Les stores tamisaient la lumière rose Un nuage dencens flottait sur les choses Oscillait mollement...

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Les stores tamisaient la lumière roseUn nuage d’encens flottait sur les choses Oscillait mollement et venait se pâmer

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S’échouant lentement sur nos corps enflammés Fondant et s’écroulant dans un brouillard épais

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Maintes fois reprise, la douce épopéeNe dura qu’un été. Partie sans dire adieu

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Point de lumière rose mais un ciel tout bleu

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Dois-je pour cela, ignorer les sourires,

Les regards troublants qui me charment et m’attirent,

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L’attrait séduisant des lèvres succulentes,Les seins provocants, les fesses alléchantes

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La douceur troublante et enchanteresse

D’une voix harmonieuse, d’une caresse

Tendre, affectueuse et parfois enivrante,

Affolante, frémissante et excitante

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Dois-je infliger à mon cœur la souffrance,

Martyriser mon corps et maudire la chance

D’aimer la beauté et de chanter nuit et jour

Les douces mélodies de l’ode de l’amour ?

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Un jour, peut être, une lumière rose

Viendrait embellir mon cœur et les choses.

Adam Poésie

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