Catalogue de cours 2012 - 2013 année M1 et M2

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MASTER DNSEP ART Equipe pédagogique Michel AUBRY, artiste Luc BARBIER, designer graphique et scénographe Philippe-André BENA, artiste Etienne BERNARD, historien de l’art Jean-Sylvain BIETH, artiste Christiane CAVALLIN-CARLUT, artiste Emmanuelle CHEREL, historienne de l’art Jean-Gabriel COIGNET, artiste Edith COMMISSAIRE, architecte Marion DANIEL, critique d’art Anne FREMY, artiste Michel GELLARD, psychosociologue, référent E.C.T.S Pierre GIQUEL, poète et critique d’art Véronique GIROUD, historienne de l’art Marc GUERINI, auteur-réalisateur Gérard HAURAY, artiste Claire-Jeanne JEZEQUEL, artiste Olivier JONCOUR, artiste Georges-Albert KISFALUDI, ingénieur multimédia Pierre MABILLE, artiste Claire MAUGEAIS, artiste Georgia NELSON, professeur d’anglais Philippe OUDARD, artiste Cécile PARIS, artiste Eric PERRAUD, artiste Daniel PERRIER, artiste Bernard PLANTIVE, artiste Patricia SOLINI, métiers et arts de l’exposition Véronique TERRIER-HERMANN, historienne de l’art Dominique TISSERANDET, artiste Xavier VERT, historien de l’art Véronique VERSTRAETE, artiste Techniciens associés Guy BAUZA, vidéo Christophe CATHALO, magasin Marc DIEULANGARD, photographie Alexandre MAIRET, numérique et son Elise BOUVRY, informatique Nicolas RAMBAUD, Sabine CORBET-LEROY, Céline HUNEAU, bois, métal, moulage Marek WALCERZ, vidéo Pôle impression (off set, sérigraphie, lithographie, gravure) Pierre BERNARDEAU, Benoît PASCAUD, Jean-Michel VAILLANT Intervenants invités Marianne BAILLOT, chorégraphe performeur André DEKKER, architecte

Eden MORFAUX, artiste Bruno PERSAT, artiste Anne PORTUGAL, poète David POULLARD, artiste Hayoun KWON, artiste

MASTER 2 Pro « Multimédia »" Master Management de la culture : arts et patrimoine Spécialité professionnelle : Conception, gestion et diffusion de produits culturels Spécialisation : Technologies numériques, conception, médiation et valorisation de produits culturels Equipe pédagogique Coordination : Georges-Albert KISFALUDI, coordinateur, tuteur de stages, concepteur en ingénierie et scénographie multimédia Luc BARBIER, designer graphique, scénographe Philippe-André BENA, arts numériques et interactifs, programmation Olivier JONCOUR, artiste, infographie, multimédia Ian NICHOLSON, professeur d’anglais Eric PERRAUD, artiste, PAO, DAO Patricia SOLINI, métiers et arts de l’exposition, médiation Techniciens formateurs : Guy BAUZA, vidéo et DVD Marc DIEULANGARD, photographie Alexandre MAIRET, web et son Marek WALCERZ, vidéo et effets spéciaux Intervenants extérieurs Géraldine BAUPIN, enseignante en gestion financière, université d’Angers Pascal MISSIR, enseignant en gestion d’entreprise, université d’Angers

La phase projet (M1 et M2) est le temps consacré à la recherche approfondie liée aux territoires artistiques de l’étudiant. Au cours de ces deux années, des enseignements transversaux communs sont proposés en histoire et théories des arts, écriture et théorie du projet et projets artistiques. Parallèlement l’étudiant s’inscrit en début de M1 auprès d’un directeur de recherche et d’un directeur de mémoire qui l’accompagnera dans son cursus durant quatre semestres, l’année M2 étant consacrée à la préparation du D.N.S.E.P et au mémoire. STRUCTURE DE LA FORMATION ET ORGANISATION PEDAGOGIQUE Année 4 : M1 MASTER 1 SEPTIEME SEMESTRE - VOLUME HORAIRE / 382 HEURES SEMESTRE UE 1 : Projet plastique, production prospective et méthodologie UE 2 : Projections internationales et workshops de recherche UE 3 : Initiation à la recherche, suivi du mémoire, histoire et théorie des arts et anglais - 2 séminaires d’histoire de l’art - Théorie du projet et direction du mémoire - Anglais UE 4 : Professionnalisation - Projet professionnel - Atelier accrochage MASTER 1 HUITIEME SEMESTRE - VOLUME HORAIRE / 430 HEURES SEMESTRE UE 1 : Projet plastique, production, prospective et méthodologie UE 2 : Projections internationales et workshops de recherche UE 3 : Initiation à la recherche, suivi du mémoire, histoire et théorie des arts et anglais - Théorie du projet et direction du mémoire - Anglais

UE 4 : Stage et professionnalisation - Ateliers professionnels - Atelier accrochage - Stage Année 5 : M2 MASTER 2 NEUVIEME SEMESTRE - VOLUME HORAIRE / 428 HEURES SEMESTRE UE 1 : Mise en forme du projet personnel UE 2 : Méthodologie de la recherche

- Séminaire d’histoire de l’art - Théorie du projet et direction du mémoire L’obtention de 270 crédits pour l’ensemble du 1er et 2nd cycles est nécessaire pour se présenter au DNSEP. MASTER 2 DIXIEME SEMESTRE - VOLUME HORAIRE / 416 HEURES SEMESTRE

UE 1 : Epreuve du diplôme

L’épreuve du DNSEP a lieu à la fin du dernier semestre (S10) et se déroule en deux parties :

- l’évaluation du mémoire, par un jury spécifique auquel il a préalablement été transmis (5 crédits).

- l’évaluation par un jury des réalisations plastiques (25 crédits).

Le jury du DNSEP est composé de cinq membres :

- deux représentants de l’école choisis parmi les enseignants, dont l’un siège au jury de soutenance du mémoire.

- trois personnalités qualifiées choisies dans le domaine d’activité.

Le jury spécifique du mémoire se compose :

- de l’une des trois personnalités qualifiées, artiste ou théoricien,

- un des enseignants représentants de l’école.

En cas d’échec de l’étudiant au DNSEP, l’évaluation nécessairement positive du mémoire reste acquise, ainsi que les crédits qui lui sont rattachés.

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Aucun candidat ne peut se présenter plus de deux fois aux épreuves du DNSEP. L’étudiant ayant échoué deux fois au DNSEP, à la possibilité après une expérience professionnelle d’une période minimum de 3 ans d’accéder à une Validation des Acquis de l’Expérience. Evaluation et commission d’harmonisation L’évaluation de l’étudiant a lieu à la fin de chaque semestre et permet d’obtenir les crédits nécessaires à son passage en année supérieure. L’obtention de 48 à 60 crédits est requise pour le passage en année M2. En dessous de 60 crédits, les crédits manquants doivent obligatoirement être rattrapés au cours du 1er semestre de l'année M2 selon des modalités définies par les enseignants des cours concernés. A la fin de chaque semestre, une commission d’harmonisation se réunit composée d’un quorum représentatif de l’ensemble des enseignants de M1 et M2. Le rôle de cette commission est : - d’harmoniser et de valider l’obtention des crédits en confrontant les points de vue des enseignants qui ont suivi les étudiants à différentes étapes de leur cursus, - de valider le passage en M2, - de décider de la diplômabilité (en présence des tuteurs du DNSEP), - de décider le cas échéant d’un redoublement pour motifs exceptionnels, - de décider d’une exclusion pour faute grave, manquement au règlement intérieur (voir règlement intérieur dans le guide de l’étudiant), absentéisme répété et non motivé ou abandon en cours de cursus. Suite à la commission d’harmonisation, le relevé de notes et les appréciations sont communiqués à chaque étudiant par courrier dans un délai de 3 semaines.

Unité d’enseignement 1 Projet plastique, production, prospective et méthodologie Direction de la recherche Code : 451 Objectifs et problématique : Dès le début de l'année M1, l’étudiant s’inscrit auprès d’un enseignant, directeur de recherche qui l’accompagnera dans son cursus durant quatre semestres, l’année M2 étant consacrée à la préparation du diplôme et à la rédaction du mémoire. Le choix du directeur de recherche se fait les quinze premiers jours d’octobre. Chaque étudiant de M1 doit prendre connaissance des parcours, travaux, publications des directeurs de recherche et directeurs de mémoire auprès de la bibliothèque. La consultation de cette documentation, et des sites internet des enseignants artistes et théoriciens doit conduire chaque étudiant de M1 à choisir en connaissance de cause ses enseignants référents qui le suivront tout au long du 2nd cycle. Accrochage de début d'année pour les étudiants de M1 et les nouveaux de M2 : Les étudiants M1 et les nouveaux M2 investissent l'espace des ateliers de Félix Thomas pour un accrochage collectif. Peinture, sculpture, installations, photographies, dessins sont présentés dans un atelier ou salles d'exposition (salles blanche et bleue), programmation de films dans la salle vidéo. Le montage se déroule du jeudi 27 septembre au lundi 1 octobre 2012. La présentation est visible par tous les professeurs et techniciens du mardi 2 au jeudi 11 octobre 2012 inclus. Les étudiants sont présents sur les lieux pour rencontrer les professeurs pendant la durée de l'accrochage. A l’issue de ces rencontres, les enseignants et étudiants s’entendent sur leur engagement mutuel et le valident. Le

changement de directeur de recherche peut se faire à l’issue du 1er semestre de la 4ème année de façon exceptionnelle et sur motivation de l’étudiant suite à un entretien avec l’enseignant. Le directeur de recherche effectue les missions suivantes auprès de ses étudiants :

- il propose une méthodologie de recherche adaptée au territoire de travail de l’étudiant et une méthodologie de production en lien avec les ateliers techniques,

- il conseille et introduit l’étudiant auprès des personnes ressources,

- il oriente et suit l’étudiant dans son projet de mobilité ou de stage,

- il participe à l’évaluation collégiale.

Cette unité d’enseignement est constituée d’un temps de :

- Travaux dirigés pour la direction de recherche (suivi du processus de recherche et production) 52h / semestre.

- Chantier de recherche en présence des directeurs de recherche et directeurs de mémoire.

- Travaux pratiques en ateliers de production (environnement spécifique et compétences techniques) 158h / semestre.

Chantier de recherche Au premier semestre, les deux dernières semaines de décembre seront banalisées pour la mise en place de ce chantier de recherche pour l’ensemble des étudiants de M1 et M2. Ce chantier permettra la lecture critique et croisée du travail des étudiants par les directeurs de recherche et de mémoire. Il sera demandé à chaque étudiant de présenter dans l’espace de Felix Thomas (salles blanche, bleue et les ateliers) les pièces significatives de son travail et de faire un état de sa recherche et de son mémoire. Durant ces deux semaines, les séminaires d’histoire de l’art seront maintenus.

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Validation : contrôle continu, cahier de recherche, entretiens individuels. Pour la direction de recherche : Nombre de crédits S 7 : 10 répartis en 5 pour le projet plastique et la production et 5 pour la méthodologie et la prospective. Nombre de crédits S 8 : 8 répartis en 4 pour le projet plastique et la production et 4 pour la méthodologie et la prospective. Nombre de crédits S 9 : 10 répartis en 5 pour le projet plastique et la production et 5 pour la méthodologie et la prospective.

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Emploi du temps des 16 directeurs de recherche Jours et horaires Enseignants présents chaque

semaine Enseignants présents tous les 15 jours

Lundi de 9h30 à 13h Gérard Hauray Philippe Oudard Véronique Verstraete Christiane Cavallin Carlut Lundi de 14h à 18h30 Gérard Hauray Jean-Sylvain Bieth Philippe Oudard Mardi de 9h30 à 13h Philippe Oudard Jean-Gabriel Coignet Claire Maugeais Claire-Jeanne Jézéquel Véronique Verstraete Mardi de 14h à 18h30 Pierre Mabille au 2nd semestre Marc Guérini Daniel Perrier Cécile Paris Dominique Tisserandet Mercredi de 9h30 à 13h Dominique Tisserandet Claire-Jeanne Jézéquel Pierre Mabille Jean-Gabriel Coignet Michel Aubry Véronique Verstraete Mercredi de 14h à 18h30 Claire Maugeais Jeudi de 9h30 à 13h Michel Aubry Jean-Sylvain Bieth Anne Frémy Edith Commissaire

Unité d’enseignement 2 Projections internationales et workshops de recherche Chaque étudiant, au cours de son cursus master 1 et 2 doit effectuer une projection internationale. Ce dispositif répond à plusieurs critères :

- Capacité à concevoir un projet plastique en lien avec sa propre pratique et mise en contexte dans la problématique de la projection ou du workshop de recherche.

- Capacité à se confronter à un contexte artistique international.

- Capacité à restituer et à rendre compte de son travail à l’issue de la projection ou du workshop de recherche.

Les étudiants seront évalués sur leur investissement, engagement, production et la restitution de leur travail. Effectifs : 4 étudiants / projection internationale Nombre de crédits / S 7 : 5 Nombre de crédits / S 8 : 5 Projections internationales Modalités d’inscription : Les étudiants s’inscrivent dans deux projections par ordre de préférence (1er choix, 2ème choix). Les entretiens de sélection se dérouleront avec les enseignants la semaine suivant la rentrée. Les étudiants seront sélectionnés sur leur motivation, l’adéquation de leur recherche personnelle avec la problématique de la projection internationale souhaitée et une présentation de leur travail. La maîtrise de l’anglais sera aussi prise en compte pour la sélection.

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Mardi de 9h30 à 13h 1er et 2nd semestres tous les 15 jours Intitulé de la projection internationale 1 : « Culturefission » Code : 421 Enseignants : Etienne BERNARD, Cécile PARIS Objectifs et problématique : Peu de zones frontières dans le monde sont aussi regardées que les 3000 kilomètres qui séparent les Etats-Unis du Mexique quasi quotidiennement soulignés par la violence des exactions qui font loi au sud et par le si controversé "mur" supposé en protéger le nord. Sa néanmoins évidente porosité aurait favorisé un dialogue entre la culture protestante blanche et sa voisine catholique latina pour in fine produire une identité hybride nourrie d'une nécessité de survie dans un contexte aussi instable que la zone frontalière. A y regarder de plus près, cette vision résolument romantique au service de l'idéal melting-pot américain relève plus de la métaphore que de la réalité de cette asymétrie culturelle, politique et économique et c'est aussi de ces oppositions et tensions permanentes qu'émerge une spécificité culturelle. Le philosophe mexicain Heriberto Yépez porte l'idée que la frontière exclue justement toute logique de synthèse au profit d'un mécanisme de "fission" de culture. Entendez par là un choc interculturel qui, à l'instar de son modèle emprunté à la technologie nucléaire, produit de l'énergie dans la confrontation violente. La fission serait alors le moteur de la production d'une identité culturelle, intime comme sociale, et surtout d'identités artistiques. Le groupe de recherche "Culturefission" entend explorer, identifier, travailler cette notion de production artistique dans la division et la résistance. Comment exister en tant qu'individu, en tant qu'artistes dans ces contextes? Que peut-on faire en qualité de jeune artiste français là-bas? Comment passer au-delà des préjugés et lieux communs pour faire de cette zone un socle de production? Le déplacement de sa propre pratique à une échelle plus globale s'inscrit-elle aussi

dans une logique de fission ou de simple confrontation ? Est-il à voir dans le contexte nantais des expériences comparables ? Quelles frontières peuvent être ici, identifiées, nommées et travaillées artistiquement? Pour tenter de répondre à ces interrogations, nous irons à la rencontre des propositions artistiques actuelles et historiques qui fondent la culture chicana de Los Angeles à Tijuana et Mexicali ; à la découverte de propositions vernaculaires choisies et devenant quête commune. Nous ferons aussi l'expérience de la proximité et du franchissement de la frontière, à différents endroits, de différentes manières, en avion, en voiture, à pied, avec ou sans but, avec ou sans idée… Pendant l'année et avant l’immersion du voyage, le groupe de recherche « Culturefission » organisera un temps fort à l’école et ailleurs dans Nantes. « Culturefission » version locale. Un temps choc qui tentera de poser les questions et de les rendre public par des formes telles que lectures, projections de films, rencontre avec des artistes, performances, concerts, exposition, production d’objets … Lieu : Félix Thomas, salle projection

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Mardi 9h30-13h 1er et 2nd semestres selon calendrier Intitulé de la projection internationale 2 : « Le Domaine des études performées » Code : 422 Lieu : Nantes, Brésil (Rio de Janeiro) Enseignants : Daniel Perrier, coordinateur du projet, Marianne Baillot, chorégraphe, performeur (http://mariannelse.blogspot.com/)

Sessions premier semestre : Octobre : mardi 9 (10h-13h), mercredi 17 et jeudi 18 (10h-18h) Novembre : mardi 6 (10h-13h), mardi 20 et mercredi 21(10h-18h) Décembre : mardi 4 (10h-13h) Objectifs et problématique : Circonstances (2004-2012) Depuis la réforme du premier cycle, l'école s'est dotée d'une nouvelle formation sur les enjeux et pratiques corporelles : la situation Scènes. Depuis maintenant six années, nous avons tenté dans cet atelier inédit, de développer avec les étudiants tout un ensemble de situations et contextes à même de révéler des imaginaires singuliers dont le corps est un médium agissant dans une pleine conscience et pas seulement par défaut (corps parlant, corps dansant, corps actif, corps inerte, corps agile, corps éduqué, etc.). Depuis 2009 et plus spécialement cette année universitaire 2010-2011, l'invitation faite à Laurie Peschier-Pimont (artiste chorégraphique issue de la formation Essais du Cndc à Angers) nous a permis d'intensifier notre dispositif pédagogique et de produire des ateliers performatifs déclarés (dont Matrice qui a réunit 18 étudiants sur deux sessions en mai, juin et juillet 2012) tout en maintenant l'imaginaire des étudiants comme éléments intégrants et fondamentaux des processus d'expérimentation. Prolongement et nouveaux domaines (2011-…) La proposition de poursuivre et développer ce domaine de recherche en master 1 et 2, capitalise à la fois sur ces derniers acquis et les possibles sédimentations qu’ils auront eu

sur les nouvelles générations d'étudiants poursuivant le master au sein de l’esbanm. Une notion particulière introduite et développée dans la situation Scènes a abordé les enjeux complémentaires et insécables d’être auteur et partie prenante du collectif. Cette valeur (discursive-critique et/ou physique) qui tour à tour s'envisage sous les formes (parfois déstabilisantes, mais toujours motrices) de la communauté, de la cellule, du rapport à l'autre, de la responsabilité individuelle et/ou collective nous a semblé produire un débat et une prise de consciences très féconds et novateurs. De fait, notre souhait d’aller vers plus de corporalité dans la recherche en art ne s’est jamais désengagé des autres médiums avec lesquels les étudiants étudient et produisent des formes plastiques – les registres du corps pouvant être transposés dans d'autres pratiques et inversement. La conscience étant bien celle du geste, de son point d’origine, de sa poétique et du contexte de son émergence. Cet enseignement, en creusant sa forme et sa pensée, nous semble devoir être prolongé à un niveau d'études et de consciences plus élaboré pendant les deux années de recherche que constituent le master 1 et 2. De fait, il augure les différents formats avec lesquels l'école pourrait envisager les espaces dédiés à la chorégraphie dans les années à venir. Organisation des études : La projection "Le domaine des études performées" est ouvert sur inscription aux étudiants de M1M2. Sur invitation, il accueille des étudiants de Scènes de l'année en cours, durant les workshops proposés. La nature expérimentale et progressive de l'atelier nécessite un engagement des étudiants sur toute la durée du projet. Effectifs : 4 étudiants (jusqu’à 10 étudiants par choix optionnel) Lieux : Félix Thomas, salles blanche ou bleue

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Mardi 9h30 -13h 1er et 2nd semestres Intitulé de la projection internationale 3 : “Projection Chine“ Code : 423 Enseignants : Marc GUERINI, Olivier JONCOUR

Cette projection est ouverte à tous les étudiants qui travaillent dans le domaine des images fixes, en mouvement et en multimédia. Objectifs et problématique : De la reproduction à la réplique « La reproduction recouvre alors dans le champ artistique deux sens correspondant à deux phénomènes distincts. Le premier sens renvoie, au niveau de la production, aux phénomènes de multiplicité aussi divers que les œuvres produites en série, les fac-similés, ou les copies. Le deuxième, au niveau de la réception, renvoie à la médiatisation des œuvres à travers leurs images photographiques, ce que, depuis Malraux, désigne l'expression devenue célèbre de musée imaginaire. Dès lors, la problématique de la reproduction ne cessera non seulement de glisser du sens 1 au sens 2, mais encore de les raccorder à un principe plus vaste qui transforme et définit la réalité moderne. Ainsi, pour Léon de Laborde, la reproduction désigne non seulement la diffusion générale de l'œuvre unique à travers ses images photographiques, jusque dans la cabane du paysan, mais de façon plus générale une transformation de l'art par sa fusion avec l'industrie. » Michel Weemans in Reproductibilité et irreproductibilité de l'oeuvre d'art, collection Essais la Lettre Volée, 2001. Les questions que nous comptons aborder pour cette projection portent sur la création originale et sa reproductibilité, voire sa non reproductibilité. Comment dans le domaine de l'art, les artistes se sont accaparés les différents supports de reproduction et à quelles fins ? La gravure et la photographie ont pu témoigner du fait de rendre reproductible une œuvre qui se voulait unique et essentielle, à des fins mercantiles voire même de communication. Ces supports sont devenus depuis de réels

moyens de création. Dans les années soixante, lorsque Andy Wharol utilise la sérigraphie, il s'inscrit dans cette même approche de multiplication pour devenir par la suite œuvre. Le remake, la reprise, la réplique sont autant de phénomènes qui montrent que le cinéma a été aussi investi par ces méthodes, de Akira Kurosawa « repris » par Sergio Leone, jusqu'à Alfred Hitchcock avec Gus Van Sant et Douglas Gordon. N'oublions pas la musique où le pillage a été manifeste et avéré... A l'heure du tout numérique, la distinction entre le master, et la copie pose de nouveau la question de l'unicité de l'œuvre et de sa protection, là où, accessibilité et ouverture au plus grand nombre en étaient la prime intention démocratique. « Comme pour les calligraphies de Wang Xizhi, aucune peinture ne peut, de nos jours, être attribuée à Wang Wei de manière indiscutable. Son œuvre s'est transmise par les copies, dans les deux procédés signifiés par ce vocable, la transcription fidèle et l'imitation librement inspirée de l'original qui en restitue l'esprit, sinon le détail. Reproduire les anciens maîtres, fait parti des six principes de la peinture énoncés par Xie He au Vème siècle. Si elle n'est pas exécutée avec une intention frauduleuse mais à des fins d'apprentissage ou de diffusion, la copie est fortement encouragée. Cette pratique a permis à des écoles picturales très anciennes de se perpétrer et de transmettre jusqu'à nous des répliques d'originaux depuis longtemps perdus. Certaines reproductions ont ainsi acquis une valeur inestimable. » Chine l'empire du trait, auteur (BNF, p 219) Le séjour à Pékin se déroulera durant trois semaines. Les étudiants iront à la découverte de la grande métropole, des sites historiques, des musées nationaux ainsi que du 798, quartier des galeries d'art contemporain. Cette immersion sera l’occasion de croisements et de rencontres avec des étudiants de l’université du CAFA, lieu d'hébergement des étudiants. La projection comporte une phase préparatoire au séjour qui abordera la connaissance de la culture chinoise et la recherche autour de la problématique. Le DVD du workshop vidéo qui s’est déroulé en avril 2011 à Beijing ESBANM/CAFA est disponible à la bibliothèque. Lieux : Fénelon, atelier vidéo et salle Briord

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Mardi14h-18h30 1er et 2nd semestres tous les 15 jours Intitulé de la projection 4 : Santa Fé : « Du Rose Hôtel au Soleil Hopi » Code : 424 Enseignants : Marion DANIEL, Pierre GIQUEL Objectifs et problématique : L'écart entre le texte et l'œuvre plastique agite un débat contradictoire dont les lignes de force nous semblent intéressantes de voir émerger. Faire circuler la parole, injecter l'étranger en soi, sortir. Deux endroits, deux temps, comment vivre ces lointains et ces proches ? Santa Fé, Nantes ? Dans le désert flamboyant du Nouveau Mexique, retrouver celle qui a peint la Montagne Sanglante ou celui qui a parlé de "jumeaux fondus en un" (Soleil Hopi, collection Terre Humaine) ? Ou entre l'océan et la Loire, et la cité dite "des Ducs", vivre ce vain mais tout aussi hallucinant séjour mythique à l'ombre du Rose-Hôtel ? Deux invités : Anne Portugal, poète, et Bruno Persat, artiste, proposeront chacun un workshop, à Nantes puis à Santa Fé. Comment vivre une expérience et sous quelles formes, ouvertes, la restituer, telle est une des questions de Bruno Persat ? Pour Anne Portugal, l'écriture ravive des distances (géographiques, temporelles...). Que fait-t-on avec cette distance ? Ou comment on fait décoller un texte ? Lieu : Félix Thomas, salle projection

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Mercredi 14h-18h30 1er et 2nd semestres Intitulé de la projection 5 : Open sky Museum (OSM) Code : 425 Enseignants : Claire-Jeanne JEZEQUEL, Jean-Gabriel COIGNET (tous les 15 jours), Véronique VERSTRAETE Artiste chercheur : Eden MORFAUX Participation ponctuelle des artistes envisagés pour OSM. Technicienne : Céline HUNEAU Objectifs et problématique : Faisons un Musée à l’envers. Construisons ce Musée pour et autour des œuvres ». Eden Morfaux, artiste et initiateur de ce projet déclare aussi « Je ne pense pas que nous devons refaire ou repenser le Musée. Je pense qu’il faut se réapproprier l’idée de Musée ».

Open Sky Museum est à la fois une sculpture en forme de lieu conçu pour y exposer des œuvres et une démarche collective de réflexion sur la notion de musée, la pérennité des œuvres et leur réception. Il s’agit de créer un musée à ciel ouvert dans un site péri urbain, les œuvres livrées au libre accès des passants devenus visiteurs, sans médiation, sans gardiennage, à la merci du temps et des intempéries. Construction faite de cimaises et de sols adaptables aux œuvres.

Pas de toiture afin de privilégier la vue sur le ciel. Pas de portes. Pas d’ouvertures latérales, donc pas de points de vue sur le paysage alentour et pas de visibilité de l’extérieur ce qui privilégiera l’aspect sculptural de la construction. Pas d’éclairage afin de profiter des différentes visions diurnes et nocturnes. OSM et ses œuvres vivront leur vie jusqu’à ce que la nature en ait raison et ruine totalement l’ensemble. OSM sera installé sur la Plaine de la Tougas (sous réserve), immense étendue herbeuse et ancien site de collecte des ordures ménagères.

Nous vous proposons de développer ce projet avec les enseignants et les artistes invités et de créer vos propres réalisations en

lien avec cette problématique à Marfa et dans des espaces publics dans la ville de Nantes.

Enjeux : C’est une œuvre manifeste et une proposition pédagogique que l’expérience accumulée par le groupe de recherche sur les pratiques contemporaines de l’abstraction lors de la mise en œuvre de « + de Réalité », de l’atelier « accident de parcours » et des séjours à la fondation Cinati rend possible. « Dé-construction », 2011, à l’Esbanm, Nantes, 13,60x8x6 m, sorte d’Architecton accolé au bâtiment qui abrite la galerie est un exemple de ce que Eden Morfaux a déjà réalisé à l’école. OSM réactualise certaines de nos préoccupations exprimées par l’exposition + de réalité, exposition sans commissaire, sans thème et sans autres prétexte que de réunir des œuvres proches de nos pratiques artistiques personnelles pour les partager avec les étudiants et le public. L’atelier accident de parcours à permis aux étudiants de vérifier qu’il était possible de penser, de réaliser, et de montrer des œuvres, en dehors de l’école, et des lieux dédiés aux expositions. D’entrer dans la cité par effraction, c’est l’objet augmenté d’OSM qui sera accompagné par les étudiants de la projection cette année. C’est donc enfin la question de la pérennité, de la circulation, et de la marchandisation des œuvres que pose OSM et nous vous proposons de développer cette question : - Découverte ou interrogation plus précise de la notion de l’espace de l’œuvre et de sa matérialité par la réalisation de pièces en lien avec la problématique et implantation dans Nantes. - Prise de conscience et développement des réalités physiques de l’œuvre. Découverte de matériaux et de systèmes de production et de réalisations. Réalisations d’un espace muséal. - Apprentissage du monde professionnel de l’Art.

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Modalités pédagogiques : Il s’agit d’un atelier durant lequel les quatre étudiants accompagneront l’ensemble du projet OSM, (son étude dans le premier semestre) et créeront des pièces dans le prolongement de leurs recherches en lien avec les problématiques contenues dans OSM à Nantes et à Marfa. Durant le séjour à Marfa au printemps, de nouvelles perspectives de travail se développeront. Les réalisations des quatre étudiants seront présentées à Marfa sous la forme qu’ils choisiront. D’autre part, les pièces créées pendant l’année dans le cadre de la projection pourront être présentées dans d’autres espaces inventés ou proposés dans la ville de Nantes, indépendamment de la Plaine de la Tougas. Contenus et déroulement : Quelques visites et déplacements dans des lieux correspondant à la problématique et développement des connaissances. -Rencontres et travail d’analyse de la pratique individuelle de chaque étudiant face à la problématique. -Réalisations d’espaces ou d’œuvres en fonction du travail des étudiants. -Création d’une hypothèse de présentation au public. -Communications aux étudiants et enseignants de l’école et développement régulier du blog. -Apport de sources à la bibliothèque, lien avec la matériauthèque. - Chantiers de construction de la forme OSM et accrochage des œuvres des artistes invités. - Apprentissage du monde professionnel de l’Art. - Rencontres et discussions avec les artistes invités. Lieux : Marfa, Félix Thomas, salle A et lieu d’OSM et autres lieux dans la ville selon les réalisations.

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Mercredi 14h-18h30 2nd semestre Intitulé de la projection internationale 6 : « Wild Minimal » Code : 426 Enseignants : Michel AUBRY, Jean-Sylvain BIETH (tous les 15 jours) Objectifs et problématique : Les œuvres des artistes du minimal art sont des révélateurs de l’espace environnant qu’elles incluent comme un élément déterminant. D'une façon similaire, on peut envisager le héros du western classique comme placé dans un espace donné comme à construire/à conquérir. Mais, dans les deux cas de figure - si elle n'est pas surpassée la position peut devenir dogmatique, monolithique. L'étude du dépassement de ce "dogme" se fera autour du travail de Tony Smith et Robert Morris (qui, en quelque sorte, dépassent le minimal en même temps qu'ils le pratiquent), puis des artistes qualifiés de "post-minimaux" (Eva Hesse, Steven Parrino,…). Parallèlement, il s'agira également d'œuvrer autour du travail de cinéastes tels Sam Peckinpah et Clint Eastwood, qui, eux aussi, sur-passent la notion de western pour en arriver à un sur-western qui deviendra assez rapidement le western crépusculaire. De cette période, il s'agira alors de passer à des films plus contemporains: P. T. Anderson Joel & Ethan Coen, Andrew Dominik ou Jim Jarmush et d'analyser les procédures de passage qui gèrent ces œuvres. La mise en place du projet se déroulera à Nantes et se concrétisera à Marfa (Texas) sur le lieu où seront testées les limites qui permettent le dépassement de l'un ou l'autre "genre", ainsi que de la nécessité de celui-ci. Lieu : Félix Thomas, salle projection

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Workshops de recherche Mardi et jeudi 14h-18h30 1er et 2nd semestres Intitulé du workshop de recherche 1 : « Croisements numériques » En partenariat avec l’Ecole Municipale d’Arts Plastiques de Saint-Nazaire Code : 427 Enseignants : Philippe-André BENA, Georges-Albert KISFALUDI Techniciens : Alexandre MAIRET, Christophe CATHALO Objectifs et problématique : La projection « Croisements numériques » a pour objet de questionner la création numérique dans le champ de l’art contemporain (cf Pierre MUSSO - colloque Poétique du Numérique, Université de Nantes, avril 2011). Il ne s’agit pas tant d’utiliser systématiquement l’outil technique, mais de susciter une réflexion sur l’utilisation de moyens numériques dans l’art. Il faut entendre par numérique, des technologies de communication et de codages de plus en plus rapides, dont le traitement de l’information interagit d’autant plus rapidement avec l’utilisateur. L’extension des capacités que produit l’utilisation du numérique développe de nouvelles perceptions, que ce soit dans leur compréhension comme dans leur appréhension et engendre de nouveaux comportements. Les étudiants sont invités à poursuivre leurs travaux en prolongeant leur création personnelle dans le cadre de cette réflexion. Les productions artistiques multimédia issues de ce projet seront exposées en mars dans la galerie des Franciscains à Saint Nazaire dans le cadre de l’évènement autour des nouveaux médias « Croisements numériques ». La projection place ainsi les étudiants dans le contexte de réalité d'une exposition collective hors école, avec un artiste principal invité. Ils devront assumer et tirer profit de la relation à cet artiste, au commissaire d'exposition et aux producteurs, mais aussi aux journalistes et, bien entendu, au public. Chacun devra gérer, en particulier, les aspects conceptuels, techniques, scénographiques,

budgétaires, ainsi que la communication et la médiation. Les étudiants peuvent s’engager dans n’importe qu’elle partie du spectre multimédia et utiliser l’interactivité. Des solutions techniques, qu’elles soient d’ordre électronique ou informatique, pourront être développées et adaptées aux projets des étudiants. Enjeux :

- Montage d’une exposition impliquant, dans le cas de média techniques, une gestion de la diffusion de l’œuvre dans le lieu,

- Scénographie d’exposition multimédia,

- Médiation de son contenu. Modalités pédagogiques : 4 heures hebdomadaires, réparties selon les besoins entre temps collectifs et temps individuels, les mardis et jeudis (essentiellement les après-midis), durant lesquels les étudiants s’entretiendront sur l’élaboration des pièces, de leur rapport à la création numérique et des choix techniques qui en résultent. Ce workshop s’adresse en particulier aux étudiants inscrits dans le master Multimédia ou désirant l’intégrer. Contenu et déroulement : - Au début du semestre, rencontre avec le commissaire d’exposition et l’artiste ou le collectif qui exposeront. - Présentation des projets par chaque étudiant. - Présentation et étude de conception et des moyens permettant la production de pièces. - Expérimentations et production des pièces, validation. - Rédaction d’un texte par projet et d’un dossier technique d’exposition. - Montage et démontage de l’exposition à Saint Nazaire. - Participation à des sessions de médiation à Saint Nazaire (vernissages, rencontres public-artistes, interviews….). Modalités d’évaluation : Crédits attribués sur l’investissement personnel, la conception technique et la production artistique.

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Effectifs : 10 étudiants de M1/M2 (prioritairement les étudiants inscrits en master multimédia) Nombre de crédits / S 7 : 5 Nombre de crédits / S 8 : 5 Lieux : Fénelon, salle Pluginlab

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Mardi 14h-18h30 1er semestre Intitulé du workshop de recherche 2: « Peinture, extension du domaine» Code : 428 Enseignants : Bernard PLANTIVE, Pierre MABILLE Artiste invité : David POULLARD « À première vue , il n'y a plus, aujourd'hui, d'apparence déterminante, de méthode, de style, de matériau, de sujet ou de thème particuliers permettant de dire d'une peinture qu'elle est résolument contemporaine ou au contraire de lui refuser cette qualification. (…) vous ne serez donc pas surpris de trouver des peintures que l'on peut d'emblée qualifier d'abstraites, qu'elles soient géométriques, biomorphiques ou gestuelles, ou figuratives, symbolistes, irréelles, expressionnistes, narratives etc.(…) Certaines peintures auraient été admises comme telles par nos arrières-grands- parents, d'autres ignorent pratiquement toute convention, aussi insignifiante soit elles : des œuvres sans image, sans dessin et sans couleur. D'autres font fi de l'attirail habituel : chassis, toile, peinture, et même de la main de l'artiste. À la limite il est fascinant de voir à quel point il est difficile de dire ce qui est une peinture et ce qui ne l'est pas. » Barry Schwabsky, Vitamine P , Edition Phaidon. Objectifs et problématique : La peinture, d’une grande diversité, peut s’affirmer en effet comme une pratique autonome (et cela, de multiples façons qui parfois semblent antagonistes), elle peut aussi se référer à des sources non picturales, échanger avec elles, s’en nourrir. Considérée dans un champ élargi, la peinture entretient des relations complexes et fructueuses avec d'autres cultures et médiums telles que photographie, vidéo, performance, installations… Cet atelier s’adresse à des étudiants intéressés par ce territoire, qui pratiquent la peinture ou dont les recherches développent une relation avec celle-ci.

Il s'agit d’une part, de mettre à jour et d’analyser des problématiques actuelles liées au champ de la peinture, d’autre part de susciter une production accompagnée d’un suivi de travaux spécifiques. Articulé autour des projets des étudiants et d'un partage régulier d'informations, l'objectif est à la fois d'enrichir la réflexion et la pratique autour des constituants fondamentaux (supports, matériaux, formes et couleur) et d'explorer la variété des notions, en discutant et mettant en perspective des questions liées à différentes familles picturales. L’atelier « Peinture, extension du domaine » est conduit par deux peintres au itinéraires très différents, l'un venant d'une peinture traitant d'un rapport particulier à l'espace, et notamment l'espace de l'atelier, qui interroge aujourd'hui l'image et la figure; l'autre pratiquant une peinture à dominante abstraite, posant la couleur comme une question centrale. Modalités pédagogiques : Participation au workshop de David Poullard les 11 et 12 octobre. Confrontations aux œuvres, visites d’expositions et d’ateliers, rencontres avec des artistes. Discussions et échanges, autour des travaux personnels et de questions spécifiques. Travaux expérimentaux en réponse à des questions liées à la peinture et réactivées. Mise en espace, collaborations et possibles coproductions. Modalités d’évaluation : Productions plastiques, notes personnelles Contrôle continu Effectifs : 10 étudiants Nombre de crédits S7 : 5 Lieu : Félix Thomas, salle A

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Mercredi 9h30-13h 1er et 2nd semestres Intitulé du workshop de recherche 3 : « Sculpture monumentale et éphémère dans l’espace public » En partenariat avec Imprifrance Code : 429 Enseignante : Claire MAUGEAIS Objectifs et problématique : Concevoir et réaliser une œuvre dans l’espace public à partir de la récupération de matériaux issus de l’imprimerie : papier, rouleau, plaque off set, encre… Dans le cadre d’un partenariat avec l’école des métiers de l’imprimerie et le regroupement impriFrance, l’esbanm s’inscrit dans ce projet de sculpture monumentale éphémère. Les étudiants seront en condition de commande publique : réponse à un cahier des charges, contraintes et réglementation de l’espace public, jury et réalisation collective d’une oeuvre. Cette sculpture sera présentée au public à partir du printemps 2013 dans le cadre de la manifestion Green City. Elle donnera lieu à une publication. Calendrier : 1er semestre : rencontre avec les partenaires, travail autour du cahier des charges, conception des maquettes et projets. Janvier 2013 : jury de sélection d’un projet 2nd semestre : réalisation collective de l’œuvre en collaboration avec les professionnels de l’imprimerie. Effectifs : 4 étudiants maximum Nombre de crédits S7 : 5 Nombre de crédits S8 : 5 Lieu : salle projection et école des métiers de l’imprimerie

Lundi et mardi 1er et 2nd semestres (voir planning p 20) Intitulé du workshop de recherche 4 : « Biographies Cartographiques : le temps comme résistance» Code : 4210 Enseignantes : Christiane CAVALLIN-CARLUT, Emmanuelle CHEREL Artiste invitée : Hayoun KWON Objectifs et problématique : « J’ose considérer ces récits comme de petits actes de résistance à l’occupation, de réappropriation symbolique des lieux. L’armée israélienne continue d’imposer sa carte, à chaque nouvelle expropriation les cartes des lieux désormais interdits sont punaisées sur les arbres et partout. Alors oui, il s’agit de revendiquer le droit de dresser sa propre carte ». Till Roeskens (à propos des « Videomappings ») Le géographe anglais Brian Harley contestait la vision « scientifique » de ceux qui voulaient limiter la réflexion cartographique à ses aspects techniques, et pour qui les cartes n’illustraient qu’une progression constante, cumulative, pour valoriser une représentation idéalisée de la « véritable » réalité. Il revendiquait la carte comme biographie, sous quatre aspects : - la carte est une biographie en tant qu’objet conçu, fabriqué, et utilisé à une certaine époque, - la carte nous sert de lien avec les biographies de ses producteurs (dessinateurs, ouvriers, imprimeurs, géomètres) qui ont travaillé pour reproduire son image, - la carte est une biographie du paysage qu’elle dépeint « plus éloquente que les nombreux paragraphes d’un discours écrit »1, - la carte renvoie à ma propre biographie. Elle est un filon riche d’histoire personnelle, elle livre un ensemble d’éléments pour la carte du souvenir.

Harley relevait également la manière dont certains groupes indiens, à l’époque de la conquête des Amériques, étaient capables d’adopter les usages cartographiques

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européens et se les réapproprier comme un moyen de résistance dans les luttes coloniales2. Les Mixtèques (centre-sud du Mexique), en particulier, produisaient, en matière cartographique, des « histoires spatiales où le temps et l’espace étaient projetés sur le même espace à deux dimensions, et où les perceptions géographiques, les migrations ancestrales et l’histoire étaient enregistrées sur le même document. Les configurations étaient espacées par rapport aux temps de trajet ».

C’est à partir de l’hypothèse de l’irruption du temps dans la carte, appréhendée comme biographie et comme résistance, que va s’articuler ce workshop. A partir d’une exploration de la pensée critique de Brian Harley, de la pratique de la carte par les artistes, en particulier dans les contextes de migration, c'est-à-dire de passage et de transgression des frontières, à partir de la construction d’un récit spatial, ce workshop proposera une réflexion collective aux étudiants de M1 et M2 lors du premier semestre. Cette réflexion sera à l’origine de production de pièces qui seront présentées à la galerie de l’école. 1 F.W.Maitland, historien de la cartographie

2 Cette hypothèse de Harley rejoint celle de Michel de Certeau à propos des consommateurs dans « L’invention du quotidien » : « des résistances s’opèrent, micro-résistances qui tempèrent le rapport inégalitaire de pouvoir par des pratiques de bricolage, par « la liberté buissonnière des pratiques ».

Planning : - lundi 19, mardi 20, mercredi 21 novembre (9h-18h) : lancement du workshop (H.Kwon, E.Chérel,C.Cavallin) - mardi 4 décembre (9h-12h30 et 14h-18h) : séminaires et suivi de projets, E. Chérel, C.Cavallin - mardi 11 décembre (9h-12h30 et 14h-18h) : séminaires et suivi de projets, E. Chérel, C.Cavallin - mardi 18 décembre (9h-12h30 et 14h-18h) : séminaires et suivi de projets E. Chérel, C.Cavallin - lundi 7 et mardi 8 janvier (9h-18h) : finalisation du workshop et accrochage de l’exposition : H.Kwon, E.Chérel, C.Cavallin - mardi 8 janvier 2013 : vernissage - fin expo et démontage : vendredi 25 janvier Effectifs : 8 étudiants Nombre de crédits S7 : 5 Lieu : Félix Thomas (en fonction du planning)

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Jeudi 14h-18h 1er et 2nd semestres Intitulé du workshop de recherche 5 : « Sanagare » Code : 4211 Enseignante : Anne FREMY Artiste invité : André DEKKER du collectif Observatorium Trois workshops seront organisés, dont l'un aura lieu à l'agence Observatorium à Rotterdam. Des séances de travail auront lieu les jeudis après-midi de 14 à 18 h avec Anne Frémy. La première séance est fixée au 18 octobre. Du 25 au 29 octobre à Nantes. Du 11 au 15 février à Rotterdam. Du 26 au 29 mars à Nantes (dates à confirmer). Objectif et problématique : Le collectif Observatorium a réalisé une œuvre pérenne dans le cadre d’Estuaire 2012, le Péage sauvage, située au cœur du quartier de Malakoff et au pied de cette zone naturelle nommée la Petite Amazonie. Invité une nouvelle fois dans de Nantes Green Capital 2013, à poursuivre leur travail à Nantes, le collectif envisage une intervention architecturale éphémère sur l’Ile de Nantes. Il s’agit de concevoir un espace public, à la fois jardin, place et observatoire, sur le site d'un bâtiment industriel de la SNCF qui sera en partie recyclé dans le nouveau projet. Encadrés par André Dekker (membre du collectif Observatorium) et Anne Fremy, les étudiants seront associés au travail de réflexion et de réalisation architecturale en partenariat avec les prestataires publics et privés du projet. Ils auront pour mission la définition des thèmes du jardin, préfiguration d'un projet de jardin médicinal lié au futur hôpital, et la conception et la réalisation de quatre "abris", ainsi que la documentation du projet, qui donnera lieu à un livre, un film, une restitution.

www.observatorium.org http://annefremy.com Modalités d’évaluation : Qualité des recherches personnelles et des réalisations. Présence et engagement. Effectifs : 8 étudiants Nombre de crédits S7 : 5 Nombre de crédits S8 : 5

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Unité d’enseignement 3 Initiation à la recherche, suivi du mémoire, histoire et théorie des arts et anglais Histoire et théorie des arts 1er semestre Lundi 10h -12h Intitulé du cours : « Libre cours »

Code : 431 Enseignant : Emmanuelle CHEREL Objectifs et problématique : Ce séminaire se penche sur la question du stéréotype. Plus précisément, il se concentre sur des œuvres (arts plastiques, cinéma, danse, littérature...) qui ébranlent les clichés (sociaux, culturels, raciaux). Des œuvres qui donnent libre cours à la renégociation des formes esthétiques et des genres, tout comme à une exploration des processus représentationnels. Autrement dit, des œuvres qui déplacent les habitudes visuelles, désabritent le regard, remettent en jeu les zones de frontières et de contacts3, élargissent l’expérience et les significations, génèrent du trouble et de l’écart. Le stéréotype est pratiqué par tous. Au sens figuré, il est un acte ou une pensée qui se répète, immuable, un modèle fixe, dans lequel se coulent des manières de penser ou de faire. Le stéréotype est, en général, l’expression naturalisée d’une asymétrie des rapports de pouvoir – celui de nommer, de montrer, de réduire, d’assigner4. Procédant souvent par analogies visuelles, il est partagé par la majorité. Chaque groupe social possède ses propres clichés (types et genres classifiables, etc.), émanations d’une entité collective qui se forment sur un éventail large de figures de styles (métaphore, ironie, hypallage, métonymie,

personnification, allégorie, redondance, pléonasme, expression toute faite,...).. Ainsi donc, tout cliché est relatif à une culture donnée et a un caractère unificateur : tout le monde ou presque le connaît ou le reconnaît5. Le domaine de l’art n’y échappe pas. Certains stéréotypes, tels par exemple ceux fondés par le primitivisme restent agissants. Le stéréotype a la peau dure. Il résiste là où on ne l’attend pas, et parfois même au sein de propositions artistiques pourtant identifiées comme étant d’avant-gardes. La notion classique de stéréotype (positif ou négatif) doit être complétée par celles de contre-stéréotype et d’anti-stéréotype pour rendre compte des déplacements contemporains de ce qui est rendu visible et de ce qui est laissé invisible6. Le contre-stéréotype est le contre pied du stéréotype, il en propose une version inversée. Il a des limites et conduit au néo-stéréotype. L’anti-stéréotype, quant à lui, utilise les stéréotypes comme manière même de leur réflexivité ce qui conduit ainsi à les rendre visibles ; il joue de son potentiel de déstabilisation des « allant de soi ». Réalisées en collaboration avec l’association Contrechamp (Patrick Bernier, Christine Laquet, Olive Martin, Stéphane Pauvret) ainsi qu’avec Mathieu K. Abonnenc, artiste invité en résidence à l’ESBANM, plusieurs séances de travail auront lieu en soirée au Cinématographe. Nous prêterons une attention particulière à des films et vidéos hybrides mais également à toute une histoire du cinéma méconnue (Le troisième cinéma) dont Olivier Hadouchi (historien du cinéma) viendra nous parler. 1 PRATT M.L., Imperial eyes: Travel writing & Transculturaltion, Londres, Routledge, 1992. 1 Voir par exemple les écrits de A. MEMMI A., F. FANON, E.W. SAID. 1 Sur les ambivalences du stéréotype voir BHABHA H.K., Les lieux de la culture, Paris, Payot, 2007, pp. 121-146. 1 MACÉ E., « Des minorités visibles aux néostéréotypes : les enjeux des régimes de monstrations télévisuelle des différences ethnoraciales », in « Identités nationales d’état », Journal des anthropologues, 2007.

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Modalités d’évaluation : Un dossier (cinq pages) devra être rendu début janvier. Il sera consacré à l’interprétation d’une œuvre étudiée ou regardée lors du séminaire qui vous semble engager les problématiques posées dans ce séminaire – il s’agira de l’interpréter (en laissant libre cours à vos convictions, vos expériences et votre imagination) au moyen de l’écriture (textes) et/ou de documents visuels en vous appuyant sur les apports (terminologie, concepts, corpus d’œuvres ou de textes) et les questions abordées durant le semestre. Votre présence et votre participation sont indispensables à la mise en place d’une dynamique collective intéressante. Vos absences ne peuvent être qu’exceptionnelles et motivées. Une dizaine d’étudiants pourra participer à une séance de travail (du 28/01/2013 au 2/02/2013) consacrée à la question du stéréotype et de sa déconstruction. Conçus comme des moments d’expérimentations et de discussions débridées, des ateliers seront menés successivement par Latifa Laâbissi (chorégraphe), Mathieu K. Abonnenc, Olive Martin, Patrick Bernier (artistes). En soirée, seront programmées des conférences, performances, spectacles, programmation de films ouverts à tous les étudiants de l’ESBANM. Effectifs : 20 étudiants Nombre de crédits / S7 : 2 Nombre de crédits / S9 : 2 Lieu : Félix Thomas, salle A

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Mercredi de 14h à 18h tous les 15 jours Intitulé du cours : «L'Histoire de l'art, outil-support d'une pratique» Code : 432 Enseignant : Etienne BERNARD Objectifs et problématique : Exploration de l’histoire de l’art des débuts de la modernité à nos jours. Le séminaire est structuré autour de grandes thématiques de l’art en développement depuis la fin du dix-neuvième siècle, telles que le statut, l’engagement et le rôle de l’artiste ; la question de l’objet ; le traitement du réel, etc. Au delà du seul savoir historique, ce séminaire se veut un lieu d’échange et de débat sur la relation que le jeune artiste et son travail entretiennent avec les propositions artistiques passées. Comment envisager l’histoire de l’art comme un socle de développement de sa propre pratique, comment l’inscrire dans une histoire, etc. Modalités d’évaluation : Rédaction d'un essai critique et analytique de la pratique artistique de l'étudiant mis en perspective avec différentes propositions passées. Participation régulière et assiduité seront prises en compte dans l’évaluation. Effectifs : 20 étudiants Nombre de crédits / S7 : 2 Nombre de crédits / S9 : 2 Lieu : Félix Thomas, salle A

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Lundi de 14h à 18h et mercredi 14h-18h (1/10 ; 3/10 ; 5/11 ; 7/11 ; 12/12) Intitulé du cours : «Essai, cinéma et art contemporain» Code : 433 Enseignant : Véronique TERRIER HERMANN Objectifs et problématique : Lors de ce séminaire, nous nous concentrerons sur des formes de films réalisés par des artistes contemporains qui empruntent à l'essai littéraire sa liberté formelle ainsi que sa dimension critique, discursive et réflexive. Le séminaire alternera ainsi une présentation historique de l'essai littéraire, des présentations critiques de films ou extraits, ainsi que des présentations par chacun des étudiants d'un essai rédigé et présenté oralement au groupe (l'étudiant pensera à la forme propre de son essai, sachant qu'il devra être lu au groupe, mais pouvant être accompagné d'images). Modalités d’évaluation : Evaluation basée sur l'investissement, la participation et la présentation d'un essai par chaque étudiant inscrit. Modalités pédagogiques : Deux demi-journées par semaine, une semaine par mois au premier semestre aux dates suivantes : 1/10 ; 3/10 ; 5/11 ; 7/11 ; 12/12. Effectifs : 20 étudiants Nombre de crédits / S7 : 2 Nombre de crédits / S9 : 2 Lieu : Félix Thomas, salle A

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Mercredi 14h à 16h

Intitulé du cours : « A propos du tableau » Code : 434 Enseignant : Xavier VERT Objectifs et problématique : Dans ce séminaire, nous continuerons de questionner les fondements esthétiques et l’héritage artistique de la première modernité, aussi bien à partir de concepts fondamentaux que d’œuvres singulières. Cette année, nous nous donnerons le tableau pour objet de réflexion, de son instauration jusque dans ses effets et du pictural jusqu’au cinématographique. Nous conduirons analyse et discussion au croisement de l’histoire de l’art, de la sémiologie et de la philosophie à partir de trois fonctions qui nous paraissent essentielles à la permanence du tableau dans le champ des pratiques artistiques et visuelles : - la forme : qu’est-ce que la forme-tableau ? - la scène : que signifie de dire que le tableau est structuré comme une scène ? - L’instance : à partir de quoi fait-on tableau ? Modalités d’évaluation : présence et participation. Exposé oral. Effectifs : 20 étudiants Nombre de crédits / S7 : 2 Nombre de crédits / S9 : 2

Lieu : Fénelon, amphithéâtre

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Jeudi 9h-11h Intitulé du cours : « La mort n’en saura rien ? » [1]

Code : 435 Enseignante : Véronique GIROUD Objectifs et problématique : Le carnaval est une fête aux fantômes. L’homme danse volontiers la danse macabre et, ce qui est bizarre, il la danse sans le savoir. L’art s’empare de cette gaieté sépulcrale. Victor Hugo.

Limité dans le temps et non dans l’espace le carnaval est politique. Il n’a pas de frontières spatiales, il ne connaît pas de lieu scénique, de rampe, de lumière qui séparent les hommes. Il est proximité, contact entre tous les hommes. Quoi de plus fascinant encore, le carnaval conserve des éléments d’archaïsmes et les rend éternellement vivants et capables de se renouveler. Il s’oppose totalement au musée qui se fonde, lui, de la séparation et dont l’activité de conservation en fait l’égal du casino : n’être jamais perdant. Les goguettes (qui ne séparaient pas encore les hommes et où l’on venait « pousser un cri » (pousser sa chanson), les cabarets et les « caveaux d’atmosphères », la boxe et la lutte, la parodie et le mimétisme mécanique, les doubles, les masques et les travestissements, les images décevantes et les situations fausses, les dépenses improductives dégénérées, les machines infernales et la machine à décerveler, l’agitation créative du parangolé, les jeux et le bricolage passionnent les artistes parce que ces choses sont à la lumière de la raison, ce que le carnaval est à l’ordre social.

On se demandera comment l’esprit carnavalesque et le caractère carnavalesque travaillent les œuvres, les films et autres pratiques de la fin du XIXème siècle à aujourd’hui. [1] Vers de Guillaume Apollinaire (Le guetteur mélancolique), repris pour le titre de l’exposition La mort n’en saura rien, relique d’Europe et d’Océanie, exposition d’Yves Le fur au Musée d’Afrique et d’Océanie, 1999-

Modalités d’évaluation : présence et participation. Présence et participation. Exposé oral. Effectifs : 20 étudiants Nombre de crédits / S7 : 2 Nombre de crédits / S9 : 2

Lieu : Fénelon, amphithéâtre

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Intitulé du cours : " Théorie du projet et direction du mémoire " Code : 436 Enseignants : Emmanuelle CHEREL, Christiane CAVALLIN CARLUT, Marion DANIEL, Michel GELLARD, Pierre GIQUEL, Véronique GIROUD, Véronique TERRIER-HERMANN, Xavier VERT Objectifs et problématique : Le cours "Théorie du projet et direction des mémoires" est un temps de recherche consacré à la partie théorique du travail de l'étudiant. Il participe à la définition de son territoire de recherche, au questionnement et au fondement théorique de son projet. Il est mené sous la direction d'un professeur en théorie, critique et/ou histoire des arts pendant les années de M1 M2 en relation avec les enseignants plasticiens. Il comporte deux phases complémentaires 1/ Théorie du projet La Théorie du projet permet à l'étudiant de mettre en perspective sa démarche et ses productions, afin de confirmer l'adéquation entre les enjeux des projets et leurs réalisations, et d’en proposer une analyse réflexive par des pratiques de lecture, d'écriture, de dessin, de recherches iconographiques (constitution d'atlas) etc.... Ce travail croise les pratiques plastiques au champ élargi de l'art, des sciences humaines et de la pensée. 2/ Direction des mémoires Le cours permet l'invention de modes discursifs expérimentaux où l'étudiant pratique un espace/temps de réflexion et d’écriture qu'il articule à sa pratique plastique. Le mémoire lui, fait état d'un processus et pourra être édité sous une forme discursive ouverte et appropriée à sa recherche. 3/ Préparation à l’oral de soutenance de mémoire Michel Gellard propose aux étudiants qui le souhaitent une préparation à l’oral de la soutenance de mémoire. Cette préparation est proposée sous forme d’entretiens individuels.

4/ Mise en forme du mémoire Equipe pédagogique dédiée : Luc BARBIER, Olivier JONCOUR, Benoît PASCAUD, Eric PERRAUD Objectifs : - Travailler sur le rapport texte / image. - Mettre en adéquation mise en forme (règles typographiques, print, multimédia) et contenu du mémoire. - Suivi de réalisation du mémoire en lien avec les ateliers techniques print et multimédia. Accompagnement individuel sur la mise en forme du mémoire. Mise en relation avec des professionnels : imprimeur, reprographe, typographe, webmaster..... Cette préparation est proposée sous la forme d’un suivi individuel. Emploi du temps 1er semestre : directeurs de mémoire Lundi 9h30-13h et 14h-18h30 : Michel GELLARD Marion DANIEL (bibliothèque) Lundi 14h-18h30 : Emmanuelle CHEREL Christiane CAVALLIN CARLUT (tous les 15 jours) Mardi 9h30-13h : Pierre GIQUEL Mardi 9h30-13h et 14h-18h30 : Michel GELLARD Mercredi 9h30-13h : Xavier VERT Jeudi 11h-13h et 14h à 18h30 : Véronique GIROUD (bibliothèque) Véronique TERRIER HERMANN : Dates : 2, 3 et 5/10, 5, 6 et 7/11, 11, 12 et 14/12)

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Emploi du temps 2nd semestre : directeurs de mémoire Lundi 9h30-13h et 14h-18h30 : Michel GELLARD Marion DANIEL (bibliothèque) Emmanuelle CHEREL Lundi 14h-18h30 : Christiane CAVALLIN CARLUT (tous les 15 jours) Mardi 9h30-13h : Pierre GIQUEL Mardi 9h30-13h et 14h-18h30 : Michel GELLARD Mercredi 9h30-13h et 14h-18h30 : Xavier VERT Jeudi 9h30-13h et 14h-18h30 : Véronique GIROUD (bibliothèque) Véronique TERRIER HERMANN : (dates communiquées au second semestre) (9 étudiants maximum par enseignant) Emploi du temps 1er et 2nd semestres : mise en forme du mémoire : Jeudi 14h-18h30 Luc BARBIER Jeudi 14h-18h30 Olivier JONCOUR Jeudi 14h-18h30 Benoit PASCAUD Vendredi 9h30-13h Eric PERRAUD

Modalités d’évaluation : Réflexion sur le travail, délimitation d’un champ de références et rédaction du mémoire. Contrôle continu : exposé et cahier de recherche. Nombre de crédits / S7 : 5 répartis en 3 crédits pour l’initiation à la recherche et 2 crédits pour le suivi du mémoire. Nombre de crédits / S8 : 9 répartis en 5 crédits pour l’initiation à la recherche et 4 crédits pour le suivi du mémoire. Nombre de crédits / S9 : 18 répartis en 9 crédits pour l’initiation à la recherche et 9 crédits pour la finalisation du mémoire. Nombre de crédits / S10 : 5 pour la soutenance du mémoire. Lieux : Félix Thomas et bibliothèque

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Jeudi de 9h30-12h15 Intitulé du cours "Anglais" Code : 437 Enseignant : Georgia NELSON Objectifs et problématique : Atelier d’anglais : développer la pratique écrite et orale de la langue en lien avec le projet artistique de l’étudiant. Travail en collaboration avec des partenaires institutionnels et associatifs (musée des beaux-arts, galerie RDV, lieu unique…). Séances de travail et rencontres organisées à l’extérieur de l’école. Modalités pédagogiques : 2 groupes de niveaux sont constitués en début d’année, 1h15 hebdomadaire par groupe : 9h30-10h45 : groupe 1 11h-12h15 : groupe 2 Rappel : l’anglais est obligatoire en M1, facultatif en M2. Modalités d’évaluation : Présence et participation. Contrôle continu. Nombre de crédits / S7 : 1 Nombre de crédits / S8 : 1 Lieu : Félix Thomas, salle A

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Unité d’enseignement 4 Stage et professionnalisation Vendredi 9h-13h 1er et 2nd semestres Intitulé du cours : « Atelier le monde de l’art » Code : 441 Enseignant : Patricia SOLINI Objectifs et problématique : Ce module a pour objectif de permettre aux étudiants d’imaginer concrètement leur relation et leur position dans le monde de l’art après l’école en les sensibilisant aux différents acteurs et obligations des mondes de l’art : - appréhender et connaître l’univers professionnel artistique, son fonctionnement et ses enjeux en rencontrant ses différents acteurs : organisateur d’évènements, commissaire d’exposition, galeriste, conservateur, critique d’art, collectionneur, restaurateur. - connaître l’économie du projet artistique : production, partenariat. Contenus et déroulement : Au premier semestre : Rencontres et débats avec différents acteurs de l’art selon un calendrier précis délivré aux étudiants en début d’année. Au second semestre : Des ateliers spécifiques (Droits d’auteur, statut des artistes plasticiens, associations et entreprises, résidences d’artistes ou économie du projet) seront programmés et ouverts également aux jeunes diplômés.

Modalités pédagogiques : 4h au 1er semestre. 2 groupes A et B (voir calendrier communiqué à la rentrée) 3 ateliers proposés au second semestre par AMAC, agence spécialisée dans l’accompagnement des artistes plasticiens. Modalités d’évaluation : A l’issue du 1er semestre, les étudiants sont validés sur : - leur présence obligatoire, - leur participation active aux rencontres avec les professionnels, - un bilan écrit de ces rencontres et leur projet professionnel. Au second semestre, la validation se fera sur la présence active aux ateliers professionnalisant. Nombre de crédits / S 7 : 2 Nombre de crédits / S 8 : 1 Lieux : Félix Thomas, salle A ou autres lieux (centre d’art, musée, galerie, etc.)

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Intitulé du cours : « Atelier Accrochage » Code : 442 Enseignants : Patricia SOLINI, Véronique VERSTRAETE Cet atelier complète la direction de recherche et a pour objectif d’initier les étudiants aux problématiques de l’accrochage individuel et collectif de leurs pièces. Grâce à la dimension collective de cet exercice, l’étudiant est confronté à une double contrainte, celle de présenter des pièces terminées (et non pas un état de recherches) dans des conditions professionnelles de monstration et d’autre part de se confronter au groupe et à ses règles (présentation de son travail en public, mise en relation des pièces, négociations des espaces). Ces présentations collectives serviront également de support aux autres enseignants pour un travail spécifique avec les étudiants. Les enjeux : L’atelier Accrochage accompagne les recherches de l’étudiant en lui permettant d’appréhender tous les paramètres de l’exposition et ses enjeux tant formels que symboliques. Il prend également en compte la relation dynamique entre le spectateur et le sujet exposé. Il invite l’étudiant à se questionner et à mettre en œuvre la résolution technique de son accrochage. Modalités pédagogiques : L’atelier Accrochage se déroule pour chaque étudiant sur 4 jours et en 6 étapes, une fois par semestre :

1. Inscription à une des 3 dates proposées en début de semestre en fonction de l’emploi du temps de vos directeurs de recherche et de mémoire si possible.

2. une préparation des pièces à accrocher en accord avec le directeur de recherche,

3. une journée d’atelier collectif : le jeudi de 9h30 à 18h30

4. une finalisation d’accrochage libre jusqu’au lundi

5. un bilan critique oral collectif : le lundi de 14h à 16h

6. un bilan critique individuel écrit

DEROULEMENT DETAILLE :

1. Préparation en amont nécessaire : Elaboration d’une fiche technique détaillée par pièce et réservation du matériel nécessaire auprès du magasin. Définition des espaces et des besoins spécifiques. Attention ces fiches doivent être validées obligatoirement en amont par les directeurs de recherche

2. Déroulement de la journée d’atelier du jeudi de 9h30 précises à 18h30 :

Présentation des pièces par chaque étudiant à l’ensemble du groupe. Questionnement du rapport entre les pièces (formel, métaphorique, sémiologique….) Légitimité et définition des priorités artistiques des pièces à accrocher. Scénographie possible et idéale. Plan d’accrochage réalisé collectivement. Atelier pratique. Accrochage des pièces par chaque étudiant en autonomie

3. Finalisation si nécessaire de l’accrochage par chaque étudiant avant le bilan du lundi

4. Bilan critique oral de l’atelier

Accrochage le lundi de 14h à 16h Documentation photographique par chacun.

5. Démontage obligatoire le mercredi en fin de journée suivant le bilan collectif

6. Remettre dans les quinze jours

suivants un bilan écrit individuel sous forme d’un dossier comportant le plan d’accrochage et une analyse critique de l’exercice collectif et individuel accompagnés des documents photographiques envoyé par mèl à PS+VV pour évaluations.

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Planning : Jeudi de 9h30 à 18h30 : 1er semestre : les 8, 15 et 22/11/2012 2ème semestre : dates communiquées ultérieurement Lundi de 14h à 16h : 1er semestre : les 12, 19 et 26/11/2012 2ème semestre : dates communiquées ultérieurement Atelier obligatoire pour tous les étudiants de M1 une fois par semestre. Environ 10 à 12 étudiants par séance Nombre de crédits / S 7 : 3 Nombre de crédits / S 8 : 2 Lieux : Félix Thomas, salles blanche et bleue

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Intitulé « Stage» Code : 4541 Enseignant référent : directeur de recherche Objectifs pédagogiques : Le stage a pour objectif une immersion dans le monde professionnel vers lequel l’étudiant tend à évoluer au sortir de l’école. Il doit permettre une confrontation avec une structure du monde culturel et artistique et doit permettre une confrontation avec une réalité de terrain. Les étudiants qui effectuent un stage en milieu professionnel peuvent intégrer des entreprises ou des institutions culturelles (musées, chaînes de télévision, assistance d’artistes, agences de publicité ou de photo, galeries, administrations, industries culturelles…). Modalités pédagogiques : Le stage est effectué dans le cadre d’une convention et fait l'objet d'un rapport qui donne lieu à l'attribution de 4 crédits. Le stage obligatoire en M1 doit s’effectuer sur une période d’un mois minimum soit 140h. Il doit se dérouler au second semestre. Nature des travaux demandés : - Rapport de stage. Validation : - Suivi et rapport de stage évalués par le directeur de recherche. - Avis et appréciation du tuteur de stage de la structure d’accueil Nombre de crédits S8 : 4

Récapitulatif des crédits de M1

Semestre Unité d’enseignement Crédits Total 5 1 : projet plastique, production

méthodologie, prospective 5 10

2 : projection et workshop 5 3 3 : initiation à la recherche

suivi du mémoire 2

5

histoire et théories des arts 2 + 2 anglais 1

S 7

4 : Stage et professionnalisation 5

30 crédits

4 1 : projet plastique, production, méthodologie, prospective 4

8

2 : projection et workshop 5 5 4

3 : initiation à la recherche, suivi du mémoire, anglais 1

10

S 8

4 : Stage et professionnalisation 7

30 crédits

Total 60 crédits Eléments réglementaires L’obtention de 48 à 60 crédits est requise pour le passage en année M2. En dessous de 60 crédits, les crédits manquants doivent obligatoirement être rattrapés au cours du premier semestre de l'année M2 dans la discipline concernée. Récapitulatif des crédits de M 2

Semestre Unité d’enseignement Crédits Total 5 1 : mise en forme du projet personnel 5

10

2 9

S 9 2 : histoire des arts initiation à la recherche finalisation du mémoire 9

18 20 30 crédits

1 : DNSEP Travail plastique 25 S 10 2 : soutenance du mémoire 5

30 crédits

Total 60 crédits

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Master 2 professionnel « Multimédia » Master Management de la culture : arts et patrimoine Spécialité professionnelle : Conception, gestion et diffusion de produits culturels Spécialisation : Technologies numériques, conception, médiation et valorisation de produits culturels Le dispositif Depuis l’année 2005/2006, l’esbanm a engagé un partenariat avec l’Université des Pays de la Loire à Angers (ESTHUA) dans la mise en place d’un master 2 professionnel, spécialisation «Technologies numériques, conception, médiation et valorisation de produits culturels » commun aux deux établissements. Les cours et formations sont assurés par les enseignants et techniciens de l’esbanm, et des professionnels de la culture et du tourisme, enseignants ou intervenants de l'ESTHUA. L’étudiant qui suit ce master en parallèle de la préparation de son D.N.S.E.P. doit s’inscrire également à l’université d’Angers (frais d’inscription : 255 euros). Le diplôme de ce Master 2 Pro est délivré par l’Université d’Angers. Objectifs pédagogiques L’objectif est de former des professionnels maîtrisant les technologies numériques de création multimédia et évoluant dans le monde de la culture. Le renouvellement des modes de représentation et les multiples formes que prennent les productions culturelles supposent aujourd’hui la formation de professionnels qui possèdent à la fois des compétences techniques et un regard critique sur la production actuelle et une connaissance approfondie des outils de communication à destination des différents publics de la culture (musée, galerie, agence de communication, maison d’édition...). Afin de se positionner comme chef de projet et directeur artistique, ces futurs professionnels doivent maîtriser les outils informatiques (logiciel de création numérique) ; grâce à la connaissance des différentes possibilités offertes par ces outils de création, ils seront à même de concevoir un cahier des charges, de diriger un projet, de s'intégrer à une direction artistique, de

mobiliser des équipes et de mettre en œuvre la diffusion et la médiation. Choix pédagogiques L’enseignement repose sur l’articulation entre trois domaines de compétences : les technologies numériques, la création multimédia et les connaissances culturelles. La maîtrise des technologies numériques constitue la base de la formation essentiellement par l’apprentissage des logiciels de référence (suites Adobe et Final cut Pro Apple, etc…) : les étudiants acquièrent des compétences dans la création de sites web, l'animation interactive, la création et retouche d’images, l'édition multimédia, la PAO, la DAO, la photographie numérique, le montage vidéo, la création de DVD, le traitement audio. La formation apporte également des connaissances fondamentales en matière de médiation artistique et culturelle, de direction artistique et de connaissance de la chaîne graphique, de communication multimédia, de droit et de gestion, de connaissance des terrains professionnels, de marketing culturel, d'histoire de l'art numérique et multimédia. Les évaluations Les évaluations se déroulent sous forme du contrôle continu et de contrôles terminaux. La première session d’examens a lieu à l’esbanm pour une sélection variable d'épreuves de comptabilité, entreprise et management, médiation culturelle, multimédia appliqué et anglais. La seconde session d’examens de rattrapage est prévue en septembre pour permettre aux étudiants de rattraper les crédits non obtenus au cours de la première session. L'année de recherche et la soutenance du DNSEP, ou, le cas échéant, un projet d'étude appliquée, correspondent au module recherche de ce Master 2. Le stage de fin d’année d’une durée de 3 mois est obligatoire pour valider ce Master. Objectifs professionnels Les étudiants acquièrent les compétences dans : - l’utilisation des outils de création numérique, - l’établissement de préconisations sur les dispositifs multimédias à mettre en place en fonction,

des objectifs artistiques, culturels ou de communication recherchés. - la mise en place d'actions multimédias de diffusion et de médiation auprès de différents publics. Débouchés possibles Directeur et responsable artistique (être en capacité de faire des choix artistiques en rapport avec le multimédia), chef de projet (mise en place d’une méthodologie et de rétros plannings, définition d’un cahier de charges, gestion du budget, gestion des relations clients et fournisseurs...) Webmaster, responsable éditorial internet, chargé de communications nouvelles technologies, développeur. Les entreprises et organismes pouvant accueillir les étudiants sont, par exemple : - les lieux culturels et structures artistiques : sites historiques publics ou privés, musées, galeries, centres d’art, associations culturelles, studios de création… - les entreprises du multimédia et de communication (création de sites internet/intranet, sociétés de production...) - les organismes institutionnels et des collectivités territoriales orientés valorisation culturelle et/ou artistique.

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STRUCTURE DE LA FORMATION ET ORGANISATION PEDAGOGIQUE 1er semestre (12 semaines) + 2ème semestre jusqu'aux vacances de Printemps. UE 1 – Langues, langages, Culture 72 H Langue anglais (Ian Nicholson) 24 H Art et Multimédia (Georges-Albert Kisfaludi) 33 H Données, Métadonnées et Réseaux : langages et exploitation (Olivier Joncour) 15H UE 2 – Formations scientifiques 60 H Image société contemporaine 12H Direction artistique (Luc Barbier) 9 H Chaîne graphique (Luc Barbier) 9 H Médiation culturelle (Patricia Solini) 18 H Technologies et médiation 12 H UE 3 - Démarche entrepreneuriale 60 H Connaissance de l'entreprise (Pascal Missir) 16H Marketing culturel 8H Communication culturelle 12H Gestion financière (Géraldine Baupin) 15 H Propriété intellectuelle et droits d'auteur 9 H UE 4 - Méthodologies recherches et professionnelles 24 H Méthodologie de la recherche (Directeurs de recherche et de mémoire DNSEP) 20 H Projet d’étude appliquée, gestion de projet multimédia (Directeurs de recherche DNSEP et Georges-Albert Kisfaludi) 4 H

UE 5 – Métiers 163 H Animation et programmation (Philippe-André Béna) 30 H (précédées de 18 H de mise à niveau en M1) Edition PAO (Eric Perraud) 21 H (précédées de 18 H de mise à niveau en M1) Développement Web et Web dynamique (Alexandre Mairet) 20 H Photographie numérique (Xavier Navatte - Marc Dieulangard) 19 H Montage Vidéo (Marek Walcerz) 21 H Effets spéciaux vidéo (Marek Walcerz) 10H Création de DVD (Guy Bauza) 8 H Traitement du son (Alexandre Mairet) 17 H Dessin et réalisation vectoriels (Olivier Joncour) 15 H Total : 379 H précédées de 36 H minimum de mise à niveau en M1 soit 415 H. Le planning détaillé des cours sera communiqué à la rentrée 2012/2013.

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Unité d’enseignement 1 Langues, langages, Culture Intitulé du cours : Art et Multimédia 1er semestre (séances selon calendrier) 2ème semestre (cours hebdomadaire) Enseignants et responsables d'atelier associés au cours : Georges-Albert KISFALUDI, concepteur en ingénierie et scénographie multimédia contributions de Philippe-André BENA, arts numériques et interactifs, programmation Objectifs de formation : Acquérir une connaissance historique et contemporaine de la création artistique et de la scénographie multimédias, en particulier numériques et interactives ; Analyser les références et tendances : démarches et parcours d'artistes, expositions marquantes, concepts, critiques, productions théoriques ; Savoir quantifier et qualifier un projet multimédia : méthodologies de la conception à la réalisation, veille technologique ; Comprendre le droit d'auteur et le contexte juridique spécifiques à la production artistique multimédia. Concevoir, produire et exposer : participations spécifiques à un ou deux workshop et à une exposition. Enjeux et problématique : En rupture d'un côté avec la narration, et de l'autre avec la matérialité, la création artistique multimédia explore de nouveaux territoires de l'expression et de l'information où elle structure la pensée, tant par sa forme que par son contenu. Evoluant dans une culture contemporaine des mass médias, de sociabilisation interactive, de dématérialisation et de surconsommation technologique accélérée, l'artiste du multimédia se confronte à des concepts radicaux, en particulier dans le rapport réalité/imaginaires. Seront ainsi analysés, entre autres, ceux de Marshal MacLuhan qui bouleverse l'ordre contenu/contenant

en posant que "le medium est le message", de Bernard Stiegler qui met en garde vis à vis de la confiscation de nos savoir-faire intellectuels par les "objets mémoriels" et nous alerte sur notre incapacité à nous construire au monde dans une "télécratie", de Jean-Louis Boissier qui entérine de "nouvelles matérialités" structurantes de notre imaginaire comme de notre réalité et pose, pour l'interactivité en art, "la relation comme forme", de Pierre Lévy qui recherche le contre-courant artistique dans le "déluge numérique". L'enseignement, sur présentation et analyse d'œuvres, posera en particulier les questions de : la représentation virtuelle et l'illusion au travers de projets et scénographies multimédias ; l'évolution du cadre de représentation jusqu'à sa dématérialisation "immersive" ; l'écriture interactive et le programme, lieu de l'œuvre ; le spectateur-acteur et la liberté du public dans le rapport art/technologie ; l'autonomie de l'œuvre interactive ; corps présent - corps absent dans l'installation et la performance multimédias ; l'émergence de nouveaux modèles de réalité "relativistes" ; le développement des nouveaux espaces d'expression, de représentation et de partage ; la superposition des territoires de l'information "hyperliés" et "hypersociaux" et des territoires matériels ; l'analyse de la démarche et des processus de travail du plasticien multimédia. Contenus et déroulement : (trame donnée à titre indicatif, susceptible d'évolution en fonction de l'actualité de ce champ artistique et des propositions des étudiants les précurseurs : les grandes expositions, les événements fondateurs ou de référence, art interactif, art réseau, art immersif,

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art géolocalisé et cartographies émotionnelles, l'art conceptuel et l'art perceptuel dans la création multimédia, représentations virtuelles et sensitives, performance, arts vivants, arts scéniques et technologie, scénographie de représentation et d'exposition multimédias, séminaire d'artistes invités (projet de recherche Plug-in), workshop art numérique avec Stéréolux, Ouest Médialab, collectif Métaphores Urbaines (selon actualité), visite et implication dans expositions multimédias : Scopitone/Stéréolux, « Croisements Numériques », la Gaîté Lyrique… (selon actualité). Références bibliographiques et de sites web, actualisées, fournies en cours ; se référer également aux ouvrages spécialisés en bibliothèque. Modalités pédagogiques : La pédagogie est principalement celle de cours théoriques et d'analyses critiques d’œuvres multimédias. Des visites dans des structures d'exposition et des confrontations avec des professionnels pourront être conseillées et/ou organisées. Jours et horaires : Jeudi après-midi pour les cours du second semestre. Workshop, séminaire et exposition selon le calendrier. Nature des Travaux demandés : Présenter en cours, en utilisant des moyens multimédias, un exposé oral critique, documenté et illustré sur un courant artistique, un artiste, une œuvre ou une manifestation artistiques du champ de la création multimédia. ou à défaut : L'étudiant devra concevoir une proposition de projet artistique multimédia ; il en fera, en utilisant des moyens multimédias, un exposé critique mettant l'accent sur sa démarche de conception et ses méthodes de développement et de mise en œuvre. Les projets retenus pourront être réalisés et exposés. Lieux : Félix Thomas, déplacements sur sites et salle Plug-in Lab, esbanm.

Intitulé du cours : Données, métadonnées, réseaux : langages et exploitation Enseignant : Olivier JONCOUR Objectifs et problématique : Ce cours a pour objectif de sensibiliser les étudiants à une approche pédagogique de la notion de données, métadonnées, et réseaux, plus spécifiquement de leurs relations et interconnexions, d’en comprendre les articulations et d’en appréhender les différents enjeux : le contexte théorique et historique, les usages et la mise en œuvre, et les développements contemporains. Les étudiants sont mis en situation d’expérimentation et d’analyse des outils de gestion des datas, de compréhension du rôle des interfaces afin de développer autour des usages. Modalités pédagogiques :

- travail théorique et pratique en salle informatique,

- visite de sites web exploitant des bases de données,

- constitution de parcours choisis à l’intérieur d’une exposition et restitution à l’oral comme exercice de médiation,

- bilan, analyse et discussions collectives selon les questionnements soulevés dans les cours théorique et exemples pratiques.

5 séances de 3h. Le planning est communiqué aux étudiants en début d’année. Modalités d’évaluation : • suivi et participation active aux cours, • une exploration personnelle sur la question de la base de données. Lieu : Fénelon, salle Plug-in Lab

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Intitulé du cours : Anglais Enseignant : Ian NICHOLSON Objectifs : Ce cours a pour objectif de donner aux étudiants une connaissance approfondie de l'anglais appliqué à la création multimédia. Modalités pédagogiques : Travail axé sur l'oral et sur la lecture de textes et autres supports actuels (sites web, etc…) 12 séances de 2h. Le planning est communiqué aux étudiants en début d’année. Modalités d’évaluation : • Suivi et participation active aux cours. • Contrôle final sous forme d'une discussion en binôme sur un sujet imposé. Lieu : Fénelon, salle Varèse

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Unité d’enseignement 2 Formations scientifiques Intitulé du cours : Direction artistique Connaissance de la chaîne graphique Enseignant : Luc BARBIER 1/ Lieux de culture : l’édition contemporaine Entre art et communication, une histoire des pratiques du graphisme et de la direction artistique. Des revues symbolistes, nabis et art nouveau à l’invention du livre d'artiste par les primitivistes et suprématistes, du développement du livre d'art dans les années trente à l’émergence du concept de catalogue d'exposition, présentation du rapport de l'art contemporain au graphisme à travers l'évolution des productions éditoriales… - De Merz à Emigre : graphisme et magazines d'avant-garde au XXe siècle. Analyse des publications dont les innovations en terme de graphisme, de typographie et de mise en page ont accompagné la diffusion des idées des mouvements artistiques et politiques les plus radicaux. - À la frontière du design et des arts plastiques : analyse de la production d'artistes (Kurt Schwitters, Karel Teige, Edward Ruscha, Maurizio Nannucci, Lawrence Weiner…). b)- Histoire des avant-gardes typographiques et enjeux du graphisme contemporain : présentation des travaux de Stefan Sagmeister, Uwe Loesch, des studios Surface, Pentagram, Blast, Tomato, Büro Destruct… - Mise en perspective des exigences ergonomiques, culturelles et économiques de la mise en page de l'objet livre. - Livre-objet, livre-unique, paradigme du livre d'artiste. - Architecture et design d'espace : l'interaction des objets avec leur environnement. - Graphisme scénographique. 2/ Langages en perspective - “Cybercultures” et concepts pionniers.

- Découverte sur Internet des zones alternatives, des logiciels libres, des communautés virtuelles, des blogs, des forums, des e-zines afin d’interroger les spécificités du médium (véracité des informations, enjeux socio-politiques, navigation, interfaces, interactivité). - La publication en ligne : étude de projets multimédia interactifs, examen des phases de réalisation (choix du support, niveaux d'interactivité, développement d’une logique d'arborescence, système de navigation…) - Analyse, dans le contexte de la création contemporaine et des nouveaux médias, des processus artistiques qui font appel à la notion de dispositif ouvert, évolutif, participatif, interactif, à la relation homme/machine, à la relation entre acteur-performeur-auteur et spectateur (opérateur ou co-opérateur d'une œuvre). Réflexion autour des questions d'espace virtuel/réel et de temps réel/différé. - Développement des connaissances techniques et théoriques du cyberespace-temps. Appropriation des technologies et détournements (publication, exposition, action en ligne ou hors ligne avec ou sans public). - Définition des notions de concepteur multimédia, d’auteur, de médiateur… Suivi de projet Méthodologie de conception : • Analyse éditoriale et méthodologie des pratiques de conception pour l'élaboration du dossier de production des produits multimédias didactiques. • Question de la gestion, du traitement et de l’organisation visuelle des informations. • Analyse de supports et modèles de conception empruntés aux genres institutionnels, culturels, ludo-éducatifs dans la perspective d’en appréhender les invariants structurels et les spécificités fonctionnelles. • Définition de projet dans ses objectifs et ses contraintes sous les angles éditoriaux et économiques, techniques et informatiques, artistiques et audio-visuels, interactifs et ergonomiques. Ce cours adosse l'étude éditoriale, marketing et technique à la structure du modèle artistique et interactif du projet que les étudiants élaborent.

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Modalités pédagogiques : Le planning est communiqué aux étudiants en début d’année. 5 séances de 3h réparties en : Direction artistique au 1er semestre, 3 séances de 3h. et Connaissance de la chaîne graphique, 3 séances de 3h. Lieux : Fénelon, amphithéâtre, Gutenberg et visites extérieures Intitulé du cours : Médiation culturelle Enseignante : Patricia SOLINI Objectifs et problématique : Ce cours a pour objectif de sensibiliser les étudiants à une approche pédagogique de l’exposition, plus spécifiquement d’art contemporain, d’en comprendre les différentes articulations et d’en appréhender les différents acteurs : le contexte institutionnel (privé ou public), le commissariat (les intentions) et la scénographie, les œuvres proprement dites (matérialité, procédure et extensions historiques) et les moyens mis en œuvre de la réception de l’œuvre à sa transmission au public. Les étudiants de ce master venant d’univers différents, beaux-arts, histoire de l’art ou autres filières ayant moins à voir avec la culture, il s’agit de constituer également un corpus de connaissances communes à partir de visites d’expositions de natures différentes pour une prise de conscience des objectifs d’une médiation réussie : la formation d’une attitude, la conquête d’une autonomie et l’acquisition d’une compétence pour le spectateur. Les étudiants sont mis en situation d’expérimentation et d’analyse des outils de médiation mis en place dans des expositions d’art contemporain (tous médiums), de compréhension du rôle médiateur afin de développer une réflexion consciente et personnelle des enjeux de la médiation. Modalités pédagogiques : Visite libres d’expositions et proposées dans des institutions à Nantes et à Angers. Approche typologique des situations de médiation culturelle (objet de la médiation,

présentation ou scénographie, contenus des discours informatifs, techniques, historiques, supports de médiation existants, publics concernés). - Constitution de parcours choisis à l’intérieur d’une exposition et restitution à l’oral comme exercice de médiation.

Visites accompagnées d’expositions spécifiques par un guide-conférencier et discussion autour du métier de médiateur. - Bilan, analyse et discussions collectives selon les questionnements soulevés dans les visites (médiation pour les enfants, difficulté d’approche de l’art contemporain, etc) Modalités d’évaluation :

un exercice oral en binôme (parcours d’œuvres),

un dossier écrit en binôme (tableau récapitulatif des expositions visitées et des acteurs) + texte personnel sur la question de la médiation,

présence au cours. Modalités pédagogiques : 6 séances de 3h au premier semestre. Le planning est communiqué aux étudiants en début d’année. Lieux : Fénelon et visites extérieures

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Intitulé du cours : Technologies et médiation Enseignant : François IZARN Objectifs et problématique : Marketing d'un produit culturel vu au travers des technologies de médiation. Modalités pédagogiques : Découverte et expérimentation pratique sur un site équipé (musée, exposition…) et acquisition de connaissances théoriques. Le planning est communiqué aux étudiants en début d’année. 1er semestre : 12h réparties en 5 séances, visites et Esthua. Modalités d’évaluation : • suivi et participation active aux cours, • rédaction d'une analyse de cas.

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Unité d’enseignement 3 Démarche entrepreneuriale Intitulé du cours : Les outils de gestion Enseignants : Géraldine BAUPIN, Pascal MISSIR Objectifs et problématique : Cette formation permet à l’étudiant d’être capable de réaliser des opérations comptables simples et d’être en mesure de tenir la comptabilité d’une micro-entreprise. Cette formation a pour objectif d’initier les étudiants à la création d'entreprise (auto-entreprenariat…). Présentation des états comptables de base : journal, grand-livre, balance, compte de résultat et bilan. Enregistrement de factures d’achat et de vente, traitement comptable de la TVA. Présentation succincte des principaux instruments de paiement inter-entreprise. Bibliographie : initiation à la logique comptable, Michel Salva, Vuibert Modalités pédagogiques : 2ème semestre, gestion financière, 15h et entreprise, 12h Modalités d’évaluation : Diaporama présentant les éléments théoriques. Exercices d’application corrigés. Lieux : Félix Thomas, salle A et Fénelon, salle Varèse

Intitulé du cours : Propriété intellectuelle et droit d’auteur Enseignant : (communiqué à la rentrée) Objectifs et problématique : La propriété intellectuelle, le droit à l’image et le droit d’auteur dans le contexte du multimédia et de la société d’information. Modalités pédagogiques et d’évaluation : Droit théorique et études de cas. 1er semestre 9 à 12h réparties en 4 séances. Lieu : Esthua, Angers

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Unité d’enseignement 5 Métiers Intitulé du cours : Animations interactive et programmation Enseignant : Philippe-André BENA Objectifs et problématique : L'évolution esthétique de l'image numérique a toujours été confrontée à la capacité technologique de pouvoir le plus rapidement possible en diffuser le contenu. La vitesse d'affichage nécessaire à la discrimination et l'identification des messages conditionne les choix graphiques et techniques des projets numériques. Si les connaissances techniques suffisent à la réalisation de sites internet, leur singularité se fonde sur la qualité d'un projet graphique et scénaristique. Le développement des animations et la mise en scène interactive seront donc évalués dans le contexte des possibilités technologiques actuelles. Modalités pédagogiques : Apprentissage de Flash : La pratique du multimédia interactif repose sur un ensemble de logiciels divers mais compatibles pour réaliser des sites sur internet. Flash peut réaliser des sites web complets, mais sera utilisé essentiellement pour la création d'animations compatibles avec d'autres logiciels multimédias. Seront étudiés l'importation, la compression et la gestion du son, les composants ainsi que leur personnalisation intégrant textes, images, films et l'ensemble des outils vectoriels. Que ce soit dans un cadre d'animations classiques, de 3D ou de cinématique inverse, les animations par interpolations seront exploitées avec leurs compléments, tel que les guides d'animation, les repères de formes, l'éditeur de mouvements et les masques. Seront expliqués avec leur spécificité, les symboles et leur utilisation sous forme d'occurrences. La programmation sera abordée de façon simple avec le langage de programmation de l'ActionScript en appliquant des déplacements dans la timeline et permettre une interactivité personnalisée.

Modalités pédagogiques : 1er et 2nd semestres, 10 séances de 3h. Séances précédées d'une mise à niveau. Modalités d’évaluation : Exercices de réalisation d'éléments de site web et d'applications interactives exploitables dans d'autres contextes. Lieu : Fénelon, Pixel Zone

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Intitulé du cours : Edition / PAO, DAO Enseignant : Eric PERRAUD Objectifs et problématiques : L’enseignement repose sur l’articulation entre trois domaines de compétence : les technologies numériques, la dimension graphique et les connaissances culturelles et artistiques. La maîtrise des technologies numériques constitue la base de la formation ; dans ce cours, les étudiants acquièrent des compétences PAO In Design et DAO Photoshop. L’optimisation de ces outils informatiques passe par la maîtrise du graphisme, ces deux aspects s’inscrivant dans le contexte global du monde culturel. Les bases d’une mise en page efficace : point, ligne, surface, couleur. De la mise en page au design graphique. Force et impact de l’image. Identité visuelle. Production de l’imprimé. Prépresse numérique. Préparation à l’impression. L’enseignement repose aussi sur une analyse de la fonction de l’image : Roland Barthes, Deleuze, etc. L’influence des grands Graphistes (Paul Rand, Milton Glaser, David Carson, etc). Cours sur l’histoire du numérique s’appuyant sur la présentation d’œuvres numériques majeures. Modalités pédagogiques: Aux 1er et 2ème semestres. 7 séances précédées d'une mise à niveau. Modalités d’évaluation : Le cours met en avant la notion de projet, qui correspond à un travail individuel ou à la mise en œuvre d’un travail collectif, les deux débouchant sur une exposition. Lieux : Fénelon, Pixell zone et/ou PLug-in Lab

Intitulé du cours : Connaissance du territoire professionnel artistique Enseignant : Eric PERRAUD En collaboration avec la galerie Mélanie RIO à Nantes. Objectifs et problématique : Les étudiants auront à réaliser des pièces en relation avec le numérique qui seront présentées dans la galerie de l’école en 2013. La galerie Mélanie Rio contribuera au travail de sélection et d’accrochage de cette exposition. Ce temps pédagogique est l’occasion d’une mise en situation de commissariat, montage et diffusion d’un travail plastique. Les étudiants travailleront de manière collective à la description et à l’écriture du projet. Ils auront également à concevoir les supports de communication (affiche, flyers, édition). La visite de l’exposition « L’ombre des chimères » qui ouvrira au public le 21 septembre et la rencontre avec les artistes permettront aux étudiants d’échanger sur le métier d’artiste. Lieux : Fénelon, Pixell zone et/ou PLug-in Lab

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Intitulé de la formation : Développement Web et Web dynamique Formateur : Alexandre MAIRET Objectifs et modalités pédagogiques : Création de site web, apprentissage du logiciel DreamWeaver d’Adobe, du HTML au PHP. Modalités d’évaluation : Mise en œuvre des savoir-faire et exercices d’application. Modalités pédagogiques : 1er et 2nd semestres. 5 séances de 4h de formation. Lieu : Fénelon, Pixel zone Intitulé de la formation : Photographie Numérique Enseignant et Formateur : Xavier NAVATTE, Marc DIEULANGARD

Objectifs et problématique : Ces cours s’adressent à des étudiants de M2 qui ont déjà reçu durant leur cursus en 1ére année et 2éme ou 3éme année (situation Image) un enseignement photographique. Ce cours a pour objectif de leur permettre d’approfondir leur réflexion photographique ; d’appréhender les différents contours, tant du point de vue de l’analyse des images numériques dans le champ des productions artistiques actuelles que dans l’utilisation des outils liés à cette pratique. Ces 6 cours ont également pour finalité de permettre aux étudiants d’acquérir un regard critique plus précis sur la production photographique contemporaine et si possible de favoriser une autonomie tant en pratique de studio qu’en intervention et retouche numérique. Modalités pédagogiques : Tous les outils de l’atelier/studio photo de l'esbanm seront à disposition des étudiants pour leur permettre la mise en œuvre de leur projet.

Une présentation approfondie des outils leur sera proposée dans un premier temps. - appareils de prise de vue : chambre grand format – boîtier moyen format - boîtier numérique - choix des focales - profondeur de champ - studio : mesure et analyse des différentes lumières artificielles et flashs électroniques. - traitement numérique : acquisition (scanner et APN) – retouche (photoshop) - configuration de fichiers (taille/résolution/poids/mode colorimétrique/format de fichier) - diffusion (internet /impression/diaporama) Modalités d’évaluation : Il est demandé aux étudiants de réaliser un ensemble de photographies de leur choix en utilisant les possibilités du studio. Ces productions devront impérativement prendre en compte dans leur élaboration les outils de traitement numérique. 3 photographies parmi la production effectuée seront choisies et pourront faire l’objet de 3 tirages « type exposition » format A2. Le sujet de ce travail devra être étroitement lié aux propositions plastiques de leur DNSEP. L’étudiant devra spécifier l’objet de sa recherche, sa méthode et formaliser le développement de son projet afin d’envisager des propositions photographiques. Il devra apporter une documentation personnelle liée aux pratiques photographiques numériques, ce qui permettra de cerner au plus près son questionnement et la problématique de son projet. Il précisera ce qui est nécessaire à la mise en œuvre de cette production en terme de dispositif, de matériel et d’éclairage. Modalités pédagogiques : 1er et 2nd semestres. 5 séances de 3h30 et une séance préalable d’1h30. Lieu : Fénelon, atelier Photo

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Intitulé de la formation : Montage Vidéo et ouverture aux effets spéciaux Formateurs : Marek WALCERZ, Guy BAUZA Objectifs et problématique : La formation de montage vidéo a pour objectif de donner un niveau technique de qualité, théorique et pratique permettant aux étudiants d'acquérir une autonomie dans le montage vidéo et une capacité à répondre à la commande dans un contexte d'entreprise culturelle et ceci quelque-soit le logiciel utilisé. Ces dernières années ont été particulièrement dynamiques dans le domaine des nouvelles technologies numériques, ce qui s'est traduit par l'apparition d'une diversité de techniques, de matériel, d'appareils dédies à la prise de vue, de machines de postproduction et de logiciels. La formation enseignera des techniques qui sont communs aux principaux standards professionnels. Modalités pédagogiques : Au cours de la formation, les étudiants sont amenés à réaliser leurs travaux vidéo en répondant aux contraintes techniques. Cette formation, centrée sur Final cut Pro, comporte deux parties : la première est théorique. Elle explique toutes les étapes de la naissance du signal vidéo qui constitue l'image dés le début jusqu'à la finalisation des médias. Les étudiants apprennent toutes les métamorphoses du signal, de quoi il se compose, quel traitement il subit et le vocabulaire associé tel que la numérisation, la compression, ses types etc… Après avoir assimilé les connaissances techniques et le lexique, la partie pratique sera abordée avec le montage vidéo. Cette formation familiarise les étudiants avec la postproduction vidéo : structure et fonctionnement d'une station de montage virtuel, découverte de ses composants (présence de certains dispositifs du périphérique), de ses réglages et de ses normes. Les étudiants découvrent l'importance et la rigueur du paramétrage du logiciel de montage virtuel avant d'engager tout projet du travail.

La formation est réalisée d'après le programme conçu par le formateur et permet de découvrir le logiciel d'une manière claire et adaptée. Les exercices sont réalisés en pratiquant l'interface du logiciel et de ses menus, ses fonctions, en temps réel permettant aux étudiants de voir et d'assimiler leurs fonctionnalités. La dernière partie de la formation du montage virtuel est consacrée à la pratique en binôme sur une station de montage. La prise de note est indispensable pour acquérir une rapide autonomie de travail. Les manipulations pratiques se font sur la base des notes prises durant les cours et en présence du formateur pour vérifier les connaissances acquises. Modalités pédagogiques : 1er et 2nd semestres. 6 séances de formation de 3h30. Modalités d’évaluation : Réalisation d'un montage vidéo intégral reprenant les connaissances acquises au cours de la formation. Lieu : Fénelon, atelier Vidéo

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Intitulé de la formation : Création de DVD Formateur : Guy BAUZA Objectifs et problématique : Au cours de cette formation les étudiants pourront aller bien plus loin qu'une simple initiation. Après une première prise en main simple et efficace, ils pourront, dès le premier cours, réaliser un DVD simple, avec menus, diaporama et vidéos. Pendant les séances suivantes, ils irons plus loin dans l'approfondissement du logiciel : notions d'arborescence, création de menus avec fonds, boutons, surbrillances, textes évolués, différents types de menus, modèles, chapitrages de vidéos, diaporamas dynamiques, etc.. tous éléments que l'on regroupe sous le terme d'authoring, en lien avec la post-prodution vidéo (Final Cut Pro, Compressor) et la retouche ou création d'image (Photoshop). En fin de cursus, les étudiants seront à meme de réaliser un DVD Interactif de qualité professionnelle, à disposition de leur propre projet personnel de recherche et de création. Modalités pédagogiques : Cette formation est centrée sur le logiciel DVD Studio Pro qui s'inscrit dans la lignée des différents logiciels professionnels composants la suite vidéo et audio d'Apple. Dédié à la création de DVD, il s'acquitte de cette tâche avec efficacité, sur la base d'une interface ergonomique et d'outils courants (comme les modèles, les timelines programmants chapitres, sous-titres et différentes versions audio), mais aussi avec des fonctions plus innovantes comme le diaporama, les transitions entre menus, le mode script, la vue graphique et surtout l'interaction avec Final Cut Pro HD et Compressor. 1er et 2nd semestres. 4 séances de 2h. Modalités d’évaluation : L'évaluation consiste en un exercice "live "de réalisation de DVD selon un cahier des charges précis. Lieu : Fénelon, atelier vidéo

Intitulé de la formation : Traitement du son Formateur : Alexandre MAIRET Objectifs Traitement multipistes du son, de la captation à la diffusion. Modalités d’évaluation : Mise en œuvre des savoir-faire et exercices d’application. Modalités pédagogiques : 1er et 2nd semestres. 5 séances de 3 h30. Lieu : Fénelon, atelier son

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Intitulé du cours : Dessin et réalisation vectoriels Enseignant : Olivier JONCOUR Objectifs et problématique : Ce cours a pour objectif, après évaluation du niveau des étudiants, de leur donner une maîtrise approfondie d’Adobe Illustrator indispensable aux graphistes. Outils, grilles de composition, domaines d'usages, exercices de difficultés croissantes sont abordés, explicités et répétés... Au-delà de l'usage pratique usuel, un aspect de recherche plastique générative basé sur mon propre travail de recherche graphique est aussi exploré. Les étudiants sont mis en situation d’expérimentation et d’analyse des outils de dessin vectoriel, afin de développer autour des usages une démarche personnelle.. Modalités pédagogiques :

- Travail théorique et pratique en salle informatique.

- Multiples cas de figures, configuration et exploitation du logiciel dans différents contextes pratiques.

- Bilan, analyse et discussions collectives selon les questionnements soulevés dans les cours théoriques et exemples pratiques.

Un planning est communiqué aux étudiants en début d’année. 5 séances de 3h. Modalités d’évaluation : • suivi et participation active aux cours, • réalisation d'un travail dirigé. Lieux : Fénelon, Pixel zone

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EMPLOI DU TEMPS 2012/2013 - 1er semestre Lundi 9 H 30 - 13H Mardi 9 H 30 - 13H Mercredi 9 H 30 - 13H Jeudi 9 H 30 - 13H Vendredi 9 H 30 - 13H UE 1 Direction de recherche G. Hauray, V. Verstraete, P.Oudard, C. Cavallin-Carlut UE2 Workshop de recherche 4 « Biographies cartographiques : Le temps comme résistance » C. Cavallin-Carlut, E. Chérel, H. Kwon (voir planning page 20) UE 3 Séminaire d’histoire de l’art 10h-12h E.Cherel Direction du mémoire M.Gellard, M.Daniel V.Terrier-Hermann ( 5/11)

UE 1 Direction de recherche C. Maugeais, P. Oudard, V. Verstraete JG.Coignet et CJ.Jézéquel (tous les 15 jours) UE 2 Projection internationale 1 Culturefission C.Paris, E.Bernard

Projection internationale 2 Le domaine des études performées D.Perrier Projection internationale 3 Chine M. Guérini et O. Joncour Direction du mémoire M.Gellard P.Giquel V. Terrier-Hermann (2/10, 6/11, 11/12)

UE 1 Direction de recherche D.Tisserandet, P. Mabille , M.Aubry V. Verstraete, JG.Coignet, C.J. Jézéquel ( tous les 15 jours) UE 2 Workshop de recherche 3 Oeuvre monumentale, C. Maugeais UE 3 Direction de mémoire V.Terrier-Hermann (3/10, 7/11, 12/12) X.Vert

UE 1 Direction de recherche J-S.Bieth (tous les 15 jours) A. Frémy, M.Aubry, E.Commissaire UE 3 Séminaire d’histoire de l’art 9h-11h V. Giroud Direction de mémoire 11h-13h V.Giroud UE 4 Atelier « Accrochage » 9h30-18h30 P.Solini, V. Verstraete (8, 15 et 22/11)) Anglais M1 G.Nelson 9h30 – 10h45 : groupe 1 11h-12h15 : groupe 2

UE 4 Stage et professionnalisation Atelier Le monde de l’art P.Solini UE 3 Direction de mémoire V.Terrier-Hermann (5/10 et 14/12) Mise en forme du mémoire Eric Perraud

Lundi 14 H - 18 H 30 Mardi 14 H - 18 H 30 Mercredi 14 H - 18 H 30 Jeudi 14 H - 18 H 30 Vendredi 14 H - 18H UE 1 Direction de recherche G. Hauray, J-S.Bieth, P. Oudard (tous les 15 jours) UE 3 Direction du mémoire E. Chérel, M.Gellard M. Daniel (bibliothèque) C. Cavallin-Carlut (tous les 15 jours) Séminaire d’histoire de l’art V.Terrier-Hermann (1/10, 5/11) 18h-20h Projection de films en amphithéâtre

UE 1 Direction de recherche C.Paris, D.Tisserandet , D.Perrier, M.Guérini UE 2 Workshop de recherche 1 Croisements numériques G-A.Kisfaludi, PA.Béna Workshop de recherche 2 Peinture et extension du domaine P. Mabille et B. Plantive Projection internationale 4 Santa Fé M. Daniel et P. Giquel UE 3 Direction du mémoire M.Gellard

UE 1 Direction de recherche C.Maugeais UE 2 Projection internationale 5 Open sky Museum V. Verstraete JG.Coignet, C.J. Jézéquel( tous les 15 jours) Projection internationale 6 Wild Minimal M. Aubry J. S. Bieth (tous les 15 jours) UE 3 Séminaire d’histoire de l’art E.Bernard (tous les 15 jours) X.Vert V.Terrier-Hermann (3/10, 7/11, 12/12)

UE2 Workshop de recherche 1 Croisements numériques G-A.Kisfaludi, PA.Béna Workshop de recherche 5 Sanagore A. Frémy UE 3 Direction de mémoire V.Giroud Mise en forme du mémoire O.Joncour, L.Barbier

UE 3 Direction de mémoire V.Terrier-Hermann (14/12/2012)

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EMPLOI DU TEMPS 2012/2013 - 2nd semestre Lundi 9 H 30 - 13H Mardi 9 H 30 - 13H Mercredi 9 H 30 - 13H Jeudi 9 H 30 - 13H Vendredi 9 H 30 - 13H UE 1 Direction de recherche G. Hauray, V. Verstraete, P.Oudard, C. Cavallin-Carlut UE 3 Direction du mémoire M.Gellard, M.Daniel, E.Cherel V.Terrier-Hermann (dates communiquées au second semestre)

UE 1 Direction de recherche C. Maugeais, P. Oudard, V. Verstraete JG.Coignet et CJ.Jézéquel (tous les 15 jours) UE 2 Projection internationale 1 Culturefission C.Paris, E.Bernard

Projection internationale 2 Le domaine des études performées D.Perrier Projection internationale 3 Chine M. Guérini et O. Joncour Direction du mémoire M.Gellard P.Giquel V. Terrier-Hermann (dates communiquées au second semestre)

UE 1 Direction de recherche D.Tisserandet, P. Mabille , M.Aubry JG.Coignet, C.J. Jézéquel( tous les 15 jours), V. Verstraete UE 2 Workshop de recherche 3 Oeuvre monumentale, C. Maugeais UE 3 Direction de mémoire X.Vert V.Terrier-Hermann (dates communiquées au second semestre)

UE 1 Direction de recherche J-S.Bieth (tous les 15 jours) A. Frémy, M.Aubry, E.Commissaire UE 3 Direction de mémoire V.Giroud UE 4 Atelier « Accrochage » 9h30-18h30 P.Solini, V. Verstraete Anglais M1 G.Nelson 9h30 – 10h45 : groupe 1 11h-12h15 : groupe 2

UE 4 Stage et professionnalisation Atelier Le monde de l’art, AMAC UE 3 Direction de mémoire V.Terrier-Hermann Mise en forme du mémoire Eric Perraud

Lundi 14 H - 18 H 30 Mardi 14 H - 18 H 30 Mercredi 14 H - 18 H 30 Jeudi 14 H - 18 H 30 Vendredi 14 H - 18H UE 1 Direction de recherche G. Hauray, J-S.Bieth, (tous les 15 jours) P. Oudard (tous les 15 jours) UE 3 Direction du mémoire E. Chérel, M.Gellard M. Daniel (bibliothèque) C. Cavallin-Carlut (tous les 15 jours) V.Terrier-Hermann (dates communiquées au second semestre) 18h-20h Projection de films en amphithéâtre

UE 1 Direction de recherche C.Paris, D.Tisserandet , D.Perrier M.Guérini, P. Mabille UE 2 Workshop de recherche 1 Croisements numériques G-A.Kisfaludi, PA.Béna Projection internationale 4 Santa Fé M. Daniel et P. Giquel UE 3 Direction du mémoire M.Gellard

UE 1 Direction de recherche C.Maugeais UE 2 Projection internationale 5 Open sky Museum V. Verstraete JG.Coignet, C.J. Jézéquel (tous les 15 jours) Projection internationale 6 Wild Minimal M. Aubry J. S. Bieth (tous les 15 jours) UE 3 Direction de mémoire X.Vert V.Terrier-Hermann

UE2 Workshop de recherche 1 Croisements numériques G-A.Kisfaludi, PA.Béna Workshop de recherche 5 Sanagore A. Frémy UE 3 Direction de mémoire V.Giroud Mise en forme du mémoire O.Joncour, L.Barbier

UE 3 Direction de mémoire V.Terrier-Hermann

24/09/2012

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