L'Ecole valaisanne, juin 1963

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Transcript of L'Ecole valaisanne, juin 1963

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e soigné ction robuste

Les plateaux de tables , en hêtre compressé, sont pra­tiques et très solides. La turbulence des écoliers n'est à craindre en aucun cas, ce matériel résistant par­faitement bien aux égratignures , taches d 'encre, etc. En outre , l'encrier spécial de sûreté, exclut tout acci­dent poss ible. Le bâti en tube d 'acier zingué, robuste , est toujours stable , grâce à un réglage des sous-pieds en caoutchouc. Le fonctionnement du mécanisme d 'élé­vatio n (crans d 'arrêt et ressorts) ainsi que celui du réglage (à la manivelle) de la position horizontale ou inclin ée du plateau de la table , ne font jamais défaut. Le si ège, le dossier ainsi que le bâti métallique de la chaise , sont d 'une con struction à toute épreuve. Les meubles d 'école Embru sont appréciés partout. Ils se distin­guent par la qualité du matériel utilisé, et une con struction étu­diée jusque dans les plus petits détails. Dem an dez, san s enga­gement, notre documentation sur les meuble s d 'école, nous vous l'enverrons volontiers.

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juin 1963 - septième année 10

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L'ECOLE VALAISANNE Bulletin mensuel du Personnel Enseignant du Valais Romand

VUe année No 10, juin 1963

Crocus

J. F ollonier

L. Périn

SOMMAIRE

Partie générale

Un homme nous quitte .

Les loisirs

Caractérologie: l'e nerveux (2e partie)

Table des matières 1962-1963

Partie officielle et co rporative

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4

11

15

XXe Cours canto de perfectionnement: Bulletin d'inscription 49

» »» » Liste des cours 51

Communications diverses 54.

Partie pratique

ODIS Liste des diapositives, films-fixes et disques

REi\J SE 1 G N EME NTS L'ECOLE VALAISA NNE paraît à Sion, le 1S de dlHq!~e mois, juillet et août exceptés.

Rédaction: Eug. Claret, Office de l'En­seignement, Sion.

Délai de rédaction: le 1er de chaque mois.

Edition, administration et expédition: Office de l'Enseignement, Sion.

Impression: Fiorina & Burgencr, Sion.

Abollnc?i!(' ill, a;n ~!c !,' Fr. 10.-, C.C_P. II c ] 2, Etat du V<lléii~, Sion (Pour le per­sonnel enseignant, l'abonnement est retenu ;;ur le traitement du mois d'avril).

Publicité: Puhlicitas, Avenuc du Midi, Sion - Téléphone 24422.

Pages 3 et 4 de la couverture (l0 insertions) lit Fr. 700.­

Y:! Fr. 380.­X Fr. 200.-

Pages ordinaires, l insertion:

1/1 Fr. 60.­~ Fr. 3.3.­X Fr. ]8.­l/S Fr. 10.-

5 insertions: rabais de 5 % 10 insertions: rabais de 10 %

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Une des tristesses de la vie est de méconnaître ceux qui nous

entourent. Cela est vrai pour les époux, pour les amis, pour les col­

laborateurs à des degrés divers. Il faut une absence prolongée, la

retraite ou la mort brutale pour nous faire prendre conscience de ce

qu'étaient pour nous ces compagnons de voyage. La séparation seule

donne les dimensions exactes d'un être. C'est quand il est par terre

qu'on se rend compte de la hauteur de l'arbre.

Je pensais à cela, l'autre soir, quand les collègues du Départe­

menî, groupés autour de IV!. Marcel Gross, fêtaient Ill. Maxime

Evéquoz, à l'occasion de sa retraite.

Ill. Evéquoz a œuvré pTès de 2S ans à l'Instruction Publique.

Quelle évolution dans tout l'appareil scolaire depuis son entrée en

fonction! Il va de soi que cette évolution se serait produite fatale­

ment, quels que soient les hommes au pou'Uoir; mais se serait-elle

faite si harmonieusement, sans crise ni heurts, avec un chef de ser­

v ice moins pondéré que M . Evéquoz ?

Tout n'est pas parfait dans l'organisation et les méthodes de

tl'cvail qui caractérisent notre Il!finistère de l'Instruction Publique.

De l'avis général, ce fut longte111ps le moins développé de nos Dépar­

tements. Mais s'il est relativement facile à un homme intelligent et

énergique de réformer une entreprise privée, il est infiniment plus

délicat de s'attaquer à une administration officielle, quand on a

devant soi les règlements, les traditions, les Commissions, le Grand

Conseil et l'autonomie des Communes! Toutes ces puissances oppo­

sent une résistance passive qui a découragé plus d'une bonne volonté.

Le mérite de ~NI . Evéquoz est d'être allé de l'avant avec un tact, une

diplomatie, une patience admira,bles. Ajoutez à cela qu'il a duré; le

temps travaille tou jours avec ceux qui savent attendre.

On croit généralement que taper du poing sur la table, claque)'

les portes et crier du haut de sa tête son1: les seuls moyens d'obtenir

sa,ti.sfaction. Il est possible que cela réussisse à quelques-uns, au m01,ns temporairement. Ce n'était certes pas la m éthode de M.

Evéquoz. lamais personne ne l'a vu démonté. D'une parfaite maî­

trise de soi, égal à lui-même en toutes circonstances, il désarmait par

son cal,:"e le visiteur le plus irascible. Etait-il .outré, indigné, son expresszon habituelle se limitait à ces mots: «Pour l'amour du Ciel réfléchissez donc à la gaffe que vous allez faire! » '

Son sens de la justice était fondamental. Quand il avait dit: « On ne peut pas faire ça: ce ne serait pas honnête! », il était inu­tile de revenir à la charge.

Dc~ns le domaine des programme::; et des méthodes, ce Che f de service faisait autorité. Il avait enseigné lui-même pendant 16' ans

d~ns diverses classes du canton. Son bon sens ne fut jamais pris en

defaut. Tout en favorisant le progrès sous toutes ses formes, des bâ­timents scolaires à la formation des maîtres, il n'était pas dupe du

modernisme ,à outrance, se méfiait de certaines techniques tapageuses

et éstimait, lui aussi, «qu'un bon maître se mesure au nombre de kilos de craie employés pendant l'année scolaire ».

Ce qui plaisait d'abord chez ce fonctionnaire, c'é tait sa chaleur humaine, son pouvoir d'accueil. Chetcun, en l'abordant, avait l'im­

pression d'être connu personnellement. Servi par une mémoire re­

marquable - il n' y a pas de fichie r nominatif du personnel ensei­gnant au Département - Ill. Evéquoz savait immédiatement quel

nom mettre sur un visage, dans quelle commune un tel enseignait, qui était disponible pour un remplacement ...

Sa porte , €tait d'ailleurs toujours ouverte, ce qui ne constituait

pas une condition idéale pour travailler avec efficience. Mais chez

lui, l' humain primait l'administratif. En notre siècle de paperasses,

de rapports, de statistiques, de barêmes, de courbes et d'indices,

c'est une chc:;e bien précieuse que le contact direct avec l'homme.

Crocus

Problème actuel d"Education

H faut du courage et de l'enthousiasme, une grande réserve de joie et d'optimisme, à un jeune homme brusquement lancé dans la vie pour qu'à vingt ans, et même avant, il ne soit pas

accablé d'une âme de vieillard. Avant la fin de son école primaire, pendant ses études ou son apprenrtissage, 'partout, miLle soltliâtations le guettent. Une tête bien plantée sur les épaU'les

permet de résister à tant de séductions.

A juste titre, on commence à s'inquiéter pour l'avenir de notre jeunesse. On voue, connue

il se doit, une attention soutenue à sa formation professionnelle qui lui permettra de gagner honorabilement sa vie dans un monde de spécialistes et de fonctionnaires. Un diplôme ou un certificat en main, n'est-ce pas ce à quoi visent en premier lieu les jeunes? Précieux morceau

de papier qui ouvre tant de portes ! Les portes à pas mal d'iHusions ...

Et on se croit ainsi prêt pour la grande aventure de la vie. Mais le fait de gagner de

l'argent pour son entretien et ses plaisirs coûteux ne signifie pas qu'on ait reçu la véritable préparation à la vie, qui est plus discrète, plus en profondeur; elle veut dire faculté de discer­nement, faculté de choisir ses petites joies, aptitudes à rejeter toutes ,les vanités pour ne retenir

que ce qui peut être suje't d'enrichissement. C'est peut-être beaucoup demander, mais on ne

demande que l'essentiel.

On doit admettte que cette préparation fondamentale au metler d 'homme ne peut pas se faire uniquement sur les bancs de l'école, ni à l'atelier, ni à l'échoppe. Elle se fait en dehors

de ces contraintes, c'est-à·dire, pour une grande part, pendant les loisirs.

Voilà le grand mot lâché! On se doit d'avouer que tous, où que nous vivions et travail­

lions, nous désirons intensément secouer le joug des heures laborieuses pour viser à notre

épanouissement individuel. Après l'école ou l'atelier, il faut pouvoir s'en aller.

S'en aller où ?

Avouons en toute franchise que retourner dans leur famille ne représente pas une évasion complète pour la plupart des jeunes. Il faut s'en al,ler, là où on puisse disposer librement de

soi-même, se libérer de toute autorité, fût-elle même la plU's anlicale. Mais s'en aller où ? Pour faire quoi? Ici commence le drame, et le mot n'est pas trop fort. Car il y a un véritable problème des loisirs, des 'loisirs des jeunes en particulier, qui n'est pas spécifique à notre pays, mais dont Il'acuité ne doit pas nous échapper chez nous. Que faire de ces jeunes et un peu moins jeunes brusquement déchaînés? Comment occuper agréablement leurs heures de lib~rté ?

Car, trop souvent, les loisirs, qui devraient être recréateurs, pourvoyeurs d'énergie et d'enthou­

siasme, ne parviennent qu'à créer un peu plus de vide dans les âmes en quête de réponses.

Amère est devenue soudain la joie qui aurait dû vous être donnée par ces heures claires.

Comme c'est triste, n'est-ce pas, de le consl'ater ?

Loisirs, beaux loisirs, belles journées de vacances, belles journées ensoleillées, que valez­

vous en définitive pour tous ceux qui attendent beaucoup de vous?

Il faut reconnaître que la Société, à tous les échelons, ne s'est pas fondamentalement

préoccupée de cette question. Trop de sollicitations d'un autre ordre l'accaparent pour qu'elle

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puisse se pencher sur un prohlème si peu concret. Il serait temps qu'elle revoie son Opll1lOn et veuiUe bien se préoccuper de ce sujet qui ne peut échapper à tout responsable de la com­munauté humaine.

Pour le moment, faisons le bilan. Comment nos jeunes, nos enfants, meuhlent-ils leurs loisirs? Si peu de gens sympathiques se sont préoccupés de trouver une solution à ce pro­blème, eux, tout seuls, un peu à l'aveuglette, ont essayé de se sentir moins seuls et de meubler ces heures de liberté. S'ils n'y ont pas réussi, ils ne méritent pas le plus grand reproche. Ils ont tout simplement essayé d'exploiter tous les moyens de distraction que la Société bien orga­nisée met pour le moment à leur disposition.

« CAFE DES AMIS})

Vous le savez comme moi: il y a tout d'abord le café . On déploie des trésors d'imagi­nation pour rendre ce lieu agréable, pour suppléer à l'inconfort d'un foyer et à la solitude qui l'habite souvent. Rien ne devient trop beau ni trop coûteux pour y attirer le client. Et le monde s'y engouffre, les yeux bandés, le porte-l)10nnaie plein. Dans ce lieu, il y a beaucoup de jeunes qui, légalement, n'auraient pas même l'âge de pousser cette porte. On sait les tristes suites de ces heures stériles. Le drame est h·op général, trop malheureusement installé sous le toit de nos maisons, pour qu'on insiste davantage . Dans combien de foyers le poison a déjà

sérieusement pénétré et quel miracle l'en extirpera?

Il convient ici, sans vouloir noircir le tableau, de relever certaines carences policières.

L'éducation d'une jeunesse est l'œuvre de tous. Cette société qui, demain, aura besoin de ces citoyens, se devrait, eHe aussi, de se pencher sérieusement sur le problème de la fréquentation de ces établissements par les moins de dix-huit ans. Ne ferme-t-on pas, 1:rop souvent, les yeux?

On sévit contre celui qui couvre son chalet isolé en tôles ondulées, sous le prétexte, fort louable en soi, d'évi1:er l'enlaidissement des sites. Cependant, on est hien obligé de reconnaître que cette même police n'apporte pas toujnurs aux parents l'aide vouJue et nécessaire pour leur

faciliter la tâche d'éducateurs.

Un procès-verbal, de temps à -autre, pour montrer qu'on n'ignore pas ,la loi. Mais il doit

être compensé par combien d'indulgences répétées! On ne peut pourtant pas demander à nos braves bistrotiers de trop se soucier de la déchéance dans laquelle dégringole ainsi une cer­taine jeunesse. Les impératifs de leur commerce doivent passer avant ces futilités. Comme on

les comprend! Et puis, ces j'eunes sont de bons clients; ils consomment, ils font marcher l'appareil à sous et la boîte à musique; Hs créent «l'ambiance ».

Trop souvent aussi, l'autorité paternelle fait preuve d'une tolérance inquiétante. Le petit

« gagne même », il a bien le droit de disposer de son argent de poche. Que ferait-il de son temps libre s'il ne pouvait se divertir au café? C'est tristement vrai.

J'ai eu l'occasion - et combien de fois - de voir des jeunes gens de moins de dix-huit ans jouer à l'argent dans l'arrière boutique. Il m'est m'ême revenu à l'oreille qu'ils se livraient à cet-te passion pendant la grand-messe dominicale. Je n'ai pas pu contrôler la véracité de

cette aUégation, 'ayant pour habitude, à cette heure, de me trouver à l'église. Cependant, je veux bien croire ce qu'on m'a rapporté. On se demande, dans ce cas, qui il faut commencer par-fouetter jusqu'au sang, le patron du café ou les jeunes gens. Et cela, chez nous, pays catho­

lique, chez nous ell Valais. Voilons-nous la face !

Où sont les vraies valeurs, bon sang? Un pays est-il uniquen. e:1t beau par la parfaite ordonnance de ses constructions, ses couvertures règlementaires, ou" bi en par la beauté morale

de ceux qui l'habitent? Il faut éviter l'enlaidissement de nos sites, sauver ce qui peut enCOre l'être. Mais est-ce une raison pour ignorer le pourrissoir dans lequel sombre une certaine jeu­nesse livrée à elle-même et à l'argent qu'elle gagne trop facilement.

Un jour prochain, cette même jeunesse deviendra un élément de la vraie structure d e la nation. Que pourra-t-elle apporter dans la grande aventure de la vie si on la laisse aller à la

dérive, sans souci des miUe dangers qui la guettent et des virus qui la corrompent? Et puis, une loi existe à ce sujet, statuant clairement sur l'âge qui permet la fréquentation des cafés. Ceux qui sont voués à faire respecter les lois en général ne devraient pas ignorer l'une d'entre elles dont on ne mesure pas assez l'importance. Je ne prêche pas l'intransigeance, mais la clair­voyance. Cette deuxième vertu garde à mes yeux une importance capitale. Si nous admettons

que les jeunes peuvent, impunément, fréquenter tous les bistrots de la vallée, alors, brûlons nos codes, remontons très loin dans le temps et redonnons-nous une civilisation.

Et pourtant, les cafés il'en demeurent pas moins les carrefours d e beaucQl'p de loisirs des

jeunes - et des moins jeunes. Je ne nourris aucune animosité personnelle contre ces établis­sements ... Mais je trouve cela teHement triste ...

({ B. B. ET CONSORTS })

Il y a aussi Ile Cll1ema. Ah ! quel1le incroyable exploitation d'e l'homme par l'homme. Et avec quelle douce soumission on donne dans le panneau ! Une savante publicité vous impose

comme chef-d'œuvre le navet le plus attristant. Nous, on veut bien ... Car le cinéma est devenu la drogue hebdomadaire ou semi-hebdomadaire. La tradition veut que le samedi on invite sa petite amie à ces deux heures d'obscurité, et quand je dis obscurité, je ne pense pas unique­ment à la salle. Le samedi et 'peut-être aussi un antre jour, le dimanche étant réservé au match.

La grande partie des jeunes, habitant dans le voisinage des v illil es , «conso:"?: me» une moyenne

de deux films par semaine. De préférence de ces films à la mesure des spectateurs, c'est-à-dire ceux où la vedette est surtout tentante, ceux où la substitution de personnalité devient agréahle. Naturellement, s'il fallait trop réfléchir à la sortie d'un ,tel spectacle, où sc trouverait le plai sir. Et puis ,trop souvent, il faut le dire franchement, ,le film n'est qu'un prétexte, un dangereux prétexte.

Une véritable initiation au cinéma fait défaut chez la plupart des assidus de ces spectacles. On y va parce que c'est l'habitude, par besoin de dépaysement et d'oubli, parce que le copain y va. Troupeau ... Combien peu nombreux sont ceux qui, à la suite d'un spectacle, se permettent d'émettre une opinion pel\50nnelle, opposée à ceBe de la publicité. On dit formidable, parce que les affiches le " disent. La plus lamentable histoire de concubinage ou d'adultère devient émouvante sur les affiches. Et on admet tout cela sans réaction. Il faut croire que pour venir au cinéma on laisse souvent le cerveau à la maison ...

Pourtant, cette forme de loisirs, bien comprise, peut devenir un merveilleux élément de formation de la masse, à condition que celle-ci ne soit pas toujours dupe de ce qu'on lui pro­

pose. Il convient donc qu'elle soit préparée à porter un jugement sain et personnel sur le spectacle offert. Dès ce moment, je serai le premier à admettre que le cinéma est un loisir valable, qui aide à la formation et à l'épanouissement complet de la personnalité. Nous n 'en sommes pas encore là. Mais il faudra bien, un jOl1l', entreprendre cette croisade aussi, si nous voulons vivre de plain-pied avec le temps présent.

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La télévision, sœur cadette du cinéma, n 'attire pas d 'autres observations, si ce n'est qu'il faut être doublement vigilant, du fait que ce moyen d e distraction p én ètre dans chaque foyer et qu'il peut exercer, involontairem ent pour b eaucoup de cas, plus parfaitement son rôle de

corruption.

Il y '3 aussi ... Mais combien de pages faudrait-il écrire pour faire le long bilan des plaisirs

offerts à nos heures vides! Que de d ésillusions apportent b eaucoup de ces moyens de distrac­tions ! Il faudrait parler de ces boîtes à musique, dans ces p etits villages, de ces jeux idiots dans ces 'salles enfumées, où se précipitent souvent jeunes e t moins jeunes . Trop triste tableau pour s'y arrêter plus longuement. Le mal existe. L e déceler devient de plus en plus le premier objectif. Lui trouver un remède est urgent, m ais plus difficile. Mais l 'enj eu est bien trop im­portant pour qu'on renonce à la lutte. Trop de d evenirs radieux sont m enacés par d'irréparables saccages pour que l'on ne tente pas l 'effort d e salut. Si nous, les parents et les éducateurs,

nous continuons de voir nos enfants se vider de leur vraie substance, pourrons-nous nous étonner ·si, un jour, nu1le chaleur Il 'habite plus cette jeun esse? N faut lui tendre une main fraternelle, -au bord de cet ahîme. Et le temps presse terriblement. Car, quanel nos jeunes ne trouveront plus aucune chaleur où raviver leur enthousiasm e et l elU' esp érance, alors, nous,

les moins jeunes, nous claquerons des dents.

Mais je ne pense pas que qu elqu'un souhaite vraiment cela. Alors?

Pessimiste et redresseur de torts ? Je vous l e concède, mais ces mots me paraissent bien durs. Disons plutôt franchement entre nous, que, tous, p ères et m èr es de familles, nous sommes harcelés par un grand souci pour ceux dont nous sommes r esponsables et que nous aimerions bien trouver un remède pour calmer nos angoisses . Sommes-nous d'a ccord?

« SPORTS ET KERM ESSES»

Bienheureux temps des enneigements généreux, qui viennent si aimablement à notre

secours pour trouver une solution à nos soucis. Quand je vois, pour ma part, des dizaines, des

centaines de jeunes, sur ces pentes merveilleuses où nous aimons aussi évoluer, avec moins de grâce certes, quelle douce quiétude je. ressens dans l e cœur. Toute cette santé, cette joie d'exis­ter, qui farandole sur la pente, défiant pas mal d e lois de pesanteur et d'équilibre, tout ce

bonheur qui virevolte, n'est-ce pas réjouissant à contempl er? On peut aimer ou ne pas aimer le ski comme tel, mais force sera bien d'admettre que voilà des h eures radieuses procurées par ce sport. A condition, bien entendu qu 'el,les ne soient pas prélevées sur l'accomplissement

d'autres devoirs plus importants.

BeNe jeurresse sur un champ de neige, combien on aimerait la voir toujours ainsi dans la vraie santé, se dominer et vivre. On se permettra cependant de lui glisser simplement, un

petit conseil à l'oreille. Beaucoup de snobs hantent ces lielL,{ à la mode. On pousse même le snobisme jusqu'à se faire une mignonne petite fracture à un endroit en vogue ... Oui, ma chère, un bijou d'entorse ... et tu sais bien où je me trouvais pour skier ce jour-là. Le sport est bien

loiu de ces prouesses de salou. Donc, que tous ces avides du sport blanc prennent garde de ne pas trop compromettre la bonne marche de leurs études ou de leur apprentissage en mettant

trop longtemps une jambe dans le plâtre. Même si c'est la mode, à une époque de l'année,

d'être plâtré ...

Mai,s la neige dure " peu, comme -les bonnes choses amicales. R evienne le printemps, et le

problème se pose avec une l:l.cuité accrue. Conunent drainer ce trop-plein el'énergie qui anime

ces jeunes corps? Il yale football, heureusement, là où la topographie ou la bonne volonté

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des édiles ont permis de pratiquer ce sport. Malheureusement, trop de localités sont encore privées d'un terrain où ce jeu pourrait se pratiquer.

En véôté, le SpOl't permet de résoudre une partie dn problème des loisirs. L'idéal consis­terait à pouvoir confier ces jeunes à des guides plus âgés, possédant l'autorité morale sur eux et pouvant se substitue r aux parents dans la discrète surveiHance que demande tout loisir,

füt-il, de prime abord, le plus honnête possible.

... Invariahlement, le printemps ramène les kermesses. Avec quelle impatience on les attend! .

Admettons que la police, aidant l'autorité paternel'le, parvienne à supprimer toute entrée aux établissements publics à ceux qu i n'en ont pas l'âge. Quel grand pas vers un certain

assainissement! Admettons donc que tout marche parfaitement!

Cependant, une anomalie se présente tout de suite à l'esprit. Aucune législation n'interdit la fréquentation des kermesses par les clients de tous les âges. La loi en question date d'une époque où ce genre de distraction était réservé à des peuples d'autres latitud·es.

Maintenant, il n'est plus possible d'oublier les kermesses. Attractions premières de la

plupart des dimanches de bonne -saison, elles s'imposent à l'attention de tous par les affiches placardées contre les vieillIes parois. Ambiance, orchestre du tonnerre, bal et tout le reste. L'imagination de ces publicistes occasionnels n 'est pas encore pour demain à court de super­l'atifs.

Donc, dimanche, il y a kermesse. Des kermesses. On a le choix. Où irons-nous? Tel coin ne paraît pas sympathique, mais par contre celui-ci, ou celui-là ... On dit que les filles ... E-t on

va à la kermesse. Ça tombe préci-sément bien, puisqu'on vient de recevoir la paie . Bien sûr, il

faudrait donner quelque argent à la maison. On verra ça une ~utre fois . Car, ce soir, il faudra payer le taxi, .ill faudra payer sa tournée, ses tournées, il faucha ... Il faudra ce qu'il faudra! On ne vit qu'une fois. L'argent vous tient chaudement compagnie dans la poche, qui permettra

de faire face à toutes les obligations. En route, taxi!

Oui, en avant! E-t quel pauvre specrade vous serre le cœur! Vas-y, taxi! Valsez, l'es Mllets ! Rien ne ,paraît trop coûteux. Serrez la danseuse ! Ah! quel orchestre ! Bis ! Made­

moiselle, une tournée! Passent l es heures et déjà l'·aube frange les bords du monde. Queae poisse de devoir déjà rentrer pour reprendre une semaine laborieuse ' ! Vivement au prochain samedi soir.

Kermesse! Il faut bien en profÎ'ter. Ce morceau de paradis offert pourrait-il vous échap­per? Le porte-monnaie prend peu à peu des proportions très, très modestes, mais la vie est

quand même beHe. Demain, on fera des économies .. .

MailS ,dimanche prochain, il y aura une autre kermesse. Et comme on ne se sent pas l'âme d'un héros .. .

Et voi-Ià ... Aucun artifice ne veut charger ce tableau. Nous en sommes là, tout simpiJ.ement.

Imiter la politique de l'autruche ne changera aucunement les faits . Ouvrir les yeux, au contraire,

regarder et se faire une opinion, n'es't-ce pas ce que notre vocation de responsabl'e nous de­mande? Et chaque géniteur est un responsable, ehaque représentant de la société aussi, à tous

les échelons. Il n'y aura jamais de vrai progrès sans cette prise de conscience élémentaire.

Car les hommes véritables manquent terriblement. Et ce n'est certainement pas à la ker­messe dominicale qu'on les formera . CeBe-ci ne pourra jamais être autre chose que le carrefour

de tous les gaspillages. Et, chacun d'entre nous, possédons-nous quelque chose à gaspiller?

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« TRESOR A EXPLOITER})

Qu'on ne m'accuse pas de pessimisme, de grâce! Ce temps merveilleux de la jeunesse est encore si présent dans notre mémoire que nous pouvons avouer sans crainte d'erreur que noUS ne fûmes pas des saints. Nos enfants sont-ils pires que nous à cet âge? Je ne le pense pas et c'est cela, avant tout, qui mainti en t intacts tous mes espoirs .

Car, bien dirigée, la jeunesse d'aujourd'hui demeure capable de grandes et belles choses. EUe possède une réserve de générosité qu'il suffit de savoir animer. Une étincelle seule, suffit parfois à créer l'enthousiasme. Ce qui est urgent, c'est de trouver des guides bienveillants et éveiUés, jouissant de J'audience de ceUe classe d 'âge, pour la hisser vers les cimes où tous, secrètement et naturellement, rêvent de parvenir.

Quantité de possibilités s'offrent à l'imagination, pour essayer de valoriser les loisirs . On il'en fera pas l'inven.taire complet ici. Il convient avant tout d 'apporter la preuve que l e pro­

blème des loisirs peut trouv~r sa solution. On a vu plus ha u t que les sports !)ouvaient apporter . une part de la solution du problème.

Un exemple vécu illustrera très bien ma pensée. Dans un petit viUage de montagne, des jeunes gens, las d'errer d 'un café à un autre, ont spon tanément fondé un groupement de gym­nastique. Sans sane où travaiHer, sans terrain d'exercice, n'ayant que l eur enthousiasme et leur

foi. Cette section, aujourd'hui, continue son petit chemin, et il est rare de trouver une jeunesse villageoise aussi unie par une trè·s sincère camaraderie. Cette réaction des jeunes incite à

beaucoup de bienveililance. Que des jeunes, tout seuls, sans aucun secours officiel, prennent ceNe décision qui peut être d'une très grande importance pour l'avenir moral d'une certaine communauté, cela doit nous faire sérieusement réf.léchir, nous, les adultes, et nous obliger à un examen de conscience sans faiblesse.

Mais tout le monde ne se sent pas nécessairement une vocation sportive. Pour les autres, dans chaque locali,té d'une certaine importance - et quand je dis certaine importance, je pense avan't tout à ces vÎ'lll'ages comportant au moins une vingtaine de jeunes - on pourrait

créer des cercles de lecture. MaÎ's, de grâce, avec des livres qui répondent aux actuelles ques­tions des jeunes. Quand je pense à certaines hibliothèques paroissiales, indiciblement miteuses, je réprime difficilement un mouvement d'indignation. Allons donc, Messieurs les r esponsables,

prenez la peine de lire, avant tout, et de sentir le pouls de vos habitués, si vous voulez qu'ils restent des habitués. C'es t sur vous que repose une partie de la responsabilité de la diffusion d'une bonne et saine lecture. Si on trouve dans votre officine ce qui peut combler sainement des besoins secrets de tous ordres, on n'ira pas s'alimenter à tous les kio sques de la ville . Il exilS te d'excellentes collections à l'usage des jeunes, pour tous les goûts, fiEes et garçons. Seu­lement, les connaissez-vous? Brûlez sans remords vos reliques et constituez une bibliothèque

de notre temps, avec des ouvrages de notre temps, et vous me direz si la clientèle n'augmen tern pas sérieusement. VOUIS avez besoin de fonds? La plupart des communes du pays, aujourd:hui,

ne vit pas uniquement de péréquation. Une obole en faveur d'une honne bibliothèque ne grè­verait certainement par trop le budget.

Rien n'empêcherait, non plus, ces cercles d'organiser périodiquement des débats sur un thème donné, sur un ouv:'age captivant, sur des faits d'actualité, et je crois que ce serait un excellent moyen, pour ceux que cela intéresse, de meubler certaines longues soirées . Ici encore, il faut organiser. Comme dans beaucoup d'autres domaines, du reste, où on marchande moins son temps et sa peine.

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Parallèlement à la lecture, je verrais aussi l'organisation de cercles de jeux divers, de bricolage, de danse - eh ! oui, pourquoi pas? - dans lesquels chacun pourrait s'épanouir librement, selon ses goûts personnels . J'ai l'impression que le profit de ce genre de loisir ne

peut échapper à personne.

Les grands chantiers de montagne, du l'este, ont compris la nécessité de permettre aux ouvriers de passer des loisirs agréables. On a consenti de lourds sacrifices pour doter des villages ouvriers de salles agréables pOUl' la lecture, le jeu, le spectacle. Ce qui a été fort heureusement résolu pour le provisoire devrait nous préoccuper bien davantage quand il s'agit

de nos communautés dont il faut assurer la permanence. Je ne crois pas qu'une telle institution existe dans un de nos villages. Si elle exi ste, il faut l'applaudir. Sinon, il faut la provoquer. Car, la notion de solitude et de dépaysement, à certaine époque de l'année, n'est pas m'oins

aiguë dans un village montagnard que dans un haut chantier.

Une jeunesse et une adolescence grandement guettées par une foule de dangers méritent

notre sollicitude et l~ ell~' 1 aussi, des pouvoirs publics. Car, que sont-ils, en définitive, sinon un élément dans la POlU'St1Îte consta;Üé de l'épanouissement ' de l'êtr~ humain. Et pourtant, vous connaissez une adrninistration qui prévoie dans son budget un poste «Loisirs des jeunes >>. .? Si oui, je serais heureux de serrer fortement la main de son président. Pour la plupart des cas, il faut pourtant constater qu'on est beaucoup plus soucieux d'investir des sommes impor­

tantes à des imputations dont la rentabilité paraît doûteuse. Pendant ce temps, ce qui est l'avenir du pays est livré à lui-même e.t à toutes les aventures. Ce que nous fel'ons pour nos jeunes, en dehors de leur formation strictement professionnelle, ce que nous leur donnerons en potentiel de joie et d'idéal imprimera, demain, son visage au pays. On y réfléchira peut-être

un jour, mais il est possible qu'alors ce soit trop tarcI.

Non, je ne prétends pas du tout avoir fait le tour du problème. Il est trop vaste pour se

limiter à quelques lignes. Cependant, il faut qu'on en soit persuadé: il est possible de voler au secours d'une certaine jeunesse à la dérive. Si ces lignes parviennent à provoquer le plus

petit mouvement d ' opinion, ell es trouveront là leur pleine justification.

Ne l'oublions jamais : la jeunesse du pays est devant nous, avec ses disponibilités. Elle

ne cherche pas à se séparer d e nous, les aînés. Malgré ses réactions et ses turbulences, malgré son comportement qui nous choque parfois, malgré tout, on a quantité de bonnes raisons de

ne pas désespérer d'elle. Inquiète, elle cherche des guides. Si personne ne répond à l'appel, y a-t-il quoi que ce soit d'étonnant qu'elle se mette en marge d'une Société insensible?

Certes, la Société ne peut pas tout faire. Elle devrai·t au moins donner l'élan initial. Cependant, on le constate avec amertume, la S~ciété se soucie trop souvent de valeurs passa­gères pour négliger les principales. Il n'est pas dans mon intention de flétrir ou de conseiller: je me contente de constater et de tirer certaines conclusions. Aidez-nous, ce n'est pas encore

trop tard. Mais le jour s'approche dangereusement de nous où il sera bien tard pour réagir.

Nos jeunes, nos enfants, il faudrait tellem,ent qu'au terme de chaque heure, de chaque

journée de loisirs, il s puissent radieusement nous avouer: Nous nous sommes BIEN amusés, nous avons vraiment BIEN rigolé. En ce moment, nous aurons la certitude de ne pas daquel'

des dents dans le désert de notre solitude.

Jean FaLLON/ER

10

Le caractère des émotifs purs L~ ~~~l"~U~

COMMENT COMPRENDRE LE CARACTERE EMOTIF POUR L'AIDER ET L'EPANOUIR?

Attiwde générale qui épanouit et élève le caractère émotif

Ce caractère extrêmement émotif, ext,rêmemel1't sensihle, a besoin d'un éducateur, d'un ami, d'une femme ou d'un mari très délicalts. Il ne peut trouver en lui-même la force dont il a besoin pOUl' parvenir à la maîtrise de soi et pour être sous l'il\f,l .,\çnc~ d'un idéal. Le rôlle Je l'éducation est ici primordial. Le nerveux sera toI -.-- ~ 1"C<lUcateur le fera. li s lJL' --' ~l'll dans 1111 h"" .,P.IH on .I.-e"toL1:1 frivole selon la ,"aleur de ses éducateurs. Les parents doivent donc êtt", très vigilants, d'une fermeté calme et sans drame surtout. Devant les garçons ou filles qui se laissent aller à leur exaltation, à leur mouvement de sensibilité, le calme, la fermeté et l'amitié

profonde des gens qui les entourent sont le meilleur levier d'éducation. En présence des émotifs, ceux qui les aiment ne doivel}!t pas faire drame de leur comportement.

LE MILIEU QUI COMPREND SANS BLESSER L'enfant ou l'adulte nerveux est comme un malade qui a besoin de soins; il n"a pas

besoin de coups, de répa'rties qui l'agacent et J'excitent, de mots qui blessent et tuent l'ami­tié, l'amour ou l'épanouissement. Le calme de ceux qui l'aiment doit être comme le milieu où tout s'apaise en lui, connue le lac où le torrent se déverse.

Si notre personne s'émeut, fait un drame, non seulement nous risquons de meurtrir, mais nous aggravons le mal. Un émotif qui produit de l'effet sur quelqu'un se sent inconsciemment fort. Ses excès sont en eux-mêmes faits pour attirer l'at'tention ~ur lui. Cette exaltation qui est en lui sent un terrain propice pour faire durer les mouvements de vibration qu'il aime.

Il 'est donc entraîné à recommencer pal' les tempéraments qui se laissent aBer devant lui à la colère, aux drames, aux plaintes. Est-ce qu'on frappe un violon pour l'empêcher de vibrer? C'est une main ferme, mais calme, qui doit se poser sur les cordes pour les apaiser.

Les émotifs doivent être «désensorcelés ». Ils sont possédés pal' leur émotivité. Notre at1itud'e ne doit pas consister à nous l·aisser ensorceler nous-mêmes par leur comportement. Cette participation fait le jeu de leur émotivité. Evitons donc tout ce qui semble leur laisser supposer qu'ils agissent sur nous. Evitons des mots conn11e: «J'en ai assez - Maintenan:t, cela suffit -

Tu verras, c'est moi qui serai le maηtre », ou encore: «Tu me fais de la peine - Tu me fais pleurer - Je n'arriverai jamais à rien -avec cet enfant.. . » et toutes ces phrases qui laissent supposer à l 'enfant qu'il nous domine et qu'il y a entre nous et lui comme une lutte engagée. Cette attitude détruit l'amitié, la confiance et Il'amour.

Gardons notre calm e. Que ceux ou celles qui s'émeuvent ainsi comprennent en nous regardant, que nous ne nous laissons 'pas entraîner par leur ,attitude. Qu'ils voient en nous le calme qui les apaise, la fermeté qui ne blesse pas, mais ne cède pas. Ils comprendront que nous

jugeons leur crise sans importance: «Nous en reparlerons tout à l'heure ».

11

Le calme revenu, ces oaractères blessés par leur propre comportement, fatigués par leur

attitude et leurs excès ont besoin de trouver quelqu'un qui ne prolonge pas le drame, mais qui explique son caractère à l'enfant et fait comprendre à l'adulte qu'il est victime lui-même de

son émotivité. Dans cette ambiance, les enfants accepteront la sanction qu'ils devront choisir, les adultes

comprendront qu'ils ont à s'excuser d'une pareiHe attitude.

LES CAUSES D"EMOTIVITE CONTAGI'EUSE QU'IL. FAUT EIVITER

L'émotif a besoin d'une am'biance de calme. Très vite la moindre excitation lui donne

occasion de Ise fatiguer et de s'énerver. Les camar'ades ont sur les enfants nerveux une inf'luence très grande. Nous avons à veiller sur ,l'es fréquentations de nos petÏtts nerveux avec beaucoup de soin: camarades malsains qui trouveraient dans les émotifs des terrains tout prêts, amis qui apportent le remue-ménage, les idées de chahut ou le mauvais esprit. Les films agissent aussi SUr leur esprit_ ,,~,~ h l rI,," kh ):r,ctures qui relatent des aventures extraordinaires, où reviennent cri~- ~", poursuires, relations sent1Ult:" .. ul~o " ..... o.,~!;. :_- -' · l;:U _ -, "-~Dlla. cell!t l'enfant dans une

'ahlbiance d'exal,~ation dont ill doit de se défier.

L'ABSENCE DE RETENTISISIEMENT DANS L'EMOTIVITE Faisons appel à sa réflexion

L'émotivité du nerveux fatigue l'enfant et use ses réserves, mais il ne laisse que très peu de traces dans son psychisme, si ce n'est à la longue le découragement lorsqu'il ne rencontre jamais près de lui de compréhension et d'amitié. Il perd l'espérance et se laisse allIer totalement.

Pour former et apaiser un émotif, ill faut, en plus de cette fermeté c·alme dont nous avons parlé, qu'il se sente compris. Dans les conversations où règnent le calme, la confiance, aux

heures où il est apaisé, l'émotif aime que l'on parle avec lui en le faisant réfléchir. Il sent

une certaine lasSÎ'tude confuse dans ses exal,tations et il ,aime être aidé à retrouver la paix. Pour -trouver cette paix, il a hesoin de :pouvoir s',accrocher à certaines attÏ<tudes, à cer­

taines règles précises qui sont comme 'ces bouées de sauvetage 'aux heures de grande effer­vescence. Apprenons-lui à chercher lUl but dans ce qu'il fait . Qu'il évite d'agir pour agir sans but .précis pour diriger son comportement.

Qu'il garde sans cesse présente en sa mémoire, résumée en quelques mots, l'attitude qu'il

doit avoir d'ans la journée, par exemple: «Calme et sourire ». Qu'ill s'attache de même, aux heures de travail scolaire, à se diriger d'après les règ'les que l'éducal'eur lui apprend. Qu'il se fasse à lui-même un horaire, un programme sur lequel nous aurons à veiUer. Pour lui comme

pour le sentimental: «Vouloir c'est pouvoir ». Une chose prévue est déjà vue, analysée et objet de décision intérieure. Que de fois des nerveux se sont ~ibérés pal'ce qu'ils se sont fixé, parfois par écrit, un règlement qu'ils s'efforcent de suivre, un horaire qui comporte des attitudes

bien précisées. C'est comme une discipline qu'ils s'imposent pour échapper au laisser-aller et à l'aven­

ture. Il leur est nécessaire de voir de manière très précise ce qu'ils doivent faire, car dans leur pensée, tout est rêve et manque de précision. Très souvent il est utile de faire ,appel à l'intelligence pour les calmer, leur faire voir clair. Leur émotivi,té leur tient lieu de réflexion

et ils sentent d'eux-mêmes combien Hs ont besoin de quelqu'un qui les aide à objectiver leurs desseins, leurs comportements, pour voir davantage dair et ne pas s'aventurer à la légère.

12

COMMENT LES ENCOURAGE'R DANS LEUR TRAVAIL

POUR ASSURER LES SUCeES

Les caractères émotifs ne peuvent SUppol"ter la grisaille, ni travaiH.eI' s·a . 1 ns perceVOIr a beauté dans leur tmvaH. A nous de Jes aider à aimer leur travaill en vibrant avec h ,f-eux, en sac an. partager leurs travaux pour les apprécier et les juger mieux. Il leur faut passer par notre cœur pour trouver du courage et de la force. Comme i,ls Il,aissent facHement entrer en eux notre

optimisme, notre joie, lorsque nous voyons chez eux une réussite! Hs aiment, eux qui sont si ouvel'ts, participer à nos états d'âme, à notre courage. Un cœur qui aime, qui comprend et qui vibre avec eux est comme le don d'une âme à une autre âme.

La récompense que nous donnons sera pour l'enfant comme la marque tangible de son succès. Il a besoin de succès pour avoir du courage.

Le 'succès est un n1Ï'lieu sensiMe qui l'aide à agir. Appuyons-nous sur ce qu'il aime en olasse, sur ses réussites. Montrons-lui SUl'tout comment faire. Revenons toujours à des normes, à des règles, en leur apprenant à se servir de ces règles. L'encouragement doit se faire d'une manière virile.

n leur faut sentir en notre manière de faire, non seulement une estime pour leur personne, mais aussi un encouragement pour Ila beauté du tl'avail accompli. H faut cependant veiller à ne pas trop les combler d'é!loges. Hs risquent teillement de 'se targuer de ces succès pour se reposer. Dès que nous remarquons une réussi,te, sachons vibrer avec Jui, mais aussitôt transpo­sons notre estime sur un point un peu p'lus élevé que l'enfant doit atteindre.

Ces enfants émotifs ont bien du mail à travailUer 'Seu~s. Très vite leur pensée s'évade et sans même le Temarquer, Hs se lèvent, bougent ou bricolent. Le danger, c'est d'assurer à l'enfant une présence permanente qui risque de lui rendre plus tard tout travaill personnel seul impos­sible. Le bUtt est donc, par petiltes étapes, d'apprendre à ,l'enfant à trouver en lui-même la force

de tenir, de durer et de ne pas changer, une occupation qui lui offre peu de sensibilitté. Qu'il utillise l'hoIloge en se proposant successivement de petites besognes qui ne dépassent pas les cinq ou dix minutes prévues.

Pour aÏ'd'er l'émotif à pel'sister dans un travail commencé, qu'il se fasse à lui-même une règlle de conduite dans une phrase qui aide sa volonté, comme «J'y suis, j'y reste, je continue ». Que le désir qu'il a d'être remarqué se Itrmlspose sur son travaj:}, et qu'H ait à cœur de faire une belile besogne, une œuvre qui 'a't'tire sur eNe l'attention par sa perfectiou.

Pour raider à sortir de ,lui et à comprendre Iles autres, que l'émotif comprenne où est le plus beau de lui-même: il lui est possib~e de rayonner cette bonté qui est en lui, ce bon cœur qui le rend généreux. La qualité la plus esseniti811e qui réside en lui es't cette faciHté d'aimer, de s "a tfa ch el' . Profondément bon et désireux de donner, il ne peut pas orienter cette belle qualité pour se procurer à lui-même du bien-être, mais pour le porter aux autres. 11 est respon­sable de l',amitié qui peut régner ou manquer autour de lui. Enf:ant, i'l acceptera de prendre déjà de peti~es responsabilités mesurées et conh'ôlées, vis-à-vis des autres. Puis dès l'âge de huit ans, il peut, préparé, comprendre le rôle qu'H a à jouer vis-à-vis des camarades pour

orienter les conversations, pour avoir un rôle bienfaisant, lorsque les camarades sont malsains, méchants ou peu charitables. Le rayonnement de bonté du nerveux peut être considérable dans une cour de récréation s'il s'agit d'un enfant, comme dans un salon pour un adulte.

13

LA VIE SPIRITUELLE DU TEMPERAMENT NERVEUX

Par suite de ses difficultés llom])l'euses à 'parvenir à une attitude stable, la grande pensée spirituelle qui doit aider l'émotif c'es't «L'ESPERANCE », la confiance en DIEU. DIEU est un père qui aime et comprend. «Le Seigneur Jésus m'aime, i'l est le bon Pasteur qui veut être mon ami et qui me pardonne toujours. »

Il ne doit pas mesurer sa générosité aux élans affectifs de sa prièt~ ou de son action mais bien plUltôt à sa conformité à la Volonté de Dieu qu'il cherche à faire d'une manière suivie.

« Que votre volonté soit faite, et non pas la mienne. » Qu'i,l comprenne cette maxime: «Tomher, se relever, ainsi l'on va au ciel ».

Sa force sera toujours de recommencer et de se reprendre encore et toujours . LOl'squ'il veut prier, il ne parvient pas à fixer son esprit. De toute manière, pour lui,

prier ce n'est pas persister longtemps dans la prière, mais prier fréquemm en t dans ses petites

invocations qui l'unissent à DIEU dans son activité, dans ses joies, dans ses moments de décou­ragement: «Seigneur, donnez-moi la force de rayonner votre amour ». Lorsqu'il veut se livrer à la méditation, la concen1tration d'esprit lui est pénible. Pour lui, ln lecture profonde qu'il

arrête fréquemment pour pader que'lques instants à DIEU est la manière la mieux adaptée à ses difficul,tés. Il sera aidé dans -sa prière par tout ce ,qui fixe ses yeux et empêche le rêve:

images, crucifix, représentation intérieure d'une scène de l'Evangile . La prière du maltin est essen1ÏeUement pour lui un rappel de son attitude de service

devant DIEU: «SeignelU', aujourd'hui, je veux avoir teUe attitude ». Il demande de tenir et d'être -aidé par DIEU, il lui dit sa confiance. Le soir, ,la prière la plus efficace sera pour lui de prier pour des grandes intentions qui

lui feront comprendre 'qu'il joue un rôle dans l'Eg,lise. Ce sera encore de fixer dans le détai'l l'attitude du lendemain et l'idéal qu'i'l ne veut

pas perdre de vue. Pour le plus jeune, ce sera de raconter sa journée à la Vierge ou au

Seigneur, rpour rech'ercher 's'ill y a un idéal qui ·a ,pl'ésidé à ,ses actions. . Sonat;titude générale qui est conforme à son temrpérament sera toujours d e créer entre

lui 'et toute personne qu'i,l rencontre individu~llemen't une 'attitude de bonté qui .Je rende image de DIEU, qui rayonne toujours l'amour. Ii est par nature porté à cette atti,tude de bonté, de

compréhension et d'accueil lorsqu'il a été habitué à ne pas se mettre en évidence lui le premier. III doit avant tou't chercher à se créer des habitudes bien régulières qui peu à peu, lui

tiendroll't lieu de volonté: habitudes ,de prières, régularité dans le lever, dans Ile coucher, dans

le 'travail. Qu'il garde toujours un but dans ses aotions et que ce but soit toujours de faire Ce qu'il fait pour l'amour de Dl'EU, pour rayonner 'l'amour de DIEU 'près des au'tres, mais non

pas pour paraître et attirer l'attention sur lui. Celui qui aime et comprend ~e caractère nerveux saura ne pas braquer l'attenhon du

nerveux sur ses fautes, sur ses faiblesses, mais bien plus sur da .tendance qu'il ·a de se mettre en avant. Qu'il remplace cette attitude par cet'te bonté qui réside 'au fond de lui et qui 'empor­tera les autres défauts d'impat~ence ou de vanité. Chez aucun autre pius que chez l'émotif

n'apparaît à certaines heures ce1te luminosité du regard, cette expression de bonté pure, qui

es't comme un reflet du rayOJlnement de l'-amour de Dieu. A nous de garder un amour profond pour essayer d'aider cette flamme à durer, à se déga­

ger de toutes les scories qu'eUe peut entraîner avec elle, en prêtant à ce cœur ardent un peu

de notre paix, de notre sérénité, rpour l'aider à juger, à agir et à aimer dans la joie.

Louis PERIN

14

TABLE DES MATIÈRES

Crocus » » » » » » » »

Fr. Anselme DI' Calpini P. Claret Eug.

» » :»

» »

Curdy P. Dm'bellay J.

» Ecole

Valaisanne Exposition

Nationale 64 F ollonier J.

» Hausammann

C. E. J erphanion L. Laufer J. Mabillard C. Maistre A . Dr Pitteloud A. Pralong Fr.

»

1962 - 1963

PART~E EDUCATH/E ET PEDAGOGIQUE

Si eUe avait été institutrice La minute de vérité Les Parents Un jour nommé dim,anche Dominique Ceux qui n'ont pas compris Alceste à l'école -Relativité Un homme nous quitte Douce réminiscence Des dents de lait aux dents de sagesse A propos du cours cantonal de perfec-

tionnement Un rite oublié: les repas Revues hebdomadaires pour nos enfants Cent titres pour vos bibliothèques et

cadeaux de fin d'année Pérégrinations valaisannes Les jeunes, les vieux et l'Europe de

demain Après vingt ans d'ex.amens I.P. L'E cole et la vie S'aider et céder

Où il faut mordre à belles dents Participation de la j eunesse -scolaire au

Concours national L'automation A propos des loisirs

Quelquefl considérations sur le dessin Prière d 'un éducateur excédé L'homme contre la fller Exercices sensoriels pour les petits En ularge de la campagne dentaire Le Vahis, pays des belles dents? Enquête sur les lectures Une presse enfantine chrétienne

No 1 2 3 4. 5 6 7 9

10 2 5

1 2 2

3 4.

8 2 1 8

5

9 6

10

septembre 62 octobre 62 novembre 62 décembre 62 janvier 63 février 63 mars 63 mai 63 juin 63 octobre 62 j.anvier 63

septembre 62 octobre 62 octobre 62

novembre 62 décembre 62

avril 63 octobre 62 janvier 63 avril 63

janvier

mai février juin

mars avril 'avril mars mai janvier décembre mars

63

63 63 63

63 63 63 63 63 63 62 63

15

Perin Ls » »

Roller S. Schweitzer Divers

ODIS

Caractérologie: le Sentimental Caractérologie: le Nerveux Caractérologie: le Nerveux (suite) L'Institut J.-J. Rousseau a 50 ans La grammaire du chrétien Bulletin Cuisenaire No 3

» » No 4 » » No 5 » » No 6 » » No 7 » » No 8

Catalogue des dias, fams et disques

PARIIE PRATIQUE

No

8 9

10 . 3 1 1 2 4 6 8 9

10

No Concours scolaire sur les professions du bois 1 Ecoles normales: examens d'admission, épreuves écrites 1 La forêt en automne 1 Le P.ain (Mce Nicoulin): centre d'étude 2 Langue maternelle:

Etude de texte: une fillette au grand cœur 4 -Histoire: le roi du Simplon, Gaspard de Stockalper 4 Travaux manue[s pour Noël (E. Claret) 3 Leçon sur les dents 5 Lecture: la cane dentaire dans la vallée de Conches 5 Travaux manuels: abeille en papier déchiré 5 Pourquoi nos dents sont-elles constituées d'émail, d'ivoire,

etc.? (V. Joris) 6 Est-il vrai que le sucre nuit aux dents? (V. Joris) 6 En vrac: à propos de la campagne dentaire 6 Travaux m,anue'ls: poiswn d'avril (E. Claret) 6 Leçon de chose: la pomme de terre 7 Etude du texte: une plante merveilleuse 7 La pomme de terre contient-elle du fer? (V. Joris) 7 Chansons des pommes de terre 7 Centre d'étude: le bateau (Mee Nicoulin) 8 Travaux manuels: étui à aiguilles (M. Hubert) 8 Travaux manuels: chien et chat 9 48 exercices de calcul oral pour cours supérieur

(R. Vouiiloz) 9 L'étymologie du mot « abricot» (C. Dudan) 9 Texte: le hanneton (E. Voirol) 9

16

avril 63 nlai 63 juin 63 novembre 62 septembre 62 septembre 62 octobre 62 décembre 62 février 63 avril 63 nlai 63 juin 63

septembre 62 septembre 62 septembre 62 octobre 62

décembre 62 décembre 62 novembre JanvIer janvier janvier

62 63 63 63

février 63 février 63 février 63 février 63 mars 63 mars 63 mars 63 mars 63 avril 63 avril 63 mal 63

mal 63 mal 63 mal 63

E.V. No 10, juin 1963

() () 1 Office de DocUlllentation et d'Information Scolaires

(anciennement: Office de l'Enseignement)

DISPOSITIONS GENERALES

1. L'ODIS (Office de Documentation et d'Information Scolaires) est un organe créé et contrôlé par le Département de l'Instruction publique. L'al·t. 89 de la Loi scolaire du 4 juillet 1962 stipule: «Il existe un office cantonal de documentation pédagogique qui est un Ol'gane de recherche, de documentation et d'information. L'office est chargé notamment de tenir le personne[ enseignant au courant des méthodes et des techniques de l'en­seignement et de l'assemb[er à cette fin la documentation nécessaire. Le Département organise l'office et précise ses attributions ».

2. L'ODIS est situé dans les locaux de la NouveHe Ecole Normale, Rawyl 47, à Sion. Il est ouvert matin et soir, aux mêmes heures et ,aux mêmes jO:Jrs que les bureaux de l'Etat. TI est fermé en juiillet. Tél. (027) 2 93 65.

3. L'ODIS 'est à la disposition du personnel enseignant du canton, de langue française et de langue allemande, des degrés pdmaire, secondaire et ménager.

4. Il renseigne et documente sur toutes les questions concernant l'enseignement: manuels et :lnéthodes, publications pédagogiques, fiches, matériel d'expéri­mentation, matériel audio-visuel, suggestions pour loisirs et fêtes scolaires, organisation de bibliothèques scolaires, modèles et petit matériel pour travaux lnanuels, etc.

5. L'ODIS organise un service gratuit de location de vues diapositives et de films-fixes sur les principales disciplines du programme (géographie, his­toire, art, religion, histoire naturelle, etc.). Le délai de location est d'une semaine. Les détériorations dues à la négHgence sont à la charge des emprunteurs.

6. Les autres coIaections, conl.me manuels, publications, centres d'étude, maté· riel divers, disques, ne doivent pas quitter les locaux: de l'ODIS et sont à consulter sur place.

7. L'ECOLE VALAISANNE, bulletin du personnel enseignant, publie périodi­quement les nouvelles acquisitions de Il'ODIS.

On trouvera ci-après le catalogue de vues diapositives et des disgu,es d'ensei­gnement actuellement disponibles. Cette liste deviendra plus complète d'année en année. L'ODIS recevra avec reconnaissance toutes suggestions et propositions que lui fera le personnel enseignant.

17

E.V. No 10, juin 1963

JESUS DE NAZARETH 1. L'Annonciation 2. La Nativité 3. La Vie cachée Ll. Jean-Baptiste et le Messie 5. La première Pâque

et le retour en Galilée 6. Jésus annonce la Bonne

1. REL 1 G ION

1 film l fiJnl 1 filnI 1 film

1 film

Nouvelle en Galilée 1 film Ces vues existent aussi en pochettes de 12 di as JESUS, FILS DE DIEU, NOTRE SAUVEUR; Dir. R.P. Panici (dd.) 1. La Nativité 2. Début de la vie publique 3. Appel des Apôtres 4. Jésus et ses adversaires 5. La Passion 6. Résurrection, Ascension

et Pentecôte LE BAPTEME LA VIE DE MOISE FA TIlVIA (del.) BERNADETTE DE LOURDES

(dd.) FRANCOIS D'ASSISE (deI.) LA FEMME COURONNEE

D'ETOILES (dd.) CONCILE VATICAN II

87 di as 81 dias

2 films 2 films

88 di as

2 films 2 films

12 dias 2 films 2 films

2 films

2 films 12 dias

Marque

O.S.B.E.F. » » »

»

»

IVAC »

FILMS-FIXES »

IVAC

FILMS-FIXES IVAC S.P.G. FILMS-FIXES

»

B.P. COLOR

FILMS-FIXES FILMS-FIXES

No

101 102 103 104

105

106

Le signe dd. signifie qu'un ou plusieurs disques accompagnent ces films ou ces dias

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E.V. No 10, juin 1963

Marque No

Il. CONTES ET LEGENDES

LA FILLE AUX ALLUMETTES 1 film LES BEAUX FILMS LA V ALLEE DES CASTORS

(WaIt Disney) 2 films » LES SECRETS DE LA VIE

(WaIt Disney) 2 films » LE PETIT POUCET 2 films » LA BELLE AU BOIS DORMANT 2 films » LE SECRET DU VIEUX

FA-HIEN (dd.) 4 films B.P. COLOR LA PASTORALE DES SANTONS

DE PROVENCE (dd.) 2 films » NUIT DE GRECCIO (dd.) 2 films FILMS-FIXES LE LOUP DE GUBBIO (dd.) 2 films » LA PETITE NOTE LA S'EN VA 2 films »

( del.) LE RETOUR DU CHEVALIER 6 films » 24/36 1 à 6

( dd.)

- Le signe dd. signifie qu'un ou plusieurs disques accompagnent ces films ou ces di as

19

E.V. No 10, juin 1963

E.V. No 10, juin 1963 IV. GEOGRAPHIE

III. HISTOIRE a) Généralités physiques et économiques . Géologie Marque No Marque No

L'AGE DES DOLMENS 12 di as S.E.P.T. GEOLOGIE 1: L'HOMME QUATERNAIRE 1 film MUNDANEUM A 3003 Minéralogie élémentaire 217 dias IVAC 1 à 6 GAULOIS ET CONQUETES GEOLOGIE II:

ROMAINES 29 dias IVAC B / 12 Phénomènes géolog. actuels 243 di as » 7 à 12 L'ORIENT CLASSIQUE ET GEOLOGIE III:

LA GRECE 25 clias » 18 Phénomènes géolog. ,actuels 234 clias » 13 à 18 LA MAISON ROMAINE 26 dias S.P.G. LA VIE DES EAUX 19 dias » A 103 PERIODE FEODALE 25 clias IVAC B / 14 LES ASPECTS DES COTES 15 dias » A 104 CHEVALERIE 23 dias » B / 15 DE LA FORET LE DEVELOPPEMENT AUX NEIGES ETERNELLES 18 clias » AlOS

DES VILLES 1 film STOPCOLOR B 16 LA VIE D'UN FLEUVE LES LUTTES DES COMMUNES 1 film » B 18 D'EUROPE 35 dias S.E.P.T. LES LUTTES DES SEIGNEURS 1 film » B 17 NUAGES ET METEORES l film UNESCO CHARLEMAGNE l film » LES VOLCANS 1 film HELIO 28 LA MAISON DE BOURGOGNE 20 dias IVAC B / 19 LES TRANSPORTS VERSAILLES- TERRESTRES 15 dias IVAC A 109

VAUX-LE-VICOMTE 12 dias » B / 94 LES TRANSPORTS HISTOIRE SUISSE 36 dias » 200 PAR EAU ET PAR AIR 14 di as » A 110 LES DROITS DE L'HOMJ\tIE 6 films UNESCO LES LITANIES DE L'EAU 1 film Alfred Carlier 5007 FABLES DE L'UNESCO 4 films » LES PRESTIGES DE LA NEIGE 1 film » » 5004 DIX ANS DE L'UNESCO l film » LA RONDE DES DOUZE MOIS l film » » 5008 NOUS ET L'ONU l film » LE JOUR ET LA NUIT l film HELIO HENRI DUNAND l film IVAC LES POINTS CARDINAUX l film » 26 LES ENFANTS DU MOl\TDE 10 films O.S.B.E.F. ECONOMIE MONDIALE 30 dias IVAC. 93

A TRAVERS LES AGES CONTINENTS ANTARCTIQUES 12 di as » 26

b) Europe EUROPE (cartes diverses) 26 dias IVAC 1 EUROPE (cartes économiques) 25 dias » 7 ALLEMAGNE 185 dias » A 57 à 60

A 88 à 90 AUTRICHE 46 clias » A 91 et 92 BELGIQUE 53 dias » BULGARIE 15 clias HELIO A 23 Autour de la mer EGEE (Grèce,

Turquie) 38 dias IVAC A 45 Le si,gne dd. signifie qu'un ou plusieurs disques accompagnent ces films ou ces dias - 21

20

E.V. No 10, juin 1963 E.V. No 10, juin 1963

Marque No Marque No ESPAGNE 32 clias HELIO V ALLEE DE LA SUZE 13 di as S.P.J. ESPAGNE 35 di as IVAC A 30 FRANCE 50 clias » A 37 GRANDE-BRETAGNE 97 di as » A 61 à 65 HONGRIE 15 clias HELIO ITALIE 116 clias IVAC A 34 et

72 à 75 d) Amérique ROME (cartes géographiques et historiques) 20 dias » 19 AMERIQUE DU SUD (cartes div.) 19 dias IVAC 14

PAYS-BAS 79 dias » A 67 et 68 PAYS ANDINS (Bolivie - Pérou) 95 dias » A 76 à 80 POLOGNE 13 di as » A 54 BRESIL 143 dias » A 81 à 85 POLOGNE 23 clias HELIO MEXIQUE 16 dias » A 51 PORTUGAL 17 dias IVAC A 55 AMERIQUE DU NORD PORTUGAL 30 dias HELIO (cartes di verses) 24 clias » 6 LE RHIN 20 dias IVAC 208 - 209 U.S.A. 44 dias » A 49 et 50 LE RHONE 21 relias S.E.P.T. SCANDINA VIE 40 dias IVAC A 43 SUEDE 30 dias » A 56 TCHECOSLOV AQUIE 16 dias » A 53 TCHECOSLOV AQUIE 20 dias HELIO e) Asie • Océanie TURQUIE D'EUROPE 9 di as » ASIE (cartes diverses) 23 dias IVAC 58 U.R.S.S. 128 clias IVAC A 213 et 214 CHINE 90 dias » A 31 à 33

et l, 2, 3 INDES 60 dias » A 42a et 42b YOUGOSLA VIE 30 dias » A 93 JAPON 107 dias » A 38, A 201 YOUGOSLA VIE 21 dias HELIO à 203

AFGHANISTAN ET IRAN SEPTENTRIONAL 32 dias » A 46

OCEANIE (cartes diverses) 22 dias » 60

..

c) Suisse f) Afrique

LA SUISSE ROMANDE 25 dias IVAC A/36/1 AFRIQUE (cartes diverses) 20 dias IVAC 16 SUISSE CENTRALE ET TESSIN 23 dias » A/36/4 CONGO 50 dias » A 25 SUISSE ORIENTALE EGYPTE 35 dias » A 35

ET SEPTENTRIONALE 26 dias » A/36/5 MAROC 24 dias » A 71 CANTON DE BERNE 26 clias » A/36/3 SAHARA 7 dias » A 48 LE VALAIS 26 dias » A/36/2 CANAL DE SUEZ 25 dias » A 97 SION 13 di as Schm,id TUNISIE 22 dias » A 95 SUISSE (cartes diverses) 24 dias IVAC 67 CARTES MUETTES

DES CANTONS SUISSES 48 clias PERRO-COLOR

22 23

E.V. No 10, juin 1963 E.V. No 10, juin 1963

v. ZOOLOGIE

Marque No FAUNE SECONDAIRE.

TERTIAIRE - QUATERNAIRE 2 films MUNDANEUM A 3001- 3002 REPTILES - BATRACIENS.

POISSONS 27 di as IVAC F 127 -128 REPTILES - BATRACIENS -

POISSONS 20 clias S.E.P.T. LES NIDS 1 film HELIO 29 LES OISEAUX 37 dias IVAC F 125 et 126 LES MAMMIFERES 67 dias » F 121 et 124 LES INVERTEBRES 53 clias » F 129 à 131 DEVELOPPEMENT

DE LA GRENOUILLE 22 clias » SR 2 DEVELOPPEMENT

DE LA TRUITE 8 clias » Z 4 DEVELOPPEMENT

Marque No EPICEA 23 dias S.P.J. QUELQUES FAMILLES DE

PLANTES 18 dias IVAC G 44 RACINE. TIGE - FEUILLAGE 93 clias » PM 1 à 5 RACINE - TIGE. FEUILLAGE 39 clias » G 41 et 45 MOUSSES ET FOUGERES 6 dias S.E.P.T. LE FRUIT 36 dias IVAC PM 10 et Il LES FRUITS Il dias » G 43 LES FLEURS 19 dias » G 42 LA FLEUR 32 dias » PM 6 et 7 ORGANES DE REPRODUCTION 25 dias » PM 8 INFLORESCENCE 20 dias » PM 9 POLLINISATION 19 dias » G 46 GERMINATION 24 dias » G 47 LA GERMINATION l film HELIO 27

DU POUSSIN 34 clias » Z 3a et 3b L'ARAIGNEE 6 clias S.E.P.T. LES INVERTEBRES 20 dias » ANIMAUX DOMESTIQUES

(chat et chien) 18 dias » ANIMAUX D'AFRIQUE 24 clias »

VII. SOMATOLOGIE

LE CORPS HUMAIN 32 dias IVAC H 101 - 102 LA PEAU 10 dias » H 10 ODORAT ET GOUT 10 clias » H 12 LA VUE 15 dias » H 13 L'OUlE 12 dias » H 14 LE SQUELETTE 38 dias » H 1,2,4 MUSCLES 20 dias » H6

VI. BOT ANI QUE LE SYSTEME DIGESTIF 18 dias » H8 SANG ET CIRCULATION 19 di as » H7

LE CAFE 6 clias S.E.P.T. SYSTEME CEREBRO-SPINAL 7 'dias » H Il LE CACAO 6 dias » LE RIZ 6 dias » LE BANANIER 6 clias » CANNE A SUCRE 6 clias » LE THE 6 clias » LE PALMIER A HUILE 6 dias » L'HEVEA 6 dias » LE COCOTIER ET LE COPRAH 6 dias »

24 25

E.V. No 10, juin 1963

VI II. LI T TER A T URE

ITINERAIRE DE 1.-1. ROUSSEAU

a) Initiation artistique JOUER, EXPLORER,

PERCEVOIR, CREER L'ADOLESCENT ET L'ART

A TROIS DIMENSIONS L'EVEIL DE L'INTERET VI­

SUEL ET PLASTIQUE DANS L'EDUCATION ARTISTIQUE

LA RENAISSANCE LE STYLE LOUIS XIV STYLE LOUIS XV et LOUIS XVI

b) 'Préhistoire et antiquité PALEOLITHIQUE L'ART PREHISTORIQUE NEOLITHIQUE LE BRONZE ET LE FER LES ANIMAUX VUS PAR LES

HOMMES DES CAVERNES LES ETRUSQUES 1 LE S CRETOIS EGYPTE ANCIENNE TRESORS DE LA NUBIE HERCULANUM BYZANCE MOSAIQUES BYZANTINES GRECE

POMPEI POMPEI ROME

26

22 dias

IX. ART

30 dias

30 dias

30 di as 25 dias

1 fi1m 2 films

1 film 1 film 1 film 1 film

32 dias 47 dias 25 dias 50 dias 1 film

10 dias 52 dias 30 dias 76 dias

20 dias 10 dias 95 dias

Marque No

UNESCO

UNESCO série 1

» » 2

» » 3 » » B

MUNDANEUM A 593 Alfred Carlier 594 et 595

MUNDANEUM A 3004 » A 3005 » A 3006 » A 3007

IVAC » » »

UNESCO FILM-OFFICE IVAC

» »

» FILM-OFFICE IVAC

B Il B 57 a et b B 58 B 51 a et b

B 56 a et b

B 52 a, b, c et d B 69

B 55 a, b et c

E.V. No 10, juin 1963

ROME FRESQUES CHRETIENNES,

PRIMITIVES ROMANES

c) Moyen âge

ART ROMAN FRANÇAIS ARCHITECTURE GOTHIQUE

GERMANI QUE ARCHITE CTURE GOTHIQUE

FRANÇAISE CHAR TRES : arch itecture CHARTRES: vitraux 1 et II CHARTRES: divers DIE GOTIK SCULPTURE GOTHIQUE

GERMANIQUE SCULPTURE GOTHIQUE

FRANÇAISE EPOQUE BOURGUIGNONNE ORFEVRERIES et MINIATURES

DU MOYEN AGE

d) Renaissance

LES PRIMITIFS VENISE PEINTURE ITALIENNE

13e à ISe siécle PEINTURE ITALIENNE

ISe à I 6e siècle PEINTURE ITALIENNE (fin 16e

s. ) PEINTURE ESPAGNOLE PEINTURE FLAMANDE

ET ALLEMANDE

10 dias

16 dias

12 films

20 dias

20 clias 10 dias 20 dias 10 di as 32 di as

15 clias

30 dias 20 dias

15 dias

25 dias 10 di as

42 clias

40 dias

26 clias

35 dias

Marque No

FOTO-COLOR III

FILMS-FIXES

IVAC

»

» 'B.P. COLOR B.P. COLOR IVAC V DIA

IVAC

» »

Marques diverses

» PARIS COLOR

»

»

Marques diverses

»

B 86

B 82

1 et II B 83 K 53002

B 87

B 84 et 85 B 89

» A

E.V. No 10, juin 1963

ART FRANÇAIS du ISe au 20e s. REMBRANDT LA RENAISSANCE

e) XIXe et XXe siècles

ROMANTIQUES ET REALISTES AU XIXe s.

LES PRECURSEURS LES INDEPENDANTS NABIS LE FAUVISME LE CUBISME FUTURISME ET ART

METAPHYSIQUE EXPRESSIONNISME BRUCKE EXPRESSIONNISME

DER BLAUE REITER EXPRESSIONNISME

PAYS GERMANIQUES EXPRESSIONNISME

PAYS ANGLO-SAXONS EXPRESSIONNISME

PAYS LATINS DADAISME ET SURREALISME NAIFS NEO-REALISME

ET REALISME SOCIAL ART NON-FIGURATIF

INSTINCTIF ART NON-FIGURATIF

GEOMETRIQUE L'EGLISE DE RONCHAMP

28

39 dias 1 fiŒm

25 dias

40 dias

16 di as 14 di as 19 di as 21 . dias

10 dias 8 dia,s

18 dias

14 dias

14 dias

14 dias 20 dias 9 di as

16 di as

23 dias

Il dias 10 d.ias

Marques diverses POLYGOON K 756 Marques diverses

Marque No

Pub!. Filmées 25'304 d'Art et d'Hist. IVAC ElOI

» E 102 » E 103 » E 104

» E 105 » E 106

» E 107

» E 108

» E 109

» E 110 » E III » E 112

» E 113

» E 114

» ElIS B.P. COLOR

E.V. No 10, juin 1963

ABREVIATIONS

AM: Edit. l'Amicale - APM: Album du Petit Ménestrel - AT: Atlas -BE: Ed. ,du Berger - BPC: B. P. Collor - COL: Columbia - CM: Chant du Monde - CTP: Contrepoint - DEC: Decca - DEV: Deva - D-C: Disco-Club - DGG: Deutsche Grammophon GeseJlschaft - ER: Erato - ET: EtoÏ1e -EXL: Ex L~bris - FON: Fontana - GUI: Guillde du Disque - HA: Hachette, EncyclopédIe Sonore ou Ducretet-Thomson - IMP: Impérial - JER: Jericho - LUM: Lumen - MMS: Cui'llde du Disque - OD: Odéon - PA: Pathé -PC: Père Castor, Flammarion - PM: Pastorale et Musique - PLE: Pléiade -PH: Philips - POL: PoJydor - PF A: Production Française Cinématogra­phique - RE: Ronde des Ent' ants - SCO: SCOIlavox - TE: Telefunken -VM: Voix de son Maître - U-D: Uni-Disc - VA: Voix de l'Auteur.

1. MUS 1 QUE C LAS S 1 QUE

Marque Tours cm ALBENIZ Isa,ac - -:,- Malaguena D-C 6 33 30

BACH Jean-Séba~tien - 6 Concertos brandebourgeois (2 disques) MMS 2097 - 98 33 30

orch. Néerland.ais, dir. Boyd Neel .- Concerto brandebourgeois No 4 et 5 MMS 13 33 25

orch. ,symph. Winterthur, dir. W. Goehr - 6 Concertos brandebourgeois (2 disques) ER LDE 3229-30 33 30

orch. Pro Arte, Munich, dir. Kurt Redel - Suite No 2 h-molll et No 3 D-dur (2 disques) DEC LW 50104-5 33 25

orch. de chambre de Stuttg.alot, dir. Karl Münchinger

- Konzert für Cemba1lo und Streichorchester DEC LW 50104 33 25 d-moH - Karl Richter u. Orch. der Bach-W oche Ausbach

* L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque

29

E.V. No 10, juin 1963

Marque

Choralvorspiele (Orgue) TE TW 30165 Fritz Heitmanll an cler Sch'leiflaclen Orge[ von Berlin-Zehlendorf .

- Récital d'orgue (Toccata, Adagio et Fugue ) MMS 32 Allex. Schreiner à l'orgue du Tabernacle de Salt Lakè City .:(. Toccata et Fugue en D-minor MMS 54 Alex. Schreiner, organiste 1.-Sébastien BACH présenté aux enfants GUI E 30 p ar Léon Zitrone

- J.-Sébastien BACH raconté aux enfants APM ALE 46 par Pierre Blanchar

BARTOK 'Bela

- .:;. Rumanische Volkstanze D-C 406

BEETHOVEN Ludwig van

- V. Symphonie, c-moU TE orch. PhiŒh. Hambourg, Dir. J. Keilberth

- V. Symphonie, c-moll IMP N.-W.-Deutsche PhiUl., dire W. Schiichter

- V. Symphonie, c-moll VM Orch. Philh. Vienne, dire W. Furtwangler

- V. Symphonie, édition abrégée COL Debroy Somers Band

- VIlle Symphonie, f-dur TE Orch. Philh. Hambourg, dire J. Keilberth Sonates No 1 et No Il DE

No 7 et No 12 DE No 5, 24 et 25 DE No 14 et No 8 (<< Pathétique» ) DE

au piano: Wilhelm Backhaus I~avierkonzert No l , C-dur DE

No 2, B-chu DE avec l'orch. philh. de Vienne, dire Schmidt­Isserstedt - Au piano : W. Backhaus

- Ouvertures: Egmont - Coriolan, Leonora 3 DE Orch. Philh. Vienne, dire K. Münchinger

- * Marches et Chœur: MMS Sur les ruines d'Athènes Ouverture d'Egmont et de Coriolan MMS Orch. Philh. Néerlandais, dire W. Goehr

TW 30172

14.0

ALP 1195

DX 1028

TW 30150

LW 50134 LW 50131 LW 50127 BR 3010

LW 50159 LW 50187

BR 3020

54

97

Tours cm

33 25

33 25

33. 25

33 25

33 25

33 25

33 25

33 25

33 30

78 30

33 25

33 25 33 25 33 25 33 25

33 25 33 25

33 25

33 25

45 17

- * L'astérisque indique qu'il y a plusieurs com positeurs sur le m êm e disque

30

E.V. No 10, juin 1963

Marque Tours cm

- Beethoven racon té aux enfants AP M ALB 50 33 25 par Mad. Renaud et Jean-Louis Barrault

- Votre .ami Beethoven GUI · E 26 33 25 la Ronde des enfants

BRAHMS 1. - Symphonie No 1 en ut Minor D-C 45 33 25

Orch. des Cento Soli, dire Karel Husa - * Intermezzo in C Major, op. 119 DEC BR 3097 33 25

Wilhelm Ba'ckhaus

CHOPIN - ". Etude No 14 in F Minor, op. 25 DEC BR 3097 33 25 W~lhelm Backhaus

- Chopin raconté aux enfants APM ALB 15 33 25 p.ar Jean Desailly et S. Valère

CORELLI Archangelo - Concerto grosso No 8, g-moll, op. 6 MMS 92 33 17

Winterthurer St.adt-Orch., dire C. Dahinden - * Concerto grosso op. 6, No 8 in g-moll EXL M 190 33 25

Hall-Kammerorchester, dire D. Josefowitz * Concerto grosso c-moll, op. 6,3 TE TW 30158 33 25 CoUegium musicum Paris, dire R. Douatte +, Grave DEV M Il 33 25 violoncellliste: Jean Froidevaux orgue: M.-Louise Girod

COUPERIN François - Les goûts réunis - Pièces de clavecin - Le D-C 67 33 30

rossignol - Les Nations - Airs profanes * Konzert-Suite für Violoncelle U. St reich- DEC LW 5196 33 25 orchester - Stu ttgarter Kammerorchester, dire K. Münchinger, violonc.: P. Fournier

DAQUIN - ". Le Coucou TE TW 30198 33 25

Halina Czerny-Stef anska, Klavier

DUKAS - * L'Apprenti sorcier DEC LW 5155 33 25

Orch. Sté des Concerts du Conservatoire de Paris, dire Ernest Ansermet

* L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque

31

E.V. No 10, juin 1963

Marque

- * L'Apprenti sorcier MMS

DEBUSSY Claude - Nocturnes - La Mer D-C

Orch. des Cento Soli, dir. L. Forestier

DELALANDE M.-R. - * Symphonies pour les soupers du roy ER

Orch. de Chambre Jean-François Paillard

DVORAK Antonin Slawischer Tanz, op. 45 No 5 et op. 46 No 7 D-C Orch. der V olksoper Wien -x- Humoresque D-C K. Rapt u. das Collegium Musicum-Wien

de FALLA Manuel - Suite populaire et danse du feu

Janos Starker, Cel~o

GERSHWIN - Ein Amerikaner in Paris, Rhapsody in blue

GRANADOS Enrique - Danses espagnoles - -l:- Intermezzo - Anda'luza (J. Starker, CeUo)

GRIEG - Elegiac Melodies op. 34 - Aase's death -

In the hall of the Mountain King - Ins­grid's Laurent (The residency orchestra)

HAYDN Joseph - Symphonie No 101 D-dur «die Uhr»

Wiener Philh., dir. Kartl Münchinger - Symphonie No 95 G Mayor «Surprise»

Symphonie No 100 G Mayor «Military» Netherlands Philh., dir. H. Swoboda

- Syllllphony No 88 in G Major « Letter V» Wienna Philh. , dir. Karl Münlchinger Symphony No 45 fis .. moH «Abschied­Symphonie» - Stuttgarter Kam,merorch., dir. K. Münchinger

D-C

PH

D-C D-C

PH

DEC

MMS

DEC

DEC

27

55

EFM 42016

704

DC 4

DC 6

G 05654

117 DC 6

S 06010 R

LW 50152

59

LW 5280

LW 50054

Tours cm

33 25

33 30

33 25

45 17

33 25

33 30

33 25

33 30 33 30

33 25

33 25

33 25

33 25

33 25

- * L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque

32

E.V. No 10, juin 1963

- Trumpet Concerto E-flat Major Ol'ch. of the Wienna state Opera Flute Concerto D Major Winterthur Symphonie Orch. Streichquartette Es-dur, op. 33,2 und B­dur op. 50,1 - -Tatrai-Quartett, Budapest * Streichquartett No 69 Es-dur Quartetto ltaliano -l:- Notturno No Il in C-dur Philh. Staatsorchester Hamburg, dir. Giovanni di Bella

- -l:- Menuet de la Symphonie Militaire Hautbois: J.C. Malgoire. Piano: F. Desché

d'HERVELOIS (Caix) _ -l:- P11ainte

HONEGGER

Violon: J. Froidevaux Orgue: M.-L. Girod

Marque

MMS

TE

DEC

TE

DEV

DEV

- ,f Pacific 231 - Orch. Société Concerts du DEC Conservatoire Paris, dir. Ernest Ansermet

KREISLER - * Tambourin chinois - Caprice viennois -

Preludium et Allegro - Violon: G. Poulet

LULLY Jean-Baptiste +:- Ba~lett - Suite Philh. Staatsorchester Hamburg, dir. Giovanni di BeHa

MANFREDINI - ,(- Concedo grosso pel' il santissimo Natale

MARAIS Marin - * Suite d'Alcione

Orch. de Chambre Jean-François Paillard

MOZART Wolfgang Amadeus - Symphony No 40 G Minor, K. 550 et No

34 C Major - Netherlands Phill1. and Vienna State Opera Orch.

- Symphonie No 31 D-dur «Pariser» Londoner Symphonie-Orch., dir. J. Krips Symphonie No 35 D-dur «Haffner» Londoner Philh. Orch., dir. E. van Beinum

DEV

TE

TE

ER

MMS

DEC

55

TW 30333

LW 50170

TW 30025

45 RB

MIl

LW 5155

M 17

TW 30025

TW 30158

EFM 42016

65

LW 50102

Tours cm

33 25

33 25

33 25

33 25

45 17

33 25

33 25

33 25

33 25

33 25

33 25

33 25

33 25

- * L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque

33

E.V. No 10, juin 1963

- Symphonie No 41 C-dur «Jupiter» Philh. Orch. ISl'ael, dir. Joseph Krips

- Symphonie No 38 D-dur «Prager» Wiener Philh., dir. Karl Bohm Symphonie No 40 in G Minor Joseph Krips Quartett D-dur filr FJote, Violine, Viola u. Violoncello - Quartett F-dur für Oboe, Violine, Viola u. Violoncella H. Winschermann, Oboe, u. das Kehr-Trio

- Klarinettenquintett A-dur KV 581 Mitglieder des Wiener Oktetts Violinkonzert No 3 G-dur Christian Ferras, Violine - Stuttgarter Kammerorch., dir. Karl Münchinger Klavierkonzert No 15 B-dur, KV 450 Wilhelm Kempf, Klavier - Stuttgarter Kam.merorch., dir. Karl Münchinger Piano Concerto in D-minor K. 466 Piano Concerto in C minor K. 491 Cllara Haskil, piano - Orchestre des Con­certs Lamoureux, dir. Igor Markevitch

- Konzert für Klavier u. Orch. No 26 D-dur KV 537 «Kronungskonzert»

- Streichquintett G-mol~, KV 516 Hekster-Quartett mit Jo van Helden, Viola

- Divertimento No Il D-dur, KV 251 Stuttgarter Kammerorchester, dir. Karl Münchinger -:~ Menuet, ldylle, Pantomine (5 danses) Hautbois: l-C!. Malgoire -x- Sonate No 10 C-dur, KV 330 Halina Czerny-Stefanska

- -!!- Turkisch March From Sonata No Il in A Major The Magic Flute - Vienna State Opera Chorus and Vienna Orch., dir. K. Bohm +:-Streichquartett No 69 Es-dur Quartetto ltaliano

- Mozart raconté aux enfants texte: G. Duhamel dit par G. Philippe La Vie et l'œuvre de Mozart

Marque

DEC

DEC

DEC

TE

DEC

DEC

DEC

PH

DEC

TE

DEC

DEV

TE

DEC

DEC

DEC

APM

GUI

Tours cm

LW 50176 33 25

LW 5316 33 25

LW 5287 33 25

TW 30225 33 25

LW 50160 33 25

LW 5272 33 25

LW 50153 33 25

A 02071 L 33 30

LW 50080 33 25

TW 30223 33 25

LW 50145 33 25

4.5 HB 45 17

TW 30 33 25

BR 3097 33 25

LW 5343 33 25

LW 50170 33 25

ALB 10 33 25

E 25 33 25

- * L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque

34

E.V. No 10, juin 1963

MUSSORGSKY - +:- Une nuit sur le Mont Chauve

Netherlands Philh. Orch., dir. W. Goehr

OFFENBACH

- Gaîté parisienne - Banet The Philh. Orch., dil'. Eugène Ormandy

PAGANINI

- * Caprice No 9, 13 et 24 Gérard Poulet

RAMEAU -:f Rigodon Hautbois: laC. Malgoire. Piano: F. Desché ~f Les tendres Plaintes Halina Czerny-Stefanska

RIMSKY-KORSAKOV

The tale of the Tsar Saltan - May Night Ouverture - Russian easter festival

SAINT-SAENS - -!!- Le Carnaval des Animaux

Netherlands Philh. Orch., dir. W. Goehr

SCARLATTI +:- Sonata No 15 in D Major et Sonata No 19 in C Major Halina Czerny-Stef anska

SCHUBER T Fl'anz - -i, 5 Menuette mit 6 Trios für Streichorch.

K. Rapf und das Collegium Musicum Wien - ForeUen - Quintett

* Symph. No 8 en B Minor «l'inachevée» Zurich Tonhalle Orch., dir. O. Ackermann * Impromptu in A flat Major, op. 142 Impromptu in B flat Major, op. 142 Soirée de Vienne in A Major Wilhelm Backhaus

Marque

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* L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque

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E.V. No 10, juin 1963 E.V. No 10, juin 1963

Marque Tours cm Il. DISQUES DE N OEL - Schubert raconté aux enfants APM ALB 31 33 25

texte: Claude Dufresne a) Chants et Chœurs de Noël Marque Tours cm

SCHUMAN NUIT DE NOEL (6 Noëls) Chor. Professeurs HA 4135 45 17 - .:{. Warum? op. 12 No 3 - Vogei aIs Prophet DEC BR 3097 33 25 Paris (3-4 v.)

LES DJINNS CHANTENT HA 460 V 495 45 17 Wilhelm Backhaus NOEL (4 Noëls)

SIBELIUS Jean BERCEUSES, NOELS (3 N.) Maîtrise RTF DEV 45 BX 45 17 - Finlandia - Valse triste - Der Schwan DGG LPE 17025 33 25 8 NOELS POPULAIRES Maîtrise RTF DEV 45 BG 45 17

von Tuonela - Bolel'o CHANTONS NOEL (4 N.) Chor. Angelicus BEL-AIR 211013 45 17 Berliner Philh., dir. Hans Rosband CHANTS DE NOEL (5 N.) Petits Chanteurs ER LDE 1027 33 17

DC 406 33 25 de la Renaissance - .:+ Romanze in C für Streichorch. op. 42 D-C NUIT DE NOEL (5 N.) Petits Chanteurs ER LDEV -2008 33 25 K. Rapt und das Cohlegium Musicum Wien

de St-Laurent STRAUSS LES BEAUX NOELS (4 N.) Petits Chanteurs ER LDE 1057 33 17

de la Renaissance - Polkas et Marches PH S 06618 R 33 25 9 NOELS CELEBRES Petits Chanteurs ER LDEV 2026 33 25 The -Philadelphia Orch. « Pops»

de la Renaissance dir. E. Ormandy NOELS PAR LE CHOEUR Chœur de filles PH 421.300 PE 45 17

TORELLI «LES MESANGES» CHANTS DE NOEL (3 N.) Chor. Don Bosco LUM IDI 500 45 17 - * Concerto a quatro de Noël op. 8 TE TW 30138 33 25

de Tournai Collegium musicum Paris, dir. R. Douatte JOIE SUR TERRE (4 N.) l Cantori U-D DD-EX 33 17 - .::. Concerto a quatro de Noël op. 8 MMS 190 33 25

33160 M Niederlandisches Philh. orchestra NOELS FRANÇAIS (12 N.) Ens. J annequin MMS 150 33 25 dir. Maurits van den Berg DOUCE NUIT (4. N.) gr. folklorique CM EP 453034 45 17

TSCHAIKOWSKY de Pont-l'Evêque 1

VOICI NOEL (5 N.) Krotzerans COL SEGZ 2029 45 17 - ,-:. Le casse-noisette MMS 153 33 25 de Fribourg Orch. de Francfort. dir. W. Goehr

NOUVELLE! NOUVELLE! Ensemble vocal PM 25008 A 33 25 - ;{. Walzer aus der Serenade für Streichorch. D-C De 406 33 25 (10 N.) Marcel Dumas Collegium Musicum Vienne, dir. K. Rapf NUIT DE LUMIERE (10 N.) Petits Chanteurs SM 45-36 45 17

VIV ALDI Antonio de Provence NOEL DE PROVENCE Petits Chanteurs SM 45-07 45 17 - .;.:. Concerto en ré maj. op. 3 DEV M Il 33 25 (5 N.) de Provence violoncelliste: J. Froidevaux CHANTS DE NOEL (13 N.) Petit Chœur EXL GC 669 33 25 - .~~ Concerto pour violoncelle et orch. DEC LW 5196 33 25 de Fribourg Pierre Fournier, violoncelliste CHANSONS DE MA CRE- M.-Cl. Pichaud SM 45-44 45 17

WAGNER Richard CHE (4 N.) SM 45-100 45 17 NOEL AVEC MARIE (4 N.) M.-Cl. Pichaud

- Maîtres Chanteurs (préludes actes l et III) MMS 29 33 25 Tannhauser (ouverture) b) Chants de Noël pour les petits

NOEL (4 N.) Monique DEV 45 MV 45 17 * L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque - CHANTS DE NOELS (4 N.) Annie Vallotton DEV 45 ML 45 17 -

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E.V. No 10, juin 1963 E.V. No 10, juin 1963

Marque Tours cm Marque Tours cm

NOEL, NOEL EST VENU Suz. Descombes DEV 33 EN 33 17 CHANSONS SUISSES Les 4 Barbus PH 432.095 NE 45 17 (2 N.) (4 ch.)

BERCEUSES CELEBRES Les Compagnons DEV 45 y 4,5 17 c) Noëls étrangers SCHUBERT, MOZART, de la Joie

BRAHMS NOELS ROUMAINS (6 N.) Chora~e Popesco SM 45-27 45 17 CHANTS DE LA RENAIS- Chol'ale Univers. DEV 33 VL 33 17 NOELS ETRANGERS (4N.) Petits Chanteurs PA 45 ·ED 57 45 17 SANCE (4 ch.) de Va[ence

Croix de Bois LES PLUS BELLES CHAN- Abbé Bovet COL ZP 13 33 25 NOELS BRESILIENS Annick Ah'osa SM 45-81 45 17 SONS DE L'ABBE BOVET

d) Contes, légendes et récits de Noël (8 ch.)

LE CARROUSEL AUX Catherine Gay RE E 4 33 25 LA PASTORALE DES SAN· Yvan Audouard POL 46.104 33 30 CHANSONS (19 ch.)

TONS DE PROVENCE (f.) LES FRERES JACQUES POL LP 530.030 33 25 LE PREMIER NOEL DES Pierre Larquey DEC 153.148 33 30 (8 ch.)

PETITS SANTONS CHANSONS DE FRANCE ensemble vocal SM 33-73 33 25 LA MERVEILLEUSE NUIT Suz. CorniIJac BE B 203 33 25 (12 ch.) Roger Blanchard

DE GRECCIO (f.) VENT DU NORD ET MAR· Psalette de Lyon SM 33-35 33 25 RENDEZ-VOUS Yves Garance U-D 30.109 33 30 CHONS DANS LE VENT

A BETHLEEM (13 ch.) LA PASTORALE DE L'EN- P. Tchernia et U·D 30.103 33 30 AD JIJI (26 ch.) ChOl'a'le Scoute FON 660.633 TR 33 25 FANT PERDU 01. Santelli LE NOEL D'ANAWI BarthéMmi PM PM 25.019 A 33 25 CHANSONS DE MARCHE, Chorale Scoute PH P 76.155 R 33 25 LA JACINTHE DE NOEL H. Sourgen HA 230 E 803 33 20 CHANSONS D'ETAPE 1

NOEL (extr. de l'EvangHe) LUM LD 1-506 45 17 (10 ch.)

VEILLEE DE NOEL POUR Cesbron JER 450 et 451 33 25 CHANSONS DE MARCHE, Chorale Scoute PH P 76.164 R 33 25 NOTRE TEMPS (2 disq.) CHANSONS D'ETAPES II

LE MESSAGE DE NOEL Petites Sœurs JER JX 1 33 25 (10 ch.) de Jésus CHANSONS DE MARCHE, Chorale Scoute PH P 76.214 R 33 25

LE NOEL SUR LA PLACE H. Ghéon PM PM 30006 A 33 30 CHANSONS D'ETAPES LA FUITE EN EGYPTE 1. Supervielle JER JX 8 33 30 III (10 ch.)

LE TOUR DE CHANT DES COMPAGNONS COL FS 1063 33 25 (8 ch.) de la CHANSON

III. CHANTS CLAIR MATIN (14 ch.) Psalette de Lyon SM 33-79 33 30 MESSAGES ... (10 ch.) Pierre Se~os U-D 25.115 S 33 25

a) Chœurs et Chansons Il CHANTS PM 25029 33 25 DU PERE DONCOEUR

AU CLAIR DU SOLEIL M.-Cl. Pichaud SM 45-29 45 17 TU NOUS GUIDERAS Robert Jef PM 25012 33 25 (5 ch.) (12 ch.)

MOZAR~BEETHOVEN, Les 4 Barbus PH 432.026 NE 45 17 COMME UN SOLDAT, Les frères Jeff SM 45-08 45 17 ROSSINI (4 ch.) SUMMER TIME, etc.

- f. = avec film-stop correspondant SOEUR SOURIRE (8 ch.) PH B 14.081 33 25

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E.V. No la, juin 1963 E.V. No la, juin 1963

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MUSIQUE FOLKLORIQUE TESSINOISE Record TLP 5003 33 30 NEGROS SPIRITUALS Golden Gate MMS 2090 33 30 ET SUISSE ALLEMANDE Tell Quartet

RONDES ET CHANSONS Lucienne Vernay PH EIE 9100 45 17 EL MUNDO LIRICO DE FEDERICO La Voz de su Amo. 45 17 DE FRANCE, 10 disques et les 4 Barbus GARCIA LORCA 7 ERL 1325 avec 8 à 10 ch. SUI' chaque FOLKLORE D'ICI Compagnons DEV 45 AY 45 17 disque ET DE LA de la Joie

CHANSONS POPULAIRES JAPONAISES 45 17 (10 disques)

b) Chansons enfantines

CHANSONS ENFANTINES Maîtrise RTF DEV 45 BK 45 17 IV. INITATION MUSICALE El RYTHMIQUE (6 ch.)

45 AP 45 17 RONDES ET CHANSONS ensemhle vocal DEV JEUX RYTHMIQUES M. Lambert DEV JX l, 2,3,4 33 25 ENFANTINES (6 ch.) f ém. du Salève (4 disques)

CHANSONS ENFANTINES ensemble vocal· DEV 45 V 45 17 RYTHMIQUE DES PETITS R. Plantard AM 7.101,2,3, 45 17 (6 ch.) f ém. du Sa[ève (6 disques) 4,5,6

CHANSONS DE JEU Maîtrise RTF DEV 45 BT 45 17 CHANSON VOLE Martenot PLE P 3107 33 20 CHANTE TA JOIE (chan- Annie Vallotton DEV 45 MN 45 17 PICCOLO SAXO ET CIE 1 Jean Broussolle PH EIR 0022 33 25

sons enf. pl' Mimes, Jeux) 45 17

II et III (3 disques) 0031, 0036 LE PETIT BESTIAIRE Annie Vallotton DEV 45 MZ LES INSTRUMENTS Michel Roux RE E 39 33 25

(ch. enf. pr Mimes, Jeux) DE MUSIQUE POUR LA FETE DES MA- Annie Vallotton DEV 45 MX 45 17 JOUONS ENSEMBLE DEV 33 AN et 33 17

MANS ET DES PAPAS (2 disques) 33 RO (ch. enf. pl' Mimes, Jeux) VIOLON DEV 33 EA 33 17

LES SAISONS (ch. enfant. Annie VallQtton DEV 45 MY 45 17 FLUTE DEV 33 EC 33 17 pour Maimes et Jeux) FRERE JACQUES OU LE APM 33 25

LA FARANDOLE DES Lucie Raynal SCO 80-81 45 17 SOLFEGE SANS LARME ALB 41174 M LUTINS ET LA RONDE (2 disques) ALB 41175 M FLEURS PIERRE ET LE LOUP Prokofiev PH EIR 1003 33 25

POUR L'ECOLE Lucie Raynal SCO 80-81 45 17 LE CHANT A L'ECOLE Suz. Descombes DEV MAT 1,2,3 33 25 MATERNELLE (9 chants sur 3 disques)

c) Chants étrangers

NOELS RUSSES MMS 69 33 25 v. MUSIQUE RELIGIEUSE CHANSONS POPULAIRES Petits Chanteurs ER LDEV 2011 33 25

RUSSES ET BASQUES de Saint-Laurent CHARPENTIER M.-A. Magnificat à 8 voix ER LDE 3017 33 30 (6 ch.)

25 DAVID Julien, abbé Victoire, Marche et SM 33-38 33 25

CHANTS POPULAIRES RUSSES EXL GC 610 33 Lumière ET YOUGOSLA VES DELALANDE M.-R. Deux gd,g motets pr ER LDE 3027 33 30

CHANTS POPULAIRES TCHEQUES EXL GC 703 33 25 soli, chœur et orch. ET SLOVAQUES GILLES Requiem ER LDE 3040 33 30

8 CHANTS POPULAIRES Chor. Israélienne DEV 33 SR 33 17 MOZART Wolfgang A. Messe du Coul'onne- ER LDE 2003 33 30 D'ISRAEL « Rinat» ment

FOLKLORE MEXICAIN GUI M 2247 33 30 41

40'

E.V. No 10, juin 1963 E.V. No 10, juin 1963

Marque Tours cm VIII. CONTES ET LEGEN D ES * MOZART Wolfgang A. EXlùtate, Jubilate, DGG 19 291 B 33 30

Incarnatus est, Lau· Marque Tours cm date Dominum .;:- LE VILAIN PETIT CANARD Andersen RE E·3 33 25 des PRES Josquin Messe «Pange Lin- ER EFM 42075 33 25 LA PETITE SIRENE Andersen PH EIE 9123 4-S 17 gua» LE GAI JOUEUR DE FIFRE Grimm HA 230 E 002 33 20

-* SCARLATTI Su le Sponde deI DGG 19291 B 33 30 LE PETIT TAILLEUR Grimm GUI GD 4 33 25 Tebro RIQUET A LA HOUPPE et RE E-23 33 25 ABBAYE DE SOLESME Chant Gregorien, DEC 173691 33 30 GULLIVER CHEZ LES GEANTS propre des princ. 173692 CENDRILLON Perrault AT A 251012 33 25 fêtes (4 disques) 173693 BLANCHE-NEIGE Perrault AT A 251007 33 25 173858 BLANCHE.NEIGE Perrault PH EIE 9148 45 17

Chorale Universitaire Polyphonie de la DEV 45 VR 45 17 PEAU D'ANE Perrault PH EIE 9152 45 17 de Valence Renaissance +f NEIGELINE Guylaisne RE E-3 33 25

de l'Epiphanie et de LA PETITE NOTE LA S'EN Guylaisne ET ETS 25903 33 25 la Dédicace V A... (avec film-stop)

BACH. SCHUBERT· Chantons N.-Dame, U·D 30113 S 33 30 MICHKA PC 460 V 426 45 17 JOSQUIN des PRES - les étapes du M ys- LE ROI QUI NE POUVAIT PC 460 V 427 45 17 PALESTRINA . NANINI tère de Marie PAS ETERNUER ANTHEAUME LE RETOUR DU CHEVALIER G. Giraud BE B 204-5-6 33 25

(3 disques avec film-stop) LE SECRET DU VIEUX FA- M. Seneuze BPC 3.001 33 30

VI. DIVERS HIEN (avec film-stop) ROBIN DES BOIS PH P 76.215 R 33 25

CHANTS D'OISEAUX GUI No 15 à 23 33 17 LA LEGENDE DU LOUP ET ETM-2502 33 25 ET VOIX D'ANIMAUX (8 disques) GUBBIO (avec film-stop)

ROBINSON CRUSOE HA 320 E 020 33 30 DON QUICHOTTE AT 251017 33 25

VII. MUSIQUE LEGERE 20 000 LIEUES SOUS LES J. Verne APM ALB II 33 25 MERS

LES PLUS BELLES VALSES VIENNOISES COL FP 1027 33 25 HISTOIRE D'UN POISSON R. Mauge PH EIE 9147 45 17 (9 valses) ROUGE

TOROS Y PASODOBLES (Musique espagnole) REGAL SEBL 7086 45 17 HAPPY GO LUCKY EXL GC 604 33 25 DANSES DES TROPIQUES GUI GD 646 33 25 IX. HISTOIRE SCHWEIZER VOLKSMUSIK OD MODZ 37 33 25 ADIOS MUCHACHOS D·C DC 1414 33 25

LA GRANDE A VENTURE DE (Luc Hoffmann et son orchestre) AT A 251.024 33 25 LET'S DANCE THE POLKA V ARSITY 6948 33 25 CRISTOPHE COLOMB

LES NUITS DE L'ARMEE PH P 76120 R 33 25 NAPOLEON BONAPARTE raconté par AT A 251029 et 33 25 ( dir.: Robert Clérisse) un grognard de la vieille garde (2 disques) A 251030

USA RIT PARADE EXL GC 612 33 30 UNE JOURNEE A VERSAILLES U·D 30·101 S 33 30 SURPRISE-PARTIE PH P 77.104 33 30 SOUS LOUIS XIV

- * L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque - - * L'astérisque indique qu'il y a plusieurs compositeurs sur le même disque

42 43

E.V. No 10, juin 196::$

E.V. No 10, juin 1963 X. RELIGION

Marque Tours cm Marque Tours cm BERNADETTE DE LOURDES HA 310 C 022 33 30

LA PLUS BELLE HISTOIRE Père Roguet JER JER 503 45 17 (f.) DU MONDE, ISAAC LA FEMME COURONNEE 33 25

LA PLUS BELLE HISTOIRE Père Roguet JER JER 504 45 17 'D'ETOILES (f.) ] DU MONDE, REBECCA FRANÇOIS D'ASSISE (f.) R. Pontet PM PM 30108 33 30

LA PLUS BELLE HISTOIRE Père Roguet JER JER 505 45 17 RESTE AVEC NOUS SEIGNEUR JESUS SM 45-92 (A) 45 17 DU MONDE, ESAU ET JACOB (disque-souveniI- de Premièl'e Communion)

LA PLUS BELLE ... , JOSEPH Père Roguet JER JER 507 45 17 VENDU PAR SES FRERES

XI. LITTERATURE LA PLUS BELLE ... , JOSEPH Père Rognet JER JER 509 45 17 EN EGYPTE

LA PLUS BELLE ... , JE SUIS Père Roguet JER JER 511 45 17 a) Moyen âge et XVIIe siècle VOTRE FRERE (Joseph) LA CHANSON DE ROLAND HA 270 E 047 33 25 DA VID, ROI D'ISRAEL Y. Garance PM 30.003 33 30 la FONTAINE Jean de l el' Récital de Fables PLE P 3051 33 25 LA BIBLE RACONTEE AUX A. Clariond AT A 251027 33 30 la FONTAINE Jean de 2ème Récital de 'Fables PLE P 3052 33 25 JEUNES la FONTAINE Jean de V otre ami Jean de la RE E-9 33 25 JESUS, FILS DE DIEU, NO- P. Panici PFA 5001 33 30 Fontaine TRE SAUVEUR - Un Sauveur la FONTAINE Jean de Visages de la Fontaine HA LAE 3309 33 30 nous est donné, Jésus gl'andis- MOLIERE J. B. Tartuffe PLE P 3100 33 30 sait en âge et en grâce (f.) MOLIERE J. B. Le Médecin malgré lui VM FJLP 5025 33 30 JESUS, FILS DE DIEU, NO- P. Panici PFA 5002 33 30 MOLIERE 1. B. Le Médecin m.algré lui ADES TS 25 LA 514 TRE SAUVEUR - Jésus se ma- MOLIERE J. B. Les Précieuses PLE T 532 33 25 nifeste au monde, premières ridicules paroles et premiers miracles MOLIERE J. B. Les Femmes Savantes PLE T 535 33 30 (f. )

33 30 (2 disques)

JESUS, FILS... - L'Appel des P . Panici PFA 5003 MOLIERE J. B. Le Bourgeois Gentil- CTP MC 20.120, 33 30 Apôtres, «la vive lumière» (f.) 5004 33 30

homme (3 disques) 21, 22 JESUS, FILS ... - Luttes ,avec les P . Panici PFA PASCAL Visage de Pascal HA 320 E 057 33 30 pharisiens, les Paraboles (f.) RACINE Les Plaideurs PLE P 3.084 33 30 JESUS, FILS ... - La Passion de P. Panici PFA 5007 33 30 Notre Seigneur Jésus-Christ

b) XVIIIe et XIXe siècle (f. ) JESUS, FILS ... - Pourquoi cher- P. Panici PFA 5008 33 30 DAUDET Alphonse Le secret de Maître DEC 460.638 45 17 cher parmi les morts le Res- Cornille

sucité! Les adieux de Jésus DAUDET Alphonse Les Vieux DEC 460.583 45 17 ressucité - La descente du St- DAUDET Alphonse Le Curé de Cucugnan DEC 460.544 45 17 Esprit (f.) DAUDET Alphonse La chèvre de M. Seguin DEV 33 L 33 17 UNE FEMME NOMMEE Y. Garance PM 25.004 33 25 La mort du Dauphin MARIE HUGO Victor Les Pauvres Gens PLE P 3120 33 25

FATIMA, LA FEMME ET LE HA NDTN13.001 33 30 HUGO Victor Pauca Meae HA LAE 3320 33 20 DRAGON (f.) ~ ~ • y .

MARIVAUX Le j eu de l'Amour et PLE T 523 33 30 - f. = avec film-stop correspondant du Hasard

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E.V. No 10, juin 1963

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MUSSET Alfred Un Caprice PLE P 3116 33 MUSSET AHred Visage de Musset HA 320 E 058 33

c) XXe siècle

ANOUILH Jean Antigone VA LVA 1 16 A CHARD Marcel Voulez-vous jouer avec VA LVA 24 16

moa? CLAUDEL Paul L'Annonce faite à PM 30.004 33

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Fr. Anselme, Belgique Chan. Vogel, St-Maurice M. V euthey, Sion J. Baruchet, Sion P. Cm'cl y, Sion Abbé D. Theurillat, Sion L. Biollaz, Sion Gil BailJod, Neuchâtel

Sommaire des cours A. COURS SIMPLES:

Cours No 1 Ecole active au degré inférieur Mme Mina HUBERT, Sion. Par l'emp~oi de matériel peu coûteux, ce cours donnera aux participants l'occasion de réaliser de n ombreux petits travaux: pliages, découpages, collages. Il permettra aussi de se l'enouveler dans la méthodologie: jeux de lecture et de vocabulaire, numérotation enseignée par les nombres en couleurs, différentes façons d'exploiter une histoire, dessin, peinture, exercices variés.

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Cours No 2

Cours No 3

Cours No 4

Cours No S

Cours No 6

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Ecole active au degré moyen Mce NICOULIN, Neuchâtel. Par le truchement de quelques thèmes, en particulier ceifui de Noël (centre d'étude, poésies, contes, saynètes, chants, décora­tion, films, dis'ques) seront 'présentées les techniques modernes d'un enseignement vivant et efficace. Toutes les disciplines du programme seront traitées dans une perspective didactique proche de la pratique. . Les participants auront l'occasion de confectionner un matériel d'enseignement approprié à leur degré d'enseignement.

Ecole active au degré supérieur V. JORIS, Sion. De quelques procédés capables d 'éveiHer l'intérêt des éco[iers de Sème et 6ème pour l'étude du français, de l'arithmétique, de la géographie, de Il'histoire, des sciences naturelles.

Travaux manuel$ pour les petits Mme Suzy BRUNET-DONNET, Monthey. Ce cours montrera ce que l'on peut réaliser avec des petits de 5 à 8 ans: pliages, découpages, mosaïques de papier, moddages simples. Travaux avec pomm'es de pin, coquil1les de noix, boîtes d'aHumettes, boîtes de fromage, bobines, bouchons, mousse plastique, etc. Ces bricolages sont centrés sur Noël, Pâques et la fête des Mères (et non .sur les disciplines du programme, comme au cours No 2).

Le travail du rotin Paul GLASSEY, Sion. La vannerie au rotin est accessib'le à nos élèves, garçons et fiNes, du 'degré supérieur. Les participants confe~tionner~~t des objets pratiques et durables selon une technIque qu I[S n'auront aucune peine à inculquer à leurs élèves.

Stage CEMEA, Châteauneuf Dir.: André GRILLE T, Genève. Les Centres d'Entraînement aux Méthodes d'Education Active, nés en France, devenus mouvement international, ont des sec­tions dans les cantons de Neuchâtel, Vaud et Genève. Les CEMEA travaillent au 'développement d'une éducation active fondée sur la satÏ'sf action des besoins des enfants: expres­sion, coopération, création. Le travail ·en équipes, proposé par Cousinet, les activités dirigées sont développées au cours du stage.

Cours No 7

Cours No 8

Cours No 9

Les CEMEA Iproposent des activités dans les domaines de la musique, du jeu .dramatique, des t r avaux manu~(ls t' tI'ques d · 1.1' . D o~ ar IS ,

es Jeux ce p'leln au'. ' es exposés et discussions permettent de précÏ'ser la méthode.

L~~ ~nstituteurs et institutrices ~écouvrent au stage des possi­blhtes nouvel1les 'dans le domaIne scolaire, particu~ièrement clans les branches Ide culture.

La vie proposée est .l'internat; les veiHées sont consacrées aux activités d'expresion.

Comme l'an dernier, le stage aura lieu dans ~e ca,dre très accueil­lant de Châteauneuf et sera conduit par une équipe d 'ensei­gnants -de Suisse romande.

Deux années ~'expérience à Châteauneuf nous ont prouvé que ce cours se deroule dans une ambiance inouhliable et qu'il est aussi enrichis'sant que varié. Nous le l'ecommandons particulièrement aux jeunes instituteurs et institut.rices, à tous ceux qui dirigent des colonies de vacances ou des mouvements ·de jeunesse: scouts, éclaireuses, semeuses, etc.

Formation cinématographique Hermann PELLEGRINI, St-Maurice. Thème: les enfants vus par le Cinéma. H~stoire du ~inéma - Gram~laire. cinématographique _ Pro­blemes teclmlques - Le deSSIn anImé - Cotations morales _ Censure.

Projection de longs métrages avec présentation commentaire et discussion. '

N.B. - Le responsab[e de ce cours Pl'Mère un auditoire res­treint, mais vraiment intéressé et préoccupé par les problèmes du cinéma.

Ouvrages féminins, degrés inférieur et moyen Rde Sœur LUCIE, Sion. Etude du programme.

OUVVi&ges féminins, degré supérieur Rde Sœur JEAN-MARIE, Sion. Etude du program!lll~.

B. COURS COMBINES (alternés par heures ou par demi-joul'nées, selon entente entre les professeurs):

Cours No 10 Caractérologie et Littérature

Caractérologie des enfants et ado~escents: Fr. ANSELME, Malonne.

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Cours No Il

Cours No 12

Cours No 13

Etude générale des caractèr es. Typologie (classification) . Ap­plications pédagogiques et thérapeutiques à certains carac­tères difficiles. Littératttre: Chan. VOGEL, St-lllaurice. Montaigne et Pascal, ces auteurs de toujours ...

His~oire de l'Art et Chant M. VEUTHEY et J. BARUCHET, Sion. La connaissance d'une période historique par le contact avec ses œuvres. Cette année, étude du moyen âge: aspects histori­ques, religieux et culturells ; l'architecture, la scul'pture et la p~inture aux époques carolingienne, romane et gothique: la musique grégorielme et la naissance de la polyphonie. Révision essentieUement pratique des éléments fondamentaux: Modes - Tons - l\lIoduJlations - Analyses - Rythmes binaires et ternaires - Chiffrages - Mesures - lVlécanisme voca~ et pose de voix - Aperçu de pédagogie pratique - Exercices Journaliers de chant choral.

Natataon et jeux - Dessin Natation: Paul CURDY, Sion. Dessin: abbé D. THEURILLAT, Sion.

Les lNemb~es en cOLdeuW's - le dessën aP.II Neocol@1l' Nombres en couleurs: Léo BIOLLAZ, Sion. Initiation à la .méthode de Cuisenaire pour débutants. Programme des 3 premières années primaires . Le dessin au Neocolor : Cil BAILLOD, Neuchâtel. Descriptions techniques du Néocolor - Pratique du dessin sur différents papiers, bois, verre, cuir, œufs, bougie, toile - Cons­titution d'un dossier à but pédagogique.

Quel instituteur valaisan prendrait chez lui, du 15 juiUet au 24 août, un garçon de 12 ans, pour leçons de français et de ca~cul ? .

Faire offre à Maurice Schaffter, Courtételle (Jura BernoIs).

** L'ODIS (Office de Documentation et d'Information scolaÏl'es), anc. Office

de l'Enseignement, SERA FERME EN JUILLET.

** Pour recevoir régulièrement l 'ECOLE VALAISANNE, communiquez votre

changement d'adresse dès le 1er septembre!

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« L'individu et la société ont un besoin immense, à notre époque, d'hommes qui apprécient les va1leurs spirituelles et qui, en les vivant vraiment intensément, soient ainsi .capables de les faire retrouver même à ceux qui se sont fourvoyés. Quelle consolation et quelle joie de voir de nos jours des hommes qui aiment prier, qui aiment la vie intérieure, bien mieux, qui l'aiment sous une forme apparemment austère, comme l'est ceiBe des EXERCICES SPIRITUELS de SAINT IGNACE, et qui s'en font J.es ardents promoteurs! »

S. E. Cardinal Bea aux rettaitants A.R.P., le 30.4.62.

Calendrier des retraites suivant la méthode

JuilŒet

Août

Septembre

de saint Ignace pour l'été 1963

SION - Notre Dame du Silence CHABEUIL CHABEUIL FRIBOURG CHABEUIL SION - Notre Dame du Silence

8 au 22 au

5 au 16 au 19 au

9 au

13 27 10 21 24 14

Ne manquez pas de vous inscrire à temps voulu auprès de M. Joseph Cipolla, av. de la Délèze, Martigny, téléphone (026) 60081.

LE PREMIER HOMME

- La maîtresse: Voyons, Pierrot... comment s'appelait le premier homme? - Pierrot: GuiU'aume TeH, Mam'selle. - La maîtresse: Non, ce n 'est pas lui, cherche encore. - La maîtresse, après lin instant d'attente: Tu n'as donc jamais entendu parler d'Adam? - Pierrot: Oh ! alors ... si vous comptez aussi les étrangers 1. ..

Les Jeunes d'aujourd'hui préfèrent

SION VERBIER

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