L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

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L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell André Michaud Service de Recherche Pédagogique Click here for English version Haga clic aquí para versión en español Hier anklicken für die deutsche Übersetzung Abstract: Il est bien établi que l'électrodynamique classique, l'électrodynamique quantique (QED) ainsi que la théorie des champs quantiques (QFT) sont fondées sur la théorie ondulatoire de Maxwell et sur ses équations, mais il est beaucoup moins bien compris que ces théories ne sont pas fondées sur son interprétation initiale de la relation entre les champs E et B, mais plutôt sur celle de Ludvig Lorenz, avec laquelle Maxwell était en désaccord. Maxwell considérait que ces deux champs devaient s'induire mutuellement cycliquement pour que la vitesse de la lumière soit maintenue, tandis que Lorenz considérait que les deux champs devaient atteindre leur intensité maximale de manière synchrone au même moment pour que cette vitesse soit maintenue, les équations permettant les deux interprétations. Toutefois, deux percées récentes permettent maintenant de confirmer que l'interprétation de Maxwell était correcte car, contrairement à l'interprétation de Lorenz, elle permet de réconcilier de façon transparente la théorie des ondes électromagnétiques de Maxwell, appliquée avec tant de succès au niveau macroscopique, avec les caractéristiques électromagnétiques applicables au niveau subatomique aux photons électromagnétiques localisés ainsi qu'aux particules électromagnétiques élémentaires chargées et massives localisées dont tous les atomes sont constitués, et permet enfin d'établir une mécanique claire d'émission et d'absorption de photons électromagnétiques par les électrons lors de leurs interactions au niveau atomique. Mots clés: Masse magnétique, champ magnétique, champ électrique, électron, émission de photon, absorption de photons. Cet article a été initialement publié au Journal of Modern Physics en Janvier 2020: Michaud, A. (2020) Electromagnetism according to Maxwell's Initial Interpretation. Journal of Modern Physics, 11, 16-80. https://doi.org/10.4236/jmp.2020.111003. https://www.scirp.org/pdf/jmp_2020010915471797.pdf Une version augmentée de cet article a été republiée sur invitation en décembre 2020 avec un nouveau titre en tant que Chapitre 4 dans le livre intitulé "New Insights into Physical Science Vol. 10 ", qui fait partie d'une collection qui présélectionne des articles jugés dignes d'attention dans l'offre globale, pour les mettre à la disposition plus immédiate de la communauté. Cette augmentation visait à établir une corrélation plus claire entre la raison pour laquelle Einstein soupçonnait que la gravitation était liée à l'électromagnétisme et l'équation de la force de Lorentz. Michaud, André (2020) Emphasizing the Electromagnetism according to Maxwell's Initial Interpretation. In: Dr. Thomas F. George, Editor. Chapter 4 In New Insights into Physical Science Vol. 10. West Bengal, India: Book Publisher International. 2020 https://bp.bookpi.org/index.php/bpi/catalog/book/350 (PROMOTIONAL VIDEO) La traduction française de la version augmentée est disponible ici . Voici la traduction française de la version initiale:

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Page 1: L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

Leacutelectromagneacutetisme selon linterpreacutetation initiale de Maxwell

Andreacute Michaud

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Abstract Il est bien eacutetabli que leacutelectrodynamique classique leacutelectrodynamique quantique (QED) ainsi que la theacuteorie des champs quantiques (QFT) sont fondeacutees sur la theacuteorie ondulatoire de Maxwell et sur ses eacutequations mais il est beaucoup moins bien compris que ces theacuteories ne sont pas fondeacutees sur son interpreacutetation initiale de la relation entre les champs E et B mais plutocirct sur celle de Ludvig Lorenz avec laquelle Maxwell eacutetait en deacutesaccord Maxwell consideacuterait que ces deux champs devaient sinduire mutuellement cycliquement pour que la vitesse de la lumiegravere soit maintenue tandis que Lorenz consideacuterait que les deux champs devaient atteindre leur intensiteacute maximale de maniegravere synchrone au mecircme moment pour que cette vitesse soit maintenue les eacutequations permettant les deux interpreacutetations Toutefois deux perceacutees reacutecentes permettent maintenant de confirmer que linterpreacutetation de Maxwell eacutetait correcte car contrairement agrave linterpreacutetation de Lorenz elle permet de reacuteconcilier de faccedilon transparente la theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques de Maxwell appliqueacutee avec tant de succegraves au niveau macroscopique avec les caracteacuteristiques eacutelectromagneacutetiques applicables au niveau subatomique aux photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes ainsi quaux particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees et massives localiseacutees dont tous les atomes sont constitueacutes et permet enfin deacutetablir une meacutecanique claire deacutemission et dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons lors de leurs interactions au niveau atomique

Mots cleacutes Masse magneacutetique champ magneacutetique champ eacutelectrique eacutelectron eacutemission de photon absorption de photons

Cet article a eacuteteacute initialement publieacute au Journal of Modern Physics en Janvier 2020

Michaud A (2020) Electromagnetism according to Maxwells Initial Interpretation Journal of Modern Physics 11 16-80 httpsdoiorg104236jmp2020111003

httpswwwscirporgpdfjmp_2020010915471797pdf

Une version augmenteacutee de cet article a eacuteteacute republieacutee sur invitation en deacutecembre 2020 avec un nouveau titre en tant que Chapitre 4 dans le livre intituleacute New Insights into Physical Science Vol 10 qui fait partie dune collection qui preacuteseacutelectionne des articles jugeacutes dignes dattention dans loffre globale pour les mettre agrave la disposition plus immeacutediate de la communauteacute Cette augmentation visait agrave eacutetablir une correacutelation plus claire entre la raison pour laquelle Einstein soupccedilonnait que la gravitation eacutetait lieacutee agrave leacutelectromagneacutetisme et leacutequation de la force de Lorentz

Michaud Andreacute (2020) Emphasizing the Electromagnetism according to Maxwells Initial Interpretation In Dr Thomas F George Editor Chapter 4 In New Insights into Physical Science Vol 10 West Bengal India Book Publisher International 2020

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La traduction franccedilaise de la version augmenteacutee est disponible ici

Voici la traduction franccedilaise de la version initiale

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1 Introduction

En 1845 Michael Faraday observa quen placcedilant une plaque de verre entre les pocircles dun

eacutelectroaimant le champ magneacutetique faisait tourner le plan de polarisation de la lumiegravere qui

traversait la plaque Il communiqua aussitocirct agrave son ami James Clerk Maxwell cette deacutecouverte

majeure qui deacutemontrait pour la premiegravere fois ce lien direct entre le champ magneacutetique et la

lumiegravere [1]

Cest donc cette expeacuterience de Faraday qui est agrave lorigine de la theacuteorie eacutelectromagneacutetique

inteacutegreacutee ensuite eacutelaboreacutee par Maxwell car ayant deacutejagrave observeacute que les deacuteriveacutees secondes des

eacutequations preacuteceacutedemment eacutetablies pour champ eacutelectrique et champ magneacutetique reacuteveacutelaient que

leacutenergie eacutelectrique et leacutenergie magneacutetique eacutetaient seacutepareacutement associeacutees agrave la vitesse de la lumiegravere

[2] Maxwell en tira la conclusion que la lumiegravere devait ecirctre de nature eacutelectromagneacutetique et fit

ensuite la deacutecouverte fondamentale que leacutenergie eacutelectromagneacutetique impliquait une relation

triplement orthogonale entre ses trois aspects fondamentaux soit ses aspects eacutelectrique et

magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun agrave lautre et sinduisant mutuellement

simultaneacutement en un mouvement oscillant cyclique stationnaire transversal par rapport agrave la

direction de mouvement de cette eacutenergie dans lespace (voir Figure 1) soit une relation

triplement orthogonale correspondant au produit vectoriel familier des champs E et B (Voir

Figure 3-a) reacutesultant en un troisiegraveme vecteur de mouvement perpendiculaire par structure au

deux premiers [3] [4]

Figure 1 Repreacutesentation bipolaire deacutephaseacutee de 180

o des champs E et B de linterpreacutetation de

Maxwell

Le fait suivant en surprendra sans doute plus dun mais cette solution deacutecouverte par

Maxwell qui est aussi bien connu pour avoir deacuteriveacute la vitesse de la lumiegravere de la relation quil

eacutetablit entre les deux constantes fondamentales du vide εo y μo [2] nest pas la seule solution

fonctionnelle qui a eacuteteacute deacutecouverte pour associer les champs E et B agrave la vitesse de la lumiegravere

En reacutesumeacute le matheacutematicien Ludvig Lorenz a eacutetabli agrave la mecircme eacutepoque indeacutependamment de

Maxwell que si les champs E et B de leacutenergie eacutelectromagneacutetique eacutetaient matheacutematiquement

repreacutesenteacutes comme atteignent tous les deux leur maximum dintensiteacute de faccedilon synchrone en

mecircme temps (voir Figure 2) cela permet aussi dexpliquer la vitesse de la lumiegravere dans le vide

dondes eacutelectromagneacutetiques se propageant sous forme dune impulsion dans un eacutether sous-jacent

aussi bien que si ils eacutetaient deacutephaseacutes de 180o comme dans la solution de Maxwell

Mais la jauge de Lorenz est un concept geacuteneacuteralisateur qui combine les aspects E et B de

leacutenergie fondamentale en un champ eacutelectromagneacutetique unique qui deacutetourne lattention

immeacutediate des diffeacuterentes orientations vectorielles des deux aspects en particulier le fait que le

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dipocircle deacutenergie repreacutesenteacute par E est orienteacutee et distribueacutee dans lespace tandis que le dipocircle

deacutenergie repreacutesenteacute par B est orienteacutee et distribueacutee temporellement pendant que ces deux aspects

sinduisent cycliquement lune lautre en orientation transversale par rapport agrave la direction du

mouvement vectoriel de leacutenergie oscillante dans un vide

Figure 2 Repreacutesentation standard monopolaire des champs E et B atteignant

simultaneacutement leur maximum dintensiteacute en phase de linterpreacutetation de Lorenz

La repreacutesentation de la Figure 2 que lon retrouve dans tous les ouvrages sur

leacutelectromagneacutetisme tout en eacutetant en accord avec la theacuteorie ondulatoire de Maxwell deacutecrivant

leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme eacutetant une impulsion se propageant dans un aether sous-

jacent et qui est aussi en accord avec ses eacutequations est toutefois geacuteneacuteralement preacutesumeacutee de

maniegravere erroneacutee comme eacutetant aussi la conclusion de Maxwell

En reacutealiteacute Maxwell eacutetait en deacutesaccord avec cette approche car le concept de jauge

deacuteveloppeacute par Lorenz avait pour conseacutequence de traiter les deux champs E et B comme eacutetant un

champ eacutelectromagneacutetique unique au niveau geacuteneacuteral sans structure interne apparente de prime

abord ce qui fait facilement perdre de vue que ces deux champs sont seacutepareacutes et sont deacutegale

importance dans la theacuteorie de Maxwell avec des caracteacuteristiques diffeacuterentes et irreacuteconciliables

en plus de sinduire mutuellement contrairement agrave la solution de Lorenz tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [3]

Le fait que cette deuxiegraveme solution fut deacuteveloppeacutee par Lorenz est cependant peu connu dans

la communauteacute scientifique car elle est associeacutee seulement agrave la jauge dite jauge de Lorenz

deacutefinie par lui et ceci seulement dans les ouvrages speacutecialiseacutes de haut niveau sur

leacutelectromagneacutetisme [5] car elle se precircte plus facilement que la repreacutesentation de Maxwell aux

divers processus de geacuteneacuteralisation matheacutematiques Mais la veacuteritable origine de cette solution

repreacutesenteacutee par la Figure 2 nest pas clairement expliqueacutee dans les ouvrages dintroduction ou de

reacutefeacuterence geacuteneacuterale en physique [6] [7]

Par conseacutequent agrave moins de se speacutecialiser en eacutelectromagneacutetisme la majoriteacute des physiciens ne

sont donc pas directement informeacutes que ce nest pas Maxwell qui a conccedilu cette deuxiegraveme

approche et que leacutelectrodynamique classique ainsi que la theacuteorie des champs quantiques (QFT)

dont leacutelectrodynamique quantique (QED) est issue [8] [9] mais quelles sont plutocirct fondeacutees sur

linterpreacutetation de Lorenz car ce fait nest nulle part clairement mis en eacutevidence dans les

ouvrages de reacutefeacuterence sur leacutelectrodynamique et sur la QFT qui furent bien sucircr deacuteveloppeacutes par

des speacutecialistes en eacutelectromagneacutetisme pour qui ce fait eacutetait une eacutevidence Contrairement aux faits

eacutetablis il en reacutesulte donc une impression geacuteneacuterale dans la communauteacute que Maxwell est le

veacuteritable auteur de cette deuxiegraveme solution et que leacutelectrodynamique et la QFT sont fondeacutee

strictement sur son interpreacutetation

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La nuance est importante cependant car lhypothegravese de de Broglie agrave propos du photon localiseacute

agrave double particule qui eacutemerge directement de linterpreacutetation de Maxwell se retrouve ainsi en

porte-agrave-faux par rapport agrave leacutelectrodynamique classique et la QED parce que lapproche de

Lorenz occulte le fait que les champs E et B sont seacutepareacutement dimportance eacutegale Par exemple le

rocircle preacutepondeacuterant donneacute aux charges eacutelectriques dans la QED semble ne laisser aucune fonction

preacutecise agrave laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dans une possible meacutecanique

dinduction mutuelle qui impliquerait les deux champs seacutepareacutes contrairement agrave linterpreacutetation de

Maxwell Mecircme le fait que la QED telle que formuleacutee ne peut expliquer linduction mutuelle

des deux champs dans les systegravemes LRC ne semble pas attirer lattention sur cette question

2 Mise en perspective en fonction des ordres de grandeur relatifs

Pour bien mettre en perspective la possibiliteacute de deacutecrire leacutenergie qui constitue la substance

mecircme dont sont constitueacutees toutes les particules eacuteleacutementaires localiseacutees telles que les photons

eacutelectromagneacutetiques les eacutelectrons et les positons au niveau subatomique dune maniegravere qui ne

serait pas en conflit avec la theacuteorie bien eacutetablie de londe eacutelectromagneacutetique continue de

Maxwell qui est appliqueacutee avec tant de succegraves agrave notre niveau macroscopique il faut en premier

lieu prendre conscience que tout les objets et processus que nous pouvons deacutetecter et mesurer

dans la reacutealiteacute objective peuvent ecirctre classeacutes comme relevant de lun des quatre ordres de

magnitude suivants Par ordre deacutecroissant damplitude ces divers ordres de grandeur peuvent ecirctre

deacutefinis de maniegravere tregraves geacuteneacuterale comme suit

1- Niveau astronomique Ordre de grandeur deacutepassant en dimensions le cadre

strict de la seule planegravete Terre

2- Niveau macroscopique Ordre de grandeur dans lequel tout objet ou processus

peut ecirctre directement mesureacute agrave la surface de la Terre et dans son environnement

3- Niveau sous-microscopique ou atomique Ordre de grandeur des moleacutecules et

atomes

4- Niveau subatomique Ordre de grandeur des particules eacuteleacutementaires dont les

atomes sont constitueacutes ainsi que de leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui constitue

leur substance qui supporte leur mouvement deacutetermine leur inertie et qui peut

aussi circuler librement sous forme quantifieacutee agrave la vitesse de la lumiegravere lorsque

non directement associeacutee agrave lune de ces particules eacuteleacutementaires

Les 3 premiers niveaux sont geacuteneacuteralement familiers pour tous mais le niveau subatomique ne

lest pas Nous pouvons directement percevoir et mesurer les objets et processus de notre

environnement au niveau macroscopique et nous percevons et mesurons indirectement avec de

plus en plus de preacutecision les objets et processus appartenant autres ordres de grandeurs agrave mesure

que nos instruments se perfectionnent

Il peut sembler paradoxal drsquoaffirmer si fermement que lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique peut ecirctre

directement deacutefinie comme eacutetant quantifieacutee sous forme de photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

au niveau subatomique conformeacutement aux eacutequations de Maxwell tout en demeurant en parfaite

harmonie avec sa theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques continues se propageant dans un medium

sous-jacent qui a eu tant de succegraves telle quappliqueacutee agrave notre niveau macroscopique soit une

question qui fait deacutebat depuis le deacutebut du 20e siegravecle

Il faut mettre en perspective ici que nous ne percevons par ailleurs aucun paradoxe dans le fait

que nous observons directement que limage dun eacutecran de teacuteleacutevision nous apparaicirct continue de

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maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien

conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi

directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee

physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement

seacutepareacutes

De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave

traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en

sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules

localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau

subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-

mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees

eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne

pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de

leacutecran de teacuteleacutevision

La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un

fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne

pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme

nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous

comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau

macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees

glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants

instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces

moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique

Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau

subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision

dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre

de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre

de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute

de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de

leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos

microscopes eacutelectroniques

Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de

grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la

perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la

diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les

moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment

petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre

niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie

eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus

grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave

sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre

niveau macroscopique

Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de

grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique

consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune

moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la

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distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi

agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome

dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons

eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au

mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres

particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave

linteacuterieur de la structure du proton et du neutron

Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau

subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au

repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument

suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique

contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement

possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la

granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une

granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est

inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des

particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique

sont les suivants

1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere

quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir

Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])

2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons

possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience

photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la

moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de

la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses

solaires [3] [11]

3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons

eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-

positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se

reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de

nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse

invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance

eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve

expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le

seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons

eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans

quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]

4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et

une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C

5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des

particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux

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de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des

systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])

Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement

nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par

ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave

partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement

des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes

soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par

les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux

en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des

changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau

atomique

Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de

leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee

lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules

infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets

qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants

microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les

cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long

de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous

prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre

[14]

Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour

que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune

intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des

atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi

que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui

peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes

seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium

Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie

eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la

traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis

pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau

subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)

mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations

eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une

onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une

harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier

chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation

tireacutee de ses Lectures on Physics [15]

There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are

not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen

electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain

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Traduction

Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne

sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement

associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique

Quantique ces difficulteacutes demeurent

Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent

matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure

granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue

uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie

des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier

deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne

de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la

structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des

neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement

eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique

transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute

matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos

Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure

eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de

Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau

subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de

reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau

subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique

3 Deux perceacutees majeures reacutecentes

Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure

interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique

qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne

semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de

Minkowski [17]

la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie

deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave

limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans

le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-

temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de

ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur

aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p

273)

Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure

eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec

les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires

stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau

subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de

Maxwell

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Andreacute Michaud Page 9

Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective

lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales

recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute

expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de

la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale

4 La premiegravere perceacutee majeure

Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de

lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects

fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau

subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun

agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation

stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de

cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est

perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par

ces deux champs (voir Figure 1)

La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant

de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut

formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de

Saint-Peacutetersbourg [18]

Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la

Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave

augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k

(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D

pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme

eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux

autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun

Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale

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Page 10 Andreacute Michaud

Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au

centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la

substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des

vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale

stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux

espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-

quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-

transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui

reacuteside dans lespace-X

Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique

trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles

de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3

parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre

eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire

matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant

chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3

espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes

orthogonaux internes reacutesultants

5 La deuxiegraveme perceacutee majeure

Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul

Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre

laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui

permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui

augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ

magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de

leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article

publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de

Kazan [20]

Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees

constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne

dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une

eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de

maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee

pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]

ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin

Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes

les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules

complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et

autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules

eacuteleacutementaires [24]

Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des

atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons

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Andreacute Michaud Page 11

eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions

destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que

sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des

seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou

lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees

eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]

Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de

larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement

sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa

deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement

deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre

directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre

article reacutecemment publieacute [4]

Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese

personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la

premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une

deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir

de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave

leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun

doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique

geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les

eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi

du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser

directement dans son article original

LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees

auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie

de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee

autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique

transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de

leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement

mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable

avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise

en eacutevidence plus loin

Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable

agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation

relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le

champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est

constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce

fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de

mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective

par Marmet au deacutebut de son article [19]

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Page 12 Andreacute Michaud

Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis

Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui

seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie

Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du

champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle

geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant

omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute

de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans

lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme

charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept

ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter

sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de

Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et

matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee

exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement

qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration

perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation

qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui

soutient son mouvement dans lespace

Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme

rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de

laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut

donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons

dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart

Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron

en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste

ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son

champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette

derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable

avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc

2 - moc

2) car il est physiquement

et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux

directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une

de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de

laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ

magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee

Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave

mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune

seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute

deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie

du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux

quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee

que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors

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Andreacute Michaud Page 13

la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la

veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov

22 + (γmoc

2 -

moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique

quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de

Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la

distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement

et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees

les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement

Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie

doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ

magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme

geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de

cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour

obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en

mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin

6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte

Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a

initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information

qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait

consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale

deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord

ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-

quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]

associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse

transversale mesurable

7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein

En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil

reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes

lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant

cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique

fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une

traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la

diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb

ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons

comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par

linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre

deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait

pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement

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Page 14 Andreacute Michaud

diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten

(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du

deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de

lintroduction de la RR faisait rage

Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le

momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie

cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans

les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont

pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique

fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement

en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont

toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et

certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de

1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz

Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre

vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de

consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions

traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des

connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction

En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par

lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave

eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force

de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y

est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en

ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie

pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte

lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou

alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la

distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des

charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de

leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant

eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules

chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique

qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique

classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme

des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement

par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la

communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui

Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir

de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier

du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet

maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue

en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=

e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance

entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e

24πεod

2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique

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Andreacute Michaud Page 15

adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse

simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil

semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui

entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce

moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir

Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et

qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment

Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la

RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et

aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la

Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de

lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement

causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de

Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules

eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron

selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse

classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de

particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective

plus loin

Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de

Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept

daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en

RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum

augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration

inertielle

8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le

demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale

mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee

du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement

ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant

dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second

point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la

vitesse

Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute

Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute

Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par

leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction

coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne

laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement

Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-

quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de

Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune

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Page 16 Andreacute Michaud

harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse

ecirctre reacutealiseacutee

9 Les Principes axiomatiques absolus

Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les

concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient

permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu

ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee

pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de

points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la

nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir

des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences

consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le

Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction

stationnaire et de moindre action etc

La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de

conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas

activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme

dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien

compris lorsquil fut initialement formuleacute

En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances

permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous

pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant

quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat

apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement

dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction

stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]

Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des

trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]

[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel

eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de

nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les

masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial

qui eacutetait le leur avant leur lancement

En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune

hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des

eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur

astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule

maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de

ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant

une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera

examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit

les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement

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Andreacute Michaud Page 17

Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un

cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere

deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement

associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif

et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour

tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle

sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ

eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide

Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance

en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee

au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de

Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un

momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique

et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort

consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un

mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule

eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et

quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de

mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement

seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une

eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une

forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de

force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur

pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression

interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de

lexpression trompeuse force de Coulomb

Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que

quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la

physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant

suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes

axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme

dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui

savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de

linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de

Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction

adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant

correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une

interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement

10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus

Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables

observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont

constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la

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Page 18 Andreacute Michaud

confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et

processus

Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au

moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon

classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de

nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la

masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]

Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute

magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-

composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune

rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction

[39]

Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces

termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus

auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels

comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple

11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule

eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement

en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres

permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du

quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du

champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui

est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons

eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie

eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau

macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell

12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)

En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave

confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique

transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un

fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]

Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences

effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun

eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire

demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un

seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de

Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable

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Andreacute Michaud Page 19

transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation

de son champ magneacutetique transversal

Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit

directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est

aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par

analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au

repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement

2

M

r

1

eμ e

e

2

0

(M-24)

Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron

ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en

correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi

que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation

(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)

Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)

dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique

rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant

perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article

[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute

graphiquement comme se deacuteplaccedilant

2

0

r

ud sd

Iμd

B (M-1)

Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire

invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q

de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere

dt

)d(Ne

dt

dQI

-

(M-2)

Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure

constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv

puisque dt

dxv donc

v

dxdt (M-3)

En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par

sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint

dx

)vd(Ne

dt

d(Ne)I

-

(M-4)

Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart

dx)θsin(r4π

Iμd

2

0B (M-5)

En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-

4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte

sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition

puisque le courant demeure constant

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Page 20 Andreacute Michaud

)(Ned)θsin(r4π

vμdx)θsin(

dx

)vd(Ne

r4π

μdx)θsin(

r4π

Iμd -

2

0

-

2

0

2

0 B (M-5a)

En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant

maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus

decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant

que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute

)(Ned)θsin(r4π

vμd -

2

0B (M-6)

13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur

Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence

sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte

dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce

qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant

Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π

veμNd -

2

-

0iB (M-7)

Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant

les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer

pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est

absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous

allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de

sa deacuterivation

Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)

Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux

variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure

ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la

distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et

spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre

conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation

cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ

magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation

correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)

Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)

puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e

-) ce qui

constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de

lrsquoEacutequation (M-7)

)(ed)θsin(r4π

vμd -

2

0iB (M-6a)

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Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer

conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de

distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette

distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc

maintenant

)d(er4π

vμd -

2

0iB (M-6b)

Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le

calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux

occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons

agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)

-

2

0 er4π

vμiB (M-6c)

qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation

conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)

Eacutequation (M-7) correcte 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ

magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique

stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du

champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron

centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute

par lEacutequation (M-7)

Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie

trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le

flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement

propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement

ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue

lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant

physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron

Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment

stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil

meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des

eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant

donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute

les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de

saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation

triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de

leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule

eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques

individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction

transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique

macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur

dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et

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Page 22 Andreacute Michaud

cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut

rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul

eacutelectron

Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins

magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui

fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir

mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique

macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la

Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables

macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme

processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie

des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes

Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer

lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite

agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique

massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa

masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite

dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne

La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par

leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au

deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]

magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)

15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet

La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)

concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des

particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz

16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz

Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de

vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2

semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale

eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal

qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons

plus loin que ce nest pas le cas

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour

repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron

2

2

e

2

2

e

2

0cv

c

v

2

m

c

v

r8π

eμm (1)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 23

Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ

magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio

v2c

2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient

neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de

la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce

qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos

invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel

que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par

leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure

eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut

preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie

(Figure 3)

2

M

r

1

c

v

r

1

eμM e

e

2

0

2

2

e

2

00vuee_magneacutetiq

(M-24)

LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du

champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie

croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui

sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec

lEacutequation (M-24)

2

0cv

r4π

veμ B (2)

Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des

repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction

du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une

vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du

momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-

18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la

Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome

drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement

correct de masse relativiste

kg355E242533771

cr8π

1218764756eμ

cr8π

veμm

2

e

22

0

2

e

22

0m (3)

A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il

faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme

vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de

lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme

valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique

de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron

Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition

eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste

un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut

quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c

2 c eacutetant invariant et v

pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 24 Andreacute Michaud

preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique

transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre

vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement

proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron

(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite

de 409355207E-14 j)

Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute

invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique

intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique

de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer

leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de

Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente

toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-

magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de

leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute

totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la

masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de

masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2

Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette

somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur

gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de

calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)

Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec

leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit

leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de

leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus

leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par

structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc

2

K2E

KK4Ecv

2

(4)

Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des

eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes

de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees

C

2

CC

λ2λ

λλ4λcv

(5)

A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis

leacutelaboration de ces eacutequations

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Andreacute Michaud Page 25

17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)

Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le

rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de

lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ

magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la

deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par

lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee

transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB

mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette

augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique

constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron

409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement

eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation

entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec

leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron

Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute

deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de

Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration

spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2

=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est

obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure

fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]

m155E2817940282π

αλr Ce (6)

Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)

devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de

lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde

eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c

mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de

de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est

(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique

Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave

linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans

lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]

m11E29177208352π

λ

λr B

Br (7)

Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude

transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en

multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y

a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave

lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin

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Page 26 Andreacute Michaud

atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet

maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient

mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal

invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique

correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec

lEacutequation (2)

T0405235047

113E529177208α4π

1218764756eμ

rα4π

veμ2

0

2

B

0

B (8)

Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee

que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant

une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale

serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence

Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable

comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la

avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut

eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que

cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir

lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal

Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de

leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable

soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ

magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)

sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et

nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)

T7346235051

86E455633525α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

23

0

B (9)

Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation

geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de

lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique

transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de

Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie

strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil

La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant

lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de

lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse

dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer

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Andreacute Michaud Page 27

18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse

Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer

lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa

version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire

lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de

linduction deacutenergie dans un eacutelectron

Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que

leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en

anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette

eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle

constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment

cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique

classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave

laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite

Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est

aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est

deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte

aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique

correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un

corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute

Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car

nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave

des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle

lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]

Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de

leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de

leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante

e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui

induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules

chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui

les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par

rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de

leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule

Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme

des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment

reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique

en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement

mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute

expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui

fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute

deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute

preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse

limite de la lumiegravere

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Page 28 Andreacute Michaud

En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques

pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont

typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la

Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement

fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons

maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales

19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11

Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour

dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons

sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer

laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui

sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ

magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte

Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace

ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses

approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que

mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs

trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de

vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000

kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par

fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne

Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le

lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees

qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant

anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des

phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde

gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute

astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces

trajectoires est incapable den rendre compte

Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme

solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement

de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus

faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr

vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre

expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))

Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles

de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie

systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles

eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre

deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]

[37] [38]

Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande

publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne

que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 29

astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des

anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998

telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation

systeacutematique dorigine inconnue

Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec

les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses

typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal

deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces

deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie

transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette

derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les

paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation

Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de

Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement

j5E102658722731v-c

cmcΔK

22

2

(10)

Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour

Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de

kg78228E952c

ΔKΔm

2m (11)

Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour

expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de

ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la

proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse

au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent

initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de

masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele

et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la

Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du

temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne

tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont

faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des

masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin

20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui

est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme

densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne

neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du

quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron

Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le

champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en

mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 30 Andreacute Michaud

repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en

utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de

structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette

eacutenergie

T1E1382890002212-5E242631021α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

2

C

3

0

e B (12)

Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide

quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui

pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la

densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par

exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne

comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales

Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien

connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse

relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes

deacutegales intensiteacutes

B

Ev (13)

La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en

additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de

la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)

pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de

Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne

invariant Be de la masse au repos de leacutelectron

T6E13828900024

λλ

λλ

α

ceπμ

λα

ceπμ

λα

ceπμ2

C

2

2

C

2

3

0

23

0

2

C

3

0e

BBB (14)

Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun

champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation

geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave

une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut

analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui

geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou

deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les

structures atomiques

λλdr

λE

αε2

e

α

2πe

ε4π

10

2πα

e

ε4π

1

o

22

o a 2

2

o0

(15)

Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout

quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la

constante de Planck

αλε2

ehE

o

2

f (16)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 31

Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de

forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration

fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que

linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force

classiques

Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc

eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde

longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser

avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)

NC673727E130467λαε

πe23

0

E (17)

Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au

repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron

Compton comme suit

NC4E10602933175λαε

πe2

C

3

0

e E (18)

Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la

vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple

addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique

ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE

des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique

qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ

monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute

agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave

la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =

4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron

(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante

NCE208133411211

λ2λλλ

λ4λλλλ

αε

πe

C

2

C

2

CC

2

C

2

3

0

E (19)

Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le

champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas

contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local

ms56621876476E13828900024

1E20181334112v

B

E (20)

Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE

avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement

qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos

invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement

lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la

vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle

leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la

Reacutefeacuterence [32]

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Page 32 Andreacute Michaud

21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos

Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de

Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse

au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son

increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie

adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique

interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans

les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute

graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la

composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee

transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement

doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son

champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique

Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse

de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent

les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie

eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour

conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]

Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere

permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que

formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon

eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute

selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent

mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]

t)(ωsin

2

iL t)(ωcos

2C

e

hcE 2

2

λλ2

λ

2

(21)

ougrave

λ

2

(max)2C

eE E

et 2

iLE

2

λλ(max) B

(22)

et

αλ2εC 0λ 8π

αλμL

2

αλ

ec2πiλ (23)

La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des

champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement

aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees

avec les Eacutequations (22)

23

0 λαε

πeE 23

0

λα

πecμB (24)

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Andreacute Michaud Page 33

et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute

maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement

2

35

λαV (25)

ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence

[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui

confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie

porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit

la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee

transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie

transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum

Vt)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

hcE 2

0

22

2

0

BE (26)

22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives

Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933

[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-

produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se

transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon

dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de

leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute

speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme

de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale

associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait

seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]

Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue

entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave

leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges

opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste

et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet

de construire leacutequation de la maniegravere suivante

2

0

2

m

1o

2

1

λ

1cmcΔmΔK2

λ

1

αε2

eE

C1

(27)

dans laquelle

2o

22

1

αε2

ecΔmΔK ougrave

C12 2λ

1

λ

1

2

1

λ

1 (28)

Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de

leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en

cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie

reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos

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Page 34 Andreacute Michaud

invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre

les deux particules maintenant seacutepareacutees

Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford

(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons

eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau

impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires

eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave

proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur

lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]

Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces

vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel

des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel

plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une

meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou

plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en

leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des

masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit

leacutequation suivante

V

t)(ωsin K2μ

t)(ωcos)jJjJ(4

ε2

iI2λ

hciIE

2

Z0

2

2

Y

2

0

X

B

E

(29)

se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure

eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

me0

KB

jIjI

iJE

0

ν

(30)

et

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

mp

ν

0

KB

jIjI

iJE

0 (31)

dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique

maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute

lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre

constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une

oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation

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Andreacute Michaud Page 35

entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-

porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]

3

2

3

C

5

m m477E1497393262π

λαV et

2

C

3

0 λαε

eπν (32)

Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere

fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse

de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope

stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la

Reacutefeacuterence [20]

Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus

leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant

invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC

du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les

deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et

deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la

vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec

lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]

C

CC

λ2λ

λ4λλcv

ou

K2E

K4EKcv

2

(33)

Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur

donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au

repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du

photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse

de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de

Broglie [32] [3]

Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon

car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple

en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume

isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie

nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron

qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque

j148E4093552062π

λα

μ2λα

ceπμV

2μ 2

3

C

5

0

2

2

C

3

0m

0

2

B (34)

23 Construction de particules complexes stables

Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts

de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont

typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la

communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en

raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement

eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus

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Page 36 Andreacute Michaud

petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue

tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]

Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont

aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que

leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre

eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps

ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction

stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des

particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par

rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-

destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)

Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions

mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-

dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence

infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux

eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement

frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions

frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes

hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)

Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible

Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors

dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons

eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules

complexes comme le proton et le neutron

Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des

eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave

ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee

(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves

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Andreacute Michaud Page 37

avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure

5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest

quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale

pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours

(Figures 5-b)

Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et

collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-

ponctuel

Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction

frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les

protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de

positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique

permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel

quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable

dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre

observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]

Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la

conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron

[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites

dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites

planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace

soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement

eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon

Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce

volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand

acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie

dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al

[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants

chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations

des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge

eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une

charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons

ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-

composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)

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Page 38 Andreacute Michaud

Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives

De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et

expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants

chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-

composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants

chargeacutes positivement [22] [25]

Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement

confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au

fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-

ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et

positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent

ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et

confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des

nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges

seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des

positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la

nature dispose pour construire les nucleacuteons

Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants

nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge

fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent

naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils

eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des

structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]

La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes

preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons

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Andreacute Michaud Page 39

correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence

de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement

estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui

peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie

agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]

soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la

seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee

pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]

2

0

eudicαn

3e

a

km

(n=1 2 3) (35)

ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la

lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale

eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de

Coulomb

8E9898755178ε4π

1k

o

(36)

En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages

expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer

cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc

2 pour la

sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux

distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe

coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de

lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]

Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la

mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la

masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient

effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour

de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces

deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance

Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie

matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee

confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et

eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent

respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas

encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et

eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des

interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures

Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres

particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par

collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees

up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee

par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de

reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant

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Page 40 Andreacute Michaud

les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach

et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee

Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave

laide de lEacutequation (35)

Masse au repos Eacutenergie Charge Ref

Eacutelectron ou positon en

mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV

plusmn1=

1602176462E-19 C [21]

Positon

eacutelectromagneacutetiquement

contraint

1 dans le neutron

2 dans le proton

2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=

1068117641E-19 C [22]

Eacutelectron

Eacutelectromagneacutetiquement

contraint

2 dans le neutron

1 dans le proton

8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=

5340588207E-20 C [22]

La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur

concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un

physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son

libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par

Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu

compte

Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The

theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far

beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks

themselves were never discovered in any scattering experiment

Traduction

Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de

succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent

quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-

mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision

Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute

produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et

quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u

(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en

parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par

Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron

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Andreacute Michaud Page 41

Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement

nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes

quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des

Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte

eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie

qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur

est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet

pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes

eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et

positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires

Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des

eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure

collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette

somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La

diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont

lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de

lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe

qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont

deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints

eacutelectromagneacutetiquement

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

U

Y

2

0

U

2

m

2

U

U

B

E

ν (37)

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

D

Y

2

0

D

2

m

2

DD

B

E

ν (38)

Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses

au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement

eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]

Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en

relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici

pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite

par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en

translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de

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Page 42 Andreacute Michaud

reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de

translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport

une telle orbite circulaire

24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance

La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron

dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le

premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave

une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr

mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite

fermeacutee autour du proton

Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait

cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de

leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de

stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave

veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure

Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur

de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition

nhTβ-1

β

2

22

o r

cm (n eacutetant un nombre entier) (39)

Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de

reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction

donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte

cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de

nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil

identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature

eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut

expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait

rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique

deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses

eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion

dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules

eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte

cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories

dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique

Quantique sous sa forme traditionnelle

De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de

Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave

cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec

lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa

disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui

supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique

autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute

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Andreacute Michaud Page 43

perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie

eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que

leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton

En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton

nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee

autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie

concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie

induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement

Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique

strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur

temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques

eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des

orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales

de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la

freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie

du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de

reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie

sj34E662606876λvmh BB0 (40)

ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite

de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont

le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne

entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit

leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel

que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de

fB=6579683921E15 Hz

Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette

freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier

la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir

leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb

Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble

correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler

toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie

induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute

leacutenergie du quantum soit accumuleacutee

j 18-8E435974380rε4π

ehE

Bo

2

BB f (41)

dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))

Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la

longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique

la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel

quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]

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Page 44 Andreacute Michaud

αλε2

ehνE

o

2

(42)

ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale

dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue

suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec

lEacutequation (41) est donc

m82E455633525E

hcλ

B

(43)

ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave

obtenue avec lEacutequation (41) standard

j188E435974380αλε2

ehνE

o

2

B (44)

Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer

leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition

conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats

deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et

nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de

cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet

aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est

fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires

chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout

mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif

Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs

impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de

leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant

dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera

analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes

neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la

quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction

coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont

captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre

cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique

Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est

constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie

dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir

dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 45

par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la

valeur obtenue sera constant

Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de

lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee

de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie

eacutelectromagneacutetique (λ)

mj25E986445441α2ε

eEλH

0

2

(45)

Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur

temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la

constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante

H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui

reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que

historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee

deacutequations eacutelectromagneacutetiques

sj34E662606876c

Hh (46)

Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut

maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit

la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la

communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de

constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement

confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics

[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)

[40]

sj34E662606876αc2ε

eh

0

2

(47)

252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique

Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-

dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais

lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante

dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)

de latome dhydrogegravene et de son noyau

La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence

[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux

maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage

dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB

au carreacute

2

o

B

22

BB mj386E122085259ε4π

rerEK

(48)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 46 Andreacute Michaud

Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene

verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux

particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie

adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau

1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le

positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et

leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave

la Reacutefeacuterence [22]

26 Gravitation

En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires

induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules

chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de

maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une

eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son

existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le

permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux

Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee

leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors

quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le

centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les

accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette

pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une

eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle

tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne

peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de

momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car

leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de

masse de la Terre [4] [16]

En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune

mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum

vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules

chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et

est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum

pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque

lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une

pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne

agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la

masse de la Terre [33]

Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de

reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que

de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat

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Andreacute Michaud Page 47

de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir

de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au

rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables

permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps

ceacuteleste autour de lastre central

Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance

moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute

freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr

le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps

ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle

oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle

chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps

ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes

Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central

peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites

qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes

par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de

reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes

de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus

doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans

lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont

reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes

Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est

aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome

dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas

cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule

eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la

stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital

Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence

en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction

stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les

cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)

Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force

gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction

coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction

stationnaire

Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les

positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques

afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble

eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave

appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules

chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image

mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces

particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee

quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire

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Page 48 Andreacute Michaud

de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du

concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de

particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le

Tableau 2

Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])

Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques

Nom Porteacutee

Force

laquo traditionnelle raquo

associeacutee

Attracteur

primaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave

lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron

Forte

Attracteur

secondaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints

appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons

dans un noyau

Faible

Attracteur

tertiaire

Entre chaque eacutelectron captif et chaque

positon eacutelectromagneacutetiquement contraint

dun noyau et entre chaque eacutelectron et

chaque positon eacutelectromagneacutetiquement

contraint des noyaux des autres atomes de

toute accumulation de matiegravere

Eacutelectromagneacutetique

Attracteur

temporaire

local

Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun

photon Eacutelectromagneacutetique

Attracteur temporaire

eacuteloigneacute

Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du

reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique

Attracteur quaternaire

Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du

reste de lrsquounivers

Graviteacute

Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre

plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance

daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance

caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la

structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte

Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux

datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique

aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les

atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere

correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier

niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute

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Andreacute Michaud Page 49

libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau

astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle

Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction

coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique

transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence

quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4

forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui

savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute

dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente

dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel

Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere

permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le

centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme

dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme

dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des

atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble

des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la

direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant

en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses

Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses

macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la

profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales

eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave

la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]

Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la

Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses

macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes

une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les

eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus

eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons

retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors

un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme

dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine

section

Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme

celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et

quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des

orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute

qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne

induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des

noyaux

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Page 50 Andreacute Michaud

Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette

pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission

de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les

eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave

mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee

denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante

dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les

eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec

linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage

de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le

deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant

agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes

quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en

chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]

Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les

masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent

les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui

diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux

atomiques

Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction

coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une

augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe

central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique

variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des

nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]

Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que

la profondeur augmente dans les masses macroscopiques

Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire

ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne

peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules

eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances

internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x

de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces

petites masses et celles de la Terre

Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes

constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction

proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est

laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons

captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des

photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale

meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant

agrave leurs orbitales daction stationnaire

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Andreacute Michaud Page 51

Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation

daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la

freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience

de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps

voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps

avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion

tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du

champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee

En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons

de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la

mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement

axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation

dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les

sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs

trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace

profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur

lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les

masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en

conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel

Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de

Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres

qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne

[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient

agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur

oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ

magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques

28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees

expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en

perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de

la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant

la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit

une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les

anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de

piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]

Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un

proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action

plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a

lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes

quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees

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Page 52 Andreacute Michaud

Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos

par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de

2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-

porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]

j18-2E2179784831γcmΔKE 2

oK (49)

Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)

qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de

Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son

mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction

stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie

totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale

deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse

au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus

de stabilisation

j141875401148cmcmΔKE 2

0

2

me E (50)

Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune

quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie

j10-7E150327730cmE 2

pp (51)

Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr

0548911836

1

E

E

p

e (52)

On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de

grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la

composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par

rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele

reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en

perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de

leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus

grande

4968964481

1

E

E

p

K (53)

Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par

linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du

momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le

processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre

inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere

Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette

eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct

Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur

agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera

communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que

leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera

eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et

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Andreacute Michaud Page 53

mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de

freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere

La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de

Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin

Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas

vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de

lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-

2000 [18]

Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et

son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors

de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le

mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest

pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du

photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa

configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une

inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve

photoeacutelectrique de Einstein

La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum

ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur

lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de

son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant

son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son

volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)

Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie

eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum

unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum

complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)

La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe

dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de

jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule

transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme

dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du

photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y

pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut

ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8

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Page 54 Andreacute Michaud

La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant

inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux

champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du

proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence

darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J

vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la

quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement

qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du

photon porteur

T4692470103λα

ceπμ22

23

0 B (54)

ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout

deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs

magneacutetiques

En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de

leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome

dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable

coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la

meacutecanique actuelle deacutemission de photons

Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que

leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant

vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste

eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie

vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une

flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication

suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et

le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas

par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron

agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]

De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre

faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et

un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement

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Andreacute Michaud Page 55

compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite

lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis

artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion

initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la

rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en

permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence

Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation

de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron

dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute

eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence

[33]

Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette

distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque

la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de

remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement

induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la

direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression

stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente

eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie

que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant

momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV

temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon

eacutelectromagneacutetique seacutepareacute

La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra

leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ

magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le

montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence

dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe

devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]

Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y

eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se

deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges

opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la

valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le

proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de

leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la

part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue

par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne

Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui

fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit

de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que

leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave

saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe

de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous

forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des

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Page 56 Andreacute Michaud

impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau

macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d

La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton

comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie

ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique

incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La

reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience

que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que

linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de

leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis

et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce

processus de freinage si bref

Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de

lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers

lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum

qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du

reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-

quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par

deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet

leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller

transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi

loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se

deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]

Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la

seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet

momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la

vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre

compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du

photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave

lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale

des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de

la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute

totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement

invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton [4]

29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques

Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la

massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-

eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee

par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant

adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK

nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui

interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais

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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du

proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale

dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que

deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum

ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression

momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs

eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie

transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de

2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de

Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du

systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur

vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut

maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-

porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

le permettra [52]

Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en

conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee

plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos

eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou

agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme

eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par

accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18

j

Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et

documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent

document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui

permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons

eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de

leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article

30 Conclusion

Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie

eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de

concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme

si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait

dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne

La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de

Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la

deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin

complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit

une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus

deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit

preacuteceacutedemment

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Page 58 Andreacute Michaud

Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une

conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies

anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux

expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les

eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un

ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par

Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz

Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations

eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees

provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire

Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique

quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident

geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant

donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision

cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants

magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013

pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]

Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des

eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]

Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet

dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques

denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave

lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du

comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

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Andreacute Michaud Page 63

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Autres articles dans le mecircme projet

Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique

Page 2: L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

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Page 2 Andreacute Michaud

1 Introduction

En 1845 Michael Faraday observa quen placcedilant une plaque de verre entre les pocircles dun

eacutelectroaimant le champ magneacutetique faisait tourner le plan de polarisation de la lumiegravere qui

traversait la plaque Il communiqua aussitocirct agrave son ami James Clerk Maxwell cette deacutecouverte

majeure qui deacutemontrait pour la premiegravere fois ce lien direct entre le champ magneacutetique et la

lumiegravere [1]

Cest donc cette expeacuterience de Faraday qui est agrave lorigine de la theacuteorie eacutelectromagneacutetique

inteacutegreacutee ensuite eacutelaboreacutee par Maxwell car ayant deacutejagrave observeacute que les deacuteriveacutees secondes des

eacutequations preacuteceacutedemment eacutetablies pour champ eacutelectrique et champ magneacutetique reacuteveacutelaient que

leacutenergie eacutelectrique et leacutenergie magneacutetique eacutetaient seacutepareacutement associeacutees agrave la vitesse de la lumiegravere

[2] Maxwell en tira la conclusion que la lumiegravere devait ecirctre de nature eacutelectromagneacutetique et fit

ensuite la deacutecouverte fondamentale que leacutenergie eacutelectromagneacutetique impliquait une relation

triplement orthogonale entre ses trois aspects fondamentaux soit ses aspects eacutelectrique et

magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun agrave lautre et sinduisant mutuellement

simultaneacutement en un mouvement oscillant cyclique stationnaire transversal par rapport agrave la

direction de mouvement de cette eacutenergie dans lespace (voir Figure 1) soit une relation

triplement orthogonale correspondant au produit vectoriel familier des champs E et B (Voir

Figure 3-a) reacutesultant en un troisiegraveme vecteur de mouvement perpendiculaire par structure au

deux premiers [3] [4]

Figure 1 Repreacutesentation bipolaire deacutephaseacutee de 180

o des champs E et B de linterpreacutetation de

Maxwell

Le fait suivant en surprendra sans doute plus dun mais cette solution deacutecouverte par

Maxwell qui est aussi bien connu pour avoir deacuteriveacute la vitesse de la lumiegravere de la relation quil

eacutetablit entre les deux constantes fondamentales du vide εo y μo [2] nest pas la seule solution

fonctionnelle qui a eacuteteacute deacutecouverte pour associer les champs E et B agrave la vitesse de la lumiegravere

En reacutesumeacute le matheacutematicien Ludvig Lorenz a eacutetabli agrave la mecircme eacutepoque indeacutependamment de

Maxwell que si les champs E et B de leacutenergie eacutelectromagneacutetique eacutetaient matheacutematiquement

repreacutesenteacutes comme atteignent tous les deux leur maximum dintensiteacute de faccedilon synchrone en

mecircme temps (voir Figure 2) cela permet aussi dexpliquer la vitesse de la lumiegravere dans le vide

dondes eacutelectromagneacutetiques se propageant sous forme dune impulsion dans un eacutether sous-jacent

aussi bien que si ils eacutetaient deacutephaseacutes de 180o comme dans la solution de Maxwell

Mais la jauge de Lorenz est un concept geacuteneacuteralisateur qui combine les aspects E et B de

leacutenergie fondamentale en un champ eacutelectromagneacutetique unique qui deacutetourne lattention

immeacutediate des diffeacuterentes orientations vectorielles des deux aspects en particulier le fait que le

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dipocircle deacutenergie repreacutesenteacute par E est orienteacutee et distribueacutee dans lespace tandis que le dipocircle

deacutenergie repreacutesenteacute par B est orienteacutee et distribueacutee temporellement pendant que ces deux aspects

sinduisent cycliquement lune lautre en orientation transversale par rapport agrave la direction du

mouvement vectoriel de leacutenergie oscillante dans un vide

Figure 2 Repreacutesentation standard monopolaire des champs E et B atteignant

simultaneacutement leur maximum dintensiteacute en phase de linterpreacutetation de Lorenz

La repreacutesentation de la Figure 2 que lon retrouve dans tous les ouvrages sur

leacutelectromagneacutetisme tout en eacutetant en accord avec la theacuteorie ondulatoire de Maxwell deacutecrivant

leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme eacutetant une impulsion se propageant dans un aether sous-

jacent et qui est aussi en accord avec ses eacutequations est toutefois geacuteneacuteralement preacutesumeacutee de

maniegravere erroneacutee comme eacutetant aussi la conclusion de Maxwell

En reacutealiteacute Maxwell eacutetait en deacutesaccord avec cette approche car le concept de jauge

deacuteveloppeacute par Lorenz avait pour conseacutequence de traiter les deux champs E et B comme eacutetant un

champ eacutelectromagneacutetique unique au niveau geacuteneacuteral sans structure interne apparente de prime

abord ce qui fait facilement perdre de vue que ces deux champs sont seacutepareacutes et sont deacutegale

importance dans la theacuteorie de Maxwell avec des caracteacuteristiques diffeacuterentes et irreacuteconciliables

en plus de sinduire mutuellement contrairement agrave la solution de Lorenz tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [3]

Le fait que cette deuxiegraveme solution fut deacuteveloppeacutee par Lorenz est cependant peu connu dans

la communauteacute scientifique car elle est associeacutee seulement agrave la jauge dite jauge de Lorenz

deacutefinie par lui et ceci seulement dans les ouvrages speacutecialiseacutes de haut niveau sur

leacutelectromagneacutetisme [5] car elle se precircte plus facilement que la repreacutesentation de Maxwell aux

divers processus de geacuteneacuteralisation matheacutematiques Mais la veacuteritable origine de cette solution

repreacutesenteacutee par la Figure 2 nest pas clairement expliqueacutee dans les ouvrages dintroduction ou de

reacutefeacuterence geacuteneacuterale en physique [6] [7]

Par conseacutequent agrave moins de se speacutecialiser en eacutelectromagneacutetisme la majoriteacute des physiciens ne

sont donc pas directement informeacutes que ce nest pas Maxwell qui a conccedilu cette deuxiegraveme

approche et que leacutelectrodynamique classique ainsi que la theacuteorie des champs quantiques (QFT)

dont leacutelectrodynamique quantique (QED) est issue [8] [9] mais quelles sont plutocirct fondeacutees sur

linterpreacutetation de Lorenz car ce fait nest nulle part clairement mis en eacutevidence dans les

ouvrages de reacutefeacuterence sur leacutelectrodynamique et sur la QFT qui furent bien sucircr deacuteveloppeacutes par

des speacutecialistes en eacutelectromagneacutetisme pour qui ce fait eacutetait une eacutevidence Contrairement aux faits

eacutetablis il en reacutesulte donc une impression geacuteneacuterale dans la communauteacute que Maxwell est le

veacuteritable auteur de cette deuxiegraveme solution et que leacutelectrodynamique et la QFT sont fondeacutee

strictement sur son interpreacutetation

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La nuance est importante cependant car lhypothegravese de de Broglie agrave propos du photon localiseacute

agrave double particule qui eacutemerge directement de linterpreacutetation de Maxwell se retrouve ainsi en

porte-agrave-faux par rapport agrave leacutelectrodynamique classique et la QED parce que lapproche de

Lorenz occulte le fait que les champs E et B sont seacutepareacutement dimportance eacutegale Par exemple le

rocircle preacutepondeacuterant donneacute aux charges eacutelectriques dans la QED semble ne laisser aucune fonction

preacutecise agrave laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dans une possible meacutecanique

dinduction mutuelle qui impliquerait les deux champs seacutepareacutes contrairement agrave linterpreacutetation de

Maxwell Mecircme le fait que la QED telle que formuleacutee ne peut expliquer linduction mutuelle

des deux champs dans les systegravemes LRC ne semble pas attirer lattention sur cette question

2 Mise en perspective en fonction des ordres de grandeur relatifs

Pour bien mettre en perspective la possibiliteacute de deacutecrire leacutenergie qui constitue la substance

mecircme dont sont constitueacutees toutes les particules eacuteleacutementaires localiseacutees telles que les photons

eacutelectromagneacutetiques les eacutelectrons et les positons au niveau subatomique dune maniegravere qui ne

serait pas en conflit avec la theacuteorie bien eacutetablie de londe eacutelectromagneacutetique continue de

Maxwell qui est appliqueacutee avec tant de succegraves agrave notre niveau macroscopique il faut en premier

lieu prendre conscience que tout les objets et processus que nous pouvons deacutetecter et mesurer

dans la reacutealiteacute objective peuvent ecirctre classeacutes comme relevant de lun des quatre ordres de

magnitude suivants Par ordre deacutecroissant damplitude ces divers ordres de grandeur peuvent ecirctre

deacutefinis de maniegravere tregraves geacuteneacuterale comme suit

1- Niveau astronomique Ordre de grandeur deacutepassant en dimensions le cadre

strict de la seule planegravete Terre

2- Niveau macroscopique Ordre de grandeur dans lequel tout objet ou processus

peut ecirctre directement mesureacute agrave la surface de la Terre et dans son environnement

3- Niveau sous-microscopique ou atomique Ordre de grandeur des moleacutecules et

atomes

4- Niveau subatomique Ordre de grandeur des particules eacuteleacutementaires dont les

atomes sont constitueacutes ainsi que de leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui constitue

leur substance qui supporte leur mouvement deacutetermine leur inertie et qui peut

aussi circuler librement sous forme quantifieacutee agrave la vitesse de la lumiegravere lorsque

non directement associeacutee agrave lune de ces particules eacuteleacutementaires

Les 3 premiers niveaux sont geacuteneacuteralement familiers pour tous mais le niveau subatomique ne

lest pas Nous pouvons directement percevoir et mesurer les objets et processus de notre

environnement au niveau macroscopique et nous percevons et mesurons indirectement avec de

plus en plus de preacutecision les objets et processus appartenant autres ordres de grandeurs agrave mesure

que nos instruments se perfectionnent

Il peut sembler paradoxal drsquoaffirmer si fermement que lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique peut ecirctre

directement deacutefinie comme eacutetant quantifieacutee sous forme de photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

au niveau subatomique conformeacutement aux eacutequations de Maxwell tout en demeurant en parfaite

harmonie avec sa theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques continues se propageant dans un medium

sous-jacent qui a eu tant de succegraves telle quappliqueacutee agrave notre niveau macroscopique soit une

question qui fait deacutebat depuis le deacutebut du 20e siegravecle

Il faut mettre en perspective ici que nous ne percevons par ailleurs aucun paradoxe dans le fait

que nous observons directement que limage dun eacutecran de teacuteleacutevision nous apparaicirct continue de

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maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien

conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi

directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee

physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement

seacutepareacutes

De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave

traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en

sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules

localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau

subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-

mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees

eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne

pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de

leacutecran de teacuteleacutevision

La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un

fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne

pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme

nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous

comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau

macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees

glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants

instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces

moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique

Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau

subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision

dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre

de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre

de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute

de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de

leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos

microscopes eacutelectroniques

Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de

grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la

perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la

diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les

moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment

petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre

niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie

eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus

grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave

sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre

niveau macroscopique

Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de

grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique

consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune

moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la

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distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi

agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome

dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons

eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au

mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres

particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave

linteacuterieur de la structure du proton et du neutron

Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau

subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au

repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument

suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique

contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement

possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la

granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une

granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est

inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des

particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique

sont les suivants

1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere

quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir

Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])

2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons

possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience

photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la

moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de

la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses

solaires [3] [11]

3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons

eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-

positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se

reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de

nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse

invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance

eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve

expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le

seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons

eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans

quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]

4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et

une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C

5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des

particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 7

de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des

systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])

Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement

nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par

ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave

partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement

des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes

soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par

les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux

en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des

changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau

atomique

Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de

leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee

lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules

infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets

qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants

microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les

cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long

de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous

prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre

[14]

Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour

que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune

intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des

atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi

que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui

peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes

seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium

Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie

eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la

traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis

pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau

subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)

mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations

eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une

onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une

harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier

chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation

tireacutee de ses Lectures on Physics [15]

There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are

not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen

electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 8 Andreacute Michaud

Traduction

Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne

sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement

associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique

Quantique ces difficulteacutes demeurent

Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent

matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure

granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue

uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie

des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier

deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne

de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la

structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des

neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement

eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique

transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute

matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos

Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure

eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de

Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau

subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de

reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau

subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique

3 Deux perceacutees majeures reacutecentes

Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure

interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique

qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne

semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de

Minkowski [17]

la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie

deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave

limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans

le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-

temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de

ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur

aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p

273)

Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure

eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec

les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires

stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau

subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de

Maxwell

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Andreacute Michaud Page 9

Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective

lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales

recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute

expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de

la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale

4 La premiegravere perceacutee majeure

Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de

lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects

fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau

subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun

agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation

stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de

cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est

perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par

ces deux champs (voir Figure 1)

La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant

de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut

formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de

Saint-Peacutetersbourg [18]

Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la

Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave

augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k

(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D

pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme

eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux

autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun

Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale

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Page 10 Andreacute Michaud

Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au

centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la

substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des

vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale

stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux

espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-

quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-

transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui

reacuteside dans lespace-X

Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique

trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles

de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3

parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre

eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire

matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant

chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3

espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes

orthogonaux internes reacutesultants

5 La deuxiegraveme perceacutee majeure

Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul

Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre

laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui

permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui

augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ

magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de

leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article

publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de

Kazan [20]

Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees

constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne

dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une

eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de

maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee

pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]

ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin

Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes

les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules

complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et

autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules

eacuteleacutementaires [24]

Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des

atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons

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Andreacute Michaud Page 11

eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions

destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que

sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des

seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou

lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees

eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]

Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de

larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement

sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa

deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement

deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre

directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre

article reacutecemment publieacute [4]

Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese

personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la

premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une

deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir

de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave

leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun

doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique

geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les

eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi

du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser

directement dans son article original

LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees

auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie

de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee

autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique

transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de

leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement

mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable

avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise

en eacutevidence plus loin

Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable

agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation

relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le

champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est

constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce

fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de

mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective

par Marmet au deacutebut de son article [19]

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Page 12 Andreacute Michaud

Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis

Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui

seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie

Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du

champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle

geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant

omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute

de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans

lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme

charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept

ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter

sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de

Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et

matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee

exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement

qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration

perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation

qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui

soutient son mouvement dans lespace

Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme

rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de

laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut

donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons

dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart

Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron

en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste

ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son

champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette

derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable

avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc

2 - moc

2) car il est physiquement

et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux

directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une

de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de

laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ

magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee

Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave

mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune

seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute

deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie

du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux

quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee

que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors

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Andreacute Michaud Page 13

la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la

veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov

22 + (γmoc

2 -

moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique

quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de

Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la

distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement

et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees

les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement

Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie

doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ

magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme

geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de

cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour

obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en

mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin

6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte

Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a

initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information

qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait

consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale

deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord

ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-

quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]

associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse

transversale mesurable

7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein

En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil

reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes

lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant

cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique

fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une

traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la

diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb

ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons

comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par

linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre

deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait

pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement

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Page 14 Andreacute Michaud

diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten

(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du

deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de

lintroduction de la RR faisait rage

Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le

momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie

cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans

les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont

pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique

fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement

en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont

toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et

certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de

1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz

Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre

vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de

consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions

traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des

connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction

En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par

lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave

eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force

de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y

est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en

ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie

pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte

lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou

alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la

distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des

charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de

leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant

eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules

chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique

qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique

classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme

des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement

par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la

communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui

Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir

de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier

du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet

maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue

en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=

e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance

entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e

24πεod

2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique

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Andreacute Michaud Page 15

adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse

simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil

semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui

entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce

moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir

Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et

qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment

Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la

RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et

aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la

Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de

lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement

causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de

Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules

eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron

selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse

classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de

particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective

plus loin

Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de

Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept

daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en

RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum

augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration

inertielle

8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le

demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale

mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee

du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement

ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant

dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second

point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la

vitesse

Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute

Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute

Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par

leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction

coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne

laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement

Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-

quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de

Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune

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Page 16 Andreacute Michaud

harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse

ecirctre reacutealiseacutee

9 Les Principes axiomatiques absolus

Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les

concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient

permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu

ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee

pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de

points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la

nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir

des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences

consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le

Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction

stationnaire et de moindre action etc

La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de

conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas

activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme

dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien

compris lorsquil fut initialement formuleacute

En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances

permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous

pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant

quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat

apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement

dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction

stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]

Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des

trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]

[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel

eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de

nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les

masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial

qui eacutetait le leur avant leur lancement

En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune

hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des

eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur

astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule

maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de

ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant

une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera

examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit

les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement

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Andreacute Michaud Page 17

Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un

cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere

deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement

associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif

et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour

tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle

sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ

eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide

Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance

en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee

au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de

Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un

momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique

et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort

consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un

mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule

eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et

quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de

mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement

seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une

eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une

forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de

force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur

pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression

interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de

lexpression trompeuse force de Coulomb

Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que

quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la

physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant

suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes

axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme

dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui

savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de

linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de

Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction

adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant

correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une

interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement

10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus

Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables

observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont

constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la

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Page 18 Andreacute Michaud

confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et

processus

Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au

moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon

classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de

nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la

masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]

Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute

magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-

composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune

rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction

[39]

Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces

termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus

auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels

comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple

11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule

eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement

en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres

permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du

quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du

champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui

est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons

eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie

eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau

macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell

12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)

En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave

confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique

transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un

fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]

Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences

effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun

eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire

demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un

seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de

Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable

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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation

de son champ magneacutetique transversal

Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit

directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est

aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par

analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au

repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement

2

M

r

1

eμ e

e

2

0

(M-24)

Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron

ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en

correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi

que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation

(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)

Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)

dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique

rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant

perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article

[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute

graphiquement comme se deacuteplaccedilant

2

0

r

ud sd

Iμd

B (M-1)

Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire

invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q

de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere

dt

)d(Ne

dt

dQI

-

(M-2)

Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure

constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv

puisque dt

dxv donc

v

dxdt (M-3)

En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par

sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint

dx

)vd(Ne

dt

d(Ne)I

-

(M-4)

Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart

dx)θsin(r4π

Iμd

2

0B (M-5)

En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-

4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte

sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition

puisque le courant demeure constant

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Page 20 Andreacute Michaud

)(Ned)θsin(r4π

vμdx)θsin(

dx

)vd(Ne

r4π

μdx)θsin(

r4π

Iμd -

2

0

-

2

0

2

0 B (M-5a)

En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant

maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus

decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant

que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute

)(Ned)θsin(r4π

vμd -

2

0B (M-6)

13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur

Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence

sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte

dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce

qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant

Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π

veμNd -

2

-

0iB (M-7)

Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant

les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer

pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est

absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous

allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de

sa deacuterivation

Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)

Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux

variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure

ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la

distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et

spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre

conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation

cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ

magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation

correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)

Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)

puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e

-) ce qui

constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de

lrsquoEacutequation (M-7)

)(ed)θsin(r4π

vμd -

2

0iB (M-6a)

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Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer

conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de

distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette

distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc

maintenant

)d(er4π

vμd -

2

0iB (M-6b)

Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le

calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux

occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons

agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)

-

2

0 er4π

vμiB (M-6c)

qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation

conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)

Eacutequation (M-7) correcte 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ

magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique

stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du

champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron

centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute

par lEacutequation (M-7)

Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie

trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le

flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement

propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement

ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue

lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant

physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron

Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment

stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil

meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des

eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant

donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute

les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de

saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation

triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de

leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule

eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques

individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction

transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique

macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur

dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 22 Andreacute Michaud

cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut

rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul

eacutelectron

Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins

magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui

fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir

mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique

macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la

Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables

macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme

processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie

des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes

Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer

lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite

agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique

massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa

masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite

dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne

La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par

leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au

deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]

magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)

15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet

La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)

concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des

particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz

16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz

Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de

vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2

semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale

eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal

qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons

plus loin que ce nest pas le cas

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour

repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron

2

2

e

2

2

e

2

0cv

c

v

2

m

c

v

r8π

eμm (1)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 23

Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ

magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio

v2c

2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient

neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de

la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce

qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos

invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel

que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par

leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure

eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut

preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie

(Figure 3)

2

M

r

1

c

v

r

1

eμM e

e

2

0

2

2

e

2

00vuee_magneacutetiq

(M-24)

LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du

champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie

croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui

sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec

lEacutequation (M-24)

2

0cv

r4π

veμ B (2)

Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des

repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction

du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une

vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du

momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-

18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la

Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome

drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement

correct de masse relativiste

kg355E242533771

cr8π

1218764756eμ

cr8π

veμm

2

e

22

0

2

e

22

0m (3)

A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il

faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme

vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de

lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme

valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique

de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron

Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition

eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste

un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut

quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c

2 c eacutetant invariant et v

pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute

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Page 24 Andreacute Michaud

preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique

transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre

vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement

proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron

(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite

de 409355207E-14 j)

Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute

invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique

intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique

de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer

leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de

Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente

toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-

magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de

leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute

totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la

masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de

masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2

Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette

somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur

gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de

calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)

Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec

leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit

leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de

leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus

leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par

structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc

2

K2E

KK4Ecv

2

(4)

Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des

eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes

de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees

C

2

CC

λ2λ

λλ4λcv

(5)

A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis

leacutelaboration de ces eacutequations

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Andreacute Michaud Page 25

17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)

Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le

rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de

lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ

magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la

deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par

lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee

transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB

mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette

augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique

constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron

409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement

eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation

entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec

leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron

Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute

deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de

Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration

spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2

=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est

obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure

fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]

m155E2817940282π

αλr Ce (6)

Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)

devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de

lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde

eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c

mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de

de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est

(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique

Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave

linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans

lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]

m11E29177208352π

λ

λr B

Br (7)

Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude

transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en

multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y

a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave

lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin

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Page 26 Andreacute Michaud

atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet

maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient

mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal

invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique

correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec

lEacutequation (2)

T0405235047

113E529177208α4π

1218764756eμ

rα4π

veμ2

0

2

B

0

B (8)

Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee

que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant

une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale

serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence

Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable

comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la

avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut

eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que

cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir

lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal

Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de

leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable

soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ

magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)

sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et

nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)

T7346235051

86E455633525α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

23

0

B (9)

Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation

geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de

lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique

transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de

Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie

strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil

La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant

lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de

lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse

dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer

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Andreacute Michaud Page 27

18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse

Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer

lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa

version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire

lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de

linduction deacutenergie dans un eacutelectron

Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que

leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en

anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette

eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle

constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment

cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique

classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave

laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite

Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est

aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est

deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte

aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique

correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un

corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute

Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car

nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave

des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle

lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]

Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de

leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de

leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante

e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui

induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules

chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui

les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par

rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de

leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule

Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme

des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment

reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique

en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement

mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute

expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui

fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute

deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute

preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse

limite de la lumiegravere

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Page 28 Andreacute Michaud

En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques

pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont

typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la

Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement

fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons

maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales

19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11

Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour

dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons

sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer

laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui

sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ

magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte

Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace

ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses

approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que

mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs

trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de

vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000

kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par

fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne

Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le

lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees

qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant

anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des

phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde

gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute

astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces

trajectoires est incapable den rendre compte

Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme

solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement

de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus

faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr

vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre

expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))

Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles

de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie

systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles

eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre

deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]

[37] [38]

Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande

publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne

que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 29

astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des

anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998

telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation

systeacutematique dorigine inconnue

Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec

les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses

typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal

deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces

deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie

transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette

derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les

paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation

Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de

Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement

j5E102658722731v-c

cmcΔK

22

2

(10)

Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour

Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de

kg78228E952c

ΔKΔm

2m (11)

Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour

expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de

ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la

proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse

au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent

initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de

masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele

et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la

Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du

temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne

tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont

faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des

masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin

20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui

est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme

densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne

neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du

quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron

Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le

champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en

mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 30 Andreacute Michaud

repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en

utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de

structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette

eacutenergie

T1E1382890002212-5E242631021α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

2

C

3

0

e B (12)

Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide

quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui

pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la

densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par

exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne

comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales

Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien

connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse

relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes

deacutegales intensiteacutes

B

Ev (13)

La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en

additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de

la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)

pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de

Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne

invariant Be de la masse au repos de leacutelectron

T6E13828900024

λλ

λλ

α

ceπμ

λα

ceπμ

λα

ceπμ2

C

2

2

C

2

3

0

23

0

2

C

3

0e

BBB (14)

Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun

champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation

geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave

une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut

analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui

geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou

deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les

structures atomiques

λλdr

λE

αε2

e

α

2πe

ε4π

10

2πα

e

ε4π

1

o

22

o a 2

2

o0

(15)

Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout

quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la

constante de Planck

αλε2

ehE

o

2

f (16)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 31

Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de

forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration

fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que

linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force

classiques

Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc

eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde

longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser

avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)

NC673727E130467λαε

πe23

0

E (17)

Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au

repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron

Compton comme suit

NC4E10602933175λαε

πe2

C

3

0

e E (18)

Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la

vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple

addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique

ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE

des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique

qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ

monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute

agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave

la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =

4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron

(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante

NCE208133411211

λ2λλλ

λ4λλλλ

αε

πe

C

2

C

2

CC

2

C

2

3

0

E (19)

Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le

champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas

contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local

ms56621876476E13828900024

1E20181334112v

B

E (20)

Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE

avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement

qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos

invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement

lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la

vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle

leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la

Reacutefeacuterence [32]

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Page 32 Andreacute Michaud

21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos

Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de

Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse

au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son

increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie

adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique

interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans

les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute

graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la

composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee

transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement

doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son

champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique

Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse

de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent

les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie

eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour

conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]

Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere

permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que

formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon

eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute

selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent

mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]

t)(ωsin

2

iL t)(ωcos

2C

e

hcE 2

2

λλ2

λ

2

(21)

ougrave

λ

2

(max)2C

eE E

et 2

iLE

2

λλ(max) B

(22)

et

αλ2εC 0λ 8π

αλμL

2

αλ

ec2πiλ (23)

La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des

champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement

aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees

avec les Eacutequations (22)

23

0 λαε

πeE 23

0

λα

πecμB (24)

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Andreacute Michaud Page 33

et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute

maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement

2

35

λαV (25)

ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence

[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui

confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie

porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit

la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee

transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie

transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum

Vt)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

hcE 2

0

22

2

0

BE (26)

22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives

Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933

[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-

produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se

transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon

dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de

leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute

speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme

de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale

associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait

seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]

Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue

entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave

leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges

opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste

et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet

de construire leacutequation de la maniegravere suivante

2

0

2

m

1o

2

1

λ

1cmcΔmΔK2

λ

1

αε2

eE

C1

(27)

dans laquelle

2o

22

1

αε2

ecΔmΔK ougrave

C12 2λ

1

λ

1

2

1

λ

1 (28)

Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de

leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en

cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie

reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos

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Page 34 Andreacute Michaud

invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre

les deux particules maintenant seacutepareacutees

Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford

(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons

eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau

impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires

eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave

proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur

lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]

Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces

vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel

des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel

plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une

meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou

plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en

leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des

masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit

leacutequation suivante

V

t)(ωsin K2μ

t)(ωcos)jJjJ(4

ε2

iI2λ

hciIE

2

Z0

2

2

Y

2

0

X

B

E

(29)

se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure

eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

me0

KB

jIjI

iJE

0

ν

(30)

et

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

mp

ν

0

KB

jIjI

iJE

0 (31)

dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique

maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute

lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre

constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une

oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation

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Andreacute Michaud Page 35

entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-

porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]

3

2

3

C

5

m m477E1497393262π

λαV et

2

C

3

0 λαε

eπν (32)

Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere

fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse

de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope

stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la

Reacutefeacuterence [20]

Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus

leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant

invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC

du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les

deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et

deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la

vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec

lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]

C

CC

λ2λ

λ4λλcv

ou

K2E

K4EKcv

2

(33)

Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur

donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au

repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du

photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse

de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de

Broglie [32] [3]

Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon

car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple

en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume

isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie

nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron

qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque

j148E4093552062π

λα

μ2λα

ceπμV

2μ 2

3

C

5

0

2

2

C

3

0m

0

2

B (34)

23 Construction de particules complexes stables

Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts

de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont

typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la

communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en

raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement

eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus

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Page 36 Andreacute Michaud

petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue

tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]

Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont

aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que

leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre

eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps

ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction

stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des

particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par

rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-

destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)

Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions

mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-

dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence

infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux

eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement

frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions

frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes

hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)

Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible

Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors

dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons

eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules

complexes comme le proton et le neutron

Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des

eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave

ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee

(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves

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Andreacute Michaud Page 37

avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure

5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest

quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale

pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours

(Figures 5-b)

Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et

collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-

ponctuel

Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction

frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les

protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de

positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique

permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel

quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable

dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre

observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]

Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la

conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron

[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites

dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites

planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace

soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement

eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon

Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce

volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand

acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie

dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al

[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants

chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations

des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge

eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une

charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons

ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-

composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)

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Page 38 Andreacute Michaud

Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives

De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et

expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants

chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-

composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants

chargeacutes positivement [22] [25]

Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement

confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au

fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-

ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et

positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent

ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et

confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des

nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges

seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des

positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la

nature dispose pour construire les nucleacuteons

Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants

nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge

fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent

naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils

eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des

structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]

La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes

preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons

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Andreacute Michaud Page 39

correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence

de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement

estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui

peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie

agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]

soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la

seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee

pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]

2

0

eudicαn

3e

a

km

(n=1 2 3) (35)

ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la

lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale

eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de

Coulomb

8E9898755178ε4π

1k

o

(36)

En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages

expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer

cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc

2 pour la

sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux

distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe

coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de

lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]

Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la

mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la

masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient

effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour

de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces

deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance

Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie

matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee

confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et

eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent

respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas

encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et

eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des

interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures

Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres

particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par

collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees

up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee

par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de

reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant

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Page 40 Andreacute Michaud

les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach

et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee

Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave

laide de lEacutequation (35)

Masse au repos Eacutenergie Charge Ref

Eacutelectron ou positon en

mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV

plusmn1=

1602176462E-19 C [21]

Positon

eacutelectromagneacutetiquement

contraint

1 dans le neutron

2 dans le proton

2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=

1068117641E-19 C [22]

Eacutelectron

Eacutelectromagneacutetiquement

contraint

2 dans le neutron

1 dans le proton

8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=

5340588207E-20 C [22]

La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur

concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un

physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son

libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par

Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu

compte

Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The

theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far

beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks

themselves were never discovered in any scattering experiment

Traduction

Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de

succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent

quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-

mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision

Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute

produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et

quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u

(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en

parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par

Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron

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Andreacute Michaud Page 41

Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement

nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes

quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des

Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte

eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie

qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur

est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet

pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes

eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et

positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires

Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des

eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure

collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette

somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La

diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont

lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de

lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe

qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont

deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints

eacutelectromagneacutetiquement

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

U

Y

2

0

U

2

m

2

U

U

B

E

ν (37)

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

D

Y

2

0

D

2

m

2

DD

B

E

ν (38)

Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses

au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement

eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]

Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en

relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici

pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite

par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en

translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de

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Page 42 Andreacute Michaud

reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de

translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport

une telle orbite circulaire

24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance

La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron

dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le

premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave

une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr

mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite

fermeacutee autour du proton

Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait

cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de

leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de

stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave

veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure

Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur

de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition

nhTβ-1

β

2

22

o r

cm (n eacutetant un nombre entier) (39)

Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de

reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction

donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte

cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de

nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil

identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature

eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut

expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait

rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique

deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses

eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion

dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules

eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte

cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories

dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique

Quantique sous sa forme traditionnelle

De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de

Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave

cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec

lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa

disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui

supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique

autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute

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Andreacute Michaud Page 43

perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie

eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que

leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton

En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton

nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee

autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie

concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie

induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement

Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique

strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur

temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques

eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des

orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales

de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la

freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie

du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de

reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie

sj34E662606876λvmh BB0 (40)

ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite

de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont

le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne

entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit

leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel

que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de

fB=6579683921E15 Hz

Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette

freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier

la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir

leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb

Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble

correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler

toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie

induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute

leacutenergie du quantum soit accumuleacutee

j 18-8E435974380rε4π

ehE

Bo

2

BB f (41)

dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))

Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la

longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique

la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel

quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]

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Page 44 Andreacute Michaud

αλε2

ehνE

o

2

(42)

ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale

dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue

suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec

lEacutequation (41) est donc

m82E455633525E

hcλ

B

(43)

ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave

obtenue avec lEacutequation (41) standard

j188E435974380αλε2

ehνE

o

2

B (44)

Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer

leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition

conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats

deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et

nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de

cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet

aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est

fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires

chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout

mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif

Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs

impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de

leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant

dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera

analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes

neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la

quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction

coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont

captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre

cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique

Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est

constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie

dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir

dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee

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Andreacute Michaud Page 45

par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la

valeur obtenue sera constant

Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de

lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee

de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie

eacutelectromagneacutetique (λ)

mj25E986445441α2ε

eEλH

0

2

(45)

Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur

temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la

constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante

H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui

reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que

historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee

deacutequations eacutelectromagneacutetiques

sj34E662606876c

Hh (46)

Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut

maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit

la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la

communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de

constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement

confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics

[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)

[40]

sj34E662606876αc2ε

eh

0

2

(47)

252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique

Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-

dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais

lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante

dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)

de latome dhydrogegravene et de son noyau

La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence

[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux

maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage

dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB

au carreacute

2

o

B

22

BB mj386E122085259ε4π

rerEK

(48)

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Page 46 Andreacute Michaud

Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene

verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux

particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie

adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau

1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le

positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et

leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave

la Reacutefeacuterence [22]

26 Gravitation

En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires

induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules

chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de

maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une

eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son

existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le

permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux

Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee

leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors

quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le

centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les

accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette

pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une

eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle

tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne

peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de

momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car

leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de

masse de la Terre [4] [16]

En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune

mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum

vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules

chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et

est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum

pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque

lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une

pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne

agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la

masse de la Terre [33]

Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de

reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que

de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat

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Andreacute Michaud Page 47

de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir

de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au

rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables

permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps

ceacuteleste autour de lastre central

Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance

moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute

freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr

le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps

ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle

oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle

chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps

ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes

Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central

peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites

qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes

par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de

reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes

de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus

doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans

lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont

reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes

Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est

aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome

dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas

cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule

eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la

stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital

Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence

en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction

stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les

cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)

Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force

gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction

coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction

stationnaire

Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les

positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques

afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble

eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave

appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules

chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image

mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces

particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee

quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire

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Page 48 Andreacute Michaud

de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du

concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de

particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le

Tableau 2

Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])

Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques

Nom Porteacutee

Force

laquo traditionnelle raquo

associeacutee

Attracteur

primaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave

lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron

Forte

Attracteur

secondaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints

appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons

dans un noyau

Faible

Attracteur

tertiaire

Entre chaque eacutelectron captif et chaque

positon eacutelectromagneacutetiquement contraint

dun noyau et entre chaque eacutelectron et

chaque positon eacutelectromagneacutetiquement

contraint des noyaux des autres atomes de

toute accumulation de matiegravere

Eacutelectromagneacutetique

Attracteur

temporaire

local

Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun

photon Eacutelectromagneacutetique

Attracteur temporaire

eacuteloigneacute

Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du

reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique

Attracteur quaternaire

Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du

reste de lrsquounivers

Graviteacute

Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre

plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance

daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance

caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la

structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte

Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux

datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique

aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les

atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere

correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier

niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute

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Andreacute Michaud Page 49

libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau

astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle

Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction

coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique

transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence

quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4

forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui

savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute

dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente

dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel

Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere

permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le

centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme

dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme

dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des

atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble

des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la

direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant

en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses

Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses

macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la

profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales

eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave

la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]

Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la

Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses

macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes

une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les

eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus

eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons

retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors

un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme

dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine

section

Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme

celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et

quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des

orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute

qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne

induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des

noyaux

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Page 50 Andreacute Michaud

Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette

pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission

de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les

eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave

mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee

denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante

dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les

eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec

linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage

de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le

deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant

agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes

quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en

chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]

Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les

masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent

les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui

diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux

atomiques

Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction

coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une

augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe

central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique

variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des

nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]

Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que

la profondeur augmente dans les masses macroscopiques

Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire

ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne

peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules

eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances

internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x

de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces

petites masses et celles de la Terre

Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes

constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction

proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est

laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons

captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des

photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale

meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant

agrave leurs orbitales daction stationnaire

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Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation

daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la

freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience

de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps

voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps

avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion

tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du

champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee

En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons

de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la

mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement

axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation

dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les

sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs

trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace

profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur

lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les

masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en

conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel

Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de

Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres

qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne

[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient

agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur

oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ

magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques

28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees

expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en

perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de

la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant

la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit

une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les

anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de

piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]

Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un

proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action

plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a

lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes

quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees

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Page 52 Andreacute Michaud

Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos

par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de

2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-

porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]

j18-2E2179784831γcmΔKE 2

oK (49)

Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)

qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de

Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son

mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction

stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie

totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale

deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse

au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus

de stabilisation

j141875401148cmcmΔKE 2

0

2

me E (50)

Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune

quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie

j10-7E150327730cmE 2

pp (51)

Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr

0548911836

1

E

E

p

e (52)

On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de

grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la

composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par

rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele

reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en

perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de

leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus

grande

4968964481

1

E

E

p

K (53)

Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par

linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du

momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le

processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre

inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere

Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette

eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct

Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur

agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera

communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que

leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera

eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et

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mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de

freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere

La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de

Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin

Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas

vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de

lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-

2000 [18]

Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et

son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors

de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le

mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest

pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du

photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa

configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une

inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve

photoeacutelectrique de Einstein

La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum

ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur

lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de

son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant

son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son

volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)

Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie

eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum

unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum

complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)

La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe

dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de

jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule

transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme

dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du

photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y

pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut

ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8

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Page 54 Andreacute Michaud

La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant

inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux

champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du

proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence

darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J

vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la

quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement

qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du

photon porteur

T4692470103λα

ceπμ22

23

0 B (54)

ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout

deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs

magneacutetiques

En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de

leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome

dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable

coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la

meacutecanique actuelle deacutemission de photons

Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que

leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant

vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste

eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie

vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une

flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication

suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et

le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas

par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron

agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]

De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre

faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et

un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement

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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite

lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis

artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion

initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la

rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en

permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence

Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation

de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron

dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute

eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence

[33]

Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette

distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque

la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de

remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement

induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la

direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression

stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente

eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie

que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant

momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV

temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon

eacutelectromagneacutetique seacutepareacute

La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra

leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ

magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le

montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence

dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe

devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]

Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y

eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se

deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges

opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la

valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le

proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de

leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la

part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue

par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne

Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui

fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit

de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que

leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave

saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe

de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous

forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des

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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau

macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d

La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton

comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie

ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique

incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La

reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience

que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que

linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de

leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis

et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce

processus de freinage si bref

Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de

lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers

lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum

qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du

reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-

quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par

deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet

leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller

transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi

loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se

deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]

Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la

seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet

momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la

vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre

compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du

photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave

lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale

des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de

la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute

totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement

invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton [4]

29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques

Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la

massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-

eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee

par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant

adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK

nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui

interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais

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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du

proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale

dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que

deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum

ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression

momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs

eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie

transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de

2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de

Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du

systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur

vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut

maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-

porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

le permettra [52]

Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en

conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee

plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos

eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou

agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme

eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par

accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18

j

Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et

documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent

document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui

permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons

eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de

leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article

30 Conclusion

Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie

eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de

concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme

si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait

dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne

La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de

Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la

deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin

complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit

une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus

deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit

preacuteceacutedemment

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Page 58 Andreacute Michaud

Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une

conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies

anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux

expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les

eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un

ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par

Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz

Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations

eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees

provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire

Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique

quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident

geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant

donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision

cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants

magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013

pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]

Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des

eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]

Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet

dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques

denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave

lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du

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Andreacute Michaud Page 63

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Autres articles dans le mecircme projet

Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique

Page 3: L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

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Andreacute Michaud Page 3

dipocircle deacutenergie repreacutesenteacute par E est orienteacutee et distribueacutee dans lespace tandis que le dipocircle

deacutenergie repreacutesenteacute par B est orienteacutee et distribueacutee temporellement pendant que ces deux aspects

sinduisent cycliquement lune lautre en orientation transversale par rapport agrave la direction du

mouvement vectoriel de leacutenergie oscillante dans un vide

Figure 2 Repreacutesentation standard monopolaire des champs E et B atteignant

simultaneacutement leur maximum dintensiteacute en phase de linterpreacutetation de Lorenz

La repreacutesentation de la Figure 2 que lon retrouve dans tous les ouvrages sur

leacutelectromagneacutetisme tout en eacutetant en accord avec la theacuteorie ondulatoire de Maxwell deacutecrivant

leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme eacutetant une impulsion se propageant dans un aether sous-

jacent et qui est aussi en accord avec ses eacutequations est toutefois geacuteneacuteralement preacutesumeacutee de

maniegravere erroneacutee comme eacutetant aussi la conclusion de Maxwell

En reacutealiteacute Maxwell eacutetait en deacutesaccord avec cette approche car le concept de jauge

deacuteveloppeacute par Lorenz avait pour conseacutequence de traiter les deux champs E et B comme eacutetant un

champ eacutelectromagneacutetique unique au niveau geacuteneacuteral sans structure interne apparente de prime

abord ce qui fait facilement perdre de vue que ces deux champs sont seacutepareacutes et sont deacutegale

importance dans la theacuteorie de Maxwell avec des caracteacuteristiques diffeacuterentes et irreacuteconciliables

en plus de sinduire mutuellement contrairement agrave la solution de Lorenz tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [3]

Le fait que cette deuxiegraveme solution fut deacuteveloppeacutee par Lorenz est cependant peu connu dans

la communauteacute scientifique car elle est associeacutee seulement agrave la jauge dite jauge de Lorenz

deacutefinie par lui et ceci seulement dans les ouvrages speacutecialiseacutes de haut niveau sur

leacutelectromagneacutetisme [5] car elle se precircte plus facilement que la repreacutesentation de Maxwell aux

divers processus de geacuteneacuteralisation matheacutematiques Mais la veacuteritable origine de cette solution

repreacutesenteacutee par la Figure 2 nest pas clairement expliqueacutee dans les ouvrages dintroduction ou de

reacutefeacuterence geacuteneacuterale en physique [6] [7]

Par conseacutequent agrave moins de se speacutecialiser en eacutelectromagneacutetisme la majoriteacute des physiciens ne

sont donc pas directement informeacutes que ce nest pas Maxwell qui a conccedilu cette deuxiegraveme

approche et que leacutelectrodynamique classique ainsi que la theacuteorie des champs quantiques (QFT)

dont leacutelectrodynamique quantique (QED) est issue [8] [9] mais quelles sont plutocirct fondeacutees sur

linterpreacutetation de Lorenz car ce fait nest nulle part clairement mis en eacutevidence dans les

ouvrages de reacutefeacuterence sur leacutelectrodynamique et sur la QFT qui furent bien sucircr deacuteveloppeacutes par

des speacutecialistes en eacutelectromagneacutetisme pour qui ce fait eacutetait une eacutevidence Contrairement aux faits

eacutetablis il en reacutesulte donc une impression geacuteneacuterale dans la communauteacute que Maxwell est le

veacuteritable auteur de cette deuxiegraveme solution et que leacutelectrodynamique et la QFT sont fondeacutee

strictement sur son interpreacutetation

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Page 4 Andreacute Michaud

La nuance est importante cependant car lhypothegravese de de Broglie agrave propos du photon localiseacute

agrave double particule qui eacutemerge directement de linterpreacutetation de Maxwell se retrouve ainsi en

porte-agrave-faux par rapport agrave leacutelectrodynamique classique et la QED parce que lapproche de

Lorenz occulte le fait que les champs E et B sont seacutepareacutement dimportance eacutegale Par exemple le

rocircle preacutepondeacuterant donneacute aux charges eacutelectriques dans la QED semble ne laisser aucune fonction

preacutecise agrave laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dans une possible meacutecanique

dinduction mutuelle qui impliquerait les deux champs seacutepareacutes contrairement agrave linterpreacutetation de

Maxwell Mecircme le fait que la QED telle que formuleacutee ne peut expliquer linduction mutuelle

des deux champs dans les systegravemes LRC ne semble pas attirer lattention sur cette question

2 Mise en perspective en fonction des ordres de grandeur relatifs

Pour bien mettre en perspective la possibiliteacute de deacutecrire leacutenergie qui constitue la substance

mecircme dont sont constitueacutees toutes les particules eacuteleacutementaires localiseacutees telles que les photons

eacutelectromagneacutetiques les eacutelectrons et les positons au niveau subatomique dune maniegravere qui ne

serait pas en conflit avec la theacuteorie bien eacutetablie de londe eacutelectromagneacutetique continue de

Maxwell qui est appliqueacutee avec tant de succegraves agrave notre niveau macroscopique il faut en premier

lieu prendre conscience que tout les objets et processus que nous pouvons deacutetecter et mesurer

dans la reacutealiteacute objective peuvent ecirctre classeacutes comme relevant de lun des quatre ordres de

magnitude suivants Par ordre deacutecroissant damplitude ces divers ordres de grandeur peuvent ecirctre

deacutefinis de maniegravere tregraves geacuteneacuterale comme suit

1- Niveau astronomique Ordre de grandeur deacutepassant en dimensions le cadre

strict de la seule planegravete Terre

2- Niveau macroscopique Ordre de grandeur dans lequel tout objet ou processus

peut ecirctre directement mesureacute agrave la surface de la Terre et dans son environnement

3- Niveau sous-microscopique ou atomique Ordre de grandeur des moleacutecules et

atomes

4- Niveau subatomique Ordre de grandeur des particules eacuteleacutementaires dont les

atomes sont constitueacutes ainsi que de leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui constitue

leur substance qui supporte leur mouvement deacutetermine leur inertie et qui peut

aussi circuler librement sous forme quantifieacutee agrave la vitesse de la lumiegravere lorsque

non directement associeacutee agrave lune de ces particules eacuteleacutementaires

Les 3 premiers niveaux sont geacuteneacuteralement familiers pour tous mais le niveau subatomique ne

lest pas Nous pouvons directement percevoir et mesurer les objets et processus de notre

environnement au niveau macroscopique et nous percevons et mesurons indirectement avec de

plus en plus de preacutecision les objets et processus appartenant autres ordres de grandeurs agrave mesure

que nos instruments se perfectionnent

Il peut sembler paradoxal drsquoaffirmer si fermement que lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique peut ecirctre

directement deacutefinie comme eacutetant quantifieacutee sous forme de photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

au niveau subatomique conformeacutement aux eacutequations de Maxwell tout en demeurant en parfaite

harmonie avec sa theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques continues se propageant dans un medium

sous-jacent qui a eu tant de succegraves telle quappliqueacutee agrave notre niveau macroscopique soit une

question qui fait deacutebat depuis le deacutebut du 20e siegravecle

Il faut mettre en perspective ici que nous ne percevons par ailleurs aucun paradoxe dans le fait

que nous observons directement que limage dun eacutecran de teacuteleacutevision nous apparaicirct continue de

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Andreacute Michaud Page 5

maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien

conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi

directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee

physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement

seacutepareacutes

De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave

traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en

sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules

localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau

subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-

mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees

eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne

pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de

leacutecran de teacuteleacutevision

La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un

fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne

pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme

nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous

comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau

macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees

glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants

instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces

moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique

Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau

subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision

dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre

de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre

de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute

de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de

leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos

microscopes eacutelectroniques

Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de

grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la

perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la

diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les

moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment

petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre

niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie

eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus

grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave

sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre

niveau macroscopique

Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de

grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique

consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune

moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la

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Page 6 Andreacute Michaud

distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi

agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome

dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons

eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au

mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres

particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave

linteacuterieur de la structure du proton et du neutron

Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau

subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au

repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument

suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique

contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement

possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la

granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une

granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est

inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des

particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique

sont les suivants

1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere

quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir

Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])

2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons

possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience

photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la

moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de

la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses

solaires [3] [11]

3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons

eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-

positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se

reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de

nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse

invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance

eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve

expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le

seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons

eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans

quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]

4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et

une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C

5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des

particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux

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Andreacute Michaud Page 7

de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des

systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])

Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement

nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par

ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave

partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement

des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes

soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par

les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux

en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des

changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau

atomique

Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de

leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee

lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules

infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets

qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants

microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les

cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long

de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous

prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre

[14]

Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour

que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune

intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des

atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi

que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui

peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes

seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium

Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie

eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la

traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis

pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau

subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)

mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations

eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une

onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une

harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier

chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation

tireacutee de ses Lectures on Physics [15]

There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are

not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen

electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain

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Page 8 Andreacute Michaud

Traduction

Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne

sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement

associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique

Quantique ces difficulteacutes demeurent

Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent

matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure

granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue

uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie

des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier

deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne

de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la

structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des

neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement

eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique

transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute

matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos

Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure

eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de

Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau

subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de

reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau

subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique

3 Deux perceacutees majeures reacutecentes

Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure

interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique

qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne

semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de

Minkowski [17]

la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie

deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave

limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans

le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-

temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de

ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur

aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p

273)

Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure

eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec

les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires

stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau

subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de

Maxwell

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Andreacute Michaud Page 9

Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective

lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales

recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute

expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de

la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale

4 La premiegravere perceacutee majeure

Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de

lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects

fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau

subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun

agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation

stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de

cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est

perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par

ces deux champs (voir Figure 1)

La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant

de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut

formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de

Saint-Peacutetersbourg [18]

Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la

Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave

augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k

(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D

pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme

eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux

autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun

Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale

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Page 10 Andreacute Michaud

Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au

centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la

substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des

vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale

stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux

espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-

quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-

transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui

reacuteside dans lespace-X

Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique

trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles

de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3

parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre

eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire

matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant

chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3

espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes

orthogonaux internes reacutesultants

5 La deuxiegraveme perceacutee majeure

Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul

Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre

laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui

permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui

augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ

magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de

leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article

publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de

Kazan [20]

Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees

constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne

dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une

eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de

maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee

pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]

ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin

Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes

les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules

complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et

autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules

eacuteleacutementaires [24]

Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des

atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons

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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions

destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que

sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des

seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou

lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees

eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]

Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de

larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement

sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa

deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement

deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre

directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre

article reacutecemment publieacute [4]

Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese

personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la

premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une

deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir

de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave

leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun

doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique

geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les

eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi

du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser

directement dans son article original

LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees

auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie

de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee

autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique

transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de

leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement

mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable

avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise

en eacutevidence plus loin

Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable

agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation

relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le

champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est

constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce

fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de

mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective

par Marmet au deacutebut de son article [19]

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Page 12 Andreacute Michaud

Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis

Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui

seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie

Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du

champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle

geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant

omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute

de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans

lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme

charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept

ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter

sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de

Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et

matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee

exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement

qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration

perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation

qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui

soutient son mouvement dans lespace

Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme

rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de

laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut

donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons

dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart

Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron

en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste

ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son

champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette

derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable

avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc

2 - moc

2) car il est physiquement

et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux

directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une

de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de

laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ

magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee

Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave

mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune

seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute

deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie

du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux

quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee

que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors

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la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la

veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov

22 + (γmoc

2 -

moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique

quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de

Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la

distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement

et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees

les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement

Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie

doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ

magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme

geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de

cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour

obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en

mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin

6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte

Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a

initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information

qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait

consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale

deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord

ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-

quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]

associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse

transversale mesurable

7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein

En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil

reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes

lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant

cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique

fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une

traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la

diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb

ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons

comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par

linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre

deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait

pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement

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Page 14 Andreacute Michaud

diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten

(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du

deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de

lintroduction de la RR faisait rage

Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le

momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie

cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans

les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont

pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique

fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement

en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont

toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et

certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de

1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz

Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre

vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de

consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions

traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des

connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction

En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par

lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave

eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force

de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y

est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en

ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie

pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte

lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou

alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la

distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des

charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de

leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant

eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules

chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique

qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique

classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme

des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement

par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la

communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui

Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir

de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier

du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet

maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue

en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=

e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance

entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e

24πεod

2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique

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Andreacute Michaud Page 15

adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse

simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil

semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui

entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce

moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir

Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et

qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment

Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la

RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et

aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la

Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de

lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement

causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de

Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules

eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron

selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse

classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de

particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective

plus loin

Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de

Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept

daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en

RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum

augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration

inertielle

8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le

demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale

mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee

du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement

ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant

dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second

point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la

vitesse

Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute

Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute

Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par

leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction

coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne

laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement

Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-

quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de

Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune

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Page 16 Andreacute Michaud

harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse

ecirctre reacutealiseacutee

9 Les Principes axiomatiques absolus

Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les

concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient

permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu

ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee

pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de

points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la

nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir

des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences

consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le

Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction

stationnaire et de moindre action etc

La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de

conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas

activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme

dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien

compris lorsquil fut initialement formuleacute

En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances

permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous

pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant

quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat

apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement

dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction

stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]

Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des

trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]

[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel

eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de

nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les

masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial

qui eacutetait le leur avant leur lancement

En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune

hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des

eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur

astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule

maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de

ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant

une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera

examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit

les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement

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Andreacute Michaud Page 17

Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un

cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere

deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement

associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif

et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour

tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle

sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ

eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide

Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance

en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee

au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de

Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un

momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique

et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort

consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un

mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule

eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et

quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de

mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement

seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une

eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une

forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de

force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur

pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression

interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de

lexpression trompeuse force de Coulomb

Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que

quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la

physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant

suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes

axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme

dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui

savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de

linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de

Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction

adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant

correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une

interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement

10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus

Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables

observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont

constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la

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Page 18 Andreacute Michaud

confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et

processus

Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au

moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon

classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de

nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la

masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]

Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute

magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-

composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune

rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction

[39]

Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces

termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus

auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels

comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple

11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule

eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement

en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres

permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du

quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du

champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui

est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons

eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie

eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau

macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell

12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)

En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave

confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique

transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un

fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]

Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences

effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun

eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire

demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un

seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de

Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable

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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation

de son champ magneacutetique transversal

Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit

directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est

aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par

analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au

repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement

2

M

r

1

eμ e

e

2

0

(M-24)

Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron

ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en

correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi

que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation

(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)

Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)

dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique

rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant

perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article

[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute

graphiquement comme se deacuteplaccedilant

2

0

r

ud sd

Iμd

B (M-1)

Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire

invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q

de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere

dt

)d(Ne

dt

dQI

-

(M-2)

Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure

constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv

puisque dt

dxv donc

v

dxdt (M-3)

En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par

sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint

dx

)vd(Ne

dt

d(Ne)I

-

(M-4)

Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart

dx)θsin(r4π

Iμd

2

0B (M-5)

En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-

4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte

sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition

puisque le courant demeure constant

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Page 20 Andreacute Michaud

)(Ned)θsin(r4π

vμdx)θsin(

dx

)vd(Ne

r4π

μdx)θsin(

r4π

Iμd -

2

0

-

2

0

2

0 B (M-5a)

En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant

maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus

decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant

que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute

)(Ned)θsin(r4π

vμd -

2

0B (M-6)

13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur

Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence

sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte

dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce

qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant

Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π

veμNd -

2

-

0iB (M-7)

Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant

les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer

pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est

absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous

allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de

sa deacuterivation

Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)

Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux

variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure

ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la

distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et

spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre

conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation

cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ

magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation

correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)

Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)

puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e

-) ce qui

constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de

lrsquoEacutequation (M-7)

)(ed)θsin(r4π

vμd -

2

0iB (M-6a)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 21

Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer

conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de

distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette

distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc

maintenant

)d(er4π

vμd -

2

0iB (M-6b)

Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le

calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux

occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons

agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)

-

2

0 er4π

vμiB (M-6c)

qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation

conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)

Eacutequation (M-7) correcte 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ

magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique

stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du

champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron

centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute

par lEacutequation (M-7)

Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie

trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le

flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement

propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement

ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue

lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant

physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron

Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment

stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil

meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des

eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant

donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute

les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de

saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation

triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de

leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule

eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques

individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction

transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique

macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur

dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et

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Page 22 Andreacute Michaud

cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut

rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul

eacutelectron

Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins

magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui

fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir

mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique

macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la

Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables

macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme

processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie

des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes

Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer

lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite

agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique

massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa

masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite

dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne

La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par

leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au

deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]

magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)

15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet

La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)

concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des

particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz

16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz

Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de

vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2

semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale

eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal

qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons

plus loin que ce nest pas le cas

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour

repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron

2

2

e

2

2

e

2

0cv

c

v

2

m

c

v

r8π

eμm (1)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 23

Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ

magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio

v2c

2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient

neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de

la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce

qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos

invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel

que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par

leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure

eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut

preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie

(Figure 3)

2

M

r

1

c

v

r

1

eμM e

e

2

0

2

2

e

2

00vuee_magneacutetiq

(M-24)

LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du

champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie

croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui

sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec

lEacutequation (M-24)

2

0cv

r4π

veμ B (2)

Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des

repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction

du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une

vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du

momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-

18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la

Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome

drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement

correct de masse relativiste

kg355E242533771

cr8π

1218764756eμ

cr8π

veμm

2

e

22

0

2

e

22

0m (3)

A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il

faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme

vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de

lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme

valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique

de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron

Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition

eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste

un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut

quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c

2 c eacutetant invariant et v

pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute

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Page 24 Andreacute Michaud

preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique

transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre

vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement

proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron

(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite

de 409355207E-14 j)

Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute

invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique

intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique

de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer

leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de

Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente

toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-

magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de

leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute

totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la

masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de

masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2

Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette

somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur

gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de

calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)

Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec

leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit

leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de

leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus

leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par

structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc

2

K2E

KK4Ecv

2

(4)

Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des

eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes

de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees

C

2

CC

λ2λ

λλ4λcv

(5)

A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis

leacutelaboration de ces eacutequations

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Andreacute Michaud Page 25

17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)

Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le

rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de

lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ

magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la

deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par

lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee

transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB

mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette

augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique

constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron

409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement

eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation

entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec

leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron

Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute

deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de

Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration

spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2

=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est

obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure

fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]

m155E2817940282π

αλr Ce (6)

Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)

devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de

lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde

eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c

mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de

de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est

(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique

Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave

linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans

lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]

m11E29177208352π

λ

λr B

Br (7)

Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude

transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en

multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y

a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave

lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin

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Page 26 Andreacute Michaud

atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet

maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient

mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal

invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique

correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec

lEacutequation (2)

T0405235047

113E529177208α4π

1218764756eμ

rα4π

veμ2

0

2

B

0

B (8)

Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee

que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant

une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale

serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence

Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable

comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la

avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut

eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que

cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir

lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal

Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de

leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable

soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ

magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)

sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et

nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)

T7346235051

86E455633525α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

23

0

B (9)

Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation

geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de

lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique

transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de

Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie

strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil

La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant

lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de

lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse

dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer

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Andreacute Michaud Page 27

18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse

Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer

lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa

version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire

lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de

linduction deacutenergie dans un eacutelectron

Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que

leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en

anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette

eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle

constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment

cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique

classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave

laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite

Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est

aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est

deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte

aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique

correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un

corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute

Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car

nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave

des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle

lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]

Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de

leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de

leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante

e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui

induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules

chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui

les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par

rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de

leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule

Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme

des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment

reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique

en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement

mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute

expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui

fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute

deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute

preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse

limite de la lumiegravere

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 28 Andreacute Michaud

En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques

pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont

typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la

Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement

fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons

maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales

19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11

Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour

dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons

sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer

laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui

sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ

magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte

Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace

ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses

approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que

mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs

trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de

vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000

kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par

fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne

Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le

lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees

qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant

anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des

phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde

gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute

astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces

trajectoires est incapable den rendre compte

Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme

solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement

de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus

faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr

vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre

expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))

Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles

de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie

systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles

eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre

deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]

[37] [38]

Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande

publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne

que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute

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Andreacute Michaud Page 29

astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des

anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998

telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation

systeacutematique dorigine inconnue

Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec

les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses

typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal

deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces

deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie

transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette

derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les

paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation

Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de

Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement

j5E102658722731v-c

cmcΔK

22

2

(10)

Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour

Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de

kg78228E952c

ΔKΔm

2m (11)

Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour

expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de

ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la

proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse

au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent

initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de

masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele

et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la

Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du

temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne

tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont

faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des

masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin

20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui

est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme

densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne

neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du

quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron

Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le

champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en

mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui

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Page 30 Andreacute Michaud

repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en

utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de

structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette

eacutenergie

T1E1382890002212-5E242631021α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

2

C

3

0

e B (12)

Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide

quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui

pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la

densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par

exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne

comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales

Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien

connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse

relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes

deacutegales intensiteacutes

B

Ev (13)

La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en

additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de

la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)

pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de

Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne

invariant Be de la masse au repos de leacutelectron

T6E13828900024

λλ

λλ

α

ceπμ

λα

ceπμ

λα

ceπμ2

C

2

2

C

2

3

0

23

0

2

C

3

0e

BBB (14)

Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun

champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation

geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave

une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut

analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui

geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou

deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les

structures atomiques

λλdr

λE

αε2

e

α

2πe

ε4π

10

2πα

e

ε4π

1

o

22

o a 2

2

o0

(15)

Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout

quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la

constante de Planck

αλε2

ehE

o

2

f (16)

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Andreacute Michaud Page 31

Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de

forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration

fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que

linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force

classiques

Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc

eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde

longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser

avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)

NC673727E130467λαε

πe23

0

E (17)

Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au

repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron

Compton comme suit

NC4E10602933175λαε

πe2

C

3

0

e E (18)

Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la

vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple

addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique

ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE

des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique

qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ

monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute

agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave

la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =

4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron

(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante

NCE208133411211

λ2λλλ

λ4λλλλ

αε

πe

C

2

C

2

CC

2

C

2

3

0

E (19)

Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le

champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas

contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local

ms56621876476E13828900024

1E20181334112v

B

E (20)

Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE

avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement

qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos

invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement

lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la

vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle

leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la

Reacutefeacuterence [32]

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Page 32 Andreacute Michaud

21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos

Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de

Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse

au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son

increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie

adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique

interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans

les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute

graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la

composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee

transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement

doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son

champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique

Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse

de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent

les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie

eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour

conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]

Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere

permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que

formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon

eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute

selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent

mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]

t)(ωsin

2

iL t)(ωcos

2C

e

hcE 2

2

λλ2

λ

2

(21)

ougrave

λ

2

(max)2C

eE E

et 2

iLE

2

λλ(max) B

(22)

et

αλ2εC 0λ 8π

αλμL

2

αλ

ec2πiλ (23)

La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des

champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement

aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees

avec les Eacutequations (22)

23

0 λαε

πeE 23

0

λα

πecμB (24)

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Andreacute Michaud Page 33

et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute

maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement

2

35

λαV (25)

ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence

[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui

confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie

porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit

la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee

transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie

transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum

Vt)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

hcE 2

0

22

2

0

BE (26)

22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives

Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933

[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-

produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se

transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon

dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de

leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute

speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme

de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale

associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait

seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]

Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue

entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave

leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges

opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste

et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet

de construire leacutequation de la maniegravere suivante

2

0

2

m

1o

2

1

λ

1cmcΔmΔK2

λ

1

αε2

eE

C1

(27)

dans laquelle

2o

22

1

αε2

ecΔmΔK ougrave

C12 2λ

1

λ

1

2

1

λ

1 (28)

Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de

leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en

cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie

reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos

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Page 34 Andreacute Michaud

invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre

les deux particules maintenant seacutepareacutees

Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford

(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons

eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau

impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires

eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave

proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur

lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]

Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces

vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel

des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel

plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une

meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou

plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en

leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des

masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit

leacutequation suivante

V

t)(ωsin K2μ

t)(ωcos)jJjJ(4

ε2

iI2λ

hciIE

2

Z0

2

2

Y

2

0

X

B

E

(29)

se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure

eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

me0

KB

jIjI

iJE

0

ν

(30)

et

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

mp

ν

0

KB

jIjI

iJE

0 (31)

dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique

maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute

lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre

constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une

oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation

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Andreacute Michaud Page 35

entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-

porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]

3

2

3

C

5

m m477E1497393262π

λαV et

2

C

3

0 λαε

eπν (32)

Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere

fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse

de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope

stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la

Reacutefeacuterence [20]

Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus

leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant

invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC

du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les

deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et

deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la

vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec

lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]

C

CC

λ2λ

λ4λλcv

ou

K2E

K4EKcv

2

(33)

Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur

donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au

repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du

photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse

de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de

Broglie [32] [3]

Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon

car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple

en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume

isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie

nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron

qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque

j148E4093552062π

λα

μ2λα

ceπμV

2μ 2

3

C

5

0

2

2

C

3

0m

0

2

B (34)

23 Construction de particules complexes stables

Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts

de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont

typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la

communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en

raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement

eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus

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Page 36 Andreacute Michaud

petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue

tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]

Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont

aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que

leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre

eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps

ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction

stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des

particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par

rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-

destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)

Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions

mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-

dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence

infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux

eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement

frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions

frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes

hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)

Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible

Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors

dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons

eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules

complexes comme le proton et le neutron

Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des

eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave

ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee

(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves

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Andreacute Michaud Page 37

avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure

5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest

quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale

pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours

(Figures 5-b)

Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et

collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-

ponctuel

Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction

frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les

protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de

positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique

permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel

quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable

dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre

observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]

Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la

conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron

[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites

dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites

planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace

soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement

eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon

Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce

volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand

acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie

dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al

[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants

chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations

des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge

eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une

charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons

ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-

composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)

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Page 38 Andreacute Michaud

Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives

De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et

expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants

chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-

composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants

chargeacutes positivement [22] [25]

Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement

confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au

fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-

ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et

positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent

ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et

confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des

nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges

seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des

positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la

nature dispose pour construire les nucleacuteons

Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants

nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge

fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent

naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils

eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des

structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]

La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes

preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons

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Andreacute Michaud Page 39

correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence

de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement

estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui

peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie

agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]

soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la

seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee

pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]

2

0

eudicαn

3e

a

km

(n=1 2 3) (35)

ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la

lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale

eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de

Coulomb

8E9898755178ε4π

1k

o

(36)

En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages

expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer

cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc

2 pour la

sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux

distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe

coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de

lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]

Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la

mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la

masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient

effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour

de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces

deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance

Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie

matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee

confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et

eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent

respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas

encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et

eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des

interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures

Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres

particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par

collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees

up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee

par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de

reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant

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Page 40 Andreacute Michaud

les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach

et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee

Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave

laide de lEacutequation (35)

Masse au repos Eacutenergie Charge Ref

Eacutelectron ou positon en

mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV

plusmn1=

1602176462E-19 C [21]

Positon

eacutelectromagneacutetiquement

contraint

1 dans le neutron

2 dans le proton

2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=

1068117641E-19 C [22]

Eacutelectron

Eacutelectromagneacutetiquement

contraint

2 dans le neutron

1 dans le proton

8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=

5340588207E-20 C [22]

La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur

concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un

physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son

libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par

Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu

compte

Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The

theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far

beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks

themselves were never discovered in any scattering experiment

Traduction

Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de

succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent

quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-

mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision

Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute

produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et

quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u

(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en

parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par

Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron

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Andreacute Michaud Page 41

Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement

nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes

quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des

Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte

eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie

qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur

est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet

pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes

eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et

positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires

Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des

eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure

collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette

somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La

diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont

lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de

lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe

qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont

deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints

eacutelectromagneacutetiquement

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

U

Y

2

0

U

2

m

2

U

U

B

E

ν (37)

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

D

Y

2

0

D

2

m

2

DD

B

E

ν (38)

Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses

au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement

eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]

Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en

relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici

pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite

par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en

translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de

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Page 42 Andreacute Michaud

reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de

translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport

une telle orbite circulaire

24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance

La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron

dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le

premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave

une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr

mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite

fermeacutee autour du proton

Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait

cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de

leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de

stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave

veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure

Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur

de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition

nhTβ-1

β

2

22

o r

cm (n eacutetant un nombre entier) (39)

Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de

reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction

donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte

cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de

nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil

identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature

eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut

expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait

rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique

deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses

eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion

dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules

eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte

cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories

dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique

Quantique sous sa forme traditionnelle

De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de

Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave

cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec

lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa

disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui

supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique

autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute

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Andreacute Michaud Page 43

perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie

eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que

leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton

En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton

nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee

autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie

concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie

induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement

Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique

strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur

temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques

eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des

orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales

de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la

freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie

du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de

reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie

sj34E662606876λvmh BB0 (40)

ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite

de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont

le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne

entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit

leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel

que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de

fB=6579683921E15 Hz

Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette

freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier

la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir

leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb

Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble

correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler

toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie

induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute

leacutenergie du quantum soit accumuleacutee

j 18-8E435974380rε4π

ehE

Bo

2

BB f (41)

dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))

Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la

longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique

la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel

quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]

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Page 44 Andreacute Michaud

αλε2

ehνE

o

2

(42)

ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale

dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue

suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec

lEacutequation (41) est donc

m82E455633525E

hcλ

B

(43)

ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave

obtenue avec lEacutequation (41) standard

j188E435974380αλε2

ehνE

o

2

B (44)

Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer

leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition

conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats

deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et

nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de

cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet

aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est

fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires

chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout

mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif

Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs

impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de

leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant

dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera

analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes

neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la

quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction

coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont

captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre

cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique

Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est

constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie

dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir

dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee

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Andreacute Michaud Page 45

par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la

valeur obtenue sera constant

Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de

lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee

de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie

eacutelectromagneacutetique (λ)

mj25E986445441α2ε

eEλH

0

2

(45)

Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur

temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la

constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante

H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui

reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que

historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee

deacutequations eacutelectromagneacutetiques

sj34E662606876c

Hh (46)

Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut

maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit

la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la

communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de

constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement

confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics

[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)

[40]

sj34E662606876αc2ε

eh

0

2

(47)

252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique

Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-

dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais

lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante

dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)

de latome dhydrogegravene et de son noyau

La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence

[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux

maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage

dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB

au carreacute

2

o

B

22

BB mj386E122085259ε4π

rerEK

(48)

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Page 46 Andreacute Michaud

Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene

verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux

particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie

adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau

1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le

positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et

leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave

la Reacutefeacuterence [22]

26 Gravitation

En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires

induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules

chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de

maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une

eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son

existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le

permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux

Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee

leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors

quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le

centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les

accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette

pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une

eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle

tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne

peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de

momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car

leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de

masse de la Terre [4] [16]

En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune

mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum

vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules

chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et

est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum

pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque

lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une

pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne

agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la

masse de la Terre [33]

Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de

reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que

de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat

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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir

de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au

rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables

permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps

ceacuteleste autour de lastre central

Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance

moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute

freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr

le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps

ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle

oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle

chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps

ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes

Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central

peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites

qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes

par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de

reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes

de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus

doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans

lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont

reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes

Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est

aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome

dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas

cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule

eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la

stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital

Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence

en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction

stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les

cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)

Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force

gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction

coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction

stationnaire

Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les

positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques

afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble

eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave

appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules

chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image

mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces

particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee

quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire

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Page 48 Andreacute Michaud

de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du

concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de

particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le

Tableau 2

Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])

Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques

Nom Porteacutee

Force

laquo traditionnelle raquo

associeacutee

Attracteur

primaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave

lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron

Forte

Attracteur

secondaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints

appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons

dans un noyau

Faible

Attracteur

tertiaire

Entre chaque eacutelectron captif et chaque

positon eacutelectromagneacutetiquement contraint

dun noyau et entre chaque eacutelectron et

chaque positon eacutelectromagneacutetiquement

contraint des noyaux des autres atomes de

toute accumulation de matiegravere

Eacutelectromagneacutetique

Attracteur

temporaire

local

Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun

photon Eacutelectromagneacutetique

Attracteur temporaire

eacuteloigneacute

Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du

reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique

Attracteur quaternaire

Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du

reste de lrsquounivers

Graviteacute

Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre

plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance

daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance

caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la

structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte

Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux

datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique

aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les

atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere

correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier

niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute

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Andreacute Michaud Page 49

libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau

astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle

Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction

coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique

transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence

quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4

forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui

savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute

dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente

dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel

Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere

permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le

centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme

dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme

dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des

atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble

des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la

direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant

en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses

Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses

macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la

profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales

eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave

la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]

Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la

Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses

macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes

une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les

eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus

eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons

retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors

un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme

dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine

section

Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme

celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et

quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des

orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute

qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne

induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des

noyaux

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Page 50 Andreacute Michaud

Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette

pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission

de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les

eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave

mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee

denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante

dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les

eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec

linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage

de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le

deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant

agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes

quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en

chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]

Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les

masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent

les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui

diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux

atomiques

Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction

coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une

augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe

central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique

variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des

nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]

Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que

la profondeur augmente dans les masses macroscopiques

Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire

ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne

peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules

eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances

internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x

de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces

petites masses et celles de la Terre

Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes

constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction

proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est

laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons

captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des

photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale

meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant

agrave leurs orbitales daction stationnaire

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 51

Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation

daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la

freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience

de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps

voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps

avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion

tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du

champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee

En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons

de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la

mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement

axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation

dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les

sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs

trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace

profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur

lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les

masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en

conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel

Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de

Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres

qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne

[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient

agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur

oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ

magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques

28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees

expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en

perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de

la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant

la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit

une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les

anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de

piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]

Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un

proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action

plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a

lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes

quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees

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Page 52 Andreacute Michaud

Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos

par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de

2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-

porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]

j18-2E2179784831γcmΔKE 2

oK (49)

Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)

qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de

Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son

mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction

stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie

totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale

deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse

au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus

de stabilisation

j141875401148cmcmΔKE 2

0

2

me E (50)

Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune

quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie

j10-7E150327730cmE 2

pp (51)

Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr

0548911836

1

E

E

p

e (52)

On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de

grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la

composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par

rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele

reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en

perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de

leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus

grande

4968964481

1

E

E

p

K (53)

Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par

linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du

momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le

processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre

inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere

Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette

eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct

Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur

agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera

communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que

leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera

eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et

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Andreacute Michaud Page 53

mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de

freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere

La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de

Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin

Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas

vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de

lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-

2000 [18]

Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et

son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors

de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le

mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest

pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du

photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa

configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une

inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve

photoeacutelectrique de Einstein

La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum

ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur

lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de

son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant

son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son

volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)

Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie

eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum

unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum

complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)

La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe

dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de

jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule

transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme

dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du

photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y

pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut

ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8

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Page 54 Andreacute Michaud

La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant

inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux

champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du

proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence

darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J

vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la

quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement

qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du

photon porteur

T4692470103λα

ceπμ22

23

0 B (54)

ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout

deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs

magneacutetiques

En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de

leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome

dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable

coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la

meacutecanique actuelle deacutemission de photons

Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que

leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant

vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste

eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie

vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une

flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication

suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et

le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas

par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron

agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]

De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre

faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et

un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement

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Andreacute Michaud Page 55

compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite

lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis

artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion

initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la

rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en

permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence

Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation

de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron

dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute

eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence

[33]

Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette

distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque

la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de

remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement

induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la

direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression

stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente

eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie

que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant

momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV

temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon

eacutelectromagneacutetique seacutepareacute

La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra

leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ

magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le

montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence

dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe

devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]

Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y

eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se

deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges

opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la

valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le

proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de

leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la

part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue

par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne

Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui

fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit

de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que

leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave

saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe

de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous

forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des

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Page 56 Andreacute Michaud

impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau

macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d

La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton

comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie

ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique

incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La

reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience

que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que

linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de

leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis

et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce

processus de freinage si bref

Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de

lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers

lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum

qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du

reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-

quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par

deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet

leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller

transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi

loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se

deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]

Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la

seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet

momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la

vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre

compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du

photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave

lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale

des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de

la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute

totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement

invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton [4]

29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques

Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la

massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-

eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee

par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant

adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK

nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui

interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais

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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du

proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale

dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que

deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum

ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression

momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs

eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie

transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de

2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de

Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du

systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur

vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut

maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-

porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

le permettra [52]

Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en

conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee

plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos

eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou

agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme

eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par

accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18

j

Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et

documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent

document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui

permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons

eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de

leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article

30 Conclusion

Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie

eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de

concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme

si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait

dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne

La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de

Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la

deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin

complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit

une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus

deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit

preacuteceacutedemment

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Page 58 Andreacute Michaud

Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une

conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies

anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux

expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les

eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un

ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par

Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz

Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations

eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees

provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire

Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique

quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident

geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant

donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision

cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants

magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013

pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]

Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des

eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]

Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet

dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques

denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave

lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du

comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

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Andreacute Michaud Page 63

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Autres articles dans le mecircme projet

Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique

Page 4: L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

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Page 4 Andreacute Michaud

La nuance est importante cependant car lhypothegravese de de Broglie agrave propos du photon localiseacute

agrave double particule qui eacutemerge directement de linterpreacutetation de Maxwell se retrouve ainsi en

porte-agrave-faux par rapport agrave leacutelectrodynamique classique et la QED parce que lapproche de

Lorenz occulte le fait que les champs E et B sont seacutepareacutement dimportance eacutegale Par exemple le

rocircle preacutepondeacuterant donneacute aux charges eacutelectriques dans la QED semble ne laisser aucune fonction

preacutecise agrave laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dans une possible meacutecanique

dinduction mutuelle qui impliquerait les deux champs seacutepareacutes contrairement agrave linterpreacutetation de

Maxwell Mecircme le fait que la QED telle que formuleacutee ne peut expliquer linduction mutuelle

des deux champs dans les systegravemes LRC ne semble pas attirer lattention sur cette question

2 Mise en perspective en fonction des ordres de grandeur relatifs

Pour bien mettre en perspective la possibiliteacute de deacutecrire leacutenergie qui constitue la substance

mecircme dont sont constitueacutees toutes les particules eacuteleacutementaires localiseacutees telles que les photons

eacutelectromagneacutetiques les eacutelectrons et les positons au niveau subatomique dune maniegravere qui ne

serait pas en conflit avec la theacuteorie bien eacutetablie de londe eacutelectromagneacutetique continue de

Maxwell qui est appliqueacutee avec tant de succegraves agrave notre niveau macroscopique il faut en premier

lieu prendre conscience que tout les objets et processus que nous pouvons deacutetecter et mesurer

dans la reacutealiteacute objective peuvent ecirctre classeacutes comme relevant de lun des quatre ordres de

magnitude suivants Par ordre deacutecroissant damplitude ces divers ordres de grandeur peuvent ecirctre

deacutefinis de maniegravere tregraves geacuteneacuterale comme suit

1- Niveau astronomique Ordre de grandeur deacutepassant en dimensions le cadre

strict de la seule planegravete Terre

2- Niveau macroscopique Ordre de grandeur dans lequel tout objet ou processus

peut ecirctre directement mesureacute agrave la surface de la Terre et dans son environnement

3- Niveau sous-microscopique ou atomique Ordre de grandeur des moleacutecules et

atomes

4- Niveau subatomique Ordre de grandeur des particules eacuteleacutementaires dont les

atomes sont constitueacutes ainsi que de leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui constitue

leur substance qui supporte leur mouvement deacutetermine leur inertie et qui peut

aussi circuler librement sous forme quantifieacutee agrave la vitesse de la lumiegravere lorsque

non directement associeacutee agrave lune de ces particules eacuteleacutementaires

Les 3 premiers niveaux sont geacuteneacuteralement familiers pour tous mais le niveau subatomique ne

lest pas Nous pouvons directement percevoir et mesurer les objets et processus de notre

environnement au niveau macroscopique et nous percevons et mesurons indirectement avec de

plus en plus de preacutecision les objets et processus appartenant autres ordres de grandeurs agrave mesure

que nos instruments se perfectionnent

Il peut sembler paradoxal drsquoaffirmer si fermement que lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique peut ecirctre

directement deacutefinie comme eacutetant quantifieacutee sous forme de photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

au niveau subatomique conformeacutement aux eacutequations de Maxwell tout en demeurant en parfaite

harmonie avec sa theacuteorie des ondes eacutelectromagneacutetiques continues se propageant dans un medium

sous-jacent qui a eu tant de succegraves telle quappliqueacutee agrave notre niveau macroscopique soit une

question qui fait deacutebat depuis le deacutebut du 20e siegravecle

Il faut mettre en perspective ici que nous ne percevons par ailleurs aucun paradoxe dans le fait

que nous observons directement que limage dun eacutecran de teacuteleacutevision nous apparaicirct continue de

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Andreacute Michaud Page 5

maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien

conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi

directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee

physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement

seacutepareacutes

De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave

traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en

sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules

localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau

subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-

mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees

eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne

pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de

leacutecran de teacuteleacutevision

La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un

fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne

pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme

nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous

comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau

macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees

glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants

instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces

moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique

Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau

subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision

dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre

de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre

de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute

de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de

leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos

microscopes eacutelectroniques

Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de

grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la

perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la

diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les

moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment

petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre

niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie

eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus

grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave

sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre

niveau macroscopique

Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de

grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique

consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune

moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la

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Page 6 Andreacute Michaud

distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi

agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome

dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons

eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au

mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres

particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave

linteacuterieur de la structure du proton et du neutron

Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau

subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au

repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument

suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique

contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement

possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la

granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une

granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est

inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des

particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique

sont les suivants

1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere

quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir

Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])

2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons

possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience

photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la

moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de

la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses

solaires [3] [11]

3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons

eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-

positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se

reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de

nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse

invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance

eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve

expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le

seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons

eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans

quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]

4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et

une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C

5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des

particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 7

de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des

systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])

Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement

nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par

ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave

partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement

des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes

soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par

les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux

en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des

changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau

atomique

Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de

leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee

lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules

infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets

qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants

microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les

cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long

de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous

prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre

[14]

Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour

que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune

intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des

atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi

que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui

peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes

seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium

Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie

eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la

traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis

pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau

subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)

mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations

eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une

onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une

harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier

chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation

tireacutee de ses Lectures on Physics [15]

There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are

not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen

electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain

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Page 8 Andreacute Michaud

Traduction

Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne

sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement

associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique

Quantique ces difficulteacutes demeurent

Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent

matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure

granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue

uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie

des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier

deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne

de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la

structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des

neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement

eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique

transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute

matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos

Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure

eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de

Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau

subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de

reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau

subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique

3 Deux perceacutees majeures reacutecentes

Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure

interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique

qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne

semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de

Minkowski [17]

la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie

deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave

limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans

le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-

temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de

ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur

aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p

273)

Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure

eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec

les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires

stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau

subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de

Maxwell

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Andreacute Michaud Page 9

Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective

lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales

recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute

expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de

la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale

4 La premiegravere perceacutee majeure

Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de

lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects

fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau

subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun

agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation

stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de

cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est

perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par

ces deux champs (voir Figure 1)

La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant

de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut

formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de

Saint-Peacutetersbourg [18]

Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la

Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave

augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k

(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D

pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme

eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux

autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun

Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale

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Page 10 Andreacute Michaud

Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au

centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la

substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des

vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale

stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux

espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-

quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-

transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui

reacuteside dans lespace-X

Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique

trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles

de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3

parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre

eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire

matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant

chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3

espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes

orthogonaux internes reacutesultants

5 La deuxiegraveme perceacutee majeure

Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul

Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre

laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui

permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui

augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ

magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de

leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article

publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de

Kazan [20]

Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees

constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne

dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une

eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de

maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee

pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]

ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin

Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes

les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules

complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et

autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules

eacuteleacutementaires [24]

Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des

atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons

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eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions

destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que

sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des

seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou

lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees

eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]

Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de

larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement

sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa

deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement

deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre

directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre

article reacutecemment publieacute [4]

Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese

personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la

premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une

deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir

de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave

leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun

doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique

geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les

eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi

du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser

directement dans son article original

LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees

auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie

de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee

autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique

transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de

leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement

mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable

avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise

en eacutevidence plus loin

Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable

agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation

relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le

champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est

constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce

fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de

mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective

par Marmet au deacutebut de son article [19]

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Page 12 Andreacute Michaud

Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis

Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui

seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie

Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du

champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle

geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant

omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute

de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans

lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme

charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept

ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter

sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de

Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et

matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee

exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement

qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration

perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation

qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui

soutient son mouvement dans lespace

Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme

rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de

laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut

donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons

dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart

Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron

en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste

ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son

champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette

derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable

avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc

2 - moc

2) car il est physiquement

et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux

directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une

de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de

laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ

magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee

Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave

mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune

seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute

deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie

du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux

quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee

que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors

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Andreacute Michaud Page 13

la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la

veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov

22 + (γmoc

2 -

moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique

quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de

Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la

distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement

et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees

les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement

Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie

doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ

magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme

geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de

cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour

obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en

mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin

6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte

Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a

initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information

qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait

consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale

deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord

ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-

quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]

associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse

transversale mesurable

7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein

En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil

reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes

lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant

cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique

fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une

traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la

diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb

ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons

comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par

linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre

deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait

pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 14 Andreacute Michaud

diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten

(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du

deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de

lintroduction de la RR faisait rage

Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le

momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie

cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans

les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont

pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique

fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement

en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont

toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et

certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de

1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz

Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre

vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de

consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions

traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des

connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction

En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par

lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave

eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force

de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y

est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en

ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie

pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte

lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou

alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la

distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des

charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de

leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant

eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules

chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique

qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique

classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme

des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement

par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la

communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui

Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir

de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier

du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet

maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue

en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=

e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance

entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e

24πεod

2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique

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Andreacute Michaud Page 15

adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse

simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil

semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui

entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce

moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir

Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et

qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment

Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la

RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et

aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la

Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de

lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement

causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de

Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules

eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron

selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse

classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de

particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective

plus loin

Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de

Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept

daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en

RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum

augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration

inertielle

8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le

demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale

mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee

du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement

ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant

dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second

point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la

vitesse

Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute

Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute

Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par

leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction

coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne

laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement

Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-

quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de

Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune

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Page 16 Andreacute Michaud

harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse

ecirctre reacutealiseacutee

9 Les Principes axiomatiques absolus

Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les

concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient

permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu

ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee

pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de

points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la

nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir

des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences

consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le

Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction

stationnaire et de moindre action etc

La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de

conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas

activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme

dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien

compris lorsquil fut initialement formuleacute

En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances

permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous

pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant

quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat

apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement

dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction

stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]

Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des

trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]

[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel

eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de

nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les

masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial

qui eacutetait le leur avant leur lancement

En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune

hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des

eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur

astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule

maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de

ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant

une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera

examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit

les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement

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Andreacute Michaud Page 17

Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un

cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere

deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement

associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif

et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour

tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle

sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ

eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide

Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance

en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee

au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de

Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un

momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique

et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort

consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un

mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule

eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et

quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de

mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement

seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une

eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une

forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de

force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur

pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression

interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de

lexpression trompeuse force de Coulomb

Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que

quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la

physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant

suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes

axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme

dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui

savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de

linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de

Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction

adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant

correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une

interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement

10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus

Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables

observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont

constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la

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Page 18 Andreacute Michaud

confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et

processus

Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au

moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon

classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de

nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la

masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]

Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute

magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-

composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune

rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction

[39]

Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces

termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus

auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels

comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple

11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule

eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement

en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres

permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du

quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du

champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui

est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons

eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie

eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau

macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell

12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)

En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave

confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique

transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un

fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]

Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences

effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun

eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire

demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un

seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de

Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable

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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation

de son champ magneacutetique transversal

Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit

directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est

aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par

analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au

repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement

2

M

r

1

eμ e

e

2

0

(M-24)

Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron

ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en

correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi

que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation

(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)

Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)

dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique

rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant

perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article

[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute

graphiquement comme se deacuteplaccedilant

2

0

r

ud sd

Iμd

B (M-1)

Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire

invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q

de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere

dt

)d(Ne

dt

dQI

-

(M-2)

Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure

constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv

puisque dt

dxv donc

v

dxdt (M-3)

En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par

sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint

dx

)vd(Ne

dt

d(Ne)I

-

(M-4)

Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart

dx)θsin(r4π

Iμd

2

0B (M-5)

En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-

4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte

sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition

puisque le courant demeure constant

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Page 20 Andreacute Michaud

)(Ned)θsin(r4π

vμdx)θsin(

dx

)vd(Ne

r4π

μdx)θsin(

r4π

Iμd -

2

0

-

2

0

2

0 B (M-5a)

En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant

maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus

decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant

que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute

)(Ned)θsin(r4π

vμd -

2

0B (M-6)

13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur

Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence

sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte

dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce

qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant

Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π

veμNd -

2

-

0iB (M-7)

Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant

les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer

pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est

absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous

allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de

sa deacuterivation

Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)

Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux

variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure

ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la

distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et

spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre

conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation

cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ

magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation

correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)

Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)

puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e

-) ce qui

constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de

lrsquoEacutequation (M-7)

)(ed)θsin(r4π

vμd -

2

0iB (M-6a)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 21

Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer

conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de

distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette

distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc

maintenant

)d(er4π

vμd -

2

0iB (M-6b)

Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le

calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux

occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons

agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)

-

2

0 er4π

vμiB (M-6c)

qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation

conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)

Eacutequation (M-7) correcte 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ

magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique

stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du

champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron

centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute

par lEacutequation (M-7)

Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie

trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le

flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement

propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement

ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue

lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant

physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron

Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment

stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil

meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des

eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant

donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute

les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de

saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation

triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de

leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule

eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques

individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction

transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique

macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur

dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 22 Andreacute Michaud

cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut

rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul

eacutelectron

Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins

magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui

fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir

mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique

macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la

Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables

macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme

processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie

des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes

Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer

lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite

agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique

massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa

masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite

dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne

La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par

leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au

deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]

magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)

15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet

La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)

concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des

particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz

16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz

Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de

vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2

semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale

eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal

qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons

plus loin que ce nest pas le cas

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour

repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron

2

2

e

2

2

e

2

0cv

c

v

2

m

c

v

r8π

eμm (1)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 23

Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ

magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio

v2c

2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient

neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de

la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce

qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos

invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel

que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par

leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure

eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut

preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie

(Figure 3)

2

M

r

1

c

v

r

1

eμM e

e

2

0

2

2

e

2

00vuee_magneacutetiq

(M-24)

LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du

champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie

croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui

sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec

lEacutequation (M-24)

2

0cv

r4π

veμ B (2)

Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des

repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction

du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une

vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du

momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-

18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la

Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome

drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement

correct de masse relativiste

kg355E242533771

cr8π

1218764756eμ

cr8π

veμm

2

e

22

0

2

e

22

0m (3)

A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il

faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme

vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de

lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme

valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique

de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron

Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition

eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste

un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut

quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c

2 c eacutetant invariant et v

pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute

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Page 24 Andreacute Michaud

preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique

transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre

vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement

proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron

(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite

de 409355207E-14 j)

Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute

invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique

intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique

de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer

leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de

Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente

toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-

magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de

leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute

totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la

masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de

masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2

Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette

somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur

gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de

calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)

Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec

leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit

leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de

leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus

leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par

structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc

2

K2E

KK4Ecv

2

(4)

Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des

eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes

de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees

C

2

CC

λ2λ

λλ4λcv

(5)

A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis

leacutelaboration de ces eacutequations

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Andreacute Michaud Page 25

17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)

Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le

rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de

lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ

magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la

deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par

lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee

transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB

mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette

augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique

constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron

409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement

eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation

entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec

leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron

Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute

deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de

Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration

spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2

=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est

obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure

fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]

m155E2817940282π

αλr Ce (6)

Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)

devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de

lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde

eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c

mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de

de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est

(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique

Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave

linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans

lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]

m11E29177208352π

λ

λr B

Br (7)

Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude

transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en

multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y

a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave

lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin

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Page 26 Andreacute Michaud

atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet

maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient

mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal

invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique

correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec

lEacutequation (2)

T0405235047

113E529177208α4π

1218764756eμ

rα4π

veμ2

0

2

B

0

B (8)

Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee

que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant

une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale

serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence

Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable

comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la

avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut

eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que

cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir

lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal

Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de

leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable

soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ

magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)

sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et

nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)

T7346235051

86E455633525α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

23

0

B (9)

Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation

geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de

lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique

transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de

Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie

strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil

La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant

lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de

lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse

dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer

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Andreacute Michaud Page 27

18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse

Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer

lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa

version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire

lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de

linduction deacutenergie dans un eacutelectron

Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que

leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en

anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette

eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle

constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment

cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique

classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave

laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite

Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est

aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est

deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte

aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique

correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un

corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute

Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car

nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave

des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle

lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]

Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de

leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de

leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante

e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui

induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules

chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui

les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par

rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de

leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule

Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme

des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment

reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique

en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement

mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute

expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui

fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute

deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute

preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse

limite de la lumiegravere

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 28 Andreacute Michaud

En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques

pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont

typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la

Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement

fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons

maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales

19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11

Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour

dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons

sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer

laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui

sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ

magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte

Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace

ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses

approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que

mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs

trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de

vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000

kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par

fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne

Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le

lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees

qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant

anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des

phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde

gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute

astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces

trajectoires est incapable den rendre compte

Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme

solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement

de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus

faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr

vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre

expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))

Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles

de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie

systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles

eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre

deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]

[37] [38]

Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande

publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne

que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute

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Andreacute Michaud Page 29

astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des

anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998

telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation

systeacutematique dorigine inconnue

Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec

les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses

typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal

deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces

deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie

transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette

derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les

paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation

Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de

Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement

j5E102658722731v-c

cmcΔK

22

2

(10)

Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour

Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de

kg78228E952c

ΔKΔm

2m (11)

Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour

expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de

ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la

proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse

au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent

initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de

masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele

et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la

Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du

temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne

tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont

faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des

masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin

20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui

est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme

densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne

neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du

quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron

Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le

champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en

mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui

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Page 30 Andreacute Michaud

repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en

utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de

structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette

eacutenergie

T1E1382890002212-5E242631021α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

2

C

3

0

e B (12)

Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide

quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui

pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la

densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par

exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne

comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales

Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien

connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse

relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes

deacutegales intensiteacutes

B

Ev (13)

La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en

additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de

la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)

pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de

Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne

invariant Be de la masse au repos de leacutelectron

T6E13828900024

λλ

λλ

α

ceπμ

λα

ceπμ

λα

ceπμ2

C

2

2

C

2

3

0

23

0

2

C

3

0e

BBB (14)

Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun

champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation

geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave

une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut

analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui

geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou

deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les

structures atomiques

λλdr

λE

αε2

e

α

2πe

ε4π

10

2πα

e

ε4π

1

o

22

o a 2

2

o0

(15)

Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout

quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la

constante de Planck

αλε2

ehE

o

2

f (16)

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Andreacute Michaud Page 31

Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de

forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration

fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que

linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force

classiques

Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc

eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde

longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser

avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)

NC673727E130467λαε

πe23

0

E (17)

Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au

repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron

Compton comme suit

NC4E10602933175λαε

πe2

C

3

0

e E (18)

Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la

vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple

addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique

ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE

des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique

qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ

monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute

agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave

la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =

4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron

(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante

NCE208133411211

λ2λλλ

λ4λλλλ

αε

πe

C

2

C

2

CC

2

C

2

3

0

E (19)

Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le

champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas

contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local

ms56621876476E13828900024

1E20181334112v

B

E (20)

Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE

avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement

qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos

invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement

lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la

vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle

leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la

Reacutefeacuterence [32]

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Page 32 Andreacute Michaud

21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos

Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de

Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse

au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son

increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie

adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique

interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans

les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute

graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la

composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee

transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement

doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son

champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique

Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse

de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent

les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie

eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour

conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]

Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere

permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que

formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon

eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute

selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent

mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]

t)(ωsin

2

iL t)(ωcos

2C

e

hcE 2

2

λλ2

λ

2

(21)

ougrave

λ

2

(max)2C

eE E

et 2

iLE

2

λλ(max) B

(22)

et

αλ2εC 0λ 8π

αλμL

2

αλ

ec2πiλ (23)

La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des

champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement

aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees

avec les Eacutequations (22)

23

0 λαε

πeE 23

0

λα

πecμB (24)

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Andreacute Michaud Page 33

et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute

maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement

2

35

λαV (25)

ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence

[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui

confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie

porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit

la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee

transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie

transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum

Vt)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

hcE 2

0

22

2

0

BE (26)

22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives

Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933

[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-

produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se

transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon

dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de

leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute

speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme

de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale

associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait

seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]

Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue

entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave

leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges

opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste

et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet

de construire leacutequation de la maniegravere suivante

2

0

2

m

1o

2

1

λ

1cmcΔmΔK2

λ

1

αε2

eE

C1

(27)

dans laquelle

2o

22

1

αε2

ecΔmΔK ougrave

C12 2λ

1

λ

1

2

1

λ

1 (28)

Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de

leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en

cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie

reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos

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Page 34 Andreacute Michaud

invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre

les deux particules maintenant seacutepareacutees

Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford

(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons

eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau

impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires

eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave

proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur

lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]

Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces

vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel

des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel

plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une

meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou

plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en

leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des

masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit

leacutequation suivante

V

t)(ωsin K2μ

t)(ωcos)jJjJ(4

ε2

iI2λ

hciIE

2

Z0

2

2

Y

2

0

X

B

E

(29)

se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure

eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

me0

KB

jIjI

iJE

0

ν

(30)

et

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

mp

ν

0

KB

jIjI

iJE

0 (31)

dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique

maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute

lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre

constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une

oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation

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Andreacute Michaud Page 35

entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-

porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]

3

2

3

C

5

m m477E1497393262π

λαV et

2

C

3

0 λαε

eπν (32)

Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere

fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse

de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope

stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la

Reacutefeacuterence [20]

Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus

leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant

invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC

du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les

deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et

deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la

vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec

lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]

C

CC

λ2λ

λ4λλcv

ou

K2E

K4EKcv

2

(33)

Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur

donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au

repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du

photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse

de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de

Broglie [32] [3]

Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon

car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple

en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume

isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie

nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron

qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque

j148E4093552062π

λα

μ2λα

ceπμV

2μ 2

3

C

5

0

2

2

C

3

0m

0

2

B (34)

23 Construction de particules complexes stables

Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts

de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont

typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la

communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en

raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement

eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus

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Page 36 Andreacute Michaud

petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue

tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]

Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont

aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que

leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre

eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps

ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction

stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des

particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par

rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-

destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)

Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions

mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-

dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence

infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux

eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement

frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions

frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes

hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)

Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible

Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors

dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons

eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules

complexes comme le proton et le neutron

Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des

eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave

ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee

(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves

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Andreacute Michaud Page 37

avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure

5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest

quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale

pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours

(Figures 5-b)

Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et

collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-

ponctuel

Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction

frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les

protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de

positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique

permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel

quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable

dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre

observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]

Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la

conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron

[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites

dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites

planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace

soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement

eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon

Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce

volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand

acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie

dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al

[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants

chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations

des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge

eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une

charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons

ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-

composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)

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Page 38 Andreacute Michaud

Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives

De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et

expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants

chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-

composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants

chargeacutes positivement [22] [25]

Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement

confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au

fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-

ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et

positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent

ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et

confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des

nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges

seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des

positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la

nature dispose pour construire les nucleacuteons

Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants

nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge

fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent

naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils

eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des

structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]

La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes

preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons

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Andreacute Michaud Page 39

correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence

de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement

estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui

peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie

agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]

soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la

seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee

pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]

2

0

eudicαn

3e

a

km

(n=1 2 3) (35)

ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la

lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale

eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de

Coulomb

8E9898755178ε4π

1k

o

(36)

En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages

expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer

cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc

2 pour la

sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux

distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe

coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de

lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]

Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la

mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la

masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient

effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour

de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces

deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance

Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie

matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee

confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et

eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent

respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas

encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et

eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des

interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures

Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres

particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par

collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees

up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee

par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de

reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant

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Page 40 Andreacute Michaud

les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach

et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee

Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave

laide de lEacutequation (35)

Masse au repos Eacutenergie Charge Ref

Eacutelectron ou positon en

mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV

plusmn1=

1602176462E-19 C [21]

Positon

eacutelectromagneacutetiquement

contraint

1 dans le neutron

2 dans le proton

2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=

1068117641E-19 C [22]

Eacutelectron

Eacutelectromagneacutetiquement

contraint

2 dans le neutron

1 dans le proton

8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=

5340588207E-20 C [22]

La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur

concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un

physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son

libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par

Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu

compte

Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The

theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far

beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks

themselves were never discovered in any scattering experiment

Traduction

Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de

succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent

quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-

mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision

Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute

produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et

quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u

(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en

parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par

Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron

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Andreacute Michaud Page 41

Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement

nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes

quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des

Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte

eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie

qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur

est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet

pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes

eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et

positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires

Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des

eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure

collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette

somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La

diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont

lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de

lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe

qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont

deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints

eacutelectromagneacutetiquement

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

U

Y

2

0

U

2

m

2

U

U

B

E

ν (37)

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

D

Y

2

0

D

2

m

2

DD

B

E

ν (38)

Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses

au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement

eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]

Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en

relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici

pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite

par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en

translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de

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Page 42 Andreacute Michaud

reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de

translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport

une telle orbite circulaire

24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance

La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron

dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le

premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave

une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr

mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite

fermeacutee autour du proton

Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait

cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de

leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de

stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave

veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure

Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur

de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition

nhTβ-1

β

2

22

o r

cm (n eacutetant un nombre entier) (39)

Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de

reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction

donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte

cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de

nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil

identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature

eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut

expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait

rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique

deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses

eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion

dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules

eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte

cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories

dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique

Quantique sous sa forme traditionnelle

De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de

Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave

cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec

lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa

disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui

supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique

autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute

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Andreacute Michaud Page 43

perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie

eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que

leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton

En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton

nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee

autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie

concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie

induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement

Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique

strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur

temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques

eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des

orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales

de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la

freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie

du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de

reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie

sj34E662606876λvmh BB0 (40)

ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite

de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont

le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne

entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit

leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel

que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de

fB=6579683921E15 Hz

Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette

freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier

la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir

leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb

Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble

correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler

toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie

induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute

leacutenergie du quantum soit accumuleacutee

j 18-8E435974380rε4π

ehE

Bo

2

BB f (41)

dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))

Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la

longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique

la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel

quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]

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Page 44 Andreacute Michaud

αλε2

ehνE

o

2

(42)

ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale

dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue

suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec

lEacutequation (41) est donc

m82E455633525E

hcλ

B

(43)

ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave

obtenue avec lEacutequation (41) standard

j188E435974380αλε2

ehνE

o

2

B (44)

Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer

leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition

conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats

deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et

nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de

cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet

aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est

fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires

chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout

mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif

Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs

impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de

leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant

dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera

analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes

neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la

quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction

coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont

captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre

cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique

Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est

constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie

dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir

dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee

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Andreacute Michaud Page 45

par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la

valeur obtenue sera constant

Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de

lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee

de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie

eacutelectromagneacutetique (λ)

mj25E986445441α2ε

eEλH

0

2

(45)

Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur

temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la

constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante

H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui

reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que

historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee

deacutequations eacutelectromagneacutetiques

sj34E662606876c

Hh (46)

Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut

maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit

la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la

communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de

constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement

confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics

[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)

[40]

sj34E662606876αc2ε

eh

0

2

(47)

252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique

Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-

dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais

lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante

dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)

de latome dhydrogegravene et de son noyau

La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence

[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux

maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage

dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB

au carreacute

2

o

B

22

BB mj386E122085259ε4π

rerEK

(48)

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Page 46 Andreacute Michaud

Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene

verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux

particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie

adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau

1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le

positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et

leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave

la Reacutefeacuterence [22]

26 Gravitation

En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires

induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules

chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de

maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une

eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son

existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le

permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux

Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee

leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors

quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le

centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les

accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette

pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une

eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle

tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne

peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de

momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car

leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de

masse de la Terre [4] [16]

En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune

mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum

vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules

chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et

est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum

pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque

lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une

pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne

agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la

masse de la Terre [33]

Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de

reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que

de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat

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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir

de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au

rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables

permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps

ceacuteleste autour de lastre central

Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance

moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute

freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr

le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps

ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle

oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle

chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps

ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes

Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central

peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites

qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes

par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de

reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes

de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus

doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans

lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont

reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes

Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est

aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome

dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas

cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule

eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la

stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital

Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence

en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction

stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les

cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)

Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force

gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction

coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction

stationnaire

Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les

positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques

afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble

eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave

appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules

chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image

mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces

particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee

quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire

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Page 48 Andreacute Michaud

de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du

concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de

particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le

Tableau 2

Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])

Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques

Nom Porteacutee

Force

laquo traditionnelle raquo

associeacutee

Attracteur

primaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave

lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron

Forte

Attracteur

secondaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints

appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons

dans un noyau

Faible

Attracteur

tertiaire

Entre chaque eacutelectron captif et chaque

positon eacutelectromagneacutetiquement contraint

dun noyau et entre chaque eacutelectron et

chaque positon eacutelectromagneacutetiquement

contraint des noyaux des autres atomes de

toute accumulation de matiegravere

Eacutelectromagneacutetique

Attracteur

temporaire

local

Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun

photon Eacutelectromagneacutetique

Attracteur temporaire

eacuteloigneacute

Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du

reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique

Attracteur quaternaire

Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du

reste de lrsquounivers

Graviteacute

Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre

plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance

daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance

caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la

structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte

Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux

datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique

aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les

atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere

correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier

niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute

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Andreacute Michaud Page 49

libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau

astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle

Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction

coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique

transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence

quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4

forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui

savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute

dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente

dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel

Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere

permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le

centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme

dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme

dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des

atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble

des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la

direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant

en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses

Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses

macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la

profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales

eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave

la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]

Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la

Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses

macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes

une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les

eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus

eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons

retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors

un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme

dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine

section

Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme

celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et

quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des

orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute

qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne

induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des

noyaux

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Page 50 Andreacute Michaud

Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette

pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission

de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les

eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave

mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee

denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante

dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les

eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec

linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage

de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le

deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant

agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes

quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en

chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]

Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les

masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent

les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui

diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux

atomiques

Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction

coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une

augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe

central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique

variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des

nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]

Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que

la profondeur augmente dans les masses macroscopiques

Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire

ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne

peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules

eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances

internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x

de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces

petites masses et celles de la Terre

Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes

constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction

proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est

laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons

captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des

photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale

meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant

agrave leurs orbitales daction stationnaire

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 51

Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation

daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la

freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience

de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps

voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps

avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion

tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du

champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee

En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons

de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la

mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement

axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation

dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les

sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs

trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace

profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur

lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les

masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en

conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel

Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de

Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres

qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne

[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient

agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur

oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ

magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques

28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees

expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en

perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de

la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant

la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit

une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les

anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de

piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]

Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un

proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action

plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a

lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes

quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees

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Page 52 Andreacute Michaud

Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos

par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de

2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-

porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]

j18-2E2179784831γcmΔKE 2

oK (49)

Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)

qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de

Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son

mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction

stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie

totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale

deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse

au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus

de stabilisation

j141875401148cmcmΔKE 2

0

2

me E (50)

Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune

quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie

j10-7E150327730cmE 2

pp (51)

Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr

0548911836

1

E

E

p

e (52)

On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de

grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la

composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par

rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele

reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en

perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de

leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus

grande

4968964481

1

E

E

p

K (53)

Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par

linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du

momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le

processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre

inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere

Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette

eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct

Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur

agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera

communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que

leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera

eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et

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Andreacute Michaud Page 53

mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de

freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere

La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de

Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin

Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas

vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de

lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-

2000 [18]

Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et

son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors

de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le

mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest

pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du

photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa

configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une

inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve

photoeacutelectrique de Einstein

La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum

ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur

lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de

son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant

son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son

volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)

Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie

eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum

unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum

complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)

La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe

dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de

jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule

transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme

dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du

photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y

pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut

ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8

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Page 54 Andreacute Michaud

La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant

inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux

champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du

proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence

darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J

vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la

quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement

qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du

photon porteur

T4692470103λα

ceπμ22

23

0 B (54)

ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout

deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs

magneacutetiques

En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de

leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome

dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable

coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la

meacutecanique actuelle deacutemission de photons

Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que

leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant

vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste

eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie

vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une

flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication

suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et

le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas

par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron

agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]

De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre

faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et

un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement

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Andreacute Michaud Page 55

compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite

lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis

artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion

initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la

rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en

permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence

Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation

de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron

dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute

eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence

[33]

Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette

distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque

la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de

remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement

induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la

direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression

stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente

eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie

que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant

momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV

temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon

eacutelectromagneacutetique seacutepareacute

La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra

leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ

magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le

montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence

dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe

devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]

Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y

eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se

deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges

opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la

valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le

proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de

leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la

part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue

par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne

Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui

fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit

de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que

leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave

saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe

de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous

forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des

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Page 56 Andreacute Michaud

impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau

macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d

La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton

comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie

ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique

incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La

reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience

que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que

linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de

leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis

et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce

processus de freinage si bref

Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de

lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers

lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum

qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du

reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-

quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par

deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet

leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller

transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi

loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se

deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]

Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la

seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet

momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la

vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre

compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du

photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave

lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale

des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de

la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute

totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement

invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton [4]

29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques

Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la

massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-

eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee

par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant

adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK

nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui

interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais

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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du

proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale

dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que

deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum

ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression

momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs

eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie

transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de

2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de

Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du

systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur

vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut

maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-

porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

le permettra [52]

Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en

conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee

plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos

eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou

agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme

eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par

accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18

j

Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et

documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent

document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui

permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons

eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de

leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article

30 Conclusion

Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie

eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de

concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme

si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait

dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne

La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de

Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la

deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin

complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit

une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus

deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit

preacuteceacutedemment

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 58 Andreacute Michaud

Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une

conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies

anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux

expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les

eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un

ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par

Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz

Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations

eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees

provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire

Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique

quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident

geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant

donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision

cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants

magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013

pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]

Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des

eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]

Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet

dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques

denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave

lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du

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Autres articles dans le mecircme projet

Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique

Page 5: L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

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Andreacute Michaud Page 5

maniegravere fluide telle que vue dune distance de que quelques megravetres agrave peine tout en eacutetant bien

conscients que si nous nous approchons suffisamment nous observons directement aussi

directement agrave notre niveau macroscopique que dans la reacutealiteacute physique limage est geacuteneacutereacutee

physiquement par des milliers de rangeacutees clairement seacutepareacutees de tregraves petits pixels clairement

seacutepareacutes

De ce point de vue il est inteacuteressant de noter que nous ne voyons non plus aucun paradoxe agrave

traiter lrsquoeau comme eacutetant un fluide sans structure interne agrave notre niveau macroscopique tout en

sachant parfaitement qursquoau niveau sous-microscopique elle nest composeacutee que de moleacutecules

localiseacutees elles-mecircmes constitueacutees drsquoatomes localiseacutes eux-mecircmes constitueacutes au niveau

subatomique drsquoeacutelectrons eacuteleacutementaires localiseacutes chargeacutes eacutelectriquement et de nucleacuteons eux-

mecircmes composeacutes de particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires localiseacutees chargeacutees

eacutelectriquement et qui sont toutes individuellement massives et quantifieacutees mecircme si nous ne

pouvons pas voir directement ces moleacutecules agrave notre niveau macroscopique comme dans le cas de

leacutecran de teacuteleacutevision

La raison pour laquelle nous ne voyons aucun problegraveme agrave percevoir et traiter leau comme un

fluide au niveau macroscopique est que mecircme matheacutematiquement en deacutepit du fait que nous ne

pouvons pas observer directement les moleacutecules localiseacutees qui constituent sa substance comme

nous pouvons le faire directement pour les pixels individuels de leacutecran de teacuteleacutevision nous

comprenons que ce que nous percevons comme la fluiditeacute de leau agrave notre niveau

macroscopique est en reacutealiteacute un effet de foule ducirc agrave dinnombrables moleacutecules deau localiseacutees

glissant librement les unes contre les autres au niveau sous-microscopique De plus nos puissants

instruments modernes de microscopie eacutelectronique nous permettent de deacutetecter indirectement ces

moleacutecules individuelles et les atomes dont elles sont constitueacutees au niveau sous-microscopique

Dans le cas de leacutenergie eacutelectromagneacutetique cependant sa nature granulaire au niveau

subatomique est loin decirctre aussi eacutevidente agrave percevoir que dans le cas de leacutecran de teacuteleacutevision

dans lequel sapprocher de quelques megravetres seulement de limage suffisent pour passer de lordre

de grandeur qui la fait percevoir comme une image en apparence uniformeacutement fluide agrave lordre

de grandeur agrave peine plus faible du mecircme niveau macroscopique qui permet de percevoir la reacutealiteacute

de sa structure granulaire lorsquobserveacutee directement agrave plus grande proximiteacute ou dans le cas de

leau dont la granulariteacute au niveau atomique peut ecirctre observeacutee indirectement agrave laide de nos

microscopes eacutelectroniques

Le cas de leau demande de toute eacutevidence un saut beaucoup plus consideacuterable dordres de

grandeur vers linfiniment petit entre la perception de sa fluiditeacute au niveau macroscopique et la

perception de sa granulariteacute sous-microscopique Pour prendre reacuteellement conscience de la

diffeacuterence entre ces deux ordres de grandeurs il suffit de penser que les atomes constituants les

moleacutecules deau sont aussi loin vers le niveau sous-microscopique en direction de linfiniment

petit que les galaxies le sont vers linfiniment grand astronomique par rapport agrave notre propre

niveau macroscopique terrestre Pour percevoir la granulariteacute subatomique de lrsquoeacutenergie

eacutelectromagneacutetique le saut agrave partir de notre ordre de grandeur macroscopique est encore plus

grand cest-agrave-dire aussi loin en direction lrsquoinfiniment petit agrave partir de lrsquoordre de grandeur deacutejagrave

sous-microscopique de lrsquoeacutechelle atomique que cette eacutechelle atomique se situe depuis notre propre

niveau macroscopique

Pour veacuteritablement conceptualiser la distance vers linfiniment petit agrave laquelle lordre de

grandeur de la granulariteacute de lrsquoeacutenergie eacutelectromagneacutetique se situe de lrsquoeacutechelle atomique

consideacuterons que si le proton drsquoun atome drsquohydrogegravene dont deux exemplaires font partie drsquoune

moleacutecule drsquoeau eacutetait agrandi pour devenir aussi gros que le soleil leacutelectron stabiliseacute agrave la

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Page 6 Andreacute Michaud

distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi

agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome

dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons

eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au

mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres

particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave

linteacuterieur de la structure du proton et du neutron

Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau

subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au

repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument

suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique

contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement

possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la

granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une

granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est

inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des

particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique

sont les suivants

1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere

quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir

Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])

2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons

possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience

photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la

moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de

la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses

solaires [3] [11]

3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons

eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-

positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se

reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de

nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse

invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance

eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve

expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le

seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons

eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans

quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]

4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et

une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C

5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des

particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux

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de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des

systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])

Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement

nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par

ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave

partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement

des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes

soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par

les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux

en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des

changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau

atomique

Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de

leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee

lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules

infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets

qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants

microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les

cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long

de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous

prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre

[14]

Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour

que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune

intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des

atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi

que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui

peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes

seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium

Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie

eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la

traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis

pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau

subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)

mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations

eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une

onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une

harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier

chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation

tireacutee de ses Lectures on Physics [15]

There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are

not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen

electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 8 Andreacute Michaud

Traduction

Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne

sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement

associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique

Quantique ces difficulteacutes demeurent

Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent

matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure

granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue

uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie

des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier

deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne

de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la

structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des

neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement

eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique

transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute

matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos

Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure

eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de

Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau

subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de

reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau

subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique

3 Deux perceacutees majeures reacutecentes

Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure

interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique

qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne

semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de

Minkowski [17]

la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie

deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave

limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans

le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-

temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de

ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur

aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p

273)

Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure

eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec

les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires

stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau

subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de

Maxwell

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 9

Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective

lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales

recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute

expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de

la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale

4 La premiegravere perceacutee majeure

Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de

lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects

fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau

subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun

agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation

stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de

cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est

perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par

ces deux champs (voir Figure 1)

La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant

de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut

formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de

Saint-Peacutetersbourg [18]

Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la

Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave

augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k

(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D

pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme

eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux

autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun

Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 10 Andreacute Michaud

Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au

centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la

substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des

vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale

stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux

espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-

quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-

transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui

reacuteside dans lespace-X

Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique

trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles

de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3

parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre

eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire

matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant

chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3

espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes

orthogonaux internes reacutesultants

5 La deuxiegraveme perceacutee majeure

Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul

Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre

laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui

permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui

augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ

magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de

leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article

publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de

Kazan [20]

Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees

constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne

dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une

eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de

maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee

pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]

ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin

Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes

les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules

complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et

autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules

eacuteleacutementaires [24]

Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des

atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons

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Andreacute Michaud Page 11

eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions

destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que

sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des

seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou

lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees

eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]

Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de

larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement

sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa

deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement

deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre

directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre

article reacutecemment publieacute [4]

Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese

personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la

premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une

deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir

de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave

leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun

doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique

geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les

eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi

du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser

directement dans son article original

LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees

auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie

de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee

autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique

transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de

leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement

mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable

avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise

en eacutevidence plus loin

Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable

agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation

relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le

champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est

constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce

fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de

mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective

par Marmet au deacutebut de son article [19]

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 12 Andreacute Michaud

Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis

Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui

seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie

Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du

champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle

geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant

omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute

de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans

lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme

charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept

ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter

sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de

Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et

matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee

exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement

qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration

perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation

qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui

soutient son mouvement dans lespace

Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme

rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de

laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut

donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons

dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart

Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron

en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste

ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son

champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette

derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable

avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc

2 - moc

2) car il est physiquement

et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux

directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une

de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de

laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ

magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee

Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave

mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune

seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute

deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie

du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux

quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee

que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors

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Andreacute Michaud Page 13

la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la

veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov

22 + (γmoc

2 -

moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique

quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de

Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la

distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement

et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees

les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement

Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie

doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ

magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme

geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de

cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour

obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en

mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin

6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte

Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a

initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information

qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait

consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale

deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord

ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-

quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]

associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse

transversale mesurable

7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein

En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil

reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes

lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant

cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique

fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une

traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la

diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb

ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons

comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par

linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre

deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait

pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement

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Page 14 Andreacute Michaud

diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten

(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du

deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de

lintroduction de la RR faisait rage

Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le

momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie

cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans

les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont

pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique

fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement

en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont

toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et

certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de

1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz

Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre

vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de

consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions

traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des

connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction

En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par

lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave

eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force

de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y

est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en

ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie

pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte

lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou

alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la

distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des

charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de

leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant

eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules

chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique

qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique

classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme

des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement

par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la

communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui

Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir

de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier

du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet

maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue

en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=

e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance

entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e

24πεod

2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique

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Andreacute Michaud Page 15

adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse

simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil

semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui

entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce

moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir

Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et

qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment

Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la

RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et

aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la

Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de

lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement

causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de

Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules

eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron

selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse

classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de

particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective

plus loin

Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de

Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept

daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en

RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum

augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration

inertielle

8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le

demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale

mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee

du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement

ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant

dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second

point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la

vitesse

Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute

Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute

Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par

leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction

coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne

laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement

Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-

quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de

Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune

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Page 16 Andreacute Michaud

harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse

ecirctre reacutealiseacutee

9 Les Principes axiomatiques absolus

Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les

concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient

permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu

ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee

pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de

points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la

nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir

des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences

consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le

Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction

stationnaire et de moindre action etc

La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de

conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas

activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme

dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien

compris lorsquil fut initialement formuleacute

En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances

permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous

pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant

quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat

apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement

dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction

stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]

Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des

trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]

[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel

eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de

nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les

masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial

qui eacutetait le leur avant leur lancement

En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune

hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des

eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur

astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule

maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de

ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant

une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera

examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit

les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement

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Andreacute Michaud Page 17

Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un

cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere

deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement

associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif

et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour

tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle

sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ

eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide

Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance

en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee

au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de

Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un

momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique

et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort

consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un

mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule

eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et

quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de

mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement

seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une

eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une

forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de

force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur

pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression

interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de

lexpression trompeuse force de Coulomb

Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que

quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la

physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant

suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes

axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme

dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui

savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de

linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de

Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction

adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant

correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une

interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement

10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus

Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables

observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont

constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la

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Page 18 Andreacute Michaud

confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et

processus

Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au

moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon

classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de

nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la

masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]

Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute

magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-

composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune

rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction

[39]

Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces

termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus

auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels

comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple

11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule

eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement

en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres

permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du

quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du

champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui

est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons

eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie

eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau

macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell

12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)

En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave

confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique

transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un

fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]

Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences

effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun

eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire

demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un

seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de

Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable

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Andreacute Michaud Page 19

transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation

de son champ magneacutetique transversal

Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit

directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est

aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par

analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au

repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement

2

M

r

1

eμ e

e

2

0

(M-24)

Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron

ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en

correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi

que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation

(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)

Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)

dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique

rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant

perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article

[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute

graphiquement comme se deacuteplaccedilant

2

0

r

ud sd

Iμd

B (M-1)

Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire

invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q

de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere

dt

)d(Ne

dt

dQI

-

(M-2)

Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure

constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv

puisque dt

dxv donc

v

dxdt (M-3)

En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par

sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint

dx

)vd(Ne

dt

d(Ne)I

-

(M-4)

Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart

dx)θsin(r4π

Iμd

2

0B (M-5)

En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-

4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte

sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition

puisque le courant demeure constant

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Page 20 Andreacute Michaud

)(Ned)θsin(r4π

vμdx)θsin(

dx

)vd(Ne

r4π

μdx)θsin(

r4π

Iμd -

2

0

-

2

0

2

0 B (M-5a)

En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant

maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus

decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant

que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute

)(Ned)θsin(r4π

vμd -

2

0B (M-6)

13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur

Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence

sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte

dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce

qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant

Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π

veμNd -

2

-

0iB (M-7)

Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant

les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer

pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est

absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous

allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de

sa deacuterivation

Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)

Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux

variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure

ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la

distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et

spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre

conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation

cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ

magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation

correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)

Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)

puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e

-) ce qui

constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de

lrsquoEacutequation (M-7)

)(ed)θsin(r4π

vμd -

2

0iB (M-6a)

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Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer

conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de

distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette

distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc

maintenant

)d(er4π

vμd -

2

0iB (M-6b)

Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le

calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux

occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons

agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)

-

2

0 er4π

vμiB (M-6c)

qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation

conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)

Eacutequation (M-7) correcte 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ

magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique

stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du

champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron

centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute

par lEacutequation (M-7)

Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie

trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le

flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement

propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement

ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue

lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant

physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron

Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment

stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil

meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des

eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant

donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute

les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de

saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation

triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de

leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule

eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques

individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction

transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique

macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur

dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et

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Page 22 Andreacute Michaud

cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut

rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul

eacutelectron

Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins

magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui

fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir

mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique

macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la

Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables

macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme

processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie

des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes

Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer

lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite

agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique

massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa

masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite

dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne

La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par

leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au

deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]

magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)

15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet

La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)

concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des

particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz

16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz

Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de

vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2

semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale

eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal

qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons

plus loin que ce nest pas le cas

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour

repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron

2

2

e

2

2

e

2

0cv

c

v

2

m

c

v

r8π

eμm (1)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 23

Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ

magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio

v2c

2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient

neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de

la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce

qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos

invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel

que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par

leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure

eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut

preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie

(Figure 3)

2

M

r

1

c

v

r

1

eμM e

e

2

0

2

2

e

2

00vuee_magneacutetiq

(M-24)

LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du

champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie

croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui

sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec

lEacutequation (M-24)

2

0cv

r4π

veμ B (2)

Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des

repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction

du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une

vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du

momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-

18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la

Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome

drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement

correct de masse relativiste

kg355E242533771

cr8π

1218764756eμ

cr8π

veμm

2

e

22

0

2

e

22

0m (3)

A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il

faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme

vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de

lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme

valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique

de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron

Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition

eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste

un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut

quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c

2 c eacutetant invariant et v

pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute

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Page 24 Andreacute Michaud

preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique

transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre

vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement

proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron

(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite

de 409355207E-14 j)

Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute

invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique

intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique

de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer

leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de

Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente

toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-

magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de

leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute

totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la

masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de

masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2

Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette

somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur

gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de

calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)

Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec

leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit

leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de

leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus

leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par

structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc

2

K2E

KK4Ecv

2

(4)

Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des

eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes

de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees

C

2

CC

λ2λ

λλ4λcv

(5)

A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis

leacutelaboration de ces eacutequations

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Andreacute Michaud Page 25

17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)

Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le

rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de

lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ

magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la

deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par

lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee

transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB

mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette

augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique

constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron

409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement

eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation

entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec

leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron

Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute

deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de

Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration

spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2

=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est

obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure

fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]

m155E2817940282π

αλr Ce (6)

Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)

devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de

lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde

eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c

mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de

de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est

(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique

Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave

linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans

lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]

m11E29177208352π

λ

λr B

Br (7)

Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude

transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en

multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y

a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave

lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin

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Page 26 Andreacute Michaud

atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet

maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient

mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal

invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique

correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec

lEacutequation (2)

T0405235047

113E529177208α4π

1218764756eμ

rα4π

veμ2

0

2

B

0

B (8)

Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee

que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant

une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale

serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence

Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable

comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la

avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut

eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que

cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir

lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal

Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de

leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable

soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ

magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)

sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et

nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)

T7346235051

86E455633525α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

23

0

B (9)

Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation

geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de

lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique

transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de

Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie

strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil

La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant

lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de

lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse

dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer

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Andreacute Michaud Page 27

18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse

Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer

lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa

version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire

lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de

linduction deacutenergie dans un eacutelectron

Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que

leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en

anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette

eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle

constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment

cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique

classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave

laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite

Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est

aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est

deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte

aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique

correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un

corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute

Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car

nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave

des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle

lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]

Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de

leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de

leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante

e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui

induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules

chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui

les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par

rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de

leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule

Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme

des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment

reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique

en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement

mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute

expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui

fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute

deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute

preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse

limite de la lumiegravere

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Page 28 Andreacute Michaud

En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques

pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont

typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la

Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement

fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons

maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales

19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11

Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour

dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons

sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer

laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui

sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ

magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte

Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace

ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses

approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que

mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs

trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de

vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000

kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par

fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne

Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le

lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees

qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant

anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des

phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde

gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute

astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces

trajectoires est incapable den rendre compte

Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme

solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement

de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus

faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr

vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre

expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))

Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles

de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie

systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles

eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre

deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]

[37] [38]

Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande

publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne

que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 29

astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des

anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998

telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation

systeacutematique dorigine inconnue

Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec

les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses

typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal

deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces

deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie

transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette

derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les

paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation

Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de

Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement

j5E102658722731v-c

cmcΔK

22

2

(10)

Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour

Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de

kg78228E952c

ΔKΔm

2m (11)

Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour

expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de

ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la

proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse

au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent

initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de

masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele

et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la

Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du

temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne

tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont

faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des

masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin

20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui

est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme

densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne

neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du

quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron

Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le

champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en

mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 30 Andreacute Michaud

repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en

utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de

structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette

eacutenergie

T1E1382890002212-5E242631021α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

2

C

3

0

e B (12)

Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide

quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui

pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la

densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par

exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne

comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales

Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien

connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse

relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes

deacutegales intensiteacutes

B

Ev (13)

La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en

additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de

la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)

pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de

Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne

invariant Be de la masse au repos de leacutelectron

T6E13828900024

λλ

λλ

α

ceπμ

λα

ceπμ

λα

ceπμ2

C

2

2

C

2

3

0

23

0

2

C

3

0e

BBB (14)

Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun

champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation

geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave

une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut

analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui

geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou

deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les

structures atomiques

λλdr

λE

αε2

e

α

2πe

ε4π

10

2πα

e

ε4π

1

o

22

o a 2

2

o0

(15)

Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout

quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la

constante de Planck

αλε2

ehE

o

2

f (16)

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Andreacute Michaud Page 31

Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de

forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration

fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que

linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force

classiques

Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc

eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde

longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser

avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)

NC673727E130467λαε

πe23

0

E (17)

Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au

repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron

Compton comme suit

NC4E10602933175λαε

πe2

C

3

0

e E (18)

Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la

vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple

addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique

ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE

des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique

qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ

monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute

agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave

la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =

4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron

(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante

NCE208133411211

λ2λλλ

λ4λλλλ

αε

πe

C

2

C

2

CC

2

C

2

3

0

E (19)

Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le

champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas

contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local

ms56621876476E13828900024

1E20181334112v

B

E (20)

Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE

avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement

qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos

invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement

lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la

vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle

leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la

Reacutefeacuterence [32]

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Page 32 Andreacute Michaud

21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos

Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de

Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse

au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son

increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie

adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique

interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans

les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute

graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la

composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee

transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement

doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son

champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique

Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse

de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent

les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie

eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour

conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]

Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere

permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que

formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon

eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute

selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent

mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]

t)(ωsin

2

iL t)(ωcos

2C

e

hcE 2

2

λλ2

λ

2

(21)

ougrave

λ

2

(max)2C

eE E

et 2

iLE

2

λλ(max) B

(22)

et

αλ2εC 0λ 8π

αλμL

2

αλ

ec2πiλ (23)

La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des

champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement

aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees

avec les Eacutequations (22)

23

0 λαε

πeE 23

0

λα

πecμB (24)

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Andreacute Michaud Page 33

et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute

maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement

2

35

λαV (25)

ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence

[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui

confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie

porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit

la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee

transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie

transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum

Vt)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

hcE 2

0

22

2

0

BE (26)

22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives

Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933

[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-

produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se

transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon

dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de

leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute

speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme

de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale

associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait

seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]

Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue

entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave

leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges

opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste

et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet

de construire leacutequation de la maniegravere suivante

2

0

2

m

1o

2

1

λ

1cmcΔmΔK2

λ

1

αε2

eE

C1

(27)

dans laquelle

2o

22

1

αε2

ecΔmΔK ougrave

C12 2λ

1

λ

1

2

1

λ

1 (28)

Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de

leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en

cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie

reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos

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Page 34 Andreacute Michaud

invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre

les deux particules maintenant seacutepareacutees

Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford

(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons

eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau

impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires

eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave

proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur

lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]

Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces

vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel

des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel

plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une

meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou

plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en

leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des

masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit

leacutequation suivante

V

t)(ωsin K2μ

t)(ωcos)jJjJ(4

ε2

iI2λ

hciIE

2

Z0

2

2

Y

2

0

X

B

E

(29)

se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure

eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

me0

KB

jIjI

iJE

0

ν

(30)

et

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

mp

ν

0

KB

jIjI

iJE

0 (31)

dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique

maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute

lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre

constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une

oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation

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Andreacute Michaud Page 35

entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-

porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]

3

2

3

C

5

m m477E1497393262π

λαV et

2

C

3

0 λαε

eπν (32)

Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere

fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse

de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope

stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la

Reacutefeacuterence [20]

Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus

leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant

invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC

du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les

deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et

deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la

vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec

lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]

C

CC

λ2λ

λ4λλcv

ou

K2E

K4EKcv

2

(33)

Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur

donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au

repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du

photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse

de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de

Broglie [32] [3]

Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon

car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple

en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume

isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie

nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron

qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque

j148E4093552062π

λα

μ2λα

ceπμV

2μ 2

3

C

5

0

2

2

C

3

0m

0

2

B (34)

23 Construction de particules complexes stables

Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts

de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont

typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la

communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en

raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement

eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus

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Page 36 Andreacute Michaud

petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue

tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]

Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont

aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que

leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre

eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps

ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction

stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des

particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par

rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-

destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)

Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions

mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-

dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence

infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux

eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement

frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions

frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes

hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)

Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible

Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors

dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons

eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules

complexes comme le proton et le neutron

Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des

eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave

ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee

(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves

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Andreacute Michaud Page 37

avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure

5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest

quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale

pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours

(Figures 5-b)

Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et

collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-

ponctuel

Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction

frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les

protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de

positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique

permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel

quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable

dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre

observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]

Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la

conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron

[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites

dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites

planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace

soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement

eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon

Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce

volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand

acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie

dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al

[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants

chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations

des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge

eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une

charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons

ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-

composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)

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Page 38 Andreacute Michaud

Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives

De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et

expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants

chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-

composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants

chargeacutes positivement [22] [25]

Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement

confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au

fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-

ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et

positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent

ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et

confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des

nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges

seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des

positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la

nature dispose pour construire les nucleacuteons

Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants

nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge

fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent

naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils

eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des

structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]

La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes

preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons

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Andreacute Michaud Page 39

correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence

de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement

estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui

peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie

agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]

soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la

seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee

pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]

2

0

eudicαn

3e

a

km

(n=1 2 3) (35)

ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la

lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale

eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de

Coulomb

8E9898755178ε4π

1k

o

(36)

En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages

expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer

cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc

2 pour la

sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux

distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe

coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de

lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]

Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la

mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la

masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient

effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour

de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces

deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance

Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie

matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee

confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et

eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent

respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas

encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et

eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des

interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures

Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres

particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par

collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees

up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee

par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de

reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant

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Page 40 Andreacute Michaud

les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach

et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee

Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave

laide de lEacutequation (35)

Masse au repos Eacutenergie Charge Ref

Eacutelectron ou positon en

mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV

plusmn1=

1602176462E-19 C [21]

Positon

eacutelectromagneacutetiquement

contraint

1 dans le neutron

2 dans le proton

2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=

1068117641E-19 C [22]

Eacutelectron

Eacutelectromagneacutetiquement

contraint

2 dans le neutron

1 dans le proton

8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=

5340588207E-20 C [22]

La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur

concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un

physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son

libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par

Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu

compte

Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The

theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far

beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks

themselves were never discovered in any scattering experiment

Traduction

Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de

succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent

quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-

mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision

Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute

produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et

quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u

(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en

parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par

Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron

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Andreacute Michaud Page 41

Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement

nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes

quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des

Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte

eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie

qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur

est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet

pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes

eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et

positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires

Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des

eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure

collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette

somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La

diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont

lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de

lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe

qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont

deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints

eacutelectromagneacutetiquement

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

U

Y

2

0

U

2

m

2

U

U

B

E

ν (37)

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

D

Y

2

0

D

2

m

2

DD

B

E

ν (38)

Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses

au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement

eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]

Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en

relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici

pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite

par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en

translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de

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reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de

translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport

une telle orbite circulaire

24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance

La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron

dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le

premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave

une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr

mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite

fermeacutee autour du proton

Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait

cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de

leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de

stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave

veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure

Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur

de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition

nhTβ-1

β

2

22

o r

cm (n eacutetant un nombre entier) (39)

Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de

reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction

donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte

cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de

nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil

identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature

eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut

expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait

rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique

deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses

eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion

dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules

eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte

cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories

dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique

Quantique sous sa forme traditionnelle

De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de

Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave

cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec

lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa

disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui

supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique

autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute

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perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie

eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que

leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton

En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton

nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee

autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie

concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie

induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement

Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique

strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur

temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques

eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des

orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales

de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la

freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie

du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de

reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie

sj34E662606876λvmh BB0 (40)

ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite

de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont

le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne

entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit

leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel

que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de

fB=6579683921E15 Hz

Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette

freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier

la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir

leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb

Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble

correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler

toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie

induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute

leacutenergie du quantum soit accumuleacutee

j 18-8E435974380rε4π

ehE

Bo

2

BB f (41)

dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))

Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la

longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique

la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel

quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]

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Page 44 Andreacute Michaud

αλε2

ehνE

o

2

(42)

ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale

dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue

suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec

lEacutequation (41) est donc

m82E455633525E

hcλ

B

(43)

ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave

obtenue avec lEacutequation (41) standard

j188E435974380αλε2

ehνE

o

2

B (44)

Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer

leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition

conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats

deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et

nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de

cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet

aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est

fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires

chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout

mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif

Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs

impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de

leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant

dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera

analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes

neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la

quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction

coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont

captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre

cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique

Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est

constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie

dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir

dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee

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Andreacute Michaud Page 45

par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la

valeur obtenue sera constant

Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de

lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee

de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie

eacutelectromagneacutetique (λ)

mj25E986445441α2ε

eEλH

0

2

(45)

Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur

temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la

constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante

H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui

reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que

historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee

deacutequations eacutelectromagneacutetiques

sj34E662606876c

Hh (46)

Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut

maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit

la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la

communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de

constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement

confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics

[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)

[40]

sj34E662606876αc2ε

eh

0

2

(47)

252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique

Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-

dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais

lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante

dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)

de latome dhydrogegravene et de son noyau

La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence

[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux

maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage

dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB

au carreacute

2

o

B

22

BB mj386E122085259ε4π

rerEK

(48)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 46 Andreacute Michaud

Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene

verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux

particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie

adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau

1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le

positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et

leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave

la Reacutefeacuterence [22]

26 Gravitation

En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires

induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules

chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de

maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une

eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son

existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le

permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux

Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee

leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors

quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le

centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les

accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette

pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une

eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle

tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne

peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de

momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car

leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de

masse de la Terre [4] [16]

En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune

mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum

vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules

chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et

est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum

pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque

lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une

pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne

agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la

masse de la Terre [33]

Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de

reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que

de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat

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Andreacute Michaud Page 47

de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir

de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au

rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables

permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps

ceacuteleste autour de lastre central

Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance

moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute

freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr

le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps

ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle

oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle

chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps

ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes

Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central

peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites

qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes

par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de

reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes

de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus

doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans

lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont

reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes

Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est

aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome

dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas

cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule

eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la

stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital

Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence

en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction

stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les

cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)

Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force

gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction

coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction

stationnaire

Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les

positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques

afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble

eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave

appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules

chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image

mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces

particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee

quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire

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Page 48 Andreacute Michaud

de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du

concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de

particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le

Tableau 2

Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])

Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques

Nom Porteacutee

Force

laquo traditionnelle raquo

associeacutee

Attracteur

primaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave

lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron

Forte

Attracteur

secondaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints

appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons

dans un noyau

Faible

Attracteur

tertiaire

Entre chaque eacutelectron captif et chaque

positon eacutelectromagneacutetiquement contraint

dun noyau et entre chaque eacutelectron et

chaque positon eacutelectromagneacutetiquement

contraint des noyaux des autres atomes de

toute accumulation de matiegravere

Eacutelectromagneacutetique

Attracteur

temporaire

local

Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun

photon Eacutelectromagneacutetique

Attracteur temporaire

eacuteloigneacute

Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du

reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique

Attracteur quaternaire

Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du

reste de lrsquounivers

Graviteacute

Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre

plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance

daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance

caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la

structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte

Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux

datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique

aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les

atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere

correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier

niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute

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Andreacute Michaud Page 49

libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau

astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle

Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction

coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique

transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence

quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4

forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui

savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute

dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente

dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel

Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere

permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le

centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme

dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme

dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des

atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble

des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la

direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant

en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses

Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses

macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la

profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales

eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave

la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]

Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la

Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses

macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes

une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les

eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus

eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons

retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors

un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme

dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine

section

Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme

celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et

quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des

orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute

qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne

induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des

noyaux

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Page 50 Andreacute Michaud

Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette

pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission

de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les

eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave

mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee

denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante

dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les

eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec

linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage

de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le

deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant

agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes

quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en

chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]

Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les

masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent

les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui

diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux

atomiques

Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction

coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une

augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe

central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique

variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des

nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]

Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que

la profondeur augmente dans les masses macroscopiques

Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire

ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne

peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules

eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances

internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x

de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces

petites masses et celles de la Terre

Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes

constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction

proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est

laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons

captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des

photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale

meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant

agrave leurs orbitales daction stationnaire

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Andreacute Michaud Page 51

Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation

daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la

freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience

de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps

voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps

avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion

tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du

champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee

En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons

de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la

mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement

axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation

dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les

sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs

trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace

profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur

lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les

masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en

conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel

Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de

Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres

qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne

[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient

agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur

oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ

magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques

28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees

expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en

perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de

la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant

la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit

une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les

anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de

piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]

Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un

proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action

plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a

lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes

quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees

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Page 52 Andreacute Michaud

Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos

par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de

2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-

porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]

j18-2E2179784831γcmΔKE 2

oK (49)

Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)

qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de

Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son

mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction

stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie

totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale

deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse

au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus

de stabilisation

j141875401148cmcmΔKE 2

0

2

me E (50)

Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune

quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie

j10-7E150327730cmE 2

pp (51)

Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr

0548911836

1

E

E

p

e (52)

On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de

grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la

composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par

rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele

reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en

perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de

leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus

grande

4968964481

1

E

E

p

K (53)

Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par

linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du

momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le

processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre

inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere

Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette

eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct

Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur

agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera

communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que

leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera

eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et

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Andreacute Michaud Page 53

mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de

freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere

La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de

Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin

Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas

vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de

lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-

2000 [18]

Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et

son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors

de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le

mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest

pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du

photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa

configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une

inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve

photoeacutelectrique de Einstein

La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum

ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur

lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de

son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant

son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son

volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)

Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie

eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum

unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum

complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)

La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe

dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de

jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule

transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme

dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du

photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y

pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut

ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8

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Page 54 Andreacute Michaud

La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant

inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux

champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du

proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence

darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J

vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la

quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement

qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du

photon porteur

T4692470103λα

ceπμ22

23

0 B (54)

ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout

deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs

magneacutetiques

En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de

leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome

dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable

coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la

meacutecanique actuelle deacutemission de photons

Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que

leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant

vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste

eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie

vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une

flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication

suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et

le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas

par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron

agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]

De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre

faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et

un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement

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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite

lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis

artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion

initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la

rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en

permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence

Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation

de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron

dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute

eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence

[33]

Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette

distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque

la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de

remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement

induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la

direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression

stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente

eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie

que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant

momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV

temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon

eacutelectromagneacutetique seacutepareacute

La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra

leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ

magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le

montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence

dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe

devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]

Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y

eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se

deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges

opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la

valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le

proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de

leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la

part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue

par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne

Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui

fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit

de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que

leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave

saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe

de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous

forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des

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Page 56 Andreacute Michaud

impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau

macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d

La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton

comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie

ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique

incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La

reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience

que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que

linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de

leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis

et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce

processus de freinage si bref

Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de

lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers

lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum

qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du

reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-

quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par

deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet

leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller

transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi

loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se

deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]

Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la

seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet

momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la

vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre

compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du

photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave

lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale

des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de

la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute

totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement

invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton [4]

29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques

Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la

massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-

eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee

par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant

adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK

nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui

interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais

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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du

proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale

dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que

deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum

ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression

momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs

eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie

transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de

2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de

Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du

systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur

vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut

maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-

porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

le permettra [52]

Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en

conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee

plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos

eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou

agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme

eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par

accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18

j

Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et

documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent

document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui

permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons

eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de

leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article

30 Conclusion

Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie

eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de

concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme

si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait

dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne

La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de

Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la

deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin

complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit

une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus

deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit

preacuteceacutedemment

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Page 58 Andreacute Michaud

Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une

conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies

anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux

expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les

eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un

ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par

Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz

Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations

eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees

provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire

Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique

quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident

geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant

donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision

cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants

magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013

pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]

Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des

eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]

Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet

dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques

denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave

lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du

comportement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Bibliographie

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[2] Michaud A (2013) Deriving Eps_0 and Mu_0 from First Principles and Defining the

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Andreacute Michaud Page 63

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Autres articles dans le mecircme projet

Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique

Page 6: L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 6 Andreacute Michaud

distance moyenne du proton de son orbitale de moindre action serait aussi eacuteloigneacute du proton ainsi

agrandi que lorbite de Neptune lest du Soleil dans le systegraveme solaire cest-agrave-dire que latome

dhydrogegravene deviendrait aussi grand que le Systegraveme solaire tout entier et que les photons

eacutelectromagneacutetiques constituant le niveau granulaire deacutenergie eacutelectromagneacutetique se situent au

mecircme ordre de grandeur que leacutenergie constituant la masse au repos de leacutelectron et des autres

particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires massives chargeacutees eacutelectriquement qui existent agrave

linteacuterieur de la structure du proton et du neutron

Le principal problegraveme avec lequel nous sommes confronteacutes en ce qui concerne ce niveau

subatomique de granulariteacute de leacutenergie eacutelectromagneacutetique et de leacutenergie constituant la masse au

repos des particules eacuteleacutementaires constituant les atomes est quil nexiste aucun instrument

suffisamment puissant pour permettre dobserver mecircme indirectement ce niveau subatomique

contrairement au niveau le plus profond dobservation pour lequel cela demeure physiquement

possible soit celui de lordre de grandeur atomique qui permet de veacuterifier indirectement la

granulariteacute de leau et de toutes les autre substances mateacuterielles de notre environnement bref une

granulariteacute indirectement veacuterifiable pour tous les atomes du tableau peacuteriodique mais qui nous est

inaccessible pour le niveau de granulariteacute subatomique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Les seuls indices physiquement veacuterifiables que nous ayons de la localisation permanente des

particules chargeacutees eacuteleacutementaires telles que leacutelectron et des quanta deacutenergie eacutelectromagneacutetique

sont les suivants

1- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

et les photons eacutelectromagneacutetiques se comportent systeacutematiquement de maniegravere

quasi-ponctuelle pendant toutes les expeacuteriences de collision mutuelles (Voir

Figures 5-a et 5-b et Reacutefeacuterence [10])

2- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les photons

possegravedent une inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par lexpeacuterience

photoeacutelectrique dEinstein et quils possegravedent une inertie transversale eacutegale agrave la

moitieacute de leur inertie longitudinale tel que deacutemontreacute par langle de deacuteflexion de

la lumiegravere par le Soleil lors de nombreuses expeacuteriences reacutealiseacutees lors deacuteclipses

solaires [3] [11]

3- Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis 1933 que des photons

eacutelectromagneacutetiques de 1022 MeV ou plus se convertissent en paires eacutelectron-

positon lorsquils frocirclent des particules massives [12] et que de telles paires se

reconvertissent en photons eacutelectromagneacutetiques lorsquils entrent en contact de

nouveau ce qui signifie que nous avons la preuve expeacuterimentale que la masse

invariante des eacutelectrons et les positons est constitueacutee de la mecircme substance

eacutenergie eacutelectromagneacutetique que les photons Nous avons de plus la preuve

expeacuterimentale depuis 1997 que des photons eacutelectromagneacutetiques qui deacutepassent le

seuil deacutenergie de 1022 MeV peuvent ecirctre deacutestabiliseacutes par dautres photons

eacutelectromagneacutetiques de maniegravere agrave se convertir en paires eacutelectron-positon sans

quaucun noyau massif ne soit agrave proximiteacute [13]

4- Nous avons la preuve expeacuterimentale facilement reproductible que les eacutelectrons

en mouvement libre ont une masse au repos invariante de 910938188E-31 kg et

une charge eacutelectrique invariante de 1602176462E-19 C

5- Nous avons la preuve expeacuterimentale concluante que les eacutelectrons sont des

particules eacuteleacutementaires et que les protons et neutrons qui constituent les noyaux

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Andreacute Michaud Page 7

de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des

systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])

Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement

nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par

ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave

partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement

des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes

soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par

les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux

en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des

changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau

atomique

Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de

leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee

lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules

infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets

qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants

microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les

cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long

de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous

prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre

[14]

Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour

que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune

intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des

atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi

que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui

peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes

seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium

Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie

eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la

traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis

pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau

subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)

mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations

eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une

onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une

harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier

chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation

tireacutee de ses Lectures on Physics [15]

There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are

not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen

electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 8 Andreacute Michaud

Traduction

Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne

sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement

associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique

Quantique ces difficulteacutes demeurent

Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent

matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure

granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue

uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie

des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier

deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne

de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la

structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des

neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement

eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique

transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute

matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos

Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure

eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de

Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau

subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de

reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau

subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique

3 Deux perceacutees majeures reacutecentes

Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure

interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique

qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne

semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de

Minkowski [17]

la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie

deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave

limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans

le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-

temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de

ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur

aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p

273)

Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure

eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec

les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires

stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau

subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de

Maxwell

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 9

Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective

lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales

recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute

expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de

la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale

4 La premiegravere perceacutee majeure

Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de

lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects

fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau

subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun

agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation

stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de

cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est

perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par

ces deux champs (voir Figure 1)

La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant

de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut

formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de

Saint-Peacutetersbourg [18]

Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la

Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave

augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k

(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D

pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme

eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux

autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun

Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 10 Andreacute Michaud

Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au

centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la

substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des

vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale

stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux

espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-

quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-

transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui

reacuteside dans lespace-X

Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique

trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles

de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3

parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre

eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire

matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant

chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3

espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes

orthogonaux internes reacutesultants

5 La deuxiegraveme perceacutee majeure

Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul

Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre

laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui

permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui

augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ

magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de

leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article

publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de

Kazan [20]

Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees

constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne

dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une

eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de

maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee

pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]

ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin

Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes

les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules

complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et

autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules

eacuteleacutementaires [24]

Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des

atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons

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Andreacute Michaud Page 11

eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions

destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que

sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des

seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou

lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees

eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]

Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de

larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement

sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa

deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement

deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre

directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre

article reacutecemment publieacute [4]

Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese

personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la

premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une

deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir

de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave

leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun

doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique

geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les

eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi

du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser

directement dans son article original

LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees

auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie

de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee

autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique

transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de

leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement

mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable

avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise

en eacutevidence plus loin

Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable

agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation

relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le

champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est

constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce

fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de

mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective

par Marmet au deacutebut de son article [19]

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Page 12 Andreacute Michaud

Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis

Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui

seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie

Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du

champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle

geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant

omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute

de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans

lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme

charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept

ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter

sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de

Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et

matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee

exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement

qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration

perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation

qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui

soutient son mouvement dans lespace

Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme

rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de

laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut

donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons

dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart

Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron

en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste

ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son

champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette

derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable

avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc

2 - moc

2) car il est physiquement

et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux

directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une

de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de

laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ

magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee

Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave

mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune

seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute

deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie

du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux

quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee

que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors

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Andreacute Michaud Page 13

la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la

veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov

22 + (γmoc

2 -

moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique

quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de

Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la

distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement

et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees

les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement

Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie

doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ

magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme

geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de

cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour

obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en

mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin

6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte

Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a

initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information

qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait

consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale

deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord

ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-

quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]

associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse

transversale mesurable

7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein

En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil

reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes

lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant

cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique

fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une

traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la

diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb

ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons

comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par

linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre

deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait

pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement

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Page 14 Andreacute Michaud

diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten

(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du

deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de

lintroduction de la RR faisait rage

Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le

momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie

cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans

les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont

pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique

fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement

en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont

toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et

certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de

1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz

Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre

vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de

consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions

traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des

connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction

En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par

lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave

eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force

de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y

est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en

ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie

pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte

lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou

alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la

distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des

charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de

leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant

eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules

chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique

qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique

classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme

des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement

par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la

communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui

Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir

de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier

du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet

maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue

en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=

e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance

entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e

24πεod

2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique

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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse

simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil

semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui

entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce

moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir

Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et

qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment

Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la

RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et

aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la

Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de

lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement

causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de

Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules

eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron

selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse

classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de

particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective

plus loin

Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de

Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept

daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en

RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum

augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration

inertielle

8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le

demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale

mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee

du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement

ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant

dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second

point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la

vitesse

Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute

Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute

Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par

leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction

coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne

laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement

Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-

quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de

Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune

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Page 16 Andreacute Michaud

harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse

ecirctre reacutealiseacutee

9 Les Principes axiomatiques absolus

Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les

concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient

permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu

ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee

pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de

points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la

nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir

des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences

consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le

Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction

stationnaire et de moindre action etc

La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de

conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas

activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme

dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien

compris lorsquil fut initialement formuleacute

En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances

permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous

pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant

quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat

apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement

dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction

stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]

Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des

trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]

[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel

eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de

nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les

masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial

qui eacutetait le leur avant leur lancement

En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune

hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des

eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur

astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule

maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de

ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant

une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera

examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit

les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement

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Andreacute Michaud Page 17

Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un

cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere

deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement

associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif

et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour

tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle

sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ

eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide

Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance

en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee

au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de

Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un

momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique

et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort

consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un

mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule

eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et

quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de

mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement

seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une

eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une

forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de

force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur

pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression

interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de

lexpression trompeuse force de Coulomb

Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que

quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la

physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant

suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes

axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme

dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui

savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de

linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de

Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction

adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant

correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une

interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement

10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus

Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables

observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont

constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la

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Page 18 Andreacute Michaud

confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et

processus

Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au

moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon

classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de

nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la

masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]

Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute

magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-

composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune

rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction

[39]

Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces

termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus

auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels

comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple

11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule

eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement

en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres

permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du

quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du

champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui

est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons

eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie

eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau

macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell

12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)

En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave

confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique

transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un

fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]

Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences

effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun

eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire

demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un

seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de

Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable

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Andreacute Michaud Page 19

transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation

de son champ magneacutetique transversal

Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit

directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est

aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par

analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au

repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement

2

M

r

1

eμ e

e

2

0

(M-24)

Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron

ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en

correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi

que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation

(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)

Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)

dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique

rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant

perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article

[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute

graphiquement comme se deacuteplaccedilant

2

0

r

ud sd

Iμd

B (M-1)

Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire

invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q

de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere

dt

)d(Ne

dt

dQI

-

(M-2)

Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure

constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv

puisque dt

dxv donc

v

dxdt (M-3)

En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par

sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint

dx

)vd(Ne

dt

d(Ne)I

-

(M-4)

Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart

dx)θsin(r4π

Iμd

2

0B (M-5)

En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-

4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte

sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition

puisque le courant demeure constant

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Page 20 Andreacute Michaud

)(Ned)θsin(r4π

vμdx)θsin(

dx

)vd(Ne

r4π

μdx)θsin(

r4π

Iμd -

2

0

-

2

0

2

0 B (M-5a)

En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant

maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus

decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant

que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute

)(Ned)θsin(r4π

vμd -

2

0B (M-6)

13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur

Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence

sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte

dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce

qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant

Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π

veμNd -

2

-

0iB (M-7)

Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant

les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer

pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est

absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous

allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de

sa deacuterivation

Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)

Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux

variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure

ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la

distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et

spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre

conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation

cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ

magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation

correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)

Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)

puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e

-) ce qui

constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de

lrsquoEacutequation (M-7)

)(ed)θsin(r4π

vμd -

2

0iB (M-6a)

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Andreacute Michaud Page 21

Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer

conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de

distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette

distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc

maintenant

)d(er4π

vμd -

2

0iB (M-6b)

Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le

calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux

occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons

agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)

-

2

0 er4π

vμiB (M-6c)

qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation

conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)

Eacutequation (M-7) correcte 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ

magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique

stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du

champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron

centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute

par lEacutequation (M-7)

Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie

trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le

flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement

propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement

ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue

lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant

physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron

Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment

stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil

meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des

eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant

donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute

les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de

saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation

triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de

leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule

eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques

individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction

transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique

macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur

dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et

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Page 22 Andreacute Michaud

cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut

rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul

eacutelectron

Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins

magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui

fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir

mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique

macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la

Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables

macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme

processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie

des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes

Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer

lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite

agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique

massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa

masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite

dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne

La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par

leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au

deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]

magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)

15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet

La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)

concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des

particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz

16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz

Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de

vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2

semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale

eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal

qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons

plus loin que ce nest pas le cas

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour

repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron

2

2

e

2

2

e

2

0cv

c

v

2

m

c

v

r8π

eμm (1)

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Andreacute Michaud Page 23

Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ

magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio

v2c

2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient

neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de

la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce

qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos

invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel

que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par

leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure

eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut

preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie

(Figure 3)

2

M

r

1

c

v

r

1

eμM e

e

2

0

2

2

e

2

00vuee_magneacutetiq

(M-24)

LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du

champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie

croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui

sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec

lEacutequation (M-24)

2

0cv

r4π

veμ B (2)

Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des

repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction

du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une

vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du

momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-

18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la

Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome

drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement

correct de masse relativiste

kg355E242533771

cr8π

1218764756eμ

cr8π

veμm

2

e

22

0

2

e

22

0m (3)

A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il

faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme

vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de

lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme

valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique

de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron

Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition

eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste

un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut

quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c

2 c eacutetant invariant et v

pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute

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Page 24 Andreacute Michaud

preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique

transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre

vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement

proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron

(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite

de 409355207E-14 j)

Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute

invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique

intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique

de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer

leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de

Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente

toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-

magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de

leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute

totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la

masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de

masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2

Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette

somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur

gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de

calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)

Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec

leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit

leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de

leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus

leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par

structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc

2

K2E

KK4Ecv

2

(4)

Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des

eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes

de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees

C

2

CC

λ2λ

λλ4λcv

(5)

A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis

leacutelaboration de ces eacutequations

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Andreacute Michaud Page 25

17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)

Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le

rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de

lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ

magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la

deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par

lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee

transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB

mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette

augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique

constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron

409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement

eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation

entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec

leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron

Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute

deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de

Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration

spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2

=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est

obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure

fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]

m155E2817940282π

αλr Ce (6)

Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)

devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de

lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde

eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c

mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de

de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est

(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique

Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave

linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans

lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]

m11E29177208352π

λ

λr B

Br (7)

Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude

transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en

multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y

a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave

lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin

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Page 26 Andreacute Michaud

atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet

maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient

mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal

invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique

correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec

lEacutequation (2)

T0405235047

113E529177208α4π

1218764756eμ

rα4π

veμ2

0

2

B

0

B (8)

Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee

que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant

une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale

serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence

Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable

comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la

avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut

eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que

cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir

lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal

Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de

leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable

soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ

magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)

sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et

nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)

T7346235051

86E455633525α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

23

0

B (9)

Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation

geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de

lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique

transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de

Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie

strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil

La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant

lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de

lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse

dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer

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Andreacute Michaud Page 27

18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse

Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer

lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa

version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire

lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de

linduction deacutenergie dans un eacutelectron

Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que

leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en

anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette

eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle

constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment

cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique

classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave

laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite

Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est

aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est

deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte

aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique

correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un

corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute

Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car

nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave

des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle

lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]

Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de

leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de

leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante

e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui

induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules

chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui

les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par

rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de

leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule

Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme

des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment

reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique

en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement

mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute

expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui

fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute

deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute

preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse

limite de la lumiegravere

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Page 28 Andreacute Michaud

En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques

pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont

typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la

Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement

fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons

maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales

19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11

Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour

dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons

sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer

laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui

sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ

magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte

Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace

ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses

approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que

mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs

trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de

vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000

kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par

fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne

Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le

lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees

qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant

anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des

phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde

gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute

astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces

trajectoires est incapable den rendre compte

Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme

solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement

de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus

faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr

vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre

expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))

Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles

de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie

systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles

eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre

deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]

[37] [38]

Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande

publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne

que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute

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Andreacute Michaud Page 29

astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des

anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998

telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation

systeacutematique dorigine inconnue

Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec

les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses

typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal

deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces

deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie

transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette

derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les

paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation

Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de

Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement

j5E102658722731v-c

cmcΔK

22

2

(10)

Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour

Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de

kg78228E952c

ΔKΔm

2m (11)

Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour

expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de

ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la

proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse

au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent

initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de

masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele

et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la

Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du

temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne

tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont

faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des

masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin

20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui

est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme

densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne

neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du

quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron

Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le

champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en

mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui

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Page 30 Andreacute Michaud

repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en

utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de

structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette

eacutenergie

T1E1382890002212-5E242631021α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

2

C

3

0

e B (12)

Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide

quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui

pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la

densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par

exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne

comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales

Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien

connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse

relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes

deacutegales intensiteacutes

B

Ev (13)

La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en

additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de

la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)

pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de

Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne

invariant Be de la masse au repos de leacutelectron

T6E13828900024

λλ

λλ

α

ceπμ

λα

ceπμ

λα

ceπμ2

C

2

2

C

2

3

0

23

0

2

C

3

0e

BBB (14)

Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun

champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation

geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave

une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut

analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui

geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou

deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les

structures atomiques

λλdr

λE

αε2

e

α

2πe

ε4π

10

2πα

e

ε4π

1

o

22

o a 2

2

o0

(15)

Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout

quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la

constante de Planck

αλε2

ehE

o

2

f (16)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 31

Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de

forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration

fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que

linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force

classiques

Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc

eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde

longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser

avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)

NC673727E130467λαε

πe23

0

E (17)

Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au

repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron

Compton comme suit

NC4E10602933175λαε

πe2

C

3

0

e E (18)

Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la

vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple

addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique

ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE

des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique

qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ

monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute

agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave

la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =

4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron

(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante

NCE208133411211

λ2λλλ

λ4λλλλ

αε

πe

C

2

C

2

CC

2

C

2

3

0

E (19)

Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le

champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas

contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local

ms56621876476E13828900024

1E20181334112v

B

E (20)

Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE

avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement

qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos

invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement

lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la

vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle

leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la

Reacutefeacuterence [32]

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 32 Andreacute Michaud

21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos

Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de

Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse

au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son

increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie

adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique

interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans

les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute

graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la

composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee

transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement

doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son

champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique

Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse

de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent

les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie

eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour

conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]

Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere

permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que

formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon

eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute

selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent

mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]

t)(ωsin

2

iL t)(ωcos

2C

e

hcE 2

2

λλ2

λ

2

(21)

ougrave

λ

2

(max)2C

eE E

et 2

iLE

2

λλ(max) B

(22)

et

αλ2εC 0λ 8π

αλμL

2

αλ

ec2πiλ (23)

La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des

champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement

aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees

avec les Eacutequations (22)

23

0 λαε

πeE 23

0

λα

πecμB (24)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 33

et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute

maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement

2

35

λαV (25)

ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence

[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui

confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie

porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit

la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee

transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie

transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum

Vt)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

hcE 2

0

22

2

0

BE (26)

22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives

Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933

[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-

produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se

transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon

dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de

leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute

speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme

de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale

associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait

seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]

Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue

entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave

leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges

opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste

et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet

de construire leacutequation de la maniegravere suivante

2

0

2

m

1o

2

1

λ

1cmcΔmΔK2

λ

1

αε2

eE

C1

(27)

dans laquelle

2o

22

1

αε2

ecΔmΔK ougrave

C12 2λ

1

λ

1

2

1

λ

1 (28)

Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de

leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en

cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie

reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos

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Page 34 Andreacute Michaud

invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre

les deux particules maintenant seacutepareacutees

Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford

(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons

eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau

impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires

eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave

proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur

lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]

Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces

vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel

des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel

plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une

meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou

plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en

leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des

masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit

leacutequation suivante

V

t)(ωsin K2μ

t)(ωcos)jJjJ(4

ε2

iI2λ

hciIE

2

Z0

2

2

Y

2

0

X

B

E

(29)

se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure

eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

me0

KB

jIjI

iJE

0

ν

(30)

et

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

mp

ν

0

KB

jIjI

iJE

0 (31)

dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique

maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute

lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre

constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une

oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation

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Andreacute Michaud Page 35

entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-

porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]

3

2

3

C

5

m m477E1497393262π

λαV et

2

C

3

0 λαε

eπν (32)

Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere

fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse

de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope

stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la

Reacutefeacuterence [20]

Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus

leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant

invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC

du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les

deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et

deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la

vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec

lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]

C

CC

λ2λ

λ4λλcv

ou

K2E

K4EKcv

2

(33)

Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur

donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au

repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du

photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse

de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de

Broglie [32] [3]

Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon

car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple

en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume

isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie

nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron

qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque

j148E4093552062π

λα

μ2λα

ceπμV

2μ 2

3

C

5

0

2

2

C

3

0m

0

2

B (34)

23 Construction de particules complexes stables

Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts

de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont

typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la

communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en

raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement

eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus

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Page 36 Andreacute Michaud

petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue

tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]

Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont

aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que

leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre

eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps

ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction

stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des

particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par

rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-

destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)

Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions

mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-

dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence

infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux

eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement

frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions

frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes

hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)

Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible

Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors

dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons

eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules

complexes comme le proton et le neutron

Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des

eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave

ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee

(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves

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Andreacute Michaud Page 37

avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure

5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest

quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale

pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours

(Figures 5-b)

Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et

collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-

ponctuel

Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction

frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les

protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de

positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique

permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel

quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable

dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre

observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]

Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la

conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron

[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites

dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites

planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace

soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement

eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon

Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce

volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand

acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie

dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al

[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants

chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations

des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge

eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une

charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons

ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-

composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)

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Page 38 Andreacute Michaud

Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives

De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et

expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants

chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-

composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants

chargeacutes positivement [22] [25]

Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement

confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au

fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-

ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et

positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent

ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et

confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des

nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges

seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des

positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la

nature dispose pour construire les nucleacuteons

Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants

nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge

fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent

naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils

eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des

structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]

La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes

preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 39

correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence

de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement

estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui

peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie

agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]

soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la

seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee

pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]

2

0

eudicαn

3e

a

km

(n=1 2 3) (35)

ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la

lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale

eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de

Coulomb

8E9898755178ε4π

1k

o

(36)

En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages

expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer

cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc

2 pour la

sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux

distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe

coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de

lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]

Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la

mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la

masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient

effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour

de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces

deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance

Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie

matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee

confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et

eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent

respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas

encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et

eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des

interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures

Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres

particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par

collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees

up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee

par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de

reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 40 Andreacute Michaud

les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach

et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee

Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave

laide de lEacutequation (35)

Masse au repos Eacutenergie Charge Ref

Eacutelectron ou positon en

mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV

plusmn1=

1602176462E-19 C [21]

Positon

eacutelectromagneacutetiquement

contraint

1 dans le neutron

2 dans le proton

2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=

1068117641E-19 C [22]

Eacutelectron

Eacutelectromagneacutetiquement

contraint

2 dans le neutron

1 dans le proton

8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=

5340588207E-20 C [22]

La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur

concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un

physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son

libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par

Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu

compte

Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The

theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far

beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks

themselves were never discovered in any scattering experiment

Traduction

Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de

succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent

quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-

mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision

Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute

produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et

quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u

(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en

parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par

Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron

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Andreacute Michaud Page 41

Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement

nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes

quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des

Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte

eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie

qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur

est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet

pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes

eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et

positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires

Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des

eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure

collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette

somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La

diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont

lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de

lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe

qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont

deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints

eacutelectromagneacutetiquement

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

U

Y

2

0

U

2

m

2

U

U

B

E

ν (37)

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

D

Y

2

0

D

2

m

2

DD

B

E

ν (38)

Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses

au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement

eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]

Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en

relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici

pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite

par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en

translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de

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Page 42 Andreacute Michaud

reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de

translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport

une telle orbite circulaire

24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance

La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron

dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le

premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave

une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr

mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite

fermeacutee autour du proton

Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait

cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de

leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de

stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave

veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure

Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur

de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition

nhTβ-1

β

2

22

o r

cm (n eacutetant un nombre entier) (39)

Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de

reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction

donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte

cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de

nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil

identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature

eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut

expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait

rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique

deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses

eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion

dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules

eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte

cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories

dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique

Quantique sous sa forme traditionnelle

De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de

Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave

cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec

lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa

disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui

supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique

autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute

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Andreacute Michaud Page 43

perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie

eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que

leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton

En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton

nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee

autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie

concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie

induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement

Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique

strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur

temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques

eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des

orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales

de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la

freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie

du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de

reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie

sj34E662606876λvmh BB0 (40)

ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite

de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont

le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne

entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit

leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel

que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de

fB=6579683921E15 Hz

Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette

freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier

la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir

leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb

Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble

correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler

toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie

induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute

leacutenergie du quantum soit accumuleacutee

j 18-8E435974380rε4π

ehE

Bo

2

BB f (41)

dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))

Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la

longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique

la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel

quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]

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Page 44 Andreacute Michaud

αλε2

ehνE

o

2

(42)

ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale

dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue

suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec

lEacutequation (41) est donc

m82E455633525E

hcλ

B

(43)

ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave

obtenue avec lEacutequation (41) standard

j188E435974380αλε2

ehνE

o

2

B (44)

Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer

leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition

conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats

deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et

nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de

cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet

aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est

fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires

chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout

mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif

Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs

impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de

leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant

dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera

analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes

neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la

quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction

coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont

captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre

cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique

Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est

constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie

dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir

dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee

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Andreacute Michaud Page 45

par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la

valeur obtenue sera constant

Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de

lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee

de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie

eacutelectromagneacutetique (λ)

mj25E986445441α2ε

eEλH

0

2

(45)

Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur

temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la

constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante

H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui

reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que

historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee

deacutequations eacutelectromagneacutetiques

sj34E662606876c

Hh (46)

Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut

maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit

la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la

communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de

constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement

confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics

[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)

[40]

sj34E662606876αc2ε

eh

0

2

(47)

252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique

Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-

dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais

lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante

dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)

de latome dhydrogegravene et de son noyau

La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence

[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux

maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage

dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB

au carreacute

2

o

B

22

BB mj386E122085259ε4π

rerEK

(48)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 46 Andreacute Michaud

Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene

verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux

particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie

adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau

1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le

positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et

leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave

la Reacutefeacuterence [22]

26 Gravitation

En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires

induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules

chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de

maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une

eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son

existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le

permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux

Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee

leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors

quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le

centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les

accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette

pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une

eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle

tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne

peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de

momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car

leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de

masse de la Terre [4] [16]

En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune

mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum

vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules

chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et

est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum

pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque

lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une

pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne

agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la

masse de la Terre [33]

Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de

reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que

de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat

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Andreacute Michaud Page 47

de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir

de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au

rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables

permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps

ceacuteleste autour de lastre central

Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance

moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute

freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr

le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps

ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle

oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle

chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps

ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes

Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central

peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites

qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes

par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de

reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes

de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus

doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans

lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont

reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes

Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est

aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome

dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas

cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule

eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la

stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital

Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence

en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction

stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les

cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)

Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force

gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction

coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction

stationnaire

Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les

positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques

afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble

eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave

appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules

chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image

mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces

particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee

quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire

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Page 48 Andreacute Michaud

de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du

concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de

particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le

Tableau 2

Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])

Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques

Nom Porteacutee

Force

laquo traditionnelle raquo

associeacutee

Attracteur

primaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave

lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron

Forte

Attracteur

secondaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints

appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons

dans un noyau

Faible

Attracteur

tertiaire

Entre chaque eacutelectron captif et chaque

positon eacutelectromagneacutetiquement contraint

dun noyau et entre chaque eacutelectron et

chaque positon eacutelectromagneacutetiquement

contraint des noyaux des autres atomes de

toute accumulation de matiegravere

Eacutelectromagneacutetique

Attracteur

temporaire

local

Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun

photon Eacutelectromagneacutetique

Attracteur temporaire

eacuteloigneacute

Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du

reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique

Attracteur quaternaire

Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du

reste de lrsquounivers

Graviteacute

Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre

plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance

daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance

caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la

structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte

Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux

datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique

aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les

atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere

correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier

niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute

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Andreacute Michaud Page 49

libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau

astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle

Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction

coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique

transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence

quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4

forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui

savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute

dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente

dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel

Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere

permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le

centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme

dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme

dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des

atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble

des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la

direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant

en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses

Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses

macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la

profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales

eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave

la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]

Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la

Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses

macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes

une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les

eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus

eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons

retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors

un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme

dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine

section

Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme

celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et

quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des

orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute

qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne

induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des

noyaux

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Page 50 Andreacute Michaud

Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette

pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission

de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les

eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave

mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee

denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante

dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les

eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec

linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage

de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le

deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant

agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes

quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en

chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]

Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les

masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent

les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui

diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux

atomiques

Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction

coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une

augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe

central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique

variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des

nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]

Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que

la profondeur augmente dans les masses macroscopiques

Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire

ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne

peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules

eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances

internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x

de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces

petites masses et celles de la Terre

Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes

constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction

proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est

laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons

captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des

photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale

meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant

agrave leurs orbitales daction stationnaire

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Andreacute Michaud Page 51

Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation

daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la

freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience

de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps

voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps

avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion

tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du

champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee

En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons

de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la

mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement

axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation

dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les

sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs

trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace

profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur

lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les

masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en

conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel

Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de

Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres

qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne

[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient

agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur

oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ

magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques

28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees

expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en

perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de

la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant

la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit

une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les

anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de

piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]

Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un

proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action

plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a

lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes

quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees

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Page 52 Andreacute Michaud

Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos

par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de

2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-

porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]

j18-2E2179784831γcmΔKE 2

oK (49)

Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)

qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de

Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son

mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction

stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie

totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale

deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse

au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus

de stabilisation

j141875401148cmcmΔKE 2

0

2

me E (50)

Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune

quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie

j10-7E150327730cmE 2

pp (51)

Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr

0548911836

1

E

E

p

e (52)

On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de

grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la

composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par

rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele

reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en

perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de

leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus

grande

4968964481

1

E

E

p

K (53)

Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par

linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du

momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le

processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre

inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere

Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette

eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct

Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur

agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera

communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que

leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera

eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et

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Andreacute Michaud Page 53

mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de

freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere

La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de

Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin

Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas

vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de

lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-

2000 [18]

Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et

son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors

de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le

mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest

pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du

photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa

configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une

inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve

photoeacutelectrique de Einstein

La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum

ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur

lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de

son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant

son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son

volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)

Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie

eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum

unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum

complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)

La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe

dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de

jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule

transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme

dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du

photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y

pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut

ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8

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La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant

inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux

champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du

proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence

darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J

vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la

quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement

qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du

photon porteur

T4692470103λα

ceπμ22

23

0 B (54)

ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout

deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs

magneacutetiques

En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de

leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome

dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable

coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la

meacutecanique actuelle deacutemission de photons

Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que

leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant

vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste

eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie

vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une

flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication

suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et

le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas

par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron

agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]

De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre

faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et

un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement

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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite

lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis

artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion

initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la

rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en

permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence

Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation

de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron

dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute

eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence

[33]

Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette

distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque

la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de

remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement

induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la

direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression

stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente

eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie

que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant

momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV

temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon

eacutelectromagneacutetique seacutepareacute

La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra

leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ

magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le

montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence

dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe

devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]

Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y

eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se

deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges

opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la

valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le

proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de

leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la

part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue

par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne

Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui

fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit

de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que

leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave

saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe

de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous

forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des

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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau

macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d

La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton

comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie

ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique

incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La

reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience

que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que

linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de

leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis

et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce

processus de freinage si bref

Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de

lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers

lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum

qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du

reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-

quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par

deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet

leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller

transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi

loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se

deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]

Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la

seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet

momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la

vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre

compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du

photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave

lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale

des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de

la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute

totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement

invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton [4]

29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques

Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la

massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-

eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee

par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant

adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK

nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui

interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais

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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du

proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale

dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que

deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum

ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression

momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs

eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie

transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de

2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de

Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du

systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur

vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut

maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-

porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

le permettra [52]

Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en

conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee

plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos

eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou

agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme

eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par

accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18

j

Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et

documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent

document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui

permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons

eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de

leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article

30 Conclusion

Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie

eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de

concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme

si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait

dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne

La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de

Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la

deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin

complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit

une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus

deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit

preacuteceacutedemment

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Page 58 Andreacute Michaud

Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une

conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies

anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux

expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les

eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un

ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par

Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz

Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations

eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees

provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire

Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique

quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident

geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant

donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision

cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants

magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013

pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]

Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des

eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]

Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet

dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques

denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave

lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du

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Andreacute Michaud Page 63

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Autres articles dans le mecircme projet

Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique

Page 7: L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 7

de tous les atomes ne sont pas des particules eacuteleacutementaires mais sont plutocirct des

systegravemes de particules eacuteleacutementaires (voir Figures 4 5 et 6 et la Reacutefeacuterence [10])

Puisque nous ne pouvons pas observer le niveau subatomique ni directement in indirectement

nous en somme donc obligatoirement reacuteduits dans notre exploration de ce niveau agrave proceacuteder par

ingeacutenierie inverse [4] cest-agrave-dire que nous devons deacuteduire les caracteacuteristiques des particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaire qui constituent le niveau fondamental de la reacutealiteacute objective agrave

partir de ce que nous pouvons deacutetecter et comprendre indirectement agrave partir du comportement

des atomes et agrave partir du comportement des particules eacuteleacutementaires qui peuvent en ecirctre seacutepareacutes

soit les eacutelectrons dont la stabilisation loin des noyaux deacutetermine le volume despace occupeacute par

les atomes et agrave partir du comportement des protons et les neutrons qui en constituent les noyaux

en occupant de plus petits volumes ainsi quagrave partir du comportement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee par ces particules eacuteleacutementaires lors des

changements deacutequilibres de moindre action dans lesquels les atomes se stabilisent au niveau

atomique

Finalement le moyen dont nous disposons pour observer le comportement des atomes et de

leurs eacuteleacutements seacuteparables est preacuteciseacutement leacutenergie eacutelectromagneacutetique qui est eacutemise ou absorbeacutee

lors de ces variations deacutequilibre de moindre action des atomes et dont les granules

infiniteacutesimaux cest-agrave-dire les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes provenant de tous les objets

qui nos environnent soit directement des objets ou deacutetecteacutes par lintermeacutediaire de nos puissants

microscopes et autres appareils de deacutetection excitent des eacutelectrons des atomes constituant les

cellules photosensibles de nos yeux une excitation qui se transmet de proche en proche le long

de nos nerfs optiques jusquau cerveau qui mettent agrave jour en continue les images dont nous

prenons conscience provenant de notre environnement et que nous analysons pour le comprendre

[14]

Ces photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes qui peuvent exciter les eacutelectrons suffisamment pour

que leur arriveacutee soit signaleacutee de proche en proche le long du nerf optique peuvent ecirctre dune

intensiteacute tregraves variable et au delagrave dune certaine intensiteacute reacuteussissent agrave seacuteparer les eacutelectrons des

atomes dans notre environnement et cest ce qui permet deacutetudier leur comportement seacutepareacute ainsi

que celui des constituants des noyaux atomiques nommeacutement les protons et neutrons qui

peuvent eacutegalement ecirctre complegravetement seacutepareacutes de leurs escortes eacutelectroniques et eacutetudieacutes

seacutepareacutement dans le cas des atomes simples tels que lhydrogegravene ou lheacutelium

Ce qui empecircchait jusquici que nous puissions devenir aussi agrave laise de traiter leacutenergie

eacutelectromagneacutetique comme eacutetant quantifieacutee au niveau subatomique que nous le sommes pour la

traiter comme des ondes eacutelectromagneacutetiques continues au niveau macroscopique est que depuis

pregraves dune centaine danneacutees les aspects granulaires cest-agrave-dire quantifieacutes du niveau

subatomique sont consideacutereacutes comme eacutetant le domaine exclusif de la Meacutecanique Quantique (MQ)

mais que la MQ na toujours pas eacuteteacute complegravetement harmoniseacutee avec les eacutequations

eacutelectromagneacutetiques de Maxwell qui traitent avec succegraves leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme une

onde continue au niveau macroscopique autrement dit qui la traite comme un fluide soit une

harmonisation incomplegravete qui fut clairement mise en eacutevidence par Feynman qui fut le dernier

chercheur qui tenta cette reacuteconciliation il y plus dun demi-siegravecle comme en fait foi cette citation

tireacutee de ses Lectures on Physics [15]

There are difficulties associated with the ideas of Maxwells theory which are

not solved by and not directly associated with quantum mechanicswhen

electromagnetism is joined to quantum mechanics the difficulties remain

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Page 8 Andreacute Michaud

Traduction

Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne

sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement

associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique

Quantique ces difficulteacutes demeurent

Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent

matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure

granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue

uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie

des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier

deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne

de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la

structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des

neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement

eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique

transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute

matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos

Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure

eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de

Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau

subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de

reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau

subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique

3 Deux perceacutees majeures reacutecentes

Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure

interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique

qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne

semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de

Minkowski [17]

la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie

deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave

limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans

le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-

temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de

ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur

aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p

273)

Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure

eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec

les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires

stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau

subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de

Maxwell

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Andreacute Michaud Page 9

Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective

lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales

recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute

expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de

la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale

4 La premiegravere perceacutee majeure

Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de

lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects

fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau

subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun

agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation

stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de

cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est

perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par

ces deux champs (voir Figure 1)

La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant

de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut

formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de

Saint-Peacutetersbourg [18]

Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la

Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave

augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k

(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D

pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme

eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux

autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun

Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale

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Page 10 Andreacute Michaud

Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au

centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la

substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des

vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale

stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux

espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-

quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-

transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui

reacuteside dans lespace-X

Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique

trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles

de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3

parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre

eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire

matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant

chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3

espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes

orthogonaux internes reacutesultants

5 La deuxiegraveme perceacutee majeure

Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul

Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre

laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui

permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui

augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ

magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de

leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article

publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de

Kazan [20]

Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees

constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne

dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une

eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de

maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee

pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]

ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin

Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes

les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules

complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et

autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules

eacuteleacutementaires [24]

Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des

atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons

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Andreacute Michaud Page 11

eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions

destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que

sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des

seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou

lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees

eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]

Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de

larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement

sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa

deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement

deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre

directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre

article reacutecemment publieacute [4]

Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese

personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la

premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une

deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir

de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave

leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun

doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique

geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les

eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi

du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser

directement dans son article original

LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees

auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie

de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee

autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique

transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de

leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement

mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable

avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise

en eacutevidence plus loin

Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable

agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation

relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le

champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est

constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce

fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de

mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective

par Marmet au deacutebut de son article [19]

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 12 Andreacute Michaud

Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis

Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui

seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie

Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du

champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle

geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant

omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute

de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans

lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme

charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept

ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter

sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de

Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et

matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee

exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement

qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration

perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation

qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui

soutient son mouvement dans lespace

Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme

rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de

laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut

donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons

dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart

Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron

en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste

ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son

champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette

derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable

avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc

2 - moc

2) car il est physiquement

et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux

directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une

de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de

laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ

magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee

Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave

mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune

seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute

deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie

du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux

quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee

que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors

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Andreacute Michaud Page 13

la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la

veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov

22 + (γmoc

2 -

moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique

quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de

Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la

distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement

et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees

les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement

Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie

doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ

magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme

geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de

cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour

obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en

mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin

6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte

Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a

initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information

qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait

consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale

deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord

ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-

quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]

associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse

transversale mesurable

7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein

En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil

reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes

lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant

cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique

fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une

traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la

diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb

ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons

comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par

linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre

deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait

pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement

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Page 14 Andreacute Michaud

diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten

(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du

deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de

lintroduction de la RR faisait rage

Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le

momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie

cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans

les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont

pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique

fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement

en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont

toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et

certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de

1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz

Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre

vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de

consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions

traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des

connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction

En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par

lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave

eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force

de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y

est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en

ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie

pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte

lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou

alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la

distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des

charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de

leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant

eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules

chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique

qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique

classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme

des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement

par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la

communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui

Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir

de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier

du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet

maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue

en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=

e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance

entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e

24πεod

2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique

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Andreacute Michaud Page 15

adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse

simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil

semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui

entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce

moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir

Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et

qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment

Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la

RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et

aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la

Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de

lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement

causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de

Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules

eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron

selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse

classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de

particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective

plus loin

Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de

Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept

daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en

RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum

augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration

inertielle

8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le

demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale

mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee

du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement

ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant

dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second

point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la

vitesse

Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute

Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute

Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par

leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction

coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne

laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement

Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-

quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de

Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune

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Page 16 Andreacute Michaud

harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse

ecirctre reacutealiseacutee

9 Les Principes axiomatiques absolus

Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les

concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient

permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu

ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee

pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de

points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la

nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir

des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences

consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le

Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction

stationnaire et de moindre action etc

La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de

conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas

activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme

dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien

compris lorsquil fut initialement formuleacute

En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances

permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous

pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant

quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat

apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement

dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction

stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]

Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des

trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]

[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel

eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de

nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les

masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial

qui eacutetait le leur avant leur lancement

En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune

hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des

eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur

astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule

maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de

ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant

une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera

examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit

les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement

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Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un

cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere

deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement

associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif

et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour

tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle

sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ

eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide

Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance

en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee

au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de

Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un

momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique

et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort

consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un

mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule

eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et

quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de

mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement

seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une

eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une

forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de

force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur

pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression

interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de

lexpression trompeuse force de Coulomb

Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que

quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la

physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant

suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes

axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme

dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui

savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de

linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de

Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction

adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant

correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une

interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement

10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus

Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables

observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont

constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la

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Page 18 Andreacute Michaud

confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et

processus

Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au

moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon

classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de

nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la

masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]

Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute

magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-

composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune

rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction

[39]

Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces

termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus

auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels

comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple

11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule

eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement

en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres

permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du

quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du

champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui

est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons

eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie

eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau

macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell

12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)

En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave

confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique

transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un

fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]

Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences

effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun

eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire

demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un

seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de

Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable

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transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation

de son champ magneacutetique transversal

Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit

directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est

aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par

analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au

repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement

2

M

r

1

eμ e

e

2

0

(M-24)

Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron

ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en

correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi

que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation

(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)

Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)

dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique

rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant

perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article

[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute

graphiquement comme se deacuteplaccedilant

2

0

r

ud sd

Iμd

B (M-1)

Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire

invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q

de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere

dt

)d(Ne

dt

dQI

-

(M-2)

Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure

constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv

puisque dt

dxv donc

v

dxdt (M-3)

En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par

sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint

dx

)vd(Ne

dt

d(Ne)I

-

(M-4)

Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart

dx)θsin(r4π

Iμd

2

0B (M-5)

En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-

4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte

sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition

puisque le courant demeure constant

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 20 Andreacute Michaud

)(Ned)θsin(r4π

vμdx)θsin(

dx

)vd(Ne

r4π

μdx)θsin(

r4π

Iμd -

2

0

-

2

0

2

0 B (M-5a)

En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant

maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus

decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant

que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute

)(Ned)θsin(r4π

vμd -

2

0B (M-6)

13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur

Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence

sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte

dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce

qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant

Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π

veμNd -

2

-

0iB (M-7)

Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant

les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer

pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est

absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous

allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de

sa deacuterivation

Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)

Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux

variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure

ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la

distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et

spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre

conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation

cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ

magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation

correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)

Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)

puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e

-) ce qui

constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de

lrsquoEacutequation (M-7)

)(ed)θsin(r4π

vμd -

2

0iB (M-6a)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 21

Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer

conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de

distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette

distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc

maintenant

)d(er4π

vμd -

2

0iB (M-6b)

Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le

calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux

occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons

agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)

-

2

0 er4π

vμiB (M-6c)

qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation

conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)

Eacutequation (M-7) correcte 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ

magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique

stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du

champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron

centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute

par lEacutequation (M-7)

Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie

trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le

flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement

propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement

ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue

lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant

physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron

Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment

stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil

meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des

eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant

donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute

les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de

saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation

triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de

leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule

eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques

individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction

transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique

macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur

dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et

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Page 22 Andreacute Michaud

cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut

rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul

eacutelectron

Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins

magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui

fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir

mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique

macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la

Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables

macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme

processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie

des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes

Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer

lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite

agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique

massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa

masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite

dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne

La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par

leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au

deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]

magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)

15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet

La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)

concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des

particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz

16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz

Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de

vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2

semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale

eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal

qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons

plus loin que ce nest pas le cas

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour

repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron

2

2

e

2

2

e

2

0cv

c

v

2

m

c

v

r8π

eμm (1)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 23

Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ

magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio

v2c

2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient

neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de

la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce

qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos

invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel

que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par

leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure

eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut

preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie

(Figure 3)

2

M

r

1

c

v

r

1

eμM e

e

2

0

2

2

e

2

00vuee_magneacutetiq

(M-24)

LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du

champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie

croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui

sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec

lEacutequation (M-24)

2

0cv

r4π

veμ B (2)

Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des

repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction

du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une

vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du

momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-

18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la

Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome

drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement

correct de masse relativiste

kg355E242533771

cr8π

1218764756eμ

cr8π

veμm

2

e

22

0

2

e

22

0m (3)

A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il

faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme

vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de

lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme

valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique

de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron

Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition

eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste

un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut

quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c

2 c eacutetant invariant et v

pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute

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Page 24 Andreacute Michaud

preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique

transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre

vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement

proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron

(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite

de 409355207E-14 j)

Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute

invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique

intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique

de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer

leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de

Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente

toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-

magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de

leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute

totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la

masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de

masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2

Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette

somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur

gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de

calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)

Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec

leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit

leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de

leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus

leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par

structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc

2

K2E

KK4Ecv

2

(4)

Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des

eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes

de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees

C

2

CC

λ2λ

λλ4λcv

(5)

A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis

leacutelaboration de ces eacutequations

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Andreacute Michaud Page 25

17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)

Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le

rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de

lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ

magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la

deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par

lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee

transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB

mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette

augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique

constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron

409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement

eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation

entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec

leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron

Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute

deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de

Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration

spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2

=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est

obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure

fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]

m155E2817940282π

αλr Ce (6)

Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)

devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de

lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde

eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c

mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de

de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est

(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique

Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave

linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans

lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]

m11E29177208352π

λ

λr B

Br (7)

Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude

transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en

multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y

a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave

lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin

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Page 26 Andreacute Michaud

atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet

maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient

mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal

invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique

correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec

lEacutequation (2)

T0405235047

113E529177208α4π

1218764756eμ

rα4π

veμ2

0

2

B

0

B (8)

Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee

que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant

une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale

serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence

Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable

comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la

avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut

eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que

cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir

lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal

Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de

leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable

soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ

magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)

sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et

nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)

T7346235051

86E455633525α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

23

0

B (9)

Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation

geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de

lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique

transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de

Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie

strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil

La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant

lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de

lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse

dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer

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Andreacute Michaud Page 27

18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse

Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer

lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa

version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire

lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de

linduction deacutenergie dans un eacutelectron

Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que

leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en

anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette

eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle

constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment

cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique

classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave

laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite

Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est

aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est

deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte

aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique

correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un

corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute

Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car

nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave

des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle

lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]

Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de

leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de

leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante

e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui

induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules

chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui

les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par

rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de

leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule

Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme

des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment

reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique

en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement

mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute

expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui

fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute

deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute

preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse

limite de la lumiegravere

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Page 28 Andreacute Michaud

En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques

pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont

typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la

Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement

fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons

maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales

19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11

Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour

dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons

sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer

laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui

sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ

magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte

Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace

ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses

approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que

mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs

trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de

vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000

kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par

fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne

Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le

lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees

qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant

anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des

phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde

gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute

astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces

trajectoires est incapable den rendre compte

Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme

solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement

de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus

faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr

vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre

expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))

Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles

de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie

systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles

eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre

deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]

[37] [38]

Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande

publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne

que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute

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Andreacute Michaud Page 29

astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des

anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998

telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation

systeacutematique dorigine inconnue

Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec

les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses

typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal

deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces

deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie

transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette

derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les

paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation

Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de

Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement

j5E102658722731v-c

cmcΔK

22

2

(10)

Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour

Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de

kg78228E952c

ΔKΔm

2m (11)

Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour

expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de

ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la

proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse

au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent

initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de

masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele

et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la

Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du

temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne

tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont

faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des

masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin

20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui

est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme

densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne

neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du

quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron

Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le

champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en

mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui

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Page 30 Andreacute Michaud

repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en

utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de

structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette

eacutenergie

T1E1382890002212-5E242631021α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

2

C

3

0

e B (12)

Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide

quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui

pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la

densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par

exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne

comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales

Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien

connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse

relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes

deacutegales intensiteacutes

B

Ev (13)

La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en

additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de

la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)

pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de

Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne

invariant Be de la masse au repos de leacutelectron

T6E13828900024

λλ

λλ

α

ceπμ

λα

ceπμ

λα

ceπμ2

C

2

2

C

2

3

0

23

0

2

C

3

0e

BBB (14)

Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun

champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation

geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave

une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut

analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui

geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou

deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les

structures atomiques

λλdr

λE

αε2

e

α

2πe

ε4π

10

2πα

e

ε4π

1

o

22

o a 2

2

o0

(15)

Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout

quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la

constante de Planck

αλε2

ehE

o

2

f (16)

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Andreacute Michaud Page 31

Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de

forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration

fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que

linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force

classiques

Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc

eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde

longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser

avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)

NC673727E130467λαε

πe23

0

E (17)

Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au

repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron

Compton comme suit

NC4E10602933175λαε

πe2

C

3

0

e E (18)

Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la

vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple

addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique

ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE

des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique

qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ

monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute

agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave

la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =

4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron

(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante

NCE208133411211

λ2λλλ

λ4λλλλ

αε

πe

C

2

C

2

CC

2

C

2

3

0

E (19)

Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le

champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas

contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local

ms56621876476E13828900024

1E20181334112v

B

E (20)

Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE

avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement

qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos

invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement

lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la

vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle

leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la

Reacutefeacuterence [32]

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Page 32 Andreacute Michaud

21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos

Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de

Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse

au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son

increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie

adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique

interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans

les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute

graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la

composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee

transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement

doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son

champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique

Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse

de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent

les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie

eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour

conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]

Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere

permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que

formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon

eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute

selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent

mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]

t)(ωsin

2

iL t)(ωcos

2C

e

hcE 2

2

λλ2

λ

2

(21)

ougrave

λ

2

(max)2C

eE E

et 2

iLE

2

λλ(max) B

(22)

et

αλ2εC 0λ 8π

αλμL

2

αλ

ec2πiλ (23)

La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des

champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement

aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees

avec les Eacutequations (22)

23

0 λαε

πeE 23

0

λα

πecμB (24)

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Andreacute Michaud Page 33

et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute

maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement

2

35

λαV (25)

ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence

[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui

confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie

porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit

la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee

transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie

transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum

Vt)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

hcE 2

0

22

2

0

BE (26)

22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives

Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933

[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-

produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se

transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon

dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de

leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute

speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme

de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale

associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait

seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]

Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue

entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave

leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges

opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste

et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet

de construire leacutequation de la maniegravere suivante

2

0

2

m

1o

2

1

λ

1cmcΔmΔK2

λ

1

αε2

eE

C1

(27)

dans laquelle

2o

22

1

αε2

ecΔmΔK ougrave

C12 2λ

1

λ

1

2

1

λ

1 (28)

Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de

leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en

cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie

reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos

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Page 34 Andreacute Michaud

invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre

les deux particules maintenant seacutepareacutees

Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford

(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons

eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau

impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires

eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave

proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur

lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]

Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces

vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel

des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel

plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une

meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou

plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en

leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des

masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit

leacutequation suivante

V

t)(ωsin K2μ

t)(ωcos)jJjJ(4

ε2

iI2λ

hciIE

2

Z0

2

2

Y

2

0

X

B

E

(29)

se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure

eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

me0

KB

jIjI

iJE

0

ν

(30)

et

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

mp

ν

0

KB

jIjI

iJE

0 (31)

dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique

maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute

lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre

constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une

oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation

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Andreacute Michaud Page 35

entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-

porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]

3

2

3

C

5

m m477E1497393262π

λαV et

2

C

3

0 λαε

eπν (32)

Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere

fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse

de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope

stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la

Reacutefeacuterence [20]

Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus

leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant

invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC

du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les

deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et

deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la

vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec

lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]

C

CC

λ2λ

λ4λλcv

ou

K2E

K4EKcv

2

(33)

Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur

donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au

repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du

photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse

de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de

Broglie [32] [3]

Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon

car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple

en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume

isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie

nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron

qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque

j148E4093552062π

λα

μ2λα

ceπμV

2μ 2

3

C

5

0

2

2

C

3

0m

0

2

B (34)

23 Construction de particules complexes stables

Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts

de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont

typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la

communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en

raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement

eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus

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Page 36 Andreacute Michaud

petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue

tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]

Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont

aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que

leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre

eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps

ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction

stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des

particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par

rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-

destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)

Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions

mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-

dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence

infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux

eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement

frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions

frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes

hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)

Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible

Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors

dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons

eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules

complexes comme le proton et le neutron

Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des

eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave

ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee

(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves

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Andreacute Michaud Page 37

avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure

5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest

quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale

pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours

(Figures 5-b)

Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et

collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-

ponctuel

Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction

frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les

protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de

positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique

permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel

quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable

dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre

observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]

Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la

conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron

[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites

dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites

planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace

soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement

eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon

Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce

volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand

acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie

dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al

[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants

chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations

des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge

eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une

charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons

ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-

composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)

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Page 38 Andreacute Michaud

Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives

De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et

expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants

chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-

composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants

chargeacutes positivement [22] [25]

Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement

confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au

fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-

ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et

positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent

ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et

confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des

nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges

seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des

positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la

nature dispose pour construire les nucleacuteons

Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants

nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge

fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent

naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils

eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des

structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]

La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes

preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons

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Andreacute Michaud Page 39

correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence

de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement

estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui

peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie

agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]

soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la

seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee

pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]

2

0

eudicαn

3e

a

km

(n=1 2 3) (35)

ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la

lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale

eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de

Coulomb

8E9898755178ε4π

1k

o

(36)

En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages

expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer

cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc

2 pour la

sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux

distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe

coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de

lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]

Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la

mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la

masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient

effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour

de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces

deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance

Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie

matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee

confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et

eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent

respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas

encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et

eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des

interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures

Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres

particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par

collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees

up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee

par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de

reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant

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Page 40 Andreacute Michaud

les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach

et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee

Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave

laide de lEacutequation (35)

Masse au repos Eacutenergie Charge Ref

Eacutelectron ou positon en

mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV

plusmn1=

1602176462E-19 C [21]

Positon

eacutelectromagneacutetiquement

contraint

1 dans le neutron

2 dans le proton

2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=

1068117641E-19 C [22]

Eacutelectron

Eacutelectromagneacutetiquement

contraint

2 dans le neutron

1 dans le proton

8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=

5340588207E-20 C [22]

La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur

concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un

physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son

libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par

Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu

compte

Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The

theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far

beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks

themselves were never discovered in any scattering experiment

Traduction

Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de

succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent

quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-

mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision

Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute

produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et

quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u

(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en

parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par

Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron

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Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement

nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes

quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des

Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte

eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie

qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur

est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet

pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes

eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et

positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires

Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des

eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure

collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette

somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La

diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont

lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de

lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe

qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont

deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints

eacutelectromagneacutetiquement

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

U

Y

2

0

U

2

m

2

U

U

B

E

ν (37)

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

D

Y

2

0

D

2

m

2

DD

B

E

ν (38)

Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses

au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement

eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]

Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en

relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici

pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite

par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en

translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de

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reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de

translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport

une telle orbite circulaire

24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance

La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron

dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le

premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave

une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr

mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite

fermeacutee autour du proton

Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait

cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de

leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de

stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave

veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure

Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur

de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition

nhTβ-1

β

2

22

o r

cm (n eacutetant un nombre entier) (39)

Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de

reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction

donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte

cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de

nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil

identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature

eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut

expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait

rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique

deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses

eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion

dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules

eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte

cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories

dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique

Quantique sous sa forme traditionnelle

De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de

Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave

cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec

lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa

disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui

supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique

autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute

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perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie

eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que

leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton

En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton

nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee

autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie

concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie

induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement

Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique

strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur

temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques

eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des

orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales

de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la

freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie

du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de

reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie

sj34E662606876λvmh BB0 (40)

ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite

de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont

le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne

entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit

leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel

que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de

fB=6579683921E15 Hz

Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette

freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier

la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir

leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb

Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble

correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler

toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie

induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute

leacutenergie du quantum soit accumuleacutee

j 18-8E435974380rε4π

ehE

Bo

2

BB f (41)

dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))

Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la

longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique

la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel

quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]

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Page 44 Andreacute Michaud

αλε2

ehνE

o

2

(42)

ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale

dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue

suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec

lEacutequation (41) est donc

m82E455633525E

hcλ

B

(43)

ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave

obtenue avec lEacutequation (41) standard

j188E435974380αλε2

ehνE

o

2

B (44)

Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer

leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition

conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats

deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et

nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de

cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet

aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est

fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires

chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout

mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif

Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs

impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de

leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant

dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera

analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes

neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la

quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction

coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont

captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre

cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique

Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est

constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie

dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir

dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee

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par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la

valeur obtenue sera constant

Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de

lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee

de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie

eacutelectromagneacutetique (λ)

mj25E986445441α2ε

eEλH

0

2

(45)

Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur

temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la

constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante

H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui

reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que

historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee

deacutequations eacutelectromagneacutetiques

sj34E662606876c

Hh (46)

Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut

maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit

la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la

communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de

constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement

confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics

[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)

[40]

sj34E662606876αc2ε

eh

0

2

(47)

252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique

Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-

dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais

lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante

dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)

de latome dhydrogegravene et de son noyau

La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence

[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux

maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage

dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB

au carreacute

2

o

B

22

BB mj386E122085259ε4π

rerEK

(48)

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Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene

verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux

particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie

adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau

1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le

positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et

leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave

la Reacutefeacuterence [22]

26 Gravitation

En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires

induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules

chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de

maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une

eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son

existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le

permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux

Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee

leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors

quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le

centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les

accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette

pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une

eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle

tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne

peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de

momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car

leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de

masse de la Terre [4] [16]

En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune

mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum

vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules

chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et

est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum

pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque

lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une

pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne

agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la

masse de la Terre [33]

Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de

reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que

de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat

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de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir

de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au

rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables

permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps

ceacuteleste autour de lastre central

Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance

moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute

freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr

le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps

ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle

oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle

chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps

ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes

Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central

peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites

qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes

par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de

reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes

de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus

doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans

lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont

reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes

Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est

aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome

dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas

cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule

eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la

stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital

Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence

en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction

stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les

cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)

Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force

gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction

coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction

stationnaire

Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les

positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques

afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble

eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave

appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules

chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image

mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces

particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee

quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire

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de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du

concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de

particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le

Tableau 2

Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])

Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques

Nom Porteacutee

Force

laquo traditionnelle raquo

associeacutee

Attracteur

primaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave

lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron

Forte

Attracteur

secondaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints

appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons

dans un noyau

Faible

Attracteur

tertiaire

Entre chaque eacutelectron captif et chaque

positon eacutelectromagneacutetiquement contraint

dun noyau et entre chaque eacutelectron et

chaque positon eacutelectromagneacutetiquement

contraint des noyaux des autres atomes de

toute accumulation de matiegravere

Eacutelectromagneacutetique

Attracteur

temporaire

local

Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun

photon Eacutelectromagneacutetique

Attracteur temporaire

eacuteloigneacute

Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du

reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique

Attracteur quaternaire

Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du

reste de lrsquounivers

Graviteacute

Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre

plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance

daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance

caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la

structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte

Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux

datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique

aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les

atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere

correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier

niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute

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libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau

astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle

Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction

coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique

transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence

quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4

forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui

savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute

dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente

dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel

Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere

permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le

centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme

dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme

dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des

atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble

des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la

direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant

en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses

Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses

macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la

profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales

eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave

la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]

Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la

Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses

macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes

une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les

eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus

eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons

retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors

un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme

dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine

section

Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme

celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et

quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des

orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute

qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne

induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des

noyaux

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Page 50 Andreacute Michaud

Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette

pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission

de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les

eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave

mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee

denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante

dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les

eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec

linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage

de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le

deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant

agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes

quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en

chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]

Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les

masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent

les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui

diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux

atomiques

Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction

coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une

augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe

central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique

variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des

nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]

Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que

la profondeur augmente dans les masses macroscopiques

Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire

ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne

peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules

eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances

internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x

de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces

petites masses et celles de la Terre

Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes

constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction

proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est

laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons

captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des

photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale

meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant

agrave leurs orbitales daction stationnaire

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Andreacute Michaud Page 51

Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation

daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la

freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience

de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps

voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps

avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion

tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du

champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee

En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons

de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la

mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement

axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation

dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les

sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs

trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace

profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur

lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les

masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en

conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel

Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de

Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres

qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne

[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient

agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur

oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ

magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques

28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees

expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en

perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de

la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant

la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit

une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les

anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de

piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]

Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un

proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action

plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a

lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes

quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees

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Page 52 Andreacute Michaud

Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos

par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de

2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-

porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]

j18-2E2179784831γcmΔKE 2

oK (49)

Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)

qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de

Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son

mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction

stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie

totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale

deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse

au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus

de stabilisation

j141875401148cmcmΔKE 2

0

2

me E (50)

Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune

quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie

j10-7E150327730cmE 2

pp (51)

Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr

0548911836

1

E

E

p

e (52)

On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de

grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la

composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par

rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele

reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en

perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de

leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus

grande

4968964481

1

E

E

p

K (53)

Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par

linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du

momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le

processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre

inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere

Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette

eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct

Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur

agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera

communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que

leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera

eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et

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Andreacute Michaud Page 53

mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de

freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere

La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de

Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin

Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas

vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de

lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-

2000 [18]

Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et

son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors

de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le

mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest

pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du

photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa

configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une

inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve

photoeacutelectrique de Einstein

La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum

ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur

lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de

son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant

son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son

volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)

Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie

eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum

unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum

complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)

La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe

dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de

jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule

transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme

dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du

photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y

pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut

ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8

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Page 54 Andreacute Michaud

La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant

inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux

champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du

proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence

darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J

vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la

quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement

qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du

photon porteur

T4692470103λα

ceπμ22

23

0 B (54)

ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout

deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs

magneacutetiques

En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de

leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome

dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable

coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la

meacutecanique actuelle deacutemission de photons

Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que

leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant

vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste

eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie

vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une

flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication

suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et

le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas

par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron

agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]

De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre

faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et

un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement

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Andreacute Michaud Page 55

compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite

lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis

artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion

initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la

rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en

permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence

Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation

de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron

dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute

eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence

[33]

Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette

distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque

la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de

remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement

induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la

direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression

stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente

eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie

que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant

momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV

temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon

eacutelectromagneacutetique seacutepareacute

La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra

leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ

magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le

montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence

dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe

devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]

Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y

eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se

deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges

opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la

valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le

proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de

leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la

part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue

par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne

Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui

fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit

de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que

leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave

saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe

de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous

forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des

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Page 56 Andreacute Michaud

impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau

macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d

La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton

comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie

ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique

incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La

reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience

que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que

linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de

leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis

et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce

processus de freinage si bref

Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de

lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers

lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum

qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du

reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-

quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par

deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet

leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller

transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi

loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se

deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]

Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la

seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet

momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la

vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre

compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du

photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave

lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale

des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de

la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute

totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement

invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton [4]

29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques

Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la

massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-

eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee

par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant

adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK

nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui

interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais

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Andreacute Michaud Page 57

neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du

proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale

dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que

deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum

ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression

momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs

eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie

transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de

2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de

Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du

systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur

vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut

maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-

porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

le permettra [52]

Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en

conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee

plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos

eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou

agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme

eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par

accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18

j

Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et

documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent

document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui

permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons

eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de

leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article

30 Conclusion

Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie

eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de

concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme

si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait

dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne

La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de

Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la

deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin

complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit

une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus

deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit

preacuteceacutedemment

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 58 Andreacute Michaud

Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une

conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies

anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux

expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les

eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un

ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par

Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz

Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations

eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees

provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire

Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique

quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident

geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant

donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision

cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants

magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013

pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]

Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des

eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]

Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet

dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques

denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave

lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du

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Andreacute Michaud Page 63

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Autres articles dans le mecircme projet

Le modegravele des 3-espaces - Meacutecanique eacutelectromagneacutetique

Page 8: L'électromagnétisme selon l'interprétation initiale de Maxwell

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 8 Andreacute Michaud

Traduction

Il y a des difficulteacutes associeacutees avec les ideacutees de la theacuteorie de Maxwell qui ne

sont pas reacutesolues par la Meacutecanique Quantique et qui ne lui sont pas directement

associeacutees non plus lorsque leacutelectromagneacutetisme est associeacute agrave la Meacutecanique

Quantique ces difficulteacutes demeurent

Tel que mis en eacutevidence dans un article reacutecent [16] toutes les theacuteories actuelles traitent

matheacutematiquement les masses macroscopiques comme si elles ne posseacutedaient pas de structure

granulaire interne cest-agrave-dire comme si elles eacutetaient constitueacutees dune substance continue

uniformeacutement reacutepartie dans tout leur volume et mecircme la Meacutecanique Quantique traite lrsquoeacutenergie

des eacutelectrons comme si elle eacutetait similairement reacutepartie uniformeacutement dans le volume entier

deacutefini par leacutequation de Schroumldinger La raison en est que la structure eacutelectromagneacutetique interne

de leacutenergie constituant la masse de chaque particule eacuteleacutementaire tel lrsquoeacutelectron ainsi que la

structure eacutelectromagneacutetique interne de celles constituant les structures internes des protons et des

neutrons qui constituent le noyau de tous les atomes de lunivers nrsquoont pas encore eacuteteacute clairement

eacutetablies et que leacutenergie dont deacutepend le mouvement et laugmentation du champ magneacutetique

transversal des particules eacuteleacutementaires en cours dacceacuteleacuteration na pas encore eacuteteacute

matheacutematiquement seacutepareacutee de leacutenergie constituant leur masse au repos

Reacutecemment cependant de nouveaux deacuteveloppements ont permis deacutetablir une structure

eacutelectromagneacutetique subatomique interne coheacuterente pour les photons eacutelectromagneacutetiques localiseacutes

et pour toutes les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires conformeacutement aux eacutequations de

Maxwell ce qui permet finalement de trouver naturel que tous les atomes sont faits au niveau

subatomique de particules eacuteleacutementaires seacutepareacutees et localiseacutees stabiliseacutees dans divers eacutetats de

reacutesonance de moindre action et que leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre est quantifieacutee au niveau

subatomique mecircme si nous la traitons comme une onde continue agrave notre niveau macroscopique

3 Deux perceacutees majeures reacutecentes

Dans les anneacutees 1930 deacutejagrave Louis de Broglie proposait lhypothegravese dune possible structure

interne potentiellement quantifieacutee dun photon eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique

qui serait conforme aux eacutequations de Maxwell mais dont leacutelaboration de son propre aveu ne

semblait pas possible dans le cadre restreint de la geacuteomeacutetrie agrave 4 dimensions de lespace-temps de

Minkowski [17]

la non-individualiteacute des particules le principe dexclusion et leacutenergie

deacutechange sont trois mystegraveres intimement relieacutes ils se rattachent tous trois agrave

limpossibiliteacute de repreacutesenter exactement les entiteacutes physiques eacuteleacutementaires dans

le cadre de lespace continu agrave trois dimensions (ou plus geacuteneacuteralement de lespace-

temps continu agrave quatre dimensions) Peut-ecirctre un jour en nous eacutevadant hors de

ce cadre parviendrons-nous agrave mieux peacuteneacutetrer le sens encore bien obscur

aujourdhui de ces grands principes directeurs de la nouvelle physique ([17] p

273)

Deux deacuteveloppements reacutecents ont cependant permis deacutelaborer cette structure

eacutelectromagneacutetique interne du photon localiseacute proposeacutee par de Broglie en parfaite conformiteacute avec

les eacutequations de Maxwell et de constater eacuteventuellement que toutes les particules eacuteleacutementaires

stables massives et chargeacutees eacutelectriquement dont sont constitueacutes les atomes au niveau

subatomique pouvaient aussi ecirctre deacutecrites de la mecircme maniegravere conforme avec les eacutequations de

Maxwell

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Andreacute Michaud Page 9

Le nouvel eacuteclairage apporteacute par ces reacutecents deacuteveloppements sur la nature de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique fondamentale a ensuite permis de recentrer selon cette nouvelle perspective

lessentiel des conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir de lensemble des donneacutees expeacuterimentales

recueillies agrave ce jour concernant le niveau subatomique Ces conclusions reacuteviseacutees ont ensuite eacuteteacute

expliqueacutees dans une vingtaine darticles seacutepareacutes chacun desquels analyse un aspect speacutecifique de

la question et qui seront donneacutes en reacutefeacuterence au cours de cette synthegravese finale

4 La premiegravere perceacutee majeure

Le premier de ces deux deacuteveloppement fut leacutelaboration dune geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de

lespace fondeacutee sur la relation triplement orthogonale que Maxwell associa aux trois aspects

fondamentaux de leacutenergie eacutelectromagneacutetique dont la lumiegravere est constitueacutee au niveau

subatomique soit ses aspects eacutelectrique et magneacutetique perccedilus comme eacutetant perpendiculaires lun

agrave lautre et sinduisant mutuellement en un mouvement cyclique transversal doscillation

stationnaire de leacutenergie que ces champs mesurent par rapport agrave la direction de mouvement de

cette eacutenergie dans le vide soit une direction de mouvement de cette eacutenergie qui est

perpendiculaire agrave la direction doscillation transversale stationnaire de leacutenergie repreacutesenteacutee par

ces deux champs (voir Figure 1)

La geacuteomeacutetrie trispatiale (voir Figure 3) neacutecessaire agrave leacutelaboration de leacutequation LC deacutecoulant

de lhypothegravese de de Broglie [3] en conformiteacute avec la solution de Maxwell (Figure 1) fut

formellement preacutesenteacutee agrave leacuteveacutenement CONGRESS-2000 en juillet 2000 agrave lUniversiteacute deacutetat de

Saint-Peacutetersbourg [18]

Cette geacuteomeacutetrie plus eacutetendue de lespace au niveau subatomique est complegravetement deacutecrite agrave la

Reacutefeacuterence [4] mais peut se reacutesumer briegravevement de la maniegravere suivante La meacutethode consiste agrave

augmenter geacuteomeacutetriquement chacun des 3 vecteurs eacutelectromagneacutetiques lineacuteaires standard i j et k

(Figure 3-a) applicables agrave lespace normal les transformant en 3 espaces vectoriels 3D

pleinement deacuteveloppeacutes (Figure 3-b) chacun de ces trois espaces maintenant identifieacutes comme

eacutetant les espaces X Y et Z (Figure 3-c) chaque espace demeurant perpendiculaire aux deux

autres et les trois demeurant connecteacutes via leur point dorigine commun

Figure 3 Ensemble des vecteurs majeurs et mineurs applicables agrave la geacuteomeacutetrie trispatiale

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 10 Andreacute Michaud

Ce centre commun peut maintenant ecirctre compris comme servant un point de passage situeacute au

centre de chaque quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute au niveau subatomique agrave travers lequel la

substance-eacutenergie de la particule serait libre de circuler entre les trois espaces comme entre des

vases communicants de maniegravere agrave permettre leacutetablissement dune oscillation transversale

stationnaire de la moitieacute de leacutenergie de la particule entre ses aspects E et B entre les deux

espaces-YZ ainsi quun partage agrave parts eacutegales de leacutenergie totale de la particule entre le demi-

quantum deacutenergie oscillant transversalement des champs E et B du double-complexe-

transversal-YZ et demi-quantum deacutenergie unidirectionnelle du momentum de la particule qui

reacuteside dans lespace-X

Pour visualiser mentalement le mouvement de leacutenergie dans ce complexe geacuteomeacutetrique

trispatial agrave 9 dimensions mutuellement orthogonales il suffit dimaginer chacun des 3 ensembles

de vecteurs mineurs i j et k de la Figure 3-b comme sils eacutetaient les tiges (baleines) replieacutees de 3

parapluies meacutetaphoriques Cela permet douvrir mentalement agrave volonteacute nimporte lequel dentre

eux un agrave la fois jusquagrave pleine expansion orthogonale pour observer et deacutecrire

matheacutematiquement le comportement de leacutenergie dans cet espace 3D pleinement deacuteployeacute pendant

chaque phase du mouvement oscillatoire Les Figures 3-b et 3-c montrent les dimensions des 3

espaces agrave demi deacuteployeacutees pour permettre une identification unique claire de chacun des 9 axes

orthogonaux internes reacutesultants

5 La deuxiegraveme perceacutee majeure

Le deuxiegraveme deacuteveloppement se produisit quelques anneacutees plus tard en 2003 lorsque3 Paul

Marmet publia un article important deacutecrivant une relation nouvellement perccedilue entre

laugmentation progressive de lintensiteacute du champ magneacutetique transversal dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration et laugmentation simultaneacutee de sa masse transversalement mesurable [19] qui

permit ensuite de clairement distinguer leacutenergie variable du momentum de leacutelectron qui

augmente aussi pendant son acceacuteleacuteration de leacutenergie aussi variable de lincreacutement de son champ

magneacutetique transversal et aussi de seacuteparer clairement ces deux quantiteacutes variables deacutenergie de

leacutenergie invariante constituant la masse au repos de leacutelectron tel que deacutecrit dans un article

publieacute en 2007 dans la mecircme journal International IFNA-ANS Journal de lUniversiteacute dEacutetat de

Kazan [20]

Cette deacutecouverte permit ensuite dobserver que toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees

constituant les atomes possegravedent exactement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique LC interne

dans cette geacuteomeacutetrie spatiale plus eacutetendue accompagneacutee dune eacutenergie porteuse impliquant une

eacutenergie de momentum et une eacutenergie de champ magneacutetique transversale qui se structurent de

maniegravere identique agrave la structure eacutelectromagneacutetique interne deacutecrite par leacutequation LC deacuteveloppeacutee

pour deacutecrire le photon localiseacute agrave double-particule de lhypothegravese de de Broglie [3] [21] [22] [23]

ce qui permit ensuite deacutetablir leurs eacutequations LC trispatiales respectives tel que reacutesumeacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] comme nous le verrons plus loin

Notons ici que cette structure eacutelectromagneacutetique LC interne est eacutegalement applicable agrave toutes

les particules eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement constituant les particules

complexes instables quelles soient eacutelectriquement neutres ou non telles les pions kaons et

autres particules complexes eacutepheacutemegraveres reacutesultant de collisions destructrices entre particules

eacuteleacutementaires [24]

Nous neacutetudierons cependant ici que les particules stables constituant la structure stable des

atomes du tableau peacuteriodique et de leurs noyaux ainsi que les positons et les photons

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Andreacute Michaud Page 11

eacutelectromagneacutetiques en mouvement libre car tous les partons instables geacuteneacutereacutes par collisions

destructrices ne jouent aucun rocircle dans leacutetablissement et la stabiliteacute de lunivers eacutetant donneacute que

sans exception ils se deacutesintegravegrent presque instantaneacutement en libeacuterant leur excegraves deacutenergie en des

seacutequences deacutetapes bien connues [25] jusquagrave ce que tout ce qui en reste savegravere ecirctre lune ou

lautre ou plusieurs de lensemble tregraves restreint des particules eacuteleacutementaires stables chargeacutees

eacutelectriquement et massives dont les atomes sont constitueacutes [24]

Mais il faut drsquoabord precircter attention agrave une erreur typographique dans lEacutequation (M-7) de

larticle de Marmet qui rend difficile une perception claire que sa deacuterivation est veacuteritablement

sans faille Pour que sa seacutequence de raisonnement ininterrompue soit rendue eacutevidente sa

deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-7) agrave partir de leacutequation de Biot-Savart sera complegravetement

deacutetailleacutee ici La suite de sa deacuterivation jusquagrave lEacutequation (M-23) demeure ensuite facile agrave suivre

directement dans son article [19] et est de plus clairement expliqueacutee et analyseacutee dans un autre

article reacutecemment publieacute [4]

Quoique la deuxiegraveme partie de son article deacutebutant avec la Section 7 concerne une hypothegravese

personnelle sur une possible structure interne de leacutelectron qui est bien sucircr sujette agrave discussion la

premiegravere partie de son article nest daucune maniegravere hypotheacutetique mais eacutelabore plutocirct une

deacuterivation sans faille agrave partir de leacutequation de Biot-Savart elle-mecircme eacutetablie directement agrave partir

de donneacutees expeacuterimentales qui peuvent ecirctre facilement reacuteobtenues agrave volonteacute conduisant agrave

leacutetablissement dune nouvelle Eacutequation (son eacutequation M-23) qui semble ne laisser planer aucun

doute pour citer Marmet lui-mecircme que laugmentation de la soi-disant masse relativiste [de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration] nest en fait rien de plus que la masse du champ magneacutetique

geacuteneacutereacute ducirc agrave la veacutelociteacute de leacutelectron [19]

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Pour eacuteviter toute confusion dans la numeacuterotation des eacutequations du preacutesent article les

eacutequations provenant directement de lrsquoarticle de Marmet seront preacuteceacutedeacutees du preacutefixe M- suivi

du numeacutero de cette eacutequation dans lrsquoarticle original [19] afin que le lecteur puisse les localiser

directement dans son article original

LEacutequation (M-23) laisse entrevoir de nombreuses possibiliteacutes qui nont jamais eacuteteacute consideacutereacutees

auparavant dont la plus importante est quelle met en lumiegravere une inconsistance entre la theacuteorie

de la Relativiteacute Restreinte (RR) et leacutelectromagneacutetisme qui ne pouvait pas ecirctre remarqueacutee

autrement car lideacutee mecircme que leacutenergie qui augmente progressivement le champ magneacutetique

transversal dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel que calculeacute avec les eacutequations de

leacutelectromagneacutetisme pourrait ecirctre la mecircme eacutenergie qui peut aussi ecirctre expeacuterimentalement

mesureacutee comme eacutetant sa masse transversale augmentant avec sa veacutelociteacute telle que calculable

avec les eacutequations de la meacutecanique relativiste est absente de la RR pour une raison qui sera mise

en eacutevidence plus loin

Le premier indice laissant supposer quun quantum deacutenergie unique pourrait ecirctre responsable

agrave la fois de laugmentation du champ magneacutetique transversal de leacutelectron et de laugmentation

relativiste de sa masse mesurable transversalement est eacutetablie par le fait bien connu que le

champ magneacutetique tel que mesureacute autour dun fil conduisant un courant eacutelectrique stable qui est

constitueacute bien sucircr deacutelectrons circulant tous agrave la mecircme vitesse et dans la mecircme direction dans ce

fil est orienteacute perpendiculairement cest-agrave-dire transversalement par rapport agrave la direction de

mouvement des eacutelectrons ce dont rend compte la loi de Biot-Savart tel que mis en perspective

par Marmet au deacutebut de son article [19]

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Page 12 Andreacute Michaud

Un point important doit deacutejagrave ecirctre mis en eacutevidence concernant lhabitude acquise depuis

Maxwell de penser agrave la relation familiegravere triplement orthogonale de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

comme impliquant des champs eacutelectrique et magneacutetique perpendiculaires lun agrave lautre et qui

seraient en mecircme temps perpendiculaires agrave la direction de mouvement de leacutenergie

Cest un fait rarement mentionneacute dans les ouvrages de reacutefeacuterence que le concept ideacutealiseacute du

champ eacutelectrique fut introduit par Gauss en tant quune repreacutesentation conceptuelle

geacuteomeacutetrique et matheacutematique ideacutealiseacutee de linteraction coulombienne diminuant

omnidirectionnellement vers zeacutero agrave distance infinie en fonction de la regravegle de linverse du carreacute

de la distance agrave partir dune valeur maximale situeacutee agrave lendroit ponctuel ou se trouverait dans

lespace la charge de test unique qui demeure dans leacutequation de Coulomb lorsque la deuxiegraveme

charge est retireacutee de leacutequation tel que remis en eacutevidence dans un article reacutecent [14] Ce concept

ideacutealiseacute fut ensuite aussi conceptualiseacute geacuteomeacutetriquement et matheacutematiquement pour repreacutesenter

sous forme dun champ magneacutetique laspect magneacutetique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

Il sera donc important pour la suite de cette analyse de garder en tecircte lintension originale de

Gauss que ces champs soient consideacutereacutes seulement comme des outils geacuteomeacutetriques et

matheacutematiques ideacutealiseacutes destineacutes seulement agrave repreacutesenter leacutenergie reacuteelle qui est senseacutee

exister physiquement et que cest leacutenergie eacutelectromagneacutetique elle-mecircme qui existe reacuteellement

qui sauto-structurerait physiquement pour ainsi dire selon cette double configuration

perpendiculaire reacutesultant de son oscillation eacutelectromagneacutetique transversale soit une oscillation

qui est orienteacutee transversalement par rapport agrave leacutenergie unidirectionnelle de momentum qui

soutient son mouvement dans lespace

Il en reacutesulte que leacutenergie transversale elle-mecircme que la deacuterivation de Marmet identifie comme

rendant compte simultaneacutement de laugmentation du champ magneacutetique transversal et de

laugmentation de la masse relativiste transversale de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ne peut

donc ecirctre orienteacutee que perpendiculairement par rapport agrave la direction de mouvement des eacutelectrons

dont la circulation geacutenegravere le courant stable mesurable via leacutequation de Biot-Savart

Cela signifie bien sucircr que leacutenergie qui supporte le momentum en augmentation dun eacutelectron

en cours dacceacuteleacuteration calculable agrave laide de leacutequation de la meacutecanique relativiste

ΔK=γmov22 ne peut en aucun cas ecirctre la mecircme leacutenergie qui supporte perpendiculairement son

champ magneacutetique en augmentation calculable agrave laide de leacutequation de Biot-Savart cette

derniegravere correspondant preacutesumeacutement agrave leacutenergie de lincreacutement de masse transversale calculable

avec leacutequation de la meacutecanique relativiste ΔE=Δmc2= (γmoc

2 - moc

2) car il est physiquement

et vectoriellement impossible quun unique quantum deacutenergie puisse se deacuteplacer dans ces deux

directions perpendiculaires simultaneacutement et aussi parce que la quantiteacute totale de seulement une

de ces deux quantiteacutes deacutenergie est insuffisante pour rendre compte agrave elle seule agrave la fois de

laugmentation de son momentum longitudinal et de laugmentation simultaneacutee de son champ

magneacutetique transversal orienteacute perpendiculairement pour toute vitesse donneacutee

Dautre part la premiegravere eacutequation de Maxwell qui est en fait leacutequation de Gauss deacutejagrave

mentionneacutee pour le champ eacutelectrique et qui redevient la simple eacutequation de Coulomb lorsquune

seconde charge est introduite dans le champ ideacutealiseacute de la charge de test reacutevegravele que la quantiteacute

deacutenergie totale induite dans chaque charge en acceacuteleacuteration correspond soit agrave deux fois leacutenergie

du momentum longitudinal ΔK=γmov22 ou agrave deux fois leacutenergie de lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique transversal ΔE=Δmmc2 En fait ceci reacutevegravele que les deux

quantiteacutes deacutenergie sont toujours eacutegales par structure et que cette somme ne peut ecirctre constitueacutee

que de leur induction simultaneacutee dont ΔE rend aussi compte de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration les deux quantiteacutes constituant alors

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Andreacute Michaud Page 13

la quantiteacute totale deacutenergie requise pour rendre compte de laugmentation simultaneacutee de la

veacutelociteacute et du champ magneacutetique transversal associeacute soit ΔE= ΔK + Δmmc2 =γmov

22 + (γmoc

2 -

moc2) tel que deacutemontreacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faudrait donc plutocirct parler en reacutealiteacute de deux demi-quanta deacutenergie constituant un unique

quantum deacutenergie induite Le fait que ce quantum deacutenergie total calculeacute avec leacutequation de

Coulomb varie dune maniegravere infiniteacutesimalement progressive en fonction de linverse de la

distance entre deux particules chargeacutees deacutemontre aussi que cette eacutenergie varie adiabatiquement

et ceci uniquement en fonction de linverse des distances seacuteparant toutes les particules chargeacutees

les unes des autres en vertu de linteraction coulombienne quelles soit ou non en mouvement

Un indice suppleacutementaire supportant la conclusion que ces deux demi-quanta deacutenergie

doivent exister simultaneacutement est que pour mecircme pouvoir calculer lincreacutement du champ

magneacutetique ΔB associeacute agrave toute vitesse dun eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration agrave laide de la forme

geacuteneacuteraliseacutee de leacutequation de Marmet (M-7) eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [20] cest la longueur drsquoonde de

cette double quantiteacute drsquoeacutenergie procureacutee par lrsquoeacutequation de Coulomb qui doit ecirctre utiliseacutee pour

obtenir cette valeur ΔB correcte de lincreacutement transversal de champ magneacutetique de leacutelectron en

mouvement ce qui sera deacutemontreacute justement avec lrsquoEacutequation (9) plus loin

6 Contexte historique de leacutelaboration de la theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte

Mais le fait mecircme que ces deux demi-quanta deacutenergie sont toujours eacutegaux en quantiteacute a

initialement creacuteeacute une confusion dans la communauteacute en labsence de cette nouvelle information

qui est disponible seulement depuis la reacutecente deacuterivation de Marmet Cette confusion a fait

consideacuterer quune quantiteacute eacutegale agrave un seul de ces deux demi-quanta eacutetait la quantiteacute totale

deacutenergie induite pendant le processus dacceacuteleacuteration relativiste de leacutelectron et un deacutesaccord

ceacutelegravebre seacutetablit parmi les theacuteoriciens du deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Par exemple Minkowski [26] Lorentz [27] et Einstein [28] par exemple associegraverent ce demi-

quantum deacutenergie strictement au momentum soit une conclusion qui fait partie inteacutegrante de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte (RR) alors quAbraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31]

associegraverent le demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse

transversale mesurable

7 La conclusion de Minkowski Lorentz et Einstein

En consultant un article ceacutelegravebre de Max Planck datant de 1906 [31] il peut ecirctre noteacute quil

reacutefegravere agrave leacutenergie constituant la masse dun eacutelectron en mouvement E=γmoc2 par les termes

lebendige Kraft (Voir son commentaire suite agrave leacutequation 8 page 140 de son texte identifiant

cette eacutenergie par le terme L) qui se traduit en anglais dans la communauteacute de la physique

fondamentale par les termes force cineacutetique (ou force vibrante ou force vive pour une

traduction litteacuterale de lallemand) ce qui met en perspective quau deacutebut du 20e siegravecle la

diffeacuterence entre le concept de force telle la force calculable agrave laide de leacutequation de Coulomb

ou agrave laide de leacutequation fondamentale dacceacuteleacuteration des masses F=ma que nous conceptualisons

comme ayant les dimensions de joules par megravetre [2] et le concept deacutenergie induite par

linteraction coulombienne qui sobtient en multipliant la force de Coulomb par la distance entre

deux charges que nous conceptualisons comme ayant seulement la dimension joules [2] neacutetait

pas encore clairement eacutetabli ces deux notions eacutetant apparemment encore non clairement

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Page 14 Andreacute Michaud

diffeacuterencieacutees La seule reacutefeacuterence au momentum dans son texte est Impulskoordinaten

(coordonneacutees du momentum) quil ny associe pas agrave leacutenergie qui le supporte en contexte du

deacutebat en cours agrave ce moment et ceci au moment historique mecircme ougrave le deacutebat autour de

lintroduction de la RR faisait rage

Par contraste dans la communauteacute de la physique fondamentale germanique de nos jours le

momentum Impuls est immeacutediatement conceptualiseacute comme eacutetant une quantiteacute deacutenergie

cineacutetique kinetische Energie se deacuteplaccedilant dans une direction vectorielle preacutecise comme dans

les communauteacutes physiques dautres langues Peu nombreux sont ceux de nos jours qui ont

pleinement conscience quau deacutebut du 20e siegravecle les plus grandes avanceacutees de la physique

fondamentale ont eacuteteacute faites en Europe et que les articles originaux ont eacuteteacute eacutecrits majoritairement

en allemand mais aussi en franccedilais et en italien et que certains de ces articles fondateurs nont

toujours pas eacuteteacute formellement traduits en anglais contrairement agrave la croyance populaire et

certains tregraves tardivement Par exemple le texte dun exposeacute seacuteminal dHerman Minkowski de

1907 Das Relativitaumltsprinzip ne fut traduit en anglais que tregraves reacutecemment en 2012 par Fritz

Lewertoff [26] Pratiquement tous les eacutecrits de Louis de Broglie dont lensemble de loeuvre

vient tout juste decirctre traduit en russe na pas encore traduit en anglais Il est donc important de

consulter les articles formels dans leur langue originale pour sassurer de lexactitude des versions

traduites et surtout pour bien mettre en perspective leacutetendue plus restreinte de lensemble des

connaissances eacutetablies agrave leacutepoque et sur lesquelles reposait leur reacutedaction

En analysant larticle de Lorentz de 1904 [27] qui introduisit le concept de la relativiteacute par

lintroduction du facteur γ dans les eacutequations de la meacutecanique classique ce qui incita Planck agrave

eacutecrire son article de 1906 preacuteceacutedemment citeacute [31] il peut ecirctre constateacute que le concept de la force

de Coulomb y est clairement deacutefini mais que leacutenergie du momentum relativiste de leacutelectron y

est calculeacute de la maniegravere qui nous vient tous intuitivement agrave lesprit initialement cest-agrave-dire en

ajoutant le facteur γ agrave leacutequation cineacutetique initiale de Newton K=mov22 mais quil ne modifie

pas cette eacutequation pour incorporer le demi-quantum deacutenergie transversale qui supporte

lincreacutement correspondant de son champ magneacutetique tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [32] ou

alternativement quil ne multiplie pas la force obtenue au moyen de leacutequation de Coulomb par la

distance entre les deux charges pour obtenir leacutenergie adiabatique totale induite dans chacune des

charges par linteraction coulombienne agrave cette distance tel que deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Il faut donc prendre pleinement conscience que si deux des plus grands deacutecouvreurs de

leacutepoque soit Planck et Lorentz navaient pas fait le lien ontologique qui nous est maintenant

eacutevident entre linteraction coulombienne et linduction deacutenergie cineacutetique dans les particules

chargeacutees ainsi que le lien entre cette eacutenergie induite eacutelectromagneacutetiquement et leacutenergie cineacutetique

qui cause le mouvement des corps massifs selon la perspective procureacutee par la meacutecanique

classiquerelativiste corps macroscopiques dont la masse ne peut ecirctre constitueacutee que la somme

des masses de ces particules eacuteleacutementaires chargeacutees eacutelectriquement cela signifie neacutecessairement

par extension que cette relation neacutetait pas encore clairement eacutetabli dans lensemble de la

communauteacute scientifique de leacutepoque aussi inattendu que cela puisse nous sembler aujourdhui

Il demeure tout de mecircme eacutetonnant que les grand deacutecouvreurs de cette eacutepoque aient pu eacutetablir

de maniegravere si preacutecise les eacutequations de la meacutecanique classiquerelativiste sans avoir pu beacuteneacuteficier

du recul que nous avons maintenant apregraves un siegravecle suppleacutementaire dexpeacuterimentation qui permet

maintenant de clairement percevoir cette relation entre la soi-disant force de Coulomb obtenue

en multipliant la charge unitaire de leacutequation du champ eacutelectrique eacutetablie par Gauss E=

e4πεod2 [6] par une seconde charge e qui agit selon la loi de linverse du carreacute de la distance

entre des charges eacutelectriques 1d2 soit F=emiddotE= e

24πεod

2 et la quantiteacute deacutenergie cineacutetique

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adiabatique [33] que cette force induit dans ces charges eacutelectriques en fonction de linverse

simple de la distance qui les seacutepare 1d soit E=dmiddotF= e24πεod qui sont des concepts quil

semblait difficile de clairement distinguer lun de lautre agrave travers le brouillard dincertitude qui

entourait encore les relations entre ces concepts eacutelectromagneacutetiques qui neacutetaient pas agrave ce

moment en processus dexploration meacutethodique et qui ne le sont toujours pas de nos jours (voir

Section suivante) et le concept classique de masse qui relevait de la meacutecanique classique et

qui eacutetait encore consideacutereacutee comme nayant aucun lien avec leacutelectromagneacutetisme agrave ce moment

Cest ce qui explique pourquoi le concept de force na pas eacuteteacute speacutecifiquement incorporeacute agrave la

RR pour justifier laugmentation de leacutenergie dune masse en mouvement ou en acceacuteleacuteration et

aussi pourquoi la notion mecircme de force est tout simplement absente de la theacuteorie de la

Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) dans laquelle elle est remplaceacutee comme cause ontologique de

lexistence de leacutenergie par un mouvement inertiel des corps massifs mouvement supposeacutement

causeacute par une supposeacutee courbure de lespace-temps ce qui a empecirccheacute que leacutequation de

Coulomb qui est fondeacute sur le concept dune force associeacutee agrave lacceacuteleacuteration de particules

eacutelectriquement chargeacutees soit conceptuellement associeacute agrave lacceacuteleacuteration de la masse de leacutelectron

selon cette perspective car aucun lien nest fait dans cette theacuteorie entre le concept de masse

classique et le fait que tous les corps massifs macroscopiques ne peuvent ecirctre constitueacutes que de

particules eacuteleacutementaires massives eacutelectriquement chargeacutees [16] comme il sera mis en perspective

plus loin

Aussi eacutetrange que cela puisse paraicirctre plus dun siegravecle apregraves les expeacuteriences deacuteterminantes de

Kaufman avec des eacutelectrons acceacuteleacuterant jusquagrave des vitesses relativistes [34] aucun concept

daugmentation du champ magneacutetique de la masse de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration nexiste en

RR ce qui fait sembler normal selon cette theacuteorie que seulement leacutenergie du momentum

augmente avec la vitesse soit une vitesse en apparence causeacute par une theacuteorique acceacuteleacuteration

inertielle

8 La conclusion de Planck Poincareacute et Abraham

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment Abraham [29] Poincareacute [30] et Planck [31] associegraverent le

demi-quantum deacutenergie de mouvement mesureacute agrave une augmentation de la masse transversale

mesurable sans cependant faire aucune la relation avec laugmentation transversale simultaneacutee

du champ magneacutetique associeacute Selon cette perspective le momentum dune masse en mouvement

ne possegravede pas dexistence physique mais est consideacutereacute comme une impulsion se propageant

dans un eacutether sous-jacent qui propulserait la masse ce qui fait aussi sembler normal de ce second

point de vue que seulement le demi-quantum deacutenergie de la masse transversale augmente avec la

vitesse

Ce deacutesaccord entre les positions dEinstein Minkowski et Lorentz dune part et de Poincareacute

Abraham et Planck dautre part est toujours lobjet de discussions sans fin dans la communauteacute

Dans les deux cas aucune relation nest eacutetablie avec la double quantiteacute deacutenergie reacuteveacuteleacutee par

leacutequation de Coulomb comme eacutetant ontologiquement induite simultaneacutement par linteraction

coulombienne dans leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration et ni lune ni lautre de ces solutions ne

laisse mecircme soupccedilonner que les deux demi-quanta pourraient augmenter simultaneacutement

Par conseacutequent une prise de conscience claire de lexistence simultaneacutee de ces deux demi-

quanta orienteacutes perpendiculairement lun par rapport agrave lautre agrave la lumiegravere de la deacutecouverte de

Marmet et en relation avec leacutequation de Coulomb est donc neacutecessaire pour quune

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Page 16 Andreacute Michaud

harmonisation complegravete de la meacutecanique classiquerelativiste et de leacutelectromagneacutetisme puisse

ecirctre reacutealiseacutee

9 Les Principes axiomatiques absolus

Revenons un moment sur ce brouillard dincertitude deacutejagrave mentionneacute qui entourait les

concepts de force de Coulomb et deacutenergie induite par cette force lors de leacutelaboration de la

theacuteorie de la Relativiteacute Restreinte au deacutebut du 20iegraveme siegravecle

Au fil de lhistoire avant que leacutetendue des connaissances accumuleacutees du moment navaient

permis didentifier de constantes absolues dans la Nature sur lesquelles des theacuteories auraient pu

ecirctre eacutelaboreacutees pour expliquer processus observables dans la reacutealiteacute objective la meacutethode utiliseacutee

pour fonder ces theacuteories consistait agrave eacutetablir des principes axiomatiques absolus servant de

points de repegravere permettant de fonder solidement des explications rationnelles au sujet de la

nature de leacutenergie de la masse des charges eacutelectriques etc Ces principes ont fini par devenir

des dogmes ideacutealiseacutes que la communauteacute scientifique adopta comme eacutetant des reacutefeacuterences

consideacutereacutees fiables pour fonder les theacuteories qui eacutetaient en cours de deacuteveloppement tels le

Principe de conservation de leacutenergie le Principe dexclusion de Pauli les Principes daction

stationnaire et de moindre action etc

La plupart de ces Principes sont des Principes ideacutealiseacutes positifs tel le Principe de

conservation de leacutenergie qui nadmet par deacutefinition aucune exception mais qui ne deacutecourage pas

activement la recherche concernant de possibles limitations de leur porteacutee ou de la validiteacute mecircme

dun principe par rapport agrave son applicabiliteacute agrave la reacutealiteacute physique qui aurait pu ecirctre moins bien

compris lorsquil fut initialement formuleacute

En effet dans le cas de ce dernier principe par exemple leacutetendue actuelle des connaissances

permet maintenant de mieux deacutefinir sa porteacutee par rapport agrave la reacutealiteacute physique parce que nous

pouvons observer que le Principe de conservation de leacutenergie reste valable pour un systegraveme tant

quun tel systegraveme deacutejagrave stabiliseacute dans un eacutetat deacutequilibre daction stationnaire retourne agrave cet eacutetat

apregraves avoir eacuteteacute perturbeacute mais que sil est ameneacute agrave varier de maniegravere agrave se stabiliser axialement

dans un eacutetat de moindre action moins eacutenergeacutetique ou plus eacutenergeacutetique que leacutetat daction

stationnaire initial ce changement ne peut ecirctre que de nature adiabatique [33]

Cest preacuteciseacutement le cas des sondes spatiales qui sont eacuteloigneacutees de la Terre et lanceacutees sur des

trajectoires de moindre action deacutechappement du Systegraveme solaire par exemple [35] [36] [37]

[38] comme nous le verrons plus loin Lorsque de tels systegravemes se stabilisent dans un tel nouvel

eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire le principe de conservation de leacutenergie sapplique de

nouveau mais en reacutefeacuterence agrave ce nouvel eacutetat deacutequilibre axial daction stationnaire En effet les

masses dont ces sondes sont constitueacutees ne retrouveront jamais leacutetat daction stationnaire axial

qui eacutetait le leur avant leur lancement

En reacutealiteacute tous les eacutetats daction stationnaire permis dans la reacutealiteacute objective font partie dune

hieacuterarchie deacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique stationnaires distribueacutes axialement allant des

eacutetats stationnaires de lordre de grandeur subatomiques jusquagrave ceux de lordre de grandeur

astronomique dont la correacutelation hieacuterarchique deacutetailleacutee reste agrave eacutetablir complegravetement et la seule

maniegravere pour une particule eacuteleacutementaire ou une masse plus grande de passer axialement de lun de

ces eacutetats deacutequilibre stationnaire agrave un autre est via une trajectoire de moindre action impliquant

une changement adiabatique de son eacutenergie porteuse Cette hieacuterarchie deacutetats stationnaires sera

examineacutee plus loin mais revenons pour le moment au thegraveme principal de la preacutesente section soit

les principes axiomatiques absolus eacutetablis historiquement

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Andreacute Michaud Page 17

Parmi lensemble des dogmes axiomatiques positifs eacutetablis historiquement sen trouve un

cependant soit le concept rejeteacute de facto daction-agrave-distance aussi nommeacute de maniegravere

deacuterogatoire action-fantocircme-agrave-distance (spooky-action-at-a-distance) qui est universellement

associeacute de maniegravere injustifieacutee agrave la soi-disant force de Coulomb soit un dogme qui est neacutegatif

et absolu en ce sens quil a activement deacutecourageacute toute recherche dans la communauteacute pour

tenter deacutetudier et comprendre la nature de linteraction coulombienne en deacutepit du fait quelle

sous-tend directement la premiegravere eacutequation de Maxwell soit leacutequation de Gauss pour le champ

eacutelectrique telle que deacutecrite preacuteceacutedemment et qui est universellement accepteacutee comme valide

Le malentendu qui a apparemment conduit agrave lideacutee mecircme dune soi-disant action-agrave-distance

en reacutefeacuterence agrave la force de Coulomb semble avoir eacuteteacute que cette soi-disant force eacutetait associeacutee

au concept dune attraction tel que deacutefinie dans la theacuteorie gravitationnelle macroscopique de

Newton au lieu decirctre associeacutee agrave un processus dinduction deacutenergie dont la moitieacute soutient un

momentum unidirectionnel dans les particules chargeacutees eacutelectriquement au niveau subatomique

et quune supposeacutee attraction entre particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes eacutetait agrave tort

consideacutereacutee comme eacutetant due agrave une force attractive au lieu decirctre compris comme un

mouvement propulseacute par une eacutenergie de momentum unidirectionnelle dune particule

eacutelectriquement chargeacutee vers une autre particule eacutelectriquement chargeacutee de signe opposeacute et

quune reacutepulsion supposeacutee agrave tort ecirctre due agrave une force reacutepulsive entre particules chargeacutees de

mecircme signe savegravere en reacutealiteacute ecirctre un mouvement dune particule chargeacutee eacutelectriquement

seacuteloignant dune autre particule chargeacutee eacutelectriquement de mecircme signe propulseacute par une

eacutenergie de momentum unidirectionnelle sans quabsolument aucune force ne soit impliqueacutee

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

Le concept dinteraction coulombienne ayant maintenant eacuteteacute sommairement redeacutefini sous une

forme plus conforme agrave la reacutealiteacute et pour prendre une certaine distance par rapport au concept de

force newtonienne qui est utile au niveau macroscopique mais qui est par contre trompeur

pour traiter des particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees au niveau subatomique lexpression

interaction coulombienne sera geacuteneacuteralement utiliseacutee pour la suite de cet article au lieu de

lexpression trompeuse force de Coulomb

Cent ans apregraves que Lorentz Planck Einstein de Broglie et Schroumldinger pour ne citer que

quelques-uns des scientifiques extraordinairement deacutevoueacutes de leacutepoque qui ont reacutevolutionneacute la

physique fondamentale au deacutebut du XXe siegravecle il semble que nous en savons maintenant

suffisamment agrave propos du niveau subatomique pour en finir avec ces principes et dogmes

axiomatiques absolus en identifiant clairement les limites physiques de leur application comme

dans le cas du Principe de conservation de leacutenergie ou en supprimant simplement ceux qui

savegraverent en fin de compte avoir eacuteteacute des obstacles mal aviseacutes agrave la recherche en raison de

linsuffisance initiale des connaissances disponibles au sujet de la nature reacuteelle de linteraction de

Coulomb par exemple dont nous savons maintenant quelle est la cause de linduction

adiabatique simultaneacutee des deux demi-quanta perpendiculaires deacutenergie maintenant

correctement identifieacutes dans toutes les particules eacuteleacutementaires chargeacutees existantes soit une

interaction Coulombienne dont la nature reste encore agrave comprendre clairement

10 Noms inapproprieacutes donneacutes agrave certains eacutetats et processus

Les noms mecircmes donneacutes dans le passeacute agrave certaines caracteacuteristiques et processus stables

observeacutes des particules eacuteleacutementaires avant que la nature eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dont sont

constitueacutees leurs masses de repos invariantes soit comprise ont aussi largement contribueacute agrave la

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Page 18 Andreacute Michaud

confusion persistante dans la communauteacute quant agrave la nature reacuteelle de ces caracteacuteristiques et

processus

Par exemple la limite infeacuterieure dinteacutegration de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron au

moyen de la meacutethode matheacutematique dinteacutegration spheacuterique a eacuteteacute nommeacutee agrave tort le rayon

classique de leacutelectron symboliseacute par re ce qui tend constamment agrave faire penser agrave de

nombreux chercheurs que cette valeur repreacutesente peut-ecirctre un rayon physique reacuteel possible de la

masse de leacutelectron au sens meacutecanique classique [20]

Un autre terme beaucoup plus insidieux est le terme spin choisi pour deacutesigner la polariteacute

magneacutetique relative des eacutelectrons en interaction mutuelle et de leur interaction avec les sous-

composants eacutelectromagneacutetiques des nucleacuteons qui induit la croyance tout agrave fait inexacte quune

rotation transversale de la masse des eacutelectrons doit ecirctre impliqueacutee pendant ces eacutetats dinteraction

[39]

Lutilisation de ces termes est si geacuteneacuteraliseacutee quil est probable quune modification de ces

termes entraicircnerait encore plus de confusion mais la nature reacuteelle des eacutetats et des processus

auxquels il est fait reacutefeacuterence devrait ecirctre clairement documenteacutee dans des reacutefeacuterentiels officiels

comme le NIST [40] et le CRC Handbook of Chemistry and Physics [41] par exemple

11 Linduction simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

Cette prise de conscience de lexistence simultaneacutee des deux demi-quanta deacutenergie

mutuellement perpendiculaires lun agrave lautre qui sont induits en permanence dans toute particule

eacuteleacutementaire chargeacutee quelle soit en mouvement ou non et dont la quantiteacute varie progressivement

en fonction de linverse des distances seacuteparant chaque particule chargeacutee de toutes les autres

permet doreacutenavant deacutetablir au niveau subatomique une structure eacutelectromagneacutetique interne du

quantum deacutenergie qui supporte agrave la fois laugmentation du momentum unidirectionnel et du

champ magneacutetique transversal de toute particule eacuteleacutementaire chargeacutee en cours dacceacuteleacuteration qui

est identique agrave celle suggeacutereacutee par Louis de Broglie dans les anneacutees 1930 pour les photons

eacutelectromagneacutetiques localiseacutes [3] et ceci en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

mais dune maniegravere qui nest pas en contradiction avec la maniegravere dont leacutenergie

eacutelectromagneacutetique en mouvement libre est traiteacutee matheacutematiquement avec succegraves au niveau

macroscopique du point de vue de la theacuteorie des ondes continues de Maxwell

12 Description de la deacuterivation de Marmet de lEacutequation (M-1) jusquagrave lEacutequation (M-6)

En eacutelectromagneacutetisme leacutequation de Biot-Savart est possiblement leacutequation la plus facile agrave

confirmer expeacuterimentalement car elle deacutecrit seulement le champ magneacutetique cylindrique

transversal uniforme et invariant geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique stable continu circulant dans un

fil eacutelectrique rectilineacuteaire [8]

Fondant son raisonnement sur le fait observeacute expeacuterimentalement pendant les expeacuteriences

effectueacutees dans les acceacuteleacuterateurs de particules agrave haute eacutenergie que le champ magneacutetique dun

eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration augmente malgreacute le fait aussi observeacute que sa charge unitaire

demeure constante peu importe sa veacutelociteacute Marmet a reacuteussi en reacuteduisant theacuteoriquement agrave un

seul eacutelectron le courant circulant dans un fil agrave deacuteriver lEacutequation (M-23) agrave partir de leacutequation de

Biot-Savart ce qui permet de deacutemontrer que laugmentation de la masse relativiste mesurable

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Andreacute Michaud Page 19

transversalement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration est directement associeacutee agrave laugmentation

de son champ magneacutetique transversal

Finalement lEacutequation (M-24) qui eacutemerge directement de lEacutequation (M-23) eacutetablit

directement que la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron est

aussi repreacutesentable sous forme dun champ magneacutetique preacutesumeacutement aussi transversal par

analogie et serait donc en reacutealiteacute une quantiteacute invariante deacutenergie faisant partie de la masse au

repos de leacutelectron qui serait aussi physiquement orienteacutee transversalement

2

M

r

1

eμ e

e

2

0

(M-24)

Cette caracteacuteristique du champ magneacutetique intrinsegraveque de la masse au repos de leacutelectron

ainsi que de nombreuses autres que la deacutecouverte de Marmet permet enfin de mettre en

correacutelation selon une nouvelle perspective de mutuelle coheacuterence sera analyseacutee plus loin ainsi

que laspect deacutependance-agrave-la-veacutelociteacute du champ magneacutetique transversal en augmentation de

leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration ainsi que les deacuteveloppements ulteacuterieurs auxquels lEacutequation

(M-23) conduit Mais abordons drsquoabord la question de lrsquoobstacle preacutesenteacute par lEacutequation (M-7)

Il deacutebuta sa deacuterivation en introduisant la forme suivante de leacutequation de Biot-Savart (M-1)

dans laquelle le champ magneacutetique cylindrique transversal qui apparaicirct autour dun fil meacutetallique

rectilineacuteaire lorsquun courant eacutelectrique stable y circule est repreacutesenteacute comme eacutetant

perpendiculaire agrave la direction du courant dans le fil tel quillustreacute dans la Figure 1 de son article

[19] cest-agrave-dire comme eacutetant perpendiculaire agrave laxe le long duquel le courant I est repreacutesenteacute

graphiquement comme se deacuteplaccedilant

2

0

r

ud sd

Iμd

B (M-1)

Il redeacutefinit ensuite le courant I en quantifiant la charge de leacutelectron agrave sa valeur unitaire

invariante (e=1602176462E-19 C) ce qui permet de remplacer le symbole geacuteneacuteral variable Q

de la charge dans la deacutefinition de I par le nombre discret deacutelectrons dans un Ampegravere

dt

)d(Ne

dt

dQI

-

(M-2)

Puisque la veacutelociteacute des eacutelectrons dans un conducteur est constante si le courant I demeure

constant leacuteleacutement temps dt peut aussi ecirctre remplaceacute par sa deacutefinition traditionnelle dxv

puisque dt

dxv donc

v

dxdt (M-3)

En remplaccedilant dt dans la deacutefinition de I preacuteceacutedemment eacutetablie avec lEacutequation (M-2) par

sa deacutefinition eacutequivalente eacutetablie avec lEacutequation (M-3) il obtint

dx

)vd(Ne

dt

d(Ne)I

-

(M-4)

Il introduisit ensuite la version scalaire de leacutequation de Biot-Savart

dx)θsin(r4π

Iμd

2

0B (M-5)

En remplaccedilant I dans lEacutequation (M-5) par sa nouvelle deacutefinition eacutetablie avec lEacutequation (M-

4) le facteur temps est aussi eacutelimineacute de leacutequation de Biot-Savart ce qui peut ecirctre fait en contexte

sans affecter la valeur du champ magneacutetique consideacutereacute puis quil demeure constant par deacutefinition

puisque le courant demeure constant

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Page 20 Andreacute Michaud

)(Ned)θsin(r4π

vμdx)θsin(

dx

)vd(Ne

r4π

μdx)θsin(

r4π

Iμd -

2

0

-

2

0

2

0 B (M-5a)

En reacutesumeacute lEacutequation (M-6) de Marmet se preacutesente maintenant comme suit impliquant

maintenant une somme de charges unitaires quantifieacutees repreacutesenteacutee par le facteur Ne- en plus

decirctre deacutesarrimeacutee du facteur temps puisque lintensiteacute du champ magneacutetique demeure stable tant

que le courant demeure stable peu importe le temps eacutecouleacute

)(Ned)θsin(r4π

vμd -

2

0B (M-6)

13 LEacutequation (M-7) erroneacutee publieacutee par erreur

Nous atteignons maintenant leacutequation qui ne semble pas eacutemerger logiquement de la seacutequence

sans faille qui a conduit jusquagrave lEacutequation (M-6) et qui est susceptible davoir causeacute une perte

dinteacuterecirct injustifieacutee agrave continuer la lecture de la part de chercheurs potentiellement inteacuteresseacutes ce

qui pourrait expliquer pourquoi cet article na pas attireacute plus dattention jusquagrave maintenant

Eacutequation (M-7) incorrecte )(Nedr4π

veμNd -

2

-

0iB (M-7)

Il semble aussi que Paul Marmet na pas pris conscience de cette erreur typographique pendant

les 2 anneacutees seacuteparant sa publication en 2003 et son deacutecegraves en 2005 ce qui pourrait expliquer

pourquoi il na pas produit une note derratum pour rectifier cette erreur deacutedition car il est

absolument certain quil avait deacuteriveacute la forme correcte suivante de lEacutequation (M-7) que nous

allons maintenant correctement reacute-eacutetablir puisquil a utiliseacute cette forme correcte pour la suite de

sa deacuterivation

Eacutequation (M-7) corrigeacutee 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

14 Reacutetablissement de la forme correcte de lEacutequation (M-7)

Tel quanalyseacute par Marmet dans son texte explicatif entre les Eacutequations (M-6) et (M-7) deux

variables de lEacutequation (M-6) vont maintenant se reacuteduire agrave la valeur constante 1 par structure

ducirc agrave la reacuteduction du nombre deacutelectrons agrave un seul exemplaire dans lEacutequation (M-7) auquel cas la

distribution de la charge et du champ magneacutetique deviennent par structure isotropes et

spheacuteriquement centreacutees sur lemplacement localiseacute de ce seul eacutelectron au lieu decirctre

conceptuellement distribueacutees respectivement lineacuteairement pour la charge et en orientation

cylindrique transversale perpendiculairement agrave la direction du courant pour le champ

magneacutetique comme dans leacutequation initiale de Biot-Savart Voici donc comment leacutequation

correcte (M-7) peut ecirctre deacuteriveacutee de lEacutequation (M-6)

Tout drsquoabord le terme N de lrsquoEacutequation (M-6) deviendra eacutegal agrave 1 dans lEacutequation (M-7)

puisquun seul eacutelectron y est pris en compte et le terme d(Ne-) deviendra donc d(e

-) ce qui

constitue la premiegravere eacutetape dans le passage de lrsquoEacutequation (M-6) vers la forme correcte de

lrsquoEacutequation (M-7)

)(ed)θsin(r4π

vμd -

2

0iB (M-6a)

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Andreacute Michaud Page 21

Eacutetant donneacute quun seul eacutelectron est consideacutereacute il devient impossible de deacuteterminer

conceptuellement une direction de distribution continue de la charge eacutelectrique car aucun axe de

distribution ne peut maintenant ecirctre deacutefini Par conseacutequent le facteur sin (θ) lieacute agrave cette

distribution lineacuteaire deacutesormais inexistante disparaicirct eacutegalement de leacutequation Nous avons donc

maintenant

)d(er4π

vμd -

2

0iB (M-6b)

Puisque la charge e de leacutelectron est invariante est devient donc une constante numeacuterique le

calcul dune deacuteriveacutee pour lEacutequation (M-6b) na plus de sens Par conseacutequent les deux

occurrences de lrsquoopeacuterateur de deacuteriveacutee d disparaissent de lrsquoEacutequation (M-6b) et nous aboutissons

agrave lrsquoeacutequation reacuteelle que Marmet entendait de toute eacutevidence publier comme Eacutequation (M-7)

-

2

0 er4π

vμiB (M-6c)

qursquoil reacutearrangea ensuite sous la forme suivante quil utilisa pour la suite de sa deacuterivation

conduisant agrave lrsquoEacutequation (M-23)

Eacutequation (M-7) correcte 2

-

0

r4π

veμiB (M-7)

Crsquoest ainsi que Marmet a reacuteussi agrave modifier lrsquoeacutequation de Biot-Savart repreacutesentant le champ

magneacutetique macroscopique cylindrique statique et uniforme geacuteneacutereacute par un courant eacutelectrique

stable circulant dans un fil meacutetallique rectilineacuteaire pour repreacutesenter lrsquoincreacutement subatomique du

champ magneacutetique transversal theacuteoriquement spheacuterique associeacute agrave la vitesse dun unique eacutelectron

centreacute sur sa position ponctuelle mobile lors de son mouvement agrave vitesse constante repreacutesenteacute

par lEacutequation (M-7)

Selon la meacutecanique de mouvement de leacutenergie eacutelectromagneacutetique permise par la geacuteomeacutetrie

trispatiale eacutetendue qui sera clarifieacutee plus loin cette vitesse constante de tous les eacutelectrons dans le

flux en circulation dans le fil meacutetallique est due au fait que chaque eacutelectron est individuellement

propulseacute pour ainsi dire par une quantiteacute deacutenergie de momentum orienteacutee longitudinalement

ΔK eacutegale par structure agrave la quantiteacute deacutenergie orienteacutee transversalement qui constitue

lincreacutement transversal du champ magneacutetique associeacute ΔB ces deux quantiteacutes existant

physiquement seacutepareacutement de leacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron

Selon cette perspective il srsquoavegravere que le champ magneacutetique transversal stable et apparemment

stationnaire et uniforme dB de lEacutequation (M-1) de Biot-Savart mesurable autour du fil

meacutetallique est simplement la somme des champs magneacutetiques transversaux individuels des

eacutelectrons en mouvement chaque eacutelectron entraicircnant avec lui son champ magneacutetique local Eacutetant

donneacute que tous les eacutelectrons du flux se deacuteplacent dans la mecircme direction et agrave grande proximiteacute

les uns des autres leurs champs magneacutetiques individuels se retrouvent tous de facto contraints de

saligner en orientation mutuelle de spin magneacutetique parallegravele en raison de linflexible relation

triplement orthogonale eacutelectrique magneacutetique direction-de-mouvement-dans-lespace de

leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave laquelle est soumise leacutenergie de chaque particule

eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire ce qui explique que lensemble des champs magneacutetiques

individuels de tous les eacutelectrons en circulation dans le fil est orienteacute dans la mecircme direction

transversale autour du fil ce qui reacutesulte en leacutetablissement de ce champ magneacutetique

macroscopique cylindrique transversal mesurable comme eacutetant stable en tout point de la longueur

dun fil dans lequel circule un courant constant Cest ce que leacutequation de Biot-Savart mesure Et

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Page 22 Andreacute Michaud

cest pourquoi reacuteduire le courant agrave un seul eacutelectron permet de deacutefinir lEacutequation (M-7) qui peut

rendre compte de lincreacutement du champ magneacutetique subatomique lieacute agrave la vitesse dun seul

eacutelectron

Il faut mentionner ici que le mecircme alignement parallegravele magneacutetique forceacute des spins

magneacutetiques drsquoeacutelectrons non-paireacutes dans des mateacuteriaux ferromagneacutetiques est eacutegalement ce qui

fait en sorte que leurs champs magneacutetiques transversaux individuels srsquoadditionnent pour devenir

mesurables agrave notre niveau macroscopique sous forme dun unique champ magneacutetique

macroscopique tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [39] [42] et qui est formellement deacutecrit agrave la

Reacutefeacuterence [41] Cela confirme que leacutetablissement de tous les champs magneacutetiques mesurables

macroscopiquement quils soient dynamiques ou statiques ne peuvent ecirctre dus quau mecircme

processus subatomique cest-agrave-dire lalignement parallegravele forceacute du spin magneacutetique de leacutenergie

des quanta eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires impliqueacutes

Nous verrons plus loin comment lrsquoeacutequation de Marmet (M-7) a eacuteteacute geacuteneacuteraliseacutee pour calculer

lincreacutement de champ magneacutetique de tout quantum eacutelectromagneacutetique localiseacute conduisant ensuite

agrave des formes geacuteneacuteraliseacutees permettant de calculer la vitesse de toute particule eacutelectromagneacutetique

massive eacuteleacutementaire chargeacutee en combinant le champ magneacutetique intrinsegraveque invariant B de sa

masse au repos avec le champ magneacutetique variable ΔB de cette eacutenergie de mouvement induite

dans les particules massives chargeacutees eacutelectriquement par linteraction coulombienne

La suite de la deacuterivation de Marmet jusquagrave sa conclusion deacuteterminante repreacutesenteacutee par

leacutequivalence (M-26) est disponible dans son article [19] et est eacutegalement analyseacute en deacutetail au

deacutebut de la Reacutefeacuterence [4]

magneacutetiqueMasseerelativistMasse (M-26)

15 Les implications de la deacutecouverte de Marmet

La premiegravere conseacutequence majeure qui deacutecoule de lrsquoeacutetablissement de lrsquoEacutequation (M-23)

concerne lrsquoeacutetablissement deacutequations qui permettent de calculer les vitesses relativistes des

particules chargeacutees et massives eacuteleacutementaires sans aucun besoin dutiliser le facteur γ de Lorentz

16 Calcul des vitesses relativistes sans le facteur γ de Lorentz

Consideacuterant de nouveau lEacutequation (M-23) puisque c constitue une limite asymptotique de

vitesse que leacutelectron ne peut pas physiquement atteindre alors lorsque v tend vers c Me2

semble par conseacutequent tendre vers une limite asymptotique dincreacutement de masse transversale

eacutegale agrave 455469094E-31 kg correspondant agrave son increacutement de champ magneacutetique transversal

qui semble donc agrave premiegravere vue ne pas pouvoir ecirctre physiquement deacutepasseacute mais nous verrons

plus loin que ce nest pas le cas

2

2

e

2

2

e

2

0

c

v

2

M

c

v

r

1

(M-23)

Agrave ce stade de lanalyse lEacutequation (M-23) peut donc ecirctre formuleacutee comme suit pour

repreacutesenter lincreacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de leacutelectron

2

2

e

2

2

e

2

0cv

c

v

2

m

c

v

r8π

eμm (1)

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Andreacute Michaud Page 23

Agrave contrario lorsque v tend vers zeacutero dans lEacutequation (M-23) son increacutement de champ

magneacutetique transversal tend aussi vers zeacutero Et lorsque cette veacutelociteacute approche zeacutero le ratio

v2c

2 reacutevegravele que la quantiteacute deacutenergie de lincreacutement transversal du champ magneacutetique devient

neacutegligeable et que ce ratio peut alors ecirctre eacutelimineacute de leacutequation ce qui laisse encore une partie de

la masse au repos invariante dun eacutelectron comme eacutetant repreacutesenteacutee par un champ magneacutetique ce

qui semble reacuteveacuteler finalement que exactement la moitieacute de leacutenergie constituant la masse au repos

invariante de leacutelectron serait aussi la source de son champ magneacutetique invariant intrinsegraveque tel

que repreacutesenteacute par lEacutequation (M-24) soit une conclusion qui sera confirmeacutee plus loin par

leacutetablissement de leacutequation LC (30) conforme aux eacutequations de Maxwell qui reacutevegravele la structure

eacutelectromagneacutetique interne reacuteelle de leacutenergie de masse au repos des eacutelectrons qui fut

preacutealablement eacutetablie dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en relation avec lhypothegravese de de Broglie

(Figure 3)

2

M

r

1

c

v

r

1

eμM e

e

2

0

2

2

e

2

00vuee_magneacutetiq

(M-24)

LEacutequation (M-7) dautre part peut ecirctre formuleacutee comme suit pour repreacutesenter lincreacutement du

champ magneacutetique transversal correspondant destineacute agrave repreacutesenter la mecircme quantiteacute deacutenergie

croissante mesurable comme lincreacutement transversal de masse repreacutesenteacute par lEacutequation (1) qui

sajoute agrave celle du champ magneacutetique invariant de la masse au repos de leacutelectron calculable avec

lEacutequation (M-24)

2

0cv

r4π

veμ B (2)

Comme premiegravere eacutetape pour confirmer que les Eacutequations (1) et (2) sont toutes les deux des

repreacutesentations de la mecircme quantiteacute drsquoeacutenergie orienteacutee transversalement par rapport agrave la direction

du mouvement de leacutelectron en cours dacceacuteleacuteration reacutesolvons dabord lEacutequation (1) pour une

vitesse relativiste bien connue cest-agrave-dire la vitesse 2187647561 ms lieacutee agrave leacutenergie du

momentum de lorbite de repos de Bohr dans sa theacuteorie sur latome dhydrogegravene (2179784832E-

18 j) qui se trouve aussi agrave ecirctre lrsquoeacutenergie moyenne reacuteelle procureacutee par la fonction drsquoonde de la

Meacutecanique Quantique pour lrsquoorbitale de lrsquoeacutetat fondamental de leacutelectron dans lrsquoatome

drsquohydrogegravene Cette vitesse confirmera immeacutediatement que lEacutequation (1) fournit lincreacutement

correct de masse relativiste

kg355E242533771

cr8π

1218764756eμ

cr8π

veμm

2

e

22

0

2

e

22

0m (3)

A laide de lEacutequation (2) qui est gardons-le bien en meacutemoire lEacutequation (M-7) de Marmet il

faut maintenant calculer laugmentation du champ magneacutetique transversal lieacutee agrave cette mecircme

vitesse relativiste de leacutelectron Pour ce faire il faut deacutefinir la valeur de la deuxiegraveme variable de

lEacutequation (2) soit la valeur de r et il ne peut pas ecirctre preacutesumeacute dambleacutee quelle aura la mecircme

valeur que re de lEacutequation (1) qui est une constante connue comme eacutetant le rayon classique

de leacutelectron utiliseacute dans cette eacutequation en relation avec la masse de repos de leacutelectron

Dans le cas de lEacutequation (1) soit lEacutequation (M-23) de Marmet combinant une deacutefinition

eacutelectromagneacutetique de la masse de leacutelectron agrave sa deacutefinition de la meacutecanique classiquerelativiste

un examen attentif montre que lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique ne peut

quaugmenter de maniegravere synchrone avec le rapport de vitesses v2c

2 c eacutetant invariant et v

pouvant varier de zeacutero agrave asymptotiquement proche de c ce qui tel que mentionneacute

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Page 24 Andreacute Michaud

preacuteceacutedemment semble reacuteveacuteler que lincreacutement theacuteorique de masse-relativistechamp-magneacutetique

transversal maximum possible dun eacutelectron en mouvement libre semble ne pas pouvoir tendre

vers linfini tel que traditionnellement anticipeacute mais tendrait plutocirct agrave devenir asymptotiquement

proche dune valeur eacutegale agrave la moitieacute de la masse invariante de leacutelectron

(Δmm=me2=455469094E-31 kg correspondant au demi-quantum deacutenergie transversale induite

de 409355207E-14 j)

Souvenons-nous que leacutequation de Marmet (M-23) deacutefinit lincreacutement de masse-

relativistechamp-magneacutetique comme eacutetant strictement deacutependant de la valeur de la moitieacute

invariante de leacutenergie de masse au repos de leacutelectron qui deacutefinit son champ magneacutetique

intrinsegraveque invariant Mais une conversion sous forme eacutelectromagneacutetique de leacutequation classique

de leacutenergie cineacutetique de Newton K=mv22 compleacuteteacutee par sa correction pour incorporer

leacutenergie magneacutetique transversale identifieacutee par Marmet et qui faisait deacutefaut dans leacutequation de

Newton [32] deacutemontre finalement quagrave mesure que le champ magneacutetique transversal augmente

toute augmentation suppleacutementaire de cet increacutement transversal de masse-relativistechamp-

magneacutetique ne deacutepend pas uniquement de la moitieacute de leacutenergie de la masse au repos de

leacutelectron comme leacutequation non-relativiste (M-23) le suggegravere mais deacutepend en fait de la quantiteacute

totale deacutenergie transversale momentaneacutement accumuleacutee soit la somme de leacutenergie constituant la

masse du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron mec22 plus leacutenergie de lincreacutement de

masse transversale momentaneacutement accumuleacutee Δmmc2

Cela signifie que la masse relativiste mesurable transversalement dun eacutelectron en cours

dacceacuteleacuteration mrelativiste est toujours eacutegale agrave mo+Δmm ce qui a permis deacutetablir que cette

somme est toujours eacutegale agrave la masse au repos invariante de leacutelectron multiplieacutee par le facteur

gamma bien connu γmo qui a eacuteteacute eacutetabli il y a plus dun siegravecle [32] Cest ce qui permet de

calculer toute vitesse relativiste sans utiliser le facteur gamma (facteur de Lorentz)

Par exemple la gamme entiegravere des vitesse relativiste dun eacutelectron peut ecirctre calculeacutee avec

leacutequation suivante deacuteriveacutee agrave la Reacutefeacuterence [32] en rendant E eacutegal agrave 818710414E-14 j soit

leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron et en rendant K eacutegal agrave la somme de

leacutenergie de lincreacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Δmmc2 plus

leacutenergie de momentum correspondante ΔK que nous savons maintenant toujours ecirctre eacutegale par

structure agrave Δmmc2 soit K= ΔK+ Δmmc

2

K2E

KK4Ecv

2

(4)

Cette eacutequation peut eacutegalement ecirctre convertie en une forme utilisant les longueurs dondes des

eacutenergies impliqueacutees [32] permettant le mecircme calcul de toute la gamme des vitesses relativistes

de leacutelectron strictement agrave partir des longueurs donde des eacutenergies impliqueacutees

C

2

CC

λ2λ

λλ4λcv

(5)

A partir de cette eacutequation le facteur gamma a eacuteteacute directement deacuteriveacute tel quanalyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [32] apportant ainsi la preuve de la validiteacute de la deacuterivation de Marmet qui a permis

leacutelaboration de ces eacutequations

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Andreacute Michaud Page 25

17 Une cause plus fondamentale que la vitesse de linduction de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant aux correacutelations qui doivent ecirctre faites entre les Eacutequations (1) et (2)

Nous observons dans la deacutefinition eacutelectromagneacutetique de la masse de lEacutequation (1) que crsquoest le

rayon classique de leacutelectron re qui relie ce rapport au concept de masse Dans le cas de

lEacutequation (2) qui eacutemerge strictement de leacutelectromagneacutetisme il est eacutegalement clair que le champ

magneacutetique transversal ne peut augmenter que selon le mecircme ratio de vitesses car la

deacutemonstration de Marmet reacutevegravele clairement que le demi-quantum deacutenergie repreacutesenteacute par

lincreacutement de masse Δmm de lEacutequation (1) est le mecircme demi-quantum eacutenergie orienteacutee

transversalement qui est aussi deacutecrit par lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB

mais la valeur que r doit avoir dans lEacutequation (2) pour que leacutenergie correspondant agrave cette

augmentation de ΔB puisse varier de maniegravere coheacuterente de zeacutero jusquagrave la limite asymptotique

constitueacutee de la somme de leacutenergie du demi-quantum classique de la masse au repos de leacutelectron

409355207E-14 j plus leacutenergie momentaneacutement accumuleacutee de ΔB nest pas clairement

eacutetablie Pour comprendre quelle valeur doit ecirctre utiliseacutee il faut maintenant comprendre la relation

entre re utiliseacute dans lEacutequation (1) et la masse de leacutelectron ou plus preacuteciseacutement sa relation avec

leacutenergie constituant la masse de repos invariante de leacutelectron

Dans un article publieacute en 2007 dans le mecircme journal international IFNA-ANS de lUniversiteacute

deacutetat de Kazan [20] qui deacutecrit une premiegravere vague de conclusions deacutecoulant de la deacutecouverte de

Marmet il fut clairement eacutetabli que re est en reacutealiteacute simplement la limite infeacuterieure dinteacutegration

spheacuterique de lrsquoeacutenergie constituant la masse au repos invariante de lrsquoeacutelectron (E=mec2

=818710414E-14 j) et que re savegravere ecirctre en reacutealiteacute lrsquoamplitude transversale doscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie constituant la masse au repos mesurable de leacutelectron qui est

obtenue en multipliant la longueur drsquoonde de Compton de lrsquoeacutelectron par la constante de structure

fine α et en les divisant par 2π tel que deacutetermineacute agrave la Reacutefeacuterence [21]

m155E2817940282π

αλr Ce (6)

Par conseacutequent et par similariteacute la valeur de r qui doit ecirctre utiliseacutee dans lrsquoEacutequation (2)

devrait donc aussi ecirctre celle de lrsquoamplitude transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de

lrsquoeacutenergie induite au rayon de Bohr (4359743805E-18 j) dont la longueur donde

eacutelectromagneacutetique longitudinale serait (λ=4556335256E-8 m) si elle se deacuteplaccedilait agrave la vitesse c

mais qui doit deacutejagrave ecirctre multiplieacutee par α pour la convertir en la longueur donde longitudinale de

de Broglie correspondant pour cette eacutenergie agrave la longueur de lorbite de Bohr dont le rayon est

(rB=5291772083E-11 m) en gardant agrave lesprit que ce rayon reste valable en Meacutecanique

Quantique puisquil est exactement eacutegal agrave la distance moyenne de reacutesonance axiale de leacutelectron agrave

linteacuterieur du volume deacutefini par leacutequation donde de Schroumldinger pour leacutelectron captif dans

lorbitale fondamentale de latome dhydrogegravene [4]

m11E29177208352π

λ

λr B

Br (7)

Par similariteacute avec la meacutethode utiliseacutee avec lEacutequation (6) pour deacutefinir lamplitude

transversale doscillation eacutelectromagneacutetique de leacutenergie de la masse au repos de leacutelectron en

multipliant la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale λC de cette eacutenergie par α il y

a donc lieu de multiplier aussi la longueur donde longitudinale de de Broglie λB deacutefinie agrave

lEacutequation (7) pour leacutenergie induite au rayon de Bohr rB de nouveau par α pour enfin

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Page 26 Andreacute Michaud

atteindre la valeur transversale αrB de lamplitude transversale de loscillation

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie induite au rayon de Bohr (αrB=3861592641E-13 m) qui permet

maintenant deacutetablir lintensiteacute de lincreacutement de champ magneacutetique transversal ΔB qui devient

mesurable comme sajoutant pour la vitesse consideacutereacutee au champ magneacutetique transversal

invariant de la masse au repos de leacutelectron Calculons maintenant le champ magneacutetique

correspondant agrave la vitesse relativiste 2187647561 ms et agrave cette valeur de r=αrB avec

lEacutequation (2)

T0405235047

113E529177208α4π

1218764756eμ

rα4π

veμ2

0

2

B

0

B (8)

Il est inteacuteressant de noter en passant que re tel que calculeacute avec lEacutequation (6) nest eacuteloigneacutee

que dune multiplication suppleacutementaire par α de la valeur de αrB telle queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [43] ce qui laisse entrevoir une possible seacutequence de reacutesonances axiales eacutetablissant

une seacutequence deacutetats deacutequilibres stables daction stationnaire dont luniteacute de progression axiale

serait la constante de structure fine α tel que mis en perspective agrave la mecircme reacutefeacuterence

Pour confirmer la validiteacute de la valeur obtenue avec lEacutequation (8) qui est aussi mesurable

comme un increacutement transversal de masse magneacutetique Δmm avec lEacutequation (3) calculons-la

avec lEacutequation (9) qui est la version geacuteneacuteraliseacutee de lEacutequation (M-7) de Marmet et qui fut

eacutetablie dans larticle de 2007 [20] Contrairement agrave lEacutequation (M-7) il peut ecirctre observeacute que

cette forme geacuteneacuteraliseacutee ne neacutecessite pas lutilisation de la vitesse de la particule pour obtenir

lintensiteacute de son increacutement de champ magneacutetique transversal

Seulement la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie porteuse totale de

leacutelectron est requise soit leacutenergie de son momentum plus leacutenergie transversale repreacutesentable

soit comme un increacutement de masse magneacutetique Δmm ou comme un increacutement de champ

magneacutetique ΔB Puisque leacutenergie totale induite agrave lorbite de Bohr est (E=4359743805E-18 j)

sa longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale est donc (λ=hcE=4556335256E-8 m) et

nous obtenons avec cette eacutequation geacuteneacuteraliseacutee la mecircme valeur quavec lEacutequation (8)

T7346235051

86E455633525α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

23

0

B (9)

Nous observons donc que sans aucun besoin dimpliquer une vitesse quelconque lrsquoeacutequation

geacuteneacuteraliseacutee (9) fournit en Tesla exactement la mecircme densiteacute drsquoeacutenergie de lincreacutement de champ

magneacutetique transversal que lrsquoeacutequation initiale (M-7) de Marmet deacuteriveacutee initialement de

lrsquoeacutequation de Biot-Savart dans laquelle lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique

transversal semble deacutependre de la vitesse de la particule eacutetant donneacute que dans leacutequation de

Biot-Savart dont elle est deacuteriveacutee lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique varie

strictement en fonction de la vitesse des eacutelectrons en circulation dans le fil

La question fondamentale qui vient maintenant agrave lesprit est la suivante en consideacuterant

lEacutequation (9) Comment se fait-il quil soit possible de calculer lintensiteacute correcte de

lincreacutement du champ magneacutetique transversal variable deacutependant supposeacutement de la vitesse

dun eacutelectron en mouvement sans que cette vitesse soit utiliseacutee pour le calculer

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Andreacute Michaud Page 27

18 Augmentation de leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal sans augmentation de vitesse

Cette diffeacuterence entre lEacutequation (M-7) qui neacutecessite lutilisation dune vitesse pour calculer

lintensiteacute de lincreacutement du champ magneacutetique transversal de leacutelectron en mouvement et sa

version geacuteneacuteraliseacute utiliseacutee pour reacutesoudre lEacutequation (9) qui na nul besoin de cette vitesse attire

lattention sur une cause plus fondamentale que le mouvement comme cause possible de

linduction deacutenergie dans un eacutelectron

Cest un fait eacutetabli depuis toujours en meacutecanique classique par observation directe que

leacutenergie cineacutetique traditionnellement nommeacutee moment cineacutetique (energy-momentum en

anglais) dune masse macroscopique en mouvement deacutepend strictement de sa vitesse et que cette

eacutenergie est consideacutereacutee ecirctre la seule eacutenergie lieacutee au mouvement qui existe en plus de celle

constituant la masse au repos dun corps massif Laugmentation de leacutenergie de ce moment

cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est donc deacutefinie en meacutecanique

classique comme pouvant augmenter lineacuteairement potentiellement sans limite seulement ducirc agrave

laugmentation de sa veacutelociteacute elle-mecircme aussi potentiellement sans limite

Cette deacutefinition du moment cineacutetique dune masse macroscopique en cours dacceacuteleacuteration est

aussi admise en Relativiteacute Restreinte avec cette diffeacuterence que leacutenergie du momentum y est

deacutefinie comme augmentant selon une courbe non-rectilineacuteaire confirmeacutee comme eacutetant correcte

aussi potentiellement sans limite agrave mesure que la vitesse approche dune limite asymptotique

correspondant agrave la vitesse de la lumiegravere vitesse consideacutereacutee comme impossible agrave atteindre par un

corps massif La confirmation de lexactitude de leacutequation K=moc2(γ-1) de la Relativiteacute

Restreinte na cependant jamais eacuteteacute faite agrave laide de masses macroscopiques en mouvement car

nous ne posseacutedons pas la technologie requise pour acceacuteleacuterer des masses macroscopiques jusquagrave

des vitesses relativistes mais plutocirct agrave laide de la masse subatomique de leacutelectron avec laquelle

lexactitude de cette eacutequation fut confirmeacutee par les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34]

Tel que mis en perspective au deacutebut de cet article il faut bien comprendre que lors de

leacutelaboration de la theacuteorie Relativiteacute Restreinte le fait que la masse au repos invariante de

leacutelectron mo=910938188E-31 kg est aussi le siegravege de sa charge eacutelectrique unitaire invariante

e=1602176462E-19 C navait pas encore rendu eacutevident que linteraction Coulombienne qui

induit leacutenergie du momentum et du champ magneacutetique transversal dans toutes les particules

chargeacutee eacutelectriquement telles les eacutelectrons strictement en fonction de linverse de la distance qui

les seacutepare et ceci mecircme si cette distance ne varie pas linduit de facto en mecircme temps par

rapport agrave la masse de ces particules chargeacutees et massives puisque la charge et la masse de

leacutelectron sont deux caracteacuteristiques de la mecircme particule

Consideacuterant que les masses de tous les corps macroscopiques ne peuvent ecirctre que de la somme

des masses subatomiques des particules eacuteleacutementaires massives dont ils sont constitueacutes comment

reacuteconcilier alors le fait quune augmentation du champ magneacutetique dune masse macroscopique

en acceacuteleacuteration semble navoir jamais eacuteteacute deacutetecteacutee alors quune telle augmentation est facilement

mesurable pour un eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration tel quabondamment deacutemontreacute

expeacuterimentalement depuis les premiegraveres expeacuteriences de Kaufman [34] soit des expeacuteriences qui

fournissent de plus la confirmation expeacuterimentale de la croissance non-rectilineacuteaire de la quantiteacute

deacutenergie du momentum de la masse de eacutelectron en cours dacceacuteleacuteration vers cette quantiteacute

preacutesumeacutee theacuteoriquement infinie que laisse entrevoir la limite asymptotique imposeacutee par la vitesse

limite de la lumiegravere

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Page 28 Andreacute Michaud

En fait de tels increacutements de masse-relativistechamp-magneacutetique de masses macroscopiques

pourraient bien avoir eacuteteacute deacutetecteacutes pour des vitesses beaucoup plus faibles que celles qui sont

typiques de leacutelectron mais sans avoir eacuteteacute reconnus comme tels du fait que la theacuteorie de la

Relativiteacute Restreinte sur laquelle toutes les analyses deffets relativistes sont actuellement

fondeacutees ne reconnaicirct pas son existence tel que deacutejagrave mis en perspective et comme nous allons

maintenant lobserver agrave partir de donneacutees expeacuterimentales

19 Les trajectoires anormales des sondes spatiales Pioneer 10 et 11

Tel que deacutejagrave mentionneacute il faut prendre conscience ici quil na jamais eacuteteacute possible agrave ce jour

dacceacuteleacuterer une masse macroscopique agrave des vitesses comparables agrave celles auxquelles des eacutelectrons

sont typiquement acceacuteleacutereacutes au niveau subatomique qui furent suffisantes pour confirmer

laccroissement non-rectilineacuteaire de leacutenergie de leur momentum dont la RR rend compte et qui

sont aussi suffisantes pour confirmer laccroissement simultaneacute de leacutenergie de leur champ

magneacutetique transversal dont la RR ne tient pas compte

Les plus grandes veacutelociteacutes atteintes par des projectiles macroscopiques lanceacutes dans lespace

ont actuellement eacuteteacute atteintes par les sondes spatiales Pioneer 10 et Pioneer 11 de masses

approximatives respectives rendues disponibles par la NASA de 258 kg et 2585 kg telles que

mesureacutees avant lancement Leurs veacutelociteacutes ont varieacute grandement tout au long de leurs

trajectoires avec des pointes de 132000 kmh (36667 ms) pour Pioneer 10 soit sa pointe de

vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par fronde gravitationnelle agrave laide de Jupiter et de 175000

kmh (48611 ms) pour Pioneer 11 soit sa pointe de vitesse lors de son acceacuteleacuteration finale par

fronde gravitationnelle agrave laide de Saturne

Nous analyserons ici plus speacutecifiquement les vitesses deacutechappement des deux sondes Le

lecteur pourra faire lui-mecircme les calculs pour les vitesses de pointe preacuteceacutedemment mentionneacutees

qui reacuteveacuteleraient laugmentation de masse qui expliquerait les pointes de vitesse soi-disant

anormales [38] observeacutees lors de ces phases dacceacuteleacuteration des deux sondes ainsi que lors des

phases similaires de toutes les autres sondes spatiales soumises a une acceacuteleacuteration par fronde

gravitationnelle et qui laissent perplexe et sans explication lensemble de la communauteacute

astrophysique car la theacuteorie de la RR qui sert actuellement de fondement agrave toute analyse de ces

trajectoires est incapable den rendre compte

Nous allons faire des calculs agrave titre dexemple avec les vitesses deacutechappement du systegraveme

solaire pour ces deux sondes spatiales qui ont respectivement atteint des vitesses deacutechappement

de 51682 kmh (14356 ms) et 51800 kmh (14389 ms) Cest-agrave-dire des vitesses 150 fois plus

faible que la vitesse theacuteorique de 2187647561 ms de leacutelectron sur lorbite theacuteorique de Bohr

vitesse agrave laquelle lincreacutement de son champ magneacutetique transversal commence agrave peine agrave ecirctre

expeacuterimentalement mesurable (voir Eacutequation (3))

Ce qui est remarquable agrave propos des trajectoires de ces sondes de mecircme quagrave propos de celles

de toutes les autres sondes spatiales lanceacutees agrave travers le systegraveme solaire est quune anomalie

systeacutematique non expliqueacutee a eacuteteacute noteacutee Sans exception elles se comportent comme si elles

eacutetaient leacutegegraverement plus massives que leurs masses mesureacutees avant leur deacutepart de la Terre

deacutemontrant une acceacuteleacuteration neacutegative de lordre denviron 8E-6 ms en direction du Soleil [36]

[37] [38]

Mais comme le mentionne Rainer W Kuumlhne dans une note publieacutee en 1998 la grande

publiciteacute faite autour de ces deux cas laisse limpression geacuteneacuterale que ce problegraveme ne concerne

que les sondes lanceacutees par lhomme [44] mais il est bien connu dans la communauteacute

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Andreacute Michaud Page 29

astrophysique que les trajectoires des planegravetes Uranus Neptune et Pluton deacutemontrent aussi des

anomalies systeacutematiques semblables ainsi que de nombreuses comegravetes deacutejagrave eacutetudieacutees en 1998

telles Halley Encke Giacobini-Zinner and Borelli dont les trajectoires subissent une deacuteviation

systeacutematique dorigine inconnue

Eacutetant donneacute la compreacutehension procureacutee maintenant par la deacutecouverte de Marmet mecircme avec

les relativement faibles vitesses des sondes spatiales Pioneer 10 et 11 par rapport aux vitesses

typiquement relativistes de leacutelectron il devient facile de calculer cet increacutement transversal

deacutenergie de la masse-relativistechamp-magneacutetique qui augmente linertie transversale de ces

deux sondes car nous avons maintenant la certitude par structure que la quantiteacute deacutenergie

transversale induite en mecircme temps que celle de leur momentum est toujours eacutegale agrave cette

derniegravere Les caracteacuteristiques des deux sondes eacutetant pratiquement identiques nous utiliserons les

paramegravetres de Pioneer 10 pour analyser cette situation

Ainsi avec m=258 kg et v=14356 ms nous obtenons dabord leacutenergie du momentum de

Pioneer 10 pour cette vitesse deacutechappement

j5E102658722731v-c

cmcΔK

22

2

(10)

Eacutetant donneacute que leacutenergie de Δmm est eacutegale par structure agrave ΔK nous obtenons alors pour

Pioneer 10 un increacutement transversal de masse-relativistechamp-magneacutetique de

kg78228E952c

ΔKΔm

2m (11)

Une si leacutegegravere augmentation dinertie transversale semble agrave premiegravere vue insuffisante pour

expliquer agrave elle seule lacceacuteleacuteration neacutegative systeacutematique denviron 8E-6 ms vers le Soleil de

ces sondes spatiales lanceacutees sur des trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire mais la

proposition devient beaucoup plus probable si on y ajoute laugmentation adiabatique de la masse

au repos de chaque sonde due agrave la phase initiale de leurs trajectoires qui les eacuteloignegraverent

initialement de la masse incommensurablement plus grande de la Terre soit une augmentation de

masse au repos adiabatique qui a eacuteteacute facilement observeacutee lors de la fameuse expeacuterience de Hafele

et Keating [45] ougrave une horloge atomique a eacuteteacute souleveacutee agrave seulement 10 km de la surface de la

Terre mais a eacuteteacute interpreacuteteacutee agrave tort comme confirmant une variation de la vitesse deacutecoulement du

temps [35] lagrave encore uniquement agrave la lumiegravere de la theacuteorie de la Relativiteacute Geacuteneacuterale (RG) qui ne

tient pas compte de linteraction coulombienne ni du fait que les masses macroscopiques sont

faites exclusivement de particules chargeacutees eacutelectriquement Cette augmentation adiabatique des

masses au repos sera mise en perspective eacutelectromagneacutetique correcte plus loin

20 Intensiteacute maximale de champ magneacutetique transversal

Revenons maintenant agrave la comparaison entre leacutequation geacuteneacuteraliseacutee (9) et lEacutequation (8) qui

est en fait leacutequation de Marmet (M-7) Nous observons que lEacutequation (9) fournit la mecircme

densiteacute deacutenergie de champ magneacutetique en Tesla que leacutequation initiale (M-7) de Marmet mais ne

neacutecessite quune variable cest-agrave-dire la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale du

quantum eacutenergeacutetique concerneacute sans avoir agrave associer cette eacutenergie avec la vitesse de leacutelectron

Cest ce qui rend cette eacutequation de champ magneacutetique geacuteneacuterale et approprieacutee pour calculer le

champ magneacutetique intrinsegraveque de toute particule eacutelectromagneacutetique eacuteleacutementaire quelle soit en

mouvement ou non Par exemple le champ magneacutetique intrinsegraveque Be invariant de leacutelectron qui

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Page 30 Andreacute Michaud

repreacutesente la moitieacute de leacutenergie de sa masse invariante au repos peut ecirctre calculeacute comme suit en

utilisant la longueur donde de Compton de leacutelectron impliquant eacutegalement la constante de

structure fine qui eacutetablit lamplitude de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale de cette

eacutenergie

T1E1382890002212-5E242631021α

ceπμ

λα

ceπμ23

0

2

C

3

0

e B (12)

Bien sucircr ce nombre demeure geacuteneacuteralement deacutepourvue de sens sans une confirmation solide

quil repreacutesente reacuteellement une quantiteacute physiquement existante soit une confirmation qui

pourrait ecirctre obtenue en deacutemontrant que la vitesse relativiste v = 2187647561 ms lieacute agrave la

densiteacute deacutenergie de lincreacutement champ magneacutetique tel que calculeacutee avec lEacutequation (9) par

exemple peut en reacutealiteacute ecirctre calculeacutee en fournissant uniquement la longueur donde

eacutelectromagneacutetique de leacutenergie associeacutee en tant que variable unique dans une eacutequation ne

comportant dautre part que des constantes physiques fondamentales

Une telle confirmation peut en effet ecirctre obtenue au moyen de lrsquoeacutequation suivante bien

connue dans le milieu des acceacuteleacuterateurs agrave haute eacutenergie qui permet de calculer la vitesse

relativiste en ligne droite drsquoun eacutelectron acceacuteleacutereacute par des champs eacutelectrique et magneacutetique externes

deacutegales intensiteacutes

B

Ev (13)

La valeur approprieacutee pour le champ B composite requis est eacutetablie de maniegravere simple en

additionnant les Eacutequations (9) et (12) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] calculeacutees ici agrave laide de

la longueur donde longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m)

pour deacutefinir lintensiteacute du champ ΔB externe requis et de la longueur donde longitudinale de

Compton de leacutelectron (λC=2426310215E-12 m) pour tenir compte du champ magneacutetique interne

invariant Be de la masse au repos de leacutelectron

T6E13828900024

λλ

λλ

α

ceπμ

λα

ceπμ

λα

ceπμ2

C

2

2

C

2

3

0

23

0

2

C

3

0e

BBB (14)

Une solution de lrsquoEacutequation (13) neacutecessite eacutegalement bien sucircr drsquoeacutetablir la deacutefinition dun

champ E composite qui doit ecirctre mis en eacutequilibre avec ce champ B composite Leacutequation

geacuteneacuterale correspondante pour ce champ E a eacutegalement eacuteteacute eacutetablie dans la Reacutefeacuterence [20] gracircce agrave

une reformulation de leacutequation de Coulomb eacutetablie dans mecircme article une reformulation qui fut

analyseacutee en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [4] et qui permet de calculer leacutenergie transversale qui

geacutenegravere et maintient lincreacutement du champ magneacutetique correspondant dans les particules

eacutelectromagneacutetiques eacuteleacutementaires quel que soit leacutetat de mouvement de moindre action ou

deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels elles se retrouvent dans les

structures atomiques

λλdr

λE

αε2

e

α

2πe

ε4π

10

2πα

e

ε4π

1

o

22

o a 2

2

o0

(15)

Cette forme particuliegravere de leacutequation de Coulomb permet en effet de calculer leacutenergie de tout

quantum eacutelectromagneacutetique uniquement agrave partir de sa longueur donde sans avoir agrave utiliser la

constante de Planck

αλε2

ehE

o

2

f (16)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 31

Cette forme de leacutequation de Coulomb a eacutegalement permis dunifier toutes les eacutequations de

forces classiques dans la Reacutefeacuterence [46] en deacutemontrant que leacutequation dacceacuteleacuteration

fondamentale F=ma peut ecirctre deacuteriveacutee de chacune dentre elles ce qui prouve en reacutealiteacute que

linteraction coulombienne est le deacutenominateur commun de toutes les eacutequations de force

classiques

Leacutequation geacuteneacuterale du champ E correspondant agrave leacutequation geacuteneacuterale (9) du champ B a donc

eacuteteacute eacutetablie comme suit agrave la Reacutefeacuterence [20] reacutesolue ici en utilisant la longueur donde

longitudinale de leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr (λ=4556335256E-8 m) pour lharmoniser

avec la valeur du champ ΔB obtenue avec lEacutequation (9)

NC673727E130467λαε

πe23

0

E (17)

Par conseacutequent le champ Ee invariant lieacute agrave lautre moitieacute de leacutenergie constituant la masse au

repos invariante de leacutelectron peut ecirctre eacutetabli avec la longueur donde longitudinale de leacutelectron

Compton comme suit

NC4E10602933175λαε

πe2

C

3

0

e E (18)

Mais contrairement au champ magneacutetique composite B qui doit ecirctre utiliseacute pour calculer la

vitesse relativiste de leacutelectron avec lEacutequation (13) et qui est obtenu agrave partir de la simple

addition du champ Be intrinsegraveque invariant de leacutelectron et de lincreacutement de champ magneacutetique

ΔB associeacute agrave sa vitesse le champ E composite correspondant impliquant les champs Ee et ΔE

des Eacutequations (17) et (18) ne peut pas ecirctre obtenu de cette faccedilon simple car le dipocircle eacutelectrique

qui induit le champ ΔB accompagnateur est orienteacute perpendiculairement par rapport au champ

monopolaire Ee de la masse au repos de leacutelectron dans lespace-Y eacutelectrostatique tel que clarifieacute

agrave la reacutefeacuterence[21] Tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [20] ce champ composite E impliquant ici aussi agrave

la fois la longueur donde longitudinale de leacutenergie de lorbite de repos de Bohr (λ =

4556335256E-8 m) et la longueur donde longitudinale de Compton de leacutelectron

(λC=2426310215E-12 m) aura la valeur suivante

NCE208133411211

λ2λλλ

λ4λλλλ

αε

πe

C

2

C

2

CC

2

C

2

3

0

E (19)

Agrave laide de lEacutequation (13) la vitesse relativiste exacte et bien connue dun eacutelectron dont le

champ magneacutetique est augmenteacute dune quantiteacute ΔB sera alors obtenue si cette vitesse nest pas

contrecarreacutee par leacutetat deacutequilibre eacutelectromagneacutetique local

ms56621876476E13828900024

1E20181334112v

B

E (20)

Un calcul avec lrsquoEacutequation (9) pour le champ ΔB et avec lrsquoEacutequation (17) pour le champ ΔE

avec toute longueur drsquoonde longitudinale de leacutenergie porteuse montrera matheacutematiquement

qursquoen les combinant avec les champs Be et Ee qui repreacutesentent leacutenergie de la masse au repos

invariante de leacutelectron obtenu avec les Eacutequations (12) et (18) pour reacutesoudre finalement

lEacutequation (20) que toutes les vitesses relativistes allant jusquagrave la limite asymptotique de la

vitesse de la lumiegravere peuvent ecirctre obtenues pour toute particule eacuteleacutementaire massive telle

leacutelectron et ceci pour une raison tregraves meacutecanique qui est clairement mise en lumiegravere agrave la

Reacutefeacuterence [32]

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 32 Andreacute Michaud

21 Seacuteparation de leacutenergie porteuse de leacutelectron de celle de sa masse au repos

Tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [20] le progregraves le plus significatif reacutesultant de la deacuterivation de

Marmet fut la possibiliteacute nouvelle de clairement seacuteparer leacutenergie invariante constituant la masse

au repos de leacutelectron de leacutenergie adiabatique variable supportant son mouvement et son

increacutement de masse-relativistechamp-magneacutetique transversal Apregraves analyse cette eacutenergie

adiabatique variable porteuse de leacutelectron saveacutera posseacuteder la mecircme structure eacutelectromagneacutetique

interne que Louis de Broglie proposait pour le photon eacutelectromagneacutetique agrave double particules dans

les anneacutees 1930 [47] [43] [3] tel que deacutecrit matheacutematiquement avec lEacutequation (21) et symboliseacute

graphiquement avec la Figure 7 en conformiteacute avec linterpreacutetation de Maxwell selon laquelle la

composante eacutelectromagneacutetique de leacutenergie dun photon localiseacute doit ecirctre orienteacutee

transversalement par rapport agrave leacutenergie de son momentum et ecirctre captive dun mouvement

doscillation stationnaire la faisant transiter cycliquement entre un eacutetat correspondant agrave son

champ eacutelectrique et un eacutetat correspondant agrave son champ magneacutetique

Cest ce qui a justifieacute lutilisation du terme photon-porteur pour nommer leacutenergie porteuse

de leacutelectron ou celle de toute autre particule chargeacutee eacuteleacutementaire dans les articles qui deacutecrivent

les diverses conseacutequences de linteacutegration de la deacutecouverte de Marmet agrave la theacuteorie

eacutelectromagneacutetique dune part et agrave la meacutecanique classiquerelativiste dautre part qui a pour

conseacutequence que leurs eacutequations peuvent doreacutenavant ecirctre deacuteriveacutees les unes des autres [4]

Leacutequation LC du photon agrave double-particule de de Broglie ainsi eacutetablie de la seule maniegravere

permise dans la geacuteomeacutetrie trispatiale proposeacutee agrave leacuteveacutenement Congress-2000 [18] tel que

formellement publieacute agrave la Reacutefeacuterence [3] en complegravete conformiteacute avec les eacutequations de Maxwell

permettait deacutejagrave de calculer agrave partir de la longueur donde de leacutenergie dun photon

eacutelectromagneacutetique leacutenergie maximale du champ magneacutetique intrinsegraveque dun photon structureacute

selon linterpreacutetation initiale de Maxwell selon laquelle les deux champs sinduisent

mutuellement tel queacutetabli agrave la Reacutefeacuterence [43]

t)(ωsin

2

iL t)(ωcos

2C

e

hcE 2

2

λλ2

λ

2

(21)

ougrave

λ

2

(max)2C

eE E

et 2

iLE

2

λλ(max) B

(22)

et

αλ2εC 0λ 8π

αλμL

2

αλ

ec2πiλ (23)

La deacuterivation de Marmet pour sa part a permis deacutetablir agrave la Reacutefeacuterence [20] les eacutequations des

champs eacutelectrique et magneacutetique geacuteneacuteraliseacutees deacutejagrave mentionneacutees qui correspondent directement

aux repreacutesentations de leur eacutenergie sous forme de capacitance et dinductance telles quillustreacutees

avec les Eacutequations (22)

23

0 λαε

πeE 23

0

λα

πecμB (24)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 33

et aussi deacutetablir le volume isotrope stationnaire theacuteorique permettant de calculer la densiteacute

maximale deacutenergie de chacun de ces deux champs sinduisant mutuellement

2

35

λαV (25)

ce qui permit de redeacutefinir agrave la Reacutefeacuterence [3] leacutequation LC initialement eacutelaboreacutee agrave la Reacutefeacuterence

[20] sous une forme utilisant les repreacutesentations par champs E et B plus familiegraveres ce qui

confirmait que le photon eacutelectromagneacutetique localiseacute tel que le concevait de Broglie et leacutenergie

porteuse de leacutelectron possegravedent effectivement la mecircme structure eacutelectromagneacutetique interne soit

la moitieacute orienteacutee longitudinalement maintenant son momentum et lautre moitieacute orienteacutee

transversalement deacutefinissants ses champs E et B sinduisant mutuellement cette moitieacute deacutenergie

transversale propulseacutee dans lespace par leacutenergie unidirectionnelle de son momentum

Vt)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

hcE 2

0

22

2

0

BE (26)

22 Conversion de leacutenergie eacutelectromagneacutetique en particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives

Nous avons la preuve expeacuterimentale depuis les expeacuteriences de Carl David Anderson en 1933

[12] que tout photon eacutelectromagneacutetique deacutenergie 1022 MeV ou plus geacuteneacutereacute comme sous-

produit du rayonnement cosmique se deacutestabilisera en frocirclant un noyau atomique et se

transformera en une paire de particules eacuteleacutementaires massives qui sont un eacutelectron et un positon

dont les masses au repos eacutegales de 0511 MeVc2 sont constitueacutees chacune de 0511 MeV de

leacutenergie du photon en cours de deacutestabilisation Toute eacutenergie supeacuterieure agrave cette quantiteacute

speacutecifique de 1022 MeV que le photon avait avant la conversion est alors exprimeacutee sous forme

de leacutenergie unidirectionnelle de momentum et de leacutenergie eacutelectromagneacutetique transversale

associeacutee partageacutee eacutegalement entre les deux particules eacuteleacutementaires massives ce qui les fait

seacuteloigner lune de lautre avec une vitesse correspondant agrave cette eacutenergie de momentum [21]

Leacutequation suivante permet de deacutecrire la maniegravere dont leacutenergie du photon incident se distribue

entre les deux particules chargeacutees et massives geacuteneacutereacutees en associant leacutequation de Coulomb agrave

leacutequation de masse au repos de la meacutecanique classique [4] Notons en passant que les charges

opposeacutees de leacutelectron et du positon nont aucune signification en meacutecanique classiquerelativiste

et que consideacutereacutees selon leur seule caracteacuteristique de masse elles sont identiques ce qui permet

de construire leacutequation de la maniegravere suivante

2

0

2

m

1o

2

1

λ

1cmcΔmΔK2

λ

1

αε2

eE

C1

(27)

dans laquelle

2o

22

1

αε2

ecΔmΔK ougrave

C12 2λ

1

λ

1

2

1

λ

1 (28)

Dans lEacutequation (27) mo repreacutesente les masses au repos individuelles identiques de

leacutelectron et du positon et λ1 est la longueur donde eacutelectromagneacutetique du photon incident en

cours de deacutestabilisation alors que dans lEacutequation (28) λ2 est la longueur donde de leacutenergie

reacutesiduelle en excegraves de leacutenergie de 1022 MeV qui vient de se convertir en les masses au repos

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Page 34 Andreacute Michaud

invariantes des deux particules apregraves seacuteparation de cette eacutenergie reacutesiduelle en parts eacutegales entre

les deux particules maintenant seacutepareacutees

Plus inteacuteressant encore une expeacuterience meneacutee en 1997 agrave lacceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford

(SLAC) soit lexpeacuterience e144 a confirmeacute quen convergeant deux faisceaux de photons

eacutelectromagneacutetiques suffisamment concentreacutes vers un seul point dans lespace lun des faisceau

impliquant des photons eacutelectromagneacutetiques deacutepassant le seuil de 1022 MeV des paires

eacutelectronpositon massifs ont eacuteteacute geacuteneacutereacutees sans quaucun noyau atomique massif ne soit agrave

proximiteacute [13] Cette derniegravere expeacuterience ouvre une perspective entiegraverement nouvelle sur

lorigine possible de lunivers telle quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [48]

Linteacuterecirct de la geacuteomeacutetrie trispatiale deacuteveloppeacutee agrave partir de lexpansion sous forme de 3 espaces

vectoriels perpendiculaires eacutemergeant de la relation triplement orthogonale du produit vectoriel

des vecteurs E et B fondamentaux de leacutelectromagneacutetisme (Figure 3) est que le harnais vectoriel

plus complet qui est maintenant applicable agrave lEacutequation (26) de la maniegravere suivante tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [3] a permis deacutetablir pour la premiegravere fois agrave la Reacutefeacuterence [21] une

meacutecanique claire de conversion de leacutenergie dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou

plus orienteacutee seulement partiellement perpendiculairement agrave leacutenergie de son momentum en

leacutenergie invariante complegravetement orienteacutee transversalement constituant la structure interne des

masses au repos mo individuelles de leacutelectron et du positon repreacutesenteacutes agrave lEacutequation (27) soit

leacutequation suivante

V

t)(ωsin K2μ

t)(ωcos)jJjJ(4

ε2

iI2λ

hciIE

2

Z0

2

2

Y

2

0

X

B

E

(29)

se convertissant en les deux eacutequations suivantes pour repreacutesenter la structure

eacutelectromagneacutetique interne des masses au repos de leacutelectron et du positon

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

me0

KB

jIjI

iJE

0

ν

(30)

et

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos)(4

ε2

2

ε

c

Vm

2

Z0

2

2

X

2

0

Y

2

0

2

mp

ν

0

KB

jIjI

iJE

0 (31)

dans lesquelles (Vm= 1497393267E-47 m3) est le volume isotrope stationnaire theacuteorique

maximum que leacutenergie du champ magneacutetique intrinsegraveque de leacutelectron atteint apregraves avoir eacutevacueacute

lespace-X au cours du cycle dinduction mutuel de leacutenergie qui la force agrave osciller entre

constituant en alternance ce champ magneacutetique B et le champ neutrinique ν soit une

oscillation qui remplace dans la structure des particules eacuteleacutementaires massives [21] loscillation

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Andreacute Michaud Page 35

entre les champs B et E caracteacuteristique des photons eacutelectromagneacutetiques [3] et des photons-

porteurs des particules eacuteleacutementaires massives [21] [22]

3

2

3

C

5

m m477E1497393262π

λαV et

2

C

3

0 λαε

eπν (32)

Le champ neutrinique ν que la geacuteomeacutetrie trispatiale permet didentifier pour la premiegravere

fois est preacutesenteacute agrave la Reacutefeacuterence [21] et est complegravetement analyseacute agrave la Reacutefeacuterence [23] qui analyse

de plus la meacutecanique deacutemissions des neutrinos dans la geacuteomeacutetrie trispatiale Le volume isotrope

stationnaire theacuteorique de leacutenergie de tout quantum eacuteleacutementaire fut pour sa part deacutefini agrave la

Reacutefeacuterence [20]

Lors du processus de deacutecouplage dun photon eacutelectromagneacutetique de 1022 MeV ou plus

leacutenergie en excegraves de la quantiteacute exacte de 1022 MeV qui se convertit en leacutenergie doreacutenavant

invariante constituant les masses seacutepareacutes dun eacutelectron et dun positon conserve la structure LC

du photon agrave double particule incident mais se seacutepare meacutecaniquement en parties eacutegales entre les

deux particules massive en cours de seacuteparation tel que repreacutesenteacute aux Eacutequations (27) et (28) et

deviennent leurs photons-porteurs les propulsant en directions opposeacutees dans lespace agrave la

vitesse correspondant agrave leacutenergie de leur momentum calculable avec lEacutequation (20) ou avec

lune des eacutequations eacutelectromagneacutetiques suivantes deacuteveloppeacutees agrave la Reacutefeacuterence [32]

C

CC

λ2λ

λ4λλcv

ou

K2E

K4EKcv

2

(33)

Un point dinteacuterecirct particulier agrave propos de ces deux derniegraveres eacutequations est que si la longueur

donde de Compton de leacutelectron (λC dans la premiegravere eacutequation) ou leacutenergie de la masse au

repos de leacutelectron (E dans la deuxiegraveme eacutequation) sont reacuteduits agrave zeacutero seulement leacutenergie du

photon-porteur demeure dans leacutequation restante et que sa vitesse ne peut alors ecirctre que la vitesse

de la lumiegravere confirmant lidentiteacute de sa structure avec celle du photon agrave double-particule de de

Broglie [32] [3]

Il est tregraves facile de veacuterifier la validiteacute des eacutequations LC (30) et (31) de leacutelectron et du positon

car tous leurs termes sont des constantes physiques invariantes tregraves bien connues Par exemple

en multipliant leacutenergie maximum du champ magneacutetique de lEacutequation (30) par le volume

isotrope stationnaire theacuteorique invariant deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [20] pour cette quantiteacute deacutenergie

nous retrouvons effectivement la moitieacute de leacutenergie de la masse invariante au repos de leacutelectron

qui correspondant agrave son champ magneacutetique intrinsegraveque

j148E4093552062π

λα

μ2λα

ceπμV

2μ 2

3

C

5

0

2

2

C

3

0m

0

2

B (34)

23 Construction de particules complexes stables

Il a eacuteteacute confirmeacute depuis longtemps que tous les atomes sont constitueacutes de trois types distincts

de sous-composants stables les eacutelectrons les protons et les neutrons Tous les trois sont

typiquement regroupeacutes sous lappellation geacuteneacuterale particules eacuteleacutementaires dans la

communauteacute soit une appellation actuellement geacuteneacuterale qui induit une certaine confusion en

raison du fait que de ces trois sous-composants seul leacutelectron sest aveacutereacute ecirctre veacuteritablement

eacuteleacutementaire chargeacutee et massif cest-agrave-dire quil nest pas constitueacute de sous-composants plus

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Page 36 Andreacute Michaud

petits mais est constitueacute de maniegravere directement deacutemontrable exclusivement de leacutenergie

eacutelectromagneacutetique qui constituait la substance du photon eacutelectromagneacutetiques dont il est issue

tel que tout juste mis en perspective et tel quanalyseacute en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [21]

Les deux autres sous-composants de tous les atomes soit le proton et le neutron se sont

aveacutereacutes ne pas ecirctre des particules eacuteleacutementaires chargeacutees et massives de mecircme nature que

leacutelectron mais plutocirct ecirctre des systegravemes de telles particules eacuteleacutementaires en eacutetat deacutequilibre

eacutelectromagneacutetique stable daction stationnaire tout comme le systegraveme solaire nest pas un corps

ceacuteleste mais un systegraveme de corps ceacutelestes stabiliseacutes dans un eacutetat deacutequilibre stable daction

stationnaire Historiquement les premiers soupccedilons que les protons et neutrons neacutetaient pas des

particules veacuteritablement eacuteleacutementaires furent eacuteveilleacutes par la diffeacuterence de leur comportement par

rapport agrave celui des eacutelectrons et positons lors des premiegraveres expeacuteriences de collisions non-

destructrices entre ces particules dans les premiers acceacuteleacuterateurs de particules (Figure 4)

Pour leur part les eacutelectrons et positons se comportaient pendant les expeacuteriences de collisions

mutuelles comme si ils avaient au mieux une preacutesence quasi-ponctuelle dans lespace cest-agrave-

dire que dans leurs cas contrairement aux protons et neutrons aucune limite en apparence

infranchissable nest deacutetectable par collision peu importe agrave quelle degreacute de proximiteacute deux

eacutelectrons ou deux positons sapprochent de leurs centres mutuels lors de collisions veacuteritablement

frontales soit un type de rebond agrave rebours observeacute assez rarement puisque de telles collisions

frontales entre eacutelectrons ou positons sapparentent agrave faire entrer en collision frontale les pointes

hautement affucircteacutees daiguilles agrave coudre (Figure 5)

Figure 4 Collisions parfaitement eacutelastiques entre eacutelectrons incidents et un proton cible

Cest ce comportement quasi-ponctuel des particules veacuteritablement eacuteleacutementaires lors

dinteractions ou collisions mutuelles comme les eacutelectrons les positons et les photons

eacutelectromagneacutetiques qui les diffeacuterentient nettement au niveau subatomique des particules

complexes comme le proton et le neutron

Dans le cas dinteraction entre les particules chargeacutees veacuteritablement eacuteleacutementaires des

eacutelectrons incidents par exemple eacutetaient deacutevieacutes dans des directions convergentes au moment ougrave

ils traversaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la trajectoire dun eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee

(figure 5-a) ou que des eacutelectrons incidents eacutetaient deacutevieacutes dans des directions divergentes apregraves

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Andreacute Michaud Page 37

avoir croiseacute la position dun autre eacutelectron se deacuteplaccedilant dans la direction opposeacutee ou lorsque des

positons incidents croisaient la position dun positon se deacuteplaccedilant dans la direction inverse (figure

5-b) Eacutetant donneacute le comportement quasi-ponctuel des particules impliqueacutees ce nest

quoccasionnellement que lune des particules incidentes se trouvait dans une situation ideacuteale

pour entrer directement en collision frontale de maniegravere agrave rebondir directement agrave rebours

(Figures 5-b)

Figure 5 Interaction non-destructive entre eacutelectrons incidents et positon cible a) et interaction et

collision entre eacutelectrons incidents et eacutelectron cible b) deacutemontrant leur comportement quasi-

ponctuel

Alors que des faisceaux deacutelectrons et de positons lanceacutes de maniegravere agrave entrer en interaction

frontale les uns avec les autres geacuteneacuteraient pratiquement aucun rebond agrave rebours (Figures 5) les

protons et neutrons faisaient rebondir les particules incidentes (des faisceaux deacutelectrons ou de

positons) dans toutes les directions (Figures 4) en raison dun eacutetat de reacutepulsion magneacutetique

permanent entre les sous-composants internes chargeacutes du proton et les eacutelectrons incidents tel

quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] ce qui reacuteveacutelaient quils occupent un volume mesurable

dans lespace soit un eacuteventail de rebonds parfaitement eacutelastiques identique agrave celui qui peut ecirctre

observeacutee au niveau macroscopique entre deux aimants se repoussant mutuellement [39]

Leacutetude de leacuteventail de ces rebonds agrave rebours dans les anneacutees 1940 et 1950 conduisit agrave la

conclusion que le rayon de ce volume eacutetait de lordre de 12E-15 m pour le proton et le neutron

[49] soit un volume qui semblait reacuteveacuteler quils pouvaient ecirctre constitueacutes de particules plus petites

dont les interactions deacutetermineraient ce volume tout comme le volume deacutefini par les orbites

planeacutetaires deacuteterminent le volume potentiel que le systegraveme solaire peut occuper dans lespace

soit hypotheacutetiquement agrave cette eacutepoque des particules eacutelectromagneacutetiques veacuteritablement

eacuteleacutementaires au comportement quasi-ponctuel de mecircme nature que leacutelectron et le positon

Le premier acceacuteleacuterateur de particule suffisamment puissant pour vaincre la reacutesistance de ce

volume du proton agrave la peacuteneacutetration deacutelectrons ou positons suffisamment eacutenergiques soit le grand

acceacuteleacuterateur lineacuteaire de Stanford (SLAC) entra en service en 1966 De 1966 agrave 1968 une seacuterie

dexpeacuteriences de collisions non-destructives agrave haute eacutenergie effectueacutees par M Breidenbach et al

[10] deacutelectrons contre des protons a effectivement reacuteveacuteleacute la preacutesence de trois sous-composants

chargeacutes eacutelectriquement au comportement quasi-ponctuel (Figure 6) dont leacuteventail des deacuteviations

des trajectoires des eacutelectrons incidents et analyse subseacutequente ont permis deacutetablir quune charge

eacutelectrique eacutegale agrave 13 de celle dun eacutelectron doit ecirctre associeacutee agrave lun des sous-composants et une

charge eacutegale aux 23 du positon doit ecirctre associeacutee aux les deux autres (uud) Pour les neutrons

ces donneacutees et analyse subseacutequente reacutevegravelent en revanche une structure composeacutee dun sous-

composant de charge 23 positive et de deux sous-composants de charge 13 neacutegative (udd)

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Page 38 Andreacute Michaud

Figure 6 Deacutetection de la structure interne collisionable du proton via collisions non-destructives

De plus des eacutelectrons incidents rebondissant agrave revers de maniegravere hautement ineacutelastique et

expeacuteriences subseacutequentes impliquant aussi des positons ont reacuteveacuteleacute que les sous-composants

chargeacutes 23 positifs neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les eacutelectrons et que le sous-

composant chargeacute 13 neacutegatif neacutetaient que leacutegegraverement plus massifs que les sous-composants

chargeacutes positivement [22] [25]

Eacutetant donneacute que ces masses au repos preacutesumeacutement invariantes furent eacuteventuellement

confirmeacutees comme eacutetant agrave peine supeacuterieures agrave celle de leacutelectron et du positon [41] combineacute au

fait que ces sous-composants des nucleacuteons deacutemontrent exactement le mecircme comportement quasi-

ponctuel qui caracteacuterise les eacutelectrons et les positons et le fait aussi confirmeacute que les eacutelectrons et

positons sont les seules particules eacuteleacutementaires massives et chargeacutees eacutelectriquement qui peuvent

ecirctre geacuteneacutereacutees agrave partir de leacutenergie eacutelectromagneacutetique libre dune maniegravere bien comprise et

confirmeacutee de maniegravere exhaustive [12] [13] il sembla possible que ces sous-composants des

nucleacuteons pourraient ecirctre en reacutealiteacute des positons et des eacutelectrons dont les masses et les charges

seraient alteacutereacutees de cette maniegravere par les contraintes eacutelectromagneacutetiques imposeacutees par ces ultimes

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique daction stationnaire dans lesquels des eacutelectrons et des

positons pourraient ecirctre captureacutes si ces derniers sont veacuteritablement le seul mateacuteriau dont la

nature dispose pour construire les nucleacuteons

Cette conclusion explique immeacutediatement pourquoi aucun de ces sous-composants

nucleacuteoniques na jamais eacuteteacute observeacute apregraves avoir eacuteteacute eacutejecteacute dun nucleacuteon en conservant sa charge

fractionnaire car sils eacutetaient vraiment agrave lorigine des eacutelectrons et des positons ils retrouvent

naturellement adiabatiquement leurs caracteacuteristiques normales de masse et de charge degraves quils

eacutechappent aux contraintes eacutelectromagneacutetiques auxquelles ils sont soumis en faisant partie des

structures nucleacuteoniques stables daction stationnaire [24]

La geacuteomeacutetrie trispatiale a effectivement permis de calculer des masses au repos moyennes

preacutecises pour ces sous-composants eacuteleacutementaires positifs et neacutegatifs des protons et des neutrons

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Andreacute Michaud Page 39

correspondant agrave une seacutequence des eacutetats de reacutesonance axiales stables associables agrave une seacutequence

de nombres entiers qui situe ces masses agrave linteacuterieur de leacuteventail de masses expeacuterimentalement

estimeacutees possibles dans les deux cas (Voir Tableau 1) soit une seacutequence de trois masses qui

peuvent ecirctre obtenues de lune des eacutequations possibles pour ce faire tel leacutequation suivante eacutetablie

agrave la Reacutefeacuterence [22] et qui fut analyseacutee selon une perspective plus geacuteneacuterale agrave la Reacutefeacuterence [24]

soit une seacutequence de reacutesonance pour les masses des particules eacuteleacutementaires stables similaire agrave la

seacutequence de reacutesonance des orbitales eacutelectroniques possibles de latome dhydrogegravene remarqueacutee

pour la premiegravere fois par Louis de Broglie au deacutebut du 20e siegravecle [4] [50]

2

0

eudicαn

3e

a

km

(n=1 2 3) (35)

ougrave e est la charge unitaire α est la constante de structure fine c est la vitesse de la

lumiegravere ao est le rayon de Bohr cest agrave dire la distance axiale moyenne entre lorbitale

eacutelectronique fondamentale de latome dhydrogegravene et le proton et k est la constante de

Coulomb

8E9898755178ε4π

1k

o

(36)

En effet les masses obtenues agrave partir de lEacutequation (35) se situent directement dans les plages

expeacuterimentalement eacutetablies agrave linteacuterieur desquelles leur veacuteritable masse au repos doit se situer

cest-agrave-dire entre 1 et 5 MeVc2 pour la sous-composante positive et entre 3 et 10 MeVc

2 pour la

sous-composante neacutegative [41] Ces masses au repos preacutecises furent eacutetablies par rapport aux

distances qui seacuteparent les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints de laxe

coplanaire autour duquel chaque triade stabiliseacutee est en rotationreacutesonance agrave linteacuterieur de

lespace-Y eacutelectrostatique (Figure 3) tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [22]

Lexpression rotationreacutesonance est utiliseacutee ici pour mettre clairement en perspective que la

mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite par linteraction coulombienne dans la

masse au repos des eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints quils soient

effectivement en rotation sur orbites circulaires autour de laxe coplanaire etou translation autour

de laxe normal ou simplement en eacutetat de reacutesonance stationnaire axiale agrave ces distances de ces

deux axes mutuellement perpendiculaires de rotationtranslationreacutesonance

Notons en passant quagrave leacutepoque des expeacuteriences de Breidenbach [10] une theacuteorie

matheacutematique eacutelaboreacutee seacutepareacutement par Murray Gell-Mann et George Zweig fut consideacutereacutee

confirmeacutee par les expeacuteriences de Breidenbach ce qui eu pour reacutesultat que ces positons et

eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints captifs des structures internes des nucleacuteons furent

respectivement nommeacutes up quark et down quark agrave cette eacutepoque ougrave la conclusion navait pas

encore eacuteteacute tireacutee que ces sous-composants des nucleacuteons pouvaient ecirctre de simples positons et

eacutelectrons dont les caracteacuteristiques de masse et de charge eacutetaient alteacutereacutees par lintensiteacute des

interactions eacutelectromagneacutetiques agrave si courtes distances agrave linteacuterieur de ces structures

Eacutetant donneacute que la theacuteorie de Gell-Mann et Zweig preacutevoyait aussi lexistence dautres

particules virtuelles portant aussi le nom de quarks mais qui nont jamais eacuteteacute deacutetecteacutees par

collision non-destructives agrave linteacuterieur des nucleacuteons contrairement aux deux qui furent nommeacutees

up et down il en reacutesultat une eacutenorme et persistante confusion dans la communauteacute alimenteacutee

par de multiples reacutefeacuterences aux theacuteories de Gell-Mann et Zweig et labsence presque totale de

reacutefeacuterences aux donneacutees expeacuterimentales de Breidenbach et al ce qui laissa limpression pendant

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 40 Andreacute Michaud

les deacutecennies suivantes que mecircme les sous-composants effectivement deacutetecteacutes par Breidenbach

et al eacutetaient seulement theacuteoriques et que leur existence physique navait jamais eacuteteacute confirmeacutee

Tableau 1 Seacutequence des masses en eacutetat de reacutesonance axiale des particules eacuteleacutementaires obtenue agrave

laide de lEacutequation (35)

Masse au repos Eacutenergie Charge Ref

Eacutelectron ou positon en

mouvement libre 910938188E-31 kg 0511 MeV

plusmn1=

1602176462E-19 C [21]

Positon

eacutelectromagneacutetiquement

contraint

1 dans le neutron

2 dans le proton

2049610923E-30 kg 1149747 MeV +23=

1068117641E-19 C [22]

Eacutelectron

Eacutelectromagneacutetiquement

contraint

2 dans le neutron

1 dans le proton

8198443693E-30 kg 459899 MeV -13=

5340588207E-20 C [22]

La deacutemonstration la plus eacutedifiante de cette confusion est que dans un ouvrage majeur

concernant la theacuteorie du champ quantique (QFT) publieacute en 1993 soit 25 ans plus tard par un

physicien renommeacute dans la communauteacute on retrouve la mention suivante agrave la section 12 de son

libre [51] qui deacutemontre bien quil navait jamais entendu parler des expeacuteriences reacutealiseacutees par

Breidenbach et al vers la fin des anneacutees 1960 autrement il semble eacutevident quil en aurait tenu

compte

Ironically one problem of the quark model was that it was too successful The

theory was able to make qualitative (and often quantitative) predictions far

beyond the range of its applicability Yet the fractionally charged quarks

themselves were never discovered in any scattering experiment

Traduction

Ironiquement lun des problegravemes du modegravele des quark eacutetait quil avait trop de

succegraves La theacuteorie a permis de faire des preacutedictions qualitatives (et souvent

quantitatives) bien au-delagrave de son champ dapplication Pourtant les quarks eux-

mecircmes nont jamais eacuteteacute deacutecouverts lors dune expeacuterience de collision

Cependant afin ce maintenir la continuiteacute avec toute la litteacuterature qui a historiquement eacuteteacute

produite nommant les positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints quarks up et

quarks down incluant les autres articles de cette seacuterie nous conserverons les symboles u

(pour up) et d (pour down) qui les symbolisent historiquement dans toute la litteacuterature en

parlant de sous-composants collisionables aux charges fractionnaires des nucleacuteons deacutetecteacutes par

Breidenbach soit uud pour le proton et udd pour le neutron

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Andreacute Michaud Page 41

Les eacutequations trispatiales LC des positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement

nommeacutes quarks up) et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints (initialement nommeacutes

quarks down) constituant la structure collisionable des nucleacuteons sont leacutegegraverement diffeacuterentes des

Eacutequations (30) et (31) qui deacutecrivent les eacutelectrons et positons qui ne sont pas sous cette contrainte

eacutelectromagneacutetique mais sont plutocirct en mouvement libre car la deacuterive transversale de leacutenergie

qui deacutefinit lintensiteacute fractionnaire de leur charge vers un eacutetat magneacutetique plus intense qui leur

est imposeacutee par le tregraves court rayon de giration de leurs eacutetats daction stationnaire [52] ne permet

pas une eacutegale densiteacute de leurs eacutetats eacutelectrique et magneacutetique contrairement agrave leacutetat des densiteacutes

eacutelectrique vs magneacutetique eacutegales par deacutefaut de leacutenergie eacutelectromagneacutetique des eacutelectrons et

positons se deacuteplacent sur trajectoires rectilineacuteaires

Il est important de prendre conscience que la somme des masses au repos stabiliseacutees des

eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints (Tableau 1) constituant la structure

collisionable du proton (uud) ne constitue quenviron 2 de sa masse totale mesureacutee et que cette

somme pour le neutron (udd) ne constitue quenviron 24 de sa masse totale mesureacutee La

diffeacuterence ne peut ecirctre due bien sucircr quagrave leacutenergie de leurs photons-porteurs respectifs [22] dont

lintensiteacute deacutepend directement de linverse de la distance qui les seacutepare de laxe de translation de

lespace-X normal (Figure 3) par rapport auquel chaque triade est en translationreacutesonance axe

qui est perpendiculaire agrave laxe coplanaire de rotationreacutesonance par rapport auquel sont

deacutetermineacutees les masses au repos et les charges fractionnaires des eacutelectrons et positons contraints

eacutelectromagneacutetiquement

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

U

Y

2

0

U

2

m

2

U

U

B

E

ν (37)

t)(ωsin 2μ

t)(ωcos4

ε2

S2

2

εS

c

V

c

Em

2

Z0

2

2

X

2

0

D

Y

2

0

D

2

m

2

DD

B

E

ν (38)

Les expressions SU et SD sont les constantes de deacuterive magneacutetique de leacutenergie des masses

au repos stabiliseacutees des positons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints respectivement

eacutegales agrave 23 et 13 et qui sont analyseacutees et deacutecrites aux reacutefeacuterences [22] et [4]

Comme dans le cas de lexpression rotationreacutesonance preacuteceacutedemment mentionneacutee en

relation avec laxe coplanaire de lespace-Y lexpression translationreacutesonance est utiliseacutee ici

pour mettre clairement en perspective que la mecircme quantiteacute deacutenergie est adiabatiquement induite

par linteraction coulombienne dans chaque photon-porteur des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des nucleacuteons quils soient effectivement en

translation sur orbite circulaire autour de laxe de lespace-X normal ou simplement en eacutetat de

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Page 42 Andreacute Michaud

reacutesonance axiale stationnaire par rapport agrave cette distance moyenne de cet axe de

translationreacutesonance soit un mouvement de reacutesonance orienteacute perpendiculairement par rapport

une telle orbite circulaire

24 La transposition conceptuelle translationreacutesonance

La mecircme relation translationreacutesonance sapplique aussi agrave lorbitale de repos de leacutelectron

dans latome dhydrogegravene pour la mecircme raison En fait cest Louis de Broglie qui comprit le

premier en 1923 que leacutelectron ne pouvait ecirctre quen eacutetat de reacutesonance axiale lorsque stabiliseacute agrave

une distance moyenne du proton dans latome dhydrogegravene correspondant au rayon de Bohr

mecircme sil pouvait aussi ecirctre perccedilu comme eacutetant theacuteoriquement en translation sur une orbite

fermeacutee autour du proton

Cette conclusion dimportance majeure fut publieacutee dans une note dans laquelle il proposait

cette premiegravere interpreacutetation preacuteliminaire des conditions qui pourraient expliquer la stabiliteacute de

leacutelectron agrave linteacuterieur des structures atomiques [4] car elle eacutetait en harmonie avec la condition de

stabiliteacute deacutetermineacutee par Bohr et Sommerfeld pour une trajectoire parcourue par une masse agrave

veacutelociteacute constante [50] Voici une citation de a conclusion majeure

Londe de freacutequence ν et de vitesse cβ doit ecirctre en reacutesonance sur la longueur

de la trajectoire Ceci conduit agrave la condition

nhTβ-1

β

2

22

o r

cm (n eacutetant un nombre entier) (39)

Cest dailleurs cette conclusion qui donna Schroumldinger lideacutee de repreacutesenter le volume de

reacutesonance visiteacute par leacutelectron dans lorbitale de repos de latome dhydrogegravene par une fonction

donde [7] tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [4] Lorsque de Broglie fit sa deacutecouverte

cependant il neacutetait pas encore compris clairement que la substance mecircme de leacutelectron eacutetait de

nature veacuteritablement eacutelectromagneacutetique [21] de mecircme que celle de son photon-porteur quil

identifiait intuitivement comme une onde-pilote propulsant leacutelectron mais dont la nature

eacutelectromagneacutetique ne pouvait pas ecirctre identifieacutee agrave leacutepoque [4]

Tel que mentionneacute preacuteceacutedemment ce nest quau deacutebut des anneacutees 1930 quil fut

expeacuterimentalement confirmeacute que la substance mecircme de la masse invariante de leacutelectron neacutetait

rien dautre que la substance eacutenergie eacutelectromagneacutetique dun photon eacutelectromagneacutetique

deacutenergie minimale de 1022 MeV se deacutecouplant en une paire de particules massives de masses

eacutegales soit un eacutelectron et un positon [12] Avant cet eacuteveacutenement personne navait eu loccasion

dassocier leacutenergie eacutelectromagneacutetique agrave la substance mecircme de la masse des particules

eacuteleacutementaires et aucune des theacuteories eacutelaboreacutees avant cette observation nont pu prendre en compte

cette nouvelle deacutecouverte dans leur eacutelaboration ce qui comprend bien sucircr les deux theacuteories

dEinstein de la Relativiteacute restreinte et de la Relativiteacute Geacuteneacuterale ainsi que la Meacutecanique

Quantique sous sa forme traditionnelle

De Broglie associait leacutenergie du momentum de leacutelectron sur lorbite de Bohr agrave la constante de

Planck et agrave la meacutecanique classique mais comme lensemble de la communauteacute scientifique agrave

cette eacutepoque ne lavait pas associeacute agrave linteraction coulombienne tel que repreacutesenteacute avec

lEacutequation (16) eacutemergeant de la premiegravere eacutequation de Maxwell et navait par conseacutequent pas agrave sa

disposition la conclusion que le demi-quantum deacutenergie du momentum de leacutelectron qui

supporterait en theacuteorie longitudinalement le mouvement de leacutelectron sur son orbite theacuteorique

autour du proton est le mecircme qui supporte aussi son mouvement de reacutesonance axial orienteacute

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Andreacute Michaud Page 43

perpendiculairement par rapport agrave cette orbite ainsi que le demi-quantum associeacute de son eacutenergie

eacutelectromagneacutetique orienteacutee transversalement par rapport agrave cette eacutenergie du momentum et que

leacutenergie unidirectionnelle de son momentum ne peut ecirctre orienteacute par structure que vers le proton

En fait lorientation axiale par structure de leacutenergie du momentum de leacutelectron vers le proton

nexclut pas la possibiliteacute que leacutelectron puisse se deacuteplacer transversalement sur une orbite fermeacutee

autour du proton en plus dosciller simultaneacutement en mode de reacutesonance axiale tel que de Broglie

concluait mais agrave si courte distance entre leacutelectron et le proton et agrave un si intense niveau deacutenergie

induite il peut ecirctre attendu que le mode de reacutesonance axiale domine nettement

Cest un fait que la constante de Planck associe leacutemission deacutenergie eacutelectromagneacutetique

strictement au facteur temps Mais cette association de linduction de leacutenergie avec le facteur

temps est due au fait que cette constante a eacuteteacute eacutetablie via lanalyse des freacutequences eacutenergeacutetiques

eacutemises lors de la deacutesexcitation des eacutelectrons qui avaient eacuteteacute momentaneacutement exciteacutes vers des

orbitales meacutetastables plus eacuteloigneacutees des noyaux atomiques lorsquils retournent agrave leurs orbitales

de repos daction stationnaire qui sont toutes des eacutetats de reacutesonance directement lieacutes agrave la

freacutequence de leacutenergie moyenne induite agrave lorbite de repos de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

consideacutereacutee comme fondamentale telle quanalyseacutee et deacutecrite agrave la Reacutefeacuterence [24] et que leacutenergie

du quantum daction de Planck correspond agrave leacutenergie dun seul cycle de cette freacutequence de

reacutefeacuterence ultime tel que deacutetermineacute ulteacuterieurement par de Broglie

sj34E662606876λvmh BB0 (40)

ougrave mo est la masse au repos de leacutelectron vB est la vitesse classique de reacutefeacuterence de lorbite

de Bohr (2187691253 ms) et λB est la longueur de lorbite de Bohr (332491846E-10 m) dont

le rayon est la constante fondamentale (ao=ro=5291772083E-11 m) soit la distance moyenne

entre lorbitale de reacutesonance fondamentale de latome dhydrogegravene et son noyau qui deacutefinit

leacutenergie induite agrave cette distance du proton soit EB=4359743808E-18 j (2721138346 eV) tel

que facilement calculable avec leacutequation de Coulomb [24] Sa freacutequence est donc de

fB=6579683921E15 Hz

Un simple calcul permet de constater quagrave la vitesse vB la dureacutee dun seul cycle de cette

freacutequence correspond exactement agrave la longueur de lorbite de Bohr λB cest pourquoi multiplier

la longueur de cette orbite de reacutefeacuterence absolue par la constante de Planck permet dobtenir

leacutenergie induite agrave lorbite de Bohr de maniegravere aussi preacutecise quavec leacutequation de Coulomb

Cest aussi pourquoi leacutenergie correspondant agrave cette freacutequence de reacutefeacuterence semble

correspondre au nombre dorbites quil faut parcourir en une seconde pour soi-disant accumuler

toute leacutenergie induite sur lorbite de Bohr ce qui a longtemps creacuteeacute la perception que cette eacutenergie

induite semble ecirctre distribueacutee sur tous ces cycles et quil faut une seconde pour que toute

leacutenergie du quantum soit accumuleacutee

j 18-8E435974380rε4π

ehE

Bo

2

BB f (41)

dans laquelle rB est le rayon de Bohr soit 5291772083E-11 m (voir Eacutequation (7))

Tout comme lEacutequation (M-7) de Marmet peut ecirctre geacuteneacuteraliseacutee de maniegravere agrave utiliser la

longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique

la mecircme geacuteneacuteralisation a eacuteteacute faite aussi pour leacutequation de Coulomb agrave la Reacutefeacuterence [20] tel

quanalyseacute et deacutecrit en deacutetail agrave la Reacutefeacuterence [4]

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Page 44 Andreacute Michaud

αλε2

ehνE

o

2

(42)

ougrave α est la constante de structure fine (7297352533E-3) La longueur donde longitudinale

dune quantiteacute deacutenergie eacutelectromagneacutetique sobtient par ailleurs agrave laide de leacutequation bien connue

suivante la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de leacutenergie EB obtenue avec

lEacutequation (41) est donc

m82E455633525E

hcλ

B

(43)

ce qui permet de reacuteobtenir la mecircme quantiteacute deacutenergie avec lEacutequation (42) geacuteneacuteraliseacutee deacutejagrave

obtenue avec lEacutequation (41) standard

j188E435974380αλε2

ehνE

o

2

B (44)

Cest en fait la relation eacutetablie avec lEacutequation (42) entre leacutequation standard pour calculer

leacutenergie des photons et leacutequation de Coulomb geacuteneacuteraliseacutee qui permet deffectuer la transposition

conceptuelle translationreacutesonance neacutecessaire pour pouvoir alterner entre lanalyse des eacutetats

deacutenergie quantifieacutes stables correspondant agrave lensemble des orbitales eacutelectroniques et

nucleacuteoniques daction stationnaire des atomes qui associe la constante de Planck au nombre de

cycles theacuteorique que leacutelectron doit theacuteoriquement parcourir sur lorbite de Bohr et qui permet

aussi lanalyse de linduction adiabatique infiniteacutesimalement progressive de leacutenergie qui est

fonction constamment active de linverse de la distance seacuteparant les particules eacuteleacutementaires

chargeacutees constituant tous les atomes et qui est induite perpendiculairement par structure agrave tout

mouvement orbital quil soit theacuteorique or effectif

Cette transposition ne diminue aucunement lutiliteacute de la constante de Planck pour les calculs

impliquant leacutetude des eacutetats daction stationnaire stables et meacutetastables des diverses orbitales et de

leacutemission quantifieacutee de photons de Bremsstrahlung lors de la deacutesexcitation deacutelectrons passant

dune orbitale meacutetastable agrave une orbitale de reacutesonance stable dont la meacutecanique deacutemission sera

analyseacutee plus loin mais elle permet dajouter au bagage doutils matheacutematiques les constantes

neacutecessaires pour traiter adeacutequatement les variations infiniteacutesimalement progressives de la

quantiteacute deacutenergie induite adiabatiquement dans les photons-porteurs des eacutelectrons par interaction

coulombienne pendant les seacutequences de mouvement de reacutesonance axiaux dans lesquels ils sont

captifs lorsque stabiliseacutes dans les diverses orbitales daction stationnaire dans les atomes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4] ainsi que lorsquils sont en mouvement de moindre action libre

cest-agrave-dire en cours de mouvement vers ces eacutetats axiaux daction stationnaire stabiliseacutes tel

quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

25 Constantes dinduction adiabatique de leacutenergie eacutelectromagneacutetique

251 La constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique

Tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [20] eacutetant donneacute que la vitesse de la lumiegravere est

constante dans le vide il peut donc ecirctre affirmeacute que la quantiteacute deacutenergie constituant leacutenergie

dun photon eacutelectromagneacutetique est inversement proportionnelle agrave la distance quil doit parcourir

dans le vide pour quun cycle de sa longueur donde soit compleacuteteacute ce qui peut ecirctre repreacutesenteacutee

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Andreacute Michaud Page 45

par E=1λ Cela signifie quen isolant le produit Eλ du cocircteacute gauche de cette eacutequation la

valeur obtenue sera constant

Une analyse rapide de lEacutequation (44) reacutevegravele que cette constante peut ecirctre deacutefinie agrave partir de

lensemble familier des constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinissent aussi leacutequation geacuteneacuteraliseacutee

de Coulomb et de la longueur donde eacutelectromagneacutetique longitudinale de toute quantiteacute deacutenergie

eacutelectromagneacutetique (λ)

mj25E986445441α2ε

eEλH

0

2

(45)

Soit le quantum daction en joules-megravetre (jm) qui est la contrepartie dissocieacutee du facteur

temps du quantum daction de Planck deacutefini en joules-seconde (js) et qui fut nommeacute la

constante dintensiteacute eacutelectromagneacutetique agrave la Reacutefeacuterence [20] En divisant maintenant la constante

H par la vitesse de la lumiegravere c il est constateacute que la constante de Planck est obtenue ce qui

reacutevegravele que H=hc relie directement la constante de Planck agrave leacutelectromagneacutetisme alors que

historiquement elle est consideacutereacutee comme une constante seulement mesureacutee mais non deacuteriveacutee

deacutequations eacutelectromagneacutetiques

sj34E662606876c

Hh (46)

Le reacutesultat inattendu de cette relation est que le quantum daction temporel de Planck peut

maintenant ecirctre obtenu agrave partir du mecircme ensemble de constantes eacutelectromagneacutetiques qui deacutefinit

la constante H en combinant des Eacutequations (45) et (46) ce qui met agrave la disposition de la

communauteacute cette nouvelle deacutefinition de la constante de Planck eacutetablie uniquement agrave partir de

constantes fondamentales connues soit une deacutefinition deacuteriveacutee deacutequations expeacuterimentalement

confirmeacutees qui est actuellement absente autant du CRC Handbook of Chemistry amp Physics

[41] que de la liste des constantes du National Institute of Standards and Technology (NIST)

[40]

sj34E662606876αc2ε

eh

0

2

(47)

252 La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique

Meacutetaphoriquement parlant la constante de Planck permet lexploration horizontale (cest-agrave-

dire translationnelle) des eacutetats orbitaux stables de latome dhydrogegravene pour ainsi dire mais

lEacutequation (41) de Coulomb qui fournit la mecircme eacutenergie a eacuteteacute utiliseacutee pour deacutefinir une constante

dinduction deacutenergie eacutelectrostatique qui permet une exploration verticale (cest-agrave-dire axiale)

de latome dhydrogegravene et de son noyau

La constante dinduction deacutenergie eacutelectrostatique requise qui fut nommeacutee K agrave la Reacutefeacuterence

[22] et qui pourrait ecirctre consideacutereacutee comme un quantum dinduction a eacuteteacute eacutetablie de deux

maniegraveres diffeacuterentes La premiegravere meacutethode eacutemerge de lanalyse de la meacutecanique de deacutecouplage

dun photon deacutenergie de 1022 MeV ou plus dans la geacuteomeacutetrie trispatiale tel queacutetabli agrave la

Reacutefeacuterence [21] et la seconde meacutethode consiste agrave simplement multiplier lEacutequation (41) par rB

au carreacute

2

o

B

22

BB mj386E122085259ε4π

rerEK

(48)

L Eacute L E C T R O M A G N Eacute T I S M E S E L O N L I N T E R P R Eacute T A T I O N I N I T I A L E D E M A X W E L L

Page 46 Andreacute Michaud

Cest agrave laide de cette constante quil a eacuteteacute possible dentrer dans le noyau hydrogegravene

verticalement ou axialement pour ainsi dire en faisant varier la distance r entre deux

particules chargeacutees avec leacutequation E=Kr2 et ainsi eacutetablir les quantiteacutes exactes deacutenergie

adiabatique induite dans chacun des composants internes du proton et du neutron (voir Tableau

1) permettant ainsi deacutetablir enfin des eacutequations LC trispatiales coheacuterentes pour leacutelectron et le

positon eacutelectromagneacutetiquement contraints (voir Eacutequations (37) et (38) preacuteceacutedemment citeacutees) et

leurs photons-porteurs qui deacuteterminent leurs masses effectives et leur volumes tel quanalyseacute agrave

la Reacutefeacuterence [22]

26 Gravitation

En fait une telle exploration verticale pour ainsi dire des structures atomiques et nucleacuteaires

induit une conscience aigue de la nature adiabatique de leacutenergie induite dans toutes les particules

chargeacutees de leurs structures [33] [24] soit une eacutenergie adiabatique qui ne peut que varier de

maniegravere infiniteacutesimalement progressive lors de toute variation des distances les seacuteparant une

eacutenergie qui de plus ne deacutepend aucunement de la vitesse des particules mais qui manifeste son

existence sous forme de cette vitesse chaque fois les circonstances eacutelectromagneacutetiques locales le

permettent et demeure pleinement induite mecircme si cette vitesse ne peut pas sexprimer ducirc aux

eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetique locaux

Tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [4] et [16] lorsque cette vitesse ne peut pas ecirctre exprimeacutee

leacutenergie du momentum de chaque particule chargeacutee demeure induite malgreacute tout et ne peut alors

quexercer une pression dans la direction vectorielle que lui impose leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Dans les structures atomiques cette direction vectorielle ne peut ecirctre orienteacutee que vers le

centre de chaque atome ducirc agrave la nature mecircme de linteraction coulombienne Dans les

accumulations datomes constituant des masses plus grandes la tendance semble ecirctre que cette

pression tend agrave sappliquer en direction du centre de masse de ces masses ce qui devient une

eacutevidence flagrante pour des masses comme celle de la Terre par exemple agrave la surface de laquelle

tous les objets semblent attireacutes vers son centre de masse Mais cette supposeacutee attraction ne

peut ecirctre en fait que la pression appliqueacutee par la somme totale des eacutenergies individuelles de

momentum de chaque particule chargeacutee constituant chaque objet contre la surface de la Terre car

leur direction vectorielle dapplication ne peut ecirctre orienteacutee par structure que vers le centre de

masse de la Terre [4] [16]

En reacutesumeacute le poids dun objet tel que mesureacute agrave la surface de la Terre ne peut ecirctre quune

mesure de cette pression exerceacutee par la somme des eacutenergies individuelles de momentum

vectoriellement orienteacutees vers son centre de masse appartenant agrave lensemble des particules

chargeacutees qui constituent la masse mesurable de cet objet Si cet objet est eacuteleveacute au dessus du sol et

est ensuite laisseacute libre de se mouvoir la vitesse permise par cette somme deacutenergie de momentum

pourra de nouveau sexprimer jusquagrave ce que son mouvement soit de nouveau bloqueacute lorsque

lobjet rencontre de nouveau la surface de la Terre auquel point elle exercera de nouveau une

pression eacutequivalente agrave la quantiteacute deacutenergie de momentum induite par linteraction coulombienne

agrave cette distance entre chaque particule chargeacutee de cet objet et chaque particule chargeacutee de la

masse de la Terre [33]

Au niveau astronomique les corps ceacutelestes du systegraveme solaire semblent captifs deacutetats de

reacutesonance stables daction stationnaire agrave des distances moyennes du soleil semblables agrave celui que

de Broglie preacutesumait comme sappliquant agrave leacutelectron dans latome dhydrogegravene [50] soit un eacutetat

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Andreacute Michaud Page 47

de reacutesonance axiale limiteacute par des distances minimales et maximales stables tregraves preacutecises agrave partir

de lastre central soit leur peacuteriheacutelie et leur apheacutelie Ces deux distances limites combineacutees au

rayon moyen de lorbite elliptique de chaque corps ceacuteleste constituent trois repegraveres stables

permettant de deacutefinir clairement les volumes despace visiteacutes au fil du temps par chaque corps

ceacuteleste autour de lastre central

Par contre contrairement au cas de latome dhydrogegravene tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

pour lequel lintensiteacute du niveau deacutenergie de momentum induite dans leacutelectron agrave la distance

moyenne du rayon de Bohr favorise nettement un mouvement doscillation axiale localiseacute agrave haute

freacutequence plutocirct quun mouvement translationnel le long de lorbite de repos theacuteorique de Bohr

le niveau deacutenergie adiabatique induit dans chaque particules chargeacutees de la masse du corps

ceacuteleste agrave la distance moyenne de lorbite terrestre eacutetant insuffisant pour geacuteneacuterer une telle

oscillation axiale agrave haute freacutequence eacutetant donneacute linertie de la masse macroscopique de laquelle

chacune de ces particules chargeacutee est captive favorisant plutocirct une stabilisation des corps

ceacutelestes dans les eacutetats de mouvement orbitaux daction stationnaire observeacutes

Le volume despace visiteacute au fil du temps par chaque corps ceacuteleste autour dun astre central

peut eacutevoluer en des formes passablement complexes pour des corps ceacutelestes qui ont des satellites

qui induisent des freacutequences de battements qui modifient les volumes autrement reacuteguliers visiteacutes

par les corps qui nont pas de satellite En fait tous les corps stabiliseacutes dans de tels systegravemes de

reacutesonance axiaux influencent mutuellement chacune de leurs trajectoires et la forme des volumes

de reacutesonance quils visitent Cest dailleurs ce type dinteraction combineacute au processus

doccultation de lastre central lors du passage de ces corps entre cet astre en notre position dans

lespace qui a permis lidentification des nombreuses planegravetes orbitant des eacutetoiles proches qui ont

reacutecemment eacuteteacute deacutecouvertes

Une dynamique eacutelectromagneacutetique similaire deacutefinie par la meacutecanique quantique (MQ) est

aussi applicable au niveau subatomique aux particules eacuteleacutementaires constituant chaque atome

dont toutes les masses macroscopiques sont faites dont nos propres corps Dans leur cas

cependant en raison de lintensiteacute de leacutenergie adiabatique induite dans chaque particule

eacuteleacutementaire chargeacutee agrave des distances aussi courtes entre les particules par rapport agrave leur inertie la

stabilisation axiale agrave haute freacutequence est nettement favoriseacutee par rapport au mouvement orbital

Une analyse initieacutee aux reacutefeacuterences [35] et [53] et compleacuteteacutee agrave la Reacutefeacuterence [16] de la seacutequence

en ordre deacutecroissant dintensiteacute des divers eacutetats deacutequilibre eacutelectromagneacutetiques daction

stationnaire dans lesquels les particules eacuteleacutementaires peuvent se stabiliser deacutemontre que tous les

cas possibles dapplication de force traditionnellement reacuteparties entre 4 forces fondamentales 1)

Interaction forte 2) Interaction faible 3) Force eacutelectromagneacutetique et finalement 4) Force

gravitationnelle ne peuvent ecirctre que quatre niveaux quantifieacutes dintensiteacute dinteraction

coulombienne correspondant aux divers niveaux deacutenergie de ces eacutetats deacutequilibre daction

stationnaire

Tout comme il a sembleacute raisonnable de conserver les termes up et down pour deacutesigner les

positrons et eacutelectrons eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave linteacuterieur des structures nucleacuteoniques

afin de maintenir la coheacuterence avec lensemble de la litteacuterature publieacutee preacuteceacutedemment il semble

eacutegalement raisonnable pour la mecircme raison de conserver le concept dattraction facile agrave

appreacutehender pour identifier les cas individuels dinteraction coulombienne entre deux particules

chargeacutees eacutelectriquement de signes opposeacutes Ainsi donc pour faciliter leacutetablissement dune image

mentale des divers ordres de grandeur dapplication de linteraction eacutelectrostatique entre ces

particules eacuteleacutementaires le terme attracteur a eacuteteacute deacutefini agrave la Reacutefeacuterence [35] concreacutetisant lideacutee

quun attracteur-individuel-inverse-du-carreacute-de-la-distance serait en action entre chaque paire

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Page 48 Andreacute Michaud

de ces particules eacuteleacutementaires dans lunivers Pour raison de simpliciteacute donc toute occurrence du

concept mentalement facile agrave visualiser dune attraction eacutelectrostatique entre une paire de

particules chargeacutees de signes eacutelectriques opposeacutes dans lunivers est nommeacutee attracteur dans le

Tableau 2

Tableau 12 Plages quantifieacutees dinteraction coulombienne (Voir Reacutefeacuterence [35])

Tableau des attracteurs eacutelectrostatiques

Nom Porteacutee

Force

laquo traditionnelle raquo

associeacutee

Attracteur

primaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints agrave

lrsquointeacuterieur drsquoun proton ou drsquoun neutron

Forte

Attracteur

secondaire

Entre eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints

appartenant agrave diffeacuterents protons et neutrons

dans un noyau

Faible

Attracteur

tertiaire

Entre chaque eacutelectron captif et chaque

positon eacutelectromagneacutetiquement contraint

dun noyau et entre chaque eacutelectron et

chaque positon eacutelectromagneacutetiquement

contraint des noyaux des autres atomes de

toute accumulation de matiegravere

Eacutelectromagneacutetique

Attracteur

temporaire

local

Entre les demi-photons agrave lrsquointeacuterieur drsquoun

photon Eacutelectromagneacutetique

Attracteur temporaire

eacuteloigneacute

Entre tout demi-photon et chacune des particules chargeacutees heacuteteacuterostatiques du

reste de lrsquounivers Eacutelectromagneacutetique

Attracteur quaternaire

Entre chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee drsquoun atome et chaque particule heacuteteacuterostatique en chute libre relative du

reste de lrsquounivers

Graviteacute

Il devient maintenant possible de seacuteparer le gradient dinteraction coulombienne en quatre

plages dintensiteacutes dont les limites correspondent au diverses plages dintensiteacute de reacutesonance

daction stationnaire qui peuvent ecirctre identifieacutees dans la nature (Tableau 2) Tel que mis en

perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] le niveau le plus intense est deacutetermineacute par les eacutetats de reacutesonance

caracteacuterisant les eacutelectrons et positons eacutelectromagneacutetiquement contraints en interaction formant la

structure collisionable interne des nucleacuteons correspondant agrave la traditionnelle interaction forte

Le deuxiegraveme niveau sapplique aux eacutetats de stabilisation des nucleacuteons agrave linteacuterieur des noyaux

datomes correspondant agrave la traditionnelle interaction faible Le troisiegraveme niveau sapplique

aux eacutetats de reacutesonance eacutelectroniques agrave linteacuterieur des atomes et moleacutecules ainsi quentre les

atomes et moleacutecules en contact direct les uns avec les autres dans toute accumulation de matiegravere

correspondant agrave la traditionnelle force eacutelectromagneacutetique Et enfin un quatriegraveme et dernier

niveau dintensiteacute sapplique agrave tout atome moleacutecule et masse plus grande dans un eacutetat de chute

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Andreacute Michaud Page 49

libre de moindre action et ceux qui sont captifs dans des orbites daction stationnaires au niveau

astronomique et correspond agrave la traditionnelle force gravitationnelle

Ces divers niveaux dintensiteacute dinduction deacutenergie porteuse adiabatique par interaction

coulombienne dont lune des composantes majeures est lincreacutement deacutenergie eacutelectromagneacutetique

transversal correspondant agrave un increacutement variable de masse adiabatique induite en permanence

quelle procure pour chaque particule chargeacutee qui existe peut alors ecirctre associeacute directement aux 4

forces du Modegravele Standard tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [35] soit quatre forces qui

savegraverent finalement ecirctre de simples repreacutesentations alternatives des divers niveaux dintensiteacute

dapplication dune seule et unique force soit linteraction coulombienne sous-jacente

dinduction adiabatique deacutenergie tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [16]

27 Expansion compression des nucleacuteons en fonction de lintensiteacute du gradient gravitationnel

Le fait que le demi-quantum deacutenergie adiabatique du momentum qui est induit de maniegravere

permanente par linteraction coulombienne dans chaque eacutelectron soit orienteacute axialement vers le

centre de chaque atome pris isoleacutement et que cette eacutenergie ne peut sexprimer que sous forme

dune pression orienteacutee vers le centre de latome lorsquelle ne peut pas sexprimer sous forme

dune vitesse tel quanalyseacute et deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4] a aussi pour conseacutequence que lorsque des

atomes saccumulent pour former des masses plus grandes la reacutesultante vectorielle de lensemble

des interaction entre les eacutelectrons et les noyaux accumuleacutes agrave grande proximiteacute tendra agrave orienter la

direction dapplication de ces demi-quanta de momentum vers le centre de telles masses reacutesultant

en une addition des leurs pressions individuelles vers le centre de ces masses

Lorsque ces accumulations datomes deviennent suffisantes pour former des masses

macroscopiques laugmentation de pression qui en reacutesulte par addition agrave mesure que la

profondeur augmente dans ces corps ne peut que reacutesulter en une contraction forceacutee des orbitales

eacutelectroniques exteacuterieures de leurs atomes vers chacun leur noyaux tell que mis en perspective agrave

la Reacutefeacuterence [35] et analyseacute en profondeur agrave la Reacutefeacuterence [33]

Il est bien veacuterifieacute que la chaleur augmente en fonction de la profondeur dans la masse de la

Terre [54] Or Il est aussi tregraves bien compris par ailleurs que la chaleur dans les masses

macroscopiques nest pas autre chose quune augmentation de leacutenergie des eacutelectrons des atomes

une augmentation qui lorsquelle excegravede certains niveaux speacutecifiques agrave chaque atomes force les

eacutelectrons des couches exteacuterieures des atomes impliqueacutes agrave sauter vers une orbitale meacutetastable plus

eacuteloigneacutee du noyau de chaque atome Ces niveaux eacutetant extrecircmement instables ces eacutelectrons

retournent presque instantaneacutement vers leur orbitale stable daction stationnaire en eacutemettant alors

un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacue leacutenergie (cest-agrave-dire la chaleur) accumuleacutee sous forme

dun photon eacutelectromagneacutetique dont la meacutecanique deacutemission sera analyseacutee agrave la prochaine

section

Dans le cas de laugmentation de chaleur avec la profondeur dans une masse planeacutetaire comme

celle de la Terre il est bien eacutetablit que cette augmentation est de nature adiabatique [54] et

quelle ne peut que coiumlncider avec une augmentation adiabatique deacutenergie par compression des

orbitales eacutelectroniques des atomes vers leurs noyaux centraux car cest la plus grande proximiteacute

qui en reacutesulte entre les eacutelectrons et les noyaux qui fait en sorte que linteraction coulombienne

induise cet excegraves deacutenergie en fonction de linverse de la distance seacuteparant les eacutelectrons des

noyaux

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Page 50 Andreacute Michaud

Cependant eacutetant donneacute que les atomes sont en contact direct dans ces masses et que cette

pression est constante cette eacutenergie adiabatique en excegraves ne peut donc pas seacutevacuer par eacutemission

de photons eacutelectromagneacutetiques et augmente simplement avec la profondeur agrave mesure que les

eacutelectrons captifs des couches externes des atomes sapprochent de plus en plus des noyaux agrave

mesure que la profondeur augmente dans la masse jusquagrave atteindre la tempeacuterature estimeacutee

denviron 5100 degreacutes Kelvin au centre de la Terre [54] tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [33]

Au centre des masses proto-stellaires en formation apregraves une accumulation suffisante

dhydrogegravene interstellaire cette compression des orbitales eacutelectroniques fait en sorte que les

eacutelectrons des atomes dhydrogegravene atteignent finalement la distance au proton qui coiumlncide avec

linduction dune eacutenergie porteuse dans chaque eacutelectron atteignant le seuil critique de deacutecouplage

de 1022 MeV pour ceux qui sont au centre mecircme de la masse proto-stellaire point auquel le

deacutecouplage en paires eacutelectron-positon est forceacute par la proximiteacute immeacutediate des charges reacutesonant

agrave haute freacutequence du proton entraicircnant la formation de neutrons avec eacutemission deacutenormes

quantiteacutes deacutenergie de bremsstrahlung qui deacuteclenchent et maintiennent ensuite la reacuteaction en

chaicircne de fusion nucleacuteaire dans les eacutetoiles tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [35]

Un effet secondaire de la contraction des orbitales eacutelectroniques vers les noyaux dans les

masses macroscopiques telles les masses planeacutetaires est que ces noyaux atomiques sapprochent

les uns des autres de plus en plus agrave mesure que la profondeur augmente dans la masse ce qui

diminue les distances entre ces noyaux intensifiant linteraction coulombienne entre les noyaux

atomiques

Il en reacutesulte une augmentation de la traction vers lexteacuterieur impliquant linteraction

coulombienne sur lensemble des charges de chaque nucleacuteons des divers noyaux qui force une

augmentation des distances de translationreacutesonance de chaque triade par rapport agrave leur laxe

central de translationreacutesonance de lespace-X diminuant la quantiteacute deacutenergie adiabatique

variable induite dans leurs photons-porteurs diminuant ainsi la masse effective de lensemble des

nucleacuteons agrave cette profondeur des masses macroscopiques tel quanalyseacute aux reacutefeacuterences [22] [35]

Leffet global est que les noyaux atomiques deviennent de moins en moins massifs agrave mesure que

la profondeur augmente dans les masses macroscopiques

Par contre lorsque de petites masses sont eacuteloigneacutees de la surface de la Terre leffet contraire

ne peut que se produire par structure car leacutenergie des photons-porteurs des eacutelectrons et positons

eacutelectromagneacutetiquement contraints des noyaux des atomes constituant de telles petites masses ne

peut quaugmenter suite agrave laugmentation des distances entre eux et lensemble des particules

eacuteleacutementaires chargeacutees de la masse de la Terres ce qui reacutesulte en une contraction des distances

internes de translationreacutesonance de chaque triade de telles petites masses par rapport agrave laxe-x

de lespace normal suite agrave laffaiblissement de linteraction coulombienne entre les charges de ces

petites masses et celles de la Terre

Cette contraction des orbitales nucleacuteoniques agrave linteacuterieur des nucleacuteons des noyaux datomes

constituant de telles petites masses seacuteloignant de la Terre ne peut que reacutesulter en une contraction

proportionnelle des couches eacutelectroniques de ces atomes dont la conseacutequence mesurable est

laugmentation de leacutenergie adiabatique induite agrave ces distances plus courtes entre les eacutelectrons

captifs et les noyaux et par conseacutequent une augmentation de la freacutequence eacutelectromagneacutetique des

photons de Bremsstrahlung eacutemis par les eacutelectrons momentaneacutement exciteacutes jusquagrave une orbitale

meacutetastable plus eacuteloigneacutee du noyau lorsquils se deacutesexcitent presque instantaneacutement en retournant

agrave leurs orbitales daction stationnaire

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Andreacute Michaud Page 51

Cest dailleurs cette augmentation de masse des noyaux datomes avec laugmentation

daltitude au dessus de la surface de la Terre qui explique reacuteellement laugmentation de la

freacutequence de photons de Bremsstrahlung utiliseacutes dans une horloge atomique pendant lexpeacuterience

de Hefele et Keating [45] mentionneacutee preacuteceacutedemment pour mesurer leacutecoulement du temps

voulant quelle deacutemontrait supposeacutement une acceacuteleacuteration du rythme de leacutecoulement du temps

avec laltitude alors consideacutereacutee comme une preuve de la validiteacute de la RR [35] conclusion

tireacutee avant que soit mis en perspective la nature adiabatique de leacutenergie du momentum et du

champ magneacutetique transversal induite en permanence dans chaque particule eacuteleacutementaire chargeacutee

En reacutealiteacute de telles horloges atomiques dont la preacutecision deacutepend de la freacutequence de photons

de Bremsstrahlung eacutemis par des eacutelectrons en cours de deacutesexcitation demeurent preacutecises dans la

mesure ougrave elles ne sont pas deacuteplaceacutees de lendroit ougrave elles ont eacuteteacute calibreacutees Tout deacuteplacement

axial dans le gradient gravitationnel ou changement de son eacutetat de mouvement tel une utilisation

dans un satellite en orbite par exemple exige une recalibration qui tient compte de leacutequilibre

eacutelectromagneacutetique local

Finalement les anomalies systeacutematiques observeacutees agrave propos des trajectoires de toutes les

sondes spatiales particuliegraverement publiciseacutees dans le cas des sondes Pioneer 10 et 11 et de leurs

trajectoires deacutechappement du systegraveme solaire qui se comportent systeacutematiquement dans lespace

profond comme si elles eacutetaient leacutegegraverement plus massives que lorsque mesureacutees au sol avant leur

lancement trouvent aussi une explication logique suite au fait preacuteceacutedemment analyseacute que les

masses au repos des nucleacuteons et des masses macroscopiques ne peuvent que varier en

conseacutequence de tout deacuteplacement axial dans le gradient gravitationnel

Il ne fait donc aucun doute que les anomalies des trajectoires elliptiques dUranus de

Neptune et de Pluton ainsi que des comegravetes Halley Encke Giacobini-Zinner Borelli et autres

qui subissent des deacuteviations systeacutematiques dorigine inconnue tel que mentionneacute par RW Kuumlhne

[44] et en fait lensemble des trajectoires elliptiques des planegravetes du systegraveme solaire gagneraient

agrave ecirctre reconsideacutereacutees en regard de cette variabiliteacute de leurs masses au repos en fonction de leur

oscillation axiale dans le gradient gravitationnel du soleil et de la variation de leur champ

magneacutetique transversal en fonction de leur vitesse variable sur leur trajectoires elliptiques

28 La meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

Maintenant que les principales conclusions tireacutees par le passeacute agrave partir des donneacutees

expeacuterimentales deacutejagrave accumuleacutees agrave propos des particules eacuteleacutementaires ont eacuteteacute remises en

perspective agrave la lumiegravere de linterpreacutetation initiale de Maxwell de lhypothegravese de de Broglie et de

la deacuterivation de Marmet dans le cadre plus eacutetendu de la geacuteomeacutetrie trispatiale voyons maintenant

la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung que cette geacuteomeacutetrie permet deacutetablir soit

une meacutecanique deacutemission que de Broglie et Schroumldinger cherchaient agrave eacutetablir deacutejagrave dans les

anneacutees 1920 mais qui suscita peu dinteacuterecirct dans la communauteacute de leacutepoque ducirc agrave labsence de

piste potentielle de reacutesolution agrave explorer agrave ce moment [4]

Pour ce faire nous analyserons le cas speacutecifique dun eacutelectron en cours de capture par un

proton pour former un atome dhydrogegravene dont leacutetat deacutequilibre final stable de moindre action

plus preacuteciseacutement descriptible comme eacutetant un eacutetat daction stationnaire a eacuteteacute analyseacute agrave la

Reacutefeacuterence [4] Avant de passer agrave la description de la meacutecanique deacutemission proprement dite il y a

lieu de mettre en perspective quelques valeurs numeacuteriques agrave propos de linertie des diffeacuterentes

quantiteacutes deacutenergie impliqueacutees

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Page 52 Andreacute Michaud

Immeacutediatement avant sa capture et sa stabilisation agrave la distance moyenne de lorbitale de repos

par rapport au proton (ao=5291772083E-11 m) leacutelectron aura atteint la vitesse relativiste de

2187647561 ms soutenue par la quantiteacute preacutecise deacutenergie de momentum ΔK que son photon-

porteur aura accumuleacutee agrave cette distance en acceacuteleacuterant vers le proton [33]

j18-2E2179784831γcmΔKE 2

oK (49)

Cette vitesse geacutenegravere linertie vers lavant de la quantiteacute deacutenergie de momentum (136 eV)

qui provoquera sa propre eacutevacuation sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique de

Bremsstrahlung lorsque le mouvement avant de leacutelectron sera brusquement stoppeacute net dans son

mouvement comme premiegravere eacutetape de leacutetablissement de son eacutetat orbital stable daction

stationnaire En plus de linertie vers lavant procureacutee par cette eacutenergie de momentum linertie

totale de leacutelectron incident impliquera eacutegalement linertie vers lavant de la quantiteacute totale

deacutenergie constituant le demi-quantum transversal du photon-porteur ainsi que celle de sa masse

au repos invariante (E=moc2=818710414E-14 j) qui ne seront pas eacutevacueacutees pendant le processus

de stabilisation

j141875401148cmcmΔKE 2

0

2

me E (50)

Dautre part linertie stationnaire du proton vers lequel leacutelectron acceacutelegravere deacutepend dune

quantiteacute beaucoup plus importante deacutenergie

j10-7E150327730cmE 2

pp (51)

Le ratio bien connu des inerties des deux composantes en interaction sera alors bien sucircr

0548911836

1

E

E

p

e (52)

On peut observer que linertie vers lavant de leacutelectron incident est infeacuterieure par 4 ordres de

grandeur par rapport agrave linertie stationnaire du proton dont les champs magneacutetiques sont la

composante qui stoppera le mouvement de leacutelectron en interagissant en contre-pression par

rapport aux champs magneacutetiques de leacutelectron incident en conseacutequence de lalignement parallegravele

reacutepulsif de spins magneacutetiques parallegraveles mutuels imposeacute par structure tel que clairement mis en

perspective agrave la reacutefeacuterence[4] Mais la disproportion factuelle entre linertie vers lavant de

leacutenergie du momentum de leacutelectron et linertie stationnaire du proton est immenseacutement plus

grande

4968964481

1

E

E

p

K (53)

Ce ratio reacutevegravele que tandis que linertie vers avant de leacutelectron incident sera contreacutee par

linertie stationnaire pregraves de 2000 fois sa propre inertie linertie vers lavant de leacutenergie du

momentum de leacutelectron entrant ΔK qui sera eacutevacueacutee du systegraveme eacutelectron-proton pendant le

processus darrecirct sera contreacutee par une inertie stationnaire pregraves de 69 millions de fois sa propre

inertie vers avant alors que leacutelectron arrive agrave une fraction importante de la vitesse de la lumiegravere

Ce ratio met bien en perspective avec quelle instantaneacuteiteacute le mouvement vers lavant de cette

eacutenergie de momentum vers le proton se trouvera contreacutee pendant le processus darrecirct

Cependant contrairement agrave leacutenergie du momentum dun objet en mouvement frappant un mur

agrave notre niveau macroscopique par exemple dont nous savons expeacuterimentalement quelle sera

communiqueacutee au mur lorsque lobjet le frappera nous savons aussi expeacuterimentalement que

leacutenergie du momentum de leacutelectron incident ne sera pas communiqueacutee au proton mais sera

eacutejecteacutee du systegraveme eacutelectron-proton sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique deacutetectable et

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Andreacute Michaud Page 53

mesurable deacutenergie 2179784832E-18 j de longueur donde 9113034513E-8 m et de

freacutequence 3289710552E15 Hz se deacuteplaccedilant agrave la vitesse de la lumiegravere

La question de comprendre de quelle maniegravere la seacuteparation et leacutejection de ce photon de

Bremsstrahlung se deacuteroule meacutecaniquement est en suspens depuis que Louis de Broglie et Erwin

Schroumldinger ont commenceacute agrave eacutetudier ce processus dans les anneacutees 1920 [4] mais neacutetait pas

vraiment possible de le faire avant que la geacuteomeacutetrie trispatiale maxwellienne plus eacutetendue de

lespace deacutecrite preacuteceacutedemment soit eacutelaboreacutee et preacutesenteacutee en 2000 lors de leacuteveacutenement Congress-

2000 [18]

Cette nouvelle geacuteomeacutetrie spatiale permet maintenant de comprendre que bien que leacutelectron et

son photon-porteur soient soudainement stoppeacutes dans leur mouvement en direction du proton lors

de leur brusque capture agrave distance moyenne de lorbitale de repos dans latome dhydrogegravene le

mouvement vers lavant de leacutenergie de son momentum ΔK calculeacutee avec lEacutequation (49) nest

pas stoppeacute dans son mouvement vers lavant agrave linteacuterieur de la structure trispatiale interne du

photon-porteur de leacutelectron (Figures 3-a et 3-b) dont les trois espaces seacutepareacutes de sa

configuration trispatiale interne se comportent comme des vases communicants [3] soit une

inertie vers lavant des photons eacutelectromagneacutetiques qui fut confirmeacutee par la preuve

photoeacutelectrique de Einstein

La cleacute pour comprendre pourquoi le mouvement du demi-quantum deacutenergie de momentum

ΔK du photon-porteur de leacutelectron nest pas stoppeacute agrave linteacuterieur mecircme du photon-porteur

lorsque ce dernier est lui-mecircme stoppeacute dans son mouvement vers lavant concerne leacutetape (c) de

son cycle eacutelectromagneacutetique trispatial tel que repreacutesenteacute par la figure 7 qui est leacutetape pendant

son cycle doscillation transversal pendant laquelle toute son eacutenergie transversale atteint son

volume maximal dans lespace-Z magneacutetostatique (figure 3)

Figure 7 Repreacutesentation du cycle doscillation transversal du demi-quantum deacutenergie

eacutelectromagneacutetique du photon-porteur de leacutelectron et de son demi-quantum de momentum

unidirectionnel qui propulse ce demi-quantum transversal en plus daussi propulser le quantum

complet de leacutenergie de la masse au repos invariante de leacutelectron (ce dernier non illustreacute)

La maniegravere dont leacutenergie du momentum ΔK de leacutelectron captureacute par le proton passe

dabord dans lespace Z lorsque sa propre inertie vers lavant le force agrave traverser la zone de

jonction centrale quasi-ponctuelle qui relie les trois espaces par laquelle leacutenergie de la particule

transite librement dans son propre complexe trispatial et est ensuite eacutejecteacutee agrave rebours sous forme

dune impulsion magneacutetique pendant la phase eacutelectrique du cycle doscillation transversale du

photon-porteur (Figure 7-e) lorsque les deux charges seacutepareacutees se comportent dans lespace-Y

pendant le processus darrecirct de leacutelectron comme une antenne dipocircle de longueur fixe [55] peut

ecirctre reacutesumeacutee par une seacutequence en quatre eacutetapes illustreacutee par la figure 8

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La Figure 8-a repreacutesente leacutelectron accompagneacute de son photon-porteur atteignant

inteacuterieurement leacutetape 7-c (figure 7-c) de son cycle doscillation transversale alors que ses deux

champs magneacutetiques entrent en collision avec le champ magneacutetique relativement eacutenorme du

proton pendant quils se repoussent mutuellement par alignement de spin magneacutetique parallegravele

tel quanalyseacute agrave la Reacutefeacuterence [4]

Figure 8 Repreacutesentation de la meacutecanique deacutemission de photons de Bremsstrahlung

La Figure 8-b repreacutesente la deuxiegraveme eacutetape du processus deacutejection et illustre la seacutequence

darrecirct reacuteelle car le compleacutement complet de leacutenergie de momentum ΔK=2179784832E-18 J

vient decirctre forceacute dans lespace-Z par sa propre inertie vers lavant qui double momentaneacutement la

quantiteacute deacutenergie constituant le champ magneacutetique du photon-porteur incident un doublement

qui est repreacutesenteacute graphiquement par une densiteacute visuelle accrue de la sphegravere magneacutetique du

photon porteur

T4692470103λα

ceπμ22

23

0 B (54)

ougrave λ=4556335256E-8 m qui est la longueur donde du photon-porteur de leacutelectron au tout

deacutebut du processus darrecirct provoqueacute par la reacutepulsion magneacutetique mutuelle de leurs champs

magneacutetiques

En loccurrence ce doublement momentaneacute du champ magneacutetique du photon-porteur de

leacutelectron au moment ou il commence agrave ecirctre captureacute dans lorbitale de repos de latome

dhydrogegravene devrait pouvoir ecirctre deacutetecteacute sous forme dun pic dintensiteacute magneacutetique enregistrable

coiumlncidant avec leacutemission du photon de Bremsstrahlung ce qui confirmerait directement la

meacutecanique actuelle deacutemission de photons

Quelque chose dautre a peut-ecirctre deacutejagrave attireacute lattention du lecteur dans la Figure 8-b Bien que

leacutenergie du momentum reacutesidant initialement dans lespace-X repreacutesenteacutee par la flegraveche pointant

vers la gauche menant agrave la sphegravere magneacutetique du photon-porteur dans la Figure 8-a ait tout juste

eacuteteacute mentionneacutee comme ayant eacuteteacute forceacutee de traverser jusque dans lespace-Z par sa propre inertie

vers lavant pour sajouter agrave leacutenergie magneacutetique deacutejagrave preacutesente calculeacutee avec lEacutequation (54) une

flegraveche identique est toujours preacutesente agrave la figure 8-b Cela neacutecessite une explication

suppleacutementaire car il ne sagit pas dune erreur de repreacutesentation car eacutetant donneacute que leacutelectron et

le proton sont chargeacutes eacutelectriquement en opposition linteraction coulombienne ne permet pas

par structure quaucune eacutenergie de momentum ne soit induite dans le photon-porteur dun eacutelectron

agrave cette distance du proton tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence [33]

De plus la Reacutefeacuterence [42] met clairement en perspective quune distinction claire doit ecirctre

faite entre un mouvement de rotation ou de translation meacutecaniquement induit non compenseacute et

un mouvement de rotation ou de translation induit eacutelectrostatiquement ou gravitationnellement

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compenseacute en permanence Un tel mouvement non compenseacute caracteacuterise leacutetat dun satellite

lanceacute sur orbite inertielle meacutetastable autour de la terre par exemple ou tout objet mis

artificiellement en rotation agrave notre niveau macroscopique au moyen dune unique impulsion

initiale Lorbite dun tel satellite finit toujours par se deacutegrader causant son eacutecrasement et la

rotation dun tel objet finit toujours par sarrecircter contrairement agrave lorbite compenseacutee en

permanence de la Terre par exemple et sa rotation naturellement compenseacutee en permanence

Compte tenu de la claire correacutelation preacuteceacutedemment eacutetablie entre les mouvements de translation

de rotation et les eacutetats de reacutesonance daction stationnaire la capture et stabilisation dun eacutelectron

dans lorbitale de reacutesonance daction stationnaire de latome dhydrogegravene appartiennent de toute

eacutevidence agrave la cateacutegorie compenseacute en permanence tel que mis en perspective agrave la Reacutefeacuterence

[33]

Puisque la quantiteacute deacutenergie du momentum ΔK induite par linteraction de Coulomb agrave cette

distance du proton ne peut en aucun cas ecirctre diffeacuterente de 136 eV on peut conclure que lorsque

la quantiteacute initiale deacutenergie du momentum ΔK est eacutevacueacutee de lespace-X une quantiteacute de

remplacement de 136 eV deacutenergie cineacutetique de momentum ΔK doit ecirctre adiabatiquement

induite de maniegravere synchrone par linteraction coulombienne permanente une eacutenergie dont la

direction vectorielle dapplication sera deacutesormais exprimeacutee sous forme dune pression

stationnaire exerceacutee vers le proton augmentant pour ainsi dire la contre-pression permanente

eacutetablie entre les champs magneacutetiques aligneacutes en spins magneacutetiques parallegravele [4] Cela signifie

que momentaneacutement le photon-porteur impliquera temporairement 408 eV incluant

momentaneacutement le champ magneacutetique agrave double intensiteacute jusquagrave ce que les 136 eV

temporairement transfeacutereacutes dans lespace-Z soient eacutevacueacutes sous forme dun photon

eacutelectromagneacutetique seacutepareacute

La figure 8-c repreacutesente la mise en place de lantenne dipocircle meacutetaphorique qui eacutemettra

leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous forme dun photon eacutelectromagneacutetique Lorsque le champ

magneacutetique du photon-porteur atteint son eacutetat de preacutesence maximale dans lespace-Z comme le

montre la figure 8-b le champ eacutelectrique dipolaire correspondant est tombeacute agrave zeacutero preacutesence

dans lespace-Y ce qui correspond aux deux barres dune antenne dipolaire de longueur fixe

devenant neutres lorsquaucun courant alternatif nest fourni agrave lantenne [55]

Lorsque leacutenergie magneacutetique repreacutesenteacutee agrave la Figure 8-c commence agrave entrer dans lespace-Y

eacutelectrostatique leacutenergie saccumule dans lespace-Y sous forme de deux charges opposeacutees se

deacuteplaccedilant en directions opposeacutees sur le plan Y-yY-z [3] [24] si bien que les deux charges

opposeacutees atteignent eacuteventuellement leur valeur maximale autoriseacutee qui ne peut deacutepasser la

valeur moyenne maximale de 2179784832E-18 J (136 eV) autoriseacutee a agrave cette distance entre le

proton chargeacute positivement et leacutelectron chargeacute neacutegativement qui combineacutes agrave la valeur eacutegale de

leacutenergie du momentum autoriseacutee nouvellement induite exercent une pression stationnaire de la

part de leacutelectron contre le champ magneacutetique du proton et qui est adiabatiquement maintenue

par linteraction de Coulomb agrave cette distance moyenne

Cest cette limite maximale deacutenergie du champ E imposeacutee par linteraction coulombienne qui

fait en sorte que la distance soudainement maximiseacutee entre les deux charges dans lespace-Y agit

de la mecircme maniegravere que les deux tiges dune antenne dipocircle de longueur fixe ce qui permet que

leacutenergie initialement forceacutee dans lespace-Z en provenance de lespace-X commence agrave

saccumuler dans lespace-Y en surchargeant le dipocircle de longueur maintenant maximiseacutee et fixe

de lespace-Y ce qui entraicircne leacutemission par le dipocircle de leacutenergie exceacutedentaire de 136 eV sous

forme dune impulsion magneacutetique dans lespace-Z magneacutetostatique de la mecircme maniegravere que des

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impulsions eacutelectromagneacutetiques sont eacutemises par une antenne dipocircle tregraves normale agrave notre niveau

macroscopique tel que repreacutesenteacute par la figure 8-d

La question se pose ici de savoir pourquoi leacutelectron ne seacuteloigne pas simplement du proton

comme il est universellement connu quil le fait lorsque preacuteciseacutement cette quantiteacute deacutenergie

ΔK=2179784832E-18 J quil possegravede deacutejagrave lui est fournie par un photon eacutelectromagneacutetique

incident soit le cas qui sera analyseacute dans la prochaine et derniegravere section du preacutesent article La

reacuteponse est tregraves simple dans le preacutesent cas et elle est fournie en prenant simplement conscience

que toute la seacutequence pratiquement instantaneacutee repreacutesenteacutee par la Figure 8 se produit alors que

linertie vers lavant de la quantiteacute totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de

leacutelectron et son photon-porteur applique sa pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton eacuteliminant momentaneacutement toute possibiliteacute que leacutelectron soit eacutejecteacute agrave ce moment preacutecis

et eacuteliminant aussi toute possibiliteacute pour que la distance entre leacutelectron et le proton varie durant ce

processus de freinage si bref

Immeacutediatement apregraves avoir eacuteteacute chasseacute jusque dans lespace-Z par le dipocircle eacutelectrique de

lespace-Y la premiegravere chose qui arrivera agrave leacutenergie libeacutereacutee sera le transfert de lespace-Z vers

lespace-X de la moitieacute de son eacutenergie pour construire le demi-quantum deacutenergie du momentum

qui va alors commencer agrave le propulser agrave la vitesse de la lumiegravere dans la premiegravere eacutetape du

reacutetablissement de leacutequilibre eacutelectromagneacutetique trispatial naturel Une fois que les deux demi-

quanta deacutenergie auront atteint leurs niveaux deacutenergie longitudinaux et transversaux eacutegaux par

deacutefaut tels que deacutetermineacutes selon lhypothegravese de de Broglie et suite agrave la deacuterivation de Marmet

leacutenergie de son champ magneacutetique transversal B commencera naturellement agrave osciller

transversalement en passant dans lespace-Y pour induire le champ E correspondant initiant ainsi

loscillation eacutelectromagneacutetique transversale stable du nouveau photon de Bremsstrahlung se

deacuteplaccedilant maintenant librement agrave la vitesse de la lumiegravere tel que repreacutesenteacute avec Figure 8-d [3]

Notons ici que bien que le processus complet ait pris un temps consideacuterable agrave deacutecrire la

seacutequence reacuteelle des eacutetapes impliqueacutees dans le freinage de leacutelectron jusquagrave larrecirct complet

momentaneacute lors de sa capture par un proton doit ecirctre pratiquement instantaneacutee en raison de la

vitesse de leacutelectron entrant combineacutee avec le fait que la seacutequence entiegravere doit deacutefinitivement ecirctre

compleacuteteacutee pendant le demi-cycle fugace de loscillation eacutelectromagneacutetique transversale du

photon-porteur deacutebutant avec son alignement magneacutetique parallegravele (Figure 7-c) par rapport agrave

lorientation du spin du champ magneacutetique du proton et finissant avec la seacuteparation maximale

des charges du champ E (Figure 7-e) tel que repreacutesenteacute au deacutebut de la Figure 8-d lensemble de

la seacutequence se produisant tel que mentionneacute preacuteceacutedemment pendant que linertie de la quantiteacute

totale deacutenergie constituant la masse au repos invariante de leacutelectron et la masse momentaneacutement

invariante de son photon-porteur applique une pression maximale contre le champ magneacutetique du

proton [4]

29 La meacutecanique dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques

Aussitocirct apregraves que le photon de Bremsstrahlung ait eacuteteacute eacutemis linertie vers lavant de la

massechamps-eacutelectromagneacutetiques invariante de leacutelectron et du demi-quantum de massechamps-

eacutelectromagneacutetiques variable de son photon-porteur due agrave leur vitesse darriveacutee sera remplaceacutee

par leur inertie stationnaire par deacutefaut agrave laquelle sajoute la pression vers lavant

adiabatiquement variable fournie par leacutenergie du demi-quantum de momentum ΔK

nouvellement induit du photon-porteur qui est orienteacutee en permanence vers le proton et qui

interagissent conjointement en contre-pression par rapport agrave linertie stationnaire mais

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neacuteanmoins oscillante de la massechamps-eacutelectromagneacutetiques beaucoup plus grande du

proton laquelle interaction eacutetablit et maintient leacutelectron sur sa trajectoire de reacutesonance axiale

dans le volume despace daction stationnaire deacutecrit par leacutequation de Schroumldinger [7] tel que

deacutecrit agrave la Reacutefeacuterence [4]

Maintenant que seulement la pression vers lavant permanente de leacutenergie du momentum

ΔK reacutecemment adiabatiquement induite empecircche leacutelectron de seacutechapper et que la pression

momentaneacutee qui fut initialement exerceacutee vers le proton due agrave linertie vers lavant des champs

eacutelectromagneacutetiques de leacutelectron et de son photon-porteur qui a initialement empecirccheacute leacutenergie

transversale du champ E du photon-porteur de leacutelectron de deacutepasser sa valeur initiale de

2179784832E-18 j et qui nest plus en action mais qui a provoqueacute leacutemission du photon de

Bremsstrahlung tel que deacutecrit agrave la section preacuteceacutedente toute eacutenergie provenant de lexteacuterieur du

systegraveme eacutelectron-proton sera captureacutee par le dipocircle eacutelectrique de lespace-Y du photon-porteur

vraisemblablement agissant encore comme une antenne dipocircle mais dont la longueur peut

maintenant varier et sera distribueacutee en portions eacutegales entre les deux demi-quanta du photon-

porter dans la mesure ougrave le rayon de giration magneacutetique de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

le permettra [52]

Laugmentation reacutesultante du volume de reacutesonance axiale que leacutelectron visitera en

conseacutequence amegravenera leacutelectron agrave sauter eacuteventuellement jusquagrave une orbitale meacutetastable autoriseacutee

plus eacuteloigneacutee du proton avant de retourner presque immeacutediatement vers lorbitale de repos

eacutemettant alors un photon de Bremsstrahlung qui eacutevacuera leacutenergie excessive correspondante ou

agrave seacutechapper complegravetement du proton si leacutenergie fournie venant de lexteacuterieur du systegraveme

eacutelectron-proton atteint le niveau deacutechappement de ΔK=2179784832E-18 j soit par

accumulation progressive soit par collision avec un photon incident deacutenergie 2179784832E-18

j

Tous les cas possibles deacutemission et dabsorption deacutenergie doivent bien sucircr ecirctre expliqueacutes et

documenteacutes dans le contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale mais eacutetant donneacute que le preacutesent

document ne vise quagrave mettre en perspective le contexte eacutelectromagneacutetique sous-jacent qui

permet une description geacuteneacuterale de la meacutecanique deacutemission et dabsorption de photons

eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons dans la geacuteomeacutetrie trispatiale en compleacutement de

leacutetablissement de la meacutecanique de stabilisation de leacutelectron dans latome dhydrogegravene

preacuteceacutedemment eacutetablie agrave la Reacutefeacuterence [4] leur eacutelaboration deacutepasse le cadre du preacutesent article

30 Conclusion

Cette analyse met en lumiegravere quil nest pas plus difficile de concevoir que leacutenergie

eacutelectromagneacutetique puisse ecirctre constitueacutee de photons localiseacutes au niveau subatomique que de

concevoir que leau soit constitueacutee de moleacutecules localiseacutees au niveau sous-microscopique mecircme

si agrave notre niveau macroscopique nous traitons leacutenergie eacutelectromagneacutetique comme sil sagissait

dimpulsions ondulatoires continue et leau comme sil sagissait dun fluide sans structure interne

La principale conclusion de cet article est cependant que lorsque linterpreacutetation initiale de

Maxwell est mise en correacutelation avec lhypothegravese du photon agrave double particule de Broglie et la

deacuterivation de Marmet en contexte de la geacuteomeacutetrie trispatiale leacutelectromagneacutetisme peut ecirctre enfin

complegravetement harmoniseacute avec la Meacutecanique Quantique tel quanalyseacutee agrave la Reacutefeacuterence [4] soit

une harmonisation qui permet maintenant une premiegravere explication meacutecanique des processus

deacutemission et de dabsorption de photons eacutelectromagneacutetiques par les eacutelectrons tel que deacutecrit

preacuteceacutedemment

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Page 58 Andreacute Michaud

Il faut clairement mettre en perspective aussi que linterpreacutetation initiale de Maxwell est une

conclusion solidement fondeacutee sur leacutetude et lanalyse de donneacutees expeacuterimentales recueillies

anteacuterieurement au cours dexpeacuteriences facilement reproductibles reacutealiseacutees par de nombreux

expeacuterimentalistes ainsi que sur les conclusions et eacutequations quils ont tireacute de ces donneacutees Les

eacutequations eacutelectromagneacutetiques geacuteneacuteralement nommeacutees eacutequations de Maxwell sont en reacutealiteacute un

ensemble deacutequations mutuellement compleacutementaires qui ont eacuteteacute eacutetablies principalement par

Coulomb Gauss Ampegravere et Faraday et dont Maxwell a eacutetabli la coheacuterence mutuelle Lorentz

Biot Savart et quelques autres ont ensuite compleacuteteacute lensemble actuel des eacutequations

eacutelectromagneacutetiques mutuellement compleacutementaires par lanalyse directe dautres donneacutees

provenant dautres expeacuteriences tout aussi faciles agrave reproduire

Intrigueacute de ne pas trouver trace dune expeacuterience confirmant le comportement magneacutetique

quasi-ponctuel de champs magneacutetiques spheacuteriques dont les deux pocircles coiumlncident

geacuteomeacutetriquement ce qui est neacutecessairement la structure magneacutetique de facto des eacutelectrons eacutetant

donneacute leur comportement quasi-ponctuel systeacutematique lors de toutes les expeacuteriences de collision

cet auteur a conccedilu et reacutealiseacute en 1998 une expeacuterience facilement reproductible avec des aimants

magneacutetiseacutes en conseacutequence dont les donneacutees et lanalyse subseacutequente furent publieacutees en 2013

pour que ces donneacutees et lanalyse associeacutees deviennent disponibles dans le milieu eacuteducatif [39]

Un an plus tard S Kotler et al publiegraverent un article deacutecrivant une expeacuterience reacutealiseacutee avec des

eacutelectrons qui confirme directement la preacutediction de lexpeacuterience de 1998 [56]

Par conseacutequent la communauteacute eacuteducative dispose maintenant dun ensemble complet

dexpeacuteriences de deacutemonstration facilement reproductibles au cours de seacuteances pratiques

denseignement en laboratoire allant de la premiegravere expeacuterience eacutelectrique de Coulomb agrave

lexpeacuterience magneacutetique de 1998 pour aider agrave enseigner et confirmer chaque aspect du

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