L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

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SION, 30 Novembre 1954. No 4. PARAISSANT 14 FOIS PENDANT LE COURS SCOLAIRE ORGANE DE LA VALAISANNE D'EDUCATION A B 0 NiN E MEN TAN NUE L: Fr. 7. 5 0 7 ième Ann· ée. Les abonnements se règlent par chèque postal Il c 56 Sion, ou à ce défaut contre remboursement Tout ce qui concerne la publication doit être adressé directement à M. CI. BÉRARD, Rédacteur, LEVRON Les annonces sont reçues exclusivement par : PUBLICITAS, Société Anonyme Suisse de Publicité, SION, Avenue de la Gare. Téléphone 21236 ·

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SION, 30 Novembre 1954. No 4.

PARAISSANT 14 FOIS PENDANT LE COURS SCOLAIRE

ORGANE DE LA SOC'I~TÉ VALAISANNE

D'EDUCATION

A B 0 NiN E MEN TAN NUE L: Fr. 7. 5 0

7 ième Ann·ée.

Les abonnements se règlent par chèque postal Il c 56 Sion, ou à ce défaut contre remboursement

Tout ce qui concerne la publication doit être adressé directement à

M. CI. BÉRARD, Rédacteur, LEVRON

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Maison A. GERTSCHE~~, Fils. Brigue Magasins: Brigue: Av. de la Gare, Martigny : Av. de la Gare Représentants : Sierre : Otto Gertschen

Martigny : J oS€lPh Pattaroni

CllFÉS-t

ND "DUC

7 -4-ème A nnée.

L'ÉCO E R.I' ORGANE DE LA SOCltTE VALAISANNE D'eDUCATION

'SOlVIMAIR B : COMMUNLCA TŒONS DIVERSES: Deux q.ouv-eaux insp ecteurs . - Entr 'a·ide aux jeunes ,par l e t raiVaiI. - L'éco~le

et l a Sema ine suisse. - L e coin de la gy~astique. - lLe mé­tier c'est ce qui unit. - PART IE PEDAGOGIQUE : S coJarité . ..,­Notre ensei.gnement religieux est-il etficace? - De l'union ent re collègues. - PARTIE PRATIQUE: Centre. d' intérêt. _ Sur l'e sprit d e n-os institu tions. ' - Etud€' d€ l é,l d ivision. · ­B:i,bliograiphi~ . - F ich e de le,cture silencieuse.

~-- - ----

i ~É~!:~~~!~~;~~~~.I.~~~~~!~~ i ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Deux nouveaux jnspe~teurs

l\~9~SiieUir :Je profeslseur r~u.l ~ru~lry ,aya-llt donné . sa dé­mjssiŒ1 d'inspecteur -du 41istrict de Sion et des communes de 1a r·~v.e droite de Sier,re a été r.emplacé par M. le Dr Eynàrd, jusqu'à üette année directeur -du IcoLlège· Ste Made 'à l)[.a-rtigny, ,actueNement profes,seur a l'Ecole normale. M~ Eynard fonction­nera cependant uniquement dans ,Ile disrtf.ict de Sion. Les écples de l.a :r!Î've droite .du. di,stri\0t de 8i,enr'e ont été ,oonfiées à M. j'Iahbé Oggier, ~d 'curé td·e .St""Léonard. .

Tout !en 'r.egrettant le désÎlstement die M. Mludry qui avait ap-porté à 1'IaccompliiS!semept de !sa tâch~ un d~amiislIlle et une

'~Qmpétenoe ~€'lna~qualJI€lS, nous c~mp1imentol)Js Iles nquveaux i~s'pe~teurs, étant bien p,ersua'dé ,que ,grâce à lemos qU'âJ.j,tés d'·~ducateul"ls ils rendront ''le !précieux serv,iœ.s au personnel enseignant et à la jeun~~~ ·v~lai~~~:q,ne. ' C. B. .

Entr'aide aux leunes par le travail

En 1953, :l'Institut d'orientation ·et dë p.r·éparation profes­Isionnelle du RepuÏ!s à GrandSon ~ ·reçu 80 élèves.

Des joones gens qui ·pnt qllitté l'établissement, ' 31 ont été orientéS dans ' Iles ' m~trers Ilœ' Ip1us divers '-de' a)àrtlsanat, de rindüstr.ie~' · :dU: coriuherœ 'et 'des ·ciwlturés, ên ·toù-f· dans" 20 . :pr6~ fessions différentes. . .,' ... .'.;

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Année 3lprès année, J'expérience aICquise et J'amélioratîon des d,ymtaHatioJlls de travaill a:ugmentent l'efficacité de l'orienta­tion professionnelle et de l'entr·aînement au tmv,ail tels qu'ill~ sont pmtiqués ·au Rapui,s. Ils tr.ainsrforment la vie de nom­breux handicapés qui :se croyaient incapaibles de gagner leur vie. Il faudrait que tous les inf.irmes ,et tous les jeunes indé­ci·s bénéficient de l'lenseignement ,spécialisé soit de la class~ d'orientation professionneHe, soit de la Isectio-r des « appren­ti.s ».

Tous les exercices de traVlaiJ dans les 'ate1ier,s ont un but p:vatique: la com.ection d'objets uti,les, m·ais seuls sont mis en vente ceux qui sont parfaitement .réussis. Si le représentant du RepuLs sonne à votre porte, .pel1!Sez qu'len lui failsant une commande, vous participez activement à 'l'orientation et à la formation p~Û'fessionnelle d'un infir,me.

L'ECOLE ET LA SE·M~INE SUISSE

La Semaine Suisse, lcommunauté de propaga'nde pour la production nationale, nous Icommuni'que :

« Le traiditionnel COlliCOUl'tS Ide ,composition n'aura pas lieu cette année. Depuis 1919, Ile corps 'enseignant suisse a réguliè­rement 'saisi J'occas-ion de familiaris·er :les élèv,es av,ee quelques­uns des problèmes économiques de notre ipay.s 'en les faisant partidper à Ices concou:fls a'nnuels; nous tenons ,à le remercier sincèrement dè l'W'Ppui qu'ia nous W'Ppor:te. Il a fallu ·par,fois re­noncer exceptionnellement à de tels concours~ .car lIa base finan­cière n'a pu êtr,e trouvée ,en temps utHe auprès des associations intéressées. C'est ce qui 's',est ,produit cette année. La ,semaine Suisse tient essentiel~ement à ne pas rompre le contact ainsi établi. ,C'est pourquoi elle a proposé au COl'tpS .ensei:gmant d'or­ganiser, à l'intention des plus grands élèves, des visites de fa­briques et d'ateliers. Des précisions sont données directement aux établissements scolaires, par voie de circulaire. ,Le thème p!'lévu pour 1955 est ,consacrée à J'industrie du feu: céramique, porcelaine, verre, et, pour l'année suiV1ante, à l'épargne.

A bientôt tdoIliC la reprise d'une tradition qui nous est ,chère!

Semaine Suisse.

AVLS

Les personnes .qui recevmient l'Ecole primait'e par erreur nous rendraient seI'IVice en la retournant 'avec la mention «re-fusé ». '

. .... 'i ; , , 1.'

Préparons nos skis

L'assoc~'artion des ,maîtTes ' de gymnastique du Valais Ro­mand a prevu 'le programme suivant pour la saison de .ski 1954/55 :

1. Gour,s .de ,ski d,e troÏB j~urs, les 26, 27 ·et 28 décembre 1954, probt3J~~ement a Vercor'ln. Le~ ~articipants à ce coU/rs peu­vent! cl entente 'avec J~ COmmISSIon scolaire de' leur localité profIter ?'elS quelques J oUll'nées ide eongé .que .Je Département

,a~corde ta "tout 'le pe~,gonnel 'enseig'nant du 'Canton à l'occa­SIon ~'es. fetes de Noel, paurr las1sj,ster à ce cours de ski. I!lscr:llp't:~'S 'le plus v:ite possihle ,chez Ellie .Rovier, M,ar­tIgny, tel:ephone 6" 17 42. Tous les renseignements concer­~t c~ cours paraItront dans le proehai·n numéro de l'Ecole Pnma~re.

2. Un cou,rs '<le ,sk'Î d'U/ne journée en -janvier. 3. Un ,cou'rs de 'ski d'une jour.née en .février.

COURS REG10NAL DE VERNAYAZ

Le cou~s de ,~mn8istique pOUT cette région aura lieu à l~ saHe de Igymnashque le jeudi 2 décembre à 13 heures 30, sous la dir.ection de Mr Joseph Vuignier. '

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Réparations

Révisions

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Page 4: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

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ICOTISATIONS

Uine' honne rpartie des co~i&atiollts ,à l'AMGVR sont déjà rentrées. M·erei laux intér,essés. Les cdllègues qui n'·aurai-ent' p·as encore eff.ectué ce v-ersement ,sont priés de Ile faire aù plu·s vite.

Cotisation annuel,le pour 1935 : Fr. 7.50. Compte de tchèque postal : IIc 838.

Pour le Comité: E. Bovie1'.

~---_ ... ILE MÉTlŒR C·EST CE QUI UNIT i Harmoniser les formes et les couleurs

Si je n',en étai.s déjà convaincue, .notre pren1ière séance de dessin du 14 nov.embre .m'aurait persu'wdée de .l'interdépen­dance étroite de chaque' discip.1ine d"enseignement. En eff€t, l'introduction à l:a technique du dessin libr·e que Mr Guidoux a dév.eloppée avec ibeaucoup de pertinence et de bonne humeur devant une particilpation Ire.cord, plus de 90 'col1ègues, ~ura également été pour nous l'oC'casion d'Uin heureux rappel de la vérité que ' rappeHe St-Ex,upéry lor·S'qu'il écrit: «Une somme n'est pas un être, '0et être ~l f 'aut le libér,er de la mars'Se, comme la pÎ'err ,e du chamtier; et qu'i'l participe ·à ériger tl'homme. >~ LIBERER UN ETRE... le conduire -par .la ·main, et d'~bord pas à pas pou:r gradueH.ement Il'Iamener ,àréaHser sa person­nalité, un tout spirituel 'cara'ctéris·é par .J'indépendance .. :

Cette ,noblesse Ide notre activité professionnelle aff.leure S'ans moralisme de Œ'·eTIls·eignem·ent de celui qui en vit ... n'au­riOJlls-nous Ipas IsoUJscri·t Isans réticence à ;J'a -démonstration d'une toohnique d.u dessin libre telle ,qu'eHe nous fut exposée 'le 14, que nous ,aurions, tout 'au Imoins j.e l',espère, pu en retirer lIa portée 'édu.0ativ,e, tant l"ac0ent a été mis -d'une part ·sur l'.attitud.e de compréhension bienveillante et d'encourawement du m·aître vis-à-vis du plUis hUJmble ess,ai « pitctur1all» -de .s8lS élèves et d"autre part .sur .}ta valeur d'eX1presS'iŒl de ;libération personnelle 'que Ice derni,er représ'ente pour ,eux.

J 'e pense iL une toute récente .et 'Com,bien émouv:ante décla­ration d'un grand artiste: H·enri Mati.s.g~ qui, à plus de quatre-vingts -ans, confiait: «Jle parvi.ens m.aintenant à expTir tn~r Ç€ que j'ai éprouvé et 'Senti lorsque j'avais V'ingt lans », ~t je me dis que s'il a fallu toute une longue vje 'de traV'~.n et

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de recherches à un des n1aîtres de la peinture française mo­derne pour se ré3Jlis'er dans cette .merveilleuse harmonie des couJ.eurs et ·cette fSimplification « linéaire» de Ja f o.rme, il faut appré'Cier , les « dessins» d'enf'a:niJs bien plurS à .la manièr·e d'un test de .développement m,entaI donnant l'âge réel du suje~, qu'avec nos critères d'adultes sur l'art. Nos notions sur 'celul­ci posent d'ailleurs un problèm,e, mais 'ceci ·est une ·autr e ques­tion.

Cet aveu d 'un grand artiste éclaire toute une conception du dessin celui-ci étant envisagé comme 'une création 'PeI'ison­neUe, une' réalisation, et non plus comme un ,simple exercice d"adr,esse. On co,nçoit sans p eine dès 'I01"1S qu'une ambiance tout autre préside à la leçon de dessin, que le choix du matériel! du suj·et, et dans la mesur e où :cela 'est conciliahle avec la bonne m:arche Ide ,la classe, la liJberté de dessjner rSoient lais'sés à .l'enfant.

Mr Gufdoux nous a excelleJnment prouvé .qu'en ,ceci, li­berté n'avait rien d':anar,chie et que même, comn1,e c'est le C0-S pour .lui, ·av.ec 'une d3Js'se de plus de quarante élèv.e-s, il est ipos­sihle d'arriver à des ,résultats «a:rti.stiques» fort honoraibJ.es en employ";amt 'cette technique.

La part du m'aîtr,e dans 'cet enseilgnement n'a pas été ou­bliée comme dans toutes l,es autres disciplines, ,c'-est ceUe d' un GUIDE.

Le gui.de prévoÎ,t : tourS Iles lexeYlc.i:ces gr~phiques qui Icon­courent au développement de la main Iseront mis en place d'honneur dans les .pre:rnièr,e's 'années, car dessiner la joie et l'oc­cupation favorite de tous les petits reste une joi,e e~ une o<?cu~ pation ·aJgréaib.loe pour les plus g.rands lorsque la maH1 est alUSI formée par d·esr8XierlCÏces préliminaires.

Le .guide ,sélectionne le matériel: pour 1:;1. plup.art d'entre nous ·cela pose un prohlème «financier », il faut précis'er les intentions du j'eune artiste, avec les plus grands il fer:a trou'ver les ' différents ;plans de la composition, les 'a'ccords heureux de ,couleurs qui Ila 'mettront en val'eur. Encore faut .... 'il pour ceJ.a être .averti Isoi-même et éviter tout m'auvais goû~.

COURS DE DESSIN DU ·5 ' D~E}CEM,BRE

P'artkipation : Institutrices et Instituteurs des ·quatre p.re­mières ·a'nnées de ;scolarité 'ainsi que Iceux -et ,celles des classes de' tous les degrés.

Ceux qui -ont travaillé d':après oles directives .reçues O~l d'autres techniques: craies, 'aquarelle, ,etc., 'apporteront leu~-s premi,er.s -essla~s, bOTI's ou mauvai's" let p,répareront les que-stions : Que1J.es di,fficultés rencontrent-i'1s, !matériel~ bruit, place trop

'restreinte, discipline, difficul1Jés financièr·es, réactions des en-fànts· ? . ,

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Ceux qui n'ont pas connnencé so.nt naturellement les· bien­venus!

Pr'ogTamrne du COUTS :

'a) lntroduction par deux ·petites ,Jectures. R·éactions d'en­fants ,qui des'si'l1lent Ipar .oette méthade.

b) Appréciation des premiers essai's : comment ,apprécier, comment améliorer ?

c) Discussion 'sur les difficultés rencontrées. d) Les a'lbums d'enfants. Comment conf.ectionner un 'a1-

bU/m ? ' Comment n.aît un album id' enfants ?

e) Co'mment .a}.loills-nou,s nous 'Ûrgani,ser pour nous ·aider 'les Uins les 'autres, ,mettant en ,corn,mun nos 'expériences 'Positiv~s ,et négatives?

f) Projetion d 'un fi,lm fixe et de clichés. D ieu, et hOTair'e du COUTS :

Ecole primaire de Martigny-Vine, de 14 là 16 heur€s.

COURS DE DgS8IN DU 19 DECEM,BRE

P,artic.ïlJation : Institutrices et instituteurs des dasses du degré moyen 'et du degré Bupérieur, ainsi que ,ceux des classes à tous ,les degrés.

Prog,ramme, :lieu du cours et horaire semblwbles à la jour­née du 5 déoemb:r:e.

P. S. Les collègue's qui s'étaient annonoées trop tard pour le premier cours sont ,cordi3il,em,ent invitées à ne ,pas manquer ].a journée du 5 décembre. Y. G.

. 1

notre page pour le temps de l'fi vent « Et il faut bien que mes Enseigl1antes s'en a.lllent en classe, Toute,s bourdonnantes de prières Et 1P1ei:ne,s de Moi :Alus q.ue J'abeille de son miel et la !l'OSie de son !pa>l~um » . .

*** Tout enfant est une aurore; il annonce le jour espéré.

Que ne .le rec-evÜ'ns-nous .avec plus de foi; ,noulS noUlS rendrions di'gnes de nouv'eHes g.râces. NoUis recevrions un mé.il'lel11r, un ·plus ,gr,and, venant a'Près lui. Commencez donc toujours .à . recevoir les enfwnts ,et Dileu lSuivra~ ,

Pour moi, Jean, c'est ainsi que, .&atns a.Uc.un · .doute, je dois interpréter 10e qU!e je sais emtn de toi. Tu n'es :pas: .oelÙ:i

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Que les hOm'm'f~lS a:ttendent, et je ne puis t'ai'Iner corame ,celui-~à. j ,ean dans le désert Ile 'Confes'sait et ne le niait ·pas. « Que dIS­tu de toi mên1e, inter.rog,eailent 1'81S rdiscip.l.e.s bouleversés :des grandes choses qu':ÎII fai'sait » .. Il. disait: ({ Ce ~'est. p3JS mOl 'le Christ ». Et 'encore : «Et mOl, Je ne Ile connal,s's'alS pas ». ~e même le Jean d"aJUj ourd'hui ,répète en .sim~.licité : « Je ne SalS pas. Je n',ai rien ». Mais il an.nonce la présence du S~igneu:r:

Re0evez Jean, et VOUIS posséderez d'avance l EV'~lll,gIle. Car il est c·elui q.ue le Seilgneur montrait :en modèle, chs~nt : « Si vo.u:s ne vous faites ,semb;J'wb1e's ,à lui VOUIS n'entrerez pOInt». Et 'cependant c"étai,t .Jui, le Se~gneur, 'le seul modèle. Mais l'en­fant est un rubrégé du S'auveur.

Le Ichrétien, quel autre devoir a-t-il, après tout, que de ne pas .déchoir de l'enfwITce, de ·r.enché.rir chaque jour sur son enfance? Il n"en a point d'aJUtre, ca,r, ce faisant, -il acquiert la ressemblamce du Chri1s-t.

Jean, mon petit J ,ean, toi qqe les hoonn1es mépris~n~, puis­sé-je me rendre 'semblwble à l'enfance dont tu es le revelateur. Puis'sé-je fai.re envi,er à quelques-uns tes v-ertu!s d'Evangile, et

. par cet écrit où je les recueille, conduire où tu nous Inènes, Ô Précurseur! V. Poucel.

Pour noël Jésus cherche un cœur

Il a.vait trouvé dans la sombre étahle Un toit délalbré, un plancher de 'sable, Touj ours s-a:ns berceau Dans ce monde en fleur, Pour naître à nouveau, J ésUis oherche un c.œur.

Soir de Noël

P.rêtez-'moi votre 'cœu:r, douce Vierge Ma6e, Pour aJdorer Jésus s'éveillant à lia vie. Ce f.rère s,i milgnon, ve,nu pour nous du c.i:el En ,ce :soir de Noël.

Près du berceau Jes ber:gers en -prieres , Vous olfrfraient lem·s présents spontanés et sincères, Vous aviez un ·m:e.I"ci pour 'le pa,in et le miel, En oe ,soir de Noël.

De m',rupproClher aussi ... non! je ne suis p.a:s~igne, VOu.s me faites au cœur, avec. tendresse un 'SIgne, C'est mon tour ... J"aurai donc quelques inl:rtants de ciel En. 00 , soir de Noël!

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PARTIE PEDAGOGJIQUE

Scolarité Il semble pour le ·moins oiseux, sinon tout à fait inutile de

venir ,plaider la cause de l,a 'S'colarité dans cette revue qui s'a­dresse spécialement au personnel enseignant.

Nous ne S'aurions d'ailleurs que reprendre les argun1ents dé­velQppés tant par Monsieur le Conseiller d'Etat Gross que par Monsieur le député Theytaz dans leurs déclarations ,au Grand Conseil, celles-ci étant si complètes que l'on ne !peut rien ajou­ter de nouveau.

. Par contre, 'cette tâ,che d'infor.mateur nous l'avons accom­plIe depuis des ,années déjà et nous la .continuons dans d'autres journaux qui atteignent lia m,asse des parents et des électeurs.

Précisons bien tout d'wb01'ld de qui il s'agit au premier c~ef. I?e .l'enfant, de s·a formation au trip.le point de vue phy­SIque, 'Intellectuel et moral. Donc de son avenir dans la vie pré­sente et future. Le 'problème ainsi posé ne permet pas d'équi­voque 'pour personne. Sans doute, il peut présenter des inciden­c~s f~vorable~ ?U défavorables 'Sur la famille, la société et. .. la sI~uatlOn ;natenel~e du personnel ·enseignant; mais encore une ~OIS ,ce~ r,ep~r,cusslOns heureuses ou malheureuses ne sauraient etre det~rmlil!:antes .I?'a,ll'S le débat :pub'li.c qui s"engalg,e et elles ne devraIent être traltees 'que de façon subsidiaire, selon les cir­constances.

Une augmentati~n de la scolarité est-elle fa'Vor'able au dé­veloppem~nt har,~onleux de l'enfant? Evidemment. Soutenir le 'contraIre seraIt proprement absurde.

Mettons d'abord bien 'en évidence ,ceci: arctuellement le progra'mme de nos classes est 'suflfisamment chargé. Théori­~u~ment du moins, ~l est le r,?ême, tout paradoxal que ,cela pa ... laISSe, queUe que ,sOIt la duree de la 's'Colarité.

Or, ·comment peut-nn en 6 ·mois donner le « tour» d'un pro .. gramme que .l'on a de lia peine à :parcourir ·en 9 ? De deux fa­çons .: par un rab~chaJge 'et un ,bourrage de crâne 'continuel's e~ par la sUippresslon des cong;és qUii 'constituent ,pourtant un~ detente et une reprise ·de forces. , Comn:ent, v,~ut-o:r: 'que les 'enfa'11ts ,puissent tenir le coup ~ ~? pareIl, regll11l~, ·a 'ce tr~vail .de forçat qu'on leur impose a l,.~cole et ,a 'la, maIson, tr~vail contre l,eur n/ature encore, puis­qu Il 'est execute dans, un ,:S'l'lenc,e et . une .. imlmobi.Jité qui se conti"­nuent durant 6 heures et p1UB paT jou'r.

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Et l'on s'étonne qu'ils deviennent instables, nerveux et in­supportables, ,aussi .bi.en à l'école 'qu'à la maison! Si notre géné­ration souffre 'de ce déséquilibre qui lui est propre, l'école or­ganisée par des ardultes et 'selon des conceptions d'adultes pour les enfants qui ne 'Sont pas des rédUJctions d'hommes tenus journellement à la contrainte et à la soumission, cette Bcole ~'est-elle pas reSiponsable jusqu"à un certain point du désarroi dans lequel nous vivons?

D'ailleurs, qui de nous n'a constaté qu'après quelques mois d'une telle activité, beaucoup d'enfants ne sont plus capables d'efforts, ·qu'ils perd·ent, avec l'appétit, leurs couleurs et tout ressort. On ne :devrait pas oublier que l'organisme de renfant est déliûat, qu'on ne saurait assez le ménager ,et ·qu'il -doit être entraîné .progressivement 'au trarvail. Observe-z .comm~ ,le p~y.san par exemple agit d!fféremment ?t rCo~bien plus ~ In~elhgem­ment lavec son 'PoulaIn, avant de 1 astreIndre au haInalS o~ :au hât. Croit-on peut-être qu'un trav.ail intellectuel ne fatIgue pas ·autant ? . , . . .. ,.

Par contre, 'si le travaIl etaIt J udl\cleusement repartI SUtr un temps plus long, les matières ensei,gnrées S'elon un rythme qui Icorrespond à la nature, aux besoins et ·aux forces de l'en: :i3ant, ,ce 'dérnier supporterait allègr,ement ,ce fardeau, 'sa ~ante ne chancellerait 'pas, sartout ·si des vacances, sagement repar­ties, venaient lui donner force ·et ,coura'ge.

Comme on le voit, et aussi paradoxal que -cela parai~se de prime abord, "lIa santé de renfant exige une prolongatIOn de la scolarité. .

Et maintenant il semble absurde ,de vouloir démontn~r qu'on ne peut ;pas donner à .oe jeune être une fOl;mation aussi complète en 6 mois qu'en 9 ou 10. Nous ,avons ~It que le p~o: gramme est quasiment le mmne 'quelle que SOIt la scolan~e et que pour le rpar00urir il s'agit ,dans le premier 'CJaS de proc.e­der à un bourrag'ie de crâne excessif. Lors des examens de ,fIn de scolarité surtout si ·ceux..:ci sont Isuperficiels, ,comme IC' est souvent le ~as, il peut paraître q~e les conna~ssances des uns équivalent à Icelles des autres. MalS ne nous laIssons pas trom­pel": a) sont-elles .aussi soli.dement ,aoqui.ses dans les deux ca~? b) 'sont-elles aussi étendues, caT l'examen 'Porte ,sur un certaIn nombre de questions fort réduites?

Et puis, l'instru~tion n'e?t ,pas tout;. il y a encore lcett~ édu: cation cette formatlOn de l homme qUI ne se ·mesure nI pal quelq~es règles, ni ipar Iquelques dates, qui v,aut bien dav~n!age et ne s',aequiert p~'s par un dressage auque'l on est obhge de recourir quand il faut faire 8lnmagaISiner dans Je cerveau d~s élèves un ,certain nombre de connaissances d'une valeur parfOIS contestaible. Il n'est pas question de donner à nos élève~ primai­res une cultu.re, m,ais sur un plan inférieur et pour bIen maT-

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quer que ole Ipar 'sa:voir n'est pas l'essentiel en éducation, nlédi­tons oes parol,es déjà citées d'Her,riot = La :culture est ce qui res­te quand on a tout oublié.

On dit aussi, et c'est 'parfois vrai, que dans certaines clas­ses de montrugne, mv'ec une scolarité réduite, on obtient d'aussi bons résultats que dans ,d'autres à plus longue scolarité.

Oui, rp:3!is... comparaison n'est pas raison. A qui cela tient­il ? au ,maître, aux élèves, au milieu. Est...;ce bien paree qu'ils n'ont que 6 m'Ois de s'colarité que Ices élèves sont plus instruits? Il ne vie'ndrait 'certes à ridée d'e personne d'affirmer une telle absurdité. D'aiHeulis il serait facile de se ,convaincre : qu'O'fi fasse la preuve par le contrake; 'qu'.on introduise 9 mois là où il n'yen a que 6 et 6 où il y en a 9 et l'on verra si les résul­tats restent les mêmes.

Et pais, ·si .l'on veut donner un enseilgnement réellement éducatif, il faut que l'on ruballldonne peu à 'Peu les méthodes traditionnelles didructiques .où le maître \Seul ;parle, où, dans la classe il est sei,gneur et roi. C'est l'enfant ,qui 'doit ·questionner, s'e~prÎrmer, se documenter, I0her,oheT. L'enseignement fonction­nel doit pénétrer dans nos classes. Or, il est impossible d'ap­pliquer intégrale.m,ent ces méthojdes ruvec une ,scolalfité ':r:é­duite.

Enfin, notre p.ays s' oavre ma'intenant sur le Viaste monde; des échanges de toute nature s'établissent avec ,}les autr.es nations; ·l'ag,ricultur'e se cOrm'm'evciialise, des industries 's·e 'créent dans 'm'aintes Joealités. Le Valaisan v:eut-ill 'rester un simple m'anœuvre? N'aslpir.e-t-il pas lui aussi à ooouper Iles postes de commalllde, à fournir les cadres ? Dans ces Iconditions une for­mation de base aussi complète que possible s'impose.

Beaucoup de jeunes apprennent un métier; mais il leur sera difficile de derv·enir des ouvrier.s qualifiés, d'acquérir la maîtrise, de s'étwblir à ,leur compte et de réussir dans leur en­treprise si J'.école pri,maire ne leur a pas apprirs d'abord à com­prendre, à juger, ,et à raisonner ,et si elle 'Ile leur a pas fourni les éléments indispensables ,à leur profession.

Dans nos Vlallées 14térales! la ,plupart des dasses ont une scolarité de 6 mois. C',est une anomalie s-emble-t-il. En effet, les écoles moyennes sont rares dans 'ces régions; le nombre des jeunes gens qui 3ipprennent un métier est moins élevé qu'en plaine, de Isorte que les connaissances primaires ,constituent le seul (bagage scolaire de .la grande masse de la population. Une raison de plus d'étemlre la durée Ide la scolarité.

Nous ne vou1ons lpas disserter davanta,ge quoique par beau­coup de points encore on pourrait montrer ,que le déveJoppement intellectuel de l'.enfiant né.cessite une prolongation de la 'Scola­rité.

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Sa fonnation morale aussi. Durant la période .scol~ire l'enfant est survèillé; il n'a le temps ni de vagabonder, nl de faire le polisson. Il .subit constamment l'inf,luence heureuse du maître. Celle du prêtre auS'si, qui vient à l'école pour les le~ons de religion, la fréquentation des. s'alcrements en est plus regu­lière l'assistance à la messe auS'sl.

'Oui l'école, une école organisée pour l'enfant avec des p-ro-g~ra,mmes que l'on a,urait mis au ipoipt" en ,s~ ~osant la q;t.es= hon : .qu'est-ce Ique -l ,enfant peut !saVOlr a ;tel a'ge et ·non ques~ ce qu'il doit .savoir; une école ainsi conçue, ,et ordonnee dans un rythme ,conforme à la rratU1;·e de l'enfant, ~st capable de. donner à ,ce dernier une formatbon 'p'lus ,coffiiplete et plus harUlOl1'ieuse au triiple point de vue phy.siqUie, intellectuel et moral.

Le personnel ensei,gnant ,~oit en être convaincu le. tout premier. Aiprès quoi il a le deVOIr ode mener une campal~ne Intel­ligente, activle et ldis'crète en faveur de l' lau~entatlOn. de la s'colarité puisque c'est l'intérêt de ~'enfant qUI est en J eu, et indirectement ,celui du 'Pay's tout entIer.

Au risque de receV'o~r quelques égr~:ignu~es pour notre ,a.~­firmation, - ce .ne seraIt Ipas la prelill.Iere fOlS, - nous pre.,cI­sons bien que son rôle ne IconsisiJe pas à pérorer ?-ans les cafes; mais que Ide personnes il peut .at~ei~dre e~ COnV1aln~re ,dans .son entourage ! Et puis, un müt .ghS'se adrOlte;ment, a ,l occas!on, aux par,ents de ses élèves lors d:un entret~en, sera peut-etre cette ,graine qui ger.mera et 'produIra :les ,fruIts at~el1'd.us.. "

Oui, il .faut que' soit revisé ,l'article de la 101 qUI fIX~ a 6 mois au minimum lia scolaTité en Valais. Une camprugne In~e}­ligemment .conduite, à laquerlle prendront part le.s autorlt~~ civHes et r,eligieuses, la presse, le Ipersonnel enseIgnant dOl v

as'surer I·e sU0cès du referenidUim. Cl. Bérard.

notre enseignement religieux est~iI efficace? Tout édu;cateur conscient de ·sa tâlche se demalllde .si ' l'en­

seignement relirgieux donné à l'é.cole e.st eff]cac~. Ou au~rem~nt dit, ill juge, Iselon des ViUles hUffi3;Jues ISlcet enS'~lgnement ~tteInt son but qui lest de former des ,cItoyens de J.~ celeste patfl.e ..

LorS'que noUlS diso'ns «notre» lenS'elgnement .relIgIeux, il s':rugit bien ·entendu de 'celui que reçoivent nos enfants. Dar:s nos écoles, .n lest confié au curé Ide lIa tparo.is,se d"abord, au mal-tre 'ensuite.

Nous nous ,grarderons bien de mettre en doute, d'ans le do-maine Iqui nous oCClUpe, le ,s'aNoir-f~ire ~es téd~cate~~s ~ant ec­clésia.sti,ques Ique ,laïques. Nous ,~n,.,ons pas Jusqu a dl!e qu~ tout va i pour le mI,ieux d3:nlS Le -rnellHeur des mondes, m'aIS nouS

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croyons possihle d'af .:f.i.rrner d'autre part que les exem.ples re­çus en f amiHe sont génér:allem·ent bons, quoiqu'il y a it de • regr.ettaJb~es eX1oeptia'l1Js.

Le Imilieu familial ·exeree sans daute une inf luence très grande, saUivent déci,sive Isur l'avenir des enfants d ans le da­m:ainle religieux et moral. Si Illes p.a rents entour ent l:eurs enfants d'u'lli8 paternelle: (rna.1,s Isérieuse 'surv;eliHanoe, s'att a;chant .en pa:rtÎ<culÏ<er au problème délÏrcat dres Icampa:gnies commé à celui des lectures, il ,est certain qrue beaucoup d'ècueÏl<s sont évités.

Les éducateurs riont ,généralement .}eur devoir . E t c8lpen­dant, j} est néClessa,ire de se 'poser 'oette question : L 'enseigne ­ment re1igieux donné est-il ,solide? Les prolblèmes im portants sont"'lils bien mis en lumière? Nous peTIsons spécialement à ce qu'an appe'pe communément le « ,p r ahlème de 'la vie ». P r a­hlème déUcat à traiter, certJes. Précisément pau:r cette raisan , j} demeuTe ·sauv;ent dans Yombrle. Nous avans taujour s pensé que dans oe ·domaine, l'éducation ,devrait être f'aite en famille. M,ais Icambien de parents 's"8Jcquittent de ,cette tâ·che ? Cambien osent parler Ide ces choses ? Sauvent, i,ls invaquent leur inca­pa;cMté devant des questions 'si délicate.s. Mai,s les autres édu­cateur.s penslent-ils que lieur -devair est de oomhler les lacunes de l'éducatian ,f'wmi,li'al.e ?

-Ge n'est qu'un point. Il y en a bien d'Iautres. Le ,grand danger 'cansiste à apprendre là nos enfants une religion de faç'ade. N OlS élèves n'échappent ,pas plus que nous à l'emprise de la rOlutine. Ils vant à ,la mes.se, à la C'ommrunion, au chapelet. Sav,ent-ils ce qu'ils font? Des indices noUis perm'ettent de 'Pen­ser par,fois Ile contraire.

Nous assimilons, ,sans ,le vouloir taut à fait, saru; doute, ,la l'!eligian à une branche d'~ns'eignement. Inconscience? Peut­être. III nous ,semhl'e parfois que la religion dem'eure èn marge de la vie.

Dans beaucoup de locaJlitJés, l'ég,l,is'e .est à deux pas de la maison. Le,s 'enfants -S'y rendent pr-es'que taus les j aurs. Et les Ipratiques religieuses rjsquent de n'être que des habitudes, fruits d'ume tro.p grande fa;cHité. Nous aimerians nous tram­per 'l,à~dessus... ' .

Viennent les vacanoes ... L'été ,est la 'sa:ÏJson des 19rands tra­vaux, bien SÛT. Les erufants ·se tr.ouVient .moins réguHèr.ement au vina~e. Même en tenant 'compte de ,c.es :circollistances, nous avons l'impressian qUle Iles pratiques religieuses 'sont délais­sées à Ice IDoment-&à, parce que 'l'entraînement (!) de la pé­riode 's'colaire manque.

Que font ;d'aJiHeur.s une partie :de nas ' j.oou.es g1ens ·et de nos Jeunes ,fines, une riois 'lÎlbérés des ,écoles? Ils ant ,l'air de se soustI'!aJÏtr:e à um'e sorte de iContr.aJÏ'llte ,qui :a dUll'é ce que dur,e la scolarité obl:ÏJgatoire.

Nous n'échappons palS, :nous, ladultes, là Ice gr,and danger

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de l'h~bitude. N OUiS vivans plus Isourvent qu'il ne 'le faudmit dans une atmasphère de tiédeur .religieuse. A ,cause d:ecela mêm,e, nou s devans faire pnm'Ve d 'indulgence vis-à-vis de nos enrfan1Js.

M,ais ·la question n 'en est rpas mains a'llgaiSisante. Pro­blème ·extrêmement délicat, ré.pétans-le. Il n 'est :point de con­trainte :en r~li-gian. lVlai,s au ·moins, essayons-naus de fai're cam-prendre aux enrfants I.e. ~ut de l~ V!-8 ? . A

L 'enseiO'nemlent rehgI8-UX lUI-n1eme dOIt-etr e pour naus tous source ~de joie. La façon dant il est donné aux enf,ants ne contribue peut-être p as taujours à 'créer une atmosphère favo-

. r aJble. \ l' . Notre devoir est de persUiader les -enfante; que la r e IglOn

n 'est pas un ens'emblle ,de formule~ 'que l:an apprend su; les bancs de ,l'école ipour oub lier -ensuIte, IDaI,S qu ,elle est reelle­ment la bas'e de la vie, ,le chemin .dusalut.

Le nouveau caté0his!ITle du diacèse de Sian que nous avons accuei.lli avec jaie, est d'une l)l~ésentation eX1ceHente . . Il faci ­litera sans ,doute ,la t âche d es éducateur s qui ont maIntenant entr e les mains un livre capüvant , ,corrup'l'et, et dans J~que! o,? a ,bien mis en lumière lUne 'V,érité ,essent ieHe : ,la r elIgIOn dOIt être intimement liée à la vie .

Candide Moix.

De l'union entre GolIègues Actuellement il existe en Valais un ban nombre de com­

murn-es qui a·n t une école camp.oBée de p l'Usieuns classes et où exercent danc simultamément plusieurs m aÎ,t r 'es.

Dans ces conditlans il i,mpar te au !plus haut point que l'u­nian la p lus étraite -règne entre ,ces ,maîtr es, car il y va de leur banheur à eux et de l'avantage des é'lèves. .

De leur ,banheur d'abord. Quel -réjaui'ssant spect acle, en effet d e 'Vair des hom,mes q ui ·se respect ent, qui se mantrent p alis: affrubles les uns à l' égar d -~es a;ut~es, qui ,se \s~luent ~n s'wbardant et en se quit tant, 'se <lIvrent a d es ehtr·etIens gaI'S, entrecoupés .de ten1ips en t em ps ,d'un 'saur ir,e .Û'~ d'tIn r ir e. quel­que peu ·sanOTe, qui savent échan~er des opinlOn's parfOIS op­pasées sans s'aigrir ou se brauil'ler, qui s'.em,pressent de r endre serviee et se .défendent :16s uns le autres. En les vay,ant an p our·· Tait répét er la réflexion des pr.emiers chrét iens : Voyez com­Ille ils s'aiment . Est...loe que ce spectacle, n'est pas une exce'llente leçon de sociabilité, s urtout pour les élèves; l'exemple n'est-il pais la 'plus efficace des 'leçans ? Toute l'école 'ressemble alors à une famille où il fait hon vivre.

Quel tableau écœurant, au contraire, que celui de rnaÎtres <lui vivent ensemble camme des étrangers, qui ne se co·nnaissent

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pws, qui pas,sent les uns à 'Côté d~s autres 'sans ,se saluer, qui n'ont entre ,eux que ,les rapports le plus inidilspensables, qUl paTfois ;se j,a'loulSent, .se critiq,uent âprement ou se réjouis,sent 'même des i!Ilsuccès d'autrui.

Aux souci,s ,et 'aux mille petites misères inhérentes à la tenue d'une dass'e, ils ajoutent ,les .ennuis d'unIe compagni,e ou d'un voi,sina,ge qu'ils ne goûtent 'Pais. Quel plai'sir de vivre dans une pareiHe atmosphère !

L'union 'entr,e callègues a d 'heureuses 'conséquenoes non seulement sur ,le moral d'es maîtres ,mais aussi 'sur .la bO/nne mar­che :de ,l'école tout ,e~tièrle, sur la dilscipJi.1l'e et l'enseilgnernent.

Quand ,les maîtres ISe 'soutiennent dans l'app'lication du règlem'ent diiseiplinair,e, les élèves savent à quoi s'en tenir. Ils ne ,constatent ipas de 'ces attitudes ou de ces commande­ments eontra:diotorres qui :le's déroutent ou leur faussent la consci'ence. Ils voient au 'contraire ,que le -règl,ement est quel­que chose de sacré auquel nul ne veut manquer.

Sous ,ce rappor,t, i:1 serait Ibon que Il,es rrnaîtr,es d'une école ' eussent, au début de ,l'alllné·e scolaire, une conférenoe ou causerie présidée par l'un d'eux 'sur l'app.J.ioation 'aUlssi uniforme que possible du ,règlement ,et Isur les ,samctions rà 'Pr.endre vis-à-'vis des délinqua,nts, afin qu'une même ;faute :commise par le mê­nle élève et .dans les mèm,es circollistances ne soit pas punie d'une façon excessive par tel maître ou tro.p faibl'ement réprimée par tel autr,e.

L'union rendr,a également de bons serv~ces à l'enseigne­rnent par l'emploi de méthodes aus'si pratiques et aussi uni­formes que po'ssirhle.

Le change:m'ent de 'méthode d'une ,olais'se à l'autre désor iente f acilement les ,élèves, ,qui passent alo:ns un temps Iplus ou moins long à ~e f3!miliar1ser avec une Iméthod.e ou manière d'ensei­gner trop düfiférente de celle qui fétait ,en u'sag'e dans la da:sse pr écédente. Ici aUlslS'Ï une confévenoe serait utile pour cho1sir la méthode la meiU'eure, ,la voie la plus directe, la plus sûre pour arriver au lb ut. Evidemment ,chaque maître .serait libre de se sevvrr de procédés, de moyens de détail qui lui 'S'Ont pe,rson­nels ou dictés par ,snn ,expérience, il sufrfit qu'il reste dans la voie commune; marcher plus vite OIU plus lentem,ent ~st se­condaire Ipour atteindre le résultat désiré. La 'mar.che doit s·e -régler d'après les eapicités du ,m·archeur.

C"est dans ces confér,ences que les jeunes maîtres ont .} ' oc­casion de ,r,ece'voir d 'urti,les rdirectives de leurs aînés; de plus ils se s-entent encour a1gés par la pensée qu'Ïl!s ne travaillent pas seuls, qu'j'l's sont aidés. .

N o'Us 'pensons, en f inissant, que ces quelques lignes inspi­reront pLus d"une réflex,ion et donneront lieu à .oertaines déci­'sions utiles. D'e nos jours ,encove l'union fait la force. J.

i PARTIE ~

Centre d'intérêt 49. Les chemins de fer

N ota. Afin .de proüéder de façon efficace à 1'exploita-tion des centres d'intérêt du manuel de vOIc:wbulaire, on fera bien Ide :Ure attentlJv'ffil1e-nt la partie .méthodologique contenu.e dans :le li;yye du maître.

\_ 11

1. Leçon de choses 1. E-ntretien sur 'le texte qui se prête là de nombT,eux déve­

loppements Isuivant J'âge des enf'ants. 2. T,ravail d'enquête par Iles emants : Notre gare; la Jigne

de chemin de fer de ... Les chemins de fer suisses. Lecture d'un horaire et préparation d'un voyag,e ,empruntant diverses lignes.

2. Le texte Introduction: Petit -texte a;musant qui donne une idée

assez juste de Ice que les enf,ants doiv,ent sa,voir ,à 'Propos des chemins de ,f'er. Le 'Vücalbu'la:if\e en particuHer y est fort 'cOlnplet.

Préparation : Lecture à la maison par les élèv,es. En classe questions de contrô.1e par le m·aître; puis, :lecture lexpressive. Ensuite, livres fermés, tête dans les mains: les élèves .s',effor-

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cent <de c.réer :la VISIOn. Après quoi questions plus complètes pour la compréhension du texte.

3. V ocabulai?'e Voie: chemin; v-oie à 'suiv-re : moyen; des voies de fait: coups ;

homonym8: voix; dérivé: UJn dévoyé. . Ligne: voie ferrée; trait; rang: en lÏ,gne; li:gne du téléphone. Rail: bande d'acier sur laquelle roulent ,Iles wagons. Trlav-erse : 'pièce de hois ou de fer sup~)ortant les rails. Aiguille: rail mobüe permettant de ,changer de voie. Mise en service: mils'e en ·exploitatio.n. Con'brô·}ieur : employé chargé du contrôle des voya1geurs sur les

trains. Chief de tl'lain : contrôleur p,rincipa'l 'sur les trains. Station: la gare; arrêt: -stationner; les 14 stations; lieu : sta-

, tion d'étrangers. -Chef de gare : employé principal responsable à la gare. Rapide: train à m'arche a-Clcélérée; adj. : qui va très vite ;

qui est incliné, aussd : les rapides du. f,leuve. Direc.t : qui ne 's'arrête pa's; en ligne droite. Omnibus: train ,qui s'arrête à toutes les stations. Ciœculer : se mouvoir en cercle; aUer et v'enir; se propager ;

pa'ss·er de main en main. Dérailler: sortir des -rails, du droit chemin; pe.rdr,e la raison . Ballast: 'gravier p:laeé entre les traverses du chemin d·e fer . Wagon: voiture de .chemin de ~er. Train: suite de wagons traînés par une locomotive; aller bon

train; à fond de trai,n : très vite; il mène grand train : dépense beau'couip; u.n train de c-ampagne ...

Tortillard: chemin de Jer qui fruit ·de 'nombreux détours et va lentement.

Desservir : .as.suu.~er les Icommunications; enlever loes iplats; faire du tort.

MaS'sif : g;roupe d'arhr'es, de f,leurs; ensemble d·e montagnes massif du Mont Rose.

Tonnelle : berceau de ve-rdure avec plwce ,intérieure. Viaduc: ,pont à plusi'eurs ·arcades. Enjan1'ber : franchir. Latérale: situé Isur .Je côté. Marquise : ,sorte d'auv,ent généralement vitré; femme du mar-

Ol]lis. Term~inU's : point extrême d'urie ligne de communication. V'oie de garage: v'oie aménagée pour ,garer les wagons. Cul-d.e-'sac : voie qui finit brusquement; .cul ... de-jatte; gratte-

'cül, mieux: cynorrhodon. ' -Grue: machine pel'mettamt d'enlever de lourds fardeaux ;

oi,seau. Supplém,entaire : en plus.

153

GoUision : rencontre, choc. Gatastrolphe : aCicident ter.rihle, malheur. T.ransborde'ment: aJction -de transporter d'uill train, d'un wa-

gon .dans Uill autre. . Célérité: vitesse. Cantonnier: ouvrier chargé d'enrtr,etenir la route la voie .

. Chef td'-éq~ipe. : ·qui dirige un groupe d'ouvtfiers.' . Chef de dlstrICt : 'Chef des oUlVr,J,e:r.s de lIa voie -pour une région

étendue. Circuit: mouvement circulaire; pourtou.r. Réseau : ensemble de voies, .de fi}ts : réseau téléphonique, fer-

rov,iaire. GUi?het : ?LWerture pratiquée dans une potfte, une cloison. T:aTltf : 'prIx. B~llet collec~,jf,: ,billet 'Pour un gr'Ûupe, une ,sodété. B:ület combIne : permettant d' organ ils'e r le parcour,s 'Comme on

J'entend.

4. Les idées

Les voies tra\cées, la Hgne est mise ,en service, Locom'Ûtive, . voya.geurs, ,employés. V'n train local dessert la ICarrllpagne. La ,gar1e 'ruvec vOÎ'es de garruge, -g.rue, -etc. La 'collitsion : la circula1Jion est 'aussitôt rétaJb'lie. Les chiens r.emplaœnt les voyageurs.

5. Exercices tirés du texte

a) Verbes: temps et modes

-Conj ugue à tous les temps : On traîne les chaises le long des allées pou?" trcwer les voies .. . Présent : Regardez : les enf,ants .. . lrnpa?'ja~t " Qua.nd je sui.s venu, les enfants ... Passe s21nple : Aus-sitôt les enfants ... Passé composé: Dur.ant toute .la journée ... Passé anté1'i~u?' : Les enrfants jouèrent aussitôt qu'ils ... Plus-que.-pa1"f a2t : Le~ e,nfants aura:iellt bien joué s'ils .. . FutU1' s2m'fl~: DemaIn les enfants traîneront ... FUtU1: r:nteneu?",: Les en.fants joueront dès qu 'i.ls .. . Cond~t~onnel pres~nt : . SIon le leur per'mettait, les: .. Cond2t2onnel passe : SIon le leur avait permi-s Impé1"atij présent: Enfants... . .. Subjor:ct~f présent : Il ne faut pa's que les .. , SubJ,onct2j passé: Il se peut ,qu'hier les .. . S2"b]onctij irnp. : J.e voudralis 'que 'les ... Subjonctif plus-que-parfait: J'aurais ,désI're' que ...

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b) Fm"mes du lŒngage

Ajji1'mCit'ive : A,rthur eut l'idée dB .. , N égCitive : Arthur n"eut prus ridée de ... Interogative: Arthur eut-Ï'l l'idée de ... Négative inte?"rogative : A~thur n'eut-lil pas l'idée ... hnpé?"ative : A,rthur, f'ais ,donc ... ExclŒmative : QUBHe idée Arthur n'a-t-il pas eue ...

c) Phraséologie

hnitation de la 1JhrŒSe : llnitez de façon aussi exacte' que poS's'Î,ble ,la phrase suivante: Avant d'entre.r daTl's la 'station ...

Avant de partir pnur récole ... ; A'vant de rentrer à la mai-son ... ; Avant de ISe mettre ,au lit ... , etc.

Le ver'be faire un voyage: Hrubillez-Ie de votre mieux en }Josant au préal.a'ble .}es questions h3Jbituel1es : Qui est-ce qui ? qurund ? comment ? pourquoi ? quoi ? où ?

En ja'nvier dernier, dans -le but de négocier une affaire importante, mon père a fruit en chemin de fer un 'Superbe voya­ge à travers ulne des plus pittoreslques ré.g'ions de notre pays.

6. La chasse aux mots

Allons à la gare, à la 'station, à ,la halte, là la 'gar'e aux mar­chandis·es pou:r oI'lganise.r un voyage ou pour ,effectuer un ·envoi. N'oils voici Isur le quai; en passant sous la Imarquilse, pénétrons dans la !saUe d'attente, 'Puis de .là paT un vestihuloe nous arrivons aux guichets où nOlllS demandons la'u commlÎ's un billet simple cours.e, :aBer 'et retour, ,combiné, !c,ol.leiCtif, troisième classe, se­conde dals,se; enregistrons no:s bagag,es, expédions nos malles en grande vites'se après a'voir rempli la lettre de voitu,r,e; con­sig.nons nos bagages là main; Iconsu.ltons ,maintenant l'indica­teur, .l'horaire, le guide. NoU's aurons une bonne correspondan­ce. E-n attendant le direct, 'le ravide, l'international, ,l'omniJbus, la flèohe rouge, allons ·au buffet. L'avertisseur retentit; mou­tons vite dans un ,compartünent de 3me classe; ,l'e ,chef de gare lèv·e la pa'lette, le convo.i dérnarr,e. Rendons-nous au wagon-res­taurant, après lavoir :pJ,rucé ·nos 'coli,s 'S'ous ,la banquette et dans -les fHets. Regardons le paysage par la Iportière; baissons les sto-res.

N otre voy.~ge 'Se poursuit 'sans inci.dent Igrâce à un person­nel Istylé : ,chef de gare, commis, condlUlcteur, mécanicien, chaucffeur, w,attmann, serre-frein, ·aiguilleu.r, ,etc., tous de bra­ves cheminots f.idèloes à la com'Pagni'e.

N oU's pourrions voyag·er sur une ligne principale, à voie normale, m'ais aussi 'sur une ligne secondaire à voie étroite, en f uni cula i r,e, en téléphérique, en ohemin de fer à crémaillère, en tlI'amway, en métro, 'sur .les CFF, su'r le MO, sur le MC, 'etc.

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Notre traï'n file SUT 'Une voie rectiligne, il entrB dans un tunnel, franchit un tnrrent sur un viaduc; passe dans 'une tranchée, puis ,sur un haut remblai; il s'arrête au 'sélnaphore, au disque; ü 'a -brûlé .les iSignaux; auS'si a-t-il déraillé Bt l'atte­lage ,s'est ro.mpu, il a tamponné un train de marchandises ...

7. Exe1'cices SU?' les noms, les adjectifs, les verbes S'en référer au m'anuel.

8. Sujets de c01npositibns .f1"ançciises S'en r,éférer au manuel.

9. Poésies

Rondel de l'adieu

Partir, c'est mourir un peu, C'est 'IDOUr:ÎŒ' à ce qu'on aime : On laisse un peu de ,soi-même En toute heure et en tout lieu.

En ,1' o.n' part, et c'es,t un 'peu, Et jusqu'à l'adieu :surprêrne ,C'est !son âme que l'nn sème, Que l'on .sème à 'chaJque ~dieu P.artir, -c"est mourir un peu ...

Edmond H a1"aucou:rt.

Les voyages

Un train siffle et .s"en va, bousculant l'air, les routes, L'espace, la nuit hleu'e et l'O'deur des chemins; Alors ivre, ,hagard, il tombeil'a demwin Au cœur d'un ,beau paYis, en sif,Ha'nt SOUiS ,l,es v.oûtes.

Tant de rêv1e.s, brûJant aux chaleurs des charbons, T'andis que :le Itrain va, par saccades pressées, EparpiUant les ,champ's, les villes dépaJssées, Cing.lant le vent 'sans force et déchirant les ponts !

Ah ! la .claire :a.rrivée, au lever du matin! Les ,gares, leur odeur de s'O'loeil ,et d'orange, Tout ce qui suf -les quais s',emmêl,e et s,e dér~nge, Le mervei1leux ,ef.fort d'instab:l,e et de lointain!

Comtesse de Noailles.

10. Or-thographe

'Train cODitinental

Le ,billet que le voyageur a 'Pris au départ le libère de toutes préoccupations. Installé .dans ,son eompartÏoment, selon le jourp

ch3Jmbre l'a nuit, i'l n'a plus qu'à .se laisser conduire. Sa peT-

Page 12: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

- 156-

?onne, ses 1?agwges restent sûus .J'œil du conducteur qui. d ans çhaque vo.iture, veille sur ·ses ûccupants, les renseigne, les as­siste au passage de.s frontière.s, ·leur 'sert d'interprète, se tient, en tûutes circûnstances, à leur entière dispûsitiûn. Sans sûrtir, 'S'il lui p.laît, du train n1ême, il pr,endra .s'es repas ·en un w.agûll­restaurant cûn.fûrtable dont Iles m'enus, comme les serveurs, changerûnt . au 'cou~s des pays trav.ersés; et (qu'il vûyage en 1re ou 2·e ,c}ass-e) dans l'es cahines de d'Ouches aménagées à so.n -ÏntentiO'n, il rpûur,ra :prûcéder à des ablutiûns 'Complètes aU8'si souvent qu'il ,en aura le désir.

Guide Roux-Se1~vine.

Le rapide en marche

L'énûrme .machi,ne 'sembla,it aninlée; eUe vivait, sûu!ffait, reniflait, ,hurlait, ,suait ,comme ,un chev,al emporté ; le bruit as­s ûurdissant .des l"ûues rs-embla'Ït Ile ga'lop ,effréné d'un anilmal gigantesque. Ces -sifflements ,stridents, d échirants comn18 des cris, ces tunne}.s dans .J.esquels ·ûn ,s'-enfonçait avec la nuit sur le front, ce :sûl de fer qui tremblait sous ses pieds, ,cette gueule avide et roug·e du loyer où la .larg1e pelle du chauffeur j etait les ta's de houille qui dispar aissaient dans la four naise, c.ette vapeur blanche ,sortant d u tuyau .pa r bouffées rauq ues, tûut donnait à Ice t r ain ainsi 'lancé que l,que chose de fantiastique et d'effrayant. J. Claretie.

Installation

Quand j'aril'ivai à la g.a re, le tra.j,n était déj à bondé .de voyageurs, et, à ,la plupart des por t ières, un homme 'ou une f em­me !s'e t enait debout.

Malgré cela, je me hau.ssais vers 'chaque compartiInent avec l'espoir Ide t r ouver une place. Il y en a:vait bien une là, mais ' elle était encombr ée par d eux grands paniers d'ûù sor­taient -des têtes de poules -et d e canards.

A'près avoir hésité un bon moment, je 111e décida,i à monter et n1'excu'sai de faire déranger les paniers. 1\11 . Audaux.

Le petit t rain.

_ C'est un train e11 miniat ure, qui ressembl'e à un .gr os j ou­JOU 'm'alpropre. n ,se lance à t rav'er.s 'les prés pendant que ·le propriét aire ,est absent, et abord e les pas-sages à niveau avec un cri strident qui t raduit une 'longueur d'haleine peu com­mU'ne.

Il IfUlne; il crache ; il se gargarise ; il tûusse; il émet un grand no:n~re de ~ruits qui lui 'attil'ferai~nt de sérieu:ses r épr i­mandes SI Ion avaIt 'encore quelque espOIr pour son éducatiûn.

, - 157 -

Le voici qui ' appr oche. On l"entend haleter ,comme Ul1

asthmatique. Voilà 'la ,locomûtive sor dide et Tidilcu!le ,av-ec sa j ape .à paniers, 'et les deux w,agolls sur lesque1s l,es lYoyageurs sont assis. G. Duha1nel.

L'arrivée du t r ain

Le t r a'in s'avança lentem,ent le long d'un quai ~ous une vaste verr.iène ·aux vitres saMes. Sur :le trottoir se p ressaient une foule de gens qui venaient attendre Iles voya,g'eurs. Des ,employés 'en blouses ,bleues, la taUle serrée par une 'ceinture, -la tête coif~é€ d'un e 'casquette à initiaIres, cir culaient sur de bruyants petIts char iots qui m archaient tûut seuls. Ch. Ab de1' Halden.

N ota. Dûcumentatiol1 pour le 'maître et les élèv,es :

O.S.L. N os chemins de f er suiS'sfes ont 100 ans.

O .. S.L. : Avec une 12,000 H P à l'assaut du Gothar d:

-M. Ray: Nos che-mins d e f er au ser vice du payes .

Le 'mécanicien Lombardi.

INV . TI ,L es m,e:mbres du corps ense~g,nClint sont avisés que, cœnme

l'ann ée dernière, no.tre

EXPOSITION PERMANE NTE IDE LIVRES SCOLAIRES ETRANGERS

est vis:iJbile en pemnan el1lce dans nos locaux de MarUgny.

N ouvea utés 1954: - env ir crn 500 nou veaux titres, - 1 rayon « Instr Uiction rel igie u se COlIl ­

(prenant entr-e a u tres les ouvr,ages de Mlle Dingeon,

Papeterie

en gros

gra ,nd choix de jeux éducatifs, f i­ches et m atériel p our classes enfan­tineS, éilPpareils à reproduire, 3jp!Pareils d e projection et fi,lms fi ­x es d 'ensei'gnement_

Libr a ir i e

générale

le gt'Ossiste valaisan sp écialisé dans les articles d 'enseignement.

Page 13: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

158 -

Sur l'esprit de nos institutions N aus 'ne ces'serans de prO'damer, après " des persannalités

bien :plu's autari;sJées ·que naus-même, que la fannatian civïque est a;f·fa<Ïre de canscience plus ·que de .science . .c'.est bien da­v,antage v:nai de nas jaulis où la ,prap.agande d'idéalagies ,étran­gères ne l,ai's'se pas de jeter le trauble dans >certains jeunes ,es­prits nan prévenus et c'·est paurquai natre influenc'e dait can­duire à attacher natre jeunesse à un 'système de gauv.ernement qui ,sera ,certes taujaurs ,sus'ceptible d'améliaratian, mais qui, basé Isur les enseignements de natre prapr,e hi'staire, :est ,sp'éci­fiquem.ent ,suisse, adapté à natr,e 'mentalité et à nas traditians particuHères, et dOlllt .une expérience sécul'ai,re a 'cansa'cré la "sagesse.

M·ai'S, ·au fait, de quai 'S"aglit-il ? Quels 'Sant les aspects de nos institutians dant InO's jeunes gens devraient avair au ·mains canscience, ·et à propos desquelles il .canvi·ent de ,les interrager, sur la ,base de Icas ,concrets ? . C'est ta ut d'rubard , l'originalité de certtCiines dispositions

fondamentales que la canS'titution ,suisse est la seule à cannaî­tre, par exempl'e :

1. Un Etat: dant le chef n"est palS , une persanne, camme c'est le cas partaut ailleurs, mai's une 'entité : Ile .gauvernement in corpore; dant la «présidence », cumulée au surplus avec celle du gauvernement, est dévalue automatiquement - sans cam,pétitian - année par année, à .J'un des membrés du gauv,ernement à taur de rôle, ce qui est ·absolument uni­que au mande; da nt le <<' président» n'est, à l.a lettfie, dans S'es daubles fonctians, ,que primus inter pa1"es, sans les compétences

, particulières ·qu'il détient aiHeurs.

2. Un gouvernement: - dant 11'effe:ctif est limité à un nO?n b1"e fi xe alaflS qu'il est

variable ailleurs' dant les ~embre~ sant élus, danc par une as·semblée tan­dis .qu'à l'étrangler i1s sa,nt choisis par un seul ha~me }e ip.r.em1ier ·minilstre; , d?rnt I·e m·andat est d'une durée déterminée, tandis qu' aüleurs cette durée est fonctian de la canfianC'e du par­lement;

- dant ·les membres ne j au'Ïlss ent pas du pouvair de décisian persannel (<< les décisians émanent du Ca'nseil fédéral co.mme lautarité») que 'possèdent les 'Ill'inilstres d'e beau-caup d'autres Etats. '

·,-159 -

3. U:n parlement : . _ dont les deux Chambr,es ant desattributians semblables,

0e ,qui n'est paIs le ,cas ni en France aù -le .con~eil de la. Ré­publique n'est qu'une «.chambr,e OOTiisulbatIve », nI en Angleterre aù 'la Cihambr,e des lords ne peut que 'suspen­dre mamenta-ném'ent les décisions de Il'a Chambre des Cam­munes ni même aux Etats-Unis où Il,e Sénat jauit ,de ,compétences plus grandes que la Cha..mbre des représ-en­,nants;

_ dant .},es dléci,s'ions ne peuvent êtr,e prises ,qu'avec l' ,acca~d de l'une et l'·autre Chambre, accord qui n'est pas néces­,saire dans -certains Etats;

_ .sur 'lequel le peuple a 'Un drait de cantrôle 'par l'exercice du référendum, ce qui est à peu près unique au :mande (vair note plus loin).

C'.est ensuite le bien-fondé et la sagesse de ces dispositions particulières, à ,s'avoir:

_ que 'si d'une part, le Jégislateur Buisse la renancé à insti­tuer .l~ fanctian de chef d'Etat persanne,l aVtec taut l'éclat dont elle 'est entaurée à 'l'étranger, et ,cene de Ichef du Igou­vernem,ent avec taute l'autarité ,qu'eUe y -camparte, et que si, d'autre part, il ·a limité ·à un 'an la durée ,du mandat présidentiel, ,c':est eu égard à lIa. simlllici.té de nas ·mœurs démocr,atiques et à natre 'averSlOn fonclèfie pour Ile pou-vair persannel; , .

_ " ,que Il'électian du gouvernement paT une a'sS'em:blee qu~ ,en ohaisit généralement le's m'embres dans Isan seIn et ql:l.l en Icannaît par :canrséquent la v,aleur, .est une ,garantie d'objectivité;

, _ Ique l',électian de ce gauvernement «à terme» ,assure 'sa Isna-,bilité ,et par 'canséqll'~nt « la continuité de l'entr-eprise » ; 1)

_ que -la ,subardinatian des décisians ·de chaque membre du , .gauvernemlent à l',approbatian du caUège taut entier est

une nouvelle Iprécautian cantre Ile pauvoir 'persannel; que .J'égalité de Icampétence de mas deux Chambres, et surtaut de l'·égalité de .r.eprés-entation des üantons au Cansei~l de'S Etats, ant .été dictées par ,le Isauci du ,respect ,des minarités et de l"esprit fédéraliste.

C',est 'encare l'importance de ces droits populaires que les citoyens suisses sont seuls au monde à posséder, Isoit :

le référendum fa!cultatif 2) qui permet au peuple d'appa­Iser laux ~ais 'Vatées par -les Ohambres un veta plus impé­ratif 'encar·e que 10elui dont jouit .1e ,président des Etats-Uni,s, veta ,qui n"est que ,suspensif; ,

_ Je l'éf,éI'iendum obligataire 2) par :lequel le peuple est ne-cessairem'ent consullté ·sur taute modification de la Cons-

Page 14: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

- 160-

titution, droit réservé à tl'étr,anger au seul Par,lement, plébiscite excepté; l'initiativ,e constitutionnelle (et mêm·e .Jégi,slative dans lBS cantons) Iqui donne au 'Peuple lia possibilité de modifier lui-même ,la 'constitution (ou d"édicter de nouvelles ' lois) et .qui exolut ,par conséq.uent le recours à 'la violence, à la révolution ou au coup d'Etat.

C'est enfin l'importCLnce non '!noins grCLnde de ces libeTtés individuelles et de ,certaines gar'anties dont 's'honorent nos dé­mocraties occidentales, ·et que leur limitati()!ll, dans certains Etats, r 'end d'autant tpllus précieuse's, a ,savoirr, entr,e autres :

la liberté d'opinion, av,ec ses ,corollaires: l,a liberté de .pres'se, Je droit de 'critique, le drO'it d'opposition parle­mentaire;

- le droit d'·association en divers partis politiques; - la ,li'berté ,de vote, c'est-à-dire Ile droit de s'aibsteni,r ;

. - le ·droit de 'se prononcer librement dans .les 'Votations; - la liberté, dans les élections, de choisir entre plusieurs

listes, et de choisir 'parm·i les ·candidats de ces listes; ~ lia garantie du ,secret .du vote; -'- lIa garantie de l'honnêteté du dépouil:lement, avec pour

corolla:i'l'Ie, ,l'honnêteté du verdict populaire et du !pour­centage de 'fréquentation des urnes.

*** VoHà, sommairement esquissés, les éléments constitutifs

de l',esprit de nos lois. Nous répétons qu'il n'est pas facile d'interroger à leur

suj,et, 'parce que, encore une .fois, c'est là affaire de la 'conscience civique de nos recrues et qu'on n"inventorie pas cette cons­cience comme on apprécie leur capacité de réHexion ou le degré de leurs connai,ssanoes. -

Un moyen recomma'l1ldaJble, c'·est lŒ compŒr'aison. Nous en avons ' donné quelques exemples :concrets dans notre rapport de 1953. Qu'H nous soit :permis d'en r,app.el,er un : « En 1953~ le parlement italien av,ait voté une loi é'lector,ale qu'une partie importante du :peuple d'ésapprouvait mMs à laquel:le il n'avait paiS le Imoyen léga,l de Is'opposer : .dans des circonsta'l'1c·es sem­bla'bJ.es, de quel moy,en le peuple suiss'e disposerait-il? »

On ,le voit, cel,a dem,amde de la ,documentation 'et un certain tour de main Ipour l'e li\bel1é de la ·question qui ne s'improvise /pas. Raison de plus 'pour préparer ce Ililbellé 3Jvec 'soin : le jeu n'en vaut-i,l 'pa's la ,chandeUe ?

:lVIarcel Chalitr.ens.

1) WiLliam M a.r tin , «HistClÏre de la ,&tisse ».

~) Que possèdent égalem·ent certains Etats des U.3 .A.

.-:. 161 -

Etude de la division Nous publions Ideux séries de f,i,~hes .p~u:r l'ét.ude progres-si­

ve de 'la divilsion. ,Les col/lègues qUI -en deSlr,er.al,ent pour leur classe peuv'ent ,en ,f!ai.re l,a ,oomI?a'~de auprès des M.aîtI'les d'ap­pli'catjon aux E-coles normales a SIon.

DIVISIONS SERIE 1 - Fiche 1 Le diviseur n'a qu'un 'chiffre ·et diviise tous les chiffres du

884 4 862 2 339 3 448 4 628 : 2 993 : 3 666 6 848 4 286 2 777 7 366 3 448 : 4 682 : 2 633 : 3

267 2 968 3 779 7 885 4 243 2 634 3

8489 : 4

Dividende 777 , : 7 242 : 2 844 4 422 2 369 3 866 2 663 3 448 4

55 5 993 3 666 6 264 2 969 3 393 3

644 : 2 936 : 3 484 : 4

8448 4 6396 3 8424 2

888 8 399 : 3 633 : 3 888 : 4 246 2

96336 : 3

DIVISIONS SERIE 1 - Fiche 2

Le Dividende ,laisse un· reste final 9635 3 8446 4 4823 2 8485 : 4 3964 3 2863 : 2 3634 3 7779 7 8485 4 3665 3 2863 2 49 4 3395 3

5°10 au corps enseignant sur présentation de la carte Articles réclames exclus

Tél.

2 11 30

MONTHEY MARTIGNY SAXON TÉL 025) 4.22.52 (026) 6.12.62 (006) 6.22.12

SION (OZ?) 211.80

Tél.

2 11 80

SIERRE VIEGE (02'l) 5.10.63 (028) 7.21.22

Page 15: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

,

- 1162 -

4682 2 6668 :6 63967 : 3 635 3 2643 : ·2 85486 : 4

3365 3 9694 3 4846 : 4 4486 4 3934 3 936 3 557 : 5 6223 2 6445 2

9934 : 3 8889 8 6635 3 62423 : 2 8887 4

DIVISIONS SERIE 1 - Fiche 3 Le premier chiffre du Divid'ende est trop petit

244 4 427 7 325 5 324 4 328 8 375 : 5 355 5 248 8 985 : 5 455 5 729 9 576 6 366 : 6 819 9 474 8 426 : 6 288 7 538 6 637 : 7 637 7

4275 : 5 3347 : 7

2345 : 4 1973 : 9 1234 : 5 2974 : 7 3792 : 8

1592 4 1182 6 1474 6 2706 5 2604 3 3848 4

48984 7

2253 : 3 1136 : 2 3145 : 4 5568 6 7344 8 1574 2

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- 163 -

DIVISIONS SERiE 1 .- Fiche 4

Le Dividende peu:t laisser un l'este ' ,déjà à la première ,division partiene

58 : 2 56 4 521 :3 74 :2 76 4 882 :3 38 :2 52 2 534 3 54 :2 632 4 908 : 4 72 : 2 854 7 985 : 5 96 : 4 868 7 681 : 3 68 4 532 : 4

468 3 959 : 7 6848 : 4 585 5 625 : 5 878 : 2 696 :4 '591 :' 3 952 :2 868 : 7 744 2 6822 3 936 : 8 388 : 2 924 6

675 : 5 5448 :2 845 5 985 : 5 5648 : 4

DIVISIONS SERIE 1 - Fiche 5

Le Dividende a un zéro et 'ne provoque pas de zéro au quotient

806 5 908 7 702 6 409 : 3 709 : 4 307 : 2 607 4

6409 3 5806 5 4708 4 5302 : 2 5058 : 2 9096 : 4 3702 : 3

709 5 909 6 807 3 505 5 402 : 2 305 : 2 609 : 4

5605 5 2702 2

80703 7 403 3 605 5 807 : 5 402 : 3

902 : 8 404 : 3 908 : 4 661 : 4 704 6 809 6

908 8 7055 : 5

9807. : 3 6909 6 7909 7 6702 6

DIVISIONS SERIE 1 - Fiche 6

Le Dividende a un zéro qui provoque un zéro au quotient

808 8 69033 3 804 : 4 907 : 9 505 5 206 2 709 : 7 48404 4 505 5

6012 : 6 a0303 3 409 4 5055 : 5 80404 4 2209 2

48044 : 4 20202 : 2 36036 3 8604 : 2 90603 : 3

Page 16: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

- 164

9802 2 6084 . -6 9097 3 9608 8 2098 2 4057 2 5704 3 3072 3 52029 2

708 7 301 3 707.08 7 9099 9 507 5 96304 3 4052 : 4 608 6 72069 6 8096 : 8 909 9

DIVISIONS SERIE 1 - F ich e 7

Le Di,v.idende n'a pas :de zéro let p r.otduit quand mêm'e un

621 816 312 824 721 315 735

3 4 3 4 7 3 7

936 9 927 : 9 832 8 432 4 515 5 525 412

5 4

zéro a.u quotient 624 3 416 4 618 6 981 9 972 9 214 2 212 2 321 3 612 6 927 9 818 2 824 8 424 4

714 7 816 8 654 6 535 -5 545 5 618 3 627 3

B IBLIOG RAPH IE

624 636-412 836 864 763

6 6 4 4 8 7

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.c' est à répoque follement héroïque de la Chervalerie, que se sit ue le nouveau r o,m an p our les j eu n es ,du Père Hublet, auteur si .p opula ire parmi la rg ent éeolière .

E n notre sièc1e, qui 's acrifie si yolontier.s le « panache » au. profit immédiat, 11 est ,certes excellent de pla,cer -sous l'e-s ye'ux de nos jeun es, .les vertus éminem ment désin téressées qui fleurissaient a lors. Ce dévouement filia l envers J.'Eglise, 'se trad u isant par le.s CROLSADES; ,cette endurance stoïque, allan t jusqu 'au mépr is du plus léger 'corufort; ,cette fi d élit é t otale à la par ole donn ée; et, enfin, cour onn ant le tout, ceJ attachement inébranl-able à la foi catho­lique ...

'F~~

- 165

Tout en suivant a vec passion .l'histoire attachante du jeune Alain, a u ,service du ROY LEPREUX, 'l.es petits ,le;cteur·s ,pren.dront pied, iSans pe:ine 'aucun e, dans l'HISTOIRE tout ,court, Et enfin, brochant SUIT ·ces ~wentUTes guerrières, une fraîche idylle apporte s a note sentimenta,le et t endre au miUeu de cette gerbe d e ha'ut's f a its.

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Pat et FlOllff? Deux jumeaux, hélas bourrés d e déf·auts ! LI<8 sont orgueilleux e t ralgeurs, j.alaœc et gourmands... Le le,cteur les voit grandir, sous ,la sagle tég-Lde materneLle ; il les ,suit au Collège, iplacés ISOUS une J.a:rge et prudente direction. Et il n'elst iP.aS étonné de voir la grâce rs'épanouÎT Jtibr.ellne.nt, dans ces [peti<tes âmes rfon­cièr,ement droites, pOUr -conduire même Pouf-le-peureux jusqu'à une action héroïque, rqui Il'a,cheminera vers .le Sacerdo.ce.

D'un liJvre à l'·autre - let iVoi'ci le ,cinquième - Marcelle Pel­lissier télffirme de p.lus en plus de remarquatble·s 'Clons de na!Tratrice: un tour de phrase léger, enjoué, un humour presque constant, Inais con­t rôlé ~a,r un ,goût <SÛT, ,c'est-à-dire par ,ce 'sens de La mesure qui est un, signe irufa1l!JiJble d'une rv.éritalb1e ,cultur:e.

Ce,s quahtés ffi,aîtresses font ,des aventUT.e.s de PAT .et POUF une œUJVre fort agréable à lir.e .où, là !défaut d'une ~maginat1on .tr.ans­c endante, les ,soUlV!enirs 'sont halbi1ement exploités et ~préseoI1Jtés avec une indéIllialb1e adresse.

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Page 17: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

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167 -

No 7 FICHE DE LECTURE SILENCIEUSE

Les questions du petit homme ·Connaître 'BSt la plus grande des joies, même p our un tout

petit homme. D'lai Il eu l'lS , il ,connaît tout. - Qu'est-ce ·que c'est que cet artbre ? - Un pom,mier. - Et ,èelu1-'C'Ï ? ~ Un ,poirier. - Bien, 'et -ceci: - Un tomatier. - Et >ce ,grand arhre ? - Un 'chênier. o poète ! Je vous l'ai dit, il connaît tout . Durant .}' été à

V'almondois, il conduit les v,lsiteul',s dans I~e :potager et leur nomme avec .or.gueil les p'lantes et les arbres.

Le petit homme parle avec I}e j:ardinier, puis Is'en va rejoin­dJ'ie Ises pairs, et des conveI'lsations graves, 'P3IssiOlnnées :s'en­gagent autour du t31S de S'wble.

- Si je lm Em r is ... - On te Iplantera dans la terre. - Et on t'arrosera. - Et ,tu .devilendras un arbre. - Quel aI'lbre ? - Un ,marronnier. - Non, je' lITe veux palS devenir un mar ronnier.

Quel 'anbJ'ie 'a:lor:s? . - Je dev,iendrai un aI'lbre de Noël.

No 7 Fiche de travaü

1. Lis attentivement tout le texte. Relis-,le troÏlS f.ois.

2. Cherche et copie la phr'as'e ,qui com·mence 'par: Durant l'été à Val'mandois ...

3. Conjugue mu futur: Je deviendrai ... Tu ... JérÔIne ... NoUJs '.' Vous ... Jérôme ,et René ...

4. Le petit homme connaît-i'} bien les al'lbres ? Quels Isont 'ceux (qui Isont <<inventés» ? Réfléchis: que préfères-tu connaître?

,5. De~SJi.ne un des al'lbres nommés par ,le petit homme. ·6. Regarde bien comm'ent on écrit: Connaî,tre est 'la plus gr8ln­

de des j oies, même pour un tout petit .homme. P'orte ta ,fiche sur le pupitr,e let ,retourlne écrive cette phr3JSe

de mémoire 'sur ton cahier.

Page 18: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

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de la BiJ>liothèque cantonale.

1. RELIGION - PHILOSOPHIE - PSYCHOLOGIE

AUGUS'I\INUS. Das Antlitz der Kir,che. Ausw.ahl .und Uebertrag,ung von Hans-iUlI'S iV.on Haltha,sa,r. E:Î!nsiedeln und KaIn, Benzig.er, 1942; 8°, 3t5.g S . (Menschen der Ki'rche in Ze'tlignis und Urkunde. Bid 1.) TA 12.294

BLONDEL, Charles. Eiruführun!g in die KoiJ.1ektiJvrps~lohologie . (Aus derrn F.ranz. Ülber.setzt 'Von Y[v.onne] Sermon.) Hern, A. Francke, (11,948); .s0, 21212 .5. (ISao:nmlung Da;ljp. 318.) N 5~8/38

LntJroduc,tion à lla IPsy,cholo,gie 'co1}ootive. ,5'e éd. Paris, A. Colin, 19.52; 8°, 2110 p. (,Co1l. A. Oolin. Philosophie. 1.0,2.) N 48;1/102

C.AJRCOPINO, Jêrôme . . Etudes d'histoire lchrétienne. Le christialI1is­.me selocet du «,oar,r.é mag,ique». Les fouiUes de Saint-Pimre et l,a tNlidition. P.a:r.is, A. ,Michel, (,195,3); ,8°, ·2,86 \p. IPI. TA 12.308

CERFAlUX, L. La Icommunauté .a!PostoUque. 2e ,~ éd. Pari·s, Ed. du Cerrf, ,1,9,53; 8°, 102 !p. (Colll. «T,émoins de Dieu». 2.) TA 7866

CONGAR, YV€IS ,M.-J. J .a!1ons \pour lune th~o.lÜigie du laÏlcat. Paris, Ed. du Cam, 11953; 8°, 683 IP. (Unam SanctalIn. 23.) TA 12.3,34

CRESSON, Anldllé. Les s~stèmes phiLo.soph1ques. 7e éd. Pa.ris, A. Co­Hn, 1951; ,8°, 211,8 \p. (Coll. A. Colin. PhilosolPhie. 119.)

N 481/1,19

DUMONT, C.-J. Les voi,e.s de l'unité ,ohroétrenne. DQctr.iJne et ~.i.ri­tuaLité. PaJds, Ed. du Cerf, 1954; 8°, 2,31 p. (Co.1l. «Unam Sanc­talIn'». 26.) TA 8239

- 169-

GELIN, A,~be.rt. Jérémie. P ,a.rJs, Ed. du Cerf (195.2); 8° 197 p. (CoU. «Témorns de Dieu». 13.) . , TA 7864

GRABffiR, Rud.oLf. Die marianitschen Wel1lrundschr,ei.ben der Papste in den letzten hu'ooent Jaihren. (2.* Aufl.) Würzhurg, Echter-Verl., (1,9·54) ; 8u, 243 S . TA 1,2.469

HElSS, Robert. Der Gang de.s Geistes. Eine Gescihlohte des neuzeitLi­Ichen Denke.llJs . Be.rn A. Fr ancke , (1948); 8°, 3'~U S. (Sammlung lDal[J. 61.) N 528/6,1

M ANSER , Gallus M . Das Wesen des Tthom1smus. 3.* Auifl. Freihurg, ,Paulusverl. , 1949 ; 8°, XXIV + 728 S. (Thomis.tische Studien. ,Slcnr:irl3ten.re1he des «Divus 'Dhomas». Bd ·5 .) TA 12.2195

M.AJRITAIN, JélIcques. Le songe de DeSiC.aTtes, ,sui'Vi de IqueLques .es-,sais. Par is, R.-A. Cor.rêa, 1,932; 8°, X.JIl+,344 \p. TA 11.588

MISCH, Geor.g. Der Weg in die PlhilosO(Phi.e. Eine ,philosotPhische Fibel. 2. ':: AUJfI. T . ,1 : De r Ancfang. Bern, A. Fr a ntCke, (19,50) ; 8°, 504 S. (SélImmlung Dal[J. 72.) N 528/72

O'BRIEN, John A. Der Glaube der Millionen. Die Beweise der kiatho­'lischen ReügJiJon. (UeibersetZit von Ha,ns Schultes. 111.-13. Taus·.) A'sohalfifenibuI'Ig, P. PattlOlch, 1915'3; 8°, XVl + 7,2,3 oS. TA 12.340

PlERON, Henr·i. PlslYlcho.logie' eXlJ)érimentale. 7e* éd. P,aris, A. Colin, 1952 ; 8°, 2,20 p. (Gall. A. Colin. Plh11osaphie. 97.) N 4811/97

PLESSNiER, Helmuth. Lachen und Weinen. Eine Unter'sUfchung nach den Grenzen mensahlÎlchen Verhaltens. Bern, A . iFnancke, (19,50) ; 8°, 2,2,6 S. (Sammlung DaJjp. ·54.) N 5,2,8/54

REV,E8Z, G[eZJa]. Talen.t und Gerue. Grundzü.ge ei,ner Beg·abUlIlgs­IP~Cho.lOigie . Bmn, A . F,ra!I1Jcke, (.19,5,2) ; 8°, 3'38 ,S. (lSamm.1lUng DaltP.) N 5:2'8/76

SCHELER, Max. Der F,onrnaHsmus in der Ethik und die materia:le Wertethik. N euer VersUich der Gl'uilidiegung ein.es ethÎJscneR Per­sonalismus. 4. * AuiI. hrg. mit einem neuen Sachr.egister von Mari.,a Scheler. Bern, A. Fr.ancke, (1954); '8°, 676 S. (GelS. Werke. Bd. 2.) N5413/2

S'DEINIMANN, Jean. Daniel. Paris, Ed. du Cerf, (1950); 8°, 180 ' p. (,Coll. «Témoins de Di.eu». 12.) TA 7865

STOCKER, A [rnaLd] . Les rêves et le.s songe.s. Pisylahologie de .la pen­sée nocturne. St-Maurice, Ed. Oeuvre &t-Augustin, 1.945; 8°, 342 p. TA 10.453

. vfEILLARD, Ania. Handschl'ilfte.ndeutung ,auf tiefenpsycholo.gisch.et: Gr.undlage. Bern, A. ;F'raI1lC'k~, (19152); 8~, 349 S. Taf. Al)b. (,Sammlung Da1p. 68.) N 528/66

Page 19: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

- 170-

Der Mensch und. elle N atur . Gruntdzüge Betrn, A. Francke, (1,953); 8°, 270 S.

N 528/13 UEXKUEDL, Thure von.

,eiJner Natwr.phillosolphie. (Sa:mmù,UIllg Da1!p. 13.)

. . h010gie aplPlÏJquée. Paris, A. Co.lin, WALLON, Hemi. fu'I1n'c1jpeS dAe[pi~· Philosophie. 127.) N 481/127

(1,950); 8°, 224,p. (Coll. . 0 Ln. ,~

Il. DROIT _ SCIENCES ECONOMIQUES ET SOCIALES

RECHTS-, WIRT8'CHAFTS- UND SOZIAL WISSENSCHAFTEN

. ProduktiJvgenossenschaftell1 in der S,chweiz. ALBRECHT, Peter. DIe. " . d oOiPératirves de consommation,

Bâle, Im'Pr. lde l'Un'lon Su}sse , ,es IC TA 12.212. 19153; 80, 19,8 p. (tDhèse, H.E.C., Lausanne.)

Gaston. Histoire de .1a sodologie. PM'Îls, Presses Univ. BOU::r~~!~e, 19

150; 80, 127 p. (Que sais'-je? 423.) N 344/423

, , Laurent. Recherches sur la réception du droit ,r.o~ CHE:VAHLER, ' ..' 1789 Annecy Gardeit, (,19,53),

maip. ,en Sarvoie, des oTIglIl'eS a · , TA 12.4,99 8°, ,442 (p.

l iale d'aTI-rès l'en-é1:émentaires de 'Ir1Oil'a e soc ' , lI:'" , •

DAiUTAlS, E. Leçons ponti-fkales. 4e éd. Paris, P. Tequl •. seignement des encydiques TA 12.208 1.946; 8°, 18:8 (p.

. L . de la pensée économique. Paris, Presses· DENLS HenrI. a cr.llse ' , . . ? 483)

, 1951' 8° 12,6 p (Qùe ,salis-Je. . Un1v. de France, " " , . . N 344/483

Economie a&;IrkoJ.e dans le monde: P.aris, Dalloz". DUMONT, René. (Et des /politiques écon. et so.cI1ales. 9.)

1,954; 8°, 5197 (p. UI , TA 12.393'

:L..' ht 5 * Au!'l BerUn, W. de FEHR Hans. Deutscihe Rechtsgeso1l:llc e.. . ,.....~. d . dc.Y"

, , S (tLehribiicher und \..:fi u1lJ 'nsse l '-'L

Gruyrt;er, 1,9,5,2; 8°, xn +2,88 . TA 12.321 Reohtswis'senschaft. Bd. 10. )

~ Hans SahuJJdJbetre~bUTI!g, Konkurs und Sanienu.ng .nach FRIT~SC~E,. " _ Zürlch S,chultIDess, 1954- ;

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e D" : " Bindsohed'ler-Roibert. Genève, Georg, 1953-ratIon e emse . TA 12.491. 1954; 8°, 2 vol.

Gesetzes- und VerordnuIllgs-H a 'n id bue h fur daIS Zivilstandswe~ : Poliz.eid~t., 1.953, 80,

vor.schrirf\ten. [,BeroJ, Eidg. JustIz- und TA 12.,257 119 S.

- 171-

lIILDBRAND, J [oseph] . . Führer pu:r:ch das ·sohweizeriSiohe Betrei­Ibungs- und Ger1cJb.1Jswese:n. 3. ::: A.luIDl. Basel und Stuttgart, Hel­bing & J.,icJhite.nhaJhn, 1,9,54; 8°, 296 S. TA ;12.427

,JUNOn, Phi,lippe. Recherche sur la respoIliSaibiJ.ité des organes de la tUltel'le. ,Etude ,de droit suisse. Lausanne, H. Jaunin, 1953; 8°, 10.9 !p. (Thèse, Dr.o'it, Lausa/nne.) PA 6108

KffiLSEN, Rans. Théorie ~ure du dr.oit. Intr,o,ducttio.n à la science du rdrlO1t. T.raid. ide ,1'aUem. par Henri 'l'hévena.z. Ne,llIchâtel, Ed. de }a Baconnière, 19,5,3; 8", 205 :p. (E1IDe et pense['. 37.)

TA 12.309

LEGRAS-HERM, Henri. Grun dr i's:s der ,schw.ej,zeriSichen Reciht!slge-s.ohtchte. Züritch, Slchulthess, 1935 ; 8 , XV +231 S. TA 12.316

Man u e l de l'état dvil: Lélgisliatian. [Berne], Dépt. :flédéral de justice ett poUce, 1953; 8°, ,1,18 p . TA 12.2156

OFTINGER, K 'a,rl. Das Fahrni~anJd. Art. 884-9,18, mit ,e.l'1ganzender DarSiteHung der im Gesetz nkht geordtIleten AJrten dingl~che,r

' S~chen111lg m,ittels F,ahrnis. 2. ,r. AllIfl. Züri'oo, Sc hulthe.ss, 1952; 8°, XIX + 16'34 S. (Ko.mmentar z. S'chweizerischen ZGB. Bd 4, Abt. 2/c . .) N 53,g/IV, 2c

OSER, [Hugo und] W [Hhe.1m] S:chonOOJberlger. Schweizeris1ches Ob li­gaJtion~ectht. 'J1extausglaJbe mtit Ein1eitung, Anmerkungen, Aus­führung,ser,liassen UIlid SachrelgistetI'. 22. Aufl. von W'S'. Zfur.i.ch, Schulthess, 119,54; 8°, XXXIX+7,56+100 S. TA 12.429

Schweizel!'.iscOOs Zivilgesetzhuch. TeXJtatUsgalbe mit Einleitung, Amnerkungen, Ausffihr.U/ug'serla,ssen und Sa,chregister. 23 . Audll. von W'S'. Züritoo, SClhulthess, 19,54; 8°, XXJV +6,24+66 S.

TA 12.428

RENiNEElAHRT, H [erm'ann] . GrundzÜige der bernis'Chen Re'chts­gesClh1cthte. Bern, Stampfli, 1928,119,316; 8°, 4 Bide. (AibhancUruruge:n Z. sooweizter. Reoht. N€lue Fo.lJge. H. 34, 6,6, 811, 114.) TA 1,2.3117

RI.MET, Milchel. Vells une so:ciété nOUivelle. Essai de sy,Illthèse. PaII"~S,

Ed. [pM' l ',auteur , 1.9513; 8°, 2114 \p. TA 12.247

SATTIVA, Henri. RechooCihes SUIT 1a tpropI"ilété par éta,g,es. Sa pro};ü­tbition et son etmjplacement en dr.o.it ·suisse. ,Lausan:pe, H. JaUinin, 1:954; 8u, 13,5 p. (Tihèse, Dr,oit, Lausanne.) PA &347

STEJGER, \T[ik1Jor] J[,a1wb]. Entwi,ck1wng, Gr.un:dzüg.e und Du:rtoh­,fü!Irung .de~ ,eidJgenÜiss1schen A1koholgesetzgeibung. 2. :\! AufL Basel, B. S1chw,aJbe, 19153; 8°, 43 S. Tab. (Be'ihefte zur Alkohol­Nage in der Schweiz. H. 24.) PA 6024

Z 0 1,1 w .e s e tIl. - Das IsClhwei.zeœ-.isohe Z'. Hrg. von der e~dg. Ober­zoHdirektion anlas<Slich des hundertjahr.igen Bestehens der schweizerisooon Zo11 v.erwa'l tung. Bern, EiJdg. aberzol1direktio~,

1948; 8°, 222 S. '.DaJf. Abb. Tab. TA 1,2.2:H

Page 20: L'Ecole primaire, 30 novembre 1954

- 172-

III. GEOGRAPHIE - ALPINISME - VOYAGES

GEOGRAPHIE - ALPINISMUS - REISEN

BARTHELL, Max. ItaHen. Illustriertes Touristen-Handlbuch für Rei­sen und Ferien in Italien. Züdch StaUlfifalcher-VerL, (1952) ; 8<1, 47,6 S. Karten, PUme. (StaurBfalo~er-Re1sefümer.) N 557/2

und Jean Lenz. Frankr,eooh. 111rustriertes Touristen-HandJbuch fur Reisen und Ferien in Franklreich. ZüriJoh, StauffaJcher-Ver1., (1 954); 811 , &87 S. Karten, Plane. (Stau:Dfu'ch-er-Rei,seführer.)

N 53 '7/:S

(BROUHOT, IVLonique.) Ainlgleterre, Ecosse, Ir.raIlJde. Paris, Haohette. 19151 ; 8°, CXV + 599 ;p. cartes, dépL (Les Guides bleus. 15.)

N 452/15

BLOCHER, Edua.rd und Emil Ga.rra'ux. Deutsohes O.rtsnamenbüchlein :für die Westschweiz, das Tessin und Graubünden. 2. Aruill. ., bearbeitet UJ1ld erweitert 'V.on August Steiger. Basel, Verl. Buchdr. zum Hirzen, 109,5,3; 8°, 3,2 S. PA 6357

CHEV AlDIJEY, Gaibr-iel, René Dittert et Raymond Lambert. Avant­premièTes à l'lENeiI'etst. Paris, Grenoble, AI'lthaud, (1953); 8°, :3110 Ip . pl. ca!!'tes. (OoU. «SemperviVUil1'1». 21.) CA 269

OROB, Riohar.d. Gesch1cihte -de,r Slchweizerischen Ka,rtOigraphie. Betrn, Kiilrn.meIily und Frey, 1941; 8°, 1'94 S. 218 Tai. TA 1.1.462

GUTERSOHN, Heinri,ch , Charly Burky [und] Ernst Winkler. Die Erde. Lande,r - Lanldsooarf.ten - Volker. Bd 1- . Bern, Hallwag, (195,3- ); 411 • TB 11.84

GUYOT, ChaT,ly. Helvétie. Texte de Cl'l'G' . Photog,ralphies de Théo .Fil"ey. Neuohâte.l et Paris, Ides et Ca'lendes, (1954); 4 f1

, 80 ,p . . pl. (Coll. des Ides ;photograrphiques. 9.) TB . 123Q

N:m.LER-MERRlJCKS, Ca,IiL OeSiterretoh. lllustr,iertes Tou.risten­Handbuch Iffu.· Reisen tU!I1id Ferien in üest~.eich. Zfuioc:h, StaU!f­la:cher-V,erL, (1,9153); 8°, 2,36 S. Karte.n, Plane. (Stau.M.acher­Reise:führer. 4.) N 537/4:

HEYERDAHL, 'TIhor. L'eXiP.é.dition du «Kon-Tik'Ï» sur un radeau il rtooIvers J'e P,?CiÏlffilque. Ttrad. du TItOlI'lVégien. pa,r MaligiUerite Gay et Gerd de Mautort. PaTis, A. M'1ehel, (19.5,3); 80

, 310 p. pl. crurte. TA 12.509

LAMBERT, Raymonid. A rta,s~aut des «Quatre miUe». (2e éd.) '. Dix récirts de haute ;monltaJg1ne, suivis de «AltitJuJde &600 » ou L'homme le ,p1us Ihaut ·du ŒI1O'nde, (reoueillis pa!!' Claude Varennes). Ge­nèVe, Pads, Jelheber, (,1.9,5~); 8°, 234 !p. pl. CA 265

(LEGROS, Jacques.) BOl'Ids du Rhin - forêt-Noire - Pays Rhénan~. Par.ie, Hachette, ,11953; 8°, CXX+606 p . pla~, canes. (Guides Ibleu". 17.) N 452/17

- 173 ---

(MONMARCHE, Georges.) Franche-Comté, Monts Jura. Paris, Ha­chette, 1949; 8°, LXX1X+446 p . . càrtes. (Guides bleus. 5.)

N 4:52/5

Paris. Pail"is, Hàchette, 1949; 8°, CIII+6114 p . . cames. (Guides hl.eus. 4.) N 452/4

MUENZ, Erwin KarJ.. Frankrekh. NürtIllberg, Gluck und Lutz, 1<953; 8°, 378 S. (Geistige Landerkunde.) TA 12.338

OGRlSEK, Doré. Le P ,ortug,al. Rarris, Odé, (,1,950); , 8u, 445 .p. ifig. (Le monde en tcoule.ur,s. 8.) N 454/8

RELSCRAUER, Edwin O. Japan. (Deru.tsooe U,eber.tragung [und] Aooang über die heuttgoe Wirtschaftssituation 'Von Karl Krüger. Berlin, Safari-Verl., (,11952) ; 8°,337 IS. Karten, Tarf. TA 12.2·39

R 0 ID e et res environs. - ~ouring dub .italien Paris 'Hacthette 1,949 ' 8°, LVIlI+1286 p. tCaIttes. (Gu1des bleus. 2.)' N 452/2

(ROUSSEAU, André.) BeÙjgl:i.que et iLuxeIrlJbour.g. PaxLS, Hachette, 1953; 8°, LXXXIII+41.1 p. 'cartes, plans. (Guides bleus. 16.)

N 452/16

'TAUB, HeTlbert. JU'go.slowien. Illustriertes Touristen-Handlbuch fur Re1sen umd Ferien in JUJgoslawien. 3.* Aufl. 21.-2,5. 'Dans. Zürich, StalUlfIfacher-Verl, (.1953); 8°, 295 S. TaJf. K1a±-ten, PIane. (Stauf­ïfcroher-ReiseŒühr.er. 8.) . N 537/8

IV. BEAUX ARTS

BILDENDE KUNST - MUSIK

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