Ma Femme s'offre à un Vieux
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MA FEMME S’OFFRE À UN VIEUX
L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a bien longtemps de cela. Je vivais avec
ma première femme, Marine, une ravissante blonde de vingt-cinq ans à l’époque. Ce soir-là,
je ne me souviens plus comment et pourquoi, nous nous trouvions chez Hector, un presque
septuagénaire ami de la famille de mon épouse. Il nous avait demandé de rester dîner avec
lui prétextant qu’il n’avait pas beaucoup l’occasion d’avoir de la compagnie. Il était sympa
malgré ses regards indiscrets entre les jambes ou la croupe de mon épouse. Nous avons
finalement accepté.
Les apéritifs puis le vin et enfin les digestifs aidants, la discussion a comme souvent, dérivé
vers le sexe. Ça m’amusait beaucoup de le voir dévorer des yeux ma jeune compagne car je
me disais qu’un homme de cet âge ne pouvait pas être une grande menace, sexuellement
parlant, même si je savais que mon épouse pour sa part, était assez attirée par les hommes
bien plus âgés qu’elle. La discussion est devenue de plus en plus hard.
C’est ainsi qu’il nous apprit qu’il avait toujours eu de gros besoins sexuels et que depuis la
mort de sa femme, il souffrait beaucoup de ne plus pouvoir satisfaire ses pulsions et les
masturbations quotidiennes auxquelles il se livrait, ne pourraient jamais remplacer le plaisir
de pénétrer un sexe féminin, lécher une chatte, en sentir l’odeur et surtout, surtout la faire
jouir car c’était ce qu’il aimait par-dessus dans le sexe.
Elle ne pouvait pas ignorer qu’elle l’excitait et bizarrement, ça avait l’air de l’exciter elle
aussi. Je ne l’avais jamais vue se conduire de la sorte, se penchant ostensiblement pour
laisser notre vieil ami plonger son regard dans son décolleté ou ouvrir ses cuisses bien plus
qu’elle ne le devrait afin qu’il puisse lorgner sa petite culotte.
Je profitais alors d’une courte absence de notre ami pour réprimander mon épouse en lui
disant que ce n’était pas sympa de l’exciter comme ça pour rien. Contre toute attente, elle
me fit comprendre qu’elle avait envie de lui faire plaisir et que si j’étais d’accord, elle se
sentait d’humeur à éteindre le feu qu’elle avait allumé.
J’avais comme beaucoup d’hommes je pense, le fantasme de voir ma femme se laisser
embrocher et jouir sous les assauts d’un autre mâle mais jamais je n’avais pensé à un vieux
pour satisfaire ce fantasme. Ne sachant pas trop comment réagir je décidais de prendre ce
qu’elle venait de dire pour une plaisanterie de mauvais goût aussi je lui murmurais le plus
discrètement possible :
– Tu serais bien embêtée si je te prenais au mot !
C’est alors qu’elle me rétorqua, sûre d’elle :
– Arrange-toi pour nous laisser seuls. Je m’occupe du reste. Et ne reviens pas trop vite !!!
Se pourrait-il que mon vieux fantasme se réalise. En tout cas son aplomb m’avait déstabilisé.
Avant que je ne puisse lui répondre, notre hôte était déjà revenu. La tête en pleine ébullition,
sans savoir pourquoi, je trouvais un prétexte sans queue ni tête pour aller à la voiture
stationnée dans un parking public à plusieurs minutes de là, et les laisser seuls comme me
l’avait demandé mon épouse.
Je me levais et sortait de l’appartement rapidement en demandant à notre hôte si je
pouvais prendre ses clés afin qu’il n’ait pas à se lever pour m’ouvrir lorsque je reviendrais. Je
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filais vers la porte en m’assurant qu’il ne me suivait pas, puis, j’ouvrais et la faisais claquer
afin de faire croire que j’étais sorti puis je revenais à pas de loup dans le couloir jouxtant le
salon pour essayer de voir ou au moins entendre ce qui allait se passer. Mon cœur battait la
chamade tandis que mon sang quant à lui me semblait en ébullition partout dans mon corps.
J’approchais avec précaution de l’entrée du couloir quand j’entendis mon épouse demander
à notre ami s’il la trouvait à son goût et si le petit spectacle qu’elle lui avait offert lui avait plu.
Je tendais l’oreille pour entendre Hector lui répondre que non seulement ça lui avait plu
mais qu’il aurait bien aimé pouvoir rendre hommage à tous ces trésors qu’elle lui avait si
gentiment laissé découvrir. Je vous laisse découvrir alors, la conversation qui s’ensuivit.
– Mon mari ne s’occupe pas beaucoup de moi vous savez. Et moi aussi j’ai de gros
besoins et ce que vous avez dit m’a beaucoup intéressée.
– T’as trouvé l’homme qu’il te faut, ma chérie. Tiens regarde ce que le vieil Hector a, à te
donner.
– Waouhhhhhhhhhh ! Quel morceau. Je n’en ai jamais vu d’aussi grosse.
– Tu peux toucher, tu sais, ça ne mord pas. Allez, prends-là entre tes doigts.
– Hummmm. Vous bandez ferme Monsieur Hector. Ça me fait mouiller ma petite culotte
de toucher une aussi grosse bite.
– Branle-moi. Et soulèves tes jupes pour me montrer ta jolie petite chatte sans poils.
– Comme ça Monsieur Hector. C’est ça que vous voulez ?
– Oui, c’est bien. Enlève cette jolie petite culotte et installe-toi sur le fauteuil pour mieux
me montrer ton chaton.
– Vous m’excitez Monsieur Hector. Vous êtes un vieux cochon. Regardez l’état de ma
culotte.
– Allez, écarte tes cuisses. Oui, pose tes jambes sur les accoudoirs, comme ça. Voilà, oui,
ouvre-la avec tes doigts. Hummmmmm ! Ça m’a l’air d’être bien appétissant tout ça. Papa
Hector va te manger le chaton, tu m’en diras des nouvelles.
– Oh oui. Oh oui. Avec la langue. Ouiiiiiiiiiiii. C’est trop bon.
N’en pouvant plus d’entendre et ne rien voir. J’approchais de l’entrée du salon pour
découvrir ma femme installée dans l’un des fauteuils, les jambes largement écartées,
crochetées au niveau des genoux sur les accoudoirs avec notre ami, à genoux, la tête enfouie
entre ses cuisses. Ma femme était en train de se faire lécher la vulve par un vieil étalon en
mal de baise et elle avait l’air d’aimer ce qu’il lui faisait à en juger par les gémissements
qu’elle laissait échapper à intervalles réguliers.
– Monsieur Hector, Monsieur Hector, je vais venir. Je vais venir. N’arrêtez pas. N’arrêtez
pas.
– Jouis ma chérie. Jouis. T’es trop bonne, je t’adore ma chérie.
– Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ça y est. Ça y est. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Oh que
c’est bon. Oui. Ouiiiiiiiiiiii. La langue dans mon chaton, ouiiiii comme ça.
Aaaaaaaaaaaaahhhh !!!
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Elle était en train de prendre un sacré pied ma salope de moitié. Je n’en revenais pas qu’elle
se soit laissée culbutée aussi vite par ce vieux cochon d’Hector. Lui aussi avait l’air d’aimer ça.
Il l’a laissée jouir, le nez enfoui entre les lèvres de ma chérie puis, tout s’est emballé. Il s’est
relevé, le regard rivé sur l’entrejambe de Marine que je devinais bien ouverte et
dégoulinante de mouille mais aussi de sa salive. Il a fait glisser son pantalon pour laisser
apparaître un énorme mandrin surmonté d’un gland vraiment impressionnant. Je
comprenais tout à coup les exclamations de mon épouse lorsqu’elle avait découvert le
chibre du vieil homme.
– Tu me laisses te baiser maintenant, ma chérie ?
– Oh oui, Monsieur Hector. J’ai envie que vous m’enfiliez votre gros truc dans la chatte. Il
est énorme, ça m’excite. Regardez comme je mouille pour votre grosse bite, Monsieur
Hector.
– Hummmm ! T’es une bonne salope ma Marine. Je sens qu’on va bien s’entendre tous
les deux. Allez écarte-moi cette jolie minette, ouvre-la. Oui. Oui comme ça. Montre-moi
comme t’as envie de la grosse bite de ton vieil Hector.
– Venez Monsieur Hector. Mettez-la-moi. Je n’en peux plus. J’ai trop envie.
Il était déjà juste entre ses cuisses, la bite à la verticale. J’étais étonné à la fois par la
grosseur de son sexe mais aussi par sa rigidité. Moi qui pensait que les vieux ne bandaient
plus comme il faut, la vue de ce que proposait Hector à ma femme, m’a bien vite fait
comprendre à quel point j’étais dans l’erreur. Je ne pouvais malheureusement pas
m’approcher plus au risque d’être découvert dans mon rôle de voyeur mais j’étais frustré de
ne pas pouvoir assister au moment où la grosse bite allait s’enfoncer entre les chairs intimes
de ma chérie.
C’est Hector qui me permit finalement de tout voir lorsqu’il demanda comment j’allais
réagir si j’arrivais alors qu’ils étaient en pleine action. Marine lui avoua, que je savais ce qui
allait se passer lorsque j’avais prétexté devoir aller jusqu’à la voiture car c’est elle qui me
l’avait demandé afin de les laisser seuls.
– Tant mieux, car ça m’aurait ennuyé qu’il fasse un scandale.
– Ne vous inquiétez pas, Monsieur Hector. Il doit être caché en train de nous regarder, si
ça se trouve. Il a toujours rêvé de voir sa petite salope de femme se faire mettre par une
autre queue que la sienne.
– C’est vrai ? Humm. Moi aussi, j’aurais bien aimé voir ma Germaine se faire mettre par
un autre, mais elle n’a jamais voulu. Il a en de la chance ton petit mari, et moi aussi du
coup.
– Allez, Monsieur Hector. Baisez-moi maintenant. Fourrez ma petite chatte. Vous devez
en avoir sacrément envie non ? Depuis tout ce temps...
– C’est vrai. Ça fait tellement longtemps.
Sur ces mots, je sortais de ma cachette en lançant :
– Et ben Monsieur Hector, je vois que vous ne vous ennuyez pas. En train de sauter ma
femme dès que j’ai le dos tourné. Ce n’est pas très gentil ça, Monsieur Hector.
Hector leva ses yeux vers moi, ne sachant pas trop comment réagir devant mes propos, sa
grosse tige à la main.
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– Mettez-la-moi Monsieur Hector. Viens mon chéri, regarde comme il en a une grosse.
J’approchais du couple en commençant par libérer de son carcan mon propre sexe à l’étroit
depuis déjà un bon moment.
– Waouhhhhh ! Ben ça, c’est la première fois que j’en vois une aussi grosse, m’exclamais-
je.
Voyant que j’attendais moi aussi qu’il s’enfonce dans la chatte de ma femme, laquelle
semblait tout à coup encore plus petite devant cette barre de chair. Marine s’était redressée
pour mieux voir la bite la pénétrer, les yeux rivés sur son entrejambe, attendant
impatiemment d’être perforée, elle encourageait de la voix notre vieil ami.
– Oui. Oui. Venez Monsieur Hector, vous allez me faire mourir d’impatience.
Le gland commençait en s’enfoncer en écartant résolument les lèvres intimes, la hampe
maintenant suivait. Je levais les yeux vers Marine qui, la bouche grande ouverte, retenait son
souffle en sentant son sexe s’écarter à l’extrême pour libérer le passage du mandrin.
– Oh mon amour. Il est énorme dans ma chatte. Il va me défoncer. C’est fou de sentir un
gros truc comme ça s’enfoncer en moi. Je crois que je vais jouir, mon amour.
En entendant Marine me dire ça, Hector s’enfonça d’un seul coup, d’un puissant coup de
reins.
– Tiens ma chérie. Sens ma grosse bite dans ta petite chatte.
Marine poussa un cri sous l’assaut tandis qu’Hector la saisit aux cuisses pour lui asséner
rapidement deux ou trois énormes coups de reins, ce qui la fit partir aussitôt bruyamment.
– Aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh, je jouis. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, mon amour. Il me fait jouir
déjà. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah. C’est trop.
Elle n’arrivait déjà plus à parler. Une de ses mains me saisit un bras en me plantant ses
ongles dans la peau sous la puissance de l’orgasme. C’était la première fois que je voyais ma
femme jouir avec une autre bite que la mienne, figée dans son ventre, et surtout jouir aussi
rapidement. Ses yeux avaient basculés en arrière dans ses orbites pour ne plus laisser
apparaître que le blanc, comme lorsqu’elle jouit très fort.
– Branle-toi mon garçon. Branle-toi, ça ne t’excite pas ?
Oh que oui, ça m’excitait. Mes doigts se mirent en mouvement, mais le moins vite possible
pour ne pas jouir prématurément, et rester le plus longtemps possible dans cet état
euphorique que procure une intense excitation. J’avais chaud partout, mon sang dans ma
tête, était en train de bouillonner.
– Elle est belle ta femme. Tu en as de la chance d’avoir une femme aussi douée pour le
plaisir.
Marine n’entendait déjà plus rien, emportée par les vagues qui lui parcouraient le corps. Elle
semblait avoir carrément perdu connaissance. Hector quant à lui, s’était maintenant allongé
sur elle, son gros ventre appuyé sur celui si frêle de ma chérie. Je n’arrivais pas à détacher
mon regard de ses fesses en train de s’activer d’avant en arrière dans une rotation du bassin
des plus indécentes mais tellement excitantes.
Je me déplaçais même pour mieux voir son sexe entrer et sortir de la fente. Les chairs
écartelées à leur maximum, livides, semblaient sur le point de se déchirer à chaque assaut.
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Une folle envie de jouir me prenait aux tripes mais je réussissais néanmoins à ne pas céder
pour profiter encore de ce plaisir inouï, incroyable, de voir sa femme en train de jouir des
œuvres d’un autre mâle.
En plus d’avoir été vraiment bien loti par la nature, Hector était aussi très endurant. Il
attendait sagement que ma femme reprenne ses esprits en la limant lentement puis, il se
retira afin de s’agenouiller entre ses cuisses bien ouvertes. Il plongea son nez dans la fente,
entre les lèvres dégoulinantes des traces de sa dernière jouissance tantôt pour la dévorer,
tantôt pour sentir toutes ses odeurs de femelle en rut émanant d’elle. On aurait dit un
animal affamé, incapable de se maîtriser en face de cette fente grande ouverte, prête à
reprendre le mâle.
La scène me semblait tellement irréelle que j’en avais même du mal à réaliser que ce qui se
passait en ce moment devant mes yeux était tout ce qu’il y a de plus réel. Non, je ne rêvais
pas. Tout cela était bien en train de se passer. Hector ce vieux coquin était bien en train de
goûter aux effluves de ma chère Marine. Elle commençait à refaire surface. La bouche et la
langue de notre ami faisaient leur effet si bien qu’elle se mit à nouveau à gémir de plaisir, en
caressant la tête de celui qui était maintenant son amant.
– Oh oui, Monsieur Hector. Vous me faites du bien. Oui. Comme ça, sucez-le, il est gros le
mien aussi. Vous allez me faire venir encore.
Hector était aux anges. Il redoubla d’attention, si bien qu’en peu de temps je vis Marine se
raidir, tendre son ventre vers la bouche en train de la sucer, juste avant d’annoncer :
– Ouiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Ça vient. Ça vient. Aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh.
Et de se laisser emporter pour la 3ème fois par un nouvel orgasme, un peu moins fort que
les précédents mais bien réel. Tout de suite après avoir joui, elle dit à notre ami :
– Venez jouir en moi, Monsieur Hector, vous n’avez pas encore joui. J’ai envie de votre
sperme dans mon ventre.
Le vieil homme ne se fit pas prier. Il se redressa puis fit mettre Marine à genoux sur le
fauteuil, les reins bien cambrés, ses fesses offertes à la saillie puis, posa son vit dans l’entrée
de sa vulve et d’un coup de reins, s’enfonça jusqu’aux couilles en arrachant un cri de douleur
mais aussi et sûrement de plaisir d’être prise aussi puissamment.
Je me surpris à me remémorer le nombre d’orgasmes qu’elle avait déjà eus. Trois, trois en
vraiment peu de temps. Je n’avais jusqu’à présent, jamais été capable de lui en donner
autant. D’ailleurs ma femme ne s’y trompait pas, elle le regardait maintenant avec des yeux
de femme comblée, la tête tournée vers lui, prête à se donner, à tout lui donner.
Un petit pincement au cœur bien naturel se mit à me titiller tandis qu’elle était en train
d’encourager Hector à prendre son plaisir dans son ventre et la remplir de son sperme,
donnant des coups de reins pour aller s’empaler sur la colonne de chair. Hector se mit à
accélérer encore en laissant échapper des sons rauques qui me firent penser qu’il allait
bientôt jouir. Il tenta bien de ralentir et même de s’immobiliser mais Marine, lui supplia de
continuer, qu’elle voulait son jus d’homme si bien qu’il finit par abdiquer en la besognant de
plus belle, de plus en plus fort, de plus en plus profondément jusqu’à ce que l’orgasme
l’emporte. Il s’immobilisa enfin au terme d’une course effrénée, libérant ses jets de semence
à l’intérieur de ce ventre gourmand en criant son bonheur.
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Je regardais Marine, la tête toujours tournée vers son amant et je vis ses yeux basculer
encore lorsqu’elle sentit Hector commencer à se déverser en elle. Elle jouissait. Elle jouissait
pour la 4ème fois. C’en était trop, l’émotion, l’excitation me fit perdre pieds à mon tour.
J’explosais en libérant de puissantes giclées de sperme qui s’étalèrent sur la moquette de ce
cher Hector.
C’était fini. La frénésie sexuelle à laquelle nous avions tous les trois succombé, était en train
de se dissiper lentement. Marine, la poitrine appuyée sur le bord du fauteuil récupérait
doucement. Hector couché sur son dos faisant de même, et moi, les doigts couverts de
sperme, toujours enroulés autour de mon sexe revenu à des dimensions bien plus modestes,
je les regardais, partagé entre satisfaction d’avoir pu vivre ce fantasme vieux comme le
monde, et cette pointe de jalousie naturelle de voir sa moitié appartenir à un autre homme,
fusse-t-il septuagénaire.
Nous sommes épuisés, il est tard aussi, Hector nous propose de rester dormir chez lui dans
cette chambre d’amis qui ne sert plus depuis longtemps. Il ne serait pas raisonnable de
prendre la route à cette heure et après avoir autant bu aussi, j’accepte sa proposition malgré
une petite appréhension quant au déroulement de la nuit à venir.
Ayant accepté de dormir chez Hector, nous nous mettons au lit, Marine et moi, elle
complètement épuisée et moi, comme je vous l’avais déjà raconté, avec des sentiments
partagés d’excitation et d’homme cocufié, un peu mal placé je le reconnais.
J’essaie après la douche de discuter un peu pour évacuer ces pensées contradictoires, mais
Marine est vraiment trop fatiguée et ne comprends pas à la limite qu’après avoir tant insisté
pour qu’elle accepte de faire l’amour avec un autre homme, je ne sois pas complètement
satisfait qu’elle ait fini par accepter. Bref, elle s’endort rapidement me laissant un peu
frustré de n’avoir pas pu parler avec elle de ce qui me préoccupait.
Je n’arrive pas trouver le sommeil à mon tour, si bien que je finis par me lever pour aller
regarder la télévision dans le salon à l’autre bout de cet immense appartement. Je m’installe
dans le canapé qui a été quelques instants plus tôt, le théâtre de la réalisation de mon
fantasme, j’allume la télé sans vraiment suivre le film qui s’y déroule et je finis par
m’endormir.
Quand je me réveille bien plus tard les émissions sont terminées. L’écran noir est parsemé
de milliers de petits points blancs et pourtant, des bruits à peine audibles parviennent à moi.
Je réalise en prêtant l’oreille que c’est surement ce qui m’a tiré de ma torpeur. J’écoute plus
attentivement et là, il me semble identifier la voix de mon épouse et une autre plus grave. Je
me lève pour me diriger vers la source de ces bruits. Mon cœur bat la chamade quand
j’arrive dans le couloir menant aux chambres. Une faible lumière sort de celle où j’ai laissé
ma femme. J’en suis sûr maintenant, c’est bien elle, c’est bien la voix de mon épouse.
J’avance encore et là, sur le lit, je la vois à genoux complètement nue, ses reins bien cambrés,
les fesses offertes au dard qui la pourfends. Hector est là, derrière elle, il la tient fermement
par les hanches et l’attire vers lui en lui assénant des coups de reins tantôt lents et profonds,
tantôt secs et rapides.
La scène est d’une incroyable lubricité. Je ne sais plus si c’est l’excitation ou la contrariété de
se faire cocufier qui prédomine. Les petites mouvements de son bassin tandis qu’il la
pénètre me glacent le sang et m’échauffent les sens. Je le regarde impuissant, prendre son
plaisir dans le ventre de ma femme. Marine pousse des gémissements qu’elle essaie
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d’étouffer en mordant l’oreiller à pleines dents tandis qu’Hector l’invective. Elle secoue sa
tête de droite et de gauche, abasourdie par le plaisir qui la transperce. Mon cœur va
s’arrêter de battre devant ce spectacle torride offert par les deux amants.
– J’adore te la mettre ma chérie et toi aussi, t’aimes ça.
Marine ne parle presque pas. Elle vit à cent pour cent les vagues de plaisir qui la submergent.
Seuls des « oui, oui Monsieur Victor » sortent hachurés de sa bouche.
– Tu vas me laisser te baiser encore, n’est-ce pas ma chérie ?
– Oui, Monsieur Hector, oui. Faites-moi jouir encore.
– Tiens, prends ça et encore ça, ma chérie.
– Oh oui. Ouiiiiiiiiiiii. Ça vient.
Je n’en crois pas mes propres oreilles en réalisant qu’il l’a déjà faite jouir tandis que je
dormais tranquillement dans le canapé, et qu’il est sur le point de l’amener au plaisir une
fois de plus.
Je ne sais plus que faire, comment réagir en regardant ce vieil homme honorer ma femme
et la combler. Je ne me sens pas le droit d’intervenir. Elle est consentante, il ne la force pas.
Mon cœur bat en surrégime. Je vais faire un malaise tandis qu’enfin, Hector se raidit en
ordonnant à ma femme de jouir avec lui.
– Oh ouiiiiiiiiiiii. Je vous sens jouir dans mes fesses. Ouiiiiiiiiiiiiii. Aaaaaaaaaaaaaaaaaah.
Tous les deux se mettent à geindre de concert, emportés par un puissant orgasme. Je ne
peux m’empêcher d’imaginer le gros sexe d’Hector déverser ses jets de sperme dans la
petite chatte de ma femme. Il continue à la besogner jusqu’à ce qu’elle se laisse retomber,
sans force les bras en croix sur la couche, puis se retire et s’éclipse vers sa chambre. Je
l’entends alors lui souffler avant de partir :
– Merci ma chérie. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort.
– Allez-vous-en Monsieur Victor, vous me faites faire des bêtises. Ce n’est pas bien de
profiter de la faiblesse d’une femme mariée.
Je suis vraiment cocu maintenant. La première fois, c’était moi qui l’avait provoqué mais là,
là ce n’était plus du tout le cas. Ma femme avait accepté qu’il lui fasse l’amour sans savoir si
j’étais ou non d’accord et du coup, malgré l’excitation procurée par ce spectacle digne des
meilleurs films porno, je me rendais bien compte que le sentiment qui prédominait était
avant tout, l’angoisse de la perdre, la contrariété de voir ma femme se faire enfiler et jouir
pour son propre plaisir et non pour me faire plaisir.
Je m’enfuis dans le salon où je m’allonge en faisant semblant de dormir paisiblement, mais
mes neurones travaillent à plein régime. Il me faut trouver un moyen de la satisfaire, de les
satisfaire en gardant malgré tout le contrôle ou du moins essayer, sur ce qui va se passer.
J’attends qu’Hector retourne dans sa chambre puis je rejoins ma femme. Mes mains courent
sur son corps, caressent ses seins, ses reins, descendent vers ses fesses au galbe tellement
excitant. Mes doigts cherchent sa fente, la trouvent, j’y glisse un doigt. Elle est remplie de
son sperme. Elle se laisse faire en grognant, proteste quand j’essaie de la retourner pour la
prendre à mon tour.
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– Laisse-moi dormir s’il te plaît. Où étais-tu ? Hector est revenu me faire l’amour tout à
l’heure. Je n’en peux plus. Il faut que je dorme.
Je suis bien obligé de me rendre à l’évidence. Ce n’est pas cette nuit que je me soulagerais
dans le ventre de ma femme. Je suis contrarié mais finalement je m’endors au bout de la
nuit.
Le lendemain, Hector est au petit soin pour nous et pour ma femme en particulier. Il
apprécie beaucoup les talents culinaires de Marine, qui n’hésite pas à se mettre au fourneau
pour nous préparer un petit déjeuner comme elle sait le faire si bien. L’ambiance est chargée
d’émotion lorsque nous prenons congés. Je sens que rien ne sera jamais plus comme avant,
entre ces deux êtres au simple regard qu’ils échangent en partant, et au sourire que mon
épouse lui adresse, et au merci qu’elle lui glisse à l’oreille.
La vie reprend peu à peu son bonhomme de chemin. Mon épouse semble être redevenue
celle qu’elle était. Le souvenir de ses ébats avec Hector commence peu à peu à sortir de mes
pensées jusqu’au jour où Marine m’annonce qu’elle est allée rendre visite à Hector.
Immédiatement je lui demande s’ils ont fait l’amour. Elle hésite un moment puis, me
demande à son tour si ça m’embêtait qu’elle lui rende visite. Je lui assure que non, mais c’est
vraiment contraint et forcé, car de toute manière je sais que si je lui dis que oui, elle ira en
cachette sans m’en parler. Elle me demande alors s’il peut venir chez nous de temps en
temps aussi, je lui demande à mon tour si c’est pour faire l’amour ? Elle hésite encore puis
me répond que oui.
Elle s’assied alors et m’avoue qu’elle aime bien faire l’amour avec lui, que personne ne
l’avait jamais fait jouir comme ça, et que finalement elle ne regrettait pas d’avoir cédé à mes
caprices de la voir s’offrir à un autre homme.
Un coup de poignard me transperce le cœur. Réaliser un fantasme peut avoir des
conséquences inattendues et incontrôlables, la preuve.
Je sens qu’elle a envie de parler, de se confier et me dire à moi, son mari, ce qu’elle a sur le
cœur aussi, j’essaie de la mettre en confiance en lui disant de tout me raconter, pourquoi
était-elle allée lui rendre visite, ce qui s’était passé, qu’est-ce qu’elle comptait faire etc. etc.
Elle me regarde les larmes aux yeux avant de venir se blottir dans mes bras en me disant
qu’elle m’aimait et que ce qui s’était passé avec Hector n’avait rien à voir avec nous, notre
amour. C’était purement physique.
– Raconte-moi ma chérie
Elle commence alors son récit au moment où passant devant chez Hector, elle décide de
s’arrêter pour lui rendre une petite visite sachant que ça lui ferait plaisir mais en m’assurant
ne pas avoir d’arrières pensées en se garant devant chez lui. Il est fou de joie en la voyant sur
le pas de sa porte et emporté par son élan, l’étreint dans ses bras en lui faisant deux bises
bien sonores sur les joues. Ils prennent un thé tout en discutant puis la conversation dévie
inévitablement vers ce qui s’était passé ce fameux soir et là, Hector lui avoue avoir vécu sans
doute la plus belle nuit de sa vie et que s’il ne devait y avoir qu’une seule chose à demander
avant de partir rejoindre sa Germaine, ce serait d’avoir la chance qu’elle lui accorde encore
une fois ses faveurs. Il la regarde avec des yeux tellement expressifs de chien battu que
Marine, ne se sent pas le cœur à lui refuser ce que visiblement, il meurt d’envie de lui faire.
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Lorsqu’il s’approche pour prendre sa main et l’embrasser, elle se laisse faire en lui souriant.
C’est sans doute le signal qu’il attendait car aussitôt, il se met à genoux entre ses jambes.
Elle est assise dans le fauteuil sur lequel il l’a déjà fait jouir. Ses mains courent sur ses jambes,
remontent vers ses genoux, glissent vers l’intérieur de ses cuisses sans qu’elle ne réagisse
négativement. Sa jupe s’est relevée, découvrant son bas-ventre et sa petite culotte. Il lui dit
qu’il n’a jamais eu jusqu’à présent, la chance de voir et toucher une aussi belle femme
qu’elle, qu’il adorait la douceur de sa peau surtout là, dans l’intérieur de ses cuisses où c’est
si sensible. Il sait y faire et son attitude, ses paroles la font fondre.
Les mains ont progressé sans trouver de résistance si bien qu’elles sont maintenant sur son
sexe encore protégé par un slip transparent si petit qu’il ne cache rien de ses trésors. Hector
semble hypnotisé par la vision de cette petite chatte tellement attirante, il tire sans hésiter
sur le sous-vêtement pour découvrir complètement la vulve de ma chérie. Elle ne résiste pas
davantage quand il appuie sur ses genoux pour les écarter et lui permettre d’accéder à son
chaton. Son attitude, ce regard envieux posé sur sa vulve l’excite, pourquoi le nier ? Elle se
sent d’ailleurs toute mouillée et Hector ne peut pas, ne pas ne pas l’avoir vu. Il glisse un
doigt dans la fente, trouve l’entrée de la vulve, l’y enfonce.
– Tu es toute mouillée ma chérie ! Ça t’excite toi aussi !
– Oui, mais vous devriez arrêter Monsieur Hector, on va faire une bêtise.
– Laisse-toi faire. Je vois bien que toi aussi tu en as envie, ma chérie. Tu veux bien faire
plaisir au vieil Hector, n’est-ce pas ?
– Je ne sais pas, Monsieur Hector. Je ne veux pas tromper mon mari.
– Il a bien aimé la première fois, non ?
– Oui, mais il était avec nous, tandis que là, ce n’est pas pareil.
Tout en parlant, loin d’arrêter son exploration, Hector lui glisse un deuxième doigt dans la
chatte en commençant à les faire coulisser de plus en plus profondément. Marine ferme les
yeux, elle sait que plus rien n’arrêtera ce vieux cochon d’Hector et puis, ses doigts lui font du
bien d’autant qu’avec son pouce, il se met à titiller habillement son clitoris.
Des gémissements incontrôlés s’échappent maintenant de sa gorge. Elle écarte d’elle-même
plus largement ses cuisses pour permettre à Hector de s’installer entre elles. C’est le signe
qu’elle accepte complètement ce qui est en train d’arriver. Hector se penche vers son sexe.
Sa langue entre en action, s’infiltre entre les lèvres de sa fente, déniche son bouton qu’il fait
sortir de sa gaine, le prend entre ses lèvres pour se mettre à le sucer comme une petite bite.
Il la suce comme elle aime, ils sont au diapason si bien que rapidement un orgasme monte
de ses reins, la submerge. Les vagues de plaisir prennent possession de son corps tout entier.
Elle jouit bruyamment pour le plus grand plaisir de son amant qui en profite pour se relever.
Il est nu entre ses cuisses grandes ouvertes, son gros sexe fièrement dressé contre son
ventre. Marine, sonnée par la jouissance toute proche entrouvre néanmoins les yeux en
sentant Hector poser son gland dans l’ouverture béante de sa fente.
– Oh ma chérie, tu es vraiment trop belle ! Laisse-moi te la mettre.
Elle n’a pas le cœur à lui refuser ce plaisir. Elle lui sourit en signe d’acquiescement. D’un
coup de reins il s’enfonce en elle sans le moindre effort. Ses chairs abondamment lubrifiées
l’avalent goulument, étreignant son phallus pour ne plus faire qu’un avec lui. Quand il
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commence à s’activer en elle, la sensation est tellement forte qu’elle ne peut s’empêcher de
l’encourager.
– Oh ouiiiiii. Ouiiiiiii, Monsieur Hector. Plus fort. Prenez-moi plus fort. Vous me faites
tellement de bien.
– Oh, ma chérie....
– Ouiiiiiii. Encore. Plus fort. Oh mon dieu, mon dieu...
Le vieil Hector la possédait maintenant à grands coups de reins faisant trembler sa croupe,
la masse de son fessier à chaque fois que son ventre, ses cuisses frappaient l’arrière-train de
ma chérie, la faisant monter rapidement vers les sommets du plaisir. Elle ne se contrôlait
plus, plus rien ne comptait hormis ces ondes de plaisir de plus en plus rapprochés qui
augmentaient en intensité dans son ventre, ses reins.
Le souffle court elle se livrait maintenant de toutes ses tripes à la vague sur le point de la
submerger. Ses muscles étaient en train de se tendre, son ventre et ses fesses se durcir, elle
allait jouir d’une seconde à l’autre. Un dernier coup de reins plus puissant que les autres et
la voilà, succombant à un nouvel orgasme.
– Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh ! Monsieur Hector. Ouiiiiiiiiiiiii.
L’homme jubile intérieurement devant cette femme magnifique qu’il est en train de
posséder et qu’il fait jouir si fort, si facilement. Il ralentit la cadence de ses va-et-vient pour
ne pas jouir à son tour, mais tient à l’accompagner jusqu’au bout de sa jouissance. Il lui
caresse le ventre, ses seins dont les tétons pointent vers le plafond. Il apprécie le spectacle
de femme comblée vaincue par le plaisir.
Elle est tellement belle et excitante que sa seule envie est d’en profiter encore et encore. La
fin de son orgasme se termine, elle récupère doucement, son visage quelques secondes plus
tôt déformé par le plaisir est à nouveau, éclatant de beauté, à peine marqué par ses deux
jouissances. Elle ouvre difficilement les yeux, lui sourit encore tandis qu’il se repaît de la
vision de son corps alangui, totalement livré à ses désirs. Elle est totalement détendue.
Hector en profite pour se dégager doucement puis la prendre dans ses bras pour la soulever
et se diriger vers sa chambre, étonnement à l’aise malgré son âge.
Marine est totalement consentante. Hector n’a pas joui et elle sait qu’il va encore la prendre.
Elle se laisse faire tandis qu’il la dépose sur le lit puis la retourne pour la mettre à genoux. Il
veut la posséder en levrette. Il lui mordille les fesses, plonge son nez entre ses globes en
léchant son anus tout en grognant d’excitation. Elle se sent inondée, sa mouille lui coule le
long des cuisses, une odeur de femelle en chaleur monte à ses narines.
Quand il se redresse derrière elle, c’est son sexe dur et doux à la fois qu’elle sent contre ses
globes de chair. Elle les écarte d’elle-même, dans une invite sans équivoque. Elle a envie de
se sentir sienne. Elle a envie de sentir l’homme faire d’elle sa femelle. Il a la même envie.
Son gland s’enfonce en elle lentement, doucement jusqu’à buter tout au fonds contre sa
matrice. Un long gémissement de satisfaction s’échappe alors de sa gorge quand elle le sent
entièrement en elle. Elle le serre dans son fourreau, le masse, le suce même. Il aime ça et ne
se prive pas de le lui dire.
– Oui, ma chérie, Ouiiiiiiiii. T’es trop bonne.
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Il se laisse faire de longues secondes puis commence à bouger. Des va-et-vient lents et
profonds qui ne tardent pas à tirer de nouveaux gémissements de sa maîtresse. Ses doigts
s’attardent sur les fesses, parcours la raie jusqu’à ce que l’un d’eux s’attaque à la petite
corolle brune couverte des secrétions des précédentes jouissances.
Marine aime bien que l’on s’en occupe aussi, rien dans son attitude n’empêche Hector de
poursuivre ce qu’il a en tête. Le doigt bien lubrifié s’enfonce dans l’anneau dont les plis
s’ouvrent facilement pour libérer le passage. Une phalange, deux puis le majeur tout entier
coulisse dans le rectum de ma femme, lui procurant d’agréables sensations en augmentant
celles déjà bien présentes du bâton de chair qui la pourfend de plus en plus puissamment.
Les gémissements prennent de l’amplitude, un deuxième doigt dans son fondement rejoint
le premier.
L’entrée de son anus est maintenant bien ouverte. Marine se laisse emporter par la spirale
du plaisir malgré l’appréhension sourde de la sodomie qui s’annonce. Elle n’est plus en état
de réfléchir, de résister si l’envie de lui faire subir le dernier outrage le prenait. Je ne
m’occupe pas très souvent de son anus, pas assez à son goût mais la taille du chibre n’est
pas fait pour la rassurer. Les coups de reins qu’il lui assène lui font un bien fou. La tête lui
tourne, elle a chaud de partout, les muscles de son bas-ventre, de ses fesses, de ses cuisses
se tendent. Elle va jouir encore une fois tandis que les deux doigts entre ses fesses sont
rejoints par un troisième.
Elle se sent ouverte comme jamais elle ne l’a été. L’envie de jouir est trop forte, la vague qui
monte en elle l’amène irrésistiblement au sommet du plaisir. Sa vision se trouble, ses
pensées lui échappent, un n-ième orgasme l’emporte. Elle crie, hurle même sa jouissance en
tremblant de tous ses membres. Elle jouit, jouit encore et encore, pleure presque de tant de
plaisir.
Hector se retire prestement de son ventre et, d’un coup de reins s’enfonce dans cet anus
qu’il a si bien préparé. Les sphincters ne résistent pas longtemps à la puissance du chibre au
sommet de sa puissance. Ils cèdent pour laisser la verge s’engouffrer toute entière et
prendre possession du fourreau de chair. La douleur est intense mais jouissive. Marine mord
l’oreiller à pleines dents pour étouffer le cri qui s’échappe de sa gorge. Elle ne s’est jamais
sentie aussi pleinement possédée.
– Oh Monsieur Hector, vous... vous...
Son amant s’est immobilisé bien calé au fonds de ses reins. Il sait que quelques secondes
seront suffisantes pour qu’elle s’habitue à son imposante présence. Il n’est pas pressé.
Marine souffle, cherche l’air, elle se met à haleter comme un jeune chiot. La douleur est
tellement forte qu’elle a l’impression que son anus va se déchirer. Heureusement, celle-ci
s’estompe rapidement.
D’elle-même, elle commence à bouger son cul, avançant doucement pour faire sortir le pieu
de chair puis reculant aussitôt pour se ré-empaler. Le plus dur est fait, toute la longueur du
chibre coulisse maintenant entre ses fesses. Hector la prends aux hanches, s’y agrippe et
commence lui aussi à s’activer. La sensation est monstrueuse, jamais elle n’a été prise aussi
puissamment.
Elle ne sait plus qui de la douleur sourde, qui de l’énorme sensation de plénitude entre ses
fesses prédomine. Son amant lui caresse les reins et les fesses. Il est aux anges de pouvoir
sodomiser une aussi séduisante jeune femme. Une de ses mains passe sous son ventre, ses
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doigts filent vers sa fente pour s’attaquer à son clitoris pareil à une petite bite. Il le branle en
le pinçant doucement entre ses doigts. Le plaisir revient. Ma femme se sent possédée
comme jamais. La grosse colonne de chair entre et sort de ses chairs à une cadence de plus
en plus rapide. Elle se surprend à donner elle aussi des coups de reins pour se faire
embrocher le plus profondément possible. Sa voix est rauque comme à chaque fois que le
plaisir est trop fort. Elle l’encourage, le supplie de la défoncer encore plus fort en assurant
qu’elle aimait çà.
J’en suis tout retourné d’entendre de sa bouche le récit de cette sodomie. Je ne peux nier
que ça m’excite mais savoir malgré tout qu’elle lui a offert son si adorable petit cul me fait
quelque chose. La réalité dépasse parfois le fantasme, et c’est bien ce qui est en train de
m’arriver. J’imagine Hector, son gros ventre posé sur les fesses de ma femme et sa grosse
bite en train de coulisser dans son rectum.
Je bande, toujours partagé entre des sentiments aussi contradictoires qu’excitation, plaisir et
jalousie. Une folle envie de profiter à mon tour des charmes de ma femme me tenaille. Elle
sait ce à quoi je pense simplement en croisant mon regard. Sa main descend vers mon
entrejambe, frôle ma queue déjà bien raide, à travers le tissu de mon pantalon.
– Tu veux que je te suce, mon amour. Ça t’a excité ce que je t’ai raconté, n’est-ce pas ?
– Tu t’es conduite comme une salope. Tu m’as trompé.
– C’est vrai mon amour, mais regarde comme ça t’excite que ta petite femme se laisse
sauter par le vieil Hector.
– Je n’en reviens pas que tu l’ais laissé te prendre par derrière.
Tout en me parlant, elle a descendu la fermeture éclair de mon pantalon et sorti
rapidement ma verge. Elle est déjà en train de me branler quand elle me dit :
– J’ai envie de te sucer mon amour. Je ne l’ai pas fait avec Hector tu sais ! J’ai envie que
tu jouisses dans ma bouche pour me faire pardonner.
– Il t’a bien fait jouir ?
– Oui, il baise vachement bien ce salaud.
Ses lèvres se posent sur mon gland, l’enveloppe. Sa langue lèche mes couilles par-en-
dessous. C’est divin. Je ferme les yeux, vaincu par le plaisir qui prend possession de mon bas-
ventre.
– Tu aimes, mon amour ?
– Oui, mais t’es comme même une belle salope.
Elle me caresse les fesses en m’attirant dans sa bouche qu’elle ouvre au maximum pour me
faire entrer dans sa gorge. Elle ne n’avait jamais fait ça jusqu’à présent. Elle veut se faire
pardonner c’est sûr. Elle se donne comme elle ne l’a jamais fait. Je sens mon gland serré
dans son arrière-gorge, elle s’en sert comme de sa chatte et me fait aller-et-venir de plus en
plus vite au risque de s’étouffer. De temps en temps, elle me fait sortir pour tousser une ou
deux fois puis me reprend toujours aussi profondément. Elle veut me faire jouir. Je ne vais
pas résister longtemps à ce traitement. Tous mes muscles se tendent déjà, j’ai chaud de
partout, ma tête bourdonne, mes pensées se brouillent. Le plaisir est trop fort.
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Je lui crie que je vais jouir. Elle redouble d’efforts. Une vague plus forte que les autres et
j’explose dans un énorme orgasme. Mon sperme gicle. Un, deux, trois puis quatre puissantes
salves que mon épouse avale sans broncher. Elle déglutit toute ma semence tandis qu’en
ouvrant péniblement les yeux, je le vois en train de se repaître de moi en plein extase. Elle a
l’air de sourire malgré la barre de chair qui s’enfonce entre ses lèvres. Elle me boit jusqu’à la
dernière goutte puis, lorsque c’est fini, elle pose sa tête sur mon ventre pour me laisser
récupérer de ma jouissance tout en me caressant les cuisses et les bourses comme j’aime
qu’elle le fasse.
– C’était bon mon chéri ?
Je suis encore sonné d’avoir joui aussi fort. Je lui caresse les cheveux en signe
d’acquiescement, mais je ne suis pas dupe car je sais que c’est un moyen efficace qu’elle a
de se faire pardonner, et surtout d’obtenir ce qu’elle attend de moi, comme par exemple ne
pas essayer de l’empêcher de voir notre presque septuagénaire Hector.
Une suite peut-être bientôt...
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