L'Ecole valaisanne, septembre 1970

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L" col • v isa SOMMAIRE

Partie générale

P. Bourban Ecole vala isanne 1970/71

Bulletin mensuel du personnel enseignant du Valais romand

XVe année 1 Septembre 1970 No

Dr R. MlIIIor P.-E. BlIrgener M. Bagnoud M. Salamin

Le Service Médico-Pédagogique Notre Jeûne fédéral .

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Des difficultés à l'école ...

F. Pralong La grippe de 1918-1919 . Nouveaux ouvrages de catéchétique 11

Partie couleur

ODIS D. Fournier

Nouvelles diapositives à l'ODIS . Décoration de chambre ou de classe

13 15

Partie officielle .

RENSEIGNEMENTS

«L'Ecole valaisanne» paraît à Sion le 15 de chaque mois, juillet et août exceptés.

Rédaction: P. Bourban, ODIS, Rawyl 47, Sion, téléphone 3 93 65. Délai de rédaction: le 1er de chaque mois.

Edition, administration, expédition: ODIS, Rawyl 47, Sion, tél. 393 65 .

Impression: Imprimerie Fiorina + Bur­gener, Sion.

Ab~nnement annuel: Fr. 13.-, CCP 19 - 12, Etat du Valais, Sion (pour le personnel enseignant, l'abonnement est retenu sur le traitement du mois d'avril).

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Publicité: Publicitas, av. de la Gare 25, Sion, tél. (027) 3 71 11.

Pages de couverture (minimum 10 fois): 1ft page' Fr. 900.­' /2 page Fr. 470.-1/3 page Fr. 320.-1/4 page Fr. 250.­l/S page Fr. 140.-

Pages ordinaires (1 insertion) 1/1 page Fr. 90.-112 page Fr. 47.­l/a page Fr. 32.-1/4 page Fr. 25.­l/S page Ft. 14.-

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Ecole valaisanne 1970-71 Dans le premier numéro de «l'Ecole ' valaisanne» l'an dernier, nous

nous posions de5 questions sur l'avenir de notre revue pédagogique. La SPVal allait-eUe adhérer à la SPR (Société pédagogique romande) et les maîtres recevoir la revue romande «l'Educateur»? «L 'Ecole valaisanne» devrait-elle être supprimée dans ce cas, ou devenir la revue de l'Association des enseignants valaisans?

Nous annoncions en même temps le programme de l' année 1969/1970. Nous comptions beaucoup sur la coHaboration occasionnel[e des enseignants. Ces coHaborateurs occasionnels ont été moins nombreux que prévu. Mais peut-être seront-iis plus généreux à l'avenir?

Car «l'Ecole va1ai1sanne» ne sera pas supprimée cette année ma1gré l'adhésion de la SPVal à la SPR. Certes, nous ne publierons plus certains artides ou études de texte qui pamissaient simu[taném'ent dans les deux revues, puisque les membres de la SPVal reçoivent «l'Educateur» depui6 janvier dernier. Notre revue deviendra dorénravaI).t un peu plus «valaisanne» . Nous aurons toujours, ml8!lgré l'Ecole romande, des proprrèmes val-aTIsans. A commencer par le recyclage des maîtres en m1athématique. Là déjà, «J'Ecole valais'anne» sera un précieux trait d'union entre le département de Il'Instruc­tion publique et les enseignants.

Comme l'année dernière, nous trouverons dans notre revue ks documents d'histoire valaisanne' recueilüs et prés'entés par M. SaJlamin. Nous y trouve­rons également des chants pour nos éco'les avec notices pédagogique's. Et pour que nous connaissions mieux certaines insti-tutions sociales de chez nous, des personnes compétentes nous les présenteront chaque mqis. Nous P?unons lue dans ce numéro 1a présentation du Servite Médico-Pédago­glque par le Dr MuMor. Au mois d'octobre, la dootoresse de Wo:lff nous parJera de l'Institut Notre-Dame de Lourdes. Suivront ensuite dôs articles qui présenteront l'Institut des sourds-muets du Bouveret l'Ecote de la Bruyère, l'Institut Sainte-Agnès, l'Institut Saint-R'aphaël et le' centre ORITH. Nous visite:ons enfin les ateliers pour handicapés mentaux en compagnie de Mme ReIchenbach. Et pour clore cette série de pubilications, Mme Cretton nous parlera des éducateurs spécialis'és (AREJI) et M. J. Roh, de logopédie.

Pour le reste, «!l'Ecole val'ais'anne» pourra se modifier en cours d'année selon vos suggestions et propositions. Nous vous serions reconnaissant de nous dire régulièrement ce qui vous intêrœse et ce qui vous déplaît dans notre revue. Vos suggestions seront toujours les bienvenues et suivies dans la mesure du possible.

Bonne année scalaire! P. Bourban

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Le service médico-pédagogique Le Service Médico-Pédagogique a pour but le dépistage, diagnostic et

traitement des troubles psychologiques (dœficultés scohtires, troubles du lan­gage, du calcul, du comportement, maladies psychique,s etc.) chez }e·s enfants et les adolescents.

Le Service Médico-Pédagogique V'a.}ais,an (SMPV fût créé en 1930 par le Dr Repond et r'econnu officiellement par l'Euat du V'a}ais . en 1937.

'La demande toujours croissante a provoqué, d'une part l'augmentation de l'effectif du Service et d'autre part l'étab~Î'ssement d'équ1pes dans les prÎ.illcipales vilks du ca~ton. <? est ain~i que .Je SMPY po~sède des consuHa­tions à Monthey, M'artigny, SIOn et SleHe. Il es,t pr~vu 1 ouvertur~ ?e ~~ux centres dans le Haut-Valais. En 1969 'le nombre denfants eXaull1l1eS s ele>­vait à 1100. Au cours de l'année actuelle ce chiffre sera certaineilllent largement dépassé .

L'équipe médico-pédagogique

La caractéristique principale de l'activi,té d'un centr~ du S~~~ est constituée par le travail ,en équ1pe. CeHe-ci comprend plUSIeurs speclahstes: psychologue, logopédiste, rééduoatrke dei la psychom~tricité, psychoth~~a~ peurte, assistante sodaie et secrétaire. La personne qm . a la ~e s.pÜ'nsablhte de l'enfant peut faire appel à d'autres colHaborateurs qUI fonctlOnnent alors comme «consultants». Les oas plus complexes seront discutés lors des synthèses hebdomadaires qui réunissen t tous les spécialistes . Le principal avantage de ce mode d'agir c'est qu'~l permet une approche globale de l'enfant.

La demande d'examen

La vie d'un enfant se déroulant entre sa :flamille et l'école, il est tout naturel que se soient principalement les p arents ou l'instituteur qui nous les signalent. ParfoÎ's aussi ce sont ,le Service Social de la localité, les médecins, les juges, etc. qui demandent l'eJraJlnen. . .

Le motif sera différent selon ·.J'origine de la demande. Amsl les parents signalent leurs enf'ants pour insomnie, nervosité; l'école pour difficultés scolaires: retard scolaires, dyslexie, troubles psychomoteurs , troubles du comportement etc .

L'examen proprement dit

Après un entretien ini'tial avec ,les parents on prattque chez l'enfant un bilan psychologique. Il n'est pas inut~le de ,sign8!ler que. cet examen ne com­porte pas seulemeillt une mesure de son ni'veau intellectuel mais aussi une déterminration de sa psychomotr,icrté, du ~angage voir de son laTfeotivi,té. Si des examens complémentaires s'avèrent néC'ess'aires ill sera fait appel à un

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autre spécial' t C . Tt . IS e~ ertallls cas seront examinés par le psychiâtœ d'enfants ou es les dOl1!llees sont alors réunies pour l'établissement du dilagnostic. .

Les mesures

Une fo~s le diagn st" / d .. . . / 0 IC pose, es proposItIOns seront ~aites à la personne q~~e~~sus 0 a sl~l1'ale i'enfa~~ . Il peut s'agir des conseils psychologiques aux Ph ' / u d u~e prop?S~'tIOn de placement, en passant par un tr,aitement psy~. otherapeubque, medlcamenteux, une rééducation logopédique psycho­ma nce ou psychopédagogique, l'intégration dans une clas'se de ' dévelop pement etc. ' -

Perspectives

d Le ~é:reloppement d~ .Ser~ice Médico-Pédagogique est intégré dans le ~a ~e ~ener~l ~e la planifICatIOn hospitalière. C'est ainsi que depuis 1969 ~~e e'hmpes eVIenn~nt de plus en plus «sédentaires» , le but recherché étant

q c aque centre aat Ison personnel sur place. le n Au ~ou~s de. c~tl~e ~nnée un effort tout particuHer est fait pour augmenter

Il °bm r~ e,s ~pecl~ahste>s pour traiter le;s enf1ants. D'autre part une étrol'te

co a oratIOn s'etabht av 1 d / d ' ' dé istaa d' nf . e/c e epartement e 1 Instruction publique pour le PA De l' e an~s qm frequenteront plus tard les dasses de dévelop'pement

vec extenSIOn de notr 'S . / . lus par ,. e erVlce nous esperons poursuivre dans une ~e l 'ema~~ ~~su~~d'l ~lbJeotif que .,nou/s nous so~es fixés: la réintégration

e a 0 escent handIcapes dans b SOCIété.

Dr R. MuEor, médecin adjoint au SMPV

Notre Jeûne fédéral, action 1970 Le Jeûne fédéral est deve 1 l ' " C'est l' . d . n~ pour a plUpart une lllstItutIOn vide de sens. E o~~~sIOn e sortles ~ de ~nllades, de .repas gastronomiques.

fe/de/r nI 7 ~es NeuchatelOlS ont pris l'iniüative de revaloriser le Jeûne

a en mVltant ,leurs conc't ". . Jeûne et à faire b / T' l ~?yens a s Imposer une pnvation le jour du

fl'ce l'b t ene .Icler e lers Monde de la contre-val'eur de ce sacri-

1 remen consentI.

pass~:~ s~~~r~!s c:~t~~~sr~~f.n~ se s.on.t joints à J'~ction; le Valais, l'année

G " . d /.t" a ommlSSIOn œCThmemque oantonale

race au eveloppement de l'indu t' t d ' . vie se sont sensiblem""nt am /1' / h s ne e u tounsme, les conditions de

/ • U e IOrees c ez nous. Cette evolutIOn souhaitable et fort heureu /

~ar:ger . certain: l"esprit matéria1iste ri'sque d'enva~ r )res~nte cependant un JOUIr, nen de plus. . 1 e VIeux pays. On veut

Il y ~o~eld~~ns l,~tter. c~ntre oe'~te v~gue qui menace surtout notre jeunesse. . / q blq mOlS, Paul VI affmmal1: que le renoncement et le sac if' t lllsepara es de l"esprit chrétien. r lce son

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i./.année dernière plusieurs classes d'écoles primaires et secondaires ont spontanément organisé une collecte dans le oadre de l'action du Jeûne fédéral, ce qui encouragea le comité cantonal à s'adresser cette année tout particulièrement à la jeunesse scolaire.

Nous prions le corps enseignant valaisan de soutenir l"appel au sacr-ifice que noUS adres'sons en vue du Jeûne fédéral à la jeunesse scolaire, de veiller à ~a distribution du papillon destiné aux jeunes et de s'occuper, si pos,sible, de la colleote dont profi te~ont cette année les mi,ssionnaires laïques nombreux en Valais.

Nous comptons sur votre appui!

Notre Jeûne fédéral, CCP 19 - 4868 , Sion. Pour le Comité d'action valaisan: P.E. Burgener, juge oantonal

Notre page de couverture Les pages de couverture de «l'Ecole valaisanne» présenteront cette

année des vues d'édifi'ces ronlans et gothiques. Comme par le passé, un bref commentaire permettra de repérer certains éléments caractéristiques de ch aque œuvre. Les pièces choisies ne constituent pas une sé~e:ction des œuvres les plus beHes ou les plus oamctérrstiques de l'Iarchitecture médié­vale, celles-ci étant généfialement connues, ou du moins faciles à trouver dans d ivers dictionnaires ~llustrés: Ile Mont-Saint-Michel ou Il'a cathédrale de Chartres, Notre-Dame de Paris ou la Sainte-Chapelle ne figureront donc pas dans l,a série. Au 'contraire, on pourra y trouver des édifices moins connus, permeUant de se flaire, grâce à un regard plus neuf, une idée plus ex'acte du style présenté.

Eglise Saint-Pbilibert de Tournus (Xe-XIIe siècles) Cette première vue -représente l'ex<térieur de il'égli:se Saint-Philj.bert de

Tournus, vue du ·sud-est. Cet édifice est sibué non loin de ,~a Suisse, sur la route nationalle 6, entre Châlon-sur-Saône et Mâcon. n appartient donc à l'école romane de Bourgogne et fut construit entre le Xe et le XIIe 'siècles. On remarque sur cette vue un certain nombre d'éléments caractéristiqueiS: le clocher de plan oarré situé sur la croisée du transept; les contreforts rythmant les murs de '~a nef et du transept; les larges baies en plein-cintre; les bandes 'lombardes visibles 'sous les deux étages de fenHres de lIa tour et sur l'abside 'semi-'CÏrcula ire, avec leur ligne festonnée. Comme c',est généralement le cas darrs les églises Tomanes, 'l'extérieur de l'édifice -révèle exactement le plan intérieur: on voit nettem'ent, de gauche à droite, }la nef, e transept, puis, après le clocher, le chœur donnant sur l'abside et entouré du déambulatoire, ouvert ~ui-même sur 1e:s -cliver,ses chapeHes ,rayonnantes vi'sibles au bas de la photographie. A gauche, une partie des bâtiments conventuels. L'église de Tournus a fait l'objet d'une excel.}ente res·tauration, il y a quelques années, et mérite un alTêt si l'on passe dans la région: Ison style très pur et 'la teinte rosée de sa pierre suscitent l'admi1iation de tous les visiteurs.

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Des difficultés à l'école ... de 'l'allègement des programmes ... du partage des responsabilités ...

Depuis quelques années, les responsabilités de l'école ont augmenté à un rythme «effrayant»; tout le monde est d'Iaccord de consVater un accroÏ's­sement des difficultés dans nos clas,ses, de reconnaître que l'effectif des classes primaires augmente et que le niveau intellectuel des élèves devient pl~s iné~al, que .J'enseignement et féducation sont freinés par les nombreuses «dlstrac-tlOns , modernes», mais quelqu'un a-t-il songé à partager les responsabilités avec les enseignants et à entreprendre tine restructura­tion complète de l'organis'ation sco'Laire en rapport 'avec ces données nou­veliles?

Un peu partout dans notre canton, on a conservé le mythe «du bagage p,our la vie:> et ,l''On n'os'e pas condamner cet encyclopédi!sme qui, prétend leguer aux Jeunes gens le s'eul vrai passeport pour une entrée de pied ferme dans notre monde d'laldu1Ites. Dans cette optique, une réforme des program­mes, quant aux prescr'}ptions médicalles à l'horaire des étudas à 1'organisa­~i~n de la ~las'se, à l'inspectorat, au p~rtage des responsabilités, a 'toujours ete -repoussee dans un avenir indéterminé. Ce ,refus d'étudi'er la question éùant motivée par une vision faus'se du problème, la conolusion se devine: un allèg.ement des études, une modifioation des hor,aires journalliers, h supp:e,sslOn totale ou partielle de l'inspectorat, accentueraient l'ignorance des eleves, car le seul remède à ,la carence actueIJe en matière éducative est Il 'augmentation du volume des connai'ssances à enseigner.

Or, nous 80mmes assurés que toutes les matières ins'crites dans les pro­g~amI?'es ne 'sont 'PalS assimilées par les élèves, mai's que Je bachotage donne l'Ülu'slOn -d~ la ré.ussite. ,~lors, doit-on h6siter à s'a'crifier des notions qui ne sont peut-etre utdes qu a quelques-uns d'entre eux dans la vie? Et comme beaucoup d'enfant,s arrivent en oinquième et en sixième" ne connai,ssant ni ne co~P!e~an~ l'?rthographe, et ce qui est plus grave, ne sachant ni travail­l'er, ru reflechlr, il ne peut pas y avoir perte, mais seulement gain à com­mencer une réorganisation de récole par un alllégement et une adaptation des programm'Cls.

Les programmes et les méthodes d'ense!gnement doivent être repensés, en te?ant compte des buts actuels de l'éducation, dans un eSJ,>l'it de colla­borah~n et de partag~ ~es responsabilités entre, les parents d'une part et, les maItres et leurs supeneul's d'autre part.

A notre é,P,oque, il n'est plus possible de vouloir former les esprits des enf~nts en utlJhs·ant le savoi·r hUJIl]tain en étendue; i,l f.aut donc l'utHiser en pro~o.ndeur, par l',analyse d'un petit nombre de questions judicieusement ch 01 sIelS, car l'école doit surtout viser à montrer aux élèves comment on étudie une question, comment on en dégage les idées directrices et comment on utilise ces idées pour aller de l'avant.

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Nous proolamons que récole est au s'ervice de l'enfant, et en classe, nous exigeons que les élèves se soumettent «bon gré m,al gré», à nos décisions dictées par notre expérience «infaillible» d"aÎnés. N'est-il pas inhumain, lorsque les médecins ont parfaitement étabH que l'enf,ant norm·al de s~pt ans est capable de deux heures par jour de trav'ail inteHectuecl ou de con­centl'atÎ'on, de doubler ou de tr.iJpler la ration, parce que nous, l'es adultes, qui ne som'mes guère capables d'écouter, en général, au delà de l,a demi­heure, en avons décidé ainsi? Voici un ex'emple qui se renouveHe tous les jours et qui montre combien notre jugement est superficiel et papüa:l: à l'école nous refusons aux élèvôs l'emploi du stylobille, pourtant si pratique, reconnaissant à ila plume seule la possibilité de bien transcrire -sur le papier toutes les nU'ances de la pensée, aloliS que nous nous prédpitons sur le der­nier perfectionnemecnt de la caméra automatique qui photogr,aphie tout, si bien, qu'eUe nous dispense de regardelf. Ne sommes-nOLl'S pas en présence de deux merveilleuses inventions utiilitaires de la technique? Ni le refus du premier, ni le vertige de }la seconde ne sont eXipJi'oab']es valablement si nous les considérons COfIl[lle deux at.titudes symétriques. Reconnaissons que le stylobille intéresse l'enfant, tandis que la caméra intéresse l'adultel et l'adolescent. M. Bagnoud

Docume s valaisan e par Michel Sal}.amin

La grippe de

(à suivre)

Il Il

S 01

9 8-1919 Du centre de l'Asie, }a grippe passe en Chine et au Japon avant de se

répandre en France, où ehle apparaît à Rouen, au mois d'nvrii1918, panni les troupes anglaises. Dès le mors de nllai, eJI~e atteint la Suis'se. Elle se manifeste à Lausanne, à Genève 'et dans le Valais aVlant de -s'étendre à tout le pays. 748 232 cas sont annoncés aux offices gouvernementaux des cantons. Le nombre des décès s'é~ève à 24 977.

A. L'arrêté du Conseil d'Etat du 25 octobre 1918

En vel1tu des pleins-pouvoirs qui lui ont été accordés par le Grand Cons'eil, le Il novembre 1914, le CoU'setil d'Ebat, soucieux d'enrayer l'épi-

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démie, promulgue l'arrêté du 25 octobre 1918 concernant les mesures à prendre contre l'épidémie de grippe. li est publié dans le Recueil des lois, décrets et arrêtés du canton du Valais de 1917 à 1920, t. XXVI, Sion, 1921, pp. 289-292. Nous n'en reproduisons que, des extraits.

Article premier. - Toutes les réunions publiques: bals, concert.s, con­férences, réunions électorales, expos~tions, etc., sont interdite,s.

Les saHes de spectacle (théâtres, cinématographes, etc.) sont fermées. Art. 2. - Les éco1les primaires, publiques et privées resteront fermées

jusqu'à nouve;l ordr'e; celles qui 'sont ouvertes actuellement seront fermées. Oependant, ' à titre d'exception, et sur préavis f'avorable du médecin du district, les communes restées indemnes pourront être autofÏisée,s par le Cons~il d'Etat, sur le préavis du département de l'Instruction publique, à rouvnr leurs écoles avant la date de lia rentrée générale des classes.

Art. 3. - Les foires sont suspendues. Elles pourront, dans des cas par trcUJli ers , être autorisées par le Conseil d'Etat, sur Je préavis du départe­ment de l'Intérieur.

Art. 4. - Les communes 'sont invitées à fiaire usage de la faculté qui leur es't accordée par la Joi, de raire aViancer l'heurel de ferrneture des éta­blissements publios, oafés, débits, restaurants, si elles le jugent nécesslaire. , Ell~s v~Hleront à une applioation ~triote des m'esures d'hygiène imposée a. ces etabhssements par Je département de l'Intérieur, et ordonneront spé­cIaJle~elIlt le baJlayage humide de ces locaux, et l'usage, à cet effet, de solutIOns 'antiseptiques (eau de soude, solution de lysol, lait de chaux). En oas de non observation de ces prescriptions, l'autorité communale pourra prononcer ·la fermeture provisoire des établissements en défaut.

Si un membre de la fam..illle ou du personnel d'un tenancier d'établis­sement pUJblic est atteint de la grippe et soigné dans le bâtiment où se trouve d'étabHssement, la commune devJ1a ordolliler la fermeture temporaire de ce dernier.

. Art. 5. - ~'autorité ecolési'asti'que prescrira les mesures d'hygiène néces­saIres en ce qUI concerne 'les églis,es et ,la célébration des offices divins.

-,?-rt. 6. - Les visites auprès des corps exposés de personnes mortes de la gnlppe sont mterdi1tes. L'enterrement de ces personnes se fera le lendemain du décès. Le cercueil sera conduit directement au cimetière. Les proches parents Iseuis pourront se rendre à l'église.

Art. 7. - Les lautorités communales veilleront à la désinfeotion ou si ~el~e-ci n'est pas poslsible, à un lavage et nettoyage à fond des chambres qui étaIent occupees par les malades atteints de }la grippe.

Art. 9. - Les communes doivent prévoir dès maintenant l'installation d'un }azaret~ fiaire .choix à cet effet de looaux convell'ables, se procurer un nombre de lIts suff'lslant et désigner le personnell chargé du soin des malades.

'( ... ) Art. 10. - Les communes sont tenues de recruter et d'indemniser les

personn:es qui seront chargées de soigner à domicile les malades dépourvus de l'ass'I~tance nécessaire. BIles choisiront de préférence des personnes ayant eu la grrppe.

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B. Le rapport du département de l'Intérieur

Les extmits suivants sont tirés du rapport du département de l'Intél'Ïeur du canton du Valais sur sa gestion pendant l'année 1918, S. 1., n. d., pp. 23-25.

Dans notre canton, quelques cas avaient été constatés pendant le mois de juin; ils ne paJ1aissaient pas différer beaucoup de ceux que l'on avait observés presque toutes les années. Au commencement de juillet, alors que la grippe sévissait dans le régiment va1ai'san mobilisé, les cas devinrent plus nombreux et' plus graves, résuhant probablement d'une contagion importée par des mi1itaires en convalescence ou en congé, par des ouvriers étmngers,

. peut-être aussi par des convois d'internés venus d'Allemagne. Vers le 7 juillet, l'épidémie prit brusquement une extension considérab1e par le fait de la contamination des ouvriers des us,ines , lesquels rentrant chaque soir dans leurs foyers y disséminaient les germes de l'infection. C'est ainsi que furent atteintes les premières looalités fourni's'sant à lia grande industrie le plus gros contingent d'ouvriers. Comme partout ailleurs, l'épidémie présenta chez nous deux périodes de plus forte intensité , la première en jui~[et et août, la seconde en octobre et novembre , séparées par un minimum en septembre où l'on put espérer un moment qu'eUe aHai,t s'éteindre. Bien que pendant le-s six derniers mois de 1918, elle ait régné dans toutes les parties du oanton, on Deut cependant noter dans la première période les épidémies locaks de Monthey, Saint-Maurice, MaJ1tigny, Saxon- Sion, Chippiis, des vinages de ~a Noble Contrée, de Guttet, Feschel , Erschrrnatt, Gampe[, de b vallée de Lotschen, de Viège, de Güichen et de Sraint-Ni:colas; en août et septembre, celle·s de Nax, Savièse, Oberwald et une reprÎ'se à Saxon. En octobre, l'épi­démie est en recrudescence à Vernayaz, à Martigny-ViUe, à' Sion; eJlle se propage à Salvan, à Leytron; elle s'étend dans le distriot de Conches. En novembre, elle est en recrudescence dans le di'strict de Monthey, dans le district et la vine de Saint-Maurice, dans le district de Martigny; elle envahit la conm1une de Bagnes: on signale un 2"rand nombre de cas dans plusieurs communes des vallées de Saas et de Saint-NÏ'colas et en ville de Brigue. En décembre, nous avons l'épidémie de Vex, et les districts le's plus atteints sont ceux de Viège et de Monthey. -

" Deux mi,Jle trois cent trente et un oas furent signaŒés en juillet, 3321 en aout, 994 en septembre, 3549 en ootobre, 2866 en novembre, 1931 en décembre, en tout 14 992 oas. Dans un rapport présenté lors d'une confé­rence qui se tint à Berne le 5 novembre, le directeur du Service fédéral d'hygiène ,admettait pour un cas de grippe dénoncé, trois cas non dénoncés. Si nous adoptons cette proportion qui nous donne 60 000 cas pour les s'ix derniers mois de 1918, nous resterons au-dessous de la réalité, le rapport entre le nombre des cas signa'lés et le nombre de ceux qui ne 'le f.urent pas étant chez nous certainement inférieur à ce même rapport dans les autres oa.ntons.

En beaucoup de régions en effet, les médecins débordés, surmenés, durent se contenter de soigner leurs malades sans se préoccuper autrement

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de la déclaration dont l'uttHté leur par,aissait d'laiJleurs d'une importance très secondaire; en d'autres régions, les s'ecours médicaux firent, à certaines périodes , absolument défaut, surtout dans les premières semaines. Beaucoup de malades moururent qui n'avaient joamais reçu la visite d'un médecin.

Aus'si ne faut-il pas trop s'étonner si, jusqu'à fin décembre, 1365 vic­times furent emportées par la grippe. Ce qui , sur 'Une population d'environ 140000 âmes (recencement de jui'Net 1918), donne un taux de mortalité de 0,97 %, à peu près 1 %.

11 y eut des communes où l'on compta un décès de grippe sur 50, sur 30 habit'ants , et même un décès sur 15 habitants. Ces chiffres évoquent le souvenir des gmndes épidémies d'autrefois. Cette haute morta­lité s'expUque par l'insufüsoance numérique du personnel médical et infirmier; elle s'explique aussi, il foaut bien le dire, pa'r les conditi'ons hygiéniques dans lesquelles vivent les populations de quelques communes villageoises, par la négligence de toutes préoautions d'hygiène, et par l'entassement dans des logements trop étroits.

c. Les ravages causés pal' la grippe

Dès le printemps 1919, l'épidémie de grippe dispar·aît. Le rapport du dépaft1ement de l'Intérieur du canton du Va!ais sur sa gestion pendant l'année 1919, S,L , n, d. , pp. 19-20 fournit de,s renseignements s,tati'stiques sur les méfaits qu'e~le a cél!usés.

Les quatre premiers mois de 1919 ont été marqués par }a décroissance progressive de l'épidémie de grippe qui régnait depui,s 1918. A10rs qu'en décembre on nous signalait encore 1931 cas, on n'en dénonçait plus que 570 en janvim', 175 en février , 135 en maf>S et 21 en avria, en tout pour 1919, 901 cas avec 102 décès. ( ... )

Du 1er juillet 1918 à 1a fin d'Iavril 1919, 15893 coas de grippe nous ont été dénoncés par les médecins et 1487 décès par les officiers d'état-oivi1. Ce dernier chiffre peut être considéré comme à peu près eX!aot et nous permet de nous rendre compte des ravages que la gr1ppe a f'aits dans le canton.

Voici calculé ·sur le recensement de 1918 re taux de movta!lité grippale par drstrict:

District de Monthey District de Saint-M'aurice District d'Enêremont Di:s-tfiÎ'ct de Mm1tigny Distriot de Conthey District de Sion Di'stIiot d'Hérens

0,50 ~6 0 ,32 9t 0,64 % 0,51 9(; 1,24 % 1,43 9b 1,63 96

District de Sierre Dilstriot de Loèche District de Rarogne occid. Dist'rict de Viège D~strict de Brigue District de Rarogne orient. District de Conches

1,38 % 1,85 % 1,06 % 1,14 % 1,03 % 1,69 .% 1,96 %

Ce sont donc les deux districts superIeurs, puis les districts du Centre avec Stene et Loèche qui ont été .]e-s plus éprouvés.

10

ua commune qui a eu la plus forte mortalité Idans le district de Conthey est oelle de Nendaz avec un taux de 2,14 96. Dans le distriot de Sion, c"est Savièse avec le 2,8 %. Dans celui d'Hérens, c'est lIa commune de Nax avec 3,7 %. Dans le district de Sierre, Cha!lalÎ,s arrive à 3,3 %. Feschel dans le dilstrict de Loèche atteint le taux 'exceptionnel de 6,7 %. Dans le distri'ct de Conches, nous avons Binn avec 3,5 %'

Nouveaux ouvrages du Centre Diocèsain de documentation catéchétique

En mars 1970, nous avions publié le premier catalogue du matériel catéchétique disponible à l'ODIS, Rawyl 47, Plusieurs maisons d'éditions, auxquelles nous avions envoyé ce catalogue, nous ont offert gracieusement leurs plus récents ouvrages, Nous les en remercions sincèrement et nous nous faisons un plaisir de vous les présenter.

IÙlitiollS du Chalet, Lyon, 36, rue de Trion

«L'audio-visuel et la foi», par Pierre Babin et l'équipe «Monde et Foi», 1970, 238 p.

Elaboré dans la perspective de l 'évangélisation des jeunes, cet ouvrage aborde le problème général du langage audio-visuel et de ses rapports avec la foi, Il est le fruit de la collaboration d'éducateurs catholiques et protestants, L'ouvrage, fort bien illustré, comprend trois parties,

A la question fondamentale: «aujourd'hui, qu'est-ce qui change?», une première partie répond: «d'abord et avant tout c'est l'homme qui change», Le père Babin ana­lyse les types d'hommes créés par la civilisation audio-visuelle et il étudie les possibilités des moyens audio-visuels à exprimer la foi, à mettre les jeunes en contact personnel avec Dieu,

Dans la deuxième partie, plusieurs auteurs étudient les bases du langage audio­visuel et ils en dégagent les grands principes, en vue d'assurer une catéchèse valable pour les jeunes d'aujourd'hui, J.-P. Bagot étudie également l'apport de l'audio-visuel dans ]a pédagogie du groupe,

La troisième partie enfin, «pratique et prospective», laisse pressentir à quelles transformations nous provoque l'audio-visuel; elle amorce en outre une initiation à la maîtrise de ce langage, conseille judicieusement pour le choix d'un équipement, indique une technique de classification des documents et fournit une vaste bibliographie sur la civilisation des mass media et son nouveau langage,

L'étude de cet ouvrage nous paraît fort utile aux éducateurs de la foi, car il nous laisse entrevoir les richesses de ce nouveau langage pour la catéch~se des jeunes, tout en nous faisant saisir les exigences: l'utilisation de ces nouvelles techniques requiert un minimum d'apprentissage et un approfondissement de notre foi,

Il

Page 8: L'Ecole valaisanne, septembre 1970

«Aujourd'hui l'Evangile»: sept dossiers sur le Christ, pbotos et méthodes, par Pierre Babin, Alain Baptiste et Claire Bélisle, collection audio-visuel, «Monde et Foi».

Cette collection comporte 6 pochettes de 16 photos en noir et blanc, de 24X 18 cm. et un fascicule de 32 pages donna.nt 6 exemples d 'util isation de ces photos dans la catéchèse des adolescents. Ces photos veulent faciliter la découverte en groupe de l 'Evangile, du Christ vivant dans le monde d'aujourd'hui et voulant continuer à se

révéler à nous à travers les événements actuels.

«Et les enfanls pas comm e les aulres», par une équipe de Lyon, collection

<<Parents chrétiens», 1970, 126 pages. La collection «Parents chrétiens» est déjà connue par sa reV1Je bi-mensuelle

traitant des problèmes d'éducation en famille, ses numéros spéciaux, sans cesse remis à jour, sur le baptême, la première confession, la première commlIDion, la confirma­tion, et ses ouvrages d'éducation, «Avec nos adolescents» de P ierre Babin et Jean Vimort, «Avec nos enfants»: 1. La vie de famille, 2. Leurs défauts par Jean Vi mort, 3. Etre parents, par F. Mourvillier et Anne-Marie Bardel.

L'ouvrage que nous présentons aujourd'hui, nous parle de l'éducation des enfants handicapés ou inadaptés, qui ne sont pas comme les autres et dont Je nombre va

croissant. Tous les parents, à des titres différents, se trouvent concernés par ce problème

humain. C'est à tous que s'adresse ce livre réalisé par une équipe lyonnaise. Viennent d'abord les récits de trois foyers qui ont un enfant inadapté ou handicapé, et qui tentent loyalement de traduire leur peine, leur angoisse, leur espérance.

Ensuite, plusieurs personnes qui connaissent l'un ou l'autre de ces foyers, expri­ment leurs réactions d'éducatrice, de prêtre, de médecin, de catéchiste devant l'angoisse et l'espérance de ces jeunes handicapés et de leurs parents.

S'ils ouvrent des horizons insoupçonnés de dévouement et de foi, ces témoignages

sont aussi pour chaclID une interrogation.

«L'alliance ancienne et nouvelle», essai de catéchèse biblique et liturgique, par Cinette Ferrière, 1962, 299 pages et

«Matériaux didactiques» pOlU l'élaboration du fichier de l'enfant, 63 pages.

«L'alliance ancienne et nouvelle» est un essai de catéchèse biblique et liturgique pour les enfants de 9-12 ans dont le plan est celui de l'histoire du salut et de l'année liturgique. L'objectif de cette catéchèse, n'est pas d'expliquer la Création, Moïse ou Jésus-Christ, mais de conduire les enfants à entrer peu à peu dans l'acte concret de la Rédemption du monde. Chaque leçon, en effet, oriente la communauté des catéchisés à la participation sacramentelle et eucharistique au rythme de l'année liturgique.

«Matériaux didactiques»: ce sont des fiches pour les activités de J'enfant, activités qui lui permettront d'intérioriser la leçon et d'exprimer sa foi à sa manière, par le chant et le dessin, la réflexion personnelle et la prière.

Editions La page des parents, La Roche-sur-Yon, 32, rue Joffre

<<Pour qu'ils grandissen.t», propos sur l 'éducation en famille, 1967, 157 pages.

Cet ouvrage ne prétend nullement apporter de savants développements sur l'édu­cation en famille. Il est le fruit de la réflexion de plusieurs groupes de parents qui

12

E. V. No 1, septembre 1970

Liste de diaposit ives en complément du catalogue de L'OOIS (E.· V. No 1 s'eptembre 1969)

AU 26 AU 27 AU 28 AU 29 AU 30 AU 31 AU 32 AU 33.

GL 19

G 19 G 20 G 21 G 22 G 23

GS 04 GSR 10 GSR Il GSR 12

GE 76 GE 77

GAM 32 GAM 33 GAM 34

GAN 01

g) Art (UNESCO) Sculptures de la Grèce antique L'·arf musulman en Espagne L"art musulman au M1aroc Es.tampes japonaÎls'es Œuvres d'art en Etlhiopie Education artiBtique No 6 Education artistique No 7 Kunstsohatze aus Iran.

GEOGRAPHIE

a) Géologie Rôle des eaux 'sauvages

b) Géographie générale Economie mondi'ale . La conquête de l'V nivers Astronomie (= D 06) La ,lune La monbagne .

c)' Géographie de la Suisse VilIles suissels Val1ais Neuchâtell Genève

d) Europe Portugall . Portugal ' .

f) Amérique USA Der Osten. . USA Mittlerer We\Stelll . USA Der Weisten .

Continent Antarctique .

24 diras 25 d~as 20 di'aJs 20 di1as 30 di1as 30 di,as 30 dias 30 dias

10 dioas

30 dias 24 d±a's 36 dias 32 diras 34 dt as

10 dia-s 26 di as 24 di1as 13 dias

17 dias 30 dias

25 dias 25 di1as 25 di'as

12 di'as

13

Page 9: L'Ecole valaisanne, septembre 1970

SB 44 SB 45 SB 46

SZ 55

SZ 56 SZ 57 SZ 58 SZ 59 SZ 60 SZ 61 SZ 62 SZ 63

L 29 L 30 L 31 L 32 L 33

FA 01 FA 02 FA 03

FA 04 FA 05 FA 06 FA 07 FA 08 FA 09 FA lb FA Il

FA 12 FA 13 FA 14 FA 15 FA 16

ED 15

14

BOTANIQUE

Ce c~quin de petit bourgeon Le mari'age des fleurs . Après le mariage des fleurs.

ZOOLOGIE

Protection des animaux (en français et en al'le­mand) + 1 bande m'agnétiqrue (9,5 cm·fsec.) . La jeune hirondelle La maison du pagure La pl,ainte de l' OUJ.'lS Truites et s'aumons H!anneton et papillon Deux chiens chez les Esquimaux Le papillon L'île aux mouettes

LITTERATURE

Fr·ançois ViHon Arthur Rimbaud l Arthur Rimbaud II GulHaume ApoUinaire et ,son époque Paul Valéry .

FABLES - RECITS

La Fontaine: La laitière 'et Je pot au ~ait . La Fontaine: Le Héron La :eontaine: Le chien qui lâche sa proie pour l'ombre . . La Fontaine: L'ours et ~es deux compagnons. La Fontaine,: Le 'corbeau et ,le renar:d La Fontaine: La peste . La Fontaine: Le Œièvre 'et la tortue . La Foouaine: Le chat, IJa belette et le petit l'apin . La Fontaine: L'e m'eunÏ'er, 'SOlI fiils et Il'âne La Fontaine: Le ,loUlp et ['agneau La FonÙ~ine: La grenouil1[e qui vou~ait s'e faire aussi grande que lei bœuf . . A. Daudet: Ta,rtarin de Tams'Con A. Daudet: La muie du Pape No 1 . A. Daude·t: La 'mule du Pape No 2 . A. Daudet: La chèvre de M. Seguin . A. Daudet: Le secret de Maître Corni[[e .

ECOLES ENFANTINES

Les arbres

32 dias 34 dias 34 dia'S

27 dias 33 . dias 29 dias 34 dias 29 dias 34 dias 35 dias 31 dias

. 30 di'as

26 <lias 15 di'as 22 dias 26 di'as 26 <lias

. 17 dias 21 di'as

9 di1as 26 di:as 13 dias 32 dias 25 dias 25 dias 28 di'éts 19 dias

10 dÏ!as 34 dias 28 di'as 28 dias 35 dÏ!aJS 34 dias

10 dias

E . V. No 1, septembre 1970

Travail manuel

Décoration de chambre ou de classe

L'aquarium

Matériel:

1 photo-oarton noi'r de 50X 70 cm. environ; environ 15 oarrés de papier pour pliage (dimensions des caHés entre 6 et 15 cm), couleurs v:ariées; des crayons de couleurs, de la cone .

Montage:

- sur le fond de carton, dessiner quelques plantes aquatiques. - plier les pois'Sons de la manière suivante:

1. Plier suivant ['es axes: 2. Retourner le papier, plier suivant les diagon1ales. 3. Retourner le papier et plier ,Jes 4 angles au centre. 4. Retourner le pliage et plier encore une fois les 4 ,angiles au centre. 5. Rouvrir la·feui/Ile en ne laissant qu'un seuJl angl'e rep:lié. 6. Replier les bords de lia feuiHe vers le centre. 7. Les pointes supérieures et inférieures sont dirigée's vers l'arrière. La

dernière est repliée sur eiRe-même pour for'mer la queue. 8. Dessiner ou coLler un œH et une bouche.

Ce ~abl\eau peut se confectionner dans toutes les dimensions. Adapter le nombre de pOLs'sons à la grandeur du fond.

15

Page 10: L'Ecole valaisanne, septembre 1970

E. V. No 1, septembre 1970

16

ont mis en commun leurs expenences de vie de famille. Les divers chapitres de ce livre avaient paru d'abord dans les numéros de «La page des parents», l'éducation chrétienne, le vrai sens de l'autorité, la liberté, l'obéissance, la loyauté, faire effort, l'enfant devant l'argent, les chrétiens et le confort, admirer, le sens de Dieu, prier en famille.

Ces pages nous paraissent pleines de bon sens et de sagesse, à la portée de tous les parents. Nous ne saurions donc trop les recommander à ceux et celles qui ont le souci de faire grandir leurs enfants dans la joie et dans la foi.

Numéros spéciaux de «La page des parents»

Je me prépare à recevoir Jésus vivant: livret de 16 pages pour les enfants. Je prépare mon enfant à recevoir Jésus vivant: livret de 32 pages pour les parents. Vous serez mes témoins, livret de préparation à la Confirmation pour les enfants,. Faire vivre avec le Saint-Esprit, livret de préparation à la Confirmation, pour les parents, 24 pages.

- Formation du tout-petit: de la naissance à trois ans, livret de 32 pages. - Pour initier au mystère de la vie: le plan de Dieu, comment parler? quand parler?

livret de 32 pages. - Ecole maternelle: la vie des enfants en école ma ternelle, son sens et sa valeur

éducative, l'importance de l'harmonie entre école et famille, 16 pages. - La prière du tout-petit, 24 pages.

Tous ces numéros spéciaux de la «page des parents» peuvent être consultés au Centre diocésain de documentation catéchétique, ODIS (Références: Ra 72, 73, 74, 75).

Editions du Cerf, 29, bd Lateur-Maubourg, Paris 7e

«La Bible pour les jeunes», l'Ancienne Alliance, texte de A. M. Cocagnac, illustra­tions en couleurs de Jacques Le Scanff, 1966, 127 pages.

«La Bible pour les jeunes», la Nouvelle Alliance, texte de A .M. Cocagnac, illus­trations en couleurs de Jacques Le Scanff, 1967, 127 pages.

Ces deux , ouvrages, destinés aux enfants de 9-10 ans. se présentent sous la forme de grands albums richement illustrés, de 22 X 27 :50 cm. Le premier retrace les grandes étapes du Peuple de Dieu, de la création à l'annonce du Messie par le prophète Zacharie. Texte et images veulent conduire l'enfant, par une meilleure connaissance de l'histoire du peuple élu, à la Révélation totale que Jésus nous réserve.

Le deuxième album rappelle aux enfants les grands enseignements du Seigneur, ce qu 'il faut connaître pour devenir un vrai chrétien. Il veut les aider à entrouvrir leur cœur pour que la foi plonge ses racines au plus profond de leur âme.

«Les mots de la Bible», texte de A. M. Cocagnac, illustrations de Jacques Le Scanff, 1968, 96 pages.

Cet ouvrage, dans le même format et la même présentation que les deux précé­dents, veut expliquer aux enfants certains mots mystérieux de la Bible, tels que Pro­messe, Alliance, Prophète, Pauvre, Parole, Roi... et cela en évoquant des faits ou des scènes qui en font découvrir le vrai sens.

17

Page 11: L'Ecole valaisanne, septembre 1970

<œour comprendre ma messe'», texte de A. M. Cocagnac, images de Jacques Le

Scanff, 1965.

«Pour comprendre mon baptême», texte de A. M. Cocagnac, images de Jacques Le

Scanff, 1968. «Pour comprendre /' enfance de Jésus», texte de C. Huchet, 1969, 48 pages.

Ces trois ouvrages se présentent sous J a forme d'un album de 17,50 X 20,50 cm. Les deux premiers sont richement iLLustrés en couleurs, le deuxième comprend des

photos-documents du pays de Jésus. «Pour comprendre ma messe» et «Pour comprendre Illon baptême» expliquent les

grands moments et les principaux gestes de la messe et du baptême en partant des figures de l'Âncien Testament et en expliquant ainsi le sens des symboles utilisés dans

ces sacrements. «Pour comprendre l'enfance de Jésus» essaye de retracer le contexte biblique

et historique dans lequel vivait Jésus. L'auteur nous le montre bien enraciné dans sa famille juive, dans la famille humaine dont nous faisons partie.

Si les deux premiers ouvrages s'adressent plutôt aux enfants de 7-8 ans, le troi­sième répond davantage aux préoccupations des enfants du degré moyen.

«Pierre pêcheur du Christ», texte de A. M. Cocagnac, images de Jacques Le

Scanff, 1968. «L'esprit de Pentecôte», texte de A. M. Cocagnac, images de Jacques Le Scanff,

1968.

Ces deux ouvrages de la collection «Les Albums de l'Arc-en-Ciel» s'adresse aux enfants de 6-7 ans. Comme tous les autres ouvrages de la même collection, ils veulent

aider les parents dans l'éducation biblique de leurs enfants.

«Ce que Jésus a fait pour moi», texte de A . M. Cocagnac, images de Jacques

Scanff, 1966.

Petit livre de 70 pages, qui avec des images et un texte fort simple explique la vie

de Jésus aux enfants de 7 -8 ans.

«Avec Jésus je suis heureux»; «Avec Jésus je suis fort»; «A vec Jésus je travaille»; «Avec Jésus je n'ai pas peur».

Quatre petites brochures de 25 pages, des mêmes auteurs, qui cl partir de certains récits bibliques veulent aider le petit enfant à être heureux , fort, à travailler et a n 'avoir pas peur.

Evangile pour les jeunes», commenté par A. M. Cocagnac, illustré par Jacques Le

Scanff, 1965, 196 pages.

Cet ouvrage, format de poche, présente les principaux textes des quatre Evangiles, selon la version de la Bible de Jérusalem. Chaque épisode est introduit par lm commen­taire et illustré par une image suggestive, afin d 'amener l'enfant de 10-12 ans à une

meilleure compréhension du message évangélique.

18

Editions des Ecoles du Dimanche, 31, rue de l'Ale, Lausanne

«M ail Dimanch e», images de Etienne Morel pour j'Ancien Testament et de Jacques Perrenoud pour le Nouveau Testament, 5 brochures de 100 pages, 1964-1968.

Chacun de ces livres contient 32 récits bibliques pour les enfants. Chaque récit est illustré. L'ensemble de ces recueils comprend 70 récits de l'Ancien Testament, 70 des Evangiles et 20 du livre des Actes des Apôtres . .

«Voir et entelldre», cinq recueiJs de 70 pages, j 964-1968.

Ces recueils qui s'adressent aux jeunes embrassent le même nombre de récits que les livres «Mon Dimanche». Chaque recueil comprend 32 récits bibliques illustrés par des photos ou des tableaux. Le récit biblique principal n'est donné qu'en références, mais par contre des questions amènent les jeunes à approfondir le texte biblique cité pour le faire passer dans leur vie. F. Pralong sm

Partie officielle

DIRECTIVES CONCERNANT LA PRATIQUE DE SKI A L'ECOLE

La pratique du sk·i se développe de façon réjouissante dans }ta plupart de nos olasses. Cette vogue suscite cependant oertaines difficultés, voire cer­tains abus qui nécessitent les précisions suivarntes:

Nous considérons trois possibiEtés de f,aire du ski à l'école: 1. leçons de gymnastique à ski; 2. après-midi de ,sport; 3. camps.

1. Leçons de gymnastique à ski

Les écoles de mOll'nagne dépourvues de saUe de gymnastique peuvent remp1a:cer ,les 'leçons de gymnastique par des 1eçons à ski dès que l'enneige­ment est f.avorable, et pour autant que des pentes intéress'antes se trouvent à proxÎlmité.

Dans le cadre de l'horaire normal, elles peuvent organiser deux séances hebdomadaires d'une heure. Le t,pavaill ne devrait pas se borner à la techni­que de bas·e, m·ais compor,ter des exercice·s d'éducation de la tenue et du mouvement, des concours, des jeux, dels courses d'orientation et si possible, du fond et du saut.

Our-ant cette période de l"année, les exercices quotidiens en classe sont plus nécessaires que jamais.

Les olasls'es qui disposent d'une S!aJ.1e de gymnastique sont tenues de con­tinuer en hiver le travail en saHe ·seJlon l'horaire normal, e't ne peuvent pas remplacer 1es leçons de gymnasüque par du ski.

19

Page 12: L'Ecole valaisanne, septembre 1970

2. Après-midi de sport

Deux fois par mois, qu'eUes disposent ou non d:u?e sal1~ de gymna~t~que, les classes ont l,a pos;sibilité d'organiser un 3!pr~-mldl de ski. Tous les ele:,es~ à l'exoeption des dispensés médic'alement, y participent. L'école pourvOlt .a l'équipement si nécessairre, et organise à l'intention des non-sld~uŒ de~ a~tl­vités sportives contrôlées ('luge, patinage, marche). On aura som de limIter les frais. .

Pour de tels après-rn1di, ill est consei'hlé de s'adj~indre .des ~ides-momterurs (parents d'élèves, membres de ski-club, etc.). Mars le titulaire de la clas~e garde l"entière responsabillirté de se's élèves et doit s'assurer que tous travml­lent l1ationnetBement.

ExceiptionneJU'ement, on peut être 'amené à grouper quatre aprè~-midi en une même sem1aine, pour profiter de l'enneigement ou de l'a presence d' ai des-moniteurs.

Il est interdit sauf 'autorisation expres'se de ['inspecteur ,scolaire d'arron­dissement, de ré~nir deux après-midi en une s'eule journée de ski.

3. Camps de ski

Les camps de ski de plusieufrS jours sont r6se:v6s aux écol~~ de pr~mo­tion, aux écoles ménagères et aux éco].es secondaIres. Ces dermeres dOIvent à ce sujet s'e 'conformer 'au règIem'ent du 30 juin 1965.

L'école qui désire organÏJser un üamlp doit en de~an.der l'autor1sation ~u Département au moins deux moÏls à l'aV/ance. L'autof1rsatlon ne sera accorqee que si lia demande garantit le respect des exigences suivantes:

a) Pavticipation de tous les é[èves, faisant tous du ski. b) Budget modeste. Le but du oamp n'est pas l'apprentissage des vacances

en 'S-~aDion touristique, mais l'éducation à ia vi~ en communa~té. ~a p~r­tioipation financière des élèves doit être modIque, et une aIde dIS crete est à prévoir pour les moins aisés. Pas de subsides de l'Etat.

c) Enoadrement technique suff.Ï'sarnt. Maître 'et moniteuftS auxiEaires quali­fiés pour donner un enseignement valable de la technique du ski.

d) Programme équilibré, comportant, à côté des 5-6 heures de ski quoti­diennes des activités intel1ectuel1es propres à remplir utilement la journée. Sion, le 26 juin 1970.

Le chef du Département de 1'Instruotion publique, A. Zufferey

CONFERENCE Dr A. Spahr

«Prévention et détection précoce»

23 septembre 1970, à 20 h. 30, salle du Grand-Conseil, Sion . Le Dr Spahr traitera, de la prévention des malformations <congémt,~les,

ainsi que de l'importance de la détection précoce de'S anom'alies chez 'l'enfant.

20

AU PERSONNEL ENSEIGNANT FEMININ DU CANTON DU VALAIS

La réduction du temps consacré aux ouvr. man.: les modifioations des programmes: des achats en dehors du oanton par certaines écoles et l'occu­pation de nouveaux. looaux ont ·entraîné pour le Dépôt des déficits réguliers depuis quelques années. Pour remédier dans une certaine meSUf'e1 à cette situation, sans changer les prix du matériel, ,le département des Finances sur proposition du Contrôle financier a décidé de 'supprimer le 2 % accordé sur les f,actures dépassant Fr. 50.- et d'ajouter les frais d'expédition. Paye­ment dans les 3 mois.

Nous pensons que vous accepterez avec compréhension ces nouvelles dispositions que nous introduisons bien à contre-cœur.

Le Dépôt est toujours à votre 'service et se réas'sortit chaque année 00.

nouveautés dans les limites pemni'ses par un programme dont l'instabilité ne nous facilite pas toujours l'es achats.

Si vous parcourez bien le cata10gue qui vous est remis vous trouverez ce que vous cherchez en articles er1as'Siques et nouveaux. Une visite au Dépôt ou l'examen de nos échantit}jJons vous prouveront que nous dépassons même les exigences du programme quant à rl'évolution de ~a mode.

Satin-bazin coul., feutrine, nappages, léacril, nouvel Aïda grand teint, tissu, éponge, crimplène, s'emelles, coton, Tirss,a-Lang, ci:seau bouts ronds, boutons fant., etc.

Sur demande, et compte tenu du genre et de la qUaJlité, nous pouvons obtenir des artioles ne figurant .pas ,sur la ,liste et dans l"éohantirllonnage. Dépôt scolaire pour les ouvrages féminins du canton, tél. (027) 3 92 97

Société suisse des maîtres de gymnastique - Commission technique

PUBLICATION DE COURS: AUTOMNE 1970

La SSMG organise, sous les auspices du DMF, les cours d'éduoation physique scol,aire suivants:

Cours normaux

No 39 Patinage, Bâle, du 12 au 17 octobre 1970. No 40 Hockey sur glace, Lys1s, du 12 iau 17 octobre 1970.

Remarques - Ces cours sont réservé~ aux membres du corps ensei­gnant des écoles officieLlement reconnues. Si Ire nombre de places disponibles. est suffi'sant, les candidats au diplôme fédéral d'éducation physique, au bre­vet de maître secondaire, les maîtresses ménagères et de travaux à l'aiguille peuvent être admis aux cours, pour autant qu'i~.'s enseignent la gymnastique à l'école.

21

Page 13: L'Ecole valaisanne, septembre 1970

Indemnités - Une subventi'On couvvant une grande partie des frais de pension, ainsi que le remboursement des frais de transport, trajet le plus direct du domicüe au lieu du cours, seront aJUoués.

Inscriptions - Les maîtres déSÎ'mnt s'ins'crüe à un des cours doivent demander une formule d'irrscd ption à P. Curdy, insp. gym., av. Ritz 35 , 1950 Sion, PUtS r'etoumer cette formule, dûment remplie, à M. Kurt Rüdi,sühli, Selibühlweg 19, 3632 ThounefAllmendigen. Les inscriptions tardives 'Ou incomplètes ne pourront pas être prises en considération. .

Cours central

No 9 Natation en bassin d'apprentissage, Neuhausen, du 5 au 8 octo­bre 1970.

Ce COUf<S est destiné aux responsables des sociétés de gymnastique d'instituteurs, aux directeurs des cours oantOll'aux et à ceux de la SSMG.

Les personnes désirant y prendre part s'adressent à leur Département cantonal de l'Instruction publique jusqu'au 1er septembre 1970. Les insorip­tions nous seront tmnsmises par cette instance.

2~

Le prés ident de la commission technique: K. Blattmann

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23

Page 14: L'Ecole valaisanne, septembre 1970

24

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