L'Ecole valaisanne, janvier 1957
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LA BANQUE CANTONALE DU VALAIS vous propose pour vos dépôts
ses carnets 'd'épargne au pOl'teur et ses bons de dépôt à 3 %
L'a rgent que vous lui conf iez travaille
d Ci n s le canton et pou r le canton
SEC URI TE:: DIS CRE T ION
Garant ie de l'Etat pour tous les dépôts
Das Zenlrum der gulen Einkaufe
im Zenlrum
des Wallis
SITTEN Tél. (027) 229 51
Rédaction :
MICHEL VEUTHEY
Office de l'enseignement
SION
Red(tktion :
Prof. ERNST SCHMIDT
SchlLlinspektor
BRIC
Tel. (028) 3 1516
LJECOLE VALAISANNE REVUE PEDAGOGIQUE
POUR t'ECOLE ET LA FAMILLE
PARAIT CHAQUE MOIS
1re ANNEE - N° 3 SION, LE 1er JANyIER 1957
WALLIS ER SC HU~LE ZEITSCHRIFT FüR JUGENDBILDUNG
IN SCHULE UND ELTERNHAUS
ERSCHEINT MONATLICH
1. JAHRGANG - Nr. 3 SITTEN, DEN 1. JANUAR 1957
Ce troisième numéro de «l'Ecole va.laisanne» 'vous parviendra sans doute au milieu
d'une collection de petites cartes blanches ornées de vœux en lettres d'or.
Nous nous joignons à vos amis, chers lecteurs, pour vous souhaiter une excellente santé,
le succès dans votre tâche, la ] oie qui il:wninera votre âme.
Santé! non pas, ou non seulement les deux syllabes dont les harmoniques sont à nos
oreilles le choc de deux verres, mais encore le mot dans toute son ampleur, avec cette pléni
tude physique et morale sans laquelle notre travail devient si lourd.
Succès ! non pas la réussite extérieure, la poudre aux yeux des autres, mais le sentiment
profond d'avoir ·ser·vi à quelque chose, que d'autre.s autour de nous sont devenus un peu plus
hommes, l'humble certitude d'avoir été un instrument docile entre les mains de Dieu.
] oie! non pas le grand rire éclatant, mœis la paix de l'âme qui sait qu'elle est orientée vers
la Source, la ] oie qui épanouit nos vies, qui illumine tout notre entourage et qui est le signe
des saints.
Avouons que souvent l'on ne croit pas beaucoup à l'efficacité de ces formules nées sur
le bord des lèvres. Et pourtant, pOUl' que tout s'accomplisse, il suffit de les prononcer en
les confiant à Celui qui peut les réaJiser, qui a même promis de le faire si nous le lJui
demandons.
C'est donc une prière, chers lecteurs connus ou inconnus, que nous ferons à votre inten
tion en ce début d'année. Un souhait, en langage chrétien, ne signifie-t-il pas une prière,
puisque Dieu est la source de toute grâce ?
Michel Veuthey
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WEISUNG
ZUM NEUEN JAHRE
LAUSCHE NACH INNEN deine Quellen, sie rinnen, bezeugen im Stillen gottlichen W illen.
Stromen vom Herzen, zweigen zum Sinn ; tragen Gewinn.
Lausche nach innen zu jedem Beginnen.
Molar
V Ol' ein paal' ]ahrzehnten beglückwünschten wir Oberwalliser einander am Neujahrstag
noch mit dem alt-ehrwürdigen Spruch : «lch wünsche Euch ein recht glückhaftes Neues ]ahr,
Gottes Segen, gute Gesundheit, ein Langes Leben und aUes, was lhr braucht an Leib und
Gut !» Mit diesen W orten mochte auch ich aUen Lesern der «WaUiser Schule» meinen
Neujahrswunsch entbieten. Moge der liebe Gott aUe Erzieher und die ihnen anvertraute
Jugend mit Seinem reichen Segen beglücken! Ohne diese Gnade von oben gibt es ja auéh
mitten im geschmackvollsten und ausgesuchtesten [(mnfort kein wahres, dauerhaftes Glück
in unserm Herzen, von dem aus wir es wied el' hineinstrahlen sollen in die Herzen der [(inder.
Und ich wünsche, dass allen Erziehern eine grosse, christliche Liebe zur ]ugend ins Herz
gegeben werde: denn nul' aus liebendent W ohlwollen heraus el'spüren wir in uns se1lbst
auch die Unvollkommenheit unseres Beispiels, das es zu bessern gilt und die Begrenztheit
unseres Wïssens mit der Einsicht eines Sokrates : «lch weiss, dass ich nichts weiss ». Gerade
dieses W ort moge uns Lehrenden immer wieder unruhiger Antrieb sein, jede Gelegenheit
ZUT Weiterbildung zu suchen und zu nutzen !
. .. . 1 ch wünsche sodann allen eine gute Gesundheit ! Auch sie ist ein sehr kostbares Gut, das
WiT erst dann gebührend schiitzen lernen, wenn wir es vennissen müssen. Vergessen wir darwn
im Neuen ]ahre nicht, auch für diese Gnade dem Schopfer besonders dadurch zu danken, dass
wir [hm zur Ehre und lhm zulieb alle uns geschenkten Kriifte wecken, erkennen und nutzen,
in Teiner, selbstloser Absicht für die ]ugelld, die wir nach Seinem Bilde fonnen dür!en.
Und allen moge beschieden sein, was sie brauchen an Leib und Cut ! lch mochte darunter
besonders jene günstigen Lebens· und Arbeitsbedingungen verstehen, die da.s erzieherische
Wirken .fordern und jenen idea.len Frohsinn wecken und wahren, der ein goIdener Schlüssel
zum Herzen der ]ugend ist. Trachten wir darwn im Neuen ]ahre überall, daheim und in den
Schulstuben, zu beweisen, was au! einer Spruchkarte geschrieben steht : «Unser Leben wird
glücklicher, wenn wir einander ein frohliches Gesicht zeigen ! »
Schmidt Ernst
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L c e ît e
MARCEL MICHELET
Petite méditation de l'instituteur pour la nouvelle année
Seigneur je veux être avec vous quelques minutes au début de cette année ; . je vous. avoue que je n'en
ai guère l' habitude. Le dimanche à
la messe, j'ai devant moi soixante enfants qui bougent, qui parlent, qui tournent la tête, dérangent leurs voisins, se passent des boutons et des billes pour les jeter à la quête. V l'aiment je ne prie pas, j'ai assez à faire de les surveiller, heureux encore quand je n'ai pas besoin de tirer l'oreille au terrible Jean-Jean ou de mettre Doudou à genoux dans l'allée. NIais ce soir je suis seul avec V ou s, Seigneur, j'ai laissé mes livres et mes cahiers, je nw suis réfugié chez vous, tout étonné moimême, sans autre souci que de vous écouter et de vous entendre; - de vous interroger aussi; de vous poser bien des questions dont la somme ne fait qu'une question, celle
même de la vie. V oilà vingt ans que j'ai mon bre
vet; ce fut un beau jour parce que j'y croyais, parce que toute mon enfance et ma jeunesse y tendaient ; je me voyais à la tête d'une classe
d'enfants sages ou de petits monstres dont je ferais des hommes et des femmes ; mieux, des chrétiens et des chrétiennes ; il n'existait pas de plus belle vocation sur la terre; ivre de joie, je brandissais mon brevet en m'écriant : «Maintenant, je suis i,ns
tituteur ! » Instituteur ! Celui qui construit,
qui édifie; celui dont chaque instant sera occupé à ce chef-d'œuvre incom pal'able: bâtir par le dedans la cité future, la société de demain en éduquant les sensibilités, les imaginations, les cœurs, les intelligences; ouvrant ces jeunes esprits à toute la bonté et la beauté de. la vie; apprenant aux hommes et aux· femmes à mieux se connaître et mieux s'aimer afin que la terre soit plus habitable et que le ciel soit ouvert.
Il me plaisait aussi de m'appeler simplement le régent, comme on l'appelle au village : celui qui régit, qui dirige, qui gouverne un petit peuple incivil pour le rendre poli, civilisé, respectueux. Je voyais en pensée le vieux régent et la vieille régente de ma commune, que tout le monde . ai-
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mait et vénérait ; la vieille école aux cartes surannées, aux bancs de sapin entaillés à coups de couteaux et tachés d'encre, et qui était pour tous comme une église où vous avez la première place, où par le maître vous rayonnez, vous le NI aître des maîtres.
Et voici que nous avons des écoles nouvelles qui sont comme des palais, des parquets luisants, des meubles polis qu'une chaude lumière ~claire, Mais cette école n'est plus le centre; mais les grandes personnes ont tellement couru le monde qu'elles méprisent cette maison où l'on enseigne des choses si humbles. Et les bruits du monde nous arrivent si forts par la radio ou les illustrés, que les enfants ne tiennent plus en place et n'attendent que le moment de s'envole~'. Quelques années et ils regardent de très haut le régent, comme s'ils disaient : « Vous voyez, nous n'avons pas besoin ,de vous ! Nous volons de nos pro pres ailes» - Je pense à mon terrible Jean-Etienne, devenu aviateur, ayant vu tant de pays, tal"tt de gens, tant d'idées, que je suis pour lui comme le poteau du ré· verbère immobile, dont la pâle lumière tremble toujours sur la même fontaine.
Et me voici le soir devant la même pile· de cahiers, les mêmes maladresses, les mêmes fautes, avec ma vieille plume et mon flacon d'encre rouge, et mes propres enfants autour de moi, dont j'ai à peine le temps de m'occuper.
Voilà, c'en était trop, je me suis enfui, j'ai eu la tentation d'entrer
au café, mais j'ai vu l'église ouverte et votre lampe solitaire ; je suis entré et je suis devant vous quelqu'un qui ne sait plus que faire ni que dire ; je vous apporte ma lassitude; j'allais · dire mon dégoût , Faites-en ce que vous voulez, je vous les donne.
-NIon enfant, c'est moi qui t'appelais! Pour le plaisir de t'appeler mon enfant, toi qui as tant d'enfants qui ne t'appellent pas ton père. Tu as besoin, toi aussi, de venir à l'Ecole, et ne ·suis-je pas ton école? Tu m'appelles NI aître et je le suis, moi le Verbe Eternel, moi la Parole de Dieu devenue visible et tangible pour toi. Qu'apprendras-tu? Ferme les yeux et tu verras; prête l'oreille et tu entendras.
Je suis le Maître d'Ecole dont tous les enfants ne sont pas toujours sages et n'obéissent pas toujours à la cloche. Et je ne leur fais pas de grandes scènes; simplement je suis là et j'attends en aimable patience; je me fais tout petit pour leur sourire et jouer avec eux. Amène quelquefois tes enfants devant la crèche;, ensei. gne-leur iL faire silence; aide· les à
comprendre le seul vrai enseignement qui importe et qui dure: que je suis doux et humble de cœur.
Amène-les au temple où j'enseigne les docteurs. Donne.leur le respect et l'amour du catéchisme et de l'His· toire Sainte. Que ces heures ne soient pas comme les autres mais baignées de silence et de prière. N'explique pas trop : c'est moi qui leur enseigne dans le cœur , Ne te laisse pas trop conter par les apôtres de l'Ecole dite «moderne », qui méprise la mé ...
moire de l'entant et ne leur fait rien apprendre qui ne soit compris. Qui comprend? NIais exige du catéchisme une récitation pro pre, par-
- faite, sans bavure. Que toute sa vie le chrétien trouve la mémoire de son Dieu, qu'il récite les actes de foi, d'espérance et de charité. Ne crois-tu pas que je suis dans leur cœur à tous les tournants de la vie pour leur donner de ces mêmes formules une explication meilleure que toutes celles que tu essaies de leur faire? Voilà ce que te dit le vitrail où tu me vois représenté au milieu des docteurs.
Tu es le seul au village qui se
laisse entourer d'enfants, et les hommes importants qui sont dans la politique ou les affaires sourient de toi quand tu joues comme l'un d'eux, quand l'un t'envoie la balle qui laisse un rond de boue sur tes habits, quand plusieurs· autres viennent te
tacher de leurs mainSI sales. J'ai fait cela avant toi et mes disciples voulaient écarter de moi la troupe bruyante ; et je les ' ai presque grondés. «Laissez venir à moi les petits enfants et ne les~ empêchez pas; le royaume des cieux est à eux et à ceux qui leur ressemblent ». Tu vois que je fais, à vous, maîtres, une place de choix dans ma maison! En vérité, nulle tâche ici-bas n'est aussi belle que la tienne! Quand tu ne vois pas bien l'aboutissement _ de t-es
efforts, quand tu serais tenté de penser que tu fais peu de chose en un siècle où tout est compté au poids, au prix, au mouvement et à la puissance, viens alors me parler comme tu le fq,i§ .ce soir, ~t apprendre que
nous sommes deux à cette œuvre sublime: rendre l'enfant docile à cet ange qui le gardait et qui sans cesse contemple la face de mon Père.
Regarde le tabernacle où je suis le pain. Sans faire de sermons comme le prêtre, enseigne aux enfants à avoir faim de moi.
Apprends-leur à me voir et me trouver dans toute la création; dans le soleil et le brin d' herbe, dans l'océan et la goutte de rosée, dans les chefs-d'œuvre de l'art et dans une humble page de belle écriture. A p prends-leur à aimer ce qu'ils font, à ne jamais se contenter de la médiocrité; apprends-leur que je les habite et qu'ils m' honorent chaque fois qu'ils mettent toùt leur cœur au travail. à la recherche de la vérité et de la beauté. Conduis-les sur le chemin de Betphagé où ils jonchent mon chemin de branches vertes et me chantent de toute leur voix. Tu sais que la louange des enfants m'est la plus agréable et je veux que tu leur apprennes à me louer en tous tem ps, par leur tenue, leur conduite, leur travail, leur prière ; et qUJe toute leur tâche présente est de devenir Moi.
Pense que j'ai les yeux sur eux mais que c'est par toi qu'ils me découvrent. Lis dans leurs yeux le reflet de moi-même; vois si je n'ai pas mis dans quelques regards une fleur qui s'épanouit en vocation . ..
Tu ne dis rien. Tu penses que demain tu seras à ton pupitre avec le même poids sur les bras et la même vie sans éclat . ..
Patience! Tu vois que je suis
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patient et que j'attends sans me lasser depuis le commencement du monde ... · Mais c'est à la fin d'une existence et à la fin du monde que s'inscrit le total d'une destinée. Apprends à. ne pas voir immédiatement le résultat de tes efforts. C'est quand le grain a passé l'hiver sous la terre qu'il se lève et donne une moisson. C'est sous les mottes gelées que se pré par,ent les floraisons. Et moi ton Maître, je te dis que tu as le métier le plus beau, celui de la vie et de la sève, celui qui fait fleurir et mûrir.
WEITBLICK
- Maître, tes paroles sont bonnes, elles sont faites pour moi. Je l:eviendrai à tes leçons, j'écouterai, j'entendrai ta voix. Puisses-tu me rendre transparent, afin qu'à travers moi mes élèves te découvrent et te suivent. Et la récompense qui me vient ce soir, la jo~e, le bonheur de ma vocation, j' y crois maintenant, fais que je me tienne près de toi pour m'en rendre toujours plus digne.
Oui, Maître, je reviendrai chez Toi.
UND MUT! MARTINUS
Ein Symptom Linserer Tage sind die zahlreichen «Erfolgsbücher», die wie Pilze aus dem Boden schiessen. In mannigfahiger Abwandlung und unter Hinweis auf eine Fülle unkontrollier'barer «Zeugnisse» wird darin angepriesen, wie der Kaufmann und der Handwerker, der lehrer und der Arzt, wie der Beamte und der einfache Arbeiter zu umfassender Bildung, zu kraftvoller leistung und Uberlegenheit, zu Vermogen und gehobenem lebensstand kommen kann. Dabei wird in diesen « ErFolgsmethoden» so getan, ais ob Schulbildung und héiusliche Erziehung verblassen müsstÊm gegenüber der Gotterdéimmerung der Bildung und der Wohlerzogenheit, die
jetzt oh ne grosse Mühe. anheben wird. Ganz abgesehen von einem unnatürlichen und geradezu abstossenden Leistungskrampf, der hier mitunter bewusst oder unbewusst verkündet wird und der nicht selte'n zum gesundheitlichen Zusammenbruch und zu einem bankrotten Heidentum führen kann, dréingt sich darin eine gerade für uns Eltern, lehrer und lehrerinnen ganz entscheidende Frage auf. Es ist si cher unbestritten, dass kein Mensch auf die Dauer ohne Erfolg und oh ne Anerkennung seiner leistung 18ben kann. Und die Hoffnung, dass alles Mühen und aile Arbeit die «ausgleichende Gerechtigkeit» findet, dass alles Gute, auch dCls ungenannt~
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und ungekannte beim lebendigen, gütigen Gott erkannt und anerkcmnt wird, gehort zum gesunden, christlichen Menschenleben. Erfolg und Echo, Lohn und Anerkennung stellen notwendige Teilwerte ' ul1seres Glückes und Glücksstrebens dar. Wir dürfen nach Erfolg streben und wir sollen danach streben ! Nun aber die Frage .: Ist der Erfolg, zumal der èiussere, greifbare, anerkannte, sich~bare Erfolg der eigentliche Gradmesser der Leistung, der geistigen Grosse, des char~kterlichen Wertes, des wirklichen Konnens? Sind wir selbst nic~t
in Gefahr, dem Kult des Erfolgsmenschentums zu verfallen dort, wo wir uns mit anderen l!nd andere mit uns vergleichen und , bewerten mit iener müdemachenden, unruhigen, verwirrenden Einseitigkeit, die unsere Persanlichkeit, unsere Aufgabe und ' unsere Arbeit in eine enge, verzerrte
. Perspektive stellt? Ob wir uns an der Schwelle des neuen Jahres und im Angesichte der grossen Ause,inandersetzungen unserer Tage nicht wieder mehr ·darauf besinnen sollten, dass der innerste Zustand des Erziehers es ist, von dem der Wert, die Kraft und die Erfolgswirkung seines Tuns abhangt? -
Mehr Weitblick
Von Chesterton kennen wir das Wort: «Der Erzieher muss von Standes wegen «Mystiker» sein, denn el' bedarf 'des Wissens um die grossen Zusammenhëinge hinter ,der sichtbaren Welt. Er arbeitet falsch und zum Unglück für sich selbst, wenn er nicht arbeitet
wie vor den Augen seines grossen Auftraggebers ». Der ri ch tige Blick für die uns Anvertrauten, die weise Griffsicherheit in der Methode, die kraftvolle Einwirkung auf Geist und Herz der Jugend setzt bei uns die weite und weitsichtige Blickrichtung auf den voraus, in dessen Sendung wir stehen und von dem wir uns bewegen lassen. Diese Haltung bedeutet keineswegs etwa eine Verweiblichung und Verweichlichung des Geistes oder den schlaffen Verzicht auf ein kraftvolles Eingreifen in . das leben - so wenig, wie es im Widerspruch zur Mëinnlichkeit steht, Schüler zu sein und sich einem Meister zu offnen, ehe man selbsttêitig wird. Ünsere zentrale Erf~lgsübung mag deshalb mehr ais bisher ' eine Obung in der Ergriffenheit von unserer Sendung sein. Diese übung ist weit davon entfernt, nul' ein «frommer Augenaufschlag» zu sein. Vielmehr leuchtet darin eine zweifache Wirklichkeit auf( die unser ganzes Wesen und Wirket11 neu zu ' formen, zu befruchten und' ais wirkliches Gegel1mittel gegen den Ungeist und « Widersacher des Geistes» zu weihen vermag. 1. Unsere Tatigkeil' gründet auf einem Bündnis. Die ganze Welt- · und Gesellschaftsordnung ist aufgebaut auf dos Gesetz der Zweit-Ursachen. Gott lenkt und leitet, Gott dient und sorgt, Gott lehrt und schenkt seinen Rat dui'ch Menschen ais Zweitursachen. Wieviel Menschen nahm el' nur schon heute ·in · seinen Dienst, um Dir und mir zu dienen ! Wieviel Zweit-Ursachen werden gerufen, bis ein Mensch selbsttèitig. und selbstèindig seiner ihm
",.,.. 9,6 -
von Gott gegebenen B~rufs- und Lebensaufgabe gewachsen ist ! Hinter dem, was wir so leichi'hin «soziale Verkettung» nennen, sieht eine Grosstat Gottes und ein Vertrauenserweis des Schopfers zum Geschapf, des Meisters zum Schüler, des Vaters zu seinem Kinde, die uns selbst in den bitteren Stunden des Misserfolges aufjubeln lassen sollten. Dass un~er den « Zweitursachen» manche sind, die versagen oder stumpf sind, o.der es solche gibt, die sich nul' dilettantisch in Dienst ste lien lassen oder solche, die es nicht leiden kannen, dass andere a uch Zweitursachen Gottes sind - a il das ist «Tragik» des grossen Herrn urld Meisters. Was tufs, es bleib.t dabei : Wir stehen aus natürlicher und übernatürlicher Berufung in einem schicksalhaften Werk- .und Wirkbündnis mit Gott. Darum wollen wir keinen Teg beginnen und nie vor unsere Kinder trelen, bevor wir nicht dieses schon naturhaft begründete Bündnis durch einen freien Entscheid erneuert und besiegelt haben. Aus freier Tat heute wieder bündnishaft in Dienst genommen, dos soli die Ouvertüre sein. Wir. werden uns geloster und freier, .regsamer im Geiste und mobiler im Wissen und Erkennen f ü hi e n. Bündnisbewus~tsein! Das rechte Krëifteverhëiltnis zwischen Sollen und Vollbringen, zwischen Wollen und Kannen wird gesichert, die Gedu ld mit sich und mit den and~,ren
lèisst si ch leichter bewahren, Unlust und Trèigheitsallüren werden schnel,ler überbrückt. Wir kannen R. M. Rillees Wort a uf uns beziehen : «Wie klein ist das, womit wir ringen - Was mit
uns ringt, wie Îst das' gro~s !» Ferner : Hier liegt a uch der Schlüssel, um mit den eigenen ' Grenzen fertig z.u werden. Misserfolg, Unvermogen, hartes Los, Brotsorgen, schwèic.hliche Gesundheit, unerfreuliche Umge~ung,
Tadel, Missachtung, persanlich verschuldete Fehl~r, Vergesslichkeite~,
ungezügelier Zorn, menschenfürchtige Nachgiebigkeit - wie vi~les V9n diesel') Dingen liegt off wie unverdauter Satz in uns! Aber auch nichis schade.t so sehr unserer korperlichen und geistigen Spannkraft, gefèihrdel so den Frieden, nichts macht speziell auch den Mann so verkrampft, steif und lèicherlich unreif wie des inner-
. lich unv~rarbeitete .Material ail dieser Erlebnisse, deren Spannungsmomente siche,r die Ursache eines grossen Teils aller Neurosen sind. Aus Weitsichtigkeit heraus wollen wir darum auch allabendlich in der Bündnis-Erneuerung mit Gott den innel'en Ausgleich und das Gleichmass des Herzens suchen! 2. Unsere Tatigkeit gründet auf einem Bekenntn is. Bei der B~trachtung der 10 Gebote Gottes ist Ihnen sicher schon wiederholt aufgefallen, dass zwar weniger der 'Zahl nach wobl aber inhaltlich das 4. Gebot wie ein Mahnzeichen und ragender Wegweisel' zwischen den Geboten der Golfesverehrung und der Ehrfurcht VOl' den Mitmenschen steht. Nun wèire aber der tiefe, gattliche Sinn dieses Gebotes bei weitem nicht gcmz erfasst, wollte man darin nur die gattliche Sanktion menschlicher Gehorsamspflicht sehen. Kann dos im Ernst die Vi/eise Absicht gottlicher Führung der
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Menschen durch Menschen sein, unter Berufung auf dieses Gebot den Willen der Kinder und Untergebenen gefügig zu maellen? Sie nehmen mir das harte Wort nicht übel, aber wenn ich Menschen anireHe, die cus offenkundiger Ohnmacht und Hilflosigkeit geradezu leichtfertig rasch sich auf das 4. Gebot berufen, um ihren WiIlen wenigstens dem Scheine nach durchzudrücken, dann kommt mir jenes Wort in den , Sinn «Mit dem S~cmdreeht kann jeder Esel regieren ! »
Sie versiehen mich richtig. Das 4. Geboi c.;nd seine Verheisst.mg schüizt in gottlicher Hoheit Stellung und Aufgobe der Eltern und Erzieher und moge uns Gott die Kraft und den Mut im 'neuen Jahre schenken, es wieder wirklich ais Unterpfand einer Verheissung bei unseren Kindern und bei deI' heranwClchsenden Jugend ohne ieden Abstrich auf den Schild zu erheben, Aber e~ geht um mehr. Nidrr ais Bedingung für den Gehorsamsakt, wohl aber ais ganz entscheidendes Hilfsmittel, dazu braucht zumal der Wille des heranwachsenden Menschen das ehrfurchtgebieTende Moment der inneren Autoritat des Vaters, der Mutter, des Erziehers. Gehorsam ist nicht Aufgabe des Willens sondern Hingabe desselben an den Willen des anderen. Unfergang des Willens ais Übergang in den grosseren Willen. Jedem kindlichen Gehorsam muss bewtJsst oder unbewusst dos verehrende, das anbetende, das sich bergende Moment innewohnen konnen, der Durchblick yom eigenen kleinen, unfertigen, unwissenden, unerfahrenen Ich zum
grossen, kraftvollen, wissenden, erprob'~en, schützenden Du. Hier liegi unsere Aufgabe, hier gründet im 4. Gebot unser Bel<enntnis, dem ,so entscheidungsreichen Willensleben unserer Kiilder nicht weichlich, wohl aber weitsichtig zu dienen. Gott stellte unsere Autoritêit zwischen die Würde der Mitmenschen und seine eigene, anbetungswürdige Grosse, weil ouf unserem Antlitz die Würde und Weisheit, die Grosse und Umsicht, Weitsicht und Einsicht Gottes ihren Widersehein finden und ais Abglanz des Unsichtbaren dem I<inde sichtbar gemacht werden solI. Per visibilia ad invisibile ! Lasst uns weniger die bewundern, die geistreichen oder wortreichen Larm machen um die Problematik der Jugend, Jasst uns , vielmehr prophetische Erzieher sein, Mêinner und Frauen, die yom heiligen Berge kommen wie einstmab Moses. Denn dann wird auch ail das, was wir von den Kindern fordern und fordern müssen, viel mehr Gewichf, mehr bewegende Kraft und energieforderndes Motiv erhalten. lm Angesichte des Antwerpener Domes soli ein Dichter ausgerufen haben : « Jene Zeiten hatten Dogmen, wir haben nur Meinungen. Mit Meinungen aber bout man keine Dome ». Wir begreifen sofort die Aktualitêit und die Tragweite dieses Wortes, wenn wir uns daran erinnern, wieviel und wievielerlei mitunter an unsere I<inder hingeredet wird. Wieviel davon nur Meinungen und dazu schlecht überdacht, unbeherrscht vorgebracht oder selbst kaum ernstgenommen! Wir bekennen uns zu einer kraftvollen, weil weitsichtigen
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Bildung des Willens un:.;erer I<inder, um der Verheis~ung zu dienen, die dem gehol'samen Kinde geschenkt ist.
Mehr Mut
Wo Aufgaben gestellt sind von so weittragender Bedeutung wie die der Erzieher, da hait Gott auch seine Ga ben bereit. Wir zCihlten bereits Gründe genug ouf, die uns cine überzeugte luversicht und ein hochgemutes Vertrouen zu schenken vermogen. Es liegt nur an uns, sicl1 immer wieder für die Gaben bereit zu machen, dem «toten Punkt» in unserem Berufe nicht zu lange nachzuhëingen - und mutig zu sein. Die grosste Versuchung in unseren I{reisen liegt heute in der Versuchung zur Mutlosigkeit. 7Xusserlich wird dieser' Gefahr du rch zwei Faktoren Vorschub geleistet, die noch kurz erwéihnt sein m0gen. Wir wolien zuviel auf einma l und zu rasch, lm Zeitalter der Automation fehlt uns mitunter der Sinn für ail das, was der Gesetzmassigkeit des Wachsens und Reifens innewohnt, der Sinn dafür, dass bleibende Wert'e Zeit braudlen, das5 ' grosse Aufgaben nur in kleinen TeilAufgaben gelast werden konnen, dass Dienst am L~ben, zumal des jungen Menschen, zwar die konstcmte Sorge und hellsichtige Wachsamkeit eines Hi rten, aber ouch die Geduld eines Eilgels brcwcht. Wir Erzieher scheinen viel zu rosch weise und klug, unfehlbar und wissend, ans~êindig und reif geworden zu sein, sodass wir den MClsstClb für den Begriff der leit ver!oren !laben, da auch wir einmal
unmündig waren wie ein Kind und dachten Y'fie ein Kind und schwer von Begriff waren wie ein Kind. So kommt es, dass wir die Schwierigkeiten vielfach überschêitzen und vor den bei jeder Erzieheraufgabe gestellten Geduldsproben Ideinmütig zu kapituliel'en versucht sind. Wollen wir nicht wieder melu daran den ken, dass unser Beruf einen « langen Atem» braucht und dass wir so der langmut Gottes nahe verwcmdt sind! Die andere Gefahr für unsern Mut liegt darin, dass wir uns gegenseit,ig unsere Aufgabe erschweren I«->nnten. Wir brauchen hier keine Einzelheit~n zu nennen. Sie kennen diese Dinge selber am besten. Aber auf einen Umstand wollen wir cloch den Finger besonders legen: «Vergess~n wir vielleicht nicht doch dann und wann, dass guie, aufrichtig strebende und feinnervige Menschen - und wer von uns gehort nicht zu diesen, trotz einer vielleicht rauhen Schale - unsere Hilfe, unsere Anerkennung, unperen Schu2z und besonderen Taki bei Tadel und I(ritik erforderlich machen ? «Mut des Schwt1chen, Milde des Starken -beide verehrungswürdig, ». Mehr ais iallen andern mag für uns ' dos Wort Pius XII. hier wegleitend sein: « Für aile guten Mensehen, für aile, die um die Geschicke der Welt besorgt sind, ist die leit gekommen, einander zu erkennen 'und die Rèihen zu schliessen. Es ist die gon ze Welt, die von Grund auf aufgebaut werden muss, die vom Mil den zum Men s chi i che n, vom Menschlichen zum Got t 1 i che n umgestaltet werden muss ' !»
'- 99-
LA COMMISSION SCOLAIRE DIE SCHULI(OMMISSION
MICHEL VEUTHEY - ERNST SCHMIDT
Le renouvellement des autorités municipales va provoquer dans chacune de nos communes la nomination de la commission scolaire. Il est sans
doute opportun de choisir ce début
d'activité pour situer le rôle que doit jouer cette commission dans nos communautés scolaires.
Le sens de sa mission
La comlUlSSlon scolaire veille à l'harmonie dans l'enseignement ; eiIe'
tâche de v~ir si l'école remplit sa mission qui est de préparer les enfants à réaliser pleinement leur destinée hUlllaine; elle contrôle l'ins
truction donnée par les écoles, mais plus ellcore l'éducation que les élèves y reçoivent.
Pour éduquer, le maître doit avoir
une intelligence droite et la bonté
du cœur. La technique ~colaire ne suffit pas: il faut que le luaÎtre soit un guide sûr. La commission scolaire est appelée à apprécier le travail du personnel enseignant. On voit par là
N achdem vor kurzem 'die Gemein
deratswahlen stattgefunden haben, werden nun allenthalben die Schulkommissionen neu bestellt. Es dürfte daher nützlich sein, zu Beginn ihrer
Amtsüitigkeit dem Auf gabenkreis dieser Kommissionen innedlalb unse
rer Schulgemeinden eine kUI'ze Be
trachtung zu widmen.
Zweck der Schulkommis~ion
Die Schulkommission wacht dar
über, 'dass die einzelnen SchulHicher angemessen berücksichtigt werden;
sie versichert sich, ob die Schule ihrer Auf gabe, die Kinder zu voll
wertigen Menschen heranzubilde~
gerecht wÎI'd; sie solI endlich die durch die Schule vermittehe Bil
dung, vor alleln aber d~e Erzie.hung, welche die Schüler daselbst erhalten, üherprüfen.
Um erziehen zu konnen, braucht
der Lehrer gesunden Verstand und
wahre Hel'zensgüte. Unterrichtstechnik allein genügt nicht: der Lehrer muss ein sicherer Führer sein. Die
Schulkommission nun solI Fahigkeit ~d Leistung des Le}upersona]s beur-
-100 -
les qualités exigées des personnes qui en font partie: aptitude à constater si le maître respecte 1"enfant, s'il
l'aime; aptitude à constater chez le personnel enseignant l'existence ou la non-existence du sens de ses r espon
sabilités; aptitude à décerner justement l'éloge ou le blâme; volonté bien Inarquée de seconder les maîtres en étant pour eux des amis sincères et, autant que possible, des conseillers désintéressés; autrement dit, volonté de collaboration.
Qui doit en faire partie?
Le devoir du conseil communal
est donc de repérer les personnes susceptibles de répondre à ces exi
gences. On peut donner à ce sujet quelques indications particulières.
Il est clair que le conseill doit être représenté au sein de la commission.
Mais nous avons peut-être trop l'habitude de choisir presque exclusivement des membres du conseil . communal. Même si nous plaçons en nos
autorités une grande confiance, nous
devons pourtant penser que, presque dans chaque commune, il y a aussi hors du conseil des gens qui possèdent les qualités exigées par cette
fonction particulière, des gens ·moins
teilen konnen. Daraus ergeben sich
die Eigenschaften, die den Mitgliedern der Kommission eignen müssen: zunachst die Fahigkeit, sich Rechenschaft zu geben, ob der Lehrer das Kind achtet, ob er es liebt; sodann
die Fahigkeit z:u entscheiden, ob das Lehrpersonal von echtem Pflichtbe
wusstsein beseelt ist ode! nicht ; die Fahigkeit auch, in gerechter Weise Lob und Tadel zuzuerkelmen; und endlich die Fahigkeit: · der offen
sichtliche Wille, dem Lehrpersonal beizustehen, indem man sich ihm gegenüber aIs aufrichtiger Freund und, soviel aIs moglich, aIs uneigen
nützer Ratgeber erweist, mit einem W orte: der Wille zur Mitarbeit.
Wer soli Mitglied
der Schulkommission sein ?
Es ist somit Aufgabe des Gemein
derates, jene Pers onen ausfindig zu machen, die Hihig sind, den gestellten Anf orderungen gerecht zu werden. Diesbezüglich mochten wir tms einige Hinweise gestatten.
Es ist selbstverstandlich, dass der Gemeinderat in der Schulkommission
vertteten ist. Vielleicht ist es aber zu sehr
Brauch geworden, dass die Mitglieder der Schulkommissionen fast ausschliesslich dem Gemeinderat ange
horen. Wenn wir auch ' grosses Ver
trauen in unsere Behorden setzen, 80
ist es dennoch denkbar, dass fast in jeder Gemeinde auch ausserhalb des Gemeinderates Pers onen zu fin den SInd, die für dieses Am't ausgezeich.
- lOi -
hahiles peut-être pour les questions adminis~ratives, mais qui comprennent le~ problèmes scolaires et s'y intéressent, des gens qui ont aussi le temps nécessaire et surtout assez d'indépendance pour prendre position dans eles questions , sc.olaÏl'es d'ordre général ou personnel.
J] est clair que la commission scolaire doit veiller non seulement à l'organisation extérieure de l'école et aux connaissances acquises par les élèves, mais SUI'tOut à l'éducation
qu'on leur donne. Sous plusieurs rapports, tille femme possède pour
l'éducation des aptitudes bien supél"Îeures à celles , d'un homme. O:r;t
saIuet'ait donc avec joie des présences féminines dans nos commissions scolaües, en particulier des
mères de famille ; plusieurs communes ont déjà réalisé cette idée, qui est d'ailleurs une exigence de la loi à peine tempérée par les mots « dans
la règle». Nous devons essayer, che~ nous ' aussi, de ne pas nous attacher fermement à une tradition et chercher à considérer avant tout le bien de notre école. Nous aurons fait un '
hon pas en avant si nous choisissons pour nos commissions scolaires des gens qui possèdent Jes qualités particulières exigées par cette fonction.
Notons encore que le Curé de la
paroisse -. . 01) un autre desservant
nete Eignung besitzen. Sie hab en vieUeicht weniger Geschick für Verwaltungsauf gaben, weniger Organisa
tionstalent, aher viel Verstandnis, Interesse und Zeit fûr die Belange der Schule tilld VOl' allem melu Unablüingigkeit in iluer Stellungnahme zu allgemeinen und personlichen An
liegen des Schulwesens. N achdem die Schulkommission
nicht nul' d[lrüber zu wachen hat,
wie es mit der aussern Gestaltung des Schulwesens und dem schulischen Wissen der Kinder steht, son
dern ehensosehr darüber, wie es um die Erziehung in der Schule bestellt
ist, ware es sicher sehr zu begrüssen, wenn auch Frauen, vor allem er
zielllillgserfahrene Mütter, der Schulkommission angehorten. Mehrere Gemeinden haben diesen Gedanken be
reits vel'wirklicht, cler übrigens eine im Gesetz verankerte Forderung ist,
die kaum durch die W orte «in der Regel» gemildert wird. In mehr aIs einer Hinsicht besi~zt die Frau erzieherische Eige,nschaften, die ' jene des Mannes ühertreffen. Es ist daher nUl' hillig, wenn au ch das frauliche Element innerhalb der Schulkommission vertreten ist. Statt unhedingt an einer Tradition festzuhalten, die
unleughar gewisse Mangel aufweist, . sol~ten wir darum ·auch bei uns versuche~, vor allem dem Fortschritt der Schule zu dienen, und demzuf olg.e in
unsere Schulkommissionen nul' Leute
hestellen, welche für die Erfüllung
dieses wichtigen Amtes Freude und vorzügliche Eignung besitzen.
Fügen wir noch hinzu, dass der
Pfal'l'er oder ein anderer von ihm
désigné par lui - fait partie de la commission. Cette présence du prêtre est chez nous plus qu'une exigence légale: c'est une heureuse tradition. Souvent même, c'est le Curé de la paroisse qui préside la commis
sion.
Ses obligations particulières
La commission scolaire a deux
obligations principales qu'il est bon de rappeler: visiter régulièrement les classes et f aÏl'e subir chaque année un examen aux élèves.
L'article III de la loi détermine encore un certain nombre d'obligations particulières. -Avant l'ouverture de l'année scolaÏl'e, la commission doit établir la liste des élèves astreints à fréquenter l'école et contrôler ensnite l'application des règles concernant les absences et les congés. Il est de son devoir d'intervenir en particulier quand certains élèves croient à tort pouvoir se dispenser des cours complémentaires ou de la deuxième année d'école ménagère. Les textes sont assez clairs. Les autorités scolaires doivent faire observer la loi. Sinon, il faut la modifier.
~ 103
bezeichneter Geistlicher von Rechts
wegen Mitglied der Schulkommission ist. Diese Gegenwal't des Priesters ist aber bei uns melu aIs nul' eine Forderung des Gesetzes : sie ist eine glück
liche Tradition. Meistens ist es übrigens der Pfal'l'er selhst, der die Kom
mission prasidiert.
Besondere Obliegenheiten der Schull<ommission
Die Schulkommission hat zwei
Hauptaufgaben zu erfüllen, an die immer wieder erinnert werden muss:
regelmassig die Schulen zu hesuchen und jahrlich die Schüler einer Prü
fung zu unterziehen. Artilœl III des Schulgesetzes be
stimmt noch eine Reihe weiterer Obliegenheiten. Vor Beginn des neuen Schuljahres muss die Schulkommission ein genaues Vel'zeichnis
al'1el' schulpflichtigen Kinder erstel~
len; sodann hat sie darüber zn wachen, dass die V orschriften bezüglich der Absenzen und Urlaube genau ein il gehalten werden. Es ist ihre PflicJ:,lll-. 'f . S h .. ,des elnzugrel en, welln gewlsse c '4
- sehr zu Unrecht '- glauben ~ymkonnten sich von der FortbilJllaffen sdmle oder vom Besuch der /re Er-
R h 1 Il . .. ,ide sitt
aus a tungs rasse elgenmac1
. d ahme der penSleren; wenn an ere Abschluss des achten Schu"'s Lehrers
einer landwirtschaftliche'n .lhlung ihrer
ersichtlich schreiben lassen, um
lassungspl'üfung zu
diesbezüglichen VOl' klar genug. Die Schu' dem Gesetz N achac
'
'1ission zu
'och solI
ufgahe /J.eder der
..... en nicht erSchule Eindruck
fen. Wenn nicht,
werden.
On oublie trop souvent que la commission scolaire doit . accompa
gner l'inspecteur dans ses visites. Il est au nl0ins de son devoir de discuter avec lui toutes les questions qui intéressent l'école. La commission donne en outre son préavis au conseil communal pour - la nomination
du personnel enseignant. Ce contact indispensahle sera facilité par la présence d'lm conseiller au sein de ]a
commission scolaire.
Peut-être faudrait-il sou ha i ter
qu'un contact plus étroit s'établisse entre les commissions scolahes · et
le setvice médico-pédagogique appelé à s'occuper des enfants présentant des troubles nerveux ou mentaux. Qui
d"autrè part poutrait mieux se rendre compte de la nécessité d'ouvrir des· classes pour enfants al'l'iérés ?
Sur un autre plan, la COl1unÎssion doit exercer la slll'veillance du compOI·tem-ent général du personnel en
seignant, Elle doit ensuite le soute· nir dans la surveillance des enfants en dehors de la classe. En cas d'insubordination ou d'indiscipline, elle prononce les pénalités prévues par la loi. Notons toutefois que c'est l'ins
pecteur qui . est appelé à juger · les cas d'une certaine gravité. Mais, pour ce . qui concerne la commission sco
laire, souhaitons que son président
ne soit pas seul à prendre ces sortes de décisions ; il doit pouvoir compter
s.ur l'appui de ses collègues.
Man vergisst of t, dass die Schul
kommission den Schulinspektor bei seinen Sehulbesuchen zu begleiten hat. In ihrem Pflichtenheft steht
ferner, dass sie mit ihm aIle jene Fragen besprechen solI, die die Schule besonders angehel1. Die Schulkommission hat für die Ernennung des Lehrpersonals dem Gemeinderat ihre VorschHige zu unterbreiten. Der
unentbehrliche Kontakt zwischen die-: sen beiden Behorden wird natürlich durch die Gegenwart von Ratsmit~
gliedern im Schosse der Kommission
sehr erleichtert. Ein enger Kontakt zwischen der
SchulkOlmnission und dem heilpada
gogischen Dienst ware sehr zu wünschen, da sich gerade letzterer VOl' allem jener Kinder annimmt, die irgendwelche nervose oder geistige
Storungen aufweisen. Die Schulkommission darf ferner
die alIgemeine Aufführung des Lehrpersonals nicht aus den Augen verlieren. Sie solI aber auch die Lehrkrafte in der Überwachung der Kinder ausserhalb der Schule tatkraftig unterstützel1. In Fallen von Unbotmassigkeit und Vergehen gegen die Disziplin hat sie die im Gesetze VOl'gesehenen Bussen zu verhangen. · Es
sei alIerClings beigefügt, dass fü~ besonders sc.hwere Disziplinarfalle der Inspektor zustandig ist. Was jedoch die Schulkommission anbetrifft, wün
sehen Wil', dass ihr Prasident nicht
allein sei, wenn es gilt, solch unpopuHire Massnahmen zu ergreifen, son· dern dass el' sich hierin stets auf die
Unterstützung seiner Ratskollegen
vevlassen kann.
-- J04 -,.
Avant tout, que les membres de la commission aussi bien que le personnel enseignant songent à l'in· fluence de leur exemple! Les enfants sont des observateurs perspicaces: ils n'ont pas besoin de longues analyses
pour porter un jugement sur autrui. Rappelons-nous nos années d'enfance et songeons au prestige qu'avaient à
nos yeux ces Messieurs qui venaient visiter la classe !
Le rôle qu'elle doif jouer
Toute inspection, souligne la recommandation votée en juillet der·
nier par la dix-neuvième Conférence internationale de l'instruction publi
que, «doit tout mettre en œuvre pour créer autour de la personne du maître, parmi les parents d'élèves et
dans la collectivité tout entière, l'atmosphère de compréhension, de sympathie et d'estime sans laquelle il n'est pas d'·œuvre éducative ni de par
ticipation mOl'ale et Inatérielle de la collectivité à l'action du maître ».
Comme l'énumération de ses principales attributions a pu le faire voir,
la commission scolaire est d'abord un
organe de contrôle. M:üs gardons
nous de mal comprendre cette fonction. Les membres de la conllnission
ne sont pas nommés pour venir plastronner à l'école et impressionner les
Mochten sich vol' allem die Mitglieder der Kommission wie auch die
Lehrpersonen des Einflusses bewusst sein, den sie durch ihr Beispiel aus .. üben ! Die Kinder sind ausserst f eine
Beobachter: sie bedürfen keiner spitzfindigen Untersuchungen, um
über jemanden treffend zu urteilen. Wenn wir an unsere eigene Kindheit zurückdenken, erinnern wir uns ohne
weiteres an das Ansehen, das jene Herren genossen, die da von Zeit zu
Zeit der Schule einen Besuch ab· statteten.
Die Aufgabe, die die
Schulkommission zu erfüllen hat
Die im vergangenen J uli von der 19. internationalen Konferenz für den
offentlichen Unterricht angenom
mene Empfehlung unterstreicht, dass die Schulbehorden «alles unternehInen sollen, damit zwischen den
Lehrern einerseits und den Eltern der Schüler und der ganzen Gemein
de anderseits eine Atmosphare des gegenseitigell Verstehens, der Sym
pathie und der Achtung geschaffell werde, ohne die weder wahre Erziehung noch fruchtbri~gende sitt
liche und materielle Teilnahme der GeIneinde am Werke des Lehrers moglich sind ».
Wie aus der Aufzahlung ihrer wichtigsten Befugnisse ersichtlich
wurde, ist die Schulkommission znnachst ein Kontrollorgan. Doch solI
ten wir uns hüten, diese Auf gabe f alsch zu deuten. Die Mitglieder der
Schulkonllnission werden nicht el''' nannt, um in der Schule Eindruck
-105 -
institutrices timides ou leurs élèves trop , émotifs. La commission scolaire
est surtout un organe de contact. Elle représente à l'école l'autorité COIn;munale, elle représente aussi la po
pulation, si. elle est judicieusement
composé,~. Elle doit pader avec le pel'Sonnel , enseignant, le conseiller
quand elle peut le faire, mais surtout l'appuyer et .recueillir ses désirs et ses suggestions ,visant à, améliorer l'enseignenlent. Elle doit intervenir au
près des communes pour l'obtention du matériel nécessaire et pour toute
initiative devant être un enrichisse
ment pOl~~" les élèves.
Mais la tâche de la commission,
on l'a vu, ne se limite pas strictement, aux classes. Elle -doit veiller à , ce que le climat local ne nuise
en ,rien au développement heureux
des enfants. En outre, qui est mieux placé qu'elle .pour établir le contact entrè la famille et l'école ? Pourquoi ne prendrait-elle pas l'initiative dé l"éunions de discussion où les parents
pourraient être tenus au courant de tout ,ce qui se passe à l'école, où les maîtres pouuaient leur expliquer les
nouvelles méthodes envers lesquelles tant de parents se montrent méfiants, par manque d'information. Des ex
périences faites dans quelques communes ont montré l'intérêt de la population pour ces réunions.
zu machen, Ull1 schüchterne Lehrerinnen oder deren übe'rempfindliche
Schüler in Angst und Schrecken zu
versetzen. Die Schulkommission ist aber wesentlich ein Kontaktorgan.
Sie vertritt in der Schule - wenn sie geschickt zusammengesetzt ist -
die Gemeindebehorde" ja die gesamte Bevolkerung. Sie solI mit den Lehrpersonen Rücksprache n e 'h men,
ihnen, wo immer es angeht, mit Rat und Tat zur Seite st eh en ; besonders aber solI sie die Lehrer unterstützen
und ihre berechtigten Wünsche und
VorschHige, die auf die Hebung und Verbesserung des Unterrichtes zielell,
wohlwollend entgegennehmen. Sie
m1.1SS in der Gemeinde vorstellig weI'den, wenn die Anschaffung von un
entbehdichem Schulmaterial oder die Durchführung einer Massnahme
zu Gunsten der Schuljugend dies not
wendig machen. Doch darf si ch der Auf gabenkreis
der Schulkommission, wie wir bereits
dargelegt haben, nicht auf die Schulstube beschranken. Sie hat drüber zu wachen, dass ' das lokale Klima in
nichts der gesunden Entwicklung der
J ugénd schade. Wer ist übl'igens befahigteI" aIs sie, um den Kontakt zwischen Elternhaus und Schule her
zustellen ? Auf ihr Betreiben solltell jene Aussprachen veranstaltet wer
den, wo die Eltern auf dem Laufenden gehalten werdell über die Arbeit
der' Schule, wo die Lehrer ein aufkHirendes W ort redèn konnen über die neuern Methodeil, denen gegen
über sich die Eltern nur zu oft infolge iluer Unkenntnis so misstrauisch
zeigen. Die in manchen Gemeinden
-106 -
La commission scolaire peut éga
lement exercer une précieuse influence en aidant le personnel enseignant dans l' ol'ientation des élèves vers les études ou les divers apprentissages, en insistant sur la nécessité
actuelle de compléter après 15 ans la formation élémentaire reçue à l'école.
La commission scolaire peut jouer lill rôle éminemment constructif, si ses membres assument leur tâche au
plus près de leur conscience. Etre melllbre d'une conllTIission scolaire,
ce n'est ni un agréable passe-temps ni une activité lucrative. Pour certains, c'est peut-être un insigne honneur. Pour tous, c'est une mission importante. N'oublions pas que ce qui touche l'école contribue à former la population de demain.
En félicitant d'avance les membres
des nouvelles commissions scolaires pour leur nominatio~, nous nous permettons simplement de leur suggérer en terminant de méditer de temps
en telnps sur leur mission. On ne leur demande pas d'accomplir, comme on le croit trop souvent, tille formalité traditionnelle. Ils doivent prendre
conscience que, en de nombreux cas,
ils peuvent eXerCel" une précieuse influence en collaborant étroitement avec l'inspecteur et le personnel enseignant.
gemachten Eifahrungen haben offensichtlich das Interesse der Bevolkerung für diese Versamlnlungen an
den Tag gelegt.
lndem die Schulkommission dem Lehrpersonal bei der beruflichen Orientierung der Schüler helfend zur
Seite steht, kann sie ebenfalls einen sehr glückllchen Einfluss ausüben, vol' allen indem sie auf die Bedeu
tung von Ausbildung durch Schule und Beruf aufmerksam macht.
Die Schulkommission kann nur
dann wirkliche Aufbauarbeit leistell,
wenn aIle Mitglieder ihre Aufgabe
mit der grossten Gewissenhaftigkeit erfüllen. Die Mitgliedschaft einer Schulkommission ist weder ein ange
nehmer Zeitvertreib noch eine gewinnbringende Tatigkeit. Für man
che mag sie vielleicht eine grosse Ehre bedeuten. Für aIle aber ist sie eine wichtige Auf gabe. Vergessen wir
nie, dass alles, was die Schule betrifft" mithilft, das Volk von mOl'gen zu bilden.
lndem wir ZUlll vOI'nherein die Mitglieder der neuen Schulkonmlissio
nen zu ihrer Wahl beglückwünschen, erlauben wir uns am Schluss, sie in aller Einfachheit zu bitten, von Zeit zu Zeit über ihre hohe Aufgabe nach
zudellkell. Man vedangt von ihnen nicht nur, wie man dies vielfach glaubt, traditionelle FormaliHiten zu
erfüllen. Sie mogen im Gegenteil nie
vergessen, dass sie einen seIn wirk
samen Einfluss auszuüben imstande sind, wenn sie mit Schu'linspektor und Lehrpersonal vertrauensvoll zusalnmenar bei ten.
-107 -
PRAKTISCHER TEIL LEBE I\J DIGE SCHULE
Mitteilung der Redafdion
Die Walliser Schule will und soIl rucht
e twa nul' Fragen der Primarschul e he
handeln, sondern auch die Belange der
andern Schulgattungen h erücksichtigen .
Doch kann dies nicht alles mit einem
Schlage geschehen. Die Verpflichtwl g eines
g u t e n, zuverlassigen Mitarheiterstah es
b raucht viel Arheit und Zeit. Wir hitten
darum aIle jene Leser Uln Verstandnis, die
bi slang noch zn wenig auf ihre Rechnullg
gekommen sind. Mit der fort schl-eitenden
Zunahme der Mitarbeiterzahl werden wir
VOl' allem den Praktischen T eil unsere r
Monatsschrift weiter ausbauen u'nd damit
j edesmal Fragen mehrerer Schuls tufen he
handeln konnen. Mit der Fehruar-Num mer
beginnen wir eine Reil~ e von Abhandlungen
für den Illuttersprachlichen Unterricht, der
aIs wichtigstes Hauptfach an ersler SteIle
Beachtun g verdient, und in dem bei uns
manches lloch zu verbessern ist. Sodann
sollen diese Arbeiten vorbel'eiten h elfen
auf die Forthildungskurse im nachsten
Sommer, deren Haupttraktan dum, wie man
uns sagte, gerade cler ll1uttersprachlich e
Unterricht sein wird.
Wir laden das Lehrp ersonal freundlichst
ei n, l'echt cifrig und gründlich mitzuarbei
ten. TeHen Sie uns bitte mit, was fül' eine
Frage Sie auf diesem weitlaufigen Gebiete
hehandeln ll1ochten ! Wir geben Ihnen
gerne einen Auftrag, wenn IlU' Th ema
passend ist. Denken Sie daran, elass Sie
clnrch Hue Mitarb.eit nicht nUl' der Forcle
rGng unseres WaIliser Schulwesens ei nen
Dienst cl'wei en, sondern daraus selber
am meisten Nntzen ziehen !
Gesamt- und Konze tr âo 5 n erricht
SR. LOYOLA ZUMTAUGWALD
. Wiederholt wurde die Redaktion der Walli
sel' Schule gebeten zu Gesamt- und Konzen
trationsunterricht sich klarend zn aussel'l1.
lm Folgenden soU diese Art des Untel'
·richtes in etwa kurz dargelegt werden.
Keineswegs ist diesel' Unterricht eine neu
zeitliche Erfindung auf dem G.ebiete cler
padagogik. Fast mochte ich die Behauptung
aufstellen, dass schon Aristoteles ein Weghe
reiter \Var, \Venu el' die Auffassung vertrat:
«Nichts tritt im Intellekt auf, was nichl zu
VOl' in den Sinnen war ! » Dal11it betonte el'
die Veranschaulichung, und diese hildet den
Kernpnnkt des Gesamtunterrichtes. Die ei
gelltli che Idee des Gesamtunterrichtes lass t
sich verfolgen bis zurück auf Ratke (1612),
de r nul' Lesen auf seinem Stundenplan
hatte. In dieses Lesen baute el' kurze sach
l iche Besprechungen ein und hielt so einen
gelegentlichen, wenn au ch vel'balen Sachun-
- 108 -
tcrrich t. E i n Fach stand im Mittelpullkt,
um dieses gruppierte sich der andere Untel'
richt. Dies ist die erste nachweisbare Form
des Gesam'tunterri chtes. Comenius (1592-
1670) schuf den « Orbis pictus », ein Bilder
werk, an dem n eben sachlicher Belehrung
auch LautgewiJmung, Leseühung und Zeich
nen durchgeführt' wurde. Wieder eine Art
Gesamtunterricht.
Rousseau (1762) ford erte eine Lehrweise,
in der gallzheitliches Erleben der Welt
Grundlage für fru chtbares Wissen werden
soll te.
Basedow (1774) setzt das Spiel aIs Konzen
tra tionsmittelpunkt.
Erns t Christian Trapp (1780) verlangt in
seinem «Versuch einer Padagogik » ganz
ul1zweideutig den ' Gesamtunterricht.
Rochow (1773) schliesst seine SprechühlUl
gen an den Sachunterricht WIel die Realien
an den Leseunterricht.
Du rch Pestalozzi wurde die Idee des Gesamt
un terrichtes in die Schule eingehaut aIs
sogenannte «Anschauungslehre ». Seine
Schüler klurten und erlauterten diese Idee
(1 766) .
Bei J. Baptist Grase tritt, mm der Gesamt
unterricht ZlUn erstenmal in einem gesclùos
senen Lehenskreis auf. Arbeitskreise, Fami
li e, Gemeinde, Staat bilden die Lebensge
meinschaften, an die e l' den gesamten Untel'
richt anlmüpft. Das ModeIl eines W ohn
hauses hildet z. B. den Mittelpunkt für die
Anschauungs-, Denk-, Sprech- und R eihen
üblUlgen.
Bernhard Gottlied Denzel (1827), ein be
sanders lebhafter Verfechter des Gesamt
unterrichtes, schreibt untel' and'erm: «SolI
in einen Lehrplan Einheit lUld Zusammen
hang kommen, so müssen die G~genslalldc
ineinandergreifen, einander vorhereiten, be
gl'üuden, unterstützen ... KOllJ1te man die
Elementargegenstande in einen einzigen zu
sammenwerfen und das nicilt auf der Un ter
stufe, so ndel'l1 durch aIle Stufen hindurch ,
so würde di e Wirkung auf die Totalkraft
des Schülers gewiss gross sein . .. » Denzel
hat den Gesamtunterricht in seiner Tiefe
und Breite erfasst und ihn dtu'ch theore
tischen und praktischen Einsatz clauernd
festgelegt.
Dm die Jahrhundertwende wurde die von
Denzel mit Nachdruck betonte Fonn des
Gesamtnnterrichtes mit dem Anschauungs
unterricht aIs führendem Fach erlleut l e
bendig. So schreibt Karl Richter (1887) :
«Die mit dem Anschaunngsunterricht in
engster Beziehung stehenden Zweige der
Sinueu-, Sprach-, R eal- und sittlich-religiosen
.6ildtulg sind ihm ein- und . W1tergeordnet ... »
Fritz (1903) sagt treffend: Wir hahen es
also bei111 ersten Schulunterricht zunachst
üherhimpt nul' mit e i n e m Unterrichts
fach zu tun, dem Sachunterricht, zu dem
sich aIle andern nul' verhalten wie die Teile
zum Ganzen ».
Von Sallwürk gab diesel' Feststellung noch
eine padagogisch psychologische Begrün
dung: «Del' erste Unterricht darf sich
auch nicht in Facher zersplittern, el' muss
einheltlich bleihen, weil el' sonst an Stelle
der innern Freiheit des kindlichen Wesens
Zel'streuung setzt, die an keinem Ort ein
l'echtes Interesse aufkommen lusst! »
Berchthold Otto führte 1905 den freien
Gesamtunterricht ein und el'streckte ihn
über alle acht Schuljahre. Er pragte den
Namen Gesamtuntel'l'icht. In Deutschland
hat sich die Idee d es Gesamtunterrichtes
wenigstens für die Unterstufe endgültig
durchgesetzt.
In der SchweÎz leÎsteten hesonders Dr. h. c.
Eduard Oertli und Emilie SchappÎ Pionier-
- 109 -
arbeit für die Idee des Gesamtunterrichtes.
Sie fan den die eigentlich schweizerische
Fonn des Gesamtunterrichtes im Sinne des
Arbeitsprinzips. Emilie Schappi führt uns
ganz Idar . in den Gesamtunterricht ein mit
den Worten: «Unter Gesamtunterricht ver
stehen wir das Unterrichtsverfahren, das
den Unterricht in allen oder den meisten
Fachern mn einen gemeinsamen Interessen
punkt vereinigt, zu in si ch abgeschlossenen
Unterrichtsgebieten. Er kal1n von einem ein
zelnen Gegenstand ausgehen (Fahnchen,
Bail, Blume, Tier), von einem zusaml11en
gesetzten Interessenkreis (Hausbau, Dorf,
Tier) oder von einer Erzahlung (unser
Hanni . " Robinson). Er solI Erlebnis- und
Arbeitsunterricht sein. Oft ist er Gelegen
heitsunterricht (Dorffest, W'eihnacht, VOl'
f aU in der Schule, auf einer Wanderung).
Die formale BHdung in der sprachlichell,
rechnerischell, gesanglichen, korperlichen
Entwicklullg ruft bald besondern Übungs
zeiten; so wachst der Fachunterricht ans
dem Gesal11twlterricht heraus ».
lm Mittelpwlkt des Gesal11tnnterrichtes steht
also eine kindesgemasse Sacheinheit. In
diese gliedern sich die verschiedenen Facher
sowie alles Erarbeiten, Verarbeiten und An
wenden zwanglos ein. AIs Auswahl des
Unterrichtsgutes berücksichtigt der Gesamt
unterricht, die natürliche Ganzheit des
Lebens. Aus dem Erlebniskreis des Kindes
hebt es bestimll1te, leicht überschaubare
und in sich geschlossene AusschniUe heraus.
Diese werden im Sachunterricht erfasst und
stofflich ausgebaut. So finden unsere Unter
richtsziele wertvolle Arbeitsgrundlage. Zwei
wesentliche Merkll1ale des Gesamtlmterrich
tes sind:
1. Der Unterricht ist nicht mehr streng
gefachert. Man liest, rechnet, spricht, zeich
net, singt in einem abwechslungsreichen
Arbeitsrhythmus und gerat ganz ' ins Arbeits
thema hinein.
2. Das Arbeitsthema ist del' Erlebniswelt
des Kindes entnommen und spricht darum .
seinen kleinen Geist und sein Herz an,
darf sogar lustbetont sein.
Sein Zweck ist :
1. Del- Gesamtunterricht will das Kind in
seiner Gallzheit erfassen und ihm da
dm'ch zu seiner vollen Selbstelltwicklung
helfen.
2. El' will die gesamte Klasse in heimat
lichel' Verwurzelullg und weltoffener selb
standiger Lebensgestaltung fordern.
3. Er will den Stoff sammeln und zusam
menfassen und so eine g~schlossene Bil
dungswirkung erzielen.
4. Er will die Lehrkraft aIs gesamte, hin
gebende Persolllichkeit in den Unterricht
stellen. Diese erzieht, bildet und erfasst
das Kind allseitig.
Der Gesamtunterricht hat auf der Untel'
stufe seine voIle Berechtigung und entspricht
ganz der psychischen Ei genart des Killdes.
Aber auch schon hier haben wir neben
dem Gesamtunterricht unsere eigenen
Übungsstunden; denn die Schulung im
Konnen fordert das, und der Gesamtunter
richt wird dadurch uicht beeintrachtigt.
Auf der Oberstufe kann der Gesamtunter
richt niemals in der Wei se durchgeführt
werden, wie auf der Unterstufe, aber ein
ganzheitlich ausgerichteter Unterricht ist
auch hier moglich. Hier begegnen wir nun
dem sogenalUlten Konzentratiollsunterricht.
Man arbeitet in überfachlichen oder orga
nischen Bildungseinheiten z. B. Yom Ver
kehr - Zu wenig und zu viel Wasser.
lm Konzentrationsunterricht gruppieren
iich nicht mehr die gesamten Facher um
-110 -
eine Einheit. Nul' ein Teil der Facher wird
vom Einheitsgedanken erfasst; z. B. die
Sprachfacher, Geschichte und Sprache -
Rechnen und Sprache.
Ein Fach kann sogar langere Zeit hindurch
der Mittelpunkt des Un terri ch tes sein. Die
andern werden nach Moglichkeit eingebaut.
Dies ist der sogenannte Epochalunterricht.
lm Konzentrationsunterricht haben wir es
mit überfachlichen Einheiten zu tun wie :
Verkehr, Entwicklung der Verkehrsmittel,
Verkehrswege meiner Heimat, Rücksicht im
Verkehr usw. Es lassen sich hier herrliche
Bildungseinheiten im Querschnitt ausfÜh
ren z. B. Der Verkehr in unserm Dorf, in
unserm Land, in unserer Heimat, der
Verkehr mit dem Ausland - Moglichkei
ten, Vorteile, Nachteile für die Wirtschaft,
für die Kultur.
Fachliche Einheiten sind z. B. aus Erd
kunde: Rund mn den Vierwaidstattersee.
Rein- und Rhonetal usw. Rechnen: Pro-
zelltrechnen, Sprache: Yom Laut- zum
Satz usw.
Del' gesamte Unterricht der Volksschule
kann ganzheitlich ausgerichtet w~rden,
wenn eine einheitliche Bildungsidee, eine
verantwortungsbewusste Lehrpe~sonlichkeit
sowie bewusst gepflegte KOllzentration die
notigen Voraussetzungell bieten.
Das Ideal ware: Auf der Unterstufe Ge
samtunterricht, auf der Mittelstufe die Hei
matkunde aIs Stammunterricht, auf der
Oberstufe Konzentrationsunterricht mit ~in
gebauten systemalischen Übungen. Sicher
brauchen unsere Facher eine Systematik und
die darf auf keinem FaU ausseracht ge
lassen werden, aber sie k~nn sehr haufig
eingebaut werden. Natürlich fordert diese
Art UnterrÏcht einen vollen Arbeitseinsatz,
verspricht aber auch Erfolg.
Mit Holderlin woUen auch wir sprechen :
«Was wir sind, ist nichts ; was wir suchen,
ist aUes ».
Vom muttersprachlichen Unterricht
in der Gewerbe- und Fortbildungsschule
JOSEF IMHOF
Fragen wil" uns zuerst: «Welches ist der Sinn und die Bedeutung der Sprache über
haupt? Ist ihr Sinn die blosse Verstandigung, so wird das Lehrziel sich auf die verschiedenen Notwendigkeiten der Ver
standigung beschranken konnen: z. B. den
persolùichen und kaufmannischen Briefwechsel ». Das Lehrziel ware also mit der Ausbildung in der Fahigkeit, seine Belange andern mitzuteilen, sie zu vertreten und zu ver
teidigen im grossen und ganzen erschopft. Nun ist aber das Ziel eÎn hoheres.. -
Aus der Tier- und Pflanzenwelt wissen wir,
dass es zur blossen Verstandigung der Sprache nicht bedarf. Die Verstandigung hat genügend sinnfallige Mittel zur Verfügung, um sich durchzusetzen. Dies beweist
uns auch der Tauhstumme, der sich durch
Zeichen verstandIich macht. Die Sprache
ist die Kraft, mit der wir auszusagen vermogen, was unsern Geist, unser Herz, unser
Gemüt bewegt. Die Sprache ist aiso bedingt durch den Geist des Menschen. Sie ist sein eigentliches Organ. Sie hat ihn auszusagen,
zn vcnnitteln, sie erschliesst ilun. die Mij,
glichkeit, die Aussage des Geistes anderer aufzunehmen.
Aus diesem Wechsel von Aufnahme und
Mitteilung gesprochener, geschriebener und
gc:?rucktel' Sprache entsteht das Leben des Geistes: die unaufhorliche Wandlung und
Verwandlung, Bereicherung, Verarbeitung der vielfaltigen Eindl'ücke des Geistes und
ihre Wiedergabe - alles Vorgange, die
ohne die Sprache, in der wir ja nicht nul' sprechen, schreiben und lesen sOl1dern
VOl' allem del1ken, nicht moglich waren . Wenn aber der Sinn der Spra'che ist, dem Geist zu dienen, aIs Mittel zu seiner Ver
standiglUlg, so kann die Zielsetzung im Sprachunterricht llicht mit der unwesent
lichen Aufgabe der Verstalldigung sich
zufrieden geben. Dalln muss det- Sprach
unterrÏcht aIs hochstes Ziel haben : Die Erziehung zur Moglichkeit und zur Fühigkeit geistigen Lebens und damit geistigen AlLS
tausches. Dann wird der muttersprachliche Unterricht Unterweisung sein, das Leben
des Geistes auszudrücken. Das setzt aber voraus, dass der Geist Eindrücke empfangt, sich diesel' Eindrücke bewusst wird, diese
Eindrücke dur ch die Sprache miueilen und dur ch diese Mitteilung selbst wÎ'eder
zu gestalten lernt. J ede Schulung geistiger Kraft ist nur moglich durch das Mittel
det' Sprache. Alle Bildungsarbeit geht im
mer umso rascher und fruchtbarer VOl' sich, je sorgfaltiger lUld zielhewusster die sprach
liche Ausbildung gefordert wit'd. Der
muttersprachliche Unterricht ist Herzstück tUld Lebensnerv allen Unterrichtes, nicht
nul' auf der Primarschule, sondern auch
auf der Fortbildungs- und Gewerbeschulstufe.
Welchen allgemeinen Zielen h~t der Sprachunterricht zu dienen ?
Er soU die Schüler zum Verstandnis tUld
richtigen Gebrauch der Muttersprache an
leiten. Der Schüler muss die Sprache lUld ihre Begriffswelt verstehen lernen, mu sie
nachher in personlicher Pragmlg wieder
zu gebrau'chen, d. h. seine Gedanken-, Vor.stellungs- und Gefühlswelt in natürlichet',
personlicher !lIlQ treffellder Weise miindlich
und schriftlich zum Ausdruck zu bringen.
Darüber hillUUS faIlt dem Deutschunterricht die schone Aufgabe zu, dem SchÛle·r Zu
gang zu den geistigen Schatzen der Lite· ratur zu verschaffen, damit el' daraus zur eigenen, inllern Bereicherung zu schopfen
vennag.
Dieses Ziel schreiben auch die verschiedenen Lehrplane der Primal'schule vor, SOl
z. B. der des Kantons Bern : «Die Sprache ist wei taus das wichtigste Ausdrucks- und Verstandigungsmittel. Die menschliche Ge.
danken- und Gefühlswelt teilt sich VOl' allem dm'ch Sprechen und Schreiben mit.
Horend und lesend erfahren wit' die geistige Welt des Andern und entwickeln damit
unsere eigene Innenwelt ».
Der Lehrplan des Kantons Solothurn ver,
langt yom Sprachunterricht, dass el' den
Schüler befahige, seine eigenen Gedanken in Rede und Schrift verstandlich, fliessend
lU1d richtig auszudl'ücken lUld die in Rede
und Schrift liiedergelegten ' Gedanken der Mitmenschen zu verstehen und zu verwet-tell . Seine Auf gabe sei a]so Sprachfer
tigkeit (Sprechen lUld Schreiben) und Sprachverstaùdnis (Horen und Lesen) zu
erzielen.
Nachdem die meisten Lehrer an Fortbil
dungsschulen bereits in der Primarschule
unterrichtet haben, wollen wir uns zurückerinnern, welche Anstrengungen wir unternommen haben, angefangen mit Sprechübungen im Anschauungsunterricht, yom
ersten Tag an mit Lesen, Abschreiben,
Sprachaufgaben, Diktat und Stilübungen,
Briefen, Aufsatzell aller Art. Wie suchten wir nach Moglichkeit jede Unterrichtsstunde
zu einer Sprachstunde zu gestalt en !
Und der Erfolg ? Gerne legen Schulkritiker einem Lehrer gelegentlich Müsterchen von
Briefen VOl' mld weisen darauf hin, wie
man's zu ihrer Zeit besser gekonnt hat.
Unsere Hen'en Kollegen in den Sekundarund Mittelschlùen klagen über ungenügende
VorbildlUlg, über mangelhaftes Sprachverstandnis, . über Sprachverwilderung. Die
durchschlùttlichen LeistlUlgen in den pada
gogischen Rekrutenprüfungen sind untel'
- 114 "T""
dem Mittel. Wir selLer in der Forth ild ullgsund Gewerbeschule l1loch ten of t d ie H ande
ü ber dcm Kopf zusammenschl agen und fragen: « I st das lllog1ich ? Ist das der Erfolg jahrelan ge n Sch affens?» Ma n ver
stehe mich recht : Jch mochte keine Stei lle werfen und F orderungen au fstellcll wie Gewerbeleh rer Dr. Meier in sei neI1l Werk:
Gnmdzüge des gewerblichen Unte rrichtes, wenn el' sagt: «Unseres Eraehtens wür de der Gewerb eschule d ie Pflicht zukommen,
an die Volksschule d ie F orderu ng zu stellen, dem Sprachun terricht ein ganz anderes Gewicht zn geb en und ihm mit ganz an derer
Gründlichkeit zu obliegen aIs bish er. E s
soIlte der Volksschule m oglich sein, in acht J ah l'en die Schüler his zu derj enigen spraehlichen Fe rti gkei t zn fo r dern, di e für den alltaglich en Gebrauch genü gt und auf
die di e Anschlussklassen den ih rcn Be
dürfllissen entsprechen den U nte rricht un gehindert aufbauen ».
Woh er kOl11mt dieses Ungenügen in der
Muttersprache ? Es ist hier ni cht der Or t,
um naher auf diese Frage ei llzu geh en. Aber eine lnuze Gewissenserfo rschung wird uns
anf F chlerquellen hinweisen, die wir in der Primarschule un d viell eicht auch h eute
noch in der Fortbildungs- und Gewerbe· schule zu weni g beachten. SolI m an di e
Schule oder dcn Lehrer ' für den Misserfol g verantwortlieh mach en? Geh en wir nach einer falschen Methode vor? Sin d
un sere Sclntlhücher un geeignet, nicht lll ehr zeitgemass ? Ist unser Un terricht zu weni g
gründlich , zn wenig anschaulich? Legt man zu weni g Gewicht au f eine einwand·
freie Aussprache, auf laut- und sinnrichtiges Lesen? Paukt man (im Sprachlehrmlterl'icht) allzusehr nul' leere R egeln ein und
macht damit den Gl'ammatikunterricht zmn Selhstzweck, den K indel'11 zur QuaI? Da
doch die Spl'achl'egeln, yom Erlebnis aus·
gehend, aus seinem inhaltlichen Zusamm en.
hang heraus el'fasst und b egriffen werden
und dm'ch passende Übung stat! durch geis ttotendell Drill mUl1dgerecht, lieb und wert el'scheineJ).
Sind wir uns bewusst, dass aIs VOl'bedin
gung eines fruchtharen Aufsatzschl'eibens
- 11 3
zn gelten hat ein ~7el'trauel1.svolles Verhaltnis zwischen Schüler und Lehl'er ? For· derun g staU H emmung? Begeisternng staU
Zwallg ? Sind wir überzeugt von der unUl11-ganglichen Notwendigkeit, schal'f beobach
ten zu lernen auch - aui der Stufe der Forthildnng. und Gewel'beschule ?
W enn ich in der Gewissenserforschung
weitel'geh e, mUss ich auch die Frage stellen nach det· Korrektur det' SCIll'iftlichen Auf
gaben. Ist es für uns nicht oft eine dOl'nenvoIle Aufgabe, eine niederdrückende Last,
sich abends VOl' einen Stoss von Heften
hinzusetzen und stundenlang zu verbessern, . zu streichen, einzufügen mld bei jedel'
Arbeit abzuwagen: «Verdient der Schülel'
Lob oder Tadel? » Müssen wir nicht oft fast verzweifeln ob des sinnfiilligen Missel'
fol ges nach des Tages Müh und Hingabe ?
Und trifft es nicht OCters bei jedem von
uns zu, dass wir uns die Al'beit erleichtern, die lastigen Verbesserungen vom Halse
sc.haffen, indem wil' den Schülern schl'iftli ch e Al'beit en ersparen, oder dass wir
Arbeiten gal' 11l1verbessel't und lU1besprochen zlU"ückgeben ?
Wie steht es mit der VOl'bereitung apf den muttersprachlichen Unterricht? Nehmen
wir es in andern Fachel'l1, z. B . in der \Virtschaftslmnde nicht emster, weil die
Sch ül er merken, wenn wir einen «Senf » erzahl en, wahrentl sie irgelld eine Übung im
mu ttersprachlichell Unterricht gelassen und oime Slcepsis allS lauter Gewohnheit stillschweigend hinnehmen ?
U nd zum Schluss : Fehlt nicht uns Lehl'ern selbst oft die Freude und der Anreiz
ZlUl1 sprachlichen Schaffen und zur sprachlichen Weiterbildung? Verhaltnismassig gering ist die Zahl jenel' von uns, die
sich schriftstelIel'isch betatigen, und ware
es auch nul' dm'ch einen gelegentlichen
Beitrag an Zeitungen und Zeitschriften. H aben wir nicht selhst Mühe, wenn wil'
uns in der Schriftsprache staU in der Umgangsspl'ache ausdrücken sollen? Kommen
wir ob aIl unsern Verpflichtungen dazu, uns mit dell Werken der DichtkuJ1st zu befassen,
oder geht es uns wie jenem Kollegen, de~
offen gestehr, seit Jahren kein Buch mehr
gelesen zu haben? Sollten wir darum so
wenig Erfolg haben, weil wir uns zu
wenig Mühe nehmen, tiefer in das Leben
der Sprache vorzudringen und in uns selbst
Sprachgeist und Sprachfreude zu wecken
und zu pflegen ?
Neben den Fehlerquellen, die ich hier bei
uns selbst aufgezeigt habe, gibt es bestimmt
andere, für die man tU1S nicht verantwortlich
machen kann, die aber entschieden schwer
wiegender sind. Einmal dürfen wir nicht
vergessen, dass unsere Schriftsprache für
unsere SchüIer sozusagen eine Fremdsprache
ist, die man wiihrend einiger Schulstunden
pro Tag spricht, nicht aber daheim, in der
Freizeit, am dem Arbeitsplatz . Den Haupt
grü~ld im Misserfolg sehe ich sodann
in den heutigen Zeitumstiindel1. Wir le
ben in · einer seichten Zeit, die überaIl
nul' an der Oberfliiche haften bleibt. Was
wil' an der Breite des Wissens und Empfin
dens gewinnen, verlieren wir an Tiefe.
Wir - und das gilt au ch für unsere Jungen
- sind überschwemmt von den papiel'enen
Fluten der Zeitungen, Illustrierten und
Broschüren. Wir hasten im wilden Truhei
des Telefons, Radios und vielleicht sogar
des Fernsehens. Eine schreiende Reklame
hiimmert schon auf die Jugend los. Vereine
und Veranstaltungen werden zu Konkurren
ten der Schule, die oft auch die Mithilfe
des Elternhauses verul1moglichen. Der
Kampf Ulns Dasein macht uns zeitgeizig,
liisst uns nicht melu zu uns, noch viel
weniger zu andern kommen. Oberfliichlich
keit, Vergesslichkeit ob aIl dû heranstür
men den Eindrücke sind die natürlichen
Folgen und greifen auch auf die Sprache
über. Sie verliert von ihrer Anmut, ihrem
Klang, weil sie zut' blossen Zweckdienerin
hel'abgemindert wird. Sollen wir uns da
wundern, wenn die Schule untel' diesen
Umstiinden es schwerer hat aIs früher,
wenn anderseits die Anforderungen auf der
ganzen Linie gesteigert werden ? Zu unserm
Trost wollen wir nicht ausser acht lassen,
dass die Saat, die wir mühsam ausstreuen,
hege,J. tlIJd .pflegen, oft erst spa ter aufgeht,
so dass wir wenigstens Wegbereiter sein
dürfen.
Die Tatsache, dass Burschen in der Ge
werbe- und Fortbildungsschule nicht selten
von einem J ahr zum andern sprunghafte
Fortschritte machen, erhiirtet diese Ansicht
und gibt uns Mut zum Weiterarbeiten, denn
sonst müssten wir in fatalem Defaitismus
bekennen : «W enn es unsern KoIlegen aus
der Primarsc1uùe in 8 J ahren nicht gelungen
ist, den Schülern eine gewisse Sicherheit
beizubringen, wie wollen wir dieses Ziel in
den paal' zur Verfügung stehenden Stunden.
erreichen ? »
Es kann nun im Unterricht bei den Fort-·
bildwlgs-, und Gewerbeschulen nicht nul'·
darum gehen, so wichtig und erstrebenswert
es auch ist, dass der Schüler einen anstiindi
gen Privatbrief, spiiter aIs Landwirt, aIs
Industrie- und Bauarbeiter, aIs Handwerker
eine Offerte, eine Bestellung, eine Reklama
tion schreiben,ein Formular richtig aus
füllen, einen Rapport oder Bericht abfassen
kann. Es genügt das nicht, so wichtig es
für den Schüler aIs zukünftiges Vereins
mitglied oder aIs Bürger ist, wenn er
fliessend lesen und gewandt reden katm.
Dieses Konnen allein erscheint mir wie ein
Gerippe ohne Seele.
Unser Ziel hab en wir erst dann erreicht,
wenn wir geistige Momente fordern, unsere
Schutzbefohlenen zu gedankenvollem Lesen
bringen, wenn sie aus Lust, at~s Liebe, aus
innenn Drang zur guten Literatur greifen,
wenn sie sich weiterbilden, nicht nul' be
ruflich, sondern auch geistig, charakterlich
und religios. Ich weiss, dass unsere Gev,rer
betreibenden vielfach in der Gewerbeschule
nul' einen Nützlichkeitsunterricht gelten las
sen. Demgegenüber müssen wir immer
wieder festhalten, dass unsere Arbeit vor
nelunlich 'Erzieherarbeit bleiben muss.
Was solI in der Fortbildungsschule bezü
glich Muttersprache gelehrt und gelernt
werden? Wie solI der muttersprachliche
Unterricht erteilt werden ?
Hier mocht,e ich kurz erliiutern, wie wir in
der Gewerbeschule vorzugehen pflegen.
Nach der Wegleitung des Biga hat der
-114 ~
Sprachpflege zu dienen: der freie Aufsatz,
das Lesen einfacher literarischer Stoffe und
kurze Vortragsühungen. Das Besprechen
ethischer und. sozialer Fragen ist ebenfalls
in das Arbeitsprogramm einzubeziehen. Ge
rade die llehandlung dieser Fragen scheint
mir ungemein wichtig; de:m einerseits ist
die Lehre oft geisttotend und langweilig,
anderseits sehen und horen unsere Lehr
linge und Fortbildungsschüler in der Werk
statt und auf dcm ArbeitspoJatze so manches,
das mit einer gesunden Ethik und sozialen
Auffassung so gal' nicht im Einklang steht,
abgesehen davon, dass viele dieser jungen
Burschen noch in der Puhertiit, im End
kampf yom Werden des Knaben zum
Mann sich befinden. Da tut es doppelt not
- ist aber eine dankbare Auf gabe - dass
wir diesem Lebensalter, bis jetzt noch un
reif, mm aber empfiinglich, ein Fenster
Mfnen, an seine Ideale appeIlieren, immer
wieder Wegweiser und Weichensteller sein
konnen. Es nützt namlich wenig, gegen
Ki no, Sport und Trunksucht zu wettern;
offnen wir den Weg zum Geist, ZUl' wahren
Schonheit, zu Gott !
Beim freien Aufsatz handelt es sich um
kurze, inhaltlich abgegrenzte klare und
logisch aufgebaute Darstellungen. Der Stoff
soli dem Erfahrungskreise der Schüler aus
dem personlichen und beruflichen Leben
entnommen werden. Sehr oft liefern auch
Staats- und Wirtschaftskunde, sowie Er
eignisse des tiiglichen Lebens Aufsatzthe
men.
In den Mittelpunkt des Korrespondenz
Unterrichtes steIlen wir private und Ge
schiiftsbriefe, wie sie das Leben vom Lehr
ling, Gesellen, Arheiter, Staatsbürger und
im einfachsten Rahmen yom Meister ver
langt. Die 'Erlauterung der rechtlichen und
geschiiftslumdlichen Grundlagen des Briefes
sind unerHisslich.
Obwohl es allgemein verpont ist und aIs
rückstiindig gilt, greife ich hin und wieder
zu Diktaten, wahle hiezu ailerdings Stoffe
ans, die im übrigen Unterricht, z. B. in
Staats- und Wirtschaftskunde im Zusammenhang mit dem 'OR. oder ZGB schon be,
handelt wurden und l1un aIs Zusammenfas
sung niedergeschrieben werden. Zu einem
systematischen Grammatik-Untel'l'icht reicht
- die Zeit nicht, wir müssen uns mit kurzen
Hinweisen begnügen.
Allgemein gehe ich im Aufsatz so vor:
Durch Fragen und Hinweise suche ich die
Schüler mit dem Thema in Verbindung
zn bringen, zu interessieren ; sie soIlen ihr
Urteil abgehen, gemachte Erfahrungen und
Wahrnehmungen mitteilen, das Dafür und
Dagegen abwiigen. Das Interesse wird ge
weckt, wenu der Lehrer sich tmwissend
stellt und der Fragende ist, z. B. bei Er
eignissen, bei Zeitungs- und Radiomeldun
gen, bei besondel'l1 Arbeiten, die der Schü-
1er im tiiglichen Leben ausführt. Die so
gefundenen Punkte werden wahllos an die
Wandtafel geschl'ieben und hernach ge
ordnet. Allgemein hat man seine liehe Not,
die Schüler in ganzen Siitzen reden zu
lassen. Meist melden sich die gleichen
Schülel" und andere betrachten sich stiindig
aIs Passivmitglieder. Dem kann gesteuert
werden, wenn jeder der Reihe nach aufge
fordert wird, seinen Beitl'ag zu leisten.
Wenn es mit der Schriftsprache happert,
so lasse ich die Gedanken in der Umgangs
sprache ausdl'ücken. Schwiichel'e Klassen
lasse ich die Al'beit, wie oben schon el'
wiihnt, mündlich wiederholen. Bedeutend
schwieriger ist . es für den Schüler, sobald
el' einen Gedanken mit andern Wol'ten aus
drücken soU. Bei Briefen hat man oft El'
folg, wenn man die Schüler aIs Absender
und Empfiinger gegenüberstellt und die
Arbeit mündlich in Rede und Gegenrede
ausführen und erst dann niederschl'eiben
liisst. In der Regel führen die .Schüler
einen Entwurf aus. Alsdann lasse ich einige
Arbeiten vorlesen und durch die Klasse
korrigiel'en. Gelegentlich werden die Ar
beiten zum Verbessern ausgewechselt, wobei
bessere Schüler schwiichere Arbeiten er
halten und umgekehrt. Nachdem nochmals
Gelegenheit zu Fragen geboten wird, be
ginnt das Einschreiben. In diesel' Zeit sehe
ich bei schwiichern Schülern ihre Arbeit am
Platze durch. Weil auch bei der Nieder
schrift un.gleich rasch gearbeitet wird, muss
- 115-
Cill Teil deI' Schüler die Aufsatze zu Hause
beendigen. Dies mag vom Standpullkt der Didaktik aus verwerflich sein. Auch die
saubere Darstellung leidet darunter. Aus Gründen rIel' Disziplill und der Zeiter,
sparnis kann ich darauf nicht verzichten. Nicht selten werden Elltwürfe daheim ein, geschriebell . Schwachere aber fleissige Schü,
1er ziehen dann lüiufig fl'emde Hilfe zu,
Bei den Korrekturen scheide ich die besten
und geringsten Arbeiten aus . Je nach der verfügbaren Zeit wird zuerst eine oder
mehrere der gelungenen Arbeiten vorgelesen, danll. schwachere. Angemerkte Satzf ehlel' werden mündlich durch die I(Jasse
oft vorkommende Schreibfehler durch eill.e~ Schüler richtig an die Tarel geschrieben.
Die Bewertung sei liebevoll, nicht nul' negativ! Gelegentlich ein Bravo! am Rand
und eine Aufmunterung am Schluss macht Freude. Allzu mangelhafte Arbeiten sind zu
Hause nochmals auszuführen! Dabei lasse ich schwachere Schülel' fühlen, dasses sich
nicht um eine Strafe oder Schikane handelt sondern, dass wir dm'ch Übung ausbessen: woUen.
Gelegenthlich bringe man Humor in die
Klasse, indem man Stilblüten aus Zeitullgen
und Zeitschriften an die Tafel schreibt oder vervielfaltigt und verbessern las st. Hiefür
benütze ich die angelegte-Sammlung:
Schiim di! des Beohachters oder Beitdige aus dem Nebelspalter.
AIs Regeln, die mir im Aufsatz und Kon'espondenz-Unterricht wichtig erscheinen
übrigens Grundprinzipien auf der Primar-Stufe gelten folgende :
1. Schreibe einfach und natürlich: so wie
du denkst, was man nicht sprechen kann, darf man auch nicht sclll'eiben !
2. Schreibe wahl' : keine Phrasen, keinen Dingwortschwulst !
3. Schreibe kurz und bündig: nichts mit
2 W C!rtell sagen, was man ebensogut mit einem ausdrückell kann !
Ein Wort noch zur Darstellung :
Anfanglich liess ich die Aufgaben in ein
Heft schreiben: Format A 4. Heute be
nutzen wir lose BHitter ; nicht nul' deshalb,
weil der Lehrer weniger Papier für die Verbessel'ung heimschleppen muss, sondern
um den Schüler mit dem ühlichen Schreihpapier, aber auch mit dem Einordnen ver
traut zu machen.
Aus Sparrücksichten darf auf jede leere Seite eine Arheit geschriehen werden. Für
Aufsatztitel ist Zierschrift erwünscht. Auch das Bild im Aufsatz ist zu empfehlen, weil
es zum Su chen und zum Lesen am'egt und den Sinn für geHilliges DarsteUen fordert .
Auf eine sauhere Darstellung kann nicht genug Gewicht gelegt werden! Leider er,
tappe ich mich immer wieder, wie ich aus
Zeitnot, diesel., gel'.ade für unsern obel" flachlichen Walliser,Charakter so notwen,
digen Fordel'ung, zu wenig Beachtung
schenke.
Kurz mochte ich noch auf das Lesen zu
sprechen kommell . W ir werden wie in der Primarschule immel' wieder eine gute Aus,
sprache fordern und auf die Notwelldigkeit eines fliessenden Lesens hinweisell für Muttersprache und Korrespondenz. In Ba,
den empfahl uns die Leitung jede 2. Sprach
stunde aIs Lesestunde zu benutzen, und Lesen nicht etwa zum AusfüUen der letzten 20 Minuten einzuschalten. Soviel. Zeit kann
ich für das Lesen mit bestem Willell nicht einl'aumen. Hingegen beginne ich mit
Lcsen, wenn der Unterricht einmal so recht harzt, und die Aufrl.1erksamkeit zu erlahmen
droht oder aIs Belohnung nach einer fleissigen Arbeit. Die Schülel' lesen je einen
ganzen Abschnitt. Nach jedem Abschnitt wird der Inhalt kurz repetiert und , wenu notig dm'ch Fragen und Erldal'ungen er
ganzt und vertieft.
AIs Lesestoff wahle ich nicht aufdringlich
belehl'ende, an die Denkfahigkeit und VOl'stellungsgabe zu hohe Ansprüche stellende
Schriftstücke; denn damit würde die
Fl'eude, die wil' wecken wollen, zum vorn
herein gehemmt. Bevorzugt werden Kul'z,
geschichten, wie sie die schweiz . JSW, oder
gekül'zte Werke, wie sie der Verein gutel' Schriften Ulld der Verein abstinenter Lehrer
oder der Verlag Sauerlander mit der Reihe
der Drachenbücbel' herausgibt.
-116 -
Am meisten Erfolg und Interesse fand ich
meiner Ansicht nach mit Lebensheschreibungen und zur Ahwechslung mit einer
heiterll Novelle. Ich nenne hier : Dus Rote Iü'euz, von Susanne Oswald, Der Gezeich,
nete, von Adolf Haller, Jakobs Wanderjahre,
von 1. Gotthelf, Di~ Lawine, von Heinr. Inglin, Ringklùl-Narren, von A. Fux. Hill' gegen ziehen die Novellen von Ferd. M'eyer
und Gottfried, Keller, die in stadtischen
Gewerbeschulen sehr empfohlen werden,
bei pns weniger.
Lesebücher sind nicht sehr beliebt. Sie
haben zwar den Vorteil, dass sie Lesestücke enthalten, die in },2 Stunden bearbeitet
werden konnen. Es haftet ihnen aber vielleicht der Abgeschmack systematischer Lese,
übungen an. Mitunter lasse ich die Büchlein
von den Schülern anschaffen, und ich glau
he, man tut da ein gutes Werk, denn auf
diese Weise kommt neben viel seichter
Warc auch eill anstandigcs Büchlein auf
manchen Familientisch.
Nach der Wcgleitung des Biga sind die Schüler zu kurzen Vortragsübungen anzuhal
teu. Die Schüler sollten auf diese Weise zum Reden gebracht, sollen freier auftreten und in der anschliessenden Diskussion
zur freien MeinungsausserUllg angeregt weI'
den,
Nun, ich pflege diese Form des Unterrichtes ebenfaUs und zwar mit mehr oder weniger
Erfolg. 'Es besteht hier namlich die Gefahl', dass bessere Schület, sich hervortun wollen,
sich mit fremden Federn schmücken, wahrend die Schüchternen sich üherhaupt nicht hervorwagel1. Danml beschranke ich
diese Übungen auf hochst6ns 5 Minuten und nul' auf bessere Klassen, weil es mir scheint,
dass mit schwachern Schülern die Zeit in
anderer Weise hesser ausgenützt werden
kann.
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-117 -
COMMUNICATIONS MITTEILUNGEN
COMMUNICATIONS DU DÉPARTEMENT
BREVET DE CAPACITE
Les membres du corps enseignant qui ne sont pas encore en possession du brevet
de capacité ont traité l'année dernière la première partie de l'ouvrage:
«ENFANCE ET ADOLESCENCE»
de F. Anselme - I. Dehase, directeur de la Nouvelle revue pédagogique helge.
Cette année, ils analyseront la 2ème partie
du même ouvrage, c'est-à-dire celle qui se
rapporte à l'adolescence. Les travaux doivent être remis à l'inspec
teur à la fin de l'année scolaire en cours. Nous rappelons aux maîtres et maîtresses
intéressés que les examens en vue de l'obtention du brevet de capacité auront lieu au mois de juin 1957 et que l'admis
sion est subordonnée à la présentation des cinq travaux sur les ouvrages suivants : 1. Les principes de l'éducation nouvelle
F. Châtelain. '
2. Vade mecum pour l'enseignement de la géographie, Oz ouf, directeur d'Ecole normale, Fernand Nathan, éditeur, Paris.
3. Méthodologie de l'histoire, E. Natalis, Dessaim, éditeur, Liège.
4. Enfance , 'et adolescence, F. Anselme-!.
Dehase, directeur de la Nouvelle revue pédagogique belge, La Procure, 14 Boulevard E. Mélot, Namur, la première partie : Enfance.
5. Enfance et adolescence, F. Anselme-l. De'hase, directeur de la Nouvelle revue
pédagogique belge, La Procure, 14 Boule
vard E. Mélot, Namur, la deuxième partie : Adolescence.
Sion, le 19 décembre 1956.
Le Chef du Département de l'Instruction publique:
M. Gross
MITTEILUNGEN DES ERZIEHUNGSDEPARTEMENTES
DEPOT DU MATERIEL
SCOLAIRE
Le Dépôt du matériel scolaire, à SION,
tient à la disposition du per'sonnel ensei
gnant le matériel suivant:
1. Tableau mural pour l'enseignement du calcul par Reinhard, environ 1 m 2, avec
chiffres blancs sur fond noir, 'imprimé sur papyroline et pourvu de baguettes. Fr. 8.75
2. Exercices de numération par l'emploi du tableau Reinhard, par Sr Marie-Etienne.
36 p., 21 X 15. Fr. 0.50
3. Petit tableau (15 X 12) sur demi-carton destiné à l'é:ève pour les exercices en
classe ou à domicile. Fr. 0.10
On peut encore trouver de très nombreux
exercices et plus de 4000 solutions concernant les 4 opérations, dans un petit livret intitulé «Texte explicatif et so:utions du tableau de calcul Reinhard », chez A.
Francl~e, éditeur, Berne.
* Au personnel enseignant du degré inférieur
N OTIS rappelons aux maîtres et maîtresses
du degré inférieur que le Dépôt du matériel scolaire à Sion tient à leur disposition:
1. Les feuilles de résultat pour l'enseignement individualisé du calcul, au moyen de fiches, avec autocorrection. Prix
Fr. 2.- le cent.
2. Des pochettes protectrices en cellophane
(50 mm X 250 mm) poUr les fiches de
calcul éditées chez Fr. Schubiger à
Winterthur. Prix Fr. 3.50 le cent.
3. Des pochettes protectrices en cellophane (73 mm X 73 mm) pour les images du
P. Castor. Prix Fr. 2.50 le cent.
...:.-- 118-
Am Rande vermerkt
Am Il. November letzthin liess die Ge
meinde Bürchen ihr schones neues Schulhaus einweihen. Der Bau macht der dortigen Venvaltung - mit H. Lehrer und
Grossrat Gatùen an det- Spitze -, der Bevolkerung, dem Architekten Felix Grün
wald und den Handwerkem und Arbeitern
- aIle aus Bürchen oder seiner nachsten Umgebung - grosse und verdiente Ehre, Det' hochwürdigste Gnadige Herr und zwei
Staatsrate - Erziehungschef und Baudirektor - unterstrichen durch ihre Gegen
wart und ihre vortrefflichen Ansprachen die Bedeutung dieses Tages, der so wohlgelungen und ermutigend war, dass ihn Bürchen
nicht ras ch vergessen wird. Das neue Schulhaus enthiilt 4 helle, freundliche Klassenzimmer; Arbeitsrawn, Küche
und Waschküche für die Haushaltungs
schule, die soeben eroffnet wurde; einen
Trun- und Pausesaal; Lehrerwohnungen
und ein Zimmer, das leicht zu einem Internat für auswartige Haushaltungsschülerinnen eingerichtet werden kann. Dazu
kommen noch etliche Lokale, die nicht der Schule dienen und demzufolge auch
nicht subventioniert werden.
Ein paal' Gedanken drangten sich uns auf : Wie ware es, wenn dies~s neue Haus, das
von Gemeinde wld Staat ein sehr bedeutendes finanzielles Opfer verlangte, nicht nur
sechs sondern sieben oder acht Monate der Erziehung und dem Unterricht der Jugend dienen würde? Und weiter: Sollten nicht
in jeder Gemeinde, die ein Schulhaus bauen muss, Anlage und Einrichtung desselben
in erster Linie vom Standpwlkt des Kindes aus studiert werden? Bürchen hat sich
darunl bemüht und seine Erfaluungen konnten für weitere Gemeinden nützlich
sein. Ferner: Es ist gut und anerkennens
wert, ein neues Schulhaus zu bauen; aber
au ch notwendig und verdienstvoll, es in gutem Zustande zu erhalten.
Der Walliser Grosse Rat befasste sich anlasslich der Beratung des Voranschlages
für das Jahr 1957 auch mit etlichen Schulfragen. So wurde z. B. mit Nachdruck auf
unsem sehr starlœn Mangel an technischem
Persona! aller Grade hingewiesen und der
Bau eines kantonalen Teclmikums gefordert. H. Staatsrat Gross konnte anhand neuester Unterlagen darauf hinweisen, dass
dieser Mangel ein allgemeiner ist, und dass bereits verschiedene Massnahmen ergriffen
wurden, um ihn zu mildern und vielleicht nach und nach zu beheben: zinslose Dar
lehen an zukünftige Techniker und Ingenieure, Vorbereitungskurse auf technische
Hoch- und Mittelschulen, Verbesserung der Programme uns e r e r Maturitatsschulen.
DamÎt soU aber nicht ZlUll Ausdruck gebracht werden, dass die Errichtung eines
kantollalen Technikums grundsatzlich und für aIle Zeiten aIs ansgeschlossen betrachtet
wird. Man wird sich mit dieser Frage aber vieUeicht in nicht allzu ferner Zeit ernsùich
befassen müssen und ware es vorderhand
auch nur im Sillne der Schaffung eilles
Technikwns mit einet· reduzierten Zahl von Abteilungen.
Eine weitere Intervention erfolgte für eine
Revision des Dekretes betr. die abgestufte Subvelltiollierullg in det' Absicht, wirklich
finanzschwachen Gemeinden im Schulhausbau in vermehrtem Masse zu Hilfc kom
men zu konnen. Diese Revision ist bereits
seit etlicher Zeit im Gange; das ganze Problem jedoch sehr komplex, weshalb eine allseits befriedigende Losung wOlhrscheill
lich nicht leicht zu erreichen sein wird . Schliesslich regte ein Abgeordneter noch an man mochte den Gemeillden die Freihei:
lassen, die vom Staatsrat bestimmten Ferien
selber anzusetzen. Auch dieser Vorschlag wurde zut· Prüfung entgegengenommen. lm Hinblick auf die dauerndell Bestrebungen
für eine Verlangerung der Schulzeit gewinnt
er an Bedeutung. A. CH.
SCHULFOTOS prompt und sauber, billig
Fr. 1,- pro Karte 10/15 cm Ohne Risiko für den Hr. lehrer Wir kommen wann es Jhnen passt,' Kein Zwang zur Abnahme durch die Kinder
Freundliche Grüsse : . L. KL1(Y ·K~MPFEN & SOHNE BRIG
Tel. 31620 '
-119 -
Bericht über den Orientierungs- und Fachkurs für die Lehrer der Fortbildungs
schulen.
Diesel' vom Erziehungsdepal'tement schon seit einiger Zeit vorgesehene und organi
sierte Kurs kam endgültig je am 22 . und 29. November in Visp zur Durchführung.
Das Prograrnrn lUllfass te in der Hauptsache
einerseits Darlegung und Diskussion zn den neuen Lehrprogrammen der Fortbil
dungssc1llùe und anderseits eine Reihe von Vortragen zu den verschiedenen SchulHichern. Herr Adalbert Chastonay, Sekretar
des Erziehungsdepartementes, konnte zu Heginn der Arbeitstagung eine schone Anzahl
Sehulmanner begrüssen und gab dann einen eingehenden und interessanten Überblick
über das bisher El'reichte und die weiteren Plane lUld Bestrebungen des ErziehlUlgs
depal'tementes für Ullser Schulwesen im
allgemeinen, insbesondere über die Primarschulen und über die Fortbildungsschulen im speziellen. Einmal mehr konnten wil'
die Feststellung machen, dass unser Schul· wesen in den letzten J ahren in bedeutender
Weise entwickelt und ausgebaut wurde und dass speziell auch im Oberwallis in dieser Hinsicht ein grosser Schritt vorwarts getan
wurde, dank der loyalen und yerstandnisvollen Einstellung unseres verehrten Er
ziehungschefs, Herrn Staatsrat Gross und den tatkraftigen Bemühungen unseres Se
kretars Chastonay. In einem fein abgewogenen und tief
fundierten Vortrag sprach dann der hoehw. Herr Schu:inspektor Ernst Schmidt, Pro
fessor am Kollegium Brig, über das Thema:
Die Psyche des jugendlichen Me71schen im Fortbi,ldungsschulalter, wobei 'er die wich
ti gsten Momel~te aufzeigte, welche die BildlUl g und 'Erziehung auf der Altersstufe
der Fortbildungsschule so schwierig, aber
anderseits auch dankbar l~achen, wenn der
Lehrer und Erzieh er es versteht, das Ver
trauen des Schülers und Jungmanns zu gewinnen. In einem Zehn-Punkte-Programm
steIlte der Referent wertvolle Richtlinien auf, die beitragen konnen, unsere Arbeit
in der Fortbildungssc1llùe erfolgreicher zu
gestalten.
Am Nachmittag verbreitete sich Lehrer Franz lmhof, Bdg über den Entwurf eines neuen Lehrprogramms für die allgemeine
F ortbildungsschule. Es sind in diesem Programm sowohl neue Facher vorgesehen wie
allgemeine Naturkunde, Naturlehre, franzosische Sprache und Handfertigkeitsunter. richt aIs auch die Erweiterung einzelnet'
Facher nach Stoff und Stundenzal1l wie etwa beim Deutschunterdcht, beim Zeich
nen, Gesang und Turnunterricht. ~ Leider reichte die Zeit knapp zur Darlegung des
neuen Programms ohne dass die Moglich
keit bestand, die einzelnen, besonders die neuen Stoffgebiete nach ihrem Umfang und besonders nach iluer Berechtigung zu
kommentieren.
Anschliessend sprach Herr Direktor H. B :oetzer üher Stoff und Stoffverteilung in
Naturkunde und Landwirtschaft, und er konnte aus seinem reichen, theoretischen Wissen und aus seiner langjahrigen Er
fahrung den Lehrern wertvolle Hinw.eise
üher die Gestaltung von Pl'ogramm und
Unterricht erteilen.
Der zweite Kurstag umfasste aIs . erstes
Referat dasjenige von HerT1~ Gewerbelehrer Josef lmhof über den Deutschunterricht an den Fortbildungsschulen, wohei der Referent in der Hauptsache das Lehrprogramm
entwickelte, das an den Gewerhesclllùen im Oberwallis zur Durchfühnmg kommt.
Seine Ausführungen zeigten den erfalll'enen
Praktiker, der weiss, wie sehr man sich sowohl in der Gewerheschule wie auch
in der Fortbildungsschule nach der Imapp bemessenen Zeit und dem Bildungsstand
der Schület- richten muss. - Da der Berichterstatter ehenfalls wahrend 12 Jahl'en (1927-1939/40) an der Gewerheschule
Brig den Deutschunterricht erteilte (damals
no ch aIs einziger Lehrer für den Deutsch
unterricht), so haben ihn die Ausführun
gen des Referenten ganz besollders interessiert. lm Sinne der neuen Lehrpro. gramme an der Forthildlmgsschtùe sind
allerdings Stoff und Ziel von Forthil·
dungs- hzw: Gewerbeschule nicht mehr konfonn, indem die GewerbeschlÙe das
Gewerbe, die . Fortbildungssch~le entwede~
-)20 -
die Landwirtschaft oder im allgemeinen
Progralllm den Gesichtspunkt und die Umwelt des Arheiters, des Angestellten, des angelel'l1ten Bau· oder Fabl'ikarheiters in den Mi ttelpunkt des Deutschunterrichtes zu
stellen hat, tlnd in diesem Sinne ware es vielleicht wünschenswert gewesen, wenn das
Thema noch von anderer Sejte auch nach dies en zwei Gesichtspunkten erlautert worden ware.
Es folgte anschliessend das Referat von
Herm, Landwirtschaftslehrer BeZ:wald von der landwirtschaftlichen Schule in Visp, der aIs Fachmann über den Gemüsehau im
Oberwallis sprach und dabei betonte, dass
hier im Gegensatz zum Unterwallis noch zu wenig Wert auf den Gemüsebau gelegt werde trotz den Bemühungen der landwirtschaftlichen Schule in Visp und deren
Propaganda und tl'otz Vortragen in allen
Gelneinden des Oberwallis. Der Referent setzt sich auch ganz besonders ein für eine vermehrte, hauswirtschaftliche Ausbildung
unserer Tochter und verweist in diesel' Hinsicht auf die günstigen Verhaltnisse
und Ausbildungsmoglichkei.ten in anderen Kantonell.
Seinen interessanten Ausführungen schliesst sich das Referat von Hernt P. E. Burgener, Kantonsgerichtsschreiher, an, der auch an
der landwirtschaftlichen Schule in Visp den
Rechtsunterricht erteilt. - Der sympathische
Referent wuss.te in seiner ruhigen Art lUld aus seiner reichen Sachkenntnis die in Betl'acht fallel1den Rechtsfragel1 derart Idar
und verstandlich darzulegel1, dass sich bald Frage um Frage und eine sehr nutzbringende Diskussion ergab.
AIs letztes Referat folg te dasj enige von
Frau Dionyse Mengis, Visp, Leiterin des Betreihungs- und K onk.ursamtes, welche mit
grosser Sachkenntnis und in klarer, sym
pathisch er Weise die ausgedehllte Materie über das Betreibungs- und Konkurswesel1 darzulegen und abzuldaren wusste.
Dass sich a;1 beiden Tagen eine grosse
Anzahl Lehrer an der Diskussion lebhaft beteiligten, soweit die Zeit hiezu ausreichte
sei hier nul' erwahnt, da es im Rahmel~ dieses Bedchtes nicht l110glich ware, auf die eil1zelnen Punk.te und Voten einzugehen.
Allen Teilnehmern, inshesondere auch den Referenten und Herm Sekretar Chastonay
(für ihn und zullanden des Erziehungsdirektors) gehührt Dank für die Organisation
und Durchführung des Kurses, der sich gauz sicher im günstigen Si11l1e auf die
GestaltlUlg und die Entwicidung unserer Forthildungsschulen auswirken wird,
Franz Ill1hof.
Bientôt un siècle d'expérience, c'est une
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- 121 -
ASSOCIATIONS VEREINE
LA DOYENNE
DES .INSTITUTRICES SUISSES
En cette année 1957, la doyenne des institutrices suisses, Mme Vve Catherine V œfCray, institutrice à la Crettaz, fêtera son quatre-vingtième anniversaire. Cette année marquera également la fin d'une longue carrière de 63 ans dans l'enseignement. Nous nous faisons un plaisir de reproduire ce qu'écrit à son sujet le bulletin romand
, « Educateur », dans sa partie réservée au
canton de Vaud, sous le titre: 63 ans d'enseignement! Cela ne se passe pas dans ~e canton de Vaud, mais bien chez nos amis Valaisans . Le « cas» est tellement exceptionnel que l'on pardonnera au soussigné s'il lui accorde une place dans cette chronique. Mme Veuve Catherine Vœffray, institutrice à la Crettaz, Val de Trient, a 80 ans et 63 ans d'enseignement. Elle est ,touj ours en fonctions et dorme aussi les Cours complémentaires aux futures recrues. A 17 ans, après une année d'études à l'Ecole normale de Sion, elle était nommée au Tl'étien. .. où el!e retrouvait ses anciennes camarades d'école ... et il fallait que ça marche! Personne n'avait voulu postuler ce nid d'aigle perché Sur les Gorges du Trient; alors, on l'a supp:iée d'y reSLer et elle a continué ainsi d'année en année. Mais, dès juin 1957, le villa.ge sera quasi abandonné, il n'y aura plus qu'une fa.mille avec deux enfants et «Mme Catherine » quittera bon gré, mal gré, sa «raison de vivre ».
Que Mme Catherine veuil:e bien accepter l'hommage d'admiration et d'amitié de ses collègues vaudois.
E. B.
Ses collègues valaisans profitent de cette occasion pour redire aussi à Mme Vœffray leur reconnaissance pour le hel exemple de dévouement qu'elle continue de leur donner.
Itomiteesitzung des O .l.V.
vom 16. 12. 1956 in Brig
Anwesend waren: Pras. Stucky Aux. , Hochw, Herr Prof. E. Schmidt, Lehrer Arnold Louis, Lehrer Furrer Hermann, Lehrel· Imhasly Peter, sowie der Sekretar des Erz . Departementes, Herr Chastonay A. Der Vorstand des O.L.V. trat hauptsachlich zusammen, um einer Abordnung der pensioniel'ten Lehrel·, b estehend aus den Herren alt-Lehrern Biderbost Hermann, Imhof Auxilius und Gattlen CasaI', Gelegenheit zu bieten, einige Wünsche und Anregungen vorzutragen. Dass unsere pensionierten KoHegen fin anziell nicht auf Rosen gebettet sind, dürfte jedermann bekannt sein und es ist daher nicht verwunderlich, wenn sie an die aktiven Kollegen gelangen, sie in ihren Bestrebungen um Verbesserung iluer Lage zu
unterstützen. Nach Ausführungen von Lehrer Biderbost Herm. und Sekretar Chast onay Adelbert und einer langern fruchtbaren Diskussion wurde einhellig beschlossen :
1. Es soll eine Eingabe an den Staatsrat eingereicht werden um Erhohwlg der Teuerungszulagen an das pensionierte Lehrpersonal bezw. wu Ausrichtung einer solchen an das gesamte pensionierte Lehrpersonal und nicht nur an dasjenige, das vor 1954 in den Ruhestand getreten ist.
2. Es soll ein Gesuch an den Vorstand der Ruhegehaltskasse gestellt werden, die Revision der Ruhegehaltskasse moglichst rasch voranzutreiben. Bei dieser Gelegenheit sollte auch die Frage geprüft werden, ob es nicht
vorteilhalter ware, vom jetzt angew1\,ndten Kapitalisationssystem zum sogenannten Umlageverfahren umzustellen. Es ist zu hoffen, dass bei einer Revision der Ruhegehaltskasse namentlich für das altere Lehrpersonal einige Verbesserungen geschaffen wer
den konnten.
-122 -
Der Vorstand der O.L.V. ist fest entschlossen, die pensionierten Kollegen in ail en ihren Bemühungen um Verbesserung ihrer rnisslichen finanziellen Verhaltnisse volI und ganz zu unterstützen.
lm weitern befasste sich der Vd. des O.L.V. mit dem Datum und der Organisation der Generalversammlung pro 1956/57, die in der ersten Halfte des Monats Februar 1957 abgehalten werden solI. Die Organisation derselben: wird Ullser Vize-Prasident Herr Prof. E. Schmidt in Verbindung mit dem Vorstand des OberwalIiser Lehrerinnenvereins naher besprechen.
Der Aktuar.
Indeenwettbewerb Für Oberwalliser
Horspiele
Zur Erlangung neuer Horspiele in der Oberwalliser Mundart schreibt die Oberwalliser Horspielgruppe in Verbindung mit dem Studio Bern unter Wallisern einen
IDEENWETTBEWERB
aus. (Es konnen sich also auch auswarts wohnende Walliser beteiligen). Verlangt werden eine ausführliche Disposition des vorgesehenen Stoffes in der szenischen Anlage, -ein Personenverzeichnis und eine vollstündig ausgearbeitete Szene in Oberwalliser Mundart oder in Schriftsprache. (Eine spatere Übersetzung der schriftsprachlich abgefassten Arbeiten bleibt ausdrücklich vorbehalten) .
Die Horspiele sollten eine Sendedauer von 60 Minuten nicht übersteigen und nicht mehr aIs zwolf Sprechrollen aufweisen. Erwünscht sind voruelunlich Stoffe aus der Gegenwart des Wallis.
Der I deenwettbewerb wird U1lter folgenden BedingU1Igen ausgeschrieben:
1) Die ausführlichen Dispositionen sind in Schreibmaschinenschrift in drei Exemplaren 'bis spatestens am 31. Januar 1957 an Studio Radio Bern, Walliser Horspielwettbewerb, Schwarztorstr. 21 einzusenden.
2) Die Arbeiten dili·fen keinen Verfasser. namen tragen. Sie müssen mit- einem Kennwort versehen werden. In einem verschlossenen Briefumschlag sind qer Titel des Werkes und der Name des Verfassers anzugeben. Auf dem Briefumsclùag ist das Kennwort der eingereichten Arbeit zu wiederhoien.
3) Eine Jury, bestehend aus drei Vertretern des Oberwalliser Schrifttums und der Horspielgruppe sowie zwei Vertretern des Studios Beru prüft die eingereichten Arbeiten. Der Entscheid' der Jury wird den Beteiligten bis spatestens Ende Marz eroffnet.
4) Zur Pramierung guter und brauchbarer Vorschlage steht eine Preissumll1e von Fr. 500.~ zur Verfügung.
5) Die ausgezeichlleten Dispositionen kon
nen dur ch die Verfasser auf einen noch zu bestimll1enden Termin ausgearbeitet und dem Studio Radio Bern zut: Sendung eingereicht werden. Die Honorierung erfoigt dann im Rahmen der üblichen Vergütungen. , Radio Bern kann nicht
, verpflichtet werden, eine pramiierte Arbeit un ter allen Umstaden zur Sendung zu bringen.
6) Der Entscheid der Jury ist endgültig U11d unanfechtbar.
7) Über den Wettbewerb \ werden keine , Korrespondenzen geführt.
Lehrerexerzitien im Jodernheim in Visp
Yom 8. bis 10. Dezember wurden ill1 St. Jodernheim in Visp Exerzitien für die Herren Lehrer des Oberwallis abgehalten. 32 Lehrer folgten der Einladung des Oberwalliser Lehrervereins und nahmen mit grossem inneru Gewilln an diesen drei Tagen der Einkehr und Besinnung teil.
Der neue Exerzitienll1eister, H. H. Pater Truniger, verstand 'es meisterhaft, uns die
grossen und ewig wahren Heilslehren in formvollendeten und begeisternden Worten vol' Augen zu füIu'en und unsere zukünftige Erzieherarbeit nach den stets gültigen Grundsatzen des gottlichen Lehrmeisters auszurichten. Besonders wertvoll und unvergesslich werden uns die aus reicher Er-
- 123 -
fa!1~'::::'; i:~eilten Ratschlage für die Erziehung der Kinder bleiben. Es ist nul'
, schade, dass nicht noch mehr Lehrer die Ge
legenheit benutzten, sich für die schwere und verantwortungsvolle Berufsarbeit Starkung und Kraft zu holen. Ein herzliches «Vergelts Gott!» auch an diesel' Stelle dem hochw. Exerzitienmeister, der Direktion des St. Jodernheims sowie dem Oberwalliser Lehrerverein für die Dmchführung diesel' Exerzitien.
Ein dankbarer Teilnehmer.
UN SERE TOTEN NOS MORTS
Mademoiselle Catherine Métrailler
Le 3 septembre dernier la mort a ravi à la population de Salins une personne qui lui était chère: son institutrice, Mademoiselle Catherine Métrailler. L'année dernière, encore alerte, à l'âge de 69 ans, elle dirigeait la classe des filles de sa commune, c'est dire que pendant près d'un demi-siècle des centaines de jeunes filles profitèrent de son riche en· seignement. J'ai déjà fait la classe à ta grand-maman, pouvait-elle dire à l'une ou l'autre de ses
élèves ces dernières années. Et elle avait
bien raison d'en être fière. Quelle somme de dévouement représentent
cinquante années passées au milieu de ce petit monde bruyant et étourdi! Toujours souriante, elle ne se plaignait jamais et elle ne comptait pas sa peine car elle aimait sa classe. Certains membres de la Commission scolaire se rappelleront encore avec quelle force elle défendait ses filles et leurs travaux lors des concours entre filles et garçons sagement organisés deux ou trois fois durant l'année scolaire. Mademoiselle Métrailler s'intéressait à tout et c'était agréable de lier conversation avec elle sur les grands événements qui bouleversaient le monde; elle les étudiait si bien et son cœur était tout ému quand tant de pauvres innocents en étaient les victimes.
Elle a donné surtout l'exemple de la prière à ses élèves et à sa paroisse et si tant de mamans et de jeunes filles ont conservé une fervente pratique religieuse malgré la dispersion des villages et l'éloignement de l'église, elles le doivent à l~ur institutrice
si profondément chrétienne. Dieu l'aura reçue là-haut et récompensée
comme elle méritait. L. H.
Das Vollvvaschrnittel
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-124 -
[ DI VERS * VERSCHIEDENES
1. V. A. c. '
Quelle est donc la signification de ces quatre lettres? International Visual Aids Center, En fran~ çais: Centre International d'auxiliaires visuels. '
Quel est le but poui'suivi par cet organisin e ? D'une manière générale, fournir aux corp's enseignants des divers pays du monde des moyens d"enseignement d'ordre visuel (cinéma, films fixes, diapositifs, etc.) D'une manière plus restreinte pour le moment', car il est inutile de courir plusieurs lièvres à la fois, fournir des cal'tes de géographie et d'histoire, dites cartes-dias. Ce sont des cartes géographiques, en couleurs, montées en diapositifs 5 x 5 que l'on projette à l'écran au ' moyen d'un appareil de projection habituel Mais pOUl'quoi donc de pareilles cartes? Parce qu'on a remarqué que , nos élèves ne retiren't pas tout le profit esco~pté des cartes murales ou des cartes' d'atlas. Il faut en effet Une longue pratique de ' la cartographie ,pour pouvoi'r déchiffrer correctemenÎ:une carte. Il convient d'Îlùti~r nos élèves, tant aux faits géographiques ou historiques pr!lprement dits qu~à leur représ'entation graphique. Or les cartes murales, comme les cartes d'atlas~ ne présentent jamais que des synthèses de connaissances, où textes et symboles se superposent, où trop de notions figurent à la ' fois ' avec des légerides cOhipliq~ées; ' Elles sont difficiles à lire et à comprendre. Les cartes-dias de 1'l.V.A.C .. ont pôur objet principal d'isoler les notions de telle façon que chacune "d'entre elles puisse être assimilée séparément et progressivement, jus
qu'à la synthèse finale. Projetées à l'écran elles permettent ' de présenter, à très grand format d'une niariiè're précise et parlante, un seul ' fait géographique ou historique. Il n'est ain'si plus néc~ssairè de fouiller la ':carte pou~ repél;el' ce que , l'on', veut faÎl~e-voir. ' ,
Les cartes-dias parlent aux élèves -et ceux·d les assimilent spontanément. On prépare ainsi nos élèves aux recherches sur CE\rtes classiques et à la compréhension des cartes murales.
Disons tout simplement que les cartes-dias sont l'alphabet de la géographiè et que leur proJection permet aux élèves d'avoir sous les yeux:
L des cartes d'Url très grand format. 2. des cartographies claires et parlantes. 3. des localisations précises de chaque fait
particulier.
Les éditions de l'I.V.A.C. s'ont placées sous le contrôle du collège de Bruges. Ce centre a entrepris la constitution d'un «pool» mon· dial de documentation visuelle, collection d'une valeur exceptionnelle puisqu'elle est sélectionnée pour chaque pays, par un co
mité pédagogique du pays même. Actuellement 18 pays ont adhéré à l'IV AC; la diffusion mondiale de ces documents permet de les livrer à des, prix tout à fait intéres-: sants. Les premières séries' de cartes-dias ont paru: citons EUROPE l, EUROPE II, AMERIQUE DU NORD, AMERIQUE DU SUD, AFRIQUE, FRANCE, BELGIQUE. Elles se composent chacu;le d'environ une vingtaine de cartes traitant du relief, dé l'hydrographie, du climat, de la végétation, de l'industrie, de la population, etc. Le comité suisse de l'IVAC a été créé et' s'est mis promptement au travail. Il a réalisé une série de 24 cartes qui va être mise en vente très prochainement. Il a repris entre autres plusieurs idées des feuillets de documentation de l'UIC., édités
I?ar)e, Gllid~, çle Documentation d~ la S.P.R. afin de ' rester dans la ligne générale de l'ens'ei.ghe~ent ,actueldë', la géographie. Voici,
d'àiUeurs la liste des 24 cartes prévues:
L Situation de la Suisse en Europe 2. Les frontières naturelles de ia Suisse 3. Les régions 'naturelles
4. Les bassins fluviaux 5. Les cours d"eau 6. LeS températures moyennes en hiver 7. Les températures moyennes en été :a-. ' Pluies et 'vents 9; Répa~titio'n des ~onfessions '
10. Répartition des langues Il. Population: comparaison entre les Gri.
sons et Argovie 12. Utilisation du sol: carte
13. Utilisation du sol: schéma 14,. Industrie suisse
15. Importation 16. Exportation
17. Les lignes de chemins de fer 18. L'importance de nos tunnels
19. Le réseau routier 20. Le réseau du Gothard 21. Le tourisme
22. Les cantons 'suisses et leurs chefs·lieux 23 . Cartes schématiques de la Suisse
24. Carte muette (pour les travaux de con· trôle).
Notre propos n'est pas de faire de la ré· clame, mais nous pensons qu'il est néces· saire de préciser ce, qu'est l'IV AC dont on
commence à parier chez nous, nécessaire aussi , de mentionner cette innovation de
cartes·dias qui rendront de grands services à ceux de plus en plus nombreux qui pos·
sèdent un appareil de projection. Les appareils de projection atteignent actuel· lement un tel perfectionnement qu'il n'y a souvent même plus besoin d'un obscurcis·
sement complet du local de classe. On ne peut plus passer à côté de ce moyen d'en·
seignement sans s'y intéresser, sans en
examiner la valeur. J .. J. DESSOULA VY, Professeur
Genève
BOITE AUX L..ETTAES 0 BAIEFKASTEN
Dans la mesure du possible, nous répon.
drons sous cette rubrique aux questions que le personnel enseignant voudra bien
nous poser. Ces questions doivent être envoyées avec le nom et l'adresse de leur auteur. D'autre part, elles doivent évidem.
ment se rapporter à des problèmes entrant dans le cadre de la revue,
La Rédaction.
Ein jungel: Lehrer fragt :
«Wie konne!l schriftliche Korrekturen von
Aufsatzenvorteilhaft ausgeführt werden? »
Das W ort « vorteilhaft» giIt wahrschein.
lich sowohl für den Lehrer aIs den Schüler. Vielleicht konnte man die Frage au ch so
formulieren: «Wie kann ich bei diesen
Korrekturen mit moglichst wenig Aufwand von Kraft und Zeit am meisten Erf olg er·
zielen ? » - Ich erinnere mich, VOl' Jahren von jemanden gehort zu hab en, sein ehema·
liger Deutschlehrer hatte die Aufsatze glanzend verbessert; deml der habe so
ln diesel' Rubrik, die wir von jetzt an für unsere Leser be,ifügen, werden wir im Rahmen des Moglichen Fragen beantworten,
die aus dem Leserkreis gestellt werden. Diese Fragen müssen aber untel' Nennung des Namens und der Adresse eingel'eicht
werden. Anonymes wird untel' keinen Um. standen berücksichtigt. Ferner dürfen diese Fragen nul' padagogische Belange betreffen.
Die Redaktion.
viel gestrichen ' und Neufassungen von sprachlichen Ausdrücken hineingeschrieben, dass Rot und Schwarz sich beinahe die Stange hielten. Sind derartige Verbesserun. gen wirklich vorzüglich, und entspricht der Erfolg einer solchen übereifrigen Viel. arheit? Ich glaube es nicht . Ein solches
Morgenrot erweckt im Schüler derartiges
Minderwertigkeitsgefühl und Unlustemp·
finden, dass el' den Mut gal' nicht mehr
aufbringt, den Unterschied zwischen seinem eigenen und dem verbesserten Ausdruck zu
unterscheiden und sich entsprechend zu bes·
sern. Ich bezweifle ferner, dass es bestimmt
]26 -
vorteilhaft sei, wenn wir unser Bildungs·
deutsch über dem vielleicht etwas unbe· holfenen, aber doch kindlich urspriiglichen
und frischen Ausdruck hinschreibcn. Wir müssen daran denken, dass der Ausdruck des Kindes noch entwicklungsbedingt ist;
dass wir darum auf diese sprachliche Ent. wi cklungsmoglichkeit Vertrauen setzen müs· sen und ab'warten, wie dies'e mit der Zeit die
jetzige Schwerfalligkeit überbrücken und
ausmerzen wird. Vielleicht begehen wir auch beim Verbessern zu oft den F ehler, '
dass wir in den Kindern kleine Erwachsene sehen, von denen . wir schon «gebildete»
Ausdrucksformen erwarten. Dabei ist, inso· fern wir au ch ein dem Kinde angepasstes
Thema gesteIlt haben, der kindliche Aus· druck manchmal viel kostlicher und zutref· fender aIs der vom Erwachsenen aufge.
pfropfte Stil, der sich darauf ausmachen mag ' wie ein «Siduplatz » auf Trilch.
Was ist also zu tun ? Nur das «brandmar·
ken », was wirklich fehlerhaft ist, und zwar nur dann, wenn wir annehmen dürfen,
dass der Schüler aus sich selbst heraus die richtige Form wahrscheinlich nicht fin den kann. - Aber, wie kann denn cler
Schüler aufmerksam werden auf das, was er verbessern solI, wenn el' clas Mangel.
hafte nicht unterstrichen sieht ? Es gibt da für den Lehrer ein sehr einfaches, prak.
tisches, sog. Randzeichensystem, clas clt?m Verbessernden viel Arbei't und Zeit erspart, den Schüler aber - bei richtiger Anleitung _. zu eigenem Nachdenken und Arbeiten
erzieht. Der Lehrer bringt also Randzei. chen an, clie aber nicht zu zahIreich sein dürfen. Es seien VOl' allem folgende empfoh. len, die ziemlich genügen dürften:
1 = Rechtschreibfehler ; + = Sprachfehler (ev. F falseher Fall
und Z = falsche Zeit)
y- = hier fehlen Wortel'
A = unrichtiger Ausdnick S = fais ch gebauter Satz
= ist clas riehtig ?
Satzzeichen soIlten innerhalb des Textes
selber verbessert werden; ebenso soUte
- ]27
man bei falscher Wortstellung im Satz
dicsc dUl'ch Zahlen ber ichtigen,
Anf diese Weise soIlte cler Sc!tülel' den
Fehler in der betreffenden Zeile selber fin· den und er wird, wie bereits erwahnt, clabei zu genauem Beobachten und selbstandigem
Denken erzogen. Dass dieses System aber nur für clie Oberstufe oder für Sekundar· schulen oder cliesen entsprechende Schul·
stufen anwendbar ist, leuchtet wohl ein; clenn in der Mittel· oder Unterstufe ware
cliesel' Anspruch sicher verfrüht und el" folgIos. Hier bleibt a1so niehts anderes übrig, aIs genügend «Rot » auf. oder untel'·
zuIegen. Allgemein sei für Korrekturen noch folgen. des erwahnt. Weil das Verbessern meistens
eine re,cht unliebsame Arbcit ist, laufen wir gerne Gefahr, diese moglichst lange zu
verschieben, oft bis zum letzten, dringen. den Moment. Es kann sogar vorkol11men,
dass Lehrkrafte diese Arbeit in allerletzten Nachten VOl' der Schlussprüfullg nachhoIen müssen, wenn diese erst ganz kurz zuvor
angemeldet wurde. Dass solche Korrekturen wertlos sind, liegt auf der Hand. Darum gelte aIs Grundregel : So rasch aIs moglich
hinter die Arbeit! Auch hier sei dringend geraten: «W as clu heute tun kamlst, ver·
schiebe nicht auf mOl'gen ,! »
Sodaun gibt es noch ein bewahrtes Hilfs· mittel, das die Korrekturarbeit leichter und
angenehmel' macht. Wir sind nach der Schule, also clann, wenu wir korrigieren
soIlten, meistens müde, vielleicht sogar gel'eizt und missgeIaunt und darum durch kleine Enttauschungen, die uns clie Hefte bringen konnen, für neue Aufregung mu so anfalligel', Um die kostbare Gemütsruhe zu bewahren und , damit um so bessere
Arbeit zu leisten, kann folgende Methode vorzüglich wirkcn : 'Wir nehmen zuerst eine
gute und dann eine schlechte Arbeit in clie
Hand - nach einiger Zeit werden wir
clie Schüler für diese Unterscheiclung sicher
genügend ken!:en - und dann lesen wir beicle dUl'ch, und wir merken gleich, was
gesamthaft etwa zu erwarten ist. Dann erst gruppiereri wir die Hefte nach ihrer mut·
masslichen Güte und machen uns zunachst
l11utig und entschlossen an die schlechtesten Arbeiten h eran. So dürfen wir mit dem trostlichen Gefühl weiterfapren wie
ehemals die Dampflokomotive ' der Fur
kabahn, die nach ' Überwindung einer steilen Strecke frohgemut puffte: « Jetz geits besser - jetz geits besser ! » Bei diesem VOl'
gehen sind wir am Schlusse der gefürchteten Vel'besserungsarbeit gal' nicht so unglijcklich und werden um so froher und
mutiger an die nachste Korrektur uns heranwagen: Notiel"s und probier's !
Ernst Schmidt.
BIBLIOGRAPHIE ·l: ,BÜCHER
-RSAUMES, de Marcel Michelet.
Nos lecteurs ont lu sans doute avec recueillement la belle méditation que M. l e
chanoine Marcel Michelet, iauréat de l'Académie franç~ise, a bien voulu écrire à leur intention. Ils ont pu voir combien la no
tion de méditation y rejoint celle de poésie. Pour un poète chrétien, la contem
plation n 'est-elle pas la source la plus pure ? Les «Psaumes » sont nés de cette source. Conduits par le fil vénérable de la poésie
biblique, qui reste la substancè de l'office monastique, ils évoquent, chants dé pénitence ou de louange, les tourments ou la
paix ' de l'âme. Beaucoup de nos lecteurs connaissent déjà les 'autres écrits de M. le chanoine Michelet~ en particulier ses plus récents ouvrages de ' spiritualité (La Prière du Seigneur, la traduction de l'Imitation).
«Ici, écrit un commentateur, ni traductiol1, ni paraphrase; l'auteur revit tout simplement les psaumes dans leur jaillissement de désir, de crainte, d'angoisse, de tristesse et de
joie tour à tour, sources toujours présentes
au cœur et qui se décantent, paisibles, en
un patient amour. Sous une forme classique, sévère d'apparence, mais qui n'est que solide et durable, on possèdera un recueil où
poésie et prière' se rencontrènt ». Un,
volume de 112 pages, 14 X 19 Cin, 'heau.
papier volumineux fin blanc. Ed.ition restreinte. - A la , Librairie St-Augustin, StMaurice, et chez l'auteur, Abbaye de St-Mau
rice.
«TREIZE 'ETOILES » - Numéro de Noël. Largement consacré aux joies des sports
hivernaux et aux récentes installations dont notre canton les a dotés, il souligne en
même temps la tragédie du moment et la part qu'y prend le Valais. De superbes pho
tographies illustrent les chroniques artistiques et touristiques dues aux plumes auto
risées de chez nous. L'actualité y est aussi commentée en images, à côté des rubriques habituelles de la vie économique, des us
et coutumes de la vallée du Rhône, côtoyant le coin de l'humour et celui de la famille. « Treize étoiles », qui fait chaque mois son
tour du monde en faisant rayonner partout les reflets du Valais, est devenue l'une des
premières revues illustrées de Suisse. Son numéro de décembre, particulièrement lu
mineux, achève en beauté la sixième année de son existence.
HISTOIRE UNIVERSELLE ILLUSTREE
rédigée par les professeurs A. Mojonnier, G. Castella, F, von Tunk, A. Renner. - Editions Rencontre, Lausanne. (Stauffacher, Zü
rich).
L'histoire de ces deux derniers siècles, duo,
rant l esquels le devenir de l'Europe prit
un cours si tumultueux et parfois, si cruel, a éveillé un intérêt grandissant pour le destin - proche ou lointain - des peuples et des nations. Les grands courants de ,l;his
toire se ,_renouvellent périodiquement .e,t fournissent comparaisons et explications aux événements contemporains. Ce.tte «Histoire univ-erselle illustrée » espère répondre au
besoin de plus en plus répandu de con
naissances historiques, tout en aidant le lec
teur à éviter les conclusions enonées tirées
de considérations historiques hâtives.
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- 128 '-
EXERCICES DE NUMERATION PAR L'EMPLOI DU TABLEAU REINHARD.
par Sr Marie-Etiel~e, maîtresse , d'applica
tion à l'Ecole normale.
Le personnel enseignant a pu prendre COllnaissance dans les numéros 8 , et 9 de
«L'Ecole Primaire » de l'an dernier, des
travaux de Sr Marie-Etienne pour l'adaptation du tableau de calcul Reinhard à l'en
seignement de la numération.
Nous sommes heureux de signaler à l'~ttention de ceux et celles qui ont à enseigner les éléments du calcul, qu'un tirage à part
a été fait de ce travail, suivi d'un chapitre
sur les difficultés graduées pour l'étude de la multiplication.
Ce travail complète très heUl'eusement le manuel de calcul actuellement en usage au
cours inférieur et facilite singtùièrement
l'apprentissage si délicat de la numération. Par lme suite d'exercices très nombreux
et gradués avec grand soin, l'enfan~ est familiarisé progressivement avec toutes les
difficultés du calcul mental. Confiant dans la m éthode bien graduée, assuré du succès grâce au nombre considérable d'exercices,
le m aître progresse lentement, sans hésitation, depuis la décomposition pes nombres, le passage de la dizaine, jusqu'à l'acquisi
tion parfaite des automatismes exigés par le p rogramme de Ire, de 2e et de 3e almée.
Les maîtres qui ont la responsabilité de la fo rmation première de nos jeunes enfants
SaUrOllt gré à Sr Marie-Etienne de son excellent travail. Elle met ainsi à la disposition de notre école valaisanne les
fruits combien précieux d'une longue 'et fructueuse expérience. Nos remerciements bien sincères.
Abbé ENARD, Inspecteur 'scolàire
DEUTSCHE RECHTSCHREIBUNG
(Ein Nachschlagebuch für Büro, Schule
und Haus. Herausgegeben im Auftrag der
«Gesellschaft für deutsche Sprache » in
Zusammenarbeit mit ihrem Arbeitskreis für Rech tschreibung von Professor Dr. Lutz
Mackensen. 731 Seiten, C. Bertelsmann Verlag, Gütersloh· DM 9.80).
Wir machen immer Boch die Unterscheidung
zwischen den sog. toten un.d lebenden
Sprachen. Lebendige Sprachen machell die Wandhmgen und StromUllgen des mensch
lichen Lebens mit. Daher kommt es, dass ihr Wortschatz sich andert dur ch N eubildungen, d'urch Übern.ahme von W ortel'n
aus fremden Sprachell, wahrenddem manches
W ort und manche Wendung als veraltet
erl~scht. Ahnlichem Wandel ist auch die Aussprache und Sprechweise unterworfen.
Auch unsere Deutsche Sprache andert Ulld
wandelt sich entsprechend. Es ist daher notig, dass ' von Zeit zu Zeit die «Deutsche
Rechtschreibung » dem neuesten Stand der
Entwicklung Rechnung tdi,gt und hekal111t
gibt, was aus dem W ortschatz ausgeschieden und was neu auf gellommen wurde, sodass
die Rechtschreibung Schritt h~ten kann mit
dem Wandel der lebelldigen Sprache.
Eine solche «Deutsche Rechtschreib~ll1g » gibt es nun. Der Verlag Bel; t~lsmanll h~t die « Gesellscl~aft für deutsche Sprache » bewogen, ein 'entsprechendes Nachschlage
buch zu schaffen, das nicht nul' den Ge
lehrtell, son~ern auch dem Laien verstandlich sein würde.
Ein Ausschuss von altbewahrten Praktikern,
wie Professoren, Lehrer und Korrektoren, hat diese Arbeit bewaltigt. Sie auch auf
Unklarheiten der Gross- und Kleinschrei
bung, der Getrennt- und Zusammenschreibung lmd der Silbentrennung behoben
und moglichst der heutigen Sprechweise angepasst.
Das Buch enthalt über 100000 Stichworter,
ferner ' ein Verzeichnis von 2100 Abkürzungen aus' allen Lebensgebieten. Sodanl1
ist ein kurzer, leichtfasslicher Regelteil an
gegliedert. Ein Vollsichtregister am Buch
block, Leitbuchstaben anl obern Seitemand
und ins Auge fallende Schlagworter leiten
den Leser rasch zu dem von ibm gesuchten
W orto E. Sch.
Prof. Dr. Heinrich Hanselmann ': ELTERN
L'EXIKON.
Erste Hilfe in Erziehungssorgen und Schulnoten. Worterbuch vom Seelem.eben des'
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Kindes und ' des jugendlichen Menschen ca. 470 Seiten im Grossoktav.Format. In
Leinen gebunden Fr. 25.90, geheftet Fr. 21.25.
Rotapfel Verlag Zürich.
Das seit J ahren vorberëitete neue ' Buch
des internatîonal bekannten Verfassers und Tragers des Welt-Jugendhilfe-Preises der Weltstiftung Pestalozzi ist in verschiedener
Beziehung ein eigenùiches Lebenswerk. Vermittelt es doch einen im Verlauf von
Jahrzehnten gesammelten und durchdachten, in seiner reichen (praktischen und wissenschaftlichen) Vielseitigkeit heute viel
leicht einzigartigen Erfahrungsschatz und ist der getreue Spiegel jenes Hel f e rwill e n s, d'er Hanselmanns Tun und Den
ken wahrend eines Lebens und auf den verschiedensten Wirkungsgebieten gekenll
zeichnet hat. DanÎuf beruht schon die ganze
Anlage des Werkes, Wer im Erziehungsall
tag mitten drin steht, steht immer VOl' einem EinzelfaIl, vor einer Einzelfrage. Diese Not
des Erziehers bildet in diesem Buch den Ausgangspunkt. Darum ist in seiner Anlage das Sachworterverzeichnis zum Hauptteil,
statt zum blossen Anhang gemacht worden. Es wurde zudem ein Teil jener Fremd
wortel' aufgenommen, denen der heutige Erzieher in der Tagespresse und in Fachschriften standig begegnet, die ihm aber sinngemass nicht immer verstandlieh sind,
Die Auswahl der - alphabetisch angeordneten - Stichworte ist in einer mehr aIs vierzigjahrigen Tatigkeit aIs Erziehungs
bel'atel' und Heimleitel' gesammelt worden.
Sie ist umfassend und wesentlich, bringt das zu tatigem Gebrauch und zuverlassiger Orientierung Notwendige und Bedeutungs
voIle und zeigt in diesel' überlege\len, wirklichkeitsnahen Grenzziehung, sowie in der Formulierung und im systematischen Auf
hau der Stichworte, die Meisterhand. Letz.
terer hietet dem Benützer und Leser - das
mit Warme und Lebendigkeit geschrieben~
Buch la dt immer wieder zu vertiefter
Lektüre eill - besondere Vorteile. Es waren, soweit moglich und notwendig, fot.
gende Gesichtspunkte für die Behandlung
der einzelnen Stichworte massgebend:
Erstens·; eine WOl'tel'kliirung (nicht nul' bei
130
Fremdwortern) > die oft jahrhunder.tealte
Einsicht und Erfahrung, aber auch manchen Bedeutungswandel zum Ausdruck bringt und so eine ganz ei'gene Leistung deL
Buches darstellt ;
Zweitens, eine pyschologisch~ Dal'~tellung und Deutung des Tatbestandes ;
Drittens, eine zusamlnenfassende piidago
gische Betrachtung, die - weit entferntvon jeder rechthaberischen Rezeptverschreibung - den neuartigen, ganz dem Leben ver
pflichteten, von wanner Personlichkeit er
füllten Charakter dies es ' Lexikons weitge
hend mitbestimmt ;
Viertens, wesentliche und bis zur 'n.euesten
Zeit führende Literaturangaben zu allfallig
weiterer Vel'tiefung ;
Fünftens, Hinweise auf vel'wandte Stich· WOl'te und damit innere Zusammenhange
und Beziehungen. - Was einen ganz besonderen Vorzug des Buches bildet und die Moglichkeit verschafft, sich über einen
ganzen Pl'oblemkl'eis l'asch und von hoher Warte aus zu orientieren. lm Zei taIter einer yom Erziehungstatigen kaul11 mehr zu be,
waltigenden Literaturflut liegt geiade auch
in diesel' Beziehung ein besonderes Be
dürfnis VOl'.
So geht das Buch zwar vom Erziehungsall
tag aus, führt aber zugleich über ihn hinaus und steUt den Umgang mit Kindern in die grosseren Lebenszusammenhange hinein.
Auch bieiet es weit mehr aIs die - eben· falls enthaltene - Begriffserklarung und
Wissensvermittlung: Es ist ein Werk der grossen Hiife und steten Anregung, Zeugnis
' auch 'einer au~~erordentlichen, wahrhaft
menschlichen und geschlossenen Persolùlch
keit, deren anerkannte Zustandigkeit überall
die sichere Grundlage bildet. - Auch für cin weiteres Hauptanliegen des Verfassers, .
namlich die Verbindung wissenschaftlichen
Ernstes mit klarer, allgemeinverstandlicheJ Sprache, ist das Werk beispielhaft, eir
ideales Hand· und Hausbuch VOl' allem für weite Eltern- und Lehrerkreise_ (aller
Schulstufen), Fürsorger, Kinder. und Ju
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Die. nachstehenden Wel'ke konnen unentgeltlich von der Kantonsbibliothek entliehen werden. Die Signaturen (Buchstaben 'und Nzimmern; bezeiclmen 'den
Standort der Bücher hi der Kantonsbibliothek.
1. PEDAGOGIE - P'SYCHOLOGIE
PADAGOGIK - PSYCHOLOGIE
AGEL, Henri et Geneviève Agel. Précis d'initiation au cinéma. Classes de 3e, 2e, Ire et classes supérieures. Paris, Ed. de l'Ecole, (1956) ; 80, 373 p. ·fig :
TA 13.735
ANSELME, F[rère ' =] J(oseph) D'haese. Enfance et adolescence. Psydhologie. Bruxelles, Namur, La Procure, 1955 ; 80, XV+294 p. TA 13.765
Pour e!1seigner mieux .. Méthodologie. Nal~ur; Br~eUes, La ProJ~u·re; 19g.4 ; . 80, 306 p. TA 12.825
BOVARD, René. La connaissance du caractère et ses .applicaÙons . pédagogiques. Paris, Bourrelier, 1955 ; 80, 102 p. fig. (Camets de pédagogie pratiq~e.)
PA 7485
CARNOlS, All~ert. Le drame de l'infériorité chez l'enfant. Lyon, Paris, E. Vitte, 1955 ; 80, 421 p. (Animus et Anima.) TA 13.741
Le Cou r s élémentaire ... Paris, Bourrelier, 1955 ; 8°, 173 p. (Les Etapes sco· laires. :......... Cahiers de pédagogie modeme pour l'enseignel1?-en.t du premier degré.) '. '. 1 . , . TA 13.756
COURTOIS, G[aston]. L'art d'être chef. 5e * éd. Paris, Ed. Fleurus, 1953; 80, 215 p. (Coll. «Psychologie et. Education ».) TA 13.743
Pour «réussir» auprès des enfants. Quelques .conseils de pédagogie pra· tique. 13e éd. Paris, Ed. Fleurus, (1938) ; 8°, 150 p. (Coll. «Psychologie et éducation ».) TA 12.829
L'école des Chefs. 2e éd. Paris, Ed. Fleurus, [1951] ; 8°, 124. p. (Coll. «Psychologie ~t Education. 2.) TA 13.744
- 132 -
CRESSOT, Hoseph] et V. Dubu. L'école à classe unique et récole à deux clas· ses. Organisation pédagogique. Paris, Bourrelier, 1952 ; 8°, 345 p. (Cahiers de pédagogie modeme pour renseignement du premier degré.) TA 13.755
DEBESSE, Maurice. Psychologie de l'enfant de la naissance à l'adolescence ... Paris, Ed. Bourrelier, 1956; 80, 267 p. (Cahiers de pédagogie moder~e.)
TA 13.904
DECROLY, O[ vide]. Quelques notions générales sur révolution affective chez l'enfant. Bruxelles, M. Lamertin, 1927 ; 80, 76 p. (Documents pédotechni· ques. Année 6, 1927, No. 2.) PA 6929
DOTTRENS, Robert. Nos enfants à l'école. 'Essai d'éducation radiophonique. Neuchâtel, Paris, Delachaux & Niestlé, (1954); 8°, i96 p. (Actualités pédagogiques et psychologiques.) TA 13.752
DUMAS, Louis. Au pied . du mm·... Propos sur la pratique de l'éducation. Paris, Bourrelier, 1953; 8°, 217 p. (Camets de pédagogie pratique.)
TA 13.748
F ADEL, A [deI]. Contribution à l'étude du caractère et de ses troubles chez l'enfant. Etude théorique et pratique de psychologie. Genève, Impr. du Commerce, 1944; 80,175 p. (Thèse, Lettres, Neuchâtel.) TA 13.780
FERRE, André. Les tests à l'école. Paris, Bourrelier, 1954; 8D, 191 p. fig. TA 13.747
FISCHER, Bemhard·Hardi. Didactique de l'initiation mathématique à l'école primaire. Genève, Impr. du Joumal de Genève, [1956] ; 8°, 120 p. (Thèse, Sc. de l'Education, Genève.) PA 7748
HEBETTE, E., J. Lambiotte, E. Watelet. De la lecture silencieuse à 1'-expression de la pensée. Degré supérieur des écoles primaires. Namur, Ad. Wesmael. Charlier, 1953 ; 8°, 277 p. TA 13.736
LE CERF, A[uguste et] G[aston] Mialaret. L'écriture et la connaissance des enfants. Paris, Bourrelier, 1951; 8°, 89 p. fig. (Camets de pédagogie pratique.) PA 7486
LUBIENSKA DE LENVAL, Hélène. La méthode Montessori. Esprit et techni· que. Paris, Spes, (1951) ; 8°, 123 p. fig. (Centre d'études pédagogiques.)
TA 13.750
LUNDERS, Léo. Introduction aux problèmes du cinéma et de la jeunesse. Paris, Bruxelles, Ed. Universitaires, (1953) ; 8°, 221 p. (Centre intemational du cinéma éducatif et culturel.) TA 13.751
NATALIS, Ernest. Les disciplines d'e~pression matérielle. Dessin et écriture. Liège, H. Dessain, 1952 ; 8°, 245 p. (Méthodologie de l'enseignement pri. maire. 4.) TA 13.757/4.
Les disciplines d'idéation. Partie 1 : Méthodologie de la géographie. 2e éd. Liège, H. Dessain, 1954 ; 8°, 151 p. (Méthodologie de l'enseignement primaire. 3,1.) TA 13.757/3,1
-133 -
Les disciplines d'idéation. Partie 2: Méthodologie de l'histoire. 2e éd. Liège, D. Dessain, 1955 ; 80, 211 p. (Méthodologie de l'enseignement primaire. 3,2.) TA 13.757/3,2
Les disciplines d'idéation. Partie 3 : Méthodologie de l'histoire n1l:turelle. Liège, H. Dessain, 1951 ; 80, 241 p. (Méthodologie de l'enseignement primaire. 3,3.) TA 13.757/3,3
De l'empirisme au raisonnement logique. Méthodologie du calcul. 3e éd. Liège, H. Dessain, 1953; 8°, XII +295 p. fig. (Méthodologie de l'enseignement primaü·e. 2.) TA 13.757/2
Du lan gage spontané à la langue cultivée. Méthodologie de la langue maternelle. 3e éd. Liège, H. Dessain, 1953 ; 8°, XII +257 P. (Méthodologie de l'enseignement primaire. 1.) T~ 13.757/1
PLANCHARD, Emile. La pédagogie scolaire contemporaine. Tournai, Paris, Casterman, 1948; 8°, IX+368 p. TA 13.828
PRADEL, Henri. Pour les parents et pour les maîtres. Fontaines-sur-Saône, E. Robert, (1941) ; 80, 170 p. TA 13.746
PRADINES, Maurice. Traité de psychologie générale. 2e * éd. Paris, Presses Univ; de France, 1946; 8°, 3 vol. TA 13.543
SIRONVAL, Alfred. Enseignement religieux au degré primaire. Du vivant concret à la connaissance ... Tournai, Paris, Casterman, 1955 ; 8°, 158 p.
TA 13.753
SORRE, Max. Les activités dirigées ... 4e éd. Paris, Bourrelier, (1948) ; 8°, 155 p. fig. (Cahiers de Pédagogie moderne.) TA 13.754
SPENCER, Herbert. L'éducation intellectuelle, morale .et physique. Trad. de l'anglais par Marcel Guymiot. Paris, Schleicher, 1908 ; 8°, 265 P. (Bibl. de philosophie pratique.) TA 13.413
XIROTIRIS, Elie. Les écoles expérimentales et les progrès de l'éducation. Athènes, Impr. N. Alikiotis, 1956; 80, 299 ' p. (Thèse, Sc. de l'Education, Genève.) TA 13.997
VERINE, [Olga). L'amour des autres. Education de la fraternité. [Paris], Bloud & Gay, (1954) ; 8°, 222 p . (L'Education familiale nouvelle. 9.) TA 13.739
WOLTER, Emile. Analyse expérimentale du travail des écoliers. La psychopédagogie d'Ernest Meumann. Lo~vain, E. Nauwel~erts, Paris, J. Vrin, 1955 ; 8°, 214 p. portr. (Etudes et recherches de pédagogie expérimentale.)
TA 13.738
* ABB, Edmund. Lehrbuch der allgemeinen Erziehungs· und Bildungslehrè. Durchgesehen und neu hrg. von Theodor Schwerdt. 2. Aufl. Paderborn, F. Schoningh, (1952) ; 8°, 271 S. TA 13.980
ADELMANN, Josef. Methodik des Erdkundeunterrichts. München, Kosel, (1955); 8°, 191 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 8.) N 576/8
ANSCHUETZ, Georg. Psychologie. Grundlagen, Ergebnisse und Probleme der Forschung. Hamburg, R. Meiner, (1953) ; 8°, 586 S. TA 13.960
-134 -
BRENDL, Maria Thoma. Methodik des Hauswirtschaftlichen Unterrichts. Für ·Schulen aller Gattungen. München, Kcise!, (1954) ; 8°, 155 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 7.) N 576/7
DENZEL, Fel~dinand. Methodik des Erstunterrichts. Grundlegung und Praxis, München, Kosel, (1953); 8°, 327 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 6,)
N 576/6
DUHR, Joseph. Erziehen eine Kunst. Handbu'ch der praktischen Erziehungslehre. Hrg. von Josef Esterhues. Aus dem Franz. übertragen von Elisabeth Zylkn. Paderboql, F. Schoningh, 1955 ; 8°, 399 S. TA 13S84
EGGERSDORFER, Franz Xaver. Jugendbildung. Allgemeine Theorie des Schulunterrichts. (6. Aufi.) München, Kosel·VerI., (1956) ; 8°, 459 S. TA 13.985
ESTERHUES, Josef. Didaktik. Wesen, Aufgaben, Grundzüge und Formen des Unterrichts. 6.* AufI. Paderborn, F. Schoningh, (1953) ; 80, 95 S. PA 7750
FETTW'Eis, Ewald. Anleitung zum Unterricht in der Raumlehre . .. 2. AufI. Paderborn, F. Schoningh, 1951 ; 8°, 240 S. Abb. TA 13.976
HAMMER, Anton. Methodik des Naturlehreunterrichts. Physik und Chemie. München, Kosel, (1953) ; 8°, 127 S. Abb. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 5.) N 576/5
HANSELMANN, H [einrich]. Schwererziehbare. 8°, 56 S. (Unsere Sorgenkinder. 1.)
Glarus, R. Tschudy, 1930; PA 7465
HILLEBRAND, Max Josef. Kind und Sprache. Teil 1 : Grundschulalter. Psycholog'ische Voraussetzungen des Deutschunterrichtes in der Volksschule. München, Kosel-Verl., (1955) ; 8°, 122 S. (Psychologie der Unterrichtsfa?her der Volksschule. 4.) N 575/4
KOPP, Ferdinand. Heimatkunde'- München, Kosel, (1952) dungsarbeit der Volksschule. 4.)
8°, 157 S. ' (Die BilN 576/4
KRETSCHMER, Ernst. Korperbau und Charakter. Untersuchungen zum Konstitutionsproblem tilld zur Lehre von den Temperamenten. 20.* Aufl: Berlin, Gottingen, Heidelberg, Springer-Verl., 1951 ; 8°, ' XI +349 S. Abb. Graph.
, TA 13.951
Schweizerische L e h r e r z e i t 11, n g. Organ des Schweiz~r. Lehrervereins. J g. 101- Zürich, 1956 ; 4°. NB 495
'LOHMUELLER, Johannes. Schule und Berufsberatung. Trier, Paulinus-Verl., (1954) ; 8°, 60 S. (padagogische Nachrichten. 1954, H 1.) PA 7749
LUSSER" Kll.rl E[manuel]. Oeffentliche oder private Erziehung? Radio-Vortrag gehalten ... den 31. Marz 1932 ... (4. AufI.) (St. GalIen, Institut auf dem Rosenberg, 1939) ; 8°, 15 S. PA 7187
PETER, Rudolf. Grundlegender Unterricht. Zugle-ich eine Einführung in didaktisches Denken überhaupt. Bad Heilbrunn OBB., Klinkhardt, 1954; 8°, 300 S. TA 13.946
PETZELT, Alfred. Grundlegung der Erziehung. Freiburg i. Br., Lambertus-Verl., . 1954 ; 8°, 253 s. TA 13.982
-135 -
Kindheit - Jugend - Reifezeit. Grulldriss der Phasen psychischer Ent· wicklung. 2. Aufi. Freiburg i. Br., Lambertus.VerI., 1955; 8°, 271 S.
TA 13.983
PIAGET, Jean. Psychologie det: Intelligcnz. (Ins Deutsche übertragen von Lucien Goldmann ~d Yvonne Moser.) Zürich, Rascher Ved., 1948' ; 8°, 247 S.
TA 13.949
PLOETZ, Fritz. Kirid un.d lebendige Natur. Psychologische Vor'aussetzungen der Naturkunde in der Volksschule. Münchèn, Kosel-Ved., (1955) 8°, 72 S. (Psychologie der UnterrichtsHicher der Volksschule: 2.) N 575/2
PRESTEL, Josef. Methodik des Deutschunterrichts. München, Kosel, (1956) ; 80, 149 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 3.) , N 576/3
ROTH, Heinrich. Kind un'd Geschichte. Psychologische Voraussetzungen des Geschichtsunterrichts in der Volksschule. München, Kosel.Verl., ' (1955) ; 80, 123 S. (Psychologie der Unterrichtsfacher der ·Volksschule. 3.') N 575/3
SCHEIDLER, Bernhard. Musikerziehullg in der Volksschule. Bd l : Methodilç: und Didaktik. München~ Kosel, (1952) ; 8°, 121 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 2. ) N 576/2
SCHLECHT, Wilhelm. Leibeserziehung. München, Kosel, (1953) ; 8°, 181 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 1.) N 576/1
SCHNEID'ER, E[rnstL Der Szondi-Versuch. Eine allge~einverstandliche Einführung rtir Psychologen, Piidagogen, Theologen, Aerzte und Fürsorger. Bern und Stuttgart, H. Huber, (1952) ; 8°, 80 S. Tab: ;PA 6814
SPRANGER, Eduard. Psychologie des Jugendalters. 24. Anf!. Heidelberg, Quelle & Meyer, (1955) ; 8°, 321 S. Portr. TA 13.950
STERN, William. Psychologie der frühen Kindheit bis zum 6. Lebensjahr. Mit Benutzung ungedruckter Tagebücher von Clara Stern. 7. Auf!. Heidelberg, Quelle & Meyer, 1952 ; 8°, XX + 523 S. TA 13.947
STUECKRATH, Fritz. Kind und Raum. ' Psychologische Voraussetzungen der Raumlehre in der Volksschule. München, Kosel-Verl., (1955) 8°, 114 S, Abb. (PsychoI. cler Uriterrichtsfiicher der Volksschule. 1.) ' N 575/1
VON DEN DRI'ESCH, Johannes und Josef Esterhues. Geschichte der Erzi~hung und Bildung. 3. AufI. Paderborn, F. Schoningh, 1953-(1954) ; 8°, 2 Bde.
"TA 13.981
WAGNER, Hugo. Piidagogik und Methodik in der Leibeserziehung. ' Paderbo~~, F. Schoningh, 1954-1955 ; 8°, 2 Bde, Abb. TA 13.979
WINDISCHER, Hans. Geist und Bildung. Jugendprobleme der Gegenwart. Inn~-bruck-Wien-München, Tyrolia-VerI., (1953) ; 8°, 259 S. TA 13.948
ZURFLUEH, Hans. Bilder sprechen zu dir. Eine Wegleitung zu künstlerischem Gestalten. Bern, P. Haupt, (1?52) ; 8°, 60 S. Taf. (Hochwiichter-Büch~r,~i. Bd 5.) PA 6967
- 136 -
Il. LANGUES - LITIERATURE
SPRACHE - LITERATUR
BAILLY, Auguste. Madame de Sévigné. Pans, A. Fayard, (1955) 8°, 407 p. TA 13.792
BLA~CHET, André. Le prêtre dans le , ~oma~ d'aujomd'hui. [Bruges], Desclée de ,Brouwer, (1955) ; 8°, 106 p. (présence chrétienne.) TA 13.794
CHRISTOPHE, Lucien_ Emile Verhaeren. Paris: Ed. Universitaire, (1955) ; 8°, 140 p. portr. (Classiques du 20e s. 20.) N 535/20
CLOUARP, Henri. Alexandre Dmnas. Paris, A. ~ü:hel, (1955) 8°, 437 p. TA 13.569
COGNY, Pierre. Le natmalisme. Paris, Presses Univ. dt· France, 1953 ; 8°, 125 p. (Que sais-je? 604.) N 344/604
DUPOUY, Auguste. Rome et les Lettres latines. 3e * éd. Paris, A. Colin, 1946 ; 8°, 220 p. (Coll. A. Colin. Langues et littératmes. 58.) N 481158
FENELON, Oeuvres spirituelles. Introduction et choix de textes par François Varillon. (paris), Aubier, (1954) ; 8°, 389 p. (Les Maîtres de la spiritualité chrétienne.' Textes et études.) TA 13.562
FERNANDEZ, Ramon. La vie de Molière_ Paris, Gallimard, 1929; 8°, 239 p. portr. (Vies des hommes illustres. 31.) TA 13.548
GENEST, Emile. Dictionnaire des citations. Dictionnaire des phrases, vers et mots célèbres employés dans le langage courant avec précision de l'origine. Paris, F. Nathan, (1954) ; 8°, 423 p. SL
GUILLEMIN, Henri. Claudel et son art d'écrire, ' 4e éd. [ParisJ, Gallimard, (1955) ; 8°, 195 p. portr. TA 13.797
GUIRAUD, Pierre~ La stylistique. Paris, Presses, Univ. de France, 1954 ; 8°, 116 p. (Que sais-je? 646.) N 344/646
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