Lotta Hannerz Revue de presse nationale & internationale (extraits)

Lotta Hannerz, Télérama Sortir du 15 mai 2013, p.33

Lotta Hannerz Galerie Claudine Papillon, Le Monde du 4 mai 2013, p.11

"Mesures des mesures", Sylvain Goudemare in Artnet, Février 2010

"L.Hannerz, 2 poids, 2 mesures", L. Boudier in Télérama sortir, 20-26 janvier 2010

"Le marais des merveilles", Tatyana Franck, artyparade.com, 12 janvier 2010

ArtyParade.com

Lotta Hannerz, Eveil, 2009, 169 x 79 x 61 cm, bois, papier mâché, tapis. Courtesy © Galerie Claudine Papillon

Galerie Claudine Papillon, jusqu’au 28 février 2010, 13 rue Chapon, 75003 Paris.

Ouverture du mardi au samedi de 11h à 19h.

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“Les petits plats dans les grands”, Julie Portier, in Le journal des arts n°292, 28 novembre au 11 décembre 2008, p.14

-- Programme-Expos --

web paris-art.com

Expos-Critiques 09 sept. 2006 - 17 oct. 2006

Lotta Hannerz, Re-CollectionL’artiste suédoise Lotta Hannerz constitue des collections insolites et, par sespersonnages illusionnistes peints et sculptés, nous interroge sur les notions depropriété et de multiple avec humour et décalage.

Galerie Claudine Papillon13, rue Chapon75003 ParisT. 33 1 40 29 07 20Mardi-Sam. 14h-19hsite internet | email

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Par Stéphane Lecomte

Le visiteur est accueilli par un chien qui mendie. Il semble décidé à subvenir lui-même à ses besoins et cela paraît fonctionner. On sourit.Juste à côté de lui, une main montée sur des jambes en tiges de fer tremble sous l’effet d’un ventilateur. Elle nous indique la suite del’exposition.

Dans le deuxième espace de la galerie, les sculptures se mêlent aux peintures et aux œuvres comiques. Nous verrons qu’il ne s’agit pasque de cela. Les œuvres de Lotta Hannerz, peintures, sculptures et installations murales, sont riches. Lotta Hannerz est la reine e

l’illusion. Une illusion comique qui interroge.

Revenons deux ans en arrière. L’artiste exposait pour la première fois à la galerie Claudine Papillon, Témoin et moi-même. Elle s’amusaitalors à jouer avec sa représentation (floue et précise). Mais une œuvre, le Memento mori en forme de fromage, a été dérobée.

Ce fait marque profondément l’artiste. Il est comme l’élément déclencheur d’un questionnement sur la propriété, qui serait le vol.Hannerz représente son personnage récurrent, un grand homme au crâne chauve, devant l’objet manquant, Objet volé. L’homme n’a plusrien à contempler. L’œuvre est dans les mains du voleur. Il y a deux ans, Lotta Hannerz avait écrit au voleur présumé une lettre pour qu’illui rende discrètement l’œuvre dans un sac en papier. L’œuvre aurait dû servir à l’édition d’un multiple.

La propriété est bien le sujet central de cette exposition. L’artiste nous montre que nous sommes tous des propriétaires de collections.Chacun de nous est en possession d’objets plus ou moins insolites aux valeurs inestimables, sentimentales ou financières. Être propriétairedeviendrait un besoin vital pour l’homme.

C’est ainsi que Lotta Hannerz recompose ses collections. Elle se représente devant un mur rempli de cartons d’invitations. Une véritablecollection est alors composée. Une collection de pancartes SVP, j’ai faim est aussi créée. Un ours en peluche, isolé des autres œuvres,pourrait introduire une nouvelle collection de jouets trouvés. Trois objets pointent vers la gauche, une main, une équerre et un fauxpistolet. Les collections sont incongrues. Qui collectionne les pancartes des mendiants? L’homme chauve semble attendre, assis sur unechaise, au milieu de la grande salle de la galerie. Son chien est devant lui. Attend-il le retour du Memento mori?

Les œuvres de Lotta Hannerz sont pleines d’humour, certes, mais cet humour est fin et parfois grinçant. Car l’artiste nous interroge avecdécalage et ironie sur les fondements de la collection et son intérêt. Nous, collectionneurs, ne sommes-nous pas tous des voleurs?

Les questionnements de l’artiste suédoise évoluent lors de cette nouvelle exposition. Myope, elle estime que le monde est flou, et nousquestionne de manière comique et fine sur nos propres collections.

L’exposition a été conçue à Paris, où l’artiste réside depuis un an, dans le cadre des programmes accordés par l’Académie suédoise desArts. On peut également voir une de ses œuvres au Jardin du Luxembourg, un nez géant flottant sur l’eau de la fontaine Médicis. Unepièce inédite sera présentée dans un bassin du Jardin des Tuileries à l’occasion de la FIAC 2006.

Artiste(s)Lotta HannerzNée en 1968 à Stockholm, où elle vit et travaille.

Œuvre(s)— Collectionneur, 2006. Huile sur toile. 162 x 114 cm.— Propriétaire, 2006. Technique mixte. 130 x 68 x 95 cm / 43 x 15 x 41 cm.— Re collection, 2006. Huile sur toile. 162 x 114 cm.— 3 points, 2006. technique mixte. 66 x 50 cm.— Chaise-soi, 2006. technique mixte. 80 x 30 x 30 cm.

Publication(s)— 20/20 Paintings & Objects, Lotta Hannerz, éd. Errata, Stockholm, 2001.

1 Lotta Hannerz, Propriétaire , 2006. Technique mixte.130 x 68 x 95 cm / 43 x 15 x 41 cm.

2 Lotta Hannerz, Re collection , 2006. Huile sur toile. 162x 114 cm.

3 Lotta Hannerz, 3 points, 2006. technique mixte. 66 x50 cm.

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INTERACTIF ÉCHANGES A PROPOS BUSINESS

“Lotta Hannerz, Re collection”, Stéphane Leconte, Paris-art.com, http://www.paris-art.com/expo_detail-3508.html, 25 septembre 2006

“A Paris, rentrée chargée dans les galeries”, Henri-François Debailleux, in Libération, 9/10Septembre 2006, p 31

Lotta Hannerz: re collection, critique, in Télérama.fr, 1er Octobre 2006

“Fiac 2004”, Marjorie Micucci, in Questions de femmes, novembre 2004, p.112

“Lotta Hannerz, une drôle de myope”, H. F. Debailleux, in Libération, samedi 2 et dimanche 3 octobre 2004, p.39

“Lotta Hannerz, Témoin et moi-même”, in Paris art n°7, octobre 2004, p.22

“Lotta Hannerz”, in Le nouvel observateur, du 7 au 13 octobre 2004, p.138

“Lotta Hannerz, Témoin et moi-même”, Laurent Boudier et Benedicte Philippe, in Télérama, semaine du 22 au 28 septembre 2004, pp. 3 et 31-32

“Lotta Hannerz”, in Le 20 minutes, jeudi 16 septembre 2004

“Quel temps fait-il ?”, Gianni Burattoni et Franck Delorieux, in Le supplément de l’Humanité, 25mai 2004

www.claudinepapillon.com 13 rue Chapon 75003 Paris T +33 1 40 29 07 20 F +33 1 40 29 07 90

claudinepapillon.galerie@orange.fr Claudine Papillon Galerie

Lotta Hannerz BIBLIOGRAPHIE

Monographies Lotta Hannerz 110 %, éd. Galleri Käpper+Baumgarten, Stokholm, 2007 20/20 Paintings & objects, Lotta Hannerz, éd. Errata, Stockholm, 2001 Catalogues / Expositions collectives Des certitudes, sans doute(s), textes par Sylvie Couderc, Marie-Claire Sellier, Gérard Wajcman, Musée de Picardie et École supérieure d’art et de design, Amiens, 2008, p.20 Surréalités, traces du surréel dans l'art contemporain, éd. Centre PasquArt, Biel Bienne, 2007 De Gustibus ...Rond eten in de hedendaagse kunst, Broelmuseum, Courtrai, 2007, p.45 Pourtraire, Ecole régionale des Beaux-arts de Rennes, 2007 Human size, Taille humaine, éd. Artsénat et Arearevue(s), Paris, 2007, pp.90-91 Presse PRESSE NATIONALE "Les petits plats dans les grands", J. Portier, le journal des Arts n°292, 28 nov 2008 "Lotta Hannerz : re collection", S. Lecomte, Paris-art.com, 25 sept 2006 "A paris, rentrée chargée dans les galeries", H.F. Debailleux, Libération, 10 sept 2006 "Téléphone rouge", Anne Crignon, Le Nouvel Obs, 18 novembre 2004 "Lotta Hannerz, une drôle de myope", H.F. Debailleux, Libération, 2 et 3 octobre 2004 "FIAC 2004", Marjorie Micucci, Questions de femme, Novembre 2004, p 112 "Lotta Hannerz", Le Nouvel Obs, rubrique Exposition, 7-13 octobre 2004, p 138 Paris art N°7, sept-oct 2004, p 22 News Press, 13 octobre 2004 Rubrique Exposition, France Huser, Le Nouvel Obs, 7 octobre 2004 "Lotta Hannerz : Témoin et moi-même", Télérama, rubrique Sortir, N° 2854, 22-28 sept 2004, p 31-32 "De la pornographie au vol des oiseaux", Gianni Burattoni et Franck Delorieux, Les Lettres Françaises, supplément à l’Humanité du 28 septembre 2004, p XII "Lotta Hannerz", 20 minutes, rubrique Peinture, 16 septembre 2004 "Le Marais bien verni", Henri-François Debailleux, Libération, 10 septembre 2004 "Quel temps fait-il ?", Gianni Burattoni et Franck Delorieux, Les Lettres Françaises, supplément à l’Humanité du 25 mai 2004, pXIII "Harmonie printanière", Henri-François Debailleux, Libération, 8 mai 2004

PRESSE INTERNATIONALE "Modern medicin", P. Cornell, Expressmen, 18 octobre 2007 "« The Big White » pa Miliken gallery/ « 110% » pa Knäpper + Baumgarten", Hakan Nilsson, Dagens Nyheter, 6 septembre 2007 "Lustfyllda lögner", Lina Wennersten, CITY Stockholm : Kollen, 31 Août 2007 "Övertygande lek med synvillor", Anna Brodow, Kultur, Août 2007 "Knäpper+Baumgarten, Stockholm : Lotta Hannerz", Anders Olofsson, .Konsten.net, 28 août 2007 "Skulptur och maleri bortom verkligheten", Cleas Reimegard, in Svenska Dagbladet, 23 août 2007 "Franska Bilder", in Dagens Nyheter , 23 août 2007 "Gräv där du inte förstar", Katta Nordenfalk, Pedagogiska magasinet, 3 août 2006, 4ème de couverture "Tillvaron tigen och humorn", Rebecka Wigh, Konstperspektiv, 1er mars 2006, p 34-37 "Bästa konstklippet gör du med hjärtat", Jonas Floren, Dagens Industri, 22 octobre 2005 "Konster eller karriären", Peter Cornell, Expressen, 5 octobre 2005 "Lekfulla optiska villor", Håkan Nilsson, Dagens Nyheter, 17 septembre 2005 Rubrique Culture, Sophie Allgårdh, Svenska Dagbladet, 9 septembre 2005 "Flera vyer ger mer än en sanning", Sophie Allgårdh, SvD Iördag, 3 septembre 2005 "Knäpper + Baumgarten : Lotta Hannerz (27/8-2/10)", Anders Olofsson, Konsten.net, 1er septembre 2005 "Var är Venus?", Christina Hamrin, p 6, 4 juin 2004 Sanna Björling, Dagens Nyheter På Stan, 26 août-1er septembre 2005 "Lottas konstverk ännun inte fullbordat", Erik Esbjörnsson, Södermalmsnytt, 18-25 juin 2005 "Mexico domina la feria con su creatividad", C. Serra et F. Samaniego, El País, 10 février 2005 "El tinglado del arco", Odyseo, .Zonalibre.org, 10 février 2005 "Måleriet stod sig väl i konkurrensen", Sophie Allgårdh, Svenska Dagbladet, 7 janvier 2005 "Små gallerier tänkte stort", Håkan Nilsson, Dagens Nyheter, 30 décembre 2005 Annonce in Svenska Dagbladet, 8 août 2004 "37,3 °C mottagligt på Vikingsberg", Tjerstin Thorsén, Helsingsborgs Dagblad, 17 juin 2004 "Ofantlig konst", Sanna Björling, Dagens Nyheter På Stan, 21 – 27 mai 2004 "Stockholm far fingret", Jesper Pettersson, Stokholm City, 21 mai 2004 "Konstverk visar vägen till Venus", in Svenska Dagbladet, 15 mai 2004 "Apropa en hand i vattnet", Barbro Hedvall, Dagens Nyheter, 9 mai 2004 "Pekande fingrar i vägen för det allvarliga", Ann-Charlotte Glasberg, Göteborgs-Posten, 22 novembre 2003 "Omplåstrade ordlekar", Lars O Ericsson, Dagens Nyheter, 11 octobre 2003 "Erik Dietman hyllas med “skitbra” konst", Birgitta Rubin, Dagens Nyheter, 4 octobre 2003 "Utanför ramarna", Anna Rönngren, 2003 "Erik och hans elever", Mailis Stensman, Jönköpingsposten, 2003

"Konst i vattnet utanför Rosenbad", Metro, 29 mai 2002 "Kuslig gubbe", Aftonbladet, 29 mai 2002 "Nej, det är inte på riktigt", Svenska Dagbladet, 25 mai 2002 "Sevärda syner", Lena Nestius, Södermalmstidningen, 24 mars 2001 "Vår skeva verklighet", Susanne Hellberg, Dagens Nyheter På Stan, 16-22 Mars 2001 “Work” in Metro, Suède, 17 mars 2001