Maconnerie_Cloisons_Carrelage

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Le pack nnasonnerie cloisons carrelage

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pack nnasonneri e cl oi sons car r el age Le e carreau de plâtre 35 Les principaux types etcaractéristiques des carreauxcle plâtre 36 Dimernsiornnemectcles cloismnsetraicjissezrs 43 Vise en ceuvre des carreauxde plâtre 45 Caractéristiques de la plaque cle plâtre 61 La cloisofnen plaques cle plâtre 62 Divers types cle cloisons etleurs performances 64 Mise ernceuvre des plaques de plâtre surossature métallique 70 L.A F'LAQUE DE PL/VF?E 61 Lejointoiement116 La maçonneri e

Transcript of Maconnerie_Cloisons_Carrelage

  • Lepack nnasonnerie

    cloisonscarrelage

  • Les matriaox de corlstruction 5Les liaots : cirrlerlt, chaux 12

    Les granolats : sable et graviilons 14Les techniques de base 1 5

    e carreau de pltre 35Les principaux types et caractristiques des carreaux cle pltre 36

    Dimernsiornnemect cles cloismns et raicjissezrs 43V ise en ceuvre des carreaux de pltre 45

    L.A F'LAQUE DE PL/VF?E 61Caractristiques de la plaque cle pltre 61

    La cloisofn en plaques cle pltre 62Divers types cle cloisons et leurs performances 64

    M ise ern ceuvre des plaques de pltre sur ossature mtallique 70

    CarrelerLG carrelage 77

    L-A POSE AU SOt- 83Prriminaires et contries avant Ea pose 83

    La pose 88L-A POSE VURALE 1O5

    Commerlt et par o commencer ? 105Carreler une fentre 111

    Carreler une baignclire 114es cclupes particulires 1 1 5

    Le jointoiement 1 16

  • La m aonnerie

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  • Les Grecs, puis 1es Romains, coqnaissaient Ia terre cuite, mais c'estseulement au VIlI'' sicle qu'elle fait son apparition en France sous la formedu carrelage. En effet, Ia possibilit de meuler I'argile afin de former desbriques et des carreaux de formes gomtriques rgulires. a permls dedisposer trs tt de matriaux de substitution la pierre.La terre cuite produite aujourd'hui industriellement donne un produit trs

    rpandu en raison de la facilit avec laquelle on peut Ie mettre en uvre etde son be! aspect.Les multiples possibilits de faonnage de la pte d'argile permettent la

    fabrication de plusieurs types de briques : pleines, creuses, en carreau, enbloc, etc. Chaque grande catgorie comporle de nombreux lmeqts detailles et de formes diverses rpofldant aux exigences d'ouvrages divers.

    LES BRIQUES11 existe trois principales varits de briques : Ies briques pleines de pa-

    rement, les briques pleines ordinaires et les briques creuses. que vouschoisirez en fonction de quelques critres. La plupart prsente des dimen-sions standard.

    LES BRIQUES CREUSESDes cloisons verticales et horizontales compadimentent I'espace int-

    rieur de ces briques, ce qui leur a valu l'appellation de r< briques creuses n.Ces vides, reprsentent 40 % du volume de l'lment, ce qui en fait un ma-triau Iger et maniabie.Le volume d'air emprisonn dans 1es briques, une fois ie mur mont,

    joue le rle d'isolant thermique. Ainsi, les briques creuses peuvent servir la construction des faades, avec ventuellement un doublage isolant.Elles doivent tre dans ce cas, recouvertes d'un enduit de mortier. contrai-rement aux briques pleines qui. elles, peuvent rester apparentes.11 existe trois principaux types de briques creuses, aux formats et aux

    caractristiques variables, classes selon Ieur rsistance tt i'crasement. tl

    savoir : I 40 bars 7 ll, 60 bars ', 111. 80 bars.Les voici :

    - les briques creuses courantes per-mettent de monter des murs extrieurs oudes cloisons intrieures ',

    les briques tl galandages (dites aus-si ') servent surtout la cons-truction de cloisons de doublage (On peulpar exemple associer briques creuses enextrieur et briques pltrires en doublageintrieur, avec un isodant entre tes deux ma- Liyomts'e oy ooL;L:e cret/sf?triaux ou tout simplement une Iame d 'air) ', ;2 x ,?5 x / i?. 5

    1es briques rupture dejoints, appeles ainsi parce queIe joint entre deux briques ne sefait pas entirement sur leurface en contact dans la mesureo elles prsentent une dpres-sion qui emprisonne, une fois lemur mont. une lame d'air surtoute Ia Iongueur de la rangede briques.

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    Des lments spciaux taci- 1 -- ' .' 'Iitent Ia Iiaison en angle entre . *. . i. .deux murs, Autres lments '' ..'. . .. .

    a'particuliers, tels, les conduits de * 'fume (boisseaux), etc. ' . .n u.,.t,. . - z

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    PRINCIPAUX TYPES DE BRIQUES CREUSES

    BRIQUES t CARACTIRISTIQUES EMPLOIBriques courantes ) Longueur : 22 cm. Maonneries intrieures

    t Hauteur : 10,5 cm. ou extrieures.( lpaisseurs : 4 ; 5,4 ', 7,5 ; Doivent tfe recouverles

    1 10,5 cm. l'un enduit.jl Nombre de pefforations Pour mur porteur, condi-' variable selon I'paisseur. tion que Ia hauteur du murj

    1i mesure 1 5 fois la Iargeur!i i de Ia brique..X - .---

    Brlques pltriqres ; Longueur : 40 cm. 1 Pour cloisons intrieuresI

    ou galandages j Hauteur : 29 cm. j ou doublaje de murs.( lpaissetlrs : entre 2,5 et 5l 5 5 cm

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    l , kk Assemblage au pltre, auj mortier le chaux ou au l

    mortier btard ' jamals dej 'ciment.fB

    riques rupture de joints j Profil particuller prsen- Pour maonneries ext-l tant une djpression sur rieures,! toute la Iongueur : celaIpermet de censerver une lIi Iame d'air supplmentaire, l! ce qui renforce i'isolation. 11 i

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    LES BRIQUES PLEINESDites . de parement ,' quand elles sont destines rester visibles. Dans

    ce cas, elles doivent tres rsistanles aux intempries si elles sont desti-nes I'extrieur. Elles cotent plus cher que 1es briques ordinaires. quielies servent toutes Ies padies caches de l'Ouvrage (les murs devanttre recouverts d'un endult par exemple),Les briques pleines permettent de monter rapidement un muret, un pe-

    tit barbecue, et peuvent aussi servir de revtement de sol, pour une allede jardin par exemple. Dans ce domaine galement, la normalisation im-pose cedaines rgles, comme la rsistance au gel et au feu (ia rsistancedes briques ordinaires se situe prs de 1 200 OC mais pour Ia construc-tion des foyers de chemine ou de barbecue servez-vous de briques r-f rkh (lt l i rll 6;').

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    LES BRIQUESSPCIALES11 existe enfin des briques

    de tormes spciales. En voi-ci quelques-unes ' chaperonsou demi-ronds de couronne-ment. boutisses ou panne-resses arrondies des deuxcts ou bien d'un seul, re-tours d'angle intrieuf ou ex-trieur. ttes de mur, briquespour murs cintrs, perfores(pour aration). etc.

    v-'Ukelkole det'lclufes perfctre'es u

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    PBINCIPAUX TYPES DE BRIQUES PLEINESBRIQUES CARACTIRISTIQUES 1 EMPLOI

    De parement Coloris et finition rouges, I Murs de faades, cloisons,jaunes, grises ', mates ou j lerrasses. alles, etc.vernisses. I

    Dcoratives 1 Traitement de finitfon per- . Habillage des montants1 mettant d'obtenlr de nom- i d'un barbecue ou d'unei breux coloris : blanc

    , rose, chemine jardinires ma-l ,l rouge, beige. etc. eonnes, muret dcoratif.1 1U ' ---

    A enluire Les mmes caractristi- ' Tout ouvraje destin 11 ques 9ue 1es briques cou- tre recouvert d'un enduit,1 fantes

    .1 11 >-Rfractaires Haute rsistance au feu, j Spcialement conuesj 1 paur Ia construction desl 1 foyers (chemines ou bar-1 j jltxjjqsj.I

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    LES CARRELAGESSans entrer ici dans Ie dtail, on ne saurait omettre de dire que Ia terre

    cuite est videmment I'un des matriaux traditionnels entranl dans Ia tabri-cation de carrelages trs beaux et rsistants si I'On a afffaire tl de la terrecuite grse.

    E' LE' MENTS SPE' CIAUXLa terre culte existe enfin sous Ia forme d'entrevous et de poutrelles, ma-

    triaux entrant dans Ia ralisation de planchers (d'un usage complexe : itest prfrable de faire inter-venir un professionnel pour Ieur mise en uvre),de claustras (lments ajours qui se montent au modier, comme desbriques), etc.

    Cietnerts spc/at/x en Jerre cclfte ptlrrnetCar?lpar ex6wpp/e cle rda//se/' ur c/at/sl//.

    LES BRIQUES DERE' CUPE'RATIONElles sont plus recher-

    ches pour Ieur aspect quepour Ieur prix de revient, cer-tes modr puisqu'elles ontdj servi. Vieillles, elses s'in-tgrent mieux un ouvrageancien que des briques neu-ves. Mais avant de 1es em-ployer, tcher de connatreIeur provenance d'o vousdduirez Ieurs qualits etleur rsistance (elles doiventtre inglives si elles servent I'extrieur), h dfaul, voustrouverez dans Ie commercedes briques artificiellementvieillies sur Iesquelles vousserez exactement renseigrlPour nettoyer Ies briques

    de rcupration, utilisez unciseau de briqueteur pourenlever Ies restes du vieuxmortier et un nettoyant sp-cial pour Ies taches (moulliezIes briques avant d'appli-quer le nettoyant).

    Le bton est un matriau qui, outre I'utilisation que I'on en fait pour lecoulage des dalles et autres ouvrages, entre dans la fabrication d'imentsdestins eux-mmes, aprs assembtage, constituer murs et ptanchers.C'est ainsi que l'on lrouve des parpaings, des hourdis, des poutrelles et desIinteaux prts--l'emploi, des blocs, etc.

    LES PARPAINGSDe forme paralllpipdique, comportant des alvoles intrieures, iIs

    s'emploient courammenl pour Ie montage des murs extrieurs ou intrieurs(murs porteurs Ou de refend). 1ls existent en plusleurs paisseurs (5, 10, 1 5ou 20 cm).Comme 1es briques creu-

    ses. les parpaings apportent . -ne isolation thermique non . .e ' ' 'ungiigeable en raison de leur . ' . ' ' ' ' ' . .*

    > . 3 . Yalvoles intrieures. Moins .- = '. % ' ' . ' l *chers que les matrlaux na- ii;;it ,z . . '

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    turels, iIs sont aussi moins ' ' . .

    ziesthtiques et doivent tre,pour cette raison, recouverls .d'un enduit, qui Iui-mmepourra ensuite recevoir Ia fi- .nition de votre choix

    HOURDIS,POUTRELLES ETLINTEAUXDes poutrelles en bton

    ferrailles de diffrentes lon-gueurs, permetlent de cons-truire rapidement un plancheren Ieur associant des hour-dis.Les Iinteaux en bton. n-

    cessaires pour Ies ouvertures(portes et fentres) sont ga-lement de dimensions varia-bles pour s'adapter aux diff-rentes ouvertures. L'emploide ces lments prfabriqusvous tera gagner beaucoupde temps.

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    La France est un pays trs fiche en gisements de pierfes (0n dit aussit< crus :). On compte en effet plus de 200 varits extraites, auxquelles ilfaut ajouter toutes celles que nous importons (Ie marbre italien par exem-ple). Provenant de roches calcaires, siliceuses, argileuses Ou voicaniques,ces ditfrentes catgories de pierres, tailles pour la construction, sont s-lectlonnes pour leur rsistance (mcanique et au gel) et selon Ieur duret.la difficult les taillef et encore potlr leur aspectSi cela est cornpatible avec vOs projets, il est prfrable d'utiliser les

    pierres provenant d'tln gisement proche de votre domicile aussi bien pourintgrer la constructlon au terroir que pour viter de Iongs transpor'ts on-reux (Ies professionnels tabllssent Ies chantiers de taille proximit descarrires). Voici quelques-unes des principales catgories de plerres.LES PIERRES CALCAIRESElles sont classes selon leur duret et bnfloent d'un coefficlent AFNOR

    (les plus dures. dites tx trs dures et extra-dures , , ont Ie coefficient 1 4)Elles sont formes de grains plus ou moins serrs. ce qui dtermine Ieur

    rsistance Choisissez-les en fonction de l'utlllsation que vous voulez en faireElles se prtent des dcors rustiques car jeur beaut dpend de la ma-tire elie-mme.Le calcalre est un matrlau de constructton courant : cutre Ies pjerres

    tailles, on Ie connat aussl sous Ia forme de moellons et de pierres prtall-Ies : on I'emptole aussi comme agrgat.Les moeslons prsentent des tormes irrgulires. contrairement aux

    pierres tailles. Au moment de Ies mettre en uvre. il faut donc Ies slec-tionner en fonction de la place qu'ils doivent occuper dans I'Ouvrage de ma-onnerte. On a souvent recours aux moellons, par exemple pour la cons-truction des murets

    LE MARBRELe marbre est un matriau superbe C'est une pierre calcalre dont le vei-

    nage est mis en valeur par dEffrentes opratrons de pohissage qtli Iui donnentpar allleurs cet aspect brillant caractristique. 11 en extste de diffrentesteintes. souvent mles hormis pour Ies blancs et les noirs qu1 prsententdes tons uniformes. En outre. $es marbres sont classs selon leur texture(marbres cristallins. brocatetles et cipolins) On rencontre plusreurs centalnesde varits de marbres, ce qu1 vous obligera faire votre choix sur pr-sentation d'chantillons ou sur catalogue. N'hsitez pas . prendre Ies con-seils d'un marbrier car il s'agit d'un matriau onereux : autant ne pas fatred'erreur. . .

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    En bton, parfois avec parement de brique. ou en pierre reconstitue, iIspermettent de monter rapidemenl piliers, murets. dallages. etc, IIs s'as-semblent au mortier ou au bton, comme les autres malriaux de maon-nerie. 11 sont aussi faciles transpoder qu' poser.Chapeaux de murets, lments de couronnement et de pilier, taills ou

    bossels sont particulirement intressants car iIs dispensent de lravauxlongs et dlicats. Les lments modulaires forment Ia structure du pilier, l'intrieur duquel il suffit de couter du bton (sans oublier Ie ferraillage) aufur et mesure de Ia pose des lments qui se superposent Ies uns auxautres.

    Pour les sols, les pavsautobloquants en padiculier,ou d'autres lments prfa-briqus permettent Ia rali-sation de terrasses ou d'al-les sans qu'il soit nces-saire de couler une dalle. ilexiste des pavs de couleursde formes, de dimensions etde matriaux variables.

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    une mme roche dominante calcaire, dans le second, mlangs selon undosage prcis. 11 reste que Ia proportion de calcaire tant de Ioin Ia plus im-podante, Ies cimenteries sont. le plus souvent. installes proximit descarrlres. cela pour des raisons pratiques et conomiques videntes.Mlang de l'eau, Ie ciment forme la pte plastique et onctueuse que

    l'on connat et qui durcit rapidement en schanl. 11 donne alnsi une trsbolnne cohsion aux constructions, il est lmpermable et permet d'obtenirde hautes rsistances mcaniques et chimiques, supfieures celles de Iachaux (voir plus Ioin). On ajoute : du sable (parfois de Ia chaux) pour fabrl-quer du mortier '. du sable et des graviers pour fabriquer du bton.En additionnant au ciment des produits tels que Ia chaux. Ia pouzzoiane,

    etc. . On obtient des ciments drivs comme le ciment de Iaitier, la pouz-zolane. aux cendres. etc. Ces diffrents ciments Offrent des qualits et desdegrs de rsistance diffrents. ce qui est indiqu sur Ies sacs. Le tableauvous en donne un aperu. Enfin notez que certalns ciments sont particu-lirement adapts aux sols.

    CLASSIFICATION i DISIGNATION RISISTANCE1 1CPA Ciment Porlsanj adificiel. 1ECPAL Ciment Portland artificlel . 250 50O bars* '. retenir

    I au laitier, 1 pour la fabric-ation du be' ton,cpcA ! ciment Portland artificiel Il

    aux cenjres. !l ;

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    CPALC Ciment Podland artificielr j! au laitier et aux cendres. E:! '.

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    .x Ciment de laitier la ' 100 250 bars.i .I chaux, :ECM Ci

    ment maonner. i 100 . 250 bars.CN Ciment naturel. I 1 60 bars

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    Les matriaux de construction sont assembls I'aide de produitsqui, durcissant en schant, donnent sa solidit I'ouvrage. Ces pro-duits mallables (mortiers ou btons) sont eux-mmes prpars avecdes liants hydrauliques : le ciment et Ia chaux. Pour Ies btons, Ie ci-ment permet de ( lierl) Ie sable et Ie gravier ; pour Ies mortiers, iIs sontfabriqus avec du sable et du ciment ou de Ia chaux.Contrairement Ia chaux ou au ciment, le pltre peut tre employ

    seul, sans autre matriau. Malgr cette padicularit, le pltre est unliant ( utiliser pour I'assemblage des carreaux de brique, par exem-ple) part entire. Notez toutefois que certains ciments peuvent treemploys seuls : c'est Ie cas, par exemple, des ciments de scellement.

    Le clment est une poudre qui forme une pte au contact de I'eau et dur-cit en sechant. ce qui lut permet de solldarlser les matriaux de construc-tion entre eux. 11 en existe deux catgories principales : Ie ciment naturel etIe ciment adiflciel La premire comprend un certaifn nombre de produits quidiffrenl par Ieur composttion el par Ieur rssstance.Le plus connu des ciments est Ie ciment Podland artiflciel. qui tlre l'orl-

    gine de son nom de I'le de Porttand d'o est extfaite la roche calcaire en-trant dans sa composition. Le ciment est en effet un mlange de calcaire.d'argsle, de fer et de magnsie (ces deux derniers constituants en faiblequantit). La dltfrence entre Ie ciment artificiel et le ciment naturel tient aufait que ces divers composants sont, dans Ie premier cas. contenus dans

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    INFORMATIONSUTILESLes sacs de ciment podent

    une srie d'indications (lettreset chiffres). Les Iettres rensei-gnent sur les constituants duproduit (voir tableau page ci-contre) tandis que Ies chif-fres indiquent Ia rsistance la compression exprime enbars. Enfin, Ies sacs portentle Iabel de conformit auxnormes (tous Ies produits nesont pas normaliss) rep-rable aux fettres NF (NormesFranaises). Ce label est d-Iivr par I'AFNOR. D'autreslettres parois viennent ac-compagner ces dernires, r-vlant qu'un autre organismea approuv le ciment. Parexemple VP, pour Ville deParis,

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    I'b/larquage c/e classificatlon c/es sacs c/e c:-ruenr.

    Dans Ies trois premiers cas. il est donc utiiis pur ', dans Ie dernier cas.il est mlang du sable (iI existe des mortiers prts au gchage qui dis-pensent de Ie mlanger au sable '. bien pratiques mais rserver pour lespetites quantits en raison de leur cot)t plus lev).Par atlleurs. certaines qualits de ciment peuvent tre employes uni-

    quement en poudre sur le modier (chape) pour en acclrer Ia prise.Enfin, il faut noter que les proportions

    donnes plus haut peuvent varier selon letype de ciment utilis et l'usage q u'on lui Aitentio'n-- y ..- ..- .- . .. .- ..-destine : Ies fabriquants fournissent gn- ----- -----'-, 1) Gare I humidit !ralement les recommandations ncessaires. iSi kot/s devez srtlckerDans tous les cas. si ia quantit de ciment i

    des sacs de cl&?e?pl, ne lesdtermine sa rsistance. il ne faut pas d- ' 1posez pas corlfre un rnt-?/- !passer 2 volumes de ciment pour un volumeni Jkecfemenl sur /e sol. !de sab Ie . ,

    , , rrlal Couchez-les s&r uie 'Pour le foyer d un barbecue Ou d une I. pa/elle. !chemine, utilisez du ciment rfractaire. . :

    La chaux est un Iiant dent l'emploi est connu depuis des sicles. AvantIa mise au point de Iiants prsenlant des qualits mcaniques suprieures,la chaux tait utilise en quelque sorle comme un Iiant d'appolnt, pour don-ner un mur de pierres, par exemple, une meilleure tenue. Elle se prsentesous forme de poudre qui. mlange cle l'eau, donne une pte souple etonctueuse qui durcil en schant. Cette poudre est produite partir de cal-caire et d'argile (seulement 10 oo d'argile) cuits ,'j hatlte temprature.La chaux est un liant qui prsente moins de rsistance que Ie ciment :

    elle doit tre rserve aux constructions sujettes peu d'efforls.Les mortiers prpars uniquement avec de ga chaux, dits (t mortiers de

    chaux )), sont d'tln emploi pltls facile : plus souples, ils durcissent pit?s len-tement, mais attention une fois secs, ils ne sont pas Impermables.

    UTILISATIONS ETPROPORTIONS XPRIVOIRLe ciment sert aux scelle-

    ments et aux rebouchages(3 volumes de ciment peur1 volume d'eau), aux join-toiements de carreiages, oubafbotine (1 volume de ci-ment pour 1/2 volume d'eau), la prparation de modiers(1 volume de ciment pour2 3 volumes de sable se-Ion Ies destinations et 1/3 devolume d'eau).

    Dpose Lz'e y'a tmrbofine e/$ pfntoement Jecarrelage.

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    UTILISATIONSEn maonnerie, on utilise de la chaux hydraulsque, qui fut commerciali-

    se pour Ia premlere fois en 1 853. et surtout Ia chaux grasse (chaux viveteinte par hydratatlon en usine ; attention : Ia chaux vsve. dangereuse. nedoit pas tre employe). Aprs hydratation. Ia chauy grasse (ou 4: chauxblute ,h, 4' hydrate de chaux ), ou encore, techniquement, Q .11.--,f' k--.;!l llK--;II -II'1ku -,5 --llk- ) NS4 'd..., JIk ,' ,1 -!1u .11. k q'---- f.

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    Le ciment et Ia chaux ne sont utilisables seuls (dilus dans de l'eau)que pour des utilisations bien spcifiques et sur de faibles paisseurs.Le plus souvent, il faut Ieur associer du sable et padois du gravier, etmme des cailloux pour donner aux matriaux de construction uneIiaison plus solide. 11 s'agit de ce que I'on appelle granulats (ou agr-gats), des matriaux qui, agglomrs par Ie ciment et/ou Ia chaux,vont former Ies mortiers et Ies btons.Le choix du granulat n'est pas du tout secondaire. 11 doit tre par-

    faitement rsistant au gel, l'humidit l'abrasion. Vous aurez par1consquent intrt vous procurer les granulats auprs d'entreprisesspcialises. Ces matriaux doivent tre en effet calibrs prcisment :Ieur granulomtrie est mesure avant Ieur commercialisation ce quiTpermet de Ies classer selon Ies didrentes utilisations.Pour toutes ces conditions, il est prfrable de s'adresser des

    spcialistes plutt que de ramasser n'impode quoi.

    NoteN6 Avis techniques et DTULes Jltl/zr/es frarnaltes 1/V/L) sont classes en trois catgons : expikpk

    menla/es, enregistres el homologLies. Un ce/-laph nombre d'entre ellesso/n! obll3tares. celles traltant en part/ctplr de produits ou d'apparetllagedont ia mise erp p/ce peut lce source de dangers.Les DTO (Docunents techrliques tkrpl/s) sont des textes cd/piis par

    des cclrprr//lsszr?s de spa//sles, sur des prcdtpts et des stels traitantdes ornanes lracllrnne/s du btiment. zqprs leur aboration, ces (Act/-merts sont ptztn//s dal,s /es Cahiers dtp CSTB (Centre Soentitique etTec/lf?/twe du blrrpent.Le Chalnp otkk'erl er?lce I'Invention d'un produit et sa normalisation est

    cclt/k'ert par t/r? .t avs rec/lrljcpe > rrarlar?l d'une commlYsion de contr6le.L'iaws de cette comrrlps/c)rp est pris er? compte par Ies Assurances.

    11 ne faut pas utlliser n'importe quel sabie. et surtout pas de sabje d'ori-gine argileuse. dont la composition chimique attaquerait Ie ciment.On peut utiliser du sable de rivire et du sable de carrjre. parfaitement

    propres et dbarrasss de limon, de vase et de scories de toutes sorles.Pour vous rendre compte de l'tat de propret du sable avant de I'utiliser.frottez-le entre vos doigts. S'il y laisse des traces, iI faut Ie Iaver : c'est I'unedes conditions essentielles pous obtenir ensuite un bton ou un mor-tier ho-mogne et donc solide.Gnralement le sable commercialis est toulours un peu humide. Cer-

    tains fabricants proposent cependant du sable sec en petit conditionne-ment (1 ,5 kg). mas qui n'est pas destin Ia fabrication du modier ou dubton.

    LE SABLE

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  • L'EAUC'est I'eau qui provoque la prise du produit. L'auge dans laqueile le mor-

    tier est prpar ne doit pas I'absofber sous peine de voir Ies propodionsmodifies. C'est pourquol il faut utiliser une auge en plastique.11 faut utlliser de I'eau propre et froide, car Ia chaleur acclre la prise

    des itants. L'eau du robsnet convient

    LES BONNES PROPORTIONS Remarquv --On parlera de propodlons, c'est--dire I Mortier color

    du rapport entre 1es volumes des dlffrents I Pour leS CrDIS fpr/e-composants. car il n'est pas simple de pe- 1 ts c'l /a t/rolienlle) ou tler'-

    I tains jolntoiements Jco-ser !es produits sur un chantier. !

    Le dosage des ingrdients entrant dans 1 rattfs. 'zot?s oourrez c/p(?/s/r, j pojwzIa composition du mortier dpend de I'utili- I de colorer /i? morte:l ce/a, il rat/r timoworer lesation prvue pour ce dernier

    , donc de la i colorant au moment de lerslstance exlge

    . Un mortser grosster com- i prparatton du morf/br (laporte beaucoup de sable : 91 est molns r-

    istant qu'un mortier fabrlqu avec une pro- I dose Jper?d de l'intens/tspodion de ciment plus impodante. i Je la teinte ds/rtje). PourLe foisonnemen! du sable ou le tasse- I Obtelltr deS Couleurs

    ' ' 1 franches, il est prfratl/ement du ciment. I infguence de I humidit l d

    e se serkfr de cimentatmosphrique, la qualit de S'eau sont au- I tlanc

    .tant de facteurs qui peuvent modifier les 1volumes et Ia qualit du mortier. Aussi Iesproportions indiques ne sont-elles qu'ap-proximatives.Pour doser le plus correctement possible. utilisez le mme rcipsent pour

    Ies difrents composants. Servez-vous par exemple d'un seau ou d'un potde yaoud selon Ies quantits de produits que vous devez fabrlquer. Cer-tains tabricants proposent un sac-doseur bien pratique (Sb Mercier),On pourra retenir Ies dosages suivants :

    Pour 10 kg de ciment / chauxTRAVAUX 1 VOLUME DE SABLE (en litres)

    - .y- - jMur non iorteur (brlques, pierres ou par- .4 20 25paings).Mur porteur (bfiques ou parpaings) 1 5 20Brlques creuses, 30

    CIMENT OU CHAUX : LE CHOIX DU LIANT- Les modiers de cimenl sont trs rsistants mais i1s manquent de

    plastlclt et sont. pour cette raison, difficiles mettre en ceuvre : eq s-chant, IIs deviennent impermables mais ils se fissurent assez facilement.lis peuvent tre utlliss potlr 1es sceliements.

    - Les mortiers de chaux se caraclrisent au contraire par Ieur grandeplasticit , lIs sont gras. onctueux et faciies metlre en uvre. En schant,IIs restent permeables tl p'eau et sont assez friables. Les mortiers de chauxtaient autrefois Ies seuls tre utlliss dans la construction. IIs convien-nent bien ''k I'assemblage de brlques pour les murels Ou Ies petits Ouvrages.

    - Les modlers btards sonl faits base de ciment et de chaux. IIsconluguent Ies quallts des deux Iiants : plasticit et rsistance. IIs Iaissentrespirer la maonnerse. Ce sont Ies plus utiliss pour I'assemblage desbriques ou des moellons.

    QUEL SABLEEMPLOYER ?Entrant dans Ia fabrica-

    tion du mol-tier. le sable Iuidonne sa consistance. Ondolt utiliser un sable fin (plusil est fin et plus il faudra decsment) et pal-faitement pro-pre, sans trace de boue oude terre. Si vous avez desdoules sur Ia propret dusable, tl faut commencer parIe laver a grarnde eau Lessables les plus employssont Ies sables de carrire etde rivlre.

    NofeL.e satn/e de (ner a'at tre p/-o/lb tt cause Je .'- sa salh/l (sauf s '? est /ofpgt-larlenl lav ) I'eat.l Jot/ce).- sa lir?esse (gra/ns trop f/hs).

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  • Remarque '1 ses mortiersprts--. cher1 J'

    IIs yous viteront d'er-fectLier /es mlanges k'otps-

    1. mrpe ce qui est tlrl ap-1 prciable. rnrr?e s? ce/a!. rfloalr p/s's che: Uotys ne1 ferez pas (:/ 'erreur Je o'o-1

    ,1 sag'e et vous aurez ,a ga-i tie d'ottenir on ton oo-ran1

    ! vrage. ,4 conselller Jtlr?c1 pour /es per/res quantits1 e? aux dtbotants.

    Les quantits de sabte peuvent tre unpeu plus importantes pour Ies endults carIIs n'ont pas besoin de prsenter 1es quali-ts de rsistance mcanique exiges pourun mortier qu1 solidarise des matriaux deconstruction ', Ia couche d'accrochage del'enduit (gobetis) doit tre nanmoins as-sez fortement dose en ciment pour bienadhrer au support.Pour Ies chapes. on a besoin d'un mor-

    tler trs rsistant. donc d 'un prodult forte-ment dos en liant (gnratement 1 0 kg deciment pour 1 0 litres de sable) .

    LE LIEU DE GM HAGE

    Quand on en a peu a pre-parer (pour Ies scellements(7tl Ies petlts travaux de rpa-ratloo) . Ie modser est gchdans une auge en rnatlrepjastlque blen propre pourevlter qu aucune lrnparete qevieflne se mler tt la pteS'ii est ncessaire de g-

    cher plusieurs sacs de ci-ment en mme temps. il fautte falre sur te sol en illterpo-sant une feudlle en matirep ha st Iq u e asse z e pa 1 sse ( ceq u k v I t e d e s a I ! r I e s s c) i s c i -me nts ou la petouse et cequl prserve 1es produlls en-trant dans le mortier). Vetlleztl ce qu'aucuq brin d'herbeou parcelle de terre ne vlennesoulller le mlange (1l fauttoutefois ic1 faire exceptlonet citer' par exempie tes rnal-solls eq bauge normandes.dont Or'7 procde Ia rnova-tion des faades avec un err-duit falt de chaux, de terle etde fibres vgtales tels queIes joncs ()u Ia palile).11 existe aussl de grallds

    bacs plats en matlre plas-tjque . trs pratiques. qul per-mettent de gcher de gran-des quantits.D'une manire genrale.

    le Iieu de gachge dolt se st-tuer prs du chantler peurque Ie mortier solt rnis er)uvre rapidement.

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    LA TECHNIQUE DEGA- CHAGE

    Versez sur l'aire (ou dansI'auge) le sable et Ie cimenttou la chaux). Mlangez avecu ne pe lie o u d ' u ne truel I e(pour Ies petites quantits).Pour que Ie modier soit ho-mogne, 1es deux compo-sants dopvent tre parfaite-ment r'nlangs. Remuez Ion-guement. Mnagez ensuiteun cratre au centre du tas.Versez l'eau de gchage

    dans Ie cratre. sur la poudreRejetez peu Li peu le m-lange de sable et de cimentd a n s 1 'e a u a v ec la pe I 1 e .Lorsque loute i'eau est re-couverle. malaxez Iongue-menl avec ia pelle, en ha-chant de Ia trarlche de I'outilpour que l'eau pntre bien.Trop d eau rend le morlperporeux ', pas assez. insupl-samment compact. Uobjectifest d'obtenir une pite oqc-tue u se . 1 1 sse et q u 1 t$e n n ed 'e I le- m me su r la true f Ie .Vous pourrez alouter un peud'eau en cours d'utilisationpour conserver sa consistan-ce au r'niange. t conditionque la prise ne solt pas com-me nce .

    Le modier doil tre onc-tueux et non grumeieux ', ildoit aussi tenir sur la truellepenche sans couler. Le do-sage en eau est surtout unequestion de coup d'il, Vouscommencerez par incorporermoins d'eau que ncessaire,pour en ajouter au fur et mesufe jusqu' obtenir I'onc-tuosit voulue. 11 est partosssouhaitable de surdoser Iemlange en eau, par exem-pIe pour Ia couche de finitiondes sols clments ou pour Iejointoiement de dalles ou decarreaux de sol. Un mortiersurdos en eau prsente unfort retrait au schage. alorsqu'un mortier sous-dos ris-que de s'effriter.Selon le type de liant uti-

    lis, Ie temps d'ouvedure estvariable. Pour ne pas avoirde mauvaises surprises, con-sidrez que vous disposezd'une demi-heure aprs Ie g-chage pour Ia mlse en uvre.Pour gcher de grandes

    quantits de modier ou debton. vous aurez besoind'une btonnire. qu'i! estplus conomlque de Iouersauf si I'on a de gros travaux entreprendre et cela surune longue priode.

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  • En plus du malriel dj mentionn, un tamis tt mailles fines vous per-mettra de passer Ie sable et Ie ciment, et un seau calibr de doser 1es pro-porlions. Prvoyez aussi une taloche sur laquelle vous poserez une petitequantit de mortier de rserve que vous aurez porte de main.

    F AB R ! C) 'U ER L E B FTON

    Le bton est un mortier de ciment auquel on a ajout du sable et desgravillons dont Ia section est comprise entre 6,3 et 25 mm selon Ia norme.On peut renforc le bton en y incorporant des fers. On l'appelle alors (< b-ton arm '>, Les btons utiliss dans Ie btiment se caractrisent par Ia pr.sence d'agrgats de toutes grosseurs, alors que Ie bton prpar artisana-Iement empioie des graviers calibrs d'une seule grosseur, et du sable.IJ existe des types de bton trs diffrents selon Ie ciment utilis. la tech-

    nique de gchage, ie dosage et Ia mise en uvre.

    LEs COMPOSANTS DU BE'TON- Les agrgats. Les dtaillants proposent des graviers calibrs qui

    conviennent parfaitement. vitez d'employer n'importe quels graviers quipeuvent tre malpropres ou ne pas prsenter une rsistance supisante.

    - Le ciment. Le bton doit prsenter une bonne rsistance mca-nique ', c'est pourquoi on utilise le plus souvent Ies ciments CPA (Porllandanificiels) de classe 250 ou 325.RemarqueBton tout prt11 est intressant de se

    faire Iivrer dkectement dutlrtlrl prpar /'r?J&st#e//e-ment par une entreprisee?n btiment quand on a Construlre une grarldeJd//e btonne ou d'ir'n-portarltes ondal/bns. Or)pevt ainsi d/sm ser d'unbton de qt/alt dont lescaraclr/'sl/qtkes corres-pogder?l exactemertt auxbesoins. 11 faut alors prci-ser l'heure exacte de Ia Ii-vralsoo, el tout prko//'pour lre prt pour Ia crlee(1 uvre.

    - L'eau. Le volume ncessaire dpendde l'humidit du sable, mais aussi des qua-Iits recherches pour Ie bton. Essayezd'obtenir un mlange assez onctueux, quine comporle pas de grumeaux (signe d'uneexcessive scheresse). Un excs d'eaurend par ailleurs Ie bton difficile mettreen uvre. Si, aprs le malaxage, vous es-timez que votre bton est trop sec, vouspouvez ajouter un peu d'eau, mais ajoutezalors quelques poignes de ciment pour nepas compromettre la rsistance du mat-riau.

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    .5 hants. qt// L'lolnel't p/t-?s de stll/p/essi? au.,7?arerh'JtJ, elc.

    NofeBton blanc1/ s 'ag/f de bton priipa-

    r avec du c/hr/er?/ blanc.On J'utllise Jans un but (%-coratiq par exemple pourte cow/age de Ja//es Jeprdln. // convlent alors dechotir des agrgals J 'unetelhte adaple.

    La matrtse du coffrage vous donnera Ia possibilit de raliser de nom-breux ouvrages dtffrents. La ralisation de daltes, de Ilnteaux. de piliers,de marches. etc . Implique erl effet Ia construction de coffrage. Le principeen est simple puisqu'll ne s'aglt que d'excuter un moule dans lequel le biz-lon es1 cout On dmoute aprs schage. Certains coffrages sont cepen-dant tres difficlles raliser et demandent de tenir compte de Ia rsistancedes matriaux.

    LES COFFRAGEStI existe autant de collrages qtle de formes particulires aux otlvrages de

    maorpnerle

    Les coffrages pour bton doivent tre tarlches et rigldes, condltion dela planit des surfaces de i'ouvrage. IIs sont rallss essentlellement enbois. On utilise gnralement des pranches de pin solides et rabotes surle ct tourn vers I'intrieur du moule. On peut galement se servir decontreplaqu spctal coffrage (qualit CTB-X) qui dcnne de trs bons r-sultats (el qui lalsse une surface parfaitement lisse au bton sec).Les coffrages doivenl tre solides. On 1es assemble par clouage et on

    Ies renforce avec des tais et des serre-joints (Ie bton est Iourd et peut fa-cilement pller une planche trop mince) . Les clous du coprage sont enfon-cs simplement ij deml afin de facillter le dclouage. Vriflez que les anglesdu coffrage sonl parfaitement 1 'querre et que 1es planches sont rigou-reusefnent jointlves pour viter les coulures du produit par les Interstices.L'knstallation d'un coffrage et son jmmobilisation durant le temps de prise

    et de schage du btc)q rendent ncessaire l'emploi de chevilletles et deserre-joints Je maon Ces instruments. enttrement mtalliques dolvent, pourtenir. tre planls dans ia maonnerie I'alde d'une massette.Enfln, I'emploi d'une hulle de Jcoffrage est indispensable Erle doit tre

    appllque sur Ies faces Irltrieures du coffrage en un fiim gal et continu. Elleautorise Ie dmontage du coffrage quand le blon sera sec

    LE COULAGECoulez tout Ie bton en une seule fols ($1 vaut mieux en avoir plus que

    pas assez). Frappez sur les planches du coffrage coups de massette oude maillet pour (< vibrer Ah le bton afin qu'il pntre bien tcus 1es angles ducoffrage el qu'il ne subsiste pas de poches d'air. Coulez Ie btc;n jusqu' ceque le coffrage soit plepn, puls gallsez avec une rgle de maon, en d-plaanl cette dernire sur les chanls suprieurs du coflrage.

  • LE DE'COFFRAGELe temps de schage

    avant Ie dcoffrage est g-nralement de 48 heures : iebton est alors solidifi, m-me s'il q'est pas tout faitsec. Si le soleil est violent,vous devez protger vos ou-vrages en bton d'une bchepour empcher une vapo-ration raptde de l'eau de g-chage. ce qui entranerait unaffaiblissement et des cra-qulements.

    Exemple de dcoffrage d'un linteaude porte de garage

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    LE BTON ARMLe bton est trs rsis- ' . ' '

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  • Une dalle en bton peut tre coule I'intrieur comme i'extrieur dela maison dans Ies conditions iqdiques plus haut et une fois les prpara-tifs termins.Si Ia dal'e doit tre coule I'intrieur, commencez par dterminer quel-

    ques repres sur Ies murs de Ia pice. Le sOl tant pour I'instant ingal etprovisoire, servez-vous d'un niveau fioles pour prendre ces repres, quidoivent tre situs 1 m du sol fini, Dans vos calculs. tenez compte du faitqtl'il faudra inslaller un hrisson si vous intervenez sur un soI en terre bat-tue ', ajoutez cela I'paisseur de la dalle (souvent 8 cm) et celle de la cha-pe en cimenl (2 cm) qu'il faudra couier par-dessus.Tracez ensuite sur Ies murs (au cordeau poudre) Ia iigne reliant Ies fe-

    pres pfis 1 m du sO1 fini.Ces prparatifs vont vous permettre. dans un premier temps, de creuser

    Ie sol afin de disposer la couche de graviers Ou de tout-venant (grosse gra.nulomtrie) qui vont former Ie hrisson. Si vous devez incorporer Ies fluides(canalisatiens). prvoyez leur emplacement maintenant.

    -:. JkIF:; t? L/l: L?7c-y C(? (ktJ t.rLt.lll'li? )t?(/.(-x% eJJ ,') '()r??e?/f'.2. /?! pas o'e. lnett'' e(Je pel/les ca/es sools ce Ji?r/llt?c?Nr? (':e f'rn stlleleieer Jeg/r'e/l?er)!Lors c?(/ cothlage dt/ belon. // /at?-blra s 'asst l('e. r ()t ''e /es caes deJ) C/ /' (?. /69 t, t2. r..'(:1/ - r J .333 t ? t JJI J). :) iLl t? t/ () ( . :; /tw-' (). (r/ ( ? tr :7 l t r). (1'33 /i? L', t? 3/. .lI ty t i f/i r'z (? (?.T) f:l z,'I( )d./ 6?' 1' /i? ;'L1 //Fk

    LE HE' RISSON11 constitue une couche

    drainante (prvenant 1es fe-montes capillaires) et unsupport en mme temps. Si leplancher ne doit pas suppor-1er de charges trop lourdes,vous pourrez remplacer le h-risson par une couche de sa-bIe et de graviers, bien ratis-se et bien dame (tasse).Remplissez blen I'excava-

    tion de pierres, de graviers oude tout-venant et de sable surenviron 10 cm. Comblez Iesvides et tassez fortementpour que I'ensemble soit bienferme et homogne.

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    COULAGE DE LADALLEAvant de couler te bton,

    placez sur Ie s(7l cles guidesqui vous aideront z< tirer nala dalle, c'est--dire ijgail-ser Ia couche de btos. Daqsce btlt, ces guides sont deIongues lattes de bols c)u desprofils mtalliques de sec-tion carre disposs parail-Iement et installs de sorleque Ieur chant suprieur soktau niveau de celui que I'ondsire donner Ia dalie. IR-giez leur hauteur en !es pla-ant sur des piots de btonde sode qu'elles soient bienhorizontales ' vrifiez-le avecun niveau tl bulles. Mettezautant de lattes que la Iar-geur de la pice I'exige : neIes espacez pas trop pourtravailler plus facilement ( .'.Dversez Ie bton sur Ie

    sol. en commenant par Iefond de Ia pice car vous al-Iez lravalller en progressantttt reculons. vers l'entre deIa pice. Tassez Ie bijton dumieux que vous pourrez puisfaites glisser la rgle sur IesIattes guides. en tirant i'ex-cdent de btc)n vers vous(2 p .Retirez !es Iattes guides

    (.')) avant que le bton ne dur-cisse compltement.

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    Comblez Ies vides ainsicrs en vous dppaant ;reculons dans I'espace 1i-bre (-1 'Si vous avez prevtl une

    chape de tpnktltln, llssez som-malrernellt ia taloclle ' darqsce cas. ha chape de cimentviendra. ern finltlon rattraperles petites Ingalttes.

    NoteS1 .le btfnl' esl c(()(J(('

    Ja.r's tlf? coth'cygle. ''i dr-l//t/'e k'//a/'t:? a/i'n de lljer?renolz' !()t// PJ 'espace, sanszdi?. e! d'tle ?.?/eJ'? L)L)133-pact. Cela s 'ob lrefl f e r'(rafpan t d'cnr/erp?e/-?r f'i?sz'obts c/'tl cofl'age avec t /??fnalllet.

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    .La dalie t# t??1e cour ex- i1i lyr/'euce sel'a rallsce de /a l'

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    . !tk celre pente sera cfe I'or- 1DE' COFFRAGE l d;e cfe g z .a otv,vm. 1q

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    ju.. .- - -..--- - - -Le dcoffrage Intervient lorsque ie bijton

    a suffisamment durci Le temps de schage peut varser selon Ies condltionsatmosphrlqtles. St la temprature n'est pas desceqdue au-dessous de8 =C. vous pourrez dcoflrer la dalle 8 Jours aprs Ie couiage. Ces dlaispeuvent tre rdults s'il fait chaud. S1 le temps est sec ()u s'$I fait du vent.protgez la dalle en Ia recouvrant car l'eau contenue dans Ie bton s'va-porerait trop rapidement. ce qul peut nuire Ia qualit de Ia conslructior!.Un dcoffrage trop raplde provoque des paufrures (petites cavltes) et

    Ia formatlon de petltes fissures en surface : un dcoffrage trop tardlf estpi us d iffic i le .

    r' N Fl ;7. /6 13' L J:7 i )x i E.' - ' : '* r,' I:Zo u.. n. , = . k, . 4 . %-' M >.1a . u.

    Une chape de ciment a pour fonction de rattraper Ies ingalils de Iadalle. Cette dernlre. quoique de nlveau et plane. n'a et que sommaire-ment Iisse. La chape est donc, en queique sorte. la couche tinare de ladalle. Une chape est faite de modier qui se prpare avec du ciment et dusable. Dans le cas de rnovatloo d'une dalle ancienne. c)n peut aussi utili-ser des produits autellssants (dlts aussi de r' ragreage h>) faciles tl preparer(mlange avec de I'eau et malaxage) et appllquer (volr plus loln)Une chape est la semelle sur laquelle le revtement de sclj est pos. Elle

    dott prsenter une epaisseur de 2 cm Pour Ia realiser. prchcdez de iamme faon que pour Ia dalle. Mettez en place des Iattes guldes ou deScales de niveau. Basez-vous sur les repres de niveau tracs au dbut destravaux (voir plus haut) et toulours en place.Dversez ie mortier. tirez-le a Ia rgle de maon, et Iissez-te. Laissez s-

    cher huit jours. Tenez Ia pice are et arrosez Ie so1 de temps en tempss'il fait chaud .' une vaporatlon trop rapsde peut en effet entraner la for-matton de flssures dues atI craqulement.

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  • Disposition des matriauxn

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    ques) , certasns tabricants ontprvu Ie positionnement, entre deux ranges de brsques. d'une bande deIatne de roche. Dans ce cas. le joint se fera de pad et d'autre de Ia bandeisolante.

    Pour les joints, on Iaisseun intervatle de 1 2 cmentre Ies briques 1 cm surdes murs en briques appa-rentes. non destins tl treenduits , 1 .5 cm pour 1es bri-ques ordina ires : 2 cm pourles murs en parpaings, quise ra e n d u lt .

    LES JOINTS

    POUR AVOIR DES JOINTS R/GULIERSS'il doivent rester apparents, les joints doivent tfe rguliers pour pr-

    senter un beI aspect. Le mieux est d'utiliser des petltes baguettes de sec-tion carre que l'0n place sur le bord de Ia range que l'on vient de metlreen place (une de chaque ct). Par Ia suite, on peut ainsi remplir au mor-tier l'intervalle entre Ies baguetles. Otez ces baguettes ds que Ie motliercommence prendre. solt environ 45 minutes aprs Ia pose. On peut ga -lement utiliser des petites cales de 1 cm de hauteur que I'on met en placepour chaque brique. Les professionnels travaillent videmment au jugerparce que I'utilisation des baguettes fait perdre du temps. Elle donne ce-pendant I'avantage d'obtenlr des joints parfaitement rguliers.

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    POUR COUPER UNEBRIQUEColnlmencez par marquer

    Ie tralt de ia coupe la craieet creusez tlne entaille sur @esquatre taces ktt petits coupsde la panne du martelet debriqueleur. Sparez ensuiteIes deux morceatlx avec leciseau de briqueteur. d'unbon coup de massette.Un disque trononner

    est lrs apprciable pour iacoupe des matriaux creuxson emplos est .'k recomman-der ceux qui n'auralent pasencore l'exprience du mar-telet .

    1.. t. w xa U---.. -., -. A - .., .. . t ,-.4 w' I:c vz t -,. -. .: 7... '..J wo ,.c. zo

    La technique est la mme que pous' un mUr de briques pielnes. Le travailest cependant plus facite et va plus vite puisque Ies iments sont plus gfos.Les constructions de briques creuses sont destines tre enduites 7 on peut

    donc adopter une paisseurde 2 cm pour Ies joints.Remarque

    ,L. appareiliage se fait IaPour combattre les efflorescences nrecque tioints rompus)

    . puis-/? s 'ap/'! Jes lraces Illartchtres (?Lp ap- - - 'que les briques creuses se

    parii/ssest parfas stkr Ies paremerlls Jes posent loujours en longueurmtkrs en br/ty/es, pierres. tlltln et mrre (en panneresse)

    , jamais eqpltre. 11 s 'ag/! Je se/st Corltenus J7/ls Ie iargeur (en boutisse). Vu la

    modlr ()t# remontent ilr? sulface pors d(? largeur des briques. on pose

    sc/?ap'e .' ils stw?t vhiculs pa/' /'eatp un double cordon de modierqua?lLl ce//e-o s '#raptnre. Pour les erp/e- onctueux de chaque ct deve ()5 peut essikeer Ie /ahzape I'eau .

    - ta range Snfl ieure. et 0r1claire (7(7/ /es (Xssot/r. S? Ies eff/orescen- place Ies briques dessus ences persistent, tkll/sez de I'eau ac/d/rrll- Ies calant petits coups dupe d'ac/de chlorhytlriqLle ,f) 5 t?t l I O %.1 ma nche de 1 a true i te

    .h pt:l suite (/e ce traitement, r/ncez abon- I pour 1es cloisons i nt-Jarnrpepf (') I'eaL) c/ahe. // faut kfkz/ler zwe C.j rieures

    . les briques creuses1 'eat/ J?c/c/t/iie ne ptln#lr'e trop ortl/tlnd-' sont montes soit au pltre,

    ment Jar?s pa maonnerie. soit au mortier.

  • LE DEGRV DE STABILITV AU FEU (S F)C'est Ie temps pendant Iequel un lment podeur assure sa fonction

    (sa rsistance mcanique sous une charge).LE DEGRV PARE-FLAMME (P.F.)C'est le temps pendant Iequel un lment de construction est stable

    au feu, tanche aux flammes, aux gaz chauds ou inflammables.

    LE DEGR: COUPE-FEU (C F.)C'est le temps pendant Iequel un lment de construction est stable

    au feu, pare-flamme el o l'lvation de temprature. ct non expos aufeu, ne dpasse pas 140 QC en moyenne ou 180 OC en un point.

    De par les qualits propres son constituant principal (1e pltre)1son mode de fabrication industriel (stabilits dimentionnelles, quer-rage, embotements extrmement prcis) sa structure microporeuse,sa mise en uvre aise et I'obtention d'une surface de paroi propre etlisse (prte tre dcore), le carreau de pltre offre des qualits trsimportantes de scurit et de confort dans Ie domaine du btiment,que Ia construction soit neuve, en rhabilitation ou en rnovation.Ses principales qualits sont :- la protection contre l'incendie,- I'isolation phonique,- I'isolation tbermique,- Ia rgulation hygromtrique,- la facilit et Ia rapidit de mise en uvre,- l'aspect des surfaces.

    Les fabricants de carreaux de pltfe I'appellent qq affaiblissement acous-tique '' . C'est un indice qui correspond une mesure effectue en Iabo-ratoire et qui exprime I'isolement correspondant t! un seul lment deIa construction. La valeur de cet indice est gnralement exprime end B (A) r .C'est la forte densit naturelle du cafreatl qtli Iui confre une bonne

    isolation sonore.A titre d'exemple, un cloisonnement double prenant erl sandwich une

    laine minrale entranera, outre Urle bonne isolation thermique, I'obtentiond'une isolation phonique confodable voire exigente.* CSB = Dcibel . c'est i'unrt de mesure du brultJB (A) = Dcibel A est une mesure physFoioglque qu permet de quantlfler un n1-

    veau de brud tei qutti est peru par I'orelise Le dB #A) expt ime par unevafeur un niveau Je bruit ou d Isolemeqt

    Le carreau de pftitre est incombustible et offre une grande rsistanceaux flammes. Les molcules d'eau qtl'il contlent s'oppose I'lvation et Ia propagation de la chaleur. Cette spcificit Iui confre des perfor-mances exceptionnelles telle sa raction au feu. il est class M0 incom-bustible.

    LA RE'SISTANCE AU FEULe temps pendant iequel les lments de construction conservent leurs

    caractristiques mcaniques et d'isolation dtermine la rsistance aufeu d'un matriau.

    LE COEFFICIENT DE CONDUCTIVIT; THERMIQUEC'est Ia microporosit naturelle due au gchage et au schage du car-

    reau Iors de sa fabrication qui confre ce matriau son faible coefficientde conductivit thermique. 11 s'exprime par la lettre lv (Lambda).

    h en W/m O(3Plus Lambda est petit, plus Ie matriau est isolant.

  • LA RSISTANCE THERMIQUEC'est Ia capacit de rsistance d'un matriau au passage du froid ou

    de la chaleur. Elle s'exprlme par la iettre R.

    IR = valeur rsistance thermique en m? ocMl

    Plus R est grand, plus Ie matriau est isolant.

    NofeI-ln carreau de plntre Je 1 O cm d'tipa/sset//' correspond e5 isolation

    f/lerm/kgi) .:) (1n mur erp btol) de 50 cm.

    Grce Ia porosit du pltre. ie carreau est un trs bon rgulateurd'hygromtrie. 11 est en effet capable d'absorber l'excs d'humidit am-biante mais aussi de la restituer lorsque S'air ambiant est trop sec.

    La fabrpcation industrielle des carreaux de pltre Ieur confre un quer-rage padait, urle grande stabilit dimensionnelle, des embotements rainures et Ianguettes trs prcis, permettant une mise en uvre simple,rapide. avec url outillage rduit au minimum

    C'est gr ce aux qualits numres au paragraphe prcdent et avecun peu de soin lors de la pose. que I'on peut raliser des cloisons ou desparois padaitement rectilignes et verticales.En outre. Ies faces des carreaux tant (par fabrication) parfaitement

    lisses, ()n arrive. en soignant le jointoyage, obtenir des surfaces par-faitement planes et Iisses pouvant recevoir aprs un temps de schagetrs court (24 tt 48 hetlres') toutes formes de revtement mtlrai : carrelage,papier pelnt. peinture. etc

    De couleur blanche, ii existe en 6 paisseurs diffrentes permettantIa ralisatlon de (

    contre-cloisons de doublage,cloisons de distribution

    . En paisseur 40 mm : il serarserv, associ tt un isolant,au montage d'une contre-cloi-son de doublage.

    . En paisseur 50 et 60 mmil sera utilis en contre-cloisonde doublage et en cioison dedistrtbution.

    . En paisseur 70, 80 et100 mm : il sefa utills en cloi-soo de distribution et en cloi-son sparative. Pour la cloi-son sparative, i! faudrait pri-vilgier le 1 00 mm. Dcloisons sparatives,gaines techniques.

  • PRINCIPALES CARACT/RISTIQUESDU CARREAU STANDARD

    lpaisseur du 1 !40 50 60 j 70 i 80 100carreau en mm t ;

    Dimenslon I 66 x 50 i : 66 x 50 j 166 x 50 I 66 x 50 ; ! 66 x 50 j 50 x 50en cm j 50 x 60 ! . 50 x 60i 1 66 x 38- 1..-.. - )-- , .--.-9. j. -i

    . ; j a4poids moyen en kg i I 23 j j ajd'un carreau ; i i 21 j tl ; 261

    r - t-- l-- --! t h 2Poids moyen en kg j j

    .. 40 50 60 $ 70 ; 80 100ya t, m j y : !Duret superficielle ' j2 55 i z 55 a 55 z 55 z 55 z 55en shore (E) j 1Rsistance au feu ' '1 '1 h ' 2 h 2 h 3 h 3 h 4 hdegr coupe-feu ( l g I

    ! : .Indice d'affaiblisse- : .30 34ment acoustique : : 2 38

    : 31 33 ; j 34 37 'CIB (A) .

    j j.....y...- )Rsistance thef- ! l l q

    . oc/w 0,1 1 i 0,14 0,17 j 0,20 r 0,23 0,29mique m 1 I q

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    @ dReprise en eau j 1 j'k 1 > 50 % E > 50 % > 50 % I > 50 %en poids aprs > 50 % j > 50 cl ;

    . 1 i2 h d immersion j 1 E

    Ahen t jof? I - - .---.-=I-o/'s de Jka cols:ructon d 't/rpe c/oison. ?/ faut respecter des J/r7?e/?s/or?s i

    1//)7p'les en hat/letpc en distal?ce kltlrr/2'(?rlra/i? ou en stp/-face. (;ul tzanerll en t'tpaisseur et r-'l ? lype Je carreaux (Jl///ss. 1toilction de I 1Fot?l L'lpassement Jes ppatylet-//'s ou distances /#'n//es, honkoIltales (')t./ i

    ' Fsor? Jes rallhssekrs. // 1e/J sulface dekzr'a bmprativenent lllgrer (') /a c?o ien exlste 3 rkres ('volr ct?ap/rre poteau.f /'a/d/sseurs. pa?e 4,7. i

    TABLEAUX DES DIMENSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE POTEAUX, PAROIS PERPENDICULAIRES,

    RETOUR DE CLOISON OU LMENTS RAIDISSEURSDIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXSTANDARD

    aisseur en rnm 40 ' 50 et 60 ! 70 et 80 1 100P:! '

    Hauteur standard en m 2.60 2.60 : 3 . 4iDistance horizontale ! '4 5 ' 6 j 8entre raidisseurs en m 8

    ' i11 est toutefois possibie de dpasser ces hauteurs ou distances

    horizontales sous rserve de respecter Ia surface entre lmentsraidisseurs

    TOLIRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXSTANDARD

    :palsseur en mm 40 50 et 60 70 et 80 . 100Hauteur tolre maxlmum . :Y g 2 3,90 5.20en m

    -- (D ; ., spm s jDi

    stance horizontale maxi- g. , g j gy 1, (; gtl j.j j 5, ,mum en m

    . % .g i :.. . ... . . . s; i . .. . . .... . .- .... . . ik : t... .--- ...... ......j . .

    Surface maximum entre t:j q '-' I :. D u? !raidisseurs en m' 1 .

    11 est possible toutefois pour certains types de carreaux, de d-passer ces tolrances dimensionnelles (voir pages 44 et 56).

    Exemple . des carreaux standard cle 60 nlm permettent de rallserdes clossons Jusqu' 3.40 m de haut

    t') L.:des clolsons de 5,75 m de Iongs tda sdlrface entre raidisseufs ne depasse pas 1 3 m .Dans notre exemple. si I'on a tlrle hauteur clolsonner de 3 40 rn. orl

    ne pourra dresser la cloison que sur une Iongueur de 3.80 m sl l'olq n'kn-tercale pas de raidissetlr. pour respecter 1es 1 3 m de surface nqaxirriLlr'nentre raldisseurs.

    1 33.40 x X = 1 3 X = ........ = 3.823.40

  • PRINCIPALES CARACT/RISTIQUESDU CARREAU HYDROFUGZ

    De couleur bleu clair il existe en 4 paisseurs diffrentes. Cr pourles pices humides privatives, il est hydrofug dans la masse, Sa priseerl eau aprs 2 heures d immersion est infrieure 5 %.11 est prconis pour toutes Ies cloisons de doublage et de distribu-

    tion dans Ia salle de bains et Ia cuisine.11 est galement recclmmand en cloisonnement pour tous 1es locaux

    pouvant tre exposs I'humidit sans ruissellement de Iongue du-re : cave. garage, sous-sol, etc.1! peut tre utilis en habillage de baignoire. en support d'vier ou de

    Iavabo. en plan de travail.

    Remarque11 est f()l-lelre/ll con-

    se///, en prtze/-lf/t)s d 'f-/r?iiye? ltuel r/st/t-/e d '/hor?t/a-tion (rupture de cartallsa-!or?. dljorde:lent d 'tpr?lavabo, fllite c/'tkr? /ak/e-jtnge' /(?/e d'url chal lffe-eat/'. elc.7, de poser descarreatyx /Jycfrtlftpgtjs pourctqmst/lt/er Ia prerp/re ran-(2de (rallne tlasse) de lat () tLj 1: !6i (/4?:1 (?l()IL tlr? tr tirll(?b''L; l/'/t; t? 1/t)/'1, (T/? S; ii/rhi/'t tlit)c't/ Lle dclt/fn/ape avant ouapr#s pe cclt//atye Jes cha-pes.

    paisseur du carreau en mm 50 1 60 70 , 1001 j 66 x so1 I

    66 x so 1 so s 50! 66 x 50 (Dimension en cm 66 x 501 j 50 x 50 1 66 x 38i j so x etli 1

    1 34i tPoids moyen en kg h y 25

    d'un carreau : 257; 31;

    ? 51 @ 60 72 1 02Poids moyen en kg au mL-j rDuret superficielle j j2 55 z 55 z 55 2 55

    en shore C j j j. . - . - . y- - ..-.

    nsistance au feu p ,2 ln ! 2 h 3 h 1 4 hdegr coupe-feu ; l j;

    Indice d'affaiblissement 1 1 130 33 j 34 1 38acoustique dB (A) , 1i

    - - - - -- - - --

    Rsistance thermique () j4 1 () j 7 l () x (lyzgma ocm ' i ' I ' i'

    . ) ,1

    iReprise en eau en poids oy $ < 5 oyo 1 < 5 o/o < 5 o,?t, < 5 o 1aprs 2 h d immersion I( t

    '

    TABLEAUX DES DIMENSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE L/MENTS RAIDISSEURS

    DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXHYDROFUG/Spaisseur en mm 50 i 60 l 70 ,1 100j -.-- -. - I kHauteur standard en m 2,60 i 2,60 3 , 4

    . ; 1

    *

    iitance horizontale q l q k jq 1, aentre raidisseurs en m = l = t %' 1,Note

    Le collage d6).s carreaux tlydrcltkgs doit se fal/e ak'ec une C0//& spl-ola/te pcltu'r carreaux hydrofugs.

  • K LCRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXHYDROFUGtSlpaisseur en mm s0 : 60 i 70 l 100

    ; 1 iI 1 IHauteur tolre maximum

    3,40 l 3,40 ! 3,90 l 5,20en m -- .. . I iLp-

    t.!- . - . '

    : I !Distance horizontaie maxi- 5 75 i 6,90 2mum en m - - ' '

    , !r :7 k--. - -.. - -- - ---- 1 : -

    Su/ace maximum entre @ i1 3 13 ! 18 32raidisseurs en m2 j

    PRINCIPALES CARACTRISTIQUESDU CARREAU HAUTEMENT HYDROFUG/

    paisseur du carreau en mm 70 ' 1066 x 5066

    x 50Dimension en cm 50 x 5050 x 50 66

    x 3840

    , 28 ;Poids moyen en kg d un carreau 3021 ;30

    Poids moyen en kg au m2 84 120Duret superficielle en shore C > 80 > 80Rsistance au feu degr coupe-feu 3 h ' 4 hIndice d'affaiblissement acoustique CIB (A) 35 ' 39iRsistance thermique m'' OC/W 0.14 i 0

    .20.i--

    Reprise en eau en poids aprs 2 h< 2, 5 % < 2.5 %d'i

    mmersion .

    TABLEAUX DES DIM ENSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE L/MENTS RAIDISSEURS

    DIMENSIONNEMENT STAjDARD DES CLOISONS EN CARREAUXHAUTEMENT HYDROFUGES

    paisseur en mm 70 i 10n'2 - ' '- - '

    Hauteur standard en m 3 4

    Distance horizontale entre raidisseurs en m 6 i 8

    TOL/RANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXHAUTEMENT HYDROFUG/Spaisseur en mm 70 100Hauteur tolre maximum en m 3,90 5,20

    i 9 20Distance horizontale maximum en m 6 90 ., I

    k.--. .1 jSurace maximum entre raidisseurs en m;' 18 ' 321

    De couleur vert clair. ilexiste en 2 paisseurs.Cf spijcilsquement pour

    rsister un usage inten-sif I'eau. il est hautementhydrofug dans Ia masse.Sa reprise en eau. aprs2 heures d'rmmersion, estInfrleure 2,5 *,0.11 est surtout prconis

    pour Ies btiments collec-tifs et industriels.11 est capable de rsister

    une forte exposition tlI'humidit alnsi qu' desruissellements directs,mais sans pression . pou-vant attetndre jusqu' 3 heu-res par prkode de 24 heu-res sous rserve qu'il soitrevtu de carrelage.En outre, sa haute den-

    sit $ui confre (Jne for'te r-sistance aux chocs. Note

    Le coliage cfes carreaux hautementbyc/roftpps doit se fo/r'e avec une co//ehydrofuge. spalqt/e aux carreaux hat/-tement hydraft/ps.

  • TABLEAUX DES DIMqNSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE ELEMENTS RAIDISSEURS

    DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXALV/OLESpaisseur en mm 60 70 I 100Hatltetlr stacdard en m 2,60 ) 3 @ 42Distance horizontale entre raidisseurs 15 1 6 j 8en m k !

    TOLCRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXALV*OL*Spaisseur en mm 60 p 70 i 100i !

    '

    Hauteur tolre maximum en m 3,40 l 3,90 i 5,20.h )

    Distance horizontale maximum en m 5,75 i 6,90 ! 9,201 i

    !Surface maximum entre raidisseurs13 18 ) 32en m2 lr )

    Dimensions et surfaces limites sont Ies mmes pour la verslon alvoleque pour Sa version standard.

    11 est commerc/als en 2 versions diffrentes :- de couleur blanche dans sa vel-sion standard.- de couleur bleu clair dans sa version hydrofuge.11 existe en 3 paisseurs. qui offrent uln gain de poids de 20 30 % par

    rapped un carreau de pilre massif. 11 est allg par des vidementsbien calculs capables de conjuguer Igret et solidit.11 est particuliremerlt adapt aux travaux de rhabilitation ou de r-

    novation et destln aux cloisons Igres de distribution ou de doublageparlout o61 I'on doit viter la surcharge des structures (amnagement decombles. redistrpbulion de volume sur des planchers ancjens).

    PRINCIPALES CARACTRISTIQUESDU CARREAU ALV/OLE

    Version standard Version hydrofuger 1 =Epaisseur du t60 j 70 100 60 . 70 100Carreau e1) mm j l

    i 66 x so7' E 66 x so kDimension 66 x 50 i ( 66 x so 66 x 50 l 66 x soen cm 9 40 x 60 ( h 40 x 60 p. . ....-.--..-.---.-.-.--.-. . .. . -. --- ..-------.---y .-........--------;----.-----.-. --- -----j.....-..--..-------i .---( ' 1 8 iPoids moyen en kg j 18 j j

    , 17 j 25 17 I 25d un carreau 13 . ( 13Poids moyen en kg 'r i

    sl I 54 75 51 1 54 75ja u m ? j-

    jl i iDurel superficielle r

    22 55 q z 55 1 2 55 u 55 ( 2: 55 ' k 55en shore C t .'Rsistance au feu i1 h I 2 h 3 h 1 h 1 2 h 3 hdegr coupe-feu

    ..

    j q.

    l .Indice d atfaiblisse- r j32 ( ! 32 (ment acoustique , 30' 32 34 : 32 34

    d: (A) tRsistance ther- k 0,23 I 4 0,230

    ,20 j I 0,32 0,20 j () z:j j 0,32mique m' OC/W 0,23 ,i

    '

    ! j

    '

    hReprise en eau l j l t1 1 1 oen poids aprs > 50 % i > 50 oo ' > 50 % < 5 % ) < 5 % I < 5 z'o2 13 d'immersion I 1I I Q

  • De couleur rose, i) exisleen 2 paisseurs. Son ex-ceptionnelle duret super-ficielle, sa rsislance Iacompression et sa trs hau-te densit le destinent plusparticulirement la ralisa-tlon de cloisons de distribu-tion. de doublage et de s-paration soumises despassages frquents : bti-ments collectifs, industriels,scolaires. ospitaliers.

    TABLEAUX DES DIMENSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE LMENTS RAIDISSEURS

    DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXHAUTE DENSIT/paisseur en mm 70 ; 100

    .. .- -- -. .-.- 7

    Hauteur standard en m 3 t 4i

    idisseurs en m 6 1 8Distance horizontale entre ra;

    TOLCRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXHAUTE DENSIT/ipasseur en mm 70 ; 100

    - . . . , W ..Hauteur tolre maximum en m 3,90 5,20lDistance horizontale maximum en m 6,90 t 9

    ,20:. . . . . Ws i . . , . . . . . - . y ' 'Surface maximum entre raidisseurs en m'' 18 i 32

    PRINCIPALES CARACTRISTIQUES DUCARREAU HAUTE DENSIT; ou TR/S HAUTE DURETE

    lpaisseur du carreau en mm 70 I lcc#.......---- ...--..--..-. -..i 66 x 50Dimension en cm 66 x 50 l 66 x 38j

    , i 40Poids moyen en kg d un carreau 28 .1 30

    poids moven en kg au m2 84 i 12o1.

    Duret superficielle en shore C 2: 80 ! 2: 80Rsistance au feu degr coupe-feu 3 h l 4 h

    t-.-..--- -.-.-.. -------..--lndice d'affaiblissement acoustique dB (A) 35 1 41Rsistance thermique m2 OCIVI 0,14 1 0 201

    --.. -- -....----

    '

    -.---- -----

    s 2 h 1Reprise en eau en poids apr< 30 % 1 < 30 %j'immersion I

    Ils sont :- de couleur violette

    pour les carreaux mesisolantes,

    - de couleur beigepour Ies carreaux allgsdans Ia masse.1Is sont disponibles en

    4 paisseurs : 60. 70, 100et 150 mm et sont compo-ss suivant ies fabricants de4 isolants diprents :

    - Ie polystyrne ex-trud

    - Ie polystyrne ex-pans,

    - Ia Iaine de roche,- Ies billes de polysty-

    rne.

  • PRINCIPALES CARACT/RISTIQUESDES CARREAUX LGEBS ET ISOLANTS

    .#ePolystyrne Polystyrne Laine de 4expans extrud roche

    D.) '-'---- 'Epaisseur du i j ii 70 100 1 50 7 J 1p0 ! 15p 70 1(* 150 70carreau 60 t1 l Ien mm y y' j7- j jEpaisseur de y'isolant 30 1 40 i 70 l 1(o 40 1 7o 1 (o 4: E 7c ! (ol j j ! y Ien mm l j 1 j l ; i

    -1..- . -..--- --. --. --. ---. . ; j:6 66 1 66 66 66 1 66 66 66 66 1 6: 666 j j

    . tDimension x x j x x x t X 1 X K x ( X xen cm 50 I 50 j 50 50 50 1 50 j 50 50 50 50 50poids moyen ) l p 1 I

    'u n 1 1 ( 1 1 tj 1 a lj 1 8 1 1 ,s ( 1 2 11 1 9 ! 4 i ! s 1, 24 1 :.ren kg d

    ,

    '

    - , ; 1carreau t jPoids moyen L I j ,

    33 j 33 36 1 54 35 1 36 j 57 42 45 72 39en kg au m2 (....j.. I( , f

    '

    ! t

    '

    Durel t j t ,1 j

    ' z 55j 2: 55 2 55 2 55 '( k 551 2t 55 1 55! k 55 j a 55 2: 55superficielle z 55; t 1en shore c 1 1 j ! ,Rsistance 'j j 1

    . 1 laau feu 3/4 f 3/4 3/4 1 tl 3/4 i 3/4 ;1 h 1 /2 h 1 in j 1 /2 2 h 2 h 3 h 1 hdegr h l hl ' i 1 (coupe-feu

    . urIndice d affai- j j j jlblissement j ! j a:27 27 27 31 27 28 32 29 30 33acoustique 4 j jd B ( A ) t i t.iRsistance i 1 1 1

    i 1 i t jo j 9: 2,z0 o,stlaermique o,7s 1 ,65 2,30 1,40 ;2,40 3,45 1 , ,i ; l I

    mzocAN r ! ) j1. -- .-p ..---- j.------l---- --... ' ----- ---

    Reprise i j j 1,1 i 1 len eau I j

    > 50 > 50 > 50 > 50 > 50 T > 50 > 50 > 50 > 50 > 50 > 50e n p o i d s o j o % lj ogo % i o/o 1 % % ogo ozo ozoaprs 2 h r ;

    . j'immersion I k q 1 jd

    ? l fLes carreaux Sgers et isodants prsentent un gain de poids de plus de

    50 % par rapport un carreau standard.Ils sont particulirement adapls Ia ralisation de doublage de murs

    et de cloisonnements isolants lgers en construction neuve rnovationou rhabilitation (cloisons igres sparatives en combles, cloisons iso-jantes entre pices habites et pices non chauffes, etc ).Ces 4 types de carreaux offrent de bonnes qualits thermiques.

    DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXL/GERS ET ISOLANTS

    .8.!!Polystyrne Polystyrne Laine de Xexpans extrud roche i

    G

    ipaisseur l 160 l 70 1 100 I 150 70 100 150 70 100 1K 79en mm ! 1 ii 1Hauteur ( # j

    tandard 2,60 1 2,60 ! 3 1 4 2,60 ' 3 4 2,60 4 2,69S j i ! l l

    en m j j j j Distance hori- t t p 1 jzontale entre f f ) f .5 2 j 6 8 . 6 8 5 j 6 1 8 5raidisseurs ji (en m !

    , 1 lTOLRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXL*GERS ET ISOLANTS

    @.:.zP

    olystyrne Polystyrne Laine de :expans extrud roche

    CL' isseur 7- 'f ' iERa r 7: j jcc jstl 7z 1(m jsn 7: j jt)c jsc 7960en mm @

    qHauteur tol- 1 g je maxi- 2,60 1 3

    .40 i 3,90 5,20 3,40 t 3,90 l 5,20 3,40 3,90 lj 5,20 3,40r 1 1 ' !mum en m : ! j1

    . - - z,- ., - ;. ..- .g--jo u - . - j 1

    Distance bori- ) lzontale ma- 5 l 5,75j 6,90 9,20 5,75 6,90 9,20 5,751 6,90 9,20 5,75ximum en .

    s-.'

    ..

    !, I . .-..t- , -.-.1 .- UU - .

    '-

    ' j Isurface maxi- j t ) jmum entre ( 1 t j :? ,a13 1 3 i 18 j 32 13 18 32 1 3 1 8 j 3raidisseurs p j j l jen m2 l , ik

    '

    !

    ( Ces carreaux ne peuvent pas lre utiliss dans le rrlcrrage de clolonsl imuteurs rlzo/r pages 44 et 56?.de prarldest

    . .. .- .-....-. .----.-- ..--.-..- --.........- ...,- .,.---..-...-...-..-- - ...- -,..--. ..--.- .-

    jj/?p ' Xr 4+ . e - '' .'a- 'h/ Y +. ' ' * < . '' ''' ' ' ' '' . ..

    LLIB' ra// c? 'L //') cnzrreav /ecke/ .b .. ' ,t /a sot/oe - 'el Jse,ar s

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    ?7l(?.')l''e d artte G/l-/ cn/'reat; ''C O ? ) .S ! ! ; ( i f:l 6) ?rJ kT). / ' ,.A-u t / p (? /j -S *t vre'l e elrt)il nl? ,%

    .

  • e u

    Si la sudace (et donc Ia distance horizontate ou ia hauteur limite) estsuprieure aux dimensions autorises, il faudra intgrer Ia cloison desraidisseurs.

    11 en existe trois ty-pes :

    Ies raidisseursen bois (1 ),

    Ies raidisseursmtalliques (2),

    les raidisseursen carreaux de pl-tre (3).Les deux premiers

    seront d'une pais-seur correspondanta I'paisseur du car-reau de pltre utilis.iIs seronl implants(sur le traage au sol)avant monlage de lacloison et fixs enpartie basse Ia dal-Ie et en partie hauteau pjafond par desquerres mtalliques

    , 2'. & .. z.k

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    .1!211 , .'-- . . -- .. .. t: : pr' u'. j . . .(., ... .ot. ,.0.'.' t ),l .

    colle

    3 .

    Le chapitre prcdent donne (sous forme de tableaux), pclur chaque typede carreaux, une hauteur et une distance horizontale de cloisonnementstandard et une tolrance limite.

    Note11 est rotleftl/ possible (:g Jpasser /es tolrances /l7?/res dimension-

    nelles c/ar?s /e cas de c/tl/scrs de grandes hauteurs (par exenwle cageJ'esca//er), ces dmenslons seronr donrtes er? f/h de c/pap/t/ee. papes 56 e!57),

    Les dimensions limites d'une cloison varient en fonction :- de I'paisseur du carreau et de son t'ype,- de Ia hauteur de cloisonnement.- de Ia distance horizontale de cloison.- ou de Ia surface de cloison entre lments d'appui

    . mur pefpendiculaire . fetour de cloison

    . poteaux . ou lments raidisseurs(voir exemple de calcul, page 37)

    . , . .

    .d. cur.

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    . IiL'' r.x ' ; x !; . ;j/ .) .7

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    . is Fnse borisontolel/mr/e

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    .

    CAS PARTICULIERSCAS DES CLOISONS N'ALLANT PAS JUSOU'AU PLAFONDUn raidisseur horizontal sera positionn sur Ie dessus de la cloison

    dans Ie cas o cette dernire serait monte :- avec des carreaux d'Une paisseur infrieure tt 1 00 mm,- et d'une longueur suprieure 2 m.

    Ce raidissetlr horizonta!sera constitu soit par unprofil mtallique. soit parun tasseau en bois d'unepaisseur d'au moins 3 cmet d'une iargeur identique ''paisseur du carreaa. 1) serafix en bout par 2 querresau gros ceuvre.

    Ce tasseau horlzontal sera renforc par2 Iattes de 4,5 cm de hauteur, visses Iat-ralement de paf't et d'autre du tasseau demanire constituer un U .Ce raidisseur horizontal alnsi constitu#

    sera fix sur Ie haut de Ia cloison tous Iesmtres environ par chevilles et vis.

    CAS DES CLOISONS DF GRANDEHAUTEURLes hauteurs et surfaces donnes ci-

    aprs sofnt valables pour tous les types decarreaux de pltre, l'exception des car-reaux lgers isolants.Voir aussl mise en uvre d'une cloison

    de grande hauleur, pages 1 99 et 200.

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    ipaisseur du q l i60 . 70 I 80 i 100carreau en mm 2 p jHauteur maximale ) ! j8 9

    : 9 j 1 2en m i j- . y- k-...-.. si

    . 1 . i

    '

    Surface maximale ( @ jentre raidisseurs I @ 1

    10 ' 14 i 14 ) 25ou mur de gros ( ( iuvre en f'na E j :

    CAS DES CLOISONS EN SURPLOMBCe sont !es clpisons qui viennent en bord de trmle' en bord de mez-

    zanine. etc.Elles ccessitent tln renfod plaqu sur l'paisseur de la dalle et d-

    bordant sur le premier rang de carreaux.Cette sorte de bute peut trs bien tre coqstftue par tlrle planche dont

    l'palsseur sera d'au moins 15 mm, et s0n dbord sur Ie carreau d'envlron1 00 f'nm. Cette planche sera sofidarise Suf Ie chant de la datfe et stlr !eScarreaux par chevillage et vissage.

    . ruttentlr-o/, .' ' ' LeS CIOISORS e,9 sur-# 9

    '

    . .i ' . ..w b ' plomb I1e doivent en au-

    .

    . z a;. . o ,# . ,w t' lt,l- ' -Y ' *# ' ) cun cas tre dresses. . .# .

    -

    . ; t ' ' avec O'eS carfeaux d'unev ... .. # I..

    .. ' b ' l paisseur infrieure %, . # . @t 70 mm.

    .

    --

    *#*

    r 7-,-l.

    '

    I

    CAS DES CLOISONSEN PIUn raidisseur dott obli-

    gatoirement tre fix enbout de cloison en pi.

  • INSTRUMENTS DE GUIDAGE VERTICAL ET D'APPUI.

    %

    -- 2 ou 3 rgles tlscopiques (piges, vrin montsur ressort) qui permettront un guidage vedical lors dumontage des carreaux, ainsi qu'un appui.Ces rgles Ou vrins tlscoplques appels aussi pigessont constitus par deux fers carrs couiissant l'un dansi'autre et monts sur fessort. permettant alnsi de se bloquersous plaforld (Ie fessort permettant un coulissage Variable).Ces piges conviennent donc une utilisatlon quelle quesoit ia hauteur sous ptafond (gnralemerlt de 2,1 0 2,80 menviron),h dfaut de ces piges. et si vous ne voulez pas investlrdans ce type de matriel pour Ia ralisation ponctuelie elpeut-tre unique d'une cloison, vous pouvez trs bien lesremplacer par des tasseaux en bois de bonne section(6 x 4 cm par exemple) et parfaitement rectilignes.Dans ce cas, aprs 1es avoir coups une Iongueur

    correspondant ,'j la hauteur sous platond moins 5 mm en-viron. vous assurerez leur blocage au soi et sous plafondpar de petites cales biseautes.

    OUTILLAGE ET USTENSILES DIVERS- Marteau de maon, hachette de pltrier, burin.- Truelles, Iisseuse, spatule. - Scie grosse denture.- Auge ou seau. - Quelques petits serre-joints.

    11 se trouve pratiquement chez tous 1es bons bricoleurs. A dfaut, 11 peuts'acqurir peu de trais.

    INSTRUMENTS DE TRACAGE ET DE MESURE- 1 rgle de maon en aluminium de 1,50 2 m (qui permettra de v-

    rlfier l'aiignement des ranges en cours de montage, et de tracer).- 1 cordeau poudre (pour les traages au s0I et au plafclnd).- 1 double mtre, - 1 crayon.- 1 fiI plomb. - 1 niveau bulles.

  • LA BANDE X JOINT(oU CALICOTI ET .BANDE h CUEILLIE 'En rouleaux de 75 mm de

    Iargeur, iIs serviront la fini-tion des angles rentrantsverticaux, et la finition desliaisons sous plafond.

    CORNI/RESD'ANGLESSAILLANTSEn mtal galvanis ou

    en aluminim de 25 mm x25 mm x 2,50 m, elles assu-reront en finition la protec-tion des angles saillants.11 existe galement de la

    bande arme en rouleau(appele aussi Flex Corner),elle assure Ia mme fonctionque prcdemmenl.

    . .a: . 'hC 2 '' '

    +y't , . .

    , . . , ,' - ,J*q.,r''.*=-x.: r M ' c a n ! a I pa i S Se U r d U C a.r re a U. .k , ;.Vv

    ,- .

    , (-lsqi..af?.k e . de pltre utilis.. ys x.e .

  • LES LIAISONS VERTICALESLE! LIAISONS AVEC DES CLOISONS EN CARREAUX DEPLATRE

    V Eiles peuven! se raliser de 3 maniresdiffrentes :. Par collage direct, le carreau tant en-duit sur toute sa hauteur (1 ).. Par pntration traversante : une ran-ge sur deux. le carreau traverse de parten paf't la cloison, toutes 1es sudacesen contact seront encolles. La partiede tenon qui s'encastre sera scie et en-Ieve (2),. Par pntration mi-carreau ' unerange sur deux. le carreau traverse mi-paisseur Ia cloison. Toutes lessurfaces en contact seront encelles.La paqie de lenon qui s'encastre serascie et enleve.

    Z' zJ'vz'

    Ralisation de l'entaillage mi-carreau :- Tracez au crayon Ia saigne sur la hauteur du cafreau, la Sargeur cor-resp/fadra l'paisseur du carreau, plus 0,5 cm (3).

    -- Tracez Ca profondeur de la saigne mi-paisseur du chant du car-reau (3).

    - Sciez /es t'clrcis de la saigne sur le trac (plusieurs sciages jnter-mdiaires faciliteront Ie dgagement) (4 et 5).

    - Dgagez I'entaille au burin et au marteau (6).4

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  • Le choix de I'paisseur de I'huisserie devra correspondre l'pais-seur du carreau utilis (ex. : pour un carreau de 70 mm d'paisseur, il fau-dra une huisserie d'paisseur 70 mm).

    - Liaison avec 1es huisseries en bois RemarqueLe carreatl Sera encoll sur toute sa mmand,/1 es( retlohauteur et encastr dans 1@s montants . / s ventuefspour pa///6'r ede l'huisserie. risques de 'sstpral/bq deLa solidarisation de l'huisserie avec leS dl

    une bande rsi-garniangs successifs de Carreaux se fera par / cforrrtartt Je J'/yujs-r Ilnte eI'intermdiaire de pattes Visser (3 Ou . r tovte ja lon

    -sef/e. Su4 suffisent par montant) fixes au niveau rtjo jnagta a/n

    -gzleul efp p,'Rdes joints des carreaux hauteur des . 20 jj L)c cm 1ess? qble &tJ/-

    ommelles (voir chapitre

  • Le traage d'une cloison perpendiculaire pose padois queiques probl-mes, pour tre sr d'avoif un angle droit padait surtout si l'on ne possdepas d'querre suffisamment grande. L'astuce, dans ce cas. consiste tt appli-quer de manire pratique une des proprits du triangle rectangle, sa-voir Ie thorme de Pythagore.

    Exemple de contrle d'un tra-c d'angle droit, en application duthorme de Pythagore

    - Tracez un repre 30 cm surun des cts (1 ).

    - Tracez un repre 40 cm surI'autre ct (2).

    - Mesurez Ia distance entre 1es2 repres, elles doit tre de 50 cmt3j.

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    Le carr de l'hypotnuseest ga/ Ia somme descarrs des cltgs de I'angledroit .

    En pratique, comment seservir de ce thorme ?Le point A est le dpart de

    votre cloison perpendiculaire tracer.

    - Marquez un point C 30 cm du point A.

    - Tracez une Iigne A1-A2parallle tl AC tt une distance de40 cm.

    - Tracez une ligne CB de50 cm de long, de manire cequ'elle coupe Ia ligne A1-A2. /l'intersection de ces 2 lignes,vous obtenez le point B. 11 voussuffit de relier le point A au pointB pour tre sr d'obtenir un tra-c de votre cloison parfaitement angle droit.Cette application du tho-

    rme de Pythagore vous permetde faire deux choses :

    - d'une part, de tracer unangle droit sans querre,

    - mais aussi, d'autre pad,de vrifier si un trac fait l'querre, par exemple, estcorrect.En application utilisez des

    Iongueurs simples, comme parexemple :

    - 30, 40 et 50 cm.- 60y 80 et 100 cm.- 1,20) 1,60 et 2 m.- 3, 4 et 5 m.

    MISE EN G UVRE DES CARREAUX

    1 . .:1. Lhplomb Je ka clolso'r? sefa d(7/l/ld.:) par deuxp/ges (prl/tles ctlnsllrut')s lar (3+27.: fers tlacri?t?coullssant i 'u/7 c/ar?s l''akitre et mones sta'r res-stlrfs/'. Ces p/gtas pet//er?! tre remp/actjes pardetp tasseaox e/7 LlL/l.'? r7e borme .'9e&l/'()l9. plkrta/l6'-n?e/?! r'ccl//fg/nils. //s seronl mk? przlt?rlus cltms ce caspar des rlelfles tla/es bseautees.

    BC2 = AB2 + AC2

    trocl de la....-- clofson

    2. Posisniwez Ies p/ges de ma -ntre paria/lerrerql verhcale a /'a-de (7 'url n/kzeau tj hulles.

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    5 65 'Ctlprp/nencez fa pose pa r .u'r) carreau erpl/er. ccl.qrre u'n rntpr. en ayarnr dptEls..7 rll/rlci?s corchns I'J.C? celle rstc' f(avs bords t?'e ''a .ri-)2nu.''e) st/v' /e dessoo' (ldt.? ca:leal.j elst/r sor cha ?n! vert/ca!Petite astuce .' sfz//c/ar/sez a lz? c'/tye l'e ct7.'/'?a. u a tzec /??? pept s(?rr'.ce.r/rll.;F '/Ltllil?L k?ty J)rq rftt ?J/J'(?.r7 il r') ?.'?? (/(?t; (7a?/'I'6)f?(/)r r(?. .' tztlLpt7 LtILSL? J)r (? '(;l (? rIISy/I? (;/f? l1 ) :7 () r?)alnsl tlt; 'F) Iekir k'e/tcalle L.e lesyp. s de ia ' pl/s(? ?. de .% colle. l tq.//''>'l?err?ii/7! e! f'a. k'&?'f/:l&-(,!t? L% ./a prtarr/tlre J'arlpee sertl/?r rnta/lnte/ntzs pa/' Ltes pel/les cales tl/sea. kttes.

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    . 9 .9. Vertfez ? egt///tarerllt?rnr. at i ctlt/rs dt/nltlrpfa. L) 6.). , Fi vet-tlcall le ( ( J 'a//prqtarne/) l t7esCalret/blx.10. Pclurslwtzezv pa '7oq;e tw'? J'ernarpr ccflt'lll.!.?? JC.tqj /'c'. Itl?f /)c?rJ (2 6? (t? E9 ) ()I)!;.Dpart de cloison perpendiculaire1 1. S. t?/ t''/eflar'! Q'te (-?r.?/s()/: perpelLtcu-/a/r(). r'aszfz-t'.' (?t zs/eltt lre de po/re? Jo/! ver3lrse t'Feeffer stl.r .'a cttsoo e!? ctat./rs de ITIILIn-laf/e e! clt/e lztat/s at/ez c/ec/tl de /a I eall-Se'rr pa: perpedrafrp') traversante. prtjkok./ezp't?s evidellents /' ? ,''a

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    6. Cclntrr?ts'ez I1) pr ose e/-, el?b'-lo (J/s'a?7*t u.4ecolle 'a fanr-zuelle fl'es ctnrreatkpr.

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    es Jtpafyez:r les bol'ds cftq ralnures1-3/R:9/ (I(1L /i) 16311()?: Jl L/(1/' ()i)/'/'r1*)!ll'i?I11 Jr (?r)i)lr.7/?t?J? (Jt? l''qvlLb rrk f?llt >..ct7 -Lziyr.sz? c) t.

    + l- :% wa VV#

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    .w .V-Y.

    Comme Ie r''orpfr/i')! /es p,*()/s I.')h()-l(?s.

    2828. Le retour Je doison de parl et (J hti-Jre de p'ot/kzerlure se fera ef) colltintlitavec /e reste (% Ia c/ctsco rarlge alnr'srangee. Certprles huissenes lstlo/.S Otp' ??%-tat: pettke)! se nettre er? place apr't's /acor?slrtkcr/ozrl (je 7a Clolson. F'erlsear 3Ll /et7tbnctlonrlel 3 u'l 4 crp enttrol) ce )'etI serac/r'.n/;,/. l'ors Je Ia ptlse c'e / '/lspsser/e. ti IaJrousse polyurttla