Léonard de Vinci

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Autoportrait

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Léonard de Vinci. Autoportrait. La Joconde ou portrait de Mona Lisa. Léda et le cygne. Bacchus. Saint Jérôme. Madonna Dreyfus. Le Christ portant la croix. La Sainte Famille. L’adoration des mages. Deux anges s’embrassants. Fresque de la bataille d’Anghiani. La jeune fille décoiffée. - PowerPoint PPT Presentation

Transcript of Léonard de Vinci

Autoportrait

La Joconde ou portrait de Mona Lisa

Léda et le cygne

Bacchus

Saint Jérôme

Madonna Dreyfus

Le Christ portant la croix

La Sainte Famille

L’adoration des mages

Deux anges s’embrassants

Fresque de la bataille d’Anghiani

La jeune fille décoiffée

La Madone à l’oeillet

Le baptême du Christ par Saint Jean Baptiste

La Cène

Une couronne de lauriers

Ginevra de Benci

La Belle Ferronnière (Favorite de François 1er)

La belle milanaise

La Dame à l’hermine

La Madonna de Yamwinder

La Madone Benois

La Madone Litta

L’Annonciation

La Vierge et l’Enfant avec Sainte Anne

Marie-Madeleine

Le musicien

Saint Jean-Baptiste

La Vierge aux rochers

Le portrait d’une jeune femme

Tobie et l’ange

Vierge à l’Enfant avec Sainte Anne et Saint Jean-Baptiste jeune

Statue de Léonard de Vinci au musée des Offices à Florence

Reconstitution de la chambre de Léonard de Vinci lors de son séjour au château du Clos Lucé (France)

Etude sur le corps humain ou « L’homme de Vitruve »

Éloge à Léonard de Vinci

« Je me propose d'imaginer un homme de qui auraient paru des actions tellement distinctes que si je viens à leur supposer une pensée, il n'y en aura pas de plus étendue. Et je veux qu'il ait un sentiment de la différence des choses infiniment vif, dont les aventures pourraient bien se nommer analyse. Je vois que tout l'oriente : c'est à l'univers qu'il songe toujours, et à la rigueur. Il est fait pour n'oublier rien de ce qui entre dans la confusion de ce qui est : nul arbuste. Il descend dans la profondeur de ce qui est à tout le monde, s'y éloigne et se regarde. Il atteint aux habitudes et aux structures naturelles, il les travaille de partout, et il lui arrive d'être le seul qui construise, énumère, émeuve. Il laisse debout des églises, des forteresses ; il accomplit des ornements pleins de douceur et de grandeur, mille engins, et les figurations rigoureuses de mainte recherche. Il abandonne les débris d'on ne sait quels grands jeux. Dans ces passe-temps, qui se mêlent de sa science, laquelle ne se distingue pas d'une passion, il a le charme de sembler toujours penser à autre chose ... Un nom manque à cette créature de pensée, pour contenir l'expansion de termes trop éloignés d'ordinaire et qui se déroberaient. Aucun ne me paraît plus convenir que celui de Léonard de Vinci. » Paul Valéry