L’économie sociale : un levier de développement durable en Chaudière-Appalaches

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L’économie sociale : un levier de développement durable en Chaudière- Appalaches Montmagny - 23 novembre 2012

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L’économie sociale : un levier de développement durable en Chaudière-Appalaches. Montmagny - 23 novembre 2012 . PLAN DE PRÉSENTATION. Éléments de mise en contexte L’évaluation de l’Entente En conclusion. L’économie sociale La TRÉSCA L’Entente spécifique. Mise en œuvre Réalisations - PowerPoint PPT Presentation

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Diapositive 1

Lconomie sociale: un levier de dveloppement durableen Chaudire-AppalachesMontmagny - 23 novembre 2012

PLAN DE PRSENTATION

lments de mise en contexte

Lvaluation de lEntente

En conclusion

Lconomie socialeLa TRSCALEntente spcifiqueMise en uvreRalisationsRetombesEfficacitPertinence

LCONOMIE SOCIALECONOMIEUne production et vente de biens ou de services

SOCIALEQui contribue amliorer la qualit de vie et le bien-tre de la population

3LENTREPRISE DCONOMIE SOCIALEFORMES JURIDIQUES- Coopratives- Mutuelles- OBNL

PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT - Son but: servir ses membres ou la collectivit. La mission sociale est sa raison dtre- Autonomie de gestion face ltat- Gestion dmocratique: un membre = un vote- Primaut des personnes sur le capital- Prise en charge, responsabilit individuelle et collectiveBut: donc elle ne vise pas le profit en premier lieu. Elle doit minimalement tre viable, et idalement rentable.Autonomie de gestion: elle peut tre soutenue par les lus ou ltat, mais ceux-ci ne peuvent imposer quoi que ce soit.Dmocratie: ce ne sont pas les plus riches qui dcident pcq ils ont pu acheter plus de partsPrimaut: lorsquil y a des surplus, ils sont utiliss pour dvelopper de nouveaux services, crer de nouveaux emplois, amliorer les conditions de travail, Prise en charge: les citoyens peuvent tre collectivement des acteurs de leur propre dveloppement

4DES MISSIONS VARIESLes entreprises dconomie sociale proposent diffrents types de missions qui correspondent aux besoins et aux aspirations des diffrents milieux.Crer des emploisRendre un produit ou un service accessible tous, peu importe de revenuRevitaliser une communautContrer lexode en prservant les services de proximitValoriser la culture localeProtger lenvironnementSassurer que les activits lucratives aient des retombes collectivesPermettre lexpression citoyenne

Emplois: inclusion de personnes loignes du march du travail. Entreprises dinsertion, entreprises adaptes Qualifis: ex en CPE, dans un GRT Destins aux membres: Coop de travailleursAccessibilit: Ex: coop de services domicile pour tous avec des prix moduls selon revenuRevitaliser: Lieux de rencontres ex CafsServices de proximit: march alimentation, santCulture locale: Festivals, lieux de diffusion des arts,Environnement: Ressourceries, gestion des matires rsiduellesRetombes collectives: coop funraires, coop et osbl dhabitationCitoyen: Mdias communautaires

5EN CHAUDIRE-APPALACHESEn 2008, la rgion compte environ 500 entreprises qui emploient plus de 10 000 personnes pour des revenus gnrs dpassant le 1 milliard $

Secteurs dactivit- Agriculture/ agroalimentaire (47)- Arts/ culture (13)- Commerce de dtail (34)- Environnement (15)- Immobilier collectif (25)- Infrastructures collectives (1)- Loisirs/ tourisme (47)- Manufacturier (5)- Mdias/ communications (25)- Ressources naturelles (2)- Sant (7)- Services aux personnes (104)- TIC (8)- Transport (8)6

HISTORIQUE DE LA TRSCALentente spcifique sur le dveloppement de lconomie sociale dans la Chaudire-Appalaches

LES BESOINS LORIGINE DE LENTENTEDvelopper et maintenir des services de proximit;Maintenir des populations vulnrables dans leur milieu de vie;Contrer lexode des jeunes ;Diversifier de lconomie rgionale;Revitaliser certains villages; Crer des emplois;Susciter la prise en charge et la responsabilisation de la communaut face aux enjeux collectifs. Lconomie sociale : mconnue, voire mal perue;Aider et accompagner les entreprises dconomie sociale en dveloppement se structurer, se consolider, se rseauter, se former;Orienter les promoteurs potentiels vers les crneaux inoccups.

SOM p 119 DES MOMENTS-CL2007 - Premire entente spcifique conclue au Qubec en matire dconomie sociale

2008 Plan daction gouvernemental pour lentrepreneuriat collectif

2009 Signature dun addenda permettant dinclure les engagements du MAMROT, ministre porteur du plan daction. Prolongation de lEntente jusquen mars 2013

LES PARTENAIRES SIGNATAIRESLe ministre des Affaires municipales, des Rgions et de lOccupation du territoire (MAMROT);

Le ministre de lEmploi et de la Solidarit sociale (MESS);

La Confrence rgionale des lu(e)s de la Chaudire-Appalaches (CR);

La Table rgionale dconomie sociale de Chaudire-Appalaches (TRSCA);

La Cooprative de dveloppement rgional Qubec-Appalaches (CDRQA);

Le Forum jeunesse rgional Chaudire-Appalaches (FJRCA);

Les quatre commissions scolaires de la Chaudire-Appalaches;

Les dix Centres locaux de dveloppement de la Chaudire-Appalaches (CLD);

Les cinq Corporations de dveloppement communautaire de la Chaudire-Appalaches (CDC).

Dos du cahier du participant11

OBJECT ET AXES DINTERVENTIONObjet: Favoriser la concrtisation, la consolidation et la promotion dinitiatives dconomie sociale dans la rgion de la Chaudire-Appalaches.

Quatre axes dintervention: PromotionSoutien technique et financierDveloppement des comptencesConcertation et le rseautage.

FINANCEMENT 2008-2013 CONTRIBUTIONSINITIALESBONIFIESMONTAIRES

270 000 $430 000 $EN SERVICES ou EN ACTIVITS SPCIFIQUES

293 903 $195 935 $Sous-totaux563 903 $625 935 $1 189 838 $

.le modle logique de lententeintrants

activits et extrants

effets et rpercussions attendus

effets et rpercussions long terme

CONTRIBUTIONS FINANCIRES / EN SERVICES / EN ACTIVITSPROMOTIONSOUTIEN TECHNIQUE ET $$DVELOPPEMENT COMPTENCESCONCERTATION RSEAUTAGEDes donnes jour sur lS;

LS et ses retombes mieux connues par les acteurs du dvelop., les dcideurs et la population, les jeunes. Partenaires de lS regroups;

Occasions de rseautage entre les ES - entre ES intervenants;

Enrichissement mutuel ;

Augmentation du nombre de jeunes sur les ca des ESSoutien techn. et financier plus disponible et mieux connu

Utilisation de mthodes danalyse $$ adaptes;

Utilisation de mthodes de gestion adaptes. Promoteurs, administrateurs, gestionnaires et employs des initiatives dconomie sociale plus comptents.Consolidation des entreprises et initiatives dconomie sociale existantes;Cration de nouvelles entreprises et initiatives dconomie socialevaluation de lentente spcifique sur le dveloppementde lconomie sociale dans la Chaudire-AppalachesMise en uvreRalisationsRetombes EfficacitPertinenceMTHODOLOGIE ABRGEAnalyse documentaire

25 entrevues individuelles auprs des principaux acteurs de lEntente

Sondage tlphonique auprs de 287 entreprises dconomie sociale

Groupe de rflexion avec les membres du comit de gestion

PROFILdes ES(n:287) %Type dentrepriseOrganisme but non lucratif69 %Cooprative non financire17 %Cooprative financire ou mutuelle12 %Autre2 %Nombre de salarisMoins de 5 salaris29 %5 20 salaris39 %Plus de 20 salaris32 %Nombre de membres du CA5 ou moins membres20 %6 10 membres69 %Plus de 10 membres11 %Nombre de jeunes de moins de 35 ans dans le CAAucun53 %1 ou 231 %3 ou plus16 % (n:287) %Chiffre daffaires annuel de lentrepriseMoins de 200 000 $32 %200 000 $ 500 000 $19 %500 000 $ 1 million $17 %Plus de 1 million $32 %Secteur dactivitServices aux personnes22 %Loisir et tourisme15 %Habitation 13 %Commerce de dtail10 %Agriculture et agroalimentaire8 %Arts et culture7 %Services financiers 7 %Mdias et communication5 %Environnement4 %Sant2 %Manufacturier2 %Technologies de linformation 2 %Transport2 %Services aux entreprises1 %Ressources naturelles< 1 %PROFILdes ES(suite)(n:287) %MRCLvis19 %Lotbinire11 %Montmagny11 %Appalaches10 %Bellechasse10 %LIslet10 %Nouvelle-Beauce9 %Robert-Cliche8 %Etchemins7 %Beauce-Sartigan5 %PROFILdes ES(suite)MISE EN UVREPARTENARIATLa plupart des engagements ont t respects par les partenaires ou le seront dici la fin de lEntente prvue en 2013.

Lapport des partenaires non-signataires est reconnu et constitue une valeur ajoute lEntente.

Laddenda, sign en 2009, a permis dajouter un partenariat financier de la part du ministre sectoriel, soit les 50 000 $ annuels du MAMROT, pour soutenir la TRSCA comme Ple rgional dconomie sociale.MISE EN UVRECOORDINATIONMalgr des dbuts lents, la TRSCA a trs bien assum son rle en matire de coordination. On lui reconnat du leadership et une grande contribution dans la mobilisation des partenaires.MISE EN UVREOBSTACLES ET FACTEURS FACILITANT Outre le dmarrage plutt lent de lEntente, trs peu dobstacles ont t identifis dans la mise en uvre.

Les principaux facteurs facilitant ont t la mobilisation des acteurs de lconomie sociale et le leadership de la TRSCA.NOTORIT de la TRSCALa TRESCA jouit dune notorit apprciable auprs des entreprises dconomie sociale de Chaudire-Appalaches puisque 65 % dentre elles disent la connatre.

Cette proportion est significativement plus grande parmi les organismes but non lucratif (73 %).Connaissez-vous la Trsca?MEMBERSHIPQuest-ce que a vous apporte dtre membre de la trsca?

LES AVANTAGES DTRE MEMBRETrois avantages sont mentionns par au moins 20% des entreprises concernes, soit obtenir de linformation (49 %), avoir un rseau de contacts (25 %) et bnficier de formation (22%).

En matire dinformation (49 %), on souligne : sources de financement et programmes disponibles, autres acteurs de lS, actualits rgionales, information gnrale, activits.

En matire de rseautage (25 %), les entreprises mentionnent les avantages lis au rseautage, comme la visibilit et la force du regroupement.

En matire de formation (22 %), on parle dune offre de formation diversifie et peu coteuse.

NOTORIT DES ACTIVITSLes deux tiers des rpondants interrogs (66 %) disent avoir entendu parler dactivits organises spcifiquement pour les entreprises dconomie sociale de la rgion, comme des formations ou des activits de rseautage. En somme, les activits jouissent dune assez bonne notorit dans le milieu.

Cette proportion est plus grande parmi les entreprises qui connaissent lexistence de la TRESCA (82 %) ou de lEntente (82%). De plus, les organismes but non lucratif sont plus nombreux avoir entendu parler de telles activits. avez-vous entendu parler dactivits organises spcifiquement pour les entreprises dconomie sociale de la rgion?La PROMOTION de lconomie socialeDe nombreuses activits ont t ralises afin de promouvoir lconomie sociale.

La majorit des partenaires et des intervenants estiment que lEntente a contribu la promotion de lconomie sociale.

Du point de vue des entreprises, on considre quil est important de faire la promotion de lconomie sociale et que cette dernire nest pas encore suffisamment connue par certains groupes (dcideurs, population en gnral, jeunes).LA PROMOTION DE LCONOMIE SOCIALE

REVUE ANNUELLE DES PLES- Colloques et Journes rgionales: 6 vnements, plus de 425 participants- Conseils des maires 9MRC/10

www.tresca.ca

- Rpertoire des ES sur le portail

Illustrer tous par image le + possible27 LE COMIT JEUNES Semaine de lconomie sociale 2012 Clin dil la relve;)

535 jeunes sensibiliss lconomie sociale et ses valeurs

4 jeunes soutenus $$ pour participer au 8 fiches Une place pour TOI en conomie sociale

Soutenir financirement la participation dune jeune au Sommet des peuples Rio en juin 2012

Formation Cap sur les Jeunes avec les CAB

Enqute sur La relve en conomie sociale dans Chaudire-Appalaches, mene en collaboration avec le Comit jeunesse du Chantier de lconomie sociale

.

LA PROMOTION, selon les ESConsidrez-vous quil est important de faire la promotion de lconomie sociale dans la rgion ?Presque toutes les entreprises dconomie sociale qui ont particip au sondage (97 %) considrent quil est trs (62 %) ou assez (35 %) important de faire la promotion de lconomie sociale dans la rgion.LA PROMOTION, selon les ESA VOTRE AVIS, LCONOMIE SOCIALE ET SES RETOMBES CONOMIQUES ET SOCIALES SONT-ELLES SUFFISAMMENT CONNUES DANS LA RGION PAR LES GROUPES SUIVANTS?Du point de vue des entreprises, lconomie sociale nest pas suffisamment connue, particulirement par les dcideurs (28 % seulement considrent que ce groupe connat suffisamment lconomie sociale et ses retombes), la population en gnral (11 %) et les jeunes en particulier (7 %). LE SOUTIEN TECHNIQUE ET FINANCIERMoins dactivits ont cibl spcifiquement le soutien technique et financier.

Tant les partenaires que les intervenants croient que lEntente a contribu faire connatre le soutien technique et financier offert, mais peu sont davis quon ait favoris sa disponibilit.

Les entreprises dconomie sociale se considrent en gnral mal informes des programmes et des mesures existantes; elles trouvent par ailleurs que le soutien technique et financier disponible est insuffisant.LE SOUTIEN TECHNIQUE ET FINANCIER2 activits autour de la thmatique Le financement dune organisation : Largent cest utile parlons-en !

Guide des principales ressources techniques et financires en conomie sociale dans la Chaudire-Appalaches

Paiement de 11 inscriptions au Formation portant sur lanalyse financire des entreprises dconomie sociale (RISQ) 2012

Avis de qualification du promoteur en tant quES - PIEC

LE SOUTIEN TECHNIQUE ET $$, selon les ESDiriez-vous que vous connaissez les programmes et les mesures de financement ddis aux ES?Malgr que le soutien technique et financier soit considr comme important , la majorit des reprsentants des entreprises (70 %) disent connatre assez mal (53 %) ou trs mal (17 %) les programmes et les mesures de financement ddis aux ES.

Les petites entreprises (moins de 5 salaris) sont celles o les programmes et mesures sont les moins bien connus (82 % dentre elles se disent trs ou assez mal informes).

Quest-ce qui manque pour mieux rpondre aux besoins de votre entreprise?PLUS DAIDE FINANCIREOutre les mentions gnrales sur le manque de financement, on retrouve des lments plus prcis comme lassouplissement des critres daccessibilit au financement, le soutien financier pour lembauche de nouveaux employs, le soutien lacquisition dquipements et aux infrastructures, le soutien en phase de dmarrage ou, au contraire, plus long terme, des garanties de prt, la prsence de programmes pour des secteurs spcifiques (ex. : culturel).LE SOUTIEN TECHNIQUE ET $$, selon les ES%Plus daide financire34 %Plus dinformation18 %Un service daccompagnement en gestion18 %Plus de formation9 %Plus de publicit7 %La reconnaissance des services6 %De laide pour recruter la main-doeuvre3 %De laide au rseautage2 %Autre4 %Rien2 %NSP/NRP14 %LE SOUTIEN TECHNIQUE ET $$, selon les ESLors de lanalyse de votre demande, considrez-vous que les particularits lies une entreprise dconomie sociale ont t prises en considration?Proportion dES ayant fait une demande de soutien technique ou financier depuis 2008.51 %Environ la moiti des ES (51%) affirment avoir fait une demande pour obtenir du soutien technique ou financier depuis 2008. Cette proportion est plus grande chez les petites entreprises (moins de 5 salaris : 61 %), chez les entreprises qui sont membres ou danciens membres de la TRESCA (77 %) et dans les domaines des arts, loisirs et tourisme (76 %).

Plus des deux tiers des entreprises qui ont fait une demande de soutien technique ou financier depuis 2008 (68 %) considrent que les particularits lies une entreprise dconomie sociale ont t prises en considration lors de lanalyse de leur demande.LE DVELOPPEMENT DES COMPTENCESLes activits prvues ont toutes t ralises.

La majorit des partenaires et des intervenants pensent que lEntente a contribu au dveloppement des comptences des acteurs de lconomie sociale et que le besoin demeure trs prsent dans le milieu.

Pour les entreprises, il est important davoir accs des formations adaptes lconomie sociale; elles expriment dailleurs des besoins en ce sens (ex. : formation en gestion et en administration).

Les entreprises dont les reprsentants ont suivi une formation adapte depuis 2008 considrent que la formation a contribu au dveloppement de comptences utiles pour lentreprise.LE DVELOPPEMENT DES COMPTENCESIdentification des besoins Focus group avec le CSMO-ESAC (2009)Sondages aux ES et intervenants terrain (2)

Calendriers saisonniers (5) 13 formations diffrentes dans 15 municipalit 309 participants

Bonification du programme dattestation de spcialisation professionnelle (ASP) Lancement dune entreprise offert par les commissions scolaires. Lancement prvu lhiver 2013.

Formations sur mesure Les travailleurs en insertion sociale et/ou socioprofessionnelle : encadrement et gestion de crise , Comment a va?

LE DVELOPPEMENT DES COMPTENCES, selon les ESA votre connaissance et selon les besoins de votre entreprise, diriez-vous que les formations offertes dans la rgion pour les entreprises dconomie sociale sontLes entreprises qui gravitent plus prs de la TRESCA ou de lEntente offrent des rponses diffrentes des autres : elles sont plus susceptibles de trouver les formations suffisantes. Sans doute sont-elles mieux informes des diffrentes activits de formation spcifiquement offertes aux ES.

Par ailleurs, les entreprises uvrant dans les domaines de la sant et des services aux personnes sont proportionnellement plus nombreuses juger les formations suffisantes (57 %).

LE DVELOPPEMENT DES COMPTENCES, selon les ESQuelle(s) formation(s) devraient tre dveloppes pour mieux rpondre aux besoins de votre entreprise?%Gestion et en administration43%Dveloppement social11 %Marketing et communication10 %Recherche de financement9 %Ressources humaines8 %Informatique5 %Le march de lemploi en rgion2 %Le dveloppement durable1 %Comptabilit1 %Autre10 %NSP/NRP20 %La formation en gestion et en administration est, de loin, le crneau le plus souvent mentionn (43 % ). Les formations en dveloppement social, en marketing et communication et en recherche de financement sont les autres proccupations mentionnes par environ 10% des rpondants.

De faon mieux cerner les besoins de formation exprims par les entreprises, la page suivante prsente de faon plus dtaille les rponses obtenues. LE DVELOPPEMENT DES COMPTENCES, selon les ESDiriez-vous que cette ou ces formations ont contribu au dveloppement de comptences utiles pour votre entreprise?Cette proportion montre quil y a un besoin en matire de dveloppement des comptences. Notons que les plus petites ES sont proportionnellement moins nombreuses avoir suivi une formation adapte lconomie sociale (moins de 5 salaris : 24 %; chiffre daffaires de moins de 200 000 $ : 29 %).

91 % estiment que cette formation a contribu au dveloppement de comptences trs (28%) ou assez (63 %) utiles pour lentreprise.

Proportion dES dont les reprsentants ont suivi une formation adapte lS depuis 2008.39 %LA CONCERTATION ET LE RSEAUTAGEPlusieurs activits de concertation et de rseautage ont t mises en uvre.

Selon la majorit des partenaires et des intervenants, lEntente a contribu fortement regrouper les acteurs qui interviennent en conomie sociale et, dans une moindre mesure, rseauter les entreprises.

Du point de vue des entreprises, le rseautage est jug important, mais insuffisant par plusieurs dentre elles (39%). Ces dernires souhaiteraient notamment participer des activits sectorielles.LA CONCERTATION ET LE RSEAUTAGEParticipation aux vnements, activits des ES et des partenaires;

Runi les partenaires et les entreprises sur une base rgionale (C.A. TRSCA, comit de gestion de lEntente);

Animation de rencontres rgionales des intervenants terrain;

Animation ponctuelle de groupes de rflexion sur lconomie sociale;

Programme PIEC (MAMROT) : avis qui qualifie le promoteur en tant quES et participation au comit danalyse des projets;

Sige conomie sociale la Commission rgionale en dveloppement social (CR);

Participation aux rencontres des Ples rgionaux dconomie sociale;

Participation une mission en France dans le cadre du projet Franco-qubcois de coopration dcentralise (FFQCD, 2008);

Rencontres avec 3 dlgations franaises: Aquitaine, Essone, Rhnes-Alpes;

Participation lorganisation dune dlgation en Bolivie (juin 2012). LA CONCERTATION ET LE RSEAUTAGEa quel type dactivits de concertation et de rseautage aimeriez-vous participer?Les entreprises qui trouvent les occasions de concertation et de rseautage insuffisantes taient invites exprimer leurs besoins.

La rponse la plus souvent mentionne concerne des rencontres dchange avec des entreprises qui uvrent dans le mme secteur dactivit (22 %).

%Rencontre avec des entreprises qui uvrent dans le mme domaine dactivit22 %Confrences et rencontres dinformation12 %Diverses activits sociales11 %Rencontres sur ladministration et la gestion10 %Rencontres sur lconomie7 %Formations en groupe6 %Informations et activits de recherche et de financement2 %Autre10 %NSP/NRP32 %DFIS ET DIFFICULTS DES ES Quest-ce qui pourrait tre fait pour vous aider faire face aux dfis et difficults auxquels votre entreprise est confronte? .

Les rsultats montrent clairement que leurs priorits se situent sur le plan du soutien technique et financier de mme que sur le plan du dveloppement des comptences, ce qui renforce la pertinence de ces deux cibles en particulier. (n : 287)%De laide financire35 %De laide en ressources humaines18 %Des formations pour les employs11 %De laide en marketing et communication8 %De laide pour une meilleure gestion5 %De laide pour recruter la clientle5 %De laide pour le rseautage social4 %Du soutien technique adapt lentreprise3 %De laide pour une meilleure concertation entre les organismes2 %LE CHOIX DUNE ENTENTE SPCIFIQUEMalgr une certaine lourdeur associe la mise en uvre dune telle entente, travailler sur lconomie sociale dans le cadre dune entente spcifique tait un bon choix. Comme le dossier de lconomie sociale tait relativement nouveau pour plusieurs partenaires, lEntente spcifique a permis une appropriation de la problmatique en plus de ltablissement dun cadre dintervention clair.

LEntente a galement suscit une grande mobilisation des acteurs de lconomie sociale, permettant de renforcer les partenariats entre les organismes, lesquels appartiennent diffrents paliers dintervention (local, municipal, rgional).

LEntente sest inscrite dans le cadre plus large de lintervention gouvernementale puisquelle a t arrime avec le plan daction gouvernemental pour lentrepreneuriat collectif.

Elle a permis de tenir compte des besoins spcifiques de la rgion, notamment par la production dun portrait des entreprises et par un inventaire de leurs besoins, et elle a offert les moyens financiers dintervenir concrtement dans le milieu.

BREFUne nouvelle entente rgionale de partenariat pourrait tre conclue si lconomie sociale est toujours considre, par les principaux partenaires, comme une priorit rgionale.

La mise en uvre de lEntente actuelle a t globalement russie, les cibles sont pertinentes, la plupart des objectifs ont t atteints ou partiellement atteints et de nombreuses activits ont t ralises, donnant lieu des rsultats concrets. Dans la perspective dune nouvelle entente, certains ajustements mriteraient dtre apports.

La plupart des cibles, objectifs et activits sont pertinents. Toutefois, le nombre dobjectifs et dactivits prvus tait ambitieux : lEntente voulait ratisser trs large dans son intervention auprs des acteurs de lconomie sociale. Une nouvelle entente pourrait rduire le nombre dobjectifs viss ou, tout le moins, tablir des priorits dans les actions mettre en place.Merci de votre attention! 6150, rue Saint-Georges, bureau 304 Lvis (Qubec) G6V 4J8

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