Les Mondes Creux (Anton Parks)

8/6/2019 Les Mondes Creux (Anton Parks)

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LES MONDES CREUXCopyright 2001-2004 Hans W. Lintz & Anton Parks

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Pour certaines personnes, les mythes les plus saugrenus ont la vie dure. Tel est le cas decelui de la Terre Creuse. Vous avez, sans doute, dj entendu parler de cette histoire vieillecomme le monde comme quoi la Terre serait creuse, qu'elle aurait un soleil intrieur quiclaire un royaume souterrain dans lequel vivrait un peuple hautement civilis. Pour toutepersonne n'ayant jamais eu l'occasion d'avoir en main l'historique de ce mythe, cette histoirelui paratra totalement ridicule et sans fondement. Le thme de la Terre Creuse est d'unegrande importance et de ce fait, il nous a sembl bon de consacrer un dossier sur le sujetafin de vous donner la possibilit de juger par vous-mme !

Nous tenons prciser aux lecteurs que les clichs provenant des agences spatiales

amricaines et europennes que nous allons utiliser ne constituent pas des preuvesirrfutables de lexistence de la Terre Creuse. En effet nous pourrions trs bien nous poserla question de savoir parmi toutes ces images lesquelles nont pas t retouches etpourquoi sont-elles disponibles dans des magazines ou sur le Net ?... Nous vousdemandons donc de rester vigilent mme si pour notre part la Terre Creuse est une ralitqui finira bien un jour par se confirmer.

De nombreuses traditions du monde voquent un lieu souterrain, habitacle cach des"dieux", o ces derniers vivent en secret, loin du regard des Hommes. Dans la littraturesumrienne, l'Abzu reprsente le monde souterrain de la plante Terre o toutes les eaux serejoignent pour former une nappe d'eau souterraine. L'Abzu est l'abysse ou l'abme dumonde. La dcomposition de ce terme en AB (trou et ouverture) ; ZU (connaissance,sagesse, savoir) nous donne "le trou de la connaissance ou du savoir". Dans la mythologiesumrienne, l'Abzu est la demeure du "dieu" Enki-Ea, le sage serpent de la cration,assimil la divinit de la sagesse et au pre de l'humanit. C'est en cet endroit qu'il est ditqu'Enki-Ea cra l'humanit avec plusieurs sages-femmes. Toutes ces informations inscritessur les tablettes d'argile du pays de Kalam (Sumer) sont confirmes, entre autre, par lesdeux traditions amrindiennes suivantes :

"Nous avons t crs quelque part dans le monde souterrain par le Grand Esprit, leCrateur. Il nous a d'abord cr un, puis deux, puis trois. Nous avons t crs gaux, en

unit, vivant de manire spirituelle, l o la vie est ternelle. Nous tions heureux et en paixavec nos semblables".

Tradition des Indiens hopi de l'Arizona, raconte par Dan Katchongva, du Sun Clan - Hopi Information Network

"Pour les Indiens Nahua, les Matres de la Terre habitent le Tlalocan, le royaume qui soutientla Terre. Le Tlalocan est une immense grotte dote de montagnes, de fleuves et de lacs. Aucur du Tlalocan se dresse le Xochinkuuit, l'arbre fleuri. Les Nahua prcisent qu'une partie

orientale du Tlalocan, porte le nom d'Apan.
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habitable en son centre". Sans doute, inspir des travaux de Sir Edmond Halley, Symmes,dclara dans sa lettre qu'il intitula "TO ALL THE WORLD - Light gives light to light discoverad infinitum", qu'il passerait sa vie entire prouver cette ralit et qu'il souhaitait, avec l'aidefinancire de quiconque, entreprendre une expdition dans le centre de la Terre. Parscurit, il ajouta sa lettre un certificat mdical pour confirmer la pleine possession de sesfacults mentales. Comme on s'en doute, ses dclarations firent l'objet de railleries. Pourtantavec beaucoup d'obstination, Symmes intressa le snateur Richard M. Johnson qui dposadevant le Congrs, le 28 janvier 1823, une demande officielle de financement pour lelancement d'une expdition. Mais l'affaire trana pendant de nombreuses annes et fut sanscesse repousse. En 1826, toutes les notes et articles de Symmes furent publis dans unlivre intitul : "Symmes Theory of concentric Spheres". Epuis par un combat sanslendemain, Symmes dcda le 29 mai 1829, hant par sa conviction d'une Terre Creuseavec une ouverture lextrmit de chaque ple Toutefois, la thorie de Symmes nedisparut pas avec lui et lun de ses adeptes, Joseph Reynolds, prit la succession de cettefolle entreprise. Il russit approcher le secrtaire de lUS Navy, Samuel Lewis Southard,qui trouva le moyen de convaincre le Prsident John Quincy Adams. Une expdition pour leple sud prit la mer le 29 octobre 1829 du port de New York. Malheureusement, elle fut un

vritable dsastre. Trs peu dinformations nous sont parvenues, sauf quaucune ouverturena t dcouverte au ple sud et que les hommes furent sauvs de justesse d'une mortcertaine due au froid et la faim. Ce fut un coup dur la thorie de Symmes et celle de laTerre Creuse

Pourtant, cette mme anne de 1829, le 3 avril, deux hommes, Jens et son fils Olaf Jansen,quittent Stockholm pour aller pcher. Ils prirent la direction du nord, longrent les ctes desles de Gotland et dOeland et continurent en passant par le dtroit qui spare la Sude etle Danemark. Les tapes se succdrent, Kristiansand sur les ctes de la Norvge, les lesLofoten, Hammerfest et finalement, le 23 juin, Wijade Bay o ils s'arrtrent quelques jourspour pcher parmi les icebergs.

Ensuite, ils reprirent le voyage en directiondes ctes de Franz Joseph qu'ils longrentdurant plusieurs jours. Alors, survint unvent glac favorable qui les dirigea plus l'Ouest. Aprs 24 heures de navigation,alors qu'ils envisagaient de rebrousserchemin, ils furent face l'incroyable : uneterre verdoyante, le vent ne soufflait plus etl'air tait tempr et calme. Ils pchrentsur place quelques jours et prirent ladcision de continuer leur chemin sanssavoir qu'ils iraient de surprises ensurprises. En poursuivant leur route, lesdeux voyageurs se rendirent compte qu'ilsvoyageaient dans une eau calme, sansiceberg Plus loin, ils rencontrrent uneinquitante brume accompagne d'uneeau fortement agite qui fit tanguer lebateau trois heures durant. Ensuite, quandle temps redevint plus clment, ilsremarqurent qu'ils avaient perdu un tiersdes provisions ainsi que leur eau potable. Pendant qu'ils vrifiaient l'tat avant du petitbateau, devant eux, l'horizon apparut, un deuxime soleil. Son emplacement les surprit

beaucoup et ils pensrent un mirage qui allait se dissiper d'ici peu. A leur stupfaction, iln'en fut rien et au contraire, plus ils avanaient au fil des jours, plus le soleil montait l'horizon.

Dbut du voyageparmi les icebergs.Dessin de J.A.Williams pour l'ditionde 1908.

Une eau fortemenagite fit tanguer lebateau troisheures durant".Dessin de J.A.Williams pour l'ditionde 1908.


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Il se rvla d'un aspect rouge et cuivr avec, par moment, desnuances ples et brumeuses. Par la suite, les deux pcheursbaptisrent cet astre "le Dieu Brumeux" (the smoking God). Olaf etJens pensaient depuis longtemps avoir dpass le Ple Nord, maisleur boussole continuait pointer droit devant.Alors qu'ils continuaient avancer, Olaf mit sa main dans l'eau etfut surpris de constater que c'tait de l'eau douce. Trs croyant auxDieux de ses anctres, et sans doute pour expliquer ce qu'il necomprenait pas, il pensa tout de suite un don d'Odin et de Thor.Le temps et les jours passaient et inexorablement l'trange soleilmontait de plus en plus haut dans le ciel alors que le second soleil(le vrai) se retirait derrire eux au sud-est. C'est aux alentours dudbut du mois d'aot que "le Dieu Brumeux" fut dfinitivement son znith, aux yeux des deux voyageurs. Peu de temps aprs, ilsaccostrent sur une terre verdoyante pleine d'arbres et devgtation. Jens remercia Odin. Ils explorrent les lieux quelquesjours et trouvrent des arbres de trs grande taille, des rivires, des

lacs. C'est dans cette ambiance subtropicale et dmesure qu'Olafse souvint davoir calcul avec son pre que lorsqu'ils mirent piedsur cette terre inconnue, cela faisait pratiquement cinq mois qu'ils avaient quitt Stockholm.Mais leur exploration fut interrompue par l'arrive d'une trange embarcation occupe pardes hommes de grande taille qui les invitrent les suivre. Ensuite, ils arrivrent dans unecit du nom de Jehu o nos deux voyageurs furent cordialement invits rsider. Olafprcisa que l'activit premire de ces "gants" tait l'agriculture. Leurs trs bellesconstructions (temples et habitations), taient ornes dor. La vgtation tait luxuriante etabondante et des fruits de tous genres poussaient un peu partout en parfumant l'atmosphred'une odeur dlicate. Tout tait la taille des habitants et les grains de raisin taient aussigros q'une pomme. Olaf et son pre vcurent une anne entire Jehu. Aids des genschez qui ils logeaient et qui taient d'une extrme bont, ils apprirent la langue des hommes

du dessous qui, selon Olaf, ressemble beaucoup au sanskrit. Ensuite, ils eurent la possibilitde quitter Jehu et de se rendre la cit d'Eden pour rencontrer le Haut Souverain du MondeSouterrain. Ils se rendirent donc Eden, transports dans un appareil trs rapide etsilencieux encastr sur un monorail. Le voyage fut rapide et confortable. La cite d'Eden,selon les dires d'Olaf, tait localise dans une magnifique valle qui surplombait tout le pays.La cite tait entoure d'un gigantesque jardin dans lequel quatre rivires prenaient leursource dans une fontaine artsienne. Toujours selon Olaf, les quatre rivires portaient lesnoms suivants : l'Euphrates, le Pison, Le Gihon et l'Hiddekel. Olaf prcisa galement que leshabitants du Monde Souterrain nommaient cet endroit "le nombrildu monde".

Olaf devant le"Smoking God".Dessin de J.A.Williams pour l'dition

de 1908.

Jens, Olaf et le HauSouverain d'Eden.


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Ils eurent donc le privilge de discuter avec le Haut Souverain dansson palais. Les deux trangers lui demandrent l'autorisation devisiter les alentours et d'envisager ensuite leur retour la surface,ce qui leur fut accord. C'est ainsi que Jens et son fils Olaf parcoururent de nombreusescontres (o ils firent la rencontre d'un lphant de trs grande taille) et cits comme Nigi,Delft, Hectea Ces visites leur apprirent davantage de choses sur les habitants du dessouscomme le fait qu'ils vivaient entre 600 et 800 ans, que leurs cits taient pourvues de palaisentirement ddis la musique, o des curs d'au moins 250 personnes craient desublimes symphonies. Leurs principales vocations taient l'agriculture, mais aussil'horticulture et l'architecture. Notons galement le fait que les intra-terrestres pouvaientcommuniquer entre eux par "les airs" (transmission de pense), chose que n'arriva pas s'expliquer Olaf. Le temps arriva o les deux voyageurs voulurent regagner le monde dudessus, Jens avait tout de mme laiss sa femme en haut et cela faisait pratiquement deuxans et demi qu'ils avaient quitt Stockholm. Les deux voyageurs rcuprrent leurembarcation, la remplirent de provisions et firent leurs adieux leurs amis en leur promettantde revenir d'ici un an ou deux.

Alors qu'ils s'apprtaient faire le voyage inverse, le pre d'Olaf fit la remarque qu'a cettepoque de l'anne il devait faire nuit dans le Nord et qu'il serait prfrable de ressortir par leple sud. Ils optrent donc pour cette solution en prenant le mme fleuve par laquel ilstaient arrivs l'poque. Toujours d'aprs Olaf, c'est vers le mois de novembre oudcembre 1831 qu'ils quittrent la douce chaleur du "Dieu Brumeux". Peu aprs, ilscommencrent apercevoir le soleil l'extrmit de l'ouverture du ple sud. Comme pourl'aller, ils essuyrent une sorte de petite tempte qu'ils ne purent expliquer que par laconfrontation de l'air chaud du Monde du dessous et l'air polaire. Pendant deux semaines ilsnavigurent parmi les icebergs. Alors qu'ils pensaient avoir affront le plus difficile, leurbateau rencontra un iceberg et vola en clat. Olaf, demi inconscient fut projet sur la glace.Lorsqu'il se rveilla, avec absolument aucune notion du temps qui s'tait coul depuis

l'accident, il chercha dsesprment une trace de son pre et du bateau. Il fit le tour del'iceberg et scruta l'ocan, en vain.

Dsespr, il fit les cent pas, effray l'ide de mourir frigorifi,sans eau et aucune nourriture. Les heures passrent etfinalement, comme par un coup heureux du destin, un bateau depche cossais, le Arlington, repra les mouvements d'Olaf sur laglace. Lorsque l'heureux rescap raconta brivement son histoire,le commandant le fit enfermer sous la surveillance du mdecin debord.De retour Stockholm plusieurs mois aprs, Olaf apprit que samre avait rendu l'me un an auparavant. Il se confia alors sonunique parent vivant pour le persuader de financer une expditionafin de retourner en bas. Son oncle Gustaf Osterlind fit semblant des'intresser et s'arrangea pour faire signer une ptition pourenfermer son neveu. Olaf fut intern pendant 28 longues annes!! A sa sortie, en octobre 1862, alors que son oncle tait dcddepuis longtemps, Olaf se retrouva seul et sans ami. Il travaillacomme pcheur pendant les 27 annes suivantes, en prenant biensoin de ne parler de son histoire personne. Finalement, en 1889,Olaf, g de prs de soixante-dix ans, vendit son bateau et quitta le

pays pour se rendre en Amrique du Nord. Il vcut 12 ans en Illinois avant de dmnager Los Angeles, le 4 mars 1901. L, il fit la connaissance de son voisin Willis George Emerson,

un nouvelliste et sa femme. Ils devinrent de bons amis et, petit petit, Olaf prit le risque delui raconter son incroyable odysse en lui montrant ses notes et ses cartes. Ce qui surpritbeaucoup Emerson, hormis l'histoire en elle-mme, ce fut son dsir intense de lui faire

Dessin de J.A.Williams pour l'ditionde 1908.

Olaf face au Arlington.Dessin de J.A.Williams pour l'ditionde 1908.


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partager sa conviction en indiquant sans cesse que tout le monde devait absolumentconnatre la vrit. La simplicit et sincrit d'Olaf poussa Emerson transmettre sonditeur Forbes & Compagny, sans trop y croire, le texte intgral de Jansen qui fut imprimsous le nom de "The Smoky God; or, a Voyage to the Inner World".Le livre fut publi durant l't 1908, et ironie du sort, Olaf Jansen dcda quelques semainesauparavant. Il ne connut pas les violentes critiques que subit son livre. Mais, malgr tout,Olaf entra dans l'histoire de la Terre Creuse, par la grande porte. "The Smoky God", suscitaun vif intrt auprs de personnes qui se spcialisrent dans des recherches pousses surle sujet. De mme, par la suite, les rcits de nombreux explorateurs confirmeront certainesdescriptions faites par Olaf. En 1966, un article, publi dans le Fate Magazine, dmolira lercit d'Olaf en prcisant tout de mme qu' l'poque de la publication de "The Smoky God",le gouvernement amricain se procura deux exemplaires du livre.

Au fil des annes, les expditions se sont succdes, certaines avant mme la publicationde "The Smoky God". Voici une liste (non exhaustive) de faits troublants que les explorateursnous ont ramens, vous constaterez que de nombreux dtails sont trangement conformesau rcit d'Olaf Jansen :

De 1860 1862, le journaliste amricain Charles Hall vcut parmi les Inuits. A la suitede ses expriences dans le Grand Nord, il a crit : "Il (le Grand Nord) est plus chaudque prvu et ne connat ni la neige ni les glaces".

En 1869, Isaac-Israel Hayes fit un voyage au Groenland pour explorer les territoiresd'Ellesmere et de Grinnel. IL a crit dans son journal : "7817 de latitude Nord. J'ai vuun papillon jaune et, qui le croirait, un moustique, ainsi que dix mites, trois araignes,deux abeilles et deux mouches". On s'en doute, tous ces insectes viventnormalement beaucoup plus au sud, au moins un millier de kilomtres plus bas.

Les lgendes des Esquimaux sont souvent en rapport avec le ple Nord et l'intrieurde la Terre. Lorsque l'on demande un Esquimau d'o viennent ses anctres, ilpointe vers le nord. Les traditions orales des Esquimaux dcrivent un pays

majestueux baign d'une perptuelle lumire, un pays sans nuit. Ces traditionsprcisent que ce pays a un climat chaud avec des lacs qui ne glent jamais. Desanimaux tropicaux y vivent ainsi que des oiseaux multicolores. C'est le pays del'ternelle jeunesse o les gens vivent heureux et ne meurent jamais. Paul-mileVictor, dans son rcit "Banquise", nous a rapport une chanson des Esquimaux,chante la veille : "Ils sont grands, ils sont terribles, les hommes de l'intrieur".

L'explorateur amricain, le Docteur E. Kane, qui explora le ple Nord entre 1833 et1855 a crit l'poque : "Il y a des indices qui montrent clairement qu'il doit y avoir unocan dans le Nord, les brumes et les brouillards que nous avons vus souvent enhiver nous le confirment".

Le commandant Robert Mc Clure a trouven Terre de Bank des troncs d'arbrescharris par les glaciers provenant dunord.

Fridtjof Nansen (1861-1930), futl'explorateur qui passa sans doute le plusde temps dans le Nord cette poque, il acrit : "Devant nous, toujours ce mmeciel sombre, qui annonce la pleine mer.Chez nous, en Norvge, personne necroirait que nous voguons en pleine mervers le ple". Dans son journal du 3

aot 1894, il a crit : "Nous avons trouv des traces de renards. Le climat est trsdoux, presque trop chaud pour dormir Nous nous sentions comme chez nous".

Illustration de 1882, reprsentantl'ouverture Nord.


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La migration de nombreux oiseaux se dirigeant systmatiquement chaque annevers le nord, passant l'hiver on ne sait o et redescendant vers le sud la saisonchaude n'a jamais t explique.

Dpass le 83me parallle nord, il n'y a plus d'iceberg, la mer est calme, recouverted'eau douce et le climat est trangementdoux.

Quelques explorateurs ont dcouvert, certains endroits, de la neige multicolore.Des chantillons ont t prlevs et on adcouvert que ces couleurs taient dues du pollen de fleurs des fleurs de typeinconnu.

Les aurores polaires, phnomne que l'onne trouve qu'aux ples et que l'on n'a jamais expliqu de faon satisfaisante,seraient-elles, comme le pensait Halley, le

reflet de la lumire mise par le soleilintrieur ? Les photos des aurores polaires de Mars, Jupiter et Saturne, prises par laNasa sont troublantes et peuvent donner une explication en ce sens (voir plus bas).

C'est dans ce climat d'incertitude etd'interrogation que plusieurs dcennies sesont coules sans que d'autres lmentssignificatifs soient venus complter l'affaire.Pourtant, partir du dbut des annes1900, plusieurs livres sur le sujet furentdits. Parmi eux il faut noter "The Phantom

of the Poles", superbe ouvrage de 288pages de William Reed, gographe del'Universit de New York, sorti en 1906. Sonlivre est trs important, car c'est le premier compiler la fois des informationsscientifiques et les rcits des explorateurspolaires de l'poque. Il fut galement lepremier expliquer pourquoi tous lesexplorateurs nont pu et ne pourront jamaisatteindre les ples gographiques pour laraison qu'ils n'existent pas (sur la terreferme) et qu'ils sont tout bonnement dansles airs. En effet, Reed estima, en accordavec les diffrents rcits des explorateurs,dont celui d'Olaf Jansen, que la Terre doitcommencer s'incurver partir de 70, 75des latitudes Nord et Sud, ce qui signifie quede nombreux explorateurs se seraientaventurs sur les extrmits de l'ouverturesans le savoir. Un autre livre est paru en1913 : "A journey to the Earth's Interior, or,Have the Poles Really Been Discovered" deMarshall B. Gardner. Son livre fut rvis et

rdit en 1920 en plus grand tirage et necompta pas moins de 456 pagesentrecoupes de nombreux diagrammes et

Peinture montrant un bateaudevant le soleil intrieur.

"The Interior World". Carte tire du livre deWilliam R. Bradshaw "The Goddess ofAtvatabar" (1892).

Diagramme provenant du livre de Marshall B.Gardner (1920).


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illustrations. Comme Symmes, Gardner voulait alerter le monde entier et envoya plusieurscopies des congressistes et d'imminentes personnes en Europe. A part Sir Arthur ConanDoyle (le crateur de Sherlock Holmes), personne ne rpondit vraiment Gardner.Toutefois, vu le grand nombre d'exemplaires envoys, la presse amricaine fit de nombreuxarticles en dnigrant le travail de Gardner et en le comparant du Symmes rchauff Sonlivre relana tout de mme la polmique et pour preuve, aujourd'hui encore, comme celapeut se vrifier dans certaines revues et dossiers, le livre de Marshall B. Gardner est souventcit et ses illustrations rgulirement utilises pour discrditer le thme de la Terre Creuse.

Pourtant, c'est peu aprs la deuxime guerre mondiale, en 1947, alors que des bruitscouraient que les Nazis se seraient intresss au sujet et qu'ils auraient mme envoy deshommes aux ples, le 19 fvrier, un homme va lui aussi entrer dans la lgende de la TerreCreuse. Mais contrairement aux ides reues, son pope commena bien avant.

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L'histoire de l'amiral Richard E. Byrd est assez simple si on s'en tient la version officielle, mais si on creuse d'avantage les faits grce son journal personnel, elle devient la fois fascinante, pleine derebondissements et de mystres. En tout cas une chose est sre, avantla Deuxime Guerre Mondiale, une poque o les vnements taientmoins scrupuleusement contrls qu'aujourd'hui, le thme d'une TerreCreuse ressemblait plus une curiosit qu' une ralit. C'est partirde 1947, avec apparemment les dcouvertes qui s'en sont suivies, queRichard E. Byrd sera tenu au secret et que le thme de la Terre Creusedeviendra, nous verrons plus loin pourquoi, LE SUJET ultra secret del'poque, et il l'est encore aujourd'hui.

Aprs avoir servi loyalement sa patrie comme pilote d'avion durant laPremire Guerre Mondiale, l'Amricain Richard E. Byrd, partir de 1924, prit lecommandement d'un petit dtachement d'aviation navale en vue d'une expdition l'Ouestdu Groenland. Cette mission dans le Grand Nord lui donna l'ambitieuse ide d'tre le premier voler au-dessus du ple Nord. Le 9 mai 1926, il prit place dans un monoplace de typeFokker 3 et s'envola de King's Bay. Il a dit de cette expdition : "Des contrs inconnues, droitdevant nous, nous exprimentions l'incomparable satisfaction de chercher de nouvellesterres. Lorsque nous nous sommes approchs du ple, le temps et la direction sont devenus

sens dessus dessous ici et l, au lieu d'une tendue de glace, apparut une sparationmarquant le dbut d'une eau vert bleue. A un moment donn, mpris par la distance, parmides nuages flous en formation basse, le haut des montagnes d'un pays lointain" A sonretour aux Etats Unis, Richard E. Byrd est devenu un hros national. On le fit contre-amiralet il reut une mdaille d'honneur. Mais dj un doute planait sur ce qu'avait vu Byrd, car sontmoignage d'une mer sans iceberg dbouchant sur une terre inconnue rappela fortementles descriptions qu'ont fait des navigateurs par le pass. A l'automne 1928, Byrd annonaqu'il prparait un nouveau voyage "aux confins de la terre", mais cette fois-ci dans lesrgions inconnues de l'Antarctique. Il fit une telle publicit qu'il russit obtenir un soutienfinancier de la part de Ford et Rockefeller. Un dluge de donnations le submergea, en toutplus de 400 000 dollars. Avec tout cet argent, il renouvela totalement son quipement.L'expdition prit le large et s'tablit en bordure de la mer de Ross. Byrd baptisa sa nouvelle

base "Little America".

Richard E. Byrd
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L'aventure prit un nouveau dpart le 29 novembre 1929. Comme son habitude, Richard E. Byrd, fit nouveau le compte rendu deson expdition et ne put s'empcher de jouer avec les mots : "Cepoint imaginaire qu'est le ple Sud, est un endroit droutant. Tousles mridiens convergent ici Les directions, telles que nous lesconnaissons habituellement, ne veulent rien dire. Pour toutepersonne voyageant dans le sens du Nord ou du Sud, il lui seraimpossible de marcher en ligne droite et de garder la mmedirection. Sa direction aura tendance changer notablementchaque minute; pour rtablir sa direction d'origine, il devra se forcer suivre une route en spirale"Mais aujourd'hui, une polmique se dgage au sujet d'un petitreportage film qui aurait t projet dans de nombreux cinmasdes Etats Unis, cette mme anne de 1929. Dans son livre "TheHollow Earth Enigma", Alec Maclellan fait mention du tmoignage

de Miss Dorothy E. Graffin de New York. Elle se souvient trs bien avoir vu ce reportagedans les actualits filmes qui passaient au cinma avant le film. Ce jour-l, elle tait au

White Plains de New York, accompagne de sa sur. Aujourd'hui personne ne mentionnece documentaire que, pourtant, plusieurs centaines d'individus ont d voir l'poque.Dorothy se rappelle que ce reportage de 1929, narrait l'incroyable dcouverte que fit l'amiralByrd l'intrieur de la Terre, au ple Sud. Le reportage tait accompagn de la voix de Byrden personne qui s'exclamait en prsence de l'incroyable. Alors qu'il survolait un paysageinconnu, il s'approcha d'un lac entour de conifres et aperut un norme animal sedplaant parmi les arbres. Byrd dans son style un peu lyrique, le compara "une montagnede charbon tincelant de diamants" !!? Aujourd'hui, on s'en serait dout, ce reportage atotalement disparu des archives et parait n'avoir jamais exist L'amiral Byrd retourna Little America, en 1933. Entre mars et aot 1934, il passa cinq mois,seul dans une hutte transforme en observatoire mtorologique, 125 miles de LittleAmerica. Subissant une temprature de -60, il fut rapatri et sauv d'une mort certaine.

Durant la Seconde Guerre Mondiale, Byrd fut rattach en tant que membre chef desoprations navales.

En 1946, Richard Byrd fut charg d'unnouveau programme du nom d"OperationHigh Jump". Sa mission consistait poursuivre l'laboration des cartes des plesNord et Sud, mais il lui fut galementdemand de vrifier si des Nazis ne seseraient pas "gars" dans le coin. En 1947,avant d'entamer une nouvelle mission dansl'Arctique, Byrd dira la presse : "J'aimerais

voir ce pays derrire le ple (Nord). Cetendroit est le centre du Grand Inconnu".Selon les sources officielles, l'expdition fitun vol de sept heures, ce jour du 19 fvrier1947. Mais, trangement, lui qui aimaitparler de ses exploits la presse, ne dit mot quiconque de son voyage, cette fois-l.D'ailleurs, son comportement changeasingulirement partir de cette date etpratiquement aucune information ne filtra.C'est chose acquise aujourd'hui, lePentagone le mit au secret militaire et luiconfisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui

fut interdit de s'exprimer en public. Le doute plana sur cette histoire pendant prs d'un demi-

Richard E. Byrd

Carte de l'Antarctique montrant les diffrents

vols de Richard Byrd, fin 1929.


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sicle et c'est finalement la fin des annes 1990 que ressurgit le fameux carnet de vol. AlecMaclellan en parle dans son livre en indiquant que "The Hollow Earth Society of Australia" aobtenu une copie de son journal personnel qui reprend les notes de son carnet de vol. Envoici de trs larges extraits :

"Je dois crire ce journal en secret. il concerne mon vol du 19 fvrier 1947 dans l'Arctique.Maintenant vient le temps o la rationalit de l'homme doit se fltrir dans l'insignifiance et ilnous faut accepter l'invitable vrit. Je ne suis pas libre de vous dvoiler la documentationsuivante. Elle ne verra peut-tre jamais le jour auprs d'un public rigoureux, mais je dois faireici mon devoir envers toute personne qui lira ces lignes un jour. Dans l'espoir que la cupiditet l'exploitation d'un certain type de personne ne pourra pluslongtemps dissimuler la vrit".

FLIGHT LOG - CAMP ARCTIC, FEBRUARY 19th 1947. "Tous lesprparatifs ont t raliss pour un vol en direction du Nord et nousdcollons avec le plein de carburant Vrification de position avec

le sextant bulle et nouvelle vrification avec la boussole solaire,notre avant excute un changement lger et la course se poursuitcomme planifi Une lgre turbulence est note dans la directionde l'Est une altitude de 2321 pieds. Correction 1700 pieds,aucune autre turbulence, mais le vent d'arrire s'accrot, lgersrglages de contrle, les performances de l'avion sont maintenantnormales. Le contact radio est vrifi avec le camp de base, et larception est normale. Vaste glace et neige en-dessous. Note unecouleur jaune, disperse en motifs linaires. Dviation du vol pourmieux examiner cette couleur. Couleur rouge-violet galement.Excutons deux cercles complets autour de la rgion et retournons vers orientation d'origine.Contrle de la position tablie avec la base. Transmission des informations concernant la

couleur de la glace et de la neige du sol. Les boussoles commencent tournoyer dans tousles sens. Impossibilit de garder notre (Byrd voyage avec un coquipier) route et de se fieraux instruments. Nous supportons les caprices de la boussole. Positionnement effectu parle soleil, tout semble aller bien. Les commandes mettent du temps ragir, trs mauvaisequalit. Maintenant aucune prsence de glace 29 minutes de vol plus tard, premier rapportindiquant des montagnes, ce n'est pas une illusion. Des montagnes forment une petitechane que je n'avais jamais vu auparavant. Changement d'altitude, 2950 pieds. Affrontonsune nouvelle turbulence. Franchissons la petite chane de montagne Au-del la chane demontagnes apparat une valle avec un petit fleuve ou rivire se dirigeant vers le centre de lavalle. Il ne devrait pas y avoir de valle verte ici. Il y a dfinitivement quelque chose quicloche et d'anormal ici. Nous devrions tre au-dessus de la glace et de la neige. A bbord,de grandes forts poussent sur le versant de la montagne. Les instruments filent toujourscomme une toupie. Le gyroscope oscille d'arrire en avant. Je modifie mon altitude de 1400pieds et effectue un virage abrupt vers la gauche pour examiner la valle. C'est vert avec dela mousse ou une sorte de d'herbes trs dense. La lumire est diffrente ici. Je ne vois plusle soleil. Nous tournons nouveau sur la gauche en direction d'un gros animal ou quelquechose de semblable, a ressemble un lphant. Non, on dirait un mammouth. C'estincroyable, mais pourtant il est bien l. Diminue l'altitude de 1000 pieds et prends mes jumelles pour mieux examiner l'animal - c'est dfinitivement bien un mammouthRencontrons d'autres collines vertes. La temprature extrieure indique 74 degrsFahrenheit (23.3 C). Nous poursuivons la route en avant. Les instruments de navigationparaissent maintenant normaux. Je suis perplexe devant leur bon fonctionnement. Je tentede contacter la base. La radio ne fonctionne pas. Le niveau du paysage est plus haut que la

normale, si je puis m'exprimer ainsi. Droit devant, percevons ce qui ressemble une cite.C'est impossible ! L'avion semble lger et flotter curieusement. Les commandes refusent derpondre. Mon Dieu, bbord et tribord, d'tranges types d'appareil, ils se rapprochent

Richard E. Byrd.


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rapidement autour de nous ! Ils ont la forme de disque et sont resplendissants. Ils sontsuffisamment prs, maintenant je peux voir leur insigne. C'est un type de swastika. C'estincroyable ! O sommes-nous ? Que s'est-il pass ? Je tire nouveau sur les commandes.Elles ne rpondent pas. Nous sommes pris dans une sorte d'tau invisible. Notre radiogrsille et une voix anglaise avec un accent nordique ou allemand, apparat. Le message est: "Bienvenue dans notre domaine amiral. Nous allons vous poser dans exactement septminutes. Relaxez-vous amiral, vous tes en mains sres". Je note que nos moteurs se sontarrts. Notre appareil est sous l'emprise d'une trange force et vire maintenant tout seulLa procdure de descente est amorce et l'avion vibre comme s'il tait sur un monte-chargeinvisible Nous nous posons avec seulement une petite secousse. J'ajoute en toute hte,une dernire note dans mon carnet de vol. Plusieurs hommes s'approchent de notre avion.Ils sont grands avec des cheveux blonds. A quelques distances derrire, une norme citemiroite avec les nuances de l'arc-en-ciel. Je ne sais pas du tout ce qui va se passermaintenant, mais je ne vois aucune arme sur ceux qui s'approchent de nous. J'entends unevoix me commandant d'ouvrir la porte. J'excute". Fin du carnet de vol.

Ici s'achve le carnet de vol

de Richard Byrd. Pourtant, lasuite de son histoire continuedans son journal personnelet Byrd l'crit de mmoire,car il ne la pas consign parcrit, l'poque. Mais,comme l'explique AlecMaclellan, les choses se

"gtent" par la suite. En effet, la suite du rcit rend perplexe de nombreuses personnes,mme les plus fidles au thme de la Terre Creuse. Selon eux, son contenu sent le souffre,au point de douter aujourd'hui de l'authenticit des notes, du moins de la partie en question.En effet, cette histoire de machines ayant la forme d'un disque sur lesquels figurait le

symbole du swastika (plutt connu sous le nom de croix gamme) a laiss plus d'unepersonne assez perplexe. Comme vous le verrez, le fait que les intra-terrestres utilisrentcertains mots allemand, ne fit qu'augmenter l'extrme suspicion autour de cette affaire !

Afin de dissiper tout malentendu, nous souhaitons prciser et vous rappeler que le swastikaest un symbole antique trs sacr. En sanscrit "Su-Asti" veut dire "bien-tre" (Su = bien,quivalent du Greque "Eu" et Asti = tre, quivalent du Greque "Est"). Swastika veut dire"ce qui est bien" (le ka n'est qu'un suffixe). Chez les Indiens Hopi, il reprsente le symbole deleurs migrations sur le continent amricain et chez le reste des Amrindiens, il est un signede fraternit. A l'origine, ce symbole n'a absolument rien voir avec l'Allemagne Nazi. Hitlers'est empar du swastika, car il tait fru de mysticisme, de symbolisme et de mythologie.De toute vidence, il s'intressait de prs la civilisation intra-terrestre et ce sigle qui, sans

nul doute, n'ont absolument rien voir avec les actes d'extrme barbarie dont firent preuveles Nazis pendant la Deuxime Guerre Mondiale. Lors d'un de ses voyages au Tibet, lesmoines tibtains, nont-ils pas prvenu Hitler que sil utilisait le swastika de faon ngative etdestructive, il se retournerait contre lui ? Les quatre branches du swastika reprsententgalement les quatre diffrentes positions de la Grande Ourse dans son mouvement dervolution autour de l'axe polaire. Dans de nombreuses traditions, il reprsente aussi la rouedu temps. C'est acquis aujourd'hui, le swastika est un symbole millnaire, bien plus ancienque la croix chrtienne et sans aucun doute le symbole utilis par pratiquement toutes lesgrandes civilisations de l'antiquit. En effet, les swastika et sauvastika (swastika inverse)sont prsents sur l'ensemble du continent amricain, au Tibet, en Sibrie, en Afrique, auPortugal, en Grce, en Phnicie (Asie antrieure), en Core, en Italie, en Nouvelle-Zlande,en Chine, au Japon, en Inde, dans tous les pays Celtiques d'Europe et mme en Isral, Jrusalem, o on a dcouvert des lampes d'argile ornes de ce symbole Mais, revenonsplutt la suite du rcit et laissons R. Byrd s'exprimer dans son journal personnel :


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"A partir de maintenant, j'cris ici tous lesvnements qui survinrent, de mmoire.Cela dfie l'imagination et se confinerait lafolie si cela ne m'tait pas vraiment arriv.L'oprateur radio et moi nous approchonsde l'appareil et sommes reus de la pluscordiale manire. Nous montons alors surune petite plate-forme mobile de transportsans roues. Elle nous amne avec granderapidit vers la ville scintillante. Commenous approchons, la ville semble treconstruite en cristal. Bientt, nous arrivonsvers un grand btiment qui est d'un type que je n'ai jamais vu auparavant. Il parat tretir directement des croquis de Franc LloydWright ou peut-tre mieux encore d'un filmde Buck Rogers. On nous offre un certain

type de breuvage tide qui avait un got quine ressemble rien de connu. Il estdlicieux. Au bout de dix minutes, deux denos merveilleux htes viennent nousrejoindre et annoncent que je dois lesaccompagner. Je n'ai pas d'autres choix quede m'excuter. Je quitte mon oprateur radio. Nous marchons sur une courte distance etpntrons dans ce qui semblait tre un ascenseur. Nous descendons pendant quelquetemps, la machine s'arrte et la porte de l' ascenseur glisse silencieusement vers le haut.Puis nous suivons vers le bas, un long couloir qui est clair par une lumire rose quisemble maner des murs. Un des tres nous fait signe de nous arrter devant une grandeporte. Sur la porte se trouve une inscription que je n'arrive pas lire. La grande porte glisse

en s'ouvrant sans bruit et on me fait signe d'entrer. Un de mes htes parle. "N'ayez aucunecrainte, Amiral, vous allez avoir une audience avec le Matre...". Je marche l'intrieur etmes yeux contemplent la belle coloration qui semble remplir la pice. Alors je commence voir les alentours. Ce qu'accueillent mes yeux est le plus beau spectacle de mon existence.Ceci est en fait trop beau et merveilleux dcrire. C'est exquis et dlicat. Honntement, jene pense pas qu'il existe un terme humain qui puisse le dcrire dans tous ses dtails. Mespenses sont interrompues d'une faon cordiale par une voix riche tide de qualitmlodieuse : "Je vous souhaite la bienvenue en notre domaine, Amiral". Je vois un hommeavec des traits dlicats et avec la marque des annes sur son visage. Il est assis prs d'unelongue table. Il m'invite m'asseoir sur une des chaises. Ds que je me suis assis, ilrassemble le bout de ses doigts et sourit. Il parle moelleusement et me transmet ce qui suit :"Nous vous avons permis, Amiral, d'entrer ici parce que vous tes de caractre noble et

connu dans le Monde de la Surface". Le Monde de la Surface, j'en eus moiti le soufflecoup ! "Oui" fut la rponse du Matre en souriant : "Vous tes dans le domaine des Arianni,le Monde Intrieur de la Terre. Nous ne retarderons pas longtemps votre mission, et vousserez escorts prudemment vers la surface et au-del d'une certaine distance. Maismaintenant, Amiral, je vais vous dire pourquoi vous avez t convoqu ici. "Notre intrtcommena avec raison, juste aprs les explosions atomiques d'Hiroshima et Nagasaki, auJapon. A cette alarmante poque, nous avons envoy nos Flgelrder (roues ailes enallemand) la surface pour enquter sur ce que votre race avait fait. Ceci est, bien sr, del'histoire ancienne maintenant, mon cher Amiral, mais je dois poursuivre. Vous voyez, nousn'avons jamais interfr auparavant dans des guerres et barbaries de votre race, mais,maintenant nous le devons, car vous avez appris manipuler avec un certain pouvoir, qui nerevient pas aux humains, savoir : l'nergie atomique ! Nos missaires ont dj livr desmessages aux puissances de votre monde et, cependant, elles n'en tiennent pas compte.Maintenant, vous avez t choisi afin d'attester ici que notre monde existe. Vous voyez,

Dessin de Franc Lloyd Wright 1923 - "AliceMillard House".


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Amiral, notre culture et notre science sont en avance de plusieurs milliers d'annes sur cellesde votre race". Je l'interrompis : "Mais qu'ai-je voir avec tout ceci, Monsieur !" Les yeux duMatre semblrent me pntrer profondment et aprs m'avoir analys pendant un moment ilrpondit: "Votre race a maintenant atteint le point de non retour, car il y en a certains parmivous qui pourraient dtruire votre propre monde plutt que de vouloir abandonner leurprtendu pouvoir." J'acquiesais et le Matre continua: "En 1945 et par la suite, nous avonsessay de contacter votre race, mais nos efforts n'ont rencontr qu'hostilit et nos vaisseauxfurent mitraills. Oui, et mme poursuivis avec malice et animosit par vos avions decombat. Aussi, maintenant, je vous le dis vous mon fils, il y a un grand orage qui seconcentre sur votre monde, une fureur noire qui subsistera pour beaucoup d'annes. Il n'yaura aucune possibilit de rponse de la part de vos armes, il n'y aura aucune protection dela part de votre science. Cette fureur fera rage jusqu' ce que chaque fleur de votre culturesoit pitine et que toutes choses humaines soient plonges dans un vaste chaos. Votrercente guerre n'tait seulement qu'un prlude de ce que doit encore advenir votre race.Nous ici, le voyons plus clairement chaque heure. Pensez-vous que je me trompe ?" "Pasdu tout" rpondis-je. "Il est dj arriv autrefois, que ces sombres priodes viennent etsubsistent pendant plus de cinq cent annes. Oui, mon fils !" reprit le Matre : "Les priodes

sombres qui viendront maintenant pour votre race couvriront la Terre comme un voile, maisje crois qu'une certaine partie de votre peuple traversera cet orage au-del de ce que je nepeux exprimer. Nous voyons dans un avenir trs loin, un nouveau monde renaissant desruines de votre race, cherchant ses trsors perdus et lgendaires et qui seront ici, mon fils,grce notre sauvegarde. Quand ce temps arrivera, nous viendrons nouveau aider votreculture et votre race revivre. Peut-tre, alors, vous aurez appris la futilit de la guerre et deses conflits et aprs ce temps, certains points de la culture et la science de votre racerapparatront de nouveau. Vous, mon fils, devez retrouver le Monde de la Surface pour luiconfier ce message !"

Avec ces derniers mots notre runion sembla arriver sonterme. Je restais un moment comme dans un rve, mais,

une fois de plus, je savais que tout cela tait la ralit etpour une raison trange, je me prosternais lgrement, soitpar respect ou soit par humilit, je ne saurai le dire.Soudainement, je pris conscience que les deux htesmagnifiques qui m'avaient amen ici, se situaient encore mes cts. "Par ici, Amiral," mentionna l'un d'entre eux. Jeme retournais une fois de plus avant de partir et regardais enarrire vers le Matre. Un sourire doux tait grav sur sonvisage ancien et dlicat. "Adieu, mon fils !" Il parlait et avaitle geste exquis et svelte qui donne une impression de paix.A cet instant notre runion fut vritablement termine.Rapidement, nous sommes retourns jusqu' la grande

porte de la chambre du Matre et une fois de plus nousprimes l'ascenseur. La porte glissa silencieusement vers lebas et nous fumes immdiatement remonts. Un de meshtes dit encore : "Nous devons maintenant faire vite,Amiral, car le Matre ne voudrait pas vous retarder pluslongtemps dans votre emploi du temps et vous devezretourner porter son message votre peuple." Je ne dis rien,tout cela tait tellement incroyable et une fois de plus, mespenses furent interrompues quand nous nous sommesarrts. J'entrais dans la pice et retrouvais mon oprateur-radio. Il avait une expression anxieuse sur son visage.Comme j'approchais, je lui dis : "Tout est OK, Howie, tout est

OK". Les deux tres nous dirigrent vers le vhicule qui nous attendait, nous y sommesmonts et nous nous retrouvmes bientt bord de notre avion. Les moteurs tournaient au

Illustration de Hubert Rogers- 1947.


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ralenti et nous nous embarqumes aussitt. La situation semblait relever un certaincaractre d'urgence. Ds que la porte de la cale fut ferme, l'avion fut immdiatementsoulev par cette force invisible jusqu' ce que nous atteignmes une altitude de 2700 pieds.Deux appareils nous escortrent sur une certaine distance, nous faisant glisser en nousorientant sur notre chemin de retour. Je dois dclarer ici, que notre indicateur de vitessen'enregistrait aucune information, bien que nous nous dplacions une allure trs rapide.Vint alors un message radio. "Nous vous quittons maintenant, Amiral, vos appareils decontrle sont librs. Auf Wiedersehen !" (au revoir en allemand) Nous voyons encore unmoment les Flgelrder disparatre dans le ciel bleu ple. L'avion soudainement plongecomme s'il tait pris dans un troit trou d'air pendant un moment. Nous russissonsrapidement le contrler. Nous ne parlons pas pendant un certain temps, chaque hommeentretient ses penses. Nous retrouvons nouveau de vastes superficies de glace et deneige et sommes approximativement 27 minutes de camp de base. Nous les appelons, ilsrpondent. Nous rapportons que toutes les conditions sont normales... normales. Le campde base exprime son soulagement pour le rtablissement du contact. Nous atterrissonsdoucement au camp de base. J'ai une mission... "La suite des aventures de l'amiral Byrd peut se lire dans son journal personnel, l'vnement

est dat du 11 mars 1947 : "Je viens juste d'assister une runion avec le haut personnel auPentagone. J'ai fait le compte rendu complet de ma dcouverte et transmis le message duMatre. Tout a t dment enregistr. Le Prsident a t avis. Je suis maintenant retenudepuis plusieurs heures. Six heures trente-neuf minutes pour tre exact. J'ai t intensmentinterrog par des forces hostiles et une quipe mdicale. Cela a t un vritable supplice. Jesuis plac sous le contrle strict de l'"international security provisions of the United States ofAmerica". Il m'a t ordonn de garder le silence et de ne parler quiconque de ce que j'aivu. Incroyable ! Il m'a t rappel que je suisun militaire et que je dois obir aux ordres".

En 1955, il fut donn l'ordre Byrd de"poursuivre son relev topographique" au

ple Sud. Avant de partir pour l'Antarctique,en novembre 1955, Richard Byrd tenu par lesecret militaire, dit tout de mme la presse: " C'est la plus importante expdition del'histoire mondiale". Le 5 fvrier 1956, denombreux journaux ont relat lecommuniqu fait quelques jours auparavantde la base de Little America : "Le 13 janvier,des membres d'une expdition amricaineont entrepris un vol de 2700 miles (4320km), de leur base de Mc Curdo Sound, quise trouve 400 miles (640 km) l'ouest du

ple Sud. Ils ont pntr dans un territoiretendu de 2300 miles (3680 km) au-del duple". Comme le fait si bien remarquerMaclellan dans son "The Hollow EarthEnigma", un rapide regard sur une carte del'Antarctique permet tout de suite de releverl'normit du communiqu. En effet, il est totalement impossible de traverser une distance de2300 miles (3680 km), dans n'importe quelle direction que ce soit, sans se retrouver lespieds dans la mer, moins de rentrer dans la Terre ! A son retour du ple Sud, le 13 mars,Byrd ne pouvant parler librement, fit le communiqu suivant la presse : "L'expditionactuelle a ouvert de nouveaux territoires, ce continent merveilleux dans le ciel, le pays dusecret ternel".

Carte de l'Antarctique montrant les diffrentsvols de Richard Byrd, entre 1955 et 1956.


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Quelques semaines avant de mourir, Richard Byrd a crit les lignes suivantes dans sonjournal personnel, dat du 24 dcembre 1956 : "Ces dernires annes depuis 1947, n'ontpas t agrables. J'cris maintenant pour la dernire fois dans ce singulier journal. Pour leclturer, je dois indiquer que durant toutes ces annes j'ai fidlement tenu cette affaire ensecret, comme cela me l'a t ordonn. Ceci l'encontre totale de mes valeurs morales.Maintenant, je sens venir sur moi la longue nuit, mais ce secret ne mourra pas avec moi, lavrit triomphera comme toujours. C'est le seul espoir pour toute l'humanit. Je l'ai vu et celaa stimul et libr mon esprit. J'ai fait mon devoir envers l'ensemble de la monstrueuseindustrie militaire. La longue nuit de l'Arctique prend fin maintenant, la lueur du soleil de lavrit brillera une nouvelle fois et ceux qui inspirent les tnbres tomberont dans leur envol.Ceux, pour qui j'ai vu le pays derrire les ples, le centre du grand inconnu". Admiral RichardE. Byrd. United States Navy.

Richard Byrd dcda le 11 mars 1957 Boston. Les autorits lui rendirent un tel hommagequ'il fut dfinitivement lev au rang de hros national. Richard Byrd fut enterr au cimetired'Arlington avec tous les honneurs militaires.

Ici s'achve le compte rendu des dcouvertes et vnements historiques concernant lethme de la Terre Creuse et des rgions polaires.

Chers lecteurs, merci vous d'avoir lu ces lignes jusqu'ici. Cela prouve que vous portez uncertain intrt cette nigme. Nous esprons que les informations et documents qui vontsuivre satisferont votre patience et votre curiosit. La grande majorit d'entre eux manentdes livres cits dans la bibliographie, la fin de ce dossier. D'autres sont tirs de revues etdossiers concernant l'Arctique et l'Antarctique. D'autres encore, proviennent des satellitestournant autour du globe (photographies disponibles sur de nombreux sites sur le net). Lasource des documents utiliss sera toujours indique. Certains d'entre eux sont trs difficiles obtenir pour les raisons que vous imaginez. Le thme de la Terre Creuse est un thme trs

controvers mais pourtant toujours d'actualit. Nanmoins, nous pensons que les autoritsrvleront, petit petit, la vrit car le Monde change et les Hommes voluent. CommeAbraham Lincoln la dit : "On peut tromper tout le monde pendant un certain temps etcertains pour toujours, mais on ne peut pas tromper tout le monde ternellement" (in YellowBook N 6).

Cette histoire est-elle une VERITABLE FUMISTERIE ou bien, comme le pensent beaucoupd'autres, le "WORLDS TOP SECRET" ? A vous seul de juger !!!Au moins, vous ne pourrez pas dire que vous n'tiezpas au courant.

Photographie la verticale du ple


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Les annes soixante-dix relanceront le thme de laTerre Creuse. Tout d'abord par la diffusion deplusieurs photographies du ple Nord prises par dessatellites mtorologiques. Le clich joint a t pris officiellement le 6 janvier 1967 par lesatellite de l'US Environmental Science Service Administration, ESSA-3. Cette remarquablephotographie est une photo dite "composite", c'est--dire un montage compos de plusieursphotos pour n'en faire qu'une seule. Gnralement, les satellites n'tant qu' quelquescentaines de kilomtres d'altitude au-dessus de la plante, ils ne peuvent pas photographierla Terre dans son ensemble, d'o ce procd photographique qui prend habituellementplusieurs jours pour obtenir une telle image. Le satellite ESSA-3 a pris en tout, plus d'unmillion et demi de clichs. Sur cette photographie nous voyons trs bien l'ensemble desnuages autour du ple, aspirs progressivement dans l'norme trou qui devrait faire 1400miles de diamtre, selon les spcialistes. Cet lment significatif confirme bien l'ide d'uneTerre bombe progressivement vers l'intrieur de la Terre, au ple Arctique.La photographie suivante est dans le mme esprit et provient du satellite ESSA-7. Elle estofficiellement la toute premire photographie publie, montrant le trou du ple Nord (publieavant celle de l'ESSA-3). Elle daterait du 23 novembre 1968. Vous remarquerez que nous

mettons des rserves quant aux dates communiques des clichs. En effet, le 6 janvier etle 23 novembre sont des dates o les rgions du cercle polaire se trouvent dans l'obscurit.Ce n'est pas le cas de ces deux photographies.

L'authenticit de ces deux images n'est pas remettre en cause, car elle a tscrupuleusement vrifie et l'USEnvironmental Science ServiceAdministration n'a pas essay de discrditerson authenticit. Par contre, il a t prcisque parmi les 39953 clichs de l'ESSA-7,celui-ci serait le seul montrer cette

"anomalie". Cette photographie est trsintressante car, cette fois-ci, il n'y a aucunnuage aux alentours du ple Nord. A la

stupfaction gnrale, les contours de l'ouverture sont trs nets. La photo de l'ESSA-7 a tpublie la premire fois en juin 1970 dans le magasine amricain "Flying Saucers" et a fait letour du monde. En toute franchise, et malgr sa forte popularit auprs des spcialistes de laTerre Creuse, ce clich me pose un problme. Les contours du trou sont trop nets mongot et ne montrent pas de courbure du sol vers l'intrieur de la Terre comme cela doit trele cas au ple Nord. L'autre clich qui l'accompagne, est galement tir de l'ESSA-7, maisc'est une image traditionnelle du ple Nord, avec des nuages au-dessus.

Nord, ralise par le satellite ESSA-3en 1967.

Photographies la verticale du ple Nord,ralises par le satellite ESSA-7 en 1968.


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Ci-joint, deux trs beaux clichsrcents, pris par les satellitesClementine et RADARSAT-1.Bien entendu, ces deuxspcimens sont en couleur et "peine informatise", c'est plusbeau que nature !Nous en revenons tout de mme notre premire question, et le ple Sud ? La questionresta en suspens pendant de nombreuses annes. L'absence de photographie empchatoute tude relle sur une cavit qui existerait au ple Sud. A part de vagues indices nouslaissant penser que la cavit du Sud serait moins grande que celle du Nord, le mystre restaentier pendant trs longtemps

Pourtant, en juin 1992, le magazine franais CIEL ET ESPACE, consacra un dossier completsur "Le vrai visage de la Terre". En effet, le dossier expliquait : "De vastes rgions du globesont encore largement inexplores, en particulier dans l'Antarctique. Surprise : le Groenlandet le continent blanc lui-mme ont rvl au radar du satellite ERS de grandes diffrences de

relief par rapport la cartographie traditionnelle. Sur ces images, le relief de la Terreantarctique est reconstitu d'aprs les donnes fournies par le satellite europen.Diffrences d'altitude dcouvertes par ERS : plus de 500 mtres !". Plus loin, on pouvait lire :"ERS a mis en vidence d'importantes inexactitudes dans les actuelles cartes du relief ducontinent antarctique".

Voici les trois images ducontinent Antarctiquerectifies par le satelliteERS. Comme vous pouvezle constater un trou bant la limite effrayant perfore le

continent blanc. Ce qui esttotalement tonnant cest la fois sa taille (1/3 et demipar rapport au continent) etson emplacement. Nousavons compar ces imagesen trois D avec une cartetraditionnelle. La dpressiondbuterait lemplacementde ce qui est habituellementnomm la banquise de Rossprcisment devant la merde Ross. De toute videnceen vue des images de lERSle gigantisme de ladpression dpasse de loincette simple "banquise".Laffaissement englobepratiquement la totalit duquatre-vingtime parallle delhmisphre Sud. Vrifiez et

comparez vous-mme sur une carte. Du coup les chanes montagneuses suivantes : RoyalSociety Worcester Britannia Churchill Queen Elisabeth Queen Alexandra Commonwealth

Queen Maud et celle du Wisconsin semblent accules contre le Queen Maud Land etreculent ainsi de prs de 1400 kilomtres ! Vrifiez et comparez par vous-mme. Ce qui estgalement trange sur les images de lERS cest effectivement comme la soulign le

les contours de la banquise deRoss. En jaune : les contoursde l'ouverture selon lesimages d'ERS (voir ci-dessous).

A - L'Antarctique vue de face selon les clichs tablis par lesatellite ERS en 1992. La banquise de Ross est inexistanteet une monumentale dpression perfore le continent blanc.

B - LAntarctique vue de profil selon les clichs tablis par lesatellite ERS-1. Le radar digital elevation model (DEM) setermine 81.5 degrs de latitude sud. Au-del se trouvesans doute la vritable ouverture.

C - L'Antarctique vue de dos selon les clichs tablis par lesatellite ERS.


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magazine franais le relief de lAntarctique. Lensemble du continent est svrement abrupt.Il y va de mme pour la cavit surtout sur son ct nord (les fameuses chanesmontagneuses). Nous ne savons pas du tout sil faut prendre les images telles quelles carnoublions pas quelles ont t traites informatiquement. On a limpression de voir uneimage hyper condense de lAntarctique.En janvier 2006 le scientifique Gerry Zeitlin qui nous devons le magnifique dossier surlouvrage "Le Secret des Etoiles Sombres" (voir lien sur page daccueil) nous a contactpour nous faire connatre son avis sur cette trange cavit. Il est important pour nous devous le transmettre : "Les images produites par lERS-1 prsentent les reliefs de la plaque deglace de lAntarctique jusqu -81.5 degrs de latitude sud. La prsence de ce trou abruptersulterait simplement de la limite des donnes excutes par lERS-1".

http://www.anunna.net/antonparks/main.php?page=mondes_creux_2

Nous ne pouvons que constater cette vidence. Nous relverons toutefois que le ple estfinalement une fois encore subtilement annihil. Pourquoi ? Parce que selon toute logique

louverture sud se trouverait un peu plus loin au-del. La cohrence voudrait galement quela terre se courbe progressivement vers lintrieur dans ces parages.

Nous allons maintenant passer aux autres plantes du systme solaire. Vous ne voyez pastrop le rapport ? Vous allez vite comprendre. Commenons par notre compagne la plusproche, la Lune. Voici une trs belle photographie du ple Sud de la Lune, nous allons vitercette fois-ci de longs commentaires parce que vous tes maintenant bien rods. Vouscommencez piger le truc ? Non ?

Alors, regardez ces deux autres photographie (B et C). Ilparat que la lune est truffe de cratres, n'est ce pas ?Certains de ces cratres ont la rputation d'tre trsprofonds, mais est-ce au point d'avoir perfor la finecrote de la Lune ? Sinon comment expliquer cestranges lumires qui en sortent. Personne n'en parleofficiellement, pourquoi ? Il y a bien eu des tentativesd'explications, nous en avons trouv une dans un "TerreSauvage " de 1999 (mieux vaut tard que jamais, car cephnomne n'est vraiment pas nouveau, en effet, denombreux astronomes notrent, par le pass, dessources lumineuses importantes dans des cratrescomme ceux de Platon, d'Aristarcus, d'Erasthothnes,de Littrow et bien d'autres). Mais nous vous laissons lire

l'article, a vaut le dtour : "LA LUNE A DES VAPEURS.De mini-geysers de poussire qui brillent la surface dela Lune, telle est la dcouverte d'Audouin Dollfus, unastronome parisien. Il s'agirait de jets de gaz d'oxyded'azote expulss par le sol lunaire. Entranant avec euxde la poussire scintillant dans les rayons du soleil, ilsapparaissent alors bien visible dans les tlescopes desastronomes, ce qui prouve que l'activit de la Lune n'estpas si nulle". Les scientifiques sont dcidment prt tout pour expliquer des phnomnes dont, trangement,personne ne parla l'poque des nombreuses missionsApollo Il y a cependant une autre hypothse

concernant les cratres clairs de la Lune et les photostrs controverses des missions Apollo.

B - Mission Clementine.Photographie d'un cratre clair.

C - Mission Clementine.Photographie de plusieurscratres clairs.
http://www.anunna.net/antonparks/main.php?page=mondes_creux_2http://www.anunna.net/antonparks/main.php?page=mondes_creux_2


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Attendez, on ne va pas en resterl. Nous avons encore quelquesmunitions !Voici deux magnifiques clichesde Mars. Surprise ! Laissonsparler Cristiama Nimosus dansson livre de 1989 "La TerreCreuse est l'Agartha" : "Sur lesphotographies de la planteMars, on y remarque une tacheronde, ou plutt ovale cause dela perspective, de couleurblanche ou lumineuse. Lesastronomes prcisent que c'est lacalotte glacire. C'est affirmersans expliquer. En effet, d'unepart, les bords de l'ovale sont

bien nets, ce qui laisse supposerque la glace s'tende sur unezone parfaitement gomtrique.D'autre part, tant donn que la glace se forme une temprature infrieure 0C, et quecelle qui rgne sur Mars avoisine les -30 -50C, la glace, si glace il y a, ne saurait trelocalise qu'aux Ples. Par contre, si l'on admet qu'une cavit s'ouvre au ple photographide la plante Mars, et que c'est l'intrieur de la plante clair par un soleil miniature centralque lon peut apercevoir lorsque l'ouverture du ple est face la Terre, alors tout s'expliqued'une faon naturelle".

Voici une photo traditionnelle du ple Nord de Mars(C). Ce qui est surprenant, c'est l'incompatibilit entre

les clichs A et C. Le clich A montre une dpressionsur le ple. Comme pour le ple Nord terrestre, la terrese courbe progressivement vers l'intrieur, c'est trsflagrant. Le clich C montre bien de petites falaisesautour du ple, mais la dpression s'arrte net quandla glace commence. Est-ce vraiment de la glace etpourquoi se trouverait-elle dans un trou ? De toutevidence il y a un problme sur l'une des deux photos.Quant l'image B, elle ne s'accorde ni avec la A niavec la C, par contre, elle semble s'accorder plusfacilement avec la description faite plus haut, parNimosus. On peut galement l'ajouter aux nombreuses

observations faites par le pass, notamment par desastronomes comme O.m. Mitchell, directeur desobservatoires de Cincinnati et de Dudley, ainsi quel'astronome anglais J. Norman Locker. Au milieu desannes 1800, une poque o dans l'euphorie de larecherche scientifique les ides n'taient pas

dfinitivement figes comme aujourd'hui, ces astronomes ont observ de trs trangesphnomnes au ple Nord de Mars. En effet, tous deux ont dcrit des clairs de lumire trsvifs sortant du ple, en ajoutant : "Cet effet d'irradiation tait frquemment visible". Comme leconstate Martin Caidin dans son livre "The Greatest Challenge" : "Des astronomesamricains et russes ont observ, ces dernires annes, une srie de flashes trs brillants,d'une dure de cinq minutes, suivis de nuages en forme de champignon" (manant du pleNord de Mars).

A - Mars Elusium. Leple Nord de Marsphotographi par letlescope Hubble. Onvoit trs nettement uneouverture progressiveau niveau du ple.

B - Mars photographi parHubble le 26 juin 1995.

C - Vue plongeante la verticaledu ple Nord de Mars.Photographie ralise par la sondespatiale Viking 2.


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Certaines personnes pourraient alors simplement dire que ces lumires aux ples de Marssont simplement le reflet du soleil sur la glace. C'est d'ailleurs ce que tentent de nousexpliquer les astronomes. Cela pourrait tre une solution, mais pourtant, cela n'explique pasla forte dpression de la photo A. En toute franchise, le cas de Mars n'est pas entirementconcluant car la photo C, malgr sa nette diffrence avec les deux autres clichs, estterriblement convaincante. Si le problme se limitait uniquement Mars, personnellement,nous n'insisterions pas dans la voie o nous nous apprtons vous amener. Mais,malheureusement pour les thses officielles, il y a d'autres photos. Celles des autresplantes du systme solaire et bizarrement, elles ont toutes des problmes inexplicables auniveau des ples. Dans ce cas, le clich C aurait-il t retouch ? Cela fait vraiment tropde hasards pour une mme nigme. A vous d'en tirer les conclusions en vue des images quivont suivre. Attention, ne vous laissez pas influencer btement. Soyez critique.

Diffrents clichs radar de Vnus (A et B) nous montrent une trange tache blanche proximit du ple nord vnusien prcisment au niveau des Maxwell Montes.

A - Vue de l'hmisphre nordVnusien. La tache blanchesitue au niveau du MaxwellMontes est considrecomme de la glace par lesspcialistes de la NASA.Photographie ralise en1993 par la sonde Magellan.

B - Vue radar de Vnus ralise partir des donnes de Magellanet du Radio Tlescope d'Arecibo.

La couche atmosphriquetrs dense de Vnus laissetransparatre de la lumireaux niveaux des deux ples.Nous pouvons tout faitenvisager la prsencedAurores polaires cesendroits ce qui expliqueraile dplacement ingal de lalumire (comparer avec lesaurores de Jupiter).

A - Aurores polaires sur B - Aurores polaires sur


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L'aventure continue,passons maintenant Jupiter. La premire photoest un ahurissant clich dela NASA. La deuxime (B),

est un regroupement de plusieurs images provenant du tlescope spatial Hubble. Quevoyons-nous exactement ? Deux gigantesques aurores borales et australes au niveau desdeux ples. Certains vont peut-tre voir le rapprochement parce qu'ils auront sans doute ludes articles sur les aurores polaires, alors que d'autres diront, oui et alors, ce ne sont quedes aurores polaires. Sachez donc que l'origine des aurores borales et australes est, ce jour, malgr ce que l'on veut nous faire croire, mal connue. Les scientifiques ne sont pasd'accord entre eux. L'aurore polaire est un phnomne qui consiste en une mission delumire dans les cercles polaires. L'aurore polaire est provoque par l'excitation de particuleslectrises, en suspension dans l'atmosphre. Ces particules proviendraient du soleil et sontcanalises dans l'atmosphre au niveau des ples. Beaucoup de scientifiques comparentcette mission de lumire un gigantesque tube cathodique de tlvision et la basseatmosphre polaire un norme cran de tlvision o l'image de l'aurore polaire est

projete.

Ce qui divise les scientifiques est l'origine de la source qui engendre le processus. Beaucouppensent que la source est le soleil ou plus prcisment les vents solaires, alors que d'autresle rfutent totalement en disant que c'est impossible, car les vents solaires sontirrmdiablement dvis par les champs magntiques. En effet, ces derniers repoussent, auminimum, 98% des particules provenant de l'espace. Alors dans ce cas, d'o vient cettesource de lumire ? Edmond Halley avait-il raison ? Les aurores polaires seraient-elles lereflet de la lumire mise par le soleil intrieur ? D'un seul coup, la vue des photographiesde la Terre et des plantes du systme solaire tout devient claire !Comme vous avez t sage, ci-aprs, en bonus : deux photographies de Saturne, une de

Neptude avec son soleil central et une planche d'une aurore borale au niveau de l'un desdeux ples de la Terre . Cette fois encore, les clichs parlent d'eux-mmes.

Aurores polaires sur Saturnele 7 janvier 1998 (Hubble).

Aurores polaires surSaturne le 9 octobre 1995.

J Trauger (JPL) - NASA.

Image mosaique du pole nordde Neptune avec soleil centra

par Viking II

Jupiter. J. Clarke (Universty ofMichigan) - NASA, 7 janvier1998.

Jupiter. Photographiesralises par le tlescope

spatial Hubble, le 17 octobre1996.


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Photographies en ultra-viole

montrant l'volution d'une auroreborale au niveau de l'un desdeux ples de la Terre

CONCLUSION :

Dans ce dossier, vous avez suffisamment d'lments pour vous faire votre propre opinionsur ce vaste sujet. Avec, il est vrai, un certain parti pris, nous avons essay d'tre tout demme le plus objectif possible en vous retraant de notre mieux l'historique des vnementset recherches sur le thme de la Terre Creuse. Si ce sujet vous passionne, vous pourreztrouver des informations complmentaires dans les livres cits ci-dessous, (attention,certains sont trs difficiles obtenir) ainsi qu'en tapant sur le net HOLLOW EARTH. Voustomberez sur d'innombrables sites amricains et trangers qui dveloppent souhait cethme. A notre connaissance, il n'en existe pratiquement aucun en France. La France asouvent eu un train de retard en bien des domaines et les choses inexplicables n'ont jamaisvritablement passionn les Franais. Donc, si vous vous dbrouillez un peu en anglais,n'hsitez pas aller voir chez nos voisins, vous devriez pouvoir approfondir sans mal vos

connaissances sur ce thme, car nous n'avons retrac que les points forts de cette popeet il existe d'autres tmoignages importants.

En vue d'une conclusion dont vous devinez sans doute l'issue, nous allons rcapituler leslments importants noncs dans ce dossier en apportant quelques informationscomplmentaires :


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La photographie du satellite ESSA-3,officiellement date du 6 janvier1967, et les clichs de l'ATS-3 sontdes lments dcisifs en faveur de laralit d'une ouverture au ple Nord.Comme nous l'avons expliqu, leurauthenticit n'a jamais t remise encause. Au fait, pour les personnesqui se seraient demandes pourquoisur ces prises de vue (et celle duple Sud de la Lune), on ne voit pasle soleil intrieur, nous leurrappellerons simplement que cesimages sont issues d'un montagephotographique excut partir denombreux clichs. Lors del'assemblage tout est possible et ce

qui comptait avant tout ici, c'tait lavisualisation gnrale de l'ouverture. Les images en trois D effectues par

le satellite ERS-1 montrent avecprcision le vritable visage ducontinent Antarctique. Un trou bantoccupe une trs large superficie ducontinent blanc. Ce trou rsulterait dela limite des donnes excutes parlERS-1. Une fois nest pas coutumeun ple est escamot pour aucune raison spcifique. Pourquoi lERS-1 na t-il passcann lensemble du continent alors que ce sondage avait justement pour but de

produire les reliefs de lensemble du continent ? Absurde ! Pourquoi les pilotes qui survolent le Grand Nord chaque jour n'ont-ils apparemment

jamais vu l'ouverture Nord ? En un premier temps, les avions ne survolent jamais leple gographique et ne passent qu' proximit du ple magntique. Ensuite, leslignes ariennes vitent de faire voler leurs avions au-del du quatre-vingt-cinquimeparallle nord, car partir de cet endroit, les perturbations magntiques sont trspuissantes et drglent les instruments de navigation. Ensuite, l'ouverture Nord estgigantesque et la dpression vers l'intrieur trs progressive, mme Richard Byrd nes'en rendit pas compte la premire fois alors qu'il pntra lintrieur avec son avion.

Pourquoi y a t-il autant de bases militaires en Arctique et en Antarctique ? Toutepersonne voulant faire une expdition dans les contres polaires doit en rfrer enhaut lieu et doit prsenter son itinraire l'avance. Certains sont mme parfois

dtourns. La raison ? Officiellement pour une simple raison de scurit. Lesautorisations sont longues et difficiles obtenir. La cartographie de l'ocan arctiqueest effectue par des sous-marins atomiques et protge par le secret-dfense.Monsieur Rosner, responsable de la facult de gographie de Tbingen, enAllemagne, reconnat que la courbure de la Terre dans l'Arctique fait partie dessecrets militaires.

Reprsentation de la Terre Creuse.Dessin de Max Fylied, bas sur celui

de Raymond Bernard tir de son livre"La Terre Creuse".

Cliquez sur l'image pour l'agandir.


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En 1960, le magazinefranais SCIENCE ET VIE, n510, du mois de mars,rapporta une tonnantedcouverte que voici : "()les savants sovitiques quipurent Sovierskaya trouverau froid des dimensionsnouvelles, visitrent "l'oasis"de Benguer : 500 kilomtrescarrs de sol compltement libre de glace, une temprature de plus de 25, des lacs,des cours d'eau, une maigre vgtation de lichens et de mousses, des oiseaux deplusieurs espces ! Les Russes cherchrent la raison de cette anomalie stupfiante.Ils la trouvrent. Au sud, une chane de montagne arrte les vents froids de l'intrieur,ainsi que les millions de tonnes de glace et de neige entranes par le blizzard ; aunord, l'ocan exerce son action adoucissante ; sur place, plus de glace ternelles ;l't, le soleil fait fondre la glace de l'anne, aprs quoi des rayons chauds sont

absorbs par le sol rocheux qui conserve une rserve de calorie()". Malgr quel'explication de l'oasis surnaturel soit loin d'tre satisfaisante, un lment important fut joint au dossier. Une carte dtaille de l'Antarctique avec les positions desnombreuses bases militaires se trouvant sur le continent blanc. Chose tonnante aupremier abord, mais pas trop si vous avez bien compris l'ensemble de notre travail,absolument toutes les bases amricaines (en rouge) se trouvent autour de la"banquise de Ross" (en vert), et pas une seule base trangre ne se situe proximitde la dite banquise

Les divers comptes rendus des explorateurs ne peuvent pas rsulter de simplesconcidences, car ils vont tous dans le mme sens.

L'histoire d'Olaf Jansen est, il est vrai, trs tonnante. Malgr tout, la majorit de sesdescriptions a t confirme par de nombreux explorateurs. Par exemple : l'apparition

d'une eau calme sans iceberg, suivie d'une petite tempte et d'une eau nouveaucalme mais non sale. L'trange lumire du monde du dessous. Sa descriptionparadisiaque du monde souterrain et de ses habitants correspond normment celle que l'on trouve dans les lgendes orales des Esquimaux. Olaf raconte avoir vuun lphant de grande taille. Il fait de la cite d'Eden un trange parallle avec l'Edendcrite dans la Bible. Cette doctrine, selon laquelle l'Eden terrestre serait au centrede la Terre, est une doctrine sotrique trs peu connue. De nombreuses personnespensaient que l'ouverture du ple Sud se situait au milieu du continent. Les imagesd'ERS montrent que l'ouverture est en bordure de la mer de Ross et accrdite lesdires d'Olaf lorsqu'il prtend tre sorti du ple Sud par la mer. Que l'on croit ou pas son histoire, Olaf est bel et bien parti de Stockholm, le 3 avril 1829, avec son pre eta t retrouv deux ans et demi aprs, errant seul sur un iceberg en bordure de

l'Antarctique.


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Les descriptions de Richard Byrd surle paysage verdoyant du mondesouterrain vont dans le sens despropos dOlaf Jansen et deslgendes Esquimaudes. Lui aussidcouvre un "mammouth" commeOlaf. Byrd aussi rencontre un peuplepacifique au cur des entrailles de laTerre un peuple de grande taillepossdant une technologie diffrentede la ntre. Pourquoi Richard Byrdaurait-il menti ? Pourquoi quelquessemaines avant de mourir unhomme voyant la fin de sa vie arrivera-t-il crit de pareilles lignes lencontre de ce quil nomme "lamonstrueuse industrie militaire" ?

Nest-ce pas elle qui la adule pendant toutes ces annes ? Nest-ce pas elle qui ladcor et glorifi ? Un journal canadien, le Weekly World News dat du 14 fvrier 1995 a intitul un de

ses articles : "La NASA reoit des signaux radio du centre de la Terre". Le journal aprcis : "Cap Canaveral, Floride - la NASA reoit des signaux radio qui viennent del'intrieur de la Terre. Des experts pensent que ces signaux sont mis par une formede vie intelligente et trs dveloppe". Des scientifiques auraient peru les premierssignaux le 30 octobre 1994, grce des satellites trs sensibles. "Depuis ce jour, lesmissions se sont renouveles intervalles rguliers" prtend un haut responsablede la NASA qui ne souhaite pas donner son nom. "Les signaux radio seraientcomposs d'un code mathmatique trs complexe qui a convaincu les scientifiquesqu'ils taient en contact avec une colonie d'tres vivants dont l'intelligence est sans

doute suprieure la ntre". L'homme de la NASA dit que les scientifiques n'ont paseu trop de mal dchiffrer les messages, mais il a refus plusieurs fois de rvler cequ'ils contenaient (in Yellow Book N 6).

Les nombreuses photographies des diffrentesplantes du systme solaire montrent des tachesanormales au niveau des ples ou des aurorespolaires dont on ne connat pas (ou on ne souhaitepas expliquer) l'origine. On a remarqu cesdernires annes que Saturne et Jupiter, qui fontpartie des plantes les plus loignes du soleil,dgagent pourtant plus de chaleur qu'elles n'en

reoivent du soleil.Ci-joint, une ancienne photographie de Mars. Elle date du 4 aot 1969, clicheffectu par la sonde Mariner 7. Notez bien l'trange clart qui ressort du ple Sud,alors que toute la partie sud est justement en pleine nuit martienne. Si c'tait de laglace, elle ne ressortirait pas de la sorte de l'obscurit la plus totale !

La Terre Creuse selon Marshall B.Gardner.


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Vous l'aurez compris, tous ceslments vont dans un seul et mmesens. Celui d'une Terre Creuse avec, ses deux extrmits, deuxouvertures laissant s'chapper lalumire et la chaleur d'un soleilintrieur. La plante Terre n'est pasun cas isol, aprs l'analyse desphotographies des autres plantes dusystme solaire, on peut sans l'ombred'un doute conclure que toutes lesplantes suivent la mme loiuniverselle de fabrication. De plus enplus de scientifiques le pensent maisne peuvent l'exprimer ouvertement.Alors pourquoi nous ment-on ?Pourquoi tant de mensonges alors

qu'il serait si simple de dire la vrit ?Et bien non, l'affaire n'est pas aussisimple. Avouer que toutes lesplantes sont creuses seraitd'admettre que la Terre l'estgalement. Avouer que la planteTerre est creuse et habitable

impliquerait de devoir rendre des comptes auprs des populations de la Terre et impliqueraitgalement de devoir faire des expditions en son centre et c'est pour l'instant totalementimpossible.Pourquoi ? Parce que conformment aux nombreuses lgendes de notre plante,conformment aux diverses dcouvertes exposes dans ce dossier et en accord avec les

traditions du Tibet, l'intrieur de la Terre est effectivement dj occup par une civilisationpourvue dune spiritualit et dune intelligence trs dveloppe. Au fil des annes, traversdes films et reportages, notre civilisation est volontairement familiarise l'ide d'uneexistence extraterrestre, mais elle n'est sans doute pas encore prte accepter le fait qu'unecivilisation hautement volue vive sous ses pieds.Qui sont ces gens ? Ces tres, en accord avec de nombreuses lgendes et traditions dumonde entier, sont nos Crateurs et ont eu, par la force des choses, leur charge legardiennage de la Terre et de l'humanit.

Qui sont ces gens ? Ces tres, en accord avec de nombreuses lgendes et traditions dumonde entier, sont les crateurs ou re-crateurs de la Terre et de ses habitants et sont

souvent assimils des Serpents, des Dragons ou autres reptiles dtenant les grandssecrets du monde.

Hans W. Lintz & Anton Parks - Janvier 2001 / Mai 2004 / Avril 2006

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Les Mondes Creux (Anton Parks)

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