L'Obtus - Janvier 2012

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Vol. 5 N o 4 — janvier 2012 — www.lobtus.com CÉGEP DE JONQUIÈRE UN JOURNAL ÉTUDIANT QUI SE DÉMARQUE Cowboys Fringants – Class Radio - Foreign Diplomats Comité Vertdure AGEECJ : bilan de session Frais de scolarité P. 3 P. 2 P. 4 -7 P. 8 ÉDITORIAL CULTURE ACTUALITÉ ENVIRONNEMENT

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Vol. 5 No 4 — janvier 2012 — www.lobtus.com

CÉGEP DE JONQUIÈRE

UN JOURNAL ÉTUDIANT QUI SE DÉMARQUE

Cowboys Fringants – Class Radio - Foreign Diplomats

Comité Vertdure

AGEECJ : bilan de session

Frais de scolarité

P. 3P. 2

P. 4 -7 P. 8

ÉDITORIAL

CULTUREACTUALITÉ

ENVIRONNEMENT

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COMITÉ DE GESTION

RÉDACTION

IMPRESSION - DISTRIBUTION

COMITÉ DE SERVICE

Coordonnateur de production :Julien RenaudPrésident :Thomas Chamoun

Rédacteur en chef :Julien RenaudRédacteurs adjoints :Mariane Bergeron, Raphaël LapierreÉditorialiste :Raphaël LapierreChefs de section :Laura-Jessica Boudreault (culture), Raphaël Lapierre (sports), Julien Renaud (société), Geneviève Tremblay-Plourde (actualité)Journalistes dans cette publication :Mariane Bergeron, Thomas Chamoun, Audrey Girard,Raphaël Lapierre, Vanessa Souillères

ExcellCopie Inc.

Graphisme :Isabelle Boudreault, Alexandre Girard, Kim Plourde,Karine Ste-Marie, Sarah DumaisCorrecteurs :Julien Renaud, Mariane BergeronPhotographes :Philémon Beaulieu, Judy ChabotMonteur :René-Antoine NadeauGraphisme du site web :Isabelle Martel (lobtus.com)Concepteur du site web :Éric Gélinas (IMM)

Financé par

ÉDITORIALO n en parle, cela circule. Un chuchotement, une rumeur.

Un réel gâchis sur les réseaux sociaux. La grève, la fameuse grève générale. Des mots qui font peur. Des mots qui frappent.

Les grèves étudiantes font, ont fait, et feront reculer le gouver-nement. Deux raisons bien simples : le gouvernement ne peut décréter une loi spéciale pour forcer les étudiants à retourner sur les bancs d’école, comme il le fait avec les employés de la fonction publique. Il doit payer ses enseignants à ne rien faire. Le poids économique finit par forcer le gouvernement à négocier. Deuxièmement, les étudiants sont utilisateurs du service : ils ne peuvent pas être mis en lock-out. Devant un mouvement massif de contestation étudiante, le gouvernement ne peut tout simple-ment rien faire.

La grève, c’est le moyen ultime. Les pétitions, et les occupations des lieux et des bureaux : tout a été fait. Des manifestations régio-nales à une manifestation immense le 10 novembre. Du revers de la main, Jean Charest rejette toute possibilité de négocier avec les étudiants. Devant une grève, l’autruche devra sortir de son trou.

Une récente étude de l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC) expose que la hausse des frais des droits de scolarité, en frais administratifs, en crédits d’impôt et en aide financière aux études, coûterait 80 millions de dollars aux contri-buables québécois. La gratuité, toujours selon l’IREC, se chiffre à 176 millions de dollars, sans compter tout l’argent économisé en aide financière et en crédits d’impôt. Oscar Calderon, chercheur à l’IREC, conclut son rapport : « C’est un choix de société entre une université payante et une université gratuite accessible à tous. »

La hausse des frais de scolarité est un enjeu idéologique et non économique. C’est le moment de se positionner et de se mobili-ser. Quelle société veut-on léguer à nos enfants ?

D’un côté, l’accessibilité aux études, le droit à l’éducation, la so-cial-démocratie ; de l’autre, l’utilisateur-payeur, le capitalisme, l’élitisme économique de l’éducation.

La Déclaration universelle des droits de l’homme en fait mention dans son article 26 : « L’accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite. » Le mérite, cela ne se calcule pas à la grosseur du portefeuille. L’édu-cation accessible, une question de choix ! Étudiants, levons-nous, le jour de gloire est arrivé.

Le 10 novembre dernier, 30 000 étudiants étaient dans les rues de Montréal pour montrer au gouvernement libéral que la hausse des frais de scolarité de 1 625 dollars annoncée l’an dernier ne passera pas. Si l’automne a été chaud, le prin-temps sera ardent.

RAPHAËL LAPIERRE

LEVONS-NOUS

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ACTUALITÉ

d’une journée de grève le 11 novembre, permet-tant ainsi une fois de plus aux étudiants d’aller manifester contre la hausse des frais de scolarité. Ces derniers ont effectivement obtenu une jour-née de grève le 10 novembre, ce qui a permis à plusieurs étudiants de se rendre à la manifesta-tion nationale contre la hausse des frais de sco-larité à Montréal. Cette manifestation a accueilli plus de 30 000 personnes dans les rues de la mé-tropole.

Quelques semaines avant la fin de la session automnale, l’administration de l’AGEECJ a connu d’importants changements quant aux membres qui la composent. D’abord, Raphaël Lapierre, étudiant de deuxième année en ATM, a été élu au poste de secrétaire général. Mathieu Morin a été élu aux affaires externes ; Audrey Girard aux af-faires environnementales. Il s’agit de deux autres étudiants en ATM. Marc-Olivier Deschenes, en sciences humaines, est affecté aux affaires in-ternes. Pour finir, Gabriel Gauthier, en ATM, a été élu aux affaires pédagogiques. Pour la session d’hiver, il faut de nouveau s’at-tendre à beaucoup d’action pour l’AGEECJ. Il y aura, en premier lieu, une assemblée générale pour discuter de la question d’un référendum sur une grève générale renouvelable le 31 janvier.

Si un référendum est accepté, les étudiants pro-cèderont à un vote et détermineront si le Cégep de Jonquière sera en grève générale plus tard dans la session. Une chose est certaine, les cégé-piens auront des choix importants à faire pour l’avenir de leurs études.

L’automne n’a pas été de tout repos sur la scène politique étudiante québécoise. Cette

agitation a été causée en très grande partie par la lutte incessante de la Fédération étudiante collé-giale du Québec (FECQ) contre la hausse des frais de scolarité, conjointement à de nombreuses associations étudiantes partout à travers la pro-vince. L’AGEECJ n’a donc pas chômé ces derniers mois.

Pour dresser un résumé des événements mar-quants survenus au cours de la session d’au-tomne, il faut mentionner l’assemblée générale qui s’est tenu le 27 septembre. Cette rencontre s’est soldée par la décision de procéder à un vote fermé sur une levée de cours le lendemain. Le 28 septembre en après-midi, les étudiants ont donc eu l’occasion d’aller manifester contre la hausse des frais de scolarité.

Une deuxième assemblée générale, cette fois le 1er novembre, avait pour point principal le vote

Les membres de l’administration de l’Association générale des étudiantes et étudiants du cégep de Jonquière (AGEECJ) sont de retour à leur poste après avoir profité d’un mois de congé durant la période des fêtes. Après une session d’au-tomne mouvementée, c’est une équipe renouvelée qui aura la charge de représenter les étudiants et les étudiantes.

THOMAS CHAMOUN

AGEECJ : DE RETOUR AU TRAVAIL

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CULTUREUN VENT FESTIF SOUFFLESUR LES COWBOYSMARIANE BERGERON

Pour leur huitième album, les Cowboys Fringants ont décidé de retourner aux sources. Après L’expédition, un disque aux textes très ficelés et aux rythmes plus lents, Que du vent a un objectif bien différent : faire le party !

Si l’évolution du style musical du groupe est mar-quante de disque en disque, il reste qu’on accorde sur chaque opus une grande place à diverses causes, qu’elles soient d’ordre social, environnemental ou politique. Les Cowboys Fringants sont en effet re-connus pour leur caractère engagé. Pour composer les pièces, Jean-François Pauzé est influencé par tout ce qui l’entoure : « On s’inspire de ce qui se passe un peu partout autour de nous, de l’actua-lité et de la société en général. » Certains thèmes,

« Les premiers temps des Cowboys, c’était très festif. Avec Que du vent, on revient à l’essence

même des premiers disques », explique le guitariste et compositeur principal du groupe, Jean-François Pauzé. Il est vrai que dans leurs débuts, les Cowboys Fringants composaient d’humoristiques chansons country dans le simple but de « se faire du fun ». On se souvient notamment de « Gaétane » et de « Léo-pold », deux histoires d’amour pittoresques qui en ont fait rire plus d’un. Au fur et à mesure que leur succès s’est ancré, ils ont rapidement évolué vers un style plus mûr et sérieux. Sans toutefois laisser tomber cette maturité acquise au fil des années, le groupe a décidé de retourner aux sources avec des chansons amusantes, légères et énergiques. « On aime quand le public danse et chante, et les chan-sons de L’expédition ne se prêtaient pas très bien à ce cadre-là », précise Jean-François.

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CULTURE

petite et humble façon de faire notre part », com-mente Jean-François.

À la suite de la sortie de leur nouvel album, les Cow-boys se sont engagés à faire la tournée des villes du Québec durant au moins 18 mois. Dans les pro-chains jours, ils décolleront vers l’Europe, où leur succès est de plus en plus important. Pour eux, il n’est pas question d’adapter le spectacle pour plaire au public français : « On est heureux et fiers d’être authentiques », commente Jean-François. « Les gens là-bas, ce qu’ils apprécient de nous, c’est le côté québécois et exotique », ajoute le bassiste Jé-rôme Dupras.

À plus long terme, les membres du groupe préfèrent ne pas trop s’avancer : « On est à un stade de notre vie où l’on a des décisions de famille à prendre. On s’apprécie, on aime être en groupe, et il y aura plein d’autres projets, mais on ne peut pas faire des plans sur dix ans », explique Jérôme. Ils vivent leur succès au jour le jour et verront en temps et lieu jusqu’où le vent les emportera.

l’environnement notamment, ont été abordés plus d’une fois dans leurs pièces. Ils ont d’ailleurs mis sur pied la Fondation Cowboys Fringants afin de contri-buer à cette cause. « C’est une façon pour nous de redonner à la communauté et de donner à la pla-nète, qui souffre de plus en plus. C’est notre façon de s’impliquer. » La fondation vise la protection des territoires aux espèces fauniques et floristiques menacées. Sur chaque billet de spectacle vendu, un dollar est investi dans la fondation. « C’est notre

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CULTURELa soirée animée, par Hugo Gagné-Perras et

Joanie Chrétien, s’est déroulée de façon très sympathique. Plusieurs activités, dont une re-prise de l’émission « On connaît la chanson », ont tenu la foule en haleine tout au long de la pré-sentation.

Daravong Thongsavath a encore une fois fait vivre des émotions fortes à la foule avec une vidéo de présentation des animateurs des plus originale. Déjà reconnu en ATM pour son talent, l’artiste de Montréal a su produire avec une équipe d’une quinzaine étudiants un clip d’une qualité remar-quable.

C’est l’agence-école Embryo, composée d’étu-diants en Conseil et coordination publicitaire, branche de la technique en Art et technologie des médias, qui a assuré la promotion de l’événe-ment. Elle était aussi responsable des décors et de la réception des invités.

La troupe de la comédie musicale Glee a offert au public un avant-goût du spectacle qui aura lieu le 4 février prochain à la Salle François-Brassard en deuxième partie du lancement. La justesse de la voix ainsi que la préparation des artistes donnent l’eau à la bouche au public. L’impatience d’assis-ter à ce spectacle tant attendu est grandissante à deux semaines de la représentation.

Raphaëlle Chouinard a interprété trois numéros musicaux en compagnie, tout d’abord, de Ma-riann Petit ; puis, de Nina Célant. Pour conclure la soirée, elle a accompagné Cloée Viens et Pierre-Antoine Gosselin dans une compilation d’une trentaine de chansons.

Class Radio 2012 c’est : Stéphanie Ahern, Alex Baillargeon, Jade Beaudette, Didier Boisvert, Cindy Bourque, Christina Boucher, Sarah-Ève Charland, Sophie Châteauneuf, Joanie Chrétien, Vincent Cosette, Émilie Desgagnés, Naomi Fran-coeur-Tessier, Hugo Gagné-Perras, Emmanuelle Gauthier-Laquerre, Marc-Antoine Gilbert, Cindy Girard, Marie-Laurence Kirouac, Jean-Philippe Lavallée, Sabrina Lefrançois, Léna Martel, Ma-thieu Ouellet, Véronic Pelletier, Raphaël Plouffe, Oliver Roy Martin, Gabrielle Tessier, Anne-Sophie Savard, Mélodie Simard-Lapointe et Cloée Viens.

Class Radio est le projet terminal des étudiants en Animation et production radiophoniques du pro-gramme d’Art et technologie des médias. Épaulés par des enseignants et des techniciens dévoués, les 28 animateurs peuvent vivre l’instant d’une session la réalité d’une station de radio.

Class Radio diffuse sur la bande FM 103,5 ainsi que sur Internet au www.classradio.com. En onde 24 heures par jours et 7 jours par semaine, Class présente une programmation variée et originale de 6 h à 21 h en semaine, ainsi que de la musique sans interruption le week-end et la nuit.

C’est devant un public survolté que la cohorte 2012 de Class Radio 103,5 a lancé sa programmation pour la session d’hiver le 24 janvier dernier, au Café Théâtre Côté-Cour de Jonquière.

RAPHAËL LAPIERRE

CLASS : UN LANCEMENT DYNAMIQUE

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CULTURE

rock alternatif, un style musical rock mélodieux. Le groupe a déjà quelques pièces à son actif, dont quatre sont offertes sur leur page Facebook (Foreign Diplomats).

Les jeunes musiciens veulent percer, car ils ai-ment la musique et le monde de la scène. Cela leur permet de se changer les idées : « Pour moi, la scène me permet de faire sortir le méchant », explique Thomas Bruneau Faubert, le trombo-niste du groupe. Les applaudissements après chaque pièce valent tout l’or du monde pour le groupe, « surtout quand c’est tes chansons », raconte Élie.

Faire sa place en musique est difficile, mais ils savent une chose : il faut qu’ils travaillent très fort sur leurs chansons. De plus, ils sont conscients que les contacts sont importants dans ce domaine. Ils souhaitent bientôt signer avec une maison de disque. Par contre, ils préfèrent attendre que tous les membres aient terminé leur secondaire. « Le critère le plus important pour nous, c’est qu’ils nous laissent aller à notre rythme », précise Mickaël Gagné, le guitariste de la formation.

À la suite de leur prestation, la première ques-tion qu’on leur pose est celle-ci : « Avez-vous un album ? », et ils y répondent : « Non, mais bien-tôt ! ». Le 14 janvier dernier, ils se sont produits au National à Montréal et ont gagné la première place du concours Landmark Events. Qu’ont-ils gagné ? Ils feront un prochain spectacle : la finale du concours au Club Soda de Montréal. Aussi, ils réaliseront des enregistrements. De beaux pro-jets attendent donc les sept jeunes passionnés de musique. Nous leur souhaitons la meilleure des chances !

LES DIPLOMATES ÉTRANGERS

VANESSA SOUILLÈRES

Dès la première écoute, les créations de Foreign Diplomats étonnent. Ce groupe d’indie rock alternatif, formé de sept étudiants du secondaire et du cégep, dégage déjà un son mature malgré le jeune âge de ses membres. Rencontre avec les musiciens de cette formation à la popularité grandissante et à l’avenir prometteur.

Au départ, le groupe n’était composé que de trois amis d’une même classe au secon-

daire : Élie Raymond, Mickaël Gagné et Simon Charette. Avec le temps, ils sont allés dénicher d’autres musiciens pour atteindre le son qu’ils désiraient réellement. Étant seulement un chan-teur, un guitariste et un batteur au début, ils ont rapidement trouvé un tromboniste, une saxo-phoniste et une corniste. Durant la même année, ils ont trouvé le nom du groupe à l’aéroport en apercevant la pancarte indiquant le chemin aux diplomates étrangers. Comme le nom sonnait bien à leurs oreilles, ils ont décidé de l’adopter.

Les membres de la formation composent eux-mêmes leurs pièces. Ils s’inspirent de plusieurs groupes pour créer leurs chansons, dont The Beat-les. Élie écoute ce célèbre groupe pour mettre au point les harmonies de voix qui composent les pièces musicales du Foreign Diplomats. Grâce à ses influences, le groupe a adopté un style indie

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ENVIRONNEMENTAUDREY GIRARD

En 1987, lors de la Commission mondiale sur

l’environnement, les instances ont établi une

définition du développement durable, « un déve-

loppement qui répond aux besoins des généra-

tions du présent sans compromettre la capacité

des générations futures à répondre aux leurs ».

Le comité Vertdure vise à mobiliser les gens et à

entreprendre des actions concrètes pour que le

Cégep applique les préceptes du développement

durable. Son but est de sensibiliser les étudiants

et les membres du personnel aux enjeux envi-

ronnementaux concernant le cégep. Le comité

Vertdure prône l’application du développement

durable dans toutes les activités du cégep. La dé-

mocratie ainsi que l’équité sont également mises

en valeur au sein du comité.

Le comité Vertdure vend des tasses à café réutili-

sables pour sensibiliser les gens à la surconsom-

mation. Elles sont en vente au café chez Ginette

au coût de 4 $. Il a aussi réalisé le projet de vélos

communautaires se nommant Commuvélo. C’est

un service mis en place pour favoriser le dévelop-

pement du transport écologique et durable. Le

service de vélos est gratuit et il est offert à tous

les étudiants.

Le Cégep de Jonquière possède la certification

Cégep Vert Excellence donnée par le programme

Environnement jeunesse. Pour conserver cette

certification, il faut continuer à faire des cam-

pagnes pour l’environnement, et c’est pour cela

que le comité Vertdure recherche de nouveaux

membres. Un kiosque de recrutement se tiendra

donc à la salle des Pas perdus les 30 et 31 janvier

ainsi que le 1er février sur l’heure du dîner.

Pour cette nouvelle session, Vertudre travaillera à

ce qu’il y ait moins de bouteilles d’eau dans le cé-

gep, préconisant l’eau des fontaines et l’achat de

bouteilles réutilisables. Un autre projet est une

campagne visant à enrayer l’utilisation du papier

au minimum à l’intérieur des murs du cégep. Il

y a aussi la venue potentielle d’un conférencier

pour discuter des différents enjeux climatiques,

une semaine de sensibilisation à l’environne-

ment, des projections de films à caractère engagé

et d’autres projets à venir.

À la session d’hiver 2012, au sein du comité Ver-

tdure, il y aura de tout, pour tous les goûts. Des

gens motivés pour qui l’environnement est im-

portant sont recherchés. Si vous souhaitez faire

partie de l’équipe, visitez le comitevertdure.org

ou écrivez au [email protected].

Parler du développement durable : voilà une des missions que s’est donnée le comité Vertdure. Le comité Vertdure est l’organisme étudiant du cégep à mission environnementale. Il est financé par l’Association des étudiantes et étudiants du cégep de Jonquière (AGEECJ).

LE RETOUR EN FORCEDU COMITÉ VERTDURE

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