Lead Hangar Fanzine #4

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Quatrième numéro du mensuel Heavy Metal Marocain Lead Hangar.

Transcript of Lead Hangar Fanzine #4

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Chroniques

Feel The Groove

ESP LTD F-104

InterviewFleshgod

Apocalypse

Live Reports

Powersurge

AnthraxDream Theater

Myrath

hErItAgE: La CoNtRoVeRsE

Your Monthly Free Dose of Heavy Music!

Octobre 2011N°4

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EdItO Avec la reprise des cours et l’été qui touche à sa fin, on com-mence déjà à penser aux prochaine vacances, mais il est un peu trop tôt pour ça. Ce numéro n’est pas un “spécial fin d’été” ou un “spécial début des cours”, ça serait trop ennuyant, ce 4ème mensuel sera un “spécial grosses légumes”, qui sont ces grosses légumes ? Les grands groupes connus qui ont sorti leurs nouveaux albums dans les semaines qui précédent à savoir Anthrax, Opeth, Dream Theater, etc.

Parmi les articles à ne pas rater ce mois-ci, notre interview avec Fleshgod Apocalypse, le second “Metal Through a Lens”, ainsi que le test de l’ESP F104; quelques pages ont été réservées à la couverture média du premier concert de Powersuge, pour ceux qui n’ont pas eu l’occasion d’y assister.

Très bonne lecture, vos commentaires sont toujours appréciés, et c’est à travers ces

mêmes critiques que Leadhangar fanzine pourra

évoluer.

Abdoulah SOULAMI

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Haytam El.Hamza B.OO.T.Aly

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Lutherie/Finition : 9/10Weapon of Metal

Sonorités : 9/10

Avec ses micros ESP DB4 actifs, cette basse envoie du lourd, le son profond, heavy as fuck, puissant est parfait pour du bon Metal, les aiguës n'ont pas été délaissés pour autant, son groove m'a impressionné, malgré son look, elle n'est pas exclusivement destinée a un son lourd et gras, ( mais bien sûr c'est là qu'on a le meilleur rendement) on peut tout a fais avoir un bon son groovy avec quelque réglages sur les potards et l'ampli, l'électronique active laisse entrevoir toute les possibilité de cette bête qui rugit à active laisse entrevoir toute les possibilité de cette bête qui rugit à chaque titillement du doigt, le sustain n'est pas parfait pour les raisons que j'ai cité plus haut, mais ce n'est qu'un léger défaut, il y a quatre potards:

Volume, Balance, Bass boost, et Treble boost, malheureusement,il n'y a pas de switch Actif/Passif. Coté techniques, le slap, ainsi que le tapping, y sont très agréables. Utilisée avec des GHS signature Flea 55-110, elle fait des merveilles !

Son corps en Basswood "standard" semble être taillé a la hache, son esthétique est fascinante, son look brutal et sobre en même temps en attire plus d'un, le manche est en érable, et la touche en palissandre, les mécaniques sont de très bonne facture, ainsi que le bridge, malgré ça, le sustain n'est pas très bon dû au bois utilisé pour le corps, en effet, je trouve que ce bois est trop mou, et pas assez dense, la basse est toutefois assez légère, et le manche est assez fin pour placer des démanchés facile-ment, en gros, c'est une belle basse, tout aussi agréable à jouer qu'a regarder.

Cette magnifique basse, est la plus intéressante basse que j'ai vu, d'un point de vue rapport qualité/prix, c'est la plus abordable des basses de la série F d'ESP.

FeEl ThE GrOoVe

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Weapon of Metal

Ergonomie : 8.5/10

Avis général : 8/10 Si je devais "personnaliser" cette basse, je dirais que ça serais une belle brune sexy a forte poitrine, si vous voyez ce que je veut dire, ce qui est le plus surprenant, c'est son prix: 300 euro, A SEXY CHEAP BITCH : great deal, par contre, il faut faire attention a ne pas l’érafler, ça se voit because le bois est trop mou, sur ce, je vous laisse a vos pensée tordue, and..

Feel the groove people !

Le manche comportant deux octaves (24 cases) est vraiment agréable, et jouer devient vite un plaisir, la forme du corps permet un accès facile au dernières frettes, elle est aussi facile a jouer debout qu'assis et elle n'est pas plus lourde qu'une Spector (donc assez légère pour une 4 cordes) mais parfois pique de la tête, le corps a été conçue de façon à épouser la forme de l'abdomen (debout) et celle de la cuisse (assis), elle est aussi bien balancée, donc pas de douleur a l’épaule a force de jouer debout.

-Hamza B.

Merci a Othmane Ouzari de m'avoir laissé tester cette basse.

FeEl ThE GrOoVe

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Thy Disease Thy Disease, groupe polonais formé en 1999, d'Industrial Black/Death Metal, le groupe a un style unique en son genre, un style combinant la musique électronique avec du bon Black/Death Metal (Blasphème !) venu du fond de la Pologne, pays natal des grands Behemoth et Vader, dont des membres jouent avec Thy Disease, et ne sont autres que Marcin "Novy" Nowak, ex-bassiste de Behemoth, et Pawel "Paul" Jaroszewicz batteur du groupe Vader.

Le groupe a une large discographie, comprenant 6 albums, (le sixième étant prévu pour 2012), une démo et un DVD, le groupe a connu beaucoup de change-ment de line-up, mais cela n'a pas affecté son style. Les thèmes traités par le groupe tournent autour de la guerre, l'apocalypse et l'humanité, et du futur, Thy Disease usent d'une multitude de mélodies éléctro pour approcher le dernier thème cité.

Le groupe est impressionnant et sait prouver sa présence sur scène (jetez un coup d’œil à leur DVD "Extreme Obsession Live" et vous ne serez pas déçus) avec des du headbangs non stop, des effets de lumière sombres, de quoi donner plaisir a ses yeux et ses oreilles en même temps. ->

HiGhLiGhT

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hIgHlIgHt La qualité de leur jeu est égale à celle de leurs enregistrements studio chose qui prouve que le groupe est bien bâti. le DVD est un MUST, à voir pour les fans de bon Death Metal !

Le premier album s'intitule "Devilish Act Of Creation"le premier morceau qu'on peut considérer comme intro, commence par une atmosphère sombre, et indiscrète, avec les gémissements qui donne l'impression de regarder une vidéo porno, normal que le morceau s'appelle "Condemnation Of Whores", et ce qui complète le morceau c'est la voix grave qui parle juste avant un cri féminin de peur qui termine le juste avant un cri féminin de peur qui termine le morceau mais qui est en même temps le début du

Un an après la sortie du premier album, Thy Dis-ease revient avec un album cette fois ci, teinté d'éléments indus, voire même éléctro qui ont pris une place importante dans la majorité des morceaux du groupe et sur les albums à venir, l'album s'intitule "Cold Skin Obsession" on remarque que la notion Industrial Black/Death Metal commence à prendre forme, des riffs plus agressifs que ceux joués sur leur forme, des riffs plus agressifs que ceux joués sur leur premier album, on voit que le groupe commence à devenir mature et prend place parmi les grands.

morceau suivant intitulé "Angel Ashamed", des riffs puissants, une voix diabolique et frustrante, des lignes de basse parfaites, et une batterie assom-mante de quoi pousser un boiteux à sauter et headbanger, la majorité de l'album part dans des rythmes brutaux, couronnés de solos mélodiques épous-touflants dont celui de "Finding God" qui est à en couper le souffle, et qui sera un plaisir pour les amateurs des covers. A cette époque, la notion d'Industrial Black/Death Metal ne voulait rien dire, vu que les samples n'apportait qu'une atmosphère sombre aux rythmes des chansons, donnant une idée glaciale et frustrante du Black Metal joué par le groupe. L'album peut être considéré comme une fusion entre Behemoth et Decapitated.

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HiGhLiGhTEn 2004, le groupe sort "Neurotic World Of Guilt" qui est un régal, blast beats à gogo, le groupe ne perd pas de sa brutalité ni même de sa mélodie. "Mother Death" est un morceau qui fait penser un peu au Death Metal de Cannibal Corpse, le groupe a travaillé un peu plus sur son coté symphonique, donnant un peu plus d'importance aux parties synthé présentent comme intro sur la majorité des synthé présentent comme intro sur la majorité des morceaux de l'album.

En 2006, "Rat Age (Sworn Kind Final Verses)" s'ajoute à la discographie, le groupe semble enfin s'être mis d'accord sur le style de jeu du groupe, qui est devenu purement Industrial Death Metal, ajoutant un teint futuriste au jeu du groupe, le groupe s'oriente principalement aux comptes, et essaie de nous donner des histoires aussi attirants que la musique qui les suit, traitant le aussi attirants que la musique qui les suit, traitant le sujet de l'esclavage, donc le groupe commence à faire des "concept albums", nous faisant plonger dans le monde qu'ils ont créé, montrant plus de professionnalisme, cet album était la pièce man-quante des chefs d’œuvres de Thy Disease

"Anshur-Za" est le cinquiéme album de Thy Disease, sorti en 2009, l'album continue le concept proposé sur l'album avant, coté musique, toujours du Death Metal lourd, comme on le connaît, mais bourrés de samples, les claviers gagnent du terrain, intrusion de la voix claviers gagnent du terrain, intrusion de la voix clean dans certains morceaux donne un charme incomparable à cet album.

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Thy Disease sont un pur régal pour les oreilles, de quoi se donner des orgasmes successifs d'un album à l'autre pour les amateurs de bon Death Metal.Je vous dis que vous ne serez pas déçues, GUYS ARE AWESOME !

Haytam El.

HiGhLiGhT

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LiVe RePoRtS

Powersurge est une association créée en Juin 2011 suite a une collaboration entre des passionnés de Metal, qui a pour but promouvoir la scène Rock/Metal marocaine et les groupes locaux, et ce en organisant des concerts qu'ils souhait-ent être à la hauteur des espérances du public.

L'association a organisé son tout premier concert, le dimanche 9 septembre 2011 à la salle Allal Fassi d'Agdal avec la participation de quatre groupes (Voir encadrés) qui sont, Idols Must Fall, Hell's Rockers, Mean Street et Old School, avec le groupe Dem3a en ouverture.

Le public était devant les portes de la salle dès 14h, atten-dant leur ouverture prévue à 15h, pourtant l’ouverture ne fut qu’a 16h30. Pleinement de headbang-ers venant d'autres villes, en quête de bonne musique ou/et de bons moments pour quelques uns, et en quête de on ne pour-rait savoir quoi pour d’autres.

DeM3a L'été 2008 marque le début du groupe Dem3a, créé par le chanteur/guitariste Younes R'guibui, le chanteur MC Rida Haddioui, aprés, les trois membres ont recrutéstrois autres membres qui sont, Hamza Oudaoui à la basse, Hamza El Amrani à la guitare, et Abd-Lmojib Khaoubiz à la batterie. Le groupe a connu beaucoup de changement au niveau du line up, les uns virés, les autres quittes pour des raisons personnels, mais cela n'a pas représenté unobstacle pour le groupe qui est résté actif malgré tout ces changements. Le groupe jouait du Nu Metal, aprés le départ du chan-teur MC Rida Haddioui, le groupe opte pour un style un peu plus Heavy Metal.

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Les groupes, quand à eux, étaient arrivés à la salle entre 11h30 et 13h. Un air d'entente régnait entre eux pendant qu'ils balançaient mais c'est là où les prob-lèmes de sono commencent à paraître. Les organisateurs disent qu’ils ne sont pas arrivés à avoir la sono qu’ils voulaient, et qu’ils n’ont appris son indisponibilité que deux jours avant la date du concert. C’était la raison donc du retard qu’a vu l’ouverture des portes au début, ce qui aura de plus grande conséquences à la fin.

Ce fut donc ces amplificateurs de secours qui ont sauvé le concert. Bien que pour une bonne partie du public, le concert ne l’était pas vraiment, et ce à cause de ses soucis de sono entre autres dont ont a parlé et sur quoi on reviendra après. L'organisation était bonne par contre au niveau de la sécurité, il n'y avait aucun trouble fête. Malgré quelques mordus de métal qui ont pu se faufiler sans ticket.

Idols Must Fall

Groupe de Metalcore/Hardcore de Rabat formé en 2009. Le groupe a connu beau-coup de changements de line-up, attendant 2011 pour annoncer le line up officiel. L'idée principale de leurs paroles vient du nom du groupe, interdisant les gens à copier, et leur insitant à devenir leurs propres idoles, de suivre leurs propres instincts, éviter tout ce qui peut nuire à leur personnalité. Les cinq membres débordent d'énérgie, et ce qui le prouve est leur jeu de scéne, ils n'arrétent jamais de bouger, ce qui influence le public à bouger à son tour. Le groupe est connu pour ses breakdowns lourds, ainsi que ses riffs mélodiques et ses paroles poétiques.

LiVe RePoRtS

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LiVe RePoRtS

16h40, le concert commence. Le groupe Dem3a arrive à jouer trois morceaux malgré les coupures de courant, et a même pu foutre une hystérie chez une partie du public en jouant le soundtrack du dessin animé : « Digimon ». Une autre partie s’éclatait de rire, comme le dit le vieux proverbe : « Trop de soucis, font marrer ». Quelques minutes après, une autre panne d’électricité, et le groupe quitte la scène.autre panne d’électricité, et le groupe quitte la scène.

Zineb: Dans un concert de Metal, les chaises demeurent inutiles. Le répertoire devrait s'étendre sur une durée plus longue. Il faudrait chercher à promouvoir l'événement et surtout maintenir l'entrée payante.payante.

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LiVe RePoRtS Place au Metalcore, Idols must fall ont su donner un show a la hauteur des espérances de leurs fans en finissant leur setlist (malgrè l’arêt du son des instruments à tour de rôle) :

1. Introducing The Zero Hour2. Under Grace Of Guillotine3. This is My End4. Far Away Fuckers5. State Of Mind5. State Of Mind6. Intro (For Today)7. Mychildren Mybride8. Pride9. Curse Of Nature.

Groupe de Rock n' Roll/Hard rock, Glam, et de Heavy etal créé en été 2008 par les trois membres Ali King, Muhss-ine et Vortex. Ali King rencontre par hasard le bassiste Bighead, ils jament nsemble, et Ali lui proposa de rejoindre le groupe, ensuite vient le tour à Fayçal Chayane de rejoindre le groupe en tant que chanteur, remplacé aprés par Ali Bel. Les influences des groupes restent toujours le rock/metal des années 80, des groupes comme Judas Priest, Alice Cooper, Dokken et Dio ont aidé le groupe dans leurs compositions, donnant un son Hellish.

Hell’s Rockers

En troisième lieu, Hell's Rockers, un groupe qui prend un bon bain de Glam et de Rock des 80’s avant de composer leurs morceaux. Ils ont bien chauffé le public - dont une bonne partie craignait que le concert allait finir au même niveau - qui a pu écouter de la bonne musique et assister à une bonne prestation sur scène dans une ambiance Hard Rock festive.

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LiVe RePoRtS Hardcore is next, Mean Street tant attendu par le Public commencent et dévastent la scène en jouant en grande partie, et pour une dernière fois selon Othmane, des reprises telles que “Set It Off”, “Roots Bloody Roots”, ou encore “Ace Of Spades”, Le manque d’espace de la scène n’a pas présenté de problème aux membres qui se baladaient sur scène et prenait du plaisir dans ce qu’ils faisaient.

Très remarquable était la façon avec laquelle Othmane communiquait avec le public, très remarquable aussi la façon avec laquelle Youssef bougeait sur scène, ainsi que la batterie féroce de Samir et les Solos de guitare de Saad.

Zineb: Quelques groupes (“Dam3a” ainsi que “Idols Must Fall” notamment) manquaient nettement de bonnes presta-tions _je ne blâme pas seulement les problèmes de sonorisa-tion auxquels ils ont dû faire face_ , tandis que la présence scénique de “Hell's Rockers” était parfaitement à mon goût. J'ajoute aussi que la communication de “Mean Street” (Othmane en particulier) avec son public m'a impressionnée. Et enfin, le groupe attendu... les “Old School” ont bien joué et sont toujours indiscutablement honorables mais pouvaient faire mieux pour clôturer la soirée.

Sarah: Quelques uns des groupes qui étaient au concert sont de bons amis, donc je suis allée les voir jouer sur scène.

Hamza : J’y suis allé premièrement pour voir un bon concert, ça fais longtemps que j’ai pas vu un bon. Puis pour voir Old School, j’aime bien leurs interprétations sur scène.

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Dernier groupe de la sélection, Old School, les pionniers du Thrash Metal au Maroc ont une très grande réputation. Le groupe a, depuis plusieurs années, fait bruler la scène de Metal au pays. Malgré les multiples changements de Line-Up , le groupe est très loin de s’ennuyer. Ils arrivent toujours a foutre la vrai hystérie, la bonne, au sein du public. On allait entendre deux nouveaux morceaux, “President Evil” et “Bad Seed”. Mais à cause du retard du concert au début, le groupe a du régler sa set-list et annuler des morceaux pour que le concert puisse finir a temps. Don Donc on n’a pas pu entendre le nouveau “Bad Seed”, ni “Read Between The Lines” ou encore “Be A Man”. Le groupe était aussi contraint à jouer les autres morceaux plus rapidement, et privé d’un temps entre les morceaux pour commu-niquer avec le Public.

Mais malgré ça, le public qui était debout depuis le show de Mean Street ne s’était pas ennuiyé, Old School on assuré une prestation honorable.

Anass: En premier lieu je citerais le manque de ponctu-alité des organisateurs, le concert n'a débuté qu'après 2h que l'heure prévue, la sonorisation était pourrie, on a eu affaire à des agents de sécurité comme des videurs de bars. Mais ce qui m’a énervé surtout, c’est le fait de pousser le groupe en tête d’affiche “Old School” a jouer moins de titres que prévu, à augmenter la vitesse dans d’autres, ce quiqui a perturbé l’humeur des membres et nous a gaché la soirée, et pour finir, y’a un mec qui vient couper le courant à la fin, comment pourrait on être satisfait?

Hamza : J’y suis allé premièrement pour voir un bon concert, ça fais longtemps que j’ai pas vu un bon. Puis pour voir Old School, j’aime bien leurs interprétations sur scène.

LiVe RePoRtS

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LiVe RePoRtS Originaire de la ville de Rabat, Maroc, où le Hardcore est un mode de vie quotidien, Mean Street a été officiellement formé en 2009 par des jeunes passionnés du Heavy Metal. Othmane "OT" Ouzari (Chant / Basse), Youssef El Ouardi (Guitare) et Abdelillah "Bross" (Drums) Après une dure période pleine de travail, Bross a eu un accident de route en avril 2010, lui causant une blessure grave chose qui l'a obligé à quitter le groupe et force ce dernier à recruter un nouveau batteur. L'élu a été un ancien ami du groupe, Samir Houaoura.EnsuiEnsuite, un autre ami a été inclus dans la formation pour donner plus d'agressivité etde lourdeur au son du groupe, le guitariste Saad Hikmate. Le style du groupe n'est pas purement Hardcore, sauf au niveau des lyrics, le groupe adopte un style mixte, du Hardcore Thrashy, et groovy, mais de plusen plus lourd, ce qui donne envie de se tordre le coup à force de headbanguer.

Zineb: Quand un mec a réussi à se faufiler jusqu'à la scène... j'avoue que ça m'a bien fait marrer, et le pire moment c’était quand le batteur d'Old School fut interrompu par l'un des responsables de la salle à la fin en lui rappelant que leurs temps était terminé.

En novembre 2004, Mounir Bouchaibi et Saïd Adali, amis de longue date et grands passionnés de Metal Old School (Thrash, Stoner, Heavy…), décident de monter un groupe dans lequel ils pour-ront jouer leurs styles préférés avec pour objectif aussi de présenter ces styles pas très à la mode, au public non initié. Après le recrutement de Younes à la guitare et Azedine à la batterie, Old School enregistre une première démo pour le dossier de candidature au BJM 2005. Remarqués grâce à leur première démo et acceptés au Boulevard, ils se font inviter à une première scène en février 2005 : Marockoalition. Après leur participation au Boulevard 2005, et pour cause d’obligations académiques et professionnelles, le groupe prend une pause jusqu’en 2007 ou ils reviennent avec une 2ème démo et quelques changements au niveau du line-up avec l’arrivée de Hamza à la batterie et Adil au chant.2010 a vu le départ de Younes pour joindre un autre groupe, Mounir quant à lui quitte le groupe momentanément pour des raisons professionnelles. Saad est la nouvelle recrue d’Old School.

Old School

Chady & Haytam El.

Mean Street

Sarah: Mon meilleur moment, ce fut quand le groupe Hell's Rokers étaient sur scène.

Anass: Mon meilleurs moment, humm... Je dirais, quand la sono a sauté en plein milieu du show du groupe Idols Must Fall, et la tête qu’ils ont fait... Epic Fail !

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DoSsIeR La sortie d’Heritage, dizième album d’Opeth a agité bien des foules, et ce, même avant le 14 Septembre. L’album a en effet été leaké 12 jours avant sa sortie officielle. Mikael a décidé de faire un retour aux sources, au prog’ des années 70, un peu comme sur Damnation.Pourquoi une telle controverse sur Heritage alors que Damnation avait boosté

leur popularité ?

Heritage, dizième album du groupe et second à ne contenir ni growl ni scream (voir encadrés) n’a - comme cité précédemment - laissé personne indifférent, et a été très mal perçu par les fans au début, certains d’entre eux on su l’apprécier après une demi-douzaine d’écoutes, d’autres l’ont tout simplement igonré, le décrivant come étant une blague.Ecoutons de plus près :

“Heritage” est l’intro éponyme de 2:05 de piano, un morceau doux et très agréable à l’oreille fortement inspiré de la musique folk suédoise.

““The Devil’s Orchard” est le morceau que tout le monde a écouté (et accepté) parce que c’est l’un des plus énérgé-tiques de l’album. Les plus de ce morceau sont la basse prédominante et les fortes montées qui rappellent quelques classiques d’Opeth, rien de nouvau jusque là.

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DoSsIeR “I Feel The Dark”, troisième morceau est introduit par des rythmes acous-tiques et la voix clean de Mikael qui sont ensuite rejoints par Axe et Mendez, ajou-tant un peu de punch au morceau déjà bien imbibé du prog’ ancestral. Le rythme devient un peu plus heavy au bout de la 3ème minute, Mikael, quand à lui, ne change pas de registre. Le morceau est clôturé de la même manière qu’il a été intro-duit.

Opeth ont sorti Orchid, leur premier album en 1995, on y resentait déjà l’influence du prog’ des années 70 et de la musique folk, le tout baigné dans une atmosphère plus obscure avec des screams/growls dans la majorité des chansons, à l’l’exception de “Silhouette” et “Req-uiem”. Orchid n’a pas reçu que de bonnes critiques, Metallian l’avait décrit comme “ennuyeux”. Le chroni-queur doit s’en mordre les doigts aujourd’hui.

En 1996 sort Morningrise, album dans lequel on retrouve la signature d’Opeth. Une parfaite harmonie entre du Black/Death et du Progressif/Acoustic.

A l’image de “The Devil’s Orchard”, “Slither” est un morceau assez énergétique avec une guitare à disto. prédominante et des pas-sages rapides aux aigus. Mikael s’efforce de garder une voix clean tout au long du morceau et clôture en acoustique.

“Nepenthe”, 5ème morceau, vire plus vers du prog’/Psyché’ avec des changements de rythmes et des arrêts de jeu assez fréquents séparés par 2 ou 3 petits solos de guitare.

Le chant est par ailleurs presque absent, lais-sant place à des passages parlés.

“Haxprocess” qui débute de la même manière que “Nepenthe” devient un peu plus “agressif” (le terme est fort, mais tout est relatif). La basse est encore omniprésente et le rythme plus prog’/psyché’ rap-pelant aux plus nostalgiques, encore une fois, la musique des années 60-70.

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“The Lines In My Hand” est un morceau que j’ai bien apprécié de par sa basse TRES présente, ses petits pas-sages acoustiques bien incrustés, et la voix envoutante de Mikael, tout cela ordonné par une batterie aux coups largement étudiés. La manière avec laquelle est cloturé le morceau est Epic.

“Folklore”, second morceau le plus long est à rythme saccadé par moments, mais la ligne de basse en parfaite harmonie avec la guitare vous procurera une bonne dose de plaisir (ou d’ennui, dépendant de vos inspirations et orientations. La fin du morceau est par ailleurs succu-lente.

En 1991 sort Still Life, second Album-Concept marqué par un retour aux riffs lourds imbibés de gra-cieuses mélodies.

En 2011, Steven Wilson de Porcupine Tree collabore au 5ème album d’Opeth : Blackwater Park. Très acclamé aussi bien par les critiques que par les fans; normal, Opeth se sont encore surpassés se sont encore surpassés dans leur “métalisation” du prog des années 70.

DoSsIeR “Famine”, morceau le plus long avec ses 8:30 est un mélange de musique Africaine, de Prog’, de Death, , d’un peu de tout en fin de compte, mais toujours avec Mikael qui chante en clean. Le passage à la flute nous rappelle bien Ian An-derson de Jethro Tull qui avait l’habitude d’insérer des passages de ce même instrument à ses morceaux, leur donnant une touche de “magie”.

Le troisième album (et premier Album-Concept) sortira en 1998 sous le titre de My Arms, Your Hearse. Cet opus est beaucoup plus heavy, et contient moins de passages “moelleux”. A celà s’ajoute le fait qu’aucun morceau n’atteint les 10 minutes.

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DoSsIeR

Heritage est, comme tous les autres albums du groupe, différent. Vous aurez du mal à vous y habituer, comme c’était le cas pour Damna-tion ou encore Watershed, mais une fois assimilé, Heritage fera partie de votre playlist, ou quelques morceaux du moins. Les fans du ôté Death du moins. Les fans du ôté Death d’Opeth donneront à cet album 2 voire 2,5/10 pour les plus généreux. Les fans du côté Prog’ d’Opeth, quand à eux, donneront 8 à 9/10. Moi je note 7,5/10 (pour le moment).

En Conclusion

Huntex

“Marrow of the Earth” clôture l’album sous des rythmes enivrants vous replaçant à l’état émotionnel de départ, celui du “Heritage”.

Cinq mois après Delivrance sort Dam-nation, supposé être sa seconde partie. Une “suite” plus soft, plus progressive, ne présent-ant ni riffs lourds ni growls, les morceaux étant alors plus courts. Malgré ce chahgement radical, l’album (en col-laboration avec Wilson) n’a pu être qu’un franc succès.

Le 8ème album, Ghost Reveries, sorti en 2005, est un parfait mélange entre Deliv-rance et Damnation, en un peu plus gothique. Mikael avait décidé d’intégrer “décidé d’intégrer “Iso-lation Years” à cet abum, lui retirant alors le statut d’Album-Concept.

Watershed voit le jour 3 ans après Ghost Reveries. Premier album avec Martin Axenrot à la batterie et Fred-erik Akesson remplaçant Peter Lind-gren à la guitare. Considéré second meilleur album Metal de 2008 (Death Magnetic de Metallica en Première place) sur Metal Hammer, Watershed a eu son impact (positive) sur la commu-nauté Metal mondiale.

En 2002, le groupe sor Delivrance, toujours en collaboration avec Steven Wilson, l’album est encore plus heavy avec cinq des morceaux dépassant les 10 minutes.

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InTeRvIeW

Paolo Rossi, bassiste des Italiens FleshGod Apocalypse a répondu à nos questions et parle du groupe, ses débuts, et son parcours entre autres.

Lead Hangar : What is the story behind the name of the band?Paolo Rossi :Paolo Rossi : The name of the band comes from me and it means "apocalypse of the god of flesh". This god of flesh is mankind itself, convinced to be a god but bound to its creeds, superstitions, and false beliefs. Acting like that, mankind doesn't know that is going straight towards its own apocalypse.

L.H. : L.H. : How did Fleshgod Apocalypse start & how did it go?P.R. :P.R. : Me and Francesco started the band back in 2007 after the split of our previous band. We were determined to find the right guys and musicians to create a profes-sional project and fortunately we found, not without diffi-culties, the right members during the first years of the band. Now we can say that this line up will be (at least we hope!) the definitive one for the years to come!

L.H. : What is the thing behind the classical symphonies in your music?P.R. : The main idea is to create something unique melting our extreme music, death metal, with the extreme music of the past, which is the classical one! If you notice, the atmosphere in classical music are very often so heavy and brutal, so that's what we thought: we can do classical music with a death metal approach, and it would be super heavy eheh!

L.H. :L.H. : How do you manage to mix the brutality and the fine art of classical symphonies?P.R. : We usually start with the orchestral theme, and then we arrange all the instruments like they'd be part of the orchestra. I mean, we use guitars, bass, piano and also vocals, like they would be classical instruments, so our symphonies are not created upon a death metal base, but viceversa.

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InTeRvIeWL.H. : What can you tell us about the way that Fleshgod Apocalypse plays from Oracles to Agony?P.R. : I think we had a great evolution with Agony. In Oracles we expressed the symphonic side of our music working on guitars, even because we didn't have the chance to work with an orchestral arranger like we have now (Francesco Ferrini, our pianist). But to integrate orchestral parts during the whole compositions was one of the first goal of the band, and finally we were able to work in that way.

L.H. : L.H. : How does it feel to play in a big fest' such as SUMMER SLAUGHTER ?P.R. : Amazing, indeed! we had the chance to play in very big venues in front of many many people! It's been unbelievable for us to play in front of such crowds, they enjoyed our show a lot, even if we were only second on the bill!

L.H. : We heard that Bobby Jarzombek was a part of the new album, is this true ?P.R. : What?! Not at all, man! I admire this artist but we never got in touch with him.

L.H. : Allow me to ask you some personal questions, when did you start playing bass guitar?P.R. : I started playing back in 2000, so it's like 11 years.P.R. : I started playing back in 2000, so it's like 11 years.

L.H. : And why did you choose to play that kind of instrument?P.R. : I was really influenced by great bassists like Steve Harris, or Cliff Burton! I was kinda mesmerized by the way they play so I decided to start playing bass!

L.H. : What about your own influences?P.R. : P.R. : My favourite bands come from many different genres! I really love Queen, The Bea-tles, Rammstein, Iron Maiden, X-Japan, Behemoth...I'm really open minded! Every kind of music gave me inspiration along the years.

L.H. : If you weren't a musician, what would you be?P.R. : Football Player, for sure! :D

L.H. : We usually ask artists for some of their favorites. In your case, what are your 4 favorite Technical Death metal bands?P.R. : P.R. : I don't really follow the techical death metal scene, but I can say that I really like The Faceless, they're stunning live!! I also enjoy Necrophagist, I think they can be considered the masters of this genre!

Propos recueillis par

Haytam El.

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ChRoNiQuEsTrack-list :

1. "Worship"2. "Earth on Hell" 3. "The Devil You Know" 4. "Fight'em 'Til You Can't" 5. "I'm Alive"6. "Hymn 1" 6. "Hymn 1" 7. "In the End"8. "The Giant"9. "Hymn 2" 10. "Judas Priest"11. "Crawl" 12. "The Constant"13. "Revolution Screams"13. "Revolution Screams"14. "New Noise (Refused cover)" (Hidden track)

9/10

Worship Music, du nouveau “Old Shit” :

Les légendaires “Mad-Thrashers” Anthrax célèbrent leur 30ème anniversaire en sortant leur premier album depuis 8 ans. EEn effet, l’avant dernier album des pionniers du Eastern-Thrash, les plus « fous » et les plus présents sur scène des 4 groupes les plus influents de l’histoire du Thrash (The Big 4), remonte à 2003. Ça fait un bon moment certes, mais ça n’empêche pas que « Worship Music » soit l’un des meilleurs albums de l’année. Surtout avec le retour de Joey Beladonna, complétant la com-position du meilleur line-up de l’histoire du groupe (voté par les fans). Il est à noter qu’on n’avait pas vu ces 5 personnes (Rob Caggiano, Charile Benate, Frank Bello, Scott Ian en plus de Joey) réunis dans un même studio depuis 1990.

Un retour énergétiquement Old School de Belladonna qui, bien qu’il n’atteint pas les mêmes mécanismes vocaux que sur « Armed and Dangerous » ou encore « Medusa », assure un chant parfaitement “Anthrax”, surtout accompagné des riffs de Scott et du solo de Rob sur « Earth On hell », le deuxième morceau de l’album, qui vient dévastateur juste après un faux senti-ment de sécurité qu’on peut avoir en écoutant l’intro : « Worship ». Cet Anthraxisme nous trans-porte plusieurs années en arrière, plus loin que 1990 (Persistance of Time), jusqu’en 1987, la meilleur époque d’Anthrax, celle de « Among The Living », ce sentiment persiste en écoutant « The Devil You Know », un track qui ferait surement headbanguer un troupeau de bisons. ->

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ChRoNiQuEs Une sorte de break arrive ensuite sans que cela soit déstabilisant, entre « Hymn I » et « Hymn II », on entend même un son de violoncelle dans ce dernier.

« In the end » est le track le plus mélodieux de l’album, « Judas Priest », l’hommage au mystique groupe de Heavy Metal du même nom, est le plus agressif. Mais le meilleur moment à mon avis est quand les cris de Belladonna se rajoutent au solo de Caggiano sur « I’m Alive ».

Charlie Benate a eu le droit de nous montrer son talent de batteur très sous-estimé sur « Revolution Screams », accompagné d’une dingue bass-line d’un ton overdriven de Frank Bello.

Cette réunion a du faire du bien à Anthrax, pour nous sortir 54 minutes de pur Thrash.

Fans, cet album ne doit pas tarder à se placer dans vos lecteurs CD.

-Chady

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ChRoNiQuEsTrack-list :

1. “Under Siege”2. “Braving the Seas”3. “Merciless Times”4. “Tales of the Sands”5. “Sour Sigh”6. “6. “Dawn Within”7. “Wide Shut”8. “Requiem for a Goodbye”9. “Beyond the Stars”10. “Time to Grow”11. “Apostrophe for a Legend”

Myrath, groupe Tunisien qui a su se faire une très bonne réputation grâce à la bonne musique qu'il créé, du pur oriental progressive metal, avec notamment deux albums, "Hope" sorti en 2007 et "Desert call" en 2010.

Myrath attendent une année pour sortir un album qui a couronné sa discographie (pour le moment), un album qui peut être classé parmi les MUSTS, ce n'est autre que "Tales of The Sands"..

Une petite remarque avant de continuer, à tout ceux qui n'aiment pas le metal progres-sif pour seule raison que les chansons sont longues, dans cet album, vous êtes servis, des chan-sons pas très longues, mais bourrés de bonne mélodies dont on ne se lasse jamais, alors aucune excuse pour ne pas donner une chance à ce chef d’œuvre.

Avant de parler du contenu du CD, jetons un coup d’œil sur la pochette, une jeune fille (ravissante) sur le dos d'un chameau, au désert, avec un château pas trop clair, des tapis rouges, des livres, et un lecteur de vinyles, la vue d'ensemble de la pochette représente la cul-ture arabe orientale, ce qui nous donne déjà une idée sur les influences du groupe qui rest-ent toujours du metal progressif, et du pur oriental.

A première écoute, on s’aperçoit du super bon travail du groupe, des riffs aussi puissants qu'ensorcelants du guitariste Malek Ben Arbia, une voix magique du chanteur Zaher Zor-gatti, des lignes de basse aussi groovy que mélodiques du bassiste Anis Jouini, des mélodies et des symphonies assurés par le grand claviériste Elyes Bouchoucha et pour couronner le tout

9/10

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ChRoNiQuEs

L'album commence par la chanson "Under Siege", avec la participation de la chanteuse Clémentine Delauney du groupe Français Whyzdom, l'oriental a son mot à dire avec les parties synthé de Elyes Bouchoucha qui produisent une harmonie donnant une sensation d'euphorie une foix mixées avec la voix puissante de Zaher Zorgatti. Des riffs de guitare lourds et mélodiques, un refrain accompagné de paradidles à la batterie, une alternance magique et sans failles entre le solo de guitare et de synthé rappelant les grands Dream Theater.

Deuxième morceau de l'album "Braving The Seas", morceau lourd, mélodique, mais ne perdant pas sa touche orientale qui est la marque de fabrique de Myrath, la voix de Zaher continue à faire des miracles et à donner des sensations fortes, donnant du "Hope" à celui qui l'écoute, le synthé se déchaîne, présentant des mélodies époustouflantes tout en s'harmonisant avec tout les autres instruments, un arrêt basse suivit d'une montée en crescendo, un bon riff de guitare et un "GO" de Zaher Zorgatti, tout cela pour donner le feu vert au synthétiseur pour déclencher son solo attrayant l'attention de l'auditeur.

Troisième morceau de l'album est "Merciless Times" morceau qui n'a pas besoin d'être décrit vu que tout le monde pouvait l'écouter, puisqu'il a été partagé par le groupe avant la sortie de l'album.

"Tales Of The Sands", morceau éponyme, intro acoustique, on sent la puissance de la voix de Zaher, batterie groovy complétant les lignes de basse, en plus de la participation de l'Orchestre de Sousse pour les violons, le morceau nous invite à découvrir les origines du groupe, des mélodies oriento-occidentales, la preuve, un refrain séduisant chanté en arabe tunisien, ce qui n'est pas nouveau pour le groupe, vu que ça a donné une très bon feedback pour l'album précédent.

"Sour Sigh", cinquième morceau avec une intro calme, sentimentale, donnant une sensa-tion de perte, arrêtée par une guitare et une batterie aussi lourdes l'une que l'autre. On note le changement de ton et de rythme au milieu du morceau, ce qui donne un aspect fantastique à ce dernier qui est complété par le (meilleur) solo (de tout l'album), prouvant l'ingéniosité de Malek.

Brutalité et scream au début de "Dawn Within", morceau mélangeant la puissance des riffs et la rapidité de la batterie, à la voix douce et incomparable de Zaher Zorgatti, tous les instruments ont leur mot à dire sur ce morceau, en créant une harmonie à la fois heavy et mé-lodique, clôturée par un solo court mais magique et un message que j'ai personnellement aimé : "STOP YOUR LIES".

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ChRoNiQuEs Vient après "Wide Shut", l'oriental toujours présent, mais sous le règne du Power Metal, morceau rappelant Symphony X, qui représentent une grande influence pour Myrath qui a su exploiter leur jeu pour créer une touche propre à eux, mêlant Power/Prog Metal à l'oriental, le morceau donne une partie importante au jeu des instruments, qui est un peu plus étendu que dans les autres morceaux et dont la guitare et les claviers, comme toujours, prennent la part du lion, on note aussi l'amélioration de la voix de Zaher, qui est devenu plus touchante qu'auparavant, ajoutant beauté à tout l'album.

"Requiem of a Goodbye" morceau ramenant bonheur à l'âme de l'auditeur, grâce aux mélodies qui ne sont pas trop agressives, plutôt mélodiques, une alternance impeccable entre le solo des claviers et de la guitare, prouvant à quel point Malek et Elyes sont en harmonie, une outro marquée par le changement de notes de la voix de Zaher, devenue encore plus douce.

Amateurs de Headbang, vous ne serez pas déçus, avec l'intro du morceau "Beyond The Stars", lourde et agressive. L'intrusion des paroles arabes est fascinante comme toujours, des paroles touchantes pour ceux qui comprennent l'arabe, ce qui démarque le groupe des autres c'est qu'il peut créer une liaison entre l'arabe et l'anglais dans les paroles, sans que cela affecte les morceaux, ni le genre joué. Un changement complet du rythme à la 3éme minute, place aux violons de l'Orchestre de Sousse qui a su ajouté une pincée de beauté au morceau, qui devient purement oriental pour toute une minute, nous préparant à la colère des instruments et et au solo dévastateur.

Dernier morceau de l'album "Time To Grow", ce dernier prouve que les grands tunisiens continueront à faire des ravages du premier morceau, jusqu'au dernier. Des riffs puissants, une mélodie créé par les claviers renforçant la structure du morceau, ne le laissant pas trop s'échapper du genre que le groupe a choisit de suivre et de jouer sur cet album.

Tales Of The Sands est sans aucun doute un album hors paire, prouvant que la horde tunisienne est devenue mature, et peut jouer dans la cours des grands, un album à ne pas rater, ça c'est un conseil.

Haytam El.

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ChRoNiQuEsTrack-List :

1. "On the Backs of Angels" 2. "Build Me Up, Break Me Down"3. "Lost Not Forgotten" 4. "This Is the Life"5. "Bridges in the Sky"6. "Ou6. "Outcry"7. "Far from Heaven"8. "Breaking All Illusions"9. "Beneath the Surface" 7/10

Il était une fois Dream Theater, groupe de Metal Progressif dont les membres se sont rencontrés à l'école Berklee, pour la majeure partie de la discographie, le groupe avait un line-up de rêve comme le dit très bien le nom "Dream Theater" James Labrie au chant, John Petrucci à la guitare, Jordan Rudess aux claviers, John Myung à la basse et Mike Portnoy à la batterie.

Le genre est essentiellement réservé aux schizophrènes de la musique : vous avez l'esprit très analyste, vous avez la patience pour écouter tout instrument dans sa propre réso-lution, vous aimez ressentir la profondeur - la vraie - de la musique? C'est pour vous.

Mais on le sait tous, l'avenir est incertain, on peut t'offrir aujourd'hui de belles choses puis ralentir ou juste se commercialiser. C'est en effet la surprise de l'année qui survient alors qu'un nouvel album est déjà au programme, Portnoy part et ferme la porte derrière lui, 20 ans de carrière; le jeune d'esprit en a peut être assez? Il avait bien côtoyer les jeunes d'Avenged Sevenfold, ce fait serait-impliqué dans les choix de Mike? Pas trop de réponses détaillées, et du coup à Dream Theater, on tourne la page et on part à la recherche d'un remplaçant digne du statut du groupe, qui est sans nul doute "Le meilleur groupe de musique dede tous les temps". Des séances d'un programme rappelant le morceau en question "Spirit Carries on" va donner toute une liste à la bande pour décider de qui sera le futur batteur de Dream Theater. Ce sera Mike Mangini, oui on a garder le prénom Mike.

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ChRoNiQuEs De diffèrentes questions se posent dans les coulisses; Serait-il en mesure de remplacer Portnoy? Comment sera la résolution? Qu'est-ce qu'un groupe comme Dream Theater peut offrir après ce qu'il a déjà eu à offrir sur Train of Thought, Images and Words et plus récem-ment encore sur Systematic Chaos.. y'aurait-il une nouvelle attraction comme les 5 dernières minutes de “Count of Tuscany” sur le dernier album? et j'en passes.

Il est sûrement temps de découvrir la nouvelle facette de Dream Theater en s'attaquant morceau par morceau à l'album et en oubliant tout le passé (C'est mauvais de comparer quand on sait que le groupe a déjà été aux sommets les fous). Ce qui est sûr c'est que même avant d'écouter l'album, je vais commencer par dire : - (Rappelles-toi bien, il y'a Dream Theater et il y'a la musique).

A Dramatic Turn of Events : L'attraction du "très-Progressif"

C'est sur des arpèges petrucciens, une ambiance calme, un petit soli de Rudess avant de prendre toute l''athmoshpère et que la distortion se met à l'évidence que cet album prend début, “On the Backs of Angels” est la première balle du fusil, Mangini s'y mets et pas de grande diffèrence, Dream Theater est en effet le même groupe qu'avec Portnoy, du moins c'est l'idée qui se forge à l'écoute de ces premières lignes musicales dont la référence est claire, très Images and Words, moins Systematic Chaos, encore moins Black clouds and silver linings.. qu'est-ce qu'ils sont fatigants les titres d'albums à écrire et qu'est-ce qu'ils sont diffi-cileciles à aimer, on aurait tous cru que la tournure dramatique des évènements concernaient Portnoy, non Mike tu peux aller Rock'n'Roller ou Heavy-Metaler dans ton coin, ici c'est du Progressif, le passé c'est du passé, bien qu'il eût été glorieux, avec plus d'agressivité dans le jeu de Dream Theater, ce qui à l'occasion manque terriblement sur ce que propose actuellement le groupe, on se souviendrait tant des Back-vocals de Mike sur “A Nightmare to Remember” dans l'album précédant, aujourd'hui c'est surtout du Progressif, un retour aux sources pour Dream Theater, mais n'a pu malheureusement pas dépasser la barre qu'il s'est lui même fixé : “Metropolis”. Les refrains accrocheurs ne sont pas en reste dans toute la discographie, là non plus, très bon travail technique et musical, il est à souligné que seul Petrucci est impliqué sur tous les morceaux que ce soit concernant la musique ou les paroles, Jordan compose moins, James encore moins, et pas de traces de Mangini. Jordan Rudess a toutefois déclarer que sans Portnoy, il y'avait plus de liberté, maintenant reste à savoir si par liberté il voulait faire allusion à cet intro en dehors de la culture DT, celle sur “Build me up, Break me down”, qui rappelle néanmoins du Neo-Metal, Labrie persiste et signe, pour une fois il utilise ses effets vocauvocaux sur du Dream Theater, bientôt nous comparerons Dream Theater à la carrière solo de James Labrie?

Page 33: Lead Hangar Fanzine #4

ChRoNiQuEs Les opinions se perdent sur ce point, mais il est n’y a que l'excès de téchnologie qui tue l'art, mais très facile d'oublier tout ça avec les Riffs Progs de Petrucci, et les syncops sur le premier couplet, très beau pont, excellent refrain, on oublie cet esprit robot qu'avait le morceau mais revient Labrie en chantant le titre de manière très déplaisante sur certes de parfaits arrangements instrumentaux, à noter quelques tournures orientales ici et là de Rudess au clavier. C'est qu'on peut s'attendre à tout avec Dream Theater, la prochaine fois on aura quoi? c'est comme prévoir une avancée dans la technologie ou la science.

Le troisième titre commence par une triste mélodie au piano, de tristes solos à la gui-tare, des percées de batterie avant la prise de rythme, le morceau compte 10 minutes, avant la deuxième minute y'a le riff de Petrucci, à la troisième minute y'a encore un riff à Petrucci, oubliez ce que vous avez écouté à la deuxième minute sinon vous ne dormirez pas, c'est du

DT-inexplicable.exe. Le chant sur le couplet est bien, et l'éxtension du chant sur la seconde partie du couplet donne vraiment envie d'avancer dans le titre, et il n'y'a vraiment pas tort à ça, le "Lost-Not-Forgotten" colle à l'oreille, très belle mélodie, sûrement le meilleur morceau de l'album, multitude d'éléments pro-gressifs, impossible à résister quand on est fan de Prog, énormément de talent sur la technique de jeu de Petrucci de Rudess et les arrangements sont incomparables à n'importe quelle autre production musicale, ce n'est pas pour rien que c'est le théâtre de rêve.

J'arrête de parler et je dis que c'est le meilleur morceau de l'album, et qu'il ferait même partie d'un best-of vite fait. Rien que pour ça, je vois plusieurs fans de Dream Theater me lancer des tomates, il est inutile de comparer les morceaux quand on sait que Dream Theater ont peut être déjà atteint le sommet avec Train of Thought ou Images and Words, et qu'après le sommet d'une montagne, il y'a des oiseaux avec des ailes qui survolent un bon peuple assez limité musicalement à comparé aux volatiles, vous aurez compris que Dream Theater ont des ailes et qu'à présent, la complication de millions de musiciens équiv-aut leur simplicité à faire les choses. Et pour calmer les nerfs en feu que vous avez certaineaut leur simplicité à faire les choses. Et pour calmer les nerfs en feu que vous avez certaine-ment après l'écoute de “Lost Not Forgotten”, le groupe propose “This is the life”, (Oui, t'as compris, c'est la vie on peut pas être Dream Theater, on se tait et on va au petit coin), cette superbe ballade est là pour rappeler les belles autres qui reflettent l'autre facette du groupe "Hollow Years", "Spirit Carries On", "Through Her Eyes" et j'en passes. celle-ci s'ajoutes par-faitement à ce registre avec encore et toujours les solos mélancholique de Petrucci comme dans les autres ballades ou comme dans "Lost Without You" sur son album solo. Petrucci is the man. Et puis faut aussi comprendre que c'était pour casser cette chaleur d'enchaînements techniques et d'arrangements surhumains sur le morceau précédant que le groupe a mis ce

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ChRoNiQuEsmorceau dans la piste 4, on le comprend mieux après l'écoute de la piste 5 : “Bridges in the Sky”, titre qui a remplacé “Shaman's Dance”, une intro aux cris de Shaman... on suppose, avec ensuite des choeurs, les mêmes très présents sur du Symphony X, même avec l'entrée de riffs et de claviers, ce morceau continue à ressembler à du bon Symphony X, mais les riffs au couplet sont encore des claques purement progressives, mais je me demandes souvent com-ment Dream Theater sonnerait avec un chanteur plus brillant, il faut bien avouer que le timbre de voix de Labrie "fais avec" et puis en live c'est tout clair que c'est DT mérite mieux, moi je dis qu'il y'a même plus besoin de chanter à moi je dis qu'il y'a même plus besoin de chanter à Dream Theater tellement les instrumen-taux sont renversants. Il faut quand même rendre à césar ce qui l'appartient, énorme boulot de Labrie sur les refrains de cet album, il y'a du coeur, on peut sentir cet effet, comme celui à la clôture du morceau, ça fait trembler les filles aux nichons frilleux.

Encore et toujours du Prog, c'est “Outcry”, le morceau le plus proche de l'orgasme pro-gressif sans vélocité, très beau chant, et cette fois c'est sincère, baisse de rythme puis remon-tée au refrain, MA-GN-IF-IQUE : oui y'a du Mangini de Magnifique, c'est Portnoy qui ne trouvera plus ses mots. Et quand vint l'instrumentale, cette incontournable marque déposée de DT, on dit : Oui, c'est bien Dream Theater, puis vint le solo de Petrucci : Oui, c'est bien le picking de monsieur. Et après c'est encore une fois impossible de suivre, à l'instant je me rends compte que je chroniques le meilleur groupe du monde, et que l'impuissance peut parfois mener à des théories pas plus folles que ce qu'ils jouent (Moi, je suis sûr le guitaristes, il a trois mains et le bassiste a 7 doigts). C'est le morceau le plus progressif de Dream Theater depuis un bon moment, grande satisfaction pour les fans du genre qui n'ont pas trop eu ce qu'ils cherchaient dans le dernier Symphony X.

Vous l'aurez compris, après chaque monstruosité instrumentale à vous mettre à genoux, une petite ballade, celle là “Far From Heaven” est un duo Labrie-Rudess, Partitions au piano pour faire plaisir à Labrie, il n'a pas beaucoup chanter parcequ'on s'oublie dans les dingues instrumentaux la plupart du temps.

Superbes mélodies ouvrent “Breaking All Illusions” , quelques voix-off nous rappellent "Home", c'est encore un morceau qui s'en va de la tristesse à la haine, de solos émouvants à riffs diaboliques, puis à mélodies d'espoir, c'est là toute la magie du Prog, "SE PERDRE" des fois c'est "SE PENDRE", à écouter quelques parties funky c'est la fin ça, Myung dans ses arts, et comment que l'émotion emporte votre esprit quand John se met à jouer de tout son feel-ing, une certaine bonne partie de débutants metalleux auraient sûrement arrêter à la piste 3. Dream Theater demande de toute l'attention, que vous soyiez normaux, sous effet de drogue, d'alcool, il faut toute l'attention, fermer toutes les fenêtres sur le pc, fermez vos yeux drogue, d'alcool, il faut toute l'attention, fermer toutes les fenêtres sur le pc, fermez vos yeux aussi, et ressentez le mariage forcé d'instruments, un mariage en haine, en tristesse, en espoir, en joie, en amour.. même les sentiments vous trompent, c'est quand la music règne, quand certains sont loins, vous sentez qu'ils vous sont inaccessibles, que les yeux ne servent plus qu'à pleurer.

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ChRoNiQuEs C'est fini, une autre ballade pour décompresser “Beneath The Surface” est un morceau sympathique qu'a composé Petrucci à lui seul, à faire écouter à sa copine pour passer la plus belle nuit de sa vie, les plus malins n'auraient écouteé que ce morceau, ils devraient croire bêtement que Dream Theater fait partie de la norme, on en connaît plein comme ça, des faux-metalleux. Il y'a quelques années j'avais juger la clôture de l'album, et plus exactement les 5 dernières minutes de "Count of Tuscany" des meilleurs 5 minutes de la musique, cette fois-ci “Beneath The Surface” est certes du même style mais n'égales pas la magie du comte.

A ne pas rater : Lost Not Forgotten, Breaking All Illusions, Outcry.

Pour votre copine :Beneath The Surface

O.T.Aly

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MeTaL ThRoUgH a LeNsby Chady

Fonder un groupe, voilà de quoi la majorité des metalheads, si ce n’est tous, ont rêvé un jour. On sait bien que pour fonder un groupe de metal, il faudrait bien plus qu’avoir des membres sachant manier leurs instruments. Mais il faudrait aussi que ces membres là soient à la même longueur d’onde, qu’il soient eux mêmes accordés l’un à l’autre, comme leurs instruments. Pour ainsi pouvoir se comprendre facilement, avoir le même point de vue sur les sujets à traiter dans leurs morceaux, pour créer cette homogénéité au sein du groupe afin qu’il puisse avoir une identité. Mais de nos jours, dans notre pays, cette règle d’or n’est pas souvent respectée. Dire qu’on s’en fout et que le Rock est une musique où l’on se bat les couilles des règles ? Dire qu’on s’en fout et que le Rock est une musique où l’on se bat les couilles des règles ? Non, sûrement pas. Surtout que sans cette identité qui unit le groupe, et dont un groupe à besoin pour percer à mon avis, les membres jouent leurs parties machinalement, sans pas-sion et sans pouvoir jouir de ce qu’ils font ou le savourer. Ils passent alors a coté du but du Rock et du Metal, qui est le but de la vie à mon avis, et qui est de prendre plaisir de chaque chose que l’on fasse. Les membres d’Old School (photo), et de quelques autres groupes locaux qui se comptent au nombre des doigts de la main, ont cette passion de jouer. Mean Street sont les meilleurs à prendre comme exemple si on parle d’homogénéité et de complémentarité.Je crois que ce sont ces « petits » détails qui font des « groupes » des groupes ou non.

N’oubliez pas de m’envoyer vos réactions sur [email protected].

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AlBuM ReLeAsEs

Rock18/10 Jane's Addiction - The Great Escape Artist18/10 Puscifer Conditions of My Parole25/10 Coldplay - Mylo Xyloto

04/10 Girlschool - Hit And Run Revisited04/10 Nachblut - Antik04/10 Wayne Static - Pighammer

11/10 3 - The Ghost You Gave To Me11/10 As You Drown - Rat King11/10 Black Cobra - Invernal11/1011/10 Brand New Sin - United State11/10 Charred Walls Of The Damned - Cold Winds on Timeless Days11/10 Cipher System - Communicate The Storms11/10 Evanescence - Evanescence11/10 Five Finger Death Punch - American Capitalist11:10 Judas Priest - The Chosen Few11/10 Nile - Worship The Animal: The Lost Recordings11/1011/10 Pain Of Salvation - Road Salt 211/10 Skeletonwitch - Forever Abomination

18/10 Cradle Of Filth - Evermore Darkly18/10 Dream Theater - Live At Budokan Blu-Ray DVD

25/10 Illdisposed - There Is Light (But It’s Not For Me)25/10 Noctem - Oblivion25/10 Visions Of Atlantis - Maria Magdalena EP

Metal

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