Livret #2 - Architecture

Architecture

2014

Couverture

Hiroshi SugimotoCaridbean Sea - Uttwil - 1993

Botanique / Mathématique / Géographie Projet L1 / Pierre David / 2011

LittleMore Maquette / Sandra Planchez / 2012

Dreick Projet L3 / Gilles Delalex / 2013

Plug In Plant Concours / Air Liquide / 2014

Camelot Concours / Archmedium / 2013

Contenu

Projet de studio L1Pierre David

2011

BotaniqueMathematiquegeographieExperience spatialeressentir le vide

Le travail que nous avons mené en groupe de janvier à juin 2011 avec Pierre David consistait en une expérimentation des notions de vide et de plein. Ce travail de studio de première année nous a appris à ressentir le vide, à expérimenter l’espace et à travailler sur des concepts qui, à première vue n’ont rien à voir avec l’architecture.

La mise en place de trois scénarios (l’histoire d’un botaniste, d’un mathématicien et d’un géographe) nous a permis d’imaginer un territoire commun au groupe de projet. L’implantation sur ce site imaginaire, résultat de trace d’argile sur du papier, se faisait selon une émotion ressentie, un souvenir réveillé... Pierre David nous a appris à concevoir l’architecture comme une poésie, un conte, un sentiment.

Ces productions personnelles sont le fruit de mes émotions qu’ont su réveiller ces trois personnages...

Le Géographe Le Botaniste

Le Mathématicien

Les trace d’un cube d’argileTrace du ‘dessus’, l’automne, sous la pluie

Les trace d’un cube d’argileTrace du ‘dessous’, une chaude journée d’été

Le botaniste lie un rapport essentiel au territoire, son abris doit donc avoir une relation direct avec le jardin. Placé en début de parcours, il suggère une entrée, des points de vues, et indique l’espace commun de repos.

Le mathématicien se place en consultant. Il fait le lien entre botanique et géographie. Son abris est un passage obligé, un lieu d’échange.

Le géographe est assurément l’homme de la globalité. Il a besoin d’une vision d’ensemble, de points de vues multiples, de grands angles de vue. Placé en fin de parcours, il conclut.

Que ressent-on ? Un ‘9’ apparait au milieu du champs de bataile, comme pour définir la violence des combats qui ont eu lieu, laissant derrière eux une terre écorchée, désertique et mémorielle. Un brouillard persiste, une odeur acre m’envahit, le temps est suspendu. Je suis sur un site de recueillement, la lumière décline, les nuages envahissent le ciel, les oiseaux, derniers vestiges de cette sombre journée tourbillonent dans un ballet incessant.

Les trace d’un cube d’argileTrace du ‘dessous’, un matin d’hiver dégagé

Coupe longitudinale

Coupe transversale °1

Coupe transversale °2

Vue depuis la terrasse vers le Mathématicien et le botaniste

Patrons de cube modifiée utilisés dans la conception des trois espaces dédiés. Il résulte du cube en argile qui a produit les trace précédentes

Thomas MorineauP2 / printemps 2011

Le botaniste lie un rapport essentiel au

territoire, sonabris doit donc avoir une relation direct avec le jardin. Placé en début de parcours, il suggère une entrée, des points de vues, et

indique l’espace commun de repos.

Le géographe est assurément l’homme de la globalité. Il a besoin d’une vision d’ensemble, de points de vue multiples, de grands angles de vue.Placé en fin de parcours il conclut.

Le mathématicien se place en consultant. Il fait le lien entre botanique et géogra-phie. Son abri est un passage obligé, un lieu d’échange.

Thomas Morineau

P2 / printemps 2011

Le botaniste lie un

rapport essentiel au

territoire, son

abris doit donc avoir

une relation direct

avec le jardin. Placé

en début de parcours,

il suggère une entrée,

des points de vues, et

indique l’espace

commun de repos.

Le géographe est

assurément l’homme

de la globalité.

Il a besoin d’une

vision d’ensemble,

de points de vue

multiples, de grands

angles de vue.Placé

en fin de parcours il

conclut.

Le mathématicien se

place en consultant.

Il fait le lien entre

botanique et géogra-

phie. Son abri est un

passage obligé, un

lieu d’échange.

Exercice d’étudeSandra Planchez

Laura Iliana Lapios2012

Littlemore

Travail de maquette Explication d’une mise en place architecturale et d’un concept d’economie

L’exercice présenté ici consiste en une reproduction de maison remarquable, le thême retenu fut celui des ‘Light Houses’.

Nous avons décidé de faire une maquette ‘coupée’ pour mieux apprécier les espaces intérieurs que propose Glenn Murcutt. Le talent de l’architecte se retrouve dans de nombreux éléments de la maison. Simplicité et économie, semblent les maitre-mots de l’architecte.

littlemore houseglenn murcutt 1983-1986 woollahra

Cettemaisonexprimetoutaussibienuneesthétique du détail,etl’intérêtdeGlennMurcuttdansl’adaptationdecomposantsmanufacturés. L’utilisation d’un bardage aluminium de typeminiorb sur le plafond, convient à la fois à la nécessitéde traiter avec une acoustique et un désir d’améliorer lapoétiquedelalumière. Lamaisonreflètesincèrementundésird’établirlelienentrelumière, légèreté, pratique, et habitabilité.

La Littlemore House est la première maison queGlenn Murcutt construit dans un contexte urbain, orientéeversl’Ouestelleestinstalléesuruneparcelleétroitede28mpar5,80m Ladistributionsefaitselonunlongcouloirquidessertlesespacesprivésd’unepartetpiècesdeviedel’autre,placésselonl’orientationsolaire,enbandes parallèles. LespièceshumidesetlescirculationssontdisposéescôtéSud,éclairéesparletoit.Lesalonetlacuisine,s’ouvrantsurlaterrasse,ainsiquelesquatreschambresontdisposés

laura iliana lapios / thomas morineau





Littlemore House - Glenn Murcutt1983-1986

Woollahra, Australie

La Littlemore House est la première maison que Glenn Murcutt construit dans un contexte urbain, orientée vers l’Ouest elle est installée sur une parcelle étroite de 28m par 5,80m et s’ouvre vers un parc public.

orientée vers l’Ouest elle est installée sur une parcelle étroite de 28m par 5,80m et s’ouvre vers un parc public.

Cette maison exprime tout aussi bien une esthétique du détail, et l’intérêt de Glenn Murcutt dans l’adaptation de composants manufacturés. La simplicité de la contruction renforce ce désir de légèreté et d’économie cher à Murcutt.La maison refl ète sincèrement un désir de créer le lien entre lumière, pratique, et habitabilité.





Projet de Studio L3Gilles Delalex

Maha Sawas / Gabriel Topaloff2012

Dreick

A r c h i t e c t u r e des fluidesAnalyse d’un programme complexemise en place d’une strategie mixte

Le travail proposé par Gilles Delalex consistait à utiliser le programme comme seule donnée du projet. La réponse architecturale est donc basée entièrement et uniquement sur l’agencement, la compréhension, et la mise en place d’une demande fonctionnelle précise. La radicalité de la démarche fut poussée à l’extrême, aucun site d’implantation ne fut choisi, le bâtiment devient une machine générée par la matérialisation des flux et la compréhension du programme.

Salle d’accueil des groupes

HALL D’ACCUEIL PRINCIPAL

Zone de consommation

public

PARVIS

ACCÉS PRO

ÉTUDIANTSPUBLIC

SERVICES

ESPACES VERTS ACCESSIBLES

PARVIS

ACCÉS PROFESSIONNELS

ACCÉS EXPLOITATION / MAINTENANCE

TERRASSE

CoWorking OpenSpace

CoWorking Boxes

Cafétéria

Zone d’interactivité

Cuisine Stockage

Centre de ressources

Salles de réunion

Showroom SAS Lab FabLab Espaces de test et d’observation

Laval Virtual Gouvernance

Contrôle

Cont

rôle

inte

rne

Bar / Comptoir

LOCAUX D’EXPERIMENTATION

LOCAUX SPÉCIFIQUES

CANTINE NUMERIQUE

Zones de locaux tertiaires

Hall Principal

CCSTI

Salle d’accueil des groupes

Salle de conférence

Salle Pédagogique

Sanitaire 3/6 ans Salle 3/6 ans

Locaux Techniques

Autres locaux

Salle d’expositionpermanente

Salle d’expositiontemporaire

CCSTI Atelier Stockage

SAS LAB Salle VCR

Zone de locaux tertiaires

Salles de projets

Salles de projets

Salles de stockageSalles de stockage

Atelier

SAS 3+

Salle des serveurs

CLARTE AMPT ESCIN AFPA


HIT


P & I

Salle Info


Salle Info

Salles de stockage


Salle de traitement vidéo

Salles de cours

Hall / Accueillocaux dédiés

PépinièreCCSTI

Légende :

Hall Principal

Espaces distributifs majeurs

Accès

Liaisons fonctionnelles

Proximité / Contiguïté

Cantine Numérique

CCSTI

Locaux d’expérimentation

Locaux Spécifiques

Techniques / Maintenance

Représentation graphique du programme proposé / Production personnelle

R+2

R+1

RdC

Le programme présenté est une Cité de la réalité virtuelle initialement à Laval, projet réel remporté en 2013 par l’agence Muoto, dont Gilles Delalex est le cofondateur. Il s’agit d’un programme trés vaste, réunissant un nombre considérable d’acteurs. Nous avons identifi é trois types d’usagers diff érents, du public, des étudiants et des chercheurs. Cette tripartition fut l’élément déclencheur de notre projet.

Nous avons développé le plan comme une spirale se répartissant dans l’ensemble du bâtiment, l’idée étant que chaque programme spécifi que ai son autonomie, mais également la même confi guration spatiale.Le programme d’origine suppose un espace mutualisé pour l’ensemble des usagers. Nous avons décidé de remettre cette mutualisation en question, et avons proposé des espaces de rencontre deux à deux.

Ainsi, trois zones génèrent trois types d’interactions plus spécifi ques : -Professionnels et Étudiants se rencontrent sur un plateau de co-working, entre salles de cours et pepinière d’entreprise. -Étudiants et Public partagent une zone de ressource et de détente, en lien avec la cafétéria -Professionnels et Public se rencontrent au niveau des salles d’expérimentation, proches des salles d’exposition.

Circulation

Noyaux / Façades

Traversée et perspectives

Ci-dessous : Coupe dans le patio central, les programmes se font face.

Ci-dessus : Coupe dans un couloir de circulation.

AA’

BB

Plan du RdCLes trois entrées se font au trois sommet du

triangle

+2m

+2m

AA’

BB

Répartition des matériaux, vue de l’entréeDétails de la façade, Maquette conceptuelle

Plan du R+1 & R+1.5Les 3 programmes se répartissent le long des arrêtes, les circulations sont traversantes

AA’

BB

+2m

+2m

+2m

Vue vers le patio, Maquette intermédiaireDétails de la structure

Plan du R+2 & R+2.5Les espaces d’interaction se regardent, ils sont

reliés pas une terrasse en partie centrale.

Écran de projection

Espace de Rencontretous public

Vide sur salle d’observation

Vers Salle d’Expérimentation

Boxes de travails

Baies vitrées le long des circulations

Accés à la terrasse depuis la Cafétéria

Espace Détente

Espace de Restauration

Dalles de béton ciré

Mur blanc pour affichage

Tables de travails Co-Working

Espace de Rencontre

Perspective schématique sur les espaces d’interaction et leur environnement.

La terrasse fait le lien entre les programmes,elle est un espace mulitfonctionel, l,’hexagone

ainsi formé est bordé de baies vitrées, les déplacements donnent vie au bâtiment.





Boxes de travails



Espace Détente





Espace de Rencontre





Boxes de travails



Espace Détente





Espace de Rencontre

Faux-plafond technique

Lame de verre poli (40 x 300)

Poutre en béton armé

Baies vitrées coulissantes

Dalle en béton armé

Garde-corpsen métal

Accroche du verre

Ventilation naturelle

12m

40cm

25cm

40cm

Détails constructif,axonométrie sur un angle du triangle.

Lauréats du Concours : Prix AstucieuxThomas Morineau / Ana Rodriguez

2014

Plug In Plant

Concours Air LiquideP r o x i m i t eM o d u l a r t i e

R e e m p l o i

Air Liquide lance en 2013 un concours d’idées et propose à plus de 65 étudiants de concevoir l’usine d’air liquide du futur. Le concours « Rock My Plant », imaginé par l’I-Lab d’Air Liquide est qualifié de « Grand succès » par les membres du jury présidé par Jean Nouvel (Pritzker Price 2008), et composé d’ Anne Asensio (Vice-Présidente du Design Expérience de Dassault Systems), de François Darchis (membre du Comité Exécutif d’Air Liquide en charge de

l’innovation), de Clément Rousseau (Designer industriel et fondateur de l’agence Plan Créatif), d’Olivier Delabroy (Directeur Recherche & Développement du groupe Air Liquide), de Walter Maurer (Directeur du développement de l’activité Grande Industrie du Groupe), et de Bernard Saulnier (Directeur scientifique au sein de la R&D d’ Air Liquide). Le projet « Plug In Plant » est motivé par trois concepts clefs : Proximité / Modularité / Réemplois

P r o x i m i t é Partant du principe qu’a l’horizon 2050, c’est plus de 70% de la population mondiale qui résidera en ville, c’est bien de là que va venir la demande de demain. Air Liquide positionne une partie de ses activités dans le domaine de la santé, la population vieillissant, la ville deviendra un espace économique très important pour le Groupe. Durant notre visite de l’usine Air Liquide de Moissy-Cramayelle, nous avons été interpelé par la place que l’usine occupé sur le site. L’usine était pensé comme une entité horizontale, à l’image de sa chaine de production, autours duquel subsistait un périmètre de sécurité rendant impossible toute construction autours du site d’implantation. Nous avons décidé de remettre cette horizontalité en question.

L’empilement des éléments fonctionnels de l’usine nous permettait de réduire ce périmètre et donc de se rapprocher au plus prés de la demande : La ville.

Cet aspect du projet fut un élément important qui a décidé le jury dans son choix, me confiera à la céremonie de remise des prix, Anne Assensio, co-présidente du jury Diagramme représentant le principe de

Proximité

M o d u l a r i t é

Aujourd’hui présent dans plus de 80 pays, Air Liquide répond à la demande de ses clients de façon efficace et raisonné, la demande locale est facilement quantifiable et identifiée. La standardisation des éléments fonctionnels de l’usine, permet une réponse optimale de la part d’Air Liquide, et une mise en place simplifiée, lié directement à la demande locale.

D’une part la grille tridimensionnelle, d’autre part des modules standardisés… La construction de l’usine devient un jeu d’assemblage dicté principalement par la demande. La taille et la hauteur de la grille déterminant les possibilités productive de l’usine, la taille et le nombre des éléments déterminent son fonctionnement.

PLUG-INPLANT Made possible by Air Liquide & ENSA-PM

Actually Present in 80 COUNTRIES

In 2050

7/10 people will live in the City

300 Air Separation Units200 Hydrogen Producion Units

17 Cogeneration Units

PLUG- IN PLANT

Made-to-Measure PLANT

Basic ModuleStandardContainers

Fitting Up every Mechanical Component If the demand of

gas increases

The PLANT can be increased

to meet the demand

Vertical Set-up

Security Distance

Get closer to the City

1 /Go to the CITY

2 /The GRID is Growing

3 /PLUG - IN



In 2050




PLUG- IN PLANT




gas increases


to meet the demand

Vertical Set-up

Security Distance


1 /Go to the CITY


3 /PLUG - IN



In 2050




PLUG- IN PLANT




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Security Distance


1 /Go to the CITY


3 /PLUG - IN



In 2050




PLUG- IN PLANT




gas increases


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Vertical Set-up

Security Distance


1 /Go to the CITY


3 /PLUG - IN

Ci dessous : Construction de la grille en 3 étapes

R é e m p l o i s Partant du constat que la durée de vie d’une usine s’établit à 25 ans, tandis que celle d’une ossature béton est de plus de 50 ans, la question du réemploi de la structure se pose.Une fois les modules fonctionnels détachés, que reste t’il ? La structure de l’usine est réutilisable, c’est un nouveau terrain de jeu pour les municipalités et les architectes. Des bureaux, des activité et des logements peuvent facilement être pluggé dans cette grille. La question de la réutilisation des bâtiments est à notre sens un sujet d’avenir, Plug In Plant se positionne dans cette logique environnementale en proposant non pas uniquement une usine d’Air Liquide, mais une structure potentiellement évolutive, dictée par des paramètres de terrain et proche d’une réalité architecturale qui nous parait primordiale.Que faire de nos bâtiments sur le long terme ?

Diagramme représentant la vie de la grille, de la construction, jusqu’au recyclage de sa structure en logments

A Production from Ana RODRIGUEZ & Thomas [email protected] [email protected]

+ YEARS

$

YEARS

The

GRID

Life

The OFFICES

The MODULES

The FLOORS

Vertical CIRCULATION

The GRID

Principle SECTION

4 / The Plant is OPERATIONAL

A GARDEN appear

s

ab

ove th

e offi ces m

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The COLUMN is th

e

tal

lest module, re

prese

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spiri

t of th

e PLANT

The HEIG

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rythme

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ESIGN

The MODULES ar

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interco

nnected an

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mbled

sear

ching th

e EFFICIENCY of th

e plant

« Dans le cas de l’astuce, opposé à celui d’esthétique, on voudrait évoquer la notion d’une démarche, pas seulement un résultat sur un petit détails.

Ici, il s’agit véritablement d’être au plus près des gens, d’imaginer une représentation de l’homme au coeur de la

réflexion.»

Anne AsensioRemise des prixs du concour ‘Rock My Plant’



In 2050




PLUG- IN PLANT




gas increases


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Vertical Set-up

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1 /Go to the CITY


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A Production from Ana RODRIGUEZ & Thomas [email protected] [email protected]

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Deux panneaux soumis au jury

Souvenirs de la remise des prix avec Anne Asensio et Gregory Olocco, président de l’ I-Lab d’Air Liquide

Concours étudiantThomas Morineau / Luce Gondran

2013

C a m e l o t

C o n c o u r s Camelot Research and visitor centeRLegendes et architecture

Ce concours organisé par Archmedium en 2013 se positionne sur un programme mixte. Un espace d’exposition lié à la légende du roi Arthur, et un laboratoire de conservation et de restauration d’archives lié au site même du château légendaire, Camelot.

Plan Masse, le bâtiment se positionne autour des vestiges de la table ronde

Plan du RdC : Le bâtiment se compose de trois boites pleines, et de trois boites vides, un

système d’escaliers et de passerelles rejoint les différents espaces.

Notre proposition consiste en une expérimentation de la légende. Rythmée par nombres d’évènements tragiques ou heureux, cette légende du roi Arthur, à la quête du Saint Graal est la sources d’histoires plus mystérieuses et chevaleresques les unes que les autres. Notre réponse architecturale consiste en une mise en volume de ces évènements.

Plan du R+1 : La table d’orientation présente sur le site nous permit de constituer les

différents espaces de notre réponse architecturale.

Autour du bâti se développe une coursive

extèrieure alternative, le visiteur choisi la façon dont il veut découvrir le bâtiment, à l’image

d’Arthur et des choix qu’il a fait durant sa quète du Saint Graal.

Le site proposé correspond, d’après les archéologues au véritable site du château d’Arthur, nous avons souhaité conservé cette identité très forte. D’une part la légende, d’autre part les coutumes du château fort légendaire. Notre réponse architecturale utilise ces codes et crée, grâce aux vestiges de la table ronde, divers espaces, aux multiples sentiments et sensations.

Perspective éclattée du projetLa peau vient recouvrir le bâtiment tout en laissant la passerelle transpercer l’ensemble librement

Vue de nuit du centre de recherche et de visite de Camelot.

Les trous de la peau d’acier oxydée crée des faisceaux de lumière qui donne sont caractère au projet et rappel les meurtières des chateaux d’antan.

Thomas Morineau

[email protected]+33(0)6 88 67 65 25

Livret #2 - Architecture

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