M.E.S,Donner corps aux souvenirs, par des résonnances sonores de bruits et de mots emmêlés ; Les...

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M.E.S, Mémoires en suspension Dispositif plastique, chorégraphique et sonore Création 2012 I Conception : Sophie Quénon Installation Performance Durée : 50mn Tenter de mesurer l'existence… © Céline Azorin Collaborateurs artistiques : Aleksandra Ruszkiewicz - plasticienne, Didier Préaudat - concepteur sonore et lumières. Serge Ricci et Sophie Quénon – danseurs / performers. Regard d'auteur : Ettore Labbate ACDS dernier soupir est conventionnée par le Conseil Régional de Basse Normandie, Soutenue par le Conseil Général du Calvados, la Drac de Basse Normandie et la Ville de Caen.

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M.E.S, Mémoires en suspension

Dispositif plastique, chorégraphique et sonore

Création 2012 I Conception : Sophie Quénon

Installation Performance

Durée : 50mn

Tenter de mesurer l'existence…

© Céline Azorin

Collaborateurs artistiques :

Aleksandra Ruszkiewicz - plasticienne, Didier Préaudat - concepteur sonore et lumières. Serge Ricci et Sophie Quénon – danseurs / performers. Regard d'auteur : Ettore Labbate

ACDS dernier soupir est conventionnée par le Conseil Régional de Basse Normandie, Soutenue par le Conseil Général du Calvados, la Drac de Basse Normandie et la Ville de Caen.

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M.E.S "Mémoires en suspension" | Tenter de mesurer le sens de l'existence ________________________________________________________________ Tisser des liens, croiser des univers et des médias différents, décliner des variations, tel est le projet de M.E.S, Mémoires en suspension, un dispositif prévu pour des lieux atypiques, galeries, centres d’art contemporain, friches… Plusieurs artistes sont associés à ce projet Imaginé initialement par Sophie Quénon, il s'est nourri de la rencontre avec Aleksandra Ruszkiewicz, Didier Préaudat. L'installation est confiée à Aleksandra Ruszkiewicz, plasticienne de talent dont le travail de suspension tout en légèreté nous renvoie très paradoxalement à notre gravité. Didier Préaudat, concepteur sonore, travaille la matière sonore vocale et musicale constituée à partir de mots, de sons… une autre mémoire. Serge Ricci, artiste confirmé, et moi-même vous inviterons à incarner nos tentatives, nos réflexions, nos champs de recherche sur la thématique du projet. Ettore Labbate, auteur, en regard du travail, nous apportera ses qualités d'écritures et de réflexions. Les « non-traces », la part manquante de ces mémoires en suspension. Une édition de cette écriture a accompagné la première présentation du dispositif 2012. M.E.S est une expérience déambulatoire, qui permet de déplacer le point de vue, se poser dans l'espace, les espaces proposés par l'installation pour voir, entendre, sentir, regarder, écouter… Ressentir. Deux formats sont proposés suivant les lieux d’accueil : - Accueil de la plasticienne dans un dispositif habituel de résidence d’artiste avec, en fin de résidence, une installation lumière et sonore et la proposition de performance dansée. Temps de la résidence de la plasticienne : 3 à 5 semaines suivant les espaces (plus temps d'exposition) Installation lumière et sonore, chorégraphique : 8 à 10 jours - Résidence autour de M.E.S, Mémoires en suspension : 8 à 10 jours d’installation (plastique, sonore et lumières). Une performance dansée à la fin de la résidence avec effacement de l’œuvre. À propos de l’effacement Eprouvée à la Fondation pour l’Art Contemporain de la Caisse d’Épargne de Toulouse, cette notion d’effacement de l’œuvre à révélé sa pertinence, nous renvoyant directement et indirectement à la question de la nécessité de l’art, plus exactement à la nécessité de recréer l’espace et le temps de création d’une œuvre. La disparition au sein même de la performance souligne le caractère éphémère de l’œuvre et de la danse, leur impermanence… Elle engendre, par l’atteinte portée au travail particulièrement sensible d’Aleksandra Ruszkiewicz, un sentiment de vide, un besoin de recréer l’œuvre. M.E.S en images Toulouse :http://vimeo.com/56083785 Saint Lô : http://vimeo.com/59470628

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M.E.S "Mémoires en suspension" | Tenter de mesurer le sens de l'existence – A l'origine du projet _________________________________________________________________________________

Des traces, de ce qu'elles disent ou non, de nous, de notre passé, de notre mémoire, que reste-t-il vraiment ? Deux textes éclairent le questionnement de ces MÉMOIRES EN SUSPENSIONS : « Des différentes manières de raconter la vie d’un homme, aucune ne convient. Aucune n’est ni efficace ni décente. Aucune n’est humaine. Aucune n’a le moindre rapport avec quelque chose qui fût de lui. Ce qui fait que la plupart des hommes ne croient pas nécessaire de laisser des traces, sans qu’on sache si c’est innocence ou sagesse, incapacité ou lassitude. Mais le fait est, les traces sont rares. Plus rares que les hommes. La plupart des hommes n'ont pour existence que ce qui ne laisse pas de traces(…) Les traces manquantes sont les plus nombreuses, les plus probantes, les moins incertaines. Voilà pourquoi nous ne devons jamais accepter l'idée que les traces que laissent un homme sont cet homme » –

"Stéphane" de Daniel Oster.

© Céline Azorin

Par ailleurs, Roger-Pol Droit, philosophe, nous propose dans "101 expériences de philosophie quotidienne" de « Tenter de mesurer l'existence… ». C'est devenu pour moi, Tenter de mesurer le sens de l'existence…Improbable et poétique.

Merci à Daniel Dobbels qui, lors d'une rencontre à Dijon, a proposé cette lecture.

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Mesurer le sens de l'Existence ?

CLAIR OBSCUR, EN PRÉSENCE…

Voir en transparence…

"A chaque seconde d'un déroulement Être là Ce silence complet qui s'éprouve

L'assombrissement des déplacements du corps Se laisser aller à glisser son désordre, son espace désorienté qui divague…

Hier cette continuité toute intérieure entre son corps Entre un geste tenu de basculement

L'appui sur les pieds, le poids du visage, la pointe du coude".

Sophie Quénon / Sept- Oct. 2012

Note d’intention M.E.S / Didier Préaudat Tenter de mesurer le sens de l'existence… Si je prends ces mots à la lettre et si j’ambitionne de mesurer le fait d’exister, la vérité ou le destin, une grandeur de référence me sera nécessaire. Qu’elles seraient les unités fondamentales qui peuvent matérialiser l'unité de mesure ! Avant toutes mesures, il faut caractériser l’étalon, choisir des signes distinctifs… Constituer les caractéristiques de l’existence avec une mémoire en suspension dans un équilibre stable de souvenirs accrochés au fond de l’oreille. Donner corps aux souvenirs, par des résonnances sonores de bruits et de mots emmêlés ; Les associer de manière individuelle ou collective dans un espace de jeu, en se demandant si ceci peut être précis, exact, reproductible et universel.

Octobre 2012

Note d'intention M.E.S / Aleksandra Ruszkiewicz Tenter de mesurer le sens de l'existence c'est comme mesurer l'impalpable saisissable : le sensible... Ces sensations capturées d'abord par mes neurones et par mon épiderme. On pratique dans des hôpitaux, l'échelle d'évaluation du degré de la douleur L'existence est un phénomène du sensible où le perceptible n'est pas forcement palpable. Quand je suis touchée par un événement sur lequel je ne peux réagir par le toucher - justement -cela éveille tous mes sens, y compris celui de l'incompréhension. Je cherche à saisir ce qui m'atteint dans mon être, par mon sensible.

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ATELIERS INTERMEDIAIRES – Caen, 1er

avril 2012

© Céline Azorin

© Céline Azorin

P DLİES E

L

D İ R E E

L D İ R E E

S P C E A

L D İ R E E

M T P S E

V V R E İ

N F İ E

İ

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De chaque jour qui se fait revient tous les jours… A.Ruszkiewicz – Toulouse – 2012

Fondation pour l'art contemporain - caisse d'épargne.

©François Talairach

Effacement …

Toulouse le 1er septembre 2012

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Fondation pour l'art Contemporain - Caisse d'Épargne de Toulouse – septembre 2012

Et encore …

©François Talairach

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A propos du travail d’Aleksandra Ruszkiewicz

Trois points de suspension ou, le ciel inversé – … rien ne dure.

Il y a derrière chacun de nous un peu de vent qui traîne…

"L’œuvre d’Aleksandra Ruszkiewicz ne tient qu’à un fil – la vie en suspens, trois petits points et puis s’en vont. Est-ce une chaise, un escalier ? Un ours oublié, un lit ? Qui s’est assis ici ? Qui a dormi ? Est-ce la pluie qui dessine ? L’œuvre frémit autant que celui qui la traverse ; se prendre à ses filets est risqué. En arrimant le petit alphabet, elle élève nos classiques journées vers d’impalpables nuées. Donner ou non forme aux mythologies quotidiennes. Gravir les échelles. Un monde s’offre où le corps n’est plus la mesure, où se décentrer est possible. Les collectés effleurés s’envolent. Sens dessus dessous et ni pieds ni tête. Des papiers collés pulvérisés. Le verre renaît de ses débris. Certains y verront des diamants, d’autres l’accident, la princesse ou le Petit Poucet égaré. Le réel est un mais divisible ; aucun espace ne lui résisterait. Tenter de dessiner les lignes de nos vies ; faire puis se défaire. Intangibles volumes. Graphisme sur le fil. Parce qu’(a)pesanteur la légèreté d’être tient. Déjouer l’œil et prendre le risque de qui peut se remémorer. L’air, composante nécessaire du trait qui ne différencie ni extérieur ni intérieur. Le nylon doit descendre pour que l’objet s’élève. Le vide matrice sculpturale. Pas de réserve si ce n’est celle qui conduit d’une figure à l’autre. Le courant d’air qu’une respiration menace. Il est des instants où tout se suspend. La temporalité à l’œuvre dans les volumes d’Aleksandra Ruszkiewicz échappe à toute tentative d’accumulation ou de possession. Elle se dérobe – précaire, elle est précieuse. Si quelque chose fut déjà n’est plus. À celui qui pénètre de relier l’irrésolu rébus. Rien ici ne s’appesantit. Au lieu d’être.

Blandine Devers

©François Talairach

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ÉQUIPE ARTISTIQUE

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et Didier Préaudat Sophie Quénon Chorégraphe Après un apprentissage en danse classique, s’oriente vers la danse contemporaine avec le sentiment d’être «chez soi»: moins d’images, plus d’intimité dans le corps et dans la pensée. Interprète au sein du CCN de Nevers (Anne-Marie Reynaud), pour Philippe Decouflé (J.O d’Albertville) et diverses compagnies de théâtre (Théâtre de l’Astrakan / Médéric Legros, Théâtre Mégapobec /Jean Pierre Brière…). Rencontre l’improvisation avec Steve Paxton, Lisa Nelson et Simone Forti en 1998. Poursuit cette recherche avec Julyen Hamilton, Patricia Kuypers, Joao Fiadeiro. Elle créée la Cie dernier soupir en 2002. Titulaire du Diplôme d’État, praticienne Feldenkrais et Analyste fonctionnelle du corps dans le mouvement dansé, elle poursuit parallèlement un travail de pédagogue. À la recherche d’outils d’analyse du monde et des individus qui le composent, elle se sent nomade, quittant un territoire pour l’exploration d’un autre, sans cesse avec la pensée du mouvement. En tant que chorégraphe, elle souhaite développer un travail autour de l’émotion, porté par l’inscription de l’individu dans sa relation au monde.

Je cherche et parfois je trouve… Aleksandra Ruszkiewicz Plasticienne du projet Sculptures, installations, suspensions, mirages…

Le travail d’Aleksandra Ruszkiewicz semble parfois tenir de la magie : suspendus dans les airs, une multitude de matériaux créent des formes, dessinent des objets, ondulent en de légers mouvements. Un travail tout en fragilité et en suspension qui questionne la présence au monde de chacun et l’incidence d'une interaction avec son environnement. « (...) Je n’ai pas le désir de maîtriser (au sens de dominer) la matière. L’ensemble reste très fragile (c’est d’ailleurs cette fragilité qui devient la force de ce travail). C’est une tentative de rendre visible l’apparition de l’impalpable.» Après les études d’arts plastiques à Łódź, en Pologne, le DNSEP aux Beaux-Arts de Lorient puis DEA Histoire et Critique des Arts à UHB Rennes 2 − Aleksandra Ruszkiewicz enseigne à l’EESAB site de Lorient et aux Beaux-Arts de Saint-Brieuc.

http://www.caisseepargne-art-contemporain.fr/ (onglet Fondation / expositions passées /2012 : "de chaque jour qui se fait revient tous les jours")

http://www.caisseepargne-art-contemporain.fr/artistes_6.php

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Didier Préaudat Scénographe / mise en espace sonore du projet et lumières Créateur multiple, il commence à exercer son savoir-faire au théâtre après une formation à la scénographie et aux métiers de la scène à la Comédie de Caen, Centre National Dramatique. En qualité de scénographe-éclairagiste., il participe à de nombreuses créations de textes contemporains : œuvres de Daniel Besnehard, Jean-Luc Lagarce, Eugène Duriff, Michel Deutsch, Enzo Corman, Grégory Motton, Michel Vinaver, Marguerite Duras, Edward Bond. Il travaille en collaboration avec Jean-Pierre Brière, Marie Crouail, Eric Louviot, Médéric Legros, Laurent Georjin, Sophie Rappeneau, René Paréja, sur des réalisations du Théâtre Méga Pobec (Évreux), Polaroïd théâtre (Rouen), Théâtre de l’Astrakan (Caen), Tanit Théâtre (Lisieux), Nord Ouest Théâtre (Caen). Depuis 2003, il explore l’aire du jeu théâtral par la conception et la construction d’espaces sonores.

[email protected]

Serge Ricci Performer, danseur, chorégraphe Après une formation chez Rosella Hightower à Cannes, tout en poursuivant une carrière d’interprète dans diverses compagnies, il mène une recherche sur différentes techniques corporelles (Alexander, Body Mind Centering) mais c’est surtout vers la technique Feldenkrais qu’il s’oriente. Cette pratique lui a permis de rénover avec le corps intuitif et de développer une approche différente du mouvement dansé toujours guidée par un sens du partage. Ces recherches lui ont donné la possibilité de cultiver une maîtrise du corps qui est devenue sa préoccupation en matière d’enseignement et de chorégraphie. Serge Ricci est également le chorégraphe de la Cie mi-octobre.

Plus d'infos sur http://www.mi-octobre.com/

Ettore Labbate Auteur

Ettore Labbate est docteur ès Lettres en Langues et Littératures Romanes (thèse sur le poète baroque italien Giacomo Lubrano à l’Université de Caen Basse-Normandie, où il est actuellement chercheur au sein du L.A.S.L.A.R – ‘Lettres, Arts du Spectacle, Langues Romanes’). Il consacre sa recherche à la littérature (notamment à la poésie baroque et contemporaine italienne) par une approche comparée et pluridisciplinaire. Il est également traducteur (traductions françaises de Giacomo Lubrano, Antonia Pozzi, Cosimo Ortesta) et écrivain (« Géographie » est son dernier recueil poétique).

Edition pour M.E.S, décembre 2012 - Ettore Labbate Lecture performance St Lô 2013

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MODALITÉ DE RELATIONS ENTRE LE PROJET, LES LIEUX ET LES PUBLICS

____________________________________________________________________________________ Il nous semble nécessaire d’expérimenter sans cesse des formes de relations à la création contemporaine entre les équipes artistiques, les équipes des lieux, les publics et les territoires. Cette impermanence crée des questionnements auxquels nous aimons nous associer. Dans cette optique et, nous adaptant aux lieux que nous rencontrons, un travail avec des amateurs performeurs peut être réalisé en vue de participer aux Installations - performances lors des présentations. A l'espace Jean Patounas de la Médiathèque de Saint Lô, une proposition est faite à 5 amateurs éclairés pour rejoindre le dispositif : Geneviève Achille, Michèle Cozic, Monique Toutain, Ludovic Gouriou et Michel Lecoupeur. De même, le public est invité à circuler et à interagir avec l’installation, afin de ressentir et d’éprouver cette performance; le but étant de créer un lien entre l’œuvre et le public, abolissant alors cette distance habituellement trop « conventionnelle ». Pour aller plus loin dans cette idée d’impermanence, nous allons jusqu’à l’effacement de l’œuvre d’Aleksandra Ruszkiewicz au fil de la performance dansée. LIEUX PARTENAIRES Ateliers Intermédiaires de Caen (14) : 1er avril 2012 Autour de M.E.S : 1er septembre 2012 I Exposition à la Fondation d'Art Contemporain de la Caisse d'Épargne de Toulouse Espace Jean Patounas / Saint Lô (50) : 04 et 05 janvier 2013 - Pour voir la vidéo cliquez ici

CONTACT ACDS - dernier soupir I Sophie Quénon Cie associée aux Ateliers Intermédiaires

15 bis rue Dumont d'Urville 14000 Caen Tél : +33(0)2 31 24 45 51 / +33(0)6 83 29 36 83 / [email protected]

Virginie Bernard Chargée de production

+33(0)6 48 92 52 30 / [email protected]

http://vimeo.com/ciederniersoupir www.ateliersintermediaires.org/

Direction régionale des affaires culturelles