LOUVAIN 135

135Janvier-Février 2003

Quellemondialisation ?Docteurs honoris causa 2003

LOUVAIN

Bureau de dépôt : Bruxelles X

U C LAprès l’échec,reconstruire

UCL Université catholique de Louvain – Fédération des Alumni UCL

C U L T U R E

«Œdipe sur la route»,une créationdu 21e siècle

Muhammad Yunus,fondateur de la Grameen Bank

CANCEROLOGIERecherche en

€10000000Octroyés par

la Fédération Belge contre le Cancer grâce à la générosité de ses donateurs

Membres du Conseil scientifiquePr. Thierry Boon (Institut Ludwig pour la Recherche sur le Cancer - Université Catholique de Louvain); Pr. ArsèneBurny (Faculté des Sciences Agronomiques de Gembloux); Pr. Jean-Jacques Cassiman (K.U. Leuven); Pr. JacquesDe Grève (Vrije Universiteit Brussel); Pr. Patrick De Potter (Université Catholique de Louvain); Pr. Georges Fillet(Université de Liège); Pr. Jean Klastersky (Institut Bordet - Université Libre de Bruxelles); Pr. Marc Mareel(U.Z. Gent); Pr. Michel Marty (Institut Gustave Roussy - France); Pr. Jacques Piette (Université de Liège);Pr. François Sigaux (Hôpital Saint-Louis - France); Pr. Kris Thielemans (Vrije Universiteit Brussel); Pr. Eric VanCutsem (K.U. Leuven); Pr. Hubert Vermeersch (U.Z. Gent).

2003-2006

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(400 000 000 BEF)

ProjetsSeront pris en considération les projets originaux et innovateurs:

� en recherche fondamentale,

� en recherche clinique,

� émanant d’un ou de plusieurs laboratoires universitaires belges.

Montant maximum par projet individuel: €400 000Les projets sélectionnés seront soutenus pendant 3 années consécutives maximum.

Les formulaires de demandes peuvent être téléchargés à partir du site Internet http://www.cancer.be/grants2003

Date limite de dépôt des candidatures: 15 juin 2003

Résultat de la sélection et premiers versements: décembre 2003

Informations: 02 736 99 99 (uniquement le lundi)

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Les Vietnamiens ont doublé leurs revenus et la pauvretérecule, en grande partie grâce à une économie avec plusde « marché » et grâce à l’ouverture sur l’extérieur. Le paysa remarquablement bien pris le virage des réformes ; il estfélicité par tous, y compris par le Fonds monétaire dont ils’est pourtant bien souvent gardé de suivre les « conseils ».

Mais les inégalités se sont accrues. Le Vietnam,traditionnel producteur de soja, doit aussi ouvrir ses

frontières au soja américain car il a décidé de se plier aux règles de l’OMC. Aumême moment, il se lance dans une procédure pour que les Américains ouvrentleurs frontières à ses exportations de poisson-chat, injustement taxées, sous lapression des lobbies américains. Il est sûr que les droits du Vietnam ne pèserontpas lourd face à ceux des Américains…

Aujourd’hui, la question est sans doute : le Vietnam pourra-t-il maîtriser sonouverture jusqu’au bout ? Dans le pays, les choses s’améliorent, mais l’écart avecles pays riches se creuse encore et les prix agricoles chutent. Tant d’autres payssont victimes de leur ouverture ! Les paysans bengalis, qui avaient bien du mal àvendre leur lait à cause des dons européens des excédents de lait en poudre,pourraient leur en conter… Comme eux, le Vietnam affronte les quotasoccidentaux de « l’accord » multifibres par lequel les pays riches limitent lesimportations de textiles : les usines de prêt-à-porter ou de chaussures sontpourtant un recours indispensable pour les paysans, qui y envoient travailler lesjeunes, payés 8 centimes d’euro l’heure. Car, tout le monde est d’accord, lenombre de paysans doit diminuer, il faut trouver des emplois ailleurs.

La mode est maintenant au micro-crédit, la panacée qui va sortir les peuplesde la pauvreté ! Sans que l’on touche aux injustices ? Erreur, et certains expertsdisent déjà que le micro-crédit ne peut pas grand-chose pour les plus pauvres,ceux qui gagnent moins d’un euro par jour. Ce qui exclurait tous les pauvres duVietnam et d’une bonne partie de la planète ! Heureusement, le Dr Yunus (lirenos pages « Thème »), qui a lancé la Banque des Pauvres au Bangladesh, prouvedepuis 25 ans, avec beaucoup d’autres organisations qui ont suivi son exemple,que le micro-crédit est un excellent outil. Mais il fait vraiment la différencequand il est accompagné de mesures garantissant (notamment) des prixéquitables et davantage de justice. Les paysans sont heureux d’empruntermoins cher qu’auprès des usuriers, certes, mais si les prix agricoles dégringolent,ils produisent à perte et leurs dettes les enfoncent davantage…

Bernard Kervyn1

Mondialisation et discours en trompe-l'œil

S o m m a i r e

Après l’échec, reconstruire

Rendre possible l’avenirde la théologie

Un «Centre Faculté» convivial

Projets pour une ville enmouvement

Palmarès

« Bloc-notes culture »

Docteurs Honoris Causa

Quand anciens et étudiants«parlent boulot»

« Agenda »

«Oedipe sur la route» : unecréation du 21e siècle

Mieux combattre lesmaladies infectieuses

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1. Diplômé de l’IAG, Bernard Kervyntravaille depuis 10 ans pour l’ONGeuropéenne Viêt Nam Plus[www.vietnamplus.org] dans lescampagnes du Vietnam,notamment dans l’épargne-crédit.Il a travaillé pendant 9 ans auBengladesh.

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Louvain [numéro 135| janvier-février 2003]4

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La « Formation-relais » organisée par le Centred’enseignement supérieur de promotion et deformation continuée en Brabant Wallon (CPFB),s’adresse aux étudiants de l’enseignement supé-rieur (universitaire ou non) qui, au début de leursétudes, rencontrent des difficultés telles qu’ilsdécident de les interrompre. Après ce décrocha-ge, qui peut être plus ou moins long — dequelques semaines à quelques mois —, le jeuneadulte se donne un temps pour faire le point surses compétences et sur lui-même afin de seconstruire un nouveau projet d’études ou de pro-fession.

Qu’elle débute en novembre, février ou avril,la Formation-relais permet aux étudiants qui s’yengagent de restaurer pas à pas l’image de soisouvent ternie par ce qu’ils vivent comme unéchec. Un échec qui est souvent leur premier :75 % des étudiants de la Formation-relais ontréussi leurs études secondaires sans encombres1.Ce sentiment d’avoir échoué n’est pas forcément

motivé par unéchec dans lesétudes (aux exa-mens) mais bienpar le constat den’avoir pas étécapable de trou-ver la voie quileur convenait.Ils le viventcomme un véri-table échec deleur choix. L’évé-nement estdéstabilisant,tant pour eux-mêmes quepour leur entou-rage, qui leurrenvoie souventun regarddésapprobateurou incrédule.

Choc positif

Se retrouver parmi des pairs, dont l’histoire estproche, relativise une situation personnelle vécuedouloureusement. Le premier jour au CPFBconstitue donc un premier choc positif pour l’étu-diant qui, jusque là, se croyait seul dans sa détres-se. Le climat de confiance instauré par l’équipepédagogique permet à chacun de s’ouvrir auxautres, de témoigner et de se retrouver dans l’his-toire de ses pairs.

La première étape de la formation proposeaux étudiants de développer les « outils » néces-saires à la réussite des études supérieures. Il s’agitde perfectionner les aptitudes langagièresrequises dans l’enseignement supérieur (languematernelle, langages mathématique et informa-tique, anglais) d’une part et, d’autre part, de déve-lopper les compétences méthodologiques et orga-nisationnelles favorisant la réussite. Au terme decette première étape, l’étudiant rédige un rap-port scientifique, véritable travail d’intégrationdes différents apprentissages réalisés.

C’est donc sur base d’une réussite sur des cri-tères d’évaluation cohérents avec les exigences del’enseignement supérieur, que les étudiants réen-visagent progressivement leur parcours d’étudesà venir. Par ailleurs, le parcours de l’étudiant auCPFB est jalonné d’autres types de défis à relever(personnels, sportifs, etc.), qui lui permettent deretrouver ou de renforcer son estime de soi.

Après l’échec, reconstruire

Depuis 1996, le CPFB propose ses services aux jeunes qui

interrompent leurs études supérieures. A travers sa

«Formation-relais», il aide l’étudiant à reconstruire un

projet d’avenir. Projet d’études ou de profession, mais

avant tout projet pour soi.

Etudes

1. Enquête réalisée en 2000par l’Institut de Pédagogie

universitaire et desmultimédias (IPM) de l’UCL.

Une semaine dans la peaud’un étudiantDepuis plusieurs années, l’UCL propose aux rhétoriciens qui le sou-haitent de se glisser pendant quelques jours dans la peau d’unétudiant de première candidature. Ce sont les « Cours d’hiver »,organisés durant la semaine de Carnaval (du 3 au 7 mars).La formule, qui allie cours, ateliers, séances d’information et visites,permet aux rhétoriciens de se confronter au niveau d’exigence etaux modes d’enseignement de l’université. C’est pour eux uneopportunité unique de se familiariser avec ce nouvel environne-ment et de poser les questions qu’ils souhaitent.La semaine est organisée selon les trois grands domaines d’études :sciences humaines et sciences exactes à Louvain-la-Neuve, etsciences médicales à Bruxelles. Des formules de logement sontprévues à Louvain-la-Neuve.Autre date à retenir : celle du mercredi 19 mars, Journée portesouvertes à l’UCL (de 9h30 à 17h00).Renseignements : 010-47 87 00, www.ucl.ac.be/rhetos

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Le parcours de l’étudiant au CPFB est jalonné de défis (notammentsportifs) qui lui permettent de renforcer son estime de soi.

Une version longue de cetarticle est parue dans la revue

Exposant neuf du Secrétariatgénéral de l'enseignement

catholique (décembre 2002).


U C L

Choix éclairé

La construction du projet personnel d’étudesou de profession repose également sur larecherche et le traitement de l’information surles études et les professions. Guidés par lesconseillers du Centre d’information et d’orien-tation (CIO) les étudiants apprennent à se situerpar rapport à ce qu’offrent les différentes filièresd’enseignement et de formation (type long, court,universitaires ou non, de promotion sociale,classes moyennes, etc.). En groupe, ils démon-tent leurs préjugés ainsi que ceux qui sont véhi-culés communément sur les professions. Cetteactivité est un prérequis à l’écoute de soi et à uneplus large exploration des champs profession-nels et des offres de formation.

Parallèlement, encadrés par des psychologues,les jeunes sont invités à porter un regard sur eux-mêmes et sur l’histoire de leurs études. Pour selibérer de leur passé et pouvoir s’en servir, ilsessaient de comprendre l’origine de la faille – decerner leurs besoins en tant qu’étudiant. Là enco-re, le groupe de pairs est une ressource : les étu-diants se renvoient mutuellement leurs percep-tions de l’autre et réalisent parfois combien leurpropre jugement est sévère et empreint de sub-jectivité.

Un temps de validation est prévu afin de per-mettre à l’étudiant de confronter ses représenta-tions aux réalités professionnelles et académiquesqu’impliquent son projet. Cette validation prendla forme de stages ou de périodes d’immersiondans des lieux de formation potentiels.

Se projeter dans l’avenir

Il arrive que seule l’expérience du stage per-mette de renvoyer à l’étudiant une image plusfidèle de ce qu’il est, désire et est prêt à faire.L’expérience concrète de la projection dans l’ave-nir, lors des stages dans différents secteurs socio-professionnels, est aussi l’occasion pour l’étu-diant de reprendre confiance en lui.

Mais construire son projet d’études ou pro-fessionnel, c’est aussi se projeter dans son futurd’adulte. Or l’image de l’adulte n’est pas tou-jours positive pour ces étudiants en rupture avecleur avenir… Les interviews de professionnelset les stages qu’ils doivent réaliser leur permet-

tent de réajuster positivement cette image et dese projeter plus facilement ou avec plus de désir.

En outre, du début à la fin du parcours dansla Formation-relais, chaque étudiant est suivi parun accompagnateur. L’accompagnateur est unréférent adulte écoutant, soutenant et exigeant.Il peut aider l’étudiant à respecter les engage-ments qu’il aura pris envers lui-même, à dépas-ser ses blocages et reconnaître ses potentialités.Cette relation privilégiée, sur un terrain neutre etneuf, avec l’adulte qui n’est ni un « prof » niun proche, constitue l’un des piliers de la for-mation et facilite la restauration de la confianceen l’adulte vers lequel ils tendent.

C’est donc dans un processus de constructionet de reconstruction que l’équipe pédagogiquede la Formation-relais accompagne l’étudiant :plus conscient de lui-même et de ce qu’offre lemonde qui l’entoure, l’étudiant peut formuler cequ’il veut devenir et choisir les voies qui luiconviennent pour construire et actualiser un pro-jet pour soi. Une année de maturité en plus pouraborder les études différemment – plus prochesdu monde adulte pour certains, plus capables dese mettre en projet pour d’autres; plus à même degérer les prises de décision et de vivre l’incerti-tude. (Valérie Eeckhout et Pascale Wouters 2)

En savoir plus

CPFBRue des Wallons, 61348 Louvain-la-NeuveTél. : 010-47 82 [email protected]

La communication? Une science !

La sixième édition du Festival Science infuse se déroulera du31 mars au 6 avril. Elle aura pour thème: « La communication:de l’électron au papillon ». Pendant une semaine, des ateliersscientifiques seront proposés aux élèves du primaire et dusecondaire pendant les heures scolaires, et à tout le public lemercredi après-midi, le jeudi soir et le week-end. La descrip-tion des différentes activités et leur horaire sont repris sur lesite Web de la Faculté des sciences de l’UCL à l’adressewww.sc.ucl.ac.be/scienceinfuse. Un service d’inscription enligne y est également disponible. L’année dernière, 70 ate-liers avaient drainés 10000 participants. Le festival s’inscritdans l’opération Le Printemps des sciences, soutenue par laCommunauté française. Renseignements : 010-47 34 20

2. Valérie Eeckhout et PascaleWouters sontaccompagnatrices dans ledispositif de la Formation-relais et conseillèrespédagogiques à l’Institut dePédagogie universitaire et desMultimédias (IPM).

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Au moment où le christianisme perd sa place dominante dans la société européenne,

s’affaiblit sociologiquement et donne des signes d’essoufflement intellectuel, la théologie

tente de relever les nouveaux défis qui se présentent à elle. A l’UCL, la Fondation Sedes

Sapientiae l’aide dans ce travail.

Depuis 1432, la Faculté de théologie de Lou-vain participe au devenir de la pensée chrétien-ne. Au 20e siècle, elle a navigué entre les crisesde l’Église en conjuguant une loyale fidélité à la

tradition chrétienne et la liberté dansl’étude rigoureuse de ses origines etde son développement. Active dans lerenouveau des études bibliques etpatristiques, elle a préparé le travaildu Concile Vatican II, où plusieurs deses professeurs ont joué un rôle majeur.

Au seuil de ce 21e siècle, alors que laréception de Vatican II reste incom-plète, les mutations accélérées du mon-de rendent le travail des théologiensplus nécessaire encore. De nouveaux

chantiers se sont ouverts pour eux. Le dialogueavec les autres religions ou les autres démarcheshumanistes en est un. Apporter à des questionséthiques neuves posées par le développementdes sciences ou par la mondialisation de l’éco-nomie le souffle de l’évangile est un autre défi.Enfin, quand le fossé se creuse entre le discoursdes Églises et la culture, il faut rendre à la mémoi-re chrétienne, explorée dans toute sa profondeurd’histoire, sa puissance d’inspiration.

Des conditions difficiles

Face à de telles responsabilités, la Faculté dethéologie veut donner une réponse universitai-re : développer des projets de recherche et for-mer des théologiens critiques et créatifs. Maiselle le fait dans des conditions désormais plusdifficiles, qui la précarisent. Le tissu chrétien don-ne en effet des signes de faiblesse. Il ne brille paspar sa vigueur intellectuelle (il suffit de compa-rer les rayons des librairies dans les années 1960et aujourd’hui). Il s’affaiblit surtout sociologi-quement. Les vocations sacerdotales et religieuses— vivier traditionnel des théologiens — tendentsimplement à disparaître, et le métier de théolo-gien offre pour des laïcs peu de débouchés pro-fessionnels : le recrutement des étudiants, heu-reusement stabilisé depuis une dizaine d’années,reste insuffisant pour assurer un avenir dyna-mique. L’avenir impose dès lors à la fois de s’ins-crire davantage dans des réseaux internationaux,et de stimuler, puis de soutenir les vocations dejeunes théologiennes et théologiens laïcs pro-metteurs. Cela demande des moyens.

En 1996, le don d’un généreux mécène a per-mis de lancer la Fondation Sedes Sapientiae. Lepremier objectif de cette fondation est d’accor-der des bourses de 3e cycle (licence/DEA et doc-torat en théologie) à des candidats prometteurs,belges ou étrangers, pour leur permettre de finan-cer leurs premiers travaux de recherche. Unsecond objectif est de soutenir activement lesinfrastructures de la recherche théologique, enparticulier la bibliothèque, par une aide finan-cière régulière.

Les résultats sont d’ores et déjà encourageants.La Fondation a déjà financé quatre nouveauxdocteurs et un licencié ; cinq candidats qu’elleprend en charge poursuivent actuellement leursrecherches. La publication de thèses a égalementété rendue possible, et la bibliothèque de théo-logie a pu combler certaines lacunes. Mais lesdéfis sont encore nombreux. (Jean-Marie Sevrin,doyen de la Faculté de théologie)

Rendre possible l’avenir de la théologieLa Fondation Sedes Sapientiae

Aider la Fondation

Fondation Sedes SapientiaeCollège Albert Descamps

Grand-Place, 451348 Louvain-la-Neuve

Compte : 271-0366366-29(mention TECO 2903)

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Un cycle de conférences

La Fondation Sedes Sapientiae et la Faculté de théologie organisent chaque année àLouvain-la-Neuve un cycle de quatre conférences où la foi et la théologie chrétiennessont confrontées à diverses réalités contemporaines.Le thème retenu cette année est : « Les langages de l’indicible : l’art, le sacré, la foi ». Deuxconférences se sont tenues en février (« Au delà du mot, la musique », par Bernard Foc-croule, et « L’Évangile de Jean, ou la théologie par la littérature », par Jean-Marie Sevrin).Les deux conférences suivantes se tiendront le lundi 10 mars (« La représentation du visa-ge du Christ. Des origines à Rouault », par Gilles Chazal, directeur du Musée du Petit Palais,Paris) et le lundi 24 mars (« L’œuvre d’art : un commentaire impossible? », par GenevièveHébert, professeur à l’Institut catholique de Paris). Ces conférences se donnent auxauditoires Socrate, à 20h00. Renseignements : 010-47 45 93

L e Collège Albert Descamps.

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Le projet de réaménager le « Centre faculté »(le centre géographique de la Faculté de méde-cine) remonte à plusieurs années. Il a été remis surle métier en 2000 à la demande des utilisateurs(étudiants par le biais d’enquêtes, personneladministratif, enseignants), qui souhaitaient voircet espace redevenir le cœur de la vie étudianteet culturelle de la faculté. Il est vrai que ces bâti-ments qui abritent la bibliothèque, l’administra-tion facultaire et les grands circuits de circula-tion piétonne (métro Alma vers avenueHippocrate, d’une part, faculté vers CliniquesSaint-Luc, d’autre part) manquent autant d’es-thétique que d’attrait et de fonctionnalité.

C’est tout le plateau 0 qui va faire l’objet d’unréaménagement, y compris les pourtours actuel-lement ouverts, soit 1300 m2. Parmi tous les pro-jets introduits, c’est celui de l’architecte ThierryLanotte qui a été retenu. Les motifs de ce choixreposent non seulement sur la philosophie duprojet, basée sur la conception d’un véritable lieude vie drainé par un réseau interne et externed’échanges, mais aussi sur ses idées en matièrede traitement de la lumière, de valorisation desmatériaux existants (par l’utilisation du verre)et d’ouverture vers les espaces extérieurs.

Vocation pédagogique

Comme l’expliquent le Pr Jean-Jacques Rom-bouts, doyen de la Faculté de médecine, et Mari-na Tolstoy, déléguée du cabinet de l’Adminis-trateur général à Bruxelles, le premier objectif dela rénovation est pédagogique. L’enseignementévolue vers une pédagogie plus active, et celle-ci nécessite des locaux adaptés au travail degroupes restreints. Or, ce type d’espace manquecruellement pour le moment. Des salles de sémi-naire modulables avec espace de rencontre et dediscussion seront donc aménagées à proximitéde la bibliothèque et des auditoires. Autre viséepédagogique: l’adaptation aux besoins de la for-mation continuée, qui évolue de plus en plusvers des groupes de parole et d’échange d’expé-riences. Ces salles, idéales pour l’organisation de

séminaires, fourniront àl’UCL l’occasion de tirerun meilleur parti de sa pré-sence à Bruxelles.

Le second objectif de larénovation répond à desimpératifs académiques, à savoir la nécessitéd’une salle multi-fonctionnelle et modulable des-tinée aux séances de défense de thèse ou deremises de prix, aux petites réunions scientifiqueset à toute activité liée à la vie académique. Letroisième objectif vise à créer un espace culturelet de convivialité, un « cœur vivant de la viefacultaire » pour les étudiants, les enseignants etle personnel, un lieu de rencontre et d’échangedans le cadre de manifestations culturelles oufestives. On imagine ici un hall central qui seraitégalement espace d’expositions artistiques ouscientifiques, agrémenté de vitrines pour y expo-ser les collections du Musée de la médecine,actuellement reléguées au sous-sol.

Notons encore que l’accueil et la visibilité dela bibliothèque, dont la surface au niveau 0 seralégèrement agrandie, vont être repensés, toutcomme l’entrée de la Faculté de médecine et lacirculation piétonneentre la passerelledes auditoires et lesbâtiments adjacentset l’accès vers leniveau –1. Un pro-gramme distinctregrouperait à ceniveau les structuresadministratives etpédagogiques. Unregroupement conçucomme un lieud’échange convivialpermettant à l’étu-diant de construiresa formation surbase d’informationsdirectement acces-sibles. (F.L.)

La Fac de médecine s’offre un «Centre faculté» convivial et pédagogique

Conçu il y a trente ans, le « Centre faculté » de l’UCL-Bruxelles va

être réaménagé pour répondre aux besoins pédagogiques et aux

exigences de fonctionnalité et de convivialité d’aujourd’hui.

Grands travaux

Un Israélien docteur honoriscausa de la faculté

Le Pr Erol Cerasi, fondateur du Dépar-tement d’endocrinologie et métabolis-me de l’Université hébraïque Hadassahde Jérusalem a été promu docteurhonoris causa de la Faculté de médeci-ne le 21 novembre dernier. Les travauxdu Pr Cerasi dans le domaine de la biologie cellulaire et molé-culaire ont eu un impact majeur pour la compréhension de laphysiopathologie du diabète de type 2 et ont contribué audéveloppement de nouvelles approches thérapeutiques del’affection.


Le Centre faculté va subir un sérieux« lifting ».

D.R.

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Projets pour une ville en mouvement

Il dépend du Département d’architecture dela Faculté des sciences appliquées, mais rassembledes agronomes, des géographes, des juristes, desingénieurs et des sociologues. Le Collège inter-disciplinaire « Territoires et Développementsdurables » (CITDD) a pour mission d’établir desponts entre les différentes disciplines concernéespar l’aménagement des territoires (urbains etruraux) et par l’évolution des sociétés.

Fin novembre dernier, le CITDD organisait,dans le cadre de la Chaire Berheim Comofi (lireLouvain 133) un colloque consacré à Bruxelles etsa grande périphérie. Une trentaine d’orateursy ont présenté leurs travaux, la plupart réalisésdans le cadre de mémoires de fin d’études.

Parmi ces travaux, une intéressante étude dela vision globale du programme RER bruxelloisdébouchait sur une série de propositions rela-tives à la réorganisation des centres et des quar-tiers de gare de trois villes du Brabant wallonparticulièrement concernées par la mise à quatrevoies de la ligne 161 Bruxelles-Namur: Ottignies,Genval et Rixensart. Pour ces communes, lesrisques urbanistiques sont tels que les mesuresd’accompagnement du RER sont aussi impor-tantes que le RER lui-même.

Mais on relèvera surtout l’apport de plusieursétudes qui ont redonné ses lettres de noblesse àun moyen de transport quelque peu négligé cesdernières années : le tramway.

Une expérience comme celle de Strasbourg -où la voiture a véritablement été soustraite ducentre urbain – démontre bien les qualités du« tram ». Pour Bruxelles, les propositions avan-cées lors du colloque vont dans le sens d’un redé-ploiement dans et autour de la capitale d’unréseau de tramways complémentaire à l’offre duRER et du train. Concrètement, l’étude suggèrede réhabiliter et même de prolonger vers les deuxBrabant les anciennes lignes de tram, en combi-nant le réseau de la STIB et celui des ancienstramways vicinaux.

En réalité, le tram présente de nombreux avan-tages par rapport à ses concurrents. Depuis lesannées 1980, il est redevenu un mode de transportperformant, tant du point de vue de la vitesseque de la qualité de l’équipement, de la sécuritéet du confort. Il représente un transport inter-médiaire idéal entre le bus et le train, peu pol-luant et dont l’infrastructure est moins chère quecelle du train. La durée de vie d’un tram (30 à 40ans) est nettement plus élevée que celle d’un bus,et, sur le plan des recettes, il présente un avantagelorsque la demande est supérieure à 3000 voya-geurs en période de pointe. Le retour au tramway- après le « tout à l’automobile » et le « tout aumétro »- serait une belle illustration de l’idée queles évolutions ne sont pas inéluctables et irré-versibles. (J-L.G. / P.E.)

Bruxelles et sa périphérie bougent, c’est indéniable. En matière de mobilité,

les défis sont nombreux. Un colloque s’est intéressé à la question.

Site Web

www.urba.ucl.ac. be/citdd/

Mobilité

Les « Journées Dabin » se pencheront surla famille et son patrimoine

Depuis 1965, généralement tous les deux ans, les Journées d’études juridiques JeanDabin sont l’occasion d’interroger le fondement de certains grands principes juridiquesou de certaines grandes orientations qui sous-tendent la régulation de différentsdomaines de la vie sociale. Elles sont donc par essence multidisciplinaires, rassemblantdes spécialistes de tous les champs des sciences humaines.Cette année, les Journées se pencheront sur le thème de la famille et de son patrimoi-ne. Elle se dérouleront les 13 et 14 mars, à Louvain-la-Neuve. L’organisation en a étéconfiée au Centre de droit de la personne, de la famille et de son patrimoine (CeFAP),du Pr Jean-Louis Renchon.La matinée du 13 mars sera consacrée au patrimoine : elle aura donc une couleur plu-tôt économique ; plus sociale et psychologique, l’après-midi s’intéressera à la famille. Lajournée du 14 mars, sera, elle, franchement juridique, puisqu’elle verra une dizaine despécialistes européens exposer les fondements de leur droit patrimonial national. (Renseignements au CeFAP: 010-47 47 31 ou 47 30, [email protected]).(P.E.)

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Le Parlement européen et la nouvellegare de Bruxelles-Luxembourg.

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P a l m a r è sFaculté de médecineDocteur en sciences biomédicalesImmunoparasitologie: Trung Dinh NGUYEN

(Coprom. : Prs G. Bigaignon, J.-P. Vaerman).Biologie cardiologique : Christophe BEAU-

LOYE, (Coprom. : Prs L. Hue, J.-L. Vanover-schelde).

Génétique, biologie moléculaire : AlexandrePERSU (Prom. : Pr O. Devuyst).

Génétique microbienne : Boris FOULTIER(Prom. : Pr G. Cornelis).

Hématologie : Léonid IRENGE MWANA-WABENE (Prom. : Pr J.-L. Gala).

Morphologie : Christine SEMPOUX (Prom. :Pr J. Rahier).

Physiologie, physiopathologie : Maria STOE-NOIU (Prom. : Pr O. Devuyst).

Docteur en kinésithérapie etréadaptationHicham NAHRA (Prom : Pr L. Plahki).

Faculté des sciencesDocteur en sciencesBiologie: Philippe DEMEUSE (Prom.: Pr P. van

den Bosch de Aguilar, C. Remacle), YannickDEWAEL (Prom. : Pr J. Mallefet), ThierryEVRARD (Prom. : Pr C. Vander Borght), Fré-dérique LORQUET (Prom. : Pr J. Delcour),Anne-Catherine GÉRARD (Coprom. : Prs J.-F. Denef, C. Remacle), Rachida LEGSSYER(Prom. : Pr R. Crichton), Luis HildebrandoALZATE ALZATE (Coprom. : Prs P. van denBosch de Aguilar, B. Knoops).

Géographie: Pierre ARNOLD (Prom.: Pr I. Tho-mas), Marie-Alexandre LAURENT(Coprom. : Prs I. Thomas, D. Peeters), HucaiZHANG (Prom. : Pr A. Berger).

Physique : Vola Masoandro ANDRIANARI-JAONA (Prom. : Pr X. Urbain), CorinneVIGOUROUX (Prom. : Pr A. Fayt).

Chimie: Noëlle CARETTE, (Prom.: Pr R. Crich-ton).

Géologie : Françoise LARANGE (Prom. : Pr

D. Laduron), Benoît MISONNE, (Coprom. :Prs R. Brulet, D. Laduron).

Faculté des sciencesappliquéesDocteur en sciences appliquéesFrançoise BRADFER (Coprom. : Prs J.-F. Mabar-

di, G. Engrand [École d’architecture, Lille]),François DETRAUX (Prom. : Pr X. Gonze),Étienne FOCKEDEY (Prom.: Pr A. Van Lier-de), Mohamed Laid HADJILI (Prom. : Pr

V. Werts), Hervé JEANMART (Prom. : Pr

G. Winckelmans).

Faculté d’ingénieriebiologique, agronomique etenvironnementaleDocteur en sciences agronomiqueset ingénierie biologiqueGaëtan du BUS de WARNAFFE (Prom. : Pr

F. Devillez), Sébastien GREC, (Prom. : Pr

M. Boutry), Lounas KOLAI (Prom. : Pr

F. Devillez), Guillaume LERMUSIEAU,(Prom. : Pr S. Collin), Grzegorz OWSIANIK(Prom. : Pr M. Ghislain), Driss SQALLIADOUI (Prom.: Pr B. Henry de Frahan), Car-los de WASSEIGE (Prom. : Pr P. Defourny),Vinciane DE CUPERE (Prom. : Pr P. Roux-het).

Faculté de philosophie etlettresDocteur en philosophie et lettresHistoire : Isabelle PARMENTIER (Prom. : Pr

C. Bruneel).Langues et littératures classiques : Paula

LORENTE FERNANDEZ (Prom. : Pr Y.Duhoux), Anne-Marie VLASSCHAERT(Coprom. : Prs A. Tihon, J. Hamesse).

Langues et littératures romanes : GaspardNTAMWANA (Prom. : Pr L. Collès), Chris-tophe RONVEAUX (Prom. : Pr P. Yerlès),Andreo Mauro VANNICELLI (Prom. : Pr

M.C. Maeder).

Faculté de droitDocteur en droitThierry MOREAU (Prom.: Pr F. Tulkens), David

RENDERS (Prom. : Pr F. Delpérée).

Faculté de théologie et dedroit canoniqueDocteur en théologieFlorence HOSTEAU (Prom. : Pr W. Lesch).

Faculté des sciencesphilosophiquesDocteur en sciencesphilosophiquesLaurent DE BRIEY (Prom. : Pr A. Berten), Gaël-

le FIASSE (Prom. : Pr D. Lories), Keun SeLEE (Prom. : Pr C. Troisfontaines), AloysiusChukwuma OBIWULU (Prom. : Pr J.-M. Counet).

Faculté de psychologie etdes sciences de l’éducationDocteur en sciences de l’éducationCheikh Tidiane SALL (Prom. : Pr J.-M. De Kete-

le).

Docteur en sciencespsychologiquesStéphanie DEMOULIN (Prom. : Pr J.-Ph.

Leyens), Valérie PROVOST (Coprom. : Prs

V. Yzerbyt, M. Francard [FLTR]), Joëlle BER-REWAERTS (Prom. : Pr P. Feyereisen).

Institut de statistiquesDocteur en sciences statistiquesVéronique DELOUILLE (Prom. : Pr R. Von

Sachs).

N é c r o l o g i eEn son nom et au nom de toute la Commu-

nauté universitaire, le Recteur a le regret de vousfaire part du décès de

Jean-Jacques Gollier, professeur émérite dela Faculté des sciences économiques, sociales etpolitiques, né en 1932 et décédé le 7 décembre2002.

Léon Bolle, professeur ordinaire de Facultédes sciences appliquées, né en 1944 et décédé le11 décembre 2002.

René Lavendhomme, professeur émérite dela Faculté des sciences, né en 1928 et décédé le 19décembre 2002.

Jean-Marie Draguet, membre du personnel,né en 1944 et décédé le 9 janvier 2003.

Jean-Marie Detry, professeur ordinaire dela Faculté de médecine, né en 1940 et décédé le 17janvier 2003.

Laurent Pirnay, étudiant à l’Institut d’édu-cation physique et de réadaptation, né en 1983 etdécédé le 17 janvier 2003.

Stanislas Haumont, professeur émérite dela Faculté de médecine, né en 1931 et décédé le 22janvier 2003.

Nos sincères condoléances aux familles etaux proches des disparus.

Midis en musiqueAuditorium P. LacroixAv. Mounier 51 (02-764 41 28)

• Mardi 11 mars à 13hMaria Kliegel, violoncelleNina Tichman, pianoDanzi, Janacek, Brahms

• Mardi 25 mars à 13hCurrende Consort« Les Flamands dans l’art italien et français»Lassus, De Monte, Josquin, De Wert et Willaert

Les conférences de l’Université des Aînés

Auditoire P. LacroixAv. Mounier 51 (02-764 46 95)

• 13 mars, 14h30Les nouveaux médicamentsEdgard Coche (UCL)

• 20 mars, 14h30Gérer le vieillissement cardio-vasculaireChristian Swinne (UCL)

• 27 mars, 14h30L’Europe, l’année du grandtournant : renforcement etélargissementJacques Rifflet (UMH)

U C L


Aula MagnaPlace Lemaire (010-49 78 00)

• 19 mars, 20h30Guy BedosORGANISATION : B.S.O.

• 21 mars, 20h15 ?La philharmonique de LiègeMagnard, Ravel, Chausson ORGANISATION : Atelierthéâtre Jean Vilar

Théâtre BlocryPlace de l’Hocaille (0800-25 325)

• Du 4 au 7 mars à 20h15, le jeudi à 19h30 etle dimanche à 16hToréadorsde Jean-Marie PiemmeMISE EN SCÈNE : Philippe Sireuil

• Du 13 mars au 12 avril, 20h15Cinq heures avec Mariode Miguel DelibesMISE EN SCÈNE : Danielle Fire et Armand Delcampe

Théâtre Jean VilarRue du Sablon (0800-25 325)

• Du 11 au 15 mars à 20h15, le jeudi 13 à 19h30Au fond du boisde Eric De VolderMISE EN SCÈNE : Eric De Volder

• Du 26 mars au 12 avril, 20h15Combat de nègre et de chiensde Bernard-Marie KoltèsMISE EN SCÈNE : Frédéric Dussenne

Les conférences del’Université des Aînés

Auditoire Socrate 10, Place Cardinal Mercier (010-47 41 81)

• 11 mars, 14h15Entre monstres et merveilles : lescréatures des abyssesJean-François Rees (UCL)

• 18 mars, 14h15Les fourmis : un modèle desocialité Serge Aron (ULB)

• 25 mars, 14h15La démocratie survivra-t-elle auXXIe siècle ?Guy Haarscher (ULB)

Déjeuner-conférence de l’Université des Aînés

Aula Magna, Place RaymondLemaire (010-47 41 81)

• 10 mars, 12hUn monde en quête de sensGabriel Ringlet (UCL)

Ferme du BiéreauScavée du Biéreau 3 (010-45 01 44)

• 24 marsFrédéric Delplancq Quartet

Concerts de midiAuditorium Socrate 10, Place Cardinal Mercier (010-47 48 76)

• 4 mars, 13hBoyan Vodenitcharov, pianoSchumann

• 11 mars, 13h« Carte blanche » à PierreBartholomée“Mezzavoce” et “Adieu” par les musiciensde la Monnaie commentés par l’auteur.

• 18 mars, 13hCandidats belges 2003 : suite…

Forum des HallesGalerie des Halles (010-47 89 92)

• Du 3 au 8 marsPlanches de Jean-Claude ServaisExposition et activités diversesORGANISATION : Régionale La Lux

• 10 au 15 marsDes artisans de WallonieExposition avec animations diversesORGANISATION : Cercle de Philo et Lettres

• Du 17 au 23 marsLes grands télescopesExposition avec animations diversesORGANISATION : Astrokot

Louvain-la-Neuve

Bruxelles

B l o c - n o t e s c u l t u r emars 2003

• Du 27 au 29 marsA l’écoute des sourdsSensibilisation au problème de la surditéORGANISATION : Kotidien avec la collaborationde Surdimobil

D.R.

Marie Kiegel et NinaTichman

LOUVAIN 135

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