Les débuts de la Ière République (1792-1794)

6
Les débuts de la Ière République (1792-1794) La Convention Nationale

description

Les débuts de la Ière République (1792-1794). La Convention Nationale. En France, la Convention Nationale est le nom donné à l'assemblée qui succède officiellement à l'Assemblée Nationale législative. - PowerPoint PPT Presentation

Transcript of Les débuts de la Ière République (1792-1794)

Page 1: Les débuts de la Ière République (1792-1794)

Les débuts de la Ière République (1792-1794)

La Convention Nationale

Page 2: Les débuts de la Ière République (1792-1794)

En France, la Convention Nationale est le nom donné à l'assemblée qui succède officiellement à l'Assemblée Nationale législative.

Elle assure le pouvoir exécutif de la Ière République après la chute de Louis XVI et de la monarchie.

Page 3: Les débuts de la Ière République (1792-1794)

Trois groupes composent cette Convention.

Les Girondins sont un groupe de députés appelés ainsi car plusieurs de leurs chefs viennent de Gironde. Ils défendent les principes de la déclaration de 1789 mais se méfient du peuple.

Les députés de la Plaine sont des députés modérés, partagés entre les idées des autres députés.

Les Montagnards sont des députés appelés ainsi car ils siègent en haut de l'hémicycle. Ils sont plus proches du peuple que les Girondins.

Page 4: Les débuts de la Ière République (1792-1794)

Quelles sont les premières mesures prises par cette Convention ?

Jugement de Louis XVI par la Convention Nationale dans la salle du manège.

Page 5: Les débuts de la Ière République (1792-1794)

Louis XVI accusé de trahison est jugé le 10 décembre 1792 par la Convention et reconnu coupable à 693 voix contre 28. Il est condamné à mort ...

Page 6: Les débuts de la Ière République (1792-1794)

Les sans-culottes, qui veulent défendre la République à tout prix, désirent continuer à mettre en place des mesures pour sauver le régime.

Ils vont faire arrêter des députés Girondins, trop peu engagés à leur goût, et donner ainsi la majorité de la Convention aux députés Montagnards.

En provinces, les défenseurs des Girondins (les fédéralistes) vont se révolter contre ce régime qu'ils trouvent trop « dur ».

Défendre la République à tout prix.