Le socialisme ----iule et la Nation aux...

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29° ANNEE. N. 10.161. Le socialisme et la Nation N répétant presque chaque Ejour que nous, socialistes, n'avons pas le e sens natio- nal o et que notre interna- tionalisme nous conduit forcément à nous classer parmi les e sans-pa- trie n, certains adversaires au- raient-ils fini par se laisser pren- dre à ces sottises et par y croire? C'est la réflexion que je me fai- sais ces derniers jours en lisant les commentaires de la presse qui nous combat avec le plus d'achar- nement, à propos do discours pro- noncé dimanche dernier à Lyon par Léon Blum. On découvre tout à coup sue étonnement que les socialistes sont pris d'un souci, inattendu, parait- de leur part, du bien public et des grands intérêts nationaux. Le pouvoir et ses responsabili- tés nous auraient transformés et certains veulent cobi nous en féli- citer sur le ton que vous imagi- n.1 Nos conceptions « nationales n ne datent pourtant point d'aujour- d'hui. e Un peu d'internatiOnaliSitle éloigne de la patrie. beaucouP d'internationalisme en rappro- che u disait Jaurès. Le 23 janvier 1893, le manifeste du Parti Ouvrier Fr.çais se ter- minait par ce double vivat « Vive l'Internati.a/e ! Vive la Fra. ce ! Et Jules Guesde en précisait le Synapse cp.a mois que nous repre- nons volontiers à notre compte près d'un demi-siècle plus tard « On ne cesse pas d'être patriote en entrant dans la voie internatio- nale qui s'impose au complet épa- nouissement de l'humanité, pas plus qu'on ne cessait à la fin du siècle dernier d'être Provençal, Bourguignon, Flamand ou Breton, en devenant Français. « Les internationalistes peuvent se dire, au contraire, les seuls pa- triotes, pare,e qu'ils sont les seuls à se rendre compte des conditions agrandies dans lesquelles peuvent et doivent être assurés l'avenir et la grandeur de la patrie, de toutes les patries, d'antagoniques deve nues solidaires. » Nos détracteurs me permettront- ils d'ajouter que c'est seulement par l'établissement du socialisme dans la nation que celle-ci aura enfin son plein sens, qu'elle de- viendra la chose de tous, utile à tous, humaine à tous ? D'ici là, le meilleur moyen de dé= fendre les grands intérêts natio- naux et d'avoir le sens national, c'est de lutter contre l'emprise et les znanuvren d'un capitalisme qui, neuf fois sur dix, constitue une machine de guerre contre la nation elle-même. Voulez-vous des exemples? Quand nous dénonçons les car- tels industriels et financiers qui pour obéir à la loi du profit et de la spéculation, ranço.ent et pil- lant les individus et les collectivi. tés (Etat, départements, somma' Le génial HAYASHI qoi vent é, Wua le nouveau cabinet de Terro nes), c'est nous qui défendons 1s .tion. De mime quand nous voulons mettre un terme aux agissements coupables de l'industrie privée des armes et du matériel de guerre. De même quand nous cherchons à répartir proportionnellement les charges socle/es suivant les res- sources de chacun. De même quand nous voulons substituer un vaste système d'assu- rances et de solidarité aux entre- prbes des Compagnies d'Assuran- ces pinées. De même quand nous vendons restituer à /a collectivité l'eau des rivière, et des fleuves pour mettre à la disposition de l'ensemble des Français toutes les sources de pro- duction et de répartition de la for- ce hydro-électrique. Et ainsi de suite pour toute une économie arrachée â sa destina- tion de classe pour devenir und économie sociale affectée unique= ment, avec toutes les ressources de Ia science moderne, à satisfaire les besoins et le bien-être des in= dividus et à contribuer au progrèn général d'une civilisation accueil= tante è tous, dans tous ses domai- nes matériels et spirituels. Par ailleurs, vouloir Plu., lu France à la tête de tous les Etats pacifistes du monde et en faire ainsi le principal artisan d'une paix indispensable à la vie, â l'in- dépendance et au développement de tous les peuples, c'est encore aimer son pays et-Palmer plus que tous les autres. Ces conceptions, croyez-moi, font leur petit bonhomme de Me- a. Paul FAURE. 11111111111111 lllllllll llllllllllll lllllll 11» Le baste de Banche, par Carl-Sean Longuet. 1111111111111111l1111111111111111111N11111 lllll 111111e Partout le capitalisme ----iule 1 -- Gloires du jour Du temps qu'il était encore de ce, Monde, rien ne distinguait Etienne Clé- Mentel du commun de l'espèce humsf, ne, sinon l'élégance de son maintien, la bonne coupe de ses Jaquettes et cette chance surprenante qui marqua tout du longs. carrière. Commencée dans la poudre d'une étude d'avoué, elle continua dans les assemblées parlemen. taires et jusque dans les conseils de gouvernement. Elle se serait très nor- malement terminée à PElysée et, par Incidence, à l'Académie des Sciences Morales, au faite des honneurs qu'une démocratie débonnaire réserve uses en- fants bien sages parvenus é un aile liveneé. Mais la Parque, indiscrète, en décida autrement. li ne a pas trois mole que cet homme éminent n'est cluses déjà, dans le Puy- de.Derne, ses amis se trémoussent. Se souvenant de la maxime t Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante, Ils ont fait le propos de perpétuer la gloire du défunt en lui élevant, curant place de Riom, un monument digne de lui. Une souscription s nationale 5555 ou. verte à cet effet. Qu'on se le dise Vivant, Clémentel était chanceux. Mort, sa chance lui survit, pares quié. tant d'un naturel airnable, Il avait non seulement des électeurs, mals des amis, qui an préparent, un statuaire aidant, à faire de lui un grana homme sans, gra,ed mont, j'en al peur, pour reethé-i tique de leur localité. Tout cela, direz.vous, ne tire pas à vez.vous pas qu'on met un. Preoinie-i fion 'excessive à nous fabriquer des grands hommes et qu'il serait temps cle mettre un terme à cette surprodUctlorr encombrante ? A Parle, un conseiller minitel.' de la majdrité hitiéro-nationate ne sauraii passer de vie t trépas sans qu'on gra. ifie de ses nom et prénoms quelque voie publique. Nous avons une rue Jean-Fer. rien., qui serait mieux nommée s rtie eu Six-Février a. No55 aurions demain si le cher homme venait à décéder, une avenue Jean-Chiappe, peut-étre mime, la Concorde l'effigie de Jean Chiap, pe... en veston. . est vrai qu'en dépit Ô vos nobles efforts, chère madame Judith Cladel, II n'y a nad de place, dans notre Immense paris, pour le Balzac de Rodin parce que c'est Balzac et parce que c'est Gri. Une société se juge aux hommes qu'elle statufie. La société bourgeoise pn son déclin des Pion..s à em Amédée DUNOIS. Le Discours de M. Delbos vu par les Allemands La propagation des doctrines ..chistee ou communie. Par conférences, discours, causerim, lect.es, réunions publiques ou pri- vées, tracts, revues, journaux, bro- chures, livres, images, est formelle, e Ce discours témoigne à nouveau ment prohibée par ce décret-loi qui de l'opposition profonde et fandarnen- Interdit égaiement, sous peine d'un tale existant entre la conception frau- emprisonnement de 1 à 4 ans et une Çaise de ln seetté marelle ut amende de 500 à 2.000 gourd., conception allemande de lapais et de toute correspodauce avec des as.- relations confiantes de bon voisinage eiations ou des militants communie- entre les deux pays. 11 prouve missi tes, que la France ne peut concevoir une Triste plagiat de mmures hitt& collaboration et une entente avec le rienn. ! Reich que dans le cadre de la SDN. Pourtant, l'He d'Haïti est un paya et dans le cercle des alliances, y mm- favorisé. Son ciel est chaud. La pris celle avec les Soviets. n mer qui l'entoure est poissonneu- se. Sur son sol glaireux s eten- dent d'immenses forêts remplies de bois précieux. é Croit-en vraiment à Paris qu'il Le café, le tabac, la canne à su- soit possible de séduire le Reich par cre, le cacao, etc., y sont aisément de belles paroles ou point qu'il se et abondamMent Cultivés. On y con- laisse aller à. s'entendre avec le bol- naîtrait encore pleinement le bon- chevisme ou à négocier avec lui ? heur de vivre, comme an% temps Cela est impossible et lolli01145 sen lointains où elle était peuplée par imoneible. ou bien an n'a Ires corn- ées Indiens aux murs paisibles, si pris à Paris ce que le Fuhrer a dit le capitalisme n'avait, hél., envahi ce sujet, ou bien on n'a pas voulu le comprendre. Cela signifierai/ alors que moine de 22 heures après le dis- cours du Fuhrer on cherche déjà oublier et à effacer les lignes fonda- Le e Vcelkischer Bmbachter r. pu- blie un End oonmentaire ais gent Le a Journal de Midi éorit, avec une énergie particuliére son territoire et aservi ses Subi- tanin comme dominé dome tout l'ami. Partout l'exploitation de l'homme par l'homme est devenue mentales mu y étaient t'arecs avec net la loi, les peuples ont perdu leurimentales qui y étaient tracées avec berté, leur bonheur. tranquillité, leur sagesse, leur il. netteté et clarté, en vile d'une rayon, cillation franmellemand.e SOCIALISTE Georges Monnet, entouré de MM. Bastid et /abbé, pose la première pierre du Central« llllll 1111111111111e31111111011111111111111111 llllllll lllllll 111181111111111111111111111111111111111 Un mari tromp abat sa femme à coups de fusi` Mn. 21 janvier. Samedi soir, hl. deus houle Lapaithe, Base.ruait/hurrah. Cat.. Cornes, s'ételt rendu Larms pour <dais t7O:vraled're.'4'1eileele*'sla Ptre/ Marguerite Amr, M ans. Someonnani qu'elle .3sis rendue chea son amant. Uf. tisem .xenave, . ans. il alla se poster dem. la malma eoluisei et s'embusqua rifeniatin l'étieuse Paraissait. ne deux csiMs Malt chargé à chevrotines, Lab.. l'iMatt, Le ma nage mit deux enfants, l'un de 9 ans, l'au- . de 7 ans. Le parquet . Pau s'est rendu cet apr.- mlél cm les IMux. Le meurtrier e été ar- rété et écroué à gendarmerie de Laruns en attendent eou traustert à h. maison Mar.. Drame de la rupture près de Rouen Rouen, 31 lssvrae. nt Georges An. dmnx, 05 ana. montera de chemin de fer h Alun., venait de temps a autre van ses deux Cd. Iheuen on elles Mdois talent avec leur mêm, née Manie Cadet 45 sue, domesalque obes m. Cavrel, am, M., rue d, 1LIOpital à Rouen. Cet apres-MML Georges Andremi de- manda eh sa femme ene voulait mares- .° la vie commune elle refus, Le dam Paris, ier février miluot tien drx tuis aan ana te.ti se Dès. nuit dernière nous avions no- té les prernières réactions petôt hos- Utes di Reich a.te le discours de M. tian grave Dem . Mine Amiraux est L'opinioo allemande avait ac- soue met., cueilli presque aimablement le dis cour de. Blum. Chient au damnes de a étendu ses méfaits notre mune. d. Affaires é...gê- ner, Il est l'objet de .romentaires déçus, voire irrités. Le Président de la République L'ensemble de la Presse allemande d'Haïti vient de prendre un décret- se déclare en désaccord total avec /es loi interdis.t a les activités cm. conceptions et les méthod. du dis- monistes sous quelque forme que muss de Châte.... et, soit » et stipu/ant que toute u,. Profession de foi, verbale ou écrite, e e Menine » exit Publique ou privée, sera passib/e « B. Dellms crois toujours a . vo- d'un emprisonnement de six mois à monté de Poix des S.v.., veut Mue' un an et d'une amende de dem mer une politique peintée qui n'a es cents à Mlle gourdes ». pris en considération certaine points fondamentaux du dism.s lin Pub' Le P. U. P. décide la fusion avec notre Parti Les membres da Pua,, réunis hier en Congrès national, à Saint-Ouen, ont vote /a f.ion de leur parti avec le Par- ti socialiste S.F.LO. Cette décision a été eons.rée dans le message suivant, mil a été adressé Immédiatement au secrétaire du Parti a Le Coauels national as PAU., réuni à La mairie de Saint-Ouen, le al /envier, ei vete la fusion avec le Parti . socialiste S.F.I.O., sur les bases adop- tées en romanxs par les délégués des deux nards. > 11111111111111111111111011M11111111111111101 lll ON PREPABE L'EXPOSITION Yuan >Ibos (X) à son arrivée à Château.. 30 cErea L'application de la taxe unique de 6 0/0 Le Président du Syndicat de l'Epicerie adresse ses remerciements à Vincent Auriol M. Hernie, Président du Syndicat de rEpicerie Française et de l'Altman. tenon générale, ffleident de la Fédé. ration Française des Syndicats de vient d'adresser au ministre des Finances au nom de commerce de Fée cerie ses remerciements pour avoir maintenu la date du ler ferler pour l'application de la nouvel/a taxe uni. qUe à la production. n mine que /e décret du 27 janvier i927 est rédigé de la maniere la plue satisfaisante et qu'Il es, aPPilqna dans un esprit te/ qu'il eet de nature â donner satisfaction â tous. I/ rend hommage h la hardiesse et à In ténacité du ministre et Mi exprime ses félicitations, estimant Mid cette forme est de .ture bnanaee un servi. ce éminent an ceP,Mereo en généraL Cinq jeunes gens et jeunes filles trouvent la mort sur un passage à niveau La camionnette qui les transporte) a été broyée par un train On a relevé en outre deen blessés gravement atteMb Limogea 31 janvier. Ce soir yen 17 h. SO, an passage à niv.0 de Pr. rat de Benae, une eamionnet. conduite Par M. Ouvrard dont lapées est entre. Preneur de battage â Peyrat de Benne a. été renversée nue un train. Cinq use .enenuts, cul sorA dm nes gens et usa Jeunes fillee de la ré- gion de Bella, ont été tués. Le conducteur, Id. Ouvrard et an di ses ands ont êté grièvement blessés. Senle, nne fillette de 6 ans serai' sertie Indemne de raceideut. Le Parquet de Limoges s'est Tend- eur les lieux. RI lllllll 111111111111111111111111111111111111h. La guerre d'Espagne, si personne n'in- tervient? La nouvelle guerre de Cent ans. PAS DE TENDANCES aux Jeunesses socialistes saurs quelques ames des ten- d..aa organisées visent s'installcc dans notre Magne, ment des Jeuneses tes. de Comité National Mixte, chargé d'appliquer les statuts de notre or- ganisation et de les faire respecter, a dénoncé chaque fois qu'il le devait toutes les actions fractionnel'au qui risquent de précipiter nos je.en adhérents dans I. batailles de Mana toujours vaines, décevantes et sté- riles. Nous n'avons jamais demandé aux membrea de notre mouvement realtdi- quer quoi que ce soit de leur indé- pendance d'esprit au sein de nos groupes de JR. L'éducation que nous leur avons M.. a toujours eu pour but essen- tiel de développer leur esprit criti- que. La 'Ache essentielle des 5.0. ont de rassembler la jeunesse ouvriêre, pay- sanne et intell.tuelle au sein dune formation de Masse, non point pour la jeter immédiatement dans tes ba- tailles politiques de tous les jours. mais surtout de préparer au Parti ses cadres de dernain et dce r.rues poe.d.t déjà un bagne° de con- naissances. Le rôle principal de no- tre organisation est do. d'instruire. Cette instruction sis doit pas te- nir salies phrases ronflantes, en un verbalisme ereux qui peuvent sur la moment stimuler les é.rgies mais qui créent eurtout des feux de pail- le, vite allumés, mais ne laiss.t pas même de cendre. Cette instmetion doit être métho- dique, rationnelle et suivie. Elle doit s'inspi.r de l'enseignement des mai- tre» du Socialisme, mais aussi tenir compte des faits qui se dégagent chaque jour de la vie sociale. Elle ne doit surtout pas être une critique systémattque de Paetion de notre Parti et de .s militants. car des ao mutions souvent injustes portées centre nos enda dégénèrent vite en maint. A. Jeunesses 5.1alistes, l'éd.a- 11m ne risque pas de créer l'esprit de caserne ou de couvent. La struc- ture de notre organisation, la forma- tMn de nos militants nous préser- vent clones éloignent de la pratique tin garde à vous ou de la récitation des litanies. Est-De à dim que de notre action pu/distoe nous excluons /a discipine? Certes non I Nous nous rappelons toujours cet- te formule de Jules Guesde: « L'édu- nation et la discipline sent les fac- teurs e.entiels de le révolution SO- étale Ceux qui, dans le passé, au sein de notre Jeunes. Socialiste, ont voulu sous le signe d'une tendmce organi- sée accomplir un travail d'éducation contraire I l'esprit du 6.ialisme tra- ditionnel ont éui invités à revenir à une plso saine mmpréhension du rOle et d. tâches Os notre mouve- ment. Nous leur disions que nous n'étions point un parti politique de jeunee et que dam ce cas s'ils voulaient lm mêler aux batailles de tendances ils ne pouvaient le faire que dans uns sections adultes. Ces ex-camarades nous répondirent par une persistance obstinée dan,/ leur attitude into.rable et par la mise sur la sellette de nos meilleurs militants aux tribunes de nos conf. nues nationale. A Lille, m juillet OU, noue avens hem/ cette indiseiplin. Ce geste, compris par tous /es mi- litants de notre Parti et de nos JE. qui ont sonal de fairo respecter la discipline par tous et qui ne peuvent admettre qu'on calomnie nos leaders aux tribunes publiques, aurait Md sans loba st des camarades de notro Parti. et nm des moindres, ne s'ô- taient faits les champions de la dé- fense d'hommes qui ne poursuivaient qu'un but: briser nos 11.8. et désor- ganiser notre section française dC /Internationale Ouvrière. TOUS LES MARDIS LA VIE ET SON IMAGE page littéraire $ous la di. rection de Magdeleine Paz svec la collaboration des meilleurs écrivains En page quatre r LA VIE AGRICOLE avec un articta de GUERRET Mette du Tanbet-Oarenne HARDI 2 FEVREER 1937. L'expérience a montré qu'a Lille nous avioco eu raison d'agir av. fmmeté et l'avenir no. a prouve que la phrase de Paul Lafargue est to11e jours vraie: « Un parti qui s'épure est mn Parti qui se fortifie h Dans quelques départements, d l'heure actuelle, 11000 semblons as= ester dans notoo Jeun.. à un ré- oeil de 1,01 etat d'esprit que nom( avons défini, den.. condamné. S0. In couvert (Pune bedonne du Parti et de son chef, quelques militants jeunes s'agitent pour créer au sein de notre Jeunesse Socialiste tme ten- dance dociles adhérents auront poux( tache es.nlielle do contrecarrer la1 décisions prises par les congrès dul Parti et dos J.S. Cela, le C.NAL ne pouvait le I, lérer. Il a done fait connetre au b reau du Parti le danger qu'il y avait de laisser se développer des pratie ques qui visent à aceréditer dans le mouvemenl jeune q.on ne peut êtrn un révolutionnaire que si on combat In politique voulue par le Parti ou l'action de ses militante Lee sise en vue. La C.A.P. a compris qu'il valait mieno prévenir que guérir, a.si belle été iras hien inspirée dans sa dernière séance en votant l'ordre du jour SUIVallt que le CNN. applique- ra avno bienveill.ce male sans fais blesse'. « La C.A.P. rappel° à ces Jeunesses Socialletes qu'elles ne sauraient faire une politique différente ce delle qu'ont v.lue les congrès et les con- seils nati.aux du Parti, qu'elles sent 550O parti politique de jeu- nes, mais une organisation de recru- tement, d'éd.ation et de préparation des jeunes à la discipline némssairà un parti de classe et qu'en censé= quen. dams-leur Sein Me peut ext.t ter aucune « tendance » organisée en tant que telle. « Elle fait confiance au Comité National Mixte pour qu'il obtienne de obscure des Ententes de de.es qu'elles fassent ob.rvar par leurs adhérents les statuts et règles de l'organisation, et peur qu'il prenne les mesurea que ces mêmes statuts lui donnent le droit de prendre. » Je s s cle 0d e ev7pirrvidse-ân-s?iss Parti devait être fait à la veille de notre conférence nationale qui se tiendra h Creil le dimanche de Pd- que. Arrière les /unes de clans ou de personnes dans nos Jeunesses Socia- listes. Une seule tendance dans ne. mouvement.: Le Socialisme révolu- tionnoire de Jaurès, Jules Guesde et Trois mok d'ordre t L'Action, l'Edu- cation, la Discipline. Bernard CHOCHOY. Sarétaire géndnd den Jeunennes. 1111111111 lllllll M11111111. .511111 Vers la reprise de l'affaire Aliker une délégation du Camita 51hOde c.» a.. de Pierre aliter there de la vlan' ma, de Me Vienne, diVittory et de Tri.' ;.'sque vendretl yes Mari. Mt, mlidetre des Colon/es. qu'elle ....use de l'Ins Mea/ / assassinat du malheureux iman.. set:la/m.14 .Marlus Mouteutihe ABONNEMENTS 1 me/sem/on et Aduroulorratrom t 36, rue Bouvelalue, 101ULOUSE 36e,g5 - C. C. Partiaux. g01L 29 Ir.; 4 fn.i aa. gz BUREAUX A PARIS 5, rue St-Augustin (2.) Téliph. Bichat% 69.00 (3 6s.« groupée, me en rendre) Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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29° ANNEE. N. 10.161.

Le socialismeet la NationN répétant presque chaque

Ejourque nous, socialistes,

n'avons pas le e sens natio-nal o et que notre interna-

tionalisme nous conduit forcémentà nous classer parmi les e sans-pa-trie n, certains adversaires au-raient-ils fini par se laisser pren-dre à ces sottises et par y croire?

C'est la réflexion que je me fai-sais ces derniers jours en lisantles commentaires de la presse quinous combat avec le plus d'achar-nement, à propos do discours pro-noncé dimanche dernier à Lyonpar Léon Blum.

On découvre tout à coup sueétonnement que les socialistes sontpris d'un souci, inattendu, parait-

de leur part, du bien public etdes grands intérêts nationaux.

Le pouvoir et ses responsabili-tés nous auraient transformés etcertains veulent cobi nous en féli-citer sur le ton que vous imagi-n.1

Nos conceptions « nationales nne datent pourtant point d'aujour-d'hui.

e Un peu d'internatiOnaliSitleéloigne de la patrie. beaucouPd'internationalisme en rappro-che u disait Jaurès.

Le 23 janvier 1893, le manifestedu Parti Ouvrier Fr.çais se ter-minait par ce double vivat « Vivel'Internati.a/e ! Vive la Fra.ce !

Et Jules Guesde en précisait leSynapse cp.a mois que nous repre-nons volontiers à notre compteprès d'un demi-siècle plus tard

« On ne cesse pas d'être patrioteen entrant dans la voie internatio-nale qui s'impose au complet épa-nouissement de l'humanité, pasplus qu'on ne cessait à la fin dusiècle dernier d'être Provençal,Bourguignon, Flamand ou Breton,en devenant Français.

« Les internationalistes peuventse dire, au contraire, les seuls pa-triotes, pare,e qu'ils sont les seulsà se rendre compte des conditionsagrandies dans lesquelles peuventet doivent être assurés l'avenir etla grandeur de la patrie, de toutesles patries, d'antagoniques devenues solidaires. »

Nos détracteurs me permettront-ils d'ajouter que c'est seulementpar l'établissement du socialismedans la nation que celle-ci auraenfin son plein sens, qu'elle de-viendra la chose de tous, utile àtous, humaine à tous ?

D'ici là, le meilleur moyen de dé=fendre les grands intérêts natio-naux et d'avoir le sens national,c'est de lutter contre l'emprise etles znanuvren d'un capitalismequi, neuf fois sur dix, constitueune machine de guerre contre lanation elle-même.

Voulez-vous des exemples?Quand nous dénonçons les car-

tels industriels et financiers quipour obéir à la loi du profit et dela spéculation, ranço.ent et pil-lant les individus et les collectivi.tés (Etat, départements, somma'

Le génial HAYASHI qoi vent é, Wuale nouveau cabinet de Terro

nes), c'est nous qui défendons 1s.tion.

De mime quand nous voulonsmettre un terme aux agissementscoupables de l'industrie privée desarmes et du matériel de guerre.

De même quand nous cherchonsà répartir proportionnellement lescharges socle/es suivant les res-sources de chacun.

De même quand nous voulonssubstituer un vaste système d'assu-rances et de solidarité aux entre-prbes des Compagnies d'Assuran-ces pinées.

De même quand nous vendonsrestituer à /a collectivité l'eau desrivière, et des fleuves pour mettreà la disposition de l'ensemble desFrançais toutes les sources de pro-duction et de répartition de la for-ce hydro-électrique.

Et ainsi de suite pour toute uneéconomie arrachée â sa destina-tion de classe pour devenir undéconomie sociale affectée unique=ment, avec toutes les ressourcesde Ia science moderne, à satisfaireles besoins et le bien-être des in=dividus et à contribuer au progrèngénéral d'une civilisation accueil=tante è tous, dans tous ses domai-nes matériels et spirituels.

Par ailleurs, vouloir Plu., luFrance à la tête de tous les Etatspacifistes du monde et en faireainsi le principal artisan d'unepaix indispensable à la vie, â l'in-dépendance et au développementde tous les peuples, c'est encoreaimer son pays et-Palmer plus quetous les autres.

Ces conceptions, croyez-moi,font leur petit bonhomme de Me-

a.Paul FAURE.

11111111111111 lllllllll llllllllllll lllllll 11»

Le baste de Banche,par Carl-Sean Longuet.

1111111111111111l1111111111111111111N11111 lllll 111111e

Partout le capitalisme

----iule1 --

Gloires du jourDu temps qu'il était encore de ce,

Monde, rien ne distinguait Etienne Clé-Mentel du commun de l'espèce humsf,ne, sinon l'élégance de son maintien, labonne coupe de ses Jaquettes et cettechance surprenante qui marqua tout dulongs. carrière. Commencée dansla poudre d'une étude d'avoué, ellecontinua dans les assemblées parlemen.taires et jusque dans les conseils degouvernement. Elle se serait très nor-malement terminée à PElysée et, parIncidence, à l'Académie des SciencesMorales, au faite des honneurs qu'unedémocratie débonnaire réserve uses en-fants bien sages parvenus é un aileliveneé. Mais la Parque, indiscrète, endécida autrement.

li ne a pas trois mole que cet hommeéminent n'est cluses déjà, dans le Puy-de.Derne, ses amis se trémoussent. Sesouvenant de la maxime t Aux grandshommes, la Patrie reconnaissante, Ilsont fait le propos de perpétuer la gloiredu défunt en lui élevant, curant placede Riom, un monument digne de lui.Une souscription s nationale 5555 ou.verte à cet effet. Qu'on se le dise

Vivant, Clémentel était chanceux.Mort, sa chance lui survit, pares quié.tant d'un naturel airnable, Il avait nonseulement des électeurs, mals des amis,qui an préparent, un statuaire aidant, àfaire de lui un grana homme sans,gra,ed mont, j'en al peur, pour reethé-itique de leur localité.

Tout cela, direz.vous, ne tire pas à

vez.vous pas qu'on met un. Preoinie-ifion 'excessive à nous fabriquer desgrands hommes et qu'il serait temps clemettre un terme à cette surprodUctlorrencombrante ?

A Parle, un conseiller minitel.' dela majdrité hitiéro-nationate ne sauraiipasser de vie t trépas sans qu'on gra.ifie de ses nom et prénoms quelque voiepublique. Nous avons une rue Jean-Fer.rien., qui serait mieux nommée s rtieeu Six-Février a. No55 aurions demainsi le cher homme venait à décéder, uneavenue Jean-Chiappe, peut-étre mime,

la Concorde l'effigie de Jean Chiap,pe... en veston.. est vrai qu'en dépit Ô vos noblesefforts, chère madame Judith Cladel, IIn'y a nad de place, dans notre Immenseparis, pour le Balzac de Rodin parceque c'est Balzac et parce que c'est Gri.

Une société se juge aux hommesqu'elle statufie. La société bourgeoisepn son déclin des Pion..s à em

Amédée DUNOIS.

Le Discours de M. Delbos

vu par les Allemands

La propagation des doctrines..chistee ou communie. Parconférences, discours, causerim,lect.es, réunions publiques ou pri-vées, tracts, revues, journaux, bro-chures, livres, images, est formelle, e Ce discours témoigne à nouveaument prohibée par ce décret-loi qui de l'opposition profonde et fandarnen-Interdit égaiement, sous peine d'un tale existant entre la conception frau-emprisonnement de 1 à 4 ans et une Çaise de ln seetté marelle utamende de 500 à 2.000 gourd., conception allemande de lapais et detoute correspodauce avec des as.- relations confiantes de bon voisinageeiations ou des militants communie- entre les deux pays. 11 prouve missites, que la France ne peut concevoir une

Triste plagiat de mmures hitt& collaboration et une entente avec lerienn. ! Reich que dans le cadre de la SDN.

Pourtant, l'He d'Haïti est un paya et dans le cercle des alliances, y mm-favorisé. Son ciel est chaud. La pris celle avec les Soviets. nmer qui l'entoure est poissonneu-se. Sur son sol glaireux s eten-dent d'immenses forêts remplies debois précieux. é Croit-en vraiment à Paris qu'il

Le café, le tabac, la canne à su- soit possible de séduire le Reich parcre, le cacao, etc., y sont aisément de belles paroles ou point qu'il seet abondamMent Cultivés. On y con- laisse aller à. s'entendre avec le bol-naîtrait encore pleinement le bon- chevisme ou à négocier avec lui ?heur de vivre, comme an% temps Cela est impossible et lolli01145 senlointains où elle était peuplée par imoneible. ou bien an n'a Ires corn-ées Indiens aux murs paisibles, si pris à Paris ce que le Fuhrer a ditle capitalisme n'avait, hél., envahi ce sujet, ou bien on n'a pas voulu le

comprendre. Cela signifierai/ alorsque moine de 22 heures après le dis-cours du Fuhrer on cherche déjàoublier et à effacer les lignes fonda-

Le e Vcelkischer Bmbachter r. pu-blie un End oonmentaire ais gent

Le a Journal de Midi éorit, avecune énergie particuliére

son territoire et aservi ses Subi-tanin comme dominédome tout l'ami.

Partout l'exploitation del'homme par l'homme est devenue mentales mu y étaient t'arecs avec netla loi, les peuples ont perdu leurimentales qui y étaient tracées avec

berté, leur bonheur.tranquillité, leur sagesse, leur il. netteté et clarté, en vile d'une rayon,

cillation franmellemand.e

SOCIALISTE

Georges Monnet, entouré de MM. Bastid et /abbé, pose la premièrepierre du Central«

llllll 1111111111111e31111111011111111111111111 llllllll lllllll 111181111111111111111111111111111111111

Un mari trompabat sa femme

à coups de fusi`Mn. 21 janvier. Samedi soir, hl. deus

houle Lapaithe, Base.ruait/hurrah. Cat..Cornes, s'ételt rendu Larms pour <dais

t7O:vraled're.'4'1eileele*'sla Ptre/Marguerite Amr, M ans. Someonnani

qu'elle .3sis rendue chea son amant. Uf.tisem .xenave, . ans. il alla se posterdem. la malma eoluisei et s'embusqua

rifeniatin l'étieuseParaissait. ne deux csiMs Malt chargéà chevrotines, Lab.. l'iMatt, Le manage mit deux enfants, l'un de 9 ans, l'au-. de 7 ans.

Le parquet . Pau s'est rendu cet apr.-mlél cm les IMux. Le meurtrier e été ar-rété et écroué à gendarmerie de Larunsen attendent eou traustert à h. maisonMar..

Drame de la ruptureprès de Rouen

Rouen, 31 lssvrae. nt Georges An.dmnx, 05 ana. montera de chemin de ferh Alun., venait de temps a autre vanses deux Cd. Iheuen on elles Mdoistalent avec leur mêm, née Manie Cadet45 sue, domesalque obes m. Cavrel, am,M., rue d, 1LIOpital à Rouen.

Cet apres-MML Georges Andremi de-manda eh sa femme ene voulait mares-.° la vie commune elle refus, Le dam

Paris, ier février miluot tien drx tuis aan ana te.ti se

Dès. nuit dernière nous avions no-té les prernières réactions petôt hos-Utes di Reich a.te le discours de M. tian grave Dem . Mine Amiraux est

L'opinioo allemande avait ac- soue met.,cueilli presque aimablement le discour de. Blum. Chient au damnes de

a étendu ses méfaits notre mune. d. Affaires é...gê-ner, Il est l'objet de .romentairesdéçus, voire irrités.

Le Président de la République L'ensemble de la Presse allemanded'Haïti vient de prendre un décret- se déclare en désaccord total avec /esloi interdis.t a les activités cm. conceptions et les méthod. du dis-monistes sous quelque forme que muss de Châte....et, soit » et stipu/ant que toute

u,.Profession de foi, verbale ou écrite, e e Menine » exitPublique ou privée, sera passib/e « B. Dellms crois toujours a . vo-d'un emprisonnement de six mois à monté de Poix des S.v.., veut Mue'un an et d'une amende de dem mer une politique peintée qui n'a escents à Mlle gourdes ». pris en considération certaine points

fondamentaux du dism.s lin Pub'

Le P. U. P. décidela fusion

avec notre PartiLes membres da Pua,, réunis hier

en Congrès national, à Saint-Ouen, ontvote /a f.ion de leur parti avec le Par-ti socialiste S.F.LO.

Cette décision a été eons.rée dansle message suivant, mil a été adresséImmédiatement au secrétaire du Parti

a Le Coauels national as PAU.,réuni à La mairie de Saint-Ouen, le al/envier, ei vete la fusion avec le Parti .socialiste S.F.I.O., sur les bases adop-tées en romanxs par les délégués desdeux nards. >

11111111111111111111111011M11111111111111101 lll

ON PREPABE L'EXPOSITION

Yuan >Ibos (X) à son arrivée à Château..

30 cErea

L'applicationde la taxe unique

de 6 0/0Le Président du Syndicat de

l'Epicerie adresse ses remerciementsà Vincent Auriol

M. Hernie, Président du Syndicatde rEpicerie Française et de l'Altman.tenon générale, ffleident de la Fédé.ration Française des Syndicats de

vient d'adresser au ministre desFinances au nom de commerce de Féecerie ses remerciements pour avoirmaintenu la date du ler ferler pourl'application de la nouvel/a taxe uni.qUe à la production. n mine que /edécret du 27 janvier i927 est rédigé dela maniere la plue satisfaisante et qu'Iles, aPPilqna dans un esprit te/ qu'il eetde nature â donner satisfaction â tous.

I/ rend hommage h la hardiesse et àIn ténacité du ministre et Mi exprimeses félicitations, estimant Mid cetteforme est de .ture bnanaee un servi.ce éminent an ceP,Mereo en généraL

Cinq jeunes genset jeunes filles

trouvent la mortsur un passage

à niveauLa camionnette qui les transporte)

a été broyée par un train

On a relevé en outredeen blessés gravement atteMb

Limogea 31 janvier. Ce soir yen17 h. SO, an passage à niv.0 de Pr.rat de Benae, une eamionnet. conduitePar M. Ouvrard dont lapées est entre.Preneur de battage â Peyrat de Bennea. été renversée nue un train.

Cinq use .enenuts, cul sorA dmnes gens et usa Jeunes fillee de la ré-gion de Bella, ont été tués.

Le conducteur, Id. Ouvrard et an dises ands ont êté grièvement blessés.

Senle, nne fillette de 6 ans serai'sertie Indemne de raceideut.

Le Parquet de Limoges s'est Tend-eur les lieux.

RI lllllll 111111111111111111111111111111111111h.

La guerre d'Espagne, si personne n'in-

tervient?La nouvelle guerre de Cent ans.

PAS DE TENDANCES

aux Jeunesses socialistessaurs quelques ames des ten-

d..aa organisées visents'installcc dans notre Magne,ment des Jeuneses

tes.de Comité National Mixte, chargé

d'appliquer les statuts de notre or-ganisation et de les faire respecter,a dénoncé chaque fois qu'il le devaittoutes les actions fractionnel'au quirisquent de précipiter nos je.enadhérents dans I. batailles de Manatoujours vaines, décevantes et sté-riles.

Nous n'avons jamais demandé auxmembrea de notre mouvement realtdi-quer quoi que ce soit de leur indé-pendance d'esprit au sein de nosgroupes de JR.

L'éducation que nous leur avonsM.. a toujours eu pour but essen-tiel de développer leur esprit criti-que.

La 'Ache essentielle des 5.0. ont derassembler la jeunesse ouvriêre, pay-sanne et intell.tuelle au sein duneformation de Masse, non point pourla jeter immédiatement dans tes ba-tailles politiques de tous les jours.mais surtout de préparer au Parti sescadres de dernain et dce r.ruespoe.d.t déjà un bagne° de con-naissances. Le rôle principal de no-tre organisation est do. d'instruire.

Cette instruction sis doit pas te-nir salies phrases ronflantes, en unverbalisme ereux qui peuvent sur lamoment stimuler les é.rgies maisqui créent eurtout des feux de pail-le, vite allumés, mais ne laiss.t pasmême de cendre.

Cette instmetion doit être métho-dique, rationnelle et suivie. Elle doits'inspi.r de l'enseignement des mai-tre» du Socialisme, mais aussi tenircompte des faits qui se dégagentchaque jour de la vie sociale. Ellene doit surtout pas être une critiquesystémattque de Paetion de notreParti et de .s militants. car des aomutions souvent injustes portéescentre nos enda dégénèrent vite enmaint.

A. Jeunesses 5.1alistes, l'éd.a-11m ne risque pas de créer l'espritde caserne ou de couvent. La struc-ture de notre organisation, la forma-tMn de nos militants nous préser-vent clones éloignent de la pratiquetin garde à vous ou de la récitationdes litanies.

Est-De à dim que de notre actionpu/distoe nous excluons /a discipine?Certes non I

Nous nous rappelons toujours cet-te formule de Jules Guesde: « L'édu-nation et la discipline sent les fac-teurs e.entiels de le révolution SO-étale

Ceux qui, dans le passé, au sein denotre Jeunes. Socialiste, ont voulusous le signe d'une tendmce organi-sée accomplir un travail d'éducationcontraire I l'esprit du 6.ialisme tra-ditionnel ont éui invités à revenir àune plso saine mmpréhension durOle et d. tâches Os notre mouve-ment.

Nous leur disions que nous n'étionspoint un parti politique de jeuneeet que dam ce cas s'ils voulaientlm mêler aux batailles de tendancesils ne pouvaient le faire que dansuns sections adultes.

Ces ex-camarades nous répondirentpar une persistance obstinée dan,/leur attitude into.rable et par lamise sur la sellette de nos meilleursmilitants aux tribunes de nos conf.nues nationale.

A Lille, m juillet OU, noue avenshem/ cette indiseiplin.

Ce geste, compris par tous /es mi-litants de notre Parti et de nos JE.qui ont sonal de fairo respecter ladiscipline par tous et qui ne peuventadmettre qu'on calomnie nos leadersaux tribunes publiques, aurait Mdsans loba st des camarades de notroParti. et nm des moindres, ne s'ô-taient faits les champions de la dé-fense d'hommes qui ne poursuivaientqu'un but: briser nos 11.8. et désor-ganiser notre section française dC/Internationale Ouvrière.

TOUS LES MARDIS

LA VIEET SONIMAGE

page littéraire $ous la di.rection de Magdeleine Pazsvec la collaboration des

meilleurs écrivains

En page quatre r LA VIE AGRICOLEavec un articta de

GUERRETMette du Tanbet-Oarenne

HARDI 2 FEVREER 1937.

L'expérience a montré qu'a Lillenous avioco eu raison d'agir av.fmmeté et l'avenir no. a prouve quela phrase de Paul Lafargue est to11ejours vraie: « Un parti qui s'épureest mn Parti qui se fortifie h

Dans quelques départements, dl'heure actuelle, 11000 semblons as=ester dans notoo Jeun.. à un ré-oeil de 1,01 etat d'esprit que nom(avons défini, den.. condamné. S0.In couvert (Pune bedonne du Partiet de son chef, quelques militantsjeunes s'agitent pour créer au seinde notre Jeunesse Socialiste tme ten-dance dociles adhérents auront poux(tache es.nlielle do contrecarrer la1décisions prises par les congrès dulParti et dos J.S.

Cela, le C.NAL ne pouvait le I,

lérer. Il a done fait connetre au breau du Parti le danger qu'il y avaitde laisser se développer des pratieques qui visent à aceréditer dans lemouvemenl jeune q.on ne peut êtrnun révolutionnaire que si on combatIn politique voulue par le Parti oul'action de ses militante Lee sise envue.

La C.A.P. a compris qu'il valaitmieno prévenir que guérir, a.sibelle été iras hien inspirée dans sadernière séance en votant l'ordre dujour SUIVallt que le CNN. applique-ra avno bienveill.ce male sans faisblesse'.

« La C.A.P. rappel° à ces JeunessesSocialletes qu'elles ne sauraient faireune politique différente ce dellequ'ont v.lue les congrès et les con-seils nati.aux du Parti, qu'ellessent 550O parti politique de jeu-nes, mais une organisation de recru-tement, d'éd.ation et de préparationdes jeunes à la discipline némssairà

un parti de classe et qu'en censé=quen. dams-leur Sein Me peut ext.tter aucune « tendance » organiséeen tant que telle.

« Elle fait confiance au ComitéNational Mixte pour qu'il obtiennede obscure des Ententes de de.esqu'elles fassent ob.rvar par leursadhérents les statuts et règles del'organisation, et peur qu'il prenneles mesurea que ces mêmes statutslui donnent le droit de prendre. »

Jess cle 0d e ev7pirrvidse-ân-s?iss

Parti devait être fait à la veille denotre conférence nationale qui setiendra h Creil le dimanche de Pd-que.

Arrière les /unes de clans ou depersonnes dans nos Jeunesses Socia-listes.

Une seule tendance dans ne.mouvement.: Le Socialisme révolu-tionnoire de Jaurès, Jules Guesde et

Trois mok d'ordre t L'Action, l'Edu-cation, la Discipline.

Bernard CHOCHOY.Sarétaire géndnd den Jeunennes.

1111111111 lllllll M11111111. .511111

Vers la reprisede l'affaire Aliker

une délégation du Camita 51hOde c.»a.. de Pierre aliter there de la vlan'ma, de Me Vienne, diVittory et de Tri.';.'sque vendretl yes Mari.Mt, mlidetre des Colon/es. qu'elle....use de l'Ins Mea// assassinat du malheureux iman..set:la/m.14 .Marlus Mouteutihe

ABONNEMENTS 1 me/sem/on et Aduroulorratrom t 36, rue Bouvelalue, 101ULOUSE 36e,g5 - C. C. Partiaux.g01L 29 Ir.; 4 fn.i aa. gz BUREAUX A PARIS 5, rue St-Augustin (2.) Téliph. Bichat% 69.00 (3 6s.« groupée, me en rendre)

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Le socialisme ----iule et la Nation aux socialistesimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_02_02.pdf · 29° ANNEE. N. 10.161. Le socialisme et la Nation

ft! 2

EXCELLENTEJOURNÉE-

ELECTORALE-Maurice Thiolas éluconseiller général

dans la Ilante.Loire

Lasouthesur.Loire, 31 janvier, (dé.P.popubasro). - Fd.tion au Conseil 50nival de la Haute-Loire

Inscrits L636 ; votants 0,278Suffrag. emrimée t 1.273.

ifeitunse niaise, député. -S.FI 0 403 voix Plot

t'édit rép. 00400 240 voix -lue/meut, agraire o 112 Voix

(ei le gogo))Guy Le Normand

élu à MorlaixMorlaix, 31 janvier (dép. Papa/aire)

Magnifique victoire socialisteGuy Le Normand est élu conseiller g&aérai avec 1.018 voix de maJorité.

U a obtenu 2.538 voix oontre 1.5.20au candulat des dtoiies.

cet an siège gagné. Au prermiertour, Guy Le Normand avait obtenu2.015 vain ; M. Bellee, radical, 922 ;Tanguy, commumete 113 ; ,AL Satea,reastio.aire 1.183.

Charlet élu à CommentryCommentry, 01 jaisder 1441. POnn.

lotir). - Election au Conseil d'arron.dissement au siège de Dumazet,O. 4.403.Inscrits t 3.312. Suffrages emed 22,40

S.F.I.0 1.669 voix ElluCause _comm. 670 voix

sieed dieStioes législatives, dans lecanton, Thivrier avait obtenu 1.400Voix et le ca,ndidat communiste 1173.

Par conséquent notre parti a rami'depuis le mer de mais 969 Voix, tandisnne les communie. ont Perdu 003041.

Lupi élu à ToulonToulon, 31 Janvier (dép. Populaire)

- Dans le troisième canton de ToulonIn beau succès su parti de dimanchedernier s'est transformé aujourd'huien une magndfique victoire du Front

Notre camarade Lup1 ect 010 conseil-ler d'arrondissement par 2.816 voix con-lan 12,16 au réactionnaire M. Pouget.

Dimanche dernier', an Premier tour,Liepi avait obtenu /.442 voix, M. rouget1001, (1autier, comm. 1.008, M. Maton,ROB, 410 et M. Portel P.P.F. 4. --,

Le siège de M. de Wendelpasse au Front populaire

Hayange, 31 P.a.( 430. rePabi-i6). - Sort Un de ballottage à Feleotion as Conseil général de la Moselle,MM remplacer M. Guy de Wendel,gémissionnaird 001010. Pio,. d'osConseil juridique.

Le candidat do Front populaire Hé,rOn est De par 3.514 voix entre 1.003au réactionnaire Sehmidt,

A Cassel (Nord) le candidatSocialiste a quadruplé les suffrages

obtenus en mai dernier*dee]. SI janvier (par téliehone.

81. Richard étant décédé, les électeursdu canton de Cassel éMient appel. ftélire aujourd'hui un nouveau conseinerd'arrondissement. Notre Parti avaitprégenta notre camarade geler Drolez.

Comme en le faisait remarquer dansle Posa/aire du 30 janvier il eut étévain d'espérer une victoire dans ce can-

Nous n'avons, certes, pas emporté lavictoire, sanie le résultat de ce jour .tI. qu'une victoire c'est un vérin..

ble triomphe. Le candidat de notreMarti a muatplié par quatre les voixque uous avions recueillies en mai dennier. D'ailleurs, voici les chiffresDole Jules, Parti Socialiste, 641 Voix

contre 139 en mal dernier.Caudale. radical, 749 voix contre 990 en

mai dernier.°mamelle/1.e, reactiOnnaire, 1.094 a.

contre 1.668 en mai dernier.Que pouvionanOus espérer de mieux?

Le Parti socialiste gagne PI. de 500voix et leb réactionnaires en perdentpre.uo 600,

Mais. Il y a mieux'.A Cassel-ville, pour /a prenilère fois.

notre candidat arrive on tête avec 231voix, alors qu'aux dernières élections52 électeurs seulement s'étaient Iranonces On mveur de notre Parti.

A quoi est da ce succès/A la politique du Gomernement,

prIncipalement a sa pontique agricole- ka gime-unanimitn des électeursétant des paysans - et aussi h la Propagande intense qu'ont faite nos dévoués militante, ear, pour la premièrefois, lori) communes de . canton fu.rent visité., a/ore qu'avant on refusaitles Salles -de rdnfiron sier &sieurs.

Elections au Conseil généraldans Ylndre

Saint-Beneadu,Sault, 31 danvier. -ne élection a eu heu aujourd'hui pourremplacer le Dr Fauvet, décédé. Leschiffres ont Dé MS suivante efmcrits O 8.144. -- Suffr. MM.: 5.209Charpentier, rad. /ad.. 1.201 voix ElaMoulin, rad. 000. ......704731 von,Dela% SFIO 435 voix

,.. Et dans le Calvadoslier, 01 Janvier. - Pour .mplacer

Pd. Privant, modéré, une élection a eulieu aujourd'hui.'

M. Halboué, C.E.D., qui a obtenut,418 vela sur 3.183 Merde, est Mu.

Et au Conseil d'arrondissementdans l'Ain...

Tholesey, 31 Janvier (d&P.- Les résultats de l'élection au conseild'arrondlesemmt pour remplacer usconseiller radi.I socialiste décédé ontété les suivantsInecrite: 0.001. Suffrages expr. :1.845Son., rad. sou 006 voix Ehr:rabais, rad. ind. 999 voix

dans le CalvadosAulnay-eurAnton, 31 Harle (par te

déplume). - Une élection a eu lieu au.Journal, II s'ag sait de ren/PLacerM. ilote, républicain de Saadi., 08e0dé En voici les chiffres :

Inscrits adt. Votants 1.205.hf. Bute!, rép. de g... 1.220 voix E1.11

... et dans l'Aveyron100000, 01 janvier (clén. PaMadire)L'éleertm laquelle 11 a été procédé

auladdd'hui pour remplacer Id. Dorer,radmal emisdiste, démissionnaire, adonné les résultais suivante

Inscrite 52,07. votante. 4.s..Couto, rad. son. 2.870 voix ELIJVinât, 5e154

adeRilailllaRaBinallIll I II

Comment la presseinternationale jugele discours de Hitler

En AngleterreLondres, 31 ionoinv. - Les grandi

chroniqueurs de la presse dominical.n'ayant pas pu prendre conuaismnsdu discours de M. Hitler anges tôt meilut consaerer leurs commentaires,Sunday dilue et l'Observe, ne 0000 00etraduire lee premières imPressions prOOtites paver discmrs.

Bien que le second de cee organesmontre dans l'ensemble pl. Paverai,lau chancelier du Reiclb, tous deux tondent â penser que M ce dernier a anPorté un certain ninit aux appréhensiens de l'Europe, il ne s'eet cependanPas montré suffisamment explleinquant aux intentio00 pratiques ch

Reich en vue d'assurer la paix.Le Suuday Times, cherchant à fand

la part de ce qui, dans ce diecours s'adreesait à la « con.mmation intérimce a, essaye de dégager ce que PEuvole doit retenir des paroles 00 0000rer. Il note d'abord las a elle.. 0observés png de dernier e signala murien n'a été da sur tee moyens d'évite]00 0000111 k propos de l'Espagne. Lmavances de Blum n'ont pas tround'écho, pae plus que la suggestion mesemée par M. Chamberlain sur la necessité de mener de front PapaisemeinPolitavie et les mncessions écononnau,

Lez regrets de l' « GlaserverLe rédacteur diplomatique de Ma

raPnelle d'abord que Fon s'attendate, dans I. milieux officiels, que lediscours du Fularer indiquât une disPositMn d'esprit plus pacifique que lesprécédents, étant donné que l'Aloi major allemand désire avant tout éviteractuellement les Magma..es contreverses internationales.

1100010010 regret, écrit-il, 000 00.Prime dans les milieux officiels Ion.doniens, 000 00, Hitler n'ait relarlemn des points soulevés dans le discours de M. Eden

Toutefois, le rédacteur dip/omatiqueaffirme que le répit apporté aux crain.tes par le discours 0310v a a causé laF103 vive satiefaetion dans IeeOfficiels britanniques et cela parceSur . réMt pmmet d'envisager la ponsibilité de reprendre le prelet de média.Don entre les partis qui luttent en Es.

Brune Ive, 31 janvier. Le Pettpk,organe socialiste, écrit

a Le grand discours aura certain.

'erneeeee u,taOnqui vo a 0000.101 01g

002e quointernationales O.: Fuehrer. Il n'y amême Mus de retentissantes déclama,tous de pacifisme ; des idées limai-Ruse constructives encore moins. n n'ya en eurnme rien de changé

« On trouve d.s le discoure line8110310e D 14 OetallIte, Ca a'r alose'dlii. Le volt 0cm_000 218 tee 051016e

ee,704 e'r.ir=2tapraenee ,.te l'inviolabilité de l'intégras'etnuela 000loalite doc 0000 rare. Cotte

gle et.leur. hials comme alla Hollande ni laBelgique n'ont edeldirde le désir de se

Otf rf ers 'd'a500101 de

%.11Cen'd

geeon'd Î.'n'lem'aVi1u0e0 eilr'io.;16enànel.a

La Belgique ne gent se désintéresserclv rope

for Vieetiddie SOM, organe cathejécrit

a. Si la déclaration du Fuehrer doitêtre comprise v000 sens que la Beleque entend conserVer une rigommagindépendance vieds-vie de toue ses voieeines, 00008100 belrge 1143,1.

dou

roou.ve,nruadilne Ponr .e

Belgique d'adopter une attitu e pas4edve 01 de se désintéreseor dre problhmes de l'Europe Occelentale. 11 est esouhaiter que le Fnehrer c.ompren.

, que ses moles ne suffisent pas I et'Meer le tort qui nous' a été fait,ta un an. et qu'il mette tout en ceuvreiDeur que nouveau Locarno, que la Bellgigue .père voir se réaliser, soit a/hieue pied dans un bref délai. Pour cela,150 diverses parties doivent consentiedes sacrifices et II n'est que juste, sfl'iddlemagne désire qu'on croie à lasincérité do ses paroles qu'elle /l'hésitePris à faire ceux qui Pat incombent. M

FEUILLETON DIT MIDI

'Etoile volée

- T is m s bijoux ? Ah !vieille mn' qu u s I Gueuse.

' 111-115 , °arrimai hors de sonlit, eau ur la tzigane, commeune hé e tao y en Poreur sur sapane.

- Tu ! dit-elle, tu as osé.Elle ét u ait de colère, de stu.

peur, d raffle rementiment...

En Tchécoslovaquie-Prague, 31 janvier. - II 00050001e

une tôt pour définir de façon précise, l'attitude de Prague à l'égard du diracoure du chancelier 010100. Cependan4dune façon générale, on retient Mt d'a.bord le ton de modération dont a usd,le Führer.

La presse est encore sobre de com-mentaires. Lac Ceske Slave r, social..tenational, écrit que, dans l'ensemble,ce qu'on peut dire c'est que ce discoursn'aura Par pour effet d'aggraver la/nation internationale. La seule allu-sion, encOre qu'indirecte, fana à laTchécoslovaquie dans ce discoure, ergcelle relative en traitement des mino.nifés.

Les a Lidove Noviny e disent à ceMen00 que les termes généraeu m'aemployés M. Hitler montrent eu08entente n'est pas impoeeible 000010 00esoit reconnu le principe que toute Inter-vention extérimre dans .les affairespropres d'un Etat étunger set inadmie-sible. Ce journal fait remarquer que la'Pehecoelovaquie, précisément, observeO l'égard des minorités nationalee etnotamment I l'égard de la minorité al-lemande, une politique avec Mquelle,comme Fa dit récemment M. nepeut rivaliser, en libéralisme, celled'aucun autre Etat d'Huron.,

c Quant aux traités d'alliance qu'aconclus la Tchécoslovaquie avec d'au.tore pays, ils ne peuvent mire en rien,t000ic000revnlour000, au succés d'unrèglement général, ear Ils ont un ca-ractère purement défensif et ne visentqu'a .surer la sécurité du PaYa. 3-

En PologneVamovie, 31 janvier. - On lit dans

le Rainer Ponettee On a l'impr.elon que l'accord Po-

lonoallemand est devenu partie int&grante de la politique étrangère alla.mande.

LeS journaux relèvent Io fait dee lechancelier Hitler a réfuté Me thèses deM. Eden sans discuter les thesee cran.Imites, Us en tirent d'ailleurs dm corechialons divergentes, lee uns dans lesens d'un apaisement francoallemand,leo autres dans le sens contraire.

L'organe d'opposition modéréeni. r écrit en tare 1 a Le chancelierHaler a déchiré la dernière page dutraité de Versailles - discoure militantmellé de paroles sur la paix -magne veut dicter a I ,ur,pe les comi(litions de la paix Sesm00100u, e.

En ItalieRome, 81 janvier. - Lee premiers

commentaires de la presse italienne eurle dismurs du Reldisfiader sont una.aimes a exprimer la satisfaction et l'en.Mère approbation de l'Italie.

« La discours de Hitler 0000e Meir delune de nombre.0a illusion, écrit M.Virginio Carda dans l'édition dominhcale du 5-.GUonnee d'Italia r. Il ramèneles goldvemerrents cille nations a uneconscience pars ouverte de 10 016(116. IItend,. grand servi. I l'Emma.

iseeeeentistintiileies par pole le ilianoni Reicha.-ffilirel ana/ qualifie ebi-n constHeffoeil 'M'indécise le sens II constate da,bord nuteencolier peut ôtre Montent

&cari gemma-italienaprès avoir affirmé que l'Italie et

l'Allemagnv sont tout 1 fait d'accord'sur la nécessité de lutter contre le com-munisme, m. Garda met en relief queM. Hitler n'est cependant pas d'accordavec M. Eden qui, lui, insiste Pour met-die sur le mértie plan fascisme et con,mutisme.

« Le veto catégorique au communis-me .t l'un des motifs dominants dé

on alleota020, e

tnergme 3. 0e Ir.%Immo-soviétique. C'edi pour cela qHitler a réservé à /a Belgique et 4 laBolhinde, sana mentionner la France,la_prom.se de garanties éventuelles.

101000110e loltlrr cor In 00001:00du

d10000108, M. 001101e dvel000u'ollese'a,

lin 'c'.O'lloisiral'alleeded00,0." Fan'le

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aminingegnaRksaililifinelBelllitilial1Plegatillenullellilleal111111makmastammeniseataisonineamagreummingseranna 11131111hrrisruhaases

(14)

parG..i..-CL. RICHARD

1111111

Mslis, avec une singulière aisance.Zucca la repoussa.

110 crie pas ! dit-elle. Oui j'aiosé. Tout cela est à

Non I dit Margit avec colère.- Ne te l'a-t-il pas donné, sans

que même, en vraie tille de Bohêmeque tu es, tu aies pris la peine de lelui demander?

- J'avais renoncé à tout Cela. en

LE MEM SOCIALISTE

LES CONDAMNESde Moscou

ont été exécutés---Moscou, ler février. - Les treize

condamnés du fameux Procèstrotskyste ont été fusillés cettenuit, à la prison centrale de la Gué-Pèle.. POP ne peleten d'exécutioncomposé de aeize Chinois de la bri-gade spéciale cm/finaude, commed'habitude, par le Letton Peterson.

Le comite, qui s'était réuni dansla journée pour examiner le recoursen grâce des condamnés, a siégépendant trois heures. Une partiedes membres du comité central seprononça pour la grâce et le procu-reur Vichinsky, mandé d'urgencepour donner son avis, exposa quepuisque Radek et Sokolnikoff, lesprincipaux coupables et les plusdangereux pour le régime, avaient,grâce au procès, sauve leur vie, ilne voyait pas de raison d'exécuterIve autres. Néanmoins Staline restainflexible 001v comité centra/ rejetatous les recours.

Les condamnés moururent cou-rageusement, sauf Piatakoff, quisanglotait, et Bogouslavky, qui eutune crise et qui fut fusillé couché,car dans la cour intérieure de laprison où avait heu l'exécution, fin'y avait pas de poteau pour Patte-cher.

Piatokoff demanda à voir safemme, mais on lui déclara qu'euen'était plus à Moscou. Les autrescondamnés se serrèrent simplementles mains et l'un d'eux s'écriaa Dites à Radek et à Sokolnikoffqu'ils sont dee traîtres I n

Les cadavres ont été emmenésdans un fourgon automobile et in-humés dans une fosse coin/mine.

LA VEUVE DE LENINESERAIT ARRETEE

On confirme l'arrestation de NI"'"Kroupsakala, la veuve de Lénine.

En EspagneLE COMMUNIQUE DE DEFENNE

DE NLIDRIDMadrid, lev février. - Le conseil

délégué pour la défense de Madridpublie, à midi, le Comtalmiquéliant

« Aucune opération importante àsignaler pendant les dernièresvingt-quatre !heures sur aucunfront. a

Bilbao, ler février. - Communi-qué officiel du conseil de défensede Bilbao

Durant /a joirnée d'enjeu,d'hui, nos te Qat gteé,teetee 44i ...jeotoe,414semer -de ' quine. j oineurgéea. venues sen recours,e.rent décimées et disperSéeS Par lefeu nourri de nos mitrailleuses.

« Dans le secteur d'Eibangueta et Orduna, duels d'artilleriesans conséquence pour nos ligues.

a Sur le reste des fronts : traa-quillité.

BRUITS DE REVOLTEA SEVILLE

Londres, ler février. - Dépêchee Information »

a Le poste radiophonique de Sé-ville est silencieux et les corrununi-cations téléphoniques avec cetteeder eont été coupees. Cela semble-rait confirmer le bruit qui courtavec persistance aujourd'hui, etdont Pedro eet porvvnok Gibraltar,d'une révolte à Séville.

e On déclare, notamment, qu'unofficier espagnol ayait fait uneremarque a un officier allemand,celui-ci aurait adopté une attitudesi grossière et si menaçante que lessoldats espagnols présents auraientpris fait et cause pour leur officier.

O L'incident eut des suite mal-heureuses et pluaieurs officiers etSoldats espagnols furent tués.

d A /a suité eé-cét incident, lesrebelleve espagnols ont fermé La

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en faveur ! dit Margit. Tu ne com-prends pas ! Tu ne peux pas com-prendre ! alaia il faut que je lerende pour mon honneur à mol !

Zucca haussa les épaules!.Tu es folle 1 dit-elle. Et quand

bien même tu voudrais lui restituertout ce qu'il t'à donné, tu ne lepourrais pas !

Et Pourquoi ne le pourrais-lepari ? 40000tnla mr..rgit, cabrée.

- Parce que la tribu a droit autiers du butin fait par l'un dessiens où et quand que ce soit.

- La tribu, où est-elle ? ditMargit avec un rire amer. Lb-bas,au diable ! à Homona ou ailleurs.Et qu'a-te/1e fait pour moi, la tri-bu ? Et pour toi, vieille bête ? Tonmari, Amelia], < te loup a, te rou-ait de coups te volait ton pain etton gain.

-Mas il eût ouvert le ventre àquiconque eût voulu me faire quel-que viilence, et, un jour, que Tarn-ko, le chef, m'avait cinglé de sonfouet, il s'est battu avec Tsanko,qui pourtant était un colosee, fort

Au secours de Carloset d'Olga Prestes

La conscience humaine est, par lesLeee0.0}1.1o.uureotl,men jectuuele bel

Hot d'iniquités, peu dinstants qui n'al,portent l'écho des tortures infligées auxVaillants qui, de par le monde, luttent

ronr efecer.",;';',,reeioul:nSeiOure,

al l'en

populaires, un aPPM 00v tuer disPonhble.

C'est au secours de Carlos Frein55rode sa femme, Olga Prunes, qu'Il fauts'empresser aujourd'hui.

Luis Carloe Prestea a été arrêtéRiode.Taneiro le 5 mare 1936. Depuis4e. 29 décembre dernier, lui et trente.cinq autres accusés (dont Ewert, dé.té au Riechsteg) comparaissent devantla justice du dieMteur Vargas. C'estl'flvmcteer, 5001 la misore.

oà" nls i.ees avec les forces d'asservi...dent. La7ribunal qui juge est un tribunal mi.litaire; 11 brandit une loi d'exception.

a"cConusercer00 uni 000me tes 00des garanties tee plue élémentabcocOs

dee de la défense.Ce qu'on essaie d'abattre en la perv

sonne de Prestes et de see camarad.,gest bel et bien le peuple brésilim.Carl.Prestes est le président du FrontPopulaire du Brésil; Sa jeune vie, ilna ...rée uns réserve à /a causell'UrrPaece

boas,

la misère qu'il subit: de tels « cri-es0 sont inexpiables.Pour mieux l'atteindre, on a pris sa

Toute l'Amérique a célébréle 55 anniversaire

41u Président Roosevelt

New-York, 31 Janvier. - Lê 000003-ie-mumnema anniversaire de la nais-tance du président Roosevelt a Ce 00.1000 hier dans toutes les grandeS vil./es des Etats-Cuis,

De. la cote de l'Atlantique 9. celledu Pedifigne une série de bals ont euDeti. dont 'es recettes sont consacrées

l'orgamsation de la lutte contre laParalysie larmille.

De nouvellesarrestationsen Autriche

Des socialistes qui auraient dûbénéfleier du décret d'airenistitde juillet dernier sont envoyét

eu camp de concentration

En »Blet dernier les primns autrl,chiennm étaient vides. Libérés tous lecondamnés du grand procès Salle, h/Axées les femmes, dont Marie HuhartAu moins officiellement. Car, en faitdos réserves s'imposalmt, réserves qmnous avons faites dans le POotaeirddès la promulgatim du décret d'alunistie. Nous signalions 005 mome00-1n miMs nazie allaient largement profiter doramniste, tandis que les socialietescommunistes seraient libérez av50 lentem et, sans doute, rapidement repris

Six mois après, nos appréhensions siconfirment: une nouvelle vague d'arduLutions déferle sur nos camarades maxichiens. L'occasion, ou plus exactemen,le prétexte inavoué? Sans aucun doutala fureur ressentie .r le gouvernementO la suite d'élections de déléguée d'unines 011 000 donné dre résultats au.Quels 11 ne s'attendait ms. Malgré Pimpossibilité de mener leur propagande/es représentants des syndicats °landestins on0 été ire grands vainqueurs. Ala suite des électrons, le gouvernement01010 opérer lev arrestations en masse;an cours des dernières mmatnes, quaOrs à M. cents socialistes ont «éMes: 25 dans le .ul cinquième arrondissement de Vienne; à Graf., en Sterie, 40 cheminots; ailleurs. 30 mineurs:en Haute-Styrie. 40 cheminots et denombreux mineurs, à. Vienne. 10 nePloyés d'une compagnie d'assurances, el

l'avenantMate reprenons la stipulation se.n.

tielle du décret d'amnistie de juilletUne montesua formelle avait SM faitequ'a l'avenir les orloul ne seraient narpour le même amuse sigillées les unesaux autr., selon l'étrange coutume dorégime alistro.doeciete. Or tous les eo-cialistes arr.10 sont d'abord l'objetde seines de polios. Duie transférés aujuge d'interaction et sont l'obier (Vensuosvgle peine pour le double motif:haute trahison, nécessité de la prote.Don 05 l'Etat.

comme un ours des Carpathes. Il adonné un si mauvais coup à cettegrande brute sauvage qu'elle en esttentée), un quart d'heure durant, àtousser et renâcler le nez dans lapoussière. Arrée ça, Tango m'arespectée.

Elle secoua sa vieille tête et dit,I es yeux rêveurs :

- Oui, Acazral me battait, Maisil me protégeait Oui, parfois il meprenali mon polo t il me bOuaIlmon argent, mais 1/ m'aimait etpour moi donnait, eu le fallait lesang de ses veines, C'était un hom-me qui connaissait la loi de 110m'mn. Et toutes tant que nous som-mes. sauf les folles ou les rebelles,il nous la faut subir. Comme ilnous faut subir la loi de la tribu.Elle est loin la tribu ? Oui, maiselle est... Alors, fille, il faut obéirà la loi. Et fille de roi que tu es,il faut agir en fille de roi.

- Fille de roi ? dli. Margit. Ea-tu folle

- Pad folle. Ton sang est celuigni coulait dans 100 veines de Be,6

tomme en otage. Le 23 septembre demnier, on embarquait de force Olga Pesa.tes (alors dans un état de grosmaseavancée) et la femme d'Ewert Houteedeux de nationalité allemande) â borddu vapeur allemand La Con., qui anrivait à Hambourg le 18 octobre.

Au sortir du bateau, les deux fem.es étaient mrétées Parâ laBerlinPoll.

crête d'xte, conduite, auquartier général de M notice, PriasMbrechstresse, et emiddeonnées

Et depuis, on ne sait p105 1100. D'in.nombrables démarches ont 000 faitesfinas d'elles, par Mme César Chabrun,qui s'est rendue en Allemagne li, ceteffet): silence complet,

Qu'est devenue Olga Prestes, qu'eeldevenu son enfant, qu'et 0003100 110eEwert ?

Il faut tirer cela au dalr. La Ms.'talion de ces deux femmes (sans eau.cune demande d'extradition ait été for.mutée par le gouvernement du Reich.faute de motifs juridiques) constituéune vlolatidn flagrante des réere lnternationales que la 8.0.10. affirmait

0936'er0a.doPtnrbillet

lotoMve. faon refoule ces femmes --ce bébé - b a frontière française !Y aura ici des bru et des coeurs pourles accueillir !

A la voix de la pauvre maman eteCarlos Preares - si déchirante ! -joignons la nôtre. Elevone la sans tander, élevons la bien haut, faisonsQu'elle soit esses puissante pour arra.cher Carlos Prestes et ses courageuxcamarades aux chaines tendues autourd'un peuple Mut entier

Mandeleine Paz.

1111111111111111111111111111Mmum lllllllllll J1111411,11111111111111111111111111111111111111111

frontière près de Gibraltar pourempêcher que des nouvelles decette lutte intestine ne parviennentà l'étranger,

c il eet actuellement impoasiblede se faire Ime idée exacte de lagravité de la situation,

iluelauee exemples: Ma abomines anratée e Grata ont en d'abord six molede prison de police; Ile seroM à la sulte transférés au luge d'inetructiOn nomêtre condamnée une deuxième fois. Lecas est Magique, les socialistes sont parnis de prison préventive Pendant Pins55011505i Cals 500 Dei0e da siuse..dineele, ou meng pendaat l'instruc-tion, c'est lei scieur suiestop 55 cou.centration de Woelledorf. Ajoutons uhetroisième peine et non la moindregest d étre dans tous les me envgn demoyens d'axietenee. Et maintenantquelques noms

Bauacher, un des accusés du Pr.esOs mars dern)er. aurait dû être depuislongtemps libéré. Mais les mois de nri.son se sont, on ne sait comment. ao-cumulés, Bauschor est touJoum à Woddtes dort. Après avoir été 39 mois privéde sa liberté.

Hoinnek « plasma une peine dequaterne mois de prison de police aumoment de a l'amnistie o de Millet.On la seulement changé de edre. Ilet à Woellesdorf.

Hans Ineake, jeune employé, a 015arrêta pour propagande 1111001e, elit.demed à dix-hait mois de prison em.niellé r en juillet, mais en fait 100000000 au camp de Woellesdort 01 il esttondeur.

Ho/muets, secrétaire du sradimtbois. eteintil, et combien d'autr qulauraient dû bénéficier de l'amnistiarent toujours au camp de concentratiou

11001 10005 l'on appelle la Justice9. Vienne: c'est ainsi que Schuschniggdéfend l'Indépendance da l'Autriche.

Andrée MARTY.CAPORAS.

Le Cabinet japonaisest constitué

LE GENERAL l'ARASAI, GlIEFDU CABINET ET MINISTRE

DE LINTERIEURLe portefeuille de la guerre a été

confié au général Nakamma ainsique l'avait recommandé le généralTerauchi, ministre de la guerredans le cabinet précédent.

Les autres posten se répartissentOins.

Marine, amiral MataMinasafinances, M. Vedel; banque induis-(rielle, M. Yuki.

M. Karichi Kawarada, a été nom-mé directeur de la Société pour laconciliation du capital et du bru.

Yasmin, qui fut le roi et la maîtredes tribus persanes, Ta mère étaitde la filiation d'Attal (1). Faut-ilréveiller tes souvenirs ? Que/leéducation les nôtres t'ont-ila don-née ? Celle d'une romanichelle debasse caste, ou celle d'une fille deprince ?

Et comme Margit demeurait

- Ton nom chrétien de Margit(2) cache ton nom, Zingari de Dia'go, qui fut celui de la fille du roides Hardes d'or, Tchinguis Rhea.C'est pour cela que jamais tu n'asdû dresser le cuir des courroie nirosier dm paniers, ni fondre l'étaindee étamages. Tu as appris les lan-gues, /e romani, l'allemand, le fran-çais, l'italien. Tu jargonnes le yid-dish. Tu connais la musique orien-tale et la musique européenne. Tusais écrire sans feinte et lire sa.nspeine.

111 Eifel, en germanique, ou Attila.02) Margit, en langue romand Comme

50 hongrois, signale Marguoidte,

T. S. F.Programmes du mur

Radio-ToulouseA 8 heure.. - Accordéon. Airs dopé.

mue,. Orcheetre de salon. Chansonnettes.A 11 h. 45. - Orchestre, argemin. Inter

mations.A 12 h. 50. - Informations,Fantaisie radiophonique O a Vingt ans s,

Chehestre musette.A 13 h. 55. - Informations.A 17h.43,_Musiloadsd000ce,iutae.

menons.A 18 h. 1 - Êxtmits"dé Oln,e. Ordhen

81 viennois. ChemonnettaaA 19 heures. - Bal charrpÊtre. Audi,

don de hl Serge Giorgetti. Concert varié,A 20 h. 55. - Information, Chroni-

que Toulousaine Fantaisie radiophooiqua« A quoi révent les jeunes fill. s.

A 21 h. 45. - La demiteare de ra-ds. L'accordéelste virtuose Maurice Saint-Paul 0150v orchestre musette. Sélectionthéâtrale o Concert sur 5 Man. 0,

A 22 h. 55. - lefooneoee.A 23 he000a, - Touas. Marches mili-

mires.A 23 heur. 55. - Informations. Ca-

.e.ao « Le petit hal Poisse r. OrchestrephiLarrnonique.

A 0 h. 30. - Bulletin méréorologirdiosEzional. Fin de l'émission.

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tions do Radio-journal de France.A 9 h. 45. - Concert.A 10 h. 45. - Concert.A /I h. 30. - Tour Eiffel Cours

Bourse.A 11 h. 45. -.journal reild

se émission).A 12 heures. - Relais de Limoges r

Concert.A 12 h. 50. - Informations.A 13 heures. - Reprise du concertoA 13 h. 30. - Coure Bourse.A 14 heures. - Disque., programme

dee spectacles de Toulouse,A 14 h 20. - Cours Bourse.A 16 heures. _Disques,A 16 h. 30. - a Pour que chantent

les enfants de Fran. a.A 17 heures. Tour Eiffel I Cours

Bourse.A 17h. - Concêrt de jada (disques).A 17 h. 30. - Concert.A 10h, 30. - Radio-journal de Fram,

A 091.10. -Conférence'. a Les anoned'hiver dans los hautes vallées de l'Ariè-ge r, par M. le docteur Gomma.

AN heur.. - journal parlé (deuxiè-me éreiseion).

A 20 h. 20. - Disque: communi.

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MOUVEMENTDU PORT AERIEN

Toulouse Montaudran

Ligne Fiance-Eepagne-Maroc. - Lecourtier aérien d'Air idemor pand deToul.re le ler féwrier à 6 h. 20 est arrivéà Ceseblence, le ter féerie yen 17 h. 45.

L'avim d'Air France parti de Casablan-nais ler Marier, 5 h. 30 en arrivé àToulon., 10 las feeder à 15 0.50.

Aux Etats-Unis

d'abondantes pluies

viennent encore

aggraver la situation

71e00.91103, 31 janvier. - Sole,, dullississmi ne esst pue encore abaisséeet de nombreuses ilaS evereursIleuVe se trouvent maintenant d'autamMus menacées d'Une inondées gus lei

ieru'a""04 es""t0siVee,itejei="is Lu. .

Ce Mir, le gras sixs eaux se WavellEvansville, I michemln entre Louis.

ville, et Cairo, et PHs da000Meusde

.31e`mphis,

pense,101meut

`,n' TIrr'Pour aggraver cette catastrophe, sn

signalait, hnr Sole, des Mmes en,amies dans les grandes plaines sil

rsiTies' ilsâra'iérrer'el'u 0M I Cep' rei'sisorties de leur lit et inondent des minllers d'hectares de terrain OliSelefied

j En Turquie, plusieurs villagesI sont ensevelis sous les eaux

Stamboul, 91 jm,vier. Le &g al acausé près tPhskischeir, Pinondationde la 1010 001000 qui a été détruite meUne longue étendue. La circulation dmtains est interrompue. -

De nonMreux villages mut .sous les eaux, d'autres sont menaces.

La tempête continue de faire rage

j sur les côtes anglaisesLondres,

an lmlon nnee31 janvier. - Tendi,L

000,0s la retout le sud de I Angleter .tre "'";

deierature s'est considérablement ann,rée, le tempête contMue de faire rage

5011..1100;e:ii. du VaPeur

50Û'ir deniÉ.,,P'aru"elatlee. bee:

1'7tVegin'trrenneri%1U dans les mn

I'Maux Ltresse. E chalutiersAmethyst s. de Hun. do010 000,010000reçu de nouvelloecmdepule 1010semaine,ae pe sire desWhgees'll'aquipage.. destroyers

Detrebell a vv.Y000rlillOaIeorvelialetiees contimiênt cele de Pertreuiller dama m fons.,= tee, ri

rp':-ÂmectPy d... .1.IZejf,reme.,""

NOUVELLES INTERNATIONALES

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Le socialisme ----iule et la Nation aux socialistesimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_02_02.pdf · 29° ANNEE. N. 10.161. Le socialisme et la Nation

LÀ VI E ET SON I kol AGE PAGE

LITTERAIRE

POUCHKINEpar Victor SERGE

Iaétait de taille moyenne, sec et basané,la chevelure châtaine et bouclée. Unreste de sang africain /ai faisait les

lèvres fortes, le nez large. On le décritd'un caractère renfermé, enclin à lattis-trace, volontiers rieur pourtant, avec uneintelligence in.Mparable et sans cesse enéveil. Rien d'un dandy, d'une éléganceplutôt"négligée que raffinée. Contempo-rain de Byron et de Hugo, leur égal parl'inspiration, l'reuvre, la signification du

Pauvre dans le temps, il eut, très net,le sentiment de sa grandeur et, pal delace animent, celui des valeurs sptrituetles qu'il servait, avec le dédain de t'uniforme et des intrigues de cour.

Il avait vingt-six ans quand la fleur dePartMccratie pétersbourgeoise succombadans la conspiration malheurease des Dé-cembristes. Le poète Ryleev fut penduavec quatre autres offlciess. Le poète Ku

gelbecher, ami d'Alexandre SeregaMevimhPouchkine, partit pour la Sibérie comm.beaucoup d'autres. Pouchkine vit peur.

rue de mornes ouvriers travailler croit.sur la glace de la Néva,,à la lumière des

torches, à jetor dans les ca.urra des ca-davres et des cadavres de mutins massa-créa . Sainte Russie oit tout se fonde sutle sang, où le génie grandit o l'ombre despotences! Le règne paternel de Nice

'as fer, le Bien-Aimé, s'ouvrait ainsi. Le

poète étouffa d.ne la grande Peaf deinunsa réholte impuissante. li renonça à l'a-mitié de Kugelbmher déporté, mais non

l'amour de la liberté.

Coate, suis a. ms Mmes ton esprit libre...

Et, dès lors, sa destinée de privilégié,né riche, homme de cour, dissipé commail fallait PM., fut marquée du sceau del'ancien régime russe... L'empereur lefaisait surveiller, « avec une bienveillancesans bornes ta par le chef de sa police po.Mique, Benkendorf. Pas an lem dv eecourte vie éblouissante, la police impé-riale ne le perdit de vue. Elle l'exila auCaucase pour des vers et des mots troposés. Il put rencontrer là, sur une routedéserte, un étrange attelage, aminé pardes Neufs, portant un cercueil t celui deGriboyedov, autre poète, assassiné enPerse où, diplomate, Il joui.ait d'un exildoré pour avoir écrit Le Malheurd'avoir de l'esprit.

Son uvre, cep.dant, commençaitcette conquére du monde qu'elle ne devais achever qu'après sa mort, quand semémoire grandit d'année en année et quel'on sut que le plus grand des poètes russes venait d'être tué ; le pluS grand,

="':révéler è elleanéme, dans ce qu'elle a de,meilleur, l'itrie d'un peuple. Vers la tren

(1799-1837)

P011elakine, par lui.même.

laine, une- célébrité discrète le toucheDramaturge {Boris Godounov), romancier(La Fille du capitaine), poète essentielle-ment, conteur en vers et qui rénove encréateur tout un folklore, il habite PMmrsbourg, projette un voyage h l'émragertrêve de diriger une revue, interroge avi-dement les rares personnes qui saventquelque chose dce révolutions de rgy.dont les journaux, naturellement, ne di.sent ri.... Le tsar, «craignant que les!rais du voyage ne dépassent ses moyens»,lui refuse, dans sa sollicitude inéaufsa-ble, un passeport pour l'étranger. Pouchkine ne verra pas l'Occident. En revancite, on en fait un chambellan, on luidonne de menues sinécures. II se semtellement outragé par ce traitement talinote le tu Mare 1333

« je puis être un sujet et même unemlave, je ne consentirai pas â servir devalet ou de bouffon même au roi des

Il fallut pourtant qu'il endossai de tempsh autre l'humiliant habit de cour. y C'estle diable, éoeioeit.il à sa femme le t8mai /836, qui m'a fait naitre en Russieavec de rame et du talent... a Autoriseà diriger une revue, il constatait ; y Pu-rifier la littérature russe, c'est nettoyerdes cabinets et dépendre de /a police.. o

Son cirame est celui du génie sous le des-potisme. Depuis l'exécution des Décembristes et pour un denn-sihele encorel'empire est solide. Pas d'évasion Rossibic. V faut s'enliser dans les petites affailes d argent, d'amotsr-propre, de censure,

de police, de vie privée, tristement pri-vée. Pouchkine cherche à s'y résigner

Pas de bonheur en ce monde. le calme

et la volonté nous restent_A trente-huit ans, marié alose des

plus loties femmes de la Cour, très épris,père d'enfants qu'il adore, son am/ictère

change inexplicablement, il semble chercher le mort et la Mauve. Nathalie Niko-

laevna Poucbkina ne comprend guère

Peuvre de son mari ; elle est roule h ses

succès mondains. Les biographes récents

dv potto sont enclins à admettre que

l'obscure intrigue 0h11 devait trouver at

mort gravite autour de la personne sacré:

du ms, poste vtont d'être établie -0

SainaPéterebnurg et elle antance . 'des Parcs anonymes, un insultant di.ome tie cour. L'outrage. plus qu'uneMusic pout-ètre mbistiflée, re tout cas

Parfaitement maitrisée à t'égard de sacOtaparne. l'amène dans une impaSse. lia

jeune officier d'origine française, Dantés,fils adoptif de l'amba.adeur des PaysBas, de G.keren, a fait ostensiblementla mam à Nathalie Nikolaevna. S'il ce unrival que nul ne peut défier, du moins Cejeune fat paiera-ail pour lui. La tragédiemûrit douloureusement, sourdement, avecune foule d'épisodes peu clairs, jusqu'auduel impitoyable du az janvier 1.8t7Pouchkine tombe sur la neige durcied'une clairière des environs de Pétersbourg, /e bas-ventre déchiré par une hall;de pistolet. y Je crois. dit-il en françaisque j'ai la cuisse fracassée. t, Et il/doute t « Attendez, s me sens es./ deforce pour tirer. tt Il s'accoude sur laneige, vise, tire, blesse légèrement Dan-tès.-.. soc agonie sera longue, atro.lucide. A sa vIte, il répète qu'ellen'est pour rien dans tout ceci, qu'elle nedoit poim se reprocher sa mort. DansIre aermers moments, Il ouvre les yeux,son visage s'éclaire, un ami l'entendmurmurer t

La vie es; finie.Et sa grande vie finit dans un soupir

insaisissable.Sa grandeur définitive commence, la

bassesse da régime confina°. Pendantque le peuple de Pétershourg entoure lamaison mortuaire, son ami lonkovski.pour obtenir du tsar 'une pension pour laveuve et ses enfants, invente les dere.ers paroles édifiantes du poète... « Il reare!. de mourir, Oct il efa voulu vivrepour le tsar! n La haute société négligesa dépouille et s'afflige des ennuis dupauvre ambassadeur de Hollande, anbornme de si bon ton, conrammis paf le

due/ de son fils adoptif. La police s'émeutde l'affliction que fait naitre la mort d'untillerai vol passait, par surcroît, pourathée.. Défense stricte est faite de lutfaire des obsèques dans son village,après celles de la capitale... Le métre.°liée Cagêne écrit dans une lettre t y Leversificateur Pouchkine vient de mourirBon versifies.r, mais mauvais fils,nsauvais parent, mauvais citoyen. Je rtilcon. â Pskov... »

Nicolas fer donna au meurtrier, Dan.tès, l'ordre de quitter la Russie. Dentés

r;vinten ,Ermée. L'homme qui avait tué

ouchkine et qui jusque dans sa vieil-

POUCHKINEsurréaliste

a le qiu av

POUCHKINEl'Antéchrist

L'activa. Defal quo accompagna. lePué. da. la stoppe d'Orearourg. tore-qua. y- visita, pour écrive La Fille daCapitaine. les lieux on s'était déroulée/a grande révolte pagmmte d, Pougat-chev, rama. qu'au village . Ber.le,s deux voyageur. rencontrèrent unevieille fernme qui avait. vu POUgarrheV.

(car des romane. poummitie passaavec elle toute une matinée. Elle lud

s=erheree:line sous laquel. ldgende disait qu'onavait enterré le t'Oser de Pougatchev.rousu .ns une chemise et couvert ...vre d'un homme pour dérourner lmsempcons des chercheurs en te. fai-<ant croire que tà n'érole gu'uneLa vieffe femme olmlità rrour le poètedes comptait.. du temps et Pouchkinelm donna en mrtant un Pffro dch

céda pièoe d'or bouteveraa muas..Les »amans trouvèrent suspect qu'unsoigneur rot cella les interroger sur lebrigand avec tant de pamion

laissé de l'or... Ils finirent mr en-raPer M viei. femme et sa. pièce d'Or

Orenhfoung et *rent dire aux au.-rem. ,«-tunee,n,e.',-1 M'O'cuetelnei.nant de l'or < iM avaient reconnu leMatin, car ro lieu d'avoir aos ongles, ilmyes des arme. Le fait est que rom.,Osa porta,o les ongles longs...

têt

Et Mne noe nous aurons soif de libertéet ta. qu'on ncus l'honneur sera vi-<ace, mon camarade, nous donneront àM patrie tout ce dont nuere esteapenc.

'01.Mlelcuvr ans).

desqnée est m. de tont grand=mesquiris, valgaires . rote:esses. Rapp.lesiodue la vie clo 12.onard ou de Mi..Ango. Pour la Même., Pouchkine a

importance nue Léonard pourebropron. Dependli de tout ro lui

nous abrasait fa tui ro.. passager ourortuit, Pouchkine se mes. devant nouscornme grand poêro national. comme levéritable .Maidattre de la littgrature

Gext.to routes ...urnes sur Pouchkine v.

rossvom, ci csars., 1025).

lesse s'en et vanité-. devait four.lnune brillante carrière fort étrangère à la

poésie. On le retrouve, dans l'histoire,parmi les insulteurs de Victor Hugo, ftséance de l'Assemblée Nationale du ,7juillet 185/, où le poète dénonça les pro-lets de coup d'Etat de Louis-NapoléonBonaparte. L'Empire en fit un Sénat.,Il tut nommément de ceux auxquels Vic-tor Hugo dédia ces vers t

C. hommes qui moument, foule abjecte(et gmosesibm

Sont de la ho. avant dbtre de la pousLafière.

Avant de redevenir poussière, cet bonme. 3e houe devint un des gros personnages de la Compagnie du Gaz de ParisIl mourut très vieux, en Alsace, le e novembre

N. B. Peu d'ectivr. de Pouchkinsont ete tradültes en français d'une PMU,méritant l'attention. Une édition de luxede sa Gabrieliade a été publiée il y dquelques armées. POèMes'.'Eugène Onédaine, Poltava. Mazeppa, Mozart et Salieri, Les Tsiganes, Contes en vers.

Pouchkine, d'après une aquarei/e del'époque.

I VERESSAEVjOuraaue rassoit rienneat de evar.

Laxer par d'unantneee hommauee temisante di.érne anniversaire d'angrand écriroatn gai est anisi

humanlate aut/i.Itquer V, V.Veresemen.Noua noua feigmns d cet nommeigg, Ve.

ladml.tnême. nom lemnriante mu' e'i'ir'liettrée de VEIPrope, merderaiton

'ol'infraestMe riguear de mn ot. mie plus large audience si mature

P<It, a omposer meetal emenà des os es jkagjobrd'isai- "Vêtait st

pauvrement,giOlaOt' p,,a.uujia'ams'ere'at' 7,,00/e10'atanj'eloxs, none dirons meule si odieuse..e dinf-j ' ne confia mg vers au pap.. +Me par do frontieres commerciales etF000 vo pas avror à les fa1re lui-manie, policières.il a.air à avoir près de lui qUe. lqU'rat .vddeciii, appartenant d Itinteffig.n.daateteettertaa et d'MMIltgent, av ,fort penchant pour la

_."onocovioebu It cime. s'et'easreersclévolo ou round

00e 01100e est il Su roda uvssoiav uuvivas Pjo.gabinnis«:, kjZar''nees 'MdOetes? d9'u'n'17.1.1e'ei"11.

SuajaMh.s000e1u'n'iuse''';ine'eraer'cf son A la Guerre, qui constituent dea

.Souvenirs du baron de Rose. 1.1.

Pouchkine, mitant d.oupé des Po-rts morceaux . papier, inscrivait dee-eus des Frocs ou des affres dont il en-tendait se souvenir. D écrivait . sueisba rgam, cd Dérja.ros, an.urs le nomd'un obiee remarquable. Tous ces Mlle.,il les jetait en tas da. un vase emi étaitsur sa table ermv.1, p., à ItemPsperdu, en retirait un au hasm., SeralMelait tour Ce MOI s'y rattacha. etJetait toue en notes mr même boutde papier. On en a falt pl. Mro oesanticl. posthumes si intércemrlis Pm.que na pensée y est vivante. toile mie.Mn. de son cerveau.

D'une lettre do Gogol à AIMMMV,21-12-1834.

dommneata reatarg.ldes ster ta guerremoderne. Il fut ainsi le sons-mile. vire Barbueaa el des Duhamel.

Lee cruautds de ta guerre civik leddsorientèrent d'abord, mais son am..même des hommes le guide et d seOrogen. courageusement Peur for rolaPer énerve roman qui ana/ème d fondOu eriae morale des fi/Mitent.ea devanttedéctiirement de /a société: Dans rica-nasse.

Véreateacv a dgatentenf consacré delona.. rocher..< d M vie et à Cnurede Pouchkine. Le romancier, le memen, rendit, rhonnéte homme méritenten lui une estime égale, voisine de 1.1-neiratiOn.

MANQUE DE CHARITE...

NOURsignalions récemment ici PM-

nuvable Prière peur tEaaaane pu-bliée par /a. Cité chrétienne de

Bruxelles.Le Inv 10v jarvier de ...e inffressante

Publication nous aPPOrte une aut. Oc..Sous ce titre biblique Encore Magog.-Parcourons

« Une nouvelle industrie ronge enRussie colle gui faMigue des statuesrellgieuma en série, 2. bon marché gran-deur naturel., en papier màché ou Mis.la Christ, les Sain., Me Papes. Ces ero-tues doivent servir chie pour lasécoles de s

Et, plus loinEsPagae. le secrkaire des

P.A.T. (Asseemtion anarchique) de Bar-celone proclame à la radio que les jeu-nes gens doivent tucr père et mère sa

c'est nécessaire pour courir faire eMain-pher la révolutions. >

Pas Familier à la roaritéchrétienne que servir de tels bobards Nses lecteurs g C'est en tout c. mangliercle cens critique et ignorer le rhacula

Le même auteur, do reste. p.ho ace.Pur orriles.n. Car il omet d'entretenirms tee.urs des prêtres basques G.M.par les nationalistes et do. la revue6.sprIn a publié. dans son numéro deMaGer, une Ilete traglque. Voilà Mon-sieur ne gut nous c.iêne du bobard al'image de la Fm

Mouvement Populaire d'Artet de Culture

51, rge Saint-Georges.

Dans ss séance MI 27 janvier, /a Gon.seil administratif de Mai 36 a adoptéà l'unanimité la résolution suivante

Convaincu mie In ...ppementla 0000000e btcm000e, le 'Po.rerlmtnistratif do Mal 26, demarde gue, dansle armés gui se déroule actuellementa Moscou. Mutes les garanties de jus.lime soient accordées aux accusés. 505ePrononce ...ment Loutre la Peine

do mort. o

DEUX ARTISTES DUUn peintre ouvrier ;

RAYINAUDpar Jules REBOUL

At. portes de Prima, dansunequ'ombrage une t reille, tr maln.maisonnette avec un balcon

nette entourée de masslfs detleurs, de carrés de mégam Ide rem/Ms de pampres, un ouvrier des HT.T.a la retraite nt son automne de le co0.aa1 deprns une trentaine d'années. CesMursm seulement on m'a appris qualPeignaR Je suis em voir ses MbleauxIls m'ont plu d'y o conduit des amisquo 00011v goda Leur impressiOn a étéaualogue à la rama.. PourtaM, unjeurnal comme le Populaire ne pourrait matériellement pas consacrer unart. a tous les artistes de talent. Legente seul justafterait une exception.et m ne prétende pas avoir découvertun artMM de penie et d.... je nesuis pas quenê po. classer les pela-.. dans la Mar.. du merl.. Sije me permets de demander au PoDuo oc a de publier ces lignes sur Au,guette Reynaud, ce peintre ouvrier, c'estparce que Ray.ud est pour mot surtout l'ouvrier d art, am si que je lemontrerai tout à l'heure et il appartient aumciallsme de sauver l'ouvrier d'art.vol avait fait autrefois la gtotro doproduit freina.. C'est au socialismeqt, h ppartient de replacer l'ouvrierd'art à mn rang le premim.

Nous avons taus entendu les vieuxouvriers parler du temps du Tour deFranee et du chef-dnieuvre. C'était letemps où on faisait du travail soigné .c'était ausC le temps où, en rôdantautour des hôtels, on O 0101 arte avecmn nez. Et c'était moto ece... quede la lire sur des menus bien Illustrés.

Certes il ne faut pas m laisser en.freiner à voir dans ..mps passe lebon vieux temps d. rarnollots, Lesouvriers c.naissalent alors la journéede douze heures, et de quatorze e seizeheures dans ies moulinages Cses. Les salaires étaient bas. la vie del'ouvrier Malt une vie de misère.

Mais I machinisme 10al. aussi saMisère, si la machine eC maltressede l'homme. an heu d'en être la senvante. Certes, d'aUCMG disent encoreque la Machine n'eSt jumela MUMF dmti/, qu'on embraie, et qu'on debraiequand 00 1500 Mais nous savonsbien que ce n'est qu'une aPPereum .Jan'elle commande; qtrelle borne de pluo plus R rôle de l'ouvrier qu'elle

exige une consommation plus intenseet que pourtant elle limite les came..d'achat en réduisant I main-d'oeuvre:

drPt:17tvtiteC Oe.à.egi%'-gtInl'ouvrier peut se serrer davantage taceinture; qu'elle pousse tes tonà

exploiter les pays ou l'ouvrier se cou.tented'un faible salaim; ecile oPloaceMs pays neufs attx paya Vielfff Qttefa guerre arrive au mut de Mut XnfO' faut des destructions pour ouvrir deechantiers, t Ots nn consomme pas. Etil fa. des excuses aux financters mursc tirer habilement des entreprises on

ont engage les capitaux des épar.nants.L'avenir serait vraiment bien som.

Or e s'il My avait pu rm«, vol mle.-.ra un jour vers d'autres directionsl'aCtIMM des itoMMeS et rendra inutileIo guerre pour Ouvrir des chantiersMoi ie >OIS que l'art pour permettreo! 'helinne os dominer la machine.Aussi j'admire au-desms de tous et jetrouve utiles ittadess. de tous ceux quisavent s'ioler, se recueithr, se Mara,

l'art. Ils sont des précurseurs. C'est â.. titre qu'auguste Reynaud a droit

ottO d o I Popof ' Smodestie en sera froissée d'ailleurs etmn étonnement sera grand lorsqu'ilmrra qu'on parle de lui da. mn Journal

11 a étudié le dessin 000 11e vieux

leingels0iO3îie0r00.0aX'prgiallignerse toute l'influ.ce qu'Il subeEtd'ailleurs d om laisse mas influencm.Il Mit A mu près un tableau par an.11 chOislt un paysage qu'il trouve 0 ati,

Le cinquantième anniversaire

du CU RLe livre le plus lu dans le Monde

après la BibleraMONDO OB AMICIS Gad sok.. d'un livret un sem enfant msta Immun.Ce n'est qu'et, rouant sa retraiteavec le grade de eapleaMe qu'II seMit écrire des artMl. militaires et

devint le dMecteur la revue: < MatisMiliter° a.

Mals son éditeur, le Mme. Trev.Milan avait preSIMMI en De Amicis le tu-. écrive. e en vogue s et l'avait imité2 écrire des contes et den rom..

Case en Mans e L'Amour a de ancheletdue De Amicis. converti au somalis., trou:va le titre et t'idée de son futur livre IIeau5100soeetsrsCieesa 100 Csar) et leronceuses I l'apothéose, 1 la ta..s de lalbszté, de la Solidarité. du Coeur buniaM.

PEUPLE

ce paysage lui filait, il l'aime. Ille dessine soigneusement, et il peintavec application, avec amatir. Elle (M-acle se produit. Le tableau réfléchit

Cet amour; nia10 il ne le réfléchit puscomme un miroir, il le réfléchit commeun visage.

Voyez les châtaigniers, ces lourdstravailleurs des pentes qui se sont don-nés avec tant do generosite qu'ils n'ontPlus de moelle et que .urs brafiCheSGainent terre, croulant sous le poidsdes fruits cachés dans le somptueuxfeuillage; voici les maisons aux MurSbranlantS, atm tOns adoucis de viedles.Meilles couveuses de la race, qui volfait leur temps, maiS qui étaient adap-tées I ce teilips, al est l'architmte quidonnera mmson adapMe au tempsde l'éleCtricité, de la T. H F. et deslotsirs, des loimrs dont il faut appren.dre profiter? Voici le gour entre deSaule rochers teintes de buissons, leOur où l'eau est d'un bleu si foncé:voici les rives ou Mézallhon incendiéespa l'autOnm et ces p1001 00 cette al-/M.

mbordée d'une rangée de cypxês et

gni dit toute la splendeur d'un beaujour d'etc. Ma inemOire Me rappelle

ROIcela.

me rappelle aussi les divers.Vies du pOnt 0,0010 XIII, 010050 ,00110.ment historique el que tous les pein.tocs passant à Privas fixera sur unetoile. Mais nul [nie. que Reynaud n'arent. Paapect du vieux cent avant Larestmration full a subm. Mais c'estpenaêtre le tableau représentant lesdéfilés de Rueme qui marque le mieuxl'originalité de Reynaud.

se'accoPeez..0'. 1,,heetuee dpePÎXqu'as le mettent b mon sens trop enrelief, qu'ils le séparent trop duaysage environnant. Même par 10 clat-

teur. ifs mettent Il des tons africainset sur un tableau décorant les murs dela mamie on a même placé sur la routede Ruoms un tiromadaire 00 un Arabe.Reynaud a laissé 0 ce tableau son ca-r... ardéchois.

L'Ardèche, ma/gré sa diversité, estun, L'hOMnse a sa person.nalité aussi

goc le 'et de terre, bien /lue sasoit différente de ses pieds, Telle

est l'Ardèche. Ce n'est pas un morceaud'Auvergne, un morceau de Lyonnais.Un morceau de PrOven. Non, c'est unamas de voletbt éteints et l'ardeur dela lave entête encore la végétation etles hommesIl est très difficile de faire oeuvred'art en province. A cense des igno-rants? Pas tant Inc ça. Pares qu'eux,s'ils vous mettent souvent atedessonsd tout, vous placent souvent aussi bienau-dessus de votre rang Il y a eom.

Ir:mOsIral dans les gens qu'ils ne reneon.trent Jemals. quoi bon, aisent.ils,faire de la mauvaise littérature et deId mauvaise peinture a Admirons IrenaitîMes, cela vMt hi. mieux. ee EtA quoi bon, dirai., faire du nylon, eut-. que chaque sportsman fera unathlète? Je répète qu'il est d'autant

la marge d'eS' loisirs 't'iC.s chlit'edonne a l'homme devient plus grande.Certes, Seul un Iffielnie de génie feraéclater la vérité 000e que sentent si forttemert ceux gni Cultivent l'art malgrél'indifférence et savent se contenter deLa pie de se recueil,ir sur une uvre.Mats cet homme de génie ne viendraitPas si don croyants ne b Précédaient.L'hoinme de génie n'est pas imlé dansun peuple. Il en est le truchement. Nilo. Cid a, ni la. Matselliaise s n'au-mient vu jour si Ces ce.reSn'avaient répOildu aux .ntiments desFrancais. a

Et pour cela r félicite ici en Rey-naud l'ouvrier modeste et plein de ta.lent de l'avenir plus hourem on le so-cialisme condutra les hommes; maisoû il vol pourra les conduire que s'ilste mer/tent.

aux unarms lu e Came et Fg, le propreMs de De Ami. I Non seulement il nepartagea t pes l'eMbousimme des lecteurs,mais plus tard OseO el jusqu'à qualdter< l'altruisme anormal > de son pêre d'inex-plicable et même de pure folie.

Iaran GY031.1.

...Patbnce et courage Nous vivrons.et nmre vie ocra renon.. grands MM

menas. Pour l'inroant, nous vosonacure que la disposition du Mems mondont chanue deur emPore un F°1-

et cul Sachemine chaqàe instantdo nouvelle/ catastrophes. Et ce

. plus hiscom s'est que la p.-dm gons ne s'en mentoivent .e.tin.. à moire itc 011e un tem

v Màs leo pieds..

LiCMCMOMM.

hiirlObva,lv la pasOel )

Un écrivain paysan:

LA FOR ETpar Marc BERNARD

air connu Laforat par son poème aCharles Rieu (I). Cette langue so-nore, virile, m'avait à ce point en.chanté qu'il ne se pa.ait pas de

mois sans que Je me dise à hante voixIra vers retentissante: Dins 01 VCMPà8Si cote arroucassido... Pu Man de sym-pathie nie pouasait vers le poète, car,par.dela le plaisir que me donnaientms vers, Je sentais chez leur auteur uneforee saine, populaire, qui m'attachaità lui

Mes premières tentatives mur le ren-contrer furent malheureuses; mols cet-te rencontre que je aavais certaine, mal.gré les retards, eut lino: au milieu d'ungroupe de gens je reoonnus Laforêt.

Ce chapeau rejeta sur la nuque, cmyeux flamboyan00 de malice ou durs.ou et c'est peut-être ainsi ette je losaime le mieux confiante. étonnéscomme ceux d'un enfant, oui, tout celam'était familier.

Nous pr.. rendez-vous. Le diman-che suivant, par un sentier Pierreux,Or vis arriver Baforêt précédé Ocresdeux jeunes filles; I. bras ballants, lesenaulm balai.. il montait au flancOc la colline de son allure solide etcalme de roulier, fl s'avança sur la ter-rasse da maset d'où l'on découvre unadmirable pmeage de garrigue et, lesmains croisées, la téte 00cm penchée,Ira yeux mMlos, la mumurat OldoodcodaI

Puis, assis eur te petit mur, leS jam-bes pendantes, ses balles mains de vieuxtravailleur posées bien à plat sur lesbriques mouseues, ri se mit à parler: deson enfance, de Mistral, de sa langue,de s. chevaux, de s. amours, de seshaines.

Nous étions anis autour de lui, silen-cieux comme devaient Pétre les ataciens0005000 oonteur leur disait des polioM. homériques, abandonnés au char-me don récits tandis ove dans la chaleurde cet aprês-midi d'été, le vol des mou.Mes faisait, sous la paille doro et latreille derrière laquelle mintillait lebleu laiteux du ciel, une monotone etdouce rumeur.

Nous suivions Laite& dans Ses étroi-tes rues d'Arles, ployant SOM l'énor-me faix de farine, nous le suivions,misse.uu de sueur, la poitrine, le d.,les bras recouverte de la blanche etprécieuse pouseière, dans l'ombre ducafé où les dues qui entouraient Mis.Met se serraient pour faire Mme ancharretier a la droite du maitre; nousle suivions tandis qual conduisait eonchargement, de la rombée de la nuitau lever 00 1000', nous riions au récitde ees joies 00000e nous assombris-sions à celui de ses peines; nous Parta-gions ses ana.:dams d'enfant quand ilallait dans les tênébrm a côté de sesbêtes.

Et la parole d'or, inépuisable, bai/.Basait de sa bouche.

Adoasée au ciel, sa puissante carrurem découpait en noir dans le ciel, sonrire retentissait dans le ellen. de la.mpagne déserte qu'un brie. COM)de mua de loin en loin, soulevait.

/1 me semble que jamais lemme du-rant les heures passeer là, mus s feuil-lage de cetta vigne, je n'avais °tam-aris dans un élan de tout mon corpsce aue peut être une poésie vol faitPartie d'un peuple, qui mule avec sonsang: poésie de chah qui se propagepar 10 000000, la vivacité d'une voix.000 101105,rire, par tout cet ébranlementhharnel, cette rumeur sonore, ces sou-rires malicieux, rusés, dont j'Étaie letémoin.

Je voyais laforêt, debout au bord dela carriare, disant de sa voix éclatan-te à, Charloun qui était au fond du riome de pierre, le poème qu'if venait decompaser en Marchant sur la route/gine fi campes de eato arroucassido...Hommage du conducteur de bétes anberger. Et Charlatan, /evant 15001v, Mer.

Dansla vie contemporaine, la pho-

tographie joue lm rdle des plueimnor.nts.nous est difficile

d'imaginer qu'ellen'a pas cent ans d'existence. Il n'estPresque aucune forme d'activité humai-ne 0,11 ne l'empale d'ime manière oud'une autm. Elle est devenue indispen.sabla à la science comme à l'industrie.Dans les rues de n'importe quelte villeOs France, /e regard glisse machina10nient d'une réclama photographiaue hl'autre. Elle éclate en couleurs vivessur les murs nao des maisons; elle at-tire /es yeux vers les colonnes de pu-blicité; ene orne les vitrMes des ma.gui., elle est collée dans le métro,dans les tramways. On la trouve en ou.vrant une boite de ciearettea em de cho.mlat. Sur le guéridon, c'est le a Hen.iamin ou x Jean au régiment a. Ellevend encadrée aux murs du salon.

Non par millions, mais par milliardaelle emplit les albums elles tiroirs descomm... Il n'est guère de journalsol, chaque jour, ne l'emploie pour an-noncer les événements les n'us immatants. On voit par milliers s'éditer desPériodiques illustrés. ou les /hgendesn'ont d'autre rale que d'expliquer I.Photographies.

La photographie fait déaormais par-tie de la vie quotidienne. Elle s'.t tel-... incorporée à la vie sociale qu'one la rra cons à force de la voir. Ell

seoir droit de cité dato la vie cou-mante, et c'est un de ses traits les plusaaractérietiques que d'erre reçue ê.-lement dans toutes les couches social.On la trouve aussi bien dans le logement de l'ouvrier de Partisan. que ohmle commerçant. le fonctionnaire ou l'in.dustriel. C'est eu cela que réside sagrande importance ...ne. Elle eatOn moyen d'expression typing., engs

Ou: Se meteguê a 010000 000000 un me.

tant.J'imagine que ce jour..., au flanc de

cetée colline tranchée b vif, montant etdescendant, des étres de lumièae, semblables à ceux que peignaient les pri-mitifs, ont dû surgir sur la taanspazen-ce de l'ai,

Male eh. Lafarêt le poète et le ci-toyen tiennent une place égale. Cer-

talas de ses premiers mèreea en témoi-gnaient dela, pour s'en tenir à son om.are et ne point parler de sa vie ,

tante. Tiendrontdis (2) montre combiences préoccupations viennent au premierPlay Mu l'auteur de Giluld d'Enfant.

11 était bien naturel que l'écrivainqui a puisé La majeure partie de soniaspiration dans son amour des enfantséprouve durement la haine de la guer.en, C'est qu'elle flore présente PaS Pourlui mus la forme métaphysique dua droit divin D, mais bien dans /a chairsaignante des boranes, poursuivant desbuts précis dissimulés som le voile flot-tant des mots. //aloi'« l'a faite, il /mitPar expérience quelle immens, quelleabominable duperie cliv est pour des

Laforêt

millions d'hommes que la contraintejette, le fer 00 00000, les uns contre

l'figheMè il s'élève contre le blocusqui trondamne Pliai. Soviétique à lafamine; Il se range avec etaux qui Me.Posent le désarmement oomplet de l'A,lemagne, suivi de celui de la France,'raideque l'état-major françoOt atanèrem-si généreusement à l'état-major aile-moud pour briser dans ce pays la révo-lution naissan., i/ déclare que le pro.létariat français doit l'apporter à celuide l'Allemagne pour en finir à jan.. ,

aval les deux impérialismes.Tournons-nom un instant; regardons

letr/Lezrainéeteséco.u:iées;ilyleIrsohm.ons0,-,

tant, prêt à retomber dans la barbarieet la guerre, nous presse de toute part:ces paroles MonRelles pas aujourd'huiun meent prophétique?

Son origine, son tempérament, sa du-re expérience de la vie, la réEeXiOnOnt amené Laforêt sUr cette ligne dr.«te qu'il peut aujourd'hui regarder avecune grande et légitime fierté. L'on ver-rait courir une saur. d'un bout a 100-.e du sillon rectiligne.

La Vie 00001 est Une COuvre, celle deLaferêt ne le cade nullement en quantaà celle qui est prise vivante, dans lesfeuilleta de ses livres C'est grâce à 11mexistences comme /a sienne, uvrantdans le même sena dans le monde en.tler, que les buts gai nous sont chersBe mot mnsidérablement rapprochés denous, et que les générations qui nousniveau comptent, contre vents et m.rées, les atteindre.

=1,72Utr5 .,2 soues 10

'Pino, g a traduit en Provençal deafre.a.men. de l'Iliade.

G) Pro. que Têngen s, (Editions ScLa cigale, ifs.).

LA PHOTOGRAPHIE EN FRANCEAU DIX-NEUVIÈME SIECLE

s.iété consciente deS buts qu'elle pour-suit, d'exprit rationanste et fo.0ev surutte hiémrehie de professions; en mê-me temps elle est devenue pour cetto,société un rostrument de premier or- .110e,100v1,000010 de reproduire °mra. ate-

, la réalité extérieurereinhérent à sa technique 101 prêteun caractère documentaire et lui don-ne t'apparence d'être le procéde 00 00'oroduction te plus fidèle, le phis im-partial fie la vie sociale. .

Aussi, ph. que tout autre moyen, laPhotographie est-elle apte à exprimerles désirs et les besoins des couchessocialee dominanteS, la interpréter àle. façon /es événements do la viesonate, car la photographie, quoiquestrictement liée à 1000100e n'a qu'uneobjectivité factice. La lentille, cet mi/Prétendu impa.ial, permet toutes lesdéformatiom poasibles de la réalité,Parce que le earactére de l'image estchaque fois détermina par la fmon davair de l'opéra.... Aussi l'imporMneede la pho.graphie, devenue damami.que mus la forme du film, ne réside-t-e/le pas maternent dans te fait qu'elle501 une création, mais surtout dam ce-lui d'am> un des moyen.s les plus efft-cac. de détourner les masses des in.lités pénibles et de Rn. problém.,

Glsèle FR EU ND.

ase eu. Mea,. la, teme mule, mu.,eireér "Viihr?t'i

Cereur ri rompre encible to-têmeure, cane jam nouvelle 000mMvi,Mmme marchais sUr Unc Merleàcà.e m - solen radieux-,

Ler% rU're-.,o':.. Décembre 121J.

h ---MêMék

MME le Mliet lui manquait encore. nsen« huit ans avant qu'an jour. le ler

-5o . vo-lontaire d'une scène émouvante gui lui

enfin, ,MapiratIMI Mut attendue.r Mon fils sortalt de darse

dron autre enfant, raconta p.s tard rieAmies, un mem ehétlf, mal vête, au vi-sage pale et affamé, le fils n'as pauvreforgeron. Et j'af na men tige caresser lesjettes de non camarade avec ..r.m et lut

Imre r n dam un rêve, . un e.d 'I, I It d l' G dImre m'apparut brusquement. Riflait Pa-

36" mks, gammée qui ne se manifeste Jamaisavec autant d'êvidence nus gaa,dans marge, dans une caresse d'uuenfant innocent. >

Ainsi roguit e Came t, paru en novembrenime accueilli plutôt ...lm! par

la craigne officie.. Alma. muni. ma desPim grandes, amer.. littéraires de l'épo-koe, ts par esempte e dépoureu deteste guai. et de valeur o.

Pm heureusement. les enfants ne fuP. de cet avis. Ils firent un me.. tP.1 su livre et bieutêt était traduitmstm<ts. anglais, altenism. espagnol, porom, brame., russe, danois, stectoPOlonvià rOUrnaità, hongmig àrmCmcu.rmihr rte.. etc.. d. TarOn. il C. der..une Meure scolaire enimeal. et eu .nello.Mea quo Jusqu'on MM. on mi a vendu hosd'un roillion d'emmplatim.

Male .Strunge destinée Fus keive. et

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IMMO 4-

l*UR CEUXaseurgaragaundiri saraxx«,...a,« 0.ourardeorsofirmANEMPUurdnuniméride.feltdrArmirirdlufrAMIlurki:e

M. Flanrentrerauprès t

ColambliANTle discours de M. Flan-

din à Bordeaux celui de Niortn'en est qu'une reproduction no-

tre and Amédée Dunois écdvair dans saman de Prene

e Quand on a, étant au pouvoir,aussi magnifiquement réussi quePierre-Etienne, la sagesse voudraitqu'humblement on ee tut. Mais le des-

. tin de Plane-Etienne extge qu'ayantnaguère trahi la droite, il s'efforcede rentrer en grA.ce auprès d'elle,quitte ft la retrahir, si Dieu lui prêtevie. Pierre-Etienne n'a de grand quean tain. C'est un petit politicien aOn ne saurait, à la vérité, Plre briève-

ment et plus justement expliquer ce ha-rangues haineuses autant que menson.geres1:renoncées par l'ancien président du Con-seil à Bordeaux et à Niort.

Pourtant, la prene réactionnaire a crubon de monter en épingle les paroles dudéputé d'Aval/on et les présenter commeInt réquisitoire définitif contre le gouverne-ment de Frotté populaire

000Pour rentre en grace auprès de /a

tien M, M. Flandin a enfourché son dada :Saar roffk, du blé, a-t-il solennel-

lement prodanié, le quintal de cette céréalevaudrait, à l'heure actuelle, 45 francs dePlus.

Et de s'en prendre vertement à toutela politique agricole de Georges Monnet,la qualifiant de g dingisme forcené a.

Franklin-B.T6n, récemmem converti àl'agradsme and de M. Marné, avait déjàdécouvert tout cela, il faut le tenonnantepour être juste.

M. Flandin n'a donc rien inventé, mêmedans ce domaine

Cependant, pour être original, é s'est /i-Yré à un petit exercice aridnnétique assezsingulier t

e Si la liberté du commerce du bléavait continué en juin, rat-ii dit, leprix du qMntal aurait atteint aujour-d'hui 192 francs 1102 francs, prixmondial dans los pays grands pro-ducteurs, plus 10 francs pour letransport, plus 50 francs de droit dedouane).Le droits de douane ?Mais jusqu'id, chacun pensait qu'ils

sysient été établis pour protéger la produc-don frmanise conne la production Oran-gère. Ils servant de barrière à ta concur-rence de l'impanation, lises animaient cons-titans un élément dans le ca/cul du prix

de revient du producteanPassons...Ranpe/ons seulemant . et une fois de

pies-. que le prix du blés étd fixé parCanoté central de l'Office à t'unanimi-

té des membreu présents, y compris les

yingt-neuf représentants des producteurs;

'que lé prix de 140 francs 451,1050

lm veut'âtreléactIon

Et, dans ce but, il reprend tous les argLFments erronés de la droite et des dorgéristescontre la politique agricole du gouvernementde Front Populaire.

en février -- a été établi en tenant compteduu frais de culture et du coefficient ducoût de la vie durant la période qui n'estrecelée de novembre 1935 à fin juillet1936,

Dévaluation du franc, augmentadoncoût de la vie ne se sont produites que de-puis le mois d'octobre alors qu'une gran-de quandié de blé était déjà vendue si,,pouvaient donc influer sur le prix de re-stent de la récolte de l'an dernier; ils nepourront être considérés qu'aloès la mes-son prochaine lorsqu'il s'agira de fixer ànouveau un prix, en aoûè ainsi que h Pré-voit la loi.

Enfin, comme k souligne rordie du jour

de la Chemine d'sûriculture d'Oran etainsi que le marquait avec encore plus deforce la résolution de la Confédérationnationale paysanne qui ne groupe que despetits agriculteurs, il y aurait une inégalitéchoquante entre les producteurs, les unsayant écoulé la totalité de leur rérelteomet /a majoration, les autres ayant eu lapossibilité de annserver le grain chez euxgrâce aux possibilités financière, dont ils

disposaient.Une fois de plus, let pedts auraient été

roulés.

Ce serait une véritable a &Kik emor n'est pas exagéré. ,

Et cane duperie reprenons ies termred'Oran a qui aurait l'air d'etrecitée tte les producteurs ne profiterait ernréalité qu'eu rnec' °latents n.

000D'autre part, si nans avons bien rempfis,.

Flandin sembla déplorer l'interventiontdes pouvoirs publics sur le marché du bléet souhaite un u retour à la liberté n.

Mieux valait, en somme, laissa le mare,ché en pleine anarchk et permettre arels 'anlateurs de manuvrer... en rente

lu.''rrté.Ainsi, au mois de septembre, le blAternit descendu au-dessous de 100 francosuintun lorsque la plus grande partie déla récolte .rait été absorbée les coureauraient accusé une hausse verticale. Maletui en aurait profilé ? Les paysan, sent,rnés à ce sujet. Ils om fait la triste expé-I

lPour ce qui en de l'intevention du goolance de cette a liberté n à la Flandin

ernement, le député d'Avaiton ne peutpaner que, depuis 1929, il n'est guèreJ'année gai n'ait été marquée par des dire,poeihons législatvss mu, toute, ont pludsu moins lamentablement éch.é.Oc les rappeler. Cependant, il convient Pantêétre de souligner ici, ainsi qos rmilreseinanort du Conseil national économillue signé de MM. Rives, conseiller téléendaire à la Cour d. comptes: Cree,.nspecteur des Finances, et Garnier, inné"lieur agricole, eine ces meure u Bereluites par des dépenses considérablesenviron 200 millions sur crédits budgétai-tes de 1933 à 1935, et 2.500 millions sut

eIIlsIlulIStllIIhIItllIllIIlIIIIIIIISluIIIIulUIIItlIItItuIIIlIIIIlilIlIIIuIIlhhhhhhhhhhhhhhlIhI

La Situation viticoleMarchés calmes. Affaires rares.

Répit en Algérie. Fermetésoutenue sur les marchés méri-dionaux. Libération des quan-tités bloquées des récoltes anté-rieures. La circulation des vinsde cépages interdits. Les pos-sibilités des Importations Papa'

Cette semaine, utt malaise règnesur tovas les marchés de productionet de conaommation. Incertitude ausujet des conventions collectives.Incertitude au sujet de la réglemen-tation de l'importation des vina deis Catalogne, incertitude au sujetIn la libre circulation des vins pro-

venant des cépages interdits. Incer-titude sur le degré minimum.

Le Président de la Commission«ce Boissons à fait des déclarationsrée nettes au sujet des in/porta-

'ions des vins espagnols.L'importation des vins étr.gers

est réglée par le décret du 27 aout1931 et le contingent espagnol ntOu . Les droits de douane applica-ble sont toujours de 89 fr. 60 pour

Ira douze degrés et 14 francs pardegré supplémentaire.

Oh ne peut ai élargir le contin-gent, ni diminuer les droits dedouane sans mie nouvelle loi.

Il semble que la Catalogne nedispose pas d'une bien grande quan-tité de vin et le vol.. qui pourraitvenir sur le marché ne don pas êtrealarmant.

Si les vins gr.s bénéficient d'unemesure de faveur pour les coupa-ges, c'est parce que dcv accordscommerciaux avaient été conclus àla date de la loi.

La commission des boissons s'op-posera b toute ines.e qui pourrmtétendre la législation de quelque fa-çon que ce °est.

Depuis quelques jours on expé-die activement due vins provenantde cépages interdits. Certains arri-vent ami entrepôts des places deconsommation avec l'acquit s vinblanc s. D'autres sont entreposeeanomme vins de cépages interdits. LaRégie aeceptera-t-elle de régulas,ser ces derniers acquits et de sol-

fands d'emprunt qui doivent être amertispar le jeu des taxes diverses n.

Ma/gré cela, l'assainissement du marchén'était pas obtenu et, disque année, il fal-lait rechercher de nouvelles solutions ton-jours provisoire et souvent inefficanes.

Aujourd'hui, /e marché an organisé etstabilisé. -

Il n'est rasa, vrai paysan qui presselet veuille s'en plaindre.

Et, ce qui est certain, n'en déplaneM. Flandin, c'est que le producteur minlfère vendre son blé 140 francs sous Ie etregime du a dirigisme fomené o, c'enainsi que l'ancien président du Conseil gua-ilifte le système de l'Office - plutôt que I.vendre 50 ou 60 francs anus un régime da'prétendue liberté

000Enfin, reprenant les argnments du Temps,

M Flandin s'attaque au projet sur kaconventions collectives entre producteurs etindustriels ou commerçants.

Nouvelk atteinte t la liberté, s'eanhtmeêt-ii I

M. Flandin veut rire. Il sait fort bienque dans l'état actuel de notre marché, endehors de la vente du blé, organisée ration-nellement grâce à l'Office, le prodanteurse trouve infériorisé en face de grands.trusts lorsqu'Il s'agit d'écouler sa marchen-cEse. Ce n'et pas lui qui fixe les prix tOn In lui impose. Il subit, sur mute /a ligne,

olonté des grandes puissance économi-que telles que Iteries, ancreries, etc._

Avec les conventions collectives, les cen-sifflons de vente seront fixées à égalité, sousle contrele et avec l'arbitrage des pouvantpublics s'il le faut, par les reptésentamsdes producteurs et des industries de bans.formation.

Protéger le producteur contre les ma,ncouvres de la spéculation et le mettre àl'abri de l'autorité des trusts, tel est le vé.ritable but de la politique du gouvernementde Fdnt populaire.

TOUR ka paysans de France gai n'ontpas oublié les résultats catastrophiques dela politique de M. Flandin sautent gré àGeorges Monnet de le avoir sauvés de laruine.

Meus entât.

LE MIDI SOC/ALISTE

wrrigraer4r...eura

VERS LA RÉORGANISATIONDE L'ENSEIGNEMENT AGRICOLE

ms la séance du 10 décembre,répondant à diverses questionsqui lui avaient été posées lorsde la discussion du budget de

PAgricuiture, notre camarade MonnetOsait 0. la tribune de la Chambre î

e ...On a d'antre part dope la misà.me dee laboratoires de nos étuire vete

loi, c'est en réctird tout lemerderme de renseignement borin,* guiRe trouve pesé devant notie.

L'enseignement agricole a 6t4 traP

LA CUEILLETTE DU MIMOSA

La saison du mimosa bat sen plein sur la Côte d'Azur ensoleillée,

L'AGRICULTURE A L'EXPOSITION INTERNATIONALE

longtemps dépourvu des ressources dutlui sont nécessaires. Mous mous Prose-... Une législation qui établira lestatut des écoles d'agriculture de toutesles catégories, et qui, notante..., ren-dra obligatoire l'apbrentiesage agri-cole. , 000

POttrUtiol ce Principe hardi et nomveau de l'obligation d'un anrentiseageagricole pour tous Ine imnes eus, tomtes les jeunes filies qui se destinent

Georges Monnet a posé la premièrepierre du "Village 1937"

une brégs mais fort belle alioouion, sut dégager tout /e setuu de cet-

te exposition qui montions tous lesneyCns modernes d'organisation etde défense do la preduction agrico-le. De pl., elle montrEra Mutes /etpolgeibilités d'améliour les conditionsd'existence du inonde rural.

Aprée Io geste rituel de la pose dijla première pierre, un vin d'honneurfut offert aux inbités.

La première pierre de ce villageMd p.ér hier mâtin, par Georgestienmet, Ministre de l'Agrigulture, 58resté de l. Bastid, minIsro du Com-merce; Edmond Lahire, commissairegénéral de l'exposition; Joseph Ban-

président de la seotion agricolede l'exposition, ahuri qu'un Certainnombre d'autres persOnnalités parmigestuellét nos camarades Bouhey, dé-6Uté de /a Cdte-d'Or, et toute, dé-pute de Saône-et-Loire.

Tour à tour Sial. Joseph Faure étEdmond Labné, puis Georges Mon-

. au travad des champs, Le Ministre de PAgrieulture, en A PROPOSnet prirent paro/e.

1001111111111111111111111111111011111111111 lllllllllll111111111011M1110111111111111111111111.der.

AINSI que noUs avons en Main-tes fois l'occasion de le rela-ter l'agriculture tiontra unoplace Importante dans risr-

position de 1937., Le Centre rural situé e ponte,kfaillot, t l'entrée Mi bois de Bou-logne, ne manqurea pas de retenirl'attention des visiteurs.

On sait qüe là sera édifié un vil-loge modèle, le s. I/ quisymbolisera toute l'activité de nosrampagnes et, en Mâne temps, mon-trera dan quelle meSuro il est po,sites d'adapter la teChnique moder-

ce compte à l'arrivée chex lesnégoci.ta en gros, comme elle âaccepté de délivrer d. acquits« vin blanc s tout court?

Nous ne savions pas, pour notrepart, qu'au dessus de la Loi, il yavait l'Administration.

Les vins de cépages interdits mat'fille le droit de citxuler librement ouiou non?

Pourquoi, dans ce cas, ne pasl'avoir communiqué?

Est-ce un encouragement à lafraude ou à l'audace?

La récolte de 1936 a enregGiréune quantité de 781.000 hectosblancs et 685.000 hectos rouges devins provenant de cépages interdits.

De deux choses l'Une ou l'inter-diction, ou l'autorisation.

La répression des fraudes à sonmot à dire. Nous attendons.

Déjà M. 1305111e a transmis, auxministres des Finances et de l'Agni.culture, les protestations du bureaude la C. G. V. et a dem.dé quetoutes les mesures soient prisespour sauvegarder les intérêts de laviticulture.

On ne peut pas tolérer plus long-temps que certaines ventes effec-tuées avant ces expéditio., concer-nant des vins loyaux, soient désor-mais livrées impunément avec 000pourcentage important de vins decépages interdits!

Peu importe ie cours de ces der-niers! La loi est-elle une règle obisgatoire pour tous?

es.

Le marché d'Alger a montré unetmdance un peu moins ferme. Levolume des transactions est réduit.La propriété résiste toujours, maisquilques affames ont abouti à des

cours légè'refment au-dessous deCeux pre.tiquéS la semaine dernière.

Les lg degrés et les vins de ou-tra« sont recherchés Les vinsvieux se traitent facilement auxenvirons de 13 fr. 50 /e degré-hectopropriété.

En Oranie, quelques très beauxMascara ont obtenu 15 francs. LapropriéG Be refuse toujours à amcorder des famhtes de retirais. etI. cours sont maintenus.

Dans le Midi, le conflit entre lescourtiers et les négociants persiste,chacune des deies parties reste surses positions. Le préfet chargé par/e Gonverneraent d'arbitrer ce con-flit, réussira sans doute à mettretout le monde d'aeCord. Il seraittemps.

Le peu d'affaires n'entame ni lacoufiance, ni la résistance des pro-priétaires. Les cours inch.géssont maintenus.

(De la « Revue des Boissons s)

L'en Chaude

par IlleCtriClieNouveaux tarda de nuit très adulte

4cIgté Toulousain du lanclole, 0.1 St-Pierre

mn.. Min

Il faut envisager, d'une part un apprentissage obligatoirede la profession rurale, d'autre part une impulsion nouvellede la direction technique, économique et sociale de tout

notre enseignement agricole

DU PRIXDU BLE

La Chambre d'Aviculture .d'Ornis

erdroseacél:le,'Tirei1:pressente

LES agi.ure d-urgées. et réant.,

J,taMprétendent nue tee Pues.srdornment, l'heure m'exeat°, und

revatorisanon du prie du Md rote xtarapanne an oretan,

:sots, avons dégn ait onovin fallaipenser de cette propagande d'ail-,:eue, ne presni po. dan. leo massedPalmatures. me son enté, Calvayrao a extposé le point de vue de la 0.1q.P. Enfin,naue avens reproduit un certain nombreida veux ...mese par dee ansooandondqualioées.

Or, Il nona parvient, aolourd'hul,dre du jour de /S. Chambre d'Agrieultudd'Oran uni, aprile avoir rappels queprie au blé a ete tiné . runartmitO

membres présente du Conseil Cern.Nul de lomat, r ceinte,u les vIngt-uutmang.atants des producteursnotamment

e Une mo/erarion lIa prie du bûtcréerais dama ka coopératives, busee detOesee, en, situation de fait sui son-

uresentiguemene d discréditer oeeurnes, a .ées chee 1e producteur

esprit de méfiance susceptible desouscris pl. eut. Ps,inslise rOffice.

si Par aîneurs, le du prie,da Md utireit pommettes de commettre,vie-a-vis dît producteur. uxe duperie,émet deund qu'en OPuui. tu presque eu.

!:t."eseesntlfep'.'retelat nrilcog rd'esere est Lendua, cette aurait Raied'être sollicitée par ,es Productenrs etne profiterais en ',ante qu'eus assEanps.

Bien entendu, ene rêserve la roesti:dlMd, comme la lel d'ailleurs le soéeîtie,de reeenoseree te prix pour la salSOn

PLa loi du 2 août 1.918 a cependant

fixé un statut dru écoles Muées sousla direction du ministère de l'Agricul.tuu.

Au sommet, l'Institut Agronomique etles trois écoles nationales de Grignon,Rennes, Montpellier, on se forme uncorps d'ingénieurs agronomes et agri.cotes ayant reçu un enseignement théo-rique aussi élevé que POesible, complé,Il par un enseignement pratique et ex.périmental.

Au-dessous, /es Seoles pratiques d'agri-cultUre, dont le nombre est relative.m., failde puisqu'il n'en existe mémopas une par département. Les jeunesdeue y reçoivent une instruction gênémle d'aillmrs variable suivant les 0c,,les, mais qui reste de l'ordre du 2e de.genit, et une culture professionnelle théo-rique et pratique.

Ail-flesidus encore, les écoles d'hiver.fixen te, ambuiantes, et quelques coursmal définie, posrecolairan ou estran..laires. Gee écoles et ces cours, en nom.are très restreint, sont destiné,s h don.ner n11131+,1.8 connnaimanues prittinneeUt R. maintenir une culture générale dePerdre de nos écoles primaires Memel>talus.

A cette liste. nous devons ajouterdiverses écoles sPéciales (écolesrie laitière, de viticulture, d'hortierd.

tune, etc...) d'un niVeau plus ou moins6/evé.

Quant à l'enseignement agricole té,minin, il n'a pas de éteule t propre.ment parier. Lus écoles méangères fixesou ambulantm ont étà taise. en gran.de partie à des initiatives dApartemen.ales et munteipalek

liècole supérieure d'enseignementménager de Cantlogongtennee, oui ionuS leu professeurs d'eoles ménagère.,a été contrainte de supprimer lo recru-liment des futurs professeurs, ce quin'Indique Pas mie situation bien On.

sante de cet enseignement.ut enseignement mufessionnel,

,Iont nous venons de tracer les grandesligne., Il fart ajouter renseignementagricole donné dans les écoles primaireeprimaire, supérieures et normales dé,nendant du Ministère do PEducation"pou., et renseignement d'artisanat

Frat

donné dans quelques écoles sut.ales dépendent de la direction de rem

eignoment technique.000

, Malgré cette aPParonee d'organisa;Mn, notre enseignement agriMic estInsuffisant.

Le hombre peu élevé des éColes pra.kues, la modicité de leurs ressources,te lens- Permettent paa d'as.rer, unMe actif et effectif de direction de'geonnmie agricole du laye, ni de dif-htsion du Progrès technique. Elles onttu surplus peu de débouchés.

Les écoles populaires destinées à lakrmation des agrieulteurs, dirigeamlet exploitant des propriétés de petiteri y os, sont t peu presinexistantes en face du nombre SnorMe

.e-474rleEirAirdmisffslisffisremrsreo

par M. GUERRETdéputé du Tarn-et-Garonne

une pnofession rurale ? Penirt11101 Une de lannre Sées gal nourruient Iss fe,réorganisation de notre enseignement

L'enseignement ménager n'est Paeserti d'une période de tatonnement.

Enfin, d'un point de vue mirementadministratif, les relations entre lesécoles dépendant du ministère de l'Ami-.Iture et celles dépendant du /niaintère de PEducation nationale sont rua/définies, ce vol empéehe une coordina-tion d'efforts. 000

Ainsi donc se posent dlters problà.mes de réorganisation de notre enect.nement professionnel agricole.

Au premier rang de cee Problèmes,se trouve ceMi de l'importance à don,ner t cet enseignement, et ce/ni de sagênéralinati.. Deur qu'il puisse attein.dre Mus cerx, hommes et Lemmes, quise destinent à la profession agric.',

L'agriculture est la branche la pins

Gamet

forte de notre tichesse antionale. Onea pria en outre, dans ses dernièran an.nées, an caractère d'économie collectiveMd nécessite pour mea agriculteurenne formation systématique et ration.nette nulles de lafernsatMn-smpiaksnaîet traditionnelle ont reçue pasqu'àPrésent. L'agritult.r doit maintenantcennaltre 0es méments principaux duprogrès technique de la culture et del'élevage et il doit aussi tore averti detraîtes les questions relatives à rée0.norois de la production, sous son doubleaspect qualitatif et quantitatif,

Ira cela dépend directemmt gamélio.ration personnelle da sort de vie desagriculteurs Si aussi l'accroissement

0o, mlît,s de notre riaesse agri.cela nationale.

C'est done avec juste raison qu'il fautenvisager d'une part Let apprentissageobligatoire de la profession rurale etd'autre part une impulsion nouvelle dela direction technique, économique etsociale de tout notre enseignement

Comment? Sous quelles formes?

FA LUTTE CONTRE LES INSECTES

Dans le Surrey, les moyens les plus modernes sont employés pont ladestruction dee insectes, et dernièrement dans une vaste ferme deLingfield, un appareil spécial, comportant une sorte de tourelle montéeMM un tracteurs été utilisé avec sticas pour l'arrosage complet des

Osudumvs et es Vilas arbres du verser avec urs liquide insectictde.

LLE L IT DE L'EPARGHEECU CHI= EST ritzizei

10110111.1100110111DE LA TERRE

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Après le Congrès de D.

Une omission bien involontaire Il insiste pour que ce moyen des'est glissée dans notre cotante lutte contre le chômage soit nom-rendu alter. Dans les résultats de piété par des mesures permettantvotes nous avons amis de signaler sa liquidation complète, c'est-a-que nos amis Fauré Henri et Cane- dire là mise en main immédiateneuve Louis ont été éluu à runani- mou, programme massif do grandsmité Trésorier général de PU. D. etSecrétaire de la Bourse du Travail.

travaux ; "Institution de la retramte des vieux travailleurs exclus desAssurances Sociales, qui rejeté-s dumarché de travel, sont dans unesituation angoissante, acculés à lamisées et au dés.poir ; rabaisse-m.t progressif des limites d'âgePour mise é la retraite dans les ad-ministrations publiques, afin d'ou-vris à la jeunesse les débouchés in-dispensables.

pourrait dans le Pola un vaa,ta 11 considere qu'une Politique no-Justement des salaires p. sa vola the d'organisation des loisirs doitdeeconremtions 11 01 affirme ome pnursuryle qui permette à laque le fruit du travail n'est pas masse manière de profiter du Re-dans la société capitaliste r6P.to trimoine artistique, littéraire et

selon limInde. tounstque de notre pays,Duo part trop haPortant. " Le Congrée pr.larne une fois de

l'effort des producteurs revient aux plus la solidarité étroite des tra-parasites séchant C'est le motif railleurs des villes et des travail-pour lequel le Congrès de l'U. D. de leurs des champs. D ne saurait ad-

la Haute-Garonne rappelle son mettre que ces derniers soient

idéal de transformation sociale frustrés du bénéfice des lois socks-

pas Is suppression du patronat et les et il déclare s'opposer énergi-

du salariat, qui seule permettra la gommentb toes projet d'infériosi-justç répartition de la Pr...tinn sation de leurs candit.nu d'exis-

entre tous les hommes. tence, de leur droit à 1 avie et de

Ers attendant et sans vouloir le.s libertés syndical..prendre apporter une fg...a Considère que des garanties s'a-

rigoUre.e et décisive, le Congrès errent nécessairru pour la nase en

consIdère que le salaire le moins vigueur dea les socioles par un

élevé perçu par le salarié le moins eontrôle plus rigoureux de leur ap-

qualifié doit représenter la somme plicalton. A cet effet 11 demande leneessaire pour satisfaire toua I. renforcement des pénalités actuel-

besoins d'une famille vivant dans lement insuffisantes et l'extension

sue société civilisée, du réseau de l'inspection du Va-

Il demande que ce salaire vital rail comportant du morni un Ins-

soit établi daes son principe, na- P.teur par département et la dé-tionalement par le Conseil Econo- signet"os par industrie de délégués

misse Natio.1, et adopté ensuite ouvriers avec pouvoir trempage.

par les Conseils 13.nnques ré- Le Congrès se félicite de l'essor

gionaux, aux fluctuations dues a Pris par le mouvement syndieni

sure situation économique instable. France, essor facilité Pas la ré.-Pour parer aux fluctuations du ration de l'unité, mais rappelle que

coût de la vie, ll importe, en effet, l'unité internationale reste à faire

de déterrniner un système, une et demande que la C. G. T. pour-

forme d'indice pour permettre ana suivre activement une potion per-

tonsailleurs de réajuster leur sa- semèrent° dans ce sens.

laines aux conditions dernstence En saluant avec satisfaction les

du moment,réformes sociales réalisé'. par le

En attendant cette disp.ition le gouvernement de Franrr pontai-

Congres demande a. Syndleats et se, le Congrès confirme son adhé-

eux syndiques de graéecirorr anae s" a" n".annna dressé pou le

vite que possible l'établissement de Comité de Rassemblement populai-

l'échelle single en rmscrivant se pour l'amélioration du .st desI. conaentiononotives. masses laborieuses, /e triemphe de

demmule également que le la liberté et de la paix_

imuvoir di.het des travailleurs de Mais, Il afirme la nécessité de

lu fosmtion publique soit susse- mettre en oeuvre rapidement les

"Eardigterneveran celui des .autres transfo...titi. prefendes.. de

travailleurs. Les Schell. actuelles structure économique enone. dams

de traitements et salaires ont été /e plan de ta C. G. T. et, notaire-

fixé. à l'Indice 500. Or, l'indice du ment, la nationali.tion du créditootit de la vie dépasse 550 en dé- des ind.tries-cle afin d'arracher

cense comparé ir l'indice 100 en au capitalisme le pouvoir exorbi-

1914tant qui lui permet de spolier les

.

En .nséquence, le Congrésolu-rê-salariés, les ....armateurs et les

tsclame le rajustement d. émments et salaires ries fonctionnai-res au coût de la vle, axer effet du

les janvier 1937. Ce rajustementdoit se faire par l'attribution im-

médiate d'une indemnité mobile

de cherté de vie en attendant une

revalorisation générale qui devracompost., en premier lieu, nu re-in..nt suffisant du trait.aentminions. vital.

Mais, considérant que la luttecontre les dosteoru de vie nts&tdoit être conduite avee efficacité,

le Congrès réclame une réforme de ner les n'amenasm fascistes en Es-la législation afin de Permettre 11. pagne en réclamant la nationalisa-répression implacable cies sPécula9 t'on des industries d'armement etteurs.fabrications de guerre, /e contrôle

cmvaineu de la néee.it° de 1a international du commerce et dusemaine de 40 heures, qui

.

tran des armes et la transforma-qu'une étape dans la réduction de lion de la S. D. N. e none véritablela durée du travail, il souligne lue- société des peuples nantie cles pua-gerce de son application a tous les von indispensables et des moyenstravailleurs sans exception. de faire respecter ses décisions.

Nous donnons ci-dessous la rao-lution de clôture. Nous publieronsles autres ultérieurement.

LA RESOLUTION DE CLOTURE

Ordre du jourLe Congrès au somment où se

Ave Cosser n'orant te saline !C'est à M. César Bru, désigné

avant-hier comme grand m.itoudu parti radical, que j'adresse cesalut.

N'est-ce pas en effet sous sahaute autorité et sa compétencenotoire qu'avant-hier, à Villefran-ehe, 250 radient. p55 un de plus,y compris les invités et leurs chauf-feurs, sans compter les gens reniapas ordre (j'ai pu décompterson 08 invités); nous sommes loindes 500 couverts annoncés par n LaDépêche » se sont reume..

Nous notons que la municipalitéde Villefranche avait fait les fraisde l'ornementation de la salle, etfait arborer le grand pavois à laMairie, autant de choses qui furentomises lors du banquet de FrontPopulaire qui revêtit une autretournure et marqua un autre en-thousiasme ; sans autres comm.-taises nous livrons cela à l'ansé-maton des électeurs et des conte-/ambles.

Naturellement selon la coutumedu parti radical, les discours eurentlieu en vase clos.

Malgré les haut-parleurs puis-que la Halle a. grains de Ville-franche était hermétiquement closePour les profanes la foule descurieux était clairsemée. Soixanteà aoixante-dix personnes environ,

Sur le plan focal et departemen- Ital, il préconise les réformes écu-norntqu. complémentaires amiesque la mise en régie directe desgrands services d'intérêts publie,tels que le gaz, Pélectricite, lestransports urbains et Interurbains,les asiles et établissements hospi-taliers.

Le Congrès demande à la C. O.T. de continuer avoo énergie sonaction en faveur du maintien de lapaix internationale men.ê par lesuuaéooeuOes que penvent entrai-

La Réunion Radicalede Villefranche

Une réunion lamentableUn vrai four 'et une déclaration de guerre

au Socialisme

ecoutment railleurs et sceptiques...Et malgré les précautions prises,

bon nombre d'excellents républi-cains qui prirent part au banquetéchangeaient à la sortie de tels pro-pos qu'il nous est permis de direque les discours soporifiques de cesmessieurs son tombés à plat.

Au lendemain de la m.ilesta-tion de Lyon, ce n'est pas sans unétonnement pénible que j'ai ent.-du les funambulesques discours del'ensemble des vieilles barbes anti-Front populaire, qui ont pendantquatre heures d'horloge déversésur /es assistants une avalanche deMus.

Malheur de malheur ! qu'osé-neque le F'sont populaire a pris etavec lui les socialistes, et par ré-pereuseion les communistes I Cer-taines affirmatiorns furent telle-ment grotesques cme les quelquesrares memer qui ecoutaient eus laplace les discours, s'esbaudi.aientgaiement au détriment des are-

Demain noco a.ons une sur-prise sans doute, car je me demain»de avec angoisse, pour elle, com-ment a La Dépêche a va commen-ter et la manifestation et lesdiscerna compte tenu, toute compmmalaise Selle Par rapp.rt auxvaleurs en Cause, de la manifesta-tion de Lyon.

Là-bas, unité d'action renforcée

dans le Front populaire; réceptionde Ijm Blum par M. Herriot, ac-colades, etc., etc... Ici, bataille ou-verte, le mot d'ordre : sus ausocialisme ! La brillante brochetted'orateurs qui se succédaient, s'es-crimèrent d'estoc et de taille sur leparti socialiste.

Tour à tour prirent la parole, M.Boy. qui parla pour les jeunessesa rua es, le meilleur de Mus les

orateurs d'ailleurs, mais qui sansque l'al vu, semblait lire son dis-cours. M. Galaman, toujours quel-conque. M. Ililhau, égaré peut-êtredaue cette aventure. L'inénarrableM Sarraute m t rf

louse, qm affirma, sans me, vou-loir bouter hors de la Haute-Garonne les salopards de socialis-t..

M. Guilhem, sénéteur de l'Aude,membre du comité national del'Office du blé, mais ennemi del'Office du blé, crût pouvoir se per-mettre quelqure remarques qu'ilvoulait blessantes sur notre cama-rade et ami Esparbès élu, clisait-il,par erreur député du Iouragais,apporta des affirmations touchantl'Office du blé, dont Calvayrac sechargera de faire justice. Il se li-vra à une basse démagogie.

Delthil, sénateur, dit e /ehaut-parleur a de Tarn-et-Garonne,br.dit au-dessus de l'auditoire leooligarchies financières, doma quel-ques tapes au Front populaire, etaprès avoir menacé, si les forcesdi.trême-gauche menaçaient d'êtreles maîtresses, de se réfugies versla droite, Il termina sur son laitmotif accoutumé t a Vive la Répu-blique laïque, démocratique et so-ciale ! a Pauvre République

L'ineffable M. Ducos, député deSaint-Gaudens, élu des croix-de-feuclôtura l'ère des discours.

Tous les orateurs clamèrent à latribune leur haine du Front popu-laire, essayant d'accaparer poureux ce qu'il a fait de bien, le soute-nant comme la corde soutient lependu, parce qu'ils n'osent faire au-trement ; mais le critiquant aussibêtement que durement 999

Ils firent connaître leur désird'organiser enfin le parti radical

gIMMIOIMM LE 5110I SOCIALISTE 5 MgMeJe non à 5 La Dépêche a le

soin de commenter les discours."che ardue, impossible mime, car

la détonnent rudement avec le sensde la manif.tation de Lyon. Nous'ugerons ainsi de la bonne fol desreporters et redresserons les com-mentaires si nécessaire est

.Nous signalons cependant l'ab-

sence de M. Germain Carrère, boucémissaire en l'occurrence, qui mé-ritai, mieer qu'un abandon dédai-gne.. Gênerait-il ces messieurspur 1m

alfiCa. d;eadstete::,7inkloyal

-

béa en mai dernier v Quien en,

a verre à madère du puissant et dell-

L'absence de M. lbstler, qui de-vait, Paralt-il, définir spécialementOs politique extérieure, ne parutregrettable qu'à quelqu. initrés.

Mais je regrette de n'avoir pusavourer le retentissant et clairon-nant discours de M. Turines, finegirouette politique, qui Front man-lame bien con r

SOCIETE NATIONALEANNA DE NOAILLES s

Front populaire par ambition per-onnette aujourd'hui, ayant obéi au Jeudi prochain 4 février â 17 b. 1

svent venu des née-socialistes dont à l'Ancienne Faculté des Lettres, ruil fut le secrétaire général en de Rémusat aura lieu la confère.Haute-Garonne et vitupéré Mrsque de Mlle Yvosne Rive.0 aur le sujele vent socialiste se refusa à le mirent 0 en Scènes de la Vie Alb

doue des socialistes. M. Daille,s, po.ser en poupe, réalisant actuelssimme, vues à travers les écrivains ddéputé de Tarn-et-Garonne, ména-geant tou'ours la droiteélu de la discipline républicaine.M. Mairie, député du Tarn, aux re-grettables lapsus =land. M. Amer,sena eur, butte par le suffrage uneverset mais repêché au Sénat Pasle suffrage restreint, incapable de plaisir de ne rien perdre du boit-Entrée 2 troues. Line pour leconserver son propre siège dans la tant (ô combles !)troisième circonscription de Tou- Ducos, qui mit le point final. Jediscours d° eudimiie °G% uicURiubS PUBLICS'de&af guère retenu que quelqu. Semaine du les an 7 février

mph.rasraesdirr.lasofiein,ditne, jNi3ouosMardi 2 février : à 17 h. 15.

cent, nous resterons radicaux sonos- Mansan, doyen, professeur de liftéslistes 100 pour cent ! o (Appien- dure Française : Unir Bourges. Idissements.) Et, emballé, dans sa La jeunesse : Sous la h.he,péroraison il ajoutait I « On m'ap- I Mercredi, b 17 h. 15. Cours doient autrefois la régi. ro Sngrapbie des Pyrénées : Les Pym,Comète basbudo ; je ne suis plus nées modperronaennes,aujourd'hui qu'une vieille barbe si M. Faucher, prof.seur à la Faon

Nous noes en doutions, mais des Lettres'. Hauts bassins et valléepuisque c'est tiC Ducos qui le dit, bI Jendi, à lOb. M. Roy, prote

faut le croire h.. /I aurait pu évites seur d'archéologie du Moyen Ageà Socrate de dise « connais-toi toi- larhsajoire de pari moderne o La sinmême

tAnoteOr. parmi les invités de marJjrne getbn. (mite)timbre du XIII. siècle et l'Humant.

que, M. Tarisse°, maire de Reve; j Vendredi 4 17 b. 15. M. Bedons,M. Coins, de Villefranche, .chargé cours d'archéologie préhiinvité srJcalement par ses amis torique o L'ellmograpie, Science suaiMM. Termes et Cambras (neveu), herse de le prenions,orga.nisateurs, entouré de sm sen- I Lev nom, d mardi d, mercrediseil municipal, moins deux unités ; do, vendredi rom de mye, mm

les mair., appelés à, venir consti- Ivl. &caf. rapopneur.EtienneRieu, membre de La C.

eatiYgil'aveud peur -mn faire une machin.dc guerre contre le socialisme pourles élections cantonales et tralala-rives prochaines,

Au demeurant chassés successi-vement de tous les coins du dépar-tement, le Samt.Gaudinms et leLauragais restant encore possibleset ne pouvant plus rien à Toulouse,les pontifes radicaux veulent es-rayer d'opposer un bastion à notreavance.

Le bastion fut conquis par nousen mal dernier; la paix était signéedans le Front populaire, et on nousdéclare ouvertement la guerre.Acte en est pris t Jean FREMIS.

Une Réception sportive

elPicerede ;en sPetcle2Sen son ,siège, au-dessus du Cristal-Palace, le nageur leakaelie qui ne-nait la veille de sa coure. de globeas cours de la compétition natio-n0e de la piscine d'hiver du ParcMunicipal dm Sports.

et du a Midi eooluiiotc

Nakache et Taall. 11 rappelle lesdébuts de Nakache à Constantine,

. , . .

Zerbib adresse une allocution àRI

rieteencerreef.1.;,..et% ",..iu: A tait jetern.l'Onera-Gemiqueter. les 1500 noyacl. annuell. Deapheis rit Chloé en /97; Lasen France s'll était répandu. Noces Corinthienm a en collabora-

D termine en décrivant son émo- rian avec natale France, en 1922than de se trouves da. un vin Le Pic Borg...médie ti.d'honnis. au milieu des Etudiants rée de M pièce de René Benjamin

enelève son verse à la prospérité 1929.de l'Union Syndicale Ise Etudiants. Il a donne à TOPéna * La Ronde

APrès maintes eha.o. esta- des Saisons ballet en trois act., endiantines le Pic-up fil danses les 1905,

taleds dans la Java s (souvenir drame lyrique en Isola actes, d'aprèsde Limée de Constantine). Mérimée. Cet ouvrage a été repues.-

Et ta réunkan se termina.. tous té dans vingt villes de France et delesvoeuxde l'U. S. pour un avenir ileum-,brillant à nos charhPirms. Parmi cos oeuvres symphoniques,

(1191111011Dillatillqintimpalo91111MI.!arort citer « A. ia Villa Médicis a,

retire au Jardin des Hespérides a,MOTEL SAURS, Monte., Crans e Ale lumière 5> poème lyrique d'A.-G....mi minera spéciaux et sus mm-tole Fre., a Minerve ouverture,manda Téléphone 27. et une a Marche do Fête » nom or-anonnonnumunnannunninunc Cle%.., d, oh,

d'i deuri Hese e commencé à POPéraPdpulaire (Châteaud'Eau), en 1900puis à l'Opéra-Comique (1901). Il ocupe actuellement le Poste de ehed'orchestre à l'Opéra, dont il est tiLutais° depuis 1905, où il succédaPaul Taffanel.

Professe. de la classe d'ensemblvocal au Conservatome National dPer mm depu 1904, ti fut no.ne ProRaseur de comenition en 1931. Cessous ce titre quai fil Amatir, en Idle traité d'intrumentation Guise.Busses, auxiliaire précieux des jeunecompositeurs.11111111111111111111111111111111111111 lllll 11111

lement .e marche de crus ace, payspoursuit pour le plus grand dom- Cette conférence aura lieu sousmage du parti radical sa marche 'présidence effeetive de Mme Mispersonnelle à l'étoile... filante ! Isetti de Gardent (prestdonte gén.

Je n'entendis pas davantage lm j le, de pamege dans notre ville, qui tediscours du nouveau consacré, M. ru une allocution sur les buts et Pac

ésan Bon t 1 me socles ie.-Idylle de la société

M. Can meVille, vétérinaire à Vert e par le passé radiodiffusés.fei/ ; M. Pierre Dardenne et un dejses amis seuls représentants de 111111111111111.111111111111111111111111111111

Bourg SQ.int-Bernard, qui durent Ipâtir de l'absence de M. Carrère. 1 A U

Comm, on le voit, to. d. radi-;t F t

Imre . Chacun sint ça...On m'a signalé, mais je n'y purs

moire, que M. Marty, maire deBaziège et M. Mino de Bonnefoy,maire de Ausiac, nouveaux mem-bres du parti radical 100 Pour centretenus par des occupations prou-

"Pu- PALAIS-

Courrier artistiqueSOCIETE DPOIScoNc.F.Ti. s

DU CONSERVATOIRE

Prix Lasserre en 1930.

et

11

CONFERENCE

DES AVOCATS STAGIAIRESDU LUNDI lev FEVRIER 1937

L. Canférenee des Anna Sisprores,sautes s'étaient excuses .

Au demeurant, hormis I. 68 in- namaaiaaiarélid9,9addrà. ala9,117,.991,4 1.

vites, les présents par ordre, ri« sui..aquelques curie., peu de vrais mi- Là, ora;' ,ncler salon. perepee tenuelitants,

I unemachinede guerre contre M ..

olive de l'oeuvre. vont les cours coin-plémordalr. du Jeudi.

Cette année le nombre des Prés.,

ornez vos pre garelit es

t da

Taill, le nageur toulousain connu Busses ; ra '

par s. desmeres Perform....Zerbib lève son verre à Nalkache,

Titi ethaérieletadUe'll fte'.X.ftellet. la

Zerbib remercie NM.

ppeaira.°et ralons à grands traits Pvi

e vo re ger-, e on la

" 111 Les d p

and.0 d

Todousde Rome ole 6 janvier

1893 èv1872. j baptiste de votre linge de corpset enGr Prixe n (éle I pur e n à 'xpositionEra.t Guiraud et de Chatics G fil d lisent lE

cm- de blanc du PRINTEMPS de Tonnod). louse. Dennandezdes.

Voulez-vous de l'appétitVoici une rmette simple et erg-

' cace pour avoir toujours bon appé-: lit. Versez dans un litre de von le9 conte. d'an flacon de Quinto..

t ha u

- La Quintonine donne faim dès le1 premier verre. La Quintonlne enri-

a cieux vin fortifiant ainsi préparé

33 emt o.us, augmente les forces- et triomphe de toutes le. denses-. slang. La Quintonine chasse en

quelques jours lassitude, surmena-insomnies, migraines. Seule-

' Sne int4 fr. 95 le flacon. Ttes

quantité de fûts qui 10* entiorementcousumée.

Son total les dégâts sont évalués à

Les muses de l'incendie sont incom

Remarqué sur les lieux M. Mtin-5 don, remlnissaire de poli. et notiee ami Rogalle, adjoint an Maire.

UATO CONTRE MOTOé- Urt blesgé

o Hier mir, vers 19 heur., M.Rene Faure, solda a a B.

lu circulait moto, rue du Faubo.g-a- Bonnfoy, avec un de ses camera-, des, qu'il portait en taon sad, lors-

- qu'il fut renversé par une voiture- qui le dépassait et appartenant à

M. Gaston Larroque charcutier, 27,O chemin Lapujade.

M. Faure a été transporté à l'hô-pital. Le médecin de service actiagnostiqué une fracture de lajambe gauche et diverses conta-

A Vits-ot

REUNION IMS CANTONS

Les militank sont informés gildes rév-rips eaulormle: croo lieu jeudi 4 février,v

Cia,t/T7lorcrl '.'-f'Foyer da Peele.Canton Centre. Foyer du peuple.Csoon S.d. Muséum d'Histoire Na-

' rd on:"

Canton Oue. Salle du Goule Lalo,du canton Ouest, rue Redman°.

C'CoOrdre du jour du Comité Fédéral du

Désignation du lieu du 34me Congrès du

a La Situation Politique n.Election des délégués au Comité Fédérai

Qu'P's7de ia. védiv'crinA e.su ion des cantons, lesréunione de g unes sont 5000,000105rnées le4 février. Le secrétaire R. Desbals.a--

CROUPE SOCIALISME

Le 29 jenDyiEer,LI: adhérnW.

I.

de groupe

aussi secrétaire du groupe Roger Sa

300.000 francs en partie couverts Parassurance.

dossier une

cette

pensionalimentairoe

somils Ietipt egetlEr.,, Je %place- fondé. A daman.. la réduction u h sup. til,ginnmndr17,7à,7:tr de- pression de pension en usant

puillerstes,

six cmd'arrondeillers

glssem

énéraux, six rnotormoblleu. prévue pa.; Tari 1166 du " an' r'énienconseent, plus Gode Civil 3 »

dont les cendres doivent frémir de A.. is résumé présenté sur la question un niEenii qui 0.5,05 "00i0là,

e Calonne. ..menu l'affirmative n a."'" '9 la9".999 au. a/e socialisme et le Front populaire. Me Carde, a soutenu nen«. d. 9.'9 00,mémoire du regretté Bélinguiar, Maine publi,.

martyrimatme d. Enmer d asil rapella aux Hem militants r...

Un rappel ému pour nous à la Me Ma cm le a cone u en qualité de

voirsa Mère mémoire évoquée par p. M. le 00o-oie,. la Conférence, tom ncrInr r 'nnivnnir nue' ,,dreen,,,«

ceux qui n'ont qu'une haine : ce/le sabré, s'est prononcée pour la négativenr,rell' .li,ll'.tenà,7.:`,,gandperàlneje ird à, epl,t:benu'uLe pool ela.

11111111111111111111111/1111111111111111111111111

cc Q

tu.

a

uos mît perdes°, Jupiter de- I I - Le secrétaire u groupe e .

mentes, Jupiter rend fous ceux Les uvres Lamnouveauxes-,,,...,re., Ii.

li.u'rt -- . adj-Al 1 d oqu'il se perdre.

PATRONAGE LA/QUE DE L'ECOLE ,`..`.1V<Toriva::,`:,:,..-=;=:,t''"'''''ad!DES GARÇONS DES MINIMES Socialisa,

tion des parents d'élèves de rticore "1" ""a"." "m'ana'. f°""'mis et rappelle lea grandes nal

ésente à l'assemblée notre amdtroLenagePe "Petits' e'rasdePialetrice PdauttPerl-i

ollm

Trenet, vine j'omet mem, da m rio Parti Socialiste, auquel il donne kleur de loi, mer«.

Le groupe écoute enauite es sans iule-rine, la lecture de 0IP5 de 200 adhésionsuounles, « qui more relieur% à plus du

Goaservat t

""a" (14"a"1"a' dea.. Bd.- double, ummillerous. po« les 600,Programme du cinquièm catione concert espars,e. les 800 rodhérente et plus encore aans nous

glii nulle Eu. " n'entre dli E"elide 1àieant encore daymptose évite.. h. liches de no, adversaires au,

Composition

I lasser, eak nous laisser arrékr, même pay

Or M. Henri Busses,mesciredi 3 févrie.r, avec le comme.

aux élèves le °enta. pertinieux de la cherchent à happm les meilld, d, Gr.eurs des ditreeprofessmr de rue, k Gesell %Administration enti- Non, étioaa timisme au burmeau dudu oire Naio- op idtan,,

nul, chef %orchestre de l'Opéragag, pa,daaigadda

PadsouSoud sommeans.la'

ssexta5

6,..,...,.e r..," dà ,,,,,,,,à .e das Nient., tous les jeudis Ta- j 01005dea résulkts dam., aoon sndnubli^

rPédee-ofa11,1a,nat

porteront à nos chers écoliers le con) an". 1a direaU.1 da Sl. Eeeltile corps enseiguaat et ap-

ru agitolité ' clit. personneltram sportifs de a La Dépêche onur

HEN BISSER S'instruise en s'amusant tel est lePlément indispensable à lens études. de rad«

DA LA SOCIETE DES CONCERTS bat poursuivi par te

patronage.ciU CO

et peut-être

; de non. d I liMlles Nelly Gaulhier, ;ans a sa ,e du * Florida P ave- au, ant c vecollaboré a nom Pgg

.° vx mons per ' a ctifs, amenerCo"n1.111bibisei2r11 dPets Rféit'es7le d

3, serval ( oi . femmes et d'en-ce ront jud

Riaient présents P510, Robert,Bucher, Halley, Dirat, Mlle Berdu-cou du bureau de EU. S. E., Berdeil, dn Be... et des B-huvuln do G.- Les fins seicieusemen t 0,7,,da.ssobv, de camarades

ardeur pour amener à noua un plus

NSERVATOIRE La prm t,ilére séan de néma arr- Il indique tom d babord Ic uirt

de 'esNu °ore., à ird, bort Baader 0a,1na heu le jeudi 4 février à 14h, 31 pes d'usines et préviss qu'rla e :ont

dig.dan go. ,,t Les élèves devront . sen.dre Té- constitués pour se sulailtur oh CG,.nd. u015u015",qn idoit avoir lieu Théâtre du Car u

nombre-ases demoiselles de la sen- Il a fait représenter en 1921,sisevoionet Nemache Lut montres s. scène du Cano dr Nie, e Colombe

non failli . noYM, ..enger puis devint eiteeeErvenneni" attela mercr ie "edi 2 février, li Soce

l'action syndicale reste indépendante

champi. de la ville, champion du coomerts do conservatoire en pai, 0010 ,r,,,,,- li à'ppaaa1j aa ma"dmIe nideil s'étend ensuite

département de Constantine, Mosan-os donst,,:lesttio.itou, pr e c li.o.c duciliE f

d l'Afrl Ise du Nord et .Pe_

Loreolfit:rfnahniae

prsemaegePililïbbn:fd: :20,..dOnu v,e;:e1:-°kaairshi"iiednitegnenous7: aibo, ur,d dda:s,

France du 50 m. nage libre et enfin ia,?9 .e ,ah. veine/retire et de eompa_ etceps un la n'ln.éln lliit pire grande,

lieur de Cartonne, .-recordmen . freneels, eatterre et 0.11.1 par coite de h non ad

1

du monde da. le 100 In. brasse. A la veille de Cette andohun nuesunion du machinisme busoin des con

malgré les efforts des pompiers aé- compris et sono d'accord pour rester grocourue sous les ordroe du lieutenant cl., dha,,, ce d'odes In agrd duos re,Ramé. vre entrepriseL'aider - monretait ane douzaine La séance est levée au chant de eu°de machines qui ont et, rendues im- netimale et aux cris de t Vive le UTOUpMinables par le feu, de fa N. I, A VI. le Parti SonLI y muta égalemmt lute sese teeét"«,..

médiatement de grendes proportions midimo mut démmtrer que tous osocsFIPOr'''LlEdInleiEv7RiSr 'ET2' Rh.EP30/.ANIS..

CONSEIL D'ALMINISIRATIoNDU LOVER DU PEUPLE

Lee membre, anciens et nouyeaux duConseil d Administration do Foyer duPeuple sont priés de ee rendre à h rémPion qui aura heu y ms. à 18 heures, auFoyer du Peuple.

Pour le secrétaire o René Deja/.

CROUPE D'EDUCADGN SOCIALISTEMAIS IUSPINEL

(Saint-Michel - Ermont)Réunion du groupe aujourd'hui mardi 2

février, au sièse café Jean Robert, 021 h,précisee, alllee iules-Gueede.

GROUPE KARLLIEBNECHTROGER-SALENGRO

Les esuserudes dee quartiers Croo-de-Pierre, Fonkine-Leskim sont avisé, qu'uaeours d'Espéra.° fonctionnera à dater dumardi 2 février 1937, au café, cl,ez Posas.

CHORALE SOCIALISTELES ROUGES-GORGES

TOULOUSAINSNuméros gagnants de la tom ola do la

Chorale a Les Rouges-Gorgea n et c LaSection Nid s, sortis samedi dernier 30 cou-rant, au Foyer du Peuple

ler lot n. 1122 gagne une bicyclette va-leur 500 franco; 2es, lot, n. 259 gagne unpaaier bien garni ee comme 1 Pairede poulets, 6 douvaines huîtres. I bouteillede Champagne. 1 boute,Ile de Bordeaux,1 gâteau, Orne In. n. 192 gagne une Flic.Père s Osa m valeur 75 francs, 4rne lot.n. 1115, gagne un In:défrisable valeur 70 le,

iSono lui, x. 1108, gagne un beau Gluer, line lot, n. 1437, gagne une BourricheIndues de Cham, 7me lot, n. 42, gagne

1 bouteille liqueur, 8 socles, n. 440, gagnebouteille 100000,0 9rms lot, n. 115 iman.

uns botte papier à lettre, flacon parfume.siss 1011os lot o. 1683 gagne I muais..I line lot, n. 1913 gagne I bouteille mous-amui, 12 Ion, n. 1574 gagne 50 kilo, decharbon.

Les lots sont à la disposition .dee gagnanteau siège d. la Chorals et du Ne, 00 PopuBe allée. de SaintSimon, S.

Passé le délai de 18 jours, c'est-à-dire àsoucis du 19 courant, ils deyiennent loves'p été des groupes sus-désignés.

Répétition générale ;marli 2 février, à21 heures.

Préparation du concert de C. R. M. dece samedi 6 courant.

GROUPE COQUILLESOUPETARDLee .maradee som informés que

usamissdu Dna. 0550 lieu le dimanche7 février, à 10 heures, au siège, caféRodas, chemin de la Glaive, an la PPP-sicle.« de notre camarade Filon Peevot,maire de l'oukase, «sis« des élus do can-ton et de notre camarade Desbals, secréal.se de la neriou T./misaine, avec legracieux concours de k clique du Coque-

Un vin d'honneur sera offert,-A 12 h. D, banquet dise le camarade

Sabatier. à Soupetard.Le prix est Pué à 25 forms.Les camarades des groupes voisins qui

désireraient y participer devront yemer lemurant a. siée. avant le 4 février Deus,dernier délai.

camarades dames sont admis.,

GROUPE LOUIS-ANDRIEUAmased.Ressiard, Concorde, Mutaient

Boyard

La réunion du gmupe aura heud'huhi avardi 2 février, 421 heures Préci-s u siège, café du Nord, 17. eue de

re 1?osa stA. ul Ordre du iour

Den.; Adhésions, Cotieations: Causerie d.PPPPaaP- camarade Peyrat, conseiller municipal,

ininin' Questions diverses,am d. Les eecrétuise o Lagarde.pas ete -80H

Jeunesses Socialistest pli. SECTION TOULOUSAINE

Commission d'Etudee. I. A, Les camarades Roudières,e Cavagnol,te aux Sema, Berducou, Guy Lagardelle tonte que conVOUllés pOUr CO soir Vendredi à 18 n.Massa chez Moneo.

u PaonGROUPE SOCIALISTE

o René ESPERANTISTE

ires de Cesoir, réunion au siPae, 71. me d. Tall,000 s Les manavades sympathisamna sont cor-

meil, Idem«, Mités.U111011111111111111111111111111111111111111111181

er>>.`

'der1.

LUTTES ENERGIDUlISDES OUVRIERS COIFFEU1IS

J'avoue que je viens %etre surprisj'ai ceu à une nouvelle grève.

Il n'en était hcarreuseumht sien;c'était simplement des ouvriers mnfours Protostmd contre certal.

René Desbals, sel impademment attendu Irons 5100 as veule t asin «a ie..ions,,amis prend h parole. le nouveau horairP Pedutrevail, cfn"re"n.cmese ne nous gen°, suas

T., 11 ne s'agrt en effet que des deuxheures pour le repos du midi. Voilé

so

es-

d,a., pourquoi je vien de voir un groupe

d'ouremss réal. au cm de : 5 lies-de pectes nte deux heurre a devant le

magasin d'na patron peu conscientdes signatures prises

Et te erDis rale devant une telleénergie des ouvriers, il aux« compriset ses .1Iègue0 aussi.

Espérons pour ces pauvres ou-vriers qu'ils n'auront pas à l'avenir,besoin de menties leur temps pour

".9 Béducelion des patron. de rneuvaisoLe capitalisme se sentant menacéPour cun.ervo L'elninlin, foi, et je dois avouer, constater, que

de eré« une tom0e de ni19111nnli el dt u,. ale telles manifestations pourraient»Me pour contrlibalamm loscost O ondn .nuire, perler tort au /maga. de DesPertdance et de meilleures conditions de igdu.,ad.

Pour Me fois, qu'ils soient avertisrem et les ate /ers.

de Fiant Poputaire une et qu' nils eu tiennent coneLe gouvernementlofa arrivé au pouvoir s'est préoccupé de Un client en ballade,niera, fin à ces aMssements qui tendaient --....

misermr encore d,uooae, le monde du EMPLOYE DE COMMERCE,vol, plusieurs lois nid.. vo dr. g° Réunion mercredi à la Bourse

sésoees005saeenlbossiso, En"lni- de tous les gérants de l'Epargne.

Aft, LARl. 50500,=,4ee faitie,:71nziné e iET SleMluLAIRES. Cenancières et de v Il demande à mus 18 h ses, a la Boursed ado le gouvernement de Front Pon

UN ATELIER DE TONNELLERIE lai,, nom l'aplicatioa de ces réformes,

1:annUesLEePlena,er,ziniml/gédny,rpar,nelz,zestraa

100,040 1 d dégâts,,,,incqo

demain il puisse hire dee Il ses PIHier soir, vers 22h 45, an incendie rmiondes soi noms rosaire« de faires'est déclaré dans on mens de ton- pomma rilvotaaaos a

avenueri P PdPem rielo ex' Let f eGui Pei I ''''1.uebs ep lseordi'i :6Men te yttdorigéS o

SEURS. Réuni0a de tous les came-r égides systiouhs et non syndiquése en% à 17 heures, à la Imum du

'Travail.

Commission de direipline, gray.accusations portées contre un mem-

. hre du bureau.au9,1 Pré.mer absolummt tudispeasablc.

AMEUBLEMENT. Assemblée go-nérele, soir menti à 21 heures, it

,la Bourse do Trayait salle 166.ici Presenoe de Jean Georges.ut' Pour les cotisations les camarades

à Poésene indispaudge..

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 6: Le socialisme ----iule et la Nation aux socialistesimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_02_02.pdf · 29° ANNEE. N. 10.161. Le socialisme et la Nation

IMIM.ELECTR/CIENS DE LA HAUTE-

GARONNE ET DE LA REG1ON -Assemblée générale; Compte rendu duCongrès, salle 18-19 à 21 heures.

CHAUSSURE. - Les délégués etsous-délégués sont convoqués pour lejeudi 4 février à 21 heures.

OUVRIERS COIFFEURS. - Réu-nion de tous tes ouvriers coiffeurs de«main mercredi 3 février à 13 h. 15Arcades du Capitole.

TEINTURIERS DEGRAISSEURS.- Réunion du Conseil syndical lemercredi 3 courant à 18 heures, damsunesane de la Bourse du Travail .

PLÂTRIERS. - Le Conseil synsi-cal rappelle su mainarades plâtriersIles horaires suivants après accordavec les délégués du syndicat des En-trepreneurs Plâtrier

Malin, de 7 à 12 heures; soir de14 heures à 1 7 heures;

Le samedi, repos completAssemblée générale, vendredi. 5 fé-

vrier à 18 heures,Compte rendu du Congrès de l'U.D.

Compte rendu die lu délégatiOn Minrésdes .patron.

Cartes 37. Cotisations.Perumnenee tous les jours le punie

de 17 heures. Renseignements.CHEMISERIE ET SIMILAIRES. -

Réunion ce soir mordi à 21 heures duConseil Syndical, et des délégués.

Préparation de l'ordre du jour derassemblée générale de samedi.

MARBRIERS. - Réunion 'des défi-gués et oodlecteurs 'd'atelier ce soirmardi h 18 heures. Conseil syndics/.

SCULPTEURS, MOULEURS, PEIN-TRES STATUTAIRES. - Assemblée.génémic de ProPagande mercredi soirS18 heures. Bourse du Travail.

ARTISTES MUSICIENS. - Avis deconcours. - Un concours Polir nuemploi de Soin, 200e violon, à l'or-chestre du Théâtre du Capitole, auralieu le jeudi 18 février à 15 heures,an Conservatoire de Musique.

Les morceaux imposés sont tSaxophone f 2me Morceau de con-

cert de Nazaire Beeckrnan.Biolon o en Mouvement du Concer-

to de Mendelssohn.Les camlidals doivent être âgés de

23 ans au moins et 35 ans an pluskurs demandes, accompagnées dualextrait do oasier judiciaire, seront se-sucs au Secrétariat du ,Théâtre du Co.pi t ole, jusqu'au 16 janvier inclus .

FEDERATION ESPERANTISTEDU TRAVAIL

GROUPE ESPERANTISTEPROLETARIEN

Le groupe rappelle à ses membresélèves et auditeurs le programme descours de cette semaine t

Jeudi, à 2 heures ; Cours élémen-taires grammatical. exercices divers.

Samedi è 21 heuris I Rondeto chezle camarade Taverne; conver.tion.

COURONNES MORTUAIRESCOSTFS te, rue ne Renneat

OtOI N demiolle TêléphOne

11/1111111111011111111111111 lllll 111111111111111P

41111111111eMMMI

REMERCIEMENTSMadame veuve Mare FAURE et ses

enfants Reger et Josette ; Mo.ieurJean FAURE.encien cordelier num.-pal et Madame; Monsieur Lot. MASSEMadame,nee FOURS et leur fils Henri;Mendel. BOUCHET, Madame néeFAURE ef leur fille Marie-JeanneMadame Antrinette FAURE et son filsLouis ; les familtrs FOURS, MASSE,SOUCHET, RIVALS, VINCENT, LAN-NES, BORNE, sALLES, LALAURETTESICARD, 0I5VE61 et RACAUD remer-cient sincèrement 1m personnes qui leuront témoigné leur sympathie à PocceLion du décès de

Monsieur Louis FAUREGordion dm/ mg aimai., de Raptoo

et les prtrnt de trouver ici l'expressionde leurs sentimege émus,

rompe. Finètr. Municipales, 34, ms/1...minières, Toulouse. 'ri 00h. 247.30.

MusiMMISSINEMESIVESISIESSIMMBI

A VIE DESMOCI ÉTÉS Ill

CHORALE REVEIL BONNEFOY. -Les répétitions de la seinaine suroslieu, mardi au Mge, mercredi groupeMinimes, vendredi ensemble au siègeroute de Périple.

EMULATION NAUTIQUE. - Réu-nion générale des rameurs, demainmercredi à 21 heures au Cristal-Palace.Presence indispensabtr.

ORPHEON TOLOSA, - Ce soir, 2février, répétition d'ensemble. Nouvemxprograinems a l'étude pote les Prechains concerts

En atteulant la soirée annuelle of-ferte aux membres honorais. et 0111 nele cédera en rien à ses devancièr., lasociété chorale Tuime Pré-pare un concert vol aura lieu trés bien-tôt en son siège, Café St-Roch, 54, ave-nue des Minimes.

Cette soirée, exchtrivement réservéeaux parents et amis des sociétaires del'Orphéon revêtiru un caractère tout afan intime. Des invitatioos spécialesseront envoyé.. Cette deuxiene audi-tion de l'année 1937 prouve la vitanted'im groupement qui continue digne-ment les traditions

CLEMENCE-ISSURE. - Répétitionsd'ensemble aujourd'hui mardi et ven-dredi 5 février, a 21 heures, au sage

NOUVELLE ECOLE DE LA PAIX.-- Réunion mercredi, 3 février. salle dela rue Alexandre-Pourtanier, 11, à 21heures précises.

Orgue du jour 1 /. Causerie de M. leprofesseur Villas « La Hongrie et lesproblèmes Sosnomiems danntre. M 0Diso.sion 1 Lecture durt PriPet de sta-tuts.

BOULE COTOISE TOULOUSAINE..- Réunion mensuelle, mercredi 3 cou-rant â 21 heures eu Pige. cotisations:compte-rendu du congrée du 10 jan.,étude du programme; championnat dupoint inter-sociétaire.

CLUB TAURIN TOULOUSAIN. -Assemblée générale ce soir à 21 heures.Calé Moussa, Ekon°. banquet an-nuel Préseuce indisprisable.

ASSOCIATION D. ANCIENNESELEVES DU LOTIES DE JEUNES FU-Lgs. - rasstration tiendra son a.ssem-

blés générale le jeudi 4 févrtrr15 h. 30. sale des professe., Lytre doJeunes filles. Flte prie instamment tonsseS meMbres d'assister cette Mana.au cours de troyens doit etie etrePar vole delection au renoevellementdu nem de son conseil eadMillIStaatiOn

'à l'adoption des nouveaux statuts. aucompte-rendu financier, aux susses-SBus verSes que poMTOntles membres de l'association.

Une siffle dotée de lots Judicieusemont choisis terninera cette réunion.

LIBRE-PENSES DE TO1J1,0U5E(L'Eglantine). - Les progrès modesdes doctrines de libre-examen 1 Tou-louse, ont engagé 1. Libre-Pe.eurs de11Eglantine el élargir et b améliorer leurorganisation.

A la dernière assemblée générale, te-nue au siège central, Café Clapit, arca-des du Capitole fut décidée la créationde groupee de quartier.

La commission administrative fer-mant le bureau a été élue, elle est ainecomposée des citoyens t

Gaston Barren, secrétaire généralMame Montre, secrétaire adJoint; JeanRace., trésorier général; Pierre Louestrésorier adjoint; Etienne &isard, archi-viste; Bertrand Dauba, conseiller mu-roopal, delégue a 10 ProPagande

L'élection de nouveau délégués à lapropagande aura lieu à la prochaineassemblée générale.

Se mettant immédiat/tient s liceuvrenos devoués camarades ont fondé tmnouveau groupe â Fontaine-Lestang ;

une vingtaine d'adhésionu ont été se-ceuilli.; le cainarade Bordes a été élusemestre du nouveau groupe avm com-me adjointe /a citoyenne Martand.

Le mercredi 3 janvier, réunion publi-que 41 la Providence, où un autre grou-pe sera fermé. les camarades Barr.et Rasaud exposeront les buis 00 10 phi-losophie de la Libre-Pensée. Nul douteque comme a Fontaine-Lestang, unnoyau solide et nombreux ne viennerenforcer la section toulousaine 0051010.Loir, adhérante 5 la Fédération desLibres-Penseurs de France et d. Colo-nies, section française de l'Internatio-nale de la Libre-Pensée.

AMICALE DES ENFANTS DE L'HF.-RAOUT. - Les membres non encoreinscrits sont informés que la cleaferévocable lieu inseriptiOna polir /e ban-que du 7 février est fixée au 4 févriercousant.

Une sauterie in fine étant organiséeaprès le banquet, les familles de tousles membres son tinvitées 5 y assister.

PARURES DE MARIEUREL COITES. 25, rue do Rêrollsei,

Il lllllll 1111111111111111111111M1011111111111

COMMISSION DE CROSS-COUNTRYRéunion de tous les deégués de club

ce soir mardi à 18 h. 15, au Bar dei Opéra. Ordre du jour Important. Pre-sence de rigueur.COUPE FEDERALE DE BASHEITTirage au sort pour les quarts de fi-

nale gui se disputeront le 28 février:S. C. Jean-Jaurès Marseille contre

C. S. 0. VlIlnuehaOur.S T Limoges contre P. S. Clichy.

U. S. 0. Malakoff contre J. S. Reims.Ensile Rouge Toutruse contre vain-

queur Rhône J. C.-Hénin-Liétard.Une fois de plus nos représentants

auront une Mile équipe oonrne ailver-.ire.

ETOLLE ROUGECe soir à 21 heures à la Halle aux

Grains, entrainement Tous les joueurssont priés d'y assister.

famille Ma pu venir en sa qualité. 1111aussi de président d'Iton/mur du S.T.C.nous apporter la valeur de la sincèreaputie qu'il a cotir nous.

170 ym d'honneur remissait dans la.11e des fêtes du Cale Lamazou les di-rigeants du O.T.C. du C. 1, P. D., du C.Li de Lalande et sa clique. I. joueursde baskett, 1m raembr. du groupeosalbate Framisco-Ferrer, le camaradeGalas, secrétaire général des J. S. venusuppléer notre ami René Desbals rete-nu par ailleurs à une manifestation 0m.1100110110 présidait cette réunion d'amiset nous fit un bel exposé dm vertus duSport Travailliste et de ce que l'on doiten espérer dans l'avenir, 11 en est cheleureusement aPplaudi

Le secrétaire du S.T.O., au nom deses collègues du bureatt, souhaita labienveme b tues, en remerciant l'assis-tance venue nombreuse applaudir lesprouesses de nos basketteurs et faitoonflante a la prospérité toujours ste-mm du Spart Tm.vailliste au TroieCocus.

VALADE OUVRIER SPORTSBaskett. - Réunion au siège le mer-

credi 18 janvier à 20 h. 30 précises.Entrainentent sur notre tenni

BOULE TRAVAILLISTEDE CROIX-DAURADE

Par une journée de printriall. Propicera.ugojeu de boules, la Boule Travaillisterecevait sur son terrain la Roide d'A-

Après une partie où chaque quadrettedisputant leur chance avec coeur /e ré-sultat fut un score nul, mais ilon'em»cmg.use pas moins qu'une .nclusinpose pour l'avens des deux sociétés.

La, Boille d'Arago est composée debons éléments possédant une bonne

comprehemion du Jeu de boulm gui lesrends redoutable même pour les meil-leurs et cette otrété doit aller loin dansIon .mpétitens futures.

Quand à Croix-Daurade, banlieuesportive, oh l'amour du clecher est sigrand, je crois pouvoir rassurer son pré-sident l'ami Lacoude pour les concoursà venir; roc les bons éléments ne ramaquent pas et surtout la bonne camara-derie qui règne entre tous ses membrecsont une garantie pour le bon renoni de

MII111111111111111111111111111111 llllll 111111lb

THEATRESTHEATRE DU CAPITOLE. - C

soir, à 20 h. 30 » Rose de France ri.Mercredi 3 février, à 21 heures Con-

cert de la Société des Concerts du Con«aérienne.

jeudi 4 février, à 14 &eue», matinée àmoitié pria à tomes les places I sstossoioFranee .. En soirée, à 20 heures 30» Les taasoas de Villars ».

Samedi 6 février, en soirée; dimancheOléndesenmatinée et en soirée, s Rosede France e.

C1NEMASNOUVEAUTES. - 14 h. 30 et 20 h. H.Folle s et a Sou0000 LaitGALIJAEALACE. - Permanent de

14h. à 191111. 21 h. o s Le Grand Jeu10112401019, - 14 h. 30 és 21 Mmes »

a Quand Minuit trime.,VAR/ETES. - 14h. 30 et 21 heur.

a Le C-opable ».PARA/V/017NT. - Permanent de 14 à

19h. ; soirée à 21 h. t pour leservice r et Le Tournant dangereux ».

CAUMONT. - 14h 30 et 21 hedmsa Aventures 1, Paris o.

OLYMPIA. - 14 h. 30 et 21 heuresa Batrara » 11e Remo à Pari. ».

VOX. - Permanent de 14 à 19 heures:soirée à 21 genres r a lsveé ».

ETOILE DE MOSCOUDans les quartiers du Haut-Bon/me

re Moscou et de la vallée de l'Hers,court un bruit qui s'il est vrai, rentrillrale cceur de tous les habitants, d'Unegrande jee. De quoi donc estén mies-Lion/ Vous voulez le savoir/ Catmtradesje ne sais tropailo doIa,aIoI sussifaire le colporteur de ce bruit. Ma foitant pis, je me lance, mais surtout, nele dites à personne.

Eh bien, ce fameux bruit, c'est quele 14 Cernant Sur le terrain de l'avenuede Lasbord., aurait lieu, une granderencontre de 1.skett mettant aux pri-ses les équipes de Moite Sportive deMoscou avec- temevous bien... l'EnsileRouge, champion du C. R. M.

Qu'y fet-il de vrai dans tout cela?J'espère que perSOInie ne démentira eta Isentot de pins amples détails.

L'll 155 moscouETOILE TRAVAILLISTE DU CENTRE

Tous les membres de lEtoile Travail-liste du Centre trrit informés que l'as-semblée générale mensuelle aura lieumercredi 3 RAM. â 21 h. 90 au siège,Café Rolland.

Ordre du jour tAdhésions; compte-rendu du congrès

du C. R. M. et du congrès fédérai: or-smisstion de la section °PM., mir-port et suggestioen par les secrétairesde .ctions; qu.tions diver.s.

COMMISSIONFOOTBALLeASSOCIATION

Réunion de la commission, ce soir,mardi à. 21 heur., Bourse du Travail.

Homologation matches du 31 janvier;matches coupe fédénlle du 7 févriei ;

qu.tions divers..Commission dm arbitres à 20 h. 30

/rée.%UNION SPORTIVE PROLETARIENNE

Demain, mercredi, réunion des sec-tions de baskett et de cross à 21 heures

Os Beur. du Travail.Complu-rendu du cross de Graulhet

et des parties amicales du dimanche 31

janvier.

SPORTS TRAVAILLISTE COCUDIENLe S. T. C fêtait hier, Pinaugtration

de son terrain de sport. A cette occa-sion, un match amical était conclu aVecle C. L. du Pont des Demoiselles. Lesdirigeants du C. L. de /Mande a.ientmis à notre disposition leur leillantr

. c'est au son de leurs claironset tambours que es athlètes des deuxclubs accompagnés d'une foute nom-bre.e défilèrent dace les mes du quar-tier jusqu0u terrain Ernest Renan.

La 5100110.m11,11111 llllll llllll R11111,1 llllll

tralement par le trmarade Jean Lou,du C L. de Croe-Da.urade, fut menéede bout en bout avec un entraIn endos.bilé mais on la camaraderie et le fairplay sportif le plus pur 5051050 15 meil-leure place se terminant à. l'avantagedes 000010s coCudiennes.

2, camarade fkon, adjoint au maire, GROUPE BABCEUF. - Une or.conseiller général de la Haute-Garonne. rem s'étant glissée dans te com-premem d'honneur S. T. C. avait trim mimique paru Mer Itmeli, il faut lirecocon pr.ence à marquer sa bienvell- comme suit la composition du Mi-nime sympathie pour nous, mais armee seau 1937à datitres obligations me lui confèrent Secrétaire t Lamotheses chargesFest yu dans la nec.sitreie Secrétaire adjoint : Poux ;

1

Théâtre du CupitoleCe soir, à 20 h. 30

1. divette Renée PAGEde la Gaie, dans

ROSE DE FRANCEgland. DAILLY. Thés DESOMER,Lilian DEGRAVES, Jan, MORZIER,Lise BOSC, Rose BOUSQUET, VEI-

TY, VALL1, Hélène COSTES s

MM. SALSONI, LABORDES,MESTRE, PORTES, GIORGETTI,

BUC, CROSTYGRANDS BALLETS

dansé. par Mlles Lucienne UXALMarika WASSILIKI, A. DAV1N,

las daines du Ballet, 1. élèves deI'Mole de Danse.

GRANDE MISE EN SCENEde M. Oh. FABER en collaborationavec hi. Renée BOSC, régisseur de

la scène40 Décors, 300 Costumesdu Théâtre du Châtelet

Chef d'orchestreM. Marcel DELSAI.DS

AUX NOUVEAUTÊSEn première vision sur Toulouse

FOCII-I

En première partieSOUPE AU LAIT

Mlall Nos prix t 3, a et 5 fr.

DANS riBANLIEUE

LARDENNF

LE MIDI SOCIAL/CM

BLAGNACSUCCES SPORTIF. - MUS ap-

prenons avec plaisir que notre so-ciété de sports Blagnac Sporting-Club, vient de se classer premier auchampionnat des Pyrénées.

Luttant, dimanche dernier, àLavaur, pour ce champimMat, c'estpar 10 points à zéro que notre cluba été deelaré vainqueur de SOn Sem,pétiteur le C. S. A.

Noua ne doutons pas que, grâceà leur ténacité et à leue sciencesportive, ils aillent loin dans lechampionnat de Pr...

llllllll I llllllllllll ii1111111111111M

DANS LE DEPARTEMENT

REVELFOIRE DE FEVRIER. - Le

maire de Revel a l'ho.eur d'infor-mer le public que la grosse foire alefévrier se tiendra samesli procham6 courant.

CARNET ROSE. - C'est avecjoie que nous apprenons que notresympathique ami Je. Bose estl'heureux papa d'une gentille Ail.lette, qui a reçu le joli prénom deMarie-Thérèse.

Nous adressons nos Pl. Sincèresfélicitations à notre ami qui estdéjà papa de deux superbes gar-çons. Nous souhaitons un promptrétablissement à la jeune mamanet beaucoup de bonheur à sa gen-tille fillette.

MM. les Patrons Coiffeurs deRevel (Hommes et Daines) pré-viennent leur fidèle clientèle, qu'Ilsont majoré leurs prix à partir duler février 1937.

Voir nouvea. tarifs dans tousles sato.. - Les Coiffeurs deRevel.

LYRE REVELOISE. - En rai-son de /a soirée que doit donnerPU. S. R. mercredi 3 février, auMusic-Ciné, la répétition de la LyreRevéloise est reportée au mercredisuivant 10 février. Tous lesmem-bers actifs sont priés d'y assister.

SOIREE DE LU. S. R. - Com-me annoncé depuis quelques jours,c'est mercredi 3 février, à 21 heu-res, au Music-Ciné qu'aura lieu Ingrande soirée artistique organiséepar notre société sportive locale,aven le concours des deux syrnpo-thiqu. Carol. et Capela, artistesque vous avez déjà applaudis surles principales scènes de nos music-halls. Le programme sera /e sui-vant

Première partie. - 1. Banja,guitare et jazz ; 2. qUelqUes bellesch.sons (duos à voix); 3. ehad-sons humoristiques et fantaisistes;4, scènes désopilantes du ventrilo-que Capela ; S. les ombres chinoi-ses présentées à l'Empire de Parisexécutées par Carolus.

Deuxième partie. - 6. Duos co-rniques ; manipulations etsinus; 8. le désopilant Carolus dansSeS uvres; 9. équilibres japonais;10.. trompettes de cavalerie.

BOULOGNE-sur-GESSECONFERENCE SUR LA CARBURA-

TION FORESTIERE - L'emploi du« sol dus foréts » intéresse b divers ti-tres les .mmunes et les particulierspropriataires de forêts, les entreprisesutilisant des moteurs. camions et trac-teurs, enfin tous les usageos de l'auto-mobile en général, saou parler des cons-tructeurs, ete

Des voitures à Smog.e. P9TIziite-ment au point, a l'heure actuelle, uti-lisant d'une part des bois taillés de fai-ble diamesion, dont la vente est si dif-ficile, d'autre Part des déchets de scie-

lceisre,i.oleurtiLdgmeomurimirojtain tempslue

L'économie réalisée, en se servant aitlieu d'essence, de charbon ou de bois.

le mseerrereee tier"a%ilonc été chargéd'organiser une conférence sur ce su.300, le jeudi 1/ février 1553, b 14 heurreà la mairie de SainbGaudens.

Cette réunion gratuite est Platre se5Os patromge de M. le Sous-Préfet et deFa municipalité. Elle sera présidée parM. Azémar, conseiller Rétie., Préside100de l'Automobile Club du Midi, ton.esSI dévoués aux ceuvres d'intérêt géné-ral.

AUTERIVEELECTRIFIOATION DES ECARTS.

- Le Maire d'Auterive informe ses ad-ministrés que les travaux d'électrifica-tion étant terminé, le courant él.trl-que sera donné a pariirmardi, 2 février,

r.ommande d'observer la plusgrande prudence et de s'abstenir detomer aux fils conducteurs même aceux qui pensaient être tombés a terrecar il y sursit danger de mort pourceux qui comnetreent cette 150Prae

d.ce.CALER ES-SUR-CAR ONN E

REGLEMENTATION DE LOTI'LISATION DES APPAREILS SO-NORES, MUSIQUE AUTOMATE'QUE. - En semaine et les joursde foires et marchés.

L'utilisation abusive des appareilsonores, pieh-upS, phonos, musiques

automatiques, utilisés par les sr.-des voit.el de publicité contra-riant l'activité commerciale des pe-tits marchands forains qui, ne dis-posent pas de moyens moderncs devente, et pouvant être l'origine detroubles et d'incidents, met le mairede Cogères dans l'obligation de rap-peler l'arrêté municipal du 3 juil-let 1933 approuvé Par M. le Préfetle 23 août 1933.

En eonSéqueuee les auditions demusique ou de giguut exécutées parIon pianos autountriqu., phonos,

aPParens de T. S. F., surles terrasses, cours des ca és, o-tels restaurants, et tous autreslieux ouverts au publie, sont rigou-reusement interdites.

Toutefois les auditions sont auto-risées à l'intérieur de ces établisse-ments à condition que les sons nesoient pas dirigés vers Pextérleuret que les bruits en soient suffisam-ment atténués de façon à ne pastroubler la tranquillité publique.

L'utilisation extérieure de 000 ap-pareils pourra être tolérés sur de-mande justifiée del intéreSs.,adressée an maire qui en fixera lesjour, heure et durée.

Seuls, les forains exploitant des

'Après une mule curefecetwent.

4

ecce a.une des plus belles découvertes médicales'

le plus fort des fortifiants

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membres adhérents à ramicale tal-que, sont priés de Vouloir bien as-sister à l'assemblée générale quiaura lieu le 3 février prochain, à21 heures, à l'école de garçons.

Objet de la réunion I Rapportmoral et financier; renouvellementdu bureau; congrès de la Ligue del'Enseignement; questions divers..- Le secrétaire.

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I.

AUDEUne nouvelle victoire

à CXpreillonDimanche 31 janvier, avaient lies

dans cette commune une électionmunicipale, par suite de dissotunon.

Etaient Oa face une liste FrontPopulaire, b majorité socialiste,avec le conco.s du parti commu-niste et quelques éléments radicauxcontre une liste du parti radical of-ficiel audois, s'appuyant sur la réac-tion, patronnée par le maire démis-sionné et le co.eiller d'arromlisso-ment temporaire Malardeau.

Notre liste a eu 8 élus au predmier tour. JI a à peine nuinqué que/4ques voix aux autres candidatspour atteindre la majorité absolue.

La liste adverse a une moyennede 40 voix de moins et cela malgré/es sommes engagées, et la plusforte des pressions.

C'est po. dimanche, /a victoiretotale de nos amis, et la défaite irerémédiable de nos adversaires.

La Fédération S. F. L O. félicitechaleureusement la section d'Ou.veillan, et tous les camarades smMaristes et Front populaire qui ontapporté leur conco.s à cette vic-toire, qui dégage totalement l'hori-zon du canton de Ginestas. Toute laFédération mê/era sa joie avec cellede nos camarades ouveillanais, enattendant le succès définitif de di-manche, ef avec l'espoir très prochequ'en octobre prochain le cantonde Ginestas sera définitivementenlevé à nos adversaires. - A. R.

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