris

Le tour du monde en 5 repas Il est des chefs qui peuvent vous faire

voyager d’un simple coup de fourchette.Ces restaurateurs sont nombreux enFrance. Cette semaine, les parisienspourront faire de merveilleux voyagessans sortir de la capitale.Par Cyrielle Balaine. Illustrations tirées des sites internet des différentsrestaurants.

CocodeMer

Il y a desrestaurants comme ça, quiarriveraient presque à vousfaire croire que vous avezchangé de pays. Coco demer est de ceux là. Mangerdes gambas les pieds dansle sable à Paris c’est bel etbien possible. Au menu, duhomard, du poulpe ou en-core des accras de morue ,le tout accompagné d’unpunch venu tout droit desîles. Dégustez le tout dansun cadre exotique excep-tionnel. De quoi vous fairevoyager jusqu’aux Antillesen un rien de temps.

La Tute2

Et si nous faisions untour dans les Pyrée-nées ? Car c’est icique nous emmène cerestaurant dont le pro-priétaire est directe-ment issu de Bigorre,et sa cuisine avec lui.Au menu, des gam-bas, du magret et sansdoute les meilleuresfrites de Paris, le tout servi avec un accueildes plus chalereux dans un décor authen-tique. Traversez le pays en poussant sim-plement les portes de ce petit bistrot.

Al-Ajami

S‘il est unlieu dans lacapitale pourd é c o u v r i ravec plaisirla nourriturel i b a n a i s e ,c’est ici. Ond é c o u v r edans ce petitrestaurant du 8ème arrondissementde Paris, une cuisine traditionnelle etsurtout originale. Ici, la cuisine c’estune affaire de famille, puisque le sa-voir faire est transmis de père en filsdepuis près d’un siècle.Au menu des plats aux saveurs sur-prenantes et épicées.

New Balalest un res-taurant indo-pakistanaisdes plus ori-ginaux. Ceux qui sont à larecherche d’un décortape à l’œil seront déçus.Malgré les palmiers quihabillent la pièce, la sallereste sobre mais la mu-sique elle-même suffitpour entrer dans l’am-biance. La cuisine, elle,est loin d’être sobre. Des

plats épicés enchantentles amoureux de la cui-sine indienne et fait biendes fans dans la capitale.

Blue Elephant

Si l’on peut manger les pieds dans le sable à Paris, pour-quoi ne pourrions-nous pas dîner dans une jungle ?Et oui, il existe bel et bien une « jungle » dans le 11 èmearrondissement. Une forêt de bambou à côté de Bastille.Le Blue Elephant c'est un décor élaboré et des assiettesbien garnies. Ce petit restaurant thaïlandais ravit les visi-teurs qui se retrouvent projetés dans un autre pays et dé-gustent des plats épicés venus d’un autre monde. Ceux quisont à la recherche d’évasion dans la capitale ne risquentpas d’être déçus.

New Balal


7 rue Rossini, 75009 Paris01 40 15 65 65

34, blvd Saint-Marcel 75005 Paris0681572929www.cocodemer.fr

58 rue François 1er 75008 Paris01 42 25 38 44

25 Rue Taitbout 75009 Paris01 42 46 53 67www.newbalal.fr

43/45, rue de laR o q u e t t e75011 Paris01 47 00 42 00www.blueele-

phant.com

Les coups de coeur de la semaine

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Cultivez-vous À découvrir absolument

Le 13 Mai 2013

6 ans après Divinidylle,Vanessa Paradi sortun nouvel album déjà

très attendu. Love Song, écritpar Benjamin Biolay est com-posé de deux CD de plus de 30min chacun, dont les extraits dif-fusés ont été couronnés de suc-cès.


Un personnage énig-matique venu denulle part à l'été

2011, qui a su s'imposercomme un phénomèneplanétaire. Lana Del Rey(aka Lizzy Grant) a d'abordtrusté l'internet avec ses ti-tres Video Games ou BlueJeans n'ayant pas mêmeun album à vendre. Celui-ci est finalement arrivé endébut d'année 2012. Maisce qui nous occupe au-jourd'hui est la nouvelleversion de ce disque re-baptisée The Paradise Edi-tion qui ajoute 8 nouveauxtitres à la première mou-ture parue. L'album estainsi plus homogène etplus proche de ce que l'onattendait. L'envoutant Rideou encore la sublime re-prise de Blue Velvet deTony Benett, qui a servi debande son à la campagne

automnale de H&M, dont lademoiselle est devenuel'égérie, en sont les titresphares, plaçant l'artiste aurang d'icône. Les textessont romantiques et som-bres. L'album ne manquepas de charme et de sensi-bilité bien qu'on y retrouveles influences hip hop quel'artiste revendiquepuisqu'elle n'a pas hésité às'autoproclamer comme la"Gangsta Nancy Sinatra".L'ambiance est planante,moderne et rétro à la foismais ne saurait laisser in-différent. La jeune femme adonné deux concerts soldout en une vingtaine de mi-nutes à l'Olympia les 27 et28 avril derniers et quelsconcerts!!! L'Olympia a étél'écrin parfait et sublimepour l'univers tellement sin-gulier de l'artiste qui amontré à tous ceux qui ne

Les plus de la semaine

Le 15 Mai 2013

Dan Brown n’en avaitpas fini avec sonhéros. Le pofesseurde symbologie, Ro-

bert Langdon, personnage cléde Da Vinci Code et du Sym-bole perdu, est de nouveau aucentre de son dernier roman.L’auteur vous promet des déli-cieux moments venus tout droitde l’enfer.

Le 15 Mai 2013

Un nouveau roman quine fait pas encore par-ler de lui, mais cela nedevrait pas tarder. À

travers La Page Blanche, lesauteures Pénélope Bagieu etBoulet racontent la quête d’unejeune amnésique pour retrou-ver son identité.

voyaient en elle qu'une ma-rionette marketée, que c'estune véritable artiste don-nant une nouvelle dimen-sion pleine de grâce et desimplicité à ses chansons.Elle a métamorphosél'Olympia en décor de l'âged'or d'Hollywood avec pal-miers, chandeliers et lionsmontant la garde près dubatiment dont les vitres sontles écrans géants du spec-tacle. Et quelle générositépuisqu'elle fini son show endescendant en fausse poursigner des autographes ouposer pour des photos. Elleparticipe aujourd'hui à labande son de Gatsby le Ma-gnifique de Baz Luhrmann,à travers une compositionoriginale Young And Beauti-ful et qui, ce n'est pas unhasard, a été choisi commepremier single du projet. Ilregorge de titres inédits

d'autres têtes d'affiche tellesque Florence + The Ma-chine, Will I Am ou encoreBeyoncé pour ne citerqu'eux. On peut trouverBorn To Die - The ParadiseEdition dans diverses édi-tions dont une à 10 eurospour célébrer les concertsparisiens. Aucune raison des'en priver. Mention spé-ciale pour le joli coffret éditépour Noël comprenant ledisque dans une version di-gipack exclusif, un dvd avectous les clips, un cd de re-mixes inédits, des photos etle picture disc de Blue Vel-vet. Le disque a égalementété pressé en vinyle. Brefune raison de plus pour lesamateurs de musique desuccomber.

Daniel Serrano,38 ans,

disquaire.

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Par Cyrielle Balaine

Lana Del Rey

BORN TO DIE THE PARADISE EDITION.

25

Le 20 Mai 2013

8 ans que les DaftPunk n’avaient pas

sorti d’album studio. C’est chosefaite avec Random Access Mé-mories, un album aux sonoritésdisco funk dans la lignée de l’ex-cellent premier extrait Get Lucky.


Le 15 Mai 2013

Le monde de Charlieest un film adapté dubest-seller de Ste-phen Chbosky par

l’auteur lui même. Pour cela, ila su s’entourer de grands ac-teurs comme Emma Watson etLogan Lerman qui mettent par-faitement en valeur les troublesde l’adlescence.

Le 17 Mai 2013

Un nouveau film pourQuentin Tarantino et unnouveau grand succès.Djando unchained est

digne de ses plus grands filmset pour cela il s’est constitué uncasting de rêve Leonardo Di-Caprio, Samuel L.Jackson,Jamie Foxx et Christoph Waltzne font qu’augmenter la qualitéde sa dernière production.

Le cercle littéraire des amateursd’épluchures de patates

“ Juliet, jeune écrivain cherche un sujet pourson prochain roman.. la lettre d’un inconnuva le lui fournir” Au fur et à mesure de sa cor-respondance avec Ramsey, Juliet découvrel’histoire d’une petite île britannique durantl’occupation de la seconde guerre mondiale.

Très vite elle va tomber amoureuse des habitants de Guer-nesey et découvrir en chacun d’eux une force et un courageadmirables. Mais plus encore, elle va trouver le héros de sonprochain roman.

On sait quand un livre est vraiment bon, s’il nous manquequand il est terminé. Très peu ont cet effet là sur les lecteurs,mais celui-ci laisse un vide terrible quand on tourne la der-nière page.Si bien, que l’on regrette de l’avoir lu tellement vite,mais quand on le lis, impossible de s’arrêter. Un livre écrit àtravers de simples lettres échangées entre les protagonistes,un livre joyeux, une héroïne attachante et des histoires boul-versantes. C’est sans aucun doute, l’un des meilleurs livresque j’ai pu lire jusqu’à présent.

Julie, 24 ans,étudiante.

Rien ne s’oppose à la nuit

“ Et puis comme des dizaines d’auteurs avantmoi, j’ai essayé d’écrire ma mère”. Pour tenterde comprendre pourquoi cette dernière s’est su-cidée, l’auteure retrace l’histoire de sa mère etd’une famille qui intrigue autant qu’elle nous fas-cine. Tandis que les drames se succèdent, deterribles secrets, plus déstructeurs les uns queles autres s’accumulent et entrainent lentementla mère vers la folie.

Rien ne s’oppose à la nuit est sans aucun doute le roman le pluspersonnel et le plus boulversant de Delphine De Vigan. Il s’agit làd’un livre qui nous touche au plus près et nous reste longtemps enmémoire.

Solenne, 25 ans, libraire.

La collection GeorgesLang

Dans quel CD se côtoientDeep Purple et FleetwoodMac ou Muse et Elvis Presleysinon dans les collectionsnocturnes de Georges Lang?Cet animateur qui sevit surRTL nous avait déjà fait profiter des collections 1et 2 qui reprennent les titres de groupes ou dechanteurs anglophones sur plusieurs décénies.

Depuis quelques jours, Georges Lang nous per-met d’apprecier “des nocturnes” sous forme de 4CD se composant de titres des années 60 aux an-nées 2000 que l’on prend plaisir à découvrir ou àécouter à nouveau. Une merveille pour les souve-nirs et les oreilles.

Patricia, 52 ans,adjointe de direction.

Scott Pilgrim

Scott Pilgrim est un jeune musicien de Toronto à la vieapparement banale mais lorsqu’il s’éprend de RamonaFlowres, tout son monde va basculer dans un joyeuxmais douloureux délire; car pour sortir avec la belle ildevra d’abord vaincre ses 7 maléfiques ex-petis amis.Tout un programme.

Aucun film n’avait jamais pu êtreconsidéré comme LE film geekauparavant. Alliant à la fois des ré-férences mangas et jeux vidéos,avec des effets spéciaux dignentdes plus grands films de sciencefiction, Scott Pilgrim est un ovni ci-nématographique porté par le ta-lent du jeune comédien Micheal Cera.

Julien, 33 ans, vendeur musique et vidéo.

Agenda de la semaine

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Amateurs de tennisde table, soyez prets! Ce lundi débute lechampionnnat dumonde de tennis detable à Bercy

Pour le plus grandplaisir de ses fans, Julien Clerc monterasur scène ce soirpour la tournée deson dernier albumFou au théâtre duchâtelet à Paris.

Ne ratez surtout pasle concert de JoeCocker ce mercredisoir au Zénith deParis.

Ce soir, Paris est enfête. I Muvrini seraaussi en concert à laMutualité pour unshow unique.

Aujourd’hui s’ouvre la66° édition du festi-val de Cannes. Fes-tival qui se clôturerale 26 Mai.

Qui dit mercredi, ditsortie cinéma et cettesemaine Gasby leMagnifique est àl’honneur dans lessalles françaises.

cus, Cali sera lui aussien concert ce mardisoir. Il se produira auBataclan.

Envie de sortir le mardisoir ? Pourquoi ne pasopter pour le concertde Mickael Miro à lacigale. Sa tournée pourcet album entrainant etjoyeux vous fera pas-ser une bonne soirée.

Pour ceux qui ne sontpas encore convain-

Pourquoi ne pas pas-ser une agréable soi-rée en compagnie deMichael Gregorio?En tournée dans toutela France, il sera cesoir en concert àMontpellier.

À ceux qui voudraientpasser une soiréepleine de rire et debonne humeur, n’hé-sitez pas à aller voirJeremy Ferrari quise produit à l’Olympiade Paris.

Avis aux fans d’ani-mations japonnaises,le Salon Epitanimese teindra au Krem-lin-Bicetre (94)

Soyez prets à dansertoute la journée avecle festival de fla-menco qui se tient cevendredi à la villette.

Si vous êtes fans devoiture, rendez-vousau GT Days Techno-pôle à Magny-Coursqui rassemble les pro-priétaires de GT mo-dernes

Ce dimanche se tien-dra la quinzième édi-tion de CourirEnsemble. Cette année, l’associa-tion soutient le Mali.Pour s’inscrire rendez-vous sur www.courir-ensemble.org

Avis aux amateurs, lesalon international ducouteau d’art et detradition se tiendra àThiers dans Puy-de-Dôme.

Envie de visiter les plusbeaux musées deFrance gratuitement ?La Nuit Européennedes musées se tiendrace samedi. 98% desmusées d’Europe se-ront ouvert et gratuitscette nuit là.


La semaine prochaine...

Une semaine à Las-Vegas à moins de 1000 €

Rencontre avec Grégoire Ludig

Les derniers forgerons de France

Le Harlem Shake : Pourquoi ça marche

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