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qui est plus prisé. Le côté radieux n’est pasune affaire d’âge » poursuit Pascale Brousse.

Parallèlement, elles manifestent unerecherche d’un soin à tout âge. « Une femmede 60 à 70 ans ne se retrouve peut-être pasdans l’offre qu’il y a actuellement. Lesfemmes mûres sont encore trop souvent lesgrandes oubliées du mouvement de l’inclu-sivité », assure Pauline Gaillard, ingénieurmarketing chez Gattefossé.

Les ingrédients du nouvel anti-âge

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tion cosmétique. Les seniors seraient lesnouveaux millennials, refusant la surcon-sommation, exigeant la sécurité et résolu-ment tournés vers une positive attitude.Dans son dernier livre Les promesses del’âge, Perla Servan Schreiber appelle cela« l’acceptation joyeuse de la réalité ». Envieillissant, la population prend un reculsur ce qu’est la cosmétique, ce qu’elle estcapable de traiter. Ces consommatricesaguerries sont dans le refus de la surpro-messe, elles savent qu’il n’y a pas de produitmiracle. « Ces femmes ne s’attendent pas àce que leurs rides disparaissent du jour aulendemain, ce qu’elles veulent c’est êtreaccompagnées, que leur peau soit soignéeplus que camouflée », confirme JustineDemangeon, directrice de la communica-tion scientifique chez Greentech. « Il y aune recherche de discours franc. Les femmesmatures vont plutôt miser sur la posture, lemaintien, la silhouette et l’éclat du visage

Dans une société vouée au vieillissementde sa population, le rapport à l’âge, pourles hommes comme pour les femmes,représente un sujet clé de la cosmétique.Une personne sur 3 aura plus de 60 ans en2035 selon l’Insee. Pour cette catégorie, lavolonté d’effacer les marques du vieillis-sement se mue en une volonté d’accepta-tion épanouie de ses années. « La beautéest devenue beaucoup plus holistique, elleenglobe aujourd’hui une dimension plusintégrale de soin de la personne. Le healthylifestyle des millennials infuse la catégoriedes 60 + », explique Pascale Brousse, fon-datrice de l’agence Trensourcing, spécia-liste des tendances sociétales.

Génération trendsetters argentésDémographiquement considérable, phy-siquement épanouie et financièrementaccomplie, la génération argentée insuffleune nouvelle conception de la consomma-

Le Glucohyami, dernier actif lancé par le groupeAlban Muller, a été développé à partir des cossesde racines séchées de chicorée non exploitéespar l’industrie alimentaire. Ces racines produisentune molécule présente dans le corps humain,essentielle à la peau, la glucosamine. L’actifapporte à la peau cette molécule sous formevégétale afin de combler la production défaillanteavec l’âge d’acide hyaluronique.

Atténuer ou prévenir les signes de l’âgereprésente la revendication majeure de lacosmétique depuis son origine. L’époquesemble pourtant demander une nouvelleapproche, le terme d’anti-âge devrait trouverune fin pour aller vers une notion plus positive.Pour cause, les femmes de 50 ans et plus, loind’être invisibles, se tournent plus volontiers versune représentation assumée et épanouie deleur âge. Rassemblant numériquement unecible que le marché ne peut ignorer, ellesattendent des fabricants une réponse pour unebeauté plus globale, une mise en lumière de leurmanière de bien vieillir. Loin de s’affranchirtotalement de la promesse antirides, l’industriese penche vers de nouveaux ingrédients.

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pement de nouveaux actifs well-aging. « Àcet âge mûr, la consommatrice s’inscrit dansdes démarches d’acceptation et de compré-hension de soi. Dans ce contexte, il est inté-ressant de prendre en compte un lien entrel’émotionalité et la cosmétique. Une notion

Pascale Brousse, fondatricede l’agence Trensourcing,spécialiste des tendancessociétales.

David Boudier, responsablede la communicationscientifique, Silab.

Justine Demangeon, directricede la communicationscientifique, Greentech.

Édith Filaire, Professeurdes universités, directricescientifique du groupeGreentech.

Pauline Gaillard, ingénieurmarketing, Gattefossé.

Inspiration émotionnelleFace aux enjeux portés par cette évolutioninédite, les marques de beauté se mobili-sent. Cherchant encore un discours et unesegmentation adaptés, elles se nourrissentd’une offre d’ingrédients de plus en plus

orientée, travaillée en fonction de différentesinspirations.

Pionnier de la biotechnologie végétale,Greentech s’est tourné vers la psychobiologiecomme axe de recherche pour le dévelop-

En vieillissant, lapopulation prend unrecul sur ce qu’est la

cosmétique, ce qu’elleest capable de traiter.

« Ces femmes nes’attendent pas à ce queleurs rides disparaissentdu jour au lendemain, cequ’elles veulent c’est êtreaccompagnées, que leur

peau soit soignée plusque camouflée »,confirme Justine

Demangeon, directricede la communication

scientifique chezGreentech.

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mangeon. La sénescence signi-fie l’arrêt de la reproduction descellules. Les cellules sénes-centes secrètent par ailleurs lesecretum composé de molé-cules néfastes pour la peau etinduisant le vieillissement cu-tané. In vitro, Hebelys a démon-tré son action sur ce phéno-mène de sénescence commesur d’autres marqueurs plusclassiques. Au regard de ces ré-sultats intéressants, des tests invivo ont été effectués sur unpanel de 24 sujets entre 60 et70 ans avec une formuleconcentrée à 1 %, versus pla-cebo. Ils confirmaient un béné-fice cosmétique sur la barrièred’hydratation, la diminution dela rugosité et le relief moyen,un effet au niveau de la patted’oie et une augmentation del’isotropie.

Passées ces étapes, Greentecha évalué l’efficacité émotion-nelle par notamment des testspsychologiques scientifiquesprouvés (test de Rosenberg).Ces tests reproductibles en10 questions se sont axés sur lanotion d’estime de soi. « Le pro-cess de reproductibilité dans letemps est essentiel pour s’assurerque les réponses restent lesmêmes », précise Edith

que l’on appelle en science la psy-chophysiologie, et vers laquellela cosmétique s’oriente actuelle-ment. Chez Greentech, noussommes précurseurs sur cetteapproche originale et nova-trice », déclare Édith Filaire,Professeur des universités, di-rectrice scientifique du groupeet auteure d’une soixantained’articles en lien avec la psycho-biologie. Le principe de la dé-marche est d’évaluer l’efficacitéd’un actif sur la peau, mais deregarder également l’intérêtqu’il peut avoir sur l’humeur engénéral.Pour son nouvel actif proagingHebelys, Greentech a pris l’an-gle de l’estime de soi.Né d’une collaboration avec Déi-nove, société spécialisée dansles souches bactériennes à partirdesquelles sont développés desingrédients à haute valeur ajou-tée, Hebelys a fait l’objet dansun premier temps de tests invitro puis in vivo sur les mar-queurs clés du bien vieillir.« À l’évidence les peaux maturessont très en demande d’actifs dé-diés, dans une logique d’accep-tation et d’accompagnement duvieillissement. Nous avons étu-dié différents marqueurs, no-tamment ceux de la sénes-cence », explique Justine De-

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Alexandra Jeanneau, responsableinformation technique &communication scientifique,Alban Muller.

Aïna Queiroz responsableinnovation et communicationscientifique, Seqens.

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une longévité exceptionnelle, reste pournous une source d’inspiration puissante,que ce soit dans notre sélection des sourcesvégétales ou dans le choix de cibles biolo-giques clefs pour le développement d’actifss’adressant au marché proâge », résumeAïna Queiroz.

Inspiration sensoriellePour son dernier actif Sensorialine, lefournisseur de principes actifs d’originenaturelle Silab explore les voies de la bio-logie sensorielle et plus particulièrementdes récepteurs olfactifs et gustatifs épi-dermiques. Selon plusieurs études cesrécepteurs seraient en lien avec la régé-nération cutanée. Grâce au développe-ment de modèles in vitro inédits, Silab apour la première fois démontré que cesderniers sont dérégulés au cours du vieil-lissement. En reconnectant la peau âgéeà ses sens, l’actif Sensorialine répond àcette dérégulation et favorise la régéné-ration épidermique ainsi qu’une meil-leure hydratation. C’est dans la noix decoco, et plus précisément dans la farinequi en est issue, qu’ont été identifiées lesmolécules spécifiques se fixant sur lesrécepteurs sensoriels. Au-delà de son effi-cacité démontrée, la valorisation de ceco-produit, provenant de la pression àfroid de la chair blanche du fruit, souligneun engagement fort de Silab en matièred’écoresponsabilité.

Dans le cadre du développement d’unautre actif destiné aux peaux matures,Silab a décrypté pour la première fois lebien vieillir au niveau cutané. Pour cefaire, les équipes de recherche ont travaillépendant deux ans, à l’échelle in vitrocomme à l’échelle in vivo. Le laboratoirea notamment réalisé des groupes de dis-cussion ou « focus group » afin de recen-ser auprès de différentes consommatricesleur perception du bien vieillir. À l’aided’un logiciel d’analyses de données, Silab

kaempferols et quercétines glycosylés.Une étude a d’ailleurs démontré en 2013un effet significatif de l’extrait de feuillesde getto sur la durée de vie de Caenorhab-ditis elegans, animal modèle pour l’étudede la longévité. Fort de cette inspiration,Seqens s’est penché sur les propriétés àl’échelle cutanée de cette plante peu uti-lisée en cosmétique.

Parallèlement, le bien-être psychologiquede cette population centenaire a forte-ment inspiré la recherche chez Seqens.« Contrairement à d’autres îles de l’archi-pel japonais, il y a là-bas une forteconnexion entre les générations. L’ancrageau sein de la sphère familiale y est trèsimportant pour le maintien d’une sécuritéémotionnelle et d’une excellente santé men-tale, même à un âge avancé, contribuantainsi à cette longévité, comme cela a étéétudié par de nombreux spécialistes enpsychologie du vieillissement », expliqueAïna Queiroz responsable innovation etcommunication scientifique. Partant dece constat, Seqens a établi un parallèleavec la peau pour étudier la possibilitéd’améliorer la santé cutanée en favorisantles connexions à l’échelle du tissu.

De fait, des résultats ont été constatés àl’échelle transcriptomique grâce à l’extraitde getto ainsi développé, notamment viala modulation de l’expression de certainsmarqueurs clés de l’interaction cellule-matrice sur un modèle de fibroblastesâgés. À l’échelle protéomique, l’extraitaugmente l’ancrage de l’épiderme auderme ainsi que l’ondulation de la jonc-tion dermoépidermique. Enfin, grâce àl’actif, à l’échelle clinique (versus placebo),la texture de la peau est significativementaméliorée et révèle un aspect plus rosé,signe visible d’une bonne santé cutanée.« Le fait de nous intéresser aux différencesde perception du vieillissement, plus par-ticulièrement au sein de zones présentant

Filaire. Les résultats démontrent qu’aubout de 56 jours les femmes ayant béné-ficié de l’actif Hebelys ont une estime desoi augmentée de 11 % par rapport au pre-mier jour. Elles se sentent mieux dansleur peau.

Inspiration culturelleLe terme d’anti-âge, si présent encore encosmétique, traduit assez clairement cettevolonté de s’opposer à la notion du vieil-lissement perçue traditionnellementcomme négative dans nos cultures occi-dentales. Prendre de l’âge serait associéà une notion péjorative. Fabricant d’in-grédients botaniques pour la cosmétique,la société Seqens, anciennement ID bio,a cherché à comprendre comment étaitperçu le vieillissement dans d’autres cul-tures. Certaines considèrent que vieillirreprésente, au contraire, une évolutionpositive au cours de laquelle l’individugagne plus qu’il ne perd. Vieillir repré-senterait ainsi une fin désirable en soi.C’est le cas, notamment au Japon, sur lafameuse île d’Okinawa où réside la plusgrande proportion aujour d’hui connuede centenaires et pour laquelle le stadeultime du développement y est célébré à97 ans. Sur place, l’équipe Seqens s’estintéressée de plus près aux facteurs nutri-tionnels et psychosociaux susceptiblesd’expliquer cette longévité exceptionnelleen bonne santé. D’un point de vue nutri-tionnel, plusieurs plantes décrites commepouvant participer à ce phénomène fontpartie du régime d’Okinawa, dont laplante locale Getto consommée demanières traditionnelles par les habitantsde cette île. Ses feuilles vertes sont richesen molécules d’intérêt, dont certains

La plante japonaise Getto est consommée de manièretraditionnelle par les habitants de l’île d’Okinawa. Sesfeuilles vertes sont riches en molécules d’intérêt, dontcertains kaempferols et quercétines glycosylés.

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tarobiote par Silab, capable de rééquilibrerle microbiote des peaux matures en agis-sant sur la répartition des communautésbactériennes. Les fonctionnalités des bar-rières immune et mécanique sont ainsirestaurées, avec des bénéfices cosmé-tiques notamment sur l’éclat du teint.

Outre ces approches biologiques, Silab,en tant que spécialiste des phytotenseurs,a également développé l’ingrédient Fil-mexel pour répondre aux besoins despeaux matures. Conçu à partir d’une tech-nologie inédite de réseau interpénétré debiopolymères (IBPN Technology), Fil-mexel exerce un effet lissant immédiatdès la première application, mais

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a pu ainsi qualifier une peau bien vieil-lissante, selon quatre paramètres cutanéscaractéristiques : « Il est ressorti de cetteétude que l’hydratation, l’éclat du teint,les rides et la fermeté étaient les mots-clésqui étaient exprimés le plus souvent »,indique David Boudier, responsable dela communication scientifique chez Silab.Ensuite, in vitro, une analyse transcrip-tomique et fonctionnelle a permis d’éta-blir la carte d’identité de cellules cutanéesvieillissant mal avec des modificationssur la prolifération, la migration et l’adhé-sion cellulaire. Afin de restaurer un profilde cellules bien vieillissantes, Silab a alorslancé le nouvel actif Wellagyl en 2016,issu de la rose bulgare. « Nous avons

démontré que cet ingrédient ciblait lesvoies biologiques impliquées dans le bienvieillir, qu’il dynamisait le métabolismedes tissus et améliorait le profil des peauxmal vieillissantes. Wellagyl joue à tous lesniveaux sur les biomarqueurs pertinents »,précise David Boudier.

Autre axe de recherche envisagé par Silaben faveur des peaux vieillissantes, lemicrobiote, avec l’actif Ecobiotys. En effet,les travaux de recherche Silab basés surdes outils de métaséquençage ont en effetrévélé qu’un déséquilibre du microbiotecutané survenait avec l’âge. Ecobiotys estun actif naturel bio-inspiré par le micro-biote du nectar des fleurs, rebaptisé Nec- � � �

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essentielle à la peau, la glucosamine, déjàconnue du marché du complément alimen-taire pour ses vertus contre les inflamma-tions articulaires. En cosmétique, plusieursétudes ont démontré ses bienfaits sur lasynthèse d’acide hyaluronique. L’actif

Extrait naturel de bourgeons de cèdre du Japoncueillis à la main, Gatuline Renew est riche encomposés phytochimiques énergétiques quistimulent le renouvellement de l’épiderme.

joue également un rôle de barrière protec-trice, tel un film seconde peau, contre lesagressions environnementales.

Et plus encore …Toujours à partir des plantes, l’idée du four-nisseur d’ingrédients naturels Alban MullerInternational est de conserver les essentielsde la biologie de la peau pour bien vieillir.« Nos actifs agissent le plus souvent en pré-vention ou de façon à combler des manquesde production de molécules essentielles commel’acide hyaluronique, molécule phare du bienvieillir ou le collagène », assure AlexandraJeanneau, responsable information tech-nique & communication scientifique chezAlban Muller. Le Glucohyami, dernier actiflancé par le groupe, est en parfaite adéqua-tion avec les demandes actuelles.

Développé à partir des cosses de racinesséchées de chicorée non exploitées par l’in-dustrie alimentaire, l’actif s’inscrit dansune démarche de valorisation des déchets.Ces racines de chicorée produisent une molécule présente dans le corps humain,

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Silab a lancé son - actif Wellagylen 2016, issu de la rose bulgare.« Nous avons démontré que cetingrédient ciblait les voiesbiologiques impliquées dans lebien vieillir, qu’il dynamisait lemétabolisme des tissus etaméliorait le profil des peaux malvieillissantes. Wellagyl joue à tousles niveaux sur les biomarqueurspertinents ».

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la fonction barrière, améliorantl’hydratation et la santé dela peau.

Une bonne représentationà trouverDu point de vue des fournis-seurs d’ingrédients, la tendanceest donc bien à l’accompagne-ment d’une autre génération deformules, conformes à cettenouvelle approche du soind’une peau mature assumée etépanouie. L’étape suivante restepour les marques de trouver lebon discours. Plusieurs exem-ples de lancements de gammessont venus confirmer la ten-dance, néanmoins une offreplus complète allant dans cesens comme une revendicationaffirmée du well-aging sont en-core peu visible. « Les marquescontinuent à montrer des vi-sages retouchés dans leurs com-munications, parce qu’elles ontpeur, parce qu’il est compliquéde lâcher des modèles existants,mais aussi parce que c’est délicatde trouver une juste représenta-tion de l’âge. Plus on avance enâge, plus on l’impression d’avoir15 ans de moins, il faut que lesconsommatrices puissent se re-connaître », assure PascaleBrousse. La cosmétique dufutur va devoir redoubler detransparence et de subtilité àl’égard de consommateurs fiersd’avoir un passé. « Nous sommesà un point de jonction, sortir dela pression des rides pour allerdans un univers plus émotion-nel, célébrer son âge », conclutPascale Brousse �

Kristel Milet

Glucohyami apporte cette glu-cosamine sous forme végétaleà la peau afin de combler la pro-duction défaillante avec l’âged’acide hyaluronique.

« Avec le Glucohyami nous pro-posons le précurseur à la synthèsed’acide hyaluronique qui déclineavec l’âge, de façon à stimuler lemécanisme naturel de produc-tion, ce qui est plus innovant qued’apporter l’acide hyaluroniquedirectement », ajoute AlexandraJeanneau. Testé sur un panel defemmes entre 45 et 65 ans, il estconfirmé que l’actif repulpe lederme, apporte un regain de fer-meté et un teint plus unifié.

Sur le même principe, l’actif Pa-dinami issu d’une algue médi-terranéenne, la padine, recou-verte d’une couche de carbonatede calcium, permet de stimulerla production de collagène.

De son côté et après avoir étudiéde près la tendance proageing,le fournisseur Gattefossé a dé-veloppé pour sa gamme plu-sieurs actifs spécifiques, révé-lateurs de cette attente. Notam-ment avec Gatuline Renewdont l’action se fait spécifique-ment sur la problématique detexture cutanée en lissant, hy-dratant et en adoucissant lapeau. Extrait naturel de bour-geons de cèdre du Japon cueil-lis à la main, Gatuline Renewest riche en composés phyto-chimiques énergétiques qui sti-mulent le renouvellement del’épiderme.

L’actif Gatuline Radiance amé-liore lui, la circulation pour unteint « healthy » et éclatant.Il apporte jeunesse et éclat à lapeau terne en ciblant la micro-circulation cutanée. Enfin, Ga-tuline Skin Repair Bio restaure

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