Ma Femme s'offre à un Vieux

13
1 MA FEMME SOFFRE À UN VIEUX L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a bien longtemps de cela. Je vivais avec ma première femme, Marine, une ravissante blonde de vingt-cinq ans à l’époque. Ce soir-là, je ne me souviens plus comment et pourquoi, nous nous trouvions chez Hector, un presque septuagénaire ami de la famille de mon épouse. Il nous avait demandé de rester dîner avec lui prétextant qu’il n’avait pas beaucoup l’occasion d’avoir de la compagnie. Il était sympa malgré ses regards indiscrets entre les jambes ou la croupe de mon épouse. Nous avons finalement accepté. Les apéritifs puis le vin et enfin les digestifs aidants, la discussion a comme souvent, dérivé vers le sexe. Ça m’amusait beaucoup de le voir dévorer des yeux ma jeune compagne car je me disais qu’un homme de cet âge ne pouvait pas être une grande menace, sexuellement parlant, même si je savais que mon épouse pour sa part, était assez attirée par les hommes bien plus âgés qu’elle. La discussion est devenue de plus en plus hard. C’est ainsi qu’il nous apprit qu’il avait toujours eu de gros besoins sexuels et que depuis la mort de sa femme, il souffrait beaucoup de ne plus pouvoir satisfaire ses pulsions et les masturbations quotidiennes auxquelles il se livrait, ne pourraient jamais remplacer le plaisir de pénétrer un sexe féminin, lécher une chatte, en sentir l’odeur et surtout, surtout la faire jouir car c’était ce qu’il aimait par-dessus dans le sexe. Elle ne pouvait pas ignorer qu’elle l’excitait et bizarrement, ça avait l’air de l’exciter elle aussi. Je ne l’avais jamais vue se conduire de la sorte, se penchant ostensiblement pour laisser notre vieil ami plonger son regard dans son décolleté ou ouvrir ses cuisses bien plus qu’elle ne le devrait afin qu’il puisse lorgner sa petite culotte. Je profitais alors d’une courte absence de notre ami pour réprimander mon épouse en lui disant que ce n’était pas sympa de l’exciter comme ça pour rien. Contre toute attente, elle me fit comprendre qu’elle avait envie de lui faire plaisir et que si j’étais d’accord, elle se sentait d’humeur à éteindre le feu qu’elle avait allumé. J’avais comme beaucoup d’hommes je pense, le fantasme de voir ma femme se laisser embrocher et jouir sous les assauts d’un autre mâle mais jamais je n’avais pensé à un vieux pour satisfaire ce fantasme. Ne sachant pas trop comment réagir je décidais de prendre ce qu’elle venait de dire pour une plaisanterie de mauvais goût aussi je lui murmurais le plus discrètement possible : – Tu serais bien embêtée si je te prenais au mot ! C’est alors qu’elle me rétorqua, sûre d’elle : – Arrange-toi pour nous laisser seuls. Je m’occupe du reste. Et ne reviens pas trop vite !!! Se pourrait-il que mon vieux fantasme se réalise. En tout cas son aplomb m’avait déstabilisé. Avant que je ne puisse lui répondre, notre hôte était déjà revenu. La tête en pleine ébullition, sans savoir pourquoi, je trouvais un prétexte sans queue ni tête pour aller à la voiture stationnée dans un parking public à plusieurs minutes de là, et les laisser seuls comme me l’avait demandé mon épouse. Je me levais et sortait de l’appartement rapidement en demandant à notre hôte si je pouvais prendre ses clés afin qu’il n’ait pas à se lever pour m’ouvrir lorsque je reviendrais. Je

description

Une femme s'offre à un septuagénaire pour le plus grand plaisir de son mari.

Transcript of Ma Femme s'offre à un Vieux

Page 1: Ma Femme s'offre à un Vieux

1

MA FEMME S’OFFRE À UN VIEUX

L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a bien longtemps de cela. Je vivais avec

ma première femme, Marine, une ravissante blonde de vingt-cinq ans à l’époque. Ce soir-là,

je ne me souviens plus comment et pourquoi, nous nous trouvions chez Hector, un presque

septuagénaire ami de la famille de mon épouse. Il nous avait demandé de rester dîner avec

lui prétextant qu’il n’avait pas beaucoup l’occasion d’avoir de la compagnie. Il était sympa

malgré ses regards indiscrets entre les jambes ou la croupe de mon épouse. Nous avons

finalement accepté.

Les apéritifs puis le vin et enfin les digestifs aidants, la discussion a comme souvent, dérivé

vers le sexe. Ça m’amusait beaucoup de le voir dévorer des yeux ma jeune compagne car je

me disais qu’un homme de cet âge ne pouvait pas être une grande menace, sexuellement

parlant, même si je savais que mon épouse pour sa part, était assez attirée par les hommes

bien plus âgés qu’elle. La discussion est devenue de plus en plus hard.

C’est ainsi qu’il nous apprit qu’il avait toujours eu de gros besoins sexuels et que depuis la

mort de sa femme, il souffrait beaucoup de ne plus pouvoir satisfaire ses pulsions et les

masturbations quotidiennes auxquelles il se livrait, ne pourraient jamais remplacer le plaisir

de pénétrer un sexe féminin, lécher une chatte, en sentir l’odeur et surtout, surtout la faire

jouir car c’était ce qu’il aimait par-dessus dans le sexe.

Elle ne pouvait pas ignorer qu’elle l’excitait et bizarrement, ça avait l’air de l’exciter elle

aussi. Je ne l’avais jamais vue se conduire de la sorte, se penchant ostensiblement pour

laisser notre vieil ami plonger son regard dans son décolleté ou ouvrir ses cuisses bien plus

qu’elle ne le devrait afin qu’il puisse lorgner sa petite culotte.

Je profitais alors d’une courte absence de notre ami pour réprimander mon épouse en lui

disant que ce n’était pas sympa de l’exciter comme ça pour rien. Contre toute attente, elle

me fit comprendre qu’elle avait envie de lui faire plaisir et que si j’étais d’accord, elle se

sentait d’humeur à éteindre le feu qu’elle avait allumé.

J’avais comme beaucoup d’hommes je pense, le fantasme de voir ma femme se laisser

embrocher et jouir sous les assauts d’un autre mâle mais jamais je n’avais pensé à un vieux

pour satisfaire ce fantasme. Ne sachant pas trop comment réagir je décidais de prendre ce

qu’elle venait de dire pour une plaisanterie de mauvais goût aussi je lui murmurais le plus

discrètement possible :

– Tu serais bien embêtée si je te prenais au mot !

C’est alors qu’elle me rétorqua, sûre d’elle :

– Arrange-toi pour nous laisser seuls. Je m’occupe du reste. Et ne reviens pas trop vite !!!

Se pourrait-il que mon vieux fantasme se réalise. En tout cas son aplomb m’avait déstabilisé.

Avant que je ne puisse lui répondre, notre hôte était déjà revenu. La tête en pleine ébullition,

sans savoir pourquoi, je trouvais un prétexte sans queue ni tête pour aller à la voiture

stationnée dans un parking public à plusieurs minutes de là, et les laisser seuls comme me

l’avait demandé mon épouse.

Je me levais et sortait de l’appartement rapidement en demandant à notre hôte si je

pouvais prendre ses clés afin qu’il n’ait pas à se lever pour m’ouvrir lorsque je reviendrais. Je

Page 2: Ma Femme s'offre à un Vieux

2

filais vers la porte en m’assurant qu’il ne me suivait pas, puis, j’ouvrais et la faisais claquer

afin de faire croire que j’étais sorti puis je revenais à pas de loup dans le couloir jouxtant le

salon pour essayer de voir ou au moins entendre ce qui allait se passer. Mon cœur battait la

chamade tandis que mon sang quant à lui me semblait en ébullition partout dans mon corps.

J’approchais avec précaution de l’entrée du couloir quand j’entendis mon épouse demander

à notre ami s’il la trouvait à son goût et si le petit spectacle qu’elle lui avait offert lui avait plu.

Je tendais l’oreille pour entendre Hector lui répondre que non seulement ça lui avait plu

mais qu’il aurait bien aimé pouvoir rendre hommage à tous ces trésors qu’elle lui avait si

gentiment laissé découvrir. Je vous laisse découvrir alors, la conversation qui s’ensuivit.

– Mon mari ne s’occupe pas beaucoup de moi vous savez. Et moi aussi j’ai de gros

besoins et ce que vous avez dit m’a beaucoup intéressée.

– T’as trouvé l’homme qu’il te faut, ma chérie. Tiens regarde ce que le vieil Hector a, à te

donner.

– Waouhhhhhhhhhh ! Quel morceau. Je n’en ai jamais vu d’aussi grosse.

– Tu peux toucher, tu sais, ça ne mord pas. Allez, prends-là entre tes doigts.

– Hummmm. Vous bandez ferme Monsieur Hector. Ça me fait mouiller ma petite culotte

de toucher une aussi grosse bite.

– Branle-moi. Et soulèves tes jupes pour me montrer ta jolie petite chatte sans poils.

– Comme ça Monsieur Hector. C’est ça que vous voulez ?

– Oui, c’est bien. Enlève cette jolie petite culotte et installe-toi sur le fauteuil pour mieux

me montrer ton chaton.

– Vous m’excitez Monsieur Hector. Vous êtes un vieux cochon. Regardez l’état de ma

culotte.

– Allez, écarte tes cuisses. Oui, pose tes jambes sur les accoudoirs, comme ça. Voilà, oui,

ouvre-la avec tes doigts. Hummmmmm ! Ça m’a l’air d’être bien appétissant tout ça. Papa

Hector va te manger le chaton, tu m’en diras des nouvelles.

– Oh oui. Oh oui. Avec la langue. Ouiiiiiiiiiiii. C’est trop bon.

N’en pouvant plus d’entendre et ne rien voir. J’approchais de l’entrée du salon pour

découvrir ma femme installée dans l’un des fauteuils, les jambes largement écartées,

crochetées au niveau des genoux sur les accoudoirs avec notre ami, à genoux, la tête enfouie

entre ses cuisses. Ma femme était en train de se faire lécher la vulve par un vieil étalon en

mal de baise et elle avait l’air d’aimer ce qu’il lui faisait à en juger par les gémissements

qu’elle laissait échapper à intervalles réguliers.

– Monsieur Hector, Monsieur Hector, je vais venir. Je vais venir. N’arrêtez pas. N’arrêtez

pas.

– Jouis ma chérie. Jouis. T’es trop bonne, je t’adore ma chérie.

– Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ça y est. Ça y est. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Oh que

c’est bon. Oui. Ouiiiiiiiiiiii. La langue dans mon chaton, ouiiiii comme ça.

Aaaaaaaaaaaaahhhh !!!

Page 3: Ma Femme s'offre à un Vieux

3

Elle était en train de prendre un sacré pied ma salope de moitié. Je n’en revenais pas qu’elle

se soit laissée culbutée aussi vite par ce vieux cochon d’Hector. Lui aussi avait l’air d’aimer ça.

Il l’a laissée jouir, le nez enfoui entre les lèvres de ma chérie puis, tout s’est emballé. Il s’est

relevé, le regard rivé sur l’entrejambe de Marine que je devinais bien ouverte et

dégoulinante de mouille mais aussi de sa salive. Il a fait glisser son pantalon pour laisser

apparaître un énorme mandrin surmonté d’un gland vraiment impressionnant. Je

comprenais tout à coup les exclamations de mon épouse lorsqu’elle avait découvert le

chibre du vieil homme.

– Tu me laisses te baiser maintenant, ma chérie ?

– Oh oui, Monsieur Hector. J’ai envie que vous m’enfiliez votre gros truc dans la chatte. Il

est énorme, ça m’excite. Regardez comme je mouille pour votre grosse bite, Monsieur

Hector.

– Hummmm ! T’es une bonne salope ma Marine. Je sens qu’on va bien s’entendre tous

les deux. Allez écarte-moi cette jolie minette, ouvre-la. Oui. Oui comme ça. Montre-moi

comme t’as envie de la grosse bite de ton vieil Hector.

– Venez Monsieur Hector. Mettez-la-moi. Je n’en peux plus. J’ai trop envie.

Il était déjà juste entre ses cuisses, la bite à la verticale. J’étais étonné à la fois par la

grosseur de son sexe mais aussi par sa rigidité. Moi qui pensait que les vieux ne bandaient

plus comme il faut, la vue de ce que proposait Hector à ma femme, m’a bien vite fait

comprendre à quel point j’étais dans l’erreur. Je ne pouvais malheureusement pas

m’approcher plus au risque d’être découvert dans mon rôle de voyeur mais j’étais frustré de

ne pas pouvoir assister au moment où la grosse bite allait s’enfoncer entre les chairs intimes

de ma chérie.

C’est Hector qui me permit finalement de tout voir lorsqu’il demanda comment j’allais

réagir si j’arrivais alors qu’ils étaient en pleine action. Marine lui avoua, que je savais ce qui

allait se passer lorsque j’avais prétexté devoir aller jusqu’à la voiture car c’est elle qui me

l’avait demandé afin de les laisser seuls.

– Tant mieux, car ça m’aurait ennuyé qu’il fasse un scandale.

– Ne vous inquiétez pas, Monsieur Hector. Il doit être caché en train de nous regarder, si

ça se trouve. Il a toujours rêvé de voir sa petite salope de femme se faire mettre par une

autre queue que la sienne.

– C’est vrai ? Humm. Moi aussi, j’aurais bien aimé voir ma Germaine se faire mettre par

un autre, mais elle n’a jamais voulu. Il a en de la chance ton petit mari, et moi aussi du

coup.

– Allez, Monsieur Hector. Baisez-moi maintenant. Fourrez ma petite chatte. Vous devez

en avoir sacrément envie non ? Depuis tout ce temps...

– C’est vrai. Ça fait tellement longtemps.

Sur ces mots, je sortais de ma cachette en lançant :

– Et ben Monsieur Hector, je vois que vous ne vous ennuyez pas. En train de sauter ma

femme dès que j’ai le dos tourné. Ce n’est pas très gentil ça, Monsieur Hector.

Hector leva ses yeux vers moi, ne sachant pas trop comment réagir devant mes propos, sa

grosse tige à la main.

Page 4: Ma Femme s'offre à un Vieux

4

– Mettez-la-moi Monsieur Hector. Viens mon chéri, regarde comme il en a une grosse.

J’approchais du couple en commençant par libérer de son carcan mon propre sexe à l’étroit

depuis déjà un bon moment.

– Waouhhhhh ! Ben ça, c’est la première fois que j’en vois une aussi grosse, m’exclamais-

je.

Voyant que j’attendais moi aussi qu’il s’enfonce dans la chatte de ma femme, laquelle

semblait tout à coup encore plus petite devant cette barre de chair. Marine s’était redressée

pour mieux voir la bite la pénétrer, les yeux rivés sur son entrejambe, attendant

impatiemment d’être perforée, elle encourageait de la voix notre vieil ami.

– Oui. Oui. Venez Monsieur Hector, vous allez me faire mourir d’impatience.

Le gland commençait en s’enfoncer en écartant résolument les lèvres intimes, la hampe

maintenant suivait. Je levais les yeux vers Marine qui, la bouche grande ouverte, retenait son

souffle en sentant son sexe s’écarter à l’extrême pour libérer le passage du mandrin.

– Oh mon amour. Il est énorme dans ma chatte. Il va me défoncer. C’est fou de sentir un

gros truc comme ça s’enfoncer en moi. Je crois que je vais jouir, mon amour.

En entendant Marine me dire ça, Hector s’enfonça d’un seul coup, d’un puissant coup de

reins.

– Tiens ma chérie. Sens ma grosse bite dans ta petite chatte.

Marine poussa un cri sous l’assaut tandis qu’Hector la saisit aux cuisses pour lui asséner

rapidement deux ou trois énormes coups de reins, ce qui la fit partir aussitôt bruyamment.

– Aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh, je jouis. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, mon amour. Il me fait jouir

déjà. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah. C’est trop.

Elle n’arrivait déjà plus à parler. Une de ses mains me saisit un bras en me plantant ses

ongles dans la peau sous la puissance de l’orgasme. C’était la première fois que je voyais ma

femme jouir avec une autre bite que la mienne, figée dans son ventre, et surtout jouir aussi

rapidement. Ses yeux avaient basculés en arrière dans ses orbites pour ne plus laisser

apparaître que le blanc, comme lorsqu’elle jouit très fort.

– Branle-toi mon garçon. Branle-toi, ça ne t’excite pas ?

Oh que oui, ça m’excitait. Mes doigts se mirent en mouvement, mais le moins vite possible

pour ne pas jouir prématurément, et rester le plus longtemps possible dans cet état

euphorique que procure une intense excitation. J’avais chaud partout, mon sang dans ma

tête, était en train de bouillonner.

– Elle est belle ta femme. Tu en as de la chance d’avoir une femme aussi douée pour le

plaisir.

Marine n’entendait déjà plus rien, emportée par les vagues qui lui parcouraient le corps. Elle

semblait avoir carrément perdu connaissance. Hector quant à lui, s’était maintenant allongé

sur elle, son gros ventre appuyé sur celui si frêle de ma chérie. Je n’arrivais pas à détacher

mon regard de ses fesses en train de s’activer d’avant en arrière dans une rotation du bassin

des plus indécentes mais tellement excitantes.

Je me déplaçais même pour mieux voir son sexe entrer et sortir de la fente. Les chairs

écartelées à leur maximum, livides, semblaient sur le point de se déchirer à chaque assaut.

Page 5: Ma Femme s'offre à un Vieux

5

Une folle envie de jouir me prenait aux tripes mais je réussissais néanmoins à ne pas céder

pour profiter encore de ce plaisir inouï, incroyable, de voir sa femme en train de jouir des

œuvres d’un autre mâle.

En plus d’avoir été vraiment bien loti par la nature, Hector était aussi très endurant. Il

attendait sagement que ma femme reprenne ses esprits en la limant lentement puis, il se

retira afin de s’agenouiller entre ses cuisses bien ouvertes. Il plongea son nez dans la fente,

entre les lèvres dégoulinantes des traces de sa dernière jouissance tantôt pour la dévorer,

tantôt pour sentir toutes ses odeurs de femelle en rut émanant d’elle. On aurait dit un

animal affamé, incapable de se maîtriser en face de cette fente grande ouverte, prête à

reprendre le mâle.

La scène me semblait tellement irréelle que j’en avais même du mal à réaliser que ce qui se

passait en ce moment devant mes yeux était tout ce qu’il y a de plus réel. Non, je ne rêvais

pas. Tout cela était bien en train de se passer. Hector ce vieux coquin était bien en train de

goûter aux effluves de ma chère Marine. Elle commençait à refaire surface. La bouche et la

langue de notre ami faisaient leur effet si bien qu’elle se mit à nouveau à gémir de plaisir, en

caressant la tête de celui qui était maintenant son amant.

– Oh oui, Monsieur Hector. Vous me faites du bien. Oui. Comme ça, sucez-le, il est gros le

mien aussi. Vous allez me faire venir encore.

Hector était aux anges. Il redoubla d’attention, si bien qu’en peu de temps je vis Marine se

raidir, tendre son ventre vers la bouche en train de la sucer, juste avant d’annoncer :

– Ouiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Ça vient. Ça vient. Aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh.

Et de se laisser emporter pour la 3ème fois par un nouvel orgasme, un peu moins fort que

les précédents mais bien réel. Tout de suite après avoir joui, elle dit à notre ami :

– Venez jouir en moi, Monsieur Hector, vous n’avez pas encore joui. J’ai envie de votre

sperme dans mon ventre.

Le vieil homme ne se fit pas prier. Il se redressa puis fit mettre Marine à genoux sur le

fauteuil, les reins bien cambrés, ses fesses offertes à la saillie puis, posa son vit dans l’entrée

de sa vulve et d’un coup de reins, s’enfonça jusqu’aux couilles en arrachant un cri de douleur

mais aussi et sûrement de plaisir d’être prise aussi puissamment.

Je me surpris à me remémorer le nombre d’orgasmes qu’elle avait déjà eus. Trois, trois en

vraiment peu de temps. Je n’avais jusqu’à présent, jamais été capable de lui en donner

autant. D’ailleurs ma femme ne s’y trompait pas, elle le regardait maintenant avec des yeux

de femme comblée, la tête tournée vers lui, prête à se donner, à tout lui donner.

Un petit pincement au cœur bien naturel se mit à me titiller tandis qu’elle était en train

d’encourager Hector à prendre son plaisir dans son ventre et la remplir de son sperme,

donnant des coups de reins pour aller s’empaler sur la colonne de chair. Hector se mit à

accélérer encore en laissant échapper des sons rauques qui me firent penser qu’il allait

bientôt jouir. Il tenta bien de ralentir et même de s’immobiliser mais Marine, lui supplia de

continuer, qu’elle voulait son jus d’homme si bien qu’il finit par abdiquer en la besognant de

plus belle, de plus en plus fort, de plus en plus profondément jusqu’à ce que l’orgasme

l’emporte. Il s’immobilisa enfin au terme d’une course effrénée, libérant ses jets de semence

à l’intérieur de ce ventre gourmand en criant son bonheur.

Page 6: Ma Femme s'offre à un Vieux

6

Je regardais Marine, la tête toujours tournée vers son amant et je vis ses yeux basculer

encore lorsqu’elle sentit Hector commencer à se déverser en elle. Elle jouissait. Elle jouissait

pour la 4ème fois. C’en était trop, l’émotion, l’excitation me fit perdre pieds à mon tour.

J’explosais en libérant de puissantes giclées de sperme qui s’étalèrent sur la moquette de ce

cher Hector.

C’était fini. La frénésie sexuelle à laquelle nous avions tous les trois succombé, était en train

de se dissiper lentement. Marine, la poitrine appuyée sur le bord du fauteuil récupérait

doucement. Hector couché sur son dos faisant de même, et moi, les doigts couverts de

sperme, toujours enroulés autour de mon sexe revenu à des dimensions bien plus modestes,

je les regardais, partagé entre satisfaction d’avoir pu vivre ce fantasme vieux comme le

monde, et cette pointe de jalousie naturelle de voir sa moitié appartenir à un autre homme,

fusse-t-il septuagénaire.

Nous sommes épuisés, il est tard aussi, Hector nous propose de rester dormir chez lui dans

cette chambre d’amis qui ne sert plus depuis longtemps. Il ne serait pas raisonnable de

prendre la route à cette heure et après avoir autant bu aussi, j’accepte sa proposition malgré

une petite appréhension quant au déroulement de la nuit à venir.

Ayant accepté de dormir chez Hector, nous nous mettons au lit, Marine et moi, elle

complètement épuisée et moi, comme je vous l’avais déjà raconté, avec des sentiments

partagés d’excitation et d’homme cocufié, un peu mal placé je le reconnais.

J’essaie après la douche de discuter un peu pour évacuer ces pensées contradictoires, mais

Marine est vraiment trop fatiguée et ne comprends pas à la limite qu’après avoir tant insisté

pour qu’elle accepte de faire l’amour avec un autre homme, je ne sois pas complètement

satisfait qu’elle ait fini par accepter. Bref, elle s’endort rapidement me laissant un peu

frustré de n’avoir pas pu parler avec elle de ce qui me préoccupait.

Je n’arrive pas trouver le sommeil à mon tour, si bien que je finis par me lever pour aller

regarder la télévision dans le salon à l’autre bout de cet immense appartement. Je m’installe

dans le canapé qui a été quelques instants plus tôt, le théâtre de la réalisation de mon

fantasme, j’allume la télé sans vraiment suivre le film qui s’y déroule et je finis par

m’endormir.

Quand je me réveille bien plus tard les émissions sont terminées. L’écran noir est parsemé

de milliers de petits points blancs et pourtant, des bruits à peine audibles parviennent à moi.

Je réalise en prêtant l’oreille que c’est surement ce qui m’a tiré de ma torpeur. J’écoute plus

attentivement et là, il me semble identifier la voix de mon épouse et une autre plus grave. Je

me lève pour me diriger vers la source de ces bruits. Mon cœur bat la chamade quand

j’arrive dans le couloir menant aux chambres. Une faible lumière sort de celle où j’ai laissé

ma femme. J’en suis sûr maintenant, c’est bien elle, c’est bien la voix de mon épouse.

J’avance encore et là, sur le lit, je la vois à genoux complètement nue, ses reins bien cambrés,

les fesses offertes au dard qui la pourfends. Hector est là, derrière elle, il la tient fermement

par les hanches et l’attire vers lui en lui assénant des coups de reins tantôt lents et profonds,

tantôt secs et rapides.

La scène est d’une incroyable lubricité. Je ne sais plus si c’est l’excitation ou la contrariété de

se faire cocufier qui prédomine. Les petites mouvements de son bassin tandis qu’il la

pénètre me glacent le sang et m’échauffent les sens. Je le regarde impuissant, prendre son

plaisir dans le ventre de ma femme. Marine pousse des gémissements qu’elle essaie

Page 7: Ma Femme s'offre à un Vieux

7

d’étouffer en mordant l’oreiller à pleines dents tandis qu’Hector l’invective. Elle secoue sa

tête de droite et de gauche, abasourdie par le plaisir qui la transperce. Mon cœur va

s’arrêter de battre devant ce spectacle torride offert par les deux amants.

– J’adore te la mettre ma chérie et toi aussi, t’aimes ça.

Marine ne parle presque pas. Elle vit à cent pour cent les vagues de plaisir qui la submergent.

Seuls des « oui, oui Monsieur Victor » sortent hachurés de sa bouche.

– Tu vas me laisser te baiser encore, n’est-ce pas ma chérie ?

– Oui, Monsieur Hector, oui. Faites-moi jouir encore.

– Tiens, prends ça et encore ça, ma chérie.

– Oh oui. Ouiiiiiiiiiiii. Ça vient.

Je n’en crois pas mes propres oreilles en réalisant qu’il l’a déjà faite jouir tandis que je

dormais tranquillement dans le canapé, et qu’il est sur le point de l’amener au plaisir une

fois de plus.

Je ne sais plus que faire, comment réagir en regardant ce vieil homme honorer ma femme

et la combler. Je ne me sens pas le droit d’intervenir. Elle est consentante, il ne la force pas.

Mon cœur bat en surrégime. Je vais faire un malaise tandis qu’enfin, Hector se raidit en

ordonnant à ma femme de jouir avec lui.

– Oh ouiiiiiiiiiiii. Je vous sens jouir dans mes fesses. Ouiiiiiiiiiiiiii. Aaaaaaaaaaaaaaaaaah.

Tous les deux se mettent à geindre de concert, emportés par un puissant orgasme. Je ne

peux m’empêcher d’imaginer le gros sexe d’Hector déverser ses jets de sperme dans la

petite chatte de ma femme. Il continue à la besogner jusqu’à ce qu’elle se laisse retomber,

sans force les bras en croix sur la couche, puis se retire et s’éclipse vers sa chambre. Je

l’entends alors lui souffler avant de partir :

– Merci ma chérie. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort.

– Allez-vous-en Monsieur Victor, vous me faites faire des bêtises. Ce n’est pas bien de

profiter de la faiblesse d’une femme mariée.

Je suis vraiment cocu maintenant. La première fois, c’était moi qui l’avait provoqué mais là,

là ce n’était plus du tout le cas. Ma femme avait accepté qu’il lui fasse l’amour sans savoir si

j’étais ou non d’accord et du coup, malgré l’excitation procurée par ce spectacle digne des

meilleurs films porno, je me rendais bien compte que le sentiment qui prédominait était

avant tout, l’angoisse de la perdre, la contrariété de voir ma femme se faire enfiler et jouir

pour son propre plaisir et non pour me faire plaisir.

Je m’enfuis dans le salon où je m’allonge en faisant semblant de dormir paisiblement, mais

mes neurones travaillent à plein régime. Il me faut trouver un moyen de la satisfaire, de les

satisfaire en gardant malgré tout le contrôle ou du moins essayer, sur ce qui va se passer.

J’attends qu’Hector retourne dans sa chambre puis je rejoins ma femme. Mes mains courent

sur son corps, caressent ses seins, ses reins, descendent vers ses fesses au galbe tellement

excitant. Mes doigts cherchent sa fente, la trouvent, j’y glisse un doigt. Elle est remplie de

son sperme. Elle se laisse faire en grognant, proteste quand j’essaie de la retourner pour la

prendre à mon tour.

Page 8: Ma Femme s'offre à un Vieux

8

– Laisse-moi dormir s’il te plaît. Où étais-tu ? Hector est revenu me faire l’amour tout à

l’heure. Je n’en peux plus. Il faut que je dorme.

Je suis bien obligé de me rendre à l’évidence. Ce n’est pas cette nuit que je me soulagerais

dans le ventre de ma femme. Je suis contrarié mais finalement je m’endors au bout de la

nuit.

Le lendemain, Hector est au petit soin pour nous et pour ma femme en particulier. Il

apprécie beaucoup les talents culinaires de Marine, qui n’hésite pas à se mettre au fourneau

pour nous préparer un petit déjeuner comme elle sait le faire si bien. L’ambiance est chargée

d’émotion lorsque nous prenons congés. Je sens que rien ne sera jamais plus comme avant,

entre ces deux êtres au simple regard qu’ils échangent en partant, et au sourire que mon

épouse lui adresse, et au merci qu’elle lui glisse à l’oreille.

La vie reprend peu à peu son bonhomme de chemin. Mon épouse semble être redevenue

celle qu’elle était. Le souvenir de ses ébats avec Hector commence peu à peu à sortir de mes

pensées jusqu’au jour où Marine m’annonce qu’elle est allée rendre visite à Hector.

Immédiatement je lui demande s’ils ont fait l’amour. Elle hésite un moment puis, me

demande à son tour si ça m’embêtait qu’elle lui rende visite. Je lui assure que non, mais c’est

vraiment contraint et forcé, car de toute manière je sais que si je lui dis que oui, elle ira en

cachette sans m’en parler. Elle me demande alors s’il peut venir chez nous de temps en

temps aussi, je lui demande à mon tour si c’est pour faire l’amour ? Elle hésite encore puis

me répond que oui.

Elle s’assied alors et m’avoue qu’elle aime bien faire l’amour avec lui, que personne ne

l’avait jamais fait jouir comme ça, et que finalement elle ne regrettait pas d’avoir cédé à mes

caprices de la voir s’offrir à un autre homme.

Un coup de poignard me transperce le cœur. Réaliser un fantasme peut avoir des

conséquences inattendues et incontrôlables, la preuve.

Je sens qu’elle a envie de parler, de se confier et me dire à moi, son mari, ce qu’elle a sur le

cœur aussi, j’essaie de la mettre en confiance en lui disant de tout me raconter, pourquoi

était-elle allée lui rendre visite, ce qui s’était passé, qu’est-ce qu’elle comptait faire etc. etc.

Elle me regarde les larmes aux yeux avant de venir se blottir dans mes bras en me disant

qu’elle m’aimait et que ce qui s’était passé avec Hector n’avait rien à voir avec nous, notre

amour. C’était purement physique.

– Raconte-moi ma chérie

Elle commence alors son récit au moment où passant devant chez Hector, elle décide de

s’arrêter pour lui rendre une petite visite sachant que ça lui ferait plaisir mais en m’assurant

ne pas avoir d’arrières pensées en se garant devant chez lui. Il est fou de joie en la voyant sur

le pas de sa porte et emporté par son élan, l’étreint dans ses bras en lui faisant deux bises

bien sonores sur les joues. Ils prennent un thé tout en discutant puis la conversation dévie

inévitablement vers ce qui s’était passé ce fameux soir et là, Hector lui avoue avoir vécu sans

doute la plus belle nuit de sa vie et que s’il ne devait y avoir qu’une seule chose à demander

avant de partir rejoindre sa Germaine, ce serait d’avoir la chance qu’elle lui accorde encore

une fois ses faveurs. Il la regarde avec des yeux tellement expressifs de chien battu que

Marine, ne se sent pas le cœur à lui refuser ce que visiblement, il meurt d’envie de lui faire.

Page 9: Ma Femme s'offre à un Vieux

9

Lorsqu’il s’approche pour prendre sa main et l’embrasser, elle se laisse faire en lui souriant.

C’est sans doute le signal qu’il attendait car aussitôt, il se met à genoux entre ses jambes.

Elle est assise dans le fauteuil sur lequel il l’a déjà fait jouir. Ses mains courent sur ses jambes,

remontent vers ses genoux, glissent vers l’intérieur de ses cuisses sans qu’elle ne réagisse

négativement. Sa jupe s’est relevée, découvrant son bas-ventre et sa petite culotte. Il lui dit

qu’il n’a jamais eu jusqu’à présent, la chance de voir et toucher une aussi belle femme

qu’elle, qu’il adorait la douceur de sa peau surtout là, dans l’intérieur de ses cuisses où c’est

si sensible. Il sait y faire et son attitude, ses paroles la font fondre.

Les mains ont progressé sans trouver de résistance si bien qu’elles sont maintenant sur son

sexe encore protégé par un slip transparent si petit qu’il ne cache rien de ses trésors. Hector

semble hypnotisé par la vision de cette petite chatte tellement attirante, il tire sans hésiter

sur le sous-vêtement pour découvrir complètement la vulve de ma chérie. Elle ne résiste pas

davantage quand il appuie sur ses genoux pour les écarter et lui permettre d’accéder à son

chaton. Son attitude, ce regard envieux posé sur sa vulve l’excite, pourquoi le nier ? Elle se

sent d’ailleurs toute mouillée et Hector ne peut pas, ne pas ne pas l’avoir vu. Il glisse un

doigt dans la fente, trouve l’entrée de la vulve, l’y enfonce.

– Tu es toute mouillée ma chérie ! Ça t’excite toi aussi !

– Oui, mais vous devriez arrêter Monsieur Hector, on va faire une bêtise.

– Laisse-toi faire. Je vois bien que toi aussi tu en as envie, ma chérie. Tu veux bien faire

plaisir au vieil Hector, n’est-ce pas ?

– Je ne sais pas, Monsieur Hector. Je ne veux pas tromper mon mari.

– Il a bien aimé la première fois, non ?

– Oui, mais il était avec nous, tandis que là, ce n’est pas pareil.

Tout en parlant, loin d’arrêter son exploration, Hector lui glisse un deuxième doigt dans la

chatte en commençant à les faire coulisser de plus en plus profondément. Marine ferme les

yeux, elle sait que plus rien n’arrêtera ce vieux cochon d’Hector et puis, ses doigts lui font du

bien d’autant qu’avec son pouce, il se met à titiller habillement son clitoris.

Des gémissements incontrôlés s’échappent maintenant de sa gorge. Elle écarte d’elle-même

plus largement ses cuisses pour permettre à Hector de s’installer entre elles. C’est le signe

qu’elle accepte complètement ce qui est en train d’arriver. Hector se penche vers son sexe.

Sa langue entre en action, s’infiltre entre les lèvres de sa fente, déniche son bouton qu’il fait

sortir de sa gaine, le prend entre ses lèvres pour se mettre à le sucer comme une petite bite.

Il la suce comme elle aime, ils sont au diapason si bien que rapidement un orgasme monte

de ses reins, la submerge. Les vagues de plaisir prennent possession de son corps tout entier.

Elle jouit bruyamment pour le plus grand plaisir de son amant qui en profite pour se relever.

Il est nu entre ses cuisses grandes ouvertes, son gros sexe fièrement dressé contre son

ventre. Marine, sonnée par la jouissance toute proche entrouvre néanmoins les yeux en

sentant Hector poser son gland dans l’ouverture béante de sa fente.

– Oh ma chérie, tu es vraiment trop belle ! Laisse-moi te la mettre.

Elle n’a pas le cœur à lui refuser ce plaisir. Elle lui sourit en signe d’acquiescement. D’un

coup de reins il s’enfonce en elle sans le moindre effort. Ses chairs abondamment lubrifiées

l’avalent goulument, étreignant son phallus pour ne plus faire qu’un avec lui. Quand il

Page 10: Ma Femme s'offre à un Vieux

10

commence à s’activer en elle, la sensation est tellement forte qu’elle ne peut s’empêcher de

l’encourager.

– Oh ouiiiiii. Ouiiiiiii, Monsieur Hector. Plus fort. Prenez-moi plus fort. Vous me faites

tellement de bien.

– Oh, ma chérie....

– Ouiiiiiii. Encore. Plus fort. Oh mon dieu, mon dieu...

Le vieil Hector la possédait maintenant à grands coups de reins faisant trembler sa croupe,

la masse de son fessier à chaque fois que son ventre, ses cuisses frappaient l’arrière-train de

ma chérie, la faisant monter rapidement vers les sommets du plaisir. Elle ne se contrôlait

plus, plus rien ne comptait hormis ces ondes de plaisir de plus en plus rapprochés qui

augmentaient en intensité dans son ventre, ses reins.

Le souffle court elle se livrait maintenant de toutes ses tripes à la vague sur le point de la

submerger. Ses muscles étaient en train de se tendre, son ventre et ses fesses se durcir, elle

allait jouir d’une seconde à l’autre. Un dernier coup de reins plus puissant que les autres et

la voilà, succombant à un nouvel orgasme.

– Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh ! Monsieur Hector. Ouiiiiiiiiiiiii.

L’homme jubile intérieurement devant cette femme magnifique qu’il est en train de

posséder et qu’il fait jouir si fort, si facilement. Il ralentit la cadence de ses va-et-vient pour

ne pas jouir à son tour, mais tient à l’accompagner jusqu’au bout de sa jouissance. Il lui

caresse le ventre, ses seins dont les tétons pointent vers le plafond. Il apprécie le spectacle

de femme comblée vaincue par le plaisir.

Elle est tellement belle et excitante que sa seule envie est d’en profiter encore et encore. La

fin de son orgasme se termine, elle récupère doucement, son visage quelques secondes plus

tôt déformé par le plaisir est à nouveau, éclatant de beauté, à peine marqué par ses deux

jouissances. Elle ouvre difficilement les yeux, lui sourit encore tandis qu’il se repaît de la

vision de son corps alangui, totalement livré à ses désirs. Elle est totalement détendue.

Hector en profite pour se dégager doucement puis la prendre dans ses bras pour la soulever

et se diriger vers sa chambre, étonnement à l’aise malgré son âge.

Marine est totalement consentante. Hector n’a pas joui et elle sait qu’il va encore la prendre.

Elle se laisse faire tandis qu’il la dépose sur le lit puis la retourne pour la mettre à genoux. Il

veut la posséder en levrette. Il lui mordille les fesses, plonge son nez entre ses globes en

léchant son anus tout en grognant d’excitation. Elle se sent inondée, sa mouille lui coule le

long des cuisses, une odeur de femelle en chaleur monte à ses narines.

Quand il se redresse derrière elle, c’est son sexe dur et doux à la fois qu’elle sent contre ses

globes de chair. Elle les écarte d’elle-même, dans une invite sans équivoque. Elle a envie de

se sentir sienne. Elle a envie de sentir l’homme faire d’elle sa femelle. Il a la même envie.

Son gland s’enfonce en elle lentement, doucement jusqu’à buter tout au fonds contre sa

matrice. Un long gémissement de satisfaction s’échappe alors de sa gorge quand elle le sent

entièrement en elle. Elle le serre dans son fourreau, le masse, le suce même. Il aime ça et ne

se prive pas de le lui dire.

– Oui, ma chérie, Ouiiiiiiiii. T’es trop bonne.

Page 11: Ma Femme s'offre à un Vieux

11

Il se laisse faire de longues secondes puis commence à bouger. Des va-et-vient lents et

profonds qui ne tardent pas à tirer de nouveaux gémissements de sa maîtresse. Ses doigts

s’attardent sur les fesses, parcours la raie jusqu’à ce que l’un d’eux s’attaque à la petite

corolle brune couverte des secrétions des précédentes jouissances.

Marine aime bien que l’on s’en occupe aussi, rien dans son attitude n’empêche Hector de

poursuivre ce qu’il a en tête. Le doigt bien lubrifié s’enfonce dans l’anneau dont les plis

s’ouvrent facilement pour libérer le passage. Une phalange, deux puis le majeur tout entier

coulisse dans le rectum de ma femme, lui procurant d’agréables sensations en augmentant

celles déjà bien présentes du bâton de chair qui la pourfend de plus en plus puissamment.

Les gémissements prennent de l’amplitude, un deuxième doigt dans son fondement rejoint

le premier.

L’entrée de son anus est maintenant bien ouverte. Marine se laisse emporter par la spirale

du plaisir malgré l’appréhension sourde de la sodomie qui s’annonce. Elle n’est plus en état

de réfléchir, de résister si l’envie de lui faire subir le dernier outrage le prenait. Je ne

m’occupe pas très souvent de son anus, pas assez à son goût mais la taille du chibre n’est

pas fait pour la rassurer. Les coups de reins qu’il lui assène lui font un bien fou. La tête lui

tourne, elle a chaud de partout, les muscles de son bas-ventre, de ses fesses, de ses cuisses

se tendent. Elle va jouir encore une fois tandis que les deux doigts entre ses fesses sont

rejoints par un troisième.

Elle se sent ouverte comme jamais elle ne l’a été. L’envie de jouir est trop forte, la vague qui

monte en elle l’amène irrésistiblement au sommet du plaisir. Sa vision se trouble, ses

pensées lui échappent, un n-ième orgasme l’emporte. Elle crie, hurle même sa jouissance en

tremblant de tous ses membres. Elle jouit, jouit encore et encore, pleure presque de tant de

plaisir.

Hector se retire prestement de son ventre et, d’un coup de reins s’enfonce dans cet anus

qu’il a si bien préparé. Les sphincters ne résistent pas longtemps à la puissance du chibre au

sommet de sa puissance. Ils cèdent pour laisser la verge s’engouffrer toute entière et

prendre possession du fourreau de chair. La douleur est intense mais jouissive. Marine mord

l’oreiller à pleines dents pour étouffer le cri qui s’échappe de sa gorge. Elle ne s’est jamais

sentie aussi pleinement possédée.

– Oh Monsieur Hector, vous... vous...

Son amant s’est immobilisé bien calé au fonds de ses reins. Il sait que quelques secondes

seront suffisantes pour qu’elle s’habitue à son imposante présence. Il n’est pas pressé.

Marine souffle, cherche l’air, elle se met à haleter comme un jeune chiot. La douleur est

tellement forte qu’elle a l’impression que son anus va se déchirer. Heureusement, celle-ci

s’estompe rapidement.

D’elle-même, elle commence à bouger son cul, avançant doucement pour faire sortir le pieu

de chair puis reculant aussitôt pour se ré-empaler. Le plus dur est fait, toute la longueur du

chibre coulisse maintenant entre ses fesses. Hector la prends aux hanches, s’y agrippe et

commence lui aussi à s’activer. La sensation est monstrueuse, jamais elle n’a été prise aussi

puissamment.

Elle ne sait plus qui de la douleur sourde, qui de l’énorme sensation de plénitude entre ses

fesses prédomine. Son amant lui caresse les reins et les fesses. Il est aux anges de pouvoir

sodomiser une aussi séduisante jeune femme. Une de ses mains passe sous son ventre, ses

Page 12: Ma Femme s'offre à un Vieux

12

doigts filent vers sa fente pour s’attaquer à son clitoris pareil à une petite bite. Il le branle en

le pinçant doucement entre ses doigts. Le plaisir revient. Ma femme se sent possédée

comme jamais. La grosse colonne de chair entre et sort de ses chairs à une cadence de plus

en plus rapide. Elle se surprend à donner elle aussi des coups de reins pour se faire

embrocher le plus profondément possible. Sa voix est rauque comme à chaque fois que le

plaisir est trop fort. Elle l’encourage, le supplie de la défoncer encore plus fort en assurant

qu’elle aimait çà.

J’en suis tout retourné d’entendre de sa bouche le récit de cette sodomie. Je ne peux nier

que ça m’excite mais savoir malgré tout qu’elle lui a offert son si adorable petit cul me fait

quelque chose. La réalité dépasse parfois le fantasme, et c’est bien ce qui est en train de

m’arriver. J’imagine Hector, son gros ventre posé sur les fesses de ma femme et sa grosse

bite en train de coulisser dans son rectum.

Je bande, toujours partagé entre des sentiments aussi contradictoires qu’excitation, plaisir et

jalousie. Une folle envie de profiter à mon tour des charmes de ma femme me tenaille. Elle

sait ce à quoi je pense simplement en croisant mon regard. Sa main descend vers mon

entrejambe, frôle ma queue déjà bien raide, à travers le tissu de mon pantalon.

– Tu veux que je te suce, mon amour. Ça t’a excité ce que je t’ai raconté, n’est-ce pas ?

– Tu t’es conduite comme une salope. Tu m’as trompé.

– C’est vrai mon amour, mais regarde comme ça t’excite que ta petite femme se laisse

sauter par le vieil Hector.

– Je n’en reviens pas que tu l’ais laissé te prendre par derrière.

Tout en me parlant, elle a descendu la fermeture éclair de mon pantalon et sorti

rapidement ma verge. Elle est déjà en train de me branler quand elle me dit :

– J’ai envie de te sucer mon amour. Je ne l’ai pas fait avec Hector tu sais ! J’ai envie que

tu jouisses dans ma bouche pour me faire pardonner.

– Il t’a bien fait jouir ?

– Oui, il baise vachement bien ce salaud.

Ses lèvres se posent sur mon gland, l’enveloppe. Sa langue lèche mes couilles par-en-

dessous. C’est divin. Je ferme les yeux, vaincu par le plaisir qui prend possession de mon bas-

ventre.

– Tu aimes, mon amour ?

– Oui, mais t’es comme même une belle salope.

Elle me caresse les fesses en m’attirant dans sa bouche qu’elle ouvre au maximum pour me

faire entrer dans sa gorge. Elle ne n’avait jamais fait ça jusqu’à présent. Elle veut se faire

pardonner c’est sûr. Elle se donne comme elle ne l’a jamais fait. Je sens mon gland serré

dans son arrière-gorge, elle s’en sert comme de sa chatte et me fait aller-et-venir de plus en

plus vite au risque de s’étouffer. De temps en temps, elle me fait sortir pour tousser une ou

deux fois puis me reprend toujours aussi profondément. Elle veut me faire jouir. Je ne vais

pas résister longtemps à ce traitement. Tous mes muscles se tendent déjà, j’ai chaud de

partout, ma tête bourdonne, mes pensées se brouillent. Le plaisir est trop fort.

Page 13: Ma Femme s'offre à un Vieux

13

Je lui crie que je vais jouir. Elle redouble d’efforts. Une vague plus forte que les autres et

j’explose dans un énorme orgasme. Mon sperme gicle. Un, deux, trois puis quatre puissantes

salves que mon épouse avale sans broncher. Elle déglutit toute ma semence tandis qu’en

ouvrant péniblement les yeux, je le vois en train de se repaître de moi en plein extase. Elle a

l’air de sourire malgré la barre de chair qui s’enfonce entre ses lèvres. Elle me boit jusqu’à la

dernière goutte puis, lorsque c’est fini, elle pose sa tête sur mon ventre pour me laisser

récupérer de ma jouissance tout en me caressant les cuisses et les bourses comme j’aime

qu’elle le fasse.

– C’était bon mon chéri ?

Je suis encore sonné d’avoir joui aussi fort. Je lui caresse les cheveux en signe

d’acquiescement, mais je ne suis pas dupe car je sais que c’est un moyen efficace qu’elle a

de se faire pardonner, et surtout d’obtenir ce qu’elle attend de moi, comme par exemple ne

pas essayer de l’empêcher de voir notre presque septuagénaire Hector.

Une suite peut-être bientôt...

********