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.tf{{ Hebdomadair éâ Québec à Rimouski 20e année, numéro 6 Lundi, 3 octobre 1988 Michel Khalil Notre environnement est-il me acé? « L blique québécoise de façon irréver- sible. A Rimouski comme ailleurs dans le monde, les risques de pollu- tion ou d'accident écologique existent. Les polluants, peu importe leur na- ture, ne reconnaissent pas les fron- tières. C'est au niveau de la planète toute entière que le problème prend son importance." " Le chimiste Michel Khalil était l'invité du Regroupement des profes- sionnels-les de l'UQAR, lors d'un dî- ner-conférence, le 28 septembre der- nier. Une cinquantaine de personnes y assistaient. M. Michel Khalil est professeur au Département d'océanographie de l'UQAR depuis 1970. Né en Egypte, il a fai t des études de baccalauréat et de maîtrise en chimie, à l'Université d'A- lexandrie. Après avoir oeuvré comme chimiste dans le domaine du textile, il émigre au Canada en 1965. Il enseigne alors les sciences au séminaire Saint- Georges, en Beauce, avant d'obtenir un doctorat en chimie des produits naturels, de l'Université Laval. En tant que professeur à l'UQAR, il en- seigne la chimie et s'intéresse parti- culièrement à la pollution par les ma- tières organiques et par les pétroles. Monsieur Khalil a brossé un tableau des principaux problèmes qui affec- tent notre environnement. Nous pré- sentons ici des extraits de sa confé- rence: Radioactiviié L'accident de la centrale nucléaire ukrainienne à Tchernobyl a causé des radiations qui ont vite fait le tour de la Terre. A Québec, on a effectué des relevés dans la rivière Chaudière après cet accident. Même après 6500 km, trois vagues de retombées radio- actives ont été enregistrées. Deux mois après l'accident, en juin 1986, les mesures n'ont plus révélé de radioactivité dans l'air mais on en observait dans le Saint-Laurent en mars1987. Heureusement,iln'yavait aucun risque pour la santé, les Quan- tités observées restant de beaucoup inférieures au seuil critique. Qu'arriverait-il si un problème surve- nait à moins de 1000 ' km de chez- nous? Combien de temps nous fau- drait-il pour réagir? Que pourrions- nous faire? Pluies acides En Amérique du Nord, les pluies aci- des constituent la plus grande mena- ce écologique: détérioration des ar- bres, lacs acidifiés. Pourtant du côté américain, on se pose encore des Ques- tions quant au bien-fondé de ces problèmes. Ottawa et les sept pro- vinces de l'Est, en collaboration avec l'industrie, ont déjà lancé un pro- gramme de un demi milliard de dol- lars par année pour couper de moitié d'ici 1994 les émissions d'anhydride sulfureux ou 802, responsable des pluies acides. Érosion et déforestation Les forêts sont les poumons de notre planète. En 90 ans, la superficiemon- diale des forêts tropicales, restée in- changé jusqu'au 1ge siècle, est passée de 6 à 3%. Notre planète ne vit plus que sur un poumon. Notre région ne fait pas exception. Dans l'exploitation des forêts, une industrie de première importance au pays, seulement le quart des forêts coupées entre 1975 et 1983 a été replanté. Dans nos pou- belles, 45% de nos déchets sont com- posés de papier et de carton contre 18% en France. Eau potable Le Canada est reconnu mondialement comme étant un réservoir naturel d'eau douce. On pensait qu'un jour -->

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• .tf{{Hebdomadair éâ Québec à Rimouski

20e année, numéro 6 Lundi, 3 octobre 1988

Michel Khalil

Notre environnement est-il me acé?

« L :~~~t::t;~~~~l~f::i:~:~~:blique québécoise de façon irréver­sible. A Rimouski comme ailleursdans le monde, les risques de pollu­tion ou d'accident écologique existent.Les polluants, peu importe leur na­ture, ne reconnaissent pas les fron­tières. C'est au niveau de la planètetoute entière que le problème prendson importance." "

Le chimiste Michel Khalil étaitl'invité du Regroupement des profes­sionnels-les de l'UQAR, lors d'un dî­ner-conférence, le 28 septembre der­nier. Une cinquantaine de personnesy assistaient.

M. Michel Khalil est professeur auDépartement d'océanographie del'UQAR depuis 1970. Né en Egypte, ila fai t des études de baccalauréat et demaîtrise en chimie, à l'Université d'A­lexandrie. Après avoir oeuvré commechimiste dans le domaine du textile, ilémigre auCanada en 1965. Il enseignealors les sciences au séminaire Saint­Georges, en Beauce, avant d'obtenirun doctorat en chimie des produitsnaturels, de l'Université Laval. Entant que professeur à l'UQAR, il en­seigne la chimie et s'intéresse parti­culièrement à la pollution par les ma­tières organiques et par les pétroles.

Monsieur Khalil a brossé un tableaudes principaux problèmes qui affec­tent notre environnement. Nous pré­sentons ici des extraits de sa confé­rence:

RadioactiviiéL'accident de la centrale nucléaireukrainienne à Tchernobyl a causé desradiations qui ontvite fait le tour de laTerre. A Québec, on a effectué desrelevés dans la rivière Chaudièreaprès cet accident. Même après 6500km, trois vagues de retombées radio­actives ont été enregistrées.

Deux mois après l'accident, en juin1986, les mesures n'ont plus révélé deradioactivité dans l'air mais on enobservait dans le Saint-Laurent enmars1987. Heureusement,iln'yavaitaucun risque pour la santé, les Quan­tités observées restant de beaucoupinférieures au seuil critique.Qu'arriverait-il si un problème surve­nait à moins de 1000' km de chez­nous? Combien de temps nous fau-

drait-il pour réagir? Que pourrions­nous faire?

Pluies acidesEn Amérique du Nord, les pluies aci­des constituent la plus grande mena­ce écologique: détérioration des ar­bres, lacs acidifiés. Pourtant du côtéaméricain, on se pose encore des Ques­tions quant au bien-fondé de cesproblèmes. Ottawa et les sept pro­vinces de l'Est, en collaboration avecl'industrie, ont déjà lancé un pro­gramme de un demi milliard de dol­lars par année pour couper de moitiéd'ici 1994 les émissions d'anhydridesulfureux ou 802, responsable despluies acides.

Érosion et déforestationLes forêts sont les poumons de notreplanète. En 90 ans, la superficie mon­diale des forêts tropicales, restée in­changé jusqu'au1ge siècle, estpasséede 6 à 3%. Notre planète ne vit plusque sur un poumon. Notre région nefait pas exception. Dans l'exploitationdes forêts, une industrie de premièreimportance au pays, seulement lequart des forêts coupées entre 1975 et1983 a été replanté. Dans nos pou­belles, 45% de nos déchets sont com­posés de papier et de carton contre18% en France.

Eau potableLe Canada estreconnu mondialementcomme étant un réservoir natureld'eau douce. On pensait qu'un jour

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o M. Luc Roseberry, du Départe­ment d'océanographie de l'UQAR,présentera une conférence intitulée«Variations intra- et inter-popula­tions chez Mya arenaria», le mer­credi 5 octobre, à 15 h 15, à la sallede conférence du Laboratoireocéanographique. Le tout estorganisé par le Laboratoireocéanologique, en collaboration avecl'Institut Maurice-Lamontagne.

o Le jeudi 6 octobre, à 20 h,monsieur Henri-Jacques Stiker,philosophe, oeuvrant actuellementau Centre de rééducation fonction­nelle et de réadaptation profession­nelle des handicapés physiques(Paris), présentera une communica­tion intitulée -Le corps infirme», àpropos des questions éthiquessoulevées par la présence des

•handicapés physiques dans notresociété. Monsieur Stiker estd'ailleurs l'auteur des livres «Corpsinfirmes et sociétés» et «Le corpsinfirme». Cette activité est ouverteà toutes les personnes intéressées etse déroule à la salle de conférencedu Laboratoire d'océanologie deRimouski, au coin sud-est ducampus de l'UQAR. Les organi­sateurs sont le Comité de program­me de la maîtrise en éthique, leDépartement de sciences religieuseset d'éthique et le groupe de recher­che Éthos.

o Le vendredi 7 octobre, à 9 h lematin, madame Marie-OdileMétral, philosophe au Centrenational d'enseignement à distancedu ministère de l'Éducation deFrance, participera à un séminaireorganisé par le groupe de rechercheÉthos, sur -L'histoire de la sexua­lité de Michel Foucault et sonprojet éthique». La conférencièreest l'auteur de «Le mariage, leshésitations de l'Occident» et de «Lafamille, les illusions de l'unité».L'activité se déroule à la salle D-315de l'UQAR. Bienvenue à tous et àtoutes.

2 UQAR-Information

Environnement menacé (suite)

notre pays exporterait de l'eau pota­ble vers les autres pays. Le mois der­nier, le prestigieux Conseil des scien­ces du Canada publiait une étude àcaractère pessimiste sur la qualité denos eaux. La demande annuelle d'eaupar personne est passée dans le mon­de de 250 à 700 mètres cubes en 90ans, soit 43 gallons par jour par per­sonne. Et la population mondiale adoublé depuis 1950. D'ici la fin du siè­cle, l'accroissement de la populationmondiale de un milliard haussera laconsommation d'eau de 25%.

Herbicides et organochlorésLes Québécois n'aiment pas le pissen­lit. Nous utilisons tous les moyens etsurtout les produits chimiques à basede 2,4-D pour les faire disparaître.Ces produits, comme tous les insecti­cides et pesticides, trouvent leur che­min vers les ruisseaux, les rivières etle Saint-Laurent. Malheureusement,beaucoup de ces produits chimiquescontenantduchlore ont une durée devie dans l'environnement qui peut dé­passer 100 ans. Le DDT, aboli auQuébec en 1958, est toujours retrouvé

dans les bélugas du Saint-Laurent,les harengs, l'eau et les sédiments.

Des produits industriels tels les Bi­phenyls polyehlorés (BPC) font partiede lamême famille des organochlorés.Ils sont très stables. La nature prendsoin de ses déchets; toute matièreorganique naturelle est destructiblepar un processus naturel de bactérieset de microorganismes. Par contre,les produits organiques synthétiqueset surtout ceux contenant du chloresontpratiquementindestructibles, de

là leur persistance.

C'est en 1974, lors de ma premièrepublication scientifique des travauxeffectués à Rimouski que je rappor­tais la présence de PBC dans les eauxdu Saint-Laurent. Nos travaux surles frayères de hareng de l'Ile Verte etde Carleton nous ont démontré la pré­sence, en petite quantité, de PBC, etc.

Le gouvernement fédéral annonçaitrécemment sa volonté de s'attaquer àla dépollution du Saint-Laurent. Il

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Environnement menacé (suite)

,A chacun sa tasse!

est encore possible d'espérer remédierà la situation. La structure organisa­tionnelle proposée pour le projetSaint­Laurent me laisse croire à une nettevolonté politique plutôt qu'à une pro­messe électorale.

PétroleLes produits pétroliers voyagent surnotre majestueux Saint-Laurent danstoutes les directions. Quelques acci­dents qualifiés de moyens, arriventde temps en temps. Le dernier, dansle Bas-Saint-Laurent, remonte à dé­cembre 1985 lorsque la barge "Pointede Levy" échouait à Matane.

L'utilisation mondiale de produits pé­troliers (essence, plastiques, tapis,etc.), conjugée avec la diminutionconstante des forêts, ont résulté enune augmentation alarmante du bio­xyde de carbone. Ce gaz forme unecouche autour du globe qui empêchela chaleur de la terre de se perdredans l'atmosphère. Ce qu'on appellel'effet de serre.

L'effet de serreDe sérieuses études effectuées parEnvironnementCanadaprévoientuneaugmentation de la température moy­enne dans les 60 prochaines années.Imaginez les conséquences d'un te lchangement: les centres de ski de­vront se munir de canons à neige. LeBas-Saint-Laurent aura peut-être latempérature de Montréal l'été, ouplus. Par contre, les pays chauds de­viendront plus sujets à la désertifica­tion. La terre se réchauffant, la calotteglaciaire va partiellement fondre et leniveau de l'eau dans les océans vaaugmenter d'environ deux pieds. Ima­ginez toutes les installations au bordde l'eau. Pensez au travail qui doits'effectuer à tous les ports et les quais.

pourquoi ne pas lancer à l'UQARw..- ••::::··'Y' un mouvementde boycottage desverres à café en sterofoam? Ca n'al'air de rien, mais ces verres sont indi­rectement responsables du cancer dela peau.

"En effet, explique Michel Khalil, lorsde la fabrication des verres ou conte­nants en sterofoam, on utilise deschloroflurocarbones (CFC). Ces gazsont légers et montent dans l'at­mosphère pour atteindre la couched'ozone. Une molécule de ces gaz peutdétruire 10 000 molécules d'ozone.Les chercheurs ont découvert la pré­sence de trous dans la couche d'ozonevis-à-vis les pôles. La couche d'ozoneagit comme filtreur des rayons ultra­violets nocifs provenant du soleil. Ladégradation de la couche d'ozone per­met à ces rayons de nous atteindre,causant ainsi le cancer de la peau."

Que peut-on faire contre la pollution?Contre la détérioration de notre envi­ronnement?

Pointer du doigt les entreprises pol­luantes? Oui. Voter pour les partisqui proposent les meilleures solutionsenvironnementales? Oui. Mais ilfaut aussi agir personnellement. "Res­ter passif, c'est jouer à l'autruche",croit Michel Khalil.

A la cafétéria de l'UQAR comme ail­leurs, des centaines de personnes uti­lisent les verres à café en sterofoam.Tous les jours, régulièrement. Ilssont pratiques. Gardent le café chaud.Ils sont jetables. Jetables...

Michel Khalil propose un mouvementde boycottage des verres à café en ste­rofoam, ici même à l'UQAR. "Pour­quoi ne pas nous munir d'une tasse enporcelaine, qui est réutilisable descentaines de fois. Imaginez le nombrede verres en sterofoam blanc que cha­cun de nous n'utilisera pas durant unan. Imaginez aussi le nombre de sacsde poubelles pleins de ces verres quin'auront pas besoin d'être enfouis. Ceserait un geste concret."

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La cafétéria de l'Université a bienreçu cette demande, et la responsable,Mme Andrée Boulianne, envisagemême de vendre de grandes tasses àcafé aux personnes intéressées, à 99cents l'unité (moins que le prix coû­tant).

Cette roposit ion aura-t-elle dusuccès? Achacun de nous de le décider.

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UQAR-Infonnation 3

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Assem.blée du 26 septem.bre 1988,Echos du Conseil d'administrationRésolutions:

Le Conseil d'administration a auto­risé l'ouverture prochaine d'un con­cours pour l'engagementd'un ou d'unetitulaire au poste de "directeur desrelations publiques et de l'informa­tion". Ce nouveau poste cadre vienten effet d'être créé; il constitue unetransformation du poste de "respon­sable des relations avec le milieu ré­gional", occupé jusqu'à dernièrementpar madame Linda Jones, qui a quittél'Université. Le recteur aura à déter­miner les modalités de sélection envue de la nomination.

DLe Conseil a procédé à la nominationde quatre étudiantes qui avaient poséleur candidature pour siéger à laCommission des études: mesdamesMarielle Côté (baccalauréat en ad­ministration), Johanne Neveu (cer­tificats en santé et sécurité du travailet en nursing communautaire), So­phie Maheu (doctorat en océanogra­phie) et Michèle Rivard (maîtriseen éducation).

DMonsieurClaudeRiouxa été nomméofficiellement à la direction du groupeGERMA (Groupe d'études des res­sources maritimes), jusqu'en mai1989.

DMonsieur Gaston Desrosiers occu­pera pour un second mandat (1988­1989) la direction du Comité de pro­grammes d'études avancées en océ­anographie.

DLe Conseil soumettra au Ministre lanomination de deux nouveaux mem­bres au Conseil d'administration, àdes postes réservés à des personnesexerçant une fonction de directiond'enseignement ou de direction de re­cherche. Il s'agit de M. MichelBourassa, doyen des études de pre­mier cycle, et de M. Maurice Ga­gnon, doyen des études avancées etde la recherche. Les postes à comblersont ceux qui étaient occupés parMM. Yves-Marie Dionne et PierreSaint-Laurent.

DLe Conseil a sollicité un renouvelle­ment de mandatpourmadameDianeVézina, duCégep de Rivière-du-Loup,comme représentante des cégeps auConseil d'administration de l'UQAR.Le mandat qu'elle écoule présente­ment se termine en novembre pro­chain.

DTrois postes dans le personnel nonenseignant, devenus vacants suite àdes nominations 'à d'autres postes,

seront à nouveau comblés. Le Conseila en effet autorisé l'affichage de deuxpostes au Registrariat: commis clas­sification et secrétaire de direction, etd'un poste de préposé au ménage auService des terrains et bâtiments.

DMonsieur Clovis Théberge a étédésigné comme responsable de la ges­tion du Module d'enseignement enadaptation scolaire et sociale, jusqu'endécembre 1988.

DLe Conseil a décidé de fermer le pro­gramme de maîtrise en mathéma­tiques géré conjointement par troisconstituantes du réseau. Cette déci­sion suit ainsi la recommandation dela Commission des études et les déci­sions des deux autres constituantesdu réseau qui offraient ce programme.Le programme implanté en 1978, aconnu une baisse de clientèle impor­tan te depuis six ans.

DLes prochaines assemblées régulièresdu Conseil d'administration de l'Uni­versité sont prévues pour les lundis à17h, aux dates suivantes: 24 octobre,28 novembre, 19 décembre, 30 janvier1989,20 février, 20 mars, 24 avril, 29mai et 19 juin.

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DA l'invitation du premier ministreRobert Bourassa, le recteur Marc-An­dré Dienne se rendra, avec d'autresrecteurs et administrateurs des uni­versités québécoises, au"Sommetqué­bécois de la technologie", qui se dérou­lera à Montréal, du 12 au 14 octobreprochains..~ : -; / ..

DLe devi s technique pour la réorgani­sation du service téléphonique dansl'Université est terminé, a annoncé levice-recteur Bertrand Maheux. Unerencontre avec des spécialistes de lacorporation centrale de l'Universitédu Québec est prévue pour bientôt.L'appel d'offre pourrait être ouvertd'ici un mois. Le service du télépho- ­ne pourrait donc être renouvelé aucours de l'année.

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DLes réunions du Comité exécutif sontprévues pour les 11 octobre, 14 no­vembre, 5 et 20 décembre, 16 janvier,6 et 27 février, 13 mars, 3 et 17 avril,1er et 15 mai, 5 et 27 juin.

DPour ce qui est de la Commission desétudes, les réunions se déroulerontles mardis à 9h, les 11 octobre, 8 no­vembre, 6 décembre, 17 janvier 1989,14 février, 14 mars, 11 avril, 9 mai et13 juin.

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Nominations à l'Université du Québec

L..f e président d~ l'Université du.m . . ~.w.,J Québec, monsreur Claude Ha­mel, vient d'annoncer la nominationde trois vice-présidents dans le cadred'un plan de réorganisation admi­nistrative au siège social de l'institu­tion.

Monsieur Jacques L'Écuyer, actu­ellement président du Conseil desuniversités, estnommé vice-présidentà l'enseignement et à la recherche;monsieur Guy Massicotte, ex-

recteur de l'Université du Québec àRimouski, est nommé vice-présidentà la planification; et monsieurMichelLeclerc, qui occupait depuis cinq ansle poste de vice-président, est nommévice-président à l'administration.

Ces nominations, qui ont été soumisesà l'approbation de l'Assemblée desgouverneurs de l'Université du Qué­bec, entreront en vigueur en novembreprochain.

Cette réorganisation des vice-prési­dences réduit de cinq à trois le nom­bre de vice-présidents qui seconde­ront directement le nouveau prési­dent. Les fonctions précédemmentassumées par la vice-présidence etpar la vice-présidence aux communi­cations seront dorénavant intégréesaux responsabilités des trois nou­veaux vice-présidents nommés.

D'autre part, monsieur Roger Le­françois agira à titre de conseillerspécial du président, chargé princi­palement de dossiers relatifs à l'Ins­titut Armand-Frappier.

Les changements que monsieur Clau­de Hamel a décidé d'apporter visent àrendre plus fonctionnels les rapportsdu siège social avec les établissementsde l'Université du Québec. Ils tradui­sentégalement une volonté de simpli­fication et de clarification des res­sources en fonction des missions fon­damentales du siège social.

La démarche s'inscrit dans le con­texte des recommandations du Rap­port sur l'évolution de l'Université duQuébec, rendu public l'an dernier, etde la prise de position récente duministre de l'Enseignementsupérieuret de la Science sur l'avenir de l'Uni­versité du Québec. La réorganisationde la haute direction du siège social

o "Notre capital humain: notreavenir". C'est le thème choisi pourla Semaine de la PME, qui sedéroulera cette année au Canada du23 au 29 octobre.

o Les discours politiques faits auQuébec par les gouvernementsd'Ottawa et du Québec sur leursefforts pour appuyer la recherch etle développement technologique ontété contredits dernièrement par undocument du Conseil de la scienceet de la technologie du Québec,affirme le quotidien Le Soleil. sstatistiques indiquent en effet que"c'est la stagnation". Les dépensesfédérales dans ce domaine auraientdiminué de 5,2%, en 1986, alors quecelles du Québec seraient simple­ment restées au même niveau.

témoigne également des attentes etdes besoins afférents qui ont été ex­primés par les recteurs et les direc­teurs des établissements de l'Uni­versité du Québec.

L'Université du Québec, avec ses onzeétablissements et son siège social, for­me aujourd'hui la plus importantecommunauté universitaire au Qué­bec. Elle accueille quelque 78 000 étu­diants inscrits dans ses six univer­sités constituantes établies à Mon­tréal, Trois-Rivières, Chicoutimi, Ri­mouski, Hull et en Abitibi-Témis­camingue; ses deux instituts de re­cherche, l'Institut national de la re­cherche scientifique et l'Institut Ar­mand-Frappier; ses deux écoles spé­cialisées, l'École nationale d'admi­nistration publique et l'École de tech­nologie supérieure; et son établisse­ment de formation à distance, laTélé­Université.

o Les samedis 22 et 29 octobre, laGalerie d'art Bernard Larocqueorganise des voyages à Québec pourvisiter le Musée du Québec (exposi­tion de la Collection d'Art européende la Galerie nationale de Prague),et le Musée des civilisations (9 ex­positions spécifiques). Un soupergastronomique est au programme.Le forfait-voyage revient à 66$.Plus de renseignements: 722-6285.La Galerie présente par ailleurs,durant le Festival d'automne, uneexposition des paysages de DenisVillemure.

o Le Musée régional de Rimouskivous invite à une conférence sous lethème de «L'art et la ville, utopieurbaine?», donnée par madameHelen Escobedo, artiste mexi­caine, le 7 octobre, à 18 h.

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Tournoi de J(olf des employés-es de l'UQAR

L'équipe gagnante lors du tournoi de golf: Yves Michaud, JocelyneDesgagnés et Jacynthe Côté. Le recteur Marc-André Dionne les accom­pagne ici.

Le Comité organisateur du tournoi de cette année: Claude Dionne, Jean-DenisDesrosiers, Rita Lepage, Yves Michaud, Lise Castonguay, Carol Saint-Pierreet Raymond Saint-Pierre. Absent sur la photo: André Bédard.

Certificat individuelde p mier cycle en psychologie

L'an dernier, un groupe d'étudiants­es de Matane obtenait de l'UQAR, enréponse à des besoins spécifiques,l'implantation d'un certificat indivi­duel en intervention psychosociale.La grande majorité (85%) des person­nes admises initialement sont de­meurées dans le programme et la ma­jorité a exprimé une très grande sa­tisfaction.

Maintenant, c'est un groupe de 53personnes de Baie-Comeau qui vientd'obtenir un certificat individuel enpsychologie. Le responsable du pro­gramme en animation des petitsgrou­pes, . Jean-Marc Pilon, s'occupede la gestion de ces projets.

Il explique: "Le nouveau programmede certificat en psychologie» qui adébuté cet automne, ne vise pas àformer des chercheurs en psycholo­gie, mais à communiquer les résul­tats de la tradition scientifique enpsychologie dans l'analyse et la com­préhension de la personne humaine."

Les h hiletés nouvelles que les étu­diants-es souhaitent cquérir sontprincipalement de connaître les tech­niques d'intervention et de les utili­ser, de distinguer les types de com­portement et de les analyser, et demieux comprendre les troubles decomportement.Une partie des coursofferts sont puisés à même la banquede cours existants.

Il faut rappeler qu'il ne s'agit pas d'unprogramme institutionnel, mais d'uncertificat individuel de premier cycle.Le principe de ce programme estd'élaborer une formation sur mesureautour d'un thème intégrateur, à lasuite d'une analyse de besoins. Cetteanalyse de besoins s'effectue lors dupremier cours. "Il faut souligner l'am­pleur du travail que ce dossier a exigé,compte tenu des 53 personnes inté­ressées" explique M. Pilon. Dans lecas du certificat en psychologie, lepremier cours fut donné par MmeDeni Pilon etM. SergeLapointe,professeurs au certificat en anima­tion des petits groupes.

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o Le conférencier invité au Colloquesur le développement technologiquedes entreprises, organisé par leGRST à l'UQAR le 7 octobre pro­chain, sera M. Jean Bouchard,directeur général de la technologieau ministère de l'Industrie, duCommerce et de la Technologie. Ilremplacera M. Pierre Coulombe,qui ne pourra être présent.

o Le Comité de condition desfemmes de l'UQAR explorera cetautomne le thème de la féminisa­tion des textes. Bienvenue auxintéressées. Prochaine réunion: lemardi 18 octobre, à 12h, au localD-305. Vous pouvez apporter votredîner sur place.

o M. Robert Lavertue a été engagéà titre de professeur-chercheur sousoctroi au Département des scienceshumaines. M. Lavertue est ungéographe qui s'intéresse particuliè­rement au développement industriel .et à l'économie régionale.

o Nous offrons nos vives sympathiesà madame Céline Brisson, duGlRAST, et à madame Lise Gagné,de la Bibliothèque, à la suite dudécès de monsieur Laurent Gagné,de Sainte-Blandine. MonsieurGagné était l'époux de Céline et lefrère de Lise.

o La compétition risque d'être fortedans les universités canadiennespour la création de Centres d'excel­lence en recherche, tels que pro­posés par le gouvernement fédéral.Les chercheurs ont jusqu'au 30 no­vembre pour soumettre des projets.Le budget du programme, étalé surquatre ans, est de 240 millions $.Plus d'une dizaine de centres d'ex­cellence seraient mis sur pied. Ici,le professeur Richard-Marc La­casse représente l'UQAR dans unprojet conjoint de Centre d'excel­lence en entrepreneurship, pour le­quel plusieurs universités, dansplusieurs provinces, sont invitées àparticiper. Le professeur Jean-Ma­rie Toulouse, de l'École des hautes

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études commerciales de Montréal, apris le leadership de ce projet.

o L'UQAR démarre une nouvellecohorte d'étudiants-es au program­me de Maîtrise en gestion de pro­jet, à la session d'hiver 1989, à Ri­mouski. Ce programme vise à for­mer des gestionnaires de projetsprofessionnels capables d'une visionsystémique et globale, tout en ayantune bonne connaissance des techni­ques analytiques. Pour être admisau programme, il faut détenir unbaccalauréat dans un domaine com­me l'administration, les sciences, legénie ou l'architecture, avoir unemoyenne cumulative d'au moins 3,et posséder deux années d'expé­rience pratique pertinente et récen­te. Plus de détails: M. Denis Bé­chard, 724-1568.

o Grâce à une publicité bien orches­trée, le Bureau régional de l'UQARà Carleton connaît cette année uneaugmentation de clientèle de 14%,avec 303 étudiants-cours. Quant auBureau régional de Gaspé, quiavait connu un nombre d'inscriptionrecord l'an dernier, la clientèle semaintient, avec 453 étudiants-courscette année. M. Réal Ruest, agentde liaison pour ces Bureaux, noustransmet ces informations.

o La LNH-Molson-UQAR tient saréunion des propriétaires d'équipele mardi 4 octobre à 16h, au localA-OOS. On Yremettra les statuts etrèglements de la ligue et on donnerade l'information sur la séance de re­pêchage. Présence obligatoire pourtous les propriétaires.

o Une Conférence nationale sur lesprogrammes d'études, l'enseigne­ment et le leadership se dérouleradu 30 avril au 3 mai 1989 au CentreSheraton de Montréal. Selon lesorganisateurs, cette manifestationservira à déterminer les grandesorientations en éducation pour lesannées 1990. Un grand débat ca­nadien! Contactez la Fédérationcanadienne des enseignants et en­seignantes, à Ottawa, pour plus dedétails: (613) 232-1505.

DECOUVREZDE NOUVEAUXHORIZONSUNIVERSITAIRES

Brésil, Colombie, Louisiane, Mexique, République Algé­rienne Démocratique et Populaire, République deCorée, République fédérale d'Allemagne, Républiquepopulaire deChine, Royaume-Uni, Tunisie.

Denouveaux horizons universitaires s'offrent à vousgrâce auprogramme deBourses d'études à l'étran­geradministré par le ministère del'Enseignementsupérieur et dela Science avec la collaboration duministère des Affaires internationales.

Si vous désirez vivre une expérience enrichissantedeséjour à l'étranger surleplan scolaire comme surleplan personnel, alors, ceprogramme estpeut-êtrepour vous. Pour savoir sivous êtesadmissible etpourobtenir labrochure, veuillez vous adresser à laDirec­tiondelacoopération duministère del'Enseignementsupérieur et de la Science, 39, rue Saint-Louis,3e étage, Québec (ûc) G1R 3Z2 au numéro(418) 643-8218 ouauservice compétent dans votreuniversité.

Calendrier dedépôt devotre candidature:

Bourses Québec - Brésil 14octobre 1988et 1er avril 1989

Québec - Royaume-Uni 14octobre 1988Bourses Québec - RFA 14octobre 1988Bourses Québec - Mexique 1er novembre 1988Bourses Québec - Colombie 1er novembre 1988Bourses Québec -- Chine 15novembre 1988Bourses Québec - Tunisie 1er février1989Bourses Québec - Louisiane 1er février1989Bourse Québec - Algérie 1er mars 1989Bourse Québec - Corée 1er avril 1989

LES É C H A N G E S UNIVERSITAIRES

UNE DYNAMIQUE DE PARTAGE

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Départ d'Alan Wright

L.....:.:·.·,'. e doy.en adjoint aux étude.s de......' ~ ) premier cycle, M. Alan WrIght,quittera l'UQAR à la mi-novembrepour occuper un emploi à l'Universi­té Dalhousie, à Halifax, en Nouvelle­Écosse.

À cet endroit, il sera directeur exécu­tif des services pédagogiques et de latechnologie éducative. Cette univer­sité, la plus importante des provincesmaritimes, veut se développer davan­tage dans le domaine de la pédagogieet améliorer la qualité de renseigne­mentetde l'apprentissage. Pourmon­sieur Wright, il s'agit là d'un nouveaudéfi emballant. Différents servicesexistants seront regroupés sous saresponsabilité.

Natif de Lachine, Alan Wright a ob­tenu une maîtrise de l'UniversitéMcGi11 et un doctorat en fondementsde l'éducation de l'Université deMontréal. Toujours intéressé par ledomaine du développement pédago­gique, il a été chargé de cours à Con­cordia et à McGill, il a travaillé pourla Commission scolaire Lakeshore,pour des Associations d'enseignants,pour le ministère de l'Éducation etpour Jeunesse Canada-Monde, avantd'entrer à l'UQAR en février 1983.

Alan Wright est aussi un grand spor­tif, bien connu sur la scène rimous­koise. Il a participé, depuis 1976, àune trentaine de marathon. Il a été

membre actifdu Club de course à piedLa Cavale, l'un des organisateurs dela course à relais de 100 km de LaCavale (Rimouski-Matane) et l'un desfondateurs du Club de cross-countryde l'UQAR.

Anglophone rnontréal ais, Alan s'estadmirablementbien intégré à la popu­lation francophone de notre coin depays.

En même temps qu'Alan, il faut si­gnaler le départ vers Halifax de saconjointe, Marie-Jeanne Monette, quia fait une maîtrise en éducation àl'UQAR et qui a dispensé plusi urscours de conditionnement physiquesur le campus. Bonne chance!

Randonnéepédestre

Thute lacommunauté universitaireest invitée à une randonnée pé­destre, sur les abords de la rivièreRimouski, le samedi 15 octobre.Cette randonnée, d'une durée de 3à 4 heures, t'est offerte par lesServices à la communauté. Départà 10 h, au pavillon du P TC Beau­séjour. Coût: 2 $. Claude Desjar­dins sera le guide-accompa­gnateur. Pour plus de détails: Rol­lande Vignola, au E-10S.

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Programme CIEO-UQAR,Etudiants-es en affaires maritimes

Festival d'automne à l'UQAR

Ut·· :(" n groupe de 11 étudiant~-es.: :..;:) venant de l'étranger sont Ins-

crits cette année au programme d'étu­des supérieures en affairesmaritimes.Ce programme est offert pour unedeuxième année à l'UQAR, avec lacollaboration du Centre internationald'exploitation des océans (ClEO), deHalifax.

Les étudiants et étudiantes inscritscette année sont, dans la premièrerangée: Alphonse Mabika, du Con­go; Oumar Barry, de la Guinée;Romualdine J. Razaiarivony, deMadagascar; S. Fanja Ravalison,de Madagascar; Nafissatou Ndiaye,du Sénégal. Dans la deuxième rangée:Moussa Diop, du Sénégal; CarlosA.De Paco, de Costa-Rica; BonifaceKadimonikako, du Congo; MounirLamine, du Maroc; MoustaphaThiam, du Sénégal; et Fidy Ran­driamanantena, de Madagascar.

Ce programme d'études universitai­res de deuxième cycle, d'une duréed'un an, offre un tour d'horizon del'intervention humaine dans le mi­lieu marin. Les disciplines mises àcontribution vont de la gestion àl'océanographie, en passant par l'éco­nomie, la technologie et le droit.

Le ClEO est une société publiquecanadienne fondée en 1985, dans lafoulée de la Conférence de l'Organi­sation des Nations Unies sur le droitde la mer. Son mandat est d'aider lespays et régions en voie de développe­ment à faire face à leurs nouvellesresponsabilités en matière de gestionde l'espace maritime, d'exploitationdes ressources océaniques et de pro­tection de l'environnement. Le ClEOmise sur des programmes de dévelop­pement de compétences plutôt que

sur des programmes d'investisse­ments de capitaux.

L'UQAR a été choisie par le ClEOpour dispenser le programme de for­mation dans sa version francophone.C'est l'Université Dalhousie, à Hali­fax, qui offre la formation en langueanglaise.

Le ClEO, par cette entente, s'engageà verser au moins dix bourses d'étu­des par année à des étudiants-es pro-

Les Services à la communauté, en col­laboration avec les cafétérias Mon­Château, proposent à toute la com­munauté universitaire de participeraux fameux déjeuners du Festival, lesjeudi et vendredi 6 et 7 octobre, àpartir de 6 h 45. Pour la modiquesomme de 2 $, vous aurez droit à undéjeuner des plus consistants.

De plus, l'Association générale desétudiants-es ainsi que la Coop-UQARoffriront le célèbre "Café +".

venant des pays en voie de développe­ment pour effectuer des études àl'UQAR. Chaque bourse, d'environ20 000 $, comprend une allocation deséjour, les frais de transport ainsi queles frais de scolarité et d'études. LeClEO fournit aussi une importantesubvention à l'UQAR pour que l'Uni­versité puisse répondre adéquate­ment aux exigences de ceprogramme.

Il n'est pas nécessaire de réserver àl'avance.

Au plaisir de vous rencontrer engroupes d'amis.

Jacques Lavoie, animateur

UQAR-Informationhebdomadaire de l'Université du Québec à Rimouski

300, allée des Ursulines, Rimouski, G5L 3A1

Publié par le Service de l'informationLocal D-I0S

Tél.: 724-1426

ISSN 0711-2254Dépot légal:Bibliothèque nationale du Québec

Rédaction: Mario Bélanger Secrétariat: Monique April Montage: Richard Fournier Impression: Service de l'imprimerie

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