Lettre_societaire_072011_cr29

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Valoriser les initiatives locales Actu édito Un engagement territorial affirmé... et des preuves Nous vivons une époque où l’acces- sibilité en temps réel des événements planétaires et leur traitement plus ou moins bien commenté par les médias induit une sensation de tourbillon, de superficiel… comme si l’écume était plus importante que la vague qui la porte Notre Crédit Agricole du Finistère évolue au quotidien dans ce contexte et forcément s’y adapte mais son his- toire, ses fondamentaux, son orga- nisation, sa responsabilité à l’égard du territoire, et des générations futures sont autant de garde-fous qui font et feront qu’en matière de stratégie d’entreprise les choses ne se décrètent pas mais se construisent d’abord et se prouvent ensuite. Au Crédit Agricole du Finistère nous veillons à toujours baser notre com- munication sur des preuves : • des preuves que chaque utilisation de votre carte sociétaire, alimente à hauteur de 2 centimes d’un fonds reversé à des causes solidaires (~ 100 000 en 2010) • des preuves que les initiatives lo- cales continuent de trouver auprès du Crédit Agricole un soutien solide et fidèle : c’est vrai des Vieilles Charrues depuis 20 ans ; c’est vrai des fêtes « Terre et Mer » en pays de Morlaix dont nous soutenons la 1 re édition ; c’est vrai aussi de tous les projets associatifs primés dans le cadre des Trophées de la Vie Locale • des preuves par l’activité de nos 2 Points Passerelle et de notre fonds IDECA 29 de l’utilité de ces dispo- sitifs. Ce ne sont que quelques exemples mais le site Breizh Banque, que nous avons sensiblement enrichi, sera désormais le média que nous pri- vilégierons pour vous apporter les preuves et témoignages qui conti- nueront toujours d’étayer nos propos. Jean Le Vourch, Président de la Caisse Régionale du Finistère. sociétaire VOTRE LETTRE D'INFORMATION N O 4 - JUILLET 2011 FINISTÈRE INTERNET Kwixo, la solution de paiement sécurisé Kwixo, la solution de paiement sécurisée, choisie par le Crédit Agricole et LCL permet : • de payer sur internet, • de transférer de l’argent. Régler des achats en ligne sans dé- voiler ses coordonnées bancaires Avec Kwixo, un simple clic suffit pour valider une commande, en toute sécu- rité, auprès des sites marchands par- tenaires. Certains sites proposent également des services innovants comme le Paiement après réception : vous attendez alors tranquillement la livraison de votre commande et vous ne payez votre commande que si elle est conforme à vos attentes ! Envoyer aussi de l’argent en toute simplicité Grâce à Kwixo, vous pouvez aussi envoyer ou demander de l’argent à vos proches simplement. Vous n’avez plus besoin de connaître leurs coor- données bancaires : leur e-mail ou leur n O de mobile suffit, quelle que soit leur banque, qu’ils soient déjà inscrits à Kwixo ou non. Rembourser un restaurant ou organiser un cadeau commun devient encore plus simple grâce au site mobile et aux applications pour smartphones (iPhone, Android, Windows Phone 7…). Kwixo est un service de la société FIA- NET Europe. INTERNET Du nouveau sur www.breizh-banque.com ! Breizh Banque fait peau neuve et devient le site du Crédit Agricole en Bretagne : l’espace de communication institutionnelle et événementielle des caisses régionales bretonnes et du Crédit Agricole en Bretagne. Une renaissance qui se fait en 3 étapes (avril, juin et septembre) pour permettre aux internautes de découvrir les nouvelles rubriques et de prendre des habitudes de navigation au sein de cet espace d’information et d’échange. Avec un espace dédié à nos sociétaires, le site livre un formidable outil d’animation du sociétariat sur la région. Une manière de prouver que nous sommes une banque vraiment différente ! www.kwixo.com

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Valoriser les initiatives locales

Actu

éditoUn engagement territorial affirmé... et des preuves

Nous vivons une époque où l’acces-sibilité en temps réel des événements planétaires et leur traitement plus ou moins bien commenté par les médias induit une sensation de tourbillon, de superficiel… comme si l’écume était plus importante que la vague qui la porte Notre Crédit Agricole du Finistère évolue au quotidien dans ce contexte et forcément s’y adapte mais son his-toire, ses fondamentaux, son orga-nisation, sa responsabilité à l’égard du territoire, et des générations futures sont autant de garde-fous qui font et feront qu’en matière de stratégie d’entreprise les choses ne se décrètent pas mais se construisent d’abord et se prouvent ensuite. Au Crédit Agricole du Finistère nous veillons à toujours baser notre com-munication sur des preuves :• des preuves que chaque utilisation

de votre carte sociétaire, alimente à hauteur de 2 centimes d’un fonds reversé à des causes solidaires (~ 100 000 € en 2010)

• des preuves que les initiatives lo-cales continuent de trouver auprès du Crédit Agricole un soutien solide et fidèle :c’est vrai des Vieilles Charrues depuis 20 ans ; c’est vrai des fêtes « Terre et Mer » en pays de Morlaix dont nous soutenons la 1re édition ;c’est vrai aussi de tous les projets associatifs primés dans le cadre des Trophées de la Vie Locale

• des preuves par l’activité de nos 2Points Passerelle et de notre fonds IDECA 29 de l’utilité de ces dispo-sitifs.

Ce ne sont que quelques exemples mais le site Breizh Banque, que nous avons sensiblement enrichi, sera désormais le média que nous pri-vilégierons pour vous apporter les preuves et témoignages qui conti-nueront toujours d’étayer nos propos.

Jean Le Vourch, Président de la Caisse Régionale du Finistère.

sociétaireVOTRE LETTRE D'INFORMATION

NO 4 - JUILLET 2011

FINISTÈRE

INTERNET

Kwixo, la solution de paiement sécurisé Kwixo, la solution de paiement sécurisée, choisie par le Crédit Agricole et LCL permet :• de payer sur internet,• de transférer de l’argent.

Régler des achats en ligne sans dé-voiler ses coordonnées bancairesAvec Kwixo, un simple clic suffit pour valider une commande, en toute sécu-rité, auprès des sites marchands par-tenaires. Certains sites proposent également des services innovants comme le Paiement après réception :vous attendez alors tranquillement la livraison de votre commande et vous ne payez votre commande que si elle est conforme à vos attentes !

Envoyer aussi de l’argent en toute simplicitéGrâce à Kwixo, vous pouvez aussi envoyer ou demander de l’argent à vos proches simplement. Vous n’avez plus besoin de connaître leurs coor-données bancaires : leur e-mail ou leur nO de mobile suffit, quelle que soit leur banque, qu’ils soient déjà inscrits à Kwixo ou non.Rembourser un restaurant ou organiser un cadeau commun devient encore plus simple grâce au site mobile et aux applications pour smartphones (iPhone, Android, Windows Phone 7…).Kwixo est un service de la société FIA-NET Europe.

INTERNET

Du nouveau sur www.breizh-banque.com !Breizh Banque fait peau neuve et devient le site du Crédit Agricole en Bretagne :l’espace de communication institutionnelle et événementielle des caisses régionales bretonnes et du Crédit Agricole en Bretagne. Une renaissance qui se fait en 3 étapes (avril, juin et septembre) pour permettre aux internautes de découvrir les nouvelles rubriques et de prendre des habitudes de navigation au sein de cet espace d’information et d’échange. Avec un espace dédié à nos sociétaires, le site livre un formidable outil d’animation du sociétariat sur la région. Une manière de prouver que nous sommes une banque vraiment différente !

www.kwixo.com

Le modèLe CoopéRAtif A démontRé sA RésistAnCeOrganisé autour de 3 tables rondes, les coopérateurs sont venus témoigner de leur expérience en attestant de la résis-tance du modèle coopératif.

1re table ronde : des valeurs et des hommes. Un modèle social européen.

La coopération, est aujourd’hui le modèle qui tente de maintenir un équilibre entre les intérêts de l’entreprise et celui des salariés : un modèle d’entreprise à visage humain. L’une des forces du mouvement coopératif, est incontestablement l’an-crage territorial. C’est ce qu’ont expliqué les intervenants de cette première table ronde :Josu Ugarte, Président du Groupe Mondragon International, (1er Groupe coopératif mondial avec 85 000 salariés) a expliqué avoir réussi à sortir de la crise en faisant accepter l’idée d’une réduction des salaires aux collaborateurs des entreprises du Groupe ayant ren-contré des difficultés. Cette baisse votée par l’ensemble des salariés pouvait aller jusqu’à 20%. D’autre part, la mobilité des salariés, forte entre les entreprises du Groupe, nous permet également de maintenir globalement les emplois au sein des entreprises en fonction de l’acti-vité (Bâtiment, ascenseurs, automobiles, électroménager,…). Résultat : un taux de chômage à 8% au Pays Basque contre 20,5% en Espagne.

Alain sabourin, PDG de la Scop des aciéries de Ploërmel a expliqué qu’après un dépôt de bilan en octobre 2004 l’entreprise a redémarré en juillet 2005 sous forme de SCOP grâce aux sala-riés sociétaires (55% de l’effectif est actionnaire). L’homme est au centre du dispositif. Pour que cela marche il faut une équipe bien complémentaire, que les salariés aient à cœur de porter leur entreprise et son projet d’activité. Au-jourd’hui, cela fonctionne plutôt bien, nous avons un projet d’agrandissement de 12 millions d’e.

Guillaume Rousseau, Directeur Général du Crédit Agricole d’Ille-et-Vilaine et Secrétaire Général du Crédit Agricole en Bretagne se félicite de porter haut les valeurs humaines dans l’entreprise en témoigne l’emploi de plus de 6% de personnes handicapées alors que l’obligation légale est de 5%. Le Crédit Agricole c’est aussi le double réseau : nous développons des initiatives plus économiques avec des élus, reposant sur la double compétence des salariés et des administrateurs. Au Crédit Agricole, on propose le soutien des « points passe-relles » qui permet de remettre sur les rails des personnes rencontrant des difficultés financières liées à des accidents de la vie. Enfin, les banques ont aussi intérêt à ce que les vitalités des territoires demeurent intactes. On doit défendre nos terri-toires avec un maillage de proximité et maintenir une présence.

L’Europe des coopératives fait son colloque à Rennes

COLLOQUE

Le Crédit Agricole en Bretagne a accueilli, le 24 mai, à Rennes

le 5e colloque Perspectives mutualistes du Crédit Agricole. Éco-

nomistes, dirigeants d’entreprises, représentants territoriaux,

universitaires, administrateurs et salariés d’organisations

coopératives, chacun apportait sa réponse à cette question : les

entreprises coopératives sont-elles un atout pour l’Europe ?

Les valeurs du mouvement coopératif sont anciennes, rappelait en substance élie Cohen, économiste membre depuis 1997 du Conseil d’analyse économique auprès du Premier ministre.Il a souligné également la primauté de l’homme sur le capital, le fonction-nement démocratique sur le principe « un homme, une voix », l’ancrage territorial, la solidarité, la satisfaction des adhérents au moindre coût : « desprincipes anciens mais tellement modernes ».

Un modèlE qUi s’AffirmE à noUveAUMalmenée par plusieurs décennies de capitalisme triomphant, l’entreprise co-opérative reprend progressivement sa place parmi des acteurs économiques. A cela trois raisons : la première c’est la crise financière pointant les dangers d’une économie « hors sol » et la maxi-misation du profit pour les actionnaires. La seconde : le développement à tout crin d’une logique commerciale sans aucune éthique. Et enfin, le recours sans maîtrise aux ressources de la terre d’où l’exigence d’une plus grande sobriété et d’un comportement aujourd’hui plus responsable à l’égard de la planète. Ces trois raisons sont le point de départ d’un retour à de vraies valeurs que l’on avait perdues de vue.

Élie Cohen, grand témoin du Colloque.

2e table ronde : Développement écono-mique et lien au territoire. Quelle place pour l’entreprise coopérative dans la compétition mondiale ?

Le modèle coopératif est aussi un modèle efficace. Les entreprises coopératives sont elles aussi sur des marchés concur-rentiels.

Guy dartois, Président de la Cooperl Arc Atlantique a rappelé la réalité écono-mique des entreprises coopératives qui bataillent sur un même marché concur-rentiel ou la notion de taille critique prend tout son sens. Assurer la pérennité de l’entreprise, le revenu des salariés et des adhérents coopérateurs, obligent à s’exposer à d’autres marchés, notam-ment à l’export pour 35 % de la pro-duction. Constatant que ces dernières années, la rentabilité du secteur viande ne cesse de se dégrader, la volatilité du prix des matières premières et les distor-sions concurrence, y compris en Europe, nous pénalisent fortement.Sur le marché de la distribution, Jean leroyer (Administrateur Système U. Directeur du Super U de Nantes d’Alby) fait un autre constat : le commerce associé connaît la meilleure progression annuelle par rapport aux commerces tra-ditionnels. Les savoir-faire sont nombreux et mutualisés à travers l’implication des associés : ils sont acteurs dans un système démocratique : « un homme une voix ». D’autre part les clients et les fournisseurs sont géographiquement proches de nos surfaces de vente. Aujourd’hui nous tra-vaillons pour près de 50% des produits avec des PME françaises (alimentaire : + de 80%, soit près de 5 000 produits).

Pour Yann Regnard, Directeur du mas-ter option « management des entreprises mutualistes et coopératives », même si la force du modèle coopératif n’est pas à démontrer, il regrette qu’il ne soit pas plus enseigné dans les universités fran-çaises. Il regrette également qu’elles ne soient pas plus « communicantes » sur les valeurs qu’elles défendent. Elles sont avant-gardistes dans le domaine de la responsabilité sociale, de lien au terri-toire et de développement durable. On le voit aujourd’hui, elles sont copiées et imitées. Ces valeurs sont tendances, c’est un mouvement de fond. Ceci étant, on peut se poser la question de l’intérêt actuel à communiquer sur ces valeurs que tout le monde reprend. N’est-il pas plus différenciant de valoriser un statut de coopérateur : il ne s’improvise pas et ne peut pas se copier ! »

3e table ronde : L’entreprise coopérative, quelle chance pour demain ?

Selon dominique lefebvre, Président de la Fédération Nationale du Crédit Agricole les perspectives de développement sont réelles. Les banques coopératives ont mieux passé la crise. Aujourd’hui nous avons dans les banques à nous adapter aux normes de Bale III en matière de politique de risque. Pour cela, nous souhaitons nous appuyer sur nos fonds propres sans avoir recours aux marchés. L’autre aspect concerne la liquidité. Les débats sont en cours et nous sommes très attentifs. Aujourd’hui, les dirigeants du Crédit Agricole font du travail de lobbying à Bruxelles au profit des clients afin d’œuvrer pour maintenir un système vertueux d’accès aux crédits. Le modèle des banques coopératives est très moderne puisqu’il repose sur une association de personnes avec un intérêt commun et vertueux. C’est une vraie chance pour demain.

Christian talgorn, Président du Crédit Agricole en Bretagne assure que l’Europe n’est pas hostile au statut coopératif contrairement aux idées reçues. Le statut coopératif est parfaitement adapté à l’Eu-rope et à son devenir en plaçant l’homme au cœur de son action. L’association des Banques Coopératives Européennes (AEBC) participe aux débats et aux travaux de lobbying pour faire entendre la voix du système coopératif. En Bretagne aussi, la coopération est une réalité, les Caisses bretonnes de Crédit Agricole sont entrées dans une phase de coopération renforcée et la pertinence du modèle fait aujourd’hui des émules puisque près de 360 coopéra-tions sont engagées en France. Les bretons ont tracé la voix. Enfin, l’année prochaine, 2012 sera l’année de la Coopération des Nations Unies : le terme coopératif atteint une nouvelle étape de son Histoire.

Alain even, Président du CESER (Conseil Economique, social et environnemental Régional) de Bretagne pense quant à lui que les grandes coopératives agri-coles doivent redéfinir leurs liens avec les adhérents afin de ne pas échapper à leurs coopérateurs alors qu’elles rentrent dans des stratégies internationales avec leurs filiales. L’avenir du mutualisme peut rebondir s’il redéfinit ses relations avec ses coopérateurs, recréer du lien. Aujourd’hui, les éléments laissent à penser que l’avenir fera la part belle au mutua-lisme. En 2011, l’économie sociale et solidaire représente 16-17% d’emplois en Bretagne, force est de constater que le monde coopératif n’est pas marginal. Il faudra compter avec lui demain.

michel Barnier, député et commis-saire européen au Marché intérieur et aux Services a rappelé que l’Europe a pour ambition de construire une offre de croissance qui prenne pleinement la dimension sociale et humaine du marché intérieur. L’Europe doit être au service d’une économie sociale de marché compétitive. Il a indiqué également travailler pour que l’exi-gence humaine et sociétale prenne le pas sur la logique de profit finan-cier. En ce sens le modèle coopératif est intéressant et offre de bonnes perspectives de résistance face aux crises. Aujourd’hui, les débats en cours à Bruxelles ont pour objectif de remettre les acteurs financiers au service de l’économie réelle afin de le rendre plus solide. Il faut veiller à ce que les entreprises européennes fassent preuve de plus de respon-sabilité tant vis-à-vis de leur sala-riés comme le font les entreprises coopératives, que vis-à-vis de leur fournisseurs et de leurs actionnaires et plus généralement vis-à-vis de la société.

Bulletin d’information destiné aux Sociétaires de la Caisse du Crédit Agricole du Finistère / Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel du Finistère / société coopérative à capital variable, agréée en tant qu’établissement de crédit Siège social : 7 route du Loch - 29555 Quimper cedex 9. 778 134 601 RCS Quimper / Société de courtage d’assurance, immatriculée au registre des intermédiaires en assurance sous le no 07.022.973 / Comité de Rédaction : C.R. des Côtes-d’Armor : Marie-Noëlle Olivier – C.R. du Finistère : Paul Huon – C.R. d’Ille-et-Vilaine : Sylvie Rousseau – C.R. du Morbihan : Jean-Pierre Porcher – CA en Bretagne : Jean-Marie Malherbe, Philippe Moisan / Directeur de la publication : Jack Bouin.

FESTIVAL

Les Vieilles Charrues fêtent leurs 20 ans du 14 au 17 juillet Une initiative lancée par un groupe de copains en centre finistère il y a 20 ans est deve-nue aujourd’hui un formidable levier culturel au service du développement économique de la région.

Ce festival a grandi dans tous les sens du terme mais en gardant les pieds sur terre, fédérant le tissu associatif et tirant vers le haut l’en-semble du secteur au bénéfice de toute la population locale. La fidé-lité du Crédit Agricole envers cet événement ne s’explique pas autre-ment que par une communauté de vue et des principes d’action partagés.

SOLIDARITÉ

Le Crédit Agricole du Finistère et Mondial Pupilles main dans la main !La Caisse régionale du Finistère a introduit dans son partenariat avec le Mondial Pupilles une nouvelle dimen-sion de solidarité grâce à un projet pédagogique associant les jeunes foot-balleurs du Mondial Pupilles : chaque but marqué a ainsi entraîné le verse- ment de 5 f par le Crédit Agricole du Finistère à l’ONG « Action contre la faim », qui s’est vue créditée grâce au talent des jeunes buteurs d’une dota-tion de 3 360 f.

IDECA29

Un bon coup de pouce !La société DEEV Interactions, a reçu un soutien du fonds IDECA29 qui va lui permettre d’accélérer son développement marketing et commercial. DEEV Interactions, installée dans l’incubateur de Télécom Bretagne, sur le campus de Brest, est spécialisée dans la conception, le design et l’audit d’interfaces innovantes. L’entreprise propose une démarche innovante de conception, prototypage et évaluation de dispositifs interactifs innovants (tables et tablettes tactiles, environnements 3D, espaces collaboratifs dédiés, etc.). L’entreprise s’appuie sur les travaux de recherche menés à Télécom Bretagne dans le domaine de l’interaction homme-machine et l’évaluation des usages et des comportements.

TROPHÉES DE LA VIE LOCALE

Un grand succès !

La deuxième édition des Trophées de la Vie Locale s’est achevée le 15 avril à Brest par la remise des Trophées départementaux. 600 personnes ont partagé avec les lauréats un moment d’intense émotion qui a consacré le succès de cette seconde édition, marquée par 484 participants, 298 lauréats locaux et 9 prix dépar-tementaux, pour un total de 100 000 e.