Les Lettres Hébraïques Des Énergies Vivantes

8/9/2019 Les Lettres Hbraques Des nergies Vivantes

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Les lettres hbraques des nergies vivantes

Nous abordons cette saison ltude des lettres hbraques. Il ntait pas coutume il y a vingt anspour un Chrtien dapprendre lhbreu et je crois assez unique quun homme, ayant reulinitiation de la !abbale la transmette " un non#$ui%. Cest ce cadeau royal que jai reu que jevais essayer de vous transmettre. &n m'me temps que je recevais cette tradition je %aisais mestudes de thologie dans le Christianisme (rthodo)e et javais limpression e)traordinaire deboire au) deu) mamelles de la m'me m*re, car les deu) disaient la m'me chose en partant, lun,de la course qabbalistique hbraque, et lautre de la tradition chrtienne. $e crois que leChristianisme qui re%use ces bases hbraques, se coupe de ses racines et le $udasme, tel quil esttransmis par la !abbale, pour moi, dbouche sur le message chrtien. +ivre ainsi cettecoe)istence de deu) traditions a t pour moi une charni*re norme qui ma oblige de vivredune autre %aon et qui mimposait de transmettre ce que je recevais.

&t cela mincite " vous %aire comprendre quil ne sagit pas pour vous de vivre ce messageuniquement sur le plan intellectuel, parce que cela %ait bien -, mais que nous allons travaillerces lettres hbraques qui sont des nergies vivantes et qui %ont cho en nous " des %orces%ondamentales, nous obligeant " nous trans%ormer.

Cest dautant plus vrai quil y a une correspondance troite entre chacune de ces lettres etchacun des organes et membres de notre corps, dont je ne vous parlerai pas maintenant,mais qui pourrait peut-tre constituer un troisime volet de notre tude

Il y a un te)te qabbalistique hbreu qui dit que lorsquun mystique jui% mditait de %aon pasjuste toute une nuit sur une lettre, il se retrouvait le lendemain matin avec une altration de lapartie correspondante de son corps. &t le ohar nous dit que lorsque le /aint, bni soit#Il, jouaitavec les 0mes des lettres de lalphabet, Il en %aisait /es dlices.

1apr*s les 2breu) ces lettres sont de petites lettres cres par rapport au) grandes lettres -archtypiques qui sont les nergies divines, incres. 1e m'me quil en est pour le corps humainen tant que symbole dont je vous parlais la saison derni*re, elles sont relies " leurs archtypespar ce que jappelle un cordon ombilical -, un cordon nourricier, qui nous in%ormeconstamment.

3criture hbraque proc*de dcritures tr*s anciennes, comme dailleurs toutes ces langues donton ne conna4t pas lorigine. Nous nous rendons de plus en plus compte que cest la langue qui%ait le parlant, que cest le +erbe qui nous cre, qui nous structure " chaque moment. 5risonniersde nos catgories mentales nous avons lhabitude de penser le contraire. (r le +erbe estvibratoire, il nous in%orme au sens cyberntique du terme, il nous in%orme par lintrieur et notre


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%orme humaine nen est que le rsultat. Nous comprenons alors que chacun de nos organes peut'tre reli " la vibration de chacune de ces lettres.

Nous naurons pas le temps de raconter tous les avatars de ces lettres, de leur sculpture, maisnous pouvons dire que du temps d&sdras, apr*s la dportation de 6abylone, au I+e si*cle

environ avant $.#C. la langue et les lettres ont reu leur derni*re %orme. 5ersonnage e)tr'mementimportant dans lhistoire de lcriture hbraque, il a %ait au niveau de la langue, des lettres et dessons, une sorte de circoncision qui leur a donn une densit dnergies vibratoires que nous neretrouvons dans aucune autre langue, sinon peut#'tre dans le sans7rit. &lle se pr'te " des lecturesallant de plus en plus loin, comme si le %ruit ntait jamais le dernier.

!emarque" que lcriture est une cruci#i$ion %n #igeant le &erbe qui est crateur, nous lui#aisons subir une mort

&sdras a %orm les lettres au nombre de vingt#deu). Ce ne sont que des consonnes, les voyelles

ne)istent pas en hbreu. /elon les di%%rents mots la prononciation est autre. 8insi le mot 1aviddans un autre conte)te va se prononcer 1vod et ce sera un tout autre mot qui signi%iera lain, lechri. &t pourtant ce sont les trois m'mes lettres, les trois m'mes nergies qui structurent lesdeu) mots qui, pour nous, sont tr*s di%%rents, mais qui, dans la conscience des 2breu), ont unlien troit.

Nous trouvons souvent dans la langue hbraque au niveau du m'me mot des contradictions quinous %ont dresser les cheveu) sur la t'te. Cest ainsi quune m'me racine donne le mot /aint -et le mot prostitue -. Ce sont les m'mes nergies qui %ont dcouvrir la cle% du message

e)traordinaire de cette langue.

6ien s9r pour %aciliter la lecture on intercale entre les consonnes des lettres qui sont appeles m*res de lecture -, matrices de lecture - mais, alourdissant la langue, elles ne seront pasgardes. :aintenant dans la ;hora nous allons trouver sous ou " c


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Chacune des lettres va correspondre " un nombre. 3un et lautre sont insparables. ;ous deu)sont une nergie, ic


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3e *leph, en %ait, est %orm par une autre lettre qui est transversale, le &avet deu) petits +odenserrs par le &av, ce qui lui donne le nombre proche du ;tragramme divin, Kod#2#+ov#2qui a pour valeur arithmologique ?D.

3e *lephL >. 1oM vient le > E nous ne le savons pas, de m'me que pour le point en gomtrie,

nous ne pouvons lui donner une origine. &t nous verrons que toutes les autres lettres vontprocder de lui. Il semblerait quil soit un don divin par e)cellence. Il est curieu) que le point quiest ind%inissable est aussi une ngation dans sa signi%ication dialectique. Il est et il nest pas. Ilen est de m'me pour le > et pour le *lephqui symbolise par ses cornes et leurs trans%ormations,cette nergie divine cratrice.

5our interroger les lettres je mappuierai beaucoup sur une histoire cite dans le ohar 8pr*sque le /aint, bni soit#Il, jouait avec les vingt#deu) lettres de lalphabet, les unes et les autres, encommenant par la derni*re, comme dans une danse sacre, sont venues le trouver pour luidemander le privil*ge de prsider " la cration du monde. Chacune se rclame de commencer unmot dune grande beaut. &t le /aint, bni soit#Il, leur rpond " chacune ;u es belle, tu esbonne, tu es magni%ique, mais tu es rserve pour autre chose. (u bien tu commences tel mot, oubien tu en %ais partie et, en consquence, tu ne peu) absolument pas le quitter et je ne peu) pas tedonner la prsidence. - &t toutes les lettres sont renvoyes les unes apr*s les autres jusqu" ceque la lettre eith, venue se prsenter " son tour lui dit $e commence le mot avec lequel on ;ebnit en#haut et en#bas -. &t le /aint, bni soit#Il la retient et lui dit (ui, tu es bnie et tu seras" la base de toute la Cration.

*lephnest pas venu se prsenter et cest le /aint, bni soit#Il qui lappelle. &lle est la seule

lettre " avoir t appele. :ais *leph, dit le /aint, pourquoi nes#tu pas venue E - &t *lephrpond 1abord parce que tu as dj" donn la place au eithet il ne convient pas que ;u lareprennes pour me la donner. - &t la lettre est loue par 1ieu &t bien, si tu ne prsides pas " lacration du monde, tu es rserve pour quelque chose de beaucoup plus grand encore O - &t lonsent que la lettre*leph va mailler la langue hbraque comme pour la %conder dune mani*reessentielle, car ce sera toujours elle qui va apporter la lumi*re divine, sans laquelle les autreslettres ne pourraient pas vivre.

*lephva nous poser le probl*me du pourquoi de la Cration. Car, " partir du moment oM *lephva poser le eith, le > posant le ?, oM 1ieu va poser laltrit, nous entrons dans le myst*re.

5ourquoi le *leph, tant tout le don de lamour divin, 1ieu a#t#Il encore besoin de crer E

Nous verrons, au %ur et " mesure que nous entrerons dans lintelligence des lettres, que le > sesu%%it " lui#m'me, quil na pas besoin du ?, tout en en ayant besoin. 1ieu a besoin et na pasbesoin et cependant dans /a per%ection absolue, Il a besoin de cette cration qui viendra sajouter" sa per%ection pour lamener encore " un plus que par%ait.


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1e m'me, dans notre volution personnelle, nous devons tendre vers un quilibre par%ait qui, " lalimite, est la mort et qui devra se rompre un jour pour nous amener encore plus loin. Cest ainsiquon arrive " comprendre le eithqui, en entrant dans le myst*re de l*leph, qui se donne pour'tre reu, rejoint celui#ci et lenrichit. Cest pourquoi, lorsque ces deu) lettres sont poses, toutest dit, le rythme est cr, nous pourrions nous arr'ter l".

&t si les autres lettres viennent enrichir la danse sacre, cest pour poser les lois qui vontpermettre " eithde rejoindre l*leph.

!uest#ce que eithpar rapport " l*lephE Cest une lettre pratiquement carre dont un c


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au moment de la 5entec.>=RQ

Une premire partie de la runion se passe rcapituler pour des nouveaux venus, les sujets dela runion doctobre, cest--dire les lettres Aleph et Beith. Nous ne reviendrons pas l-dessus. $ai termin la derni*re %ois, dit 8nni7 de /ouzenelle, en disant que tout pourrait sarr'ter l", le> ayant pos le ? et le ? devant revenir au >. ;outes les autres lettres vont raconter ce retour. 1j"dans le .uimel qui est la lettre @ nous allons trouver lnergie ncessaire au eithpour retourner" l*leph. 1ans chaque lettre qui va suivre, nous verrons le r


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jardins - actuels sont des illusions, des prisons, mais lorsque ceu)#ci sont ic


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se)e, cest parce quil doit y avoir une se)ualit vcue de %aon juste et non de %aon dlirantetelle que nous le voyons actuellement sous prte)te de libration.

Cest comme cela quest construit le chameau, il est le porteur deau, il est le porteur delibration et, en mme temps, il implique la circoncision

1eu) oprations se %ont le troisi*me jour de la cration, dune part leau den#bas %ait appara4trele sec, appel terre et, dautre part, appara4t la verdure. (n peut dire que le nombre @ nest passeulement lnergie qui va nous conduire " notre *leph-eith, mais il est aussi symbole de la%condit essentielle qui nous permettra de mettre au monde l&n%ant 1ivin.

3e1aletha la valeur B. Il a la %orme dune petite potence et veut dire porte. /on histoire estsimple. Il est reprsent par un triangle, un peu comme la porte dune tente, dune maisonprimitive. 3e triangle, comme les autres lettres, va devenir plus ou moins de travers, pencher "droite et " gauche. Il est trange de voir cette lettre qui a pour valeur B, reprsente par un

triangle con%ormment " ce que le /aint, bni soit#Il lui a ordonn, " savoir de ne jamais sesparer du @. 8lors de quoi sagit#il E

3e nombre B, cest lquilibre, la stabilit, larr't par rapport au @ qui est le mouvement,lnergie. 3e B rend aussi quelque%ois compte dune preuve, " la limite dune quarantainee%%ective, puisque lie " une maladie contagieuse qui sincube pendant quarante jours, ou encore" cette coutume mystrieuse de quarante jours apr*s la mort oM il se passe toujours quelque chosede tr*s important que nous ignorons. Il est intressant que ce B soit un arr't, une preuve et, enm'me temps une porte.

&t )em, le nombre BA signi%ie la matrice, le lieu de la gestation qui se termine par une porte.3en%ant, en naissant, sort de la matrice de sa m*re pour entrer dans une autre matrice, celle deson %oyer. Nous allons toujours de notre naissance " notre mort de matrice en matrice, danslesquelles nous avons " assumer notre gestation. &t lorsque le temps sera venu, nous na4trons "une naissance que nous ignorons. /i nous voyions la mort de lautre c


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3e mot 1alethcorrespond donc au B, la lettre av" BAA et le Lamed qui est au milieu, au @A.&ncore une %ois le 1aleth et le .uimel sont runis. :ais sils ne doivent pas se sparer, ils nendoivent pas davantage scraser lun, lautre. Ils doivent 'tre ensemble dans un juste rapport. /ile B crase le @, les structures seront prgnantes, si le B prdomine sur le @U le Lamed, symboledu mouvement, de vie, ne)iste plus, il ne reste que la matrice qui se dess*che, devient strile.

&t que reste#t#il E 3e mot 1ath %ait du 1alethet du av, qui veut dire la 3oi. (r si cette loi esttrop contraignante, elle crase la vie. &t si la vie na pas de loi, elle ne peut grandir. :ais ces loisne sont pas immuables et au %ur et " mesure que lhomme va grandir, les lois aussi setrans%orment.

8nni7 de /ouzenelle %ait alors un parall*le entre lpoque que nous vivons et oM les gnrationsqui montent %ont clater toutes les lois. 3e drame, dit#elle, cest que la gnration actuelle %aitsauter la morale, mais quelle na pas de point de r%rence pour trouver une autre loi, parce queleurs parents nont pu en rendre compte, ne layant pas trouve en eu)#m'mes. Car il nest quensoi que lon trouve ces lois. Cest le %ait d'tre adulte. Il est important daller " la recherchedautres lois qui ne soient pas contraignantes, mais libratrices, parce quelles nous permettrontde grandir.

&oici notre 5 qui nest juste que sil est au service du 6, du .uimel La structure estinsparable de la vie

/i on trace sur deu) triangles homologues les jours de la cration on saperoit que le jour uncorrespond au jour quatre, que le jour deu) correspond au jour cinq et que le jour trois

correspond au jour si).

1onc le premier jour %ut celui de la rvlation de la 3umi*re et le jour quatre %urent crs lesluminaires dans le ciel. 3e jour deu) il y eut sparation des eau) den#bas et des eau) den#haut,tandis que le jour cinq %urent crs les oiseau) dans le ciel et les poissons dans leau. 3etroisi*me jour %ut celui de la sparation du sec et de lhumide et de lapparition de la verdure, desarbres, de toute cette %condit. 1eu) oprations se %ont aussi le si)i*me jour, la cration desanimau) et de lhomme. 3e septi*me jour 1ieu se retire a%in que toute sa cration puisselibrement retrouver le chemin, la remonte de ses nergies. 8insi, lorsque lhomme arrive ledernier, il rcapitule le tout, il est tout cela dans ses structures intrieures, il est le :I et le :8, la

tn*bre et la lumi*re, le soleil et la lune.

Petourner au *leph, cest#"#dire au 5*re, cest remonter tous ces niveau) nergtiques que nousportons " lintrieur de nous#m'mes.


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1onc, le quatri*me jour, cration des luminaires, le grand pour clairer le jour et le petit pourclairer la nuit et un petit troisi*me, les toiles qui sont le Lamedentre les deu) colonnes duquatre, colonnes du 1aleth, sortes de chambranles symbolisant ses structures.

1ans l*pocalypse l*p7tre 8ean dit 2 Les sept toiles sont les sept *nges des sept %glises 4

Ce sont ces 8nges qui parcourent lchelle en montant et en descendant. Ce sont ces nergies quiviennent den#haut pour nous nourrir et nos nergies qui viennent den#bas et qui vont " larencontre des autres.

1ans ltude des autres lettres nous verrons encore que le soleil et la lune correspondentau$ structures espace9temps 3a lune va marquer le temps et le soleil lespace. :ais en haut delchelle il ny a plus ni espace, ni temps, ni soleil, ni lune, car Kod#2#+ov#2 sera ta lumi*re" toujours. - ;ant que nous ne sommes pas relis au 1ivin que nous sommes, nous traverseronsdes espaces lis au temps. Cest pour cela que quand nous mourrons, nous ne serons pas tout desuite dans lternit Nous entrerons dans un nouveau temps. Ces quarante jours apr*s la mortU "quel temps, correspondent#ils E Nous ne le savons pas. &t ce nest quapr*s la mort quil y auravolution " travers des espacesXtemps, " travers ces terres nouvelles - dont parle l8p


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est lhomologue du :%, il y avait eu sparation des eau), le :am stant spar en deu)%ormant le monde du :I, celui den haut et du :8, celui den bas. Nous voyons donc que lesoiseau) symbolisent toute lvolution vers le monde den haut et que les poissons sont le germeden bas.

3orsque la lettre:%alla trouver le /aint#bni#/oit#Il pour lui demander de prsider " la crationdu monde, le /aint#bni#/oit#Il la renvoie en lui disant quelle tait avec le &*& et le +;1charge de %ormer le ;tragramme 1ivin, Kod#2e#+ov#2e, et que consacre " une si importante%onction, elle navait pas " en rclamer une autre.


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8u contraire tous les symboles des oiseau) vont 'tre ceu) de la monte dans la lumi*re depuis leplus petit des oiseau) jusquau plus grand, laigle, dont il est question aussi bien dans les mythesgrecs que dans l8pocalypse.

&oici donc les deu$ sou##les ascendant et descendantCest la vie humaine. 3e sou%%le nous est

donn dans les deu) narines qui sont les prolongements des poumons. 3e jour oM 8dam a tcr, 1ieu sou%%le un sou%%le de vie dans ses narines, l0me tant don du sou%%le divin.

La lettre :% reprsente larticle d#ini *insi si *dam est le nom d*dam, :*-*1*) est 2Le 4 *dam *utrement dit, chaque personne et chaque nom en hbreu est d#ini par laqualit de son sou##le

3es deu) :%prolongent les deu) poumons. 1autre part ce nest pas un hasard que nous ayonscinq doigts " chaque main, lesquelles runies vont %aire le +odFvaleur >AG, mariant ainsi toutesnos contradictions, les intgrant totalement. 3e +odqui est cens 'tre situ " la base de lacolonne vertbrale, commence alors " vibrer et " remonter le long de lpine dorsale et lorsquilaura atteint son sommet, lhomme sera devenu Kod#2e#+ov#2e 3ui#m'me. Il entrera dans ladimension du 1ieu quil est en puissance.

=ymboliquement nos deu$ mains sont e$trmement importantes &lles sont insparableslune de lautre et %ont lYuvre du +od. Comme on parle dun troisi*me Yil par rapport au)yeu), on pourrait dire que le +od est la troisi*me main. Kod veut dire main -. Cette troisi*memain reprsente ce %aire - intrieur que nous sommes enjoints daccomplir dans notre vie et quiest symbolis par le %aire - e)trieur, en particulier par le travail manuel qui joue un grand r


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/i bien que par e)emple en lisant la Ten*se, on se trouve devant un %utur qui est aussi un pass,cest#"#dire ni %utur, ni pass, donc prsent. 3a %orme verbale va rendre compte dun verbe quiest de tous les temps, qui est de linstant, mais qui sincarne aussi bien dans le pass que dans leprsent et le %utur. 3e verbe 'tre est pourtant employ une %ois au prsent dans l&)ode IH, unpeu avant que :ose va se mesurer avec le 5haraon. 1ieu dit " :ose ;u diras " 5haraon que

sil ne laisse pas sortir les 2breu) d&gypte, la main de Kod#2e#+ov#2e est sur 5haraon, sur sontroupeau, sur son peuple, sur tout le pays, etc. - Cette phrase si grave contient deu) %ois Kod#2e#+ov#2e une %ois par la main et une %ois par lui#m'me.

8dapte " notre temps elle signi%ie /i nous ne laissons pas sortir d&gypte, cest#"#dire dumonde de la servitude, nos nergies consacres " %aire le+od en nous, alors la main de Kod#2e#+ov#2e est sur nous et toutes ces nergies se retourneront contre nous, crant des maladies, descancers, des dpressions nerveuses, etcZ, etcZ

Le mot *&*:, cest le dsir, il ren#erme aussi la notion du >re

Anni de !ou"enelle nous cite encore plusieurs mots intressants drivs de la lettre #$, %ue noslecteurs trouveront dans son livre & ' (a (ettre, chemin de vie. )

Nous passons " prsent " la lettre&*& qui a pour valeur D et qui signi%ie le crochet, le clou, cequi relie un objet " un autre objet ou " une chose. &t cest en e%%et le &*& qui est la conjonction Udonc encore ce qui lie. /on histoire est simple, cest un crochet qui comme il en est de toutes leslettres, volue et va tr*s vite devenir non pas le vritable Kpsilon, mais une lettre qui a disparu, ledigamma, lettre grecque. &lle sest con%ondue avec Kpsilon pour donner notre K " nous.

1e m'me que le:%et le +;1, le &*&%ait partie de ;tragramme Kod#2e#+ov#2e. &lle est la

conjonction et -. /ymbole du si)i*me jour de la Cration au cours duquel apparaissent lesanimau) des champs, la terre et lhomme, deu) oprations divines comme au troisi*me jour oM ily eut sparation du sec et de lhumide et la cration de la verdure et de larbre. Car " de di%%rentsniveau) lhomme et larbre dans la pro%ondeur sont une m'me ralit.

Lhomme est un arbre, larbre est un homme en devenir 3homme est aussi lanimal,puisquil est la rptition de toute la Cration, de toutes ces nergies quil a " redevenir dans une)pire. 1ans linspire il est appel " remonter tous ces niveau) nergtiques et " redevenir lalumi*re du premier jour.

3e &*&, cest lhomme, la colonne vertbrale cosmique de lunivers, il est microthos, un petitunivers, et macrothos, reliant le cosmos tout entier au 1ivin. Il est la P8!K8#/28:8I: -qui unit le monde du :8 au monde du :I et lorsque lhomme est total, il est " limage du Christ.

3a posture de lhomme sur la terre est quelque chose dimmense, comme le dit le premier despsaumes 2eureu) lhomme qui est dans le Conseil des $ustes, il est comme un arbre plant "


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la rupture des eau) -. 3a rupture des eau) - est la r%rence au second jour de la Ten*se, cest#"#dire quil a les pieds dans le :8 et la t'te dans le :I.

8nni7 alors nous cite les mots intressants en rapport avec le &*&, comme 6( %orm par larencontre d*leph et eith" travers la conjonction et -, qui signi%ie le devenir, mais aussi

pntrer, cest#"#dire que cest toute la cration qui entre dans la ;erre 5romise, dans la derni*reterre.

1avid signi%ie le bien aim -. &crit en lettres hbraques, le &*&est saisi entre deu) portes le6ien aim est celui qui est, en marche, qui sort dune structure pour aller dans une autre, quipasse des portes successives, les chelons de lchelle. Cest celui#l" qui est aim.

3e mot 8(P que nous tudierons avec la lettre !eishest la lumi*re. 8yant pour valeur ?AA il estcomme un autre eith.

=i eith est la maison, !eish est la maison au niveau cosmique Nous sommes renvoys "lide non seulement de rceptivit, mais aussi de rsistance. Car nous touchons l" aussi bien au)structures physiques, que psychologiques, et que spirituelles du monde, car il ny a lumi*re quesi il y a rceptivit, voire rsistance " la lumi*re, rsistance qui, en m'me temps, la rv*le. /ur leplan psychologique je ne peu) donner toute ma tendresse que si la personne qui en est lobjet nela %uit pas. /ur le plan spirituel, cest la grande aventure de lhumanit avec son 1ieu.

Nous pouvons dire que toute laventure du peuple hbreu va 'tre une histoire de rsistance avecson 1ieu. $ob par e)emple, naccepte ses preuves que sil les comprend et cest un peu la m'mehistoire avec $ean#6aptiste par rapport au Christ. :algr sa rsistance il conduira lhumanit " ladimension chrtienne.

(l y a lumire que quand cette rsistance se #ait rceptivit

Nous allons encore parler de la lettre ?*(


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prtend elle aussi " prsider " la Cration, premi*rement parce que /ouviens#toi - en hbreucommence par la lettre ?ainet, deu)i*mement, parce que le /abbath a lieu le septi*me jour.:ais le /aint#bni#soit#Il, la renvoie en disant Non, tu ne prsideras pas " la Cration puisquetu es comme le


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aussi lcoulement divin que les 2breu) appellent le sperme divin - qui descend dans l8rbrede +ie et qui va %conder tous les mondes, cest le pays de 28+I382, l" oM coule lor.

Le ?ain est la toute premire lettre qui nous spare du +od aprs que lhomme ait vcu le B3e passage du D au R est %antastique, parce que lhomme qui reste dans le D, reste dans la

rptition, dans la cha4ne du /ams0ra. 3e R, ce sont les terres nouvelles, les cieu) nouveau) quenous trouvons aussi dans l8pocalypse. Cest tr*s important de passer ce D, de vivre le /habbathqui est la Wille qui touche " la derni*re terre et qui donc saccomplit.

Nous verrons la prochaine %ois le :%(:, la premi*re barri*re oM nous allons 'tre tests sommes#nous oui ou non capables daller plus loin E 3es 3ois sont implacables.

Compte rendude la rencontre du >>.>.>=R=

*e nouveaux venus incitrent Anni de !ou"enelle reparler du +A+, la lettre %ui tient le centre

du traramme od-#e-+ov-#e. Nous renvo/ons nos lecteurs au prcdent compte rendu.3e?ain, le :eithet le eithsont comme les matrices du +od, la derni*re lettre. &lles vont 'trecrites de telle %aon que le Kod se trouvera au milieu delles. 3e Kod ne pourra na4tre que quandles nergies, apr*s avoir jou dans le?ainet le:eith, seront prsentes au niveau du eith.

3e ?ain, li au nombre R, est symbole de la plnitude acquise et chaque %ois quil y a uneper%ection, il y a ncessairement une rupture de cette per%ection pour passer " un autre cycle.

Le =habbath, li au ?ain, le septime jour, cest le retournement du 1ivin qui nest pasautre chose quun retournement de la conscience pour passer ' un autre plan de

conscience1ieu va 'tre par%aitement insaisissable, Il va laisser jouer la Cration a%in de se %aireconna4tre. &t, " partir du :%(:, cela va 'tre toute cette aventure de la conqu'te du 1ivin par laCration.

La lettre :%(: a pour valeur , elle est linitiale du mot :eith &lle est comme un petitrectangle ouvert " la base. 8 ne pas con%ondre avec le :%.

:%(:, qui e)prime une ide de barri*re, va voluer tout au long des deu) millnaires quiprc*dent notre *re chrtienne, jusqu" %aire le &;8 grec qui va donner notre 2, sans en avoir leson guttural.

>ourquoi cette barrire 0 5arce que suivant lvolution que je vous ai propose, nous venonsde vivre un plan de ralit oM tout a t vcu en plnitude.

3e?*(


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nous navons pas acquis les structures ncessaires pour y pntrer, nous risquons d'tre br9ls,anantis. Cette barri*re est semblable " tous les Tardiens du /euil des di%%rents mythes. Il nous%aut donner le mot de passe qui ne signi%ie pas seulement une reconnaissance entre %r*res,comme il en est le cas dans les socits initiatiques, mais il reprsente la vibration qui correspond" un champ nergtique nouveau et si nous ne sommes pas capables de le prononcer, de le vivre,

donc de l'tre, nous ne pouvons pas entrer. Ce ne sera pas le %ait dune punition, mais une mesurede prudence. 3a barri*re est l" pour le vri%ier.

3a lettre :%(:est %aite du +od quentourent le :eithet le av. /i nous supprimons le +od,nous lisons 2ath, cest#"#dire le mot terreur -, li " lide du Trand \uvre alchimique oMlesprit dpendant dun nouveau champ de conscience est terri%i. Il est certain que quand nousentrons dans une nouvelle terre, il y a crainte et tremblement. Nous sommes devant linconnu etcet inconnu %ait peur. &n hbreu le mot ;&P8 qui est la crainte -, donne naissance au 2ierosgrec, qui est le sacr.

1ieu, le si$ime jour demande ' lhomme de nommer les animau$ des champs, cest-'-diredavoir sur eu$ le pouvoir qui lui #ait conqurir son premier champ de conscience

5uis 8dam est plong dans le sommeil, ;8P1&:8 Fm'me racine que ;horaG, qui est la descentedans la pro%ondeur, cest#"#dire quil doit %aire tout ce cheminement " partir de limage de 1ieuque nous sommes, jusqu" aller vers sa par%aite ressemblance F1&:8G et devenir Kod#2e#+ov#2e.

*prs que lhomme eut nomm les animau$, 1ieu lui #ait connaDtre son #minin, cest-'-

dire la pro#ondeur de son tre, son puits pro#ond dans lequel sont toutes ses nergies3homme nu de la 6ible, cest lhomme tout " %ait connaissant qui conna4t le chemin. 3a notionde honte est %ausse, cest le verbe attarder -, il ne sattarde pas, mais va tout de suite plus loin.Il sait ce qui lui reste " %aire.

Le serpent qui est 2 connaissant 4 se #ait barrire Cest lui qui va nous tester, car nousavons ' devenir les nergies quil reprsente

1ans le mot 28C2&1&N, les animau) des champs, les deu) :%sont runis. Ils ont chacun lavaleur . Pemplacs par le +od F>AG nous trouvons le nom divin /2818I qui est le ;out#

5uissant.

3e serpent, instrument du 1ivin a pour nom en hbreu, N828/2 avec au centre le :eithentrele


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3e serpent nous o%%re ce %ameu) %ruit, cest#"#dire une nourriture que nous ne sommes pas encorecapables dintgrer. Ntant pas capables de vivre les lois sans les en%reindre, les vnements seretournent contre nous. Cest ce que nous vivons aujourdhui encore au lieu davoir, apr*s le:eith, pu atteindre le +oddans lharmonie et non dans la douleur.

/uand le :eith est vu se prsenter devant le =aint-ni-soit-(l, il a t renvoy, car ilcommence le mot :** qui veut dire 2 pch 4

28;8 est le mot que nous rencontrons pour la premi*re %ois dans lhistoire de Can et d8bel.(n parle beaucoup du pch originel -, terme e)tr'mement mauvais, car quavons#nous " %aireavec quelquun qui a commis un pch dans la nuit des temps E 3a Ten*se est un prsent etchacun de nous participe dune erreur. $e suis convaincue que la rdemption est davantage lie "lhistoire de Can et d8bel qu" cette %aute ontologique, parce quil y a tout le drame du sangqui y coule et que la terre boit. &t nous allons voir que le Christ a donn son sang pour puri%iercette terre du sang d8bel. 3e mot pch - nappara4t quavec le mythe de Can et d8bel. Ilsigni%ie dailleurs le %ait de mal viser - plus que de pcher.

3orsque Can jalouse son %r*re parce que son o%%rande na pas t reue, 1ieu lui dit /i turel*ves ton visage FsymboliquementG, si tu vis cet vnement au plus haut niveau de ton 'tre,avec lintelligence des choses divines, ;ov - O cest bien O :ais si tu regardes en#bas, le pch,28;8, se couche " ta porte et il porte ses dsirs sur toi. 1omine#le -. &t nous voyons que quandlhomme est pris dans des vnements passionnels, ce nest pas lui qui dsire %aire le mal, maiscest le mal qui dsire lhomme.

Celui qui dsire est toujours en tat din%riorit par rapport a celui qui est dsir, il est esclavede lobjet dsir et celui#ci a une puissance sur lui. 1onc si Can entre dans lintelligence divinedes vnements, il ne donnera pas prise " ses dsirs. :ais visant mal -, il a donn "lvnement une puissance sur lui, puissance que seul 1ieu doit avoir. Il y a trans%ert depuissance et les nergies alors se retournent. 3homme est intervenu et a transgress toutes lesbarri*res. 28;8 ontologiquement est un garde#%ou.

*!, *leph et :eith, signi#ie 2 #rre 4 et cest par lui que *leph, le 1ivin, se #ait barrire

!uil est bon pour des %r*res de vivre ensemble " condition que cette %raternit soit vcue

vraiment par le dpassement de cette barri*re qui se prsente " nous pour trouver le 1ivin autravers de tous les crans psychiques. &t si nous trouvons le 1ivin dans lautre, nous le trouvonsaussi en nous, parce quil y a rsonnance. Cest pour cette raison que les communauts sontlpreuve la plus di%%icile. (n ne peut vivre ces barri*res successives que sont tous les autres dansune communaut, que si on a conscience du 1ivin.


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;r*s proche du 8P il y a le nombre > qui est un des noms divins, &281, dans lequel il y asurtout cette notion de %r*re. 1ans le ttragramme le %r*re, cest chaque :%qui a pour %r*relautre :%, et chaque :%doit pouser lautre, doit passer la barri*re et structurer toute cettecolonne vertbrale, cette chelle de $acob que nous avons " vivre pour construire le sommet denotre temple.

La lettre %(: ne correspond pas ' un mot Lhiroglyphe primiti# cest lcu, le bouclier,donc encore une barrire

;out au long de la 6ible nous retrouvons cette notion. 8insi 1ieu, avant que :ose ne revienneen &gypte pour librer les 2breu), se met sur son chemin pour le %aire mourir. 1ieu se %aitbarri*re, a%in que :oise puisse se mesurer " 5haraon et permettre au) 2breu) de sortird]gypte, de leur matrice, dassumer leur naissance lorsquils passeront pas la 50que, la :erPouge, etc. 1ieu va le tester. Cest une mort initiatique. 3orsque se %ait le dpassement desbarri*res, il y a libration.

/i le R, le?ain, est une mort, le Q, :eith,est une barri*re et la rsurrection au#del" de la barri*re.3es baptist*res primiti%s taient octogonau). 3e nombre Q est bien le symbole de la rsurrection.

Il est juste quavant de rencontrer le +odnous avions " nous mesurer au eith, au bouclier, leKod#2e#+ov#2e tant le pro%il de lpe. 3a rencontre de lpe et du bouclier se retrouve danstoutes les guerres saintes, la guerre sainte que nous devrions mener " lintrieur de nous#m'meset non " le)trieur. Cest l" que se rencontrent lpe et le bouclier.

Lhomme, avec le nombre E, va symboliser la dernire per#ection 3e R, la per%ection acquiseimpliquait une rupture de cette plnitude pour passer " un autre plan. 8rrivs au =, lhomme et laCration toute enti*re se rev'tent dune per%ection totale. &t lorsque le bouclier a pu vri%ier lapossibilit de la personne de mettre au monde le +od, donc de rencontrer lpe, il se retourne etse %ait coupe. Il reoit alors lpe.

Ce =, symbole de per%ection se retrouve chez 5ythagore, 5laton, avec les neu% :uses, les neu%5rophtesses de lIle de /ein chez les 1ruides, les neu% 6atitudes qui contiennent toute ladimension de lvolution de lhomme dans la perspective chrtienne. Cest tout le Trand \uvre8lchimique qui saccomplit.

3eeithva se prsenter devant de /aint#6ni#soit#Il, se rclamant d'tre linitiale du mot ;(+./on graphisme est intressant, nous le verrons souvent sous la %orme du serpent qui se mord laqueue. Cest lhomme qui en%ante le 1ivin, cest aussi la naissance de l&n%ant 1ivin. ;ovsigni%ie le bien dans l8rbre de la Connaissance du 6ien et du :al que le serpent va proposer "8dam et " la %emme. Cest aussi le mot qui va ponctuer chaque jour de la Cration. Il sera rptsept %ois et le dernier jour par ;ov :eod, lensemble.


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3e /aint#6ni#soit#Il renvoie la lettre en disant ;u est ;ov, mais tu nest que la graine duvritable ;ov. ;u ne salueras pas la cration du monde, car tu es rserv pour le monde %utur. ;unas rien de commun avec le monde que je veu) crer maintenant. 3e bien que tu reprsentes esten%erm et cach en toi, ainsi quil est crit Trande est labondance de ta bont que tu ascache pour ceu) qui te craignent -. Cest prcisment " cause du bien que tu caches en toi, que

les 5ortes du ;emple seront en%onces dans la terre, ainsi quil est crit dans les 3amentations de$rmie /es portes sont en%onces dans la terre -.

ov ne sera vritablement le ov que lorsquil aura intgr tout ce qui est encore dans latnbre

/i dans la 6ible P8, qui se rapproche de la notion de tn*bre, est considr dans certains cascomme lesprit des &lohim, on pourrait en dduire que 1ieu est lesprit du mal. :ais il ne sagitpas de 1ieu en tant quIl se %ait mal, mais en tant quIl se %ait barri*re. !uand tout ce P8 Fle malGsera intgr au ;ov, le ;ov sera vritablement le ;ov. Ce nest que quand nous serons devenusenti*rement lumi*re, tant alls dans nos pro%ondeurs chercher toute la somme des nergies quinous constituent, que nous serons ;ov. Celui#ci na rien " voir avec le petit ;ov du dpart, cest#"#dire avec llment lumi*re lmentaire du dpart, 3es 5ortes du ;emple en%onces dans laterre sont tout le symbolisme du grain de bl, du ;ov du dpart qui deviendra toute lumi*re.

3orsque toute cette tn*bre est intgre, na4t le +od, la di)i*me lettre qui est le retour " lnit.3es :%, ^ , se sont pouss, la colonne vertbrale aura t construite, lhomme met vraimentau monde le +odquil est, ce Kod#2e#+ov#2e " venir.

=i nous sommes ici runis, cest parce quil y a en nous un appel au dpassement delabsurde e$trieur pour entrer dans une comprhension pro#onde de ce que nous sommesCest +od-:e-&ov-:e qui travaille en nous pour que les :% se marient et que nousdevenions vritablement +od-:e-&ov-:e

+od, cette petite virgule, cest la main, la runion des deu) mains qui nont pas par hasard cinqdoigts. &lles sont le prolongement du sou%%le et quand les deu) mains se rejoignent, elles sontaussi la connaissance. ;oute la main est symbole de connaissance, de)prience. 3a toutederni*re e)prience, cest celle qui a intgr la dualit et qui vit la ralisation du 1ivin total.Cest pourquoi Isa, parlant de cette arrive de lhumanit " la ralisation de son unit, dit Il

ny aura plus ni soleil, ni lune, car Kod#2e#+ov#2e sera ta lumi*re " toujours -. /oleil et 3une,symboles des terres de lespace#temps que nous vivons jusqu" ce que nous entrions dans le1ivin qui est notre dernier espace#temps, lternit m'me.

!ponse ' une question FCe qui est important, cest de bien conna4tre au dpart les neu%premiers nombres, puis le di). Ce sont les nombres des principes. 3e di) sera lactualisation et ledpart dun autre plan. 3es units sont au) dizaines ce quest le premier chapitre de la Ten*se


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par rapport " lautre. 3es structures du monde sont mises en place et dans ce quil est, convenudappeler la seconde Ten*se, Kod#2e#+ov#2e qui nappara4t qu" ce moment, va commencer "travailler. 1ans le premier chapitre ce sont uniquement les &lohim. ;out ce %aire divin vacommencer " jouer dans le second chapitre, Kod#2e#+ov#2e va travailler avec &lohim.3orsquapr*s la cration des 3ois, les principes sont poss, nous entrons dans lnivers. 8pr*s

chaque dizaine il y a un cycle complet suprieur, cest pourquoi le /aint#6ni#soit#Il dit au = ;u seras le =AA et, " ce moment l", beaucoup plus que le =, parce que sera accompli tout cemonde des principes -.

* la #in de la .ense il y a cette phrase que je cite de mmoire F

3es cieu) et la terre sont achevs dans le jour oM 1ieu a cr le ciel et la terre pour les %aire -.3a Cration est loin d'tre %aite, elle na pas encore jou avec Kod#2e#+ov#2e qui est lhommelui#m'me, qui entre en travail avec le Crateur.

Comme il en est dans une Yuvre artistique, lartiste commence " crer, il pose le principe de sonYuvre, mais apr*s il nen est plus le ma4tre, cest lYuvre qui a une personnalit. &lle semparedu crateur et se %ait avec lui.

Compte rendude la rencontre du Q.?.>=R=

*nnicG de =ou"enelle nous rappelle que les trois lettres qui vont sparer le &av du +odcontiennent le +od dans leur ventre3e?ain, le :eithet le eithoeuvrant " sa mise au monde.

3e ?ainqui a pour valeur R est le symbole de larme qui traverse notre tunique de peau, cest#"#dire nos di%%rents plans de conscience et qui nous oblige " mourir " ceu)#ci pour rena4tre au)plans suprieurs. Nous allons aller vers de nouveau) cieu) et de nouvelles terres.

8vec le :eithqui a pour nombre Q, nous avons " traverser une barri*re qui nous obligera "vri%ier si nous avons les structures ncessaires pour entrer dans une nouvelle terre, dans unnouveau champ de)prience.

3e eith, lui, nombre =, est encore une barri*re, celle du bouclier se prsentant devant lpe. 3eguerrier va " la rencontre de lpe, le +od se protgeant avec le bouclier. 1erri*re cette barri*renos structures sont " nouveau vri%ies, a%in que nous puissions atteindre lnergie des nergiesque nous allons rencontrer maintenant et qui est le +od

%t alors le bouclier devient la coupe qui reHoit lpe

3e +odna4t, il a la valeur >A et rejoint lunit. Chaque %ois que nous rencontrons lunit, soit parle > F8lephG, le +od jusquau *leph #inalqui vaut >.AAA, nous aurons acc*s " des plansde)priences di%%rents, tout en retournant " lunit, symbole du 1ivin.


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Le +od se compose de deu$ lettres, le +od et le 1aleth >rononc +ad, il signi#ie la main!uel myst*re que la main O Nous verrons que beaucoup de lettres signi%iant des dizaines,e)priment une partie du corps et nous %eront quitter le monde des 5rincipes pour entrer dans celuide le)prience vcue.

;n parle de deu$ crations du monde qui paraissent contradictoires mais qui, en #ait, secompltent F 1ans la premi*re Ten*se nous sommes dans le monde des 5rincipes, des grandes3ois que pose 1ieu et qui structurent le monde et chacun de nous. 3a seconde Ten*se qui est lam'me, mais vcue autrement, va se)primer par les lettres que nous tudierons maintenant et quie)priment les dizaines et nous allons voir comment lhumanit va vivre ces dizaines.

Ce nest pas par hasard que le)prience vcue arrive avec le mot Kad S la main S car elle est toucher - de la vie. Kad est la structure m'me du mot Kado qui veut dire je connais -, nondune connaissance intellectuelle, mais ce sont tous nos sens qui sont contenus au bout de nosdoigts. 3es mains et les yeu) sont intimement lis comme si nous avions des cellules visuelles aubout de nos doigts. 3a parapsychologie est en train de le dcouvrir. Chacun de nos sens lescontient tous, tout en en privilgiant tel ou tel aspect.

Lhiroglyphe primiti# du +od est une main au bout dun bras rs vite le bras vadisparaDtre et nous nous trouvons devant notre +

3orsque le +odest venu se prsenter devant le /aint#6ni#/oit#Il, 1ieu le renvoie " sa place enlui disant quil lui su%%isait de constituer le Nom 1ivin, le ;tragramme Kod#2#+ov#2.

Il est intressant de remarquer que dans la premi*re Ten*se ctait &lohim qui tait " lYuvre etque ce nest que dans la deu)i*me Ten*se que nous voyons appara4tre Kod#2#+ov#2 aupr*sd&lohim. Ce %ait nous dvoile un tout autre aspect de la Ten*se, " savoir que 8dam est %ait nonpas par le +erbe, mais par la main. Car 1ieu va prendre la terre 8damah pour en ptrir 8dam. &tune %ois que le potier divin aura %aonn lhomme, il sou%%lera dans ses narines un sou%%le de vie.

*lors qui est +od-:-&ov-: par rapport ' %lohim 0$e pense quil sagit ici, en communavec les &lohim, ce que les 5*res, de l&glise appellent le Trand Conseil 1ivin - et Kod#2#+ov#2 est ce 1ieu qui est plac au cYur de la Cration et qui est appel " travailler avec &lohimpour que chaque lment de cette Cration programme son archtype.

Le monde de la Cration, la mani#estation est une image, un re#let comme dans un miroir,du monde divin qui lin#orme constamment

3e mot 1abar va nous aider " saisir la relation entre la mani%estation et les archtypes. Il a poursigni%ication le verbe, la parole, mais en hbreu actuel il veut aussi dire la chose, la m'me choseou autre chose. 5arole _ chose, cela a lair dune chute, mais cela nen est pas une si nous


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ralisons que chaque chose, chaque lment de la Cration est relie " la parole qui la %aite. &tquand nous nous coupons de la parole, de larchtype, les choses perdent leur sens et sontcoupes de tout ce qui les in%orme. Cest ce qui se passe dans le monde que nous vivonsaujourdhui.

(n voit dans la 6ible une troisi*me traduction du mot 1abar, 1ever, la peste. Cest le m'me motprononc di%%remment, donc les m'mes nergies. !uest#ce que cela veut dire E !ue, avec lesm'mes nergies nous allons %aire sourdre la vie, remonter toutes les cha4nes jusqu" larchtype,cest#"#dire jusqu" la mort qui est rendue par le mot peste -. *vec les mmes nergies nouspouvons #aire soit le bien, ou le mal, soit la vie ou la mort Cest nous qui introduisons le mal.$rmie dit +oici, jai mis devant vous le chemin de la vie et le chemin de la mort -. Cest "lhomme de choisir, l" se trouve sa redoutable libert.

Kod#2#+ov#2 est le Terme 1ivin qui travaille au cYur de la Cration, il est lempreinte m'medu 1ivin. Nous sommes devant limage du +erbe, 1abar, qui est la source de chaque son, dechaque objet, de chaque 'tre de la Cration et qui porte en lui son empreinte qui est Kod#2#+ov#2.

:'me apr*s la chute, m'me apr*s quil se soit coup du 1ivin, lhomme reste li " ce;tragramme. &t cest pourquoi &ve dit " la naissance de Can, premier homme naissant apr*s lachute $ai acquis un Ish, jai acquis un homme et Kod#2#+ov#2 -. 3a traduction de et -gnralement employe donne avec laide -, elle ne signi%ie rien. Il sagit ici de lhomme alpha et omga -, cest#"#dire dorigine divine et qui doit atteindre le divin.


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Connaissance de la 1ualit, car ce nest qu" travers la contradiction que nous allons pouvoirassumer des rsurrections successives.

Notre humanit actuelle est encore dans un in%antilisme dramatique en vivant cette dualit dansles con%lits et les guerres, au lieu de les vivre dans les deu) :qui se rencontrent pour %aire la

main, cest#"#dire la connaissance. /i les deu):qui %ont chacun , se marient, ils donnent >A.Nous sommes l" pour Yuvrer avec la main divine dans la connaissance de l8mour. (n ne peutconna4tre quen aimant, on ne peut aimer quen connaissant.

&oil', je crois lessentiel du mot +od, le +od qui vient lorsque nous aurons construit tous lestages de notre conscience

;outes les structures des lettres hbraques rendront compte de ce devenir intrieur. Nous allonsle voir tout au long de ces lettres et notamment avec celle qui veut dire laile -. Ce qui intresseles 2breu), ce nest pas la vision immdiate, mais la vision des pro%ondeurs, le devenir de

lhomme qui est la vision de 1ieu.

!ponses ' diverses questions F Cest " partir de Kesod, le cha7ra %ondamental " la base de lacolonne vertbrale, que +od commence " se mettre en mouvement. 1ans le songe de lchelle,$acob est " la base de la colonne vertbrale cosmique. Il dbaptise le lieu qui sappelle 3ud, quisigni%ie lumi*re -U amande -, parce quil commence " %aire vibrer ce germe de lumi*re qui,dans les pro%ondeurs, est Kod#2#+ov#2. Kesod est le %ondement de la Cration.

S $e ne crois pas que lon peut assimiler &lohim " la ;rinit, ni Kod#2#+ov#2 " l&sprit#/aint.;oute la tradition judo#chrtienne va parler des deu) mains, nous retrouvons toujours dans lespsaumes et chez les 5roph*tes, la droite et la gauche - qui vont Yuvrer dans la Cration. 3es5*res de l&glise disent que 1ieu est la /ource qui se %ait conna4tre " travers le Wils et l&sprit,appels les deu) mains du 5*re -. 3&sprit#/aint et le Wils sont insparables. Il est dit Cestpar son +erbe que 1ieu cre le monde et par son sou%%le quil en %ait toutes les armes -, cest#"#dire toutes les nergies. 1ans la perspective juive, il y a les deu) mains qui Yuvrent toujoursensemble et qui sont insparables.

;out cela est indissociable du travail manuel, il est la marque e)trieure dune prise deconscience de la ncessit du travail intrieur.

S 3es nergies divines vont se)primer " travers de multiples noms divins, mais le travail qui se%ait dans lhomme, se %ait selon larchtype Kod#2#+ov#2.

S Paliser le 1ivin, cest ce que les 2breu) appellent 3e Trand Nom 1ivin - qui est inconnuet auquel nous participons tous avec les nergies qui nous sont propres, avec le nom qui nous estpropre " chacun dentre nous, et qui %ait le myst*re de chaque personne.


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Lorsque nous aurons totalement ralis notre nom, que nous le connaDtrons, nousconnaDtrons ce 2 .rand h #inal. Cestune lettre carre. &n supprimant la partie qui va vers la gauche et en prolongeant la partie

verticale, on obtient le >h #inal. 3e Iaph ne doit pas 'tre con%ondu avec le/o#qui a pourvaleur >AA.

Iaph veut dire la paume de la main,mais aussi grosso modo, un petit contenant que nousretrouverons dans di%%rentes parties du corps, par e)emple dans la hanche blesse de $acob, quinest autre que la cupule du %mur, [aph Kore7. Cest l" oM se trouve un centre dnergie tr*simportant qui, sil nest pas employ pour construire lhomme, est employ " le dtruire et cestce qui %ait la rupture " ce niveau du col du %mur chez beaucoup de vieillards. Iaph, cest aussila plante des pieds.

Le graphisme de la lettre tait autre#ois une main qui #ut stylise =on retournement nousdonne la lettre I

!uand la lettre est venue se prsenter devant le /aint#6ni#/oit#il, elle %it valoir quellecommenait le mot qui signi%iait la gloire -, [abod. &tant linitiale de la Tloire de 1ieu, elle secrut dsigne pour commencer la cration du monde.

2omologue de eith qui a reu cet honneur, elle se lest vu re%user. [abod est un mot dunebeaut immense gloire divine, richesse, densit. !uand la Tloire 1ivine descend dans la ;ented8ssignation, dans le ;abernacle, il y a une telle densit que pas un homme ne peut y entrer. /inous voulons %aire un peu de numrologie, nous voyons que ?A ^? ^ B L ?D, le nombre sacr du;tragramme. [abod, cest le Kod#2#+ov#2 en potentiel dans lhomme qui est alorstotalement ralis.

3e m'me mot prononc [aved veut dire le %oie. Notre %oie est aussi un rceptacle de richessesphysiques, psychiques et spirituelles. Cest pour cela quil est important de librer le %oie desnourritures physiques et psychiques, si nous voulons y %aire entrer des nourritures spirituelles.:ais cette libration doit se %aire uniquement dans un but de puri%ication spirituelle et non pourdes %ins de pouvoirs " acqurir. Car " ce moment#l", y pn*trent des %orces ngatives, causes de

maladies et de drames.

1onc, quand le Iaphest all se prsenter devant le /aint#6ni#/oit#Il, il quitte le ;r


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3e /aint#6ni#/oit#Il dit alors [aph, [aph, pourquoi persistes#tu " rester ici, retournes " taplace, je ne me servirai pas de toi pour commencer la Cration, car tu es linitiale du mote)primant le)termination -. Nous nous trouvons l" devant le mot [alah, doM vient peut#'trecelui de calamit. 5ourquoi sagit#il de)termination.

!uand la lettre Iaph et la lettreLamed sont ensemble, elles %orment un mot qui veut dire latotalit, donc un ach*vement. &t comme pour toute per%ection acquise la rupture doit avoir lieupour pouvoir parvenir " un plus que par%ait. 1onc il y aura destruction, e)termination, des mortsncessaires pour passer " un autre plan.

1erri*re le discours du 1ivin, il y a la notion de ce Iaphqui va prsider " une totalit, " unach*vement. 3a premi*re lettre qui tait venue se prsenter Felles se prsentent en sens inverseG,tait le )em qui aussi reut lordre de retourner " sa place, car elle %ormait le mot :elech, lePoi.

)em, Lamed, Iaph #inal sont les trois lettres qui ne doivent jamais quitter leur place,parce quelles #orment prcisment le mot, !oi, cette royaut que nous avons ' devenir:elech est aussi la racine de :al7out, dans la derni*re des /phiroth, qui signi%ie le Poyaume.

Il y a un mot tr*s intressant qui est %orm avec le mot [abod, cest Coha, %orce. Ce nest quequand nous avons les deu) mains runies que nous avons la %orce, aussi bien sur un plan vulgaireque par les: du Kod#2#+ov#2, lesquels, totalement runis, %orment le+od en#haut et cest%inalement ce +odqui est la %orce.

[oav ou [aov, plus e)actement [aph#8leph#6eith, veut dire ruiner. 5ourquoi cette notion deruiner E /uand nous voulons ramener le mystre ' un concept qui nous est propre, noustuons le concept Le$prience mystique ne peut tre e$prime, elle reste dans le domainedu silence

n autre mot, Cocav, cest ltoile ou cocavim, les toiles. Ce mot appara4t au quatri*me jour dela Ten*se et dans ltude de la quatri*me lettre, 1aleth, oM nous voyons arriver les structures, lesluminaires qui clairent pendant la nuit et pendant le jour. :ais cela est encore bien autre choseet notamment nos structures intrieures, car tout notre corps est un syst*me solaire.

1ans l8pocalypse les toiles sont compares au) 8nges du monde anglique. Ce sont desnergies divines, ce sont elles qui montent et descendent le long de lchelle de $acob. Ce sontles nergies qui prsident " nos structures et " notre volution intrieure. 3e monde des toiles estun monde tr*s trange.

Le Iaph est un rservoir dnergie, le eith, cest la maisonIls sont appels " souvrir lesuns apr*s les autres, en temps voulu, pour raliser le 1ivin que nous sommes.


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Compte rendude la rencontre du Q.@.>=R=

8pr*s avoir tudi le +odqui a pour valeur >A et le Iaph qui a pour valeur ?A, nous abordonsaujourdhui le Lamedqui a pour valeur @A et qui est lhomologue du .uimeldont le nombre est@.

3e .uimelest ce chameau tenant en rserve leau " lintrieur de lui, symbole de lhomme entant quil porte en lui ses nergies lui permettant de traverser son dsert sans avoir recours au)nergies e)trieures. Nous sommes tous une rserve %antastique dnergies qui sont " dcouvrir, "e)ploiter, pour pouvoir nous raliser totalement.

Le Lamed va rendre compte de la mme ralit que le .uimel

/i leIaph signi%ie la paume de la main, on peut dire que le Lamedest ce que lhomme va tenirdans sa main, symbole de puissance. 3homme a en main linstrument pour e)trioriser cette

nergie et vivre la puissance quil est.

Lamed, cest aussi laiguillon dont se sert le toucher de bYu%s - quand il les m*ne au) champsou quand il leur %ait pousser la charrue. 3a %orme de la lettre nous le rappelle. 5rimitivement elletait un aiguillon qui, pendant le premier millnaire sest retourn dabord dans un sens, puisenti*rement dans lautre. Notre 3 est n de cette lettre#l".

Lamed, comme *leph, veut aussi dire enseigner, instruire et cest la m'me racine qui rendcompte de celui qui enseigne. *leph signi%ie aussi la b'te cornue.

Nous retrouvons ce m'me symbole avec limage du toucheur de bYu%s - qui, avec laide delaiguillon, dirige la b'te dans une direction ou dans lautre. &t cest ainsi que lhomme, conduitpar laiguillon divin qui est en lui, dans la pro%ondeur de son 'tre, va 'tre amen " accomplir sondestin symbolique de b'te cornue qui reoit lin%ormation par ses cornes, le menant jusqu"laurole %inale, l" oM la corne se trans%orme en couronne.

Ce cheminement de lhomme, aid par laiguillon, " travers les preuves de sa vie, depuis ledbut de sa gestation jusqu" la toute derni*re, celle de la naissance de l&n%ant 1ivin quil estlui#m'me, est signi%i par le Lamed qui contient aussi en lui la notion de mettre au monde.

5ris dans ce sens laiguillon rejoint limage du b0ton, du b0ton de celui qui a de lautorit, quiconna4t, qui guide. Cest le sceptre de lempereur, la crosse de lv'que, le b0ton de marchal,etcZ

Ce sont l" les aspects e)trieurs de laiguillon, mais nous les portons aussi intrieurement. &t l"simpose la notion du guide intrieur, de celui que nous voyons par%ois appara4tre dans nos r'ves,


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que nous sentons intuitivement, qui nous donne des certitudes pro%ondes desquelles nous avons "'tre " lcoute.

Lorsque le Lamed rencontre l*leph ils #orment le mot %L Cest le plus courant et le plusimportant des noms divins, celui qui dbute ]lohim, que nous trouvons en su%%i)e dans les

noms Tabriel, la %orce divine, PaphaJl, le mdecin divin, 1aniel, la justice divine, etcZ, danstous les prnoms dhommes qui rendent compte de lnergie divine.

1ans un sens contraire ces deu$ lettres #orment le mot L; qui est la ngation, ne pas !uelest leur rapport E Cest que nous ne pouvons approcher le 1ivin que par le chemin de langation, le 1ivin nest pas -, car il est beaucoup plus, au#del" de toute a%%irmation et de toutengation, au#del" de l&tre et du Non#&tre, au#del" de toutes les quali%ications opposes, au#del"aussi du singulier et du pluriel, puisque &lohim est le pluriel d&l.

Cest encore une ngation lorsque le eithrencontre le Lamed. Ils %orment le mot 3&6, le cYur,non dans son sens physique, mais en tant que milieu essentiel de l'tre qui rejoint le 1ivin et quiva voluer dans la m'me dialectique. Nous ne pouvons approcher lhomme que par lacontradiction.

1ans la rencontre du Lamed avec le 1aleth, celui#ci aura pour mission de %aire passerlaiguillon par des portes, cest la naissance, cest le verbe na4tre, Kalod.

La seule naissance qui intresse les :breu$ est celle du +od

3a naissance de len%ant est certes une bndiction, parce quelle prolonge lhomme dans le

temps jusqu" ce quil soit capable de mettre au monde le +od. &t cest pour cela que, vivant surun plan tr*s concret, chez les 2breu) les %emmes doivent se marier, sinon, comme il en est pourles %emmes striles, elles sont re%uses par IsraJl. &sprant la venue du :essie, on attendtoujours dune %emme !uelle mette au monde l&n%ant 1ivin. Cest ainsi que le Lamed,laiguillon, est %orm par la m'me racine 3&1, " lintrieur de laquelle il y a le )em, valeur BA,la matrice, qui a pour homologue le B, le 1aleth, ce lieu clos et choisi.

1ans ce conte)te on trouve aussi la racine 183, un des mots qui signi%ie pauvret. &n e%%et, pourpasser la porte, laiguillon va obliger lhomme " se %aire de plus en plus humble, rduit " son

essentiel.

outes les portes ' passer seront des puri#ications non dans lordre moral, mais danslordre ontologique et la dernire tape ' passer se trouve symbolise par le chameaupassant par le chas dune aiguille

3orsque nous avons tudi le 1alethnous avons vu que dans le mot 1aleth, leLamedsitu aumilieu et qui assure par le mouvement le passage de la vie, avait pour valeur @A, quil tait


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entour de deu) B reprsentant les structures, les chambranles de la porte et que, lorsque le1alethet le avse runissaient trop, le Lamed se trouvait cras et la vie ne pouvait plus passer.

3orsquon runit le 1aleth et le avet que lon supprime le Lamedau milieu, on a le mot18;2, la 3oi. &n e%%et, lorsque la loi est trop prgnante, elle crase l'tre, le Lamed" lintrieur

de l'tre.

Cest ce que nous voyons tous les jours. 3homme nest plus capable de %aire na4tre en luilessentiel, il est cras, tou%%. &t ceci est " lorigine de toutes les maladies, aussi bienphysiques que psychiques. Ce sont toutes les contraintes parentales, pro%essionnelles et autres,qui tuent lhomme intrieurement.

3 FLamed-&av-?ainG est galement un mot intressant. Il signi%ie lamande, lamandier, il estsymbole de lumi*re, de lumi*re essentielle en tant que symbole dternit, d'tre ternel, ainsique le nomme la tradition judo#chrtienne, et non d'tre immortel. 3'tre sans commencement,

ni %in. Nous avons videmment un commencement historique au moment de notre naissance,mais nous venons de loin et allons loin. Notre passage dans cette e)prience entre notrenaissance et notre mort, nest quun tr*s court passage.

A. de !ou"ennelle nous rappelle limportance de (u" dans lhistoire de 0acob, ainsi %ue les

di11rents s/mboles de lamande, de la mandorle %ui entoure les corps en loire des rands

!aints et de lamande s/mboli%ue de la monte le lon de la colonne vertbrale o2, au niveau dela ore, nous trouvons les am/dales, autres amandes. (u" correspond aussi un petit os %ue

la tradition situe la base de la colonne vertbrale et %ui est indestructible.

3e Lamed avait reu du /aint#6ni#/oit#Il lordre de ne pas bouger et de ne pas se prsenter

devant lui, parce que, comme leIaph et le )em il reprsente une des trois lettres %ormant lenom :elech, cest#"#dire le Poi.

(r le Iaphqui avait transgress cet ordre %ut renvoy, tant avec le Lamedet le:, signi%icati%du mot [alah, la destruction. :ais [83, %orm des deu) seuls Lamed et Iaphveut dire latotalit. Il est certain que lorsque tout est achev, lorsque la totalit est runie, il y auradestruction pour passer " un autre niveau. Cest dans ce sens que [aloh, le m'me verbe, estachever, terminer.

Cette notion de totalit, dachvement, de per#ection dans laquelle il va y avoir rupture

pour passer ' un autre plan, se retrouve continuellement dans la structure de la languehbraque

3e verbe (C2&3 veut dire manger -. Cest un mot dune grande beaut et pro%ondeur. Cestlordre que lhomme reoit tout de suite apr*s que la Cration ait t mise en place ;u tenourriras de plantes portant graines et darbres portant %ruitsZ -. Cela reprsente lintgration detoutes les nergies divines qui se sont mani%estes pendant les sept jours de la cration. 3e ohar


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parle des 8nges qui prsident " toutes ces nergies, que ce soit lherbe, les %ruits, les crales,etcZ

&t, chez les Chrtiens, " la limite, cela va donner avec les nergies divines, les myst*res de latrans%ormation du pain qui sera le corps m'me du Christ. 1ans labsorption de l&ucharistie le

Chrtien se retrouve en &den, dans les conditions davant la chute, parce que lhomme en &dense nourrissait du 1ivin. (chel, cest vraiment le 1ivin, cest nourrir, prendre dans un contenantle 1ivin.

!uand le .uimel rencontre le Lamed, nous nous trouvons devant le mot T(3 qui e)prime lalibration et si on ajoute *leph, ce sera T8(3, le librateur. Tal, deu) %ois rpt, cest uneroue, T83T83. &t T83T83IN, ce sont les grandes roues des Chrubins dans le 3ivred&zchiel. Tolgotha signi%ie le mont du cr0ne, cest la grande roue de la vie et de larsurrection, le Christ va mourir pour ressusciter.

TI3 est aussi un tr*s beau mot, cest la joie et cest aussi le mot qui rend compte de l0ge. 5luson avance en 0ge, plus on devrait entrer dans la joie. Car, plus on est connaissant - Fpas dans lesens intellectuel du mot, mais connaissant de lactualisation de la vie qui se trans%ormeG plus lapersonne 0ge devrait 'tre celle qui est la plus joyeuse.

Nous avons aussi le mot 33, cest lescalier en spirale et 33K8NI cest la spirale elle#m'me.3a spirale est le mouvement m'me de la vie. (n la retrouve aussi bien dans les astres que dansles coquillages, dans la cellule, dans les rites initiatiques, en%in dans tout.

5ar contre 3&I382 qui est devenu un prnom %minin, cest la lutte. &t cela nous %ait penser " laspirale qui nous m*ne dans les pro%ondeurs, dans notre nuit intrieure, dans la Nuit (bscure de/aint $ean de la Croi). &t cette Nuit (bscure si douloureuse, cest la descente en spirale vers leKod#2#+ov#2 que nous sommes dans la pro%ondeur. 3eilah est un mot tr*s dur, parce quilreprsente la lutte.

)ais le Lamed prside aussi ' la monte, car on ne la spare pas de la descente %t cest lemot *L qui la signi#ie

*prs nous avoir parl de la lettre Lamed 2 qui est cette in#ormation qui nous montre le

chemin 4, nous abordons ltude de la lettre )%) avec laquelle nous entrons dans lancessit de #ranchir un autre plan de conscience, ce qui implique lobligation de passer parune matrice

3a lettre )%)a pour valeur BA, elle est linitiale du mot :8I: qui signi%ie les eau) - etlorsquelle est en position %inale, elle se dessine comme un carr.


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3hiroglyphe primiti% tait tout simplement les vagues de la mer qui vont, par la suite, prendredes angles un peu plus aigus qui seront " lorigine du :u grec, notre lettre :. &t, apr*s 'trepasse par di%%rentes %ormes, environ deu) si*cles avant $sus#Christ, elle %inira par devenircarre.

/uest-ce que )aim, les eau$ 0 1ans la Ten*se il est dit quavant le premier jour 1ieu planaitsur les eau). 5laner est une mauvaise traduction qui ne %ait que rduire " une image un mot qui aune pro%ondeur inimaginable. &n %ait, il y a dans ce mot une activit de m*re et de p*re. Cest unpeu le mot qui %ait penser " une poule qui couve ses Yu%s, qui recouvre tout un monde, un chaosprimordial qui est lYu% au dpart et qui, couver, va %ormer vraiment le poussin. Ce chaosprimordial est en e%%et gros et lourd de toute la Cration et l&sprit de 1ieu est l" qui le rchau%%e,qui lui apporte vie. &n m'me temps, il y a nettement dans ce mot, le sens de pntration qui aussiconstitue lYuvre paternelle, lYuvre m0le. Cest pourquoi l&sprit ne peut 'tre rduit ni " un r


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3e trac du Kin et du Kang du ;ao en est une illustration par%aite. &t cest dans ce sens quechacun des lments de la mani%estation na d'tre, de couleur, de sens, de %orme, dnergie,quen tant quil est reli par ce cordon ombilical quil porte en lui " partir du germe quil est, "son archtype, lequel va lui permettre de le rejoindre. ;out le sens de notre histoire, " partir denotre naissance jusqu" notre mort, cest le retour du :8 que nous sommes, au :I que nous

sommes aussi dans la pro%ondeur de notre 'tre.

5our raliser cela il va %alloir passer par des portes successives, par le 1aleth qui est " la %ois laporte et la lettre qui correspond au nombre B, en harmonie avec le BA. Il ny a de porte que sil ya matrice, on ne pourra passer de porte que si on a acquis les nergies ncessaires pour la%ranchir, sans quoi le courant nergtique que nous allons rencontrer de lautre c


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3orsque la lettre )%) est venue se prsenter devant le /aint#6ni#/oit#Il, Celui#ci lavaitrenvoye parce quelle prside au mot :ele7, le Poi, et quil ne %allait surtout pas quelle quittesa place, car elle assumait l" une des plus hautes %onctions. &n e%%et, quest#ce que le Poi E Cestatteindre cette royaut que nous sommes, car nous sommes tous des rois dans la pro%ondeur denotre 'tre, la seule royaut juste tant la royaut intrieure. Nous avons actuellement " de rares

e)ceptions pr*s, abattu les rois e)trieurs, sans pour autant avoir t capables de chercher le roiintrieur. Nous navons plus de structures e)trieures et pas encore de structures intrieures. Il estplus que temps que nous mettions au monde ce roi intrieur pour atteindre notre royaut. 8 cemoment alors nous toucherons la vraie Palit FPel L PoiG, nous le)primenterons et nous lavivrons totalement. &n ce moment nous vivons une petite ralit qui na rien " voir avec la vraie.

/i nous mettons " lintrieur du mot :am la lettre !eich, nous obtenons le nom de :yriam,:arie pour nous, nom dune tr*s grande beaut parce que %orm par le mot :am. :yriam estcelle qui %ait en son nom la jonction du :I et des pousailles du Poi. Cest dans ce sens l" que la

+ierge est essentiellement m*re, ce qui nous aide " comprendre lapparente opposition de lavirginit et de la maternit, notion qui na rien dintellectuel et quon ne peut approcher qu"travers cette ralit l". Cest la +ierge dIsraJl, celle qui attend lpou), le Poi, et qui va pouvoirmettre au monde le +od.

3es pousailles archtypales sont des pousailles du p*re et de la %ille. &pouser le p*re, cestpouser la source. Ce nest que lorsque lhumanit, chacun de nous, hommes ou %emmes, auramis au monde le +od, quelle pourra pouser le p*re. 8 ce niveau archtypal len%antementprc*de le mariage.

3e nom 8dam contient tout une alchimie, puisque &1 que nous avons vu avec le *lephet le1alethau dbut de la Ten*se, reprsente la vapeur, leau. Cest lnergie. &t avec le mot 1&:,nous avons le sang qui, lui, avec des maternits successives se trans%orme en esprit, en porteurdesprit, lhomme doit devenir cet esprit, ce porteur de lumi*re. Cest l8 pro%il dans le nomd8dam.

5renons " prsent le mot 18:82, la ressemblance. 3homme est cr " la ressemblance et "limage de 1ieu. 3e )%)est au milieu de ce mot, il en est le cYur. (r par ces engendrementssuccessi%s len%ant " sa naissance ressemble " son p*re et " sa m*re par la loi m'me du sang.:ais ce qui nous intresse, ce nest pas cette ressemblance, mais celle avec son p*re et sa m*re

archtypales. 3homme cr " limage et " la ressemblance a toutes les nergies ncessaires poury atteindre, cest#"#dire pour entrer dans les pousailles intrieures. &t cest cette loi du sang quiprside au dpart, qui est porteur de lesprit. Ce sang va permettre " lhomme de passer de la%amille " la %amille de lesprit, chacune de ces %amilles ayant un temps di%%rent. &t quand la%amille par la chair nest plus tr*s synchronique, l'tre cherche sa %amille par lesprit. &t il vapasser par des matrices successives jusqu" atteindre la ressemblance par%aite.


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8u moment oM &lie monte sur la montagne S &lie est un des hommes les plus proches de sondevenir Kod#2#+ov#2 S il cherche " couter la voi) divine. Cest tr*s important, car celui quientend, qui coute, parle. Celui qui entend le 1ivin devient parole divine, devient +erbe. &tquand &lie monte sur le :ont 2oreb il y a dabord un tremblement de terre. 3a voi) de 1ieuntait pas dans le tremblement de terre. Il y eut alors un grand vent. 3a voi) de 1ieu ntait pas

dans le grand vent. 5uis il y eut des clairs, lorage. 3a voi) de 1ieu ntait pas dans lorage.

%t en#in, il y eut un 2 silence parlant 4 et cest dans ce silence que %lie entendit la voi$ de1ieu&t l" il atteignit la ressemblance. Cette immense volution du proph*te &lie se retrouvedailleurs tr*s mystrieusement dans la personne de /t $ean le 6aptiste. 3e Christ dit de lui Iles cet &lie qui devait venir -. Il est le prcurseur, comme lest &lihu dans le 3ivre de $ob, commeencore dans dautres passages de la 6ible qui sont dune beaut e)traordinaire. &t quand on nedc*le pas cela avec les lettres hbraques et les nombres, on passe " c


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ny a de joie que sil y a aussi %inition de la maison et il ny a %inition de la maison que sil y a, apriori la circoncision. 1e m'me que le @, la vie, et le B, les structures, ne doivent jamais sesparer, le @A et le BA ont toujours besoin lun de lautre. 1ailleurs ils ne se sparent paspuisquils %orment le mot :ale7.

:alo, avec le *leph #inal,veut dire remplir -. 3es deu) premi*res lettres rendent compte de lacirconcision, la derni*re, le *leph #inal,du couronnement, du mariage. /i on veut remplir, il %autpasser par la circoncision. Cest le mot qui est employ dans la Ten*se lorsque 1ieu dit "lhomme non pas Croissez et multipliez -, la traduction est mauvaise, mais croissez,multipliez#vous et remplissez la terre -. Cest le mot :alo, cest cro4tre, se multiplier dans tousles dons divins dont nous sommes %aits, ce craquement de la grenade rouge doM jaillit leau.Cest la plnitude de la connaissance.

Il est aussi intressant de rappeler le mot :aboul - qui veut dire dluge -, toutes ces nergiesqui ne sont plus en rapport avec leurs archtypes et qui nobissent pas au) lois principielles.Cest la loi de la jungle. Nous sommes actuellement dans un dluge. Cest " nous de choisir sinous voulons nous laisser engloutir par les eau) ou si nous voulons construire notre arche. &tpour ce %aire il %aut passer par des tailles, )em,Lamed, pour donner des %ruits. 3e mot 6(3,cest la taille de larbre. 1ieu dit $e ne laisserai pas mon esprit " ne rien %aire ind%inimentdans ce monde, je vais commencer " travailler ce monde -. Cest le commencement du grandbarattage. 3es traducteurs disent Cest la %in de toute chair -, alors quau contraire, cest laccomplissement de toute chair approche -. Cela na rien " voir ni avec une %in, ni avec desmaldictions. 8lors choisissez, ayez con%iance. (u vous %aites toutes ces pousailles avec vous#m'me pour entrer dans cette dimension du 1ivin que vous 'tes appels " devenir, ou bien vous

vous laissez engloutir.

&n rponse " une question Il ny a pas contradiction entre la ncessit dentrer dans desmatrices dans lesquelles il %aut rester et le danger que reprsente linstallation. 3a notion dutemps sintroduit l". Il ny a pas despace sans temps, cest la m'me ralit. 8 chaque niveau deconscience correspond un temps et " chaque niveau de conscience correspond aussi un arr't quiva permettre dacqurir les structures du plan de conscience suivant que nous allons avoir "atteindre en passant une porte.

)ais la dure de ce temps qui va prsider ' cette gestation est limite et tributaire de la

qualit du plan de conscience que nous sommes en train de vivre

Il y a un moment oM la naissance doit se %aire. 3e danger de ne pas vivre sa naissance est celui desinstaller. /ur le plan biologique len%ant, si nous admettons quil ait une conscience et quilre%use de na4tre, trouvera la mort. Il est tr*s important quil naisse au bout de neu% mois. /il na4ttrop t


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leur en%ant " passer son adolescence si di%%icile, et pour laccompagner pendant cette gestation.8pr*s quoi il devra en sortir pour passer au) gestations intrieures au)quelles va prsider cettem'me loi.

;n va #aire des e$priences dune qualit e$traordinaire et on naura nullement envie den

sortir Cest une tentation terrible Le temps est la loi la plus #ondamentale qui soit

3ranHois F 3a limite elle#m'me %orme un espace.

* de =ou"enelle F 1onc un temps. (n retrouve cela dans beaucoup de mythes. Il %aut di) annesavant que ;hse aille a%%ronter le :inotaure. Cela reprsente galement une porte " passer. Il enest de m'me pour le sjour de No dans l8rche. 3orsque la colombe qui indique le temps nerevient pas, No sait quil doit quitter l8rche. /il nen sort pas, il meurt. Ce nest que lorsquona obi " tous ces espace#temps, quon dpasse le temps. &t le psalmiste chante alors Il nyaura plus ni jours, ni nuits Fsymboles de lespace#tempsG, car Kod#2#+ov#2, aura rejoint la

lumi*re " toujours -. 3homme, devenu Kod#2#+ov#2, aura rejoint les archtypes, il auracompl*tement dpass la dualit espace#temps.

Compte rendude la rencontre du >B.D.>=R=

Nous nous tions arr'ts au


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de cartes. Il nous indique encore la +rit. 1ailleurs, le mot [83 avec le I*>:et le L*)%1a pour valeur respective @A ^ ?A L A. Il veut dire tout -.

8vec le mot :I - nous avons aussi le BA ^ >A, le monde des eau) den haut, dont tout proc*de.Cest lunit totale qui va se)primer dans le :8, les eau) den bas, pour lenrichir en vue dun

retour " lunit totale.

(l est trs mystrieu$ de constater que ce monde divin, totalement riche, va encoresenrichir Nous ne pouvons mditer le monde divin qu" travers cette antinomie qui estmouvement et non#mouvement. /i nous nous arr'tons " un de ces deu) p


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/i vous coupez ce mot en deu), deu) mots sont %ace " %ace, dune part le


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Cest la puissance cratrice divine qui descend dans le poisson que nous sommes chacun denous. Cest le /oi - en langage moderne, cette dimension essentielle de l'tre, saprogrammation. Cest ce germe que jappelle le son#germe -, car nous sommes crs par le+erbe.

Cest aussi lanagramme d8yin, la toute premi*re nergie divine nonce, mais totalementinconnaissable, insaisissable, le rien - qui est dans la grande tn*bre du premier jour. Notremoi, notre je, proc*de de ce Pien divin. 38yin, dans l8rbre des /phiroth est la premi*re/phirah, tout en haut, la couronne, nomme, mais pas connue.

3orsque la lettre


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3e &avest donc cet et -, cette conjonction, il est celui sur lequel sappuie la Cration. 8vec le=*)%IFDAG nous allons trouver la m'me chose.

/on graphisme le plus primiti% est un arbre, comme un petit arbre de NoJl avec trois brancheshorizontales. 5uis la base va dispara4tre et on distingue tr*s bien les trois branches de l8rbre des

/phiroth. /e stylisant, ce petit arbre va donner le sigma, le Hi grec et notre lettre H. 3e DA nousmet devant larbre de notre corps. Ceci nest pas vraiment dit, il est dit quil est notre appui, maiscest l8rbre des /phiroth, notre colonne vertbrale dont les branches, encore %aibles,deviendront %ortes.

!uand le


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de conscience. Cest lhomme totalement ralis, lhomme total qui est un 1ieu. Il est certainquil para4t %ou " lhomme ordinaire, parce quil le g'ne, il le drange, parce quil nagit pascomme tout le monde. Cest un homme qui a %ait tomber toutes les barri*res par rapport au)conventions sociales.

3e mot /(1 est le secret -. Cest lhomme qui dans son 8rbre va ouvrir toutes les portessuccessives, qui va entrer dans son secret successi%, dans son sacr successi%. &t Kesod, une des/phiroth qui est tout " %ait " la base de la colonne vertbrale, et qui en est le %ondement, est lesecret du +od. Cest l" oM le +od commence " prendre naissance, cest l" que le germecommence " vivre et oM nous allons le porter tout le long de notre colonne vertbrale jusquauKod#2#+ov#2 qui est la t'te.

3e dernier mot que nous allons tudier est 2&//&1, la gr0ce et aussi la Tr0ce divine. Il scritdun c


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3orsque 1ieu parle sur le :ont /ina, il est dit que les 2breu) voyaient la voi) divine. Cest#"#dire que cette voi) divine sculptait lair comme elle sculptait leur chair. Cest le +erbe divin quinous cre " chaque instant dans ce son primordial que nous sommes et qui %ait vibrer tout notre'tre psychique et tout notre 'tre spirituel, et qui vibre dans le monde. &t cest pour cela que noussommes co#crateurs. Nous continuons " tailler, " ciseler le monde comme le dit le /epher

Ketzirah lorsquil parle des lettres qui sont tailles, ciseles, qui sont de vritables objetsdor%*vrerie. Cet objet de beaut vers lequel nous essayons daller, cest toute la description de la$rusalem cleste chez les judo#chrtiens. Cest ce joyau que nous avons " laborer " lintrieurde nous, cette ville sainte que nous avons " construire et par laquelle nous %erons le monde.

Annic de !ou"enelle rsume ensuite lenseinement %uelle nous a donn depuis octobre 4567

sur les (ettres hbra8%ues et %ui sont rsumes dans les prcdents comptes-rendus. Nanmoins,nous extra/ons %uel%ues passaes de ce %ue nous a rappel notre animatrice a1in, pour les

nouveaux venus, de donner les noms, valeurs et s/mboles des lettres dj tudies.

*L%>: F la t'te cornue, les cornes qui sont les antennes par lesquelles nous recevons

lin%ormation. Cela e)plique qu8leph est aussi le che%, quel quil soit, lpou), le prince, etc.6ien quelle soit la premi*re lettre, on peut dire quelle se situe presque en dehors de lalphabet,car elle est la charni*re entre le cr et lincr. &lle est lalpha et lomga. /a valeur est lunit,cest#"#dire quon peut la comparer " un point quon est oblig de poser sans pouvoir ledmontrer.

%(: Fvaleur ?. &lle est en somme la premi*re lettre de lalphabet. Cest la maison, larceptivit, cest chacun de nous, cest toute la cration. 6eith, par son altrit, nous indique quela Cration est %onde sur le nombre ?. Nous sommes structurs dans la dualit qui na quunseul but recouvrir lunit d8leph.

.J()%L F valeur @. Cest le chameau. (n peut dire que la distance quil y a entre 6eith et8leph est un dsert. Nous sommes dans des jardins qui sont des dserts. !ue sont ces jardins ECe sont tous les moments dlicieu) que nous vivons dans nos rapports humains. :ais ils sontarti%iciels par rapport au jardin dont ils sont le re%let, ils sont dserts. 5our ne pas 'tre stoppsdans notre volution, ils devront reprsenter des marchepieds que nous aurons " quitter a%in demonter vers lultime jardin. Ce chameau va nous rvler la %orce que nous avons en nous pourapprhender cette marche, parce quil est tout " %ait capable de traverser le dsert sans allerchercher de leau " le)trieur. Il porte son eau en lui.

1*L%: F valeur B, la 5orte. Cest la limite, cest lpreuve, mais aussi linvitation " passercette porte, cest#"#dire " passer dun plan de conscience " un autre plan de conscience. 3eTuimel F@G tant le mouvement, le 1aleth FBG est la porte construite " laide de deu) chambranleset qui est structure. Il y a donc un juste rapport entre le @ et le B, le mouvement et la structure,lun ne pouvant se passer de lautre, ils sont insparables.


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:% Fvaleur , le sou%%le. Cest le sou%%le crateur, cest la vie, cest aussi le germe. Chaque 'trese d%init selon la qualit de son sou%%le et du sou%%le quil reoit. Il lui donne sa spci%icit.

&*& Fvaleur D, le crochet. Cest ce qui relie. !uand le +av est seul, il est la conjonction et -./i 1ieu cra lhomme le si)i*me jour, celui#ci arrivant " la %in de la Cration, la rcapitule en

quelque sorte et reprsente la conjonction entre le cr et lincr. Il est la colonne vertbralecosmique du monde. 8 partir de maintenant lhomme est appel " passer au R, Q et = pour mettreau monde le Kod qui est le >A.

?*(< F valeur R, cest une arme. 3e R est un ach*vement, puisque 1ieu contempla son \uvre lesepti*me jour. :ais qui dit per%ection, dit mort, car la per%ection est limmobilit. &lle demande "'tre rompue pour pouvoir passer " un autre plan, " une per%ection suprieure, si lon peut dire. 3eain est la %l*che qui traverse la tunique de peau pour amener lhomme " recouvrer en%in sanature premi*re.

:%(: Fvaleur Q, la barri*re. Ce sera encore une preuve. /ortant dun champ magntique,nergtique, lhomme va se trouver devant un autre champ. 8ura#t#il acquis les structures luipermettant de lapprhenderE Ce nouveau gardien du seuil - va lobliger " chercher en lui lesnergies ncessaires qui lui permettront de %ranchir cette barri*re.

%(: F valeur =. Cest un nouvel ach*vement, celui du ain ayant t provisoire. 3e ;eithindique que tous les chelons de lchelle de $acob ont t monts. 3a %iance a rev'tu sa robe,elle est pr'te " recevoir lpou). ;eith est le bouclier qui prolonge lpe, lpe qui est le Kod,les Chrubins qui gardent lentre du $ardin d&den avec leur pe %lamboyante. 3homme doit

rentrer dans cet &den, il doit se mesurer avec cette pe et devenir le Kod#2#+ov#2 que nousvivons avec le nombre >A, cest#"#dire avec le retour " lunit qui est K(1, valeur >A.

C*>: Fvaleur ?A %ait cho au 6eith F?G tant aussi un contenant. 3a lettre Caph est comme uncha7ra, cest un contenant dnergie qui va peu " peu souvrir.

L*)%1 F valeur @A, laiguillon. Cest linstrument avec lequel le bouvier divin va conduirelanimal cornu que nous sommes, lanimal autant quil ait ses antennes dresses vers le Ciel dontil reoit lin%ormation. Non pas une in%ormation venue de le)trieur, mais une in%ormationvenant de lintrieur.

)%) F valeur BA, la matrice qui est en m'me temps un arr't, une porte, les eau) matriciellesF:aimG. Ce sont des eau) doM lhomme doit sortir pour rena4tre comme No, a%in dentrer dansde nouvelles matrices successives.


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lhomme tout entier. 3e A implique une totalit. :ais le Noun tant un germe est tr*s %ragile et abesoin dun appui, dun soutien et ce sera le

=*)%I, valeur DA, qui sera le soutien, de m'me que le +av, valeur D, reprsente la colonnevertbrale. Il est le soutien qui permet daller jusqu" l8leph %inal. Il est aussi le m0t du navire,

la hampe du drapeau.

Compte rendude la rencontre du Q.>>.>=R=

Nous abordons aujourdhui, dit 8nnic7 de /ouzenelle, la lettre *+(


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incon%ortables. Car chaque %ois que nous voyons appara4tre le R, nous sommes " une plnitude,mais aussi " lincertitude dun nouveau plan " aborder, lequel, riche des plans prcdents, doitmarquer une progression nouvelle. *yin est un mot qui contient un dynamisme qui ne permet pasde repos, cest lYil impitoyable qui perce toutes les pro%ondeurs.

1e m'me que la %l*che du ?ain transperce la tunique de peau, de m'me lYil traverse tous leschamps de conscience, nous obligeant " voir le monstre que nous sommes quelque part dans lespro%ondeurs. Ce regard, tel celui de /hiva, perce tous les jours de la Cration dont nous sommestisss et toutes les tuniques successives dont nous avons t recouverts, jusqu" plonger au#del"du premier jour qui est le grand 8b4me, la grande tn*bre. Cest terriblement angoissant tant quenous navons pas acquis les structures ncessaires et cest pourquoi il ne %aut pas aller trop vite.

Il y a une dialectique entre le *yinet le *leph,la toute premi*re lettre qui a pour valeur >. Cestle tout premier jour et cest pourquoi chaque ralit qui va suivre une descente, va 'tre un nouvel*leph.

3a derni*re %ois nous avons vu la lettre :eithqui a pour valeur Q et qui est la barri*re, et le = quiest une autre barri*re prcdant le >A, lunit, le nouveau champ absolu de conscience vers lequelva lhomme.

Ici nous allons vivre le QA, non pas comme une barri*re, mais comme une rsurrection. &n %ait,cest un nouvel >.


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1e m'me que le mdecin devant son cran de radioscopie ne voit quun squelette, de m'me nousne voyons que le squelette du monde. &t toute lYuvre d *yin consiste " enlever les crans quinous sparent de lultime vision qui est 8v, le 5*re.

=i nous ne nous proccupons pas de !a, cette rserve qui est symboliquement le #minin en

chacun de nous, comme une #emme dlaisse se retourne contre lhomme , nos nergiesjoueront contre nous et nous dtruirons petit " petit jusqu" notre mort qui, dans le cas contraire,ne reprsente quun endormissement.

8(P qui est P8 renvers avec, reliant les deu) lettres, le &av qui est la conjonction, le symbolede lhomme, signi%ie la tunique de peau. 1ans la 6ible il est dit quapr*s que lhomme et la%emme eurent mang le %ruit de l8rbre de la Connaissance` ils %urent recouverts de la tunique depeau.

Ils ont mang le %ruit qui tait encore dans la rserve et leur drame cest davoir cru quils taient

dj" arrivs au 5*re. 8lors l" ils ne peuvent plus aller plus loin et ils sont remis au point dedpart, ridenti%is " cette rserve dnergie du si)i*me jour et ils sont compl*tement dans latn*bre. Cela na rien " voir avec une punition, cest une mesure de protection qui leur permet deretrouver leur %condit, car leur erreur les avait rendus striles. Ils sortent de leur illusion, cestla sortie de l&den.

Nous aussi nous avons " sortir de notre tn*bre et, telle la plante, %aire notre perce au soleil.

3e m'me mot crit avec *lephau lieu d*yin, cest la 3umi*re. Cest la rceptivit " la 3umi*red*leph, mais aussi la rsistance, car il ny a pas de lumi*re sans quil y ait rsistance a%in decapter les rayons. 1e m'me lorsque je parle, il est ncessaire que quelquun mcoute, sinon jeparlerais dans le vide. Ce sont les preuves qui nous permettent daccder " la 3umi*re.

5renons le mot 188;2, crit avec le 1aleth, l*yin et le avqui est la derni*re lettre delalphabet. 1alethest construit e)actement comme une porte avec deu) chambranles qui sont leB et le Lamed, le @, le mouvement qui est au milieu. 1aath est construit e)actement de la m'memani*re. Cest le mot qui veut dire connaissance -. Nous avons les deu) B, mais le Lamedestremplac par le *yin. 3ide en est la m'me, parce que la connaissance ne peut sacqurir quenpassant par des portes successives. 3e *yin, ici, a pour t0che de traverser tous les champs de

conscience, cest le devenir de nous#m'mes.

1e m'me quil y a une dialectique entre le B, la structure et le @, la vie et que, si les deu)chambranles de la porte se resserraient trop ils tou%%eraient la vie et il ne resterait plus que lemot 1ath, la loi U il y a la m'me chose avec *yin. 3a loi est au service de la vie, elle nest pas l"pour la contraindre, mais au contraire, pour lui permettre daccomplir son devenir. 8vec *yin, laloi est ontologique et doit 'tre connue par celui qui veut travailler " son devenir.


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Nous avons le mot 2&;, le temps. 3e temps a t donn " lhomme pour arriver jusquau avou" lomga, la derni*re nergie " intgrer pour que *yin%asse son Yuvre.

Le temps est di##rent pour chaque terre et au #ur et ' mesure que nous allons vers desterres successives, les temps vont tre de plus en plus pro#onds Cela na pas de sens

demployer les e)pressions plus vite - et moins vite -, elles nont quun sens psychique.

8vec la lettre ?ainje vous avais parl du mot &&P que lon trouve dans la Ten*se et qui veutdire aide -. !uand 1ieu %ait prendre conscience " lhomme des nergies dont est constitue sapremi*re terre sous la %orme de

Les Lettres Hébraïques Des Énergies Vivantes

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