Les triangles du feu d’Aristote. Voici que, me promenant, je croise ces triangles, sous forme dissimulées plus ou moins dans des logos d’entreprise, ou de chroniques, ou de sectes ( nous l’admetrons je l’espère ) ou de produits commerciaux, ou du fameux billet de banque américain et du show présidentiel de 2017 à Paris. Sur ces deux liens … http://nilsamar.blogspot.com/2013/05/triangle.html https://fr.wikipedia.org/wiki/Quatre_%C3%A9l%C3%A9ments

On voit le triangle du Feu à l’extrême droite de cette gravure, en face.

… on comprendra la profondeur historique de l’usage de la forme triangulaire, depuis les premières civilisations trés organisées, en passant par l’exercice frénétique de Descartes pour son hypothèse d’une géométrie algébrique avant qu’il ne s’enfonce lui même dans des tourbillons sans fin bûtant sur l’astrophysique que Gallilée et Copernic puis Newton et Einstein déceleront dans l’intimité du calcule infinitécimal, et des équations

qu’Einstein lui même ne pouvait manipuler ( faisant appel à des mathématiciens autour des années 1920 ). Également, Thalès et Pithagore, sont les pionniers d’une géométrie du triangle, c’est évident, mais moins, lorsque, somme toute, l’usage est trés intensives dans les écoles pour adolescents de onze – douze ans jusqu’à dix sept ou dix huit, ou vingt ans. Les adolescents manquent d’autonomie, et subissent autant ce manque d’autonomie que l’assujetissement à des programmes mécaniques et qui se vident de sens, tant les sérénades ne manquent pas à l’issues d’une caisse de résonnance qu’est le chômage et sa phobie, et plus encore, le règne du Chiffre socio- professionnellement. Dans les quatre triangles d’Aristote, il y a quatre éléments, Terre, Eau, Air, et Feu, qui sont exactement les même qu’en graphologie hippocratique, et pour ne pas dire, en morpho- graphologie. Seul les deux triangles barrés dans cette caligraphie un peu shématique de ce site que j’ai su trouvé sur Internet ( cf ; url ci dessus ), ne représentent pas le triangle dans son rayonnement solaire pur, mais voilé, coupé, un peu comme le grand Autre barré ( ou manque dans l’Autre ) en psychanalyse qui n’a rien à voir avec l’Autre dans la psychanalyse, et son usage au quotidien. Seul, le triangle du feu représente, à mon sens l’élément que lorsqu’on le touche du doigt on enclenche un frotement destructeur, à la différence du contact avec l’eau. Pour l’air, on le respire en permanence; et pour la terre, parfois, nous voguons sur ces cités hors – sols comme le dirait Nicolas Hulot. La terre c’est tout de même le fruit dont émane le fruit, fruit qu’est la planète Terre, fille de la Création en la création, dirait l’évangile chrétien. Mais il me semble réellement non négligeable de constater que dans tous ces triangles camoufflés il n’y a en rien une approche de ma part paranoïaque, mais bien consciemment une attitude de marketing stratégique cognitive qui cependant, ne montre pas la raison pour laquelle la racine triangulaire est l’échaffeau irréductible à une action de performance sociale. Il semblerait que le triangle construit numériquement a une pointe qui lorqu’elle est zoomée de plus en plus est toujours égale à elle même, ce qui n’est absolument pas le cas lorsque tout triangle est dessiné même par des machines. Ce n’est qu’en l’espace dimentionnel numérique que la pointe du triangle est le plus affutée jusqu’à un degré mathématico numérique infinie, en deça de l’espace entre l’électron et le noyau atomique ; de la même façon qu’un triangle peut être définit par un énoncé mathématique pur, ce même énoncé ne peut se défaire de cette pointe infiniement aiguisée, ce qui suppose que l’espace dimentionnel mathématico numérique possède, détient, le seul triangle du feu qui donnerait un feu le plus brûlant qui soit. J’encourage, les éducateurs, les coach, les psychologues, les psychanalystes, les épistémologues à prévenir de ce fléau de l’usage d’un logo numériquement créé à la base par des actions manuelles de graphistes ne se rendant absolument pas compte de la

dangerosité que représente cet objet qui autrefois dessiné manuellement est suplanté par le tracé numérique qui est celui d’un “fractal le plus simple dans l’une de ses premières trajectoires mono-cursive ou mono-linéaire”. Je ne trouverais seul pas assez le terme exacte à ce type de fractal, mais par contre, je dirais qu’il est d’un type trés trés primitif. C’est donc le premier fractal, l’ancêtre du fractal, celui qui à l’époque de la mise en forme des métaux était toujours tracé, déssiné, manuellement. Ce n’est qu’avec une informatique de super-calculateurs sous linux qu’on trouvera des pentes infiniement petites d’échelles en sous échelles, en passant par le tracé esthétisé en carte postale, de fractales surtout dans les années 1990. On peut penser au “flocons de neiges”, à “l’ensemble Julia”, etc, pour les plus fameux. Il y a tout à craindre d’un tel objet qui n’est dans sa partie qu’une pointe, car cette pointe est ce qui n’a de représentation dans la subjectivité humaine, un peu comme une agression à la subjectivation. La géométrisation, je l’avais déjà écrit, comme les jeux de shématisation en psychologies, telles que les sciences cognitives et les Programme Neuro-linguistiques sont des fers de lances à celle ci ; la désubjectivation des montées en puissance de métiers non nettement délimités, définis, comme les métiers d’Internet ( on dit “les métiers du web” ), ou comme les métiers du Digital Statistic, de Data Analyst, etc, sont les symptômes d’une société qui ne jure qu’en une technicité de la performance cognitivo – comportementale louée aux stimulis incessant que représente un bombardement d’informations électro – lumineuses ou pigmento – numériques des écrans aux pages de magazines distribués même gratuitement dans les géants du fast food. Or, c’est dans un seul tableau de Jérôme Bosch que l’on remarque trois ensembles concentriques s’emboitant les uns dans les autres, partant d’un rond central paisible habité d’un oiseaux qui se tourne en lui même comme dans une introspection réflexive ou un auto érotisme, ou un recentrage juste, tout simplement. Puis ce disque est entouré d’un Monde qui tangue entre paix et inquiétudes, bienveillances et vigilances. Puis enfin ce second domaine est lui même entouré d’un Océan, une sorte de Léviathan si sombre, si obscure que pourtant on dissimule des créatures démoniaques multiples sans cesse en mouvement, aux aguets, guettant toutes arrivées en leur champ acquin, visqueux. On comprendra que l’on dérive d’un recentrage maximal et homéostatiquement clos vers un décentrage éloignement de la subjectivité de l’Eros, de l’amour de soi et de l’autre, vers son infiniment état de décentrement que représentent les grandes échelles, la géométrie variable, le pluri paramétrage matricielle que l’on recoupe à la question des Graphs en mathématiques ; il est facile de multi paramétrer de nouvelles équations au service d’un Libéralisme du Chiffre. Ainsi, voici les logos … ci dessous … concernant le logo du triangle du feu d’Aristote, mais voici que le C.N.F.DI lui échappe au triangle du feu, présentant une pyramide

coupée en tranche, ce qui est toute la différence, car l’unité est désossée en une entité réunifiée par une aération qui se comprend nettement par l’élément AIR totalement symétrique au triangle de l’air chez Aristote.

Le C N F D I est donc une entreprise au tempérament sanguin tonique brachi – cormique Non émotif de type Actif et de la Primarité. A leurs interactions, c’est bien cela. Et l’usage d’un graphisme, d’une typographie et de manuels trés ergonomiques, on ne s’y trompe pas ! L ‘ AIR est l’élément dominant qui me convient trés bien. En première ligne un groupe géo – politique trés trés trés trés douteux … et trés friqué. Se félicitant au sein de la salle Dusanne à l’ENS de Paris. Ci dessous voici une série de logo d’entreprises présentant le dessin d’un triangle plus ou moins dissimulé … Pour ne pas faire de leur publicité j’ai barré ces triangles d’autant que nous passerions du triangle du feu au triangle de l’air. Nous verrons par la suite, qu’ à partir de la plasticité mathématique que présente l’ouvrage intitulé “ Propriétés géométriques exceptionnelles du triangle” de François Lobit ( Ed PubliBook, L’éditeur de tous les talents; 2015 ), à quel point le triangle est un objet mathématique plus encore qu’une fixité en soi.

et puis … la société de consommation …

Le centre d’équithérapie, c’est pas la grande forme … En regard à leur réactivité douteuse, agitée, aggressive, lors d’un échange de ma part auprès d’eux sur les conditions pour devenir équithérapeutes extrêmement confuses, contradictoires sur Internet.

Sans omettre au sein de l’émission française Touche Pas à mon poste …

Les jeux vidéos, tel que l’émission Flash Talk en parle … Voici un jeu vidéo en particulier, et un commentaire de ma part sur facebook …

Et une secte …

Et est ce que le registre des bords du réel Réel Symbolique Imaginaire ne mettait pas en cause L’Ecole de la Cause Freudienne en son épicentre par une certaine redondance, ou plutôt bien plus, une banalisation à outrance envers un public qui n’a jamais suivit une quelconque psychanalyse dans son Ethos ?

Et le fameux billet de banque américain qui est dans le ONE irréductible comme nombre entier … La super puissance mondiale !

Et cette prestation de Macron douteuse tant elle est originale …

Sans mettre de côté la pression, un peu comme en thermodynamique, où la structure géométrique moléculaire change en permanence …

Sachant que Négociateur Immobilier c’est pas la grande classe … ces temps ci.

Le monde du Web comme si c’était un monde rond, sans vices, de Winners ou de Warriors ; comme si le monde numérique ne faisait pas de Paris Sciences et Lettres une plateforme symétriquement existante à elle même.

et le vide substentiel de l’intelligentzia télévisuel …

On comprendra que l’usage du triangle est corrolaire à une modernisation ; il semblerait que morphopsychologiquement la question de la subjectivité, de la nostalgie, des réminiscences propres élastiquement à la Secondarité soit déviée, exclue par une Primarité – masque, fausse car carrément insoutenable. Ainsi, le tempéramment trés organisé d’un trés bon gestionnaire sans rancune et ultra managerieux plus que persévérant le Bilieu et la pôlarité Vénus, tout dans la diplomatie, l’arrangement, la consensualité, la séduction, la douceur semblent monter en puissance. La pôlarité Mars s’épuise dans le stimulus comportementaliste en huit clos dans une stase sociale, de Gamer, désuète. Le Bilieu correspondant à l’élément graphologique d’une écriture Feu, le Sanguin à l’Air, le Lymphatique, à l’Eau, le Nerveu à la Terre. Nous entrons dans une société où l’écriture de la modernité, sera trés accérée, cruciforme, anguleuse, coupante, nette, trés rapide, fine sans être massuée, comme la lame d’une boite de conserve géante. C’est alors qu’on peut évoquer l’environnement intérieur du triangle sur le plan de sa construction mathématique, et l’environnement extérieur ou externe de celui ci, s’y rapportant. Effectivement dans l’ouvrage de Lobit ( 2015, Ed . PubliBook; “Propriétés géométriques exceptionnelles du triangle” ) on peut saisir que l’algèbre vectorielle, la trigonométrie algébrique, les problèmes d’extremum, maxima, et les fonctions logico mathématiques, définissent en permanence l’alternance de cet environnement : tanto à l’intérieur du triangle tanto le jouxtant par un cercle à un environnement externe au triangle. “Le théorème de Désargues”, est particulièrement illustratif. En effet, deux triangles s’emboitent à condition que le triangle interne ait les sommets qui suivent les droites médianes propres au triangle occupé de l’intérieur par le premier triangle. Et bien, quelque soit la hauteur des sommets du triangle interieur sur les médianes, les segments – côtés des deux triangles se faisant face ( ou se faisant non adjacents ) sans se recouper brutalement, si je puis dire, se prolongent deux à deux en des points de recoupements qui suivent une droite extérieure ! Nous avons donc trois groupes de deux segements propres aux deux triangles emboités l’un dans l’autre, se prolongeant, et qui se recoupent forcément, mais en des points appartenant tous à une même droite : cela veut dire que quelque soit la hauteur des sommets du triangle intérieur, du moment que ces sommets suivent les droites médianes du triangle supérieur en taille, on a le magnifique tracé d’une magnifique droite appartenant à un environnement qui est le plus extérieur du monde au deux triangles s’emboitant comme dans une scène amoureuse. Je veux dire par là que les intrications denses entre une algèbre vectorielle, une trigonométrie, etc … définissent le triangle comme un “objet dynamique intrinsèquement” ; il est à l’opposé de ses représentations logo –graphiques fixes, mais qui pour autant transportent en elles mêmes

de la par leur aspect primaire, archaïque, ou disons, trés simplifiée, un contenant logo-graphique et un contenu – INVISIBLE – mathématique. Pour conclure, le triangle a fasciné dans l’Histoire des sciences avec un H majuscule, Héroïque, depuis Aristote, alors que dans “l’histoire des sciences” avec un “h minuscule”, le triangle est bien plus complexe dans sa matrice algébrico-trigonométrique mathématique au demeurant fort complexe, et réalise en lui même un exploit, celui de nous parvenir à nous, enfin plus précisément à des professionnels du Logo d’entreprise. Ce pourquoi j’en parle ici, c’est bien pour dire que la fameuse question du triangle du feu est diluée dans la mathématique, même, de nos jours, numériques, c’est à dire, une mathématique du triangle numériquement matérielle, numériquement digitalisée, et numériquement aux sommets infiniment pointus, puisqu’auparavant, lorsque l’ordinateur numérique – électronique n’existait pas, le tracé était encore trés grossier, sauf en changeant d’échelles, c’est à dire, en “zoomant” : la fonction zoom allait naitre probablement ; et ce fut le cas. De nos jours elle est inébranlable , et décèle une “nouvelle infinie numérique”. Si vous emboitez les uns à coté des autres, des cercles, pris en sandwich entre deux droites qui se recoupent en un point, à mesure que vous grossissez, en faisant un détail permanent vers le point de recoupement des deux droites, vous obtiendrez toujours la même et redondante scène qui n’aura rien de palpitant, je vous l’assure : des cercles qui font “la queue le le” en se réduisant de tailles en tailles dans le cône même de ces deux droites. Et bien, ici, l’ordinateur va plus loin que le tracé au crayon ! L’infinie est à l’intérieur de nos ordinateurs qui ont une Unité Arithmétique Logique ( UAL ) trés puissante de microprocesseurs surpuissants dont les systèmes d’exploitation Linux sont les plus aptes à exploiter, pour ce qui est des super – calculateurs. Quels rapports à la graphologie et morphopsychologie ? En apparence, au premier abord aucun, me diriez vous. Et pourtant … La figure du triangle, c’est la figure des quatre éléments, donc de la ROSE DE SAINT MORAND dans la caractérologie – graphologique. On peut ici sur - conclure sur ceci : Le seul élément destructeur est le feu, à la différence des trois autres. Mais le feu est naissance aussi : par là où commence le Big Bang, non pas l’instant Zéro, ce qui ne voudrait rien dire du tout, mais où 10 puissance Moins 43 secondes suffisent dans cette fraction la plus petite de temps que nous connaissons pour produire une énergie colossale et pour notre esprit, forcément infinie, à l’origine du torrent de particules qui naitrons trés trés vite par la suite. L’élément Feu est la planète SOLEIL dans la Rose de Saint Morand : qui correspond aux tempéraments BILIEU et SANGUIN. L’Homme est à l’origine, d’un tempérament – mixte de ce type. Il s’en suivra dans son évolution des tempéraments hippocratiques suivant :

1 er : “La terre” et “L’eau” 2 em : La vie et “L’AIR.” Je veux dire dans cet exposé sur le triangle du feu d’Aristote, que cet élément qui a fit naitre ce tsunami de particules, est aussi de nos jours conjointé au réchauffement climatique par les catastrophes engendrées, par l’Homme lui même sur lui même, plus encore qu’ en ce qui concerne son environnement, celui pour les chrétiens, de “La Création de Dieu” qui perdure au delà de toutes transformations succéssives. Entendons nous bien … Ce triangle du feu d’Aristote est dans notre subconscient freudien ; il est ce qui “fait pointe” comme “harcèlement” à la subjectivité, qu’il voudrait diviser, à l’égard de laquelle, il voudrait “faire éffraction”. Les trois autres triangles néanmoins sont barrés par Aristote. Ce qui veut dire qualitativement que “leur VALEUR – pure” est cindée “en deux parties inégales” qui “fait du grand Autre par là même un Manque dans l’Autre” en prenant la logique lacanienne devant le réel. Ainsi donc, plus notre Inconscient s’exprimera dans la triangulation topique ( c’est le cas de le dire ! ) selon l’univers psychanalytique dans le respect de son écoute péreine, par des professionnels trés compétents thérapeutiques ou des métiers du Conseil, plus, nous nous défendrons de cette “pointe appartenant à deux droites au minimum qui se recoupent, en deux demie – droites”. Car le SYMBOLIQUE et L’IMAGINAIRE “traitent ( le premier par une régulation signifiée, et le second par une SUBLIMATION singulière dont est père le sujet ) les frasques compulsives du “ça” qu’est l’inconscient”. La “géométrisation de la pensée” est à l’oeuvre dans “la construction paradigmatique algorithmique globaliste” et “ Data Statistic” : par la symbiose édèniste des sciences cognitives au nom de l’EXPLICATIF avec les mathématiques. Or le pluri – paramétrage de “Matrices mathématiques” est plus encore de nos jours que jamais, à l’oeuvre : jusqu’à “une ingénieurie sociale” toute puissante qui se singularise dans ses retours d’expériences rétro - activement, et progressivement . Margaret B. et Guillaume B. sont en figure de Proue, comme un couple d’instructeurs en mathématiques, ex Normaliens, sur cette application et intrication de ce qui se veut aboutir de leurs travaux de recherches probablement vers l’explicatif en sciences cognitives. Il y a pour cela des départements du CNRS qui sont financés. L’EMPIRISME de l’expérience inter – subjective en psychiatrie se trouve alors devant cet effrayant objet (l’explicatif), qui veut commetre une éffraction à son humble égard. L’Objet du débat est plus profondément là, que toutes actualités économiques ; je veux dire que l’Objet épistémologique de concevoir “la pensée comme un objet” est une pure illusion à mon sens dangereuse, qui plus est.

Il y aurait comme un air d’objectivation de la pensée. Quelle honte! Notre écriture, etc … tous serait alors de plus en plus expliqué. L’informatique pour son écriture touche après touche supplante de plus en plus l’écriture manuscrite tout en la rendant plus rare, et donc en augmentant “Sa Valeur humaine et symptômatique”. Trés bien, d’une certaine façon, pour le recours à la graphologie. Mais, ce qu’il faudrait se dire : chaque personne est un réel, chaque visage est un réel, chaque écriture est un réel, chaque production Non Programmatique est un réel. Alors pourquoi ne pas les respecter, au plus haut point, celui de l’ART ? BENJAMIN RICARD. Décembre 2018.