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République Dominicaine St-Domingue La Romana Margarita Fort-de-France Point-à-Pitre Philipsburg Mer des Antilles de la Croisière des lecteurs de la Croisière des lecteurs LE JOURNAL LE JOURNAL Au moment de quitter Isla Margarita, le salut chaleureux et spontané des enfants du Venezuela. Une ultime révérence puisque vous avez entre les mains le dernier journal de bord. Rendez-vous bientôt. D’autres horizons nous attendent déjà. Le chiffre du jour Le nombre de kilomètres parcourus par l’Horizon lors de cette croisière (1617 miles). Sans surprise, la journée en mer a constitué la plus longue étape : plus de 1000 kilomètres, soit plus d’un tiers de notre périple. 2900 samedi 13 décembre 2014 Rendez-vous en 2015 Deux croisières en mai et en octobre Alors que la Croisière des lecteurs boucle son périple, il est temps de penser à l’année prochaine avec deux croisières au programme. Les grands classiques du printemps (23 au 30 mai). Au départ de Gênes, l’itinéraire passera par Civitavecchia (Rome), Palerme, Tunis, Palma de Majorque, Valence et Marseille. Retour à Gênes. Bois- sons à table. Bref, un grand classique avec des escales de qualité. 8 jours et 7 nuits à partir de 879 €. L’Adriatique à la Toussaint (24 au 31 octobre). Au départ de Trieste (Venise), Split, Kotor, Céphalonie, Corfou, Dubrovnik, deux jours à Trieste. Durant les vacances de la Toussaint, un itinéraire original qui traverse les bouches de Kotor, séjourne à Venise et propose des escales originales (Split, Corfou, Céphalonie) ainsi que la spectaculaire Dubrovnik. All inclusive total (avec boissons pendant et hors des repas). 8 jours et 7 nuits à partir de 969 €. Et toujours des avantages. Comme toujours, les tarifs ont été négociés au plus juste et proposent des formules intéressantes : frais de service inclus, offre spéciale enfants de 2 à 17 ans (259 € pour la première croisière, 299 € pour la seconde, applicable seulement si logement en 3e ou 4e lit avec 2 adultes), une équipe d’accompagnement dédiée à bord, un acheminement par autocar grand confort avec ramassage à proximité (199 € par personne), des excursions à tarif préféren- tiel, un journal de bord et des animations spécifiques dont, entre autres, un cocktail de bienvenue privatif. Dernière révérence

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République Dominicaine

St-Domingue La Romana

Margarita

Fort-de-France

Point-à-Pitre

Philipsburg

M e r d e s A n t i l l e s

de la

Croisière des lecteurs

de la

Croisière des lecteursLE JOURNALLE JOURNAL

Au moment de quitter Isla Margarita, le salut chaleureux et spontané des enfants du Venezuela. Une ultime révérence puisque vous avez entre les mains le dernier journal de bord. Rendez-vous bientôt. D’autres horizons nous attendent déjà.

Le chiffre du jour

Le nombre de kilomètres parcourus par l’Horizon lors de cette croisière (1617 miles). Sans surprise, la journée en mer a constitué la plus longue étape : plus de 1000 kilomètres, soit plus d’un tiers de notre périple.

2900

samedi 13 décembre 2014

Rendez-vousen 2015

Deux croisières en mai et en octobreAlors que la Croisière des lecteurs boucle son périple, il est temps de penser à l’année prochaine avec deux croisières au programme.Les grands classiques du printemps (23 au 30 mai). Au départ de Gênes, l’itinéraire passera par Civitavecchia (Rome), Palerme, Tunis, Palma de Majorque, Valence et Marseille. Retour à Gênes. Bois-sons à table. Bref, un grand classique avec des escales de qualité. 8 jours et 7 nuits à partir de 879 €.L’Adriatique à la Toussaint (24 au 31 octobre). Au départ de Trieste (Venise), Split, Kotor, Céphalonie, Corfou, Dubrovnik, deux jours à Trieste. Durant les vacances de la Toussaint, un itinéraire original qui traverse les bouches de Kotor, séjourne à Venise et propose des escales originales (Split, Corfou, Céphalonie) ainsi que la spectaculaire Dubrovnik. All inclusive total (avec boissons pendant et hors des repas). 8 jours et 7 nuits à partir de 969 €.Et toujours des avantages. Comme toujours, les tarifs ont été négociés au plus juste et proposent des formules intéressantes : frais de service inclus, offre spéciale enfants de 2 à 17 ans (259 € pour la première croisière, 299 € pour la seconde, applicable seulement si logement en 3e ou 4e lit avec 2 adultes), une équipe d’accompagnement dédiée à bord, un acheminement par autocar grand confort avec ramassage à proximité (199 € par personne), des excursions à tarif préféren-tiel, un journal de bord et des animations spécifiques dont, entre autres, un cocktail de bienvenue privatif.

Dernière révérence

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Alors, on danse. Genre musi-cal spécifiquement dominicain, le merengue (prononcer « mérennegué ») est né dans l’île au XIXe s et a peu à peu détrôné la tumba francesca, musique de l’époque coloniale qui s’ins-pirait des menuets de la cour française. Aujourd’hui, l’actuel merengue, à base de cuivres, de guitares et d’accordéon, est un mélange dérivé de la salsa cubaine apparue à la fin des années 70 dans les clubs latinos de New York, plus précisément dans le Little Santo Domingo (nord de Manhattan) peuplé, comme son nom l’indique, de nombreux exilés dominicains.

Le poivrier. Membre de la garde personnelle de Trujillo, le Dominicain Porfirio Rubirosa fut l’incarnation du séducteur de l’après-guerre. Détaché à Paris auprès de la fille du dictateur qu’il épousa en 1932, l’homme étant bien fourni par la nature, on surnomma « Rubirosa » les poivriers de certains restaurants de la capitale. La classe... Il épousa ensuite la comédienne Danielle Darieux, une millionnaire et séduisit notamment Eva Peron, Mari-lyn Monroe, Ava Gardner, etc...

Instantanés

L’anecdote

Une fois passée la ville moderne, le centre colonial dévoile ses charmes.

Sous le charme de la « zona colonial »Délimitée par les vestiges de ses anciens remparts, portes et bas-tions et par la rivère Ozama, la ville coloniale a été classée au Patri-moine mondial de l’Unesco. Moins spectaculaire et beaucoup plus petite que celle de La Havane, la vieille de ville de Santo Domingo n’en possède pas moins sa propre personnalité. Son charme se révèle de façon plus secrète, à petites touches. Elle est à taille humaine et facile à découvrir à pied. On y découvre les vestiges des premiers bâtiments publics du Nouveau Monde, datant du début du XVIe

s. De banales façades peuvent aussi révéler de somptueux patios, d’élégants escaliers intérieurs, de beaux détails architecturaux insoupçonnés. La « zona colonial » ne se dévoile pas à la va-vite, mais tout doucement, en l’arpentant tranquillement... Vous apprécierez son côté village paisible auquel un patient travail de restauration redonne aujourd’hui, malgré de nombreux ajouts modernes par-ticulièrement incongru (pendant l’époque trujiliste surtout), un visage plein d’une gentillesse et d’une sereine noblesse.

Depuis l’aéroport de Las Americanas, une belle route bor-dée de palmiers et de cocotiers longe la mer des Caraïbes sur des kilomètres avant d’atteindre Santo-Domingo (Saint-Domingue), capitale de la République dominicaine. Ce fut la première ville américaine et la ville de cœur de Christophe Colomb. Entre la route et la mer, rien que la lumière éblouis-sante et le bleu intense des eaux et du ciel tropical. Avant d’at-teindre le centre colonial ancien classé au Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, il faut traverser les quartiers péri-phériques, les faubourgs et le port, s’adap-ter à la circulation automobile confuse et aux embouteillages. La première confron-tation avec la ville moderne sera bien vite digérée en découvrant le charme et l’animation de la « zona colonial ». Il n’y a pas de balade plus agréable que le centre colonial... Pour mesurer toute la richesse intime de cette ville dans la ville, il suffit de voir ce qui se cache entre les portes en-trouvertes des demeures et palais, notam-ment ces patios intérieurs aux carrelages et aux mobiliers anciens. Autre surprise, l’impression réelle de liberté au quotidien. On a croisé des fêtes spontanées dans les rues de la vieille ville, sur les quais, sonos des bagnoles à fond, sans l’ombre d’un

képi, avec apparemment guère de protestations des gens du voisinage. Contrepartie de cette atmosphère « libertaire », des trottoirs défoncés, des embrouillaminis de fils électriques qui pendent dans tous les sens, le tout contrastant avec des places bien proprettes agrémentées de bancs blancs en fer forgé et souvent d’une vénérable église.... Bref, Santo Domingo, ville de contrastes (euphémisme !), ville où des mots comme speed et nonchalant, fiévreux et romantique, branché et populaire, brutal et sensuel, sale et sublime, coexistent pacifiquement.

Saint-Domingue La première ville des Amériques fut fondée par Christophe Colomb. Elle se découvre en flânant et se dévoile au fil d’une étonnante promenade.

Profitez-en...Pas la peine de rêver. Il faudra ajouter quelques couches en rentrant à la maison. Et cela com-mencera dès l’atterrissage à Paris où, malgré le soleil annoncé, la température ne devrait pas dépas-ser quelques degrés. En Lorraine, comme en Franche-Comté ou en Alsace, un seul et même constat : le mercure devrait légèrement chuter sous le zéro. Lundi, la météo devrait se tenir. Mais si les températures remonteront un peu le lendemain, ce sera sous la pluie...

Votre croisière se poursuit...... sur les sites internet des trois journaux (www.estrepubli-cain.fr, www.republicain-lorrain.fr et www.vosgesmatin.fr. Vous pouvez également taper le nom de votre journal dans votre moteur de recherche). Il vous suffira de cliquer sur un onglet. Vous y retrouverez les portraits de passagers et les photos quotidiennement mis en ligne durant le voyage, ainsi que les journaux de bord distribués lors du voyage. ... dans le réseau Havas Voyages. D’ici un mois, vos agences Havas Voyages vous contacteront par téléphone pour vous inviter à passer les voir et vous offrir un tirage de la photo de groupe....dans quelques semaines. Un deuxième départ est programmé le 14 février sur le même itinéraire. Il prévoit d’accueillir près de 370 personnes. Pour eux aussi, cap aussi sur le bleu des Caraïbes.

Au revoir et à bientôt !