Les techniques non médicamenteuses dans la PEC du douloureux chronique Dr LAPLAGNE A. Dr DJEDID...
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Les techniques non médicamenteuses dans la Les techniques non médicamenteuses dans la PEC du douloureux chroniquePEC du douloureux chronique
Dr LAPLAGNE A.Dr LAPLAGNE A.
Dr DJEDID RAMDANE.Dr DJEDID RAMDANE.
Mme LEROY D. (CDS)Mme LEROY D. (CDS)
Mme BERNHART L. (IDE)Mme BERNHART L. (IDE)
Plan
I.I. L’approche pluridisciplinaire et L’approche pluridisciplinaire et multidimensionnelle du douloureux multidimensionnelle du douloureux chroniquechronique
II.II. Les moyens « symptomatiques » à Les moyens « symptomatiques » à visée antalgiquevisée antalgique
III.III. Les traitements non médicamenteux à Les traitements non médicamenteux à visée antalgiquevisée antalgique
a.a. Les techniques fonctionnellesLes techniques fonctionnelles
b.b. Les techniques d’accompagnement psychologique et à Les techniques d’accompagnement psychologique et à médiation corporellemédiation corporelle
c.c. Les techniques complémentaires médicales et soignantes:Les techniques complémentaires médicales et soignantes:
I.I. L’approche pluridisciplinaire et L’approche pluridisciplinaire et multidimensionnelle du multidimensionnelle du douloureux chroniquedouloureux chronique
Le cadre global de PEC du douloureux Le cadre global de PEC du douloureux chroniquechronique
Ce dont on parle:Ce dont on parle: douloureux chronique >6 moisdouloureux chronique >6 mois sans maladie grave évolutive avec pronostic engagé à sans maladie grave évolutive avec pronostic engagé à
court/ moyen termecourt/ moyen terme Attentes de miracle, mais pas de miracle….Attentes de miracle, mais pas de miracle…. Objectifs réalistes +++ Pour Objectifs réalistes +++ Pour toute techniquetoute technique, même , même
hyperspécialiséehyperspécialisée Evaluation Evaluation pluridimensionnellepluridimensionnelle (psycho ++) (psycho ++) Limiter effets indésirablesLimiter effets indésirables traitements médicamenteux traitements médicamenteux Patient Patient « éduqué »« éduqué » et participatif ++ et participatif ++ Concertation pluridisciplinaire et projet de soins Concertation pluridisciplinaire et projet de soins
multidimensionnel +++multidimensionnel +++
a.a. Evaluation pluridimensionnelleEvaluation pluridimensionnelle
Evaluation et réévaluation de la Evaluation et réévaluation de la douleurdouleur- Caractéristiques - IntensitéCaractéristiques - Intensité- TraitementsTraitements antérieurs et en cours, med et non medantérieurs et en cours, med et non med
Efficacité et Tolérance Efficacité et Tolérance rapport Bénéfice/Risque rapport Bénéfice/Risque
Evaluation de la Evaluation de la fonction et activités vie fonction et activités vie quotidienne.quotidienne.
Evaluation de Evaluation de l’état psychologique +++l’état psychologique +++ Sommeil, Anxiété-Dépression, Croyances-ComportementsSommeil, Anxiété-Dépression, Croyances-Comportements
Evaluation Evaluation socioprofessionnellesocioprofessionnelle Durée Arrêt Travail, Accident du Travail, Durée Arrêt Travail, Accident du Travail, contentieuxcontentieux
b.b. Les objectifs de la PEC duLes objectifs de la PEC du douloureux chronique
Informations clairesInformations claires sur les objectifs de la PEC et sur les objectifs de la PEC et les moyens à mettre en œuvre les moyens à mettre en œuvre
Contrat de soins et alliance thérapeutique:Contrat de soins et alliance thérapeutique: Patient actifPatient actif et participatifet participatif Objectifs Objectifs
personnaliséspersonnalisés pluridimensionnels (Qualité de Vie), et pluridimensionnels (Qualité de Vie), et non centrés non centrés
sur la douleursur la douleur (améliorée et non supprimée) (améliorée et non supprimée)
Exemple d’Objectifs de Qualité de Vie Exemple d’Objectifs de Qualité de Vie personnaliséspersonnalisés
I. Diminuer la douleurI. Diminuer la douleur et rationaliser le traitement med+++ et y associer des techniques complémentaires non médicamenteuses
II. Améliorer la fonctionII. Améliorer la fonction-marcher d’avantage :chercher mes enfants à l’école-passer moins de temps au lit…
III. Améliorer la thymieIII. Améliorer la thymie- travailler mon hygiène du sommeil- m’autoriser à consulter un psychiatre- engager un travail de couple
IV. Avancer sur le plan socio-professionnelIV. Avancer sur le plan socio-professionnel- débuter une activité associative- reprendre le travail à mi-temps d’ici 3 mois
c.c. Ce qu’il faut retenir sur la PEC du douloureux Ce qu’il faut retenir sur la PEC du douloureux chroniquechronique
L’amélioration des douleurs vise à permettre:L’amélioration des douleurs vise à permettre: La restauration de la fonctionLa restauration de la fonction La reprise d’une activité socioprofessionnelleLa reprise d’une activité socioprofessionnelle L’amélioration globale de la qualité de vieL’amélioration globale de la qualité de vie
L’amélioration des douleurs ne doit pas être une fin en L’amélioration des douleurs ne doit pas être une fin en soit pour les équipes de soins soit pour les équipes de soins (ANAES, 2000)(ANAES, 2000)
II.II. Les moyens « symptomatiques » Les moyens « symptomatiques » à visée antalgiqueà visée antalgique
Principes d’utilisation des Traitements médicamenteux Principes d’utilisation des Traitements médicamenteux en douleur chroniqueen douleur chronique
AntalgiquesAntalgiques- paliers 3 à éviter hors cancer- paliers 3 à éviter hors cancer
Co-analgésiques: éviter BZDCo-analgésiques: éviter BZD- Antidépresseurs ou antiépileptiques- Antidépresseurs ou antiépileptiques- Bithérapie AD + AE- Bithérapie AD + AE
Traitements locaux: Traitements locaux: lidocaine, capsaïcine…lidocaine, capsaïcine…
En Structure spécialisée: En Structure spécialisée: kétamine…kétamine…
Techniques Invasives (médicamenteuses et Techniques Invasives (médicamenteuses et fonctionnelles)fonctionnelles)
Infiltrations Infiltrations
Anesthésie LocorégionaleAnesthésie Locorégionale
Pompes intrathécales (morphine, bacloféne)Pompes intrathécales (morphine, bacloféne)
Chirurgie fonctionnelle: Chirurgie fonctionnelle: chirurgie destructricechirurgie destructrice neuromodulation ++neuromodulation ++
III.III. Les traitements non Les traitements non médicamenteux à visée antalgiquemédicamenteux à visée antalgique
a.a. Les techniques fonctionnelles:Les techniques fonctionnelles: La kinésithérapieLa kinésithérapie L’ergothérapieL’ergothérapie L’ostéopathieL’ostéopathie
b.b. Les techniques d’accompagnement psychologique et à Les techniques d’accompagnement psychologique et à médiation corporellemédiation corporelle
TCCTCC A orientation psychanalytiqueA orientation psychanalytique
c.c. Les techniques complémentaires médicales et soignantes:Les techniques complémentaires médicales et soignantes: MésothérapieMésothérapie AcupunctureAcupuncture Toucher massage, réflexologie plantaireToucher massage, réflexologie plantaire Hypnose, relaxationHypnose, relaxation
a. Rééducation Fonctionnelle
Kiné Active
o Effectuée par le patient Douce progressive Ne pas dépasser le seuil douloureux Lutte contre
Contractures Raideurs articulaires Attitudes vicieuses Augmente l’amplitude du mouvement
Autres Méthodes Actives
o Exercices respiratoires Marches Natation Bicyclette Bricolage…
Balnéothérapie :Kiné active dans l’eau
Favorise: Détente musculaire et articulaire par une mise
en apesanteur (diminution du poids du corps)
Atténue: Les contractures Les douleurs
Autres méthodes (eau)
Hydrothérapie Cure thermale…
Kiné Passive
Massages Entretiennent la souplesse tissulaire Préviennent l’apparition de nécrose et d’escarre Préparent la mobilisation articulaire Favorise le contact = le toucher
Soulagent la douleur par relaxation et relâchement musculaire
Exercices, Mobilisations Passives
Réaliser par le M.K.D.E Sans douleur
Intérêt: Raffermir les muscles Mobiliser les articulations Empêcher et/ou limiter les rétractions
Immobilisation
o Immobilisation temporaire But antalgique Matériels utilisés
Corset Orthèse Attelle de membre Ceinture de maintien
Médecines Manuelles
Recours à un savoir faire spécifique Corrigent les positions anormales Mobilisent les zones ou organes douloureux Différentes méthodes
Ostéopathie Chiropraxie …
Mesures Ergonomiques
Ergothérapie (école du dos….) Hygiène posturale Conditions de travail adaptées Mobilier adapté = literie, canapé, véhicule….
Stimulations Cutanées Chaleur ou Thermothérapie
Dilation des vaisseaux, augmentation du débit circulatoire
Différentes Méthodes: Poches chaudes Compresses humides chaudes Coussins électriques Hot packs Fangothérapie(45 à 47° 20mn) Bain chaud Infra-rouge cataplasme…
Froid ou Cryothérapie
Vasoconstriction et diminution de la vitesse de conduction nerveuse
Courte période de temps Zone limitée Différentes Méthodes:
Vessie de glace Cold packs Petits pois Gels de froid en stick…
A Savoir (chaud ou froid)
Éviter le contact direct avec la peau mais être le plus proche possible
Surveiller l’état cutané Éviter l’application sur les peaux
irradiées Ne pas utiliser en cas de
Problème cutanée D’infections locales Perte de substance
b. Abord psychologique
Les thérapies cognitivo-comportementales
Étude du comportement observable
Approche centrée sur l’ « ici et maintenant » de la rencontre
Schémas de croyances habituels du patient, qui peuvent être erronés
Engendre des pensées automatiques négatives majorant la douleur
Des réflexes à « déconditionner »
Relation psychologue-patient basée sur la coopération
Préconisation d’information médicale poussée
Un patient actif qui développe ses propres stratégies
Auto-évaluation des progrès pour un meilleur sentiment de contrôle
L’orientation analytique
Intérêt pour la sphère psychique, en particulier l’inconscient
Une personne globale
Écoute et reconnaissance de ce qui est vécu
Attitude non-directive
L’empathie : comprendre sans ressentir
La douleur mise dans le corps est évacuée de la conscience
Protection pour ne pas entendre la souffrance psychique
Question délicate du soutien du symptôme douleur
Deuils, pertes, maltraitances
c.c. les techniques complémentaires les techniques complémentaires médicales et paramédicalesmédicales et paramédicales
La mésothérapie
1952 Dr Pistor
Injection intradermique ou S\C superficielle
Site de la lésion
Médicament allopathique, faible concentration
LE TENS: Neurostimulation Transcutanée
DEFINITION
NSTC ( neurostimulation transcutanée)
Technique antalgique non médicamenteuse Différents Mécanismes d’action
MECANISMES D’ACTION
Le gâte control ou théorie du portillon Stimulation des fibres tactiles myélinisées (A α et β ) La NSTC
Créer une contre stimulation. Bloquer au niveau médullaire, la transmission des messages
nociceptifs en provenance des fibres fines A δ et C
La libération de neurotransmetteurs endogènes• Stimulation à très basse fréquence, entre 2 et 5 Hz
Augmentation du taux d’endorphines dans le LCR Entraînant l’inhibition des messages nociceptifs
INDICATIONS
Douleurs d’affections neurologiques• Lésions nerveuses périphériques
Douleurs d'amputation du moignon, douleurs fantômes Douleurs post-zostériennes SDRC Mono et polynévrites
• Atteintes radiculaires Arrachement du plexus brachial
Douleurs d’affections rhumatologiques
Lombalgies Lombosciatiques Douleurs myofaciales Tendinites
la NSTC est particulièrement indiquée en cas de douleurs neuropathiques.
Contre-indications
Pace maker Thrombose veineuse ou artérielle Application sur une peau lésée Épilepsie (CI relative) Femme enceinte en dehors de la période d’accouchement Zone en regard du sinus carotidien Utilisation pendant la conduite d’un véhicule Non adhésion aux principes d’utilisation Allergie aux électrodes (hypoallergéniques)
EFFETS SECONDAIRES
• Contractures musculaires (liées au non respect des consignes d’utilisation)
• Allergie aux électrodes (hypoallergéniques)
PRESCRIPTION ET UTILISATION
• Consultation d’évaluation et de traitement de la douleur • Professionnel formé à la prise en charge de la douleur• Formation du patient à la technique
Programmes
2 modalités d’antalgie NSTC conventionnelle NSTC type acupuncture
Condition de stimulation
Intensité Basse Elévée
Site Loco-dolenti A distance
fréquence Elevée 70 à 100 Hz Basse 2 à 5 Hz
Sensation produite
Qualité Paresthésie (fourmillement) Battements (plus profond)
intensité Confortable Intense
Analgésie : post-effet
Topographie Généralement localisée Généralement diffuse
installation Rapide (quelques minutes) Retardée(30 à 45 minutes)
Durée de soulagement Le temps de la stimulation Post effet de plusieurs heures
Pas de libération d’opiacées endogènes
Libération d’opiacées
CONCLUSION
Rôle actif dans la gestion de la douleur
Absence d’effets secondaires
Coût relativement faible
Facilité d’application
La NSTC constitue une alternative ou un complément aux traitements médicamenteux.
TOUCHER/MASSAGE
Généralité: Le Toucher
Approche thérapeutique non médicamenteuse
Complémentaire traitement médicamenteux ou non
Complémentaire pour évaluer, prévenir ou soulager la douleur Améliorer l’estime de soi
Sentir, ressentir son corps autrement qu’au travers des gestes invasifs
Le toucher est au service du processus de soins, dans ses différents aspects préventifs, curatifs, éducatifs ou palliatifs, au coeur de
l’intentionnalité soignante visant l’autonomie*.
*Au sens des soins infirmiers – voir Chapitre Principes de base pour un exercice infirmier de qualité in HALLOUET P., EGGERS J., MALAQUIN-PAVAN E.
(2004) – Fiches de soins infirmiers, Paris, Editions Masson, 2° Edition 2006), 9-31p.
Le Toucher/Massage
La définition généralement retenue pour décrire le toucher - massage est la suivante : « Intention bienveillante qui prend forme grâce au toucher et à l’enchaînement de gestes sur tout ou une partie du corps, qui permet de détendre, relaxer, remettre en forme, rassurer, communiquer ou simplement procurer du bien être, agréable à recevoir et qui plus est à pratiquer »*1
« Cette méthode, ouverte, évolutive, vivante et non réductrice » est modulable par chaque soignant en fonction des besoins ciblés du patient. Chaque soignant peut être formé à cette méthode.
Le soin par le toucher fait partie des soins relationnels qui sont ainsi définis « interventions visant à établir une communication, en vue d’apporter aide et soutien à une personne lors d’actes infirmiers par des techniques qui favorisent une communication non verbale *2
*1: Joël SAVATOFSKI « Pratiquer le Toucher massage » Editions LAMARRE*2: MAGNON René, DECHANOZ Geneviève, Dictionnaire des soins infirmiers, Editions AMIEC, 1995
Objectifs
o Apaisement de la douleur• Toucher est un moyen de communication non verbal
o Amélioration de l’humeur• Pallier au sentiment de dépréciation de soi• Fatigue ,trouble du sommeil• Se réapproprier son image corporelle• Prise de conscience de son propre corps et notamment des parties
non douloureuses
o Apaiser l’anxiété, l’angoisse• Rôle bénéfique du « prendre soin de soi»
o Favoriser la communication• Communication non verbale• Relation de confiance• Soin relationnel:rôle propre de l’infirmière et de l’aide soignante
(article R4311-4)*
o Autonomisation du patient • Toucher/massage: Proposition de l’apprentissage de l’auto
massage
*Rôle propre de l’infirmière, Décret 2004-802 du 29/07/04 relatif aux actes professionnels et à l’exercice de la profession d’infirmier) et les aides-soignantes en collaboration avec l’infirmière. Circulaire DGS/PS3/DH/FH1 n° 96-31 du 19 janvier 1996 relative aux missions des aides-soignants et auxiliaires de puériculture dans les établissements hospitaliers)
HYPNOSE : Concepts théoriques ½
doit permettre au patient de prendre conscience qu’il peut doit permettre au patient de prendre conscience qu’il peut agir sur la douleur de manière autonome et aménager sa vie agir sur la douleur de manière autonome et aménager sa vie en changeant la manière d’appréhender le stimulus en changeant la manière d’appréhender le stimulus nociceptifnociceptif
Qu’est-ce que l’hypnose ? Qu’est-ce que l’hypnose ?
= état de conscience modifié naturel pendant lequel la personne focalise son attention au profit d’une activité intériorisée (conduire en pensant à autre chose, l’enfant qui joue et qui n’entend pas sa mère qui lui demande de venir manger, certains contextes médicaux anxiogènes de soins ).
Les modes d’entrée naturels en hypnose :
Se défocaliser de la réalité (rèveries) Focaliser son attention sur un élt de la réalité (être absorbé par un film,
une musique, une odeur, une activité)
Le rôle de l’hypnothérapeute c’est de favoriser cet état de conscience modifié, ce rétrécissement du champ de la conscience, cette focalisation de l’attention pendant lesquels les perceptions intérieures et imaginaires sont données comme plus signifiantes que généralement elles le sont dans la réalité par le sujet lui-même.
Prise en compte de la part revenant à l’imaginaire, aux représentations et à l’irrationnel (prédominante dans la perception et le vécu de la douleur)
Permet d’accéder au cerveau figuratif, celui de l’imaginaire et des émotions versus approche thérapeutique classique s’adresse d’abord au cerveau cognitif, siège de la rationalité, de la logique et de l’explication .
HYPNOSE : niveaux de preuve/mode d’action
Méthode très utile pour la douleur aiguë ou chronique Zeltzer L and LeBaron S. J Pediatr 1982; 101 : 1032-5 Kuttner L, Bowman M,Teasdale M. Dev Behav Pediatrics 1988; 9 : 374-81 Kellerman J, Zeltzer L, Ellenberg L, Dash J. J of Adolescent Health Care 1983; 4 : 85-90 Liossi C, Hatira P Int J Clin Exp Hypnosis 1999; 47 : 104-16 Olness K, MacDonald J, Uden D Pediatrics 1987; 4 : 593-597 Anbar R Pediatrics 2000; 106 : 339-340 Tan G Anesthesiology pain Program, Int J Exp Hypn. 2010 jan; 58(1):53-68
Action par : Modification du message douloureux au niveau cortical:
Tous les travaux actuels confirment le rôle du cortex cingulaire antérieur dans l’aspect attentionnel /émotionnel et comportemental de la douleur
Les zones fronto-cingulaires, activées par les antalgiques comme la morphine, ou par la stimulation corticale sont les mêmes que celles sollicitées par l’hypnose
Mise en jeu des CID
Merci de votre attention