MENTION & CIE

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Batisseurs depuis 65 ans

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FROID - CLIMATISATION - CUISINES51, AVENUE ROGER DUMOULINBP 4133780081 AMIENS CEDEX 2CONTACT : [email protected] : 03 22 96 83 33FAX : 03 22 96 83 12

CHAUFFAGE - PLOMBERIE51, AVENUE ROGER DUMOULINBP 4133780081 AMIENS CEDEX 2CONTACT : [email protected] : 03 22 71 61 32FAX : 03 22 71 61 29

ELECTRICITE51, AVENUE ROGER DUMOULINBP 4133780081 AMIENS CEDEX 2CONTACT : [email protected] : 03 22 71 61 20FAX : 03 60 12 31 90

MAINTENANCE51, AVENUE ROGER DUMOULINBP 4133780081 AMIENS CEDEX 2CONTACT : [email protected] : 03 60 129 130FAX : 03 22 71 61 29

• 5 0 0 c h a n t i e r s a n n u e l s• 1 2 0 v é h i c u l e s p o u r a s s u r e r n o t r e m o b i l i t é• 2 0 0 c o l l a b o r a t e u r s• 3 0 0 . 0 0 0 h e u r e s d e t r a v a i l e f f e c t u é e s• 2 3 m i l l i o n s d e c h i f f r e d ’ a f f a i r e s

2012201220122012

SOCIETE D’ANIMATION DU GROUPE

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Nous avons tous un devoir de mémoire pour

faire connaître nos origines.

Cet héritage est nécessaire pour vivre le présent et

construire le futur. Cela nous donne davantage de chances

de réussite car nous bénéficions, ainsi, de l’expérience acquise

en terme de service, de technique et d’organisation.

Les millions d’heures de travail effectuées laissent une empreinte

indélébile dans les bâtiments de notre ville, Amiens et de notre région.

Grâce à ce livre, nous rendons hommage aux clients, aux familles et

aux fournisseurs qui nous ont accompagnés depuis 65 ans.

Un grand merci à tous pour votre contribution à la pérennité

de l’entreprise MENTION.

AVANT - PROPOSAVANT - PROPOS

Jean - Luc Mention

AVANT - PROPOS

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1939-1945Au lendemain de la guerre 1939 - 1945, Amiens est en pleine renaissance. Certains quartiers ont

littéralement été atomisés par les bombardements. Le quartier de la gare se relève doucement.

C’est là que s’installent bon nombre d’entrepreneurs de la reconstruction.

Parmi eux, en 1948, Michel Mention.

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Amiens après la guerre 1939-1945.

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Né en 1905, orphelin de guerre

à l’âge de 13 ans, il a dû arrêter

l’école avec, pour seul bagage

en poche, son certificat d’études,

alors qu’il a toujours rêvé de

devenir ingénieur chimiste. Il a

d’ailleurs tenté de nombreuses

expériences et même fait exploser

un cabanon de jardin au cours

de l’une d’entre elles.

Il se passionne également pour

les nouvelles technologies en

général et la radiodiffusion en

particulier, surtout avec le

développement des postes à

galène. C’est d’ailleurs en tant

que sapeur radiotélégraphiste

qu’il effectue son service militaire.

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1905

Passionné, Michel Mention a une profonde admiration pour Edouard Branly, amiénois d’origine, physicien et médecin qui a découvert le principe de la radioconduction et celui de la télémécanique. Il est l’un des précurseurs de la radio. En mars 1923, il lui écrit pour obtenir une photo de son modèle.

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La grand-mère de Michel Mention qui trouve qu’il a une belle écriture, le propose au concours de rédacteur à la préfecture. En dépit d’une bonne copie en composition française, il est recalé. Vexé sur le moment, il avouera plus tard que cet échec a été une véritable chance dans sa vie.

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19251926

1927...

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Michel Mention effectue son service militaire à la radiotransmission. Il en profite pour parfaire ses connaissances techniques et apprendre toujours plus.

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Libéré de ses obligations, i l est

embauché comme vendeur par

René Audelin dont la société

d’électricité commercialise aussi

du matériel radio à Amiens.

Il travaille en binôme avec Maurice

Brayet, ingénieur diplômé.

À la rondeur de caractère de Michel

Mention qui a le sens du commerce

et le contact facile, vient s’ajouter

la rigueur technique de Maurice

Brayet. Les deux hommes forment

un duo efficace et apprennent

beaucoup l’un de l’autre. Michel

Mention, toujours avide de savoir,

souhaite connaître tous les aspects

techniques d’un matériel avant d’aller

en visite chez un client. Il se les fait

expliquer par Maurice Brayet.

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Madeleine Mention (à droite) en compagnie de M. et Mme Audelin, les patrons de Michel Mention.

Façade du magasin Audelin.

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Michel et Madeleine Mention en 1929 et en 1932.

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Dès le début de la guerre, il est mobilisé à la citadelle.

En mai 1940, les Allemands envahissent la majorité du nord-est de la France. Amiens, tout comme

Lille, Arras et Calais, constitue pour eux, un objectif important puisque la prise de la ville leur

permettrait de poursuivre leur offensive.

Le 20 mai, les Allemands sont aux portes de la capitale picarde. Jusqu’au 8 juin, la ville sera la

cible de bombardements aériens menés par la Luftwaffe.

Michel Mention n’attend pas le 26 mai que les Allemands lancent leur offensive pour réagir.

Il avertit sa famille réfugiée à Vignacourt, puis il gagne Paris et le quartier général de la tour Eiffel

avec du matériel radio. Alors qu’il a l’impression de sortir de l’enfer, l’ambiance parisienne est

paisible. Il n’est même pas pris au sérieux lorsqu’il raconte ce qu’il vient de vivre et il est même,

dans un premier temps, considéré comme un déserteur par la hiérarchie militaire.

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1940

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Son témoignage permettra, malgré tout, d’anticiper la marche allemande sur la capitale.

Le 22 juin 1940, l’armistice est signé entre le représentant du Troisième Reich allemand et celui du

gouvernement français de Pétain. Il met fin aux hostilités et établit les conditions de l’occupation

par l’Allemagne, le sort des personnes capturées, déplacées ou occupées, la neutralisation

des forces françaises, et le paiement de compensations économiques à l’Allemagne. Michel Mention

transmet le message depuis Bordeaux.

En septembre 1940, il regagne Amiens et reprend sa place au service commercial dont il a pris la

direction chez Audelin.

La société continue son activité tout le temps du conflit.

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Mais, de plus en plus, Michel Mention souhaite se mettre à son compte. Depuis longtemps, il en rêve.

Il a même promis à son épouse Madeleine qu’« un jour, elle verrait « Mention » en lettres de feu ».

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19391940

Madeleine et Michel Mention pendant la guerre.

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Le couple a deux enfants : Françoise à qui il souhaite pouvoir payer des études et Jean-Jacques,

né en octobre 1939, le fils espéré auquel il pourra léguer son entreprise et qui assurera la continuité

du nom.

Madeleine Mention et Françoise, sa fille aînée. Madeleine Mention et Jean-Jacques, son fils.

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La reconstruction est une période faste pour créer son entreprise.

Il demande à André Caty, peintre en bâtiment, de l’aider. Les deux hommes se sont rencontrés en

se côtoyant sur les chantiers et se vouent l’un à l’autre une profonde estime qui se change bien

vite en une amitié solide et durable.

André Caty, dont le siège social et les ateliers sont installés rue Jean Mermoz dans le quartier de

la gare, apprend que M. Bonnecuelle, artisan électricien, est décédé.

Sans repreneur, son affaire est à vendre. C’est l’occasion qu’il fallait à Michel Mention pour

franchir le pas.

La société Mention & compagnie est installée dans un atelier de l’ancien établissement

de M. Bonnecuelle, au 60, rue du Vivier à Amiens.

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4

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Premier contrat de téléphonede la société Mention & cie, rue du Vivier.

Citadelle construit par Vaubanau 17 ème siècle.

A M I E N S

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Un autre associé vient apporter sa pierre à l’édifice : Jean Herbet, entrepreneur en maçonnerie.

C’est Michel Mention qui a toutes les rênes en main. André Caty, lui, s’occupe de sa société

de peinture avec son fils Jean qui reprendra sa suite et Jean Herbet gère sa propre affaire.

Néanmoins, toutes les décisions sont prises à trois et chacun se tient informé régulièrement.

D’abord électr icien puis, également grossiste pour les artisans, la société Mention & Cie

développe petit à petit son activité dans le secteur du bâtiment. Il prend des chantiers pour

les collectivités territoriales et les bailleurs sociaux comme le chantier des ISAI Faidherbe et

celui du quartier du « Pigeonnier ».

Lorsqu’il faut livrer du matériel sur un chantier dans Amiens, les équipes s’y rendent avec une

voiture à bras jusque dans les années 50.

Ensuite, la société acquiert un « Tube » Citroën et une 2 CV camionnette.

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Les ouvriers ont utilisé cette voiture à bras jusqu’en 1955 pour transporter le matériel sur les chantiers dans Amiens. Ensuite, la carriole a servi de décor dans le hall d’entrée de l’entreprise. Elle était fleurie avec soin par Françoise Lancéa lors des journées professionnelles ou grands événements de l’entreprise jusque dans les années 70.

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En 1953, l’atelier de la rue du Vivier est devenu

trop étroit pour l’activité de la société Mention.

Il est donc décidé de louer un immeuble

16, rue Gresset à Amiens.

L’immeuble appartient à André Caty.

Michel et Madeleine Mention s’installent à

l’étage avec leurs deux enfants.

C’est l’occasion d’aménager, en façade,

un magasin de petit électroménager, de

luminaires et de lustres. Le plafond en est

tapissé.

Madeleine Mention s’en occupe, aidée dans

sa tâche par Jean Boucher. Ce dernier a été

embauché comme électricien par Michel

Mention dès sa sortie de l’école industrielle

en 1949. Il lui a accordé d’emblée une totale

confiance et agit avec lui davantage comme

s’il faisait partie de la famille que comme un

patron le ferait avec son employé.

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Jean Boucher dans l’atelier de la rue Gresset.

Inauguration de la Tour PERRET.

1952A M I E N S

Madeleine Mention derrière le comptoir du magasin.

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1 9531 953

Premier bail de la rue Gresset.

Plaque émaillée de l’entreprise qui se trouvait à l’arrière de la cour, rue Léon Blum.

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21Madeleine Mention dans le magasin.

Madeleine et Michel Mention devant leur magasin, rue Gresset.

Grands garages de Picardie.

A M I E N S

Les annees

1950

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Michel Mention n’aime pas conduire , il préfère

de loin circuler à vélo. C’est Jean Boucher qui

prend le volant de la DS Pallas dès qu’il y a un

peu de route. Ensemble, donc, ils se rendent à

des salons professionnels mais également à des

mariages, des communions, des enterrements...

Il leur arrive régulièrement de chercher leur route !

22

L e s a n n E e s 1 950

Jean Boucher entre Michel et Madeleine Mention à la sortie d’une église.

Michel et Madeleine Mention.

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Derrière l’immeuble, une porte cochère donne sur une cour. Au fond, sont agencés un magasin de petit

matériel électrique pour les artisans et un bureau.

C’est là que la secrétaire Geneviève Hacot, la comptable Denise Gueudet et Christiane Désesquelle sont

installées les unes à côté des autres, sur une table toute en longueur. Geneviève Hacot est remplacée, en

1955, par Francine Lancéa qu’on embauche comme dactylo facturière et Denise Gueudet cédera sa

place à Georges Petit en 1960.

Elles encaissent également le paiement du petit matériel vendu aux artisans.

La société compte désormais une quinzaine de salariés.

La personnalité de Michel Mention et son charisme transpirent dans sa façon de gérer la société et

le personnel. C’est une entreprise familiale à dimension humaine. Les ouvriers lui sont attachés.

Michel Mention accorde beaucoup d’estime à chacun. Quant à Madeleine Mention, elle, appelle

Francine Lancéa et Christiane Desesquelle, « mes filles ».

Les secrétaires et la comptable à leur bureau.

La Gare.

A M I E N S

Les annees

1950

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Les salariés sont associés aux fêtes et évènements familiaux, tout comme Madeleine et Michel

Mention le sont à ceux des employés.

En 1956, tous sont invités au repas de mariage de Françoise, la fille aînée de Madeleine et de

Michel Mention avec Roger Hostequin. Un jour de congé exceptionnel leur a été accordé à tous

pour l’occasion.

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1950Le personnel le jour du mariage de Françoise Mention avec Roger Hostequin.

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Comme à chaque fois qu’il le peut, Jean Boucher

fixe l’événement sur la bobine.

Il a trouvé sa place au magasin où il est responsable

du rayon télé et radio. Le commerce est une activité

qu’il aime. Il est attaché à son entreprise, à son

patron. Sa priorité, c’est l’image de marque de la

« maison Mention » et pour cela, il ne compte pas ses

heures. Il ne quittera d’ailleurs jamais la rue Gresset

avant l’âge de la retraite, en décembre 1991.

Jean Boucher dans le magasin rue Gresset. Michel Mention essaie tous les téléviseurs lui-même pour être certain de la qualité des produits commercialisé chez lui.

Première pierre Coursives - quartier Etouvie.

A M I E N S

1957

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Sur la place publique, le nom Mention est un gage de qualité. Si la maison ne casse pas les prix,

elle a par contre, une excellente réputation.

Jean-Jacques Mention est élevé pour prendre la suite de son père. Il préfère le terrain aux études;

pour autant, il s’y astreint. Il suit un cursus au lycée de la Société Industrielle ce qui lui permet la

mise en application en continu de ses apprentissages, puis il entre à EEIP Charliat à Paris.

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les annees 1950

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Pour Michel Mention qui a été privé d’études, le fait que son fils devienne ingénieur est une réelle fierté.

Son diplôme en poche, le jeune Jean-Jacques est appelé à servir le drapeau. Comme son père, il

effectue son service militaire à la télétransmission. Dès qu’il en a l’occasion, pendant ses permissions,

il revient travailler pour l’entreprise. A partir de 1966,

il est officiellement intégré à l’entreprise en tant

qu’ingénieur.

Rue des Trois cailloux.

A M I E N S

1958

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En 1959, il a rencontré son épouse Marie-France, originaire du Centre.

De leur union, alors qu’il est encore à l’armée, est née une première fille prénommée Isabelle.

Désormais, c’est le jeune couple qui habite au-dessus du magasin de la rue Gresset. Madeleine

et Michel Mention ont, quant à eux, déménagé en ville.

Marie-France Mention donne des cours à l’école Saint-Rémi.

Jean-Jacques Mention est un leader, un gagnant. Il veut aller toujours plus loin et toujours plus haut.

Il est heureux d’arriver réellement dans la société.

Pourtant il doit se faire accepter par des équipes qui ont grandi en même temps que l’entreprise et

qui la considèrent d’ailleurs un peu comme étant la leur.

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En 1968, ils rachètent la société

Audelin dans laquelle Michel

Mention a fait ses premières armes

en tant que commercial.

La véritable passation de pouvoir

se fait dans la douceur. Jean-

Jacques Mention a trouvé sa place

et son père, bien que toujours

présent, s’efface petit à petit.

1968

Portrait de Jean-Jacques Mention réalisé à l’occasion d’un séminaire de travail.

Inaugurationde la Maison de la Culture.

A M I E N S

1966

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Depuis quelque temps, il a demandé à Francine Lancéa de tenir le magasin. Ce n’est pas le rôle

qu’elle préfère mais, s’il est un patron très humain, lorsqu’il a une idée bien arrêtée, on ne lui dit

pas « non ».

Elle s’occupe donc de la clientèle jusqu’au jour où, elle est appelée dans le bureau. Le père et

son fils se tiennent là tous les deux. Michel Mention lui annonce que Jean-Jacques, son fils, va

prendre les rênes de la société officiellement. Il lui demande donc, solennellement, si elle accepte

d’être la secrétaire de son fils. Francine Lancéa saute sur l’occasion et accueille avec un grand

bonheur la proposition.

Jean-Jacques Mention succède officiellement à son père à la

direction de l’entreprise en 1969. La société compte alors une

cinquantaine de salariés et porte le nom de « Mention Electricité »

30

1969

Jean-Jacques Mention.

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Le départ de Michel Mention se ressent

davantage dans les bureaux que sur les

chantiers. Les hommes sont habitués à travailler

en autonomie. Leur patron leur a toujours

accordé une grande confiance. Il ne prend

plus officiellement les décisions mais reste

présent au côté de son fils. Il passe très

régulièrement dans les bureaux et participe

au débat, sans en avoir l’air.

Michel Mention et Jean-Luc, son petit fils qu’il forge dès le plus jeune âge au métier.

Construction du quartierdit du Pigeonnier.

A M I E N S

Les années

1960

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Max Donnette, arrivé en 1955 comme monteur-électricien, est nommé adjoint de direction.

Il devient le bras droit de Jean-Jacques Mention. Il stabilise encore davantage la jonction

entre Michel et Jean-Jacques Mention.

Dès lors, un partenariat étroit se noue entre les trois. Max Donnette et Francine Lancéa, arrivés la

même année, forment un vrai tandem. Jean-Jacques Mention sait qu’il peut compter sur eux.

Leur collaboration est très forte, très solide et plutôt agréable.

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En marge de l’activité qui se développe toujours, un comité d’entreprise a vu le jour. Francine Lancéa en est la

secrétaire. Jean Boucher en fait partie. Il organise des parties de pêche, des sorties pique-nique.

L’ensemble des membres du personnel et leur famille se réunissent systématiquement au début de l’été autour

d’un petit pavillon de chasse pour une grande journée en plein air avec moutons grillés et tout ce qui va avec.

A chaque fois, une centaine de personnes partagent des moments mémorables. C’est toute une organisation

qui se met en place. L’itinéraire est fléché avec de véritables panneaux de signalisation « journée Mention ».

L’autre rendez-vous immanquable de l’année, c’est le repas de Noël.

Rapidement, on doit organiser cette fête en deux temps : l’après-midi, les enfants ont leur fête et leur arbre

de Noël durant laquelle ils reçoivent des cadeaux. En soirée, un gala est réservé aux adultes. Tout le monde

est sur son trente-et-un. Jean-Jacques Mention y tient plus que tout. S’il ne donne pas d’argent directement

au CE, il met un point d’honneur à financer la salle et le repas.

Au début de cette formule, la soirée se passe dans

une salle des fêtes mais, rapidement, les salariés

et les conjoints sont si nombreux qu’il faut louer des

endroits plus grands comme le Petit Château de

Lamotte-Brebière ou même Mégacité.

Le choix de l’orchestre n’est jamais laissé au

hasard. Il faut pouvoir danser et que la musique

soit bonne.

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Supermarché DELTA, futur Mamouth puis Auchan.

1969A M I E N S

Page 34: MENTION & CIE

En 1972, André Caty décède. Jean Caty, son fils

reprend l’entreprise de peinture et les parts de

son père dans Mention Electricité.

A l’image de son père qui avait de nombreux

mandats para-professionnels dont celui de juge

au tribunal de commerce, Jean-Jacques Mention

est très engagé dans la vie économique picarde.

Président départemental puis régional de la fédération

du bâtiment, membre du comité directeur de la FNEE,

de profilelec, vice-président de la commission de

liaison EDF, membre titulaire de la CCI d’Amiens dont

il deviendra trésorier... La liste est si longue qu’elle ne

tient pas sur une page A4 ! Mais, lorsque, débordé, il

tente de faire des choix et d’élaguer certaines de ses

responsabilités, il n’y parvient pas.

En dépit d’un emploi du temps surchargé, il n’organise

pas de grandes réunions, mais fait un point tous les

jours avec chacun.

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Michel Mention, juge au tribunal de commerce d’Amiens1970 - 1980.

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Le 1er mars 1973 salue l’embauche de Bernard Vautherot en tant que contremaître de chantier

par Jean-Jacques Mention et Max Donnette.

Homme de fort caractère mais totalement dévoué à l’entreprise, Bernard Vautherot entretient

avec Jean-Jacques Mention, une collaboration exemplaire.

L’entreprise compte deux autres contremaîtres de chantier : André Varlet et Jacques Létuvé.

Leur bureau est installé dans une toute petite pièce qui deviendra l’atelier des dépanneurs par la suite.

En 1974, Bernard Vautherot passe cadre chargé d’affaires.

A la même époque, M. Géroche, M.Ternisien et

Michel Klimenko sont conducteurs de travaux.

M. Macron travaille au bureau d’études.

Le développement de la société s’accèlère.

les annees 1970

Palais de Justice.

A M I E N S

Les années1970

Page 36: MENTION & CIE

De plus en plus, la taille de l’entreprise pose question au quotidien. Dans les locaux de la rue

Gresset, ce n’est plus possible. Il n’y a pas de place pour le matériel, les voitures, ni même pour les

hommes. L’effectif est désormais stabilisé à 75 salariés.

Jean-Jacques Mention prend les choses en main et décide de déménager l’entreprise à l’exception

du magasin qui restera rue Gresset avec Jean Boucher et une partie du SAV.

Marie-France Mention qui a repris une activité d’aide comptable dans l’entreprise, supervise

également le magasin.

Les plus anciens quittent le centre-ville à contrecœur mais c’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour

le développement de l’entreprise.

Après une brève hésitation, le site choisi est

situé sur la zone industrielle nord, rue Roger

Dumoulin.

Jean-Jacques Mention souhaite que tout

soit parfait. Attentif au moindre détail, il

passe un temps considérable sur le chantier

à suivre les travaux. Le déménagement se fait

le 22 décembre 1976. Tout ce qui est emporté

sur le nouveau site doit être nettoyé.

36Les nouveaux bâtiments avenue Roger Dumoulin

sur la Zone Industrielle Nord – Amiens.

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Pour tous, le déménagement est un bouleversement. C’est un peu comme si tous avaient changé

d’entreprise sans changer de patron.

Mais c’est une nouvelle évolution qui démarre et chacun retrouve vite sa place.

Repas du personnel dans le nouvel entrepôt.Centre Hospitalier Universitaire.

A M I E N S

Les années1970

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Jean-Jacques Mention est un visionnaire. Des idées lui viennent en flot continu. Certaines sont

mises en application, d’autres resteront dans les tiroirs mais désormais, il a la place pour les

développer.

C’est ainsi qu’une division « faux plafonds/cloisons amovibles » est créée. Jean-Pierre Collier en

est le responsable. Il s’intéresse également à l’éolien mais il est sans doute trop tôt. Cette activité

est abandonnée.

L’activité « électricité industrielle » prend une part de plus en plus importante. Viennent s’y ajouter

l’informatique y compris en interne dans la gestion et la comptabilité ainsi que les automates.

En 1985, Jean Caty qui n’a pas de repreneurs pour Caty Peinture souhaite profiter de sa retraite.

Il revend son entreprise à Jean-Jacques Mention.

Caty Peinture qui, du coup, quitte la rue Jean Mermoz où elle est installée depuis toujours et rejoint

la zone industrielle à son tour.

Bernard Vautherot est nommé à sa direction avec

pour mission de développer l’activité.

38

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39

Le magasin d’électricité au fond de la cour, rue Gresset.Le magasin de petit électroménager au début des années 80.

Caisse d’Allocations Familiales.

A M I E N S

Les annEes

1980

Page 40: MENTION & CIE

Et puis, le 26 juillet 1986, alors que l’ensemble du personnel

a profité de la journée traditionnelle de l’entreprise, Francine

Lancéa reste à ranger avec Jean-Jacques Mention. Il lui donne

le programme de la rentrée.

La veille, toute la journée du jeudi, ils ont classé et trié. Le repas

a eu lieu le vendredi. Puis chacun est parti en week-end. C’est

la dernière employée qui a vu Jean-Jacques Mention.

Le lundi 28 juillet, en arrivant, elle apprend de Max Donnette

que son patron est décédé d’une méningite fulgurante. Il n’avait

que 46 ans.

Il faut taire cette terrible nouvelle au moins le temps que,

les parents de Jean-Jacques, Michel et Madeleine Mention

soient mis au courant. Mais très rapidement, cela se sait par

l’extérieur.

Pour l’ensemble du personnel, c’est le choc. L’avion est désormais

sans pilote. Seul Max Donnette reste aux commandes.

40

Jean-Jacques Mention.

1986

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Pour l’organisation immédiate, Jean-Jacques Mention a toujours laissé

des consignes à Francine Lancéa et Max Donnette « au cas où un jour il

n’arriverait pas au bureau » mais la plupart des salariés paniquent.

Michel Mention réagit en patron. Il appelle Francine et lui demande de

rassurer tout le monde. « Dites leur, dites leur que je vais tout faire pour

que l’entreprise survive ».

Il demande à sa belle-fille qui supervisait la gestion du magasin depuis

quelque temps déjà, d’assurer la gérance de transition. Une assemblée

générale extraordinaire est réunie et Marie-France Mention accepte

pour trois à six mois au départ. Le temps de réorganiser l’entreprise.

Elle y restera 15 ans.

Plus tard, Michel Mention avouera « Elle ne savait pas que c’était impossible,

alors elle l’a fait ».

Souvent, en tête à

tête avec elle,

il saluera son

courage dans

une période

qui n’est pas

aussi faste que

l’après-guerre.

Courrier Picard du 29 Juillet 1986.

Hôtel de Ville.

A M I E N S

Les annEes

1980

Page 42: MENTION & CIE

Cela donne du temps aussi au jeune Jean-Luc Mention, fils de Jean-Jacques de faire ses armes.

Depuis l’âge de 7 ans, son grand-père lui a dit : « Toi, min tiot, tu n’as pas le choix, tu seras électricien »

et depuis l’âge de 14 ans, il se rend lorsqu’il le peut sur les chantiers avec les ouvriers pour apprendre

le métier, mais il n’a encore que 18 ans.

A la rentrée, tout est en ordre de marche pour permettre à l’entreprise de surmonter la terrible

épreuve. Après le drame, les quatre-vingts salariés se sont encore rapprochés et le sentiment d’appartenir

à la « maison Mention » est encore plus fort.

La jeune veuve applique dans sa conduite au quotidien, la philosophie des Mention : « Une fois une

décision prise, le doute n’est plus permis : on a le droit de se faire peur, l’obligation de se remettre en

cause soi-même mais jamais la possibilité de remettre en cause le choix que l’on a fait ».

42

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Un deuxième choc vient secouer l’entreprise. Le 5 avril 1987,

un an après son fils, Michel Mention décède.

1987Michel Mention.

Courrier Picard.

A M I E N S

Les annEes

1980

Page 44: MENTION & CIE

Max Donnette est à deux ans de l’âge de la retraite. Des sociétés d’envergure nationale, pensant

l’entreprise affaiblie, approchent les actionnaires et tentent quelques propositions. Marie-France

Mention ne cède pas au chant des sirènes. Elle fait confiance à son entourage qui lui conseille

plutôt d’embaucher un directeur.

Marc Delavaud, ingénieur dans une entreprise industrielle à Lyon, âgé de moins de 40 ans qui sait

qu’on ne lui proposera pas tout de suite une direction d’agence répond à l’annonce. L’entretien

avec Marie-France Mention, Francis Huglo et Max Donnette se passe très bien. Il est embauché

et quitte sa vie lyonnaise pour venir s’installer à Amiens avec sa famille. D’emblée Marie-France

Mention lui accorde une grande confiance.

Elle lui donne des clés pour réussir. Jean-Jacques Mention était très impliqué dans le tissu socio-économique

de la ville et de la région. Il est nécessaire que Marc Delavaud, en tant que directeur le soit à son tour

car il devient l’ambassadeur de l’entreprise auprès des réseaux locaux. Environ 70 % du chiffre d’affaires

dépend du tissu local. Il est hors de question que les grands groupes qui se positionnent en face grignotent

ces parts du marché. Cette nécessité induite par son poste, facilite son intégration personnelle et il

noue de très bons contacts qui se transformeront en solides amitiés.

44

1987

Page 45: MENTION & CIE

Marc Delavaud occupera son bureauau-delà de la vente de l’entreprise, jusqu’en 2006.

Carte de visite de Bernard Vautherot, directeur de Caty peinture.

45

Cathédrale premier son et lumière.

A M I E N S

Marc Delavaud étoffe le bureau d’études pour

développer tout ce qui touche à la technique et aux

automatismes. Il encourage les activités nouvelles.

Bernard Vautherot et Marc Delavaud sont nommés

directeurs des deux entreprises.

Marc Delavaud, prend en main le développement

de l’entreprise Mention « historique ». Il bénéficie

d’une belle marge de manœuvre, soutenu dans

ses choix par Marie-France Mention.

Bernard Vautherot est délégué au développement

de Caty Peinture. La section passera de douze

personnes à une quarantaine en 15 ans.

1987

Page 46: MENTION & CIE

Chaque semaine, Marie-France Mention s’attache à faire un point avec les directeurs associés.

Elle se fait un devoir d’assister à l’élaboration du planning hebdomadaire de chaque service et

met un point d’honneur à ce que tout le courrier passe par elle. Au quotidien, elle se tient informée

des chantiers mis en œuvre. Ainsi, elle a une vision constante de la vie de la structure. Elle assure

l’interface avec les banques. Elle note tout sur des listes, des petits papiers pour pouvoir rayer les

choses à faire au fur et à mesure.

Avec Max Donnette, Bernard Vautherot et Marc Delavaud forment une direction à trois têtes.

Max Donnette leur apporte beaucoup par sa connaissance de l’histoire de chacun des salariés

au sein de l’entreprise. Cela devient rapidement un atout majeur pour Marc Delavaud.

Reste, néanmoins, pour lui, la difficile gestion de ce personnel en plein deuil, très attaché à la

personnalité de Jean-Jacques Mention. Mais le nouveau directeur trouve des hommes et des

femmes courageux et fidèles, prêts à se battre pour leur entreprise.

1 9 8 7

46

Page 47: MENTION & CIE

Le comptoir du magasin en centre ville. 47

Cinéma Picardy.

A M I E N S

Les annEes

1980

Page 48: MENTION & CIE

48

Passation de la direction d’entreprise entre Max Donnette et Marc Delavaud.Le Courrier Picard – Décembre 1987.

Mme Mention Mme Lancea

M. BienaiméM. Delavaud

M. Geroche M. Klimenko

Mme Richet

M. Boucher M. Donnette

M. Levert

M. Dépreux

M. Petit

M. Macqueron

M. Vautherot

M. Letuve

M. Vitasse

Page 49: MENTION & CIE

49

Francine Lancéa accepte

de prendre la gestion du

service de dépannage.

Quatre employés, Serge

Berna, Jacques Varlet,

Claude Melun et Bruno

Delhomelle sont affectés en

permanence à ce service.

Deux d’entre eux se dépla-

cent également pour installer

des antennes télé.

Elle est « vaccinée 100%

Mention » et elle est prête

à tout pour l’entreprise.

Bénéficiant, elle aussi, de la

grande confiance de Marie-

France, d’une collaboration

très proche avec Marc

Delavaud, elle apprécie

beaucoup ses nouvelles

fonctions et défend son

service bec et ongles.

Conseil Général de la SommeHôtel des feuillants.

A M I E N S

Médailles du travail

Les annEes

1980

Page 50: MENTION & CIE

A l’extérieur, les temps sont durs. Le

décès de Jean-Jacques Mention a

ébranlé la confiance des partenaires.

Certains fournisseurs doutent de

la pérennité de l’entreprise. L’un

d’entre eux, pessimiste, a même

fermé le compte de Mention de

façon arbitraire !

Dans l’organigramme, chacun

connaît sa mission et si l’entreprise

souffre moralement, elle maintient

malgré tout son développement.

Peu à peu, la société, tout en

gardant sa culture de proximité,

est structurée comme une grande

entreprise. Plus tard, elle aura même

son propre service d’achat.

50

Article dans une revue professionnelle au début des années 90

Page 51: MENTION & CIE

51

En 1989, afin de confirmer son identité au-delà de la

diversification d’activités qui a continué après le décès

de Jean-Jacques Mention, la société prend le nom de

« Mention Entreprise ».

Une activité « agencement » a vu le jour. Pour cela, la

maison travaille avec des fabricants de cloisons amovibles.

Elle embauche des plaquistes, des menuisiers et des ouvriers

polyvalents ce qui lui permet de proposer à ses clients la

réalisation de bureaux « clé en main » sans devoir dépendre

des délais de chaque corps de métier.

L’entreprise commence à communiquer à l’extérieur - Exemples de plaquettes commerciales.

Préfecture.

A M I E N S

Les annEes

1980

Page 52: MENTION & CIE

Marc Delavaud souhaite développer le secteur

« automatismes ». Il décroche de gros contrats, dont

un en Chine. Il aurait bien aimé communiquer sur

cette réussite en recevant à Amiens une délégation

chinoise mais l’actualité internationale met à mal son

projet. Les clients arrivent pour le « design meeting » alors

que, dans leur pays, les étudiants viennent d’envahir

la place Tian’anmen. Leur visite est finalement beaucoup

plus discrète que prévu pour ne pas attirer l’attention

des médias.

52

1989

Page 53: MENTION & CIE

53

Les années

1990 Le courrier Picard,

Décembre 1991.

Le Carlton.

A M I E N S

Les années

1990

Page 54: MENTION & CIE

En 1992, l’entreprise compte 120 salariés.

En 1995, la décision est prise de rendre autonome le service de petit dépannage sous la responsabilité de

Francine Lancéa pour créer SIDEM dont les lettres auraient d’abord voulu signifier Société Industrielle de

Diffusion Electro-Mécanique puis Société d’Installation et de Dépannage Electrique et de Maintenance.

En 1996, Jean-Luc Mention entre dans l’entreprise.

Il n’a pas perdu de temps. Son BTS d’électrotechnicien en poche, libéré de ses obligations militaires,

sa mère à la tête de l’entreprise familiale, il a souhaité travailler en dehors pour faire reconnaître

ses compétences. Alors qu’il cherche du travail en tant qu’électricien partout en France et qu’il a

souhaité pour cela ne pas profiter du réseau de ses parents, Jacky Vanbelle, directeur régional de

Sulzer infra lui fait une proposition pour devenir contremaître dans un domaine qu’il ne connaît pas :

la plomberie, le chauffage et le génie climatique. Le jeune homme a bien tenté d’expliquer qu’il n’a pas

le diplôme requis. En face de lui, l’homme lui rétorque « Si tu es le digne héritier de ton père, tu y arriveras ».

54

Page 55: MENTION & CIE

55

Il accepte donc le poste, reste en Picardie et côtoie le monde du bâtiment.

C’est au bout de cinq ans qu’il décide de rejoindre l’entreprise familiale mais il n’y trouve pas

vraiment sa place. Alors que son nom pourrait le désigner comme le successeur à la tête de

l’entreprise, il a en face de lui, Marc Delavaud qui est là depuis 8 ans et qui fait ses preuves en

tant que directeur. Les associés n’ont rien à lui reprocher, au contraire.

Jean-Luc Mention prend donc un poste de conducteur de travaux dans le service agencement

mais cette fonction ne lui correspond pas.

On lui confie alors le « dossier » du magasin. Depuis

le départ à la retraite de Jean Boucher, la question

occupe l’équipe dirigeante.

Le commerce est une activité à part entière

mais en perte de vitesse. Un responsable

a été recruté mais son intégration est plus

compliquée qu’il n’y paraissait.

1992 1993 1994 1995 1996

La Cité scolaire.

A M I E N S

Les années

1990

Page 56: MENTION & CIE

Jean-Luc Mention reprend donc le commerce et, Francine Lancéa partie à la retraite elle aussi,

il prend également la responsabilité de Sidem et de l’activité dépannage. L’atelier est réinstallé

au fond de la cour, rue Gresset à Amiens, là où il l’était de façon historique.

Conserver le dépannage aux particuliers sur le même site que Mention Entreprise qui traite de

plus en plus avec les professionnels est un non-sens marketing. Et puis, le fait de rapprocher le petit

dépannage du magasin a l’avantage supplémentaire de renforcer l’activité du commerce qui

commence à souffrir de la concurrence des grandes surfaces.

De quatre personnes dans le service, il passe à une vingtaine.

Petit à petit, Jean-Luc Mention diversifie l’activité. Il conçoit le développement de Sidem comme

celui d’un groupe.

56

1996

Page 57: MENTION & CIE

57

Avril 1996 - Départ à la retraite de Francine Lancéa (au pupitre). A ses côtés : sa famille, Marie-France Mention et Marc Delavaud.

Francine Lancéa entourée de Daniel Ternisien, responsable du bureau d’étude, Marie-France Mention et Bernard Vautherot.

Conseil Régional de Picardie.

A M I E N S

Les années

1990

Page 58: MENTION & CIE

1998

En 1998, Mention entreprise a fêté ses 50 ans à l’occasion d’une grande journée festive à laquelle

chacun a participé et à laquelle les conjoints et enfants étaient conviés. Tous étaient invités à

partager une passion ou un hobby avec l’ensemble du personnel : balades en tracteur ou en

bateau, vtt, pêche, jeux picards, poneys, tir à l’arc...

58

Page 59: MENTION & CIE

59

50 ans

Une rue de la Z.I. Nord est baptisée Jean-Jacques Mention.

A M I E N S

1999

Page 60: MENTION & CIE

La holding compte alors trois sociétés mais Marie-France Mention souhaite arrêter et passer le

flambeau. Jean-Luc Mention étudie attentivement et objectivement la situation. L’entreprise est

belle mais sa taille est «critique». A l’époque où tout est au regroupement, il ne saurait résister très

longtemps face aux groupes internationaux qui se sont constitués. Plein de fougue et d’idées,

il souhaite également avoir les mains complètement libres dans son entreprise pour la faire

évoluer à son rythme.

Marie-France Mention et son fils prennent la décision de revendre tout, en gardant à cœur que

l’entreprise perdure. Marc Delavaud souhaite rester à son poste. Son contrat de directeur salarié

est ainsi intégré dans les conditions de reprise.

60

Page 61: MENTION & CIE

61

Départ à la retraite de Marie-France Mention. Marc Delavaud, Jean-Luc Mention, Marie-France Mention et Bernard Vautherot.

OrganicomCarré de la République.

A M I E N S

Les années

2000

Page 62: MENTION & CIE

62

2 0 0 1

Carte de remerciement adressée à Marie-France Mention.

Discours prononcé par Jean-Luc Mention à l’occasion de son départ à la retraite.

Page 63: MENTION & CIE

63

La négociation est confiée à un intermédiaire. Forclum remporte le marché.

En interne, Marie-France Mention en a discuté avec Marc Delavaud, lui soumettant la « short list ».

Les repreneurs potentiels faisant les mêmes promesses pour le personnel en place, le directeur

analyse rapidement la situation et oriente finalement son choix en fonction du potentiel de

développement. L’activité Caty peinture est vendue, quant à elle, à la société Zion à Compiègne.

Pour beaucoup, c’est une déchirure. Certains, sur le coup ne comprennent pas et vivent cette

cession comme une trahison, une perte des racines.

Quelques-uns, comme Bernard Vautherot

préfèrent bénéficier d’un départ anticipé

à la retraite. Mention disparaît pour mieux

renaître de ses cendres...

Quartier Pierre Rollin.

A M I E N S

Les années

2000

Page 64: MENTION & CIE

Jean-Luc Mention conserve Sidem. Il en devient gérant et actionnaire unique. Il déménage le siège de

l’entreprise quelques centaines de mètres plus loin dans des locaux fonctionnels et modernes.

Depuis le début des années 2000, la rue Roger-Dumoulin

est en zone franche. Dans le cadre de la loi, cela

implique que toutes les cinq embauches, il y ait un

résident de la zone. Cette mesure contribue beaucoup

à la mixité sociale au sein de l’entreprise et une

véritable politique d’intégration est mise en place.

En 1999, pour s’attacher de nouvelles compétences,

Jean-Luc Mention a racheté la société Bertrand.

Un bon nombre d’anciens collaborateurs de chez Sulzer

le rejoignent dans l’aventure dont Patrick Varlet qui est

le premier salarié embauché et qu’il nomme directeur

du SAV dépannage et maintenance de chez Bertrand.

La petite structure existe depuis 1978. Elle a été créée à Villers-Bretonneux

par Robert Bertrand, un artisan qui, en 1982, a racheté la société « Michel

Lizut » dans laquelle il a fait ses premiers pas. Il reprend les quatre salariés

de son ancien patron. Plombier-chauffagiste, il possède également un

commerce de petit électroménager à Villers-Bretonneux qui ne résiste pas à

la pression de la concurrence. Il ferme définitivement en 1988. L’objectif de

Robert Bertrand est de développer l’activité « froid » qui est bien spécifique.

64 Façade de la société Bertrandà Villers-Bretonneux.

Personnel de l’entreprise autour de Robert Bertrand avant la reprise.

Page 65: MENTION & CIE

65

Il crée d’ailleurs la société Bertrand Froid le 1er

octobre 1990 mais, en 2000, à l’heure de la

retraite, n’ayant pas de repreneur « naturel »,

il est mis en contact avec Jean-Luc Mention

via la CCI.

Lors du rachat, il compte 7 employés et cinq

ou six véhicules. Leurs compétences viennent

compléter celles des équipes de Sidem.

Jean-Luc Mention décide de conserver le nom

de l’enseigne. Robert Bertrand reste pendant

un an au côté de son repreneur pour assurer la

transition en douceur.

Sa première idée est de ramener le siège de

la société en zone industrielle mais il existe

une clientèle de proximité dont il serait

dommage de se priver. Il s’installe à 50

mètres environ du domicile de Robert

Bertrand qui était jusqu’alors le siège

de l’enseigne.

Nouveaux locaux de Bertrand Froid, toujours à Villers-Bretonneux.

Intermarché Vallée des vignes.

A M I E N S

Les années

2000

Patrick Varlet

Page 66: MENTION & CIE

En 2001, Jean-Luc Mention opère de la même façon pour racheter la société d’Haillecourt, une

petite entreprise de plomberie-chauffage.

Créée en 1994 par Bernard d’Haillecourt, elle compte quatre salariés. A l’heure de la retraite, en

2001, l’artisan n’a pas de repreneur et souhaite revendre.

La petite structure travaille pour Sidem en sous-traitance depuis longtemps. Le rachat se règle

rapidement. La collaboration entre les deux hommes est simple et sans détour. Leurs rapports sont

toujours cordiaux. Jean-Luc Mention reprend les quatre salariés à son compte et conserve

l’enseigne pendant trois ans avant de la faire passer sur le nom de Sidem Chauffage-Plomberie.

66

2 0 0 1Carte à en-tête de l’établissement d’Haillecourt.

Page 67: MENTION & CIE

67Publi-rédactionnel paru dans le supplément d’un journal régional - 2001

Vallée des vignes.

A M I E N S

Les années

2000

Page 68: MENTION & CIE

68

Rue Gresset, l’activité commerciale perdure. En 2001, le magasin devient sociétaire de la centrale d’achat Gitem. Un directeur, Tony Dècque est nommé comme directeur du magasin au moment où sa surface commerciale a été augmentée. Les ventes de petit électroménager connaissent une nouvelle croissance de 20%. Les locaux sont, à nouveau, trop petits.La construction d’une surface de 600 m2

dans la zone d’activité Jules Verne à Glisy est décidée pour contrer les grandes surfaces. L’ouverture de cette seconde enseigne se fait en 2007. Gitem – Magasin Mention emploie désormais 18 salariés.Hélas, le magasin du centre-ville est en perte de vitesse. La gestion du stock et du personnel sur deux sites est compliquée.Le magasin de la rue Gresset fermera en 2009 avec le départ en retraite de Jean-Claude Vitasse. Le « grand » magasin peut compter sur Eric Devauchelle, Céline Dufossé, et José Rodrigues à la vente et Jonathan Danten, Philippe Hedin et Yves Lefevre aux services.

Façade du magasin rue Gresset à Amiens

Isabelle Mention, épouse de Jean-Luc Mention, gérante de Gitem, Raphaëlle Szyporta, directrice des ressources humaines, Maryline Debuire, comptable et Tony Decque, directeur du magasin.

Page 69: MENTION & CIE

69

Intersport.

A M I E N S

En 2007, l’entreprise inaugure un magasin d’électroménager dans la Zone d’activité Commerciale Jules-Verne à Glisy.

Les années

2000

Page 70: MENTION & CIE

En 2006, Jean-Luc Mention décide de déplacer l’activité de SIDEM électricité en zone industrielle et d’installer

au même endroit Sidem Chauffage plomberie. Il faut donc trouver de l’espace et des locaux adaptés.

Le hasard fait qu’il trouve un bâtiment correspondant à ses besoins toujours dans l’avenue Roger-Dumoulin.

Il est vendu par M. Fourcade qui l’avait fait construire en 1995 pour ses sociétés 3A et SCMS. Il est situé à une

centaine de mètres tout juste de l’endroit où Jean-Jacques Mention avait fait construire trente ans plus tôt,

juste en face de l’usine Dunlop dont le grand-père maternel de Jean-Luc avait été le premier directeur

au moment de l’édification de l’usine.

Le siège de Bertrand froid est lui aussi ramené sur le site.

Jean-Luc Mention place des collaborateurs issus de grands groupes à des postes importants. Sa volonté

est de gérer la petite structure avec la même rigueur qu’une grande entreprise. Il obtient, au fil des années,

la souplesse d’une PME et l’organisation d’une grosse structure.

70

2 0 0 6

Nouveaux locaux de l’entreprise Sidem à la ZI Nord-Amiens.

Page 71: MENTION & CIE

71

Il souhaite réunir autour de lui des gens aux compétences variées

qui pourront apporter à l’ensemble des expertises complémentaires.

Son audace le pousse à aller vers des personnes très spécialisées

aux personnalités et aux cultures très différentes.

En 2007, Jean-Luc Mention a donc rassemblé Sidem électricité,

Sidem plomberie-chauffage et Bertrand froid en un site unique ce

qui lui permet de réunir toutes les compétences sous un même toit.

Il a finalement recréé un groupe qui développe les mêmes

métiers que celui qu’avait bâti son grand-père.

La nature n’aimant pas le vide, le groupe Sidem connaît alors

une nouvelle phase de progression fulgurante.

2 0 0 7

Clinique Pauchet.

A M I E N S

Les années

2000

Isabelle Lescarcelle, directrice financière et comptable du groupe depuis sa création en 1995.

Christophe Derolez

Valentin Brunelle

Xavier Desaegher

Page 72: MENTION & CIE

72 2006 – Personnel Sidem électricité autour d’Hervé Chatelain, directeur.

2

0

0

6

Page 73: MENTION & CIE

73

Sidem électricité développe l’activité « historique » de l’entreprise en

proposant son expertise, des conseils, la mise en oeuvre, le suivi

opérationnel, la maintenance préventive et générale et le dépannage

tant au niveau des courants forts que des courants faibles. Elle

accompagne les clients de manière transversale pour leurs installations

neuves ou dans le cadre de leur réhabilitation ou leur mise en conformité,

en s’appuyant toujours plus sur la maîtrise des énergies

pour rendre les bâtiments plus performants. L’activité

s’appuie sur une équipe de spécialistes par secteur

d’activité.

UPJV.

A M I E N S

Les années

2000

Page 74: MENTION & CIE

74 2006 – Le personnel de Sidem Chauffage Plomberie autour de Jean-Paul Vilbert directeur. Marc Boissady prendra sa succession en 2010.

2

0

0

6

Page 75: MENTION & CIE

75

Sidem chauffage propose des solutions performantes et adaptées pour

les ressources naturelles. Elle accompagne les clients dans leurs projets

de la conception à la réalisation. Spécialisée dans le logement neuf et

en réhabilitation, elle intervient en milieu industriel et commercial, assurant

qualité de service et délais de réalisation. Elle propose également des

services de dépannage après-vente, des contrats

de maintenance avec astreinte 7j/7, 24h/24 et

possède un bureau d’études intégré.

Le 7ème Art.

A M I E N S

Les années

2000

Page 76: MENTION & CIE

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2

0

0

6

2006 – Personnel Bertrand Froid autour de Yann Resentera, responsable climatisation, de Patrick Varlet responsable froid, de Xavier Desaegher, responsable SAV et dépannages.

Page 77: MENTION & CIE

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Bertrand Froid conserve son nom et regroupe les métiers de la chaîne du

froid commercial à celle du confort dans la réfrigération et la climatisation.

CCI Amiens-Picardie.

A M I E N S

Les années

2000

Page 78: MENTION & CIE

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0

7

2007 – Personnel autour de Patrice Nantier, directeur et de Matthieu Grognier qui prendra sa succession en 2009.

Page 79: MENTION & CIE

79

En 2005, une filiale est née. Bertrand grandes cuisines est spécialisée dans la cuisine professionnelle

et les buanderies.

Les deux sociétés interviennent autant dans la création que dans la rénovation ou la maintenance.

En 2008, Bertrand Grandes Cuisines et Bertrand Froid fusionnent pour ne former qu’une grande entreprise.

Brasserie Jules.

A M I E N S

Les années

2000

Page 80: MENTION & CIE

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1

0

2012 – Personnel de Sidem Maintenance autour de Jean-Claude Mong, directeur.

Page 81: MENTION & CIE

81

L’année 2010 voit la création de Sidem maintenance.

La section dépêche, sur les chantiers pour des clients comme l’OPAC,

des équipes pluridisciplinaires dont la grande force est la réactivité.

Coordination et intégration multi-technique sur l’ensemble des

bâtiments, Sidem maintenance pérennise les bâtiments existants

et améliore leurs performances énergétiques.

Créée le 1er avril, elle atteint dès le mois de septembre

une belle croissance et rapidement remplit son

objectif en générant un chiffre d’affaires de

3 millions par an.

Carrefour.

A M I E N S

Les années

2000

Page 82: MENTION & CIE

82

2012 – Départ en retraite de Jean-Paul Vilbert, directeur de Sidem chauffage-plomberie puis de Sidem maintenance. Jean-Claude Mong prendra sa succession.

82

Page 83: MENTION & CIE

Quelques photos d’un comité d’entreprise très actif...

83

Hôpital Sud.

A M I E N S

Les années

2000

Page 84: MENTION & CIE

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2010 - Chantier de l’immeuble le jango et le bowling BMB.

Page 85: MENTION & CIE

Bowling BMB.

A M I E N S

Les années

2000

La place de l’homme dans l’entreprise est primordiale dans les valeurs que défend Jean-Luc

Mention. Pour lui, des mots comme « insertion », « diversité », « management » ou encore « égalité »

sont les fondements de la structure qu’il dirige. Il s’attache à ce qu’ils soient mis en application au quotidien.

85

Page 86: MENTION & CIE

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2 0 1 0

Auchan Amiens Dury – Hélitreuillage d’un groupe de climatisation.

Page 87: MENTION & CIE

Auchan.

A M I E N S

Les années

2000

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Page 88: MENTION & CIE

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L’entreprise organise régulièrement des rencontres professionnelles.

Page 89: MENTION & CIE

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Résidence Paul Claudel.

A M I E N S

Les années

2000

« Le client est la chose la plus importante dans l’entreprise. » Jean-Luc Mention

89

Page 90: MENTION & CIE

90

En dépit de la crise, l’entreprise est prospère. Le groupe compte 140 salariés.

Jean-Luc Mention a décidé depuis 2009 de se faire épauler par un directeur

général, Denis Clère, qui a reçu comme objectif de faire doubler le chiffre

d’affaires en 5 ans ; un but qu’il a quasiment atteint en 3 ans.

Toujours dans un souci de préserver le potentiel de développement, Jean-Luc

Mention décide la même année d’acheter le terrain et le bâtiment voisin

qui s’est libéré pour disposer de plus de place et héberger Sidem électricité.

2009 - Jean-Luc Mention et Denis Clère, directeur général de Sidem.

Novembre 2009,Entreprise 80.

Page 91: MENTION & CIE

2

0

1

1

En 2011, afin d’animer le groupe, Jean-Luc Mention crée Sidem Management qui réunit la direction

générale, le service des ressources humaines, la comptabilité et le magasinier logistique.

Dans le cadre d’un partenariat signé avec Amiens Métropole, Sidem éléctricité se dote d’un véhicule électrique.

Caisse d’EpargneAgence Amiens Centre

Rue des Cordeliers.

A M I E N S

Les années

2000

91

Page 92: MENTION & CIE

En 2013, le nom Mention rayonne dans l’Amiènois depuis 65 ans comme le spécialiste du

génie électrique et climatique. Jean-Luc Mention comme son père et son grand-père multiplie

les mandats para-professionnels. Il a, pour son entreprise, de grandes ambitions.

92

2013

Les véhicules des quatre entités de la holding.

Page 93: MENTION & CIE

Jean-Luc Mention.

Ajinomoto.

A M I E N S

Les années

2000

93

Page 94: MENTION & CIE

HIS

TOR

IQU

E

Quelques repères dans le temps94 1 9501948

1948 : Création de la SOCIÉTÉ MENTION et Cie par Michel Mention (installations électriques, commerce électroménager).

1989 :La société prend le nom de MENTION ENTREPRISE pour confirmer sa diver-sification d’activités.

1996 : Jean-Luc Mention intègre MENTION ENTREPRISE et prend la direction de SIDEM.Orientation vers la clientèle de particuliers, gestionnaires d’immeubles tout en conservant les dépannages et petits travaux.

Octobre 2000 :MENTION ENTREPRISE est cédée au groupe FORCLUM.Jean-Luc Mention devient gérant et actionnaire unique de Sidem et Bertrand Froid.

1966 : Entrée de Jean-Jacques Mention en qualité d’ingénieur.

1969 : i l prend la succession de son père, Michel, à la direction de MENTION ELECTRICITE.

1995 : Création de la filiale SIDEM pour assurer les petits travaux effectués jusqu’alors par MENTION ENTREPRISE.

1999 : Rachat de la société BERTRAND FROID, spécialisée en climatisation et froid commercial.

Page 95: MENTION & CIE

9520121990198019701960

2005 : Création de BERTRAND GRANDES CUISINES, spécialiste de la cuisine professionnelle et filiale de BERTRAND FROID.

2007 : Création du magasin MENTION GITEM, qui devient une société à part entière.

2011 : Création de Sidem Management.

2009 : Regroupement de l’activité GITEM sur le magasin de Glisy.

2001 : Acquisition de la société D’HAILLECOURT, qui spécialise le groupe dans les domaines du chauffage, de la plomberie et du génie climatique.

2006 : Création de la holding Sidem et intégration des prestations de paie et de communication.

2010 : Arrivée de Denis CLERE en qualité de Directeur Général.C r é a t i o n d e S I D E M MAINTENANCE, spécialiste du dépannage mul t i -technique.

2012 : Création de MENTION & CO.

1 950

Page 96: MENTION & CIE

ALLURE

BRASSERIE JULES

GALERIES LAFAYETTE

INTERMARCHE

ECOMARCHÉ

NETTO

INTERSPORT

MC DONALD’S

LE 7ème ART

TABLE DU MARAIS

TROGNEUX

CARREFOUR

AUCHAN

CH ABBEVILLE

CH PÉRONNE

CH ST VALÉRY

CHU AMIENS

CHU RUE

CHU ALBERT

CHU PHILIPPE PINEL

CLINIQUE DE CORBIE

CPAM SIEGE ET SUCCURSALES

DDSIS

LABORATOIRE

MAIL ALBERT 1er

CLINIQUE PAUCHET

MAPAD RUE

CENTRE D’IMAGERIE

D’AMIENS

AMIENS METROPOLE

CCI

MAIRIE D’AMIENS

COMMUNES

COMMUNAUTES DE COMMUNES

CONSEIL GENERAL DE L’OISE

CONSEIL GENERAL DE LA SOMME

CONSEIL REGIONNAL DE PICARDIE

UNIVERSITE DE PICARDIE

PREFECTURE DE LA SOMME

CAF DE LA SOMME

FINAXIOME

IMMOBILIERE

NORD ARTOIS

PATRIMOINE OPH D’AMIENS

PATRIMOINE OPSOM

PATRIMOINE ODA

SIP

SAPI

Gro

up

e S

IDEM

NOS RéFéRENCES CLIENTS

96

MEDECINE DU TRAVAIL – ABBEVILLE

MEDECINE DU TRAVAIL – ROYE

MEDECINE DU TRAVAIL – MONTDIDIER

CREDIT IMMOBILIER DE LA SOMME

U.R.S.S.A.F – AMIENSC.A.F.S – AMIENS

CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE – AMIENS

COURRIER PICARD

MAGASINS GENERAUX – AMIENS

SOPAD AMIENS

RUCHE PICARDE AMIENS

COOPERATEURS AMIENSCOOPERATEURS LAON

C.P.A.M CENTRE – AMIENS FIDUCIAIRE DE FRANCE – AMIENS

HOTEL DE VILLE – AMIENSP.T.T. CENTRE AERE

SOCIETE GENERALE – ABBEVILLE

CRCA – AMIENS

PARKING SOUTERRAIN – AMIENS

STATION B.P. SANTERRE – AMIENS

STATION B.P. MAIGNAN LARIVIERE – AMIENSSTATION ESSO BLD DE ROUBAIX – AMIENS

GARAGE LA BRETECHE (PORSHE)

PROGRAMMATEUR FLASH

AUTOMATE PROGRAMMABLE – MERLIN GERIN PB 3

RELAYAGE STATIQUE SILEXAUTOMATE PROGRAMMABLE – MERLIN GERIN PB 400

LA CLARA – AMIENS

AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 21

N.T. I . – AMIENSAUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 27

SEDEP – AMIENS

AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 47

DIRECTION DES IMPOTS – AMIENS Z. I .

AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 67

ALLOCATIONS FAMILIALES – AMIENS

AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 80

C.R.C.A.M. – AMIENS

PARKING SOUTERRAIN AMIENS MATERNITE STE THERESE

GARAGE PEUGEOT – DURY

GARAGE MERCEDES – AMIENS

GARAGE BERLIET – DURY

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

CONTACT 80

MATERNELLE DE FLESSELLES

CLINIQUE BON SECOURS

SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²

CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS

PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle

C.C.I – AMIENS – bureaux

D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux

CENTRE DE LIGNES A ABBEVILLE

CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux

CENTRAL DE COMPIEGNE

ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureauxSAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)

CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)

SOCIETE GENERALE – ALBERT

BANQUE DUPONT – AMIENS

B.N.P – AMIENS

C.R.C.A – MAIL ALBERT 1ER – AMIENS

CLINIQUE DE BUTLER – AMIENS

MAISON DE RETRAITE – CAGNY

MAISON DE RETRAITE – PLACE DE LA NEUVILLE – AMIENS

CHAMBRE DE COMMERCE – RUE VINCENT AURIOL – AMIENS

CHAMBRE DE COMMERCE – CROIX ROMPUE – AMIENS

SOCIETE GENERALE – AMIENS

MAPELECBANQUE LENOIR ET BERNARD

ECOLE ELBOEUF – AMIENS (1500M²)ECOLE B – (1341 m²) AMIENS

NOUVELLES GALERIES

SACRE CŒUR DE FREVENT

PENSIONNAT STE FAMILLE – AMIENS

PENSIONNAT STE FAMILLE – ROYE

C.E.S. EDOUARD LUCAS – AMIENSCLINIQUE ST FUSCIEN

CLINIQUE BON SECOURS

MATERNITE STE THERESE

U.E.R. DE SCIENCES

I.G.H. TOUR PERRET

LABORATOIRE DEPARTEMENTAL

NOVA HENRIVILLE

MEDECINE DU TRAVAIL

PROTECTION CIVILE (SIRENE DU DEPARTEMENT)

PETITES SŒURS DES PAUVRES « MA MAISON »

CANAPLES – PONT REMY

MOULET – AMIENS

FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE REIMS – BERRU

FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE ST FUSCIEN

FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE

FRANCE TELECOM – BATIMENT C T 4 – EQUIPES REGIONALES AMIENS – ALBERT – ROYE

D.O.T.R.N. – BATIMENT CHALONS S/MARNE – ST QUENTIN – CAMBRAI – ARRAS – AMIENS

ECOLE ETOUVIE – AMIENS (1600 m²)

F.R.3

C.P.A.M.

CHAPELLE CAGNY

CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY

CREDIT AGRICOLE CORBIE

RUCHE ENTREPOT

CHAPELLE STE FAMILLE A CANGY

SALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CHAMBRE SYNDICALE

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²TELECOMMUNICATION ABBEVILLED.R.T. PERONNE

AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS

PREECTURE (sal le informatique)

MONSIEUR MATIFAT – ALBERT

D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)

MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME

D.R.T. ABBEVILLE (250m²)COURRIER PICARD – AMIENS

D.R.T. SOISSONS (380 m²)

HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

EUROLYSINE

ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)

PROCTER GAMBLE

ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)

PHARMYGIENE (1800M²)

ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²

SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS

SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M² B.N.P. HALL D’AMIENS

D.R.T. AMIENS

D.R.T. SOISSONS

D.R.T. ABBEVILLE

E.D.F.G.D.F. CANTINE

CANTINE ST OUENST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE

ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER

PROCTER ET GAMBLE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS

GOODYEAR – AMIENS

CARBONNE LORRAINE – AMIENS

JEAGER – AMIENS

BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)

HALLES PARMENTIER AMIENS

MIAMI – MERS LES BAINS

AVON RANTIGNYLE CARLTON

CELOR Z. I . AMIENS

LE BARON

SOCOPAL Z. I . AMIENS

C.G.E. Z. I AMIENSRUCHE PICARDE Z. I . AMIENS

MINISTERE DES AFFAIRES CULTURELLES – AMIENS MIAMI – CENTRE VILLECENTRE CULTUREL – ABBAYE DE ST RIQUIER

MIAMI – CENTRE COMMERCIAL MAMMOUTH

CATHEDRALE D’AMIENS

EGLISE ST JACQUES – AMIENS

EGLISE ST MARTIN – AMIENS

CENTRAL TELEPHONIQUE LAON

CENTRAL TELEPHONIQUE HIRSON

ARCHIVES DEPARTEMENTALES

A.S.S.E.D.I .C DE LA SOMME – AMIENS

MEDECINE DU TRAVAIL – AMIENSTRIBUNAL ADMINISTRATIF

C.N.R.O. – AMIENS

PORCHER – WOINCOURT

CLINIQUE BON SECOURS

SOPEM – MOREUIL

CLINIQUE ST FUSCIENFAVI – HALLENCOURT

CLINIQUE DU MAILBENOIT – AMIENS

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUX

TISSAGE DE PICARDIE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE MARIE MARTHE – AMIENS

DEFACQUES – AMIENS

MAISON DE RETRAITE LA NEUVILLE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE STE FAMILLE – CAGNY

LANDRY PLASTIQUES NORD – Z. I . AMIENS

BREILLY – MOREUIL

BANQUE DE FRANCE – AMIENSBANQUE DUPONT – AMIENSCAISSE D’EPARGNE – AMIENS

F.R.3C.P.A.M.

CHAPELLE CAGNY

CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY

CREDIT AGRICOLE CORBIE RUCHE ENTREPOT

CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CHAMBRE SYNDICALEBANQUE LENOIR ET BERNARD

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²

C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE

TELECOMMUNICATION ABBEVILLE

D.R.T. PERONNE

AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS

PREECTURE (sal le informatique)

MONSIEUR MATIFAT – ALBERT

D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME

D.R.T. ABBEVILLE (250m²)

COURRIER PICARD – AMIENS

D.R.T. SOISSONS (380 m²)HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

EUROLYSINE

ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)

PROCTER GAMBLE

ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)

PHARMYGIENE (1800M²)ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²

SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS

SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M²

B.N.P. HALL D’AMIENSD.R.T. AMIENS

D.R.T. SOISSONS

D.R.T. ABBEVILLE

E.D.F.G.D.F. CANTINE CANTINE ST OUEN

ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²

NUTRIAL BANANIA – FAVEROLLES

DECAYEUX ET LOISON – SAUCOURT

PLASTIBAT – ROYE

CARON LENEL – FRIVILLE

CALIBRACIER – CORBIEFEREMBAL – ROYE

PHILIPS – CEMA AMIENSCREPIN PETIT – BERNAVILLEALCATEL CIT

DELSEY – MONTIDIER

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE

KEMO – AMIENS

CITE SCOLAIRE (SUD) – AMIENS

ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER

L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS DELESTREZ – AMIENS

CLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS

PROCTER ET GAMBLE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS

GOODYEAR – AMIENS

DUNLOP – AMIENSVALEO – AMIENSEUROLYSINE – AMIENS

CARBONNE LORRAINE – AMIENS

COLAS – AMIENS

JEAGER – AMIENSBUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOIMATERNELLE DE FLESSELLES

CLINIQUE BON SECOURS

SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²

CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle

C.C.I – AMIENS – bureaux

D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux

CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux

SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes

ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)

CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)MAISON DE RETRAITE – CAGNY

ECOLE B – (1341 m²) AMIENS

FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE

MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

CARON LENEL – FRIVILLE

L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

PARKING SOUTERRAIN AMIENS

MATERNITE STE THERESE

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

CONTACT 80

MATERNELLE DE FLESSELLES

CLINIQUE BON SECOURS

SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONSCREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux

CENTRAL DE COMPIEGNE

ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux

ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)

B.N.P – AMIENSCLINIQUE DE BUTLER – AMIENS

MAISON DE RETRAITE – CAGNY

CHAMBRE DE COMMERCE – RUE VINCENT AURIOL – AMIENS

CHAMBRE DE COMMERCE – CROIX ROMPUE – AMIENS

MAPELEC

BANQUE LENOIR ET BERNARD

ECOLE ELBOEUF – AMIENS (1500M²)

ECOLE B – (1341 m²) AMIENSNOUVELLES GALERIES

FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE REIMS – BERRU

FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE ST FUSCIEN

FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE

FRANCE TELECOM – BATIMENT C T 4 – EQUIPES REGIONALES AMIENS – ALBERT – ROYE

ECOLE ETOUVIE – AMIENS (1600 m²)

CREDIT AGRICOLE CORBIE

RUCHE ENTREPOT

SALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²

TELECOMMUNICATION ABBEVILLE

D.R.T. PERONNEPREECTURE (sal le informatique)

HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS

SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS

B.N.P. HALL D’AMIENS

D.R.T. AMIENSD.R.T. SOISSONS

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE

PROCTER ET GAMBLE – AMIENS

GOODYEAR – AMIENS

JEAGER – AMIENS

BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)

C.P.A.M.

CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY

CREDIT AGRICOLE CORBIE RUCHE ENTREPOT

CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CHAMBRE SYNDICALEBANQUE LENOIR ET BERNARD

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²

C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE

TELECOMMUNICATION ABBEVILLE

D.R.T. PERONNEECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²) ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²

CARON LENEL – FRIVILLECLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOIMATERNELLE DE FLESSELLES

CLINIQUE BON SECOURS

SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²

CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle

C.C.I – AMIENS – bureaux

D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux

CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux

ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux

SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes

ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)

CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)

MAISON DE RETRAITE – CAGNYECOLE B – (1341 m²) AMIENS

FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

MATERNELLE DE FLESSELLES

CLINIQUE BON SECOURS

SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²

CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS

PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle

C.C.I – AMIENS – bureaux

D.O.T.R.N. – AMIENS – bureauxCREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux

CHAMBRE DE COMMERCE – RUE VINCENT AURIOL – AMIENS

NOUVELLES GALERIES

F.R.3CREDIT AGRICOLE CORBIE

RUCHE ENTREPOTSALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²

TELECOMMUNICATION ABBEVILLED.R.T. PERONNE

AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS

PREECTURE (sal le informatique)

MONSIEUR MATIFAT – ALBERTHONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)

PROCTER GAMBLE

PHARMYGIENE (1800M²)

ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²

SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS

SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M² B.N.P. HALL D’AMIENS

D.R.T. AMIENS

D.R.T. SOISSONS

D.R.T. ABBEVILLE

E.D.F.G.D.F. CANTINE

CANTINE ST OUENST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLEPROCTER ET GAMBLE – AMIENS

GOODYEAR – AMIENS

CARBONNE LORRAINE – AMIENS

JEAGER – AMIENS

BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)CHAPELLE CAGNY

ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôleFRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILECLINIQUE BON SECOURS

Page 97: MENTION & CIE

A.P.A.J.H.

A.D.A.P.E. I .

A.F.T.A.M.

A.T.S.

LOGISTIQUE

CAISSE D’EPARGNEDE PICARDIE

CREDIT DU NORD

EISMAN

FRAIKIN

GROUPAMA

MIKO / MORY

SIEGE DE L’OPH D’AMIENS

SIEGE DE L’OPSOM

BOWLING D’AMIENS

BSD

SNCF

INDUSTRIE

AJINOMOTO

AROMEX

COURRIER PICARD

DUNLOP

EREA

FLORENSUC

GELAGRO

GOODYEAR

HUTCHINSON

LES CANARDS

DU VAL DE LUCE

RIGOLLE PERE

ET FILS

VALEO

WHIRPOOL

COLAS

UNITHER

97

DIRECTION GENERALE DES IMPOTS – AMIENS

RESTAURANT ADMINISTRATIF – AMIENS

P.T.T. RECETTE PRINCIPALE D’AMIENS

P.T.T. RESTAURANT CENTRE TELECOMMUNICATION – AMIENS

PORCHER – WOINCOURT

CLINIQUE BON SECOURS

SOPEM – MOREUIL

CLINIQUE ST FUSCIENFAVI – HALLENCOURT

CLINIQUE DU MAILBENOIT – AMIENS

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUX

TISSAGE DE PICARDIE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE MARIE MARTHE – AMIENS

DEFACQUES – AMIENS

MAISON DE RETRAITE LA NEUVILLE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE STE FAMILLE – CAGNY

LANDRY PLASTIQUES NORD – Z. I . AMIENS

BREILLY – MOREUIL

BANQUE DE FRANCE – AMIENSBANQUE DUPONT – AMIENSCAISSE D’EPARGNE – AMIENS

CREDIT LYONNAIS – AMIENS

CRCA – MOREUIL

CRCA – VILLERS BRETONNEUX

CRCA – ABBEVILLE

CRCA – FRIVILLE ESCARBOTIN

CRCA – PERONNE

CRCA – CHAULNES

CRCA – CRECY

CRCA – DOMART

CRCA – NESLE CRCA – DOULLENS

BNP – PERONNESOCIETE GENERALE – AMIENS

NOVA AMIENS

ROND POINT COOP – CUCQ (62)

NOVA ACHICOURT

TENNIS AVON RANTIGNY

COMPLEXE SPORTIF ALEXANDRE DUMAS – AMIENS

ROND POINT COOP – ABBEVILLE (80)

INTERMARCHE LONGEAU UNA FRIVILLE

COOP FRIVILLE

CENTRE LECLERCQ SALOUEL

COOP ROYE

ATELIERS MUNICIPAUX – AMIENS

NOVA MONTDIDIER

CETA GARAGE VILLE D’AMIENS

MAMMOUTH DURY

MAMMOUTH MERSMAMMOUTH ARRAS

MOBLI SALOUEL

GARAGE HUBAULT (SAAB) – AMIENS

GROUPE 306 LOGEMENTS HLM VICTORINE AUTIER – AMIENS

F.R.3C.P.A.M.

CHAPELLE CAGNY

CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY

CREDIT AGRICOLE CORBIE RUCHE ENTREPOT

CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CHAMBRE SYNDICALEBANQUE LENOIR ET BERNARD

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²

C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE

TELECOMMUNICATION ABBEVILLE

D.R.T. PERONNE

AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS

PREECTURE (sal le informatique)

MONSIEUR MATIFAT – ALBERT

D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME

D.R.T. ABBEVILLE (250m²)

COURRIER PICARD – AMIENS

D.R.T. SOISSONS (380 m²)HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

EUROLYSINE

ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)

PROCTER GAMBLE

ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)

PHARMYGIENE (1800M²)ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²

SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS

SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M²

B.N.P. HALL D’AMIENSD.R.T. AMIENS

D.R.T. SOISSONS

D.R.T. ABBEVILLE

E.D.F.G.D.F. CANTINE CANTINE ST OUEN

F.P.A.

ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²

C.F.A. – AMIENS

LES RESIDENCES DU PARC DELPECH

C.E.S. – CORBIE

29 PAVILLONS ST VALERY SUR SOMMEL.E.P. – CORBIE

GOUPE 55 LOGEMENTS – AMIENS

LYCEE NORD – AMIENS

GROUPE 37 LOGEMENTS – AMIENS

ECOLE MATERNELLE MODIGLIANI – AMIENS

LYCEE TECHNIQUE D’ETAT – AMIENS

CITE SCOLAIRE – AMIENSC.E.S. SAGEBIEN – AMIENS

PENSIONNAT STE FAMILLE – BETHUNE

NOTRE DAME DU BON CONSEIL

PENSIONNAT STE FAMILLE – LUMBRES

TENNIS – AMIENS

C.E.S VILLERS BOCAGE – AMIENS

PENSIONNAT STE FAMILLE – ALBERT

GYMNASE JEAN MARC LAURENT

C.E.S DOULLENS

CLINIQUE DE BUTLER

GROUPE 680 LOGEMENTS – LE PIGEONNIER AMIENS

GROUPE 680 LOGEMENTS FLESSELLES – AMIENS

GROUPE 386 LOGEMENTS SEMCA ILOT EC – AMIENS

GROUPE 120 LOGEMENTS RAPATRIES – AMIENS

NUTRIAL BANANIA – FAVEROLLES

DECAYEUX ET LOISON – SAUCOURT

PLASTIBAT – ROYE

CARON LENEL – FRIVILLE

CALIBRACIER – CORBIEFEREMBAL – ROYE

DERENNE – MONTDIDIER

PHILIPS – CEMA AMIENSCREPIN PETIT – BERNAVILLEALCATEL CIT

DELSEY – MONTIDIER

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE

KEMO – AMIENS

CITE SCOLAIRE (SUD) – AMIENS

ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER

L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS DELESTREZ – AMIENS

CLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS

PROCTER ET GAMBLE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS

GOODYEAR – AMIENS

DUNLOP – AMIENSVALEO – AMIENSEUROLYSINE – AMIENS

CARBONNE LORRAINE – AMIENS

COLAS – AMIENS

JEAGER – AMIENSBUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)

B.P. TRUCKSTOP A ROYE

CENTRAL TELEPHONIQUE WOINCOURT

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOIMATERNELLE DE FLESSELLES

CLINIQUE BON SECOURS

SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²

CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle

C.C.I – AMIENS – bureaux

D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux

CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux

SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes

ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)

CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)MAISON DE RETRAITE – CAGNY

ECOLE B – (1341 m²) AMIENS

FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE

PORCHER – WOINCOURT

CLINIQUE BON SECOURS

SOPEM – MOREUIL

CLINIQUE ST FUSCIENFAVI – HALLENCOURT

CLINIQUE DU MAILBENOIT – AMIENS

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUX

TISSAGE DE PICARDIE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE MARIE MARTHE – AMIENS

DEFACQUES – AMIENS

MAISON DE RETRAITE LA NEUVILLE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE STE FAMILLE – CAGNY

LANDRY PLASTIQUES NORD – Z. I . AMIENS

BREILLY – MOREUIL

BANQUE DE FRANCE – AMIENSBANQUE DUPONT – AMIENSCAISSE D’EPARGNE – AMIENS

F.R.3C.P.A.M.

CHAPELLE CAGNY

CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY

CREDIT AGRICOLE CORBIE RUCHE ENTREPOT

CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CHAMBRE SYNDICALEBANQUE LENOIR ET BERNARD

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²

C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE

TELECOMMUNICATION ABBEVILLE

D.R.T. PERONNE

AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS

AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS

PREECTURE (sal le informatique)

MONSIEUR MATIFAT – ALBERT

D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME

D.R.T. ABBEVILLE (250m²)

COURRIER PICARD – AMIENS

D.R.T. SOISSONS (380 m²)HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

EUROLYSINE

ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)

PROCTER GAMBLE

ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)

PHARMYGIENE (1800M²)ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²

SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS

SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M²

B.N.P. HALL D’AMIENS

D.R.T. AMIENS

D.R.T. SOISSONS

D.R.T. ABBEVILLE

E.D.F.G.D.F. CANTINE CANTINE ST OUEN

ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²

NUTRIAL BANANIA – FAVEROLLES

DECAYEUX ET LOISON – SAUCOURT

PLASTIBAT – ROYE

CARON LENEL – FRIVILLE

CALIBRACIER – CORBIEFEREMBAL – ROYE

PHILIPS – CEMA AMIENS

CREPIN PETIT – BERNAVILLE

ALCATEL CIT

DELSEY – MONTIDIER

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE

KEMO – AMIENS

CITE SCOLAIRE (SUD) – AMIENS

ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER

L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS DELESTREZ – AMIENS

CLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS

PROCTER ET GAMBLE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS

GOODYEAR – AMIENS

DUNLOP – AMIENSVALEO – AMIENSEUROLYSINE – AMIENS

CARBONNE LORRAINE – AMIENS

COLAS – AMIENS

JEAGER – AMIENSBUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOIMATERNELLE DE FLESSELLES

MATERNELLE DE FLESSELLES

MATERNELLE DE FLESSELLES

CLINIQUE BON SECOURS

SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²

CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle

C.C.I – AMIENS – bureaux

D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux

CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux

ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux

SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes

ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)

CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)

MAISON DE RETRAITE – CAGNYECOLE B – (1341 m²) AMIENS

FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE

SOCIETE GENERALE – ABBEVILLE

CRCA – AMIENS STATION B.P. SANTERRE – AMIENSSTATION ESSO BLD DE ROUBAIX – AMIENS

PROGRAMMATEUR FLASH

RELAYAGE STATIQUE SILEX

AUTOMATE PROGRAMMABLE – MERLIN GERIN PB 400

AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 21

N.T. I . – AMIENSAUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 27

AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 47

DIRECTION DES IMPOTS – AMIENS Z. I .

AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 67

ALLOCATIONS FAMILIALES – AMIENS

AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 80

C.R.C.A.M. – AMIENS

PARKING SOUTERRAIN AMIENS MATERNITE STE THERESE

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

CONTACT 80

CONTACT 80

MATERNELLE DE FLESSELLES

CLINIQUE BON SECOURS

SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²

CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS

PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle

C.C.I – AMIENS – bureaux

D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux

CENTRE DE LIGNES A ABBEVILLE

CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux

CENTRAL DE COMPIEGNE

ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureauxSAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)

CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)

SOCIETE GENERALE – ALBERT

BANQUE DUPONT – AMIENS

B.N.P – AMIENS

C.R.C.A – MAIL ALBERT 1ER – AMIENS

CLINIQUE DE BUTLER – AMIENS

MAISON DE RETRAITE – CAGNY

MAISON DE RETRAITE – PLACE DE LA NEUVILLE – AMIENS

CHAMBRE DE COMMERCE – RUE VINCENT AURIOL – AMIENS

CHAMBRE DE COMMERCE – CROIX ROMPUE – AMIENS

SOCIETE GENERALE – AMIENS

MAPELECBANQUE LENOIR ET BERNARD

ECOLE ELBOEUF – AMIENS (1500M²)ECOLE B – (1341 m²) AMIENS

NOUVELLES GALERIES

SACRE CŒUR DE FREVENTMEDECINE DU TRAVAIL

CANAPLES – PONT REMY

MOULET – AMIENS

FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE REIMS – BERRU

FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE ST FUSCIEN

FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE

FRANCE TELECOM – BATIMENT C T 4 – EQUIPES REGIONALES AMIENS – ALBERT – ROYE

D.O.T.R.N. – BATIMENT CHALONS S/MARNE – ST QUENTIN – CAMBRAI – ARRAS – AMIENS

ECOLE ETOUVIE – AMIENS (1600 m²)

F.R.3CREDIT AGRICOLE CORBIE

RUCHE ENTREPOTSALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²

TELECOMMUNICATION ABBEVILLED.R.T. PERONNE

AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS

PREECTURE (sal le informatique)

MONSIEUR MATIFAT – ALBERT

HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)

PROCTER GAMBLE

PHARMYGIENE (1800M²)

ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²

SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS

SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M² B.N.P. HALL D’AMIENS

D.R.T. AMIENS

D.R.T. SOISSONS

D.R.T. ABBEVILLE

E.D.F.G.D.F. CANTINE

CANTINE ST OUENST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLEPROCTER ET GAMBLE – AMIENS

GOODYEAR – AMIENS

CARBONNE LORRAINE – AMIENS

JEAGER – AMIENS

BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)

BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)

CHAPELLE CAGNY

CHAPELLE STE FAMILLE A CANGY

D.R.T. ABBEVILLE (250m²)COURRIER PICARD – AMIENS

EUROLYSINE

ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS DEFACQUES – AMIENS

F.R.3C.P.A.M.

CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY

CREDIT AGRICOLE CORBIE

RUCHE ENTREPOT

CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE

HONEYWELL (NEUILLY)

CHAMBRE SYNDICALE

BANQUE LENOIR ET BERNARD

CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²

C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE

TELECOMMUNICATION ABBEVILLE

D.R.T. PERONNE

AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS

PREECTURE (sal le informatique)

MONSIEUR MATIFAT – ALBERT

D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME

D.R.T. ABBEVILLE (250m²)

COURRIER PICARD – AMIENS

D.R.T. SOISSONS (380 m²)HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

EUROLYSINE

ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)

PROCTER GAMBLEPHARMYGIENE (1800M²)ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²

SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS

SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M²

B.N.P. HALL D’AMIENSD.R.T. AMIENS

D.R.T. SOISSONS

D.R.T. ABBEVILLE

E.D.F.G.D.F. CANTINE CANTINE ST OUEN

ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE

CITE SCOLAIRE (SUD) – AMIENS

ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER

L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS

CLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS

PROCTER ET GAMBLE – AMIENS

MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS

GOODYEAR – AMIENS

EUROLYSINE – AMIENS

CARBONNE LORRAINE – AMIENS

COLAS – AMIENS

JEAGER – AMIENS

BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

CLINIQUE BON SECOURS

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

C.C.I – AMIENS – bureaux

SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes

SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)

LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux

DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

CONTACT 80

MATERNELLE DE FLESSELLESSALAISON LA FRANCAISE 1200 M²CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux

CENTRAL DE COMPIEGNE

ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux

B.N.P – AMIENSCLINIQUE DE BUTLER – AMIENS

MAISON DE RETRAITE – CAGNY

FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE REIMS – BERRU

FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE ST FUSCIEN

FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE

ECOLE ETOUVIE – AMIENS (1600 m²)

RUCHE ENTREPOT

TELECOMMUNICATION ABBEVILLE

B.N.P. HALL D’AMIENSD.R.T. AMIENS

D.R.T. SOISSONS

LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE

GOODYEAR – AMIENS

JEAGER – AMIENS

MONSIEUR MATIFAT – ALBERT

HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)

E.D.F.G.D.F. CANTINE

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