Médicaments psychiatriques, French

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  • 8/8/2019 Mdicaments psychiatriques, French

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    plonge le monde dans lenfer des droguesRapport et recommandations

    LAPSYCHIATRIE

    Publi par la Commission desCitoyens pour les Droits de lHomme

    Fonde en 1969

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    INFORMATIONS IMPORTANTESpour le lecteur

    La psychiatrie prtend tre la seule autorit enmatire de sant mentale. Les faits, cependant,dmontrent que la ralit est toute autre :1. LES TROUBLES PSYCHIATRIQUES NE SONT PAS

    DE VRAIES MALADIES. En mdecine, certains critresprcis doivent tre runis pour quun certain tatphysique soit appel maladie. Des frissons et de lafivre sont des symptmes. La malaria, la fivretyphode sont des maladies. Des examens phy-siques confirment de manire objective lexistence

    de maladies somatiques. Alors quen psychiatrie,personne na pu prouver scientifiquement lexisten-ce de la moindre maladie mentale.

    2. LES PSYCHIATRES NE TRAITENT QUE DES TROU-

    BLES MENTAUX, NON DES MALADIES RELLES.

    Alors que la mdecine somatique a lhabitude desoigner des maladies, la psychiatrie ne traite quedes troubles. Un ensemble de symptmes observschez diffrents patients est appel trouble ou syn-drome, en labsence dune origine connue. JosephGlenmullen, de lcole de mdecine de Harvard, ditconcernant la psychiatrie que tous ses diagnostics ne

    sont que des syndromes (ou troubles), des groupes desymptmes soi-disant apparents, non des maladies. LeDr Thomas Szasz, professeur mrite en psychia-trie, fait remarquer qu il nexiste pas danalyse san-guine ou autre test biologique permettant de certifier laprsence ou labsence dune maladie mentale, commecest le cas pour la plupart des maladies physiques.

    3. LA PSYCHIATRIE NA JAMAIS PU TABLIR LORIGINE

    DES TROUBLES . Dimportantes organisationspsychiatriques, tels lAssociation amricainede psychiatrie et lInstitut national amricain de lasant mentale admettent que les psychiatres igno-rent tout des causes ou des traitements des troubles

    mentaux. De mme, ils ne connaissent pas les effetsspcifiques quauront leurs traitements sur le

    patient. Ils navancent que des thories et des opi-nions divergentes dont le fondement scientifiquefait dfaut.

    Comme le dclarait un ancien prsident delAssociation mondiale de psychiatrie : Lpoque o les psychiatres pensaient pouvoirgurir les malades mentaux est rvolue. lave-nir, les malades mentaux devront apprendre vivre avec leur maladie.

    4. LA THORIE SELON LAQUELLE LES TROUBLES

    MENTAUX RSULTENT DUN DSQUILIBRE CHI-MIQUE DANS LE CERVEAU EST UNE OPINION,

    NON UN FAIT. Une des thories psychiatriquesles plus rpandues (en fait la cl pour la vente desmdicaments psychotropes) est que les troublesmentaux rsultent dun dsquilibre chimiquedans le cerveau. Comme pour dautres thories, ilny a aucune preuve biologique ni de quelqueautre nature qui puisse confirmer cette opinion.Elliot Valenstein, Ph. D., auteur de Blaming theBrain (Tout est la faute du cerveau) affirme qu [Il]nexiste aucun test disponible pour mesurer ltatchimique du cerveau dune personne vivante.

    5. LE CERVEAU NEST PAS LA VRITABLE CAUSE DES

    PROBLMES DE LA VIE. Les gens sont confronts des problmes et des bouleversements dans leurvie de tous les jours qui peuvent la longue susciterdes troubles mentaux, parfois graves. Mais, le faitde dclarer que ces troubles constituent une mala-die du cerveau quon ne peut soulager qu laidede pilules dangereuses est malhonnte, nuisible estsouvent fatal. De telles substances, souvent pluspuissantes quun narcotique, peuvent conduire laviolence et au suicide. Elles masquent la vritablecause des problmes de la vie et affaiblissentlindividu. Ainsi, la personne se trouve dans lim-

    possibilit de recouvrer sa sant et de retrouverlespoir dune vie future plus saine.

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    TABLE DES MATIRIntroduction : Un monde

    drogu et dangereux .....................

    Chapitre un : Promouvoir les

    drogues psychotropes comme mdicaments .............................

    Chapitre deux :

    Diagnostics frauduleux...................

    Chapitre trois : Le mensonge

    des troubles de lapprentissage......

    Chapitre quatre :

    De meilleures solutions ..................

    Recommandations .........................

    La Commission des Citoyens

    pour les Droits de lHomme...........

    LA PSYCHIATRIEPlonge le Monde dan

    Lenfer des Drogue

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    ue rpondriez-vous la question : Quel est peut-tre llment le plusdestructif dans la socit actuelle ? Si vous rpondez la drogue, vous par-tagez la mme proccupation que la

    majorit des gens qui vous entou-rent. Les drogues illgales, avecla violence et la criminalit qui en

    dcoulent, reprsentent une menace majeure pour lesjeunes et la socit.

    Cependant, rares sontles personnes qui recon-naissent que les droguesillgales ne formentquune fraction du pro-blme actuel. Un change-ment majeur sest oprau cours des 40 ou 50dernires annes quant notre dpendance enversun autre genre de drogue :les mdicaments psycho-

    tropes sur ordonnance.Autrefois, ces pro-dui ts ta ient rservsuniquement aux maladesmentaux. Aujourdhui, ilserait difficile de trouverquelquun un membre de la famille, un ami ou voisin qui nait jamais pris une forme ou une autre de droguepsychiatrique. En fait, ces drogues sont si intimementlies la vie de tant de gens quils ne peuvent plusconcevoir de sen passer.

    On les prescrit pour tout problmes dapprentis-sage et de comportement, incontinence nocturne,agressivit, dlinquance juvnile, criminalit et toxico-manie, tabagisme, peurs et problmes du troisimege. Du berceau la tombe, une avalanche dinforma-

    tions nous pousse vers ces bquilles chimiques.Il ne faut donc pas stonner si les statistiques

    mondiales montrent une augmentation rapide dupourcentage de gens, tous groupes dge confondus,dpendants fortement de ces drogues et les utilisantquotidiennement. Le chiffre daffaire mondial des anti-dpresseurs a dpass les 19,5 milliards de dollars(15,6 milliards deuros), uniquement pour 2002.

    Les ventes dantipsychotiques ont atteint plusde 12 milliards de dollars(9,8 milliards deuros).

    Pendant ce temps,l es cr iv ai ns R ic ha rdHughe s et Robe rtBrewin, auteurs du livreThe Tranquilizing of Ame-rica (Mettre lAmriquesous tranquil l isants) ,prviennent que si lespsychotropes semblent mousser lanxit,le chagrin et le stress, ils

    moussent aussi la vieCes pilules nendormentpas seulement la douleur,mais lesprit tout entier.

    En fait, un examena tt ent if no us r v le

    quaucun de ces mdicaments ne gurit, quils onttous des effets secondaires, parfois horribles, et queleurs proprits toxicomanognes et psychotropes lesrendent susceptibles de dtruire la vie dunepersonne.

    Notons galement que des terroristes onteffectu des lavages de cerveau sur des jeunes gensau moyen de psychotropes afin quils commettent desattentats suicides. De plus, au moins 250 000 enfantsde par le monde, certains peine gs de sept ans,

    INTRODUCTIONUn monde droguet dangereux

    I N T R O D U C T I O NU n m o n d e d r o g u e t d a n g e r e u x

    2

    La psychiatrie a fait en sorteque de plus en plus de genssoient tromps et pensent

    que la meilleure rponse auxdifficults courantes de la vie

    se trouve dans le derniermdicament la mode.

    Jan Eastgate

    Q

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    sont utiliss pour des activits terroristes etrvolutionnaires. Ils reoivent des amphtamines etdes tranquillisants leur permettant deffectuer desrazzias meurtrires des jours durant. Pourtant, cesont ces mmes substances que les psychiatresprescrivent aux enfants pour des problmesd apprentissage ou de comportement .

    Plus que jamais, il est crucial de comprendre lephnomne de la croissance exponentielle delutilisation de psychotropes dans la socit.

    Comment des millions de gens sont-ils devenusdpendants de drogues si nocives ? Pour lecomprendre, nous devons examiner ce qui sest passavant quils ne consomment ces drogues.

    Avant de devenir dpendante, chacune de cespersonnes a t convaincue que ces mdicamentslaideraient prendre sa vie en main. Les principauxoutils de vente utiliss, le Manuel diagnostique etstatistique des troubles mentaux (DSM-IV) delAssociation amricaine de psychiatrie et, en Europe,la section des troubles mentaux de la Classificationinternationale des maladies (C.I.M.) ne constituent quun

    systme de diagnostic invent. Une fois le diagnostictabli et lordonnance rdige, les propritsdestructives des mdicaments suffisent crer ladpendance.

    En imposant lemploi grande chelle de cesimulacre de diagnostics, la psychiatrie a fait en sorteque de plus en plus de gens soient tromps et pensentque la meilleure rponse aux difficults courantes de lavie se trouve dans le dernier mdicament la mode .

    Que vous soyez lgislateur, parent denfant en gescolaire, enseignant, employeur ou employ,propritaire, ou tout simplement membre de lacommunaut, il est essentiel que vous lisiez cettepublication.

    Notre dfaite dans la lutte contre la drogue est dueen grande partie au fait de navoir pas arrt les plus

    grands pourvoyeurs en drogues de la socit.Il sagit de ces psychiatres qui travaillent

    aujourdhui nous tromper et plonger notre mondedans lenfer des drogues.

    Cordialement,

    Jan EastgatePrsidente de la Commissiondes citoyens pour les droitsde lhomme internationale

    I N T R O D U C T I O NU n m o n d e d r o g u e t d a n g e r e u x

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    Les drogues psychotropes sontdevenues la panace contre les pressionset les tensions de la vie moderne. Cetteconsommation est fortement poussepar la psychiatrie dans les coles, lesmaisons pour personnes ges, lescentres de rhabilitation pourtoxicomanes et les prisons.

    Les antidpresseurs de la classe desInhibiteurs spcifiques de la recapturede la srotonine (ISRS) sontmaintenant reconnus pour crer unrisque potentiel de troublesneurologiques, incluant des ticsfaciaux qui dfigurent et des ticscorporels.1 Des dysfonctionnementssexuels ont affect 60 %des personnes les utilisant.

    Les mdicaments antipsychotiquesles plus rcents peuvent provoquer des

    arrts respiratoires, des attaques cardia-ques, du diabte et une pancratite.

    En 2002, plus de 100 millionsdordonnances ont t dlivres pourdes antidpresseurs. Au niveau mondial,le chiffre daffaire annuel de la ventedantidpresseurs a dpass 19,5 milliardsde dollars (15,6 milliards deuros) et celuides antipsychotiques a atteint 12 milliardsde dollars (9,8 milliards deuros).

    En France, malgr les trs graves effetssecondaires, une prescription sur septrembourse par les assurances,

    concerne un psychotrope et plus de50 % des chmeurs 1,8 million prennent de tels mdicaments.25

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    FAITS IMPORTANTS

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    CHAPITRE UNPromouvoir les drogues psychotropescomme mdicaments

    C H A P I T R E U NP r o m o u v o i r l e s d r o g u e s p s y c h o t r o p e s c o m m e m d i c a m e n t s

    5

    La formation des psychiatres et leur qua-lit professionnelle sont telles quilssont devenus des prescripteurs dedrogues. Ils ont oubli commentsasseoir avec leurs patients et les faire

    parler de leurs problmes. Walter Afield,psychiatre.

    Il y a cinquante ans, le mot drogue signifiaitsoit une substance prescrite de faon lgale parun mdecin afin daider traiter une maladiephysique en dautres termes, un mdicament,soit une substanceillgale qui entranela dpendance etrisque de provoqueru n c ha ng e m e n tvisible dans ltat deconscience commeles drogues de la rue , hro ne ,opium, etc.

    La plupart des

    gens savent que lesd ro gu es i l l ga le ssont lun des piresennemis de la soci-t. Ils savent quellesengendrent leur lotde crimes et un cor-tge de maux que lon observe dans nos rues,nos communauts et nos coles.

    Cependant, dans les dernires dcennies,de nouvelles sortes de drogues ont envahi lasocit. Elles font maintenant partie de la vie tel point, que nombre de gens envisageraient avecpeine de se passer delles, ne serait-ce quun jour.

    Les psychotropes sont devenus la panacecontre les pressions et les tensions de la vie

    moderne. coles, foyers pour personnes ges,centres de rhabilitation pour toxicomanes etprisons les utilisent largement. On compte surles psychotropes pour aider tout propos,au contrle du poids, aux difficults crire et compter, au manque de confiance en soi, lanxit, aux troubles du sommeil jusquauxpetites contrarits quotidiennes.

    Dordinaire, les mdicaments traitent, pr-viennent ou gurissent la maladie ou amliorentla sant. Les drogues psychiatriques ne font au

    mieux que gommerles symptmes symptmes qui rap-paraissent ds que lasubstance cesse dagir.To u t c o m m e l e sdrogues illicites, ellesnoffrent rien de plusquune chappatoiretemporaire aux pro-blmes de lexistence.

    Les drogues psy-chotropes engendrentgalement des habi-tudes et la dpendan-ce. Le sevrage de cesproduits peut se rv-ler bien plus difficile

    que pour les drogues illgales. Drogues psycho-tropes et drogues illgales prsentent une gran-de similitude. La preuve la plus vidente estque la dpendance aux unes comme aux autresconstitue maintenant le problme n 1 dans denombreux pays travers le monde.

    De nos jours, de telles drogues, nuisibles etsources de problmes, sont largement tolresdans la socit.

    Dordinaire, les mdicaments traitent,prviennent ou gurissent la maladieou amliorent la sant. Les droguespsychiatriques ne font au mieux que

    gommer les symptmes symptmesqui rapparaissent ds que la substance

    cesse dagir. Tout comme les droguesillicites, elles noffrent rien deplus quune chappatoire temporaire

    aux problmes de lexistence.

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    Lvolution des drogues psychotropes na tquune suite de nouvelles dcouvertes prtendu-ment miraculeuses qui, finalement, se sontavres nuisibles, voire mortelles.

    Dbut des annes 1900 :Introduction des barbituriques, drogues sdatives et

    hypnotiques, dans le but de contrler le comportement dupatient. En 1978, le Bureau des Narcotiques et des DroguesDangereuses des tats-Unis a propos de limiter lusage desbarbituriques car ils taient plus dangereux que lhrone .

    Annes 1930 :On a promu les amphtamines, utilises comme anti-

    dpresseurs, du fait quelles ne produisent pas de ractionsgraves . Toutefois, des casde dpendance et de psy-chose aux amphtamines ont presque immdiate-ment t rapports, maislinformation a t cacheaux consommateurs.

    1943 :Le LSD, dvelopp au

    dpart comme stimulantcirculatoire et respiratoire,rentre dans les rangs de lapsychiatrie dans les annes1950 en tant que traite-ment . Il devait remdier tout, de la schizophrnieau comportement crimi-nel , aux per ver si ons

    sexuelles et lalcoolisme.Les faits occults relatifs

    ses effets comprennent panique, hallucinations, confusion,dpersonnalisation et tares congnitales.

    Annes 1950 :Lecstasy, dveloppe lorigine en Allemagne en

    1914 comme coupe-faim, dailleurs sans succs, a tutilise comme complment dune psychothrapie.

    Aujourdhui, cest lune des drogues illgales, ou derue les plus dangereuses.

    Annes 1950 :Dans un laboratoire de Paris occup par les Nazis en

    1942, des chercheurs ont dcouvert une phnothiazine(substance cristalline jauntre utilise pour les teintures etles insecticides) qui dprimait le systme nerveux central.Dans les annes 50, la drogue a t commercialise sousdivers noms, notamment chlorpromazine, Largactil etThorazine. Ce nest qu partir de 1972 que les patientsont t avertis des effets paralysants des drogues, com-prenant des dommages irrversibles au systme nerveuxet une raction toxique fatale qui a tu des personnes dontle nombre est estim 100 000 aux tats-Unis. Les statis-tiques des dcs dans dautres pays ne sont pas connues.

    1957 :

    Les inhibiteurs de la monoamine oxidase (IMAOs),conus au dpart pour traiter la tuberculose, ont t reti-rs du march car ils gnraient des hpatites.Nanmoins, ils ont t utiliss comme antidpresseurs.Certains aliments et boissons (fromage, vin et cafine) secombinent ractivement avec ces substances pour pro-duire des modifications de la pression sanguine suscep-tibles de mettre la vie en danger. En 1958, les antidpres-

    DROGUES PSYCHIATRIQUESHistoire dune trahison

    Amphtamine

    1 130 000 000 $

    10 900 000 000 $

    Vente dantidpresseursaux tats-Unis

    Vente dantipsychotiquesaux tats-Unis

    8 100 000 000 $

    600 000 000 $

    1990 2003 1991 2003

    $9

    $8

    $7

    $6

    $5

    $4

    $3

    $2

    $1

    $0

    Milliardsdedollars

    AUGMENTATION DE LA VENTE DES DROGUES : Utilises uniquement pour traiter mais jamais pour gurir la vente des drogues psychiatriques continue de grimper.

    $12

    $10

    $8

    $6

    $4

    $2

    $0

    Milliardsdedollars

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    seurs tricycliques retards ont t dvelopps comme alter-native, mais ils provoquaient sdation, somnolence, diffi-cults penser, migraines et prise de poids.

    Annes 1960 :

    Les tranquillisants mineurs ou benzodiazpines devien-nent connus sous le nom de petite aide pour mamans en raison du nombre de femmes qui on les prescrivait. Onavait cach au public quils pouvaient crer une dpendanceaprs seulement quelques semaines dutilisation.

    Annes 1960 : lorigine, on utilisait la Ritaline (mthylphenidate) pour

    sortir un patient dun coma barbiturique. Ce stimulant simi-laire la cocane a t ensuite utilis pour traiter les pro-blmes de comportement des enfants et l hyperactivit .En 1971, la Ritaline et dautres stimulants ont t classs dansla mme catgorie que la morphine, la cocane et lopium.

    Annes 1980-1990 :Les antidpresseurs inhibiteurs spcifiques de la recap-

    ture de la srotonine (ISRS) ont t lancs commercialementcomme une bombe mdicale pratiquement sans effetsecondaire. Quatorze ans plus tard, le public est enfin avertique des dsordres neurologiques, incluant des tics faciauxdfigurant et des tics corporels (indiquant un dommagecrbral possible), comptaient parmi leurs effets potentiels etque ces drogues induisent un comportement suicidaire et

    violent.

    Annes 1990 :On salue comme traitements rvolutionnaires les

    (nouveaux) neuroleptiques atypiques ou les antipsy-chotiques, contre la schizophrnie , alors que destudes effectues dans les annes 60 indiquaient dj unlien entre lune de ces substances et des arrts respiratoireset des attaques cardiaques. Aujourdhui, des cas de diab-te et de pancratite dus ces mdicaments font leur appa-rition.

    Aujourdhui :Des tranquillisants mineurs sont prescrits au moins

    17 millions de personnes dans le monde. Lauteur BeverlyEakman rapporte que les pays europens de louest fontface une pidmie de prescriptions de tranquillisants oudantidpresseurs.

    3 En Espagne, au cours des annes1990, la consommation dantidpresseurs a augment de247 %. La vente des antidpresseurs a t multiplie par troiset celle des anxiolytiques par quatre depuis lanne 2000.4 En2004, en Grande-Bretagne, des scientifiques ont dcouvertque la consommation dun des ISRS tait telle quon enretrouvait des traces dans leau potable du pays. Les produitspharmaceutiques sont vhiculs dans le rseau des gouts etfinissent recycls dans le systme deau potable. Daprs lesdclarations dun porte-parole de lenvironnement, NormanBaker, membre du parlement au Royaume-Uni : Cela res-semble une mdication massive linsu dun public quine se doute de rien et cela pose une question de sant

    publique trs inquitante. 5

    Ce nest pas une concidence si le monde actuel souffrednormes problmes sociaux denvergure internationale,y compris lescalade dabus de drogue et de violence.

    VENTE DE PRODUITS NUISIBLESPOUR LE PROFIT :La publicit ngative l encontre des mdicaments psychiatriquesa toujours t contre, dans les revues mdicales, par des articles et

    des annonces exagrant les bienfaits de ces mdicaments et ignorantde manire flagrante leurs nombreux risques. Dans le cas des mdicamentsantipsychotiques, ces risques incluent des symptmes parkinsoniens,des dommages irrversibles au systme nerveux et mme la mort.

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    Les psychiatres ont qualifide troubles les problmesde comportement et dducation,dans le but dobtenir desremboursements par lesassurances. Cest littralement parvote qui ls dcident quel troubledoit figurer dans leur Manueldiagnostique et statistiquepour troubles mentaux (DSM).

    En avril 2003 dans un articledu Psychiatric Times intitul, Dump the DSM (Laisseztomber le DSM), le psychiatrePaul Genova dit que le systmede diagnostic qui gouvernela pratique psychiatrique estun objet de rise pour les

    autres spcialits mdicales.

    Bruce Levine, Ph. D., auteur deCommonsense Rebellion (Larbellion du bon sens) dclare : [] aucun marqueurbiochimique, neurologiqueou gntique na t trouv pourle trouble du dficit dattention,le trouble dopposition avecprovocation, la dpression, laschizophrnie, lanxit, labuscompulsif de drogues et dalcool,la boulimie, le jeu pathologique,

    ou tout autre prtendue maladiementale, affection ou trouble.

    6

    Le psychiatre Douglas Mar dit : Ces revendications nont pasde base scientifique [utiliser desscanners du cerveau pour lesdiagnostics psychiatriques].

    7

    Le Docteur Sydney Walker III,neurologue, psychiatre et auteurdeA Dose of Sanity(Une dosede bon sens), dit que le DSMa abouti au fait de droguer desmillions de gens inutilement 8

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    FAITS IMPORTANTS

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    Il va de soi quun mdecin, avant de prescri-re un mdicament, se base sur un diagnos-tic reconnu. Ce diagnostic constitue unesorte de standard auquel se rfrer pouragir. Il est tabli partir de symptmes lgi-

    times et dfinis. Or, cela ne se passe pas commea en psychiatrie.

    Joseph Glenmullen de lcole de mdecine deHarvard explique : En mdecine, il existe un critrestrict pour attribuer le nom de maladie un tat. Enplus dun ensemble prvisible de symptmes, on doittablir leur cause ou avoirune certaine comprhen-sion de leur physiologie[fonction]. Cette connais-sance lve le diagnosticau statut de maladiereconnue. Par exemple, lafivre nest pas unemaladie, cest seulementun symptme. En labsen-ce dune cause physiolo-

    gique [fonction] connue,un ensemble de symp-tmes que lon voit serpter chez diffrentspatients est nomm syndrome, et non maladie. Enpsychiatrie, nous navons toujours pas la moindrepreuve pour tablir la cause physiologique dun quel-conque diagnostic psychiatrique Les diagnosticssont appels troubles parce quaucun dentre eux necorrespond des maladies. 10

    Lavnement de la sixime dition de laClassification internationales des maladies (CIM), delOrganisation Mondiale pour la Sant en 1948 qui,pour la premire fois, incluait les troubles psychia-triques (en tant que maladies), et la publication duManuel Diagnostique et Statistique des Troubles

    Mentaux (DSM) de lAssociation amricaine de psy-chiatrie (APA), aux tats-Unis en 1952, ont fourniun systme apparent de diagnostic.

    Ldition de 1952 du DSM contient une liste de112 troubles mentaux. En 1980, la troisime dition,DSM-III, tablissait une liste supplmentaire de112 troubles, aboutissant un total de 224. Dans lasection Petite enfance, Enfance et Adolescence ,32 nouveaux troubles mentaux ont t ajouts dontle trouble du dficit dattention, le trouble de laconduite, le trouble du dveloppement de la lecture,

    le trouble du dveloppe-ment arithmtique et letrouble du dveloppe-ment du langage. En1994, le nombre detroubles mentaux figu-rant dans le DSM-IVtotalisait 374.

    Malgr toutes sesprtentions techniques,le DSM na jamais obte-

    nu la moindre cautionscientifique de la partde groupes profession-nels, si ce nest des psy-

    chiatres eux-mmes.La raison en est trs simple. dans le DSM-II il est dit : Malgr ses tentatives,

    le Comit de l[APA] na pas pu saccorder sur ce questce trouble [ la schizophrnie ]; il a juste pu saccorder surla faon de le nommer. Le Professeur mrite de psy-chiatrie, Thomas Szasz affirme que la schizophrnie est dfinie de faon tellement vague quen ralit, leterme est souvent appliqu presque nimporte quellesorte de comportement que lon dsapprouve.

    Les psychiatres eux-mmes le soulignentdans lintroduction du DSM-III : Pour la plupart

    CHAPITRE DEUXDiagnosticsfrauduleux

    Le DSMest non seulementune escroquerie mais de plus

    ses auteurs sont arrogants. []Prtendre que cela a une

    valeur scientifique est nuisible

    la socit. Ron Leifer, psychiatre New York

    C H A P I T R E D E U XD i a g n o s t i c s f r a u d u l e u x

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    des troubles rpertoris dans le DSM-III...ltiologie [la cause] est inconnue. Diffrentes thoriesont t avances, tayes par des vidences pas toujoursassez convaincantes pour expliquer comment cestroubles apparaissent.

    En tant que psychiatre, Matthew Dumontcommente : Ils disent : [ ] bien que ce manuelfournisse une classification des troubles mentauxaucune dfinition ne spcifie de faon adquate leslimites prcises du concept... Alors, ils fournissentune dfinition du trouble mental de 125 mots, suppo-

    se rsoudre tous leslitiges relatifs ceproblme difficile questla limite entre la finde la dviance et le

    dbut du dysfonction-nement. a ne marchepas. 11

    En dautres termes,alors que des per-sonnes souffrent deperturbations men-tales, il ny a aucunepreuve de lexisten-ce de lune desquelconques ma-ladies mentales dela psychiatrie ; ellesexistent parce quela psychiatrie ditquelles existent.

    Alors, commentun trouble appa-rat-il dans le DSM ?Par un processusconsensuel qui con-siste en un simplevote main levedes experts laquestion cl tant : Pensez-vous quilsagisse dun trouble,

    oui ou non ? Cettefaon de procdernon scientifique asuggr au psychiatreAl Parides dappeler

    le DSM une pice matresse de manuvre poli-tique . Il a galement observ que ce quils [lespsychiatres] ont fait est de mdicaliser de nombreuxproblmes qui nont pas de causes biologiques dmon-trables.

    Certes, des gens prouvent des difficultsmentales graves et ont besoin daide. Cependant,les professeurs Herb Kutchins et Stuart A. Kirk,auteurs de Making Us Crazy (Nous rendre fous),prviennent : Le public dans son ensemble peut setrouver faussement confort par les donnes dun

    C H A P I T R E D E U XD i a g n o s t i c s f r a u d u l e u x

    10

    Fondation du NIMH,

    1949.

    Adoption de lacte sur les centressociaux de sant mentale, 1963.

    DSM 1952,112 troubles mentaux.

    DSM-II 1968,163 troubles mentaux.

    DSM-III 1980,224 troubles mentaux.

    1990, Le NIMH lancela dcennie du cerveau .

    DSM-III-R 1987,253 troubles mentaux.

    AUJOURDHUI, de nouveaux troublescontinuent tre invents et ajouts la liste.

    FinancementduNIMH(NationalInstituteforMentalHealth)endollars.

    1963

    1968

    1980

    1987

    1990

    1994

    2004

    1952

    1949

    200

    400

    300

    La tactique de la psychiatrie pour obtenir des crditsINVENTER PLUS DE MALADIES MENTALES

    DSM-IV 1994,374 troubles mentaux.

  • 8/8/2019 Mdicaments psychiatriques, French

    13/28

    manuel de diagnostic psychiatrique qui laisse croire enlillusion quune tiquette psychiatrique peut expliquerla rudesse, la brutalit et la douleur dans leur vie etdans leur environnement et quune pilule va les limi-ner. Nous avons certainement tous dinnombrables

    problmes et une multitude de manires particuliresde lutter... pour y faire face. Mais nest-ce pas ainsiqu'est la vie ? Bien trop souvent, la bible psychiatriquenous a dclars fous alors que nous sommes simple-ment humains. 12

    Pseudo-scienceEn 2001, des experts en sant mentale ont par-

    ticip un sondage international en Angleterre.Un vote sur le DSM-IVla reconnu comme lune desdix pires publications psychiatriques du millnaire.Les critiques portaient sur le fait que cet ouvragerduit la psychiatrie une liste de contrle : Sivous ntes pas dans le DSM-IV, vous ntes pasmalade. Cest devenu un monstre incontrlable .13

    En avril 2003, dans un article du PsychiatricTimes intitul, Dump the DSM (Laissez tom-ber le DSM), le psychiatre Paul Genova dit que lesystme de diagnostic qui gouverne la pratiquepsychiatrique est une source de plaisanteries pourles autres spcialits mdicales.

    Edward Shorter, auteur de A History ofPsychiatry Une histoire de la psychiatrie dclare : Au lieu dapparatre la pointe du progrs scienti-fique, la psychiatrie faon DSM-IV semble plutt sen-foncer dans le dsert.

    Un article de juillet 2001 paru dans le

    Washington Post, notait que, dordinaire, de nou-veaux mdicaments sont fabriqus pour destroubles existants. Dans le cas de la psychiatrie,lastuce est de : chercher de nouveaux troublespour des drogues existantes . Le Docteur SydneyWalker III, neurologue, psychiatre et auteur de ADose of Sanity (Une dose de bon sens), dit que leDSM a abouti au fait de droguer des millions de gensinutilement 14

    Carl Elliot, un biothicien de lUniversitdu Minnesota, commente : Le bon moyen devendre des mdicaments est de vendre la maladiepsychiatrique. 15

    Le DSM offre la psychiatrie une liste croissan-te de troubles mentaux supposs, pour chacun des-quels un psychotrope peut tre prescrit lgalement.

    DROGUES PSYCHIATRIQUELe mensonge du dsquilibre chimiqu

    D es mdecins rputs admettent, que pour quune malapuisse tre diagnostique et traite avec prcision, une amalie physique tangible et objective doit pourvoir tre dle grce des analyses telles que sang, urine, rayonscanner du cerveau ou biopsie, sans y tre limites. De nobreux professionnels de la mdecine dclarent, contrairement aux asserti

    de la psychiatrie, quil nexiste aucune preuve scientifique mme de prou

    que les troubles mentaux sont des maladies du cerveau ou qu

    dsquilibre chimique dans le cerveau en est responsable.

    Dans son livre de 1998 Blaming the Brain (Tout est de la faute du

    veau), le biopsychologue Elliot S. Valenstein crit : Contrairement ce

    a t revendiqu, aucun signe biochimique, anatomique ou fonction

    na jamais permis de distinguer de faon sre, les cerveaux de mala

    mentaux. Il affirme galement que cette thorie est entretenue pa

    quelle est pratique pour promouvoir les traitements mdicamenteux

    En 2001, Ty C. Colbert, Ph. D. auteur de Rape of the Soul (Viol de lComment le Modle de Dsquilibre Chimique de la Psychiatrie Modern

    manqu pour les patients, dit : Nous savons que le modle de dsquil

    chimique pour la maladie mentale na jamais t prouv de faon scie

    fique. 17

    En 2003, le psychologue australien Philip Owen met en garde : Onclare sans cesse que les drogues rparent les dsquilibres chimiques dan

    cerveau. Cest faux. Il nest toujours pas possible de mesurer les niveaux ex

    des neurotransmetteurs dans des synapses spcifiques [un endroit o lpulsion dun nerf passe dune cellule nerveuse une autre]. Alors, comm

    est-il possible de faire des dclarations au sujet des dsquilibres chimique

    PSEUDO THORIE DU CERVEAU :

    Dinnombrables illustrations du cerveauont t prsentes dans des magazines

    populaires. Il a t dissqu, tiquetet analys. Pendant ce temps, on vantait

    auprs du public la dernire thorie sur sondysfonctionnement. Ce qui manque,comme pour toutes les thories

    psychiatriques, ce sont les faitsscientifiques. Le Dr ElliotValenstein ( droite)

    laffirme : Il ny apas de test dispo-

    nible pour mesurerltat chimique

    du cerveau dunepersonne vivante.

    Il ny a pas de dsquilibre biologique. Lorsque les gens viennenme voir et me disent : Jai un dsquilibre biochimique, je leurrponds : Montrez-moi vos rsultats de laboratoire. Il ny a

    pas de rsultats de laboratoire. Dr Ron Leifer, psychiatre New York

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    Il nexiste aucun critre scientifique

    objectif confirmant lexistencemdicale du Trouble dhyperactivitavec dficit de lattention (THADA).

    Le docteur Louria Shulamit,mdecin de famille en Isral, dit: Le THADA est un syndrome,pas une maladie. Les symptmes[] sont tellement communs quenous pouvons en conclure quetous les enfants [] correspondent ce diagnostic. 18

    En 1987, des membres de

    lAssociation amricaine depsychiatrie ont vot, au sens littraldu terme, pour dterminer si leTHADA tait une vraie maladie. Puis,ils lont inclue dans le DSM. En uneanne, ce trouble a t diagnostiquchez 500 000 enfants amricains.Aujourdhui, le chiffre alarmant de 6millions denfants faussementtiquets a t atteint. 19

    Lhyperactivit nest pas unemaladie, a crit le psychiatreSydney Walker III. Cest unesupercherie perptre pardes mdecins qui nont pasla moindre ide de ce qui neva rellement pas chez cesenfants.

    LAdministration Amricainepour le Contrle des Drogues (DEA)dit que le stimulant principal utilispour traiter le THADA pouvaitconduire la dpendance et que des pisodes psychotiques, uncomportement violent et des

    manires bizarres encas de consommation avaientt rapports.20

    2

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    3

    FAITS IMPORTANTS

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    C H A P I T R E T R O I SL e m e n s o n g e d e s t r o u b l e s d e l a p p r e n t i s s a g e

    13

    Dans le monde daujourdhui, peu defamilles ou denseignants ont chapp un certain chamboulement dans leurvie, d aux consquences dune pres-cription massive de drogues qui altrent

    la conscience des enfants.Souvent, un conseiller stait tenu prt rpondre

    aux proccupations des parents des millions de jeunesdans le monde actuellement sous lemprise de cesdrogues. Ces proccupations portent sur les troubles men-taux de leurs enfants nces-sitant des mdicaments.Habituellement psychiatreou psychologue, il leuravait expliqu que leure nf ant s ou ff ra it d u ntrouble affectant sa capacit apprendre commun-ment appel trouble delapprentissage . On lap-pelle parfois Trouble dudficit dattention , ou,

    plus communment au-jourdhui, Trouble dhy-peractivit avec dficit delattention (THADA). EnSude, il est connu commeDAMP (Trouble de latten-tion, du contrle moteur et de la perception), bien que celasoit maintenant largement mis en doute.

    On a certainement dit aux parents quil sagissaitde phnomnes mdicaux bien connus qui exigeaientla prescription dune mdication prendre sans cesse.Ces parents, qui souhaitaient le meilleur pour leurenfant et qui avaient confiance en leur conseiller, ontadmis que le traitement mdicamenteux tait la meil-leure solution disponible. Cependant, comme nombredentre eux lont appris leurs dpens, rien nest pireque de faire taire ses convictions personnelles et de

    cder la propagande psychiatrique.Quels sont les faits ?Prescrire des drogues qui altrent la conscience

    en raison de pseudo-troubles du comportement et dap-prentissage comporte de nombreux risques. En voiciquelques exemples :

    En 1995, lAdministration Amricaine pour leContrle des Drogues (DEA) a dit que le stimulantprincipal utilis pour traiter le THADA pouvaitconduire la dpendance et que des pisodes

    psychotiques, un com-portement violent et desmanires bizarres en casde consommation avaientt rapports.21

    Une tude raliseen 2001 par le Journal delAssociation mdicale amri-caine a relev que ce stimu-lant tait plus puissant quela cocane.22

    Les enfants et les

    adolescents qui vendentdes drogues la rcra-tion le connaissent sousle nom de Vitamine R ou R-ball ou de co-cane du pauvre . Aprs

    broyage, ce stimulant, se sniffe ou sinjecte. Le suicide est une des complications majeures du

    sevrage de ce stimulant et dautres drogues similaires. 23

    Des tudes ont montr que les enfants qui lona prescrit des psychotropes du type amphtamine ouautre, ne russissent pas mieux en classe.24 En fait, lesenfants qui consomment ces drogues manquent autantles cours et abandonnent lcole aussi souvent que ceuxqui nen prennent pas.

    Les psychiatres argumentent de faon trompeuse,que le THADA exige une mdication , tout comme le

    CHAPITRE TROISLe mensonge des troublesde lapprentissage

    Ces drogues rendent les enfants plusfacilement contrlables, mais pas

    ncessairement meilleurs. Le THADAest un phnomne, non pas une maladiedu cerveau. tant donn que le THADA

    est un diagnostic trompeur, cela na aucuneimportance si une drogue marche. On forceles enfants prendre une drogue qui est plus

    puissante que la cocane pour une maladie dontlexistence reste encore prouver. Beverly Eakman, prsidente du Consortium

    de lducation nationale, 2004

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    diabte exige un traitement linsuline. Sur ce point, leDocteur Mary Ann Block, auteur de No more ADHD (Fini leTHADA) est catgorique : Laissez-moi bien clarifier cela toutde suite. Le THADA nest pas comme le diabte, et la Ritalinenest pas comme linsuline. Le diabte est une vritable condition

    mdicale que lon peut diagnostiquer de faon objective. LeTHADA est un label invent, sans aucun moyen objectif et vali-de didentification. Linsuline est une hormone naturelle produite

    par le corps, essentielle pour la vie. La Ritaline est un drivchimique de drogue similaire aux amphtamines qui nest pasncessaire la vie. Le diabte est d une carence en insuline.Les problmes dattention et de comportement ne sont pas dus une carence en Ritaline.

    Selon le psychologue clinicien Ty C. Colbert,lorsque les comportements sont considrs comme des

    pathologies, les docteurs vont prescrire des drogues sous prtextede r-quilibrer un dsquilibre chimique. Mais, comme il nya pas de dsquilibre, les drogues ne font que restreindre chimi-quement les aptitudes du cerveau. La Ritaline, dit-il, restreintlafflux de sang vers le cerveau. La circulation sanguineapporte la source dnergie ncessaire (le glucose) au cerveau. Lecerveau ne peut pas fonctionner sans glucose. On a observ quede nombreux enfants prenant de la Ritaline (ou dautres stimu-lants) se comportaient comme des zombies. 25

    Dans son livre, The Wildest Colts Make the BestHorses, (Les poulains les plus sauvages font les meilleurschevaux) John Bredding dclare : Dans leurs comptesrendus de recherches, mme les plus ardents partisans de laRitaline /THADA ne trouvent aucun rsultat positif longterme. court terme, il nen existe quun - la conformit dansla salle de classe.

    Le THADA nest pas une maladie Aucun critre scientifique objectif ne confirme lexis-tence du THADA, mais les symptmes qui sy rapportentsont rvlateurs. Selon le DSM, les symptmes duTHADA comprennent : le sujet est incapable de prterune attention aux dtails ou fait des fautes dtourderiedans leurs devoirs scolaires ou dautres tches, le travailest souvent brouillon et accompli sans soin ni rflexionpralable, le sujet a souvent du mal soutenir son atten-tion au travail ou dans les jeux, il trouve difficile dallerjusquau bout des choses. Souvent, il donne limpressiondavoir lesprit ailleurs et de ne pas couter ou de ne pasentendre ce qui se dit. Il narrive pas terminer sesdevoirs scolaires. Il remue souvent les mains ou les piedsou se tortille sur son sige, court souvent ou grimpe defaon excessive dans des situations inappropries, a sou-vent des difficults se tenir tranquille dans les jeux ou

    C H A P I T R E T R O I SL e m e n s o n g e d e s t r o u b l e s d e l a p p r e n t i s s a g e

    14

    Un enfant qui consulte un mdecinadepte du DSMest pratiquement assurde recevoir une tiquette psychiatrique et uneprescription, mme si lenfant va parfaitementbien. [...] Cette tiquette de malade mental,

    colle bon gr mal gr sur virtuellementchaque individu, reprsente un srieux

    danger pour les enfants en bonne sant,car chacun deux manifeste, en ralit, assez

    de symptmes pour se voir attribuer unetiquette issue du DSMet un mdicament.

    Dr

    Sydney Walker III, psychiatre, neurologue,auteur de Une Dose de bon sens

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    les activits de loisir, par le fait dtre sur la breche oucomme mont sur ressorts et de parler excessivement.

    En 1998, lInstitut national amricain pour la Santa runi des experts pour une Confrence consensuellesur le diagnostic et le traitement du THADA . Ceux-ciont conclu : Nous ne disposons pas de test indpendantvalide pour le THADA ; aucune donne nindique que leTHADA soit d un dysfonctionnement du cerveau etfinalement, aprs des annes de recherches et dexp-riences cliniques sur le THADA, notre connaissance sursa cause ou ses causes reste spculative. 26

    En 2004, la Cour de Sude a exig de recevoir desdocuments de recherche susceptibles de justifier lexistencedu DAMP (version sudoise du THADA). Face cet ordre,les collgues du psychiatre Christopher Gillbergs, quiavaient tout dabord affirm lexistence de la maladie, ontdtruit 100 000 pages de recherches, afin que ses dcou-vertes ne puissent jamais tre remises en question.27

    Selon le Docteur Walker, un enfant qui consulteun mdecin adepte du DSM, est pratiquement assur de rece-voir une tiquette psychiatrique et une prescription, mme silenfant va parfaitement bien... Cette tiquette de malade

    mental, colle bon gr mal gr sur virtuellement chaque indi-vidu, reprsente un srieux danger pour les enfants en bonnesant, car chacun deux manifeste, en ralit, assez de symp-tmes pour se voir attribuer une tiquette issue du DSM etun mdicament .

    Le docteur Block est sans quivoque : Sil nexistepas de test valide pour le THADA, pas de preuve que leTHADA soit un dysfonctionnement du cerveau, aucune tude long terme sur les effets des mdicaments utiliss, et si, desurcrot, ceux-ci namliorent pas les rsultats scolaires oule comportement social mais risquent de provoquer des dsordrescompulsifs et de lhumeur et conduire aux drogues illgales,alors pourquoi des millions denfants, dadolescents et dadultesdans le monde sont-ils tiquets avec le THADAet leur pres-crit-on ces mdicaments ?

    Lhyperactivit nest pas une maladie, crit leDr Walker. Il sagit dune supercherie perptre par les

    mdecins qui nont pas la moindre ide de ce qui ne varellement pas chez ces enfants.

    La civilisation drogue daujourdhuiAux tats-Unis aujourdhui, plus de 8 millions den-

    fants se sont vus prescrire des psychotropes. En Australie, letaux de prescription de stimulants des enfants a t multi-pli par 34 au cours des vingt dernires annes. Mexico,les ventes dun seul stimulant ont augment de 800 % entre1993 et 2001. LAssemble parlementaire du Conseil delEurope rapporte quen 2000, les plus forts taux de consom-mation de mthylphenidate (Ritaline) en Europe se situaienten Suisse, en Islande, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni, enAllemagne, en Belgique et au Luxembourg. En Grande-Bretagne, le taux de prescription de stimulants aux enfants aaugment de 9 200 % entre 1992 et 2000. LEspagne rappor-te une croissance annuelle constante de 8 % de la consom-mation de Ritaline, entre 1992 et 2001.

    En 2003, lorganisme anglais de rglementation de lamdecine a prvenu les mdecins de ne pas prescrire lesantidpresseurs ISRS (tels que le Paxil, Zoloft et Effexor)aux moins de 18 ans cause du risque de suicide. Lanne

    suivante, lOffice amricain du contrle alimentaire etpharmaceutique (FDA) a publi un avertissementanalogue, de mme que les organismes australiens,canadiens et europens. Sur une priode de 10 ans, lunde ces antidpresseurs a t associ plusdhospitalisations, de dcs ou autres ractions ngativessrieuses, rapports la FDA, que toutes les autresdrogues dans lhistoire.28 En octobre 2004, la FDA (Foodand drug administration) a ordonn qu'une mise en gardesoit place de faon trs visible sur les emballages desISRS: ces mdicaments peuvent mener au suicide. Quoiquil en soit, des enfants meurent, en tuent dautres oudeviennent des toxicomanes cause de ces mdicamentspsychotropes ou dautres. Le seul moyen de sauvegarderleur futur est dabolir ces diagnostics non scientifiques de troubles mentaux et dinterdire les mdicamentspsychotropes dangereux.

    C H A P I T R E T R O I SL e m e n s o n g e d e s t r o u b l e s d e l a p p r e n t i s s a g e

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    Sil nexiste pas de test valide pour le THADA, pas de preuve que le THADAsoit un dysfonctionnement du cerveau, aucune tude long terme sur les effetsdes mdicaments utiliss, et si, de surcrot, ceux-ci namliorent pas les rsultatsscolaires ou le comportement social mais risquent de provoquer des dsordrescompulsifs et de lhumeur et conduire aux drogues illgales, alors pourquoi des

    millions denfants sont-il tiquets et pourquoi leur prescrit-on ces mdicaments ? Dr Mary Ann Block, auteur du livre Fini le THADA

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    Les drogues psychiatriques nepeuvent que masquer chimiquementles problmes et les symptmes ;elles ne peuvent et ne pourrontjamais rsoudre les problmes.

    Les causes des symptmes du THADA sont nombreuses.Elles comprennent les allergies,la malnutrition, lempoisonnementpar le plomb (saturnisme), un tauxlev de mercure dans le corps,les pesticides et trop de sucre.

    Un manque dexercice, desproblmes de thyrode, unefonction surrnale dficiente,des dsquilibres hormonaux,une hypoglycmie, des allergiesalimentaires, des mtaux lourds,des troubles du sommeil, desinfections, des problmescardiaques, une maladiepulmonaire, un diabte, unedouleur chronique, et mmecertains psychotropesprovoquent la dpression .

    Une hypoglycmie, des allergies,une sensibilit la cafine,des problmes thyrodiens, descarences en vitamine B et unexcs de cuivre dans le corpspeuvent se manifester sous laforme de trouble bipolaire .29

    La vritable rsolution denombreuses difficults mentalescommence, non pas avec uneliste de contrle de symptme,mais en sassurant quun mdecin

    comptent, nonpsychiatre effectue unexamen physique complet.

    3

    45

    FAITS IMPORTANTS

    12

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    Le nombre et la complexit des problmesqui peuvent survenir cause de notreconfiance mal place en la psychiatrie, sesdiagnostics fantaisistes et ses solutions

    base de mdicaments psychotropes sontincalculables. Un nombre inestimable de vies ontdj t dtruites. Quel que soit le lieu o la psy-chiatrie intervient, lenvironnement devient plusdangereux, plus dsorganis, plus perturb.

    La vie peut rserver de nombreux problmes.Quelquefois ceux-ci peuvent tre insurmontables.Mais il faut savoir que la psychiatrie, ses dia-gnostics et ses droguessont la mauvaise voie suivre. Les drogues nepeuvent que masquerde faon chimiqueles problmes et leurssymptmes ; elles nepeuvent pas les rsou-dre et ne le pourront

    jamais . Une fois que

    leur effet cesse, le pro-blme initial demeure.Elles ne constituent pasune solution et ne gu-rissent pas les probl-mes de la vie.

    Dans lintervalle,de nombreuses alternatives sres et efficaces exis-tent, solutions que les psychiatres refusent cepen-dant de reconnatre.

    Si quelquun reste dpressif malgr les effortshabituels pour remdier au problme, on doit considrerquil existe une cause physique cette dpression ,dclare un groupe de sant mentale alternative surson site Web. Le site dresse une liste de nombreusessources physiques possibles, parmi lesquelles :

    carences nutritionnelles, manque dexercice, pro-blmes de thyrode, fonction surrnale dficiente,dsquilibres hormonaux, hypoglycmie, allergiesalimentaires, mtaux lourds, troubles du sommeil,infections, problmes cardiaques, maladie pulmo-naire, diabte, douleur chronique, sclrose enplaques, maladie de Parkinson, attaque, maladiesdu foie, et mme quelques psychotropes.

    Pour le docteur Thomas Dorman, interniste : [ ] le stress motionnel associ une maladie chro-nique ou un tat douloureux peut modifier le tempra-ment du patient. Dans mon cabinet, jai rencontr un

    nombre incalculable degens, victimes de dou-leurs dorsales chroniques,quon avait catalogu denvross. Une dcla-ration typique de ces

    pauvres patients est : Jecroyais que jallais vrai-ment devenir fou. Lacause du mal pourrait

    n'tre quun simple pro-blme de ligaments dudos non diagnostiqu .

    De nombreux pro-blmes de lenfancepeuvent se manifestercomme des symptmes

    du soi-disant THADA alors que ce sont en faitsoit des ractions allergiques, soit le rsultat dunecarence en vitamines ou dune malnutrition. Unniveau lev de plomb dans lenvironnement peuttre une source de risque pour les enfants, autantdchec scolaire que de comportement dlinquantou anormal ; des niveaux levs de mercure (pro-duit chimique) dans le corps peuvent provoquerde lagitation ; des pesticides peuvent engendrer

    Notre sentimentde vulnrabilit na pasgrand-chose voir avec

    le corps ou la chimie. Par contre,il a tout voir avec notre

    me et notre propre image. Ty C. Colbert, psychologue clinique,

    auteur de Viol de lme, 2001

    C H A P I T R E Q U A T R ED e m e i l l e u r e s s o l u t i o n s

    17

    CHAPITRE QUATREDe meilleuressolutions

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    C H A P I T R E Q U A T R ED e m e i l l e u r e s s o l u t i o n s

    18

    de la nervosit, unebaisse de concen-tration, de lirritabilit,des problmes de m-moire et une d-

    p ressi on . Enf in, u nexcs de sucre peutfaire quun enfant soit super ou hyper-actif.

    Mais le plus sou-vent, les enfants ontsimplement besoin desolutions ducatives.Enseigner lenfantcomment apprendre tudier de faon efficace peut lui viter une viesous drogues psychiatriques inutiles et nuisibles.Un enfant qui sagite en classe est peut-tre trscratif ou surdou, et aurait besoin de plus de sti-mulations.

    Il faudrait juger lestraitements de gurisonmentale en fonction delamlioration et de laremise en forme des indi-

    vidus, de leur niveau deresponsabilit, de leurbien-tre spirituel et, enconsquence, de lam-lioration quils apportent la socit. Pour amener la gurison, un traite-ment doit tre dlivrdans une atmosphrecalme, o rgne tolran-ce, sret, scurit et res-

    pect des droits de lhomme.Cest dans le but dobtenir un systme de sant

    mentale humain et efficace que travaille laCommission des Citoyens pour les Droits delHomme (CCDH).

    La vie peut rserverde nombreux problmes.

    Quelquefois ceux-ci peuventsembler insurmontables.Mais il faut savoir que la

    psychiatrie, ses diagnosticset ses drogues sont lamauvaise voie suivre.

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    L A P S Y C H I AT R I ER e c o m m a n d a t i o n s

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    Les personnes en situation de dtresse doivent bnficier de soins mdicaux convenables et effi-caces. Des soins mdicaux non psychiatriques, de lattention, une bonne nourriture, un environ-nement sain et sr ainsi quune activit qui redonne confiance seront plus bnfiques que la bru-talit dun traitement psychiatrique mdicamenteux.

    Des hpitaux plus humains devraient tre tablis pour remplacer les institutions psychiatriques coer-

    citives. Ils doivent tre quips en matriel pour le diagnostic mdical, afin que des mdecinsnon psychiatres puissent procder des examens minutieux et des tests pour dceler tousproblmes physiques sous-jacents, susceptibles de se manifester comme une perturbation ducomportement. Des fonds privs et publics devraient tre attribus cette fin plutt quauxinstitutions et programmes psychiatriques bass sur des psychotropes plutt que sur une vritableaide mdicale.

    Linfluence pernicieuse de la psychiatrie a cr des ravages au sein de la socit, plus particuli-rement dans les systmes de sant, ducatifs et carcraux. Des groupes de citoyens et des responsablespolitiques devraient cooprer pour exposer et abolir la manipulation de la socit par la psychiatrie.

    Toute personne ayant t victime de violence psychiatrique, descroquerie, de vente illgale dedrogue ou autre abus devrait dposer une plainte pnale et en envoyer une copie la CCDH.Ceci fait, elle devrait aussi ladresser aux organismes de contrle concerns, comme lOrdre desmdecins ou les associations de psychiatres. De tels organismes peuvent enquter et rvoquer ou sus-pendre le droit de pratiquer dun psychiatre ou dun psychologue. Vous devriez galement chercherun conseil lgal pour dposer une plainte civile afin dobtenir des dommages et intrts.

    Des protections devraient tre envisages afin dempcher que les psychiatres et les psychologues neviolent le droit des personnes exercer leurs droits civils, politiques, conomiques, sociaux et cultu-rels tels que reconnus par la Constitution amricaine, la Dclaration universelle des droits de lhomme,la Convention europenne des droits de lhomme ou dautres textes de rfrence.

    23

    4

    5

    RECOMMANDATIONSRecommandations1

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    23/28

    LA COMMISSION DES CITOYENS POUR

    LES DROITS DE LHOMME

    effectue des enqutes et divulgue les violations des droits de lHomme commisesen psychiatrie. Elle travaille de concert avec des organismes et des individus

    partageant la mme aspiration, et dont le but commun est dassainir le domainede la sant mentale. Elle poursuivra son action jusqu ce que disparaissentles pratiques abusives et coercitives de la psychiatrie et que les droits et la

    dignit de tous soient respects.

    Pour plus dinformations :CCHR International

    6616 Sunset Blvd.Los Angeles, California 90028, U.S.A.

    Tlphone : (323) 467-4242 (800) 869-2247www.cchr.org e-mail : [email protected]

    Ou contactez le bureau de CCDH le plus proche (voir en fin douvrage).

    LA MISSION DE LA CCDH

    Beverly K. Eakman,directrice gnrale du Consortium national am-ricain pour lducation, auteur dubest-seller Cloning of the American Mind(Le Clonage de lesprit amricain) :

    La CCDH a travaill darrache-pied pourprotger le droit de tous les parents dirigerlducation de leurs enfants. Je salue la CCDH

    pour son incroyable persistance...

    DrJulian Whitaker,directeur de lInstitut du bien-tre Whitaker,auteur deHealth & Healing(Sant et gurison) :

    Les progrs de la CCDH et les succsquelle a remports constituent une perce cul-turelle majeure. La CCDH a progress grandspas et a t dun grand secours pour les parentset les enfants qui avaient subi de terribles abusde la part de psychiatres et de psychologuesainsi que de divers protagonistes et profession-

    nels de la sant mentale. Elle constitue le seulgroupe qui slve contre les abus de la com-

    munaut psychiatrique pour dfendre les droitsde lhomme. La CCDH sest intresse tous cesaspects dont personne ne se doute, tels que lasurmdicalisation, ltiquetage, le faux diagnosticet labsence de protocoles scientifiques, et elle lesa signals lattention du public ; elle a fait desprogrs notables dans ses efforts pour stopperleffet de rouleau compresseur de la profession

    psychiatrique.

    Cynthia Thielenparlementaire, Hawaii :

    Sans la CCDH, je pense que nousserions vraiment perdus, et ce serait une situa-tion tragique pour les enfants. Je suis parconsquent trs reconnaissante de telles per-sonnes [CCDH] de mettre leur savoir et leurnergie notre service afin de nous aider. Celafait une norme diffrence, car cest une gran-de bataille pour la vie et la sant de nos

    enfants que nous livrons. Et nous devonscombattre durement, cte cte.

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    C O M M I S S I O N D E S C I T O Y E N Sp o u r l e s D r o i t s d e l H o m m e

    22

    CCDH INTERNATIONALECommissaires et conseil consultatifLes commissaires de la CCDH soutiennent

    officiellement la CCDH dans son travail afindassainir le domaine de la sant mentale et deprserver les droits des malades mentaux.

    Prsidente internationaleJan EastgateCitizens Commission onHuman Rights InternationalLos Angeles

    Prsident national (tats-Unis)Bruce WisemanCitizens Commission onHuman Rights United States

    Membre du conseilIsadore M. Chait

    Commissaire fondateurDr Thomas Szasz, professeurmrite de psychiatrie auCentre des sciences de la santde luniversit de New York

    Arts et spectaclesDavid CampbellRaven Kane CampbellNancy CartwrightKate CeberanoChick CoreaBodhi Elfman

    Jenna ElfmanIsaac HayesSteven David HorwichMark IshamDonna IshamJason LeeGeoff LevinGordon LewisJuliette LewisMarisol NicholsJohn NovelloDavid PomeranzHarriet Schock

    Michelle StaffordCass WarnerMiles WatkinsKelly Yaegermann

    Politique et droitTim Bowles, Esq.Lars EngstrandLev LevinsonJonathan W. Lubell, LL.B.Lord Duncan McNairKendrick Moxon, Esq.

    Science, mdecine et santGiorgio Antonucci, M.D.Mark Barber, D.D.S.Shelley Beckmann, Ph.D.Mary Ann Block, D.O.Roberto Cestari, M.D.(aussi prsident de CCHR Italie)Lloyd McPheeConrad Maulfair, D.O.Coleen MaulfairClinton Ray MillerMary Jo Pagel, M.D.Lawrence Retief, M.D.Megan Shields, M.D.William Tutman, Ph.D.Michael WisnerJulian Whitaker, M.D.Sergej Zapuskalov, M.D.

    ducationGleb Dubov, Ph.D.Bev EakmanNickolai PavlovskyPr Anatoli Prokopenko

    ReligionRv. Doctor Jim Nicholls

    AffairesLawrence AnthonyRoberto Santos

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    Bureaux nationaux de CCDHCCDH FranceCommission des Citoyens pourles Droits de lHomme CCDHBP 7675561 Paris Cedex 12 , FranceTl. : 01 40 01 09 70Fax : 01 40 01 05 20

    E-mail : [email protected]

    CCDH BelgiqueCommission des Citoyenspour les Droits de lHommePostbus 552800 Mechelen 2,BelgiqueTl. : 324-777-12494

    CCDH Lausanne, SuisseCommission des Citoyens pourles Droits de lHomme CCDHCase postale 57731002 Lausanne, SuisseTl. : 41 21 646 62 26E-mail : [email protected]

    CCDH Zurich, SuisseCitizens Commission onHuman Rights SwitzerlandSektion ZrichPostfach 12078026 Zrich, SwitzerlandTl. : 41 1 242 77 90E-mail : [email protected]

    CCDH Ticino, SuisseCitizens Commission onHuman Rights Ticino(Comitato dei cittadini per

    i diritti delluomo)Casella postale 6136512 Giubiasco, SwitzerlandTl. : 41 76 327 8379E-mail : [email protected]

    CCDH Afrique du SudCitizens Commission onHuman Rights South AfricaP.O. Box 710

    Johannesburg 2000Republic of South AfricaTl. : 27 11 622 2908

    CCDH AllemagneCitizens Commission on

    Human Rights GermanyNational Office(Kommission fr Verste derPsychiatrie gegenMenschenrechte e.V.KVPM)Amalienstrae 49a80799 Mnchen, GermanyTl. : 49 89 273 0354Fax : 49 89 28 98 6704E-mail : [email protected]

    CCDH AustralieCitizens Commission onHuman Rights AustraliaP.O. Box 562Broadway, New South Wales2007 AustraliaTl. : 612-9211-4787

    Fax : 612-9211-5543E-mail : [email protected]

    CCDH AutricheCitizens Commission onHuman Rights Austria(Brgerkommission frMenschenrechte sterreich)Postfach 130A-1072 Wien, AustriaTl. : 43-1-877-02-23E-mail : [email protected]

    CCDH CanadaCitizens Commission onHuman Rights Toronto27 Carlton St., Suite 304Toronto, OntarioM5B 1L2 CanadaTl. : 1-416-971-8555E-mail :[email protected]

    CCDH DanemarkCitizens Commission onHuman Rights Denmark(MedborgernesMenneskerettighedskommissionMMK)Faksingevej 9A2700 Brnshj, Denmark

    Tl. : 45 39 62 9039E-mail : [email protected]

    CCDH EspagneCitizens Commission onHuman Rights Spain(Comisin de Ciudadanos porlos Derechos HumanosCCDH)Apdo. de Correos 1805428080 Madrid, Spain

    CCDH FinlandeCitizens Commission onHuman Rights FinlandPost Box 145

    00511 Helsinki, Finland

    CCDH GrceCitizens Commission onHuman Rights65, Panepistimiou Str.105 64 Athens, Greece

    CCDH HongrieCitizens Commission onHuman Rights HungaryPf. 1821461 Budapest, HungaryTl. : 36 1 342 6355Fax : 36 1 344 4724

    E-mail : [email protected]

    CCDH IsralCitizens Commissionon Human Rights IsraelP.O. Box 3702061369 Tel Aviv, IsraelTl. : 972 3 5660699Fax : 972 3 5663750

    E-mail : [email protected]

    CCDH ItalieCitizens Commissionon Human Rights Italy(Comitato dei Cittadini peri Diritti UmaniCCDU)Viale Monza 120125 Milano, ItalyE-mail :[email protected]

    CCDH JaponCitizens Commission onHuman Rights Japan2-11-7-7F KitaotsukaToshima-ku Tokyo170-0004, JapanTl./Fax : 81 3 3576 1741

    CCDH MexicoCitizens Commissionon Human Rights Mexico(Comisin de Ciudadanos porlos Derechos Humanos CCDH)Tuxpan 68, Colonia RomaCP 06700, Mxico DFE-mail :[email protected]

    CCDH Monterrey, MexiqueCitizens Commission onHuman Rights Monterrey,Mexico(Comisin de Ciudadanos porlos Derechos HumanosCCDH)Avda. Madero 1955 PonienteEsq. Venustiano CarranzaEdif. Santos, Oficina 735Monterrey, NL MxicoTl. : 51 81 83480329Fax : 51 81 86758689E-mail : [email protected]

    CCDH NpalP.O. Box 1679Baneshwor Kathmandu, NepalE-mail : [email protected]

    CCDH NorvgeCitizens Commission onHuman Rights Norway(Medborgernesmenneskerettighets-kommisjon,MMK)Postboks 8902 Youngstorget0028 Oslo, NorwayE-mail : [email protected]

    CCDH Nouvelle-ZlandeCitizens Commission onHuman Rights New ZealandP.O. Box 5257Wellesley StreetAuckland 1, New ZealandTl./Fax : 649 580 0060

    E-mail : [email protected]

    CCDH Pays-BasCitizens Commission onHuman Rights HollandPostbus 360001020 MA, AmsterdamHollandTl./Fax : 3120-4942510E-mail : [email protected]

    CCDH Rpublique tchqueObcansk komise zalidsk prvaVclavsk nmest 17110 00 Praha 1, Czech RepublicTl./Fax : 420-224-009-156E-mail : [email protected]

    CCDH Royaume-UniCitizens Commission onHuman Rights United KingdomP.O. Box 188East Grinstead, West SussexRH19 4RB, United KingdomTl. : 44 1342 31 3926Fax : 44 1342 32 5559E-mail :[email protected]

    CCDH Russie

    Citizens Commission onHuman Rights RussiaP.O. Box 35117588 Moscow, RussiaTl. : 7095 518 1100

    CCDH SudeCitizens Commission onHuman Rights Sweden(Kommittn fr MnskligaRttigheterKMR)Box 2124 21 Stockholm, SwedenTl./Fax : 46 8 83 8518E-mail : [email protected]

    CCDH TaiwanCitizens Commission onHuman RightsTaichung P.O. Box 36-127Taiwan, R.O.C.E-mail : [email protected]

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    1. Joseph Glenmullen, M.D., Prozac Backlash, (Simon& Schuster, NY, 2000), p. 8.

    2. Frank Viviano, In the Land of Champagne andCroissants, Pills are the KingFrench lead the world

    in use of medication, San Francisco Chronicle, 14 May1998; Alexander Dorozynski, France tackles psycho-tropic drug problem, adresse Internet :www.bmj.com/cgi/content/full/313/7037/997, 20avr. 1996 ; Civil Unrest in Socialist France, IDEAHOUSE, janv. 1998.

    3. Beverly K. Eakman, Anything That Ails You,Women on Tranqs in a Self-Serve Society, Chronicles,aot 2004.

    4. Victor Cordoba, Psiquiatria Guerra a lamelancholia Aumenta el uso de antidepresivos enEspana,El Mundo, 20 Feb. 1997, adresse Internet :www.el-mundo.es/salud/1997/235/01762.html ;Prohibido estar Triste, 17 nov. 2003, adresse Internet :www.quo.wanadoo.es/quo/carticulos/10017.html

    5. Anil Dawar, Prozac found in tapwater, DailyMail, 9 aot 2004.

    6. Bruce D. Levine, Ph.D., Commonsense Rebellion:Debunking Psychiatry, Confronting Society (New York:Continuum, 2001), p. 277.

    7. Lisa M. Krieger, Some question value of brainscan; Untested tool belongs in lab only, experts say,The Mercury News, 4 mai 2004.

    8. Sydney Walker, A Dose of Sanity: Mind, Medicineand Misdiagnosis, (John Wiley & Sons, Inc., NY, 1996),p. 51.

    9. Ibid., p. 192.

    10. Ibid., p. 193.

    11. Paula J. Caplan, Ph.D., They Say Youre Crazy,(New York: Addison Wesley Publishing Company,1995), p. 222.

    12. Ibid.

    13. Ten Things That Drive Psychiatrists to Distrac-tion, The Independent, (United Kingdom), 19 mars 2001.

    14. Op. cit., Walker, p. 51.

    15. Shankar Vedantam, Drug Ads Hyping AnxietyMake Some Uneasy, The Washington Post, 16 juil. 2001.

    16. Elliot S. Valenstein, Ph.D., Blaming the Brain, (The

    Free Press, New York, 1998), pp. 4, 6, 125, 224.17. Ty C. Colbert, Ph.D., Rape of the Soul: How theChemical Imbalance Model of Modern Psychiatry Has

    Failed Its Patients, (Kevco Publishing, California,2001), p. 97.

    18. Louria Shulamit, M.D., Family Practitioner,Israel, 2002quote provided to CCHR International,juin 22, 2002.

    19. American Psychiatric Association, Diagnostic andStatistical Manual of Mental Disorders (Third Edition)

    (Press Syndicate of the University of Cambridge,Great Britain), 1980, pp. 41, 44, 385; DSM-III-R,

    (American Psychiatric Association, Washington,D.C.), 1987, p. 50; Theodore J. La Vaque, Ph.D.,Kids, Drugs, and ADD , adresse Internet :www.dct.com/~tlavaque/ritalin.html

    20. Methylphenidate (A Background Paper), U.S.Drug Enforcement Administration, oct. 1995, p. 16.

    21. Ibid.

    22. Brian Vastig, Pay Attention: Ritalin Acts MuchLike Cocaine, Journal of the American MedicalAssociation, aot 22/29, 2001, vol. 286, n 8, p. 905.

    23. DSM-III-R, (American Psychiatric Association,Washington, D.C., 1987), p. 136.

    24. Dr Mary Ann Block, No More ADHD, (BlockBooks, Texas, 2001), p. 35.

    25. Op. cit., Colbert, Rape of the Soul, p. 78.

    26. National Institutes of Health, Consensus Confe-rence on ADHD, 16-18 nov. 1998.

    27. Annika Hansson, Disputed Material Destroyed,Trelleborgs Allehanda, May 2004.

    28. Op. cit., Colbert, Rape of the Soul, p. 117.

    29. Alternatives for Bipolar Disorder, Safe Harbor,Alternative On-Line.

    RFRENCESRfrences

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    Publie par la Commission des Citoyens pour les Droits de lHomme.

    2004 CCHR. Tous droits rservs. CITIZENS COMMISSION ON HUMAN RIGHTS, COMMISSION DES CITOYENS POUR LES DROITS DE LHOMME,CCHR, CCDH et le symbole de la CCDH sont des marques dposes proprit de Citizens Commission on Human Rights.Imprim par Southern California Graphics, 8432 Steller Drive, Culver City, CA 90232, tats-Unis. Item #18905-11 FRENCH

    Aux tats-Unis, CCDH est une association but non lucratif exempte dimpts par ladministration fiscale.

    L ducation tient une place prpondrante dans toute initiativepour renverser le dclin social. La CCDH assume cette res-ponsabilit trs srieusement. Grce une large diffusion deson site Internet, de livres, de lettres dinformation et autres publi-

    cations, la CCDH renseigne de plus en plus de patients, de familles,de professionnels, de lgislateurs et autres personnes sur la vrit

    propos de la psychiatrie et sur ce qui peut et devrait tre entrepris.Les publications de la CCDH disponibles en 15 langues mon-

    trent limpact destructif de la psychiatrie sur le racisme, lduca-tion, les femmes, la justice, la rhabilitation des toxicomanes,

    la moralit, les personnes ges, la religion et autres domaines.Cette liste comprend :

    La Commission des Citoyens pour les Droits de lHommeSUSCITER UNE PRISE DE CONSCIENCE

    MISE EN GARDE : Personne ne devrait interrompre sa consommation de mdicaments

    psychiatriques sans lavis et lassistance dun mdecin non psychiatre comptent.

    Crdits photo : page 14 : Vicky Kasala/Getty Images

    LA VRITABLE CRISE de la sant mentaleRapport sur la nature non scientifique de la psychiatrie et sur sonmanque de rsultats, et recommandations

    PSYCHIATRI E : UN S E CTE UR CORROMPULa fraude grande chelleRapport et recommandations

    LIMPOSTURE DE LA PSYCHIATRIE La subversionde la mdecin eRapport sur linfluence ngative de la psychiatrie sur le systmede sant, et recommandations

    PSEUDOSCIENCE Les faux diagn ostics de l a psychiatrieRapport sur une imposture scientifique, et recommandations

    S CHI ZOPHR NI E Une mal adie qui rapporte la psychiatrieRapport sur les mensonges et les faux diagnostics psychiatriques,et recommandations

    UNE RALIT BRUTALE Les traitementsnu is i b l e s d e l a psychiat ri eRapport sur les effets destructifs de llectrochocet de la psychochirurgie, et recommandations

    VIOLS EN PSYCHIATRIE Les femmes et l es enfants victimesRapport sur les abus sexuels dans le domaine de la sant mentale,et recommandations

    CONTRAINTES FATALES La violence en guised e t r a i te m en t ps y ch i a tr i q ueRapport sur lutilisation des mesures de contention dansles tablissements de sant mentale, et recommandations

    LA PSYCHIAT RIE Plo n ge l e m o n d e d an s l e nf e r d e s d r o g ue sRapport et recommandations

    RHABILITATION DES TOXICOMANESRapport sur les rsultats dsastreux des programmes psychiatriques base de mthadone et autres drogues de substitution,et recommandations

    ENFANTS SOUS DROGUESP S YC H IA T RI Q U ES , d e s v i e s d t ruitesRapport sur les faux diagnostics psychiatriqueset sur leurs consquences, et recommandations

    LES JEUNES EN DANGER Quand l a psychiatries en prend aux enf ants et adolescent sRapport sur les programmes, tests et valuations psychiatriquesdans les coles, et recommandations

    QUAND LE DANGER PSYCHIAT RIQUE SE RAPPROCHEDE VOUS Les traitements sous contrainteRapport sur lchec des centres psychiatriques en ville,

    et recommandationsLES ARTISTES EN DANGE R Quand l a psychiatriesattaque l a crativit Rapport et recommandations

    QUAND LA PSYCHIATRIE ATTAQUE LA RELIGIONRapport sur la subversion psychiatrique des croyances et pratiquesreligieuses, et recommandations

    ROSION DE LA JUSTICE La psychiatrie corrompt le droitRapport et recommandations : subversion psychiatrique destribunaux et des maisons de correction

    ABUS PSYCHIATRIQUES sur les personnes gesRapport et recommandations

    TE RRE UR ET CHAOS fabriqus par la psychiatrieRapport et rle de la psychiatrie dans le terrorisme international,et recommandations

    LA CR ATI ON DU RACI S ME La trahison psychiatriqueRapport sur le rle de la psychiatrie dans les conflits raciaux,et recommandations

    LA COMMISSION DES CITOYENSPOUR LES DROITS DE LHOMMESauvegarder les droits de l homme dans le domaine de la sant mentale

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    Pour avoir plac tort notre confiance

    dans la psychiatrie, ses faux diagnostics

    et ses solutions chimiques altrant

    la personnalit, nous hritons aujourdhui

    dinnombrables problmes au degr

    de complexit extrme. Les dommages

    qui en ont rsult pour lindividu

    et la socit sont incommensurables.

    Jan Eastgate,

    prsidente de la Commission des Citoyens

    pour les Droits de lHomme internationale